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Quand ARTivision, remet les points sur les Is, concernant, la publication de la revue " Monde Inconnu" n° 390 de Février-Mars 2018, sur les prétendues descentes sur la Lune des vaisseaux Apollos de la NASA


I Introduction.

       C'est par le plus grand des hasards, que nous avons pu découvrir en fin Février 2018, sur le n° 390 de Février-Mars 2018, de la revue suivante :


       Nous y avons découvert quelques éléments de l'extraordinaire affaire du Paris Match 1028 publiée par nos soins, dès le 28/08/1998(il donc déjà 20 ans de cela et voir à ce sujet notre article récent :
AliensSuite.html)

     Nous y avons aussi découvert en pages 28 et 27, des éléments notoires de nos articles myslune.html du 13/02/1998 et Nexus73.html du 09/05/2011, ce qui prouve, que le site ARTivision, avait assurément quelques longueurs d'avance sur l'information ésotérique hors norme, qui circule actuellement sur le Web.

       Mais ce qui justifie, aujourd'hui notre propos, c'est le fait que cette revue vient aussi de publier, un article plutôt tardif on le verra, sur les prétendus expéditions lunaires de la NASA que nous avions stigmatisées dès le 30/04/2000 dans notre article, LettreouverteSA.html

II Genèse de l'affaire.

     Voici donc les pages 24-25 et 28-29, qui nous parlent de l'affaire :



     Nous allons donc ici, (essentiellement pour le novice ingénu , qui entre pour la premiere fois dans notre site), compléter les quelques anomalies classiques, (que l'on trouve souvent sur le Web) de cette revue, par d'autres bien plus étranges, et qui ont été depuis belle lurette, soulignées de manière très péremptoire et souvent en exclusivité, par le site ARTivision.

     Ce qu'il faut savoir, et les médias ont évité grandement d'en parler, c'est que, d'abord , en premier lieu, le fait que c'est un américain même, qui a tout dévoilé, et cela, à ces risques et périls dès 1976. En effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé Bill Reid Kaysing, dans un ouvrage paru aux USA en cette année, et intitulé "We never went to the Moon", publié par la Société of Metaphisicians LTD.

  

  

     Bill Reid Kaysing n'était pas le premier venu dans cette affaire, car c'était un ingénieur à la retraite de la société Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo. Son ouvrage, on s'en doute n'a jamais été traduit en français, et est tout simplement le précurseur incontestable, qui avait déjà à l'époque flairé le Gigantesque Bluff , à l'égard de l'Humanité entière, que représente le prétendu débarquement des astronautes américains sur la Lune par les fusées "Apollo".

     Remarquons alors que ce n'est que vers le millieu de l'an 2000, que le Webmaster d' ARTivision a acquis la conviction de l'existence du Grand Bluff, et en conséquence tous les articles venus avant, n'en tiennent pas compte.

     Il est aussi à noter que nous n'avons pu, avoir une copie de l' ouvrage de Bill Reid Kaysing qu'en fin 2000, grâce à l'ami Philippe Lheureux, auteur, on le sait maintenant, de l'ouvrage intitulé "Lumières sur la Lune : Le grand doute" paru aux Editions Carnot fin 2000 .

  
Voir la nouvelle édition sur le site : http://lheureux.free.fr/


        On y découvre surtout en page 39 cette image :


          Commençons donc ce grand bluff de la NASA, par le fait que l'on découvre alors ici, au bout de la fleche rouge, une sorte de lettre C, sur le rocher.


    Mais visualisons maintenant ceci :


    Cette page est tirée de la page 41 d'un fascule intitulé "Textes et Documents pour la Classe", TDC 671, dont nous avions hélas perdu la date de sortie, et dont le sigle de couverture, se présente tel que :


    Si nous vous avons présenté tout cela, c'est parce que ce fascicule posssède un grand poster, de 47,5 cm sur 40,5 cm de cette image d'Apollo16, où certains détails sont donc plus visibles et décelables, que sur la photo d'Apollo 16 vue plus haut.

    Le 3/01/2014, un très aimable internaute François..., nous apprenait que ce TDC, était daté du 1er au 15 Mars 1994, et donc que notre poster avait été réalisé, près de 22 ans, après "l'exploit", d'Apollo 16, en question.

v        Et voici l'image que l'on y trouve, du rocher en question :


     Au bout de la flèche rouge, sur le rocher, on voit apparaître parfaitement la lettre C. Pourquoi cette lettre C de l'alphabet est-elle écrite sur une roche de la surface lunaire ?

    Il s'agit certainement d'un rocher bien calibré et utilisé, par un Centre de simulation des USA, et cette lettre désigne un emplacement précis, qu'il fallait respecter, mais on a oublié de retourner le rocher, au moment de la prise de la photo. Point Barre...

     Mais et mais , est d'une importance capitale, ce C, s'est volatilisé comme par enchantement, sur le site quasi officiel, et aussi sur de très nombreux autres:

https://web.archive.org/web/20111020164928/http://dayton.hq.nasa.gov/IMAGES/LARGE/GPN-2000-001123.jpg

     En effet, sur la droite et en bas de l'image, des flèches permettent de l'agrandir très confortablement. On voit alors avec un grand étonnement, que, sur le rocher en question le C , a disparu comme par magie. Ne trouvez-vous pas cette disparition plutôt suspecte ?

   

    Certains détracteurs n'ont pas hésité à dire que cette lettre C, comme le + placé à côté et utlisé pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, a des repères sur la pellicule. Mais hélàs, aucun d'eux n'a été capable de présenter le négatif en question avec le C correspondant. Donc, on en déduit qu'il s'agit bien, d'une erreur de manipulation de cette pierre, (en zone de simulation, du Névada ou de l'Arizona bien sûr), et cette pierre qui devait être tournée à l'opposé, pour que cette lettre n'apparaisse pas sur le film.

    Même topo, sur le super quasi officiel :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html

Le C a encore disparu.

     La lettre C, a aussi , disparu comme par magie. Pourquoi ? Qui avait intérêt à la faire disparaître ?

    Pourquoi donc ce C, a t-il pu disparaitre si brutalement, alors qu'il se trouve si manifestement , sur notre poster au moins déjà en Mars 1994, et encore, on le sait, sur l'ouvrage : "Lumières sur la Lune : Le grand doute ", de fin 2000, et même dans le documentaire que nous avons pu visualiser le Dimanche 6 Février 2005 :


, un volet de 30 minutes de la chaîne de l'époque "Planète Choc", intitulé "l'espace intersidéral" de la série d'émission" théories du complot", dont le générique était :


et, où on voit nettement ce C tel que :

   


     Mais allons plus loin dans notre analyse de la même photo NASA AS16-107-17446 d'Apollo 16 :


Et voyons de plus près, où aboutissent les fleches ( exclusivité d' ARTivision) :



    Les deux traces de roues sont totalement différentes, et comme il n'y avait pas pour la mission d'Apollo 16 deux sortes jeeps lunaires différentes, alors il y a un hic. Voyez d'ailleurs sur le site :

http://www.de-la-terre-a-la-lune.com/vehicules-et-technologies/lm/lrv.htm

, les photos des quatre roues juxtaposées de la jeep (LRV) :

  

    La trace de roue du haut que montre la flèche verte, semble venir d'une jeep Willys, très connue à l'époque dans l'Armée américaine, et dont voici le modèle :

  

    Or cette jeep ne pouvait pas fonctionner sur la Lune car son carburateur nécessite une entrée d'air qui manque sur notre satellite. Et puis la NASA, ne nous a jamais avoué qu'elle avait emporté, en plus du LRV, une jeep Willys!!!

    Cela démontrerait déjà définitivement (selon nous, bien sûr) que cette photo était bidon et ne pouvait être faite que sur Terre, ou pire, être que le résultat d'un montage de plusieurs plans photographiques.

"Que celui qui a des yeux, pour voir l'évidence, en tire la conclusion qui s'impose!!! ".

     Mais, il y a bien mieux, que cette petite affaire littérale.

    Vous l'avez remarqué sur la droite du rocher ci-dessus, on voit une partie du +, pouvant servir, on le suppose, au cadrage des éléments du paysage comme le quadrillage établi par les archéologues sur le site d'un terrain ou sous la mer. Ces + devraient toujours se situer en avant des objets de l'image . Mais la photo NASA AS16-107-17446, possède à ce sujet une anomalie notoire, qui se situe à cet endroit de l'image :



    Comme vous le voyez, la branche horizontale gauche du + , passe bien derrière le bout de l'objet de forme rectangulaire et même aussi un tout petit bout de la branche verticale du bas de ce + disparait, lui aussi, derrière l'objet. Ceci est la preuve absolue que cette photo a été réalisée par la juxtataposition de plusieurs photos et l'opérateur de la NASA, ne s'est pas rendu compte de l'erreur lors du montage.       Certains internautes ont cru démontrer que c'était le blanc qui saturait le trait noir de la croix, et le faisait disparaître. Dans notre article unplusdansespace.html, nous avons démontré que c'était faux, et voici alors deux images où le blanc ne gêne pas la croix ( il y en a 3 sur la photo de ) à droite :

   

Et sur le site :
http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html


    Les 6 croix sont bien apparentes, et même celle qui nage dans le blanc... n'est-ce pas ?

      Mais, puisque, comme on dit, qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, nous ne terminerons pas ce 5e focus , sans vous présenter, cette incroyable photo d'Apollo 12 : AS12-49-7281, à decouvrir sur le site quasi officiel :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html


et en analysant la visière de plus près, on voit alors :


     Que font là cette faramineuse lumière, à gauche et aussi, partant d'elle, cette ribambelle de points très lumineux , qui pourraient être des sortes de projecteurs dont, on aurait caché les supports.

     Dailleurs, si l'on examine l'image du casque, dont l'individu représente, on le suppose Conrad, prenant la photo en question,:


      ,on voit alors que ce denier, semble posséder un objet blanc dans sa main droite, au lieu de tenir la caméra pour bien la diriger vers Bean, et cadrer normalement la photo. On ne voit pas bien hélas, la caméra et surtout ce que fait la main gauche. Des spécialistes en infographie, pourraient certainement, de nos jours, nous en dire plus sur ce reflet de la visière de Bean.

     Et, si ces infographistes démontraient que la main gauche de Bean, pend simplement le long de son corps, sans toucher à la caméra, se serait la preuve absolue, qu'il s'agit de manipulations photographiques, et d'un montage bidon. Avis aux amateurs...

      Mais, revenons maintenant, au premier prétendu débarquement sur la Lune d'Apollo 11;

       En effet toutes les télévisions du Monde entier, et les journaux d'astronomie en vogue, nous ont galvaudé, cette supebe image, venant dit-on d'Apollo 11:


     Mais, on le sait, le site ARTivision, évite toute spéculation et bavardages non basés sur des faits précis et c'est ainsi que l'on qu'il n'est absolument pas besoin en effet, de sortir de Polytechnique, (et de très nombreux sites ont soulevé cette aberration) , pour s'apercevoir que l'ombre de l'astronaute de droite, est bien plus longue, que celle de son confère. Les rayons du soleil venant de l'infini et en plus ce Soleil étant assez proche de l'horizon, les deux ombres doivent être parallèles et surtout de même longueur, car les "astronautes", ont des tailles très voisines, et comme on le voit < ce n'est pas le cas ici, pour la longueur des ombres en question.

     Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste expérience suivante :

      Un jour vers 16 h 20 locales, nous avons simplement placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que les ombres était parfaitement parallèles, et que l'ombre portée mesurait 98 cm, pour chacune d'elles.


       En conséquence, il s'en suit que :

- Soit que les deux astronautes sont éclairés (sur Terre évidemment, par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona)...

- Soit que pire encore, il s'agit d'un montage de deux photos différentes prises pour chaque astronaute séparément et, bien entendu, sur Terre.


       De plus, (et cela est une exclusivité d'ARTivision ), il y a le problème de l'ombre du drapeau, qui devrait se projeter sur le devant de l'astronaute de gauche.

      En effet, étant donnée la position de la hampe du drapeau au pied de "l'astronaute" , ce drapeau devrait se projeter sur l'astronaute de gauche grosso modo, comme le montre notre modèle grossier un peu trop foncé. (Un infographiste passionné pourra bien sûr, mieux réaliser cela que nous, et avec les couleurs requises ):


     Pourquoi donc ce drapeau n'a-t-il d'ombre sur l'"astronaute" en question ? Certains, vous diront, vite fait, que c'est le blanc du scaphandre, qui a saturé le flaiblard noir de l'ombre du drapeau. Point barre

     Mais il y a aussi ce point qui n'a jamais reçu de réponse claire, ni de la NASA, ni de ses émules asservis :

      En effet, on ne nous a jamais présenté le trépied ou la fixation, qu'auraient utilisés les "astronautes", pour répondre à la question qui consiste à simplement dire : Qui a pu filmer et prendre ces images , si bien agencées, des deux "astronautes", évoluant côte à côte, sur la Lune. On sait en effet que le troisième confrère nommé Collins, était très éloigné en haut dans le ciel lunaire, et dirigeait, dit-on le Module de Commande. Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre ces photos si claires !!

      Voici une autre photo du même calibre, où l'on voit cette fois l'ombre du drapeau :


      Où était donc fixée la caméra en question ? A-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si précieuse en ce lieu ?

      La même question se pose, pour les photos suivantes concernant Apollo 16:

  

      Qui a pris cette photo coincée entre les gros rochers, que l'on aperçoit à l'avant plan ? Le LRV ne semble pas pouvoir s'y intercaler. Où était donc déposée la caméra, qui ainsi a pu permettre de faire les photos en question ? On ne nous a jamais présenté le trépied pouvant permettre d'y placer une imposante caméra !!! Nous avons longuement attendu une réponse orthodoxe et officielle des béni-oui-oui de NASA.

      Mais comme ces jours-ci (début Janvier 2018), certains bien-pensants s'évertuent dans les grands organes médiatiques à parler, de complotisme, de conspirationnistes, et de fake-news concernant les missions Apollo, il est bon pour ARTivision de mettre ici une fois encore, astronomes, astrophysiciens et consorts affiliés publiant de supers revues sur l'Espace et les Planètes du système solaire, au pied du mur et de nous expliquer clairement dans leurs revues respectives, ce qui suit :

     En effet, nous vous invitons aimablement à analyser avec attention, la roue gauche de la photo d'Apollo 16 référencée AS16-108-17621:


     Quelle belle trace de roue n'est-ce pas !!!

     Et bien les segments droits du dessin au sol, qui sont perpendiculaires au bord de la trace de la roue, ne peuvent en aucune manière, correspondre aux sculptures obliques de la roue. Donc cette trace a été ajoutée très maladroitement, à l'image de la jeep.

     Pour être encore plus crédible, nous nous baserons sur les affirmations péremptoires, de la revue Ciel&espace n° 391 Décembre 2002, qu'il convient d'avoir absolument sous la main, afin que l'on ne dise pas que nous avons tout inventé, et qu'il s'agit encore d' images manipulées:


      Et en feuilletant donc cette revue, vous découvrirez un surper un dossier central détachable de 8 pages, consacré à "l'exploit", d'Apollo 17...

      Mais brûlons les étapes et arrivons d'emblée au point crucial de l'histoire... Voici donc déjà les pages 8 et 9 de la revue en question :

      On voit, les nombreuses évolutions accomplies par les prétendus astronautes et leur Jeep, nommée officiellement le LRV (Lunar Rover Vehicule). ...

      Puis, nous arrivons, à cette dernière image clef concernant Apollo 17, de la revue en cause :


      Cette photo porte le n° AS17-137-20979, que l'on peut trouver sur le site quasi officiel :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html

      Mais pour les puristes, voici donc le bouquet... (qui est une exclusivité d' ARTivision), et qui n'a jusqu'à présent pas reçu la moindre explication, de ces Messieurs astronomes, astrophysiciens et consorts béni-oui-oui de NASA...

        Cette image d'Apollo 17 peut être aussi tirée du site que nous avons déjà présenté plus haut :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html


      Cette photo porte le n° AS17-137-20979.

   Notons d'abord ici, que le site ARTivision, n'a jamais bien su, comment le garde-boue de la jeep lunaire a été cassé. Mais, on dit tout de même, que cela a eu lieu lors de la première sortie des "astronautes".

    Donc, on devine que les "spationautes", d'Apollo 17, ont effectué après leur premier périple mouvementé, sur des "km de sol lunaire", une réparation de fortune du garde-boue de la roue arrière droite du LRV (Lunar Roving Vehicle), et ils ont fait rouler la jeep jusqu'à son emplacement actuel. Comment ont-ils pu l'amener ici, sans qu'elle laisse des traces sur le sol ?

    Donc là, tout est clair,
comme de l'eau de roche, et ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué l'apparence du sol lunaire. Mais, on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est le très petit détail qui, comme dans le célèbre film d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 : "Le crime était presque parfait" , a confondu le coupable...Point barre...


    Si nous analysons la tranche la fameuse roue immobile de la photo AS17-137-20979, d'Apollo 17 vue plus haut :



    Nous y distinguons clairement, les petits grains de sable, qui sont restés coincés dans les interstices de la roue, quand elle a roulé ailleurs.

         Maintenant scrutez attentivement, la semelle présentée dans la photo AS17-134-20453 :


     Mais, voyons cela, en diminuant le contraste:


      Pas un grain de poussière n'est collé en dessous de la chaussure.

"L'astronaute", est-il passé directement du LEM au LRV sans toucher le sol ? Quelle prouesse ? Aux spécialistes de répondre, si une telle chose est possible !!!

      Mais, soyons plus pointilleux encore : regardez la photo suivante, où nous avons tracé grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues du LRV :


      On voit là alors que, les roues de droite du LRV n'ont laissé sur le sol aucune traces visibles dans la direction montrée. Il en est de même d'ailleurs semble t-il, pour la roue arrière gauche.

       Cette affaire de trace de roues absente sur le sol lunaire, a été présentée dans de très nombreux articles. Mais, hélas comme la sœur Anne du conte Barbe bleue, de Charles Perrault, nous ne voyons strictement, que rien venir, comme explication, même la plus banale..

       Pour en savoir bien plus sur ce n° 391 Décembre 2002 de la revue Ciel & espace, prière de consulter aussi, notre article :

http://www.artivision.fr/Apollo17chezCieletEspaceDec2002.html

       Où vous trouverez aussi cette image, répertoriée AS17-136-20760, qui nous réserve bien d'autres surprises :


et sur le site quasi officiel, on voit aussi que pour Apollo 15:



        Mais allons encore plus loin dans cette affaire saugrenue .

       En effet, il n'est pas difficile pour ARTivision, de mettre en évidence, le fait incroyable , que donc ni Jonh Young d'Apollo 10, ni Michael Collins d'Apollo 11, ni Richard Cordon d'Apollo 12, ni Stuart Rossa d'Apollo 14, ni Alfred Worden d'Apolo 15 ( celui qui retient, en cet exposé, notre attention), ni Thomas Mattingly d'Apollo 16, ni Ronald Evans d' Apollo 17 , les 3e "voyageurs" des diverses missions "Apollo", qui ne sont pas descendus sur le sol lunaire,n'ont jamais photographié par les sas d'entrée, leurs collègues de retour de leurs dangeureux périples sur la Lune (ou simplement vers la Lune pour Apollo 10).

     Pour bien analyser cette nouvelle énigme, nous nous souvenons d'abord, que c'est en Décembre 1965, que les américains eurent un gros problème avec Gemini 6 ( avec les astronautes W.Schirra et T Stafford), qui n?a pas pu s?arrimer à un satellite cible qui devait être un étage de la fusée Agena, spécialement équipée pour que le nez de la cabine Gemini 6 puisse s?y emboîter. Agena ayant échoué dans son lancement, la NASA, décide brusquement de modifier ses plans. C?est le vaisseau Gemini 7 (avec Fank Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à Gemini 6. L?expérience devient alors peu spectaculaire, puisque l?arrimage étant impossible, le 15 Sept 1965, les deux cabines ne vont pouvoir que s?approcher à deux pas l?une de l?autre, et vont effectuer ainsi en tandem plusieurs révolutions orbitales.

   Le véritable rendez-vous avec la fusée Agena inhabitée n?aura en fait lieu qu?en Mars 1966 avec Gemini 8 (avec N. Arsmtrong et D. Scott) et encore que le vol fut interrompu à cause d'un court-circuit.

    Mais où cela est surprenant, c'est que nous n'avons pas trouvé d'autres d?exemples, où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo différents (avant bien sûr la mise en orbite de la navette spatiale), se sont réunis dans la même cabine, après un rendez-vous spatial programmé.

    Mais, il nous appartient maintenant de noter ici, ce fait important : Le 15 juillet 1975, fut lancé le vaisseau soviétique Soyouz 19 avec les cosmonautes A. léonov et V. kubasov , et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias , si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la man?uvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains : T. Stafford , V.Brand et D.Slayton, ont été largement filmés et retransmis, dans toutes les télés, radios et presses du monde entier. Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer, et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux, pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :



    Mais, justement maintenant, il nous vient à l'idée, que la NASA, n'a jamais montré, pour aucune des missions "Apollo", (à notre connaissance bien sûr et les internautes qui en auraient la preuve, nous feraient un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes revenant de la Lune, avec de leur compagnon d'infortune, qui lui fut privé, hélas, du débarquement, et qui est resté sagement dans le Module de commande, à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or ce dernier avait assurément, à sa disposition à l'intérieur de la cabine, une caméra pour filmer, tout ce qui se passait autour de lui...

Aux spécialistes de répondre et de nous dire pourquoi aucune photo des retrouvailles n'a été montrée.

    Quelle joie ce serait en effet, pour lui, de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion, au monde entier ?

    Non rien de tout cela, ne nous a été présenté par la NASA !!!

    On sait d'ailleurs maintenant, qu'en plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales.

      Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur la Lune, qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagnon, sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir !!!..Ne trouvez-vous pas cela bien bizarre... ?

       Allez, ce 14 Mars 2018, voici encore, pour les inconditionnels flagorneurs de la NASA, un petit plus notoire , ( placé dès le 20/11/09 sur notre site), parmi de nombreux autres, car en effet, de très nombreuses photos montrant les prétendues "épopées" des "Apollo", nous montrent des ombres d'objets sur la Lune, qui vont dans des directions différentes, ce qui est impossible puisque le Soleil est à la même hauteur pour tous ces objets et il leur envoie des rayons parallèles.

     Si nous consultons par exemple la photo d'Apollo 14, du site déjà bien connu :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html

, on peut y voir l'image AS14-68-9487, dont nous vous présentons une portion :


, et un petit coup d'oeil aux ombres portées, nous donne ceci :


     Mais, montrons aussi, cette image bien colorée, venant de la vidéo :

http://www.dailymotion.com/Algerois01/video/x4blvm_limposture-de-lhomme-sur-la-lune-1e_tech


     Là, on reste muet, devant l'évidence qui pourtant a échappé au regard des observateurs de cette scène, pendant des années.

     Voyons maintenant cette image d'Apollo 17 n° AS11-40-5930, que nous a envoyée, le 20/11/09, l'ami Claude, et photo tirée du site connu déjà présenté : apollo_gallery.html


     Et toujours pour Apollo 17, voici l'image AS17-133-20328, du même site :


     On trouvera certainement d'autres images aussi significatives, montrant cette affaire d'ombres divergentes. Bon courage donc, aux éventuels amateurs.

     Le 15 Juillet 2010, nous avons reçu par la poste, le Paris Match 1236 du 13 Janvier 1973, dont voici la portion de couverture, que notre petit scanner a pu capter:


    Analysons alors, si vous le voulez bien, cette image de la page 43 :


    De nombreux indices étranges, nous interpellent aussi .

    Il y a bien sûr cette affaire d'ombres qui vont dans divers sens :


    Il y a d'autre part cette caméra qui est toute nue et non protégée, par un sac bien adéquat, des dures radiations, circulant sur le sol lunaire et qui détruiraient, vite fait, les sensibles pellicules photographiques de l'époque.

    D'autre part, nous ne comprenons pas pourquoi, le relief de l'arrière plan, est si arrondi et érodé, alors que sur la Lune il n'y a pas de vent, pour casser les éventuels pics.

        Voici par exemple, comment dans un article intitulé, "Futures visions lunaires ? ", dans le celèbre n° Sciences et avenir n° 153 de Novembre 1959, dont nous présentons ici, encore la couverture :


des journalistes scientifiques de haut niveau, nous imaginaient un paysage lunaire :


         Il n'y a vraiment pas de ressemblance n'est pas !!! A vous de juger ...

    De plus, la brillance du scaphandre de l'astronaute, contraste avec la paleur du sol, situé derriére lui, comme si l'astronaute avait été juxtaposé sur le paysage par une manipulation photographique.

    Mais il y a pire :

    Sur le super site :

http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html

, nous avons retrouvé cette photo du Paris Match, ( où les couleurs sont moins nettes sans doute furent-elles renforcées par la revue), sous le n° AS17-134-20425.


     Et en regardant attentivement autour des pieds de "l'astronaute" , vous y découvrirez des traces laissées par une jeep Willys, qui ne fonctionnerait pas sur la Lune.



    Mais allons maintenant plus loin dans l'exploration de ce Paris Match 1236.

    Il nous présente alors, sur deux pages entières, (que nous ne pouvons capter entièrement avec notre petit scanner), cette image d'Apollo 17, que nous tirons du site apolloarchive.com sous le n° : AS17-I40-21496 :


    La légende accompagnant la même photo géante du Paris Match n° 1236 du 13 Janvier 1973, est alors : " Un rocher comme sur la Terre : ce monstrueux bloc de rocher est une autre découverte impressionnante.  Son aspect  déchiqueté et érodé contraste étrangement avec les formes lunaires habituelles, douces et arrondies, telles qu'on peut les voir se profiler à l'arrière plan. Au retour de ce dernier voyage, Apollo 17 a ainsi emporté une moisson fabuleuse d'échantillons que le géologue Harrison H. Schmitt a choisis avec discernement. 270 Kilogrammes de roches ont été  jusqu'à ce jour prélevés sur la lune puis déposés 350 000 kilomètres plus loin sur la Terre. ".

    Comme tout cela est bien envoyé, n'est-ce pas !!

    On s'aperçoit déjà, que ce rocher présente de nombreuses anfractuosités, contenant plusieurs angles droits, et même des trous carrés, que vous n'aurez aucun mal à déceler et qui donnent l'impression que ce rocher aurait été carrément sculpté. (Mais ce n'est qu'une impression que des spécialistes en mathématiques et topologie, n'auront aucun mal à préciser).

    Mais extrayons en, ces deux paties :

    
  

    Reprenons d'abord la photo de gauche, en y plaçant deux petites flèches :

  

    Au bout de flèche rouge n° 1, on découvre une sorte d'inscription voilée représentant un R, et un Y ou un 4. Plus bas, au bout de la flèche 2, on distingue comme une parcelle de la roche qui aurait été comme grattée et dont la couleur est plus foncée. Sur la photo d'à côté, nous avons volontairement accentué le contraste pour que cela soit plus net. On y voit alors parfaitement la forme géométrique de ce grattage, pour  y faire disparaître d'autres inscriptions, mais que l'on a cependant oublié sur les bords du grattage un V, qui apparaît bien nettement, et au-dessous duquel, pointent deux portions de droites bien parallèles.

    Évidemment, tout cela pourrait être le fruit du hasard. Mais dans le cas où des spécialistes en graphologie, démontreraient qu'il s'agit vraiment d'une écriture que l'on a essayé de camoufler, il n'est pas besoin d'insister sur les implications extraordinaires, que l'on pourrait en tirer. Aux spécialistes donc de répondre...

.     Venons en alors, à la photo suivante, où nous avons placé une seule flèche :

  

    Au bout de la flèche rouge, on aperçoit une sorte forme circulaire très étrange, et qui pourrait être un outil oublié dans ce coin, ou mieux une sorte de crochet (il y en a, peut-être, d'autres cachés par derrière), pouvant servir à soulever la structure lègère en carton-pâte ou en plastique.

    D'ailleurs le sommet de ce rocher, paraît bien plat pour un bloc lunaire, car sur la Lune , on le sait, il n'y a pas en principe d'érosion, susceptible de le raboter de la sorte.

    Mais dans ce super n°1236 de Paris Match consacré à Apollo 17 , nous avons aussi repéré l' image du véhicule lunaire (LRV)Lunar Roving Vehicle placé presque qu'au centre des deux grandes pages 40 et 41, trop étendues pour notre scanner :

    Mais sur le site :
http://www.cidehom.com/apod.php?_date=031109

, nous avons retrouvé l'image globale en question :


    Voyons de plus près ce LRV (Lunar Roving Vehicle) du Paris Match :


qui correspond à la légende : " ...Harrisson H. Schmitt parait isolé et perdu vec sa jeep dans ce paysage lunaire fantastique et désolé. C'est ici que vient d'être découverte pour la première fois une roche de couleur orange. Cette couleur est nettement visible de chaque côté du véhicule. trace d'une éruption volcanique ou de la présence d'eau voici des milliards d'années sur la Lune, cette roche sera analysée par les chercheurs. Son origine pose une nouvelle énigme.".

     Ce que nous constatons d'emblée, c'est que l'on ne voit aucune trace de roues du véhicule, ni devant, ni derrière. Comment a-t-il pu arriver au centre du paysage sans laisser de traces sur le sol. Bien sûr, on nous dira que c'est la dureté du sol qui en est responsable. Point Barre.

     Mais il y a une autre énigme tout aussi étrange : On s'aperçoit que la branche horizontale bien noire de la super croix qui traverse le LRV (Lunar Roving Vehicle:rappel) , passe carrément sous une partie de l'appareillage, alors qu'elle devrait passer dessus :


      Certains internautes ont cru démontrer que c'était le blanc qui saturait le trait noir de la croix, et le faisait disparaître. Dans notre article unplusdansespace.html, nous avons démontré que c'était faux, et voici de nouveaux les deux images vues plus haut montrant nettement que le blanc ne gêne pas la croix :

   

III Conclusion .

        Nous avons bien sûr déjà signalé sur notre site de nombreuses autres incongruités, dans ces affaires d'Apollo 8 à 17, et incongruités que nous ne pouvons reprendre ici, pour ne pas trop alourdir, ce très modeste article....

       Donc, à vous de juger, une fois de plus, cette affaire très suspecte, de débarquement lunaire des vaisseaux Apollos, et nous attendons bien sûr, avec ferveur, les commentaires avisés de ces Messieurs les adorateurs des "exploits" de la NASA .

       Mais, on ne peut nier, le fait que Le Temps des Révélations est assurément en marche et le site ARTivision , y participe ouvertement, malgré ses faibles moyens.

       Voici justement à ce sujet, quelques propos du 14 Mars, du Grand Maître de Findhorn, qui nous explique très étrangement, comment réagir en face des velléités débridées de ce Monde et propos qui sont extraits, on le sait, de l'ouvrage "Opening Doors Within"publié en 1986, par Eileen Caddy, décédée en Mars 2007 :


         et sache que tout est très très bien.         

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (en français dès 1989).
Méditation pour le 14 Mars, après adaptation d'ARTivision.

     Fin de citation.

       Très curieux n'est-ce pas, que ce langage, qui va encore faire grincer des dents nos philosophes aguerris et autres intellectuels blasés du système, système, qui ne serait pas à la dérive, comme nous mêmes, avions pu le croire...mais problablement dans une fin de cycle séculaire...et à vous donc de juger, une fois de plus, tout cela...

       Mais justement ce 14/03/2018, après la sieste de rigueur sous les tropiques, des circonstances exceptionnelles, que nous ne pouvons décrire ici, nous ont fait sortir de notre bibliothèque, le petit livret de 1985, de 146 pages, n° ISBN 2-651157-918-8, suivant :

 

       Peut-être alors allons nous, dans les pages 66 à 69, mieux comprendre la surprenante méditation ci-dessus du Grand Maître de Findhorn :



       Allez, voici encore un petit plus, du Maitre Bhagavan Sri Sathya Saï Baba, dont l'auteur, révéle, les nombreux prodiges, qui s'attachaient à sa présence dans un lieu de passage, et cela explique parfaitement ici, la notion de réincarnation, si souvent mise en exergue par le site ARTivision :


et, pour le novice ingenu, qui débarque actuellement surARTivision, il découvrira, que tout cela , est déjà clairement expliqué dans notre article :

http://www.artivision.fr/Un-choix-Lumineux-pourARTIvision.html

dont le préambule clef, fut placé dès 10/05/2003 à :

http://www.artivision.fr/rencontreinso.html

           Fred IDYLLE

     Article mis en page le 10/03/2018, et revu le 12/03/2018, et revu le 14/03/2018, et revu le 15/03/2018.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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