Consultations pour cet article :
ARTivision est une page Web strictement personnelle de :

Fred.IDYLLE - COPY RIGHT 1997

Pour tout contact avec ARTivision
fred.idylle@orange.fr

Bonne lecture !
Communiquez nous vos commentaires.
Merci d'avance.
Adresses du site :
http://artivision.eu


Avant-propos
L'article qui va suivre est du Dr Fabrice Bardeau, chimiste écrivain, conférencier, ancien Directeur du Personnel pour la formation des ingénieurs au Centre National d'Etudes Spatiales à Kourou en Guyane. Nous sommes en relation épistolaire avec le Dr F. Bardeau depuis Juillet 1992 et nous avons eu le privilège de le rencontrer le 8 Déc.2000 lors d'un Salon de la Santé et du Bien-être qui a eu lieu en Guadeloupe du 6 au 10 Décembre où il a présenté les huilles essentielles et les autres produits aromatiques naturels réalisés dans ses laboratoires de COUIZA dans L'AUDE en France.
Un grand merci donc au Dr Bardeau pour son aimable participation culturelle à notre site.

 


         

Les derniers secrets de l'Île de Pâques
et l'écriture "rongo-rongo".

I Introduction

              Il est au milieu du grand océan, dans une région où l'on ne passe jamais, une île mystérieuse et isolée. Aucune terre ne gît en son voisinage et, à plus de huit cents lieues de toutes parts, des immensités vides et mouvantes l'environnent. Elle est plantée de hautes statues monstrueuses, oeuvres d'on ne sait quelles races aujourd'hui disparues, et son passé demeure une énigme. PIERRE LOTI .

       L'île de Pâques, est l'îlot le plus oriental de toute la Polynésie à près de 2000 milles marins de la côte chilienne. Son isolement. à l'écart des grandes routes marines fut la cause qu'elle resta si longtemps inconnue des navigateurs européens. Mais, le 5 avril 1722 au soir du dimanche de Pâques l'amiral hollandais Jacob Roggercen et sa flotte aperçoivent une terre inconnue. Il nomme l'ile minuscule "PAASCH EYLANDT" soit "l'île de Pâques". Voyez donc l'image  ci-dessous :

II La genèse de l' affaire.

     Le débarquement eut lieu le lendemain matin, mais le premier contact avec la population fut gâché par une tuerie. Une dizaine de Pascuans sont tués pour s'être livrés au pillage sur les navires...

      Roggereen reprend son voyage le 10 Avril à la recherche du continent austral, but véritable de son voyage. Sa courte visite lui permet de voir les gigantesques statues dressées sur la côte, et son récit dévoile à l'Europel'existence d'une île étrange peuplée de statues colossales.

      Et ce n'est que cinquante ans plus tard en Décembre 1770, que les Pascuans distinguent de nouveau, des voiles à l'horizon. Il s'agit cette fois-ci de deux navires espagnols commandés par Don Felipe Gonsalesy Haedo.

      Les Espagnols prennent possession de l'île purement et simplement au nom de sa Majesté, le Roi d'Espagne Carlos III. Elle est alors rebaptisée Isla San Carlo. Et puis, le14 mars I774, le fameux capitaine Cook, fait escale à l'île de Pâques, lui aussi à la recherche du fameux continent austral. Ses deux navires la "Résolution" et "l'Adventure" mouillent alors dans la baie de Hanga Roa.

      La rencontre avec les Pascuans est identique, ils sont amicaux, mais terriblement chapardeurs et s'emparent de tout ce qu'ils trouvent sur les navires. Aussi James Cook décide de repartir dès le troisième jour pour éviter un regrettable incident...

      Louis XVI demande alors à La Pérouse d'entreprendre une grande expédition dans les mers du Sud pour "découvrir les terres ayant échappé au capitaine Cook" C'est ainsi que "l'Astrolabe" et "la Boussole" jettent l'encre le 9 avril 1785 dans la baie de Hanga Hoa.

      Comme pour les autres navires, les Pascuants montent à bord et s'y livrent au pillage. Mais, finalement les rapports sont sans heurts et les femmes pascuanes sont une aubaine pour l'équipage, ce qui fait dire à La Pérouse " Quant aux femmes, je n'ose me prononcer si elles sont communes à tous ...Il est certain qu'aucun indien ne parait avoir aucune femme et , si c'est le bien de chacun, ils en sont très prodigues ".

      Néanmoins, La Pérouse est le premier à visiter l'île de fond en comble, à examiner le sol, les plantes, les cultures, la population, les monuments, les statues...   Durant cette exploration, Monsieur de Langle, accompagné de plusieurs officiers et du jardinier des "Jardins du Roi de France", sèment " des graines, de choux, de carottes, de betteraves, du maïs. de citrouilles, d'orangers et de citronniers " tandis que des "chèvres, des moutons et des cochons" sont offerts comme présents aux habitants.

     Monsieur de Bernizet, le géographe de l'expédition, relève avec précision les plans des monuments et des grandes habitations collectives. Mais la flotte de La Pérouse disparaît mystérieusement en 1788. Ce n'est qu'une trentaine d'années plus tard, que l'on retrouvera les traces du naufrage aux "îles de Santa Cruz".

     Heureusement, Monsieur de Lesseps, lors d'une escale au Kamtchaka le 7 septembre, ramena le journal de La Pérouse. L'autre partie fut envoyée, plus tard de Botany Bay en Australie.

FIN DE LA CIVILISATION PASCUANE

     La cohorte des expéditions suivantes, notamment celles des chasseurs d'esclaves, déciment la population de l'île. Les "négriers" enlèvent les hommes et les femmes pour les revendre comme esclaves.

     Un millier de Pascuans sont ainsi capturés, soit plus de la moitié de la population de l'île en 1 862.

      L'évêque de Tahiti, Monseigneur Tepano Janssen, intervient alors auprès du Gouverneur de Lima pour que cesse ce trafic criminel d'esclaves destinés aux carrières de guano du Pérou, où la plupart meurent en quelques années.   Les missionnaires arrivent alors au secours des Pascuans. Mais, s'ils parviennent à calmer l'ardeur des négriers, leur zèle évangélique contribue à la destruction totale des archives du passé.

     En 1870 le missionnaire Hyppolite Roussel, découvre aux mains des derniers habitants, des tablettes de bois recouvertes de signes gravés, d'une écriture inconnue. On les appelle "Kohau Rongo Rongo", c'est-à-dire "Bois Parlants".

     Hélas, cette découverte fut fatale aux archives de la civilisation pascuane. Les missionnaires donnèrent l'ordre de détruire toutes les tablettes " Rongo Rongo", qui existaient sur l'île. On retrouve là encore le zèle iconoclaste qui avait animé les missionnaires qui ont détruit tous les vestiges écrits des civilisations Aztèques et Incas. A ce Jour, il n'existe plus guère qu'une trentaine de Rongo Rongo dispersés de par le monde, entre les musées et les collections particulières, dont un important lot à Braine-le-Comte en Belgique.

LE MYSTERE DE L'ÉCRITURE RONGO RONGO

     Les pictogrammes gravés sur les tablettes représentent des personnages, des objets utilitaires: des poissons, lézards, singes, oiseaux, pagaies, etc... stylisés. Le nombre de caractères est de l'ordre de cinq cents environ. Il s'agit donc d' une écriture idéographique, et non d'une écriture alphabétique ou purement syllabique.

     En dépit des contestations, cette écriture s'apparente d'une façon frappante avec l'écriture dite «proto-indienne» de la vallée de l'Indus (Cette écriture peut être datée au minimum de 2600 à 3000 ans avant Jésus Christ) . Malheureusement, toutes les études faites sur l'écriture de la civilisation harappéenne du Penjab, notamment celle de Mohenjo-Daro, n'ont pu être déchiffrées à ce Jour!.

Voyez donc l'image  ci-dessous :

     On ignore donc l'âge de ces tablettes " Rongo Rongo", de ces bois parlants, qui ne sont pas originaires de l'île de Pâques et ceci, pour la simple raison, que leur bois n'existe pas sur l'île ! Le seul bois dur disponible est celui dont on a fait les statuettes des fameux "hommes-oiseau", les dieux des ancêtres, sculptées dans le bois de "Toromiro" (sophora toromire) qui tend à disparaître définitivement.   Les traditions locales se contredisent, l'une dit qu'elles ont été importées par les premiers colons venus sur les pirogues du chef Hotu-Matua, l'autre affirme qu'elles ont été gravées dans l'île même, d'après des documents anciens aux mains des envahisseurs polynésiens.

     L'écriture de ces bois gravés découverts sur l'île de Pâques est unique en son genre. Il s'agit, comme pour le grec ancien, d'un "boustrophêdon", mais inversé, les lignes impaires sont orientées de gauche à droite, les lignes paires de droite à gauche, et chaque signe est placé la tête en bas.  Il semble que les indigènes aient su lire les "Kohau Rongo Rongo", jusque vers le milieu du siècle dernier, avec la mort du dernier grand chef en 1860 tout juste avant l'arrivée des missionnaires... Depuis, la tradition est perdue à jamais, comme toutes celles détruites de la même manière, comme les hiéroglyphes égyptiens ou mayas, par exemple...

     Un fait est certain, c'est que l'écriture des tablettes"Kohau Rongo Rongo" offre une telle similitude avec l'écriture proto-indienne de la vallée de l'Indus, encore non déchiffrée, qu'il n'est pas possible de douter d'une relation évidente entre les deux.

     Les pictogrammes gravés sur les tablettes représentent des personnages, des objets utilitaires, des poissons, des lézards ou des caïmans, des singes, pagaies, oiseaux stylisés, etc.... Il s'y trouve même des éléphants ! Or, les singes et les éléphants étaient totalement inconnus sur l'île de Pâques ... Non, seulement les envahisseurs de l'île de Pâques sont venus de l'ouest, mais ils sont certainement originaires de l'Asie sud-orientale comme le laisse à penser la présence de ces animaux inconnus en Polynésie. On affirme même que cette écriture est à l'origine de toutes les écritures et même de l'une des plus anciennes : L'écriture chinoise.

MATA KITERANI, LES YEUX QUI REGARDENT LES ETOILES

     Depuis les débarquements des envahisseurs polynésiens jusqu'aux marins européens, ce sont "les statues de l'île de Pâques", les moai , qui ont laissé la plus forte impression à tous les visiteurs....

     Mata Kiterani, de leurs grands yeux aux orbites vides, ces immenses têtes regardent le ciel et donnent l'impression de scruter les étoiles d'où sont venus, il y a des millénaires, ces dieux qui ont laissé tous ces témoignages...

     ll y a peu, on a retrouvé les yeux disparus. Sur le site d'Anakena des yeux brisés sur le sol et reconstitués coïncidaient exactement avec les orbites vides des statues. Tous les Moai avaient des yeux en os, ou en vertèbres de requins, avec une incrustation d'obsidienne ou de corail pour la pupille. Les têtes sculptées des Moai sont d'une impressionnante majesté. Leur hauteur varie en général de quatre mètres à six et huit mètres. La plus grande se trouve sur la côte nord sur l'Ahu Te Pito Te Kura, et elle mesure plus de dix mètres de haut et son poids est estimé à plus de 85 tonnes. Ce qui est le plus frappant, c'est que toutes les têtes sont comparables à des têtes de Vikings, avec une barbe ! Elles n'ont rien a voir avec les Polynésiens ou les Pascuans, leurs successeurs....

     Dans ce faciès, aucune caractéristique des originaires polynésiens, il s'agît de nez aquilins, de lèvres fines, de fronts hauts, bref, il est bien évident qu'elles furent sculptées, il y a des milliers d'années par un peuple totalement différent et étranger aux envahisseurs maoris. Par ailleurs, les primitifs qui s'installèrent sur l'île n'étaient pas en mesure de sculpter des monolithes aussi imposants, avec des outils très rudimentaires en leur possession, pierre taillée, os, bois, etc ... Jusqu'au XlXe siècle, les habitants de l'île étaient des tribus guerrières, anthropophages, qui se livraient encore aux sacrifices humains, avec des connaissances technologiques très réduites...

     Les têtes géantes, les Moai, sont presque toutes disposées au bord des falaises et elles font toutes face à la mer.  On ignore totalement, eu égard à leurs poids et à leur taille, malgré les hypothèses les plus délirantes, comment elles furent déplacées de leur carrière ?   Il en existe encore une quantité qui sont couchées dans la pierre où elles ont été taillées, mais non déplacées, et encore solidaires de la roche.

     L'amiral Roggereen fut le premier à exprimer la surprise en voyant ces sculptures géantes :

" Des centaines de statues gisent, éparses, au pied des pentes herbeuses du volcan Rano Raraku où elles sont encore emprisonnées dans la pierre...

     Sur cet îlot de 117,9OO km2 des Moai gisent près des ahu et dans la carrière du volcan Rano Raraku culminant à près de 150 mètres.  Toutes ces sculptures ont été abandonnées à différents stades de leur fabrication. Certaines sont à peine ébauchées, d'autres presque finies, d'autres achevées et finement travaillées semblent prêtes à être enlevées...

     Leur taille moyenne varie entre cinq et sept mètres, La plus gigantesque occupe toute l'arête de la montagne sur plus de trente mètres de long où elle est encore sertie dans la roche. Elle aurait pesé entre 135 et 150 tonnes ! Mystère...
"

     On se demande pourquoi ces très lointains ancêtres se sont donnés autant de mal pour sculpter ces gigantesques têtes de pierre, et pour abandonner leur ouvrage brutalement, alors inachevé?

     On se pose la question, d'ailleurs, pour tous les monuments cyclopéens qui ont été édifiés par les lointains ancêtres, comme pour toutes les pyramides, par exemple ?

  Les légendes racontent que le fameux, "Mana" , cette force comparable à la lévitation permettait de déplacer des charges considérables, telles que les statues, après leur finition au pied du< volcan Rano Raraku. Les géants de pierre étaient ainsi acheminés, parfois à plus de dix kilomètres de distance... Voyez donc l'image  ci-dessous:


     Mais, Ko Ihu ordonnait alors aux statues de "marcher", jusqu'au lieu qui leur était destiné.   Enfin, pour donner vie à la statue, il fallait la coiffer d'un énorme cylindre de tuf volcanique rouge, le "pukao", sorte de chapeau terminé par un bouton conique. Beaucoup de statues furent basculées par les différents envahisseurs, et en 1834 , l'amiral Dupetit-Thouars sera le dernier européen à contempler les statues dressées sur leur plate-forme.

III Conclusion.

     Le mystère des têtes de l'ile de Pâques, dressées par un peuple inconnu, il y a des milliers d'années, bien avant l'arrivée des Polynésiens, reste une véritable énigme.

FABRICE BARDEAU          

IV prolongement révélateur en date du 28/12/2011.

     Le 23 déc. 2011 nous avons reçu dans notre ami belge la missive superbe suivante :

 
----- Original Message -----
From: Pierre L...
To: Fred
Sent: Friday, December 23, 2011 6:52 AM
Subject: Le passé de La Terre...

Cher Fred,
 
Que s'est-il passé sur l'île de Pâques ?
 
Qui a écrit sur les statues ?
Source :
 
Amitiés,
Pierre


Mardi 13 décembre 2011 2 13 /12 /Déc /2011 10:27

Incroyable, les statues de l'île de Paques déjà mystérieuses possèdent un corps !

      

     La découverte ne date pas d’hier mais depuis quelques semaines refait surface sur internet : les statues de l’île de Pâques ont un corps !

     Alors qu’elles sont vraisemblablement connues pour avoir une grosse tête, ces statues recèlent visiblement de nombreux secrets puisque plus de la moitié de leur taille est enfouie sous terre et révèle l’existence d’un corps et de mains.

     Si on attribue au couple Routledge la découverte des parties enterrées des statues de l’île de Pâques, un groupe privé de recherches a récemment excavé une des statues pour y découvrir de nombreuses écritures sur le corps.

     Située dans l’océan Pacifique, cette île volcanique a été découverte par le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques de l’an 1722, et est devenue ensuite possession Chilienne en 1888. Si de nombreux mystères entourent l’île de Pâques, la découverte de ces écritures enfouies sous terre risquent de relancer de nombreux débats.

     En effet, si les scientifiques sont presque tous d’accord pour dire que c’est à la suite d’un écocide que la population (environ 4000) de l’île a disparue, qu’en est-il de ces géants de pierre enfouis sous terre ? L’ont-ils été dès le départ par les Rapanui (premières civilisations de l’île) ou bien le temps a t’il eu raison de ceux-ci ?

     L'hypothèse la plus vraisemblable est qu'un raz de marée ancien a balayé l'île et sa civilisation ancienne, qui se perd dans la nuit des temps, est là, sous nos pieds de touristes inconscients du trésor caché qui nous attend. Les statues n'ont pas été enterrées, mais le déluge a dû transporter et amener tant de débris, de poussières et de terre que la civilisation a disparu comme effacée d'un seul coup.

     On pense ici au mythe de l'Atlantide et du continent de Mu dont les légendes refont surface avec cette découverte exceptionnelle.




  



     Mais pendant que nous y sommes sur l'île de Pâques proposons ici notre découverte qui risque que mettre très mal à l'aise les journalistes et écrivains irréductibles qui pensent toujours, à tord, que Lobsang Rampa n'a jamais été au Tibet et qu'il ne fut d'un ressortissant irlandais nommé Cyril Henry Hoskin.

nbsp;    Dans l'ouvrage de Lobsang Rampa intitulé "C'était ainsi", le lama Mingyar Dunduf (ou Dundup) explique à Lobsang, que lors d'une plongée dans les annales akashiques, il a vu, à une époque où le Tibet était au bord de la mer, "d'étranges choses dans le ciel" et aussi "des êtres à la tête en forme de cône" qui vivaient comme nous sur cette terre.

     Or dans son fameux troisième Oeil , Rampa dit aussi qu'il a visité une caverne sous le Tibet où ont été conservés les restes momifiés et couverts d'une pellicule d'or d' êtres fantastiques qui ont disparu actuellement de la surface connue de la Terre :

" Regarde mon fils, me dit le doyen des Abbés. Ils vivaient comme des dieux dans notre pays à l'époque où il n'y avait pas encore de montagnes. Ils arpentaient notre sol quand les mers baignaient nos rivages et quand d'autres étoiles brillaient dans nos cieux. Regarde bien, car seuls les Initiés les ont vus.

     J'obéis; J'étais à la fois fasciné et terrifié. Trois corps nus, recouverts d'or, étaient allongés sous mes yeux. deux hommes et une femme. Chacun de leur trait était fidèlement reproduit par l'or.

    Mais ils étaient immenses. La femme mesurait plus de trois mètres et le plus grand des hommes pas moins de cinq. Ils avaient de grandes têtes légèrement coniques au sommet, une mâchoire étroite, une bouche petite et des lèvres minces. le nez était long et fin, les yeux droits et profondément enfoncés. Ils ne pouvaient être morts, ils avaient l'air de dormir."
Fin de citation.


     Mais cette description ne vous rappelle-t-elle pas la physionomie de géants, eux, bien connus ?,... Des géants dispersés par centaines sur une petite ile perdue du Pacifique? : l' île de Pâques.

          Cette singulière affaire de géants a fait sourire sous cape les archéologues qui se croyaient bien avisés et qui avaient oublié que, pourtant, dans un texte célèbre, on en parlait franchement :

" Quand les hommes commencèrent à se multiplier à la surface du sol et que des filles leur naquirent, il advint que les fils d'Élohim s'aperçurent que les filles des hommes étaient belles. Ils prirent donc pour eux des femmes parmi toutes celles qu'ils avaient élues. Alors Iahvé dit : "Mon esprit ne restera pas toujours dans l'homme, car il et encore chair. Ses jours seront de cent vingt ans ". En ces jours-là il y avait des géants sur la terre et même après cela : quand les fils d'Élohim venaient vers les filles des hommes et qu'elles enfantaient d'eux, c'étaient les héros qui furent jadis des hommes de renom."

     D'après la Genèse , chapitre III, versets 1 à 4. Bible d' Edouard Dhorme dans la collection "Bibliothèque de la Pléiade" publié chez Gallimard en 1956.

     Cependant d'après A. D. Grad, le Kabbaliste mondialement connu, dans son livre intitulé "Les clefs secrètes d'Israël" pages 29 et 30, les termes en hébreu " bnei ha Elohim " traduits par Dhorme en fils d'Élohim, signifient sans contestation possible : " les fils des Élohim" (voir aussi à ce sujet : La Lune clé de la Bible de J. SENDY Editeur J'AI LU 1974).

     Mais justement à propos de l'île de Pâques, voici quelques mots d'un très aimable internaute Xavier N :

----- Original Message -----
From : Xavier N......
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Monday, September 17, 2007 5:49 AM

          Bonjour

     A propos des murs de Sacsahuayman de votre page de garde, voici un autre édifice dont les pierres sont aussi magnifiquement taillées! C'est sur l'île de Pâques, où je suis allé l'an dernier! Fantastique non ?


  

.......................................      Fin de citation...

     Et voici, une petite partie, de notre réponse à ce si aimable internaute :

----- Original Message -----
From: fred.idylle@orange.fr
To: Xavier N.....
Sent: Wednesday, September 19, 2007 9:20 AM
Subject: Merci pour vos superbes photos et votre petit mot .......

     Bonjour de la Guadeloupe encore appelée l'île d'émeraude.

..............................................................

     Même si vous ne me dites rien des articles du site ARTivision , vous ne pouvez pas vous imaginez combien ces simples petits mots de vous, m'apportent de satisfaction et de confiance pour la suite de mon travail. Merci mille fois.

      Merci aussi pour vos superbes images en provenance de l'extrordinaire île de Pâques. J' étais au courant de la présence de cet édifice étonnant sur l'île, mais c'est bien la première fois que, depuis la création de mon site en Janvier 1997, je reçois des images de cette construction.

     En effet, je possède de nombreux films en français du célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN et il montre, dans l'un d'eux, cet édifice, où l'on utilise la même technique de construction que celle des Incas. Ceci est d'une importance capitale pour les recherches du site ARTivision, car il est difficile d'imaginer que des incas, aient pu traverser l'océan sur environ 3700 km et aller si loin du continent pour appliquer leur méthode inouïe de construction sur un édifice magnifique de cette si petite île du Pacifique. D'ailleurs on n'a pas du tout encore réussi à comprendre, comment ces incas arrivaient à tailler et à joindre ces blocs ( Granite ou porphyre..pesant parfois des tonnes ) avec une telle perfection, que l'on ne puisse même pas glisser une lame de rasoir dans les fentes.

     Donc, il y a bien un lien entre les constructions des incas et celle de l'île de Pâques. Ce sont les mêmes Maîtres constructeurs considérés comme des Dieux et en visite sur cette Terre, qui en sont responsables .

     Pour comprendre ce lien, il faut, selon moi, faire un déchirant retour sur le Passé de cette planète, qui est beaucoup plus fabuleux que l'on ne saurait le deviner. Le site ARTivision propose, pour explorer ce prestigieux Passé, des pistes totalement hors-normes, et des preuves irréfragables, qui font grincer des dents, les chercheurs orthodoxes.

..............................................

     Fin de citation


     Tout cela n'est-il pas encore une confirmation des dires de Lobsang Rampa ? A vous de juger...

  Article mis en page par Idylle Fred le 22/12/2000, et revu le 08/10/01, puis le 19/11/01, puis le 02/06/05, puis le 28/12/2011 .

Retour à la page d'accueil