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Nouveau mystère, à l'extrémité du terminateur de la planète Mercure.


I Introduction.

    Sur le site :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Terminateur

     On peut lire entre autres choses passionnantes :



Sur Terre.

     Le terminateur , sur la Terre est un cercle dont le plan est perpendiculaire au plan de l'écliptique et dont la circonférence est à peu près celle de la Terre lorsque celle-ci est éclairée par le soleil. En dehors des régions polaires, le terminateur passe par n'importe quel point de la surface de la Terre, deux fois par jour : au lever et au coucher du soleil.

Sur la Lune.

     Le terminateur lunaire, observé pour la première fois à la lunette par Galilée, représente la zone la plus intéressante de la lune à observer.

     C'est le terminateur , qui trace pour notre perception, le contour des différentes phases de la lune que nous observons depuis la terre. En raison de la faible élévation du Soleil, les reliefs situés dans cette région sont éclairés en lumière rasante et voient leurs profils accentués, bien délimités par leurs ombres grâce à l'absence de diffusion par une atmosphère. Le facteur de brillance longitudinale qui représente l'angle idéal d'élévation du Soleil au-dessus des reliefs se situe entre 5° et 15° environ, ce qui procure le maximum de contraste en raison des ombres portées.


     Cet article aurait pu parfaitement s'intituler :

Quand, en Mars 1992, le planétologue Pierre Thomas parle, dans la revue "Ciel et Espace" d'une super photo de Mercure que la revue, chose étrange , a carrément "oublié" de montrer.


     Pierre Thomas, est géologue, planétologue et professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Lyon.. Il fait souvent des conférences dans les cercles astronomiques français. C'est dire que ce Monsieur sait de quoi il parle quand, il présente , un article, dans la revue de vulgarisation scientifique comme "Ciel et Espace".

II Genèse de l'affaire.


     Toute cette affaire a débuté, lorsque, le 20/03/2012, en fouillant dans nos boîtes de dossiers, nous sommes tombés sur un article de ce Mr Pierre THOMAS, de la revue "Ciel et Espace" de Mars 1992, n° 267 dont, voici pour les puristes, la photo de la couverture :


      Faisons déjà ici, une première digression :

      En effet, à propos d'énigmes de l'Univers, puisqu'on en parle ici , remarquons en passant qu'en 1992 cette revue n'avait pas eu en main les données d'une huitiéme énigme, mise souvent en relief par le site ARTivision, et énigme très surprenante, dont les milieux spécialisés en astronomie, évitent soigneusement ces temps-ci de parler. Il s'agit d'un phénomène lumineux étrange apparu au pole sud de Titan, stellite de Saturne visité en 2004 par la sonde Cassini Huygens lancée aux USA, le 15 Octobre 1997. En effet, même, Mme Athéna Coustenis, astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, (voir notre article : Titandunes.html), dit , qu'elle ne sait pas comment qualifier ce disque extrêmement brillant que l'on aperçoit au pôle sud de Titan, tel qu'il se présentait à l'époque :


     Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte de nuage" (mais elle évite de parler de son extrême brillance) qui se présente sous la forme d'un vortex tournant au Pôle Sud de la planète, et vortex qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique.



      En effet, pas besoin de dire que c'est cet œil surprenant de Titan, et surtout, extrêmement brillant, qui nous interpelle ci-dessus et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout, que c'est parce que la sonde Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997, (et qui a filmé Titan en 2004) avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne ,la France, l'Italie... etc..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux qui est apparu au Pôle sud de Titan.

      Mais certains des spécialistes, qui ont mis en relief les 7 mystères présentés dans le n° 267 de Mars 92 de la revue "Ciel et Espace" en question, pourraient sans hésiter une seconde, qualifier de minuscule, cette affaire du disque brillant de Titan par rapport autres évoquées. ARTivision sortira alors de son chapeau magique, cette autre image suivante, plutôt inouïe , de la planète Mars :


      On peut alors découvrir cette image à son adresse Web actuelle :

http://web.archive.org/web/20040705223215/http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Mars083103.jpg

      Mais il faut inverser l'image en mettant l'Est à droite, et l'Ouest à gauche, comme nous l'expliquons dans notre article :

http://www.artivision.fr/mystifications.html

      A vous de juger ces étranges énigmes supplémentaires.

     Fin de la digression.

     Et voyons maintenant, le début de l'article en question de Mr Pierre Thomas :


     Puis, voici donc ce que l'on découvre aux pages 57 et 59, après réajustement des colones:


Vous avez bien nté nous l'esperons que Mr Pierre Thomas précise clairement que Mariner 10 a, en 1974 photographié le Pôle Nord de Mercure situé juste sur le terminateur et que l'on y voit la moitié d'une tache brillante dont la brillance proviendrait d'une éventuelle présence de glace.

Bien qu'il précise que la tache en question n'est pas différente dea zones non polaires, nous notons bien que Mr Pierre Thomas n'a pas utilisé l'expression "tache blanchâtre" qui serait plus logique, mais bien l'expression "tache brillante" qui supprend davantage...

     Pour y voir plus clair, analysons donc quelques photos de Mercure présentant le terminateur en question :

Commençons d'abord par la photo hélas à cheval sur deux pages du la revue n° 267 "Ciel et Espace", de Mars 92 en question :


     Y voyez-vous donc au nord du terminateur un cratère ayant une brillance particulière pour que Mr Pierre Thomas puisse en parler si ostensiblement ? On ne voit rien... Donc il ne s'agit pas du terminateur en question...

     Dans le n° 143 la revue "Ciel et Espace", de Janvier-Février 1975 on trouve cette image :


     Bien que l'on sache que la résolution de l'image de l'époque n'était pas des meilleures, on ne voit ici, aucun cratère sur terminateur Nord qui montre une brillance quelconque. Peut être qu'il ne s'agit pas du même terminateur évoqué par Mr Pierre Thomas !

     Voyons maintenant cette image double du numéro special d' Avril 1974 la revue "Science et Avenir" intitulé " La découverte des Planètes" :


     Même remarque uue ce qui précède...

    Voyons aussi le n° 242 de Décembre 1997 de la revue "Pour la Science" édition française de "Sientific American" et intitulé "Mercure la planète oubliée":


     Superbe image en couleur. Vers le bas à droite apparaît une zone blanchâtre insolite ,


mais, hélas elle n'est pas au Nord, et elle se trouve hors du terminateur évoqué si clairement par Mr Pierre Thomas. Nous espérons que ce n'est pas ce genre de tache , que ce Monsieur très qualifié, a osé catalogué de "tache brillante".

     Voyons, maintenant, la page 22 du n° spécial intitulé "Planètes les nouveaux mondes" de la revue "Ciel et Espace" de Oct-Nov-Déc 1989 :


     Image ayant une très bonne résolution, mais, bigrement hélas, il y manque justement les régions polaires que nous gardons spécifiquement à l'œil, au bout de ce terminateur.

    Cette absence des pôles est ici, si bien marquante et surprenante, que l'on se demande, si elle n'est pas voulue....

     D'autre part, nous n'avons pas pu encore retrouver sur Google, la photo ( présentant une tache brillante sur le terminteur nord) qu'aurait prise Mariner 10 en 1974, et nous nous contenterons de présenter l'image que nous avons trouvée sur le remarquable site suivant :

http://spacehole.free.fr/normal/webspace/Mercure.html


et, imaginons avec un peu d'audace, voulez-vous, ce que pourrait être, le long du terminateur, (avec certes une luminosité un peu forte) la moitié de cette tache brillante au Pôle Nord de la planète:


    Nous supplions donc avec la plus grande des déférences, l'internaute qui aurait retrouvé une photo de Mariner 10, ressemblant à celle qui précède de nous en faire SVP une copie. Merci d'avance, mille fois.

     Le site ARTivision a poussé aussi, l'audace jusqu'à écrire à la rédaction de la revue Ciel et Espace (http://www.cieletespace.fr/) la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Fred IDYLLE
Sent: Sunday, April 15, 2012 7:53 AM
Subject: Lettre à Ciel et Espace.
        Très valeureuse équipe.

    Bonjour de l'archipel de la Guadeloupe dans les Antilles françaises.

    Ce message est de la plus haute importance que vous puissiez l'imaginer.

    Cette missive gagnerait à être transmise à votre collaborateur Mr Pierre Thomas, s'il est encore de ce monde, car il a affirmé dans votre n°267 de Mars 1992, que Mariner 10, a, en 1974, photographié le pôle Nord, de Mercure situé juste sur le terminateur où l'on voit ainsi la moitié d'une tache brillante.

    Hélas à mon grand désespoir il n'a pas présenté dans son exposé, cette photo capitale pour mes recherches. Si vous arrivez à me retrouver ce cliché de la NASA, je vous serai alors d'une infinie reconnaissance et je saurai vous le montrer en temps utile.

     En terminant, je vous dis enfin, à un de ces jours prochains si le Maître du Temps , nous en offre l'opportunité.

     Vives cordialités tropicales.

        Fred IDYLLE


     Comme nous n'avons reçu aucune réponse, alors nous pensons ici, que c'est le moment utile de sortir la celèbre réplique de Paul Féval, dans son roman de 1858 le "Bossu" : "...et, quand il sera temps, si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi ! "

      Cette missive est donc, une sorte de deuxième lettre ouverte à la revue "Ciel et Espace" la première étant placée à:

http://www.artivision.fr/lettreouverteCe.html

     Cet article n'aurait sans doute pas vu le jour, si nous n'avions pas, dans notre bibliothèque l'ouvrage de (1920), qui parle aussi de Mercure de Marshall B. Gardner, dont voici donc, une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de l'ouvrage en question :

  

      De la page 96 à 99, on découvre ceci, que nous avons traduit très modestement :

"Le professeur Proctor parle de MERCURE.


     Et juste pour montrer au lecteur comment fonctionne notre théorie universellement, référons-nous à une autre planète sur laquelle les observations peuvent être faites des ouvertures polaires. Il est également Mercure - de la planète qui est si près du soleil qu'il fait le tour autour de lui dans quatre-vingt-huit jours. De cette planète Richard A.Proctor, est l'un des meilleurs astronomes connus du XIXe siècle, dit:

"on pourrait mentionné en passant un phénomène concernant Mercure, et s'il est vrai, il pourrait, à juste titre, être considéré comme venant d' énergies volcaniques comme ceux qui agissent sur notre propre terre .... Ce phénomène serait d'ailleurs comme en provenant des forces d'un enfant chétif par rapport aux énergies d'un géant. Sur le disque noir de Mercure, quand la planète est en transit, est apparue une sorte d'illumination venant de la surface de la planète ou de son atmosphère. Mais cela ne saurait venir de son atmosphère ni de quelques trainées aurorales vu l'intensité du phénomène. Si la surface de Mercure resplendissait de cette lumière ainsi censée avoir été vue, alors il peut être facilement démontré que plus de la surface de centaines de milliers de miles carrés, doit briller avec une intensité d'éclat par rapport à laquelle la luminosité d'une lumière oxydrique ferait pâle figure. En fait, cette lumière oxydrique est la noirceur absolue par rapport à l'éclat intrinsèque de la surface du Soleil. Et le point lumineux censé appartenir à Mercure, a été observé avec un système de verres très assombris ((et avec d'autres dispositifs pour réduire la lumière du soleil). Mais il peut y avoir aucune espèce de doute que la tache lumineuse soit un phénomène optique seulement. "

La Lumière solaire seule est à prendre en compte.


     Encore une fois, nous sommes d'accord avec l'observation, mais pas avec la conclusion. Voici un spot de lumière, bien vu à travers un télescope, si brillant que l'observateur le compare à l'incandescence d'un soleil. C'est une lumière beaucoup plus lumineuse que n'importe quel simple reflet pourrait donner. Mais nous devons nous rappeler que, pour Proctor une telle apparence doit avoir été stupéfiante à l'extrême. Non seulement il ne m'y attendait pas, mais il était tout à fait non préparé à voir un tel phénomène. Et il était tout à fait incapable de l'expliquer. Et c'est une bonne règle que lorsque l'on ne peut pas expliquer une chose, on la tranforme en une autre chose. Donc, Proctor considère cette lumière comme étant "un phénomène optique seulement". Oui, bien sûr, c' est un phénomène optique, mais pourquoi dit-il "seulement"? Tout ce que nous voyons est un phénomène optique, mais nous essayons généralement d'en expliquer la constitution. Un homme qui a vu les phénomènes optiques qui étaient sans explication, ou sans cause, serait dans une position très ambigüe. Les gens disent qu'il aurai "vu des choses" mais leur explication de suivrait pas. Mais nous ne pouvons pas supposer qque les yeux de Proctor lui avaient joué un tour. Il était un observateur astronomique qualifié. Donc, ce qu'il a vu, doit avoir une explication ou une cause. Il ne peut pas avoir vu un "mythe", comme il s'affirme.

     Maintenant, il est évident pour nous que ce qu'il a vu était le soleil central de Mercure rayonnant directement à travers l'ouverture polaire, et que Mercure étant une petite planète le soleil intérieur serait plutôt près de l'ouverture, et il n'y a certainement pas une atmosphère aqueuse avec des nuages, pour assombrir ses rayons , et c'est ainsi que ce soleil allait briller avec une extrême luminosité. Et il est remarquable que ses faisceaux lumineux n'ont pas porté à l'esprit de Proctor le fait qu'ils ressemblaient à ceux du soleil qui brille dans le ciel de toutes les planètes.

     Qu'aurait-on souhaité de mieux pour montrer que Mercure , ainsi que les autres planètes possèdent un soleil central, que la présence d'un tel Soleil est universelle.

     N'est-il pas significatif qu'en commençant par des observations sur Mars, nous avons été en mesure de passer à Vénus, et puis à Mercure, pour appliquer les mêmes critères, et obtenir les mêmes résultats ? Les tests furent l'observation directe ou l'observation photographique. Les résultats en sont, l'apparition invariable d'un soleil central."


     Pour les puristes qui aiment remonter aux sources, voici les ouvrages publiés pas le professeur Proctor au XIX e siècle :


      Enfin, notons avec soin, que la revue Ciel et Espace, mise ici, en exergue, nous précise bien qu'en 1993, il y aura une nouvelle fenètre d'observation pour le Pôle Nord et en 1994 pour le pôle Sud qui est en fait très difficile à observer.

   Etant au courant à l'époque de cette affaire (voir notre article : Byrdsuite.html), nous avons en vain attendu, que la "Presse spécialisée", nous transmette les résultats de ces observations de Mercure, en 1993 et en 1994, mais hélas jusqu'à ce jour, ce fut le mutisme le plus complet. Pourquoi ? Les bien-pensants vous diront que, les observations n'ont pas pu être faites simplement à cause de perturbations atmosphériques, de poussière parasites ... etc.. Rappelons cependant, que le Télescope Hubble, ( qui ne craint aucune perturbations climatiques), a été lancé en Avril 1990, et sa miopie fut réparée en fin 1993. Si donc on ne pouvait l'utiliser pour analyser Mercure en 1993, il était fort possible de le faire en 1994. Pourquoi donc ce mutisme caractérisé des officiels de l'époque ??

      A vous de juger, tout cela une fois de plus...

III Conclusion.

     Si, l'histoire du professeur Pierre Thomas s'avère fondée, et que la tache brillante, à laquelle il fait allusion, n'est pas seulement, une tache blanchâtre négligeable , alors on arrivera un jour, à mettre la main sur cette photo de Mercure montrant la moitié cette tache brillante au bord nord du terminateur, et le site ARTivision, aura une fois de plus mis le doigt, sur un élément d'une extraordinaire affaire qui concerne une conception révolutionnaire, de notre Planète, et aussi de notre Système Solaire.

IV la photo de Mercure venant de la sonde Messenger (paragraphe en date du 21/06/2012).


     Sur le site : http://fr.wikipedia.org/wiki/MESSENGER

, on peut alors lire :

     "Le programme MESSENGER (en anglais : Mercury Surface, Space Environment, Geochemistry and Ranging) est une mission d’étude de la planète Mercure de l’agence spatiale américaine de la NASA. La sonde spatiale, lancée en 2004, se place en orbite autour de la planète le 18 mars 2011. L’objectif de la mission est d’effectuer une cartographie complète de la planète, d’étudier la composition chimique de sa surface et de son exosphère..".

     Le 20/06/2012, nous avons reçu de l'ami Jean-Yves, l'url suivant :

http://photojournal.jpl.nasa.gov/jpegMod/PIA15190_modest.jpg

et on y voit ceci au pôle de Mercure :


     De cette photo (difficile à trouver même sur Google-images), on en déduit qu'il n'est pas nécessaire de sortir de Polytechnique pour s'apercevoir, à l'instar de cette photo stupéfiante de Jupiter, bien connue des amis d'ARTivision :


, que cette plaque noire au sommet de Mercure ( qui s'étant sur de très nombreux km2, et qui coupe lamentablement en deux un superbe cratère dont on a aussi noici le fond ), n'est qu'un moyen ridicule de camoufflage, d'une zone sans doute trop brillante pour être exposée au grand public :


     Mais un dique noir, de même nature, apparaît aussi sur la page :

http://www.nasa.gov/mission_pages/messenger/main/index.html


     A vous de juger ces nouvelles incongruités

     Article mis en page le 19/06/2012 , et revu le e 21/06/2012 .

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