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Quand on parle en Russie de l'Hyperborée.

I Introduction.

     Le 7 Mars 2011, nous avons eu le grand plasir de recevoir par la Poste, de notre ancien élève Jean-François vivant à Paris, le beau fascicule suivant :


     Ce document nous offre, une fantastique plongée dans le monde légendaire de la contrée nordique mythique, nommée "Hyperborée", ou parfois "Thulé", et même "ultima Thulé".

     Les anciens grecs, les celtes, les hindous, les suédois et autres scandinaves, les inuits, etc...parlent de cette civilisation paradisiaque, où, comme le dit le poète grec Pindare, au sujet des hyperboréens, il se passe que : " La muse jamais ne quitte leur pays; partout chœurs de jeunes filles, lyres sonnantes, chants de flûtes, cheveux noués de lauriers d'or, festins , gaité. Ni les maladies, ni la vieillesse n'atteignent cette race sainte des Hyperboréens, ignorant des labeurs et des combats. Ils vivent à l'abri des Némésis vengeresses" .

     Mais présentons ici quelques élements de la page 14, où l'on découvre que le célèbre Dieu grec Apollon, rendait visite chaque hiver, à Hyperborée, pour se régenérer :


     Il va sans dire, que les internautes qui veulent en savoir bien plus, doivent se précipiter sur ce fascicule désormais incontournable sur le sujet.

     Nous avons même, été très surpris, d'y trouver en noir et blanc hélas, en page 16, cette incroyable photo :



     Image, on le sait, très précieuse, qui se retrouve à de très nombreux endroits sur notre site.

     Mais, c'est surtout la page 20, qui nous interpelle dans ce facicule, car elle sera justement détaillée plus bas, dans cet article :



     En effet, le 29/11/06, nous avons reçu de notre ami Christian Macé le Maître es patrouilleur du Web, une super information concernant une affaire de paradis au Pôle Nord. C'était la traduction de Google d'un site venant de la Pravda. Nous avons vite retrouvé l'adresse en anglais du site :

http://english.pravda.ru/science/mysteries/29-11-2006/85697-Paradise-0

et ce que nous y avons découvert était d'une importance telle que nous avons décidé d'en faire un article en plus de ceux qui sur ARTtivision nous parlent déjà amplement de phénomènes surprenants qui s'attachent aux régions polaires.
     Pour les puristes, nous allons aussi inscrire ici le texte du site anglais, au cas où ce site pourrait disparaîte un jour du Web, sans qu'on sache pourquoi....

II La genèse de l' affaire.

     Voici donc le texte en anglais, tel qu'il se présente sur le site de la Pravda.

Science/mysteries

29.11.2006 

Russian scientist finds Paradise at the North Pole.


   Doctor of Philosophy Valery Dyemin, a researcher of the Arctic region, maintains that Hyperborea (“beyond the Boreas (north wind)”), a mythical land that the Greeks thought was located beyond Scythia, existed in reality. The legendary French scientist Jean Sylvin Baiae attempted to prove the existence of Hyperborea a few centuries ago.

Russian scientist finds Paradise at the North Pole
Russian scientist finds Paradise at the North Pole

“Could you name any other scientists who also made a lot of effort trying to shed some light on the mystery of Hyperborea?”

“Yes, there were many of them. Not only the geographers and historians worked on the problem, the linguists also made several contributions. The rector of the University of Boston William Warren published a book titled Paradise Found at the North Pole in late 19th century. In total, there were 11 editions of the book. Warren analyzed a large number of spoken stories and legends relating to paradise on Earth (Eden). According to him, all the information contained therein stems from vague recollections of some ancient perfect land that lay somewhere in the Arctic region.”

“What exactly are we talking about? Which part of the world should we look at?”

“I believe we should be looking for the traces of that civilization in Eurasia and American arctic regions, in the islands and archipelagos of the Arctic Oceans, at the bottom of some seas, lakes and rivers. It’s worthy of notice that Russia has the largest number of locations and artifacts that could be bear relevance to Hyperborea. Some of the above have already drawn attention of specialists; others are yet to be discovered. Active exploration is currently under way in the Kola Peninsula, in the Island of Vaigach, in Karelia, Ural Mountains, West Siberia, Khakasia, Yakutia, and a few other regions. There are good prospects for conducting research in Franz Josef Land, Taimyr, and Yamal.

The geographic term “Hyperborean platform” is technical use. Scientists keep discussing the platform’s dynamics in order to find out the reasons why it sank to the bottom of the ocean.”

“In other words, Hyperborea may have stretched over the lands that eventually sank into the water?”

One of the charts by Gerhardus Mercator, the 16th century Flemish cartographer and geographer, shows a huge continent lying in the vicinity of the North Pole. The land is an archipelago composed of several islands divided by deep rivers. A mountain sits in the center of the land (according to legends, the ancestors of Indo-Europeans lived near Mount Meru). The question is: How did that land appear on the chart? There was no information whatsoever regarding the Arctic regions during the Middle Ages. We have some reasons to believe that Mercator had used an ancient chart, the one that is mentioned in his letter dated 1580. That chart showed a continent located in the center of the Arctic

Ocean, which was pictured ice-free on the chart. Mercator’s chart seems to be based on the ancient chart.”

 

Secret decree by Catherine II

“Assuming that the ancient cartographic information was available for the chosen ones in days of old, has anybody tried to search for Hyperborea in the Arctic region?”

“Some of our compatriots participated in the quest for Hyperborea. The Russia Empress Catherine II got some information of the ancient mythical land near the Arctic Circle via the Free Masons. Catherine II organized two expeditions with the help of Mikhail Lomonosov. She signed a secret decree on May 4th, 1764. The official documents indicated that the expedition headed by Admiral Vasily Chichagov had been dispatched to Spitsbergen to inspect the location for the renewal of whaling and fishing out there. However, the endeavor is referred to as an “expedition bound for the North Pole” in the memoirs by Chichagov’s son. The Master was ordered to open an envelope with detailed instructions only after his vessel had made for the open sea. According to instructions, the vessel was to head into the direction of the North Pole. Those instructions were penned by Lomonosov, by the bye. Unfortunately, the expedition couldn’t break through the thick ice and had to turn back.”

“Why was Catherine II so interested in finding Hyperborea?”

“I believe that Catherine, not unlike a few other kings and queens, was enchanted by the prospects of discovering the elixir of eternal youth, which is said to have been invented by the Hyperboreans. Pliny and Herodotus, as well as Virgil and Cicero reported that people in the land of Hyperborea lived to the age of one thousand and enjoyed lives of complete happiness. We shouldn’t forget that the Empress was a woman.”

Argumenty i Fakty

Translated by Guerman Grachev

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Et voici ce que donne notre modeste traduction :

Un scientifique russe découvre le paradis au Pôle Nord.


    Le docteur en philosophie Valery Dyemin, un chercheur de la région arctique, affirme que l'Hyperborée (au delà du ” vent du nord"), une terre mythique que les Grecs  pensaient être située au delà de Scythia, (Note du Webmaster : Pour les anciens grecs , région de la Russie méridionale où vivaient les Scythes) a réellement existé . Le légendaire scientifique français légendaire Jean Sylvin Baiae a essayé de prouver l'existence de l' Hyperborée , il y a quelques siècles.

Le scientifique russe trouve le paradis au Pôle Nord  

" Pouvez-vous nommer  d'autres scientifiques qui ont également fait beaucoup d'effort  en essayant de jeter une certaine lumière sur le mystère Hyperboréen ?

    Oui il y en a eu beaucoup. Non seulement les géographes et les historiens ont travaillé sur le problème, mais les linguistes également y ont apporté  plusieurs contributions. En fin du  XIXe  siècle, le recteur de l'Université de Boston William Warren a édité un livre intitulé "Le paradis trouvé au pôle nord" (Note du webmaster: voir biblioterrecreueuse.html n° 17) . En tout il y  eu , 11 éditions du livre. Warren a analysé un grand nombre d'histoires  racontées et de légendes concernant le paradis sur terre (Éden). Selon lui, toute information contenue là-dedans provient de vagues souvenirs d'une certaine terre  antique parfaite, qui s'étendaient  quelque part dans la région arctique.

“ Que nous disent-ils exactement  ? Quelle partie du monde devrions-nous ausculter ? ”

    Je crois que nous devrions  rechercher les traces de cette civilisation dans l'Eurasie et dans les régions arctiques américaines, dans les îles et les archipels des océans arctiques, au fond de certaines mers,  lacs et  fleuves. On doit prendre réellement note du fait que c'est en  Russie que l'on pourrait mettre la main sur  le plus grand nombre d'endroits et d'objets façonnés en rapport avec Hyperborée. Une partie de ce qui précède a déjà attiré l'attention des spécialistes; d'autres doivent être découverts encore. L'exploration active est actuellement en cours dans la péninsule de kola, dans  île de Vaigach, en Karelia, dans les montagnes de l'Ural, en Sibérie occidentale, Khakasia, en Yakutia, et quelques autres régions. Il y a de bonnes perspectives nous invitant à faire  des  recherches  en Terre de Franz Josef , dans le Taimyr, et dans le Yamal  .

   Le terme géographique  "Hyperborean plareform" relève d' utilisation technique. Les scientifiques continuent à discuter du mouvement  de la  plateforme,  afin de trouver les raisons pour lesquelles elle a sombrée au fond de l'océan. 

En d'autres termes, l' Hyperborée a pu être à la surface de terres  qui ont par la suite, plongé dans l'eau ?

    Selon  les cartes de Gerhardus Mercator, le cartographe et géographe flamand du 16e siècle, on découvre un grand continent s'étendant autour du Pôle Nord. Cette terre est un archipel formé de plusieurs iles séparées par de profonds fleuves. Une montagne surplombe au centre de la terre (selon les légendes les ancêtres des indo-européens  vivaient aux abords du Mont Méru) . La question qui se pose est :  Comment cette terre est-elle apparue sur cette carte ?  Il n'y a pas d'information concernant les régions artiques  durant le Moyen Age. Nous avons toutes les raisons de croire que Mercator a utilisé une ancienne carte, celle qui est spécifiée dans sa lettre datée de 1580. Cette carte montrait le continent en question sans glace au centre de l'Océan Arctique. La carte de Mercator serait basée sur cette ancienne carte.

Le décret secret de Catherine II

Si l'on suppose que cette ancienne information cartographique était disponible  dans les temps anciens, ce peut-il que certains aient essayé de découvrir l'Hyperborée dans la région arctique  ?

   Quelques uns de nos compatriotes ont participé à cette quête pour retrouver  l' Hyperborée .  L'impératrice russe Catherine II a obtenu quelques informations sur l'ancienne terre mythique aux abords du Cercle Arctique par l'intermédiaire des Francs-Maçons. Catherine II organisa deux expéditions avec le concours de Mikhail Lomonosov. Elle signa un décret secret  le  4 Mai 1764. Le document officiel indiquait que l'expédition conduite par l'amiral Vasily Chichagov a été détaché au Spitsberg afin d'inspecter les lieux pour le renouvellement de la pêche à la baleine et aux poissons dans la zone. Cependant, dans la mémoire du fils de Chichagov,  l'effort mis en exergue était de structurer une " expédition en relation avec le pôle Nord"

    Le pacha fut invité à ouvrir une enveloppe contenant des instructions détaillées seulement après que le vaisseau ait pénétré dans la mer libre. ( Note de Fred Idylle : voir l'ouvrage " La Mer Libre du Pôle " de J. HAYES édité à Paris en 1884 dans mon article Byrdsuite.html )

     Selon les instructions le vaisseau devait se diriger vers le Pôle Nord. A propos, ces instructions furent écrites par Mikhail Lomonosov. Malheureusement l'expédition ne put avancer à travers l'épaisse  banquise et dut s'en retourner.

Pourquoi  Catherine II  était-elle si intéresée à trouver Hyperborée ?

  Je crois que Catherine,  a contrario de quelque autres rois et reines , fut enchantée par la perspective de découvir l'elixir éternel de jouvence qui aurait été inventé par les Hyperboréens. Pline, Hérodote  ainsi que Virgile et Cicéron rapportèrent le fait que le peuple de la terre d' Hyperborée vivait près de 1000 ans et dans une vie de bonheur parfait . 

   Nous ne devrions pas oublier que l'Empire russe était gouverné par une femme.

Fin de traduction

     Nous découvrons donc que ce texte, nous plonge dans le contexte de cette civilisation légendaire de l'Hyperborée qui a fait couler tant d'encre. Cette civilisation était sans doute un avant-poste de celles qui s'étaient développée à l'intérieur de la Terre. Mais comme l'Atlantide, il semblerait que l'Hyperborée, aurait été engloutie, elle aussi, après de gigantesques cataclysmes.

     Le 04/12/06, nous avons justement à ce sujet, reçu de notre ami l'artiste peintre Philippe Henry de l'Isère (voir trois de ses oeuvres sur notre page d'accueil) , la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Philippe Henry
To: Fred Idylle.....
Sent: Monday, December 04, 2006 10:13 AM
Subject: RE : Fw: Le Paradis du Pôle Nord

          Bonjour Fred,

     Voici ci-dessous justement ce que j'ai relu hier à la page 198 du livre d'Anne Givaudan et Daniel Meurois, "Récits d'un voyageur de l'astral"

     Bonne découverte donc.

          Amicalement,

          Philippe Henry

« Il était une fois... sur Terre, un grand peuple. Il naquit un jour, il y a plus de 8000 ans, dans un pays qui s’appelait le « Pays Blanc ». Ce pays était aussi nommé le « Pays des Sept Bœufs » à cause des sept étoiles qui guidaient sa destinée et forment aujourd’hui encore un énorme chariot. Ce pays, c’est le « septentrion » que tu connais (avant la catastrophe qui l’emporta), l’Hyperborée des vieilles légendes, la mère du Royaume de Thulé. Les hommes de cette contrée vivaient sous un climat agréable et entretenaient d’importantes relations maritimes avec les autres peuples du globe. Le jour où l’axe de la Terre fut ébranlé et où la planète se mit à tourner dans l’autre sens, ce royaume s’abîma dans l’océan, puis les glaces le recouvrirent. Les hommes du reste de la Terre oublièrent alors presque jusqu’à son nom et ne virent plus à la place qu’il occupait qu’un désert de glace et de neige qu’ils appelèrent « arctique ». Seul un petit groupe d’hommes et de femmes réfugiés sur les hauteurs et aux alentours du pôle exact du globe échappèrent à la catastrophe. De cette poignée d’êtres isolés, qui avaient oublié jusqu’à l’existence d’autres créatures, allait surgir la race blanche. La petite société qu’ils formaient parvint à vivre grâce aux zones de chaleur qui existent aux alentours du pôle physique de la Terre. Peu à peu, il devinrent un véritable peuple à la recherche d’une terre plus vaste. Les hommes débarquèrent par poignées sur une contrée dont la superficie était alors plus importante qu’elle ne l’est aujourd’hui : la Grande-Bretagne. De là, ils émigrèrent vers la Pologne et l’Allemagne actuelles. La race blanche, avec ses hommes aux larges statures mais aux formes assez lourdes, se heurta alors à la race noire. Bien que sur le déclin de leur puissance, les armées noires l’emportèrent grâce à une meilleure organisation et à des armes plus élaborées. Une bonne partie du peuple blanc, celle qui prit plus tard le nom de « celte », fut alors réduite en esclavage et se mit à travailler, chaînes aux pieds, dans les mines et les champs de leurs vainqueurs. Cette situation se serait prolongée sans les lumières d’une femme du nom de Muriga. Dotée de perceptions que tes contemporains appelleraient « paranormales », celle-ci donna des renseignements précieux à ceux qui devinrent les futurs chefs celtes, qui amenèrent leur peuple à la révolte et firent fuir les Noirs d’Europe de l’Ouest. »

III Conclusion.


      Vous avez bien noté nous l'espérons, dans ce dernier texte, l'expression : aux zones de chaleur qui existent aux alentours du pôle physique de la Terre.

      Il ne nous reste donc, n'est-ce pas, qu'à découvrir d'autres textes qui nous parlent de cette affaire paradoxale, de "zones de chaleur" aux abords des pôles...

      Le chercheur Valery Dyemin nous a donné d'ailleurs quelques pistes de recherche de cette Hyperborée, ayant trait à la péninsule de kola, dans île de Vaigach, en Karelia, dans les montagnes de l'Ural, en Sibérie occidentale, Khakasia, en Yakutia etc...Avis aux chercheurs passionnés, qui en principe auront le grand le privilège de connaître le russe.

       Mais, et ce "mais" revêt ici une importance capitale, il va de soi que ces chercheurs audacieux (même s'ils se "polarisent" avant tout, sur l'Arctique) , doivent aussi commencer par mettre la main sur cette incroyable déclaration de l'explorateur russe Dumbrova :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre. "

      Bon courage donc à ces chercheurs pleins de mérite ...Ils seront assurément les pionniers incontournables de ce "Temps des Révélations", si souvent mis en exergue par ARTivision.

IV Prolongement révélateur en date du 20/12/06.


     Le 9/12/06, nous avons eu le plaisir de recevoir une missive d'un internante traducteur de textes arabes qui nous avait déjà écrit au sujet de la Terre creuse concernant le Coran. (les couleurs sont évidemment de nous)

---- Original Message -----
From: Jean T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Saturday, December 09, 2006 2:23 PM
Subject: Le Biscornue

          Bonjour Fred

     J'ai le plaisir de vous envoyer la traduction d'un texte tiré d'un livre en arabe, portant le titre " Gog et Magog ", qui retrace l'histoire d'un être appelé "Le biscornue".

Genèse de l'histoire :

     Lorsque le prophète Mohammed a commencé sa prédication, les prêtres juifs, qui ne s'attendaient pas à ce que ce prophète soit un ismaélite, ont tout fait pour le discréditer aux yeux, non pas des arabes, mais des juifs et chrétiens qui pourraient s'apercevoir qu'il s'agissait bien du prophète dont avaient parlé, Abraham, Moise et Jésus. A cette fin, ils ne cessaient de le tester. Un jour ils se sont présenté à lui en lui disant : "ô Mohammed, tu parles d'Abraham, de Moise, du Christ et des autres prophètes parce que tu as entendu leurs histoires, mais parles nous d'un prophète qui n'a été mentionné qu'une seule fois dans la Thora. Dis nous qui est-il ? Alors, il a répondu : "Je ne sais pas qui il est". A cette réponse, les prêtres juifs se sont pris d'une grande euphorie, et voulurent partir, mais avant de s'éloigner de Mohammed, ce dernier les rappela, car l'archange Gabriel lui avait transmis entre temps, la réponse qu'on trouve d'ailleurs dans le Coran, en ces termes :" Et ils te questionnent sur le biscornue,, dis leur que nous lui avons donné un grand pouvoir pour régner sur toute la Terre..". (Sourate la grotte).

     Voilà l'histoire de cet être exceptionnel, reliée à celle des habitants dont Olaf Jansen a rencontré leurs descendants, et sachez qu'au même moment où je projetais de traduire ce texte, vous avez sorti cet article où il était question, notamment de la reine Catherine II et de sa recherche de l'élixir éternel de jouvence, et chose frappante, le biscornue cherchait, lui aussi, la même chose.

     Voilà donc cette histoire :

     En voyageant du côté du pôle nord, le biscornue est tombé sur un peuple très avancé du côté spirituel: " ils se partagent tout, ont de bonnes mœurs et leurs tombeaux sont près de leurs maisons. Ils n'ont à leur tête, ni président ni roi. Il n'y a parmi eux ni riche ni pauvre, ils ne tombent pas malades et vivent très longtemps." Le biscornue s'est pris d'étonnement et il leur posa ces questions : Pourquoi vous mettez les tombeaux près de vos maisons ? Ils répondirent :"C'est intentionnel, pour que nous n'oublions pas la mort ". Pourquoi il n'y a pas de portes à vos maisons ? Ils répondirent : "n'y a pas de voleurs parmi nous".

     Il leur posa plusieurs autres questions et il eut des réponses. On est sûr qu'il s'agit d'un peuple qui s'est débarrassé depuis des millénaires des maladies qui rongent les humains avides du pouvoir et des richesses.

     Avant ce voyage qui a conduit le Biscornue à ce peuple, le livre raconte qu'il avait un ami qui serait un ange, et dont le nom est Zaraphel. Le biscornue lui a dit un jour : "Est ce que tu connais un moyen qui me permettra de rester en vie le plus longtemps possible, afin que je puisse prier et remercier Le Créateur".

     L'ange part alors dans le ciel et après un certain temps retourna et confia au Biscornue :"J'ai appris que Le Créateur a mis une source dans un endroit très obscure. L'eau de cette source est délicieuse, comme le lait dans sa blancheur et le miel dans sa saveur. Celui qui boit de cette eau ne meurt que si c'est lui même qui décide de mourir" . Le biscornue ayant entendu cette réponse, demanda aux initiés de lui indiquer l'emplacement d'une source qui se trouve dans un endroit très obscure. Personne n'a pu lui en dire quelque chose. Seul un jeune homme qui lui posa la question : "Et pourquoi, tu veux connaître l'emplacement de cette source ?". Il répondit : "Je veux cela pour une raison personnelle". Alors le jeune homme lui dit : "Je sais où se trouve cette source". Le Biscornue lui dit : "Et comment tu as appris son existence ?". Le jeune homme répondit :"J'ai lu cela dans le testament d'Adam. Il y est écrit que Le Créateur a mis une source d'eau du côté du soleil levant, cachée dans un endroit très obscur. L'eau de cette source est comme le lait et celui qui en boit ne meurt que si c'est lui même qui en décide ainsi".

     Sur ce, le Biscornue est parti à la tête d'une expédition pour arriver à cet endroit très obscur. Ce qui s'est passé ensuite, c'est que le jeune homme est tombé sur l'endroit de cette source, a bu et il est retourné, alors que lui le biscornue, n'a pas pu réaliser son vœux. Le prophète Mohammed a dit de cela :"Mon frère le biscornue est entré saint et sauf dans l'obscurité et il en est sorti saint et sauf ". Reste à dire que le biscornue a dit au peuple qu'il a rencontré : "Si je pouvais je demeurerai avec vous, mais cela ne m'a pas été permis".

      Les gens de ce peuple vivent jusqu'à mille ans et ils choisissent eux même le moment de mourir.

     J'ai traduit seulement quelques passages qui nous intéressent, et si l'on recoupe les informations en notre possession, on remarquera qu'un peuple très avancé existe bel et bien au delà du Pôle Nord, et probablement à l'intérieur de la Terre. Que l'élixir que cherchait Catherine II, n'est pas fabriqué par ce peuple, mais c'est une eau très spéciale qui donne non pas seulement la longévité, mais rend la vie à ce qui est déjà mort. On trouve cela dans la même Sourate du Coran, où il est question du Biscornue. C'est l'histoire de Moïse qui cherchait un homme qui avait de la Science et de la Sagesse. L'accompagnateur de Moise avait une sacoche contenant des poissons salés. Comme ils étaient fatigués par le voyage voyage, Moise et son accompagnateur décidérent de se reposer, alors pendant leur sommeil, les poissons touchés par l'eau sont partis vers la mer. C'est en se réveillant et en s'apercevant de la disparition des poissons dont les traces étaient visibles qu'ils ont su que l'homme qu'ils cherchaient se trouvait tout près. L'homme en question, n'est autre que celui qui accompagnait le Biscornue dans son expédition, et il est toujours en vie, comme d'autres hommes dont celui qu'on appelle l'antichrist.

     Le Coran nous apprend effectivement que l'entité appelé "Iblis", a demandé un délai jusqu'à l'heure de la fin. Le Créateur lui a répondu qu'il sera parmi ceux resteront en vie jusqu'à l'heure de la fin. Cela prouve que dans notre monde, il y a les mauvais et il y a les bons. Mais dans tous ces récits, où se trouve la vérité ?

     Il y a sûrement des documents anciens qui parlent de choses qui ont existé et de faits survenus, il y a des millions d'années. L'histoire de la Terre et de l'Univers est quelque part bien cachée que ce soit par les méchants qui cherchent la domination ou les bons qui ne veulent pas que des secrets tombent entre les mains des méchants, qui n'hésiteront pas à s'en servir. D'ailleurs voyez les armes que ces civilisés développent, et voyez ces usines et cette industrie qui tuent les formes de vie, y compris les êtres humains.

     J'espère que nous feront ensemble d'autres découvertes, avec nos moyens médiocres certainement, mais nous pouvons faire mieux avec notre esprit qui est notre véritable force et notre machine à nous déplacer où l'on veut et quand on veut.(Note du webmaster: notre interlocuteur fait ici certainement allusion au voyage astral et à l'exploration des annales akashiques, si bien mis en exergue par Lobsang Rampa).

     Malheureusement, en ce qui me concerne, je n'arrive pas encore à le faire, car cela me permettrait d' aller voir ce peuple bon et de prospecter des endroits comme le Lune par exemple. Je sais qu'en réalité l'homme n'a pas besoin de véhicules fabriqués avec des matériaux, mais que chacun de nous peut fabriquer son propre véhicule qui le conduira très loin dans l'univers. C'est extraordinaire tout ça, et pourtant c'est vrai, car le prophète Mohamed l'a fait. Cela se trouve dans un récit du Coran, sourate " Al Israa ", c'est à dire le voyage. Jésus l'a également fait lorsque les juifs ont décidé de le tuer, et plusieurs autres maîtres avant eux. Ce qui m'interpelle, c'est qu'étant un simple homme, j'ai beaucoup à apprendre pour connaître la vérité et peut-être ne jamais la connaître. C'est pour cela que je déteste les médias officiels, véritables sociétés de fabrication de mensonges. J'ai vu des objets volants non identifiés, et je ne trouve personne qui puisse me dire ce que c'est réellement. Alors je me lance dans la recherche, avec mes propres moyens. Jamais je n'oublierai que ces objets étaient devant mes yeux, à quelques mètres seulement de la fenêtre de ma chambre, d'où je regardais le spectacle qui s'offrit à mes petits yeux d'enfant. Depuis je cherche à savoir, et c'est pour cette raison qu'on est là. Savoir, c'est tout ce qu'on demande avant de quitter ce monde.

          Jean T.....

V Prolongement révélateur concernant l'origine des esquimaux en date du 21/01/07.


     Les ethnologues n'ont pas arrêté de s'interroger sur la provenance de ce peuple très spécial que constitue les esquimaux. Sur le site :

http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=2886545

, on apprend que dans l'ouvrage "Le kayak esquimau" des auteurs GUERIN M.-L. ; GLOTIN J.-B. ; LECOMTE C, il est précisé que " L'expédition Trehouart et Le Cornulier au Groënland ramena à Nantes, en 1836, un Kayak, bateau de chasse esquimau que l'on peut voir maintenant au Muséum d'Histoire Naturelle. Long, étroit, ponté et bien fini il fut remarqué par beaucoup de «fous de bateau». En 1938, l'un d'entre eux en fit une reproduction. En 1986 un plan en fut fait par un autre. Ils se rencontrèrent en 1993 et projetèrent un exposé sur le kayak bien aimé. Après un préambule de M. L. Guérin exposant l'histoire du kayak du Muséum de Nantes, C. Lecomte rappelle l'origine sibérienne des Esquimaux, la méthode de construction des bateaux de peau, partant des bauquières et non de la quille comme on le fait habituellement. "

     Donc comme vous le voyez ici, ces exquimaux ne peuvent venir que de la grande Sibérie...

     Mais voyons plus loin : Dans l'ouvrage de Louis Pauwels et de Jacques Bergier "Le matin des magiciens" publié chez Gallimard en 1960, on peut lire ceci :

     "Déjà, en archéologie, tout change. Notre civilisation accélère les communications, et les observations faites sur l'ensemble de la surface du globe, rassemblées, confrontées, débouchent sur de grands mystères. En juin 1958, l'institut Smithson publie les résultats obtenus par des Américains, des Indiens, des Russes (d'après le New York Herald Tribune du 11 Juin 1958) . Dans les fouilles effectuées en Mongolie, Scandinavie, à Ceylan, près du lac Baïkal et sur le cours supérieur de la rivière Lena, en Sibérie, on découvre exactement les mêmes objets d'os et de pierre. Or, la technique de fabrication de ces objets ne se trouve plus que chez les Esquimaux. L'institut Smithson s'estime donc en mesure de conclure qu'il y a dix mille ans les Esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan et la Mongolie. Ils auraient ensuite émigré brusquement vers le Groenland. Mais pourquoi? Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement, et en même temps, de quitter ces terres pour le même point inhospitalier du globe ? Comment ont-ils d'ailleurs pu le gagner? Ils ignorent encore maintenant que la terre est ronde et n'ont aucune idée de la géographie. Et quitter Ceylan, paradis terrestre ? L'institut ne répond pas à ces questions. Nous ne prétendons pas imposer notre hypothèse et ne formulons celle-ci que comme exercice d'ouverture d'esprit : une civilisation supérieure, il y a dix mille ans, contrôle le globe. Elle crée dans le Grand Nord une zone de déportation. Or, que dit le folklore esquimaux ? il parle de tribus transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps, par des oiseaux métalliques géants. Les archéologues du XIX e siècle ont beaucoup insisté sur l'absurdité de ces "oiseaux métalliques" . Et nous?

     Nul travail comparable à celui de l'institut Smithson n'a encore été fait sur des objets mieux définis. Par, exemple, sur les lentilles. Des lentilles optiques ont été trouvées en Irak et en Australie centrale. Proviennent- elles de la même source, de la même civilisation ? Aucun opticien moderne n'a été appelé à se prononcer. Tous les verres d'optique, depuis une vingtaine d'années, dans notre civilisation, sont polis à l'oxyde de cérium. Dans mille ans, l'analyse spectroscopique prouvera, par l'analyse de ces verres, l'existence d'une civilisation unique sur le globe. Et ce sera vrai.
"

     Vous avez bien lu, que le folklore des esquimaux parle de transport du peuple par de grands oiseaux métalliques (ce qui continue à faire rire les biens-pensants plein de suffisance actuels), mais ce que l'on ne nous dit pas ici, et (Pauwels et Bergier semblent l'ignorer) c'est que ces oiseaux ne venaient pas du sud (en l'occurence de la Sibérie), mais tout au contraire du Pôle Nord.

     En effet, on sait qu'en 1920 Marshall B.Gardner un habitant d'AURORA dans l'Illinois publia, un livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre" de 456 pages, accompagné d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire :

  


     Et dans ce livre, il prétend page 302, que " Les Esquimaux disent que leurs ancêtres ont été originaires d'une terre au nord où le soleil ne se couche jamais .... Dans les efforts de ces Esquimaux pour dire où ils sont venus, ils indiqueraient le Nord, et décriraient une terre de prospérité perpétuelle..."

     Et dans dans son livre "La Terre creuse" R. Bernard poursuit : " Là il n'y à jamais d'obscurité. Là règne un climat tempéré. Les lacs n'y sont jamais gelés, des hordes d'animaux errent dans les broussailles, des oiseaux de toutes les couleurs sillonnent le ciel. C'est une terre d'éternelle jeunesse, où les gens vivent des milliers d'années dans la paix et le bonheur... il y a encore cette légende irlandaise d'un royaume radieux au-delà du septentrion. Le même sans doute qu'évoquent les légendes scandinaves sous le nom d'Ultima Thulé."

     Que dire donc de plus, sinon que pour rester pragmatique dans cette affaire, il ne nous reste qu'à découvrir, le ou les ouvrages qui nous parlent vraiment des légendes du peuple des esquimaux, et aussi de nous émerveiller alors, une fois de plus, sur le prestigieux Passé de notre planète.

     Article mis en page le 05/12/06 , et revu le 06/12/06, puis le 21/12/06, puis le 22/01/07et revu le 06/12/06, puis le 21/12/06, puis le 08/01/08 , puis le 23/06/08, puis le 26/03/2011.

IDYLLE Fred

fred.idylle@orange.fr

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