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Flash-back d'un demi-siècle ou plus,
sur les pas des "inspirés précurseurs",
ayant évoqué, sans le savoir,
des faits directement reliés à
l'affaire inouie de la Terre creuse,
dévoilée dès Septembre 2000, par ARTivision.


I Introduction.

      Cet article est réservé aux internautes dits puristes, qui aiment retrouver les sources des informations hors-normes circulant sur le Net.

     Dans notre article :

http://www.artivision.fr/docs/theHollowEarthAMaclellan.html

     Nous avons présenté l'ouvrage de 1999, d'un écrivain qui semble être britannique sous la forme :

  

Faisons déjà, ici, une première petite digression utile :

      Nous avons été très surpris, de découvrir dans cet ouvrage, en page 54, le schéma suivant :


    Ce schéma est extrait d'un ouvrage de 1892, d'un certain William R. Bradshaw, et dont le titre commence par : "The Gooddest of Atvatabar.."

      Donc ce Monsieur, avait déjà une idée bien avancée de la Terre creuse, surclassant de loin, les précurseurs innocents, que nous allons présenter plus bas.

    Il y a aussi cette couverture d'un ouvrage que nous recherchons depuis des lustres :


      Cet ouvrage précurseur, qui est, en français, intitulé "Le Secret des Pôles", est paru en 1898, et est une brochure de 48 pages, dont l'auteur est un certain Henry Campion . Son traité fut publié à Birmingham, Angleterre. Donc précédant, les écrivains américains, William Reed (1906) et Marshall B. Gardner (1920), cet Henry Campion écrivait déjà à son époque, que la Terre était trouée aux deux pôles sud et nord. Citons Campion : " L'axe de la Terre est complètement vide, et entièrement dépourvu de matière du nord au sud. Il a deux ouvertures complètes, une au Pôle nord , l'autre exactement à son opposé, au pôle sud . Cette terre littéralement complément vide intérieurement d'un pôle à l'autre.."

     Pas mal n'est-ce pas, comme inspiration, pour ces deux auteurs !!! Rappelons aussi que le grand Jules Verne, était au courant de cette affaire étrange, de trous aux pôles, et qu'il en parle clairement et sans bavure, dans son ouvrage intitulé " Voyages et aventures du capitaine Hatteras", ouvrage publié en 1866, et dont voici deux scannérisations d'une réimpression moderne :


, où l'on voit bien, qu'il est précisé ceci, au Tome 2 :

" Enfin, de nos jours, on a prétendu qu’il existait aux pôles une immense ouverture, d’où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l’intérieur du globe; "
      Donc, alors que les trois auteurs précités, dès le XIX e, parlaient de cette affaire d'ouvertures polaires, nous, ici dans notre petite île, nous ne l'avons apprise qu'en 1972, quand une amie de la Métropole a eu la géniale idée, de nous envoyer le livre (actuellement pratiquement introuvable en France dans les librairies, même spécialisées) de R. Bernard " La Terre creuse", paru chez Albin Michel en 1971 :


     Les internautes, qui nous disent posséder ce livre dans leur bibliothèque, font désormais partie d'un club de privilégiés, dont les membres se comptent sur les doigts de la main. (Et on peut lire sur notre site quelque part, que les autorités ont fait mains basses sur tous les exemplaires qui traînaient chez les libraires et bouquinistes de France non avertis ) .

      Evidemment, nous l'avons déjà dit, cette théorie n'est pas admise, dans le cursus universitaire actuel, et au contraire elle s'oppose catégoriquement, à notre connaissance actuelle de la composition interne de la Terre. Donc, la plupart des scientifiques officiels, non recyclés sur l'histoire des phénomènes polaires, vont la rejeter impitoyablement .

     A bon entendeur salut...

     Fin de la prémière digression...

    Mais revenons alors à notre ouvrage, concernant Alec Maclellan.

     C'est alors que nous avons découvert dans cet ouvrage, le passage qui a fait tilt :


     L'auteur prétend alors que ce passage est tirée l'ouvrage "Not of this world" de Peter Kolosimo de 1970, que nous avons immédiatement commandé sur le Net et qui nous est parvenu le 25/10/2011. Nous nous sommes alors aperçus que cet ouvrage de P. Kolosimo (Merci Super-Hasard), était en fait, la version anglaise de l'ouvrage que nous possédions depuis plus de 35 ans et intitulé "Archéologie Spatiale", paru en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue : "Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :

  

      Et voici donc maintenant, la traduction du passage anglais précédent, concernant les esquimaux , et qui est en page 101 :


     Nous allons donc dans cet article, tenter de partir à la recherche de l'origne, si possible officielle, de cette si surprenante déclaration.

II Genèse de l'affaire.

a) Recherche de cette affaire étrange, concernant les esquimaux.


     Mais, comme Alex Maclellan, cite dans sa bibliographie en vingtième position "The Morning of the Magiciens", de Louis Pauwels, et de Jacques Bergier, paru chez Gibbs & Phillips en 1963, nous, nous sommes précipités sur notre exemplaire de poche, paru en France, en Décembre 1972 :

  

     Mais ce livre est sorti en premier en 1960, chez Gallimard, sous l'aspect :


      Nous n'avons pas, hélas, le privilège de possèder cet ouvrage de 1960, et nous avions demandé, avec déférence, à l'internaute qui à la chance de l'avoir, de nous en scannériser si possible la deuxième couverture, afin que nous puissions lire le texte qui s'y trouve. Le matin même du 8/11/2011, l'aimable et fidèle internaute Pierre L, (que nous remercions ici vivement), nous a envoyé ceci :


     Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage "Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de notre intérêt, sans cesse croissant, pour le Passé prestigieux de notre Planète.

      Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé dans notre exemplaire de 1972, (après pas mal de péripéties), pages 253 et 254, re-strcturées par nos soins:

  
1. New york Herald tribune du 11 Juin 1958.

     Nous apprenons donc ici, (et nous l'avons déjà mis en relief, dans la conclusion, de notre article :
http://www.artivision.fr/theHollowEarthAMaclellan.html

en donnant la thèse officielle sur l'origine des esquimaux, tirée de l'ouvrage intitulé : "10 000 ans d'histoire Arctique" de J-L Gidding de 1973)
, que l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article paru le 11 Juin 1958 dans le New york Herald Tribune, " s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "

      Jacques Bergier et Louis Pauwels, nous posent alors les questions importantes suivantes :

" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.

- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier du globe?

- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan

- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ...
"

      Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse, déjà hardie pour l'époque, de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.

      C'est alors que, Jacques Bergier et Louis Pauwels abordent le passage le plus inoui, selon nous bien sûr, de leur chapitre V et passage, qui est, on le devine déjà :

" Or que dit le folklore esquimau ? Il parle de tribus transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps , par des oiseaux métalliques géants "

     On peut déjà, à ce niveau, se poser la question de savoir, où ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels ont-ils pu puiser une si surprenante déclaration. Eux, qui sont si précis d'habitude, , ils ne nous en disent rien !!! Alors on peut supposer que c'est dans le texte très académique de l'Institut vénérable Smithson, paru le 11 Juin 1958 dans le New York Herald Tribune, que se trouve ce passage inouï (nous avons failli écrire ce passage inuit).

      La seule façon de le savoir, c'est de consulter, ce New York Herald Tribune du 11 Juin 1958. Nous n'avons pas réussi encore à trouver comment commander ce journal sur Internet, et nous implorons l'internaute qui connaît ce moyen, de nous en faire aimablement part.

     Pour clore l'affaire, nous voyons aussi dans l'image précédente que ces messieurs Jacques Bergier et Louis Pauwels ironisent sur l'attitude qu'avaient les archéologues de XIXe, au sujet de ces oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques d'absurdité. Mais, nous qui avons découvert les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur ce passage surprenant. ARTivision , prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de la Terre intérieure, vers les zones polaires, et l'on va vite découvrir pourquoi, dans d'autres documents.

    Mais, ces savants du XIXe avaient certaiment entendu aussi parler de descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés "vimanas", et qui circulaient à l'époque dans la région des Indes, comme nous le décrit ce passage :

"Le Matin des Magiciens" pages 257-258

     Ces Savants du XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens de purs contes et de légendes imaginaires... Et vous, qu'en pensez-vous maintenant ?

    Voici d'ailleurs, une vue d'un artiste contemporain, repésentant deux vimanas en mouvement , tableau, hélas dont nous ignorons l'origine :


    Pour en savoir plus à ce sujet, prière de consulter notre article :
http://www.artivision.fr/aeronef.html

      Mais nous aurions pu remonter allègrement, jusqu'en 1911 au sujet des esquimaux, s'il n'y avait pas eu cette malencontreuse affaire que nous qualifions désormais : l'affaire regrettable Maclellan-Nansen.

b) L'affaire regrettable Maclellan-Nansen.

      En effet, tout est parti de ce passage très significatif, du livre d'Alec Maclellan suivant :


      Il nous importait alors, évidemment, de vérifier cette information de premier ordre.

      Le 19/10/2011, nous avons reçu de l'internaute Bernard, les urls suivants, concernant les deux tomes du livre de Nansen :

Pour le tome 1 :
http://www.archive.org/details/innorthernmistsa01nans
et pour le tome 2 :
http://www.archive.org/details/innorthernmistsa02nansrich

      Hélas, en cherchant dans ces deux documents, le passage : "They would point to the north", nous avons fait chou blanc.

      On en tire donc :

- Soit l'auteur Alec Maclellan s'est trompé d'ouvrage, (ce qui serait vraiment surprenant et bien regrettable).

- Soit que les Services Secrets des Forces de l'Ombre, ont supprimé le passage en question, dans toutes les digitalisations modernes de l' ouvrage de Nansen possédant le passage en question.

     La seule façon de le savoir, c'est de pouvoir feuilleter la version d'origine du livre de Nansen de l'époque. Point Barre.

     On peut aussi chercher à contacter l'Editeur du livre de A. Maclellan (Souvenir Press Ltd 43 Great Russel Street London WCIB 3PA), à l'e-mail suivant : editor@theigroup.co.uk , afin qu'il contacte l'auteur lui-même,( s'il est encore vivant), pour qu'il nous explique dans quel tome du livre de Nansen, il a trouvé le passage en question, et mieux qu'il nous en envoie si possible, le scan ? On pourrait en profiter pour y ajouter aussi l'affaire Gianinni, déjà vue dans notre article sur le livre de A. Maclellan. Evidemment, plus on sera nombreux à le faire, plus on aura, une chance, d'avoir une réponse.

     Nous sommes, cela va de soi, très déçu de la tournure lamentable, que prend cette affaire, qui est à suivre bien sûr, de très près.

c) Quand on parle aussi, d'une disparition très mystérieuse, d'une impressionnante communauté d'esquimaux.

     Nous, avons aussi, cette énigme non résolue, soulignée par P. Kolosimo dans son livre de 1971, déjà cité, en page 101:


     Nous avons déjà largement évoqué, cette affaire inouie de disparition de diverses communautés arctiques, dans notre article:

http://www.artivision.fr/Greenarticle1923.html

    Mais remontons d'une année, sur celle de 1960, pour découvrir un autre livre très atypique.

c) L'affaire très spécifique d'Amedeo Giannini.

    C'est en effet en 1959, que paraît aux USA, le livre suivant :

  


     Précisons à nouveau, avant de poursuivre que nous ne souscrivons pas du tout à la théorie de Giannini qui, pour expliquer ses découvertes, a élaboré à l'époque l'incroyable hypothèse (que l'on sait, désormais archi-fausse, grâce à nos sattellites) qui voulait que la Terre serait collée par les pôles à un univers parallèle, et que cet univers serait lui-même en relation avec un autre et que cela se poursuivrait ainsi à l'infini...

     Giannini n'a à aucun moment imaginé que la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait deux ouvertures aux pôles permettant d'accéder à son intérieur. Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de continuité physique de l'Univers.

      En essayant de décortiquer cet ouvrage, très difficile à lire, il va s'en dire que nous n'avons pas pensé, une seule seconde que Amedeo Giannini, ait pu inventer les prémices de sa théorie,( prémices qui seules, nous intéressent ici), avec tant de détails précis, surtout à l'époque, où l'on ne plaisentait pas sur la rigueur morale.

      Mais il s'avère justement que ces prémices, sont les mêmes, qui s'articulent au départ de la théorie des ouvertures polaires, et en particulier les déclarations insolites (nous dit Giannini) de l'amiral Byrd, et aussi et surtout, la découverte extraordinaire faite en 1928 par Sir George Hubert Wilkins et découverte qui s'attache à l'exploration de l'Antarctique .

     Voici donc le passage clef de son livre :



      Laissons aux fervents de la langue de Shakespeare le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu, et contentons nous, d'en extraire l'essentiel :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

      Mille fois, hélas, encore une fois, ce Giannini, ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cet extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova. En fait, notre grande amie Meriten, le 15 Avril 2009, nous a proposé le fait, qu'il s'agiraît très probablement plutôt, de l'explorateur et médecin romain Constantin DUMBRAVA (1898-1935) qui a monté en 1927, donc bien avant Paul-Emile VICTOR, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et qui passa une année chez les Inuit...Il a étudié avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a finalement épousé une américaine et s’est installé à New-York.

     Ah si ARTivision pouvait mettre la main sur le document d'origine de Gianinni, quel bond on ferait en avant !!!

     Tout cela pourrait être classé actuellement par les irréductibles détracteurs, de "futilités invérifiables", si notre ami Sébastien du Canada, ne nous avait pas découvert, cet extraordinaire document, daté du 31 Décembre 1929.



    Puis surtout:

    Disons, dès maintenant, que SARASOTA, est une ville de la Floride, placée comme l'indique la carte suivante :


     Traduisons, à peu près, le contexte des deux dernières images :

Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7

Wilkins trouve une terre inconnue.

MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)

     Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.

     A cet effet, le service radio gouvernemental annonça la réception d'un messagge en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.


      Fin de la traduction.

    Nous n'avons plus rien à vous dire, si vous pensez que le journal en question a qualifié de "Terre inconnue", la découverte de vastes étendues neigeuses et glacées, où régne un froid dépassant souvent les -50°. Il est aussi, sans doute à noter qu'en 1929, les autorités americaines n'avaient probablement pas encore su, de quoi il s'agissait vraiment, et donc que le Top Secret mondial, sur cette surprenante découverte, n'avait pas encore pris corps. C'est donc tout naturellement que cette courte information du Saratora Herald, a pu émerger.

    Mais pendant que nous sommes sur l'Antarctique, voici pour la route, un petit plus de même nature et encore plus significatif, qui nous vient aussi de notre ami canadien Sébastien. Nous sommes alors en 1933 :


    Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons en rouge les mots qui nous interpellent:


    Traduisons alors grosso modo ce passage :

       " Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.

"Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-dela du pôle ". Byrd dit ", car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un si vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque de glace, et chercher un nouveau continent et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science."

    Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs, de fournir à la science, quelques uns des liens manquants, dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.

    D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir d'une faute de frappe, du mot uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots non répertorié.

    Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.

    La question qui se pose ici, et qu'il faut creuser encore est : " Comment peut-il exister en Antarctique, un vaste territoire, surtout "inconnu", alors que chacun s'attend à n'y trouver (on l'a vu plus haut), à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?"

    Il y a aussi l'expression "au-delà du Pôle" qui fait penser à une contrée bien à part et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle...

    Il y a enfin aussi cette affaire de "liens manquants", que Byrd évoque, et qui, à notre avis, ne doivent pas s'appliquer à des zones très arides, vraiment austères et plus que désertiques.

     Pour en savoir bien plus sur cette affaire, prière de consulter notre article :

http://www.artivision.fr/Vocableterreinconnue.html

     Mais entrons dans le vif du sujet...

d) L'affaire très curieuse des , mammouths brusquement congelés.

     Mais maintenant , si vous le voulez bien, arrêtons nous aussi en 1970 (Donc il y a 41 ans exactement jusqu'à 2011) quand est aussi sorti l'ouvrage très important de P. Kolosimo suivant :

  

<      Voyons d'abord qui était Peter Kolosimo. C'est le pseudonyme de Pier Domenico Colosimo, (1922-1984). Il était un journaliste et écrivain italien à vulgarisation scientifique:

    Voila ce que l'on peut lire en pages 18 et 19, où nous avons eu pour la première fois le bénéfice de découvrir cette affaire de mammouth congelé qui nous interpelle aujourd'hui et dont le chapitre II intitulé "Catastrophes cosmiques" commence ainsi :

    " Qu'est-ce qui pourrait avoir effacé d'un seul coup de la surface de notre globe des civilisations florissantes, décimé des populations et les condamner à chercher refuge dans des cavernes dont, après des luttes millénaires, leurs ancêtres étaient arrivés à sortir ? Evidemment, et uniquement, des cataclysmes qui dépassent l'imagination, des cataclysmes capables de mettre sens dessus dessous tout ce qui existait sur Terre.

     De nombreux faits nous donnent la certitude que ces terribles catastrophes ont véritablement eu lieu et parmi ceux-ci nous citerons la découverte des carcasses de mammouths dans les toundras sibériennes et dans l'archipel de la Nouvelle-Sibérie. C'est un cosaque qui, en 1797, découvrit le premier mammouth parfaitement conservé, et si bien conservé aue sa chair fut dévorée par les chiens des traîneaux. En ce temps-là, la chose ne parut pas importante ; la science n'était pas encore capable d'analyser les restes d'animaux. Plus tard, les gens qui rencontrèrent des mammouths furent plus prudents, car peu à peu le progrès rendit possibles diverses études et analyses.

     Charles Hapgood, célèbre anthropologiste américain,(Note du Webmaster : auteur du célèbre ouvrage qui parle des cartes de Piri Reis :"Les cartes des anciens rois des mers " aux Éditions du Rocher 1981) écrit : " Si quelques carcasses et quelques squelettes furent retrouvés intacts la majeure partie des animaux apparaissaient comme lacérés par une force colossale. Dans certaines régions, les ossements forment encore des tas gigantesques, hauts comme des collines et des mammouths sont mêlés à ceux de chevaux, d'antilopes, de bisons, de loups, d'énormes félins et d'autres bêtes plus petites.

     Depuis fort longtemps les hommes connaissent l'existence de ces extraordinaires cimetières et les défenses de mammouths, souvent longues de plus de trois mètres ont fourni le commerce des Asiatiques durant des siècles, sinon des millénaires. De 1880 à 1900, on a recueilli en Sibérie plus de 10 000 paires de défenses et les réserves ne semblent pas sur le point d'être épuisées.

     Le mystère s'épaissit en 1901 quand on découvrit, au bord de la rivière Beresovka, une carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu de son estomac était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait absorbées : des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine floraison, c'est-à-dire dans l'état où cette plante se trouve fin juillet ou début août. La mort avait été subite : dans la gueule de l'animal il y avait encore des brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée, qui l'avait transporté à des kilomètres de distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés, il était tombé â genoux et il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année.
"


     Personne n'ignore ce qu'est la toundra sibérienne : une sorte de désert où règne une température plus basse qu'au pôle Nord, avec une moyenne annuelle de - 16° (15° en juillet et - 49° en janvier). Il est impossible d'imaginer les mammouths vivant dans une pareille région et les expertises et examens accomplis sur les carcasses ont démontré (contrairement à ce que beaucoup de gens prétendent encore qu'il s'agissait d'animaux habitués à, des climats modérés, tout autant que les chevaux, les bisons, les tigres, les antilopes, morts en même temps qu'eux. La nourriture trouvée dans l'estomac des proboscidiens prouve que la Sibérie était à cette époque une région tempérée et couverte d'une végétation luxuriante.

    Les mammouths durent mourir en masse à la suite de ce cataclysme et leurs carcasses durent être immédiatement recouvertes par un immense sépulcre de glace grâce auquel elles se maintinrent intactes.

    Cette catastrophe procura à la Sibérie le climat le plus rigide du monde. Mais pas seulement à ce qu'il semble à la Sibérie. Beaucoup de gens croient encore aujourd'hui que les régions antarctiques sont recouvertes depuis des millions d'années par des dalles de glace de plus de 1 500 mètres d'épaisseur, mais l'expédition dirigée en 1946-1947 par l'amiral - Byrd- apporta des éléments d'information d'abord, négligés, mais aujourd'hui réévalués, si on en croit les renseignements donnés par l'Année Géophysique Internationale. Les savants américains ont pêché dans les grands fonds de l'océan, au large du sixième continent des échantillons de sédiments fangeux prouvant qu'à une époque relativement récente les rivières antarctiques apportaient à la mer des alluvions provenant de terrains qui n'étaient pas recouverts de glaciers.

    Cette époque se situerait il y a 10 à 12 000 années et justement moment où les mammouths furent tués d'une manière si surprenante.

    Est-ce à la même et unique catastrophe que serait dû le brusque changement de climat en Sibérie et au pôle Nord ?

    De nombreux faits nous permettent de le croire...
"

Fin de citation

    Ce même auteur Peter Kolosimo, journaliste qui ont le sait, a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes, nous dit aussi pages 43 et 44, dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé "La Planète inconnue":

      "  Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte  en 1909 dans la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années , le corps d'un troisième mammouth non détérioré  revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L'océan Glacial Arctique;  soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l'herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à la flore d'une région très fertile.
     Cette constatation ne pouvait laisser la place qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une catastrophe imprévisible: les Mammouths avaient certainement  été enveloppés, tout de suite  après leur mort , par un manteau de glace. Comment expliquer autrement leur extraordinaire conservation ? La conclusion est aussi simple que sensationnelle. Ce que nous appelons aujourd'hui Sibérie dut être jadis caractérisé par un climat tempéré, transformé brusquement à la suite d'un gigantesque bouleversement. Mais lequel ? Celui qui, selon toute probabilité, a conduit la Terre à se placer sur un nouvel axe, changeant ainsi les positions des pôles 
".

     Ces hallucinantes narrations de  Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un chacun d'ailleurs, dans la perplexité la plus totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de congélation de l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons toujours l'explication, autre que (ces informations de 1901 et 1909 sont -elles fiables?). De plus, nous constatons que malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait à une époque très proche de nous et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths ? A vous de juger tout cela, documents à l'appui...

    Dans toute cette affaire nous aimerions, bien sûr, avoir les rapports de datations des inflorescences, trouvées dans la gueule des mammouths, qui n'ont même pas eu le temps de les avaler tant fut brutal, le phénomène de la congélation qui selon nous, dépasse de loin les capacités de nos congélateurs les plus modernes, et phénomène difficilement imaginable dans un contexte atmosphérique.

    Comment trouver une explication logique à une telle situation ?

     Cette explication nous fut donnée, pourtant, dès 1913 par un certain Marshall B.Gardner un habitant d'AURORA dans l'Illinois qui publia, à ses frais, un petit livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait état de la présence d'un soleil central suspendu au centre de la sphère terrestre qui est creuse. En 1920, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.

    Voici donc une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage :

  


     L'explication concernant les mammouths serait d'après cet auteur : "" que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."

    C'est à notre avis bien sûr, pour l'instant, la seule explication ( et nous publierons, ici, toute autre, meilleure que celle-là, que les internautes nous proposeraient ), capable de résoudre cet irritant problème de la soudaineté de la congélation qui s'attache au phénomène.

    Il y a aussi le fait que ces fleuves sans doute aussi puissants que l'Amazone, charrient des tas d'animaux et de débris de toute nature ( branches et troncs d'arbres en autres ) qui y tombent accidentellement et ainsi des cadavres congelés sont déposés en masse, pendant des siècles sur les bords de la Sibérie, de l'ile Wrangel ou d'autres, ou de l'Alaska, et cela en fonction des courants, ce qui pourrait expliquer la présence de ces prétendus cimetières faits de tant d'animaux disparates.

e) L'affaire du bois flotté, du pollen, de la neige colorée et de la poussière noire, trouvés dans l' Arctique.

    Mais justement pendant que nous y sommes, présentons ce passage important des pages 253 et 254 du livre de Gardner :

    " Now let us follow in further detail the evidences of these various forms of life in the Arctic. We have already spoken of driftwood being found where it could only have come from the interior of the earth. This is such a common occurrence that every explorer almost that we have followed has had something to say about it. But occasionally even stranger things than trees with green buds on them are found in the Arctic seas. Seeds of unknown species as well as of tropical species have been found, drifted down in northern currents. One very interesting find of this nature was the seed of the entada bean, a tropical seed measuring two and a quarter inches across. This remarkable find was made by a Swedish expedition under Otto Torell near Trurenberg Bay, and it is obvious that this seed must have come from the interior of the earth for it is of a tree that only grows under tropical conditions, and it would have been disintegrated had it been drifting all over the world for many months, as would be the case if it had come up from the tropical regions of the exterior of the planet.
    W. J. Gordon, who recounts this find in his "Round About the North Pole" also adduces evidence that in the past there was a great variety of vegetation in Greenland, including magnolia, maple, poplar, lime, walnut, water-lily, myrica, smilax, aralia, sedges and grasses, conifers and ferns. And it is obvious that these plants were not migrants into Greenland from the south. They could not pass oceans and icy coasts. They must have come over to Greenland from the warm interior
."

Que nous traduissons grosso modo :

" Suivons maintenant en détail les preuves de ces différentes formes de vie dans l'Arctique. Nous avons déjà parlé de bois flotté que l'on trouve à des endroits qui invitent à croire que cela vient de l'intérieur de la Terre. Ceci est un phénomène si fréquent que chaque explorateur que nous avons suivi de près avait des coches à dire à ce sujet. Mais parfois les choses sont encore plus étranges car, dans ces mers arctiques, les troncs arbres portent des bourgeons verts à leur surface. Des graines d'espèces inconnues, ainsi que des espèces tropicales ont été trouvées, a la dérive dans les courants du Nord. Très intéressante fut de mêmme la decouverte d'un semence de la fève de l' Entada, une graine tropicale mesurant deux pouces et un quart de diamètre. Cette découverte remarquable a été faite par une expédition suédoise sous la direction de Otto Torell à proximité de Trurenberg Bay, et il est évident que cette semence doit provenir de l'intérieur de la Terre, car elle provient d'un arbre qui ne pousse que dans des conditions tropicales, et il aurait été complètement détériorée, si elle avait dû dériver au travers du monde entier depuis de nombreux mois, comme ce serait le cas, s'il elle était venu des régions tropicales de l'extérieur de la planète.

    WJ Gordon, qui relate cette découverte dans son "Round About le Pôle Nord", apporte également la preuve que dans le passé, il y avait une grande variété de la végétation au Groenland, comprenant le magnolia, l'érable, le peuplier, le tilleul, le noyer, le nénuphar, la myrica, le smilax, l' aralia, le carex et des graminées, des conifères et des fougères. Il est évident que ces plantes ne sont pas venues au Groenland par le sud. Elles ne pouvaient pas passer les océans et les côtes glacées. Elles doivent avoir atteint le Groenland, en partant de l'intérieur chaud de la Terre.


    Concernant cette affaire de pollen, de neige colorée et poussière noire , qui se découvrent souvent aussi au pôle nord, voici ce que nous avons trouvé à ce sujet, pages 100 et 101, du livre de R. Bernard, "La terre creuse" de 1971 :

       " William Reed, écrit à ce sujet.

       Si la matière qui produit la neige colorée est une substance végétale - ce que prouve l'analyse - substance qu'on suppose être du pollen, et si aucune plante, si aucune fleur ne peuvent croître logiquement dans le voisinage de 1'océan Arctique, alors cette substance végétale ne peut venir que de l'intérieur. Car si elle provenait d'un lieu plus éloigné à la surface de la Terre, on comprend mal pourquoi la neige ne serait pas colorée de la même façon ailleurs que dans le voisinage de l'ouverture polaire, ce qui n'est pas le cas.

      La poussière, cette plaie de l'océan Arctique, est produite par des éruptions volcaniques. Légère, facilement portée par le vent, elle s'abat sur les bateaux et gêne considérablement la navigation. Quand elle tombe sur la neige, elle la rend noire. L'analyse montre qu'elle est constituée de carbone et de fer, et on suppose qu'elle provient d'un volcan en activité.

      Quel est ce volcan ? On ne trouve fait mention nulle part qu'il y ait un volcan quelconque dans les environs du pôle Nord, et s'il y en a un ailleurs, plus loin, pourquoi la poussière tombe-t-elle seulement dans l'océan Arctique ?

      Divers explorateurs ont fait état de la présence de nombreuses roches et de blocs de pierres, trouvés encastrés dans les icebergs. Ces blocs de pierres ont été, soit projetés là par un volcan en éruption, soit charriés par les fleuves de l'intérieur. "


     Difficile à croire n'est-ce pas, Messieurs les sceptiques ? Voyez donc vous-mêmes ce que nous en dit l' ouvrage intitulé "Vers le Pôle" de Fridtjof Nansen présenté par Jean-Louis Etienne et publié par les Editions Hoëbeke en 1996 d'après l'ouvrage de 1897, ISBN 2-84230-012-2. C'est ouvrage n'est, en fin de compte, qu'un condensé des deux tomes de l'Édition d'origine.



    Et voilà, ce que nous dit page 101, Nansen, après être arrivé autour du 81° 18'de Lat Nord :



    Vous constatez que cette image, nous permet de faire d'une pierre deux coups, car en plus de la déclaration de Nansen, on a la position officielle (sans doute celle de Jean-louis Etienne) sur la provenance de cette poussière...A vous de juger.

    Mais revenons encore, à l'incontournable Peter Kolosimo, dans un tout autre registre...

f) Quand Peter Kolosimo évoque une affaire d'oasis, en Antarctique

Voici ce que l'on peut lire dans "Archéologie Spatiale" pages 91,92,93 :

    " II y a eu d'autres apparitions mais l'absence d'observateurs qualifiés a fait qu'on les a presque toujours passées sous silence. Depuis des années l'Argentine est survolée par de mystérieux objets volants qui se dirigent, les uns vers le sud, les autres, en passant au-dessus du détroit de Drake, vers l'immense désert de glace.

    P. Deville, qui est journaliste et qui a toujours suivi avec une grande attention les diverses apparitions des U.F.O.s, pense qu'on a encore quelque chose à découvrir dans cette région et il demande : " Quelque chose, mais quoi? Peut- être un fantastique Orly pour astronefs ? Peut-être une base datant de milliers de millénaires qui se trouvait autrefois sur un continent prospère devenu une zone chaotique recouverte de glaciers ? Il ne faut pas oublier que durant des siècles, avant la découverte du pôle Sud, un grand nombre de navigateurs, d'utopistes et d'aventuriers tentèrent d'atteindre...Il ne faut pas oublier que durant des siecles avant la découverte du Pôle Sud, un grand nombre de navigateurs, d'utopistes et d'aventituriers tentèrent d'atteindre, l'extrême sud de l'Amérique â la recherche du "paradis austral"... Ce n'était pas par plaisir, non, ils se laissaient guider par le souvenir d'un mythe existant depuis des centaines et des centaines d'années !"

    11 est presque certain que le "paradis austral" des temps immémoriaux ne peut se trouver sur les terres antarctiques puisque celles-ci devaient se trouver à d'autres latitudes (il est prouvé que les pôles changèrent plusieurs fois de position à la suite des cataclysmes qui bouleversèrent notre planète et déplacèrent son axe). Le Continent blanc actuel n'était certainement pas celui que nous connaissons : son énorme cuirasse glacée, qui atteint en quelques points une épaisseur de 3 à 4 000 mètres, a dû écraser au fond de l'océan plusieurs grandes îles, peut-être un archipel, au climat subtropical. Ceci a été confirmé par la découverte de fossiles (arbres et fougères géantes) et par la présence de vastes gisements carbonifères. En 1947, l'amiral Byrd nota sur les flancs d'une montagne haute de 3 O00 mètres, appartenant au massif Queen Maud, un filon de charbon qu'il estimait suffisant pour combler les besoins du monde entier. En réalité il ne s'agissait que de lignite de mauvaise qualité ; il reste cependant que ce filon constitue un précieux témoignage de la préhistoire de l'Antarctique.

    James Cook qui avait frôlé ces régions entre 1772 et 1775 a écrit : " Terres que la nature a condamnées au froid éter- nel, qui se ne réchaufferont jamais aux rayons du Soleil, terres dont l'aspect terrifiant et sauvage ne peut être décrit avec des mots. Nous n'avons vu que les meilleures, celles qui sont le plus au nord. Que sont celles qui sont au sud ? Si quelqu'un avait l'intention et la force de répondre â cette question et, d'y aller, je ne lui envierais pas la gloire d'une semblable découverte. "     Les premiers qui s'y rendirent furent des Allemands, avec l'expédition Schwabenland, en 1938-1939, dont le chef était le capitaine Ritscher. Ils dirent qu'à quelques centaines de kilomètres de la grande muraille de glace qui, depuis la longitude zéro, s'étend de l'orient à l'occident le long du 70e parallèle, les pilotes de leurs deux hydravions aperçurent des collines qui n'étaient pas recouvertes de glace, mais qui au contraire étaient constellées de petits lacs.
    Cette nouvelle fut accueillie avec pas mal de scepticisme mais en 1947, des aviateurs sous les ordres de Byrd la confirmèrent en révélant au monde, l'existence de ce qu'ils venaient de baptiser Le Jardin de la Terre Reine Mary . C'était une succession de collines couvertes de conifères nains, tapissées de mousse et où les lacs abondaient. Ils en comptèrent vingt-trois et posèrent leurs appareils sur les trois plus grands.
    L'eau de ces lacs était verte, rouge, bleue, et elle était tiède. Celle du lac le plus proche du glacier Ferrar était même tout à fait chaude.
    A quoi peut-on attribuer un tel phénomène ? Deux causes principales : ou bien l'action volcanique (dans ces parages elle doit être exclue) ou la radioactivité. Si cette dernière hypothèse était vraiment fondée, cela prouverait que d'immenses gisements d'uranium se trouvent dans cette zone.
    Ce sont là des réponses de scientifiques mais il reste celles des collectionneurs de bizarreries dans le genre de William Bennett, selon lequel les collines et les lacs de l'Antarctique constitueraient la "cité-jardin" d'une garnison extra-terrestre qui vivait, il y a une infinité d'années sur la Terre. La véritable métropole s'étendrait sous le pôle Sud. Ce seraient ses puissantes machines qui fourniraient l'énergie qui maintiendrait la région en question dans un climat tempéré. Les hôtes mystérieux du Sixième Continent posséderaient un immense cosmodrome naturel et des mines inépuisables pouvant les fournir de tous les métaux dont ils ont besoin...


    Pas mal n'est pas que ces déductions du sieur William Bennett au sujet duquel hélas, nous n'avons pas d'autres infos.

    Il n'était cependant pas très loin de découvrir une vérité encore plus fabuleuse, s'il avait pu avoir en main le livre de 1920 de Marshall B.Gardner.

    Mais profitons du sujet pour en dire bien plus :

    En effet, c'est le 30/04/03, que grâce à la gentillesse de notre ami belge Editeur, Claude Thomas, nous sommes entrés en possession de la photocopie d'un très remaquable article du Science et Vie n° 449 de Février 1955.

    Cet article de Mr Pierre Gendron annonce déjà la couleur, puisqu'il est intitulé " Une mission de 3000 savants à l'assaut des terres inconnues du Pôle Sud ".

    Mais voyons en donc quelques passages significatifs:

" ... A l'automne 55, des navires polaires lourdement chargés quitteront successivement la France, l'Angleterre, les Etats-Unis , la Nouvelle-Zélande, L'Afrique du Sud, l'Australie, le Chili, L'Argentine, pour cingler vers le pôle Antarctique. Ils iront installer de nouvelles nouvelles bases sur le continet polaire austral, bases qui seront occupées un an plus tard par des centaines de techniciens et de savants. Ainsi la France va réoccuper la Terre Adélie à Pointe Géologie, et innovera une base avancée à 350 km à l'intérieur du continent antarctique, là même où se situera le pôle magnétique en 1957...

     ...Quant aux Etats-Unis, ils préparent une expédition fabuleuse décidée à dévoiler les derniers mystères du Pôle Sud. Déjà en 1947, L'expédition "High Jump" dirigée par Byrd, avait bouleversé toutes les données cartographiques du continent en photographiant 800 000 Km² de côtes. Mais en 1957, 10000 hommes, 50 navires spéciaux, une flotte aérienne et sous-marine considérable, des véhicules amphibies et des camions géants, concus spécialement pour la glace, comptent achever la reconnaissance totale de l'immence empire glacé.

    Les observations accumulées par les nombreux explorateurs permettent, cependant d'avoir aujourd'hui (En 1955 bien sûr) une vue générale assez exacte du continent Antarctique: c'est un gigantesque bouclier convexe de 14 millions de km² couvrant le pôle Sud. S'il était situé dans l'hémisphère nord, une de ses extrémités reposerait sur le Danemark et l'autre en Alaska. Il est aussi vaste que les Etats-unis et l'Europe ensemble.


     Vous avez bien lu que l'auteur parle de l'envoi en 1957, de 10 000 hommes et d'une véritable armada, pour aller soi-disant reconnaître des immensités que tout un chacun considère comme glacées et très inhospitalières, où les températures en dessous de 50° sont monnaie courante et surtout où l'épaisseur de la glace peut atteindre jusqu'à 4200m d'épaisseur d'après le dessin perspective suivant tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :



    Une question se pose donc ici: " Pourquoi vraiment a-t-on pu engager une armada de 10 000 hommes au moins pour aller seulement reconnaître et cartographier un continent si couvert de montagnes de glace, de neige à perte de vue et où le froid est particulièrement insupportable?". Ne pensez-vous pas que cela cache vraiment des motivations d'une importance capitale non révélées au commun des mortels ?

   Rappelons les quelques lignes, de l'ami Jean ANNE ( hélas décédé le 17/01/03 : Que son âme repose en Paix désormais) dans son remarquable texte intitulé : Eux, nous & ailleurs :

" Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, le "Mercurio"  une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: " C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre". Il laissa aussi comprendre: "Qu’il y avait là bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure". Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947.. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que sur terre, des hommes de civilisations disparues disposant de technologies avancées firent voler des engins, tout comme un peu avant le milieu de notre XX° d’autres furent également capables de rééditer ces "exploits " technologiques dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement. "
Fin de citation

    Nous avons évidemment reccherché activement ce n° du 5 Mars 1947 du "El Mercurio" pour voir de nos propres yeux, cette incroyable révélation, et le 26/04/05, nous avons eu le très grand privilège d'entrer en possession de ce document exceptionnel. Tous les détails figurent désormais dans la page :

http://www.artivision.fr/ByrdMercurio.html


     Mais voyons encore quelques phrases de l'article de Mr Pierre Gendron :

     "...Suivant les dernières évaluations de l'expédition Byrd, la chaîne de Reine Maud, longue de 2500 km aurait une altitude moyenne de 4000 mètres. Les plus hauts massifs sont découpés en dents de scie ou en aiguille et atteignent souvent de 5000 mètres.

     Fait extraordinaire, dans la partie centrale de cette chaîne, Byrd a survolé, en 1947, un immense Colorado dépourvu de glace, dont les falaises roses, rouges et pourpres montraient, à ciel ouvert, sur des centaines de km de longueur, les veines noires d'un des plus importants glissements houillers du monde. Un peu plus loin se dressaient d'étranges montagnes de basaltes de forme hexagonale sur un haut plateau tabulaire.

Dans la Terre de Marie-Byrd, tout au long de la Chaîne du Comité exécutif, les récentes explorations américaines ont découvert et survolé un sommet qui serait pour l'instant, le point culminant du Pôle Sud avec 7000 mètres d'élévation. ...L'expédition allemande "Schwabenland", en 1937, et plus récemment encore l'expédition norvégienne, suédoise et anglaise "Maudheim" ont photographié en totalité et exploré en partie une autre chaîne côtière, celle de la Nouvelle-Souabe longue également d'un millier de km qui reconstitue, en plein désert de glace, le merveilleux spectacle de nos plus belles chaînes alpines européennes.

     Il serait faut de prendre aujourd'hui le Pôle Sud pour une terre morte et ensevelie dans la glace. Au cours des milliers d'explorations aériennes de l'expédition "High Jump" , en 1947, les aviateurs ont eu la surprise de découvrir, en plusieurs points, de vastes zones entièrement libres de glaces où étincelaient d'admirables lacs bleus ou rouges. Sur certains d'entre eux, des hydravions purent se poser. Les équipages se baignèrent dans une eau à température " relativement élevée" et purent recueillir des mousses, des lichens et des algues. L'origine de ces oasis mystérieuses est encore inconnue. Elles sont peut-être le résultat de phénomènes volcaniques ou géologiques.

     Le continent antarctique existe la curiosité des paléontologues, car il contient des indices fossiles qui peuvent conduire à la revision totale de certains chapitres de l'histoire de la vie et de l'évolution. Les étonnantes ressemblances entre la flore et la faune d'Amérique du Sud et celles d'Australie et de Tasmanie d'une part, entre celles de Madagascar et celles de la nouvelle-Zélande d'autre part, sont restées pratiquement inexpliquées jusqu'à ce jour.

     La plupart des naturalistes sont conduits aujourd'hui à admettre la nécessité de "Ponts" continentaux engloutis. Ainsi l'Antarctique aurait été, alors, non seulement le relais entre les divers continents de l'hémisphère Sud, mais aussi un foyer de rayonnement de formes vivantes. La découvertes de mines de charbon, de plantes fossiles spécifiques des régions tropicales (glossoptéris, troncs d'arbres silicifiés) en de nombreux points, en même temps que la présence de haut fond au large des continents en présence confirment cette hypothèse..."


     Arrêtons ici voulez vous cette transcription des quelques phrases de cet article très instructif de Mr Gendron. Vous avez cependant noté les termes étranges utilisés : Fait extraordinaire, merveilleux spectacle, admirables lacs, témpérature "relativement" élevée, l'origine de ces oasis mystérieuses est encore inconnue, plantes fossiles spécifiques des régions tropicales...

     Une fois de plus, on s'étonne que l'on ne nous ait jamais montré des images de ces lacs bleus ou rouges, où l'on peut si aisément se baigner en plein Antarctique et qu'une agence touristique futée n'en ait pas profité pour y transporter des audacieux voyageurs avides de sensations fortes...

     On découvre aussi que dans cet article, l'auteur ne mentionne jamais le nom de Benguer, (Il n'est pas mentionné non plus dans l'entrefilet "Triste oasis" que nous devons à notre ami M.H , souvent cité dans nos articles :

     Cet entrefilet est on le voit, extrait du "Science et Vie" n° 470 Nov 1956
. C'est Monsieur Paul-Marie de la Gorge, un véritable inspiré, lui aussi, qui a parlé le premier de cet oasis de Benguer, dans le "Science et vie" n°510 de Mars 1960. Et voici à nouveau, pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Net, l'image en question :



     Vous avez bien nôté, que l'on mentionne pour cette oasis une température de 25° , comme celle qui régne en moyenne, toute l'année, où nous habitons en Guadeloupe. Voilà donc, que l'on apprend dans une revue comme "Science & Vie" (qui se veut sérieuse), qu'il existe bien, au pôle Sud, une zone "paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient pas hésité une seconde, pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère bien sûr, tout le nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Mais, rien de tout cela, ne nous a jamais plus été montré, à notre connaissance, depuis, dans cette revue. A vous de juger...

     Nous aimerions enfin, bien savoir de quels documents, soviétiques ou pas, ce Mr P-M. de la Gorge, a sorti ce nom de Benguer. Résumons une fois encore (voir l'article sur Byrd) ce que nous révèle R. Bernard à la page 51 de son ouvrage "la Terre creuse" paru en 1971 chez Albin Michel :

     " Le capitaine David Bunger de la Marine Américaine, en mission avec son hydravion pour "l'opération High-Jump" de 1946 à 1947 avait quitté la base de Shackleton près de la Côte de la reine Marie dans la Terre de Wilkes, et volait vers l'intérieur du continent Antarctique quand il aperçut une région sans glace, avec de lacs de plus de 4km de long aux multiples couleurs et entourés de murailles de glace. Le capitaine Bunger posa son appareil sur l'un de ces lacs et aperçu que l'eau était plus chaude que dans l'océan des environs. Comment expliquer la présence d'une telle oasis en plein Antarctique, qui bénéficiait de températures plus clémentes comme-ci comme au pôle Nord, cette oasis se trouvait aussi dans la dépression polaire sud ? Ce territoire sans glace d'environ 600 km carrés représentait une trop grand étendue pour être affecté par une source de chaleur volcanique. Les courants de vents chauds en provenance de l'intérieur de la Terre par l'ouverture proche, expliqueraient davantage cette anomalie."

     Il nous reste donc qu'à retrouver (toute aide de cette nature sera la bienvenue) les documents utilisés par ce Mr P-M. de la Gorge, qui lui ont servi à mettre en exergue cette affaire d'Oasis de Benguer, qui nous le souhaitons ne restera plus longtemps encore cachée aux yeux du commun des mortels, car ce dernier, en plus, a désormais le droit de savoir, pourquoi ces informations sont soustraites à la connaissance du monde entier ?

    Bon courage donc pour ceux des puristes, qui veulent en savoir plus, et que la lumière soit .

g) Quand les précurseurs furent, des explorateurs du XIXe siècle.

    Pour suivre un ordre chronologique, nous aurions dû commencer par cela. Mais, sur le site ARTivision, tout est intuitif, et chaque chose arrive au moment voulu. Rappelons aussi que ce site, est une sorte de causerie au coin du feu, comme cela se faisait dans l' Ancien Temps, dans les campagnes de nos îles, et donc il n'y a pas de structuration par thèmes, ni de regroupement d'articles.

    C'est ainsi, qu'aujourd'hui le 12/11/2011, nous avons l'idée de vous présenter deux ouvrages clefs dans cette affaire importante de mer libre ,que nous avons déjà évoquée, dans de très nombreux articles.

Commençons voulez-vous par, Monsieur le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin (28 Fevrier 1820 – 16 Février 1857) de la Marine des USA.

    On sait qu'il publia en 1857 cet ouvrage connu que l'on peut trouver sur le site :

http://www.archive.org/stream/arcticexplorati02kanegoog#page/n0/mode/2up


Et pour les puristes voici, en anglais, les paragraphes qui nous intéressent:



     Et voici une traduction relative aux deux premiers documents précédents :

" ...aussi n'en parlerai-je pas. Mais je ne veux point terminer ma notice sur cette mer libre de glaces, sans ajouter que les détails de Morton concordent leinement âvec les observations de tout notre parti. Et maintenant sans discuter les causes de ce phénomène sans rechercher à quelle distance cette mer s'étend, soit comme une particularité de cette région , soit comme une grande arène encore inexplorée du bassin polaire, toutes questions du ressort des hommes scientifiques, je me contenterai de l'humble tâche de rapporter ce que nous avons vu. Se présentant ainsi au milieu des vastes plaines de glace, cet élément fluide était de nature à soulever les émotions de l'ordre le plus élevé ; il n'y avait pas un de nous qui ne fùt animé du désir de s'embarquer sur ces eaux resplendissantes et solitaires. On sait comment nous fùmes forcés de renoncer à ce désir.

    Une mer libre près du pôle, ou même un bassin polaire, a été un sujet de théories débattues longtemps ; nous venons de le raviver par nos découvertes. Déjà, à l'époque de Barentz, en i590, sans mentionner de plus incertaines chroniques, l'eau fut aperçue à l'est du cap septentrional de la Nouvelle-Zemble ; et jusqu'à ce que son étendue fût déterminée par des observations directes, elle fut prise pour la mer elle-même. Les pêcheurs hollandais autour du Spitzberg poussèrent leurs croisières aventureuses à travers la glace dans des espaces libres, variant en étendue et en forme suivant la saison et les vents ; et le docteur Scoresby, une respectable autorité, fait allusion à ces ouvertures dans la banquise comme indiquant une eau libre dans le voisinage du pôle. Le baron de Wrangell à 65 kilomètres de la côte de l'Asie arctique, vit, il le crut du moins, un océan sans rivages, oubliant pour l'instant combien sont bornées les limites de la vision humaine sur une sphère. Plus récemment, le capitaine Parry , proclama l'existence d'une mer libre dans le détroit de Wellington, à l'endroit même où sir Edward Belcher a depuis été contraint d'abandonner ses navires pris dans les glaces. Enfin mon prédécesseur, le capitaine Inglefield, du haut d'un mât de son petit navire, annonça un bassin polaire à 25 kilomètres de la glace qui arrêta notre marche Pannéë suivante.

    Toutes ces découvertes illusoires ont sans doute été notées avec une parfaite intégrité, et d'autres peuvent penser que mon observation, quoique sur une plus grande échelle, se rangera dans la même catégorie. Toutefois la mer, que je me suis hasardé à appeler libre, a été suivie pendant nombre de kilomètres le long de la côte, et vue d'une élévation de 145 mètres, toujours sans limite et sans glace , se soulevant et se brisant contre les rochers du rivage.
"

      Et voici le summum, qui est dans le troisième document :

" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

   
Que dire de plus, si ce n'est que l'on découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de la mer libre du pôle.

      Ce qui nous interpelle dans cette affaire étrange, c'est donc son côté hautement paradoxal : Comment des gens sensés ont-ils pu inventer une telle histoire, si certains d'entre eux n'avaient pas vraiment découvert cette mer libre de glace et les oasis qui l'environnent dans les régions polaires, alors que tout un chacun s'attend logiquement à ne trouver dans ce coin, où les température sont extrêmes, que des vastes étendues neigeuses et glacées à perte de vue.

   A  notre avis, même un fou, ayant une imagination débordante, aurait du mal à élaborer une telle histoire. C'est comme si,  par exemple,  un jour vous découvrez, en sortant d'une forêt dense et équatoriale du Kenya, un lac gelé de plusieurs km2, sur lequel vous pouvez faire du patin à glace. Alors vous ne manquerez pas, c'est certain, de vous poser la question de savoir, quelle est l'origine de ce phénomène incroyable. Vous n'aurez pas beaucoup d'hypothèses pour vous venir en aide dans ce cas-ci : Soit, le classique micro-climat exceptionnel, soit l'action à distance d'un rayon réfrigérant extraterrestre. Il en a été de même, vous vous en doutez pour ceux qui ont été confronté avec cette affaire de mer libre inexplicable et , on ne parlait pas encore d'extraterrestres.

    Voyons maintenant ce nous dit au sujet de cette mer libre un autre explorateur américain Isaac Israel Hayes (1832-1881), qui nous raconte son émerveillement à la découverte de cette mer libre du Pôle Nord. Voici ce qu'il en dit dans l'ouvrage suivant de 1877, que nous avons sous la main :

  

     En effet, dans l'édition de 1877, que nous possédons, on trouve pages 188 à 189 :

     "Tout le démontrait : j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "

Page 190

     Où après avoir hissé des drapeaux, Hayes déchira une feuille de son carnet de notes pour y inscrire les lignes suivantes :

" Ce point, le plus septentrional qu'on ait encore pu atteindre, a été visité les 18 et 19 Mai 1861 par le soussigné, accompagné de George F . Knorr, après un voyage en traîneau tiré par des chiens. De notre hivernage près du cap Alexandre , à l'entré du détroit de Smith, nous sommes arrivés ici par une marche de quarante six jours. Je crois, d'après mes observations, que nous sommes à 81 degrés 35 minutes de latitude septentrionale et à 70 degrés 30 à minutes de longitude occidentale. La glace pourrie et les crevasses nous empêchent d'aller plus loin. Le canal kennedy parait s'ouvrir dans le bassin polaire. Aussi persuadé qu'il est navigable en Juillet, Août et Septembre au moins, je retourne à ma station d'hiver pour essayer de pousser mon navire au travers des glaces après la débâcle de cet été. " signé J.J. HAYES

19 Mai 1861

     " Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une facination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "

Fin de citation

     Tout ce qui est raconté ci-dessus est superbement rassemblé dans une gravure montrant ce fantastique paysage qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez Hayes et son compagnon. Voici cette gravure :


    En analysant attentivement cette gravure dans ses détails les plus fins, on découvre effectivement au second plan une vraie mer libre et surtout des flopées d'oiseaux dont la présence en ces contrées ultra froides pose problème.

     Et voici le même paysage en couleur, fait par notre ami artiste canadien, André Julien :



     Cette émotion toute naturelle exprimée ci-dessus par l'explorateur Hayes n'a pourtant pas plu aux bien-pensants explorateurs modernes des pôles.

     Voir cette triste affaire, concernant Paul Emile Victor, à notre article :

http://www.artivision.fr/Recherchemerlibre.html

     Tout cela ne serait considéré, par les détracteurs irréductibles habituels que comme une illusion d'optique, ou comme un mirage polaire, s'il n'y avait pas eu, en 2003 ce qui suit, ( Hélas le lien ne fonctionne plus. Mais on peut le retrouver aux urls :

Pour le 19 Mars 2003 à :
http://web.archive.org/web/20030319171628/http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp

Pour le 9 Janvier 2006 :
http://web.archive.org/web/20060109200414/http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp
et aussi à d'autres dates).


     En effet le 18 Mai 2003, nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les couleurs sont de nous, évidemment) :

----- Original Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle Nord

Bonjour Fred

     J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...

v.........t

 
  Pas de glace au Pôle Nord  

Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. 

États-Unis 

21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.



Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher.

Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise.

Les participants de l'expédition voient dans toutes ces premières une preuve de plus de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule, au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40% depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici 2100

Philippe Gauthier


     Fin de citation

     En somme, ce communiqué ( qui parle souvent de première fois ) , montrant ainsi l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, ne dit pas autre chose, sur la mer libre du pôle, que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom, d' Isaac Israël Hayes présenté largement plus haut.

     Si donc les observateurs modernes mentionnés dans ce communiqué sont tombés à la renverse à la découverte de cette mer libre, celle-ci, était connue depuis des lustres par Jules Verne et par bien d'autres explorateurs américains, russes, français etc...

     A bon entendeur salut !!!.

h) Quand la revue Science et Avenir dans son n°1 de 1947 s'interroge franchement sur les motivations de l'opération High Jump de Byrd.

     Nous avons déjà plus haut, présenté quelques éléments troublants de cette affaire d'expédition allemande "Schwabenland", en 1937 et surtout de affaire très étrange High-Jump organisé par Byrd en 1947. Plus de détails sont fournis dans nos articles Fouvolant.html et ByrdMercury.html sur cette affaire extraordinaire de la base allemande de "NEU SCHWABENLAND", et sur les soucoupes volantes du même pays parfaitement opérationnelles à l'époque. Le remarquable site :
http://www.violations.org.uk/

, en plus de détails très pointus sur l'histoire des "Secrets du Troisième Reich", nous présente aussi la liste de plus de 50 sous-marins allemands U-boats, qui ont disparu d'une manière inexplicable à cette époque. Voir donc l'appendix I, du volet "The antartic Enigma" du Live IV et aussi dans l'appendix II, la liste des 7 sous-marins, dont on est sûr qu'ils ont été coulés et où .

    D'ailleurs cet échec de l'expédition de Byrd de 1947, n'a pas manqué d'interpeller certains journalistes de l'époque, et par exemple, même la revue à vulgarisation scientifique "Sciences et Avenir" de début de Mai 1947, dans son n° 1, que nous avons sous la main, se pose aussi des questions à ce sujet. En voici d'abord une partie de la couverture de cette revue qui à l'époque avait pour dimension 40,5 cm et 29,5 cm, ce qui dépasse de loin les capacités de notre scanner :



     Puis voici le début de l'article, suivi de sa fin, où l'on s'interroge sur les vraies motivations de cette expédition:




     Comme cet article ne possède pas, hélas, de signature personnelle, c'est, la revue entière, que nous mettons ici à l'honneur, en la considérant ainsi comme un vrai précurseur innocent, ayant effleuré l'idée qu'il se passait au Pôle Sud, des choses surprenantes à souhait.

     Ainsi donc, nous espérons que vous, avez donc bien noté que devant l'incroyable armada, mise en route par l'expédition de Byrd, une revue scientifique de 1947 se pose effectivement la question de savoir si cette expédition "n'avait pas d'autres visées non avouées".

      À vous de juger sur pièces, cette déclaration plutôt déjà osée, pour l'époque.

i) Quand la revue "Sélection du Reader's Digest", entre aussi dans la danse en 1956 .

    Comme la revue précedente que nous avons mise à l'honneur, nous devons aussi le faire pour la revue "Sélection du Reader's Digest" où, 9 ans plus tard en Janvier 1956, l'amiral Byrd, s'exprime avec des sous-entendus notoires, dans un article intitulé "Retour à l'Antarctique":

  

      Et voici aussi une image de la première page de l'article en question :


      Et en page 10, on trouve surtout :


      Dans cet article, Byrd nous parle de l'expédition de 1947-1948 , déjà évoquée plus haut, et nommée "Opération High Jump", qui fut l'expédition polaire de loin la plus importante qui ait jamais été réalisée, et Byrd , nous fait la déclaration inouïe suivante :

     "Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte...".

   Évidemment, Byrd ne parle pas de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà", et non "autour" du pôle, ou "après le pôle", ou encore "derrière le pôle". L'expression "au-delà du Pôle", nous l'avons déjà dit, nous fait plutôt penser à une contrée bien à part, et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle. Comment peut-il exister "au delà du Pôle", une immense région, surtout "inconnue", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?

      Il ne faut pas oublier (nous l'avons souvent exprimé) que Byrd, était un militaire de haut rang , et qu'il était évidemment astreint à une stricte obligation de réserve, à laquelle il ne pouvait se soustraire, même à la retraite.

    Or, dans ce texte, nous sommes en 1956 (et là, on le sait), Byrd évoque l'opération High Jump de 47-48), et il reprend pratiquement la même phrase vue plus haut. Ce qui prouve qu'il n'a pas, en 1933, pu explorer à sa guise, le territoire inconnu évoqué.

    Rappelons aussi, que dès 1929, donc effectivement 4 ans avant 1933, il avait survolé le Pôle Sud, et participé alors à une incroyable émission de radio dont l'extraordinaire reportage, nous est fait par l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz  (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), et qui nous transmet ce reportage, aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978:

  

    Voir ce reportage inouï, à la fin de notre article :

http://www.artivision.fr/RaymondBernardouvrageTC.html

    Bravo donc, à cette revue "Sélection du Reader's Digest", de nous avoir dès début de 1956, mis aussi, en alerte sur des événements surprenants, arrivés sur le continent Antarctique...

j) Quand la planète Mars, nous interpelle grandement, au sujet de la brillance extraordinaire, de ses calottes polaires.

     Si nous avons déjà découvert quelques explorateurs, qui ont mis en évidence, sans le savoir, le fait qu'il se passait aux pôles de la Terre des choses, pour eux inexplicables, il nous appartient, ce 19/11/2011, de présenter ici, des éléments prouvant catégoriquement que la planète Mars, nous offre aussi, depuis belle lurette, le moyen de résoudre définitivement, l'énigme fantastique, de ces affaires polaires.

    Commençons, si vous le voulez bien, par ce montage mosaïque, réalisé dès fin Sept 1902, par l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :



     Traduisons grosso modo, le texte de l'image : " Vues de Mars prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."

    Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :

  


     Ces images sont extraites, page 80 bis, de l'ouvrage incontournable (nous l'avons déjà écrit plus haut) de Marshall B. Gardner (1920), et nous nous faisons aussi un plaisir de vous transmettre un paragraphe en pages 84 et 85 :

     "Earlier writers, however, had noticed that the spots were brighter than the other surfaces of Mars, an astronomer, writing in the Scientific American Supplement as early as 1879, in effect, having made that observation. But this writer was not aware of the real nature of the light. In 1892 the celebrated English astronomer, J. Norman Lockyer, repeated in a periodical a number of observations he had made thirty years before and had then communicated to the Royal Astronomical Society of England. Here is a significant quotation :

     "The snow-zone was at times so bright that, like the crescent of the young moon, it appeared to project beyond the planet's limb. This effect of irradiation was frequently visible; on one occasion the snow spot was observed to shine like a nebulous star when the planet itself was obscured by clouds, a phenomenon noticed by Messrs. Beer and Madler, recorded in their valuable work, 'Fragments sur les Corps Celestes.' The brightness, however, seemed to vary very considerably, and at times, especially when the snow zone was near its minimum, it was by no means the prominent object it generally is upon the planet's disc."
"

     Traduisons, à peu près, cela :

     " Cependant, plus tôt, des écrivains , avaient remarqué que les taches étaient plus brillantes que les autres surfaces de Mars, et en effet, dès 1879, un astronome, écrivit dans le Supplément de la revue Scientific American , le fait qu'il avait découvert cette particularité. Mais cet écrivain n'était pas au courant de la vraie nature de cette luminosité. En 1892, le célèbre astronome anglais, J. Norman Lockyer, a repris dans un périodique un certain nombre d'observations qu'il avait faites, trente ans auparavant, et obsevations qu'il a ensuite communiqué à la Royal Astronomical Society d'Angleterre. Voici une citation significative :

     "La zone neigeuse, était parfois si brillante, que, comme le croissant de la lune montante, emme se projetait au-delà du globe de la planète. Cet effet de la luminosité, a été fréquemment constatable. Une fois même,la zone neigeuse, s'est mise à briller comme une nébuleuse, alors que la planète elle-même était obscurcie par les nuages. Ce phénomène fut remarqué par MM bière et Madler, et enregistré dans leur précieux ouvrage "Fragments sur les Corps Celestes". La luminosité, cependant, semble varier considérablement, et parfois, surtout quand la zone de neige est près de son minimum, elle n'est alors nullement l'objet en relief qui se projette généralement Au dessus de la planète."."

    Pour mieux encore illustrer tout cela, voici quelques autres images de Mars , déjà présentées sur notre site :

  


    Pas mal, n'est-ce pas, ces "couvre-chefs lumineux, ", bien en relief, au dessus de la planète !!!

    En voici encore d'autres, où l'on voit, que la calotte brille sompteusement, alors que la région environnante est dans l'ombre...

  


     Mais d'autre part, nous avons reçu, il y a bien longtemps, de notre ami M. Hertzog, si souvent évoqué dans nos articles, cette étrange photo de Mars, qui ressemble plutôt à un tableau d'artiste, mais qui montre aussi, cependant, une calotte polaire très brillante :



     Cette photo provient du site :
http://www.astronomyforum.net/astronomy-photos/511-mars-photos/16-mars.html

    Nous avons écrit au site : http://www.astronomyforum.net/sendmessage.php, pour savoir quel télescope avait pris cette photo et si elle avait été retouchée par la suite ? Hélas nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse. Peut-être qu'un intrépide internaute aura plus de chance que nous ! Courage donc.

     Cependant nous constatons que cette photo est étrangement ressemblante, à celle qui suit, et qui est placée , elle, dès 1920, en page 68 bis du fameux livre de Marshall B. Gardner. (Nous avons mis en français le texte qui apparaissait sous la photo).



    Il y a aussi, cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km :


    Nous insistons ici sur le fait que cette photo ne vient pas de la NASA,(qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à los Angeles, en Californie, (et qui existe depuis 1935), et photo que vous pouvez decouvrir actuellement à l'url :

http://web.archive.org/web/*/http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html


    Mais revenons à Marshall B. Gardner, et voyons comment, il explique tout cela :

A DIRECT SOURCE OF LIGHT

     No one who reads the above in the light of our theory can fail to see how it fits into it. A snow cap would not reflect light with so much more vividness than the other surfaces of the planet, and only direct beams of light coming from a central sun could give that luminous effect above the surface of the planet and varying as the atmosphere in the interior or above it was clouded or clear. Had it been a mere ice cap there would not have been this luminosity and, in particular, there would have been no luminosity when the planet was covered with clouds as Lockyer says it was. Furthermore, that luminosity is precisely what our own aurora borealis would look like if our planet was viewed from a great distance. And the light is the same in both cases.

     From that early date we jump to 1905 and find Percival Lowell again telling of a bright white "kernel" which he observed at the Southern end of the Martian north polar cap.

     That, then, is the situation. All the evidence points to the fact that it is light, and direct light at that, that causes what we have called the Martian ice-caps but which we ought to call the Martian polar openings. But perhaps the reader is still not convinced. He may recall that the writers who treat this aspect of Mars, whether or not they believe in the "canals" seem to have no doubt of the fact that at the poles we have snow or ice. We have already pointed out some inconsistencies in this view. Here are some other considerations that help to dispel that idea, and then, by turning to the planet Venus, we shall demonstrate absolutely that the polar circles are not snow, or ice, or even hoar-frost caps, but simply apertures leading to the inner and illuminated surface of the planet.


UNE SOURCE DIRECTE DE LUMIÈRE

     Aucun de ceux qui aurait pris connaissance des faits qui précèdent, ne peut manquer, à la la lumière de notre théorie, de voir comment ces faits s'y intègrent. Une calotte de neige ne pourrait pas réfléchir la lumière, avec une intendié plus grande que les autres surfaces de la planète, et seulement des faisceaux d'une lumière provenant diectement d'un soleil central, pourraient produire cet effet lumineux au-dessus de la surface de la planète et subir des variations en fonction du fait que l'atmosphère, à l'intérieur du globe ou au-dessus, soit assombri ou éclairci. Si elle avait été une calotte de glace pure, il n'y aurait pas eu cette luminosité, quand en particulier la planète est couverte de nuages, comme l'affirme Lockyer. En outre, cette luminosité est précisément ce que donnerait, nos propres aurores boréales, si notre planète était, vue à une grande distance. Et la lumière est la même dans les deux cas.

     De cette date du début, sautons à 1905 pour y trouver à nouveau Percival Lowell qui affirme avoir observer un "flash" éclatant sorir à l'extrémité sud de la calotte polaire nord de Mars.

     Voilà la situation. Tous les éléments de preuve montrent que ce "flash" est fait de lumière, et de lumière directionnelle en provenance de ce que nous avons appelé les calottes glaciaires martiennes, mais que nous devons appeler les ouvertures polaires martiennes. Mais peut-être le lecteur n'est toujours pas convaincu. Il peut se rappeler que, les écrivains qui traitent de cet aspect de Mars, (qu'ils aient ou non besoin de croire aux «canaux»), semblent avoir aucun doute sur le fait qu'au niveau des pôles, nous avons de la neige ou la glace. Nous avons déjà souligné certaines incohérences dans cette façon de voir. Voici quelques autres considérations qui contribuent à dissiper cette idée, et puis, en se tournant vers la planète Vénus, nous allons le démontrer absolument, que les diques polaires ne sont pas des calottes de neige ou de glace, ou même de givre, mais simplement des ouvertures menant à la surface intérieure et éclairée de la planète.


     Mais voyons, un autre son de cloche concernant, les zones sombres, que l'on aperçoit parfois autour des calottes polaires de Mars :

     Dans cet ouvrage de Pierre Rousseau de 1941 :


    On découvre alors ce schéma :


    et, pages 70 et 71, on y trouve :

  


    Comme on le voit, il n'y a aucun concensus, parmi les scientifiques de l'époque, autour de cette affaire de franges sombres qui fleurissent autour des calottes polaires de Mars, alors que cela s'explique tout naturellement, si on sait qu'elles ne sont que des projections lumineuses sur l'atmmosphère martienne, venant des ouvertures polaires. Leur intensité diminue donc, à mesure que l'on s'éloigne du trou central pour laisser une frange sombre au bord extrême du disque lumineux. D'ailleurs cette luminosité peut s'évanouir progressivement en fonction du diamètre des trous polaires qui s'ouvrent et se ferment, en rapport avec la respiration cosmique de la planète.

    Quant à prendre en considération, les documents de la NASA, où figurent certaines images, des pôles de Mars,, comme par exemple, celles-ci :

  


, c'est du temps totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile actuellement pour la NASA, de trafiquer des photos à sa convenance.

     Nous avons même, la preuve que cet organisme, considère le commun des mortels, comme un mouton innocent à qui on peut faire avaler n'importe quelle couleuvre mal dégrossie. Pour être édifié à ce sujet, lisez par exemple ce qui suit :

     Le 22/11/06 , en fouillant dans nos dossiers pour trouver un document égaré, nous sommes tombés très opportunément sur le n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992, où nous avons découvert un remarquable article de Mr Guillaume Cannat, qui nous a fait beaucoup plaisir.

     En voici le titre :


     Cette sonde enropéenne qui a quitté la Terre le 6/10/90 à bord de la navette Discovery, va survoler Jupiter à partir du 8 fevrier 1992 pour profiter du champ gravitationnel de la planète pour bifurquer hors du plan l'écliptique où circulent les planètes de notre système. Puis Ulysse foncera vers le Soleil et réussira ainsi à survoler ses deux pôles et faire de nombreuses mesures du vent solaire et de son champ magnétique. Le magnifique schéma suivant, nous explique cette "Odyssée d'Ulysse" :


     Cependant dans cet article, on peut lire page 23, ce paragraphe très explicite :

     " ...Jupiter et ses abords vont donc retenir l'attention du monde astronomique durant tout ce début d'année. Mais il ne sera pas possible d'admirer de nouvelles images de ce monde dont les volutes colorées ont été gravées à jamais dans les mémoires par les photographies des sondes Voyager : "Il n'y a pas de caméra à bord!", déplore Bent Pedersen. Cruelle absence pour ce chercheur d'origine danoise, venu en France pour apprendre le cinéma et devenu spécialiste de Jupiter. "Pourtant, ajoute-t-il, voir les images de ces mondes lointains, c'est un peu comme découvrir un film grandiose jusque-là censuré." Des contraintes financières et des choix scientifiques autres ont exclu la présence de caméras. "

     Nous ne croyons pas du tout à cette pseudo explication, parlant de restrictions budgétaires, mais nous pensons au contrair, qu'il y avait bien dans la sonde, une caméra secrète, camouflée pour ces deux raisons :

a) On aurait pu peut-être mieux voir l'étrange luminosité qui s'échappe des pôles de Jupiter et que le télescope keck du Mont Mauna Kea, à Hawaii, nous a mis en exergue en Février 2005.


b) Beaucoup plus utile, on aurait pu aussi, peut-être aux abords du Soleil, jeter un coup d'œil derriére celui-ci vers la position symétrique à la Terre, pour y entrevoir cette fabuleuse Anti-Terre (connue des anciens grecs), et dont nous parle notre ami José Frendelvel, dans son admirable ouvrage intitulé "l'Or des étoiles : Nouveau regard sur le système solaire"(voir notre article Terresym.html Voir justement le mot de José en date du 06/12/06 dans cet article)


      Rappelons que cette planète pourrait ne pas être sur la même orbite que la Terre, et se déplacer d'après l'ami José, tel que :


     Mais voici le meilleur de l'affaire : L'auteur Guillaume Cannat de cet article, de Ciel&Espace, sans doute grandement déçu, n'a pas hésité pour illustrer son propos, à nous présenter cette image du pôle Nord de Jupiter :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, ici, c'est cette pastille noire, presque carrée, (on est plus habitué à voir des disques noirs, quand la NASA veut nous cacher certaines choses : voir plus bas), placée juste au pôle, et pastille sous laquelle, on voit nettement fuser des rayonnements lumineux notoires. Que fait donc , cette obscure pastille ?

    Selon nous, cette affaire de trou à forme géométrique caractérisée, n'a rien à voir avec Jupiter, mais est simplement une manipulation informatique, pour "caviarder", le trou central de l'ouverture polaire, d'où jaillit naturellement la lumière éclatante du soleil central de la planète. En fin de compte, cette manipulation dérisoire, n'est pas différente de la photo suivante de l'Antarctique extraite de la page 151, du numéro 1046 de la revue Science&vie de Novembre 2004 et que nous avons vu dans notre article Byrd.html :



    Rappelons que la revue en question, n'a jamais à aucun moment, avancé la moindre tentative d'explication de cet aberrant trou noir . Vraiment , on nous prend pour de vrais nigauds décérébrés.

A vous de juger une fois de plus cette contingence insolite...

      Mais ce 27/11/2011, nous pensons, pour illustrer tout cela, qu'il est utile de reprendre ici le passage du livre de Soria page 47 intitulé Voyage, tome III aux Editions Ariane, premier trimestre 2002.

:       "...Votre isolement commence seulement à se lézarder. Les rayonnements des autres formes de vie pointent leur Lumière (Ombre ou Lumière : attention, tout n'est pas rose au sein des Univers !), et certains de vos gouvernements savent déjà à quoi s'en tenir ! Même s'ils ne vous ont pas révélé ces visites et essaient de vous ridiculiser dans votre approche des autres mondes, il est vrai qu'ils considèrent les habitants de cette Terre comme des retardés mentaux à qui il faut cacher la vérité, de manière à ne pas les affoler. La population terrienne ne jouit pas d'une grande réputation aux yeux des dirigeants! Étrange, votre choix d'être sans cesse rabaissés aux yeux des autres ! Ce miroir vous apprend-il encore quelque chose aujourd'hui ? Ne l'avez-vous pas assez exploité ? Ou avez- vous simplement oublié que vous pouvez exister sans cette reconnaissance aliénante ?...etc... ".

    C'est exactement la confirmation de ce que nous avons évoqué au sujet de la NASA et ses sbires, qui nous prennent pour des débiles mentaux .

    Mais ce 02/12/2011, plaçons encore ici, ce petit plus, des pages 189 et 190 :

      "...Afin de vous aider a intégrer ces mondes intra et extra-planétaires, des rencontres sont prévues à cet effet. Ne vous étonnez pas de la publication éventuelle de livres relatant celles-ci. Les mots, c'est bien ; les actes, c'est encore mieux ! Comme une partie de cette humanité travaillera à construire une harmonisation entre nos trois mondes, les échanges doivent s'installer non pas officieusement, mais officiellement, la première approche conduisant à la seconde. Cet événement occasionnera de grands remous dans vos sociétés. Les gouvernements ont bien du mal à cacher leurs relations avec une humanité extra-terrestre éloignée de son centre d'amour. Ils seront confrontés à l'explosion de leur silence et aux dialogues avec d'autres formes de vie. Gageons que vos chefs nationaux passeront des nuits d'insomnie et se feront des cheveux blancs, leur crédibilité étant détruite ! Une période très instable s'annonce désormais dans le monde émotionnel.

    Si les Etats-Unis ne changent pas d'attitude guerrière et continuent à imposer leur supériorité, ils vivront des instants très difficiles. Ils risquent même de se retrouver seuls, sans aucune oreille attentive pour les écouter. Rassurez-vous, je n'ai rien contre ce pays ; il se trouve simplement qu'il cristallise tous les vieux instincts. Et ces réactions risquent d'être encore amplifiées par un adversaire aussi déterminé et prêt à recourir aux mêmes armes pour démontrer sa ferme détermination à vivre sur son propre sol selon ses aspirations. Votre planète offre une diversité d'expressions qui perdurera dans le temps. Vous êtes présentement devant la nécessité de cette reconnaissance. Un état gouvernemental mondial deviendra viable le jour où cette plurialité sera acceptée dans sa totalité et envisagée comme richesse. Alors, vous verrez siéger à une table commune tous les représentants de cette multitude. Le gouvernement mondial, tel que nous l'entendons, pourra alors voir le jour. Quand le respect de la Vie circulera sur toute la surface du globe terrestre, vous pourrez envisager une monnaie unique. Vos tentatives actuelles de mondialisation sont basées sur le profit et le servage de l'humanité accompagné d'une nouvelle forme d'esclavage. Celui-ci n'est pas physique (bien que...) mais émotionnel et financier. Avant la fin de ce demi-siècle, tous les travers de personnalité vont exploser, montrant l'horreur totale de la perversion humaine "
.


    Pour ceux qui doutent encore, voici un passage très significatif, que vous trouverez dans la page de Mr Jean Sider, placée dès 09/07/2002 à :

http://www.artivision.fr/Sidervisages.html

    " D’autre part, il existe une preuve officielle montrant que la NASA n’a pas ce profil honnête que ses dirigeants affirment aux médias quand elle est questionnée par le presse sur les données collectées par ses sondes martiennes. En effet, dans un autre domaine que celui qui nous intéresse ici, elle a été prise en flagrant délit de dissimulation de l’information par un membre du Congrès américain. Il s’agit du Représentant du Michigan Howard Wolpe qui a révélé il y a plusieurs années que des enquêteurs du Congrès avaient fait un constat ahurissant. En conduisant des investigations sur un programme de réacteur nucléaire spatial SP-100 dirigé par la NASA, ils ont découvert deux pages d’instructions expliquant comment il était possible de contourner le Freedom of Information Act. Cette loi sur la liberté de l’information oblige, en théorie, à divulguer tout document ne mettant pas en cause à sécurité nationale à n’importe quel demandeur. Ces pages conseillaient de réécrire ou de détruire les documents réclamés, ou encore de les mélanger et de caviarder certains de leurs termes.(UFO Magazine, Vol.15, n°2, 2000, USA, p. 30.).

     De plus, dans le deuxième livre du chercheur Steven Greer, figure le témoignage de Mme Dona Hare. C’est une ancienne employée d’une firme sous-traitante de la NASA. Durant les années 1970 et 1971, elle a travaillé dans l’immeuble n° 8 de l’agence spatiale pour le compte de la société Philco Ford, qui avait un contrat avec l’agence spatiale.

     Un jour, elle est entrée dans le laboratoire de l’immeuble, car elle avait accès à la classification top secret. Il s’agissait d’un laboratoire équipé pour développer les photos et les films réalisés par les missions spatiales de la NASA. Le responsable de ce service était aussi chargé de "lessiver" les photos qui devaient être mises à la disposition du public. Par "lessiver", il faut comprendre le travail suivant : faire disparaître des photos tout ce que le public ne devait pas voir. Parmi les choses qui devaient être « lessivées », il y avait des ovnis.

     Mme Dona Hare prétend également avoir pu bavarder avec un homme qui faisait partie d’une équipe chargée de mettre les astronautes en "quarantaine", après chaque mission. Selon les confidences qu’il lui aurait faites, certains de ces pionniers de l’espace ont signalé avoir vu des ovnis suivre leur capsule en orbite terrestre. De plus, l’un des équipages s’étant posés sur la Lune aurait vu trois ovnis sur le sol de notre satellite. Ceux qui auraient été témoins de ces faits auraient été incités à ne pas parler de ce qu’ils avaient vu et ont dû même signer des déclarations certifiant qu’ils s’engageaient à ne pas les divulguer en public. (Steven Greer, Disclosure, Crossing Point Inc., Crozet, VA, 2001, pp. 419-420)......

     .....Un conseil pour terminer: N’ACCORDEZ JAMAIS LA MOINDRE ONCE DE CRÉDIT A CE QUE DISENT LES ORGANISMES ÉTATIQUES A PROPOS DES OVNIS ET DE L’EXPLORATION SPATIALE DE NOTRE SYSTÈME SOLAIRE. Ils ne sont pas payés pour dire la vérité au public dans ces domaines. Bien au contraire ils sont chargés de cacher la vérité sur tout ce qui s’oppose aux dogmes en place dont se satisfont les gouvernants. C’est la même chose pour la grande presse des pays industrialisés qui sont à leurs ordres. Si certaines personnes doutent de ce que je viens d’énoncer, qu’ils lisent le livre du journaliste américain Terry Hansen. Il y raconte en détail comment l’information est contrôlée aux Etats-Unis, et comment se pratique la censure sans que le public s’en rende vraiment compte. C’est absolument ahurissant, révoltant, et aussi édifiant. (Terry Hansen, The Missing Times: News Media Complicity in the UFO Cover-up, Xlibris Corporation, USA, 2000).
"

    Le témoignage très explicite de Mme Dona Hare, est repris très récemment dans la page révélatrice :

http://wikistrike.over-blog.com/article-des-ruines-extraterrestres-sur-la-lune-85183206.html

    Mais l'actualité nous interpelle ici maintenant :


      Vous avez bien noté que cet entrefilet concerne la "Conquête de l'espace" (Quel orgueil démesuré!!) , par une sonde disons, très "curieuse". ARTivision pense, que ce n'est pas demain la veille, que cette "conquête", nous apprendra grand chose, car on le sait déjà, les sondes précédentes Spirit et Opportunity, et consorts, qui ont été envoyées également sur Mars (soi-disant pour y détecter la vie ) ne sont que des leurres, et de la frime, pour faire travailler les chercheurs de la NASA, mais pas pour prouver que la vie a existé sur Mars, car alors, la preuve est déjà là, en la matière de cette "forteresse", filmée dès 1976, par les deux Vikings de l'époque, et qui, pour ARTivision, est une vraie pyramide effondrée, après des millénaires d'existence.


     En effet, le site ARTivision, dans ce cas, sera amené à croire, qu'il est dans la bonne voie, tant que, ces messieurs les bien-pensants (qui s'évertueront à faire comme l'autruche), et n'auront pas donné une explication claire et nette ( l'illusion d'optique étant exclue ) sur le contenu de cette photo qui nous vient on le sait, de l'espace depuis 1976, à l'époque où l'on ne se préoccupait pas trop de la vie extraterrestre.

     Et donc tant que ces Messieurs les irréduco-sceptiques, qu'ils soient agrégés ou pas de la faculté, et tous ces médias et autres prétentus astronomes et scientifiques de tout bord, se tairont au sujet de cette "forteresse" sur Mars, ARTivision, continuera à les pousser dans leurs plus petits retranchements et les forcer à un jour à parler ...Voila une mission très prosaïque, qui n'a rien de magique.

     Il faut en effet, alors savoir que chaque mur observé ( dont deux croisements visibles , se font à un angle droit parfait), de cette "forteresse", fait près de 300m de large et ils doivent, faire à vue d'oeil, au moins 700m de haut (alors la Tour Eiffel serait vraiment un petit bambin à côté). Le voisinage fait aussi apparaître une sorte de "pyramide" dont la hauteur dépasse le km. Pourquoi n'a-t-on pas envoyé ces sondes, justement au pied de ces mega-structures, pour mieux les analyser ? C'est exactement comme si un extraterrestre qui voudrait ralentir la découverte de l'existence d'une civilisation dévéloppée sur Terre , commencerait pour noyer le poisson, en faisant atterrir son robot au beau millieu d'une zone aride et stérile du Sahara, oubliant volontairement, Paris, New York etc...

     Vous pouvez chercher une analyse de cette "forteresse" , dans toutes les revues à vulgarisation scientifique, qui ont pignon sur rue, aucune n'a osé en parler même à titre de curiosité, car leurs journalistes n'ont aucune explication orthodoxe à présenter sur ce cas. Par contre, ces revues s'en sont données à coeur joie, sur le fameux visage car , l'explication de l'illusion d'optique s'appliquait à merveille. D'ailleurs on sait que la NASA, a tout fait pour neutraliser les formes géometriques des structures fantastiques en question.

     Pour ceux qui veulent en savoir vraiment plus sur ces structures étranges de Mars, situées dans la région de Cydonia, voici quelques ouvrages de référence :

1°) Le fascicule  américain intitulé Unsusual Mars Surface Features "  de Vincent DiPietro,Gregory Molenaar, et Dr John Brandendurg. publié 1988 par Mars Resaearch P.O.   Box 284 GLENN DALE , MAYLAND 20769.
 
 2°) L'ouvrage "Guizeh, au dela des grands secrets" de Guy Gruais et Guy Mouny  publié aux Editions du Rocher dans la collection chez l'Age du Verseau en Avril 1997.
 
3°)  le livre " Le mystère de Mars" de Graham Hancock, Robert Bauval et John Grigsby publié aux Editions du Rocher  en Octobre 2000.
 
4°) Le numéro spécial sur Mars d'Avril 2000 de la revue Science&Vie Junior  page 57 et photo visible sur notre article placé directement à: 
http://http://www.artivision.fr/lettreouverteSVJ.html
 et le nom de la photo est imcydonia1.jpg . La voici :


   Cependant (Et revoilà cette affaire d'autruche citée plus haut), cette revue à grand tirage (réservée à la jeunesse) en présentant cette "forteresse" , voir la fléche rouge à gauche de l' image ci-dessus, n'a à aucun moment  donné, la moindre information, et encore moins une explication utile à son sujet,  même comme curiosité et seul le visage a fait l'objet des commentaires de cette revue sous forme d'illusion d'optique bien sûr. C'est une honte et un défi inadmissible à l'esprit humain, que nous montrent ces journalistes soi-disant curieux de nature.

    Si vous croyez, que nous poussons le bouchon un peu loin, en parlant de manipulations photographiques de la NASA, alors jetez un furtif coup d'oeil, sur ceci :


    Autrement dit, le visage s'effrite progressivement, et donc en 1976, les appareils étaient plus performants qu'en 1998. Donc ici, on voit que la résolution de l'image est inversement proportionnelle au progrès réalisé en matière de photographie spatiale. ( Regardez bien en effet le relief très caractérisé en 1976, du petit cratère à gauche en bas, et ce même relief très avachi en 1998)

    Découvrons d'ailleurs ce qu'en dit le n° 18 de la revue Top Secret, page 37, dans un dossier de Nicolas Montigiani :

    Le texte en blanc ci-dessus dit exactement ceci :" Détail cliché n° 20020413a, sonde Mars Odyssey (13 avril 2002) : contrairement à toute logique, l'insolite structure de forme rectangulaire visible sur l'image Viking 1 n° 35A72 n'est plus visible ici. Comment une image d'une résolution de 19 mètres par pixel peut-elle faire disparaître des éléments visibles sur une autre, plus vieille et de, résolution moindre (47 mètres par pixel) ? C'est le paradoxe de la conquête martienne. À croire que plus les instruments embarquées sont précis, plus la lecture des images devient difficile, le résultat opaque."

    Pour en savoir davantage, prière de consulter le site:

Artificial Structures on Mars.

    Soyons sérieux, et arrêtons d'agir comme l'autruche, en fourrant la tête sous le sable et en faisant confiance à ces Messieurs de l'Ombre. Chacun sait qu'à notre époque, il est superbement facile de trafiquer une image avec les procédés informatiques dont on dispose.

    Tout cela est évidemment lié, aux magouilles des organismes souterrains, qui nous manipulent ouvertement. A bon entendeur salut !!.

Pour compléter ce qui précède, faisons enfin, ici, une deuxième digression, encore plus utile :

    En 1977, nous avons fait l'acquisition de l'ouvrage de 400 pages, paru en chez Larousse en Avril 1975 :

  


    On y trouve de nombreuses références à l'Observatoire du Mont-Wilson, en Californie, qui était à l'époque de l'entre deux guerres, le plus puissant du Monde, avec son télescope de 2,50 mètres de diamètre, et avoisinant un plus petit de 1,50 mètre de diamètre, et placé tous les deux, sur une sommet boisée qui s'élève à près de 1700 mètres de hauteur :


    Ce télescope du Mont-Wilson, eut un énorme succès jusqu'à l'inauguration en 1948 du grand télescope du Mont-Palomar, placé à 1830 m d'altitude et à environ 80 km, au nord de San Diego, également en Californie. Au sommet du Mont, cet Observatoire avait alors comme télescope principal un miroir de 5 mètres de diamètre, qui sera le plus imposant du Monde de 1947 à 1975.

    Mais ici nous tournons notre regard plutôt vers le télescope du Mont-Wilson, et on va vite comprendre pourquoi !

    Mais, lisons d'abord ceci en page 249 de l'ouvrage précité ci-dessus :


    Si donc, d'après les performances décrites, le télescope du Mont-Palomar, pouvait voir deux fois plus loin, que celui du Mont-Wilson, on peut donc en déduire que, grosso modo, ce dernier était tout de même, capable de voir une bougie à au moins 12 000 km , et aussi de la photographier sans trop de mal.

     Mais, c'est alors qu'intervient Super-Hasard, qui a permis à ARTivision, de faire une découverte inouïe, et cela en exclusivité, sur le Net français.

     En effet, nous rêvons depuis des années de trouver un logiciel performant, capable de nous mettre en 3D, certaines images bien singulières, comme par exemple cette photo du cratère Rutherford, de La Lune, qui est on le sait, sur le bord de Clavius , et dont nous allons vous donner maintenant quelques détails :



     La photo ci-dessus est justement, de l'observatoire du Mont-Wilson, et remonte à plus de 40 ans, à l'époque où personne ne se préoccupait de traces d'extraterrestres sur la Lune.

     Cette image surprenante, nous vient de l'ouvrage d'un certain Robert Jastrow, qui en publiant son livre en 1967 n'y a, probablement rien vu de saillant. On découvre aussi, cette étrange photo de la page 86 de l'ouvrage "Des Astres, de la Vie et des hommes" de Robert Jastrow, édité aux Editions du Seuil du début de 1971, ou dans l'ouvrage très connu dans les milieux de l'Astronomie anglosaxone, intitulé "Red Giants and White Dwarfs", de Robert JASTROW publié dès 1967 chez Harper and Row Publishers incorporeted. Nous possédons la troisième édition de 1969, version de poche, publiée par The New American Library (Signet Y4741 Science book):

  


     Le 03/07/07, pour la modique somme de 2 €, nous avons aussi reçu par la poste, le même ouvrage de Robert Jastrow, de 1990, intitulé aussi "Red Giants and White Dwarfs", considéralement agrémenté d'images nouvelles dont plusieurs en couleur :

  


     Nous nous sommes alors précipités à la page 119, et nous y avons alors trouvé ceci :


      La flèche rouge nous indique que le complexe très structuré de Rutherford est toujours là. Il y a une sorte d'obélisque surélévé sur une plateforme carrée. On y voit aussi cette sorte d'arche gigantesque en suspension sur du vide, puique son ombre apparaît en dessous de son extrémité comme l'indique notre flèche bleue. Notons toujours à droite de cette arche, de nombreux blocs à bords parallèles ou orthogonaux.

     Peut-être aussi qu'un aimable internaute parlant l'anglais couramment, pourrait-il obtenir une autre photo de Rutherford, d'un autre observatoire astronomique (par exemple celui du télescope terrestre Keck du Mont Mauna Kea, à Hawaii. Nous avons écrit pour cela à l'Observatoire en question. Peut-être, un jour aurons-nous une réponse, voir les pages en question placées à :


mais, nous n'y croyons plus du tout...
ou encore le Grand Télescope des Canaries, GTC) . Nous refusons évidemment toute photo venant de la NASA, surtout par la sonde Clémentine.

    En effet, dans notre article : http://www.artivision.fr/Nasatangible.html, notre ami Frendelvel astronome amateur, nous a présenté, entre autres images, une photo de Rutherford prise en 1964 par la sonde américaine Clémentine, et voici ce que cela donne, (Le cratère Rutherford est encerclé en rouge).

 


     A moins que cela soit dû à un jeu de lumières parasites, qui annulle tout relief notable, nous voyons clairement que ces deux photos de Rutherford sont totalement différentes de celle de Jastrow vue plus haut.

    Nous avons alors, encore ici, une preuve absolue, que l'on se moque majestueusement, de nous.

     Mais, ce n'était fini, Super Hasard, a encore fait des siennes, car en effet dans le super n° venant de la revue Science&Vie d'Avril 1964, dont voici la couverture :


     Nous avons d'abord trouvé dans la rubrique L'UNIVERS, un article incroyable pour l'époque jamais repris ensuite dans ce magazine, et intitulé : " Des lueurs étranges sur la Lune". Voici donc comment se présente le début de cet important article :


     Pour les puristes, qui veulent en savoir plus sur ce sujet, voir notre article :

http://www.artivision.fr/AstroArcheologie.html

     Mais en feuilletant, un peu plus avant, cette même revue, de Science&Vie d'Avril 1964, à la page 69, nous sommes tombés à la renverse, en y découvrant une photo, pas très superbe il est vrai, mais assez significative, devinez de quoi... du cratère Rutherford.



     En effectuant une petite comparaison, voilà ce que cela donne :



      Il y a beaucoup de concordances entre ces deux photos n'est-ce pas, et cela n'a rien à voir avec la photo de Clémentine. Voyez plutôt :

  


     A vous de juger ces étranges différences, de formes et de structures de ces deux images.

     Alors, la NASA est-elle crédible, ou pas... d'après vous ?

Fin de la deuxième digression.

III Conclusion.

     Nous pourrions, bien sûr, vous présenter beaucoup d'autres écrivains précurseurs, et aussi surtout, vous exposer d'autres images sur d'autres planètes (comme Mercure par exemple) montrant le caratère fantastique des zones polaires, que nous exposent nos livres anciens et nos télescopes depuis des lustres. Mais arrêtons ici notre verbiage, pour ne pas trop indisposer le novice, qui entre, pour la première fois, ces temps-ci, dans notre site.

     Cependant révélons, à ce novice, qu'il y a tout de même, au moins, une photo claire et nette, que la NASA, n'a pas eu, à l'époque, le loisir de caviarder. En effet, on sait que pour ARTivision, la cerise sur le gâteau, est venue de l'image obtenue du satellite de Saturne nommé Titan (5150km) ( plus gros que Pluton ( 2280km ) et même que Mercure (4960 km) ) filmé en fin Juin 04, par la sonde américaine Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride :


     Comme vous l'avez sûrement remarqué, ce qui surprend grandement sur ces les premières photos de Titan, c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète, et, vu sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque, d'environ 300 km, de diamètre.

     Isolons alors le globe de couleur bleue et agrandissons le, quelque peu :



      Pas besoin de dire que c'est cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant , qui nous interpelle ci-dessus et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct, en temps réel, aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle Sud de Titan.

A vous de juger tout cela désormais avec preuves à l'appui et bon courage aux puristes qui cherchent à en savoir plus.

     Article mis en page le 08/11/2011 , et revu le 09/11/2011, et revu le 11/11/11, et revu le 12/11/11, et revu le 13/11/11, et revu le 15/11/11 , et revu le 19/11/11, et revu le 22/11/11, et revu le 27/11/11, et revu le 02/12/11, et revu le 11/12/11, et revu le 12/12/11, et revu le 22/12/11, et revu le 20/02/12.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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