Futures visions lunaires Quand-Paris-Match-en-1954-loupe-lamentablement-le-coche
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Quand, ARTivision démontre que Paris Match, a lamentablement "loupé le coche", en Septembre 1954 et en Juillet 1969, concernant l'existence formelle des Aliens, dans notre Système Planétaire.

I Introduction.

      Dans le volet 7, de notre article
ARTE7.html , on peut lire ceci :

" L'une des premières revues qui a argumenté à ce sujet, est (sauf oubli de notre part) , ce Paris Match n° 287 de Septembre 1954 :


où, l'on découvre des témoignages inouïs, et surtout un laïus très favorable au sieur George Adamski, qui était peu connu en France à l'époque, et donc pas encore vilipendé, par les rationalistes de tout bord, qui se disaient fermement cartésiens.

     Les journalistes de l'époque de cette revue (Il ne doit pas en rester beaucoup de ce monde, car si l'un d'eux avait par exemple, seulement 40 ans en 1954... en 2019 cela lui ferait 105 ans aujourd'hui), qui ont élaboré l'article unique en son genre, se sont en effet lamentablement dérobés de leur mission première, que l'on appelera plus tard : "Le choc des photos", et on verra plus bas pourquoi...

      En définitive donc, les gouvernements s'arrangent, pour neutraliser en douce, toutes les preuves de la véritable existence, de ces disques volants, et en particulier, ils feront le silence très appuyé de la pierre tombale, sur les photos, non truquées, des veinards observateurs, qui ont pu avec bonheur, photographier ces disques volants, bien avant l'arrivée des puissants ordinateurs, qui désormais peuvent actuellement, trafiquer admirablement n'importe quelle image.. "


      Fin de citation.

II La genèse de l'affaire.

Premier focus

      Voici donc une copie de la portion intéressante, des pages 62 et 63, de ce Paris Match n° 287 de Septembre 1954 :


( cette copie fut difficile à optenir car les pages à l'origine (26 cm sur 34 cm) dépassent de très loin, les capacités de notre petit scanner).

     Les ufologues, on le sait, spécialistes des ovnis, se délecteront en lisant d'abord, les passages suivants de l'époque :


     Par contre nous invitons, les anti-soucoupistes et consorts intellectuels blasés actuels, à lire avec une attention toute soutenue, ce passage très surprenant de l'article, en page 63 :


      Rappelons, pour le novice ingénu, que le Major Donald E. Keyhoe, a travaillé à USAF (United States Air Force : Force aérienne des Etats Unis), et qu'il a dirigé pendant 13 ans, le NICAP: (Comité National Américain d'enquêtes sur les phénomènes aériens). C'est donc l'un des chercheurs les plus documentés sur le phénomène des Ovnis, et dont l'autorité est mondialement reconnue.

     Nous avons du Major Donald E. KEYHOE, l'heureuse opportunité, de posséder son livre remarquable, paru chez France-Empire, dès 1975 :


     Et pages 193 et 194, on découvre alors cette incroyable déclaration :


     Donc une fois de plus, c'est à vous, qu'il appartient désormais de juger tout cela, documents à l'appui...

     Mais revenons à notre affaire, d'une éventuelle route lunaire, vue ci-dessus :

     On s'étonne alors, que les reporters du Paris Match, de l'époque ( Peut-être que cette revue People de l'époque, n'appliquait pas encore, la devise très célèbre : "Le poids des mots" et surtout "Le choc des photos"), n'aient pas bougé, le petit doigt, pour retrouver, chez les astronomes en question, un seul cliché de cette route lunaire, construite récemment disait-on, à l'époque.

     Voilà le genre de preuve qu'un journaliste patenté, doit obligatoirement se procurer. C'est exactement comme si une météorite était tombée sur un arbre du Zoo de Vincennes, et avait calciné cet arbre, et que le journaliste s'était contenté du récit d'un visiteur pour raconter l'affaire, sans se rendre sur place pour photographier l'événement. Il serait n'est-ce pas inadmissible que l'auteur de l'article agisse ainsi. Alors pourquoi ne nous a-t-on pas montré, dans ce super Paris Match n°287, cette route lunaire si significative ?

     N'allez surtout pas, oser nous dire, que cette célèbre revue, dite People, n'avait pas les moyens de retrouver l'astronome qui a photographié cette incroyable route lunaire !! Autrement dit, au lieu du fameux " choc des photos" , ce fut "le plus grand bide photographique sélectif de l'époque, digne d'entrer dans "le livre des records".

     A vous de juger, cette inqualifiable et inadmissible bévue..., et disons même, que peut-être, si cette photo nous avait été montrée à l'époque (il y a déjà 65 ans de cela en 2019), cela aurait peut-être pu déclencher un mouvement d'intérêt salutaire dans le monde entier, prouvant que la Lune est bien occupée par des entités, très en avance sur nous.


     Mais, de plus, si ceci avait été révélé à l'époque, et propagé jusqu'à nos jours, les djihadistes et autres tortionnaires actuels, n'existeraient certainement pas, et les humains auraient été bien plus solidaires entre eux actuellement, car ils apprendraient entre temps l'existence des Aliens à Magonia ou ailleurs, ( Voir cette affaire incroyable et celle du Professeur Chevailler à : ARTE7.html), et aliens qui considérent ces révolutionnaires décérébrés, comme des minus et des attardés mentaux. Point à la ligne...


     Disons aussi de plus, que le fait que nous utilisons le vocable people, pour la revue Paris Match, n'est pas du tout une critique, car à chacun ses goûts qui correspondent à son niveau d'évolution, sur cette planète en grande mutation.

     Cependant, en fouillant un jour béni, dans nos dossiers, et, c'est là où l'affaire se corse, le 23/05/2012, nous sommes tombés sur une missive d'un ami internaute Joël B....., datée du 30 Juin 2002, où il nous présentait une photo de la Lune, extraite du site Cassiopaea , de l'an 2000, et photo qui prouvait sans l'ombre d'un doute, que les autorités gouvernementales cachaient la vérité au sujet de la Lune, à savoir que notre satellite fait depuis des lustres, l'objet de travaux que l'on pourrait qualifier en termes bien terre à terre, de "Génie Civil" :


     La piste rectiligne fait près de 29 km de long sur 1,7 km de large. Cette piste est courbée à gauche comme le serait une crosse de Hockey. Voici d'ailleurs, en vert, la forme générale de la structure :


      Et, on voit alors que cette piste ne peut en aucune façon, être le résultat obtenu par une météorite qui aurait rasé le sol lumaire entre des montagnes, car de plus on voit, dans cette tranchée, des structures très insolites :

   


     On distingue, en effet très nettement, une figure insolite, en forme de F, qui apparaît sur la gauche du tracé rectiligne :

     Donc voilà un document extraordinaire de la NASA, qui date d'avant l'An 2000, et qui n'a fait l'objet d'aucune discussion, dans les revues d'Astronomie, qui ont pignon sur rue, et encore moins de débats télévisuels de prétendus journalistes et consorts, souvent à l'affût du moindre scoop d'actualité.

     Ces anciens journalistes de Paris Match, s'ils avaient été plus curieux, ils auraient aussi, un peu plus tard, après la sortie de leur super n° 287 de Sept 1954, s'intéresser davantage à la Lune, et poursuivre leurs investigations, en découvrant, de superbes informations sur le sujet, dans la revue très avant-gardiste, des années 61 et suivantes :


     Et dans ce n° 41 de Juillet-Août 1968, en pages 17 à 26, ils auraient découvert ceci, (les colonnes sont de nous), :


      Et, ce n'est qu'une petite partie de l'article en question. Il aurait déjà été n'est-ce pas, très surprenant, que tout cela ait été imaginé par un esprit pervers, alors que l'Internet, n'existait pas à l'époque.

     Maintenant, comme nous le dit ce n° 41 de Planète, de Juillet-Août 1968, il ne nous reste qu'à montrer que cette preuve inouïe, non présentée par les journalistes distraits ou égarés, du fameux Paris Match n° 287 de Septembre 1954, pourrait justement être, la brèche, découverte le 6 Mai 1954 par le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane, dans la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune, d'où partait une longue bande étroite et rectiligne large d'environ trois cents mètres, et ressemblant à une super autoroute ou à une piste d'envol. L' internaute possédant des images de télescope de cette brèche, dans le cratère Piccolomini ( hélas, il y a plusieurs cratères qui portent ce nom), serait bien sür, le béni des cieux, s'il pouvait, nous envoyer une image de cela :

  

     Pour chercher à faire avancer la recherche sur cette extraordinaire affaire, nous avons tapé sur le moteur de recherche Google, les mots suivants :

Image de la route lunaire découverte le "6 Mai 1954" par le Professeur "Frazer Thompson" dans "la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune"


     Hélas , nous n'avons obtenu que des pages du site ARTivisionbien sûr, il n'y a pas l'image recherchée. Mais, comme il existe d'autres moteurs de recherche, que nous ne connaissons pas..., bon courage alors, pour ceux qui peuvent poursuivre l'enquête en question, et merci d'avance...

     Aux dernières nouvelles, grâce à l'initiative de notre amie Channa de Belgique, nous avons pu retrouver, la première parution de cette photo sur le Web, à l'adresse superbe suivante :

http://web.archive.org/web/20010203121800/http://cassiopaea.org/cass/moon.htm

     Et voici l'image, et le début du texte qui l'accompagne :


     Un grand merci au site magique : http://archive.org/web/, qui nous a permis de retrouver l'origine de cette photo qui porte le nom de landstrip.jpg. Les puristes, pourront donc chercher sur Google images de quel dossier de la NASA, cette image est sortie. S'ils ne trouvent rien, c'est que cette affaire a éte classée au niveau Top secret, pour que le commun des mortels ne se pose pas, les questions cruciales requises.

     N'empêche qu'ARTivision, a publié cette photo, il y a déja environ 17 ans, (en l'an 2019), et les journalistes, tout bord confondu, et autres consorts éditorialistes blasés, n'ont pas sorti à ce sujet, le moindre petit texte, d'autant qu'il aurait été pratiquement impossible à l'époque, à un infographiste quelconque, de trafiquer une telle photo de la Lune, sans que cela se voit...

     A vous de juger une fois de plus, la piètre fuite notoire, de nos responsables astronomes et consorts intellectuels blasés, devant cette extraordinaire réalité...

Deuxième focus

     Mais ce 4 Mai 2019, nous allons aborder un deuxième focus, digne vraiment d'entrer sans problème,, dans le Guinness World Records Book.

      En effet, nous allons remettre en exergue ici, les tenants et les aboutissants de "l'Affaire du Paris Match N° 1028", déja publiés dans de très nombreux articles de la plateforme ARTivision.

     En effet, il y a belle lurette (21 ans en 2019), qu' ARTivision, a déclaré sur le Web, qu'il convenait de se poser la question de savoir, si des quidams auraient tout de même encore envie de se faire la guerre, ou même de se suicider, si nos dirigeants au plus haut niveau, avaient seulement avoué au peuple, la présence d'ovnis, dans nos cieux, nos mers ou sur la Lune, ce qui implique évidemment comme corollaire, qu'il existe d'autres êtres, comme nous, vivant sur notre satellite, ou dans les environs, qui viennent nous visiter de temps à autre. Ces êtres seraient sans doute, prêts à nous faire bénéficier de leur savoir, si nous n'étions pas si vindicatifs et profiteurs envers, nos propres frères. ( Comme le précisent si bien, les Ummites, voir notre page ARTE 6.html ).

      Que ceux qui ont la chance d'avoir des yeux en bonne santé, les utilisent souverainement pour mieux voir (par exemple ce qui se trouve en page 33 du Paris Match n° 1028), ce qui ne nécessite même pas de loupe, et encore moins de microscope...

    Mais pour le novice ingénu, qui ne sait rien de cette affaire, en voici à nouveau, quelques éléments significatifs, et comme le dit si bien un texte sacré bien connu : " Il n 'y a rien de caché qui ne doive être un jour découvert, ni de secret qui ne doive être connu " . Voir notre article clef : Bible.html)

         Pourtant cette affaire incontournable, n'a reçu, depuis la publication de la revue en question, il y a 50 ans en 2019, pas la moindre petite explication des des cosmologistes officiels (Astronomes Astrophysiciens, Directeurs et journalistes de revues consacrées l'étude de l'espace et des planètes),

    Voici à titre indicatif, la couverture de ce PARIS MATCH 1028 du 18 Janvier 1969 :


et revue, qui a présenté, à ses pages 32 et 33, une photo globale de la Lune, avec une petite partie de la face cachée, jamais vue à l'époque, ni d'ailleurs jamais revue, par la suite :


         Et, comme par hasard, c'est sur, cette petite partie de la face cachée, que l' on découvre une superstructure phénoménale, placée semble-t-il à, 27° de la latitude Nord et 235° de longitude Est:



        Disons d'abord, que c'est, en 1972 que nous fûmes contactés en Guadeloupe par Mr Michel GIRARD (à qui nous dédions cet article, car il a quitté ce monde le 30 janv 2003) par l'intermédiaire du Cercle Français de Recherche Ufologiques (CFRU) dont nous étions à l'époque membres actifs. En fin 1973, Mr GIRARD, alors imprimeur de son état, nous montrait une étrange anomalie qu'il venait de découvrir en agrandissant une photographie de la face cachée de la Lune prise dit-on, par l'équipage d'APOLLO 8, en fin de Décembre 1968 et publiée dans le n°1028 du Paris Match du 18 Jan. 1969, à bien analyser, dans l'image ci-dessus...

   Nous avons alors commandé immédiatement ce n°1028 à Paris Match, que nous avons reçu sans problème environ 15 jours plus tard. Nous avons eu eu alors tout le loisir d'examiner, l'anomalie en question et de nous apercevoir qu'elle présentait l'aspect d'un demi porte-avions et en arrondissant, de prés de 30 kilomètres de long et dont la partie centrale serait constituée de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment surmontées d'une sorte de flèche gigantesque et voici deux agrandissements de cette structure insolite :


Développement exceptionnel en date du 29/05/2010.

     Nous avons alors reçu le 27/05/2010, du Service de Création d'une entreprise spécialisée dans la 3D, et dès lors, la structuration imaginée en 3D, devient la suivante :


     Merci donc, mille fois, au Webmaster de cette entreprise, d'avoir accepté de nous structurer en 3D, cette surprenante image du Paris-Match 1028.

     A vous donc de juger, maintenant tout cela.

     Dans le courant du 2ème trimestre 1974, la revue OURANOS, alors organe du Cercle Français de Recherche Ufologique (déjà cité plus haut), publie grâce à notre initiative, la première photographie très nette, de ce que nous appellerons désormais "la superstructure" du n°1028 :

     Voici la couverture de la revue et cette image d'Ouranos d'Avril 1974 :

  

     Et voici le texte de présentation :

  

( Notez bien que dans cet entrefilet, nous n'avons pas du tout parlé, du Paris Match 1028, et cela a totalement désorienté un écrivain blasé, qui a parlé à ce sujet de "fake News", dans son ouvrage de 1971 "La face cachée du ciel". On en reparlera, en temps utile).

     Puis c'est le quotidien FRANCE-ANTILLES qui publiera, le 14 Fév. 1975, un article plus détaillé sur la question que nous lui avions envoyé. En voici une copie qui remonte donc en chiffre rond, à près de 44 ans en 2019
:


     Notez-bien que France-Antilles, n'a pas jugé bon de publier la photo de la superstructure en question, et c'est nous-mêmes qui l'avons ajoutée pour faire des photocopies pour nos amis, en re-structurant aussi les colonnes.

      Il en a été de même pour deux autres de nos lettres, que ce journal a publiées, sans la photo, et en voici deux portions :





     Nous n'avons jamais su pourquoi, ce journal, a refusé de publier les photos envoyées de la superstructure en question, et lorsque cette affaire éclatera au grand jour, ce qui ne saurait tarder désormais,, l'Histoire, jugera sévèrement ce journal, pour cette inadmissible négligence.

     Par contre, on pourra mettre dans un musée, le n°586 de la revue NOSTRA en date du 1er Sept. 1983 qui a publié avec un grand courage, une de nos lettres, et surtout avec en plus, chose unique à l'époque, la photographie de la "superstructure", du PM 1028 :


     Enfin le premier ouvrage, qui fera état de cette incroyable affaire, sera celui d'Alfred NAHON "Les Extra-Terrestres et les mutations mondiales de l'ère du verseau.", édité par Buchet-Chastel.Jan 1983 p.160.
      Nous lui rendons ici hommage , en publiant aussi sa photo :

  

     Rappelons qu'Alfred Nahon, fut le premier auteur à publier le catalogue des Anomalies lunaires, d'après un rapport de la NASA, (près de 570 cas de taches lumineuses brillantes et de changements temporaires sur la Lune, allant de 1725 à 1967), dans un ouvraqe remarquable publié en 1973, aux Editions MONT BLANC en Suisse et intitulé : " La Lune et ses défis à la science". Voir ci-dessous les images des couvertures de cet ouvrage clef :

  

     Quant à savoir si cette "superstructure" est naturelle ou artificielle, seule l'étude scientifique du négatif de la NASA utilisé par Paris Match pour publier cette partie de la face cachée de la Lune à la page 33 du n°1028 pourra trancher cette question capitale.

  Mais voilà, où l'affaire prend une tournure insolite, ce négatif est introuvable.

    Notre ami Jean SIDER, auteur de plusieurs ouvrages très documentés sur les ovnis (et en particulier "ULTRA TOP-SECRET: ces ovnis qui font peur" préfacé par le Pr Rémy CHAUVIN aux Editions AXIS MUNDI 1990) :

  

a fait des pieds et des mains, pour retrouver ce négatif à Paris et à la NASA et hélas, il a, finalement dû abandonner ses recherches.

    En janvier 1987, le Chef des Archives Photos de Paris Match que Jean Sider a interrogé à ce sujet, n'a pas su donner des détails sur les références codées de ce négatif, ni même sur la destination précise qui lui a été octroyée après son utilisation par sa revue et Mr Sider a été aiguillé vers l'Agence Scoop (Service de diffusion d'articles) qui ignorait également ce qu'est devenu cet important négatif, qui aurait été la propriété de l'Agence World Book Science Service qui hélas n'existe plus. ( (Voir les missives en question dans notre article /lettreouverteTF1.html),

     Il est donc très important de savoir à quelle époque,, cette Agence s'est sabordée alors qu'elle était au top de l'information spatiale du moment, et que la revue Paris March y était justement abonnée ?

    Merci d'avance à l'internaute béni, qui trouvera cela. Précisons, bien que tous les clichés d'Apollo 8, expédiés par la NASA à Mr Jean Sider ne présentaient plus rien, au même emplacement où était supposée être cette " superstructure" sur le Paris Match 1028. (Voir le cercle rouge de la photo Nasa 1) :


(Voir aussi la photo Nasa 2):

    Mais il est à noter qu'à l'intérieur de ce cercle rouge, dessiné par nos soins, apparaît une auréole caractérisée , qui pourrait être le résultat de l'application d'une "pastille de camouflage"

     Mais, en tapant sur Google, l'expression : Apollo 8 Moon's views, nous avons sélectionné d'abord, le site :


     Et nous y avons trouvé avec joie, cette superbe photo, qui ressemble à celle du PM 1028 avec en haut à gauche, l'éclatant cratère Giordano Bruno, placé au début d'un gigantesque cañon :



     <Hélas, nous nous sommes vite aperçus, qu'il y manquait l'essentiel :

  

     Vive déception donc. Bravo à l'internaute qui retrouvera l' image de gauche, plus élargie.

     Sur ce site, nous avons trouvé aussi, cette image très peu significative, car elle a du blanc partout :



     De nombreux autres sites, ne montrent rien, concernant notre image, et c'est bien dommage :


     Mais nous avons aussi été très surpris de découvrir sur le site suivant :


qui parle aussi de l'affaire du Paris Match 1028, sans citer une seule fois, le site ARTivision, les photos dites, d'Apollo 8 suivantes : n° AS8-18-2872 et n° AS8-18-2884 telles que :

  

Et, en agrandissant un peu, les images on a :


Et aussi :


     La résolution des deux images, n'est pas très bonne, et il semblerait cependant qu'il existe une sorte de triangle de camouflage, bien juxtaposé à l'endroit où est sensé, se trouvéer la superstructure en question.

     Et il appartient dès lors, aux infographistes équipés de logiciels adéquats, de nous dire, s'ils détectent une pastille de camouflage, dans les carrés rouges présentés.

      Et, le plus surprenant est, que le site quasi officiel, des photos de la NASA:


, ne montre rien, qui concerne les deux photos précédentes AS8-18-2872 et AS8-18-2884

     Merci à l'internaute qui pourrait, nous retrouver l'url, du site d'origine de ces deux photos.

      Avouez que cela est très curieux, et nous plonge dans une très grande perplexité

    Il reste cependant aux infographistes de très haut niveau, qui possèdent de puissants ordinateurs, de tenter de réaliser un négatif d'époque, capable de remplacer celui qui a disparu et qui correspondait à la renversante image, que nous reprenons volontairement ici :

.


         Toute aide, dans ce domaine, serait bien sûr, la bienvenue.

         Mais ce 7 Octobre 2019 avant de poursuivre notre troisième focus, sur les tenants et les aboutissants de l'extraordinaire affaire du Paris Match 1028, exposons la terrible nouvelle qui suit :

et donc nous sommes, une fois de plus au regret, de reprendre notre coutumière diatribe contre nos sourds hauts dirigeants de cette planète, qui s'ils avouaient que les Aliens sont bel et bien installés sur la Lune et dans les environs, auraient assurément obligés ces barbares de jihadistes, (on écrit aussi parfois djihadistes), et autres consorts anarchistes révolutionnaires, comme ce Robert Bowers, dont on parle très défavorablement, dans l'entrefilet ci-dessous :


qui massacrent sur cette Terre, leurs frères de misère...

         Là, dans le FA du 5 Octobre 2019, on voit que le jihadiste en question, a frappé au cœur même de l'institution chargée de surveiller de près ces égarés notoires, et une fois de plus, le site ARTivision affirme, que la seule façon, de ramener ces va-t-en-guerre hérétiques de la vie cosmique, et de les radicaliser efficacement, c'est en leur faisant admettre, qu'ils ne sont véritablement, que des minus minables sur cette planète, par rapport à ces Aliens, qui viennent nous visiter régulièrement, sans vouloir actuellement, nous contacter, et mettre le pied, dans notre fourmillière débridée et à la dérive.

         D'ailleurs,ces jihadistes et consorts décérébrés, sont en partie eux-mêmes responsables de l'égarement flagrant de cette planète...

        Voici d'ailleurs en passant, très modiquement, la preuve absolue que certains de ces Aliens, sont venus parfois ici, et qu'ils ont été pris pour des dieux...


        Mais les contortionnistes psychiques, de l'histoire humaine, nous diront vite fait, que ces silhouettes ressemblant, à des astronautes, ne représentent que des éléments de cérémonies rituelles religieuses...

        Par contre, ils resteront muets comme une carpe, devant ces têtes géantes dites olmèques, qui ont parfois des traits négroïdes très caractérisés, comme celle-ci publiée le 2 Février 1947, par le journal américain "The Miami News" :


ou celle-ci située, près de Veracrux, et qui pèse, près de 18 tonnes...


      La question à 1000 €, est désormais de savoir comment des êtres qui vivaient normalement en Afrique, (comme le prétend l'ouvrage "They came before Columbus" présenté plus bas ), sont arrivés là, au Mexique, bien avant le commerce appelé pudiquement " le commerce triangulaire", dit aussi esclavagiste ?

       Mais pour aborder, ce sujet extrèmement sensible, disons que tout commença, quand nous avons découvert, dans nos vieux dossiers, par le plus grand des hasards, ( Hum, Hum!), la revue d'Octobre 1998, suivante :


      En feuilletant cette revue, nous sommes tombés en arrêt, à la page 43 suivante, où nous avons incrusté volontairement, l'inscription en rouge du bas :


      Certains détracteurs qui se disent cultivés, (engoncés dans leur fière culture officielle), vont encore se tordre de rire jusqu'à se rouler par terre
, lorsque nous allons affirmer que ces géants à trait négroïdes très caractérisés, comme encore celui-là, placé à droite de la photo suivante :


venaient d'une manière quasi certaine, de l'Atlantide, avant sa disparition totale, il y a près de 12 000 ans.

      Mais en voici donc encore 3 autres :


      Cependant, ce qu'ils n'ont jamais appris dans leurs Universités, c'est que ces Atlantes avaient atteint un niveau de civilisation, bien plus évolué, que le nôtre actuellement, et donc, l'on trouvera obligatoirement, la trace de leur passage sur la Lune, sur Mars ...etc...

      Mais, si ces zélés détracteurs, avaient d'autre part, de bonnes lectures, ils se seraient aussi, assurément étouffés de stupéfaction, s'ils avaient eu la grande opportunité, de lire, dans le remarquable ouvrage de 2013, de Mr Guillaume Delaage, tel que :


, ce passage inouï, que l'on découvre aux pages 143-144
:



      Dommage que l'auteur, n'ait pas jugé bon, de nous en dire bien plus, sur cette affaire tout à fait hors-norme d'aviateurs, qu'il évoque si bien, au sujet de nos géants Olmèques en question, et géants dont les traces historiques, sont désormais, pour ARTivision, irréfutables.

      Dans l'ouvrage qui suit :


Le livre intitulé "They came before Columbus", (ils étaient là avant Christophe Colomb), prétend que les africains se sont rendus en Amérique une centaine d’années avant Colomb.

      On découvre tout cela sur le site :


       Un ami nous disait alors récemment : "L’histoire officielle a du mal à accepter et digérer des arguments et preuves qui sont des vérités risquant de troubler l’ordre officiel et prédominant. Mais le Temps des révélations est bien arrivé, et nous en sommes tous les deux de modestes artisans ... "

      Puis, nous avons même aussi reçu, de notre grande amie belge, cet url qui est le PDF du livre en question :


Où, il est précisé que ces géants à traits négroïdes, sont arrivés près d'un siècle, avant Christophe Colomb, ce qui selon ARTivision, est archi-faux, et nous allons voir pourquoi, plus bas...

      Ce que ces zélés détracteurs, oublient aussi de dire, c'est que ces têtes sont casquées et sanglées comme des explorateurs en mission, et même, regardez bien l'oreille droite, et gauche de ces quatre têtes suivantes :

  

    En effet, sur l'oreille gauche des 2 premiers sujets, et l'oreille droite des deux derniers, apparaît nettement branché, une sorte d'appareillage très particulier :


      A quoi cet appareillage pouvait-il bien servir ? Ces explorateurs connaissaient-ils un moyen d'amplifier et de capter le son à distance ?

      Bien sûr, les archéologues officiels, vous diront que c'est simplement un dispositif pour tenir en place le casque. Point barre...

      Mais, disons aussi que, ce que ces archéologues officiels, éviteront aussi d'expliquer, c'est quelle usine à l'époque, aurait pu fabriquer ces casques aussi sophistiqués, dignes de designers et stylistes, des plus modernes ?


        Voyez-aussi la magnifique ciselure en creux, et coupée à angle droit, réalisée sur le casque de la 2e photo vue, plus haut :

  


      Mais ce que les pontifes des universités évitent à tout prix d'évoquer, c'est la question de savoir, avec quels outils sophistiqués, ces habiles ouvriers ont-ils pu, si finement, tailler ces blocs faits, d'une pierre très dure ?

       La science actuelle n'a aucune réponse à nous fournir à ce sujet.. (Et c'est pour cela qu'ARTivision, s'intéresse si profondément à cette affaire) , car même avec nos puissantes machines outils et nos ordinateurs modernes, on aurait un mal fou pour réaliser de tels exploits. Comment donc ces extrordinaires ouvriers s'y sont-ils pris ?


      On est certain que ces ouvriers n'avaient pas de burins en acier, et chose bizarre dit-on, ils ne connaissaient pas, la poulie, ni le treuil, ni la roue, et le site ARTivision a démontré que pour la roue...cela est faux... car on a trouvé de petits jouets, ayant des roues, dans certains tombeaux...

      Ce que l'on évite aussi soigneusement de dire, c'est que l'on a trouvé certaines de ces têtes mexicaines profondément enfouies dans le sol, comme par exemple celles-ci :

    

       Etant donné, le profond enfouissement (les savants actuels peuvent parfaitement, en déterminer le temps nécessaire), de ces sculptures, cela démontre, selon nous bien sûr, leur énorme ancienneté, et finalement, c'est le cas de dire ici, que la vérité au sujet de ces géants, sort donc du puits progressivement, comme il en est de même, pour les statues de l'île de Pâques, île, qui a dû faire partie, il y a bien longtemps de la fameuse la Lémurie, si bien évoquée on le sait, par le très grand médium, Edgar CAYCE.

  

      Ces admirables photos sont tirées du site :



       Pour le Webmaster d' ARTivision, nous le répétons avec obstination, ces géants ne pouvaient venir, que de l'Atlantide, juste autour 12 000 ans, quand ce légendaire territoire s'est brutalement enfoncé sous les eaux. Mais d'autre part, comme à notre connaissance bien sûr, on n'a pas encore trouvé de squelettes de ces géants dans le sol mexicain, c'est bien qu'ils sont partis ailleurs... Pourquoi pas sur la Lune, d'où étaient basés leurs ancêtres... et Lune, qu'occupent actuellement d'après le super lancer d'alerte Corey GOODE, leurs descendants, depuis des lustres.


      Affaire à suivre donc avec la plus grande attention et rigueur utiles.

      Peut-être aussi, qu'un jour, arriverons-nous, enfin à convaincre nos Hauts Dirigeants, d'agir en conséquence, et aussi ces piètres jiahdistes et consorts anarchistes dérisoires, à faire leurs salutaires actes de contrition, s'ils analysaient avec soin, les images suivantes relatives à la petite planète Miranda qui est un satellite très atypique d'Uranus :


      En effet, si vous avez la très grande chance de possèder le n° 61 Hors-Série de fin 1986, de la revue bien connue Sciences et Avenir, il faut savoir que, c'est un vrai trésor, qui vaudra bientôt son pesant d'or :


     Mais, lisez plutôt les préliminaires, de cette affaire aux pages 14 et 15 :


     En effet, c'est du 3 au 7 Novembre 1986, que s'est tenu à Paris, un congrès de Planétologie, auquel la revue "Sciences et Avenir" a consacré un numéro spécial n°61 hors série fin 1986. Mais citons plutôt le préambule de l'article de Mr Pascal Lee de la page 14, qui est très significatif au sujet de l'incompréhension totale des scientifiques concernant le phénomène planétaire de Miranda, petite lune d'Uranus, photographiée en début d'année 1986:

     " Pour les astronomes, la plus petite lune d'Uranus représente un véritable miracle: Sur sa surface est réunie la quintessence des curiosités géologiques rencontrées sur les planètes. Reste à expliquer pourquoi ?

            On se souvient en effet des extraordinaires clichés transmis le 24 Janvier 1986 par voyager-2 . Passé à moins de 29000 km de Miranda, avec une vitesse proche de 72000 km/h, la sonde avait pu enregistrer au prix d'une subtile manœuvre de pivotement compensatrice , une magnifique mosaïque de huit scènes (paysages) couvrant l'ensemble de l'hémisphère austral. La résolution spatiale des meilleures, images obtenues a atteint 600 m, soit une finesse qui n'avait encore jamais été obtenue au-delà de Mars. Nous avons ainsi découvert un monde tout à fait différent de ce qu'on présumait. On imaginait volontiers, avant l'arrivée des "Voyager", Miranda, comme une classique boule de glaces et de roches, criblée de cratères et sans signe d'activité importante. Or les astronomes se sont trouvés en présence de terrains extrêmement variés, contrastés, présentant des structures complexes, évoluées, qui témoignent d'une histoire très mouvementée. Même les plus imaginatifs sont surpris. Les géologues distinguent aujourd'hui sur ce monde une dizaine de types de terrains différents. Ils parleraient plutôt "d'unités géomorphologiques" , que l'on peut en fait regrouper selon deux catégories principales, avec d'une part des surfaces anciennes cratérisées, émoussées, bosselées et d'autre part des terrains cannelés de sillons parallèles et serrés, moins cratérisés.."


    Donc nous avons bien noté les termes de "miracle", de "conversation à éviter", de perplexe", de taboo". (On se demande d'ailleurs pourquoi ? Faut-il faire absolument le silence sur les phénomènes que l'on ne comprend pas ? Si c'est cela l'esprit scientifique...? Alors vous comprenez maintenant, la raison de l'existence notre site Web ARTivision, qui dénonce ce genre d'attitude), et surtout on trouve aussi l'expression : "Même les plus imaginatifs sont surpris" , ce qui veut dire en clair, que la réalité dépasse de très loin la fiction même la plus imaginative.

    Ainsi pour terminer résumons que Miranda présente d'une part, des terrains anciens n'ayant pas bougé depuis un temps immémorial, et d'autre part, des surfaces qui correspondent à des modifications plus récentes très insolites, qui dessinent de vastes figures aux contours très nets renforçant le contraste avec la toile de fond ancienne . Certaines figures sont en forme d'ovales très allongés et dont les structures évoquent incontestablement des champs de courses de chars romains à la "BEN HUR".Voir l'image n°2, de Miranda, ci-dessous:


     D'autres encore présentent des formes étonnantes d'une structure anguleuse tel le désormais célèbre "chevron" situé au pôle Sud .Voir l'image n°3 de Miranda, ci-dessous:


    La seule explication scientifique, totalement nulle, trouvée de nos jours pour justifier une telle fantaisie de relief sur Miranda est toute aussi incroyable en elle même : Miranda serait une planète ressuscitée, c'est à dire qu'elle aurait volé en éclat à la suite d'une violente collision, mais ses morceaux au lieu de se disperser dans l'espace se seraient agglomérés de nouveau pour former dans le désordre, ce puzzle sphérique que nous avons découvert, montrant à sa surface des "grumeaux" provenant des entrailles de son incarnation intérieure (sic)

     Pour ARTivision, cette explication relève d'une opération totalement magique, digne d'un casino très spécialisé dans ce domaine...

     Mais ce 10 Octobre 2019, revenons à notre affaire des Aliens, qui nous surveillent depuis des lustres, et qui auaient pu, nous aider progressivement à découvrir certaines lois de la Natnre, qu'ils maitrisent depuis des millénaires. Mais n'oublions pas cependant, qu"il existe aussi une loi cosmique qui interdit dans certaines mesures, qu'un certain peuple avancé du cosmos, intervienne brutalement dans le cursus évolutif, d'un peuple moins avancé : En effet pas besoin d'etre un agrégé de philo, pour savoir qu'il serait totalement inutile à un explorateur occidental, (de passage dans une région arriérée de cette planète),d'offir à un indigène de cette region comme par exremple un amérindien du Mato Grosso dans les années 1900), un briquet, sachant qu'il ne fonctionnrerait plus, dès que son réservoir d'essence serait vide.

     Pour mieux comprendre cette notiion de modération ciblée des Aliens dans la diffusion de la connaissance cosmique vis à vis de nous voici un texte clef, tiré d'un ouvrage tout à fait incontournable sur le sujet des Ummites qui sont des Aliens, qui sont venus visiter notre Terre depuis 1950 :


     On peut lire alors en page 90 ceci :


     Bien sûr, pour en savoir plus, il est impératif d'avoir sous le main, l'ouvrage très remarquable ci-dessus déjà presenté.

     Rappelons, ici une fois encore, pour ceux qui lisent en rapides diagonales, les propos d'ARTivision, que des aliens nommés Ummites, qui ont inondé la planète, d'écrits hautement scientifiques, en plusieurs langues, ont déclaré, qu'ils auraient pu nous faire bénéficier, d'une aide péremptoire, destinée à résoudre, par exemple, notre insoluble problème actuel de la pollution et de l'élimination de nos déchets de cette planète, en utilisant un appareil de leur fabrication, capable de casser toute matière, pour la transformer en oxygène ou hydrogène. Mais cet appareil ne pouvait nous être confié maintement, car nous ne sommes pas assez mûrs et sages pour l'utiliser à bon escient...

     Pour les novices ingénus, qui ignorent tout de cette affaire des ummites voir aussi , ce récent petit fascicule remarquable, d'Octobre 2018:


, qui y consacre 12 pages


     Donc, finalement, (en montrant d'abord, au moins, une image de la fameuse route lunaire, en question ci-dessus), si Paris Match, avait réussi par la suite à convaincre nos dirigeants (et c'est ce que fait, très modestement, avec de très faibles moyens, le site ARTivision) que les Aliens, vivant sur la Lune, ou dans les environs, auraient pu, de même, tant soit peunous aider, dans notre progression culturelle et technique,on n'en serait pas, dans le bourbier notoire actuel. Et à bon entendeur salut...


        Mais ce jour sans avoir bien sûr, épuisé le sujet, nous sommes obligés d'ajouter ici, pour terminer ce focus, un commentaire très significatif, qui ne manqurea pas de donner aux bien-pensants et autres détracteurs zététiques, joints aux consorts intellectuels très blasés, des frissons le long de leur colonne vertébrale et qui de plus assurément, les faire hurler d'amertume et de dépit, et d'ailleurs nous recommandons aussi, novice ingénu avant de lire ce qui suit, de bien d'abord, s'appuyer aux murs environnants...

       En effet, on doit aussi savoir, qu' il y a déjà pas mal de temps, pendant l'année 2004, nous avions pris contact avec le Collectif Soria formé (nous l'avons déjà exprimé de nombreuse fois), de 4520 entités cosmiques, (et collectif en qui nous avons toute confiance), au sujet de l'affaire très ambigüe des Ummites,

         Et voici en substance, la réponse de Soria, qui nous avait été faite, et qui nous a fait, à l'époque, tomber carrément, à la renverse :

" Pourquoi vous préoccuper, au sujet de cette affaire, puisqu'il y a près d'une cinquantaine, d'entités extraterrestres, qui visitent régulièrement cette planète ?" .

      Dur... Dur, n'est-ce pas à encaisser ...cette affaire d'Aliens qui visitent incognitos notre planète.. Mais mieux le plus fantastique va bientôt arriver ...

      En effet, pour ceux qui continuent à rire sous cape de cette affaire, voici la couverture du n° 82 de la revue Top Secret, de Déc 2015-Jan 2016, de l'ami Roch Saüquere, dont voici la couverture :


, où l'on découvre un dossier tout à fait renversant de 9 pages, dont voici la première (âmes sensibles s'abtenir) :


      On y découvre alors, un texte concernant un certain M.X, l'enfant des "Black Program", qui a décidé de faire quelques menues révélations, concernant les canailles d'humains, juste évoqués plus haut. Et à la page 32, on peut lire ceci :


      Le communiqué Soria, datant de 2004, donc il y a de cela 15 ans en 2019, et comme le voit, le nombre d'extraterrestres visitant la Terre, tourne bien autour de la cinquantaine.

      Curieux n'est-ce pas que tout cela !!!.


      De nombreux médias qui ont pignon sur rue, n'ont pas, malgré tout ce qui précède, hésité une seconde à fourrer la tête sous le sable comme l'autruche, lorsque, le reporter Jacques Pradel, (cet intarissable chercheur de l'Inconnu, à qui nous rendons ici aussi, un vif hommage pour le courage dont il a fait preuve à l'époque, et cela lui a causé d'énormes ennuis par la suite), a présenté le 23/10/1995, le film qui suit, lors d'une émission de TF1 :

    Voici aussi, la photo de la cassette vidéo, que nous avions pu nous procurer à l'époque. Nous ne savons pas si TF1 a sorti un CD ou un DVD, sur l'affaire :


     Pour les passionnés de cette affaire extraordinaire, voici une vidéo en ligne, qui montre de quoi il s'agit :



    Et voici une autre vidéo :


     Evidemment, il convient d'enregistrer la vidéo en question, qui peut disparaitre du jour au lendemain .

     En ce qui concerne les médias, qui ont loupé totalement le coche, ils seront jugés, très sévèrement, quand la vérité éclatera au grand jour, ce qui ne saurait tarder...

        Le site ARTivision a publié de très nombreux articles sur l' affaire précédente, et pour les puristes, voir par exemple ceci :



        Mais pour le quidam, qui n'aime pas trop, comme nous, patrouiller sur le Web, voici un passage clef, de cet article tout à fait, hors normes :

     " En fin d'émission, le rédacteur demanda à Mr Bourdais, si le cadavre présenté à l'époque dans le film si critiqué, ne pouvait pas être un terrien malformé génétiquement et ayant des doigts en plus. La réponse fut approximativement, que :

"Si l'on avait trouvé dans les annales médicales, un être aussi particulier, on aurait vite montré sa photo, au monde entier pour neutraliser et confondre, les auteurs du prétendu canular".


     Hélas... en effet, cet être a six doigts parfaitement bien constitués, aux mains et aux pieds
:


, pas de nombril (aurait-t-il été obtenu par clonage ? ) :



     Il a saigné au moment où sa peau a été incisée, ses organes internes sont tout à fait différents d'un corps normal, les poumons sont plus petits, pas d'intestins, le cœur, ( si c'est bien lui) aurait une forme pyramidale, et un gros organe dans le bas ventre est volumineux bien plus que notre foie (si c'est lui). Son appareil génital est très petit et il semble être du sexe féminin. Les globes oculaires sont plus gros que ceux d'un humain et on a pu y soustraire avec facilité une pellicule sombre, comme une lentille de contact noire :


qui n'existe pas chez nous de cette couleur etc...

    Vous ne trouvez pas que cela fait déjà beaucoup, pour cet être étrange, dont on est sûr, que l'autopsie montrée est véritable, et remonte à une époque d'environ 72 ans ou plus, en partant de 2019 ? "

        Fin de citation.

        Mais ce 13 Octobre 2019, en ligne directe de cette affaire d'entités, possédant 6 doigts aux mains et aux pieds, voici notre troisième focus, qui nous en sommes quasi certain, va mettre très mal à l'aise nos détracteurs zététiques et autres intellectuels blasés, si fiers de leurs épais cursus culturels officiels.

Troisième focus.


      Pour bien comprendre ce qui suit, voyons déjà le début de cet entrefilet du France-Antilles du Samedi 12 Octobre 2019 :

        En effet nous voyons ici, que tout est relatif dans ce monde, , et que, pour le chercheur des choses de l'Espace, que nous sommes, nous voyons clairement que l'Agence qui a diffusé cette information reprise illico par France-Antilles, a loupé l'essentiel, qui consistait seulement à placer derrière le gros titre, un simple point d'interrogation, et de plus l'expression "a été arrété hier" aurait dû être remplacée par celle-ci : "aurait été arrêté hier", en évitant ainsi tout discrédit ultérieur, qui n'a pas manqué, on le sait, de poindre dans de nombreux médias. n'est-ce pas..!!


      Inutile de révéler ici que le site ARTivision a très souvent eu à entreprendre, une démarche analogue vis à vis des textes utilisés par nos des pontifes culturels qui souvent, se mettent, le doigt dans l'œil jusqu'au coude, dans leur écrits, qu'ils croient étre paroles d'évangile... (Voir à ce sujet les 12 focus extrordinaires de notre article, confirmant la déclaraction du Maitre Pomar,qui affirme que le Soleil n'est pas du tout brulant comme le croient nos savants actuels : Soleil non brulant.html
).

     Mais pour les puristes, qui aiment partir des sources d'une affaire, disons aussi que justement, dans l'Ancien Testament, on parle étonnamment, d'entités de grandes tailles qui avaient 6 doigts à chaque main et à chaque pied.

     Voyons d'abord à ce sujet, ce que l'on trouve dans l'incontournable ouvrage de Mauro Biglino de 2014 :


     Et en pages 225-226, on trouve :


     Pas besoin de sortir de Polytechnique, pour comprendre, avec l'aide de tout ce qui précède, que, "ces groupes quelque peu particuliers", venaient ou bien de l'espace ou bien d'un trafic génétique des Maîtres sumériens...Attention il s'agit du "ou inclusif", c'est à dire que les deux propositions peuvent être envisageables simultanément.

     Voyons, cela d'une manière plus limpide, d'abord dans la Bible de 1939, du Chanoine A.Crampon en II Samuel ChapXXI vers-20-22, où il y a :


     Comme on le voit, Jonathan frère de David tua cet être pourtant très suprenant ce qui prouve qu'à cette époque la vie d'un être humain n'avait pas non plus, une plus grande importance qu'à la nôtre, où les massacres sont encore légions..

     Voyons maintenant la version de Dhorme en II Chroniques Chap.20 vers.5-8, où, il y a aussi:


     Mais, pour les puristes anglicistes, qui aimeraient avoir un son de cloche, tiré d' un document d'origine, en voici un, venant d'une Bible très connue :


     Et en II Samuel-XXI vers.20-22 :


     Comme on le voit, il s'agit bien d'une espèce d'individus très spéciaux, qui ne courent pas les rues sur Terre, et dont on ne nous dit pas hélàs, d'où ils provenaient...

     Nous attendons avec ferveur, l'avis des biologistes et consorts spécialistes de la génétique, sur cette affaire hors normes, qui défie les meilleures imaginations, de nos auteurs de Science-Fiction...


     Quant à savoir, pourquoi ces êtres si étonnants et si spéciaux, se sont laissés massacrer par David et sa clique, en cherchant un peu, vous trouverez, peut-être, une réponse du côté ...d'un spationaute non officiel,... Devinez de qui ... de George Adamski.

     Pour ceux qui ont l'esprit ouvrert tant soit peu, lisons ces passages significatifs, publiés pourtant dès 1955, par cet Adamki :


     Notez-bien, à la fin du texte, la présence du vocable "La Source", vocable souvent utilisé par notre site.

     Bien sûr, ces passages sont extraits des pages 84 et 85, de l'ouvrage francais placé à droite de ce qui suit :

  


      Mais pour bien assimiler cette histoire fantastique, très peu dévoilée dans nos écoles et universités publiques, il convient alors ici, de reparler brièvement, de cette affaire de matrice vivante, si magistralement, exposée par l'entité transcendante Soria, et présentée, dans de très nombreux de nos articles, et en particulier à l' article (matrice vivante.html), et dont les prémices, nous sont dés lors, on le sait, présentées en douce, dans l'extraordinaire entrefilet moderne suivant :


       Ce communiqué de presse, n'est-il pas déjà, s'il en était encore besoin de l'avouer, une marche, vers l'avant-garde de la découverte du fait, prouvant que la Nature, n'est pas du tout un concept soumis aux tribulations d'un hasard aléatoire, comme on a voulu, nous l'enseigner, dans nos écoles et nos universités.

      Mais, il y a bien mieux encore, car voyez donc, ce qui est écrit en partie, aux pages 79 et 80, condensées dans l'image suivante :


      On n'y parle d'invisibilité de vaisseaux spatiaux, par action sur la fréquence vibratoire des engins, mais il y a aussi surtout le fait que l'on peut échapper à la mort, au travers d'une renaissance, et obtenir ainsi un nouveau corps... Mais, il y a aussi en bas, l'affirmation péremptoire que la Lune possède bien, une atmosphère.

     Avouez, tout de même, Messieurs les psycho-sociaux (comme on les appelle en ufologie), que cet Adamski devait être gonflé à bloc, pour prendre à l'époque, en 1955, carrément le contrepied, des déclarations officielles à ce sujet...
,et contre toute attente, il a osé horripiler les astronomes et leurs consorts affiliés, en les carressant assurément à rebrousse-poil...


     Mais voyez aussi, en passant, ceci :




     l'image ci-dessus, est tirée du numéro 69 de la revue Top Secret, d'Octobre- Novembre 2013,

Et ces deux entrefilets sont très importants, car ils montrent sans l'ombre d'un doute que la NASA et ses sbires, assurément, nous prennent, "pour des abrutis notoires ".

     À vous de juger..documents incontournables à l'appui.

      Et il reste aussi, le fait bien connu, que cet Adamki a été enterré, dans le prestigieux cimetière d'Arlington, où sont inhumés les héros de la Nation, et affaire qui a fait bien sûr, couler beaucoup d'encre.

     Nous avons en effet, dans notre bibliothèque le n° 39 de la revue "Planète" de Mars-Avril 1968, présentée ci-dessous :



    Mais, pour les puristes, il convient aussi d'expliquer ici, que la revue "Planète", très avant-gardiste pour l'époque, démarra en Novembre 1961 et stoppa hélas, en fin 1970. Elle se présentait comme un ouvrage d'environ 200 pages et de 17,5 cm de largeur, pour 20 cm de hauteur et 1 cm d'épaisseur et pouvait ainsi être directement placée, debout dans une bibliothèque.

     Et voici, ce que l'on peut lire, en pages 161 et 162 :


     Nous attendons bien sûr, avec ferveur que ces Messieurs, les psychologues, psychiatres et consorts bien-pensants de cette socièté, très débridée et qui part à vau-l'eau, puissent nous expliquer, par quelques mots simples et pragmatiques, pourquoi ce fameux George Adamski, qui connaissait très bien les théories officielles, concernant la Lune et les autres planètes de notre système solaire, qui étaient diffusées dans nos universités... a pris carrément et obstinément le contrepied, des déclarations officielles à ce sujet ?

     Voila donc, ce que nous disait, à l'époque, concernant la Lune, le n° 153 de la revue Sciences et Avenir de Novembre 1959 :


      Il serait aussi très instructif de découvrir aux pages 562 et 563, ce titre très significatif :


      Et voici, le début de citation, de la page 558 où l'on nous parle de la Lune telle qu'elle était vue, à l'époque :

Futures visions Lunaires ?

    ....C'est le moment de nous préparer à la première grande révélation astronomique. Ce que des esprits scientifiques pouvaient refuser d'imaginer gratuitement nous devons le regarder bien en face: Que seront les paysages lunaires?
    ...Jusqu'ici, c'est comme par jeu que certains astronomes se sont plus à les concevoir. Sur quels éléments certains pouvaient-ils raisonner ?
    D'abord la nudité du sol est évidente, ni fleuves, ni mers, ni forêts. Pas de nuages. Un monde strictement minéral .
     D'autre part , la certitude de l'absence d'atmosphère. D'où découlaient de nouvelles certitudes : toute érosion aussi bien éolienne que fluviales, est à exclure : la lumière du soleil ne pouvant se diffracter sur les molécules atmosphériques comme elle le fait chez nous, en donnant au ciel son apparence azurée, le ciel est noir , même en plein jour, et les étoiles y scintillent sans cesse; le fait que toute diffraction est impossible mène à comprendre que tout objet est divisé en deux moitiés bien opposées, l'une franchement éclairée l'autre franchement dans l'ombre, sans que des molécules gazeuses donnent un certain moelleux aux ombres portées; enfin, élément décisif pour compléter notre tableau, la lumière est terriblement forte, terriblement crue car les feux du soleil ne sont filtrés par rien.

    Fin de citation.


    De plus, on sait surtout, que George Adamski, a refusé le fait que, son livre soit publié, sous la forme d'un roman de Science-Fiction, qui lui permettrait, à tous les coups, d'obtenir le Prix Jules Verne (distribué à l'époque en la période 1958 à 1963), et surtout de bénéficier d'une plus grande considération de ses concitoyens, et des autres quidams d'ailleurs...
,

       Mais prière SVP, de bien s'accrocher aux murs de votre environnement, car voici le bouquet, des révélations de ce George Adamski, toujours tirées de son incroyable ouvrage de 1955 :

         En effet, on peut alors lire à la page 81, ce passage ahurissant :

" - Beaucoup de vos savants ont exprimé l'idée, que la Lune est un corps mort. Si cela était vrai et que la Lune était morte, suivant le sens que vous donnez à ce mot, il y a longtemps qu'elle aurait disparu de l'espace par désintégration. Non ! Elle est bien vivante et supporte une vie qui comprend des humains. Nous avons, nous mêmes, un grand laboratoire, hors de la vue de la Terre, dans la section tempérée et fraîche de ce corps."

      Incroyable. n'est-ce pas !! cette énorme affirmation, qui dit qu'avant Juillet 1969, (où l'on prétend que Neil Armstrong, a posé, le premier, le pied sur notre satellite), il y avait bien déjà, des humains sur la Lune.

      Et ce grand laboratoire, n'est-il pas ce surprenant artefact, si souvent montré par ARTivision, et jamais étudié, ni exposé, dans les médias actuels ?


        Mais ce 18 Octobre 2019, nous allons découvrir un 4 e focus, plutôt déboussolant pour les contortionnistes psychiques qui lisent souvent en diagonales, les propos très pragmatiques d'ARTivision

Quatrième focus.


        Voici donc toujours tiré de son ouvrage précédent, un texte qui montre qu'Adamski n'y était pas allé, sur les humains, avec le dos de la cuillère :


et :


        Rappelons que le site ARTivision est totalement neutre, dans cette affaire, et il ne fait que transposer des déclarations hors normes que les bien-pensants blasés de cette societé, se sont très souvereinement gardés de commenter sur les plateaux médiatiques de 1955 à nos jours.

         Mais c'est là, que nous ne résistons pas, une fois encore, à soumettre à votre grande sagacité, les propos, tout à fait surprenants, en date du 16 Mars, du le Grand Maître de Findhorn, où il n'hésite pas à remetttre les pendules à l'heure, pour Les Temps Nouveaux, qui approchent à grands pas :

Qu'il ait aucun sentiment de compétition entre vous.
Quand vous prendrez conscience que
chacun a un rôle spécifique à offrir au Tout,
cet esprit de compétition disparaîtra,
et vous pourrez vous détendre et être vous-mêmes.

Comme la vie devient plus simple
quand tu cesses d'essayer d'être quelque chose que tu n'es pas !
Tu as ton rôle à jouer dans le Tout ,
alors joue-le au mieux de tes capacités.
La Source vous dit de vous aimer les uns les autres.
Le fais-tu ou, par simple tolérance,
te donnes-tu des excuses en disant
qu'il y a certaines âmes avec lesquelles tu ne peux pas te fondre,
vu que vous êtes à des lieues l'une de l'autre ?

Vous êtes tous les bien-aimés de La Source,
et plus vite vous en prenez conscience,
mieux ce sera, car vous êtes tous sous Son regard,
et Son amour coule vers chacun de la même manière.

Lorsque vous pourrez aussi accepter le fait,
que vous faites Un avec Elle,
vous pourrez accepter que vous faites Un, les uns avec les autres.


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 16 Mars , après adaptation d'ARTivision



      Curieux n'est-ce pas, que ce langage, qui s'oppose à tout le contexte de notre civilisation moderne dont la maxime habituelle semble être :

"Otes-toi de là, que m'y mette"

      Mais il est certain, que tout cela, ne manquera pas de faire bondir de dépit, les bien-pensants, les mécréants de toute nature, et autres agnostiques irréductibles de la même veine, et qui vont hurler d'amertume en affirmant que tout ce laïus, n'est que du prosélitisme sous-jacent, pour une religion non précisée et que c'est encore une affaire de secte. Vite avertissons la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires ( donc la MIVILUDES)...

      Mais notez tout de même, que pour s'accorder avec le principe précédent, que l'on a déjà actuellement supprimé, dans nos écoles maternelles françaises, certaines notations d'élèves, pour ne pas trop traumatiser nos bambins ...

      Mais lisez SVP aussi, cet entrefilet surprenant :


     Voilà donc bien, un minus cas, qui démontre parfaitement que cette affaire de compétition, entre les humains, peut parfaitement être sujette à caution, comme l'affirmaient les aliens d'Adamski, il y a déjà, 64 ans. Curieux n'est-ce pas ?

      Alors, Messieurs les fidèles fervents des joutes militaires, culturelles, ou sportives, de toute nature, cela vous branche-t-il toujours ?

     Mais, pour ceux qui continuent à rire sous cape, en pensant que tout cela, ne sont que des niaiseries et des foutaises, pour mieux comprendre, ce qui précède, lisez aussi plutôt ce qui suit :


Extrait des pages 186 et 187 de "L'Être Solaire" de Soria, Edition Ariane Juillet 2002..


     Comme on le voit la situation est loin d'être cool sur cette planète.

     Mais, terminons ce 4 e focus, par cette digression de circonstance :

     En effet, le Mercredi 16 Octobre passé, nous avons eu la grande opportunité de visualiser à la télé, le documentaire suivant :


     On nous y montre, la construction d'un gigantesque télescope en plein désert d'Atacama, au Chili, en plus de ceux qui existent déjà, formant le Very Large Telescope (VLT).

      Ce que l'on a évité soigneusement, de dire (sauf erreur due à notre assoupissement normal devant la télé), c'est la haute résolution des images de la Lune, que l'on pourra obtenir désormais, avec cet instrument .

          Mais, voici maintenant, un autre entrefilet tout aussi révélateur et qui fera bondir de satisfaction les bien-pensants, qui adulent les progrès scientifiques de haut niveau :


      Mais tout cela serait passé, comme une lettre à la poste, si nous n'avions pas souligné en rouge, ces lignes très significatives, pour nous bien sûr :


     Nous savions déjà, que le VLT: (Very Large Telescope), , au Chili, avait la possiblilité de voir des objets mesurant près de 10 métres sur la Lune, et que , on pouvait donc, assurément, apercevoir les diverses configurations des LEM ( Lunar Excursion Module) , dont l'empattement faisait 9,45 m, posés sur la Lune, d'Apollo 11 à 17 (moins Apollo 13, bien sûr). Or chacun le sait, les Directeurs et ingénieurs des VLT en question, n'ont rien fait pour confirmer cela... Très bizarre que ce comportement, n'est-ce-pas !!!

      Or voilà maintenant, que le CNRS francais ( Le Centre National de la Recherche Scientifique), nous affirme que désormais grâce à l'instrument nommé Gravity, plus les VLT, on pourrait voir, "une balle de tennis posée sur la Lune".

      Comme cette affirmation est incroyable, n'est-ce pas !!! ?
Mais ARTivision pense que cette fois-ci encore, ce sera le silence de la pierre tombale, concernant la vérité au sujet des prétendues expéditions lunaires de la NASA, de 69 à 72.

      Cependant, dès le 20/10/09, il y a donc déjà près de 10 ans, que le site ARTivision a sommé les spécialistes de l'espace, de s'exprimer clairement sur l'exclusivité suivante de notre site, qui n'a jusqu'à présent, reçu aucune réponse...

       Voilà, une fois de plus, que quoi il s'agit, et pour être encore plus crédible, nous nous baserons sur les affirmations péremptoires, de la revue Ciel&espace n° 391 Décembre 2002, qu'il convient d'avoir absolument sous la main, afin que l'on ne dise pas, que nous avons tout inventé, et qu'il s'agit encore d' images manipulées:


     Et en feuilletant donc cette revue, vous découvrirez un surper un dossier central détachable de 8 pages, consacré à "l'exploit", d'Apollo 17...

      Mais brûlons les étapes et arrivons d'emblée au point crucial, de l'histoire...

      Voici donc déjà, les pages 8 et 9, de la revue en question :


      On voit , les nombreuses évolutions accomplies par les prétendus astronautes et leur jeep, nommée officiellement le LRV(Lunar Rover Vehicule)....

      Puis, nous arrivons, à cette dernière image clef concernant Apollo 17, de la revue en cause :


      Cette photo porte le n° AS17-137-20979, que l'on peut trouver sur le site quasi officiel ... :


      Mais pour les puristes, voici donc le bouquet..., qui n'a jusqu'à présent pas reçu la moindre explication, de ces Messieurs astronomes, astrophysiciens et consorts béni-oui-oui de NASA...


      La question cruciale qui se pose est donc :

"Comment ont-ils pu amener ici, la jeep lunaire, sans qu'elle laisse des traces, sur le sol
? "

      Et puisque, nous avons parlé ces temps-ci, de vortex temporel à notre article :


     ,on peut aussi se poser, la question :

"Cette jeep a-t-elle pu ici, faire un saut quantique, dans le Temps? "

     Mais, ce 22 Octobre 2019, nous allons poursuivre les preuves irréfutables que la Lune est occupée véritablement par des entités, que cachent délibérement, nos gouvernants pour ne pas remettre en cause, leurs piètres agissements politiques, économiques, culturels et surtout militaires, où les ventes d'armes se taillent la part du lion. Nous avons souvent exprimé en effet, le fait, que si nous étions plus solidaires entre nous, commne nous l'invite expressément à le faire le Maitre de Findhorn (spécifique amplification transcendante du site ARTivision), ces entités pourraient nous faire bénéficier d'une puissante énergie propre et gratuite, comme l'antigravitation, qu'ils utilisent assurément pour exploiter les ressouces minières de la Lune, et donc côté énergie, par exemple , ils en sont déjà, à la clé USB à 1Tera-Octet, pour enregistrer de la musique, tandis que nous en sommes toujours au disque de 78 tours du gramophone des années 1920 et suivantes.

     Voici donc alors dans ce cas, une méditation du Grand Maître de Findhorn, en date du 23 Novembre, et qui nous parle de cette solidarité humaine,, qui semble être à l'origine de très nombreux mouvements sociaux actuels :
Quand La Source nous dit :

"Aimez-vous les uns les autres"

Cela ne veut pas dire qu'il faut tolérer les autres
ni essayer très fort de les aimer.

Mais tu verras que, lorsque tu ouvres ton cœur
et que tu peux le remplir de pensées aimantes et belles,
tu voudras aimer toutes les âmes que tu rencontres,
peu importe qui elles sont.

c'est le libre flot de La Source Universelle
qui ne connaît pas de discrimination,
et ne choisit pas d'être aimé
et qui ne va pas l'être.

Son amour est le même pour tous

Combien tu es prêt à accepter, dépend de toi.

N'aie pas peur d'exprimer cet amour !

Il est au-delà de la personnalité;
il est ce qu'il y a de plus élevé.

Apprends à porter ton cœur en bandoulière,
et n'aies jamais honte de démontrer ton amour pour les autres.

L'amour est le plus grand facteur unifiant de l'Univers,

Alors aime, aime, aime !


La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 23 Novembre, après adaptation
d'ARTivision.

      Notez bien, que plus haut le spationaute non officiel, George Adamski, a très explicitement utilisé le vocable La Source, dans un de ses textes.

      Dur... Dur, à encaisser, n'est-ce pas...ce langage de philosophie cosmique, qui fera grincer amèrement, les dents des partisans de la loi de la compétition à outrance, qui peuvent aussi se dire entre eux :

"Va voir ailleurs, si j'y suis."
(Cela bien sûr, en plus du principe : "Otes-toi de là que m'y mette")

      Mais les bien-pensants, les mécréants et autres agnostiques de toute nature, vous diront vite fait, que tout cela, dénote une affaire de nouvelle secte, à fuir absolument, et qu'ils s'en soucient, autant que de leur première brosse à dents...

       Confiant, dans le fait que le Temps du Grand déballage, est actuellement bien arrivé, nous répondrons alors :

"Advienne que pourra, et Qui vivra verra".


      Voyons maintenant, quelques faits, très pragmatiques, arrivés sur la Lune, et faits qui n'ont jamais fait l'objet du moindre débat médiatique, par exemple chez les télévisions qui ont pignon sur rue, et qui nous inondent d'informations dérisoires vite oubliées, alors que ce qui va suivre, devrait toucher, le monde entier, au plus haut niveau, car s'il y avait une sorte de nouveau déluge général sur la Terre, ou si une comète s'y précipitait comme celle de Juillet 1994 qui a touché Jupiter, et , ce sont en principe, ces habitants de la Lune, qui pourraient après des siècles d'opérations bio-climatologiques, remettre sur pied notre planète...

     Commençons donc, si vous le voulez bien, par ces images incroyables suivantes de la NASA, et assurément non trafiquées, et pour cause...

     Pour découvrir cela, il aurait suffi, en effet, de lire, fut un temps, l'ouvrage remarquable de notre ami Alfred Nahon, ( hélas décédé en 1990), et, intitulé : "La Lune et ses défis à la science", paru aux Editions Mont-Blanc 1973, en Suisse, et ouvrage que tout chercheur sur les affaires lunaires, devrait absolument avoir en main, pour suivre ce débat :

  

      La figure 29, nous montre cette image suivante très surprenante, tirée pourtant de l'ouvrage très scientifique, intitulé The Moon, et publié chez l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, en 1969, du grand astronome et mathématicien tchèque Zdenek KOPAL
, qui vivait alors en Angleterre :


      Et voici alors la fameuse image en question :


      Mais, analysons maintenant, la structure bizarre, placée à l'intérieur du cercle de l'image.

     On y voit clairement un engin excavateur qui triture le sol lunaire (voir la structure très insolite au centre du cercle), sur un contrefort du cratète Copernic, déjà bien raboté, n'est-ce pas, sur sa droite.

    Selon nous, cet engin excavateur gigantesque, ne se déplace certainement avec des roues et un moteur thermique utilisant des énergies fossiles, déjà démodées sur Terre.

      Il est donc bien plus certain, que l'engin en question, utilise un moyen antigravitationnel, non connu de nous, pour extraire du sol du cratère, des minéraux, utiles aux occupants de la Lune.


    N'empêche, qu'il faut vraiment, vouloir imiter l'autruche, pour dire, que l'engin en question, est tout à fait naturel :

     Si l'on sait que ce cratère Copernic, mesure environ 93 km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur, près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à : 12 km...

       Comment donc, il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu, dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues ?

      Bien sûr, aucune autre photo moderne de Copernic, ne nous présente ce super engin excavateur, et par exemple, voici une comparaison avec une photo de Copernic (à gauche), tirée du site moderne :



      Le rabotage latéral blanchâtre de droite, est dès lors, très clairsemé, et bien sûr, le bidule excavateur, a totalement disparu.
.

     Mais, parmi les surprenantes images de cet ouvrage de A NAHON; extrayons aussi celle-ci :


      Mais, dans ce même livre, l'ami Alfred Nahon, nous avait aussi présenté une structure très bizarre, découverte par Monsieur Delcorps à l'époque Directeur du Laboratoire LAET de Liège. Cette structure apparaît sur une photographie prise par le Planétarium de la Haye :


     Il faudrait vraiment être de mauvaise foi, pour affirmer que cette structure est tout à fait naturelle, et qu'il ne s'agit encore que, d'une illusion d'optique.

    Mais voilà le bouquet de ce débat :

     En effet, c'est en Août 1967, que la sonde américaine "Lunar orbiter V" a photographié (Ref. NASA 67-H-1135), à l'intérieur du cratère Vitello sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui-même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes)deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ 5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours. Dans l'image de droite, nous avons matérialisé en blanc les deux trajectoires :

  

     Mais voici aussi les images en question, montrées cette fois dans l'ouvrage incontournable, publié en premier lieu en 1981, (notre édition est la 8e, publiée en 1997), que tout chercheur aussi pour suivre le débat en question, devrait avoir en sa possession :


     Et voici, en pages 54 et 55, les traces très nettes des deux mobiles :


    Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile, qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m .

    Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m), alors que la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?

    Voici d'ailleurs comment Fred Steckling imagine admirablement la structure mécanique de ce petit mobile :


Il ne reste qu'à un courageux infographiste, de faire de même, en fabriquant une image en 3 D, pour le second mobile.

    Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?

    Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck très connue, mais qui pèse cependant 6 fois moins sur la lune), a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale (environ 25 m), et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?


      Alors on devrait déjà se poser la question, de savoir pourquoi, la NASA n' a-t-elle pas envoyé plutôt (dans les 6 missions qui ont soi-disant exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible les traces ci-dessus, de plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ 5m et 25m de large pesant des centaines de tonnes et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ?

    Et que dire alors, de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et ayant des formes très géometriques, et flanqué a gauche d'un appendice central surprenant , et qui lui confère ainsi, une notoire impossibilité de rouler naturellement ?

    Notons l'explication, pour ce cas, de la revue Science et vie de Mars 1968, n° 606 page 71, et dont voici l'image de la couverture pour le puriste, qui pourrait, le trouver dans une brocante :


"Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".



    Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but, selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "a glissé", juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière en suspension dans l'air ? Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus, que ce bloc avait bougé... Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère ? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé", en même temps de deux endroits différents...!, et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul, d 'autant plus que si nous analysons de plus près, ce rocher <ayant déboulé très opportunément, on découvre ceci :



     Pas mal, n'est ce pas !!! ce gros caillou, très architectement structuré, pour rouler à l'aise, sur près de 500 m sur le sol lunaire. On nous prend ici, pour des débiles mentaux...

      Mais, l'ouvrage exceptionnel, de A.NAHON, présente aussi en annexe, un édifiant rapport de la NASA, dévoilant près de 570 cas de taches lumineuses brillantes et de changements temporaires
(nommées pudiquement des phénomènes transitoires, par les spécialistes des TLP :Transient lunar phenomena), observés sur la Lune de 1725 à 1967.


       Voici aussi, pour les puristes, une photo personnelle, que nous avait envoyée l'auteur, le 21/06/79 :


       Voici, donc au sujet de ces TLP, pour couronner ce débat, un extrait du super article venant de la revue Science et Vie d'Avril 1964, dont voici, la couverture, pour les puristes qui pourraient l'aperçevoir dans une brocante ou un vide-grenier :


     Cet article est issu de la rubrique L'UNIVERS, et est intitulé : " Des lueurs étranges sur la Lune". Voici donc comment se présente le début de cet important article :


     Et voici le début du texte en question, hélas non signé , ce qui est déja très significatif : (les couleurs sont de nous évidemment)

     "Flagstaff (Arizona) le soir du 29 octobre 1963, peu avant la tombée de la nuit.

     Deux astronomes de l'Observatoire Lowell, James A. Greenacre et Edward Barr, dont le travail de routine consiste à prendre des séries de photographies de la Lune en vue de l'établissement de la grande carte lunaire au 1 millionième de l'U.S. Air Force, venaient de pointer vers notre satellite la célèbre lunette de 60 cm d'ouverture au moyen de laquelle P. Lowell, puis E. C. Slipher, tentèrent autrefois de percer les secrets de Mars. Ils examinaient, l'oeil à l'oculaire, la région tourmentée des cratères Hérodote et Aristarque et de la grande crevasse sinueuse au fond large et plat appelée vallée de Schroter. Leur intention était de comparer certains détails de cette région à ceux qui sont portés sur la carte. L'atmosphère au-dessus du désert de l'Arizona était assez agitée, rendant les images bouillonnantes, mais elle devint progressivement plus calme et un oculaire grossissant 500 fois fut adapté à la lunette.

     C'est alors - il était 18 h 50 - que l'attention de Greenacre fut attirée par deux taches lumineuses de couleur rouge orangé tout à fait insolites, situées à 45 km l'une de l'autre, sur les sommets de deux monticules voisins de l'extrémité méridionale de la vallée de Schroter. La tache la plus petite mesurait 2,7 km de diamètre, et la plus grande, de forme ovale, 2,7 km sur 9 km environ. Au cours des deux minutes suivantes, les deux taches devinrent ensemble extrêmement brillantes, et Greenacre, stupéfait, appela son collègue afin qu'il puisse à son tour observer et confirmer le phénomène. Les taches étaient toujours visibles trois minutes plus tard (c'est-à-dire à 18 h 53) lorsque Greenacre, qui avait repris l'oculaire, découvrit une troisième tache brillante, de couleur rose, recouvrant sur une vingtaine de kilomètres l'arête méridionale du rempart d'Aristarque. A 19 heures, les deux premières taches avaient perdu leur éclat initiale et leur couleur était devenue rouge rubis sombre. Dix minutes plus tard, elles avaient disparu, tandis qu'on distinguait encore faiblement la troisième tache, laquelle cessa à son tour d'être visible à 19 h 15. Aucune caméra photographique n'étant fixée à la lunette, il fut impossible d'obtenir des clichés.


UN MOIS A L'AFFUT


     Vingt-huit jours plus tard, le 27 Novembre 1963, la région d'Aristarque se présentait dans des conditions d'éclairage similaires et nos deux astronomes, qui n'avaient pas cessé de surveiller la Lune depuis l'observation précédente, mirent une fois de plus l'oeil à l'oculaire. Leur espoir ne fut pas déçu. A 17 h 30, une tache allongée rou&e rubis apparaissait, cette fois encore, sur l'arête du rempart d'Aristarque, mesurant 22 km de long. Greenacre et Barr n'étaient plus seuls : ils s'étaient fait accompagner sous la coupole par Fred Duggan et par le Dr John S. Hall, Directeur de l'Observatoire Lowell. Ce dernier, ayant constaté le phénomène, téléphona immédiatement à son collègue Peter Boyce qui disposait, à quelque distance de là, du grand télescope Perkins de 1,75 m d'ouverture, et lui signala qu'un phénomène coloré insolite était visible sur la Lune dans la région d'Aristarque, sans lui donner d'autre précision. Boyce découvrit immédiatement la tache rouge allongée et en confirma la position. Les minutes passaient et la tache était toujours visible. Des clichés en noir et blanc furent obtenus. Ce n'est qu'à 18 h 50 que la tache disparut : le phénomène avait duré 1 h 1/4 .


Les flèches indiquent où apparurent les lumières et leurs dispositions

     "I1 n'y a pas de changement sur la Lune". Cette vieille assertion, professée jusqu'à ces dernières années par l'immense majorité des astronomes professionnels, se révèle quelque peu erronée et il apparait au contraire que notre satellite pourrait bien être le siège de phénomènes lumineux passagers assez fréquents. Quelle est l'origine de ces lumières? Nul ne le sait. Est-ce le sol qui, en certains endroits, est recouvert de cristaux réfléchissant sélectivement les rayons solaires par le jeu des lois de la réfraction ? S'il en était ainsi, les taches observées auraient dû passer par les différentes couleurs de l'arc-en-ciel, et tel n'est pas le cas. S'agirait-il alors d'émissions de gaz, rendus luminescents par le rayonnement ultra-violet solaire ? Un argument de poids en faveur de cette hypothèse est apporté par la célèbre observation spectrographique de Kozyrev, dont nous parlerons en détail plus loin. Mais quelle pourrait être l'origine de ces émissions ? On a supposé qu'il s'agirait de la mise au jour de poches gazeuses occluses dans la roche lunaire, sous l'effet d'impacts météoritiques, ou encore de la volatilisation de la matière des météorites elles-mêmes. Mais par quel miracle alors le cirque d'Aristarque aurait-il été, à deux reprises, le siège de tels impacts, répartis d'ailleurs sur une bande de 20 km de longueur épousant très exactement l'arête même de ses remparts ? Ajoutons que, dans le vide (la Lune, ne l'oublions pas, ne possède aucune atmosphère), le libre parcours moyen des atomes et des molécules est infini : si une bouffée gazeuse était émise au voisinage du sol lunaire, elle se dissiperait très rapidement dans l'espace et cesserait bientôt d'être visible. Dans le cas présent, il faudrait donc admettre un renouvellement continu de l'émission des gaz pendant une durée assez longue (plusieurs dizaines de minutes) ; il faudrait admettre également que chacune des taches lumineuses était produite par plusieurs sources d'émission assez rapprochées, de façon à expliquer en particulier la forme extrêmement allongée et la grande dimension des deux lueurs observées sur Aristarque ; enfin, il faudrait supposer que ces émissions de gaz furent déclenchées, au méme moment, par un même processus, puisque les trois taches lumineuses du 29 Octobre 1963 présentèrent des variations d'éclat concomitantes.

     Tout cela fait penser, soit à une activité interne (tectonique ou volcanique), soit encore à une action calorifique du rayonnement solaire sur le sol de la Lune, produisant un dégazage des roches après la longue nuit lunaire (il est peut-être significatif à cet égard que les quatre lueurs observées prirent naissance, aussi bien le 29 octobre que le 4 novembre, un peu moins de deux jours après le lever du Soleil sur la région d'Aristarque).

     Rien enfin n'empêche, d'imaginer - mais ici nous tombons quelque peu dans la science-fiction que les taches brillantes apparues aient eu une origine artificielle, témoignant de l'activité d'êtres intelligents à la surface de la Lune.

      La vie n'a certainement pas pu se dévélopper sur notre satellite, mais si une expédition d'astronautes extraterrestres , venus des espaces intersidéraux explorait, le système solaire, on peut supposer que ces astronautes établieraient une base sur la Lune, ne serait-ce que dans le but d'étudier la Terre à faible distance sans être repérés. Dans un récent article sur les voyages intersidéraux publié dans la revue Planetary and Space Science, le très serieux astrophysicien américain Carl Sagan a froidement envisagé une telle possibilité, qui soulève cependant encore les plus grandes réserves chez la plupart des astronomes...

     Comme on le voit, l'exploration de la Lune, nous réservera sans doute bien des surprises...
"


Fin de l'extrait.


     Comme on le découvre ici, ce dernier passage, mis en gras bleu marine, de l'article en question, (qui ose parler de Science-Fiction), est pourtant exactement, la conclusion à laquelle est arrivée, le Webmaster d' ARTivision, qui l'avait déjà fait savoir, dans une lettre envoyée au journal France-Antilles, qui fut publiée, dès le 14 Février 1975, (il y a donc 44 ans déjà, de cela, en 2019), et dont voici quelques éléments significatifs ...restructurés par nos soins :



         Mais ce 24 Octobre 2019, lançons un surprenant 5e focus, consacré à l'épopée de la mission, si bien orchestrée dit-on Appolo 8 :

Cinquième focus



      Avec nos très faibles moyens, analysons seulement ici, si vous le voulez bien, cette affaire d'Apollo 8 :

     Pour bien nous placer dans l'ambiance et dans l'action des protagonistes, de l'époque, il convient de placer ici le texte qui suit, du petit ouvrage de poche intitulé "la Saga de L'espace" publié chez Gallimard en Octobre 1986 :



      "Au début de l'automne 1968, les États-Unis et l'Union Soviétique sont prêts à reprendre leurs vols habités. à la mi-octobre, le vaisseau Apollo 7 accomplit un vol parfait de onze jours autour de la Terre . Les soviétiques suivent quelques jours plus tard : Le 26 octobre Georgi Beregovoi s'élance a bord de Soyouz-3 pour rejoindre sur orbite un Soyouz 2 inhabité, satellisé auparavant. Sa mission ne sera qu'un demi-succès car les deux vaisseaux ne pourront s'amarrer, mais elle rassurera pleinement le pays sur la sécuritc du Soyouz .

Des objets terrestres reviennent de la banlieue lunaire.

      Les succès d 'Apollo 7 et de Soyouz-3 sont importants. Mais lorsque les équipages de ces vaisscaux reviennent de 1'espace fin octobre, la grande affaire n'est plus la realisation de vols spatiaux autour de la Terre. Le problème est de savoir qui de l'URSS ou des Etats-Unis enverra le premier des hommes autour de la Lune, Les Soviétiques viennent en effet d'accomplir un pas décisif dans cette voie : le 14 septembre 1968, ils ont lancé un prototype de leur Soyouz lunaire, Zond-5, qui a effectué un suryol a 2000 km de la Lune, avant de revenir se poser avec succès dans 1'océan Indien. pour la première fois un objet terrestre est revenu de la banlieu lunaire . Un autre succès suit avec Zond-6, le 17 Novembre. Le doute n'est plus permis : les Soviétiques sont prêts à envoyer un cosmonaute (sans doute Pavel Beliaiev) autour de la Lune. Et une opportunité s'offre à eux de procéder à cette expérience le 7 décembre 1968...

     Mais les Américains n'ont pas attendu le retour de Zond-6 pour prendre une décision d'une audace inouie : le 11 novembre 1968, un nouvel administrateur de la NASA, Thomas Paine, annonce que la mission Apollo-8, prevue pour Décembre, ne sera pas un vol expérimental autour de la Terre, mais une mission habitee autour de la Lune ! Le pari est fantastique.

     C'est vraiment que se situe le tournant dans la course a la Lune. Si 1'Amérique ne.fait pas d'Apollo-8 une mission circumlunaire, elle est sure que 1'Union Soviétique la devancera au cours des mois suivants, et recoltera 1'essentiel des lauriers de la conquête lunaire. A quoi cela servirait-il, des lors, d'envoyer plus tard des hommes sur la Lune ? Mais si la mission Apollo-8 échoue, c'est tout le programme Apollo qui est compromis.

     En fait, l'Amérique joue là , son avenir spatial à quitte ou double. Et elle va gagner...

      Trois hommes fêtent Noël à une centaine de kilomètres de la Lune

     Pour une raison que l'on ignore, les Soviétiques laissent passer leur dernière occasion de battre les Américains ;
     Le 7 Décembre, aucun Soyouz lunaire ne s'élance de Baïkonour. La route est desormais libre pour les Etats-Unis. Le 21 Décembre à 16 h 51 (heure de Paris), les trois astronautes d'Apollo 8, Frank Borman, James Lovell et William Anders, quittent la Terre au sommet d'une monstrueuse Saturn-5. Deux jours et demi plus tard, leur vaisseau approche de la Lune et passe derriere elle.

     Apollo-8 ne se contente pas de survoler la Lune. Il est placé en orbite autour de 1'astre, et c'est à 112 km au-dessus de la surface lunaire que les trois homrnes passent la nuit de Noël 1968... Ils repartent vers la Terre le lendemain matin et se posent sans probléme dans le Pacifique le 27 Décernbre.

     Lorsqu'ils sont partis, Borman, Lovell et Anders , jouaient leur vie et celle du programme Apollo. Lorsqu'ils reviennent de la région lunaire, ils ont virtuellement fait gagner à 1'Amérique le pari de John Kennedy. Le triomphe d'Apollo-8 marque la defaite de 1'Union sovietique dans la course à la Lune. Après une réalisation aussi brillante, il ne servirait a rien d'envoyer un seul cosmonaute dans un petit Soyouz effectuer un bref survol de la Lune. Le programme Zond habité est donc abandonné. Les preparatifs d'une mission plus ambitieuse rnais plus lointaine, l'alunissage de cosmonautes, sont en revanche poursuivis, au cas où la NASA ne parviendrait pas à atteindre cet objectif. "

     Fin de citation.


     Quel Super laïus. Hélas tout cela présente des failles notoires, et nous allons maintenant expliquer pourquoi !

     Vous avez bien noté, nous l'espérons, l'expression ci-dessus que nous avons mise en exergue telle que :

"Lorsqu'ils sont partis, Borman, Lovell et Anders , jouaient leur vie et celle du programme Apollo"

       Pour mieux expliquer cela, jetons d'abord un coup d'Oeil sur cette photo du Paris Match n° 1025 du 25 Déc. 1968, qui présentait en première page, les 3 astronautes de la mission :


    Mais en pages 32 et 33, ce Paris-Match 1025, nous présentait un superbe schéma(53cm -34cm), que nous avons eu bien du mal à reconstituer à cause de notre petit scanner:


    Et pas besoin de sortir de Polytechnique pour deviner, la grande complexité de l'entreprise, ( (nous suppossons bien sûr que ce super schéma est tiré des planches techniques de la NASA),, qui conduirait les protagonistes jusqu'à environ 400 000 km de la Terre, et entreprise menée à l'aide d'ordinateurs, qui à l'époque, avaient à peine la puissance d'une calculette actuelle de lycéen...

    Mais pour les puristes, présentons en plus clair, les étapes de l'expédition :


    Mais faisons déjà ici, une digression importante, concernant l'étape n° 7 :

    Sur le site :


     Nous lisons : "Le dernier évènement important avant leur entrée en orbite lunaire consistait à ralentir, pour obtenir une vitesse de 0,6 m/s. À la 61e heure très exactement, alors qu'ils étaient à 39 000 km de la Lune, l'équipage alluma le RCS pendant 11 secondes.

     À la 64e heure de vol, ils préparèrent l'insertion en orbite lunaire (Lunar Orbit Insertion-1, LOI-1). Cette manœuvre ne permettait aucune erreur et devait être effectuée de la face cachée de la Lune, sans contact possible avec la Terre. L'ordre positif fut donné à la 68e heure. Après 68 heures et 58 minutes de vol au total, le vaisseau passa derrière la Lune et perdit tout contact radio avec la Terre.

     Dix minutes avant l'opération LOI-1, l'équipage vérifia les systèmes du vaisseau. Ils aperçurent enfin la Lune, du côté caché. Seulement deux minutes les séparaient du lancement et ils n'avaient que peu de temps pour apprécier la vue.

     L'allumage des propulseurs se fit 69 heures 8 minutes et 16 secondes après le lancement, le moteur brûla pendant 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8 en orbite elliptique lunaire. L'équipage décrivit cet instant comme les "quatre plus longues minutes de leur vie". Si la propulsion n'avait pas duré exactement le temps prévu, le vaisseau aurait eu une trajectoire très excentrique voire aurait été éjecté dans l'espace. Si elle avait trop duré, ils se seraient écrasés à la surface de la Lune.


     Fin de la digression.

     Vous avez bien noté, et nous espérons qu'un spécialiste de l'Espace, nous le confirmera : que l'insertion en orbite lunaire, donc le freinage correspondant pour y arriver, devait se passer lors du premier survol de la face cachée de la Lune, à un moment où aucune communication avec la Terre n'était possible. "

     De plus, on voit que c'est une affaire de seconde en plus ou en moins autour des cruciales 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8 en orbite elliptique lunaire, car c'était ou, l'échappée vertigineuse dans l'espace cosmique, ou pire l'écrasement sur la Lune. Quel dilemme n'est-ce pas ! pour avoir à jongler avec un simple petit bouton.

     A vous de juger...

     Mais de plus, nous allons voir tout de suite, qu'il manque au super schéma en question, certaines étapes importantes, que l'on a , sans doute volontairement oubliées, pour le simplifier.

     En effet, et c'est ici, une exclusivité d'ARTivision, si nous rapprochons les étapes 6 et 7 du superbe schéma :


     On découvre alors que la capsule conique de commande, qui contient les 3 voyageurs a un sens inversé de l'étape 6 à l'étape 7. En effet Apollo 8, à la 61e heure très exactement, devait se trouver à 39 000 km de la Lune, et l'équipage alluma le moteur central du module de service pendant quelques secondes bien précieuses, pour passer de la vitesse de 1 216 m/s à celle dit-on de 0,6 m/s. Un sacré freinage n'est-ce pas !!. Mais ce que ne montre pas le schéma, c'est qu'il faut quelque temps avant, inverser le vaisseau dans son sens de circulation, pour que la tuyère principale du Module de Service, soit en avant de la marche. Cette inversion est donc d'une grande délicatesse nécessitant une prise de risque énorme. Or ceci n'est, on va le voir, mentionné nulle part, dans le récit du célèbre Raymond Cartier, très grand reporter à Paris Match, qui a certainement pris, les informations qui précèdent, directement à la NASA. Tout ceci est très curieux, et on se demande, si ce n'est pas la NASA elle-même qui n'a pas jugé bon, de le mettre au courant de cette affaire de retournement du vaisseau Apollo 8, qui en effet , hypothéquait la réussite de l'opération.

     Cette affaire de retournement d'Apollo, est mentionnée, certes pour, Apollo 11, par exemple sur le site :


, tel que :

     H + 3h17mn05 s : le troisième étage est largué

     H + 3h24mn03 s : après une manœuvre de retournement, le véhicule Apollo vient s'amarrer au module lunaire. Les trois modules assemblés sont en route vers la Lune.


     Et il y a même mieux en forme de schéma dans un document PDF placé à :


, tel que :


     Tout cela pour bien montrer la complexité de cette affaire d'Apollo 8, comme bien sûr pour les autres missions Apollo.

     Remarquons que cette affaire de retournement pourrait être commandée de la Terre (à près de 361 000 km de là avec, on le sait des ordinateurs très balbutiants), mais cette opération pourrait aussi être entreprise directement avec beaucoup de risques par l'équipage d'Apollo 8.

     Mais il y a encore, une autre étape délicate, qui n'apparaît pas sur le super schéma, en question. Voyez celà, vous-même dans ce coin :


On voit très clairement que les vaisseaux en question sont inversés, ce qui signifie qu'à un moment donné, il y a eu un autre retournement, non également mentionné sur ce beau dessin. Ce retournement pourrait avoir lieu en effet, immédiatement après le premier survol de la face cachée de la Lune, mais il aurait pu avoir lieu, à un autre moment des 10 révolutions effectuées, dit-on, autour de la Lune, d'après le site :


     Mais , ce retournement pourrait devoir être amorcé à partir du survol de la face cachée, et ce sont alors les membres de l' équipage, qui en seraient responsables, avec tous les inconvénients en puissance, car ils ne pourraient communiquer avec la Terre, s'il y avait un pépin.

     Voyons maintenant, d'après Paris Match, quelques prouesses techniques utiles ( les phases vraiment dangereuses sont en violet), pour réussir cet exploit:


     On voit alors, que dans ce texte réduit et ramassé, on parle bien de moteurs de Vie et de Mort et jamais du processus de retournement du Module de Service.

     Mais lisons alors ce qui est écrit, au bas de cette photo de Williams Anders ( bien sûr il y aussi celles des autres astronautes et aussi des textes concernant leur curriculum vitae ) :


     C'est donc un quidam plutôt rigoureux et cultivé. Alors, pourquoi a-t-il déclaré (d'après Paris Match bien sûr), cette phrase tout à fait insolite et inadaptée ;

     " Nous avons moins à craindre que Lindbergh lorsqu'il vainquit l'Atlantique . "

     Et malgré l'explication fantaisiste et opportuniste, de Paris Match, qui nie les justes réserves du grand astronome anglais Sir Bernard Lowell :


, le site ARTivision, pense que ce propos très insolite d'Anders est une sorte de bouteille à la mer, bien calibrée, pour les générations futures, et cela signifie en clair :

" Soyez logique voyons, tout cela n'est, qu'un grand bluff... "


     A bon entendeur salut !

     Mais si, comme nous venons de le suggérer, le voyage lunaire des occupants de la cabine Apollo 8, n'aurait jamais eu lieu, d'où viennent alors ces magnifiques photos (ces occupants, n'avaient pas eux, au moins à rapporter des cailloux lunaires) :

     

     

     Et surtout, il y a cette image incroyable du Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969, présentée en exclusivité parARTivision, dès le 28/08/1998.


     On y voit, chacun le sait déjà, chose inimaginable, une anomalie qui se présente l'aspect d'un demi porte-avions de prés de 26 à 30 kilomètres de long et dont la partie centrale serait constituée de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment surmontées d'une sorte de" flèche gigantesque". Voyez donc les deux agrandissements, un peu colorés ci-dessous :


       Si vous avez trouvé, comment tout cela a été possible... bravo... vous êtes presque déjà, dans le secret des Dieux ...

     Mais ce jour, demandons aussi au Grand Maître de Findhorn, de nous éclairer, un peu plus, sur la situation humaine et mondiale actuelles :

Ce n'est pas parce que quelque chose était juste et correcte hier,
qu'elle l'est aujourd'hui.

C'est pourquoi tu dois vivre un jour à la fois,
et vivre pleinement dans le merveilleux éternel présent;
car lorsqu'il te sera possible de le faire sans réserves ni idées préconçues,
tu pourras accepter le changement sans résistance
et la vie coulera avec aisance et douceur.

C'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire,
spécialement lorsque tu as senti que tout allait bien
et que tu as enfoncé profondément tes racines,
te sentant en sécurité dans ta situation présente.

Que ta sécurité soit en la Source,

et jamais dans une situation, un plan, une personne ou une chose;
car ce qui est là aujourd'hui peut avoir disparu demain.

Mais la Source,
est de toute éternité,
Donc, recherche-LA, trouve-LA,
et ne crains rien.

Laisse les changements survenir,
sache simplement que chacun d'eux
sera pour le meilleur et qu'il est nécessaire
pour la croissance et l'expansion du tout.


La Petite Voix , Eileen Caddy Le Souffle d'or 1994.
Méditation pour le 24 Octobre, après adaptation d' ARTivision.


     Mais ce 27 Octobre 2019, il est peut-être ici, encore utile d'expliciter, pour les contortionnistes psychiques qui rigolent sous cape, au sujet de la méditation qui précède et en particulier ce que peut signifier l' expressions atypique suivante : et en particulier la phrase surprenante :

"...tu dois vivre un jour à la fois,
et vivre pleinement dans le merveilleux éternel présent... "

     Rappelons pour le novice , qui aborde ce site pour la première fois, par cet article en cours, que le Maître de Findhorn est une transfiguration transcendante, et très artistique, orchestrée par le site ARTivision , à partir de l'ouvrage "Opening Doors Within", publié en 1986, (en français en 1989) , par Eileen Caddy, décédée en Mars 2007.

     Pour en savoir plus, sur l'affaire de Findhorn, le novice, pourra se réferrer aux pages :

     Où à :


     Rappelons aussi à ce novice , qui aborde ce site pour la première fois, par cet article, que ce site est un site Mystico - Rationaliste, (mot que vous ne trouverez dans aucun dictionnaire), et cela signifie que cette plateforme intégre pleinement des textes dits transcendants, qui nous viennent d'entités dites ascensionnées, comme par exemple : Sananda, Ramtha, Dratzo, SaLuSa, Mikaël, Dorian, Soria, Saint-Germain ...etc...

     Les textes, de ces Maitres, pourtant, d'un très haut niveau de connaissance, ne sont jamais discutés, en public sur les plateaux des télés, qui ont pignon sur rue, et pourtant ces textes nous invitent à méditer sur le devenir de cette planète Terre, en très grande mutation.

      Mais revenons donc, à la phrase en question qui assurément va faire grincer d'amertume les molaires de nos philosophes, psychologues, psychiatres et consorts affiliés blasé du système actuel,


"...tu dois vivre un jour à la fois,
et vivre pleinement dans le merveilleux éternel présent... "

     Ce qui est encore plus surprenant, c'est que ce même discours axé sur ce concept du Temps présent, est repris, plus de 31 ans après, par Le Maître de Findhorn (le 11 avril), et plus de 46 ans après par l'entité transcendante Soria tel qu' en page 14, de son premier livre de 2001, on trouve ceci :

 

    " Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi
, Illusion du temps; il n'y a pas de passé ni de futur; seul existe le moment présent; cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans, a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète. "

    Nous ajoutons enfin que cette notion révolutionnaire du temps cosmique, semblait être connue du Maître nommé Jésus-Christ, puisque qu'il préconisait ouvertement de " ne pas se préoccuper du lendemain et de vivre au jour le jour", sans doute pour mieux s'ancrer dans l'énergie, relevant de la quatrième dimension, ce qui lui permettait évidemment de réaliser ce que nous avons appelé "des miracles", et miracles qu'il avouait, lui même, être à la portée de chacun de nous.

       Allez, voici un petit plus, qui nous invite aimablement à lire , les pages 79 et 80 de l'ouvrage "Ultimes Paroles", de l'incomparable "Baird T.Spalding", publié par Robert Laffont, en Juillet 1985 :

  
        Mais voyons donc, ce que l'on y trouve, en pages 79 et 80 :

  

        Et que celui qui sait lire, ce qui apparaït clairement entre ces lignes...et qu'il s'interroge alors, sur le moyen, d'en savoir davantage...


       Mais, c'est exactement le même langage, que l'on trouve dans ce message très moderne d' ARCTURIUS, venant 62 ans plus tard :

----- Original Message -----
From: Daniel Durieux
To: fred IDYLLE
Sent: Friday, November 03, 2017 5:32 PM
Subject: Dans leur grande majorité, les humains ont oublié leur but dans la vie

       Mais analysons plus avant le texte d' Adamski :

      Voici ce que l'on y trouve en page 85, et qui confirme ce que disent actuellement de nombreux sites comportant des messages dits transcendants :

     D'abord en page 85, on trouve ce vrai cours de philosophie cosmique très surprenant pour l'époque :


      Comme c'est curieux n'est-ce pas, que ce langage, qui s'apparente à un discours religieux hors-normes, et que l'on n'entend pas souvent, dans les homélies, des dignitaires religieux actuels.

     Mais le buzz commençait déjà dès les pages 79 et 80, où les détracteurs et autres intellectuels blasés étaient déjà assurément tombés à la renverse, puisque , nous dépassons de loin, les imaginations débridées de auteurs de la SF... ( et il faut lire aussi la suite, déjà présentée plus haut, et tout à fait renversante, mais nous ne pouvons ici, en dire plus)


     D'ailleurs, on voit ici que , (nous l'avons dit souvent), que cet Adamski, parle ici de l'invisibilité possible pour certains vaisseaux de l'espace, et cela déjà en 1955, bien avant la fabrication nos avions dits furtifs. Ce monsieur aurait donc pu parfaitement écrire ses ouvrages sous la forme des romans de S-F, qui lui aurait permis certainement d'obtenir, (nous l'avons vu déjà plus haut), le Prix Jules Verne, de l'époque, et une grande notorité, vis à vis de ses concitoyens...

     Mais dit-on, "comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", voici en direct les méditations d'hier et celle de ce jour le 27 Octobre, du au Grand Maître de Findhorn :


      Pas besoin ici, de mettre des couleurs, car tout est superbement dit, et éclaire notre démarche en ces Temps de Révélations, qui approchent à grands pas...

         Reprenons alors quelques phrases, du message lancé le 27 Octobre, par ce Maître de Findhorn, et phrases, qui ont dû faire grincer les molaires des outrecuidants intellectuels et consorts bien-pensants blasés du système actuel, qui part, résolument, à vau-l'eau.

        Le message dit alors, entre autres choses :

" Cela demande un grand amour et une grande patience;
Cela demande de la concentration et du dévouement;
Ce processus est ce qui se passe en ce moment avec le Nouvel Âge"



     Mais alors... ce "Nouvel Âge"
, c'est quoi vraiment ?

          Mais, ne vous en faites pas trop à ce sujet, nous le saurons très bientôt !!!

     En effet, progressivement, on découvre que sur ARTivision, la notion de quatrième dimension, est de rigueur et que l'intuition personnelle, est de mise, (hélas, cela ne s'apprend pas dans nos écoles publiques), ce qui en fait un site tout à fait singulier, où rien ne se fait par hasard ...

     A vous de juger desormais tout cela, documents incontournables et très atypiques en mains.

         Mais ce 31 Octobre 2019, nous allons lancer un trés déconcertant, 6e focus, qui va mettre assurément, une fois de plus, au pied du mur, les contortionnistes cosmologistes plutôt blasés de notre Système Solaire :

Sixième focus



      En effet, reprenons ici l'image extraordinaire suivante (déjà vue plus haut), et tirée du super site : :



Et on voit alors que, si vous cliquez, sur l'image de la Lune de Web.archive.org ci-dessus, vous découvrirez son nom : landstrip.jpg

      Seulement voilà, chose très surprenante, si nous tapons ce nom d'image, dans le cadre de Google images placé à :


, nous obtenons plus d'une centaine d'images, qui n'ont rien à voir, avec un paysage lunaire.       Même topo, si nous essayons le nom : landstrip.gif.

ou landstrip.bitmap.

      Curieux n'est pas !!! D'où vient donc cette photo fantastique ?

      Aucune référence à la NASA, ne nous est fournie... Qui a donc pu installer cette incroyable photo sur le WEB ?

     Bravo à l'internaute béni, qui nous trouvera à la NASA, les références exactes de cette photo, que nous avons appelée :

Lunepistetresinsolitea.jpg

     Et si vous tapez cela dans Googleimages, on obtient enfin ceci :


      Autrement dit, cette photo n'existerait pas sur Google images, si ARTivision, ne l'avait pas nommée: Lunepistetresinsolitea.jpg.

     Mais, peut-être qu'on la trouvera chez un autre Webmaster, qui l'appelera autrement... Merci, à l'internaute qui découvrira cela...

      Mais allons plus loin, dans notre investigation. Le texte qui accompage cette photo archive.org, ci-dessus, est datée du 12 Février 2000. Donc, on peut en déduire, que cette image très insolite :


dont la tranchée notoire a été mise en couleu,r on le sait, telle que :


et photo de source inconnue pour l'instant, a donc été mise sur le Web, avant le 12 Février 2000.

      La question à 1000 €, est donc de savoir, si à l'époque où les PC du commerce, étaient balbutiants,, un internaute specialiste, pouvait nous truquer une telle représentation de la Lune? Aux specialistes informatiques qui possèdent dès lors de puissants logiciels comme Tungstene et consorts, donc, de répondre. !!!

      Si cette photo est truquée (ce que nous n'arrivons pas encore à admettre), quelles auraient pu être d'autre part, les motivations de l' hurluberlu, qui aurait passé un temps fou, pour réaliser ce travail, alors qu'à l'époque, la grande majorité des observateurs des choses de l'espace, croyait au débarquement lunaire des américains en Juillet 1969. (Notre premier article, contestant ce débarquement, date du 30/04/2000. Voir notre timide article de l'époque : http://www.artivision.eu/lettreouverteSA.html ),

      Mais allons plus loin, dans notre investigation, de cette image présentée déjà plus haut :


      Et, traduisons modestement alors le petit texte de droite :


" Le lecteur notera l'étrange "rayure" de la surface lunaire de la photo attenante. Elle traverse clairement des formations rocheuses, et au bout de la partie rectiligne sur la gauche, il semblerait qu'il y ait une courbure, et l'ensemble donc s'apparente à une canne de hockey . La longueur de la partie rectiligne, est estimée à 29 km ".

       Rappelons, à toute fin utile, que finalement la partie gauche de la rayure en question, qui est en forme de tranchée (car il s'agit bien de cela et les puissants ordinateurs de notre époque eux, vont le démontrer assurément, et même nous en déterminer la profondeur), nous montre aussi très nettement, (on l'a vu déjà plus haut), une figure étrange, en forme de F, qui apparaît admirablement sur la gauche du tracé rectiligne, telle que :


       On sait que cet F mesure près de 1;7 Km de haut, et donc et ce n'est donc pas de simples amateurs qui l'ont réalisé.

       Tout cela pour nous bien sûr, est le signe de l'authenticité, de cette extraordinaire photo, mais que de plus, si l'on analyse l'aspect général de l'image, on découvre, que la fameuse tranchée, a une coloration semblable à celle de son environnement, et nos puissants ordinateurs actuels, le constateront aisément.

       Mais alors, cela signifie que le temps, a déjà fait ici son œuvre, sur la région pendant des siécles, ou plus, car, (on le sait bien), l'érosion du sol est peu actif sur la Lune à cause de l'atmosphère minime qui y règne.

       Ah si le Paris-Match n° 287 de Septembre 1954, avait osé, nous montrer, ce que l'on sait être désormais, la super découverte, faite 6 Mai 1954 par le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane dans la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune, on verrait tout de suite la différence de coloration de la tranchée en question.

       Comme vous le voyez, encore une fois, ce Paris Match, a vraiment à l'époque loupé le coche, qui aurait pu ouvrir notre esprit, bien plus largement à la connaissance de la Lune et de celle notre système solaire.

       Si l'on démontre, que cette image est authentique, comment alors expliquer que les cosmologistes qui étudient notre environnement spatial n'aient pas bougé le petit doigt, (notre article : Concisionlexicale.html, en parle dès le 07/10/2014), pour faire un simple débat officiel à ce sujet, sur les plateaux de télés qui ont pignon sur rue, et télés qui préfèrent, nous inonder de photos dérisoires, alors que celle-là, concerne évidemment le merveilleux Passé de la Lune et surtout celui de la Terre, qui lui est obligatoirement lié...


       De plus, ce serait, la preuve absolue, que l'on nous cache en très Haut Lieu, l'existence des Aliens, qui fréquentent la Lune depuis des siècles, et qui, bien sûr, viennent inconnitos sur notre planète, exactement comme les messagers, qui sont venus à l'époque, avertir le patriarche LOT, de la destruction de Sodome et Gomorrhe dans l'Ancien Testament (Genèse 19.1-29). Point à la ligne...

       Et à bon entendeur, salut !

         Mais ce 05 Novembre 2019, poursuivons toujours dans notre 6e focus, les tenants et les aboutissants de cette super affaire de tranchée ancestrale sur la Lune et selon nous, image parfaitement authentique, surtout malgré le silence mortuaire, que l'on lui a accordé depuis 5 ans an moins date de notre premier article, qui en parle.

     Mais dit-on, "comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", faisons alors ici pour le novice qui découvre par cet exposé, la plateforme ARTIvision, une digression très importante, déjà connue bien sûr, de nos amis du Web :

      En effet, nous n'avons pas été, particulièrement étonné par cette information que l'on peut trouver à la page :



ISRAEL-et-son-Satellite.jpg>

     Cette sonde lunaire, (on le sait), est devenue totalement muette, en approchant du sol lunaire, et donc on ne sait pas, si elle a pu toucher ce sol, en douceur ...

      En effet, compte tenu , des dernières découvertes, faites sur la Lune, déjà vues dans nos volets sur ARTE :


  

  

   >


, nous pouvons alors affirmer que le Passé de notre Terre, est beaucoup plus fantastique, que ne sauraient l'imaginer nos meilleurs auteurs de Science Fiction.

      Mais, pour mieux saisir le fin mot de l'affaire, relisons alors, en page 117, ce passage clef de la Bible de DHORME de 1956 où, il affirme qu'il croit à un pluriel de Majesté, dans l'Ancien Testatment :


      Ce passage, est très important, puisque Dhorme, nous y montre, qu'il a été particulièrement embarrassé, pour traduire le super passage en Genèse Chap.XXXV vers.7, où apparait, sans détour, la pluralité de ces entités cosmiques nommées Elohim. Mais, il a très courageusement, résolu l'affaire en expliquant cela en bas de page, par la note n° 7 vue ci-dessus :

      Le site ARTivision pense alors que si Israël a lancé récemment le satellite Berechit, premier mot de l'Ancien Testament, cela ne peut qu'être que pour chercher en douce, l'origine culturelle et physique fondamentale du peuple juif, origine assez bien esquissée par l'ouvrage suivant :


      Ouvrage qui donne un aperçu très rapide de l'incroyable verset Genèse Ch.3 ver. 22 tel que :

" Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous"

     Nous avons longtemps attendu en effet, que des spécialistes en hébreu nous disent, que l'interprétation d'ARTivision de ce verset 22 du chap. 3, était inexacte. Mais ce fut le silence assourdissant de la pierre tombale...

      Nous allons démontrer une fois de plus ici, noir, sur blanc, que puisque de plus, certaines bibles écrivent même "l'un d'entre nous", que ce "nous", ne peut d' aucune manière, être qualifié de pluriel de majesté, car dans ce cas Iahvé l'Elohim aurait dit "Voici que l'homme est devenu comme Nous". ( le Nous ayant on le voit, une majuscule, bien que l'on sache qu'en hébreu, il n'y a pas de majuscule, comme en français).

       En effet, prenons un exemple plus pratique :

      Si, Louis XIV, ce super roi de France du XVIIe siècle, voulait parler du château de Versailles, il dirait, par exemple : "Nous avons décidé, de construire le château de Versailles pour la gloire de la royauté ", mais jamais, il ne dirait : "L'un de nous a décidé, de construire le château Versailles pour la gloire de la royauté "...

       Il est donc ici, évident que Iahvé ne s'adresse pas à Adam, ni à Eve, car il aurait dit : "Te voilà devenu comme Moi", ou, s'il se parlait à lui même en aparté, il aurait dit " Voici que l'homme est devenu comme Moi " , mais s'il dit : l'un de nous , c'est parce qu'il s'adresse bien, à d'autres Elohim, comme lui même, présents à ce moment là, dans le Jardin d'Eden. Point à la ligne...

       Notons cependant que la Bible de l'Alliance Biblique Universelle (A.B.U), contourne très astucieusement la difficulté, en proposant la traduction :

"Voilà que l'homme est devenu comme un dieu".
(Notez bien la minuscule à dieu)

et le "nous" en hébreu :


, nous est est resté jusqu'à présent, en travers de la gorge, bien qu'il soit très éclatant dans le texte dit sacré de l'Ancien Testament.

      Finalement le mot, le plus dramatique de l'histoire, ce n'est pas seulement le nous, mais c'est surtout le l'un, car s'il y a l'un, quelque part, il y a aussi l'autre, ailleurs...

        Fin de la digression.

        Revenons maintenant de cette incroyable affaire du Paris Match 1028.

        On sait déjà que Paris Match avait à l'époque emprunté à l'Agence World Book Science Service, un précieux négatif (Mais personne, à l'époque, ne savait, ce que ce négatif contenait de très précieux), et négatif, qui a magiquement disparu par la suite, et est devenu totalement est introuvable.


     Voici d'abord la preuve, que cette agence est bien mentionnée, au bas de texte de droite, de l'époque, publié en page 29 du n° 1025 de Décembre 68 de Paris Match :

 

    Donc dans cette affaire Paris Match n'a été qu'un support intermédiaire, très fortuit...

           Mais revenons à notre agence World Book Science Service. Elle a alors disparu comme par enchantement, et il est de la plus haute importance, qu'un journaliste intrépide et surtout curieux, retrouve ce que sont devenues les archives de cette agence, car en effet, c'est cette Agence qui fournira aussi à Paris Match, quelques jours plus tard, le stupéfiant document, déjà présenté plus haut, possédant, une remarquable portion de la face cachée de la Lune, paru en pages 32 et 33 de son désormais incontournable n° 1028 du 18 Janvier 1969, qui allait poursuivre plus amplement la narration de ce mémorable voyage bidon d' Apollo 8, tel que :


et dont, voici plus clairement, le texte en question :


      Mais, c'est peut-être ici le moment de reprendre quelques épisodes surprenants, qui touchent de près cette incroyable affaire reliée à un cliché très saugrenu, que l'Agence World Book Science Service, aurait refilé en début de 1969, à la revue Paris-Match et cliché qui a disparu comme par enchantement de la circulation, comme d'ailleurs l'Agence elle-même.

      Ce cliché introuvable jusqu'à présent, qui devrait ressembler à ce qui suit, sans les flèches d'alunissage d' Apollo 11 :


poursuivons notre analyse des photos de la mystérieuse Agence World Book Science Service, et voici une photo de cette agence, qui fut publiée par le Paris Match 1027 du 11 Janvier 1969, (sorti bien sûr, après le retour des cosmonautes d'Apollo 8, le 27 Décembre 1968), et dont voici seulement une partie de la couverture en raison de largeur trop petite de notre scanner :


      Au bas de cette image apparaît la mention, qui nous interpelle bien sûr :

      " En couleur, les photos les plus bouleversantes jamais faites "


      Disons d'abord, que nous serions très curieux de savoir, si étant donnée la courbure de la Lune présentée, est-ce que le diamétre du globe terrestre montré, est conforme à la réalité, et s'il n'est pas trop petit, montrant ainsi qu'il ne s'agit que d'un piètre montage photographique, mal calibré à l'époque, d'autant que dans le même dossier spatial de ce Paris Match 1027 (qui est incontournable pour étudier de l'affaire d'Apollo 8 ), il y a aussi sur 2 pages, cette image, dont nous vous donnons que la moitié, (en raison de notre petit scanner), et où l'on voit la Terre, bien plus grosse :


       Merci d'avance, aux spécialistes de l'espace, ayant des ordinateurs puissants, et qui pourraient très aimablement, nous en dire plus, à ce sujet...


      En second lieu, visualisons quelques images des pages centrales détachables, de ce Paris Match 1027 :

     Cette revue, nous offre en effet, un super dossier central de 16 pages, concernant l'épopée d'Apollo 8 et surtout un texte concernant les prospectives pour Apollo 11, et dossier intitulé :


     Voyons maintenant le bas de l'image ci-dessus :


     Vous avez bien noté en violet, l'expression gonflée d'orgueil "Conquête de la Lune", utilisée par le journaliste blasé de l'époque.

      Il nous parle aussi de 1500 photographies obtenues par Apollo 8 , et on aimerait aussi savoir pourquoi ce dossier de 16 pages, ne nous montre pas une seule photo de la face cachée de la Lune, alors que jusqu'à présent nous n'en connaissions, que deux très passablement floues :

  

Ne trouvez-vous pas bizarre, que dans les 16 pages du dossier, il n'y a pas eu une petite place, pour une photo de la face cachée ?

      Voyons maintenant ce que l'on trouve en page 4 et 5 du dossier en question :

      Sur ces deux pages en haut on trouve ceci :

      " Dans cinq mois , deux hommes pilotant debout un étrange insecte,
se poseront sur la Lune."


      En bas de la page 4 on trouve alors ceci :


qui montre bien le caractère dangereux de la mission, mais voyons ce qui suit en page 5 bis :


     On voit bien, que l'image présentée, nous vient aussi de l'Agence World Book Science Service .


     Mais, il y a aussi cette affirmation du journaliste Jean Paul OLLIVIER :

      " ... et ils seront livrés sans recours à un monde désolé sans atmosphère respirable."

     Ce journaliste blasé, n'avait évidemment pas lu, les ouvrages de George Adamski et d'Howard Menger, qui disent tout à fait le contraire :


     Mais, ce 6 Novembre 2019, pour avancer tant soit peu, dans cet exposé, concernant l'Agence World Book Science Service, il nous appartient de partir d'abord du site :


et d'en extraire en premier lieu, cette image :


       Ce Monsieur, Delmar BORER, aurait pu être assurément, à l'origine de la création de l'Agence World Book Science Service, dont nous avons parlé plus haut.

      Poussons plus avant l'investigation :


      ll semblerait donc que cette agence ait pris corps, autour de 1965, et nous demandons avec déférence, à l'internaute qui sait comment elle fonctionnait, en 1968 ( Directeur, siège, son lien avec la NASA.., date venue après, de son sabordage... etc...), de nous en toucher deux mots...

       En effet, voilà une agence qui avait vraiment pignon sur rue, à l'époque des années 1965 et suivantes, et qui a disparu souvereinement comme par magie, juste après les "exploits", des premiers Apollos. Avouez, qu'il y a de quoi flipper, sur cette affaire très saugrenue.

      Mais, rappelons aussi, à toutes fins utiles, que le Webmaster, de la plateforme ARTivision, a constaté avec surprise, que rien ne se faisait par hasard, sur ce site, (libre à vous de démontrer, que c'est par pur hasard, que nous avons découvert un jour de 1983, dans une vieille malle, à 600 m de chez nous, l'ouvrage condensé de de I.I. Hayes de 1877 suivant :


, et ouvrage qui décrit admirablement, un phénomène polaire au Nord de notre planète, et qui est aussi visible au Pôle Sud.(voir plus bas))
.

     Donc, cet article concernant certaines lacunes regrettables de la revue Paris Match, n'est pas un texte médiatique ou journalistique, (comme certains détracteurs le considèrent sans doute), mais, c'est plutôt, une sorte de causerie, au clair de Lune, au pied du volcan tropical La Soufrière, où nous habitons, et causerie, telle qu'elle avait lieu autrefois, quand le modernisme n'était pas entré dans les mœurs.

     Le site ARTivision, ne fait que transcrire certains documents rares et rès étranges, qui n'ont pas vu, après leur premiere diffusion, le moindre petit débat des journalistes et des éditorialistes des principaux médias, qui ont pignon sur rue, comme d'ailleurs aussi, il en a ette de même concernant d'autres consorts intellectuels, psychologues, philosophes, sociologues etc,, qui aiment arpenter, les lumineux plateaux des télés en vogue.

     Cela fait en effet plus de 60 ans, que le Webmaster du site ARTivision, a entrepris des recherches qui tendent à prouver que le "Passé de la Terre", est beaucoup plus fabuleux, qu'on ne saurait l'imaginer.

      Par exemple, voici, parmi tant d'autres, un texte surprenant confirmant ce cursus fantastique de la planète Terre, et texte tiré du Science et Vie n° 505 d'Octobre 1959 :



et voici deux pages, rapprochées par nos soins, de l'article en question :


      En effet, certains documents que nous possèdons, si l'on sait lire entre les lignes, invitent notre esprit, à se poser des questions notoires, sur des phénomènes incroyables, absolument occultés par nos pontifes culturels, bien assis dans la socièté "moderne" actuelle...

     Autre exemple, ce n'est pas du tout pour la frime, que nous vous avons présenté, plus haut cet ouvrage surprenant :

  

où l'auteur (aussi villipendé par des ignares bien-pensants, que le sieur Adamski ) , affirme au début de la page 150, qu'il est passé en soucoupe volante au large du Soleil tel que :


,et qu'après traduction cela donne :

      "Ma première réaction, quand je me levai, fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir où nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boule rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi, il n'était pas brillant. "

     Admirons alors la modestie remarquable, de cet Howard Menger, car il aurait très bien pu, occulter ce fait, dans son livre.

       Cette traduction est tirée, de l'ouvrage que nous avons acquis à Lyon en 1966, tel que :


paru aux Editions DERVY-LIVRES en Juillet 1965.

      Pour en savoir bien plus, sur notre Soleil qui d'après ce qui précède, ne serait pas du tout brulant, voir alors notre article clef, sur cette étrange affaire :


    Voici maintenant un document qu'il convient de lire et de relire tant il sort de l'ordinaire : C'est le n° 510 du Science et Vie de Mars 1960. Voici sa couverture :



et à la page 41, on trouve ceci de très surprenant :



    Donc la revue Science et Vie, bien connue, nous présente ici un événement extraordinaire, qui, chose bizarre, à notre connaissance, n'a plus jamais été repris par la suite dans les colonnes de cette revue, à savoir le fait que les savants soviétiques ont pu visiter, ce que la revue appelle l' "Oasis" de Benguer (Notez bien l'écriture du mot avec un "u", et notez surtout les guillemets qui prouvent que le rédacteur de l'article ne pense pas qu'il puisse s'agir d'une véritable Oasis), 500 km carrés, nous dit-on pourtant, de sol complètement libre de glace, une température de 25°(voisine donc de la température moyenne de notre île de la Guadeloupe), des lacs et des cours d'eau, une maigre végétation de lichens et de mousse, des oiseaux de plusieurs espèces. Notez aussi la prétendue explication qui, devrait être capable de nous faire croire, qu'une température plus basse que -80 degrés, peut passer d'un coup à plus +25 degrés par uniquement la présence de barrages naturels et l'action adoucissante de l'océan...

     Voilà donc, que l'on apprend, dans une revue , qui s'écrit actuellement "Scienc&Vie" (qui se veut sérieuse), qu'il existe bien, au Pôle Sud, une zone "paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient pas hésité une seconde pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère bien sûr, tout le nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Puis après, ce fut motus et bouche cousue, du journaliste Paul-Marie de Gorge , qui avait élaboré si majesteusement cet article.

       Ceci nous montre clairement que nous sommes bien dans cette affaire, les dindons de la farce, exactement comme on nous le fera croire en 1963, dans l'assassinat du Président John Fitzgerald Kennedy. Voir alors notre article : Mystifications.html.

       Mais voici la gerbe très fleurie, transcendante finale, de ce jour :

Cette époque n'est pas ordinaire .
Contemple le déploiement du plan vaste et splendide de La Source
Voici le temps des changements  les plus merveilleux ;
sois donc préparé à n'importe quoi à tout moment.
Il n'y a rien d'accidentel ni d'hasardeux dans ces rassemblements d'âmes
qui se font en ce moment en vue de l'énorme travail à venir.
Il y a un plan très défini qui est en train de se déployer ;
déploie-toi avec lui ! Ne crains rien, bannis toute peur.

Reconnais la main de La Source en toute chose;
vois la perfection de tout cela et rends-en grâce éternellement !
Sois prêt et aie la volonté d'accepter tes responsabilités.
Cette vie n'est pas pour les tire-au-flanc
ou les âmes qui ont peur des responsabilités.
Le Nouvel Age demande force, courage et dévouement,
ainsi qu'une foi et une croyance dures comme du roc.
C'est une merveilleuse aventure, et donc l'esprit d'aventure
est exigé pour s'y lancer et en faire partie.
Avance avec tout ce qui arrive, tranquillement et paisiblement,
sans aucune tension, car tout est très, très bien.

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 6 Novembre, après adaptation d' ARTivision



      Dur... Dur, à encaisser, n'est-ce pas...ce langage de philosophie cosmique, du Maitre de Findhorn, qui semble expliquer tous ces fantastiques événements actuels.

       Restons donc ZEN, et ouvrons le bon œil si possible, et puis alors...
"Advienne que pourra, et Qui vivra verra".

       Mais ce 11 Novembre 2019, jour historique pour le pays, nous voilà déjà entrain d'élaborer notre septième focus, qui ne manquera pas assurément de provoquer des grincements stridents de molaires chez les cosmologistes blasés et aussi chez les journalistes à la petite semaine et autres intellectuels flegmatiques qui adorent suivre la politique de l'autruche, que nous présente, si bien, cette image connue :


tiré de L'ouvrage "A identifier et le cas ADAMSKI" de J.G.DOHMEN 1972 )

      Paradoxalement
c'est une revue ufologique, bien assise sur la place médiatique, en vente en Juillet-Août 2018, qui nous a suggéré ce septième focus:

Septième focus.



      Voyez donc dejà cette couverture de la revue en question à gauche, et à droite une portion, du texte en page 43, qui a fait tilt chez nous :

  

      Nous avons écrit à cette revue le Samedi 28 Juillet 2018 à l'adresse : mariostirbin@outlook.fr, et malgré les inmportants documents incontournables fournis au rédacteur en chef, nous n'avons reçu jusqu'a présent aucune réponse.

      Mais ce que le Rédacteur en chef, de cette revue, ignorait, c'est que la politesse la plus élémentaire  était de nous dire, au moins, qu'il  avait reçu notre missive, sans rien y ajouter de plus.

      Mais à ce moment là,
il  nous reste,  la  possibilité et le droit, d'utiliser dans ce cas, ce que l'on pourrait nommer, la botte de Nevers d'ARTivision, par analogie avec le célèbre roman de cape et d'épée de Paul Féval, de 1858 "Le Bossu", où il est précisé clairement :

"...et, quand il sera temps, si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi ! "


       Voir en effet, à ce sujet nos articles révélateurs, concernant l'observatoire astronomique  Keck  dans les iles Hawaii  :


 
 et en anglais : 



      Mais revoyons l'image précédente, et à droite, il y a le contexte très précieux qui nous parle des qualifications officielles de l'astrophysicien americain Robert Jastrow qui a quitté ce monde le 8 Février 2008, à 83 ans.

      Hélas, il est parti trop tôt, avant que le Webmaster du site ARTivision, n'ait pu le contacter, et l'on va voir ci-dessous, l'inconvénient majeur, que cela a occasionné.

      Mais disons une fois de plus, que si le Paris-Match n° 287 de Septembre 1954, avait osé, nous montrer, ce que l'on sait être désormais, la super découverte, faite 6 Mai 1954 par le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane dans la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune, des journalistes futés, déjà avertis par cette affaire d'Aliens sur la Lune, n'auraient pas hésité une seconde, à tout faire, pour contacter cet astrophysicien américain, et ils auraient assurément fait le buzz actuellement, sur le Web....

      Mais lisons donc alors ce passage clef de notre vieil article du 04/12/2005 placé tel que :



    " Pour confirmer tout cela, rapprochons nous, du cratère Rutherford (61°S; 9°W) sur le bord de Clavius et voici ce que l'on y découvre :

  

    Là encore, la profusion des formes géométriques spéciales et des angles droits de la zone cerclée de rouge , ne laissent aucun doute sur, le caractère artificiel des structures que l'on y voit, et pourtant elles se trouvent clairement visible (pour les anglosaxons) page 109 dans l'ouvrage intitulé "Red Giants and White Drarfs", de Robert JASTROW publié dès 1967 chez Harper and Row Publishers incorporeted, à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016 .

    Cet ouvrage fut traduit en français en 1972 sous le titre "Des Astres, de la vie et des Hommes" par les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris VIe et là non plus personne n'y a rien vu à la page 87, où se trouvent ces structures fantastiques, ce qui accrédite parfaitement la superbe phrase de Lionel Hubert : "Ce n'est pas la lumière qui manque... mais c'est le désir de voir qui fait défaut" : "les phénomènes Psi" aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61.

    Mais , le cliché dit négatif, est encore peut-être, à portée de main, car ces messieurs les historiens et autres journalistes curieux, peuvent parfaitement contacter l'écrivain Robert JASTROW et lui demander très aimablement, de sortir de ses archives ce fameux négatif. A-t-il lui-même, à l'époque pu observer ce complexe artificiel de Rutherford ? Voilà ce qui serait judicieux de déterminer en notant, avec soin, ses commentaires à ce sujet...Mais ce Monsieur Jastrow doit être actuellement très agé et donc le temps presse. "


    Fin de citation.


       Comme vous le voyez, une fois de plus, les prétendus journalistes et intellectuels officiels et leurs consorts zététiques de tout bord, ont encore loupé lamentablement le coche, qui est passé pourtant tout près devant leur porte, et ils s'en mordront assurément les doigts jusqu'à l'os. Point Barre....

      Mais ce 11 Novembre 2019, nous allons franchement monter le niveau de notre exposé, (même si certaines répétitions apparaissent, concernant notre vieil article, en question ci-dessus), afin de confondre véritablement, les naïfs moutons de Panurge, qui se sont laissés berner par le chant hypocrite, des sirènes des Hauts Dirigeants déloyaux, de cette planète.

        Allons alors directement à la découverte sensationnelle, d' ARTivision, (qui pourtant n'a fait ni chaud, ni froid, aux astronomes et consorts cosmologistes ou autres intellectuels blasés officiels, et nous espérons que là, les journalistes des chaines de télés en vogue, ne vont pas une fois de plus, fourrer la tête sous le sable (voir plus haut).

     Disons alors, que pour résumer cette affaire extraordinaire,, elle consiste en la découverte d'un monolithe très structuré, et d'une arche gigantesque dans le cratère Rutherford de la Lune, sur un bord du grand cratèreClavius...

      Toute cette affaire a démarré, vers la fin de l'année 2001, quand le Webmaster du site ARTivision, ( site on le sait, en priorité artistique), découvre dans sa bibliothèque, ( Merci une fois encore à Super Hasard), un ouvrage de vulgarisation en astronomie où apparaissent, dans le cratère Rutherford, de la Lune des structures tout à fait insolites, visibles à l'œil nu, et structures qui ont été neutralisées, sur toutes les autres photos de la NASA. ( et en cherchant bien un peu, on trouverait certainement beaucoup d'autres structures de même nature. Bravo à l'infographiste curieux qui les découvrira).

     Cet ouvrage, que nous possédons dès l'année 1973, porte le titre "Des Astres, de la vie et des Hommes", de l'astrophysicien américain Robert Jastrow, ( 7 Sept 1925 - 8 Février 2008), et publié en 1972 par les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e :


     Et à la page 86, de cet ouvrage, on découvre cette image :


     Et si nous agrandissons, la partie encadrée, on obtient en page 87:


     Mais voyons cela de plus près :


     Jetons maintenant un rapide coup d'oeil sur le grand cratère Clavius, où nous apercevons une étrange configuration dans le petit cratère Rutherford (61 ° S, 9 ° W).

      Et voici maintenant un agrandissement de la zone cerclée de rouge :

  


     Selon nous bien sûr, on y découvre, une profusion des formes géométriques spéciales, avec de nombreux blocs à bords parallèles et à angles droits. Tout cela ne laisse, aucun doute, sur le caractère artificiel des structures que l'on y voit, et cependant Mr Jastrow, n'y fait nullement allusion dans son ouvrage, et c'est , pour un quidam bien candide, vraiment, fourrer la tête sous le sable, comme l'autruche, pour n'y voir que des formes naturelles...


     Cet ouvrage qui est paru en anglais dès 1967, est très connu dans les milieux de l'Astronomie anglosaxone, sous le titre "Red Giants and White Dwarfs", de Robert JASTROW, chez Harper and Row Publishers incorporeted, à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016 .

      Nous avons le privilège de possèder la 3 ème édition de 1969, en version de poche, publiée par The New American library (Signet Science book Y4741) et dont voici les deux couvertures:

   


     En page 109, on trouve alors bien sûr, la même image, et en l'agrandissant, on a :


     La flèche rouge nous indique que le complexe très structuré de Rutherford, est toujours là. et on y voit bien une sorte d'obélisque surélévé sur une plateforme carrée. On y voit aussi cette sorte d'arche gigantesque en suspension sur du vide, puisque son ombre, apparaît en-dessous de son extrémité comme l'indique la flèche bleue. Notons toujours à droite de cette arche, de nombreux blocs à bords parallèles ou orthogonaux .

     Surprenant n'est-ce pas...que tout cela !!!

     Nous avons même poussé l'audace, à commander la version plus récente de 1990, du livre de Robert Jastrow, et aussi intitulé "Red Giants and White Dwarfs", considéralement agrémenté d'images nouvelles dont plusieurs en couleur ( le cratère Rutherford y est aussi ignoré totalement), pourtant, il y figure telle que :

  


      Et, en page 119, on y trouve aussi ceci, de déjà vu :



     La photo ci-dessus est de l'observatoire du Mont Wilson, et devrait remonter à plus de 50 ans, à l'époque, on le sait, où personne ne se préoccupait de traces d'extraterrestres sur la Lune...

     Le négatif de cette photo, doit bien dormir quelque part dans les dossiers de Mr Robert Jastrow, et il faut absolument le retrouver. Mais hélas, ce Mr est décédé en Février 2008, et c'est surtout lui, qui aurait pu nous dire, où avait été archivé, ce négatif.

          C'est alors que, nous avons ensuite eu l'idée de demander notre ami londonien Eric Barkian de se charger de contacter l'Editeur américain Harper and Row pour savoir s'il avait gardé par chance, une copie de ce très précieux négatif :

   Voici la missive que nous avons reçue de lui :

----- Original Message -----
From: Eric Barkian
To: fred.idylle
Sent: Monday, February 28, 2005 12:49 PM
Subject: Echos de mes recherches "Red Giants and White Dwarfs"

Cher Fred,

   Vous m'avez contacté, le mois dernier, afin de vous aider à retrouver le négatif d'une photo publiée en 1971 dans l'ouvrage "Red Giants and White Dwarfs" de Robert Jastrow aux Editions Harper and Row.

   Mes recherches se sont vite orientées vers le groupe d'Edition Harper Collins auquel j'envoyai une requête et qui m'informait, quelques jours plus tard que le groupe n'était plus propriétaire des droits d'auteurs et n'avaient donc plus le document en question en leur possession. Il m'était précisé que puisque le livre n'était plus publié, il était très improbable que le négatif existe encore et m'était suggéré de contacter le cabinet Greenbaum, Wolff & Ernst, à New york, spécialisé dans les transactions de droits intellectuels.

Mes investigations m'apprenaient que ce cabinet n'existait plus.

   Il me restait, comme vous l'aviez vous même suggéré, à explorer une derniere piste: contacter l'observatoire qui avait pris la photo, celui du Mont Wilson.

   Apres une rapide visite sur leur site, je leur addressai un e-mail pour leur faire part de mes recherches.

   L'observatoire me conseillait de prendre contact avec L'observatoire de l'Institution Carnegie de Washington qui mettait un point final à ma recherche en m'informant que l'Institution n'avait plus de copie du négatif en question et qu'il était improbable que celui-ci existe encore.

   A bientot donc.
Eric.


   Comme vous le voyez, chers puristes le Maître Temps
, a fait son œuvre, et il fallait hélas penser à tout cela plus tôt, surtout si l'on avait les moyens, comme certains éditorialites et groupes médiatiques qui ont pignon sur rue dans cette socièté. Mais ils préferaient à l'èpoque donc fuir les reportages conduisant à la découverte d'une dimension plus cosmique de notre humanité.

        En voici un exemple, parmi tant d'autres :

   En effet, plusieurs Chaînes de Télévision, n'ont-elles pas, il y a quelques temps, dépêché juqu'aux USA, des "super envoyés spéciaux", pour retrouver les méfaits d'un habile escroc qui a grugé de nombreuses personnalités importantes du Show Business, comme s'il n'y a avait rien mieux à faire que d'encourager d'autres escros, à agir davantage, encore dans le même sens, pour faire ensuite, la Une des journaux à sensation, bien que l'on sache que ce genre d'émission pourrait très modestement, servir aussi à avertir les gens encore crédules qui ont pourtant déjà été mis en garde par la presse et la radio ? Mais n'y a-t-il pas, n'est-ce pas, bien plus de sujets importants, à monter en épingle, que cette affaire d'escroc, dans ces temps difficiles de la planète ? A vous de juger !

      Donc, Messieurs, les journalistes, les astronomes et consorts écrivains, et autres bibliothécaires, qui ont eu en main le livre de Jastrow en question et qui n'ont absolument rien vu concernant ces structures fantastiques de ce petit cratère Rutherford, placé on le sait, à la page 87 du livre en français, peuvent faire leur mea culpa, en découvrant la superbe phrase de Lionel Hubert dans son ouvrage : "les phénomènes Psi", aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61 :


"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais, c'est le désir de voir, qui fait défaut"

     Mais, comme il n'est jamais bon d'avoir un seul son de cloche (bien que cette fois notre cratère Rutherford apparait ici, dans 3 ouvrages de 3 éditions différentes, que nous possédons), nous devons une, fois encore, remercier vivement Super Hasard, pour nous avoir permis de mettre la main, sur une autre image du cratère Rutherford, ne venant pas de la NASA....

     En effet, en feuilletant, un peu plus avant, cette même revue (déjà mentionnée plus haut), de Science&Vie d'Avril 1964, dont étant donnée son importance, nous vous donnons une fois de plus, la couverture :


     En arrivant alors, jusqu'à la page 69 de cette revue, devenue incontournable pour ARTivision, nous sommes tombés à la renverse, en y découvrant une photo, pas très superbe, il est vrai, mais assez significative, de, devinez de quoi...

du cratère Rutherford, et qui de fait, est tel que :


      Un spécialiste pourra dire un jour, si cette image a été retouchée ou pas. Nous n'en avons pas la capacité. Cependant faisons une petite comparaison, et voilà ce que cela donne :



      Il y a beaucoup de concordances entre ces deux photos n'est-ce pas !!!

         C'est alors qu'intervient, notre ami passionné des choses de l'espace, José Frendelvel:

    Le 20/02/02 nous avons reçu de l'ami José le message suivant:

----- Original Message -----
From:José F.
To Fred Idylle
Sent: Wednesday, February 20, 2002 1:18 PM
Subject: Re: revelations à Clavius

Cher Fred

    J'ai pris le temps de regarder de plus près cette zone lunaire car l'impression d'une colonne est en effet assez saisissante. Toutefois cette colonne au centre du cratère Rutherford devrait alors des dimensions gigantesques puisque le cratère Rotherford fait 48 km de diamètre.
  Voici la zone des cratères Clavius et Rutherford vue par la sonde Lunar Orbiter 4 en 1967 (4-130-h3.jpg).

   

   Cette photo correspond à peu près à la zone encadrée de la seconde image. Clavius est le grand cratère, tandis que Rutherford est le petit cratère interne cerclée en rouge pointillé.
  La forme de colonne est déjà nettement moins évidente.
  Alors que la photo de Lunar Orbiter est prise pratiquement à la verticale du lieu, celle du Mont Wilson est prise très en biais. Par conséquent s'il y avait une immense colonne  au centre de Rutherford, elle ne devrait pas apparaître dirigée vers le haut, mais vers le bas-gauche.
     Voici maintenant des photos de la sonde Clémentine en 1994.
    Le cratère Rutherford est toujours encerclé en rouge.

 


   Il semble donc à priori que cette "colonne"soit due à un effet d'ombre.
  Par ailleurs c'est en explorant ainsi piste après piste que l'on finira par trouver quelque chose.
  Bien cordialement.
..........
     Revoyons alors les images de Rutherford, vues par Clémentine de José Frendelvel :

 


     A moins que cela soit dû à un jeu de lumières parasites, qui annulle tout relief notable, nous voyons clairement que ces deux photos de Rutherford sont totalement différentes de celle de Jastrow vue plus haut.

     Le vendredi 3 Octobre 2014, nous avons reçu de notre amie très vigilante Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com ), les photo de Rutherford, prises à l'époque par Clémentine, et aussi par la sonde lunaire LRO :

   

    Puis concernant la sonde lunaire LRO :

   

     Jamais on ne voit le pilier central et surtout la fameuse arche, si bien caractérisée .

     Cela n'a rien à voir, n'est-ce pas avec la photo de Clémentine. Voyez plutôt :

     


     A vous de juger ces étranges différences, de formes et de structures de ces deux images.

    Nous avons alors, encore ici, une preuve absolue, que l'on se moque majestueusement, de nous.

     Alors, pensez-vous que la NASA soit encore crédible ?

   Bravo donc à l'ami josé Frandelvel, pour les informations précieuses et rapides qu'il nous apporte sur le cratère Clavius et son petit voisin Rutherford.. C'est là que l'on voit combien l'internet est un précieux média.
   En ce qui concerne les images transmises, nous constatons d'une part que l'image de Luna orbiter 4, tout en montrant un pilier bien moins structuré que celui du Mont Wilson, présente juste à sa gauche une forme très en relief en W évasé, tandis que l'image de sonde Clémentine, où la résolution est plus grande, ne nous montre plus du tout ce W et de plus le pilier est devenu comme par enchantement une colline aux formes bien arrondies.

     D'autre part, nous avons découvert comme par hasard le 22/02/02, une autre photo de Clavius  prise par un télescope de 305mm Schmidt-Cassegrain:

    Bien que l'intérieur de Rutherford, soit malheureusement dans l'ombre, le bout de la flèche fait apparaître cependant une structure bizarre, jointe à une flèche pointue, qui ne semble pas être du tout apparente, sur les photos de la sonde Clémentine. Sans doute, nous dira-t-on que, c'est encore un effet d'optique qui nous cache la structure en question :

         Notez bien aussi que les dirigeants du fameux télescope Hubble, ne nous ont jamais officiellement, présenté une seule petite photo de Rutherford. Si vous en trouvez une dans un petit coin ne nous oubliez pas Messieurs les journalistes curieux d' ARTE ...

A vous de juger.

         Mais voici un petit plus significatif tiré du site : http://www.astrosurf.com/iluj/5%20fevrier%202012.html


          Pas besoin de sortir de Polytechnique pour voir que là encore, le cratère Rutherford a été caviardé à souhait, et mesurons en mm, les deux cratères Clavius et Rutherford :


      Comme les résultats dépendent de l'agrandissement choisi, les mm sont remplacés par un petit u.

Sur le site :


, on decouvre, le diamètre de Clavius et de Rutherford :

      On voit ainsi que, selon la prise de nos mesures le cratère Clavius messure 225 km de large, notre Rutherford mesurerait alors : (225X26)/110= 53,1818, et avec l'imprécision de nos mesures, nous arrondissons volontier à 53 km, bien que le site en question, nous donne pour Rutherfurd (en anglais) : 75 km.

     Avec nos mesures approximatives, nous en déduisons alors, pour l'arche qui donne 5 mm sur notre image imprimée, et Rutherford 15 mm : (53 x 5 )/ 15 = 17, 66 soit arrondi à 17 km, pour l'arche en question ...


     Donc en conclusion, cette arche est bien gigantesque, et ce ne sont pas de minus entrepreneurs, qui l'ont érigée... n'est-ce pas !!!

           En terminant, nous avons une petite pensée pour le regretté de Stanley Kubrick dont l'admirable film "2001 L'odysée de L'espace" nous a fait rêver en son temps. Or le scénario de ce film est d' Arthur C. Clarke (membre de l'Académie Astronautique, inventeur des satellites artificiels, prix kalinga de vulgarisation) qui avait imaginé, comme par hasard, que c'était justement dans le cratère Clavius (qui contient Rutherford) que l'on avait découvert un monolithe en forme de parallélépipède, signe du passage sur la Lune, d'une civilisation très avancée. L'auteur a pourtant choisi, ce cratère parmi des milliers d'autres. Comme le hasard fait bien les choses, ne trouvez-vous pas?

        Finalement tout ce qui précède, montre de manière irréfutable, que certaines photos des télescopes, et celles de sondes spatiales, sont trafiquées à souhait, pour les rendre totalement naturelles et les vrais conspirationnistes sont ceux qui manipulent ces photos de la Lune pour que l'on ne sache pas que nous ne sommes que des minables, mesquins, minus (les 3 m ), vis à vis d'êtres très évolués qui pourraient comme dans les temps anciens, nous aider si l'on n'était pas devenus de belliqueux va-t-en-guerre, sous la férule des dirigeants assoiffés d'or maudit, et de gloire éphémère, de nos communautés à la dérive.

      Disons aussi ici, que si l'astrophysicien américain Robert Jastrow, n'a jamais fait allusion dans les 3 ouvrages signalés plus haut, aux diverses structures insolites du cratère Rutherford, c'est pour une raison bien précise, car selon nous, il a dû certainement découvrir cela, en choisissant scrupuleusement les images à paraître dans son ouvrage.

      Cependant, il ne pouvait en parler à l'époque, où il n'était pas du tout très prudent pour un astronome d'évoquer, la présence d'extraterrestres, autour de nous. Il a donc, si l'on peut le dire ainsi, jeter en douce "une bouteille à la mer", et c'est ARTivision, qui l'a très heureusement récupérée. Point barre...


    Mais, le site ARTivision, n'est pas resté inactif à ce sujet, car d'abord nous avons contacté le 30/06/2003, les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e, éditeurs en 1972 en français du livre, de Robert Jastrow, et nous avons hélas, fait chou blanc, car les responsables de cette maison, n'ont pas su nous dire, où se trouvait actuellement, ce précieux négatif, et pourtant notre missive possédait une très haute priorité, et nous avions bien précisé que notre recherche était de la plus haute importance. Cependant, ils n'ont même pas été capables de nous fournir l'adresse, (qu'ils ont obligatoirement connue), de l'éditeur américain du livre qu'ils ont traduit.

      Ces responsables de la Maison en question, et les bien-pensants blasés actuels(astronomes, astrophysiciens et consorts chroniqueurs des choses de l'espace, qui ont eu en mains l'ouvrage en question ), et qui n'ont pas reconnu, cette admirable "bouteille à la mer", de Mr Robert Jastrow, ont donc lamentablement loupé le coche, que le site ARTivision, avait conduit juste devant leur porte, et, ils s'en mordront bientôt les doigts jusqu'à l'os, car le Temps du Grand Déballage est arrivé, et ils ne pourront même pas prendre le train en marche, et l'on sait déjà pourquoi !

          Bravo tout de même, par anticipation donc, aux intrépides internautes infographistes, qui réussiront à reconstituer en 3 D, le précieux négatif en question.

       Mais, pour les quidams ignares blasés du système, nous allons ci-dessous, découvrir un complément d'information, qui confirme parfaitement l'initiative bien secrète
lancée en douce, par Mr Robert Jastrow avec cette superbe "bouteille à la mer" ...

        En effet, pour les très irréductibles sceptiques, voici à nouveau volontairement, certaines images déjà vues ci-dessus, montrant une activité archéologique et technologique remarquable sur la Lune

   

       Mais, nous avons vu aussi plus haut, cette image fantastique concernant le fameux cratère de Copernic de la Lune :

, image qui est tirée, on le sait dejà, de l'ouvrage, du très grand chercheur et ami, que fut Alfred NAHON, et intitulé on le sait, "La Lune et ses défis à la Science "
, en 1973.


      Ici, on voit clairement, une fois de plus , (voir plus haut l'affaire de cet étrange bidule de Copernic, un engin excavateur gigantesque qui triture le sol lunaire (voir la structure très insolite au centre du cercle), sur un contrefort du cratère Copernic, déjà bien raboté, sur sa droite, n'est-ce pas !!!

       Le 4/12/2017, nous avons eu le privilège de recevoir par internet, son livre très savant, tel que :


      Et, pour ceux qui lisent bien l'anglais, il y a dans cet ouvrage à la page 251, une sublime comparaison, à la même échelle, du cratère Copernic, à deux époques différentes, et avec deux télescopes du moment. A vous de juger, les différences et d'en déduire, les raisons :



      Nous avons surtout souligné en rouge, que la photo de droite vient de l'Observatoire français du Pic du Midi. Le mot "récent", pourrait signifier, une date entre 1967 et 1968. Mais cela pourrait être, une toute autre date.

      Nous formulons donc ici déjà, le grand espoir qu'un courageux infographiste, pourra enfin, nous mettre en 3 D, le bidule excavateur en question, qui est, on le voit bien, tout à fait hors-normes.

      Mais ces derniers temps, en fouillant dans nos dossiers, à la recherche d'une information sur le Yéti, Super Hasard, a encore marqué un grand coup.

      En effet, nous sommes tombés sur un curieux article concernant la Lune, du Science et Vie n° 495 de Décembre 1958, où figure devinez quoi... le fameux cratère Copernic.

      Voici d'ailleurs, les deux premières pages 98 et 99 de l'article en question :


      On voit alors en haut et à droite, de la photo de la Lune, le cratère et question :


      Inversons l'inage, pour qu'elle soit dans le même sens, que celle évoquée plus haut :


       On observe alors le fait que le contrefort droit de Copernic est tout aussi raboté en Décembre 1958 , que sur cette photo tirée, 11 ans plus tard, du livre de l'astronome Zdenek KOPAL déjà présenté plus haut :


       Rapprochons ces deux images, pour mieux voir cela :

  

      Le Truc de copernic manque donc sur la photo de gauche, qui nous dit-on vient de l'observatoire Wilson qui on, le sait est situé en Californie :


      Il serait donc utile n'est-ce pas, de savoir à quelle date exacte (avant Dec 1958) le cliché de gauche a éte pris à cet pbservatoire Wilson ? Comme vous le voyez, sur ARTivision, chaque petit détail a son importance , et doit être exploré à fond, pour en tirer sa substantifique moelle, en temps utile..

      Tout ce qui précède, selon nous bien sûr, met au pied du mur, toutes sortes de conféries religieuses ou pas (jihadistes décérébrés belliqueux et va-t-en-guerre qui préfèrent tuer leurs compatriotes pour des idées stupides et anachoniques), prenez en donc, de la graine, car vous êtes exactemement, au même niveau que deux tribus amérindiennes voisines d'Amérique du nord, ( par exemple les Sioux et les Comanches), qui s'entretuaient à l'époque de Christophe Colomb, à l'aide de flèches bien aiguisées et empoisonnées, pour une vulgaire et futile question de zone d'influence, ou d'une insignifiante limite territoriale.

     C'est alors qu'arrivent, à leur plus grande stupéfaction, ceux appelés au Nord, pudiquement les pionniers, et au sud les conquistadors, munis de chevaux effrayants, de canons tonitruants, et de fusils qui tuent à de longues distances, et envahisseurs qui chassent sans remords les belligérants, dont nous venons de parler, pour s'emparer de leurs précieuses terres, faisant l'objet des litiges mineurs, évoqués entre les deux tribus.

     Que pensez-vous qu'il arriva ? Croyez-vous vraiment que ces amérindiens vont continuer à se battre entre eux, sous le regard cynique et amusé, de leurs envahisseurs ?

     Nous pensons au contraire, que ces deux peuples amérindiens vont vite s'unir pour faire front, sans doute hélas d'une manière dérisoire, à la nouvelle menace venue de l'Est....

      Mais, sachez, Messieurs les quidams, de toutes obédiences religieuses, politiques, économiques, militaires, et autres consorts va-t-en-guerre ou anarchistes blasés, que vous vous disputez pour des niaiseries et des miettes, et qu'il ne vous reste que, très peu de temps, pour agir dans le même sens que ces améridiens, et vous allez vite, savoir pourquoi !!


       Mais ce 15 Novembre 2019, nous sommes pratiquement obligés d'élaborer ici notre huitième focus, qui ne manquera pas assurément, d'être encore plus révolutionnaire, que le précédent.

Huitième focus.



        En effet, nous avons eu, le 13 Nov. au soir, l'opportunité, de visualiser à la télé, le documentaire à prétention scientifique suivant :


        Ce documentaire, nous rappelle aussi, ceux là :

  


        Nous avons déjà, depuis belle lurette, parlé de cette cette affaire évoquée au debut de ce documentaire, concernant les sœurs jumelles de la Terre, où la vie aurait pu, de même, se développer comme chez nous.

        Ce concept, on le sait , a depuis des lustes été évoqué par certains astronomes sous la domination de "La pluralité des mondes habités".

        Voyez vous-même, cet ouvrage de l'astronome Camille Flammarion de 1868, que l'on peut consuler sur le site : (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k246240.texteImage)


         Si, pour nos savants actuels, c'est désormais une chose quasi certaine, que la vie existe ailleurs dans l'immencité de l'univers environnant observable (Certains affirment, par exemple, les Ummites, qu'il existe, d'autres univers, qui nous sont actuellement totalement voilés), il n'y a pas si longtemps, des astronomes, à l'égo démesuré, disaient l'inverse.

      Nous avons en effet, le privilège de possèder, le n° 108 de Février 1956, de la revue Sciences et Avenir, dont voici la couverture :



      Mais voyons, maintenant, les pages 52 et 53 de notre Sciences et Avenir, en question :



    et puis, faisons un flash, sur ce passage significatif :( déjà présenté plus haut),



    Cette image, nous montre d'abord la calotte polaire de Mars qui brille comme une étrange casquette, alors que la zone tout autour, est dans le noir. Nous expliquerons cela, plus bas, bien sûr et là, certains bien-pensants égocentriques, vont carrément mordre la poussière...

    En dessous de l'image de Mars, comme vous le voyez, un astronome britannique, bien connu, , nommé Arthur Eddington, décédé à Cambridge le 22 novembre 1944 à l'âge de 61 ans, n'avait pas hésité à écrire, (hélas on ne dit pas où et merci à l'internaute béni, qui trouvera où ...) : Peut-être dans "The Nature of the Physical World", en 1928.

" qu'il croyait assez volontier que notre humanité pouvait être la seule à contempler les beautés de l'Univers".


      Mais bien que cette affirmation, remonte autour des années 30, il fallait une bonne dose d'orgueuil, pour arriver à cette conclusion, et nous pouvons maintenant affirmer, que ce Mr Arthur Eddington évolue desormais dans une autre dimension, où, il peut appréhender bien mieux, directement, la conscience, de l'aspect fanstastique de l'Univers .

      Faisons d'abord ici une certaine digression très significative, quant à l'esprit de certains savants, qui tiennent, ces temps-ci, le haut du pavé, de la connaissance scientifique :

     Le 20/06/2013, nous avons aussi traité ces sujets très philosophiques:

- La science se limite-t-elle à constater les faits ?
- Interprète-t-on à défaut de connaître ?
- La raison peut-elle comprendre le réel ?


     Voir notre article : , dans notre article :


     Et finalement, nous sommes arrivés à la conclusion que :

     "La science orthodoxe se limite souvent à constater les faits ...et elle les interprète historiquement, à sa convenance, à défaut de les connaître ".

     Nous avons aussi, exprimé le fait que, si, l'on pourrait définir assez facilement et philosophiquement, ce qu'est la raison, il n'en était pas de même, du réel, qui se montre toujours plus complexe et souvent très difficile à saisir (voir l'article en question).

     Et mieux encore, puisque nous sommes alors dans le contexte philosophique du Bac 2013, il ne nous reste ici, qu'à mettre en exergue, une fois de plus, la célèbre phrase d'Hamlet de Shakespeare :

"Il y a plus de choses au Ciel et sur Terre, Horatio, que n'en rêve votre philosophie."

       Rappelons aussi qu'il y à peine, 4 siècles et des poussières (Certaines constructions découvertes sur la Lune sont bien plus anciennes que cela... Voir plus haut), que le 5 Mars 1616, la sinistre l'Inquisition, a mis à l'index le système de Copernic, qui expulsait la planète Terre, hors de sa position privilégiée au centre de l'Univers, et niait ainsi le Géocentrisme prôné par Ptolémée du 2ème siècle après J.C.

          La condamnation du système de Copernic, (on le sait bien déjà, voir, par exemple ARTE5), fut ainsi rédigée :

"Le Saint-Office considère qu'affirmer que le soleil est immobile au centre du Monde est absurde, faux, hérétique, et nettement contraire aux Écritures. De même affirmer, que la Terre n'est pas le centre du Monde, qu'elle n'est pas immobile, et qu'elle tourne sur elle même, est une opinion absurde et erronée du point de vue théologique" .


     On sait maintenant que tous les mots péremptoires prononcés, ci-dessus, dans cette déclaration officielle du Saint-Office, sont archi faux, si l'on prend notre Soleil comme centre de référence.

     Mais l'on sait aussi que tout est relatif dans le contexte planétaire qui nous préoccupe en ce moment.

    Faisons ici une petite et utile parenthèse, concernant la relativité des actions humaines :

    De nombreux médias innocents, ont profité du 50e anniversaire du prétendu débarquement lunaire des americains en Juillet 1969, pour parler en France du 21 Juillet à 4 h 56 du matin.

     Seulement aux Antilles, où nous habitons cet "exploit" a eu lieu 20 Juillet 1969, exactement à 22h56, quand le nommé Neil Armstrong, aurait fait un premier pas sur la Lune, en prononçant, sa phrase célébre :

" Un petit pas pour l'homme...etc...".

     Donc pour rester impartial et mettre tout le monde d'accord, les chroniqueurs de l'événement ne devraient tenir compte que du méridien de Greenwich, en ne parlant que du 21 Juillet à 2h 56 GMT.
    Tout cela, nous prouve bien la relativité des choses dans ce monde, et que nos démontrations sont en rapport direct avec le système de référence dans lequel, on est imbriqué.

    Mais allons encore plus loin maintenant, dans cette affirmation :

    On pourrait actuellement avec bien sûr, l'aide de puissants ordinateurs, trouver les équations complexes qui feraient de la Terre,(les équations seraient bien sûr très compliquées), un système central de référence, vis à vis du Soleil, de la Lune et des autres planètes. On pourrait ainsi parfaitement prévoir les diverses éclipses et autres phénomènes cosmiques et dire ainsi fièrement, que nous avons rétabli avec bonheur le Géocentrisme prôné par Ptolémée du 2ème siècle après J.C, et dont le principal ouvrage intitulé l'Amalgeste restera, pendant près de 14 siècles, le recueil de référence pour les astronomes. Point à la ligne...

    Fin de la digression.

     Pour illustrer tout cela bien mieux, disons alors, que la rédaction du journal France-Antilles du Samedi 12 Février 2011, a dû se frotter les mains de satisfaction, en nous présentant, très en évidence, cet entrefilet :



     Mais, il n'est pas besoin ici de démontrer plus avant, que chacun situe son appréhension  des choses et  ses priorités en fonction de ses préocupations immédiates.  Cependant, il arrive souvent que quelques temps plus tard, (Pour la Bible et d'autres textes dits sacrés, il a fallut cepedant, attendre des siècles), ces préoccupations se révèlent n'avoir été que  des futilités, qui n'apportaient rien à la compréhension de notre environnement et à notre intégration dans la communauté humaine de cette planète en grande évolution.


     Pas besoin donc, d'être sorti de Polytechnique, pour admettre que s'il existe dans l'univers des soleils en plus grande quantité que les grains de sable de la Terre, il est fatal qu'il existe encore plus de planètes tournant autour de ces soleils et donc qu'il existerait des sœurs jumelles à notre Terre par millions. Or dès la fin du XVIe un certain philosophe, théologien, humaniste, poète, peintre auteur de théatre, imprimeur , astromome , alchimiste... qui a publié près d'une centaine d'ouvrages, et nommé Giordano Bruno, affirmait déjà, que l'univers était infini et contenait sans doute ce que nous appelons des galaxies, qui pourraient être peuplées comme la nôtre.


     Ce Giordano Bruno
, fut, on le sait aussi, brûlé vif en l'an de Grâce 1600, (donc déjà 16 ans plus tôt avant le communiqué officiel du Saint Office en question), par la Sinistre Inquisition, pour ses idées tout à fait admises actuellement, mais qui étaient hors-normes pour son temps...

Dessin tiré du n°13 de la revue Maths&malices Sept-Oct 1993

    Ce dessin pourtant admirable est incomplet, car les tortionnaires de l'Inquisition ont en plus, traversé la langue du supplicié d'une tige métallique, pour bloquer ses lèvres, et l'empêcher de hurler ses dernières volontés.

     Mais, (On le sait aussi, et on évite soigneusement d'en parler dans la sphère réligieuse en question), que ce Giordano Bruno, n'a jamais, à notre connaissance, été réhabilité, ou même canonisé, ce qui n'aurait pratiquement rien coûté moralement actuellement, à l'Église qui l'a brulé.

     Certains bien-pensants zététiques et consorts intellectuels blasés, vous diront vite fait :

      "Vous oubliez simplement, le fait qu'en l'an 1600, c'était la préhistoire de la démarche scientifique, et que maintenant, on a des moyens plus avancés, pour découvrir les lois de la Nature, et que de plus, l'on ne brule plus les gens pour imposer une idée...
"

      Cela est vrai, mais hélas la situation est, à un certain niveau, la même, car certains anarchistes et consorts révolutionnaires religieux ou pas, veulent, on ne le sait que trop, imposer leur point de vue et ils tuent leurs frères, pour des idées stupides, que le site ARTivision, met régulièrement en exergue :


  

       Autre cas : Le 22 Avril 2019, disons que nous avons appris que de terribles attentats, avaient eu lieu au Sri Lanka, et sur le site :


      On découvrait alors ceci :


      Une fois de plus, le site ARTivision, affirme que ces massacres auraient parfaitement pu être évité, si nos Gouvernants avaient eu le courage d'avouer au monde entier (et ils seront bien obligés d'avouer bientôt tout cela, vu le développement frénétique des moyens de communication sur Terre), que nous sommes bien arrivés, au Temps des Révélations,
et que les conjurés d'En-Haut, qui tirent sournoisement les ficelles, n'ont donc désormais que deux solutions, pour neutraliser rapidement et très efficacement, les piètres velléités, des révolutionnaires décérébrés :

- Soit, avouer, le fait que la Lune est habitée, depuis des lustres par des entités très évoluées, (dont la technologie dépasse de très loin la nôtre),et entités, qui nous considèrent comme des ninus batailleurs insignifiants...

- Soit, avouer aussi, le fait que l'affaire Roswell, est authentique, et prouve clairement que d'autres êtres cosmiques, visitent la Terre depuis des siècles.
Point à la ligne...


      Rappelons alors, une fois de plus, aux fanatiques religieux et autres anarchistes va-t-en-guerre notoires,(qui pullulent désormais), de notre socièté bancale actuelle, qu'ARTivision, a démontré, noir sur blanc, que de nombreux textes, nous venant du Passé, ont été trafiqués selon l'humeur et la droiture, des transmetteurs et des traducteurs, de toute nature...

    Fin de la digression.

     Mais allons plus avant dans cette affaire de planètes sœurs, de la Terre .

      En effet, le 24 Juillet 2015, nous apprenons que de très nombreux médias ayant pignon sur rue, ont été fiers d'annoncer dès la veille, ceci que nous extrayons, au hasard, du site :


      Et voici, juste le début de l'affaire :



      Le site ARTivision s'est déjà à plusieurs reprises prononcé sur cette dérisoire recherche.. En effet certains astronomes, prétendent que dans l'univers visible, il y a entre cent et deux cent milliards de galaxies et, dans chaque galaxies, il y a de l'ordre de cent milliards d'étoiles. Ca fait dix avec 22 zéros étoiles et autour des plus proches, on trouve des planètes .... Vous imaginez le nombre probable de planètes dans l'univers ?
     La probabilité pour que l'une d'elles soit similaire à la Terre et puisse abriter la vie est forcément d'un niveau raisonnable qui permet de penser, que c'est vraiment possible.

     La situation qui prévaut ici, on le sait, est identique à celle d'un quidam chanceux qui, trouvant sur une plage, un grain de sable quasiment sphérique, et en le faisant rouler dans la paume de sa main, se pose alors la question de savoir, s'il en existe d'autres grains semblables dans toutes les plages et les déserts de la Terre. Il serait alors très ahurrissant actuellement, que ce quidam en arrive à croire qu'il a trouvé le seul grain de sable sphérique de la Terre et qu'il en est fier. Il dira plutôt, qu'il existe des milliers, voire des millions, de grains de sable sphériques, comme le sien, et qu'il n'a pas de quoi sauter en l'air, de l'avoir trouvé ...

     Disons donc, bravo aux astronomes Michel Mayor et Didier Dueloz (voir l'image en question plus haut), qui ont dû être très fiers, d'avoir découvert en 1995, la première planète extra-solaire, située à 50 années-lumière de nous, mais maintenant l'on devrait admettre, une fois pour toute, que la Terre, a obligatoirement des jumelles, et surtout, qu'il y a bien mieux à faire, que de s'acharner à trouver d'autres planètes identiques à la nôtre, dans le cosmos, et que de s'enorgueillir à les exiber.

     Donc, ces chercheurs au lieu de bondir de satisfaction pour la découverte de nouvelles planètes dans le cosmos, devraient laisser tomber ces broutilles, pour par exemple, mieux analyser, avec autant d'intérêt, ce fait cosmique concernant Titan, et fait très cher à ARTivision, qui attend toujours des éclaircissements notables sur le sujet...

       Pour mieux encore illustrer notre propos voyons maintenant, certaines photos modernes surprenante de la planète Mars, où la calotte polaire brille admirablement, et même apparait carrément en relief, comme une sorte de casquette :


      Pas mal, n'est-ce pas, ces "couvre-chefs lumineux" , bien en relief, au dessus de la planète !!!

      En voici encore d'autres, où l'on voit, que la calotte polaire brille sompteusement, alors que la région environnante est dans l'ombre...




      Donc pour mieux appréhender cette affaire, il est préférable d'avoir sous la main, l' image suivante de la NASA :

  

      Cette photo, qui nous montre le satellite Titan de Satunre,, provient du site très bien fait :


      Et on découvre aussi que cette photo, aurait été obtenue, par la sonde Cassini, le premier Juillet 2004 :


      Si nous analysons de près, le disque blanc très brillant, au pôle sud de l'astre, ( que certains ont qualifié, vite fait, de petit nuage blanc), on voit nettement en-dessous, une sorte de réverbération lumineuse, sur les couches de l'atmosphère de Titan, prouvant ainsi que la lumière du disque blanc, vient de l'intérieur de l'astre :


    Mais, "comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", voici encore une superbe image bleutée de Titan, qui met bien en relief, le phénomêne en question :


      Disons alors aussi que la photo précédente est du début de Juillet 2004, et url du site , est placé tel que :



       Pas besoin de redire ici, que c'est cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant ci-dessus, qui nous interpelle assurément,, et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de l'astre, prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA, a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher, ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle Sud de Titan.....

           Disons alors que la photo précédente, vient bien sûr, de la NASA elle-même, et fut présentée en début Juillet 2004. On la trouve à l'url du site tel que :


      On découvre alors ceci d'abord justement en noir et blanc :


Et voici alors, un semblant d'explication de la NASA :


     En rouge, on comprend : " Un brillant nuage de particules de méthane apparait au pôle sud des 3 images. .."

     Oh là ...."un nuage de particules de méthane", disons que ce méthane, a dû être chauffé à blanc, et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les rayons d'un Soleil, qui, on le sait, est très éloigné de Titan, de près d' 1,5 milliard de Km...

       On le voit, ici la NASA, parle de " d' un brillant nuage de particules de méthane qui apparait au pôle sud de Titan " , ce qui nous montre une fois de plus que les mots employés nous éloignent, tout aussi assurément, de la réalité.

     Et en couleur, c'est bien mieux sur le même site de la Nasa on trouve aussi ceci :



     Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu (Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!) . A vous de juger.

     Mais ajoutons une image en couleur, de plus :


     Le point lumineux au bas de la planète, est toujours là, et, étant donnéé sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque d'environ 300 Km de diamètre .

    Il y a aussi, cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km :


    Nous insistons ici sur le fait que cette photo ne vient pas de la NASA (qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à los Angeles, en Californie, (et qui existe depuis 1935), et photo que vous pouvez découvrir actuellement à l'url :



    Et à la date du 29 Février 2008 vous trouverez ceci :

:

     On trouvera la genèse de cette extraordinaire photo, à (par exemple) notre page :



    Quant à prendre en considération, les documents de la NASA, où figurent certaines images, des pôles de Mars, comme par exemple, celles-ci :

  


, c'est du temps totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile actuellement pour la NASA, de trafiquer des photos à sa convenance.

     Nous avons même, la preuve que cet organisme, considère le commun des mortels, comme un mouton innocent à qui on peut faire avaler n'importe quelle couleuvre mal dégrossie.

     Nous pourrions aussi montrer les Pôles de Mercure, Saturne, Jupiter Neptune etc... qui ont aussi des disques lumineux à leurs pôles, et par exemple pour Saturne et Neptune on a ceci :


    Et pour Neptune c'est encore plus beau :

  

     Comme serait un spectacle éblouissant, si aux antipodes, on pouvait alors voir, ce qui s'y passait, n'est-ce pas !

    Nous avons aussi, de la part de notre amie Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com ), ce panorama neptunien, venant de l'observatoire Keck d'Hawaii :


     Et voilà aussi, pour Vénus :


     Il y a-t-il, comme le on le prétend pour Mars, une calotte polaire glacée, aux pôles de l'ardente Vénus ? Nous attendons vos suggestions, avec ferveur...

     Et pour Mercure, on a aussi ceci :


pour Jupiter
, on a aussi :

  


     Cependant, il est aussi judicieux de présenter ici, cette image que l'on peut encore apprécier, sur le site :


WIRO at Jupiter
Credit: A. Kutyrev (SSAI/GSFC), D. Rapchun(GST/GSFC), J. Norris(NASA/GSFC)
R. Canterna & R. Martin (U Wyoming)


      Et voici le top du top, qui intéresse notre Terre :


image, qui est en plus animée, et visible sur le site, tel que

      Mais ce 18 Novembre 2019, appliquons aussi souvereinemennt, la devise très pratique des anglo-saxons :"Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil brille),

      Nous avons en effet longtemps cherché, dans multiples revues traitant des choses de l'espace, les tenants et les aboutissants de cette affaire de disque brillant au Pôle sud de Titan, et très peu d'explications logiques, nous ont été fournies. C'est ainsi que sur le site :



, on voit alors cette image :



, qui est accompagnée de ces propos :

   Le 3 Juillet 2004 : La surface de Titan.

      "La sonde Cassini a pu prendre une photographie de la surface de Titan. Titan étant recouvert d’une atmosphère opaque (photo ci dessus à gauche) cette image a dû être réalisée par le spectromètre infrarouge de la sonde. Comme tous les spectromètres, il lui est impossible de prendre directement une image de la surface, un spectromètre ne photographiant qu’une très étroite bande. Toutefois il est possible de modifier la position de cette bande affin de "scanner" l’objet à observer et donc prendre une image où on voit Titan avec une résolution verticale de 28 pixels (photo de droite). Selon les interprétations actuelles les zones jaunes sont des mers d’hydrocarbures, le vert de la glace, un nuage de méthane blanc est visible en bas."

     Mais voyons aussi, ce que nous dit la revue "Science&vie" n° 1043 d'Août 2004, comme tentative d'explication de ce disque brillant de Titan.


     Vous constatez donc que l'on qualifie, ici encore, avec une assurance notoire, ce disque superbement brillant de Titan de "champ de nuages de méthane", ce qui diffère peu "du petit nuage blanc", que l'on avait soi-disant repéré, sur Neptune en Août 1989, et qui brillait encore plus. (voir plus haut).

     Encore cette affaire de méthane dont la brillance nous interpelle grandement. Décidément ces scientifiques ont de la suite dans les idées, et savent très bien se passer le mot, dès que possible.

     Notons cependant l'article d'une scientifique astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, paru dans le journal "Le Monde" du 10/11/04, et article dont nous avons placé intégralement les importants éléments à :


     De cet article précédent, nous allons extraire surtout la phrase suivante, qui a particulièrement retenu notre attention :

    " Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs." "Notamment une sorte de nuage", que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier, qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis. "

     Voilà au moins le vocable "Vortex", qui apparaît ici. Nous notons donc bien, que Mme Athéna Coustenis, dit qu'elle ne sait pas, comment qualifier cette sorte de nuage (elle évite cependant de parler de sa superbe brillance), que l'on aperçoit au Pôle Sud de Titan, tel qu'il se présentait à l'époque selon l'image bleu, que nous replaçons volontairement ici, et dont le diamètre, tourne selon nos modestes calculs, autour de 300 km :


     Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte vortex nuageux" tournant au pôle sud de la planète, et vortex, qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. A vous de juger tout cela ...

     Mais ce n'est pas tout, d'autres scientifiques avouent aussi, leur incompréhension du phénomène :

     Ainsi sur le site suivant, qui hélas a disparu du Web (merci d'avance à tout internaute qui en retrouvera le nouvel url) :

on trouvait alors en 2004 , cette image :



     Et aussi, ces propos surprenants : "Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith et al. (1998) a détecté est en fait un évènement similaire à celui-là.

     Tout est ici, très clair : On ne sait pas du tout de quoi il s'agit...

     Notez bien cependant, la présence du vocable "Griffith", que nous avons souvent évoqué dans de nombreux articles ...

         Mais, nous allons montrer maintenant, que Super Hasard, nous a de plus, donné par la suite, un sacré coup de main, pour appuyer nos dires très atypiques ...

     Cette luminosité inexplicable d'un disque au Pôle sud de Titan, nous place bien ici, dans le cas où la science "interprète à la va vite, un fait étrange, à défaut d'en connaître sa structure véritable".

     Mais, les zélés détracteurs irréductibles, vous diront, que tout cela est trop particulier ici, et nous devons le classer, dans le cas, des paréidolies, autrement dit, des phénomènes dus à des illusions d'optique, si chères à leurs habituelles explications...

     Ce que ces détracteurs oublient, c'est qu'ARTivision, a toujours d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires :

     En effet, le Webmaster, de ce site, a eu l'idée un jour, de se demander, si, au Pôle Nord de Titan, il existe aussi un tel disque lumineux ?

     Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du Pôle Nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si, l'on tenait à cacher quelque chose, car l'on va voir, justement qu'il s'y trouve bien, un mystère très étrange...



     Mais, le 14 Janvier 2010, Super Hasard, est venu une fois de plus à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :


, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger l'ascenseur à côté de GO jusqu'à Titan), et alors on y découvre dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image :


, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.

     On peut retrouver aussi bien sûr cette photo de Titan, sur le site officiel de la NASA :


, tel que l'on trouve ce montage :


     Vous avez bien lu, nous l'espérons la mention "The cassini spacecraft will look for a glint of sun light reflecting off a methane lake", que nous traduirons grosso modo :

     "la sonde Cassini regardera un reflet d'un rayon du soleil qui s'est réfléchi sur la surface d'un lac de méthane".

      Comme vous le voyez, c'est de la NASA elle-même qu'est sortie cette fumiste explication, que bien d'autres revues ont reproduite, sans même voir qu'elle était nulle et non avenue...

     Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :



     Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (les couleurs sont de nous, évidemment):

TITAN.

Un point lumineux récurrent.

      La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.

     Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.

     Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?

     Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...


     Fin de l'entrefilet.

      Cette explication officielle, ne tient donc pas du tout debout, pour ce disque polaire nord si brillant ..., surtout si l'on sait, d'après les dires des savants officiels. que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit...

     Or d'après ce que dit Mr Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de Mars 2008, suivant :


, il se trouve que, le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez bien, cela vous-même :


    Alors, on se demande, comment ce faiblard flux, pourra à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique, exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, contre environ 100 km pour la Terre. C'est donc, tout à fait, stupéfiant...

    De plus, les scientifiques nous affirment que la température qui régne sur Titan doit avoisiner les -180° .

      Mais les images suivantes de Titan :

  

ne présentent pas du tout un paysage glaciaire correspondant cette température de -180° , prônée par les savants, mais plutôt, à des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara. A vous de juger tout cela...

     Vous avez bien noté, le passage souligné en rouge, qui précise que le flux de lumière est 900 fois plus faible qu'au voisinage de la Terre Et pourtant ce flux de lumière, très affaibli, est arrivé tout de même, à nous faire une superbe réflexion sur un hypothétique lac inconnu de Titan, et de plus, le rayon réfléchi, tombe, pile-poil, en plein Pôle Nord de l'astre.

     On a du mal n'est-ce-pas, à ne pas se tordre de rire... à la lecture de cette aberrante incongruité.

     Mais Super-hasard, ces temps-ci, est encore monté au créneau, car, il nous a offert l'occasion de visualiser un documentaire justement concernant Titan, tel que :


     Ce documentaire est superbement bien fait, pour nous montrer l'extraordinaire exploit, réalisé par des équipes scientifiques américaines et européennes au cours de la mission spatiale de la sonde Cassini Huygens

     Voici donc quelques images significatives et les interrogations qui s'y rapportent :


     Après 7 ans d'un voyage très perileux, la sonde Cassini Huygens arrive aux abords de Saturne, pour nous monter ces incroyages images, jamais vues aussi nettes.

  

     Puis, après la double traversée très risquée, des anneaux de saturne, c'est la satellisation autour de Titan, telle que :



     Puis les divers passages, auprès de Titan nous offrent les images surprenantes suivantes:


     En effet la première photo, nous montre une brilance notoire du Pôle sud :


     Mais lisons avec soin, ce que nous dit la scientifique suivante :


"... et puis, il y avait un détail assez extrordinaire qui montrait, sur ces images, que les pôles étaient plus brillants qu'à l'équateur... "

     Ceci pouvait s'expliquer disait-elle en substance, par des dépots organiques ou autres, qui empéchaient la luminosité de l'équateur.

      Notez bien, qu'elle parle des deux pôles, alors que les photos que l'on nous présente ici, ne concernent que le Pôle Sud. Jamais ce documentaire, ne nous a, en effet, montré cette image inouïe du Pôle Nord .


     Pourquoi donc cette scientifique, parle-t-elle de lumière apparue aux deux poles, alors qu'aucune photo du Pôle Nord, de Titan , n'a jamais été ni montrée ni commentée, dans le film en question ? A vous de juger !!!

     Il est aussi précisé, dans ce documentaire, que les scientifiques furent très étonnés de découvrir sur Titan, un cycle climatique très élaboré, avec évaporation, condensation, formation de nuages de pluie d'hydrocarbures, donc une géologie très dynamique, alors que l'éloignement de Titan du Soleil aurait dû en faire un astre froid dont la température oscille, autour de -180°, comme par exemple, ce spectacle glacé de Ganymède, aussi un satellite de Saturne :


      En effet, certains scientifiques, pensent que :

      "Ganymède, un océan formé d'une croûte, mélange de glaces et de silicates. Cette croûte n'est qu'une succession de terrains sombres, très fracturés, et de terrains brillants plus jeunes, séparés de façon assez nette par des bandes claires; On cherche encore à comprendre dans le détail, les mécanismes de cette transformation ".


     Voyons alors maintenant, quelques images radar de haute sensibilité, que nous a captées Cassini: sur Titan.


     Il existe certainement de puissants logiciels capables de transformer ces images radar, en paysages plus naturels. Mais là, rien de tout cela, ne nous a été présenté.

      Mais, agrandissons cependant, l'image 3, où l'on voit nettement des blocs à côtés parallèles et orthogonaux, surplomblant une sorte de tracé bien rectiligne, que certains qualifieront vite fait de failles géologiques :


     Comme vous le voyez les mystères de Titan, existent bien et nous attendons bien sûr, que les spécialistes veuillent débattre, à leurs sujets, sur nos plateaux de télévision, dont les protagonistes, sont toujours à l'affut des scoops très médiatiques.

     Mais, pour en savoir plus, présentons maintenant, l'entrefilet suivant du France-Antilles paru le 29 Avril 2017 :


     Et retenons d'abord les mots importants suivants :

     On découvre alors ici, que les 127 survols de Titan, par la sonde Cassini, ont pris fin le 22 Avril 2017, date importante, et on va voir pourquoi !

     On s'étonne en effet donc, alors franchement, que dans ces 127 survols, déjà effectués, qu'aucune autre photo, n'est apparue des vortex superbes nord et sud de Titan, (On devrait en découvrir des dizaines bien lumineuses n'est-ce pas !), dans les sites de la NASA, et dans les colonnes de la Presse spécialisée...!!!

     Que sont donc devenus, ces autres clichés fantastiques du pôle Nord et Sud de Titan, et photos qui, on le sait, nous interpellent, au plus haut point ?

     Il y a , bien plus qu'une anguille sous roche... n'est-ce pas !!!

       Analysons donc maintenant plus avant, quelques photos de plus, du fameux Titan, astre si souvent mis en relief par ARTivision.

       Voici pour commencer, une photo ce satellite de Saturne, Titan, que nous avait présentée, le "Figaro Magazine" du Samedi 13 Nov. 2004 :


      On voit alors que la partie droite de l'image de Titan du "Figaro magazine" en question, présente une très remarquable luminosité, et, on nous dit alors dans la revue, que c'est "notre soleil qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan.".

      Voici encore une autre photo de Titan tirée cette fois-ci, du n° 415 du "Ciel&Espace" de Décembre 2004 :


     On apprend alors que, cette belle image de Titan ci-dessus, aurait été captée par Cassini Huygens, le 26 Octobre 2004, en passant à 1176 km de la planète. Cette photo ne semble pas très différente de la précédente ci-dessus, du "Figaro magazine", où la partie droite du globe de Titan, brille d'une manière étonnante, pour un astre placé, si loin de notre Soleil. (Nous n'avons hélas pas eu le bénéfice de découvrir sur un site de la NASA, ces images. Merci mille fois à l'internaute béni qui nous en trouvera, l'URL)

     On ose alors nous dire, que cette luminosité remarquable, vient aussi de notre Soleil, qui fait ainsi briller admirablement, l'atmosphère de Titan...

     Mais revoyons donc, ce que dit Mr Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de la revue Science&Vie, de Mars 2008 suivant, que nous présentons à nouveau de manière plus complète, étant donnée son importance :

     Voici à nouveau le Science&Vie, en question :


     Relisons alors SVP, ce qui suit, avec un petit plus, où l'on nous dit bien, que, le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est, 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre :


    Alors, on se demande encore, comment ce faiblard flux, pourra, à 1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration quasi magique , exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, contre environ 100 km pour la Terre. C'est donc stupéfiant, et ceci est en ligne directe avec les propriétés de notre soleil, et nous expliquerons cela, une autre fois.


        A vous de juger tout cela...documents très prosaïques, à l'appui...


        Mais ce 21 Novembre 2019, nous allons une fois de plus montrer que toute l'histoie politique, économique, culturelle..etc..., de cette planète aurait été totalement différente si, (nous le reprenons à dessein), le Paris-Match n° 287 de Septembre 1954, avait osé, nous montrer, ce que l'on sait être désormais, la super découverte, faite 6 Mai 1954 par le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane dans la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune, on aurait alors actuellement la preuve absolue de l'existence des fameux Ummites (déjà évoqués plus haut, pour le 4 Mai 2019), et on va vite voir ci-dessous pourquoi !

       Voici en effet, l'aspect que nous montrent ces ummites , grâce au courage de la revue VSD n° 731 du 5 au 11 Sept. 1991, qui a jugé bon d'en faire sa Une , telle que :


       Mais, allons plus loin, dans cette affaire, tout à fait renversante :

       Voici à nouveau, le passage clef, de notre opuscule de chevet, (en qui nous avons, une grande confiance), déjà présenté à notre article ARTE 5 :


       Ce passage est, pour nous bien sûr, une preuve notoire, (parmi tant d'autres que), ces Ummites sont vraiment en visite culturelle, sur notre planète.

       Ces Ummites, qui prétendent venir d'une étoile nommée Wolf 424, située à 14,6 années-lumière de la Terre , (Voir le volet 3 de nos articles sur ARTE, et pour ceux qui ignorent tout de cette incroyable affaire, prière SVP de consulter le récent petit fascicule - déjà présenté plus haut - d'Octobre 2018, tel que :


qui y consacre 12 pages)
.

       Ce fascicule, nous donne des détails très minutieux sur leur débarquement en France (Cocorico) le 28 Mars 1950 entre Digne et la Javie, dans le département des Basses-Alpes. Ils affirment alors : "avoir creusé dans le sol à huit mètres de profondeur, une mini base dont l'accès est parfaitement camouflée et qui est en forme de galerie de 4 métres de longueur, étayée par des cintres extensibles modulaires, faits d'un alliage de magnésium et se trouvant dans l'un des contreforts montagneux de la région à proximité du Pic du Cheval-Blanc dont le sommet culmine à 2323 mètres ".

       La galerie en question qui représentait une sorte de mini base (que nos dirigeants de l'époque ont parait-il, retrouvée vite fait très tôt), est située, entre Digne et la Javie, dans le département des Basses-Alpes.

     Un jour proche sans doute un audacieux militaire, ou un autre, à l'article de la mort, confirmera, ce fait.

     Les Ummites se sont alors mis à expédier par la poste à différentes personnes, des milliers de documents souvent techniques, décrivant leur langage, leurs vaisseaux, leur vie sur leur planète d'origine, etc... Dans ces documents, ils affirment appartenir à un Club Cosmique et avouent modestement avoir été eux-mêmes visités pendant très longtemps par des gens extrêmement évolués, qu'ils n'ont parfois jamais réussi à identifier. Ils affirment également qu'ils disposent d'engins très rapides qui, pour transcender la vitesse de la lumière, utilisent une astuce de physique que nous n'avons pas encore découverte, et qui leur permet de joindre la Terre en environ 6 mois, alors que la lumière elle même, mettrait 14,421 années pour faire le trajet.

     Il nous reste cependant une possibilité. En effet les Ummites, ont dans ce même rapport de 50 pages, avoué avoir, dans la nuit du 24 au 25 avril 1950,, organisé un fantastique "raid", sur une ferme de la région où, après avoir, vers 3 heures du matin, anesthésié en plein sommeil tous les occupants dont trois enfants, ils ont dérobé sur les lieux, de multiples objets : (voir les livres de l'astrophysicien J-P-Petit , qui parlent très ouvertement de ces Ummites :

  

  

ce qui a dû mettre très mal à l'aise, certains confrères de cet astrophysicien)
, et surtout ce qui est très important pour notre débat, les Ummites, ont fait main base sur 70 000 francs, (en anciens francs bien sûr, et les Ummites affirment avoir dédommagé largement toute la famille par la suite), des pièces d'identité, et enfin, ils ont arraché un interrupteur, et surtout le compteur électrique, pour les étudier.

      Pensez-vous alors qu' il arrive très souvent que l'on dérobe le compteur électrique d'une maison ?

     C'est donc à ce niveau, qu'entrent en jeu, autour de 1956 et pour les annèes suivantes les journalistes futés et audacieux de Paris-Match qui déjà convaincus que des Aliens occupaient la Lune en raison de la decouverte connue, du professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane auraient lancé à l'époque une puissante enquête en direction de la Gendermerie du coin, où le fermier a porté plainte pour le vol de son compteur électrique ... ( On sait d'ailleurs maintenant que la ferme en question était celle de la Bergerie du Défend au Nord-est du col de la Cine appartenant à un résident nommé, le père Violat, hélas décédé actuellement)

       On devine alors qu'après avoir été largement dédommagé par les Ummites, ce père Violat n'avait donc aucun intérêt à l'époque à le crier sur les toits. Mais près de 70 ans après, nous espérons que ces scrupules, bien excusables, seront vite balayés par ses descendants et nous exhortons toute personne, ayant connu le Père Violat, de son vivant, ou ayant connu ses proches, et qui possède une quelconque information, même insignifiante au sujet du vol d'un compteur électrique de nous écrire à notre adrese Web, ou de courir chez le plus proche journaliste pour faire éclater l'incroyable vérité.

       Comme on le voit une fois encore ces journalistes de Paris Match, ont bien loupé le coche de l'une des plus extraordinaire affaire du 20 e siecle.

       La encore les journalistes de Paris Match averti en 1954 de l'affaire lancée pae le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane, auraient assurément pu dans les années 55 suivantes obtenir une copie de la plainte à la Gendarmrerie du père Violat..D'ailleurs nous sommes persuadés que les Services Français, gardent dans leurs coffres-forts bien camouflés une copie certifiée et même peut-être l'original de la plainte en question. Que ceux qui ont les moyens juridiques de faire lever ce Secret Défense assurément anachronique, agissent au plus vite pour faire jaillir cette incroyable vérité de la présence des Ummites, sur notre sol.

       De plus Jean-Pierre Petit, dans son ouvrage "Le mystère des Ummites", nous affirme en plus, que le cartable d'un des enfants avait été dérobé avec son contenu, mais aussi une encyclopédie enfantine, et de même ont été dérobés, toutes les chaussures de la maison, et donc celles, entre autres sans doute, des enfants scolarisés. On peut donc supposer puisque l'on n'a pas d'indication sur l'âge des enfants, qu'au moins deux étaient encore scolarisés à l'époque et cela s'il n'y avait pas de vacances à ce moment là (détail facile à controler ), et les journalistes de Paris Match auraient vite alors trouvé, qui étaient leur maître ou maîtresse,, qui pourrait alors confirmer leur mésaventure en signant, à l'époque, un affidavit (simple déclaration signée), où serait écrit le moindre détail de cette affaire. En effet seuls les écrits signés de ces enfants et non pas leur simple confirmation orale, peuvent compter dans cette fantastique affaire, qui,s'il s'avère qu'elle est authentique, concerne indubitablement, nous le répétons à dessein, la plus grande Histoire de l'Humanité. Les journalistes de Paris Match auraient pu alors aussi, retrouver facilement les camarades de classe de ces enfants, qui ont dû bien rigoler à l'époque, des mésaventures de leurs copains, mais qui aujourd'hui tomberaient proprement à la renverse en apprenant ce qui s'est réellement passé.

       Ces journalistes de Paris Match , auraient aussi à l'époque retrouver facilement les travailleurs espagnols du Père Violat , qui ont été aussi interloqués par le vol du compteur électrique de leur patron, et ces journalistes auraient pu aussi retrouver facilement la trace des gendarrmes qui auraient enregistré cette plainte....etc ...

       Comme vous le voyez, encore une fois, ce Paris Match, a vraiment à l'époque loupé le coche, qui aurait pu ouvrir notre esprit, bien plus largement à la connaissance de la Lune et ses environs, et cela aurait même modifier complètement notre manière d'appréhender l'histoire des humains sur cette Terre , et même nous forcerait d'adopter une autre compréhension de l'Univers.

      Que de drames et de tueries, auraient pu être évités, si les autorités avaient révélé cela à l'époque...
Et c'est pour cela que le site ARTivision reparle ici de cette vieille affaire, qui est encore valable, près de 70 ans après...

      Rappelons aussi que ces ummites qui n'interviennent pas dans nos occupations quotidiennes, (donc tout risque est exclus, en matière d'espionnage et de captage de secrets militaires), affirment, entre autres choses extrordinaires, pouvoir résoudre vite fait et bien fait, nos problèmes d'élimination des déchets, en utilisant un appareil de leur fabrication, capable de casser toute matière pour la transformer en oxygène ou hydrogène. Mais, cet appareil ne pouvait nous être confié, car nous ne sommes pas assez mûrs et sages ( étant données, notre tendance belliqueuse et notre attitude va-t-en guerre, entre nous-mêmes), pour utiliser cet appareil à bon escient.

      En effet, pas besoin de dire, les ravages que ferait un dictateur en possession d'une telle machine et pas besoin, n'est-ce pas !... de remonter dans les temps anciens, pour découvrir cela...


        Nous l'avons souvent expliqué, que nos gouvernements nous cachent au plus haut niveau, l'existence de ce dossier Ummite, (et beaucoup d'autres), où d'extraordinaires secrets cosmiques sont décrits, car lorsque ce dossier sera révélé au grand jour, cela bouleversera totalement l'équilibre déjà précaire, des hégémonies politiques, économiques et surtout militaires, de cette planète...

        Or, malgré un dossier en béton, (Voir aussi les ouvrages d'Antonio RIBERA :

  

et le livre des auteurs: Martine Castello-Philippe Chambon-Isabelle Blanc, intitulé "La conspiration de étoiles" Chez R.Laffont, Aout 1991 :

  

...etc...),
cette affaire ummite, n'a jamais été discutée dans les médias, qui ont pignon sur rue, ce qui prouve, une fois de plus, que sont à proscrire des voies de l'information habituelle, tous les éléments vraiment importants pour l'humanité, qui bouleverseraient, le circuit économique mis en place par les magnats actuels de l'énergie et de la géopolitique...


        Finalement, comme on le voit, une fois de plus, sur le site ARTivision, chaque petit détail a son importance, et doit être exploré à fond, pour en tirer sa substantifique moelle, en temps utile.

       Mais arrêtons là, SVP, ce huitième focus
, de l'article et, pour éviter, un trop long délai de chargement, plaçons la suite à :


       A suivre...

            Fred IDYLLE


    
Article mis en page le 01/10/2019, et revu le 04/10/2019, et revu le 07/10/2019, et revu le 08/10/2019, et revu le 10/10/2019, et revu le 11/10/2019, et revu le 13/10/2019, et revu le 14/10/2019, et revu le 18/10/2019, et revu le 20/10/2019, et revu le 22/10/2019, et revu le 23/10/2019, et revu le 24/10/2019, et revu le 27/10/2019, et revu le 31/10/2019, et revu le 02/11/2019, et revu le 05/11/2019, et revu le 06/11/2019, et revu le 11/11/2019, et revu le 12/11/2019, et revu le 15/11/2019, et revu le 17/11/2019, et revu le 18/11/2019, et revu le 19/11/2019, et revu le 21/11/2019, et revu le 22/11/2019, et revu le 24/11/2019, et revu le 19/12/2019.

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