Voici donc quelques lignes de cet
article:
"Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux
quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les
moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics
plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche
où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un
spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée
étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée
d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand
désert de glace.
D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine
Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14
Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à
dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui
s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace
au sommet de laquelle ils se trouvaient.
Après une
longue heure de descente, ils avaient changé de monde
: une plaine où régnait une végétation
prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre
indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires.
Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et
grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses
compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les
herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ,
ils virent une tache brune qui se déplaçait
lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un
animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal
qui ressemblait étrangement à
un mammouth.
Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce
jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs
de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un
instant le retour au campement de base.
Après avoir
repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons
prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre
eux le "paradis
perdu". Malheureusement, il leur
fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques
kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible
au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées
topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée
étroite et profonde couverte d'une végétation
luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une
véritable oasis de vie au milieu du grand désert
de glace.
Fin de
citation.
Notons,
qu'avec
grand regret, nous
n'avons pas trouvé les sources importantes
relatives à cet extraordinaire récit de
Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir
du philosophe
Jean Brun (1919-1994),
qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc,
avec
la plus grande
déférence,
tout internaute qui
connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore
vivant), de lui demander la nature des documents,
où il a puisé, les éléments étranges de ce qui
précède. Il y va de
notre plus
grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous
allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de
notre meilleure appréciation du contexte de notre système
solaire.
Merci
d'avance...
Après
son périple périlleux du 9 Février 1926,
Byrd a-t-il pu vraiment, aller explorer le
14 Juin 1926, de visu et à pied, avec
le capitaine Fitin et consorts,
cette zone verdoyante aperçue en avion, ce 9 Mai. C'est à vous qu'il appartient donc de confirmer ou d'infirmer ce fait, tout en pensant que
Monsieur Jean Brun, aurait tout aussi bien pu écrire là, un best-seller de la Science-Fiction,
plutôt que d'inventer une telle histoire...
Mais, le Webmaster d'
ARTivision, a aussi son explication, concernant le fait que Mr
Jean Brun n'ait pas voulu livrer,
la source de son extraordinaire information ci-dessus. En effet il a pu la capter dans
un document classé "Secret Défense", que lui aurait glissé entre les mains, le Sieur
Jacques Bergier, grand éditorialiste de
la revue NOSTRA, et savant atomiste français,
qui on le sait, à une époque, faisait partie des
Services Secrets, du pays. Donc, il n'était pas question que
Jean Brun, puisse révéler cela.
Point à la ligne...
Pour
les puristes qui
aiment remonter aux sources, voici quelques articles, que nous avons sous la main, de ce
Jacques Bergier, qui pourraient intéresser certains chercheurs, et parus dans la revue
"Sciences et Avenir" des années
56 et 57 :
- n°111, Mai 1956, "
Les travaux de Pontecorvo en URSS, pour découvrir l'anatomie du proton".
- n°112, Juin 1956, "
L'oxygène atomique de la haute atmosphère, combustible des engins téléguidés de demain".
- n°114, aout 1956, "
Quand l'industrie annexe l'alchimie".
- n°115, Septembre 1956, "
Le 17 Septembre, la planète Mars ne sera qu'à 59 700 000 km de la terre".
- n°117, Novembre 1956, "
Qu'est-ce que le feu ?".
- n°118, Décembre 1956, "
Les dernières équations d'Einstein recèlent-elles les secrets de l'antigravitation ?".
- n°122, Avril 1957, "
Les déchets des piles atomiques feront naître demain une radio-chimie".
- n°123, Mai 1957, numéro spécial "
Les portes de l'an 2000", auteurs non différenciés
(Pierre de Latil, Albert Ducrocq, Jacques Bergier, etc.) Présomption articles de JB : "
Les hommes de demain raisonneront-ils avec des machines " et "
Au-delà des usines sans hommes, la nation automatique".
- n°125, Juillet 1957, "
La plus grande révolution de la physique depuis Einstein : le principe de parité s'effondre".
- n°128, Octobre 1957, "
Des progrès décisifs dans la domestication de l'énergie H".
Comme vous le voyez, ce savant
ne se tournait pas les pouces à cette époque.
Il nous appartient alors maintenant de présenter,
une aventure très particulière, arrivée à
l'amiral Byrd, mais cette fois, au
Pôle Sud..
L'information en question, est sortie dans le
n° 21 de la
revue Nexus de Juin-Juillet
2002... Bravo
donc, à l'internaute, qui trouvera dans un vide-grenier,
cet exceptionnel n° 21 de
Nexus.
Pour les
puristes donc, voici aussi, la couverture de cette remarquable revue
:
et dont voici à titre documentaire le
sommaire :
où, l'on découvre
un article concernant
la Théorie de la
Terre creuse, qui pour
ARTivision, est parfaitement démontrée,
noir sur blanc ,
dans près de 100 articles et des poussières ...
Point
Barre.
Voici donc, ce
super article de
Monsieur Pascal Cazottes, dont nous donnons
seulement, le début :
Voyons d'abord ce
texte préliminaire :
Et au bas du texte, on découvre plus clairement :
Les phrases en rouge, sont
assez claires et
significatives, pour que nous n'ayons pas besoin d'en dire plus,
n'est-ce pas ? On reste
cependant
bouche bée, en
découvrant que c'est le
génial mathématicien
suisse Euler ( 1707-1783),
(toute information à son sujet concernant un texte, où il
affirme cette affaire de Terre creuse, serait la bienvenue), qui
semble être le premier ( il y eu d'autres thèses bien moins superbes), à avoir
conçu que la Terre pouvait,
être creuse avec
surtout, un soleil central, tel que le découvrirent
( voir notre article à : SmokyGod.html ), les norvégiens
Olaf Jansen et son père, partis
en voyage de découverte en
1829, en
direction du Pôle Nord.
Selon nous, ce mathématicien prodigieux, a dû recevoir en temps utile, une
inspiration bien
calibrée, pour nous produire
une
si remarquable thèse, qui n'est toujours pas admise dans nos
universités, et thèse, qui remet en question toute notre connaissance
de la géographie et de la géodynamique de notre
planète Terre, et même la
connaissance intime de notre système solaire.
Si nous parlons ici de cette audacieuse hypothèse,
d'une inspiration, venue
d'ailleurs
pour le prodige Euler (et pour bien d'autres écrivains comme Jules Verne), c'est d'une part parce que le
site
ARTivision, ne
croit pas du tout, au
banal Hasard, soumis à
une simple fonction aléatoire, des
rationalistes endurcis.
D'autre part, nous allons une fois de plus nous référer,
à l'incroyable
texte (déjà présenté dans de nombreux articles
), dit
transcendant, (venu d'une autre
dimension supérieure à 3 ) qui suit, et texte qui ferait rêver sans doute
assurément même, les meilleurs auteurs de Science-fiction :
"L'intérieur de votre Terre est creux ; un Soleil y réside, permettant la vie comme sur
la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités
physiquesd'Urantia
Gaïa. Suivant le cercle d'influence atomique, certaines
peuvent avoir des relations directes et physiques avec le peuple extérieur, vous Ainsi parmi les survols d'ovnis, quelques-uns
sont imputables aux
intraterrestres. L'harmonie interne de votre sphère
d'accueil subirait des interférences si ces êtres n'intervenaient pas dans votre
évolution. Il n'est pas rare que les
scientifiques internes surveillent les travaux des vôtres,
les aidant même en laissant des formules dans la
matrice des ordinateurs ou en envoyant l'un des leurs se fondre au sein de votre multitude. Certains occupent des postes importants dans votre société,
contrôlant ainsi les progrès, en favorisant certains ou en écartant d'autres, mais en tenant toujours compte de votre degré d'ouverture d' esprit, de vos faiblesses, de vos points forts et du maintien de l'équilibre du centre de la
Terre. Parfois, des documents disparaissent, étant jugés sortis trop tôt, pour
réapparaître dans une séquence plus appropriée. Il est temps de trouver un point
de rencontre conscient entre eux et vous. Seule
votre volonté de développer un échange sain, fraternel et respectueux entre
chaque ethnie concrétisera cette rencontre. Pourtant, les
habitants de l'intérieur de la Terre n'ont jamais été aussi ouverts à une telle
éventualité. Votre conscience sera touchée par
des informations révélant autant la vie stellaire que la vie
intraterrestre. Il est même possible que certaines portes
d'accès du centre de la Terre s'ouvrent à quelques-uns d'entre vous afin qu'ils
puissent témoigner de la réalité de leur existence. Votre grand visionnaire et
prophète Jules Verne, vous a
préparés aux ouvertures de ces temps nouveaux. Rapidement et étrangement, vous
pourriez éprouver comme une surdose d'informations, déstabilisant ainsi vos croyances établies et fragilisant vos
tendances à vous accrocher aux lois
actuelles. ".
Extrait pages 172 et 173 de "Voyage" tome III de Soria
Edition Ariane Mars
2002.
Mais,
si vous savez lire entre les lignes, de
l 'extrordinaire texte précédent, on peut imaginer alors que
Jules Verne, et
sans doute d'autres écrivains bien choisis, ont été
contactés, en leur temps, soit par télépathie... soit directement par des missionnaires spéciaux de la Terre intérieure, pour préparer
l'arrivée des découvertes extraordinaires, mises en relief actuellement,
avec ses faibles moyens, par le site
ARTivision.
On pourrait en effet écrire un ouvrage en entier, uniquement sur le passage en question
( avis aux journalistes, aux éditorialistes et autres amateurs psychologues et philosophes des mystères de ce monde).
Mais ce
jour, nous allons encore monter le niveau de notre exposé. Jetez par exemple, un coup d'oeil à la photo qui suit, et qui est tirée pourtant d'une
revue d'informatique très connue. Il s'agit du
Micro Hebdo n°568 du
Samedi 11 Mars 2009 :
Cette image,
nous rappelle étrangement, celle-ci n'est-ce pas, déjà vue dans d'autres articles :
Disons alors que
les Maîtres, qui
vivent très longtemps, interviennent depuis des lustres
dans les affaires humaines,
comme de plus l'illustre, le célèbre film
"Retour sur Terre"de
Star Trek 4, de 1987,
Ceux qui ont eu
le privilège de visualiser ce film, se souviennent alors que l'équipage de
l'Enterprise, un
vaisseau spatial du XXIIIe
siècle,
remonte le
temps et
débarque sur Terre en plein
milieu du XXe siècle, pour sauver deux baleines.
Une fois de plus, le site
ARTivision, peut dire
ici, que
"la réalité surclasse souvent de très loin, la
fiction".
Alors
Messieurs
les éternels détracteurs zététiques, si cela vous fait encore sourire sous cape, préparez-vous à raser les murs
le soir, car tout cela sera révélé très bientôt.
Mais, poursuivons la découverte de
ce super article, où il y a surtout le
passage suivant en page 31,
dont hélas l'auteur, comme Mr Jean Brun,
ne donne pas les sources...(Merci donc mille fois à l'internaute béni, qui pourrait nous dire, d'où est tiré ce
texte inouï).
" ...Mais cette
découverte n'est rien comparée à celle que fit Byrd, le 14 juin
1947...
Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant
lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois posés au sol,
ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après
avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put distinguer nettement un animal
s'enfonçant dans un fourré, et identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth !
Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car s'enfoncer
dans ce lieu inconnu, sans aucune préparation préalable, aurait relevé de la
plus folle témérité. Aussi, est-ce la mort dans l'âme que Byrd et ses hommes
remontèrent dans l'avion afin de rejoindre le camp de base. Dés leur retour, ils
ne manquèrent pas, bien entendu, d'informer leurs camarades restés sur place de
leur fabuleuse découverte, et il fut décidé qu'une expédition plus conséquente
s'en irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement, l'équipée ne réussit pas à retrouver ce
lieu unique dont l'emplacement avait pourtant été localisé dans le secteur du
pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie,
il peut être envisagé que Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de
notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la
porte aurait été ouverte au moment propice. Ce qui expliquerait,
d'autre part, pourquoi le chemin ne put être
retrouvé la fois suivante. Mais tout ceci n'est encore que spéculation
gratuite."
Fin de
citation. En fin de compte,
cette
vallée des merveilles, était devenue introuvable, et inaccessible...
Cependant, en parlant de
" sas dont la porte aurait été
ouverte au moment propice", l'auteur a certainement eu
vent de
la phrase inouïe, parue
dès
Mars 2002 du
collectif Soria, et phrase que nous reprenons ici, étant
donnée son importance :
"...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette
Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu
constater la dilatation des pôles, qui sont
parmi les entrées des mondes internes"...
Monsieur
Pascal Cazottes, pouvait aussi avoir eu
en main
l'ouvrage de Siragusa de 1979, où ce dernier parle
en vrai précurseur de
la dilatation du Pôle Nord.
Ce n'est pas en effet,
une information cosmique, que l'on trouve
à tous les carrefours à portée de
mains, et même l'ouvrage de
Raymond
Bernard,
"La
Terre creuse", publié en
1971, n'en parle pas. Mais
lui,
Mr Pascal
Cazottes, en avait eu la
remarquable révélation.
En effet, dans le même article du
Nexus n°21, de 2002, il a écrit aussi
cela :
"
D'ailleurs, l'on peut constater que les mystérieuses
ouvertures n'apparaissent plus sur des photos prises précédemment ou
ultérieurement. C'est alors que vient à point nommé la théorie des «pro», qui vous expliqueront que les ouvertures aux
pôles s'agrandissent et se rétractent à la manière de
l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même coup une
explication au fait qu'aucun explorateur n'ait jamais trouvé ces fameuses
ouvertures ". Tout est clair,
désormais Mr
Pascal Cazottes
était parfaitement au courant déjà,
au moins
dès Juin 2002, de
cette affaire
inconcevable de dilatation des pôles et de territoire polaire
inaccessible, et nous serions très particulièrement
enchanté , qu'il veuille bien expliciter plus
avant, dans un autre article l'origine de cette
la théorie des «pro», à laquelle il a fait, si bien
allusion.
Nous ne terminerons pas la
transcription de
ce super texte de
Mr Pascal Cazottes, sans ce
petit clin d'oeil, à un film montrant des actualités de
1926 :
Aux dernières
nouvelles, les recherches du Webmaster d'
ARTivision, l'amènent à déclarer, que cette
lectrice du magazine
"Amazing Stories", s'appelait
Miss Dorothy E. Graffin, et vivait à New
York.
Alors,
Messieurs les journalistes et consorts
blasés, si vous retrouvez cette missive dans un petit coin, non
seulement,
vous aurez gagné
le Super Gros Lot, mais en plus
votre nom sera désormais, sous peu de temps,
cité, dans
les manuels
d'histoire de cette planète.
" Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les
cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré
des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres,
les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de
gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce
film qui prouve que cette terre inconnue,
inexplorée, et actuellement non admise, existe." L'auteur
dit que l'existence de
ces actualités
filmées, a également été confirmée dans un certain nombre
de lettres de gens qui les avaient
vues.
Mais d'après ce qui suit, cette
lettre aurait plutôt été envoyée à
Ray
Palmer, Directeur de la
Flying Saucer's
Review:
En effet voici ce
que l'on peut lire sur le site :
"Magazine editor and publisher Ray
Palmer stated that hundreds of his magazine readers recalled seeing
the newsreel filmed by Admiral Byrd during his 1929 flight BEYOND the south
Pole. It was shown that year in American movie theatres. Here is a letter from
one of the magazine's readers: "Dear Ray
Palmer,
There still seems to be
considerable controversy about Admiral Byrd's flights to the North and South
Poles and what he saw in the interior of the earth at the South Pole, but nobody
ever mentions the DOCUMENTARY FILM, WHICH BYRD TOOK ON HIS FLIGHT IN COLOUR, and
which was shown in motion picture theatres throughout the United States soon
after Byrd's return home. (My sister (Miss Dorothy E.
Graffin), and I, saw this in White Plains, New
York.)
Byrd narrated this film himself and
EXCLAIMED IN WONDER, AS HE APPROACHED A WARM WATER LAKE SURROUNDED BY CONIFERS,
WITH A LARGE ANIMAL MOVING AMONG THE TREES, and what Byrd described as a
'MOUNTAIN OF COAL, SPARKLING WITH DIAMONDS'.. Sincerely,".
Et
voici notre traduction approximative :
"Éditeur de magazine et éditeur Ray
Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs de magazines se
rappelaient le fait d'avoir vu les actualités filmées
par l'amiral Byrd au cours de son vol
1929 AU-DELÀ du Pôle Sud. Ce film a été diffusé, cette année là,
dans les cinémas américains. Voici une lettre d'une des lectrices du
magazine:
"Cher Ray
Palmer,
Il semble toujours y avoir une
controverse considérable sur les vols de l'amiral Byrd aux pôles Nord et Sud et
ce qu'il a vu à l'intérieur de la terre au pôle Sud, mais personne n'a jamais
mentionne le FILM DOCUMENTAIRE en couleur que
BYRD a pris lors de son vol , et qui a été
montré dans les salles de cinéma aux États-Unis peu de temps
après le retour à domicile Byrd. (Ma sœur (Miss Dorothy E.
Graffin) et moi, avons vu ce film à White
Plains, New York.
Byrd
commentait lui-même ce film et exprima son émerveillement, comme il approchait
un lac d'eau chaude, entouré par des conifères, et apparu un gros animal se deplaçant sous les arbres que
Byrd décrit comme une "MONTAGNE
CHARBONNEUSE", étincelante de diamants
».
Cordialement,"
"Fin de
citation.
Comme vous
le voyez, il n'est pas mentionné dans quel document de
Ray Palmer apparaît
cette
extraordinaire lettre. Il va sans dire, qu'il est
donc impérieux que l'on retrouve ces lettres, si
elles n'ont pas été jetées négligemment, à la
poubelle...
Quant au film en question, il
existe certainement quelque part, et il est évident que le journaliste ou autre
archiviste, qui mettra la main dessus, touchera
bien plus qu'un gros lot de la loterie.
Avis aux
amateurs...
Mais ce
10 Février 2019, voilà que nous arrivons
à la pierre angulaire, de notre propos, après avoir sorti ci-dessus, de notre
"vieille marmite", deux expéditions,
"très terre à terre" (hélas non référencées officiellement, et cela, pour des raisons inconnues) du grand
Amiral Byrd, respectivement au
Pôle Nord, puis au Pôle Sud.
Pour avancer sur
les sentiers très délicats de cette affaire cruciale,affirmons une fois de plus,
que les déclarations hors normes, du grand militaire américain, Richard Evelyn BYRD, doivent êtres lues, avec une attention très soutenue.
Rappelez-vous, que dans le premier volet, nous avions posé la question suivante
(qui est restée évidemment, jusqu'à présent, sans réponse) :
" Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis ", justement au Pôle Nord, qui
est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?"
.
Il semblerait que la réponse nous soit venue,
dès 1926, des propos du grand militaire Richard E. Byrd, dans un article (que nous présenterons bien sûr, plus bas) du "Miami Daily
News", en date du 25/06/1926.
Pour les purites disons que,
Richard E; Byrd, est né le
25 Octobre 1888 à Winchester, Virginie, et il est
décédé le 11 Mars 1957 (à 68 ans) à Boston,
Il a fait des déclarations inouies concernant les zones polaires, qu'il a explorées à diverses reprises, et
déclarations que
les bien-pensants actuels ont vite traitées légendes et d'hallucinations freudiennes.
Nous allons donc ici, démontrer,
noir sur blanc ,
que les paroles de Byrd doivent être épluchées, avec très grande minutie.