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De la présence dans la Genèse,
d'un Elohim féminin.


I Introduction.

      Cet article est le complément logique de certains éléments mis en lumière dans notre article :

http://www.artivision.fr/docs/DocumentsermentObama.html


, qui est déjà bien long et qui ne gagnerait rien à s'encombrer encore d'images et de textes sur le sujet en question.

     

II Genèse de l'affaire.

     Rappelons brièvement que cette affaire a débuté, quand nous avons refeuilleté, par hasard, récemment l'ouvrage remarquable de notre bibliothèque, de Brinsley le Poer Trench (Grand ufologiste et en réalité 8e comte de Clancarty ), paru à Londres chez Neville Spearman en 1960, et aussi en France dans la collection de poche J'ai Lu, dès 1968 sous le n° A 252 :

  

     On découvre alors ce passage très important, en page 19 :



     Nous avons souligné en rouge les mots clefs de ce texte, qui montrent que le support d'écriture de l'époque, papier ou parchemin, était très difficile à préparer et que donc chaque mot écrit avait son importance et même par exemple le vocable Iahvé, peut représenter diverses entités, à des moments différents.

     Vous pensez bien que les scribes si méticuleux de l'époque, ne se seraient pas permis de transformer le je masculin"ani", en un je féminin anochi par simple plaisir.

     Pour tirer cela au clair, nous avons écrit à un ami internaute J-P M........, qui a le grand privilège de s'y connaître un peu en hébreu.

     Après lui avoir bien envoyé de nombreuses images concernant les récentes découvertes faites sur l'astéroïde Eros, sur la Lune et aussi sur Mars, nous lui avons transmis l'image précedante du livre "Le peuble du ciel", en lui déclarant aussi ceci :

     "J'ai souligné en rouge les mots clefs de ce texte, qui montrent que le support d'écriture de l'époque, papier ou parchemin, était très difficile à préparer et que donc chaque mot écrit avait son importance et même par exemple le vocable Iahvé, peut représenter diverses entités, à des moments différents. Qu'en pensez vous alors ?

     Vous pensez bien que les scribes si méticuleux de l'époque, ne se seraient pas permis de transformer le je masculin"ani", en un je féminin anochi, possédant 3 lettres de plus.(Par inattention, une lettre de plus ou de moins, cela aurait pu se faire, mais pas trois.)  Seulement, reste à savoir si anochi a, en hébreu véritable, 3 lettres de plus que ani ) . Pouvez-vous alors m'éclairer sur ce point important ?"

     Nous avons reçu alors la réponse remarquable suivante :

----- Original Message -----
From:J-P  M..............
To: fred.idylle
Sent: Wednesday, February 18, 2009 2:58 PM
Subject : RE: Reprise de contact.

          Cher Monsieur,

     Merci pour ce mail qui démontre que vous êtes un très bon archiviste ! Sachez que je suis toujours un fidèle lecteur du site Artivision que je consulte régulièrement. Si je n'écris pas, c'est plutôt... par paresse ! Et non par manque d'intérêt.

     Vous semblez supposer que j'aie de solides connaissances en hébreu, hélas il n'en est rien. Je n'en possède que les quelques rudiments indispensables pour essayer d'y voir un peu plus clair dans la Bible. L'hébreu est, à mon sens, une des plus belles langues qui existent et nous pourrions en parler longuement, mais je suis un français typique affligé d'une grande incompétence dans l'apprentissage des langues !

     Pour ce qui est de la question que vous me posez, je tenterais bien d'y répondre mais cela entraînerait des développements assez longs. Je vais quand même essayer. Tout d'abord, mon dictionnaire d'hébreu ne fait aucune distinction de genre entre Ani et Anochi qui semblent tout à fait synonymes (en fait, en hébreu moderne on n'utilise que Ani). D'autre part, accorder le genre féminin à Dieu n'a en soi rien de choquant. En effet le nom de Dieu "YaHWéH" (le tétragramme sacré Y-H-W-H) est composé de deux lettres éminemment masculines (le Yod et le Waw) et de deux fois la lettre féminine par excellence (Hé). Je dirais que la conception de Dieu qui est accessible à la compréhension humaine possède les deux polarités masculine et féminine. Ce point pourrait être facilement développé.

     Il reste par ailleurs le problème de ALoHYM qui peut neturellemnt être envisagé de bien des façons. En ce qui me concerne j'en suis resté à une lecture très traditionnaliste de la Bible. Je veux dire par là que le texte écrit, la Torah, doit être lu et compris à l'aide de la tradition (uniquement orale autrefois) : la Kabbale. Le récit de la Genèse a repris d'anciennes traditions sumériennes ou akkadiennes pour former un texte qu'il est possible de lire sous forme de récit mais la "substantifique moëlle" se trouve révélée dans la langue utilisée où chaque lettre a son importance indépendamment des voyelles qui d'ailleurs n'existent pas en hébreu. Ainsi le mot Elohim s'écrit A-L-H-Y-M ( le A, aleph, et le Y, yod, sont à l'origine des consonnes) peut aussi bien être lu A-L-HaYaM ce qui signifie "Dieu-la mer". On sait que la mer (qui est aussi source de vie, simplement) est le symbole de la Conscience Divine ou Cosmique. Le célèbre kabbaliste A-D Grad disait que Elohim n'est autre que la déesse-mère des Hébreux.

     En outre il n'est peut-être pas inutile de clarifier les choses en ce qui concerne la lecture traditionnelle de la Genèse, tout au moins telle que je la conçois :
      Le chapitre 1 ne correspond à aucune réalité physique. La kabbale nous enseigne que l'univers comprend quatre mondes : aziluth (le monde de la proximité de Dieu, totalement transcendant), beriah ou briah (le monde de la création), Yetsirah (le monde de la formation) et enfin assiah (le monde de l'action, celui sur lequel nous sommes incarnés). Ces mondes sont symbolisés par les quatre voiles du Temple. Pour mieux comprendre, prenons un exemple : si vous désirez une maison, il convient d'abord de concevoir l'idée de maison, ce qu'elle est pour vous, en quoi elle vous correspond (vous êtes alors dans beriah), ensuite il est nécessaire d'en tracer tous les plans jusque dans le détail (vous êtes alors dans yetsirah), enfin vous pouvez la construire (vous êtes dans assiah). Il est indispensable d'oeuvrer successivement (et dans l'ordre) dans ces trois mondes pour réussir toute démarche créative quelle qu'elle soit.

     Ainsi le chapitre 1 correspond-il à la phase de conception de l'univers au niveau de "l'intellect" de Dieu en tant que Conscience Universelle. Cette expression "d'intellect" est évidemment absurde et n'a de sens qu'en tant qu'analogie. Cette interprétation se trouve confirmée par le fameux "tohu-bohu" qui n'a rien à voir avec un quelconque chaos (au sens que l'on donne habituellement à ce terme) mais qui signifie au sens propre "à l'état potentiel". Autrement dit la terre n'était pas "informe et vide" comme traduit généralement mais "à l'état potentiel" ce qui montre bien que cette première phase de la création est totalement en dehors de toute existence physique.

     Je m'arrête là car je ne voudrais pas vous lasser avec un trop long discours mais il serait assez aisé de continuer à interpréter le texte avec cette clef de lecture.

          Amicalement à vous,

          JPM


     Et voici, en substance, notre réponse en date du 19/02/09.

----- Original Message------

From : Fred Idylle
To: J-P M......
Sent: Thursday, February 19, 2009 11:46 PM
Subject: Une affaire de lettres masculines et féminines

          Très cher vénérable Mr J-P Martin.

     C'est avec une grande félicité que j'ai reçu votre missive ci-dessous car beaucoup de mes correspondants ont changé d'adresse ces derniers temps.

     Je vous remercie donc vivement pour vos bons mots.

     Vous écrivez cependant : " Pour ce qui est de la question que vous me posez, je tenterais bien d'y répondre mais cela entraînerait des développements assez longs. Je vais quand même essayer. Tout d'abord, mon dictionnaire d'hébreu ne fait aucune distinction de genre entre Ani et Anochi qui semblent tout à fait synonymes (en fait, en hébreu moderne on n'utilise que Ani)."

     Pour le site ARTivision, qui aime remonter à la source d'un document, ce qui importe, à mon avis, c'est uniquement le texte ancestral de la Torah, et pas les écrits modernes et les interprétations de toute nature du texte d'origine. Si le je masculin, est identique au je féminin,, dans la Torah , cette affaire d'ani et d'anochi est sans objet , et je ne comprends pas que Brinsley le Poer Trench (Grand ufologue et en réalité 8e comte de Clancarty en Angleterre ) en ait fait allusion dans son texte aussi préremptoirement.

     Je crois avoir entendu, aussi que le texte hébreu d'origine ne possède aucune virgule, ni point, ni voyelle, ni majuscule et donc le début suivant de la Genèse tirée du livre de Fabre d'Olivet " La langue hébraïque restituée" de Mars 1971 :



, possède des voyelles et cela n'est déja plus conforme à l'original.

     Vous écrivez aussi: " (le tétragramme sacré Y-H-W-H) est composé de deux lettres éminemment masculines (le Yod et le Waw)...Ainsi le mot Elohim s'écrit A-L-H-Y-M ( le A, aleph, et le Y, yod, sont à l'origine des consonnes) peut aussi bien être lu A-L-HaYaM ce qui signifie "Dieu-la mer". On sait que la mer (qui est aussi source de vie, simplement) est le symbole de la Conscience Divine ou Cosmique. "

     Bien que cette affaire de lettres masculines et féminines, me rappelle l'histoire venue d'Orient du yin et du yang, cela est pour moi, une interprétation des Kabbalistes qui n'est pas écrite dans le texte d'origine et je ne peux en tenir compte pour trouver une signification cosmique, ni à YHWH, ni à Elohim, ni d'ailleurs aussi à Eloah. Chacun à mon avis, au cours des siècles, a tout fait pour comprendre ce que représentaient ces vocables, et il eut été de loin préférable de ne pas y toucher dans les traductions.

     Je vais ici donc vous transmettre quelques données montrant comment ,un fait très simple, peut avoir des interprétations différentes :

     En effet, une charmante internaute, m'a envoyé récemment 3 images filmées le soir par elle, aux abords de sa maison, et en voici une, qui pourrait ressembler à un feu follet...Mais cela peut être tout autre chose évidemment :



     J'ai donc répondu à cette dame que le fait qu'elle ait réussi à filmer ces extraordinaires boules lumineuses n'est pas du tout un hasard , et qu'elle a été au bon endroit pour la bonne cause, surtout si elle n'avait pas d'intérêt particulier (ainsi que son entourage immédiat) pour l'ufologie. Son expérience n'en sera que plus utile, et elle prendra conscience qu'il y a bien plus de choses qui se déroulent dans notre environnement, et que les médias, qui ont pignon sur rue cachent souvent, car ils n'en ont pas l'explication. J'ai invité cette dame à prendre contact avec mon ami Roch Saüquere, Directeur de la revue "Top Secret" (http://www.topsecret.fr) qui fera étudier ses clichés, pour les publier éventuellement s'ils ne sont pas truqués.

     Je lui aussi dit qu'elle pouvait contacter les webmasters des site :

http://www.ufoonline.net
http://www.uforeview.net/

     Mais allons plus loin. Voici un texte et une photo qui ont trait à un phénomêne semblable et que, dans îles, on appelle des Soucougnans ou des volants :



      Et voici la suite :


     Notez bien les mots soulignés à la fin, qui prouvent que l'auteur Ary Ebroin (décédé récemment), était quelqu'un d'une grande culture et d'une très large ouverture d'esprit.

     Cette affaire de boule lumineuse est donc courante dans nos iles et voyez ce qu'en dit , dans le France-Antilles de l'époque , le langage populaire :



     Je traduis la bulle : " Moi, je crois que c'est un volant " ( manifestation lunimeuse - on dit aussi soucougnan - que l'on croit venir des sorciers qui se transforment en boules de feu pour effectuer des actes malveillants)

     Donc pendant des siècles dans les îles, ces manifestations appelés désormais ovnis, ont été attribués à des sorciers manipulateurs.

     D'une manière analogue, personne ne peut dire actuellement, ce que recouvraient exactement les mots clés bibliques YHWH , Elohim ou Eloah, ni même l'Arche d'aillance si souvent évoquée dans le texte d'origine, car les interprétations ont dû être très nombreuses au cours des siècles. Et pour ce qu'il en reste, il donc est légitime d'être très réservé à leur égard.

     Mais d'après Jean Sendy dans son livre "Les temps messianiques", J'ai Lu A 381 page 33, les bouddhistes possèdent des textes annonçant "une ére nouvelle" pour le 2500è anniversaire de Bouddha, ce qui concorde dit-il, avec les prophéties idolâtres et hébraïques. A la fin de cette page 33, Jean Sendy affirme :

     " Les descriptions de l'Age d'Or des idolâtres et celles des Temps messianiques des Hébreux, concordent sur un point fondamental :
          Quand on en sera là, nous rabâchent-ils depuis des siècles et des siècles, l'homme saura accomplir les actes attribués par les Mythes aux divers "dieux" , et aux Elohim par la Genèse.
" .

      Il appartient donc désormais à ARTivision, de trouver tous les textes qui corroborent cette assertion de Sendy.

      Même si vous n'accordez pas de crédit aux channels, il me semble ici opportun de vous transmettre les mots de Soria, qui a confirmé pas mal de révélations faites depuis près de 11 ans par le site ARTivision :

"...Ici, je vais profiter de l'occasion qui m'est offerte pour vous dire ceci : «Tous vos dieux et déesses mythologiques furent des visiteurs de l'espace en mission temporaire sur votre sol. » Leur histoire demeure encore vivante dans vos livres en ce qui a trait à leurs manifestations passées. Votre mémoire présente range ces existences anciennes dans une catégorie que vous appelez ironiquement mythe. Si votre mémoire ancestrale conserve le souvenir plus précis de ces dieux et déesses, elle n'a pas retenu tous les êtres vivant autour d'eux et en provenance des mêmes étoiles. Chaque grande épopée accompagnant les humanités a vu atterrir les vaisseaux voyageurs que vous désignez actuellement par le mot ovnis....

   À ce sujet, il y a fort longtemps que votre Terre n'accueille plus de visiteurs de l'espace consciemment et en instituant des échanges. Vous vous apprêtez toutefois â renouer avec une de ces époques. Les précédentes ont d'abord connu une phase d'essor entre les intéressés, puis une autre de dissension entraînant enfin un repli des visiteurs stellaires. Le dernier repli fut à l'origine de la décision de la pose des cercles d'isolement. Le départ de chaque vague de visiteurs a aussi entraîné une période de décadence de l'humanité résidente. Sur l'Atlantide, ce fut l'amorce de la disparition physique de cette portion de terre et de la décision d'une partie de ses habitants d'entrer dans les entrailles de cette planète. La dernière civilisation à adopter la même attitude fut, du temps de l'Égypte, au faîte de son histoire. Actuellement, vous n'en étudiez que la phase décadente ; les pharaons installés dans l'aisance des communications et des échanges entre le ciel et la Terre n'ont pas laissé de traces
.....etc..."


    Extrait des pages 185 et 186 de Voyage tome III aux Editions Ariane, premier trimestre 2002.

      Et pour terminer j'ai aussi plaisir à vous transmettre une  solution pour d'une très grande énigme biblique , qui a certainement turlupiné pendant des siècles , les exégètes du texte biblique d'origine : 
 
 "Pour aller encore loin, prenons cette allégorie habituelle en écrivant cette phrase faisant allusion à notre automobile : "Je roulais tranquillement sur ma droite, quand un motard sortant brûtalement d'une petite rue, a défonçé ma portière avant droite". Cet exemple très coutumier de notre époque, a pourtant inspiré l'écrivain Marc Dem dans son ouvrage intitulé "Les Juifs de l'espace", paru aux Editions Albin Michel en Sept 1974 dans la prestigieuse collection "Les chemins de l'impossible". Il nous dit, en effet que l'on peut lire en Exode XXXIII verset 11, cette phrase incroyable :

"Alors Iahvé parlait à Moïse, face à face comme parle un homme à son prochain". ( Dhorme).

     Et pourtant au verset 20 du même chapitre Iahvé dit à Moïse : "Tu ne peux voir ma Face, car l'homme ne peut me voir et vivre".

Comment concilier ces deux expressions apparemment contradictoires ? Marc Dem explique alors :

     " La Face n'est pas le visage de Iahvé, La Face , c'est l'engin, (le mot Iahvé désigne à la fois l'engin et l'astronaute), ou plus précisément la partie antérieure du vaisseau. La suite du récit dissipe toute hésitation à ce sujet : Yahvé dit encore verset 21 :"Voici un endroit à côté de moi . Tu te tiendras debout sur le rocher. Et il arrivera, quand passera ma gloire, que je te mettrai dans le trou du rocher et que je couvrirai de ma paume jusqu'à ce que je sois passé. Puis je retirerai ma paume et tu verras mon dos, mais ma face ne sera pas vue"."

     Après nous avoir expliqué que le rocher en question est formé de minéraux pouvant intercepter les émissions frontales du vaisseau, Marc Dem, nous dit alors :

      "Le vaisseau, pour nous résumer possède un système de propulsion dont nous ignorons le principe, mais qui implique un dégagement de particules ou de radiation par la partie avant. Ces éléments, quels qu'ils soient sont nocifs pour l'orgnanisme humain. On peut utiliser le vaisseau comme une arme tactique sans dispositif supplémentaire. Il peut aussi transporter des équipements propres à causer des destructions plus importantes ou à effectuer des travaux de génie d'une grande ampleur. (Ouvrir par exemple la Mer Rouge pour le passage des hébreux)...."

     Donc, on va n'est-ce pas, de surprise en surprise, dans ce texte hébreu qui s'explique toujours mieux en fonction de nos connaissances astronautiques actuelles.".

     Fin de citation

     Extrait de la page :

http://www.artivision.fr/docs/DocumentsermentObama.html

      Il y a certainement d'autres explications plus intellectuelles, mais vu le pragmatisme qui fait l'objet des recherches d'ARTivision, je trouve que celle-là, me convient parfaitement.

      J'arrête ici mon propos pour ne pas abuser de votre temps précieux et je vous remercie encore  tout pour et pour  votre précieuse réponse.

     Je vous souhaite en terminant donc encore de bonnes découvertes sur ARTivision, puis,  je vous dis à un de ces jours prochains si le Maître du Temps n'y voit pas d'inconvénient.

     Vives amitiés tropicales.
        Fred Idylle.

     Fin de citation.

     Faisons ici une petite digression :

    Juste après le verset vu plus haut :"Alors Iahvé parlait à Moïse, face à face comme parle un homme à son prochain". ( Dhorme).

     Nous aurions pu ajouter en complément ceci toujours extrait de la Bible de Dhorme, au Deutéronome 34-10, où l'on trouve également :

" Il ne s'est plus levé en Israël de prophète comme Moise, lui que Iahvé a connu face à face".

    Le terme face à face est répété encore ici clairement, et même on ajoute que les exploits de Moïse, restèrent longtemps inégalés, au grand désarroi des quidams qui lui cherchaient un remplaçant...A bon entendeur salut !

Fin de la digression

      Mais alors, nous ne savons toujours pas comment s'écrit en hébreu le vocable"anochi", ni même celui de "ani", évoqués plus haut.

     Pour vérifier cela, nous allons utiliser, dans la mesure du possible, l'ouvrage monumental de Fabre d'Olivet : La Langue hébraïque restituée, de 610 pages publié en 1971 en Suisse, dont voici les pages de présentation 5 et 7 :

  


     Mais Super Hasard a bien voulu nous donner une fois de plus un petit coup de pouce :

     En effet à la page 85 de l'ouvrage en question, nous avons dévouvert comment s'écrivent en hébreu actuel, les pronoms personnels :



     Notons bien que ici, comme nous le dit, J-P M........, que le je masculin, et le je féminin, s'écrivent avec les mêmes 3 lettres hébraïques.

     Notons bien aussi cependant que le tu masculin, a 3 lettres hébraïques, alors que le tu féminin, n'en a que deux.

     Mais nous avons aussi un petit fascicule intitulé : "Initiation à la langue hébraïque en 100 mots" de Maurice Horowitz publié en 1976 par l'Institut de la Connaissance Hébraïque, et à la leçon 9, on trouve au debut ceci :



     Mais revenons maintenant comme nous le dit Brinsley le Poer Trench au chapitre 7 vers. 4 de la Genèse, où apparait nous dit-il, le prénom féminin anochi :

     En page 204 du livre de Fabre , nous trouvons alors ceci :



     Le terme anochi figure bien au verset 4 du chapitre 7 de la Genèse et sauf erreur de notre part, cela correspond aux 4 symboles hébraïques entourés de rouge.

     Mais voyons un peu plus loin, à la page 254 au Chapitre 9 verset 12 :



     Le terme ani est maintenant présent et s'écrirait (sauf erreur) avec seulement 3 symboles hébraïques et donc il y a bien, une différence dans le texte hébreu, entre le je masculin, et le je féminin,, différence totalement escamotée par les divers traducteurs du texte d'origine.

          Mais comme dans cette curieuse affaire, il est bon d'avoir un autre " son de cloche ", voyons, ce que l'on trouve sur le super site :

http://www.lexilogos.com/bible_hebreu_grec.htm

et plus particulièrement à la rubrique : Texte bilingue hébreu français (Genèse) à :

http://www.mechon-mamre.org/f/ft/ft0101.htm

     D'abord en Genèse 7 vers 4, on trouve :



     Bien que l'écriture anochi nous manque, on voit que ce sont les mêmes 4 symboles hébraïques qui sont présents ici.

     Mais d'après Brinsley le Poer Trench, on trouve aussi le vocable anochi en Genèse 15 vers 1. Allons voir cela de plus près :



     Comme vous le voyez, ce sont bien encore les mêmes 4 symboles hébraïques, qui entrent ici en jeu.

     Enfin pour terminer cette affaire de je masculin et de je féminin, revoyons ce qui est écrit en Genèse 9 vers 12 déjà vu plus haut et qui correspondait au vocable ani :



     Cette fois-ci encore, ce sont bien 3 symboles hébraïques qui représentent cet ani, hélas absent ici.

III Conclusion.

     Donc en conclusion, on découvre bien, la présence dans le texte de la Genèse d'un Elohim féminin, ce qui a dû gêner passablement les bien-pensants misogynes ou machistes, de toutes époques, pour qu'ils évitent soigneusement d'en parler. C'est donc, selon nous, la preuve incontournable que l'on nous a trompés délibérément, dans toutes les traductions du texte biblique qui circulent dans le monde. À vous donc de juger, documents à l'appui !!

     Mais désormais aussi, il est clair que le"Temps des Révélations", est bien arrivé, et ARTivision , s'évertue depuis près de 11 ans, avec ses faibles moyens, à le démontrer... A bon ententeur Salut !


     Article mis en page le 13/03/2009, et revu le 15/09/09 .


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