Notez bien, que plus haut
le spationaute non officiel, George Adamski, a très explicitement utilisé le vocable
La Source, dans un de ses textes.
Dur... Dur, à encaisser, n'est-ce pas...ce langage de philosophie cosmique, qui fera grincer amèrement, les dents des partisans de la loi de la compétition à outrance, qui peuvent aussi se dire entre eux :
"Va voir ailleurs,
si j'y suis."
(Cela bien sûr, en plus du principe : "Otes-toi de là que m'y mette")
Mais
les bien-pensants, les mécréants et autres agnostiques de toute nature, vous diront vite fait,
que tout cela, dénote
une affaire de nouvelle secte, à fuir absolument, et qu'ils s'en soucient, autant que de leur première brosse à dents...
Confiant, dans le fait que
le Temps du
Grand déballage, est
actuellement bien arrivé, nous répondrons alors :
"Advienne que pourra, et Qui vivra verra".
Voyons maintenant, quelques faits,
très pragmatiques, arrivés sur
la Lune,
et faits qui n'ont jamais fait l'objet du moindre débat médiatique, par exemple chez les télévisions
qui ont pignon sur rue, et qui nous inondent d'informations dérisoires vite oubliées, alors que ce qui va suivre,
devrait toucher, le monde entier,
au plus haut niveau, car s'il y avait une sorte de nouveau déluge général sur
la Terre, ou si une comète s'y précipitait comme celle
de Juillet 1994 qui a touché
Jupiter, et , ce sont en principe,
ces habitants de la Lune, qui pourraient
après des siècles d'opérations bio-climatologiques, remettre sur pied notre planète...
Commençons donc, si vous le voulez bien, par
ces images incroyables suivantes de la NASA, et assurément non trafiquées,
et pour cause...
Pour découvrir cela, il aurait suffi, en effet, de lire,
fut un temps, l'ouvrage remarquable de notre ami
Alfred Nahon,
( hélas décédé en 1990), et, intitulé : "La Lune et ses défis à la science", paru aux Editions Mont-Blanc 1973,
en Suisse, et ouvrage que tout chercheur sur les affaires lunaires, devrait absolument avoir en main, pour suivre ce débat :
La figure 29, nous montre cette image suivante très surprenante, tirée pourtant de l'ouvrage très scientifique, intitulé The Moon, et publié chez l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, en 1969, du grand astronome et mathématicien tchèque Zdenek KOPAL, qui vivait alors en Angleterre :
Et voici alors
la fameuse image en question :
Mais, analysons maintenant,
la structure bizarre, placée à l'intérieur du cercle de l'image.
On y voit clairement
un engin excavateur qui triture le sol lunaire
(voir la structure très insolite au centre du cercle), sur un contrefort du cratète Copernic, déjà bien raboté, n'est-ce pas, sur sa droite.
Selon nous, cet engin excavateur gigantesque, ne se déplace certainement avec des roues et un moteur thermique utilisant des énergies fossiles, déjà démodées sur Terre.
Il est donc bien plus certain, que l'engin en question, utilise un moyen antigravitationnel, non connu de nous, pour extraire du sol du cratère, des minéraux, utiles aux occupants de la Lune.
N'empêche, qu'il faut vraiment, vouloir imiter l'autruche, pour dire, que l'engin en question, est tout à fait naturel :
Si l'on sait que ce cratère Copernic, mesure environ 93 km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur, près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à : 12 km...
Comment donc, il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu, dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues ?
Bien sûr, aucune autre photo moderne de Copernic, ne nous présente ce super engin excavateur, et par exemple, voici une comparaison avec une photo de Copernic
(à gauche), tirée du site moderne :
Le rabotage latéral blanchâtre de droite, est dès lors, très clairsemé, et bien sûr, le bidule excavateur, a totalement disparu..
Mais, parmi les surprenantes images de cet ouvrage de A NAHON; extrayons aussi celle-ci :
Mais, dans ce même livre, l'ami Alfred Nahon, nous avait aussi présenté une structure très bizarre, découverte par Monsieur Delcorps à l'époque Directeur du Laboratoire LAET de Liège. Cette structure apparaît sur une photographie prise par le Planétarium de la Haye :
Il faudrait vraiment être de mauvaise foi, pour affirmer que cette structure est tout à fait naturelle, et qu'il ne s'agit encore que, d'une illusion d'optique.
Mais voilà le bouquet de ce débat :
En effet, c'est en Août 1967, que la sonde américaine "Lunar orbiter V" a photographié (Ref. NASA 67-H-1135), à l'intérieur du cratère Vitello sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui-même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes)deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ 5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours. Dans l'image de droite, nous avons matérialisé en blanc les deux trajectoires :
Mais voici aussi les images en question, montrées cette fois dans l'ouvrage incontournable, publié en premier lieu en 1981, (notre édition est la 8e,
publiée en 1997), que tout chercheur aussi pour suivre le débat en question, devrait avoir en sa possession :
Et voici, en pages 54 et 55, les traces très nettes des deux mobiles :
Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile, qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m .
Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m), alors que la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?
Voici d'ailleurs comment Fred Steckling imagine admirablement la structure mécanique de ce petit mobile :
Il ne reste qu'à un courageux infographiste, de faire de même, en fabriquant une image en 3 D, pour le second mobile.
Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?
Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck très connue, mais qui pèse cependant 6 fois moins sur la lune), a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale (environ 25 m), et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?
Alors on devrait déjà se poser la question, de savoir pourquoi, la NASA n' a-t-elle pas envoyé plutôt (dans les 6 missions qui ont soi-disant exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible les traces ci-dessus, de plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ 5m et 25m de large pesant des centaines de tonnes et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ?
Et que dire alors, de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et ayant des formes très géometriques, et flanqué a gauche d'un appendice central surprenant , et qui lui confère ainsi, une notoire impossibilité de rouler naturellement ?
Notons l'explication, pour ce cas, de la revue Science et vie de Mars 1968, n° 606 page 71, et dont voici l'image de la couverture pour le puriste, qui pourrait, le trouver dans une brocante :
"Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".
Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but, selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "a glissé", juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière en suspension dans l'air ? Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus, que ce bloc avait bougé... Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère ? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé", en même temps de deux endroits différents...!, et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul, d 'autant plus que si nous analysons de plus près, ce rocher <ayant déboulé très opportunément, on découvre ceci :
Pas mal, n'est ce pas !!! ce gros caillou, très architectement structuré, pour rouler à l'aise, sur près de 500 m sur le sol lunaire. On nous prend ici, pour des débiles mentaux...
Mais, l'ouvrage exceptionnel, de A.NAHON, présente aussi en annexe, un édifiant rapport de la NASA, dévoilant près de 570 cas de taches lumineuses brillantes et de changements temporaires (nommées pudiquement des phénomènes transitoires, par les spécialistes des TLP :Transient lunar phenomena), observés sur la Lune de 1725 à 1967.
Voici aussi, pour les puristes, une photo personnelle, que nous avait envoyée l'auteur, le 21/06/79 :
Voici, donc au sujet de ces TLP, pour couronner ce débat, un extrait du super article venant de la revue
Science et Vie d'Avril 1964, dont voici, la couverture, pour les puristes qui pourraient l'aperçevoir dans une brocante ou un vide-grenier :
Cet article est issu de la rubrique L'UNIVERS, et est intitulé : " Des lueurs étranges sur la Lune". Voici donc comment se présente le début de cet important article :
Et voici le début du texte en question, hélas non signé , ce qui est déja très significatif : (les couleurs sont de nous évidemment)
"Flagstaff (Arizona) le soir du 29 octobre 1963, peu avant la tombée de
la nuit.
Deux astronomes de l'Observatoire
Lowell, James A. Greenacre et Edward Barr, dont le travail de routine
consiste à prendre des séries de photographies de la Lune en vue de l'établissement de la grande carte lunaire
au 1 millionième de l'U.S. Air Force,
venaient de pointer vers notre satellite
la célèbre lunette de 60 cm d'ouverture au moyen de laquelle P. Lowell, puis E. C. Slipher, tentèrent
autrefois de percer les secrets de
Mars. Ils examinaient, l'oeil à l'oculaire, la région tourmentée des cratères Hérodote et Aristarque et de
la grande crevasse sinueuse au fond
large et plat appelée vallée de Schroter. Leur intention était de comparer
certains détails de cette région à ceux
qui sont portés sur la carte. L'atmosphère au-dessus du désert de
l'Arizona était assez agitée, rendant
les images bouillonnantes, mais elle
devint progressivement plus calme et un oculaire grossissant 500 fois fut
adapté à la lunette.
C'est alors - il était 18 h 50 - que
l'attention de Greenacre fut attirée
par deux taches lumineuses de couleur rouge orangé tout à fait insolites, situées à 45 km l'une de l'autre, sur les sommets de deux monticules
voisins de l'extrémité méridionale de
la vallée de Schroter. La tache la
plus petite mesurait 2,7 km de diamètre, et la plus grande, de forme
ovale, 2,7 km sur 9 km environ. Au
cours des deux minutes suivantes,
les deux taches devinrent ensemble
extrêmement brillantes, et Greenacre,
stupéfait, appela son collègue afin
qu'il puisse à son tour observer et
confirmer le phénomène. Les taches
étaient toujours visibles trois minutes plus tard (c'est-à-dire à 18 h 53) lorsque Greenacre, qui avait repris l'oculaire, découvrit une troisième tache
brillante, de couleur rose, recouvrant
sur une vingtaine de kilomètres
l'arête méridionale du rempart d'Aristarque. A 19 heures, les deux premières taches avaient perdu leur éclat initiale et leur couleur était devenue
rouge rubis sombre. Dix minutes plus
tard, elles avaient disparu, tandis
qu'on distinguait encore faiblement
la troisième tache, laquelle cessa à
son tour d'être visible à 19 h 15. Aucune caméra photographique n'étant
fixée à la lunette, il fut impossible d'obtenir des clichés.
UN MOIS A L'AFFUT
Vingt-huit jours plus tard, le
27 Novembre 1963, la région d'Aristarque se présentait dans des conditions d'éclairage similaires et nos
deux astronomes, qui n'avaient pas
cessé de surveiller la Lune depuis
l'observation précédente, mirent une
fois de plus l'oeil à l'oculaire. Leur
espoir ne fut pas déçu. A 17 h 30, une
tache allongée rou&e rubis apparaissait, cette fois encore, sur l'arête du
rempart d'Aristarque, mesurant 22 km
de long. Greenacre et Barr n'étaient
plus seuls : ils s'étaient fait accompagner sous la coupole par Fred Duggan et par le Dr John S. Hall, Directeur de l'Observatoire Lowell. Ce dernier, ayant constaté le phénomène,
téléphona immédiatement à son collègue Peter Boyce qui disposait, à
quelque distance de là, du grand télescope Perkins de 1,75 m d'ouverture,
et lui signala qu'un phénomène coloré insolite était visible sur la Lune
dans la région d'Aristarque, sans lui
donner d'autre précision. Boyce découvrit immédiatement la tache rouge
allongée et en confirma la position. Les minutes passaient et la tache
était toujours visible. Des clichés en
noir et blanc furent obtenus. Ce n'est
qu'à 18 h 50 que la tache disparut : le phénomène avait duré 1 h 1/4 .
Les flèches indiquent où apparurent les lumières et leurs dispositions
"I1 n'y a pas de changement sur la
Lune". Cette vieille assertion, professée jusqu'à ces dernières années
par l'immense majorité des astronomes professionnels, se révèle quelque peu erronée et il apparait au contraire que notre satellite pourrait
bien être le siège de phénomènes lumineux passagers assez fréquents.
Quelle est l'origine de ces lumières?
Nul ne le sait. Est-ce le sol qui, en
certains endroits, est recouvert de
cristaux réfléchissant sélectivement
les rayons solaires par le jeu des lois
de la réfraction ? S'il en était ainsi,
les taches observées auraient dû passer par les différentes couleurs de
l'arc-en-ciel, et tel n'est pas le cas.
S'agirait-il alors d'émissions de gaz,
rendus luminescents par le rayonnement ultra-violet solaire ? Un argument de poids en faveur de cette
hypothèse est apporté par la célèbre
observation spectrographique de Kozyrev, dont nous parlerons en détail
plus loin. Mais quelle pourrait être
l'origine de ces émissions ? On a supposé qu'il s'agirait de la mise au jour
de poches gazeuses occluses dans la
roche lunaire, sous l'effet d'impacts
météoritiques, ou encore de la volatilisation de la matière des météorites
elles-mêmes. Mais par quel miracle
alors le cirque d'Aristarque aurait-il
été, à deux reprises, le siège de tels
impacts, répartis d'ailleurs sur une
bande de 20 km de longueur épousant
très exactement l'arête même de ses
remparts ? Ajoutons que, dans le
vide (la Lune, ne l'oublions pas, ne
possède aucune atmosphère), le libre
parcours moyen des atomes et des
molécules est infini : si une bouffée
gazeuse était émise au voisinage du
sol lunaire, elle se dissiperait très
rapidement dans l'espace et cesserait
bientôt d'être visible. Dans le cas
présent, il faudrait donc admettre un
renouvellement continu de l'émission
des gaz pendant une durée assez longue (plusieurs dizaines de minutes) ;
il faudrait admettre également que
chacune des taches lumineuses était
produite par plusieurs sources d'émission assez rapprochées, de façon à
expliquer en particulier la forme
extrêmement allongée et la grande
dimension des deux lueurs observées
sur Aristarque ; enfin, il faudrait supposer que ces émissions de gaz furent
déclenchées, au méme moment, par
un même processus, puisque les
trois taches lumineuses du 29 Octobre
1963 présentèrent des variations d'éclat
concomitantes.
Tout cela fait penser, soit à une
activité interne (tectonique ou volcanique), soit encore à une action calorifique du rayonnement solaire sur le
sol de la Lune, produisant un dégazage des roches après la longue nuit
lunaire
(il est peut-être significatif
à cet égard que les quatre lueurs
observées prirent naissance, aussi
bien le 29 octobre que le 4 novembre,
un peu moins de deux jours après
le lever du Soleil sur la région
d'Aristarque).
Rien enfin n'empêche, d'imaginer - mais ici nous tombons quelque peu dans la science-fiction que les taches brillantes apparues aient eu une origine artificielle, témoignant de l'activité d'êtres intelligents à la surface de la Lune.
La vie n'a certainement pas pu se dévélopper sur notre satellite, mais si une expédition d'astronautes extraterrestres , venus des espaces intersidéraux explorait, le système solaire, on peut supposer que ces astronautes établieraient une base sur la Lune, ne serait-ce que dans le but d'étudier la Terre à faible distance sans être repérés. Dans un récent article sur les voyages intersidéraux publié dans la revue Planetary and Space Science, le très serieux astrophysicien américain Carl Sagan a froidement envisagé une telle possibilité, qui soulève cependant encore les plus grandes réserves chez la plupart des astronomes...
Comme on le voit, l'exploration de la Lune, nous réservera sans doute bien des surprises..."
Fin de l'extrait.
Comme on le découvre ici, ce dernier passage, mis en gras bleu marine, de l'article en question, (qui ose parler de Science-Fiction), est pourtant exactement, la conclusion à laquelle est arrivée, le Webmaster d' ARTivision, qui l'avait déjà fait savoir, dans une lettre envoyée au journal France-Antilles, qui fut publiée, dès le 14 Février 1975, (il y a donc 44 ans déjà, de cela, en 2019), et dont voici quelques éléments significatifs ...restructurés par nos soins :
Mais ce
24 Octobre 2019, lançons
un surprenant 5e focus, consacré à l'épopée de la mission,
si bien orchestrée dit-on Appolo 8 :
Cinquième focus
Avec nos très faibles moyens, analysons seulement ici, si vous le voulez bien,
cette affaire d'Apollo 8 :
Pour bien nous placer dans l'ambiance et dans l'action des protagonistes, de l'époque, il convient de placer ici le texte qui suit, du petit ouvrage de
poche intitulé "
la Saga de L'espace"
publié chez
Gallimard en Octobre 1986 :
"Au début de l'automne 1968, les États-Unis et l'Union Soviétique sont prêts à reprendre leurs vols habités. à la mi-octobre, le vaisseau Apollo 7 accomplit un vol parfait de onze jours autour de la Terre . Les soviétiques suivent quelques jours plus tard : Le 26 octobre Georgi Beregovoi s'élance a bord de Soyouz-3 pour rejoindre sur orbite un Soyouz 2 inhabité, satellisé auparavant. Sa mission ne sera qu'un demi-succès car les deux vaisseaux ne pourront s'amarrer, mais elle rassurera pleinement le pays sur la sécuritc du Soyouz .
Des objets terrestres reviennent de la banlieue
lunaire.
Les succès d 'Apollo 7 et de Soyouz-3 sont importants. Mais
lorsque les équipages de ces vaisscaux reviennent de
1'espace fin octobre, la grande affaire n'est plus la
realisation de vols spatiaux autour de la Terre. Le problème
est de savoir qui de l'URSS ou des Etats-Unis enverra le premier des hommes autour de la Lune, Les Soviétiques
viennent en effet d'accomplir un pas décisif dans cette voie : le 14 septembre 1968, ils ont lancé un prototype de
leur Soyouz lunaire, Zond-5, qui a effectué un suryol a 2000 km de la Lune, avant de revenir se poser avec succès dans 1'océan Indien. pour la première fois un objet terrestre est revenu de la banlieu lunaire . Un autre succès suit avec Zond-6, le 17 Novembre. Le doute
n'est plus permis : les Soviétiques sont prêts à envoyer un
cosmonaute (sans doute Pavel Beliaiev) autour de la Lune.
Et une opportunité s'offre à eux de procéder à cette
expérience le 7 décembre 1968...
Mais les Américains n'ont pas attendu le retour de
Zond-6 pour prendre une décision d'une audace inouie : le 11 novembre 1968, un nouvel administrateur de la NASA,
Thomas Paine, annonce que la mission Apollo-8, prevue
pour Décembre, ne sera pas un vol expérimental autour de
la Terre, mais une mission habitee autour de la Lune ! Le
pari est fantastique.
C'est vraiment là que se situe le tournant dans la course a la Lune. Si 1'Amérique ne.fait pas d'Apollo-8 une mission circumlunaire, elle est sure que 1'Union Soviétique
la devancera au cours des mois suivants, et recoltera 1'essentiel des lauriers de la conquête lunaire. A quoi cela
servirait-il, des lors, d'envoyer plus tard des hommes sur la Lune ? Mais si la mission Apollo-8 échoue, c'est tout le programme Apollo qui est compromis.
En fait, l'Amérique joue là , son avenir spatial à quitte
ou double. Et elle va gagner...
Trois hommes fêtent Noël à une centaine de kilomètres de la Lune
Pour une raison que l'on ignore, les Soviétiques laissent
passer leur dernière occasion de battre les Américains ;
Le 7 Décembre, aucun Soyouz lunaire ne s'élance de
Baïkonour. La route est desormais libre pour les Etats-Unis. Le 21 Décembre à 16 h 51 (heure de Paris), les trois astronautes d'Apollo 8, Frank Borman, James Lovell et William Anders, quittent la Terre au sommet d'une monstrueuse Saturn-5. Deux jours et demi plus tard, leur
vaisseau approche de la Lune et passe derriere elle.
Apollo-8 ne se contente pas de survoler la Lune. Il est
placé en orbite autour de 1'astre, et c'est à 112 km au-dessus de la surface lunaire que les trois homrnes passent la nuit de Noël 1968... Ils repartent vers la Terre le lendemain matin et se posent sans probléme dans le Pacifique le 27 Décernbre.
Lorsqu'ils sont partis, Borman, Lovell et Anders
, jouaient leur vie et celle du programme Apollo. Lorsqu'ils reviennent de la région lunaire, ils ont virtuellement fait gagner à 1'Amérique le pari de John Kennedy. Le triomphe
d'Apollo-8 marque la defaite de 1'Union sovietique dans la course à la Lune. Après une réalisation aussi brillante, il ne servirait a rien d'envoyer un seul cosmonaute dans un petit Soyouz effectuer un bref survol de la Lune. Le programme Zond habité est donc abandonné. Les preparatifs d'une
mission plus ambitieuse rnais plus lointaine, l'alunissage de cosmonautes, sont en revanche poursuivis, au cas où la
NASA ne parviendrait pas à atteindre cet objectif. "
Fin de citation.
Quel
Super laïus. Hélas tout cela présente
des failles notoires, et nous allons maintenant expliquer pourquoi !
Vous avez bien noté,
nous l'espérons, l'expression ci-dessus que nous avons mise en exergue telle que :
"Lorsqu'ils sont partis, Borman, Lovell et Anders
, jouaient leur vie et celle du programme Apollo"
Pour mieux expliquer cela, jetons d'abord un coup d'Oeil sur cette photo du Paris Match
n° 1025 du 25 Déc. 1968, qui présentait en première page, les 3 astronautes de la mission :
Mais en pages 32 et 33, ce Paris-Match 1025, nous présentait
un superbe schéma(53cm -34cm), que nous avons eu bien du mal à reconstituer à cause de notre petit scanner:
Et pas besoin de sortir de Polytechnique pour deviner,
la grande complexité de l'entreprise,
( (nous suppossons bien sûr que ce super schéma est tiré des planches techniques de la NASA),, qui conduirait les protagonistes jusqu'à environ
400 000 km de la Terre, et entreprise menée à l'aide d'ordinateurs, qui à l'époque, avaient
à peine la puissance d'une calculette actuelle de lycéen...
Mais pour les puristes, présentons en plus clair, les étapes de l'expédition :
Mais faisons déjà ici, une digression importante, concernant
l'étape n° 7 :
Sur le site :
Nous lisons :
"Le dernier évènement important avant leur entrée en orbite lunaire consistait à ralentir, pour obtenir une vitesse de 0,6 m/s. À la 61e heure très exactement, alors qu'ils étaient à 39 000 km de la Lune, l'équipage alluma le RCS pendant 11 secondes.
À la 64e heure de vol, ils préparèrent l'insertion en orbite lunaire (Lunar Orbit Insertion-1, LOI-1). Cette manœuvre ne permettait aucune erreur et devait être effectuée de la face cachée de la Lune, sans contact possible avec la Terre. L'ordre positif fut donné à la 68e heure. Après 68 heures et 58 minutes de vol au total, le vaisseau passa derrière la Lune et perdit tout contact radio avec la Terre.
Dix minutes avant l'opération LOI-1, l'équipage vérifia les systèmes du vaisseau. Ils aperçurent enfin la Lune, du côté caché. Seulement deux minutes les séparaient du lancement et ils n'avaient que peu de temps pour apprécier la vue.
L'allumage des propulseurs se fit 69 heures 8 minutes et 16 secondes après le lancement, le moteur brûla pendant 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8 en orbite elliptique lunaire. L'équipage décrivit cet instant comme les "quatre plus longues minutes de leur vie". Si la propulsion n'avait pas duré exactement le temps prévu, le vaisseau aurait eu une trajectoire très excentrique voire aurait été éjecté dans l'espace. Si elle avait trop duré, ils se seraient écrasés à la surface de la Lune.
Fin de la digression.
Vous avez bien noté, et nous espérons qu'un
spécialiste de l'Espace, nous le confirmera :
que l'insertion en orbite lunaire, donc
le freinage correspondant pour y arriver, devait se passer lors du premier survol de la face cachée de la Lune, à un moment où aucune communication avec la Terre n'était possible. "
De plus, on voit que
c'est une affaire de seconde en plus ou en moins autour des cruciales
4 minutes et 13 secondes, plaçant
Apollo 8 en orbite elliptique lunaire, car c'était ou,
l'échappée vertigineuse dans l'espace cosmique, ou
pire l'écrasement sur la Lune.
Quel dilemme n'est-ce pas ! pour avoir à jongler avec un simple petit bouton.
A vous de juger...
Mais de plus, nous allons voir tout de suite,
qu'il manque au super schéma en question, certaines étapes importantes, que l'on a ,
sans doute volontairement oubliées, pour le simplifier.
En effet, et c'est ici,
une exclusivité d'ARTivision, si nous rapprochons les étapes 6 et 7 du superbe schéma :
On découvre alors que
la capsule conique de commande, qui contient les 3 voyageurs
a un sens inversé de l'étape 6 à l'étape 7. En effet Apollo 8, à la 61
e heure très exactement, devait se trouver à
39 000 km de la Lune, et l'équipage alluma le moteur central du module de service pendant quelques secondes bien précieuses, pour passer de la vitesse de 1 216 m/s à celle dit-on de 0,6 m/s.
Un sacré freinage n'est-ce pas !!. Mais ce que ne montre pas le schéma, c'est qu'il faut quelque temps avant, inverser le vaisseau dans son sens de circulation, pour que la tuyère principale du
Module de Service, soit en avant de la marche. Cette inversion est donc d'une grande délicatesse nécessitant
une prise de risque énorme. Or ceci n'est, on va le voir, mentionné
nulle part, dans le récit du célèbre
Raymond Cartier, très grand reporter à
Paris Match, qui a certainement pris,
les informations qui précèdent, directement à la NASA.
Tout ceci est très curieux, et on se demande, si ce n'est pas la NASA elle-même qui n'a pas jugé bon, de le mettre au courant de cette affaire de retournement
du vaisseau Apollo 8, qui en effet , hypothéquait la réussite de l'opération.
Cette affaire de retournement d'Apollo, est mentionnée, certes pour,
Apollo 11, par exemple sur le site :
, tel que :
H + 3h17mn05 s : le troisième étage est largué
H + 3h24mn03 s : après une manœuvre de retournement, le véhicule Apollo vient s'amarrer au module lunaire. Les trois modules assemblés sont en route vers la Lune.
Et il y a même mieux en forme de schéma dans un document PDF placé à :
, tel que :
Tout cela pour bien montrer
la complexité de cette affaire d'Apollo 8, comme bien sûr pour
les autres missions Apollo.
Remarquons que
cette affaire de retournement pourrait être commandée de la Terre
(à près de 361 000 km de là avec, on le sait des ordinateurs très balbutiants), mais cette opération pourrait aussi être entreprise directement avec beaucoup de risques par l'équipage d
'Apollo 8.
Mais il y a encore, une autre étape délicate, qui n'apparaît pas sur
le super schéma, en question. Voyez celà, vous-même dans ce coin :
On voit très clairement que
les vaisseaux en question sont inversés, ce qui signifie qu'à un moment donné,
il y a eu un autre retournement, non également mentionné sur ce beau dessin. Ce retournement pourrait avoir lieu en effet, immédiatement après le premier survol de la face cachée de la Lune, mais il aurait pu avoir lieu, à un autre moment
des 10 révolutions effectuées,
dit-on, autour de la Lune, d'après le site :
Mais
là, ce retournement pourrait devoir être amorcé
à partir du survol de la face cachée, et ce sont alors les membres de l' équipage, qui en seraient responsables, avec tous les inconvénients en puissance, car ils ne pourraient communiquer avec la Terre, s'il y avait un pépin.
Voyons maintenant, d'après
Paris Match, quelques
prouesses techniques utiles ( les phases vraiment dangereuses sont en violet), pour réussir cet exploit:
On voit alors, que dans
ce texte réduit et ramassé, on parle bien
de moteurs de Vie et de Mort et jamais du processus de retournement du Module de Service.
Mais lisons alors ce qui est écrit, au bas de cette photo de
Williams Anders ( bien sûr il y aussi celles des autres astronautes et aussi des textes concernant leur curriculum vitae ) :
C'est donc un quidam plutôt
rigoureux et cultivé. Alors, pourquoi a-t-il déclaré
(d'après Paris Match bien sûr), cette
phrase tout à fait insolite et inadaptée ;
" Nous avons moins à craindre que Lindbergh lorsqu'il vainquit l'Atlantique . "
Et malgré
l'explication fantaisiste et
opportuniste, de
Paris Match, qui nie
les justes réserves du grand astronome anglais
Sir Bernard Lowell :
, le site
ARTivision, pense que
ce propos très insolite d'Anders est
une sorte de bouteille à la mer,
bien calibrée, pour les générations futures, et cela signifie en clair :
" Soyez logique voyons, tout cela n'est, qu'un grand bluff... "
A bon entendeur salut !
Mais si, comme nous venons de le suggérer,
le voyage lunaire des occupants de la cabine Apollo 8, n'aurait jamais eu lieu, d'où viennent alors ces magnifiques photos
(ces occupants, n'avaient pas eux, au moins à rapporter des cailloux lunaires) :
Et surtout, il y a
cette image incroyable du
Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969, présentée
en exclusivité par
ARTivision, dès le
28/08/1998.
On y voit, chacun le sait déjà,
chose inimaginable, une anomalie qui se présente l'aspect d'un demi
porte-avions de prés de
26 à 30 kilomètres de long et dont la partie centrale serait constituée
de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment surmontées d'une sorte de"
flèche gigantesque".
Voyez donc les deux agrandissements, un peu colorés ci-dessous :
Si vous avez trouvé,
comment tout cela a été possible...
bravo... vous êtes presque déjà,
dans le secret des Dieux ...
Mais ce jour, demandons aussi
au Grand
Maître de Findhorn, de nous éclairer, un peu plus, sur la situation
humaine et
mondiale actuelles :
Ce n'est pas parce que quelque chose était juste et correcte hier,
qu'elle l'est aujourd'hui.
C'est pourquoi tu dois vivre un jour à la fois,
et vivre pleinement dans le merveilleux éternel présent;
car lorsqu'il te sera possible de le faire sans réserves ni idées préconçues,
tu pourras accepter le changement sans résistance
et la vie coulera avec aisance et douceur.
C'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire,
spécialement lorsque tu as senti que tout allait bien
et que tu as enfoncé profondément tes racines,
te sentant en sécurité dans ta situation présente.
Que ta sécurité soit en la Source,
et jamais dans une situation, un plan, une personne ou une chose;
car ce qui est là aujourd'hui peut avoir disparu demain.
Mais la Source, est là de toute éternité,
Donc, recherche-LA, trouve-LA,
et ne crains rien.
Laisse les changements survenir,
sache simplement que chacun d'eux
sera pour le meilleur et qu'il est nécessaire
pour la croissance et l'expansion du tout.
La Petite Voix , Eileen Caddy Le
Souffle d'or 1994.
Méditation pour le 24 Octobre, après adaptation d' ARTivision.
Mais ce 27 Octobre 2019, il est peut-être ici, encore utile d'expliciter, pour les contortionnistes psychiques qui rigolent sous cape, au sujet de la méditation qui précède et en particulier ce que peut signifier l' expressions atypique suivante :
et en particulier la phrase surprenante :
"...tu dois vivre un jour à la fois,
et vivre pleinement dans le merveilleux éternel présent... "
Rappelons pour le novice , qui aborde ce site pour la première fois, par cet article en cours, que le Maître de Findhorn est une transfiguration transcendante, et très artistique, orchestrée par le site ARTivision , à partir de l'ouvrage "Opening Doors Within", publié en 1986, (en français en 1989) , par Eileen Caddy, décédée en Mars 2007.
Pour en savoir plus, sur l'affaire de Findhorn, le novice, pourra se réferrer aux pages :
Où à :
Rappelons aussi à ce novice , qui aborde ce site pour la première fois, par cet article, que ce site est un site Mystico - Rationaliste,
(mot que vous ne trouverez dans aucun dictionnaire), et cela signifie que cette plateforme intégre pleinement des textes dits transcendants, qui nous viennent d'entités dites ascensionnées, comme par exemple : Sananda, Ramtha, Dratzo, SaLuSa, Mikaël, Dorian, Soria, Saint-Germain ...etc...
Les textes, de ces Maitres, pourtant, d'un très haut niveau de connaissance, ne sont jamais discutés, en public sur les plateaux des télés, qui ont pignon sur rue, et pourtant ces textes nous invitent à méditer sur le devenir de cette planète Terre, en très grande mutation.
Mais revenons donc, à la phrase en question qui assurément va faire grincer d'amertume les molaires de nos philosophes, psychologues, psychiatres et consorts affiliés blasé du système actuel,
"...tu dois vivre un jour à la fois,
et vivre pleinement dans le merveilleux éternel présent... "
Ce qui est encore plus surprenant, c'est que ce même discours axé sur ce concept du Temps présent, est repris, plus
de 31 ans après,
par Le Maître de Findhorn
(le 11 avril), et
plus de 46 ans après par l'entité transcendante Soria tel qu' en page 14, de son premier livre de 2001, on trouve ceci :
" Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi,
Illusion du temps; il n'y a pas
de passé ni de futur; seul existe le moment présent;
cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans, a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète. "
Nous ajoutons enfin que cette notion révolutionnaire du temps cosmique, semblait être connue du Maître nommé Jésus-Christ, puisque qu'il préconisait ouvertement de " ne pas se préoccuper du lendemain et de vivre au jour le jour", sans doute pour mieux s'ancrer dans l'énergie, relevant de la quatrième dimension, ce qui lui permettait évidemment de réaliser ce que nous avons appelé "des miracles", et miracles qu'il avouait, lui même, être à la portée de chacun de nous.
Allez, voici un petit plus, qui nous invite aimablement à lire , les pages 79 et 80 de l'ouvrage "Ultimes Paroles", de l'incomparable "Baird T.Spalding",
publié par Robert Laffont, en Juillet 1985 :
Mais voyons donc, ce que l'on y trouve, en pages 79 et 80 :
Et que celui qui sait lire, ce qui apparaït clairement entre ces lignes...et qu'il s'interroge alors, sur le moyen, d'en savoir davantage...
Mais, c'est exactement le même langage, que l'on trouve dans ce message très moderne d' ARCTURIUS, venant 62 ans plus tard :
----- Original Message -----
From: Daniel Durieux
To: fred IDYLLE
Sent: Friday, November 03, 2017 5:32 PM
Subject: Dans leur grande majorité, les humains ont oublié leur but dans la vie
Mais analysons plus avant le texte d' Adamski :
Voici ce que l'on y trouve en page 85, et qui confirme ce que disent actuellement de nombreux sites comportant des messages dits transcendants :
D'abord en page 85, on trouve ce vrai cours de philosophie cosmique très surprenant pour l'époque
:
Comme c'est curieux n'est-ce pas, que ce langage, qui s'apparente à un discours religieux hors-normes, et que l'on n'entend pas souvent, dans
les homélies, des dignitaires religieux actuels.
Mais le buzz commençait déjà dès les pages 79 et 80, où les détracteurs et autres intellectuels blasés étaient déjà assurément tombés à la renverse, puisque là, nous dépassons de loin, les imaginations débridées de auteurs de la SF... ( et il faut lire aussi la suite, déjà présentée plus haut, et tout à fait renversante, mais nous ne pouvons ici, en dire plus)
D'ailleurs, on voit ici que , (nous l'avons dit souvent), que cet Adamski, parle ici de l'invisibilité possible pour certains vaisseaux de l'espace, et cela déjà en 1955, bien avant la fabrication nos avions dits furtifs. Ce monsieur aurait donc pu parfaitement écrire ses ouvrages sous la forme des romans de S-F, qui lui aurait permis certainement d'obtenir, (nous l'avons vu déjà plus haut), le Prix Jules Verne, de l'époque, et une grande notorité, vis à vis de ses concitoyens...
Mais dit-on, "comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", voici en direct les méditations d'hier et celle de ce jour le 27 Octobre, du au Grand Maître de Findhorn :
Pas besoin ici, de mettre des couleurs, car tout est superbement dit, et éclaire notre démarche en ces Temps de Révélations, qui approchent à grands pas...
Reprenons alors quelques phrases, du message lancé le 27 Octobre, par ce Maître de Findhorn, et phrases, qui ont dû faire grincer les molaires des outrecuidants intellectuels et consorts bien-pensants blasés du système actuel, qui part, résolument, à vau-l'eau.
Le message dit alors, entre autres choses :
" Cela demande un grand amour et une grande patience;
Cela demande de la concentration et du dévouement;
Ce processus est ce qui se passe en ce moment avec le Nouvel Âge"
Mais alors... ce "Nouvel Âge", c'est quoi vraiment ?
Mais, ne vous en faites pas trop à ce sujet, nous le saurons très bientôt !!!
En effet, progressivement, on découvre que sur ARTivision, la notion de quatrième dimension, est de rigueur et que l'intuition personnelle, est de mise, (hélas, cela ne s'apprend pas dans nos écoles publiques), ce qui en fait un site tout à fait singulier, où rien ne se fait par hasard ...
A vous de juger desormais tout cela, documents incontournables et très atypiques en mains.
Mais ce 31 Octobre 2019, nous allons lancer un trés déconcertant, 6e focus, qui va mettre assurément, une fois de plus, au pied du mur, les contortionnistes cosmologistes plutôt blasés de notre Système Solaire :
Sixième focus
En effet, reprenons ici l'image extraordinaire suivante (déjà vue plus haut), et tirée du super site : :
Et on voit alors que, si vous cliquez, sur l'image de la Lune de Web.archive.org ci-dessus, vous découvrirez son nom : landstrip.jpg
Seulement voilà, chose très surprenante, si nous tapons ce nom d'image, dans le cadre de Google images placé à :
, nous obtenons plus d'une centaine d'images, qui n'ont rien à voir, avec un paysage lunaire.
Même topo, si nous essayons le nom : landstrip.gif.
ou landstrip.bitmap.
Curieux n'est pas !!! D'où vient donc cette photo fantastique ?
Aucune référence à la NASA, ne nous est fournie... Qui a donc pu installer cette incroyable photo sur le WEB ?
Bravo à l'internaute béni, qui nous trouvera à la NASA, les références exactes de cette photo, que nous avons appelée :
Lunepistetresinsolitea.jpg
Et si vous tapez cela dans Googleimages, on obtient enfin ceci :
Autrement dit, cette photo n'existerait pas sur Google images, si ARTivision, ne l'avait pas nommée: Lunepistetresinsolitea.jpg.
Mais, peut-être qu'on la trouvera chez un autre Webmaster, qui l'appelera autrement... Merci, à l'internaute qui découvrira cela...
Mais allons plus loin, dans notre investigation. Le texte qui accompage cette photo archive.org, ci-dessus, est datée du 12 Février 2000. Donc, on peut en déduire, que cette image très insolite :
dont la tranchée notoire a été mise en couleu,r on le sait, telle que :
et photo de source inconnue pour l'instant, a donc été mise sur le Web, avant le 12 Février 2000.
La question à 1000 €, est donc de savoir, si à l'époque où les PC du commerce, étaient balbutiants,, un internaute specialiste, pouvait nous truquer une telle représentation de la Lune? Aux specialistes informatiques qui possèdent dès lors de puissants logiciels comme Tungstene et consorts, donc, de répondre. !!!
Si cette photo est truquée (ce que nous n'arrivons pas encore à admettre), quelles auraient pu être d'autre part, les motivations de l' hurluberlu, qui aurait passé un temps fou, pour réaliser ce travail, alors qu'à l'époque, la grande majorité des observateurs des choses de l'espace, croyait au débarquement lunaire des américains en Juillet 1969. (Notre premier article, contestant ce débarquement, date du 30/04/2000. Voir notre timide article de l'époque : http://www.artivision.eu/lettreouverteSA.html
),
Mais allons plus loin, dans notre investigation, de cette image présentée déjà plus haut :
Et, traduisons modestement alors le petit texte de droite :
" Le lecteur notera l'étrange "rayure" de la surface lunaire de la photo attenante. Elle traverse clairement des formations rocheuses, et au bout de la partie rectiligne sur la gauche, il semblerait qu'il y ait une courbure, et l'ensemble donc s'apparente à une canne de hockey . La longueur de la partie rectiligne, est estimée à 29 km ".
Rappelons, à toute fin utile, que finalement la partie gauche de la rayure en question, qui est en forme de tranchée (car il s'agit bien de cela et les puissants ordinateurs de notre époque eux, vont le démontrer assurément, et même nous en déterminer la profondeur), nous montre aussi très nettement, (on l'a vu déjà plus haut), une figure étrange, en forme de F, qui apparaît admirablement sur la gauche du tracé rectiligne, telle que :
On sait que cet F mesure près de 1;7 Km de haut, et donc
et ce n'est donc pas de simples amateurs qui l'ont réalisé.
Tout cela pour nous bien sûr, est le signe de l'authenticité, de cette extraordinaire photo, mais que de plus, si l'on analyse l'aspect général de l'image, on découvre, que la fameuse tranchée, a une coloration semblable à celle de son environnement, et nos puissants ordinateurs actuels, le constateront aisément.
Mais alors, cela signifie que le temps, a déjà fait ici son œuvre, sur la région pendant des siécles, ou plus, car, (on le sait bien), l'érosion du sol est peu actif sur la Lune à cause de l'atmosphère minime qui y règne.
Ah si le Paris-Match n° 287 de Septembre 1954, avait osé, nous
montrer, ce que l'on sait être désormais, la super découverte, faite 6 Mai 1954 par le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane dans la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune, on verrait tout de suite la différence de coloration de la tranchée en question.
Comme vous le voyez, encore une fois, ce Paris Match, a vraiment à l'époque loupé le coche, qui aurait pu ouvrir notre esprit, bien plus largement à la connaissance de la Lune et de celle notre système solaire.
Si l'on démontre, que cette image est authentique, comment alors expliquer que les cosmologistes qui étudient notre environnement spatial n'aient pas bougé le petit doigt, (notre article : Concisionlexicale.html, en parle dès le 07/10/2014), pour faire un simple débat officiel à ce sujet, sur les plateaux de télés qui ont pignon sur rue, et télés qui préfèrent, nous inonder de photos dérisoires, alors que celle-là, concerne évidemment le merveilleux Passé de la Lune et surtout celui de la Terre, qui lui est obligatoirement lié...
De plus, ce serait, la preuve absolue, que l'on
nous cache en très Haut Lieu,
l'existence des Aliens, qui fréquentent la Lune depuis des siècles, et qui, bien sûr, viennent inconnitos sur notre planète, exactement comme les messagers, qui sont venus à l'époque, avertir le patriarche LOT, de la destruction de Sodome et Gomorrhe dans l'Ancien Testament (Genèse 19.1-29). Point à la ligne...
Et à bon entendeur, salut !
Mais ce 05 Novembre 2019, poursuivons toujours dans notre 6e focus, les tenants et les aboutissants de cette super affaire de tranchée ancestrale sur la Lune et selon nous, image parfaitement authentique, surtout malgré
le silence mortuaire, que l'on lui a accordé depuis 5 ans an moins date de notre premier article, qui en parle.
Mais dit-on, "comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", faisons alors ici pour le novice qui découvre par cet exposé, la plateforme ARTIvision, une digression très importante, déjà connue bien sûr, de nos amis du Web :
En effet, nous n'avons pas été, particulièrement étonné par cette information que l'on peut trouver à la page :
ISRAEL-et-son-Satellite.jpg>
Cette sonde lunaire, (on le sait), est devenue totalement muette, en approchant du sol lunaire, et donc on ne sait pas, si elle a pu toucher ce sol,
en douceur ...
En effet, compte tenu , des dernières découvertes, faites sur la Lune, déjà vues dans nos volets sur ARTE :
>
, nous pouvons alors affirmer que le Passé de notre Terre, est beaucoup plus fantastique, que ne sauraient l'imaginer nos meilleurs auteurs de Science Fiction.
Mais, pour mieux saisir le fin mot de l'affaire, relisons alors, en page 117, ce passage clef de la Bible de DHORME de 1956 où, il affirme qu'il croit à un pluriel de Majesté, dans l'Ancien Testatment :
Ce passage, est très important, puisque Dhorme, nous y montre, qu'il a été particulièrement embarrassé, pour traduire le super passage en Genèse Chap.XXXV vers.7, où apparait, sans détour, la pluralité de ces entités cosmiques nommées Elohim. Mais, il a très courageusement, résolu l'affaire en expliquant cela en bas de page, par la
note n° 7 vue ci-dessus :
Le site ARTivision pense alors que si Israël a lancé récemment le
satellite Berechit, premier mot de l'Ancien Testament, cela ne peut qu'être que pour chercher en douce, l'origine culturelle et physique fondamentale du peuple juif, origine assez bien esquissée par
l'ouvrage suivant :
Ouvrage qui donne un aperçu très rapide de l'incroyable verset Genèse
Ch.3 ver. 22 tel que :
" Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous"
Nous avons longtemps attendu en effet, que des spécialistes en hébreu nous disent,
que l'interprétation d'ARTivision de
ce verset 22 du chap. 3, était inexacte. Mais
ce fut le silence assourdissant de la pierre
tombale...
Nous allons démontrer une fois de plus ici, noir, sur blanc, que puisque de plus, certaines bibles écrivent même "l'un d'entre nous", que ce "nous", ne peut d' aucune manière, être qualifié de pluriel de majesté, car dans ce cas Iahvé l'Elohim aurait dit "Voici que l'homme est devenu comme Nous". ( le Nous ayant on le voit, une majuscule, bien que l'on sache qu'en hébreu, il n'y a pas de
majuscule, comme en français).
En effet, prenons un exemple plus pratique :
Si, Louis XIV, ce super roi de France du XVIIe siècle, voulait parler du château de Versailles, il dirait, par exemple : "Nous avons décidé, de construire le château de Versailles pour la gloire de la royauté ",
mais jamais, il ne dirait : "L'un de nous a décidé, de construire le château Versailles pour la gloire de la royauté "...
Il est donc ici, évident que Iahvé ne s'adresse pas à Adam, ni à Eve, car il aurait dit : "Te voilà devenu comme Moi", ou, s'il se parlait à lui même en aparté, il aurait dit " Voici que l'homme est devenu comme Moi " , mais s'il dit : l'un de nous , c'est parce qu'il s'adresse bien, à d'autres Elohim, comme lui même, présents à ce moment là, dans le Jardin d'Eden. Point à la ligne...
Notons cependant que la Bible de l'Alliance Biblique Universelle (A.B.U), contourne très astucieusement la difficulté, en proposant la traduction :
"Voilà que l'homme est devenu comme un dieu".
(Notez bien la minuscule à dieu)
et le "nous" en hébreu :
, nous est est resté jusqu'à
présent, en travers de la gorge, bien qu'il soit très éclatant dans le texte dit sacré
de l'Ancien Testament.
Finalement le mot, le plus dramatique de
l'histoire, ce n'est pas seulement le
nous, mais c'est surtout le l'un, car
s'il y a l'un, quelque part, il y a aussi
l'autre, ailleurs...
Fin de la digression.
Revenons maintenant de cette incroyable affaire du Paris Match 1028.
On sait déjà que Paris Match avait à l'époque emprunté à l'Agence World Book Science Service, un précieux négatif (Mais personne, à l'époque, ne savait, ce que ce négatif contenait de très précieux), et négatif, qui a magiquement disparu par la suite, et est devenu totalement
est introuvable.
Voici d'abord la preuve, que cette agence est bien mentionnée, au bas de texte de droite, de l'époque, publié en page 29 du n° 1025 de Décembre 68 de Paris Match :
Donc dans cette affaire Paris Match n'a été qu'un support intermédiaire, très fortuit...
Mais revenons à notre agence World Book Science Service. Elle a alors disparu comme par enchantement, et il est de la plus haute importance, qu'un journaliste intrépide et surtout curieux, retrouve ce que sont devenues les archives de cette agence, car en effet, c'est cette Agence qui fournira aussi à Paris Match, quelques jours plus tard, le stupéfiant document, déjà présenté plus haut, possédant, une remarquable portion de la face cachée de la Lune, paru en pages 32 et 33 de son désormais incontournable n° 1028 du 18 Janvier 1969, qui allait poursuivre plus amplement la narration de ce mémorable voyage bidon d' Apollo 8, tel que :
et dont, voici plus clairement, le texte en question :
Mais, c'est peut-être ici le moment de reprendre quelques épisodes surprenants, qui touchent de près cette incroyable affaire reliée à un cliché très saugrenu, que l'Agence World Book Science Service, aurait refilé en début de 1969, à la revue Paris-Match et cliché qui a disparu comme par enchantement de la circulation, comme d'ailleurs l'Agence elle-même.
Ce cliché introuvable jusqu'à présent, qui devrait ressembler à ce qui suit, sans les flèches d'alunissage d' Apollo 11 :
poursuivons notre analyse des photos de la mystérieuse Agence World Book Science Service, et voici une photo de cette agence, qui fut publiée par le Paris Match 1027 du 11 Janvier 1969, (sorti bien sûr, après le retour des cosmonautes d'Apollo 8, le 27 Décembre 1968), et dont voici seulement une partie de la couverture en raison de largeur trop petite de notre scanner :
Au bas de cette image apparaît la mention, qui nous interpelle bien sûr :
" En couleur, les photos les plus bouleversantes jamais faites "
Disons d'abord, que nous serions très curieux de savoir, si étant donnée la courbure de la Lune présentée, est-ce que le diamétre du globe terrestre montré, est conforme à la réalité, et s'il n'est pas trop petit, montrant ainsi qu'il ne s'agit que d'un piètre montage photographique, mal calibré à l'époque, d'autant que dans le même dossier spatial de ce Paris Match 1027 (qui est incontournable pour étudier de l'affaire d'Apollo 8 ), il y a aussi sur 2 pages, cette image, dont nous vous donnons que la moitié, (en raison de notre petit scanner), et où l'on voit
la Terre, bien plus grosse :
Merci d'avance, aux spécialistes de l'espace, ayant des ordinateurs puissants, et qui pourraient très aimablement, nous en dire plus, à ce sujet...
En second lieu, visualisons quelques images des pages centrales détachables, de ce Paris Match 1027 :
Cette revue, nous offre en effet, un super dossier central de 16 pages, concernant l'épopée d'Apollo 8 et surtout un texte concernant les prospectives pour Apollo 11, et dossier intitulé :
Voyons maintenant le bas de l'image ci-dessus :
Vous avez bien noté en violet, l'expression gonflée d'orgueil "Conquête de la Lune", utilisée par le journaliste blasé de l'époque.
Il nous parle aussi de 1500 photographies obtenues par Apollo 8 , et on aimerait aussi savoir pourquoi ce dossier de 16 pages, ne nous montre pas une seule photo de la face cachée de la Lune, alors que jusqu'à présent nous n'en connaissions, que deux très passablement floues :
Ne trouvez-vous pas bizarre, que dans les 16 pages du dossier, il n'y a pas eu une petite place, pour une photo de la face cachée ?
Voyons maintenant ce que l'on trouve en page 4 et 5 du dossier en question :
Sur ces deux pages en haut on trouve ceci :
" Dans cinq mois , deux hommes pilotant debout un étrange insecte,
se poseront sur la Lune."
En bas de la page 4 on trouve alors ceci :
qui montre bien le caractère dangereux de la mission, mais voyons ce qui suit en page 5 bis :
On voit bien, que l'image présentée, nous vient aussi de l'Agence World Book Science Service .
Mais, il y a aussi cette affirmation du journaliste
Jean Paul OLLIVIER :
" ... et ils seront livrés sans recours à un monde désolé sans atmosphère respirable."
Ce journaliste blasé, n'avait évidemment pas lu, les ouvrages de
George Adamski et d'Howard Menger, qui disent tout à fait le contraire :
Mais, ce
6 Novembre 2019, pour avancer tant soit peu, dans cet exposé, concernant l'Agence
World Book Science Service, il nous appartient de partir d'abord du site :
et d'en extraire en premier lieu, cette image :
Ce Monsieur,
Delmar BORER, aurait pu être assurément, à l'origine de la création de
l'Agence World Book Science Service, dont nous avons parlé plus haut.
Poussons plus avant l'investigation :
ll semblerait donc que cette agence ait pris corps, autour de
1965, et nous demandons
avec déférence, à l'internaute qui sait comment elle fonctionnait, en
1968 ( Directeur, siège, son lien avec la NASA.., date venue après, de son sabordage... etc...), de nous en toucher deux mots...
En effet, voilà
une agence qui avait vraiment pignon sur rue, à l'époque des années 1965 et suivantes, et qui a disparu
souvereinement comme par magie, juste après les
"exploits",
des premiers Apollos. Avouez, qu'il y a de quoi
flipper, sur
cette affaire très saugrenue.
Mais, rappelons aussi,
à toutes fins utiles, que
le Webmaster, de la plateforme
ARTivision, a constaté avec surprise, que
rien ne se faisait par hasard, sur ce
site,
(libre à vous de démontrer, que c'est par pur hasard, que nous avons découvert un jour de 1983, dans une vieille malle, à 600 m de chez nous, l'ouvrage condensé de de I.I. Hayes de 1877 suivant :
, et ouvrage qui décrit admirablement, un phénomène polaire au Nord de notre planète, et qui est aussi visible au Pôle Sud.(voir plus bas)).
Donc, cet article concernant
certaines lacunes regrettables de la revue Paris Match, n'est pas un texte médiatique ou journalistique,
(comme certains détracteurs le considèrent sans doute), mais, c'est plutôt,
une sorte de causerie, au clair de Lune, au pied du volcan tropical
La Soufrière, où nous habitons, et
causerie, telle qu'elle avait lieu
autrefois, quand le modernisme n'était pas entré dans les mœurs.
Le site
ARTivision, ne fait que transcrire
certains documents rares et rès étranges, qui n'ont pas vu, après leur premiere diffusion,
le moindre petit débat des journalistes et des éditorialistes des principaux médias, qui ont pignon sur rue, comme d'ailleurs aussi, il en a ette de même concernant d'autres
consorts intellectuels, psychologues, philosophes, sociologues etc,, qui aiment arpenter, les
lumineux plateaux des télés en vogue.
Cela fait en effet plus de
60 ans, que le Webmaster du site
ARTivision, a entrepris des recherches qui tendent à prouver que le
"Passé de la Terre", est beaucoup
plus fabuleux, qu'on ne saurait l'imaginer.
Par exemple, voici,
parmi tant d'autres, un texte surprenant confirmant ce
cursus fantastique de la planète Terre, et texte tiré du
Science et Vie n° 505 d'Octobre 1959 :
et voici deux pages, rapprochées par nos soins, de l'article en question :
En effet, certains documents que nous possèdons, si l'on sait
lire entre les lignes, invitent
notre esprit, à se poser
des questions notoires, sur des
phénomènes incroyables,
absolument occultés par nos pontifes culturels, bien assis dans la socièté "
moderne" actuelle...
Autre exemple, ce n'est pas du tout
pour la frime, que nous vous avons présenté, plus haut
cet ouvrage surprenant :
où l'auteur
(aussi villipendé par des ignares bien-pensants, que le sieur Adamski ) , affirme au début de la page 150, qu'il est passé en soucoupe volante
au large du Soleil tel que :
,et qu'après traduction cela donne :
"Ma première réaction, quand je me levai, fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir où nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boule rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi, il n'était pas brillant. "
Admirons alors
la modestie remarquable, de cet
Howard Menger, car il aurait
très bien pu,
occulter ce fait, dans son livre.
Cette traduction est tirée, de l'ouvrage que nous avons acquis
à Lyon en 1966, tel que :
paru aux Editions
DERVY-LIVRES en Juillet 1965.
Pour en savoir bien plus, sur
notre Soleil qui d'après ce qui précède,
ne serait pas du tout brulant, voir alors
notre article clef, sur cette
étrange affaire :
Voici maintenant un document qu'il convient de lire et de relire tant il sort de l'ordinaire : C'est le
n° 510 du Science et Vie de Mars 1960. Voici sa couverture :
et à la page 41, on trouve ceci de
très surprenant :
Donc la revue
Science et Vie, bien connue, nous présente ici
un événement extraordinaire, qui, chose bizarre, à notre connaissance,
n'a plus jamais été repris par la suite dans les colonnes de cette revue, à savoir le fait que
les savants soviétiques ont pu visiter, ce que la revue appelle
l' "Oasis" de Benguer (Notez bien l'écriture du mot avec un "u", et notez surtout les guillemets qui prouvent que le rédacteur de l'article ne pense pas qu'il puisse s'agir d'une véritable Oasis),
500 km carrés, nous dit-on pourtant,
de sol complètement libre de glace, une
température de 25°(voisine donc de la température moyenne de notre île de la Guadeloupe), des lacs et des cours d'eau, une maigre végétation de lichens et de mousse,
des oiseaux de plusieurs espèces. Notez aussi
la prétendue explication qui, devrait être capable de nous faire croire, qu'une température plus basse que
-80 degrés, peut passer d'un coup à plus
+25 degrés par
uniquement la présence de barrages naturels et l'action adoucissante de l'océan...
Voilà donc, que l'on apprend, dans une revue , qui s'écrit actuellement "
Scienc&Vie"
(qui se veut sérieuse), qu'il existe bien, au
Pôle Sud, une zone "
paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient pas hésité une seconde pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère
bien sûr, tout le nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Puis après, ce fut
motus et bouche cousue, du journaliste
Paul-Marie de Gorge , qui avait élaboré si majesteusement cet article.
Ceci nous montre clairement que nous sommes bien dans cette affaire,
les dindons de la farce, exactement
comme on nous le fera croire en 1963, dans l'assassinat du Président
John Fitzgerald Kennedy. Voir alors notre article :
Mystifications.html.
Mais voici
la gerbe très fleurie, transcendante finale, de ce jour :
Cette époque n'est pas
ordinaire .
Contemple le déploiement du plan vaste et splendide de La Source
Voici le temps des changements les plus merveilleux ;
sois donc préparé à n'importe quoi à tout moment.
Il n'y a rien
d'accidentel ni d'hasardeux dans ces rassemblements d'âmes
qui se font en ce moment en vue de l'énorme travail à venir.
Il y a un plan
très défini qui est en train de se déployer ;
déploie-toi avec
lui ! Ne crains rien, bannis toute peur.
Reconnais la main de La Source en toute chose;
vois la perfection
de tout cela et rends-en grâce éternellement !
Sois prêt et aie la volonté d'accepter tes responsabilités.
Cette vie n'est pas pour les tire-au-flanc
ou les âmes qui ont peur des
responsabilités.
Le Nouvel Age demande force, courage et
dévouement,
ainsi qu'une foi
et une croyance dures comme du roc.
C'est une merveilleuse aventure, et donc l'esprit
d'aventure
est exigé pour s'y lancer et en faire partie.
Avance avec tout
ce qui arrive, tranquillement et paisiblement,
sans aucune tension, car tout est très, très bien.
La petite
voix : Eileen
Caddy. Le Souffle
d'or (1994).
Méditation pour le 6 Novembre, après
adaptation d' ARTivision
Dur... Dur, à encaisser, n'est-ce pas...ce langage de philosophie cosmique, du Maitre de Findhorn, qui semble expliquer tous ces fantastiques événements actuels.
Restons donc ZEN, et ouvrons le bon œil si possible, et puis alors...
"Advienne que pourra, et Qui vivra verra".
Mais ce 11 Novembre 2019, jour historique pour le pays, nous voilà déjà entrain d'élaborer notre septième focus, qui ne manquera pas assurément de provoquer des grincements stridents de molaires chez les cosmologistes blasés et aussi chez les journalistes à la petite semaine et autres intellectuels flegmatiques qui adorent suivre la politique de l'autruche, que nous présente, si bien, cette image connue :
tiré de L'ouvrage "A identifier et le cas ADAMSKI" de J.G.DOHMEN 1972 )
Paradoxalement c'est une revue ufologique, bien assise sur la place médiatique, en vente en Juillet-Août 2018, qui nous a suggéré ce septième focus:
Septième focus.
Voyez donc dejà cette couverture de la revue en question à gauche, et à droite une portion, du texte en page 43, qui a fait tilt chez nous :
Nous avons écrit à cette revue le Samedi 28 Juillet 2018 à l'adresse : mariostirbin@outlook.fr, et malgré les inmportants documents incontournables fournis au rédacteur en chef, nous n'avons reçu jusqu'a présent aucune réponse.
Mais ce que le Rédacteur en chef, de cette revue, ignorait, c'est que la politesse la plus
élémentaire était de nous dire, au
moins, qu'il avait reçu notre missive, sans rien y ajouter de plus.
Mais à ce moment là,
il nous reste, la possibilité et le droit, d'utiliser dans ce cas,
ce que l'on pourrait
nommer, la botte de Nevers d'ARTivision, par analogie avec le célèbre roman de cape et d'épée de Paul Féval, de 1858 "Le Bossu", où il est
précisé clairement :
"...et, quand il sera
temps, si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi !
"
Voir en effet, à ce
sujet nos articles révélateurs, concernant
l'observatoire astronomique Keck
dans les iles
Hawaii
:
et en
anglais :
Mais revoyons l'image précédente, et à droite, il y a le contexte très précieux qui nous parle des qualifications officielles de l'astrophysicien americain Robert Jastrow qui a quitté ce monde le 8 Février 2008, à 83 ans.
Hélas, il est parti trop tôt, avant que le Webmaster du site ARTivision, n'ait pu le contacter, et l'on va voir ci-dessous, l'inconvénient majeur, que cela a occasionné.
Mais disons une fois de plus, que si le Paris-Match n° 287 de Septembre 1954, avait osé, nous montrer, ce que l'on sait être désormais, la super découverte, faite 6 Mai 1954 par le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane dans la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune, des journalistes futés, déjà avertis par cette affaire d'Aliens sur la Lune, n'auraient pas hésité une seconde, à tout faire, pour contacter cet astrophysicien américain, et ils auraient assurément fait le buzz actuellement, sur le Web....
Mais lisons donc alors ce passage clef de notre vieil article du 04/12/2005 placé tel que :
" Pour confirmer tout cela, rapprochons nous, du cratère Rutherford (61°S; 9°W) sur le bord de Clavius et voici ce que l'on y découvre :
Là encore, la profusion des formes géométriques spéciales et des angles droits de la zone cerclée de rouge , ne laissent aucun doute sur, le caractère artificiel des structures que l'on y voit, et pourtant elles se trouvent clairement visible (pour les anglosaxons) page 109 dans l'ouvrage intitulé "Red Giants and White Drarfs", de Robert JASTROW publié dès 1967 chez Harper and Row Publishers incorporeted, à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016 .
Cet ouvrage fut traduit en français en 1972 sous le titre "Des Astres, de la vie et des Hommes" par les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris VIe et là non plus personne n'y a rien vu à la page 87, où se trouvent ces structures fantastiques, ce qui accrédite parfaitement la superbe phrase de Lionel Hubert : "Ce n'est pas la lumière qui manque... mais c'est le désir de voir qui fait défaut" : "les phénomènes Psi" aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61.
Mais là, le cliché dit négatif, est encore peut-être, à portée de main, car ces messieurs les historiens et autres journalistes curieux, peuvent parfaitement contacter l'écrivain Robert JASTROW et lui demander très aimablement, de sortir de ses archives ce fameux négatif. A-t-il lui-même, à l'époque pu observer ce complexe artificiel de Rutherford ? Voilà ce qui serait judicieux de déterminer en notant, avec soin, ses commentaires à ce sujet...Mais ce Monsieur Jastrow doit être actuellement très agé et donc le temps presse. "
Fin de citation.
Comme vous le voyez, une fois de plus, les prétendus journalistes et intellectuels officiels et leurs consorts zététiques de tout bord, ont encore loupé lamentablement le coche, qui est passé pourtant tout près devant leur porte, et ils s'en mordront assurément les doigts jusqu'à l'os. Point Barre....
Mais ce 11 Novembre 2019, nous allons franchement monter le niveau de notre exposé, (même si certaines répétitions apparaissent, concernant notre vieil article, en question ci-dessus), afin de confondre véritablement, les naïfs moutons de Panurge, qui se sont laissés berner par le chant hypocrite, des sirènes des Hauts Dirigeants déloyaux, de cette planète.
Allons alors directement à la découverte sensationnelle, d' ARTivision, (qui pourtant n'a fait ni chaud, ni froid, aux astronomes et consorts cosmologistes ou autres intellectuels blasés officiels, et nous espérons que là, les journalistes des chaines de télés en vogue, ne vont pas une fois de plus, fourrer la tête sous le sable (voir plus haut).
Disons alors, que pour résumer cette affaire extraordinaire,, elle consiste en la découverte d'un monolithe très structuré, et d'une arche gigantesque dans le cratère Rutherford de la Lune, sur un bord du grand cratèreClavius...
Toute cette affaire a démarré, vers la fin de l'année 2001, quand le Webmaster du site ARTivision, ( site on le sait, en priorité artistique), découvre dans sa bibliothèque, ( Merci une fois encore à Super Hasard), un ouvrage de vulgarisation en astronomie où apparaissent, dans le cratère Rutherford, de la Lune des structures tout à fait insolites, visibles à l'œil
nu, et structures qui ont été neutralisées, sur toutes les autres photos de la NASA. ( et en cherchant bien un peu, on trouverait certainement beaucoup d'autres structures de même nature. Bravo à l'infographiste curieux qui les découvrira).
Cet ouvrage, que nous possédons dès l'année 1973, porte le titre "Des Astres, de la vie et des Hommes", de l'astrophysicien américain Robert Jastrow, ( 7 Sept 1925 - 8 Février 2008), et publié en 1972 par les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e :
Et à la page 86, de cet ouvrage, on découvre cette image :
Et si nous agrandissons, la partie encadrée, on obtient en page 87:
Mais voyons cela de plus près :
Jetons maintenant un rapide coup d'oeil sur le grand cratère Clavius, où nous apercevons une étrange configuration dans le petit cratère Rutherford (61 ° S, 9 ° W).
Et voici maintenant un agrandissement de la zone cerclée de rouge :
Selon nous bien sûr, on y découvre, une profusion des formes géométriques spéciales, avec de nombreux blocs à bords parallèles et à angles droits. Tout cela ne laisse, aucun doute, sur le caractère artificiel des structures que l'on y voit, et cependant Mr Jastrow, n'y fait nullement allusion dans son ouvrage, et c'est là, pour un quidam
bien candide, vraiment, fourrer la tête sous le sable, comme l'autruche, pour n'y voir que des formes naturelles...
Cet ouvrage qui est paru en anglais dès 1967, est très connu dans les milieux de l'Astronomie anglosaxone, sous le titre "Red Giants and White Dwarfs", de Robert JASTROW, chez Harper and Row Publishers incorporeted, à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016 .
Nous avons le privilège de possèder la 3 ème édition de 1969, en version de poche, publiée par The New American library (Signet Science book Y4741) et dont voici les deux couvertures:
En page 109, on trouve alors bien sûr, la même image, et en l'agrandissant, on a :
La flèche rouge
nous indique que le complexe très structuré de
Rutherford, est toujours là. et on y voit bien une sorte d'obélisque surélévé sur une
plateforme carrée. On y voit aussi cette sorte d'arche gigantesque en suspension sur du vide, puisque son ombre, apparaît en-dessous de son extrémité comme
l'indique la flèche
bleue. Notons toujours à droite de cette arche, de
nombreux blocs à bords parallèles ou
orthogonaux .
Surprenant n'est-ce pas...que tout cela !!!
Nous avons même poussé l'audace, à commander la version plus récente de 1990, du livre de Robert Jastrow, et aussi intitulé "Red Giants and White Dwarfs", considéralement agrémenté d'images nouvelles dont plusieurs en couleur ( le cratère Rutherford y est aussi ignoré totalement), pourtant, il y figure telle que :
Et, en page 119, on y trouve aussi ceci, de déjà vu :
La photo ci-dessus est de l'observatoire du Mont Wilson, et devrait remonter à plus de 50 ans, à l'époque, on le sait, où personne ne se préoccupait de traces d'extraterrestres sur la Lune...
Le négatif de cette photo, doit bien dormir quelque part dans les dossiers de Mr Robert Jastrow, et il faut absolument le retrouver. Mais hélas, ce Mr est décédé en Février 2008, et c'est surtout lui, qui aurait pu nous dire, où avait été archivé, ce négatif.
C'est alors que, nous avons ensuite eu l'idée de demander notre ami londonien Eric Barkian de se charger de contacter l'Editeur américain Harper and Row pour savoir s'il avait gardé par chance, une copie de ce très précieux négatif :
Voici la missive que nous avons reçue de lui :
----- Original Message -----
From: Eric Barkian
To: fred.idylle
Sent: Monday, February 28, 2005 12:49 PM
Subject: Echos de mes recherches "Red Giants and White Dwarfs"
Cher Fred,
Vous m'avez contacté, le mois dernier, afin de vous aider à retrouver le négatif d'une photo publiée en 1971 dans l'ouvrage "Red Giants and White Dwarfs" de Robert Jastrow aux Editions Harper and Row.
Mes recherches se sont vite orientées vers le groupe d'Edition Harper Collins auquel j'envoyai une requête et qui m'informait, quelques jours plus tard que le groupe n'était plus propriétaire des droits d'auteurs et n'avaient donc plus le document en question en leur possession. Il m'était précisé que puisque le livre n'était plus publié, il était très improbable que le négatif existe encore et m'était suggéré de contacter le cabinet Greenbaum, Wolff & Ernst, à New york, spécialisé dans les transactions de droits intellectuels.
Mes investigations m'apprenaient que ce cabinet n'existait plus.
Il me restait, comme vous l'aviez vous même suggéré, à explorer une derniere piste: contacter l'observatoire qui avait pris la photo, celui du Mont Wilson.
Apres une rapide visite sur leur site, je leur addressai un e-mail pour leur faire part de mes recherches.
L'observatoire me conseillait de prendre contact avec L'observatoire de l'Institution Carnegie de Washington qui mettait un point final à ma recherche en m'informant que l'Institution n'avait plus de copie du négatif en question et qu'il était improbable que celui-ci existe encore.
A bientot donc.
Eric.
Comme vous le voyez, chers puristes le Maître Temps, a fait son œuvre, et il fallait hélas penser à tout cela plus tôt, surtout si l'on avait les moyens, comme certains éditorialites et groupes médiatiques qui ont pignon sur rue dans cette socièté. Mais ils préferaient à l'èpoque donc fuir les reportages conduisant à la découverte d'une dimension plus cosmique de notre humanité.
En voici un exemple, parmi tant d'autres :
En effet, plusieurs Chaînes de Télévision, n'ont-elles pas, il y a quelques temps, dépêché juqu'aux USA, des "super envoyés spéciaux", pour retrouver les méfaits d'un habile escroc qui a grugé de nombreuses personnalités importantes du Show Business, comme s'il n'y a avait rien mieux à faire que d'encourager d'autres escros, à agir davantage, encore dans le même sens, pour faire ensuite, la Une des journaux à sensation, bien que l'on sache que ce genre d'émission pourrait très modestement, servir aussi à avertir les gens encore crédules qui ont pourtant déjà été mis en garde par la presse et la radio ? Mais n'y a-t-il pas, n'est-ce pas, bien plus de sujets importants, à monter en épingle, que cette affaire d'escroc, dans ces temps difficiles de la planète ? A vous de juger !
Donc, Messieurs, les journalistes, les astronomes et consorts écrivains, et autres bibliothécaires, qui ont eu en main le livre de Jastrow en question et qui n'ont absolument rien vu concernant ces structures fantastiques de ce petit cratère Rutherford, placé on le sait, à la page 87 du livre en français, peuvent faire leur mea culpa, en découvrant la superbe phrase de Lionel Hubert dans son ouvrage : "les phénomènes Psi", aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61 :
"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais, c'est le désir de voir, qui fait défaut"
Mais, comme il n'est jamais bon d'avoir un seul son de cloche (bien que cette fois notre cratère Rutherford apparait ici, dans 3 ouvrages de 3 éditions différentes, que nous possédons), nous devons une, fois encore, remercier vivement Super Hasard, pour nous avoir permis de mettre la main, sur une autre image du cratère Rutherford, ne venant pas de la NASA....
En effet, en feuilletant, un peu plus avant, cette même revue (déjà mentionnée plus haut), de Science&Vie d'Avril 1964, dont étant donnée son importance, nous vous donnons une fois de plus, la couverture :
En arrivant alors, jusqu'à la page 69 de cette revue, devenue incontournable pour
ARTivision, nous sommes tombés à la renverse, en y découvrant une photo, pas très superbe, il est vrai, mais assez significative, de, devinez de quoi...
du cratère Rutherford, et qui de fait, est tel que :
Un spécialiste pourra dire un jour, si cette image a été retouchée ou pas. Nous n'en avons pas la capacité. Cependant faisons une petite comparaison, et voilà ce que cela donne :
Il y a beaucoup de concordances entre ces deux photos n'est-ce pas !!!
C'est alors qu'intervient, notre ami passionné des choses de l'espace, José Frendelvel:
Le 20/02/02 nous avons reçu de l'ami José le message suivant:
----- Original Message -----
From:José F.
To Fred Idylle
Sent: Wednesday, February 20, 2002 1:18 PM
Subject: Re: revelations à Clavius
Cher Fred
J'ai pris le temps de regarder de plus près
cette zone lunaire car l'impression d'une colonne
est en effet assez saisissante. Toutefois cette
colonne au centre du cratère Rutherford devrait
alors des dimensions gigantesques puisque le
cratère Rotherford fait 48 km de diamètre.
Voici la zone des cratères Clavius
et Rutherford vue par la sonde Lunar Orbiter 4 en
1967 (4-130-h3.jpg).
Cette photo correspond à peu près à la
zone encadrée de la seconde image. Clavius est
le grand cratère, tandis que Rutherford est le
petit cratère interne cerclée en rouge
pointillé.
La forme de colonne est déjà
nettement moins évidente.
Alors que la photo de Lunar Orbiter
est prise pratiquement à la verticale du lieu,
celle du Mont Wilson est prise très en biais.
Par conséquent s'il y avait une immense
colonne au centre de Rutherford, elle ne
devrait pas apparaître dirigée vers le haut,
mais vers le bas-gauche.
Voici maintenant des
photos de la sonde Clémentine en 1994.
Le cratère Rutherford est
toujours encerclé en rouge.
Il semble donc à priori que cette "colonne"soit due à un effet d'ombre.
Par ailleurs c'est en explorant ainsi
piste après piste que l'on finira par trouver
quelque chose.
Bien cordialement.
..........
Revoyons alors les images de Rutherford, vues par Clémentine de José Frendelvel :
A moins que cela soit dû à un jeu de lumières parasites, qui annulle tout relief notable, nous voyons clairement que ces deux photos de Rutherford sont totalement différentes de celle de Jastrow vue plus haut.
Le vendredi 3 Octobre 2014, nous avons reçu de notre amie très vigilante Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com
), les photo de Rutherford, prises à l'époque par Clémentine, et aussi par la sonde lunaire LRO :
Puis concernant la sonde lunaire LRO :
Jamais on ne voit le pilier central et surtout la fameuse arche, si bien caractérisée .
Cela n'a rien à voir, n'est-ce pas avec la photo de Clémentine. Voyez plutôt :
A vous de juger ces étranges différences, de formes et de structures de ces deux images.
Nous avons alors, encore ici, une preuve absolue, que l'on se moque majestueusement, de nous.
Alors, pensez-vous que la NASA soit encore crédible ?
Bravo donc à l'ami josé Frandelvel, pour les
informations précieuses et rapides qu'il nous apporte sur
le cratère Clavius et son petit
voisin Rutherford.. C'est là que l'on voit
combien l'internet est un précieux
média.
En ce qui concerne les images
transmises, nous constatons d'une part que
l'image de Luna orbiter 4, tout en montrant un
pilier bien moins structuré que celui du Mont
Wilson, présente juste à sa gauche une forme
très en relief en W évasé, tandis que l'image
de sonde Clémentine, où la résolution est plus
grande, ne nous montre plus du tout ce W et de
plus le pilier est devenu comme par enchantement
une colline aux formes bien arrondies.
D'autre part, nous avons découvert comme par hasard le 22/02/02, une autre photo de Clavius prise par un télescope de 305mm Schmidt-Cassegrain:
Bien que l'intérieur de Rutherford, soit malheureusement dans l'ombre, le bout de la flèche fait apparaître cependant une structure bizarre, jointe à une flèche pointue, qui ne semble pas être du tout apparente, sur les photos de la sonde Clémentine. Sans doute, nous dira-t-on que, c'est encore un effet d'optique qui nous cache la structure en question :
Notez bien aussi que les dirigeants du fameux télescope Hubble, ne nous ont jamais officiellement, présenté une seule petite photo de Rutherford. Si vous en trouvez une dans un petit coin ne nous oubliez pas Messieurs les journalistes curieux d' ARTE ...
A vous de juger.
Mais voici un petit plus significatif tiré du site :
http://www.astrosurf.com/iluj/5%20fevrier%202012.html
Pas besoin de sortir de Polytechnique pour voir que
là encore, le cratère Rutherford a été caviardé à souhait, et mesurons en mm, les deux cratères
Clavius et Rutherford :
Comme les résultats dépendent de l'agrandissement choisi, les mm sont remplacés par un petit
u.
Sur le site :
, on decouvre,
le diamètre de Clavius et de Rutherford :
On voit ainsi que, selon la prise de nos mesures le cratère
Clavius messure
225 km de large,
notre Rutherford mesurerait alors : (225X26)/110= 53,1818, et avec l'imprécision de nos mesures, nous arrondissons volontier à 53 km, bien que le site en question, nous donne pour
Rutherfurd (en anglais) :
75 km.
Avec nos mesures approximatives, nous en déduisons alors, pour l'arche qui donne
5 mm sur notre image imprimée, et Rutherford
15 mm : (53 x 5 )/ 15 = 17, 66 soit arrondi à
17 km, pour l'arche en question ...
Donc en conclusion,
cette arche est bien gigantesque, et ce ne sont pas de minus entrepreneurs, qui l'ont érigée... n'est-ce pas !!!
En terminant, nous avons une petite
pensée pour le regretté de Stanley Kubrick dont l'admirable film "2001 L'odysée de L'espace" nous a fait rêver
en son temps. Or le scénario de ce film est d' Arthur C. Clarke (membre de
l'Académie Astronautique, inventeur des
satellites artificiels, prix kalinga de
vulgarisation) qui avait imaginé, comme par hasard,
que c'était justement dans le cratère Clavius (qui contient Rutherford) que l'on avait
découvert un monolithe en forme de
parallélépipède, signe du passage sur
la Lune, d'une civilisation très avancée.
L'auteur a pourtant choisi, ce cratère parmi des
milliers d'autres. Comme le hasard fait bien les
choses, ne trouvez-vous pas?
Finalement tout ce qui précède,
montre de manière irréfutable, que
certaines photos des télescopes, et celles de sondes spatiales, sont trafiquées à souhait, pour les rendre totalement naturelles et
les vrais conspirationnistes sont ceux qui manipulent ces photos de la Lune pour que l'on ne sache pas que nous ne sommes que des minables, mesquins, minus (les 3 m ), vis à vis d'êtres très évolués qui pourraient comme dans les temps anciens, nous aider si l'on n'était pas devenus de belliqueux va-t-en-guerre, sous la férule des dirigeants assoiffés d'or maudit, et de gloire éphémère, de nos communautés à la dérive.
Disons aussi ici, que si l'astrophysicien américain
Robert Jastrow, n'a jamais fait allusion dans les 3 ouvrages signalés plus haut,
aux diverses structures insolites du cratère Rutherford, c'est pour une raison bien précise, car selon nous, il a dû certainement découvrir cela, en choisissant scrupuleusement les images à paraître dans son ouvrage.
Cependant, il ne pouvait en parler à l'époque, où il n'était pas du tout très prudent pour un astronome d'évoquer, la présence d'extraterrestres, autour de nous. Il a donc, si l'on peut le dire ainsi, jeter en douce "une bouteille à la mer", et c'est ARTivision, qui l'a très heureusement récupérée. Point barre...
Mais, le site ARTivision, n'est pas resté inactif à ce sujet, car d'abord nous avons contacté le 30/06/2003, les Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e, éditeurs en 1972 en français du livre, de Robert Jastrow, et nous avons hélas, fait chou blanc, car les responsables de cette maison, n'ont pas su nous dire, où se trouvait actuellement, ce précieux négatif, et pourtant notre missive possédait une très haute priorité, et nous avions bien précisé que notre recherche était de la plus haute importance. Cependant, ils n'ont même pas été capables de nous fournir l'adresse, (qu'ils ont obligatoirement connue), de l'éditeur américain du livre qu'ils ont traduit.
Ces responsables de la Maison en question, et les bien-pensants blasés actuels(astronomes, astrophysiciens et consorts chroniqueurs des choses de l'espace, qui ont eu en mains l'ouvrage en question ), et qui n'ont pas reconnu, cette admirable "bouteille à la mer", de Mr Robert Jastrow, ont donc lamentablement loupé le coche, que le site ARTivision, avait conduit juste devant leur porte, et, ils s'en mordront bientôt les doigts jusqu'à l'os, car le Temps du Grand Déballage est arrivé, et ils ne pourront même pas prendre le train en marche, et l'on sait déjà pourquoi !
Bravo tout de même, par anticipation donc, aux intrépides internautes infographistes, qui réussiront à reconstituer en 3 D, le précieux négatif en question.
Mais, pour les quidams ignares blasés du système, nous allons ci-dessous, découvrir un complément d'information, qui confirme parfaitement l'initiative bien secrète lancée en douce, par Mr Robert Jastrow avec cette superbe "bouteille à la mer" ...
En effet, pour les très irréductibles sceptiques, voici à nouveau volontairement, certaines images déjà vues ci-dessus, montrant une activité archéologique et technologique remarquable sur la Lune
Mais, nous avons vu aussi plus haut, cette image fantastique concernant le fameux cratère de Copernic de la Lune :
, image qui est tirée, on le sait dejà, de l'ouvrage, du très grand chercheur et ami, que fut Alfred NAHON, et intitulé on le sait, "La Lune et ses défis à la Science ", en 1973.
Ici, on voit clairement,
une fois de plus ,
(voir plus haut l'affaire de cet étrange bidule de Copernic, un engin excavateur gigantesque qui triture le sol lunaire (voir la structure très insolite au centre du cercle), sur un contrefort du cratère Copernic, déjà bien raboté, sur sa droite, n'est-ce pas !!!
Le 4/12/2017, nous avons eu le privilège de recevoir par internet, son livre très savant, tel que :
Et, pour ceux qui lisent bien l'anglais, il y a dans cet ouvrage à la page 251, une sublime comparaison, à la même échelle, du cratère Copernic, à deux époques différentes, et avec deux télescopes du moment. A vous de juger, les différences et d'en déduire, les raisons :
Nous avons surtout souligné en rouge, que la photo de droite vient de l'Observatoire français du Pic du Midi. Le mot "récent", pourrait signifier, une date entre 1967 et 1968. Mais cela pourrait être, une toute autre date.
Nous formulons donc ici déjà, le grand espoir qu'un courageux infographiste, pourra enfin, nous mettre en 3 D, le bidule excavateur en question, qui est, on le voit bien, tout à fait hors-normes.
Mais ces derniers temps, en fouillant dans nos dossiers, à la recherche d'une information sur le Yéti, Super Hasard, a encore marqué un grand coup.
En effet, nous sommes tombés sur un curieux article concernant la Lune, du Science et Vie n° 495 de Décembre 1958, où figure devinez quoi... le fameux cratère Copernic.
Voici d'ailleurs, les deux premières pages 98 et 99 de l'article en question :
On voit alors en haut et à droite, de la photo de la Lune, le cratère et question :
Inversons l'inage, pour qu'elle soit dans le même sens, que celle évoquée plus haut :
On observe alors le fait que le contrefort droit de Copernic est tout aussi raboté en Décembre 1958 , que sur cette photo tirée, 11 ans plus tard, du livre de l'astronome Zdenek KOPAL déjà présenté plus haut :
Rapprochons ces deux images, pour mieux voir cela :
Le Truc de copernic manque donc sur la photo de gauche, qui nous dit-on vient de l'observatoire Wilson qui on, le sait est situé en Californie :
Il serait donc utile n'est-ce pas, de savoir à quelle date exacte (avant Dec 1958) le cliché de gauche a éte pris à cet pbservatoire Wilson ? Comme vous le voyez, sur ARTivision, chaque petit détail a son importance , et doit être exploré à fond, pour en tirer sa substantifique moelle, en temps utile..
Tout ce qui précède, selon nous bien sûr, met au pied du mur, toutes sortes de conféries religieuses ou pas (jihadistes décérébrés belliqueux et va-t-en-guerre qui préfèrent tuer leurs compatriotes pour des idées stupides et anachoniques), prenez en donc, de la graine, car vous êtes exactemement, au même niveau que deux tribus amérindiennes voisines d'Amérique du nord, ( par exemple les Sioux et les Comanches), qui s'entretuaient à l'époque de Christophe Colomb, à l'aide de flèches bien aiguisées et empoisonnées, pour une vulgaire et futile question de zone d'influence, ou d'une insignifiante limite territoriale.
C'est alors qu'arrivent, à leur plus grande stupéfaction, ceux appelés au Nord, pudiquement les pionniers, et au sud les conquistadors, munis de chevaux effrayants, de canons tonitruants, et de fusils qui tuent à de longues distances, et envahisseurs qui chassent sans remords les belligérants, dont nous venons de parler, pour s'emparer de leurs précieuses terres, faisant l'objet des litiges mineurs, évoqués entre les deux tribus.
Que pensez-vous qu'il arriva ? Croyez-vous vraiment que ces amérindiens vont continuer à se battre entre eux, sous le regard cynique et amusé, de leurs envahisseurs ?
Nous pensons au contraire, que ces deux peuples amérindiens vont vite s'unir pour faire front, sans doute hélas d'une manière dérisoire, à la nouvelle menace venue de l'Est....
Mais, sachez, Messieurs les quidams, de toutes obédiences religieuses, politiques, économiques, militaires, et autres consorts va-t-en-guerre ou anarchistes blasés, que vous vous disputez pour des niaiseries et des miettes, et qu'il ne vous reste que, très peu de temps, pour agir dans le même sens que ces améridiens, et vous allez vite, savoir pourquoi !!
Mais ce 15 Novembre 2019,
nous sommes pratiquement obligés d'élaborer ici notre huitième focus, qui ne manquera pas assurément, d'être encore plus révolutionnaire, que le précédent.
Huitième focus.
En effet, nous avons eu, le 13 Nov. au soir, l'opportunité, de visualiser à la télé, le documentaire à prétention scientifique suivant :
Ce documentaire, nous rappelle aussi, ceux là :
Nous avons déjà, depuis belle lurette, parlé de cette cette affaire évoquée au debut de ce documentaire, concernant les sœurs jumelles de la Terre, où la vie aurait pu, de même, se développer comme chez nous.
Ce concept, on le sait
, a depuis des lustes été évoqué par certains astronomes sous la domination de "La pluralité des mondes habités".
Voyez vous-même, cet ouvrage de l'astronome Camille Flammarion de 1868, que l'on peut consuler sur le site : (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k246240.texteImage)
Si, pour nos savants actuels, c'est désormais une chose quasi certaine, que la vie existe ailleurs dans l'immencité de l'univers environnant observable (Certains affirment, par exemple, les Ummites, qu'il existe, d'autres univers, qui nous sont actuellement totalement voilés), il n'y a pas si longtemps, des astronomes, à l'égo démesuré, disaient l'inverse.
Nous avons en effet, le privilège de possèder, le n° 108 de Février 1956, de la revue Sciences et Avenir, dont voici la couverture :
Mais voyons, maintenant, les pages 52 et 53 de notre Sciences et Avenir, en question :
et puis, faisons un flash, sur ce passage significatif :( déjà présenté plus haut),
Cette image, nous montre d'abord la calotte polaire de Mars qui brille comme une étrange casquette, alors que la zone tout autour, est dans le noir. Nous expliquerons cela, plus bas, bien sûr et là, certains bien-pensants égocentriques, vont carrément mordre la poussière...
En dessous de l'image de Mars, comme vous le voyez, un astronome britannique, bien connu, , nommé Arthur Eddington,
décédé à Cambridge le 22 novembre 1944 à l'âge de 61 ans, n'avait pas hésité à écrire,
(hélas on ne dit pas où et merci à l'internaute béni, qui trouvera où ...) : Peut-être dans "The Nature of the Physical World", en 1928.
" qu'il croyait assez volontier que notre humanité pouvait être la seule à contempler les beautés de l'Univers".
Mais bien que cette affirmation, remonte autour des années 30, il fallait une bonne dose d'orgueuil, pour arriver à cette conclusion, et nous pouvons maintenant affirmer, que ce Mr Arthur Eddington évolue desormais dans une autre dimension, où, il peut appréhender bien mieux, directement, la conscience, de l'aspect fanstastique
de l'Univers .
Faisons d'abord ici une certaine digression très significative, quant à l'esprit de certains savants, qui tiennent, ces temps-ci, le haut du pavé, de la connaissance scientifique :
Le 20/06/2013, nous avons aussi traité ces sujets très philosophiques:
- La science se limite-t-elle à constater les faits ?
- Interprète-t-on à défaut de connaître ?
- La raison peut-elle comprendre le réel ?
Voir notre article : , dans notre article :
Et finalement, nous sommes arrivés à la conclusion que :
"La science orthodoxe se limite souvent à constater les faits ...et elle les interprète historiquement, à sa convenance, à défaut de les connaître ".
Nous avons aussi, exprimé le fait que, si, l'on pourrait définir assez facilement et philosophiquement, ce qu'est la raison, il n'en était pas de même, du réel, qui se montre toujours plus complexe et souvent très difficile à saisir (voir l'article en question).
Et mieux encore, puisque nous sommes alors dans le contexte philosophique du Bac 2013, il ne nous reste ici, qu'à mettre en exergue, une fois de plus, la célèbre phrase d'Hamlet de Shakespeare :
"Il y a plus de choses au Ciel et sur Terre, Horatio, que n'en rêve votre philosophie."
Rappelons aussi qu'il y à peine, 4 siècles et des poussières (Certaines constructions découvertes sur la Lune sont bien plus anciennes que cela... Voir plus haut), que le 5 Mars 1616, la sinistre l'Inquisition, a mis à l'index le système de Copernic, qui expulsait la planète Terre, hors de sa position privilégiée au centre de l'Univers, et niait ainsi le Géocentrisme prôné par Ptolémée du 2ème siècle après J.C.
La condamnation du système de Copernic, (on le sait bien déjà, voir, par exemple ARTE5), fut ainsi rédigée :
"Le Saint-Office considère qu'affirmer que le soleil est immobile au centre du Monde est absurde, faux, hérétique, et nettement contraire aux Écritures. De même affirmer, que la Terre n'est pas le centre du Monde, qu'elle n'est pas immobile, et qu'elle tourne sur elle même, est une opinion absurde et erronée du point de vue théologique" .
On sait maintenant que tous les mots péremptoires prononcés, ci-dessus, dans cette déclaration officielle du Saint-Office, sont archi faux, si l'on prend notre Soleil comme centre de référence.
Mais l'on sait aussi que tout est relatif dans le contexte planétaire qui nous préoccupe en ce moment.
Faisons ici une petite et utile parenthèse, concernant la relativité des actions humaines :
De nombreux médias innocents, ont profité du 50e anniversaire du prétendu débarquement lunaire des americains en Juillet 1969, pour parler en France du 21 Juillet à 4 h 56 du matin.
Seulement aux Antilles, où nous habitons cet "exploit" a eu lieu 20 Juillet 1969, exactement à 22h56, quand le nommé Neil Armstrong, aurait fait un premier pas sur la Lune, en prononçant, sa phrase célébre :
" Un petit pas pour l'homme...etc...".
Donc pour rester impartial et mettre tout le
monde d'accord, les chroniqueurs de l'événement ne devraient tenir
compte que du méridien de Greenwich, en ne parlant que du 21 Juillet à 2h 56 GMT.
Tout cela, nous prouve bien la relativité des choses dans ce monde, et que nos démontrations sont en rapport direct avec le système de référence dans lequel, on est imbriqué.
Mais allons encore plus loin maintenant, dans cette affirmation :
On pourrait actuellement
avec bien sûr, l'aide de puissants ordinateurs,
trouver les équations complexes qui feraient de la Terre,(les équations seraient bien sûr très compliquées), un système central de référence, vis à vis du Soleil, de la Lune et des autres planètes. On pourrait ainsi parfaitement prévoir les
diverses éclipses et autres phénomènes cosmiques et dire ainsi fièrement, que nous avons rétabli avec bonheur le Géocentrisme prôné par Ptolémée du 2ème siècle après J.C, et dont le principal ouvrage intitulé l'Amalgeste restera, pendant près de 14 siècles, le recueil de référence pour
les astronomes. Point à la ligne...
Fin de la digression.
Pour illustrer tout cela bien mieux, disons alors, que la rédaction du journal France-Antilles du Samedi 12 Février 2011, a dû se frotter les mains de satisfaction, en nous présentant, très en évidence, cet entrefilet :
Mais, il n'est pas besoin ici de démontrer plus avant, que chacun situe son appréhension des choses et ses priorités en fonction de
ses préocupations
immédiates. Cependant, il arrive souvent que
quelques temps plus tard, (Pour la Bible et d'autres textes dits sacrés, il a fallut cepedant, attendre des siècles), ces préoccupations se révèlent n'avoir été que
des futilités, qui
n'apportaient rien à la compréhension de
notre environnement et à notre intégration dans la communauté humaine
de cette planète en grande
évolution.
Pas besoin donc, d'être sorti de Polytechnique, pour admettre que s'il existe dans l'univers des soleils en plus grande quantité que les grains de sable de la Terre, il est fatal qu'il existe encore plus de planètes tournant autour de ces soleils et donc qu'il existerait des sœurs jumelles à notre Terre par millions. Or dès la fin du XVIe un certain philosophe, théologien, humaniste, poète, peintre auteur de théatre, imprimeur , astromome , alchimiste... qui a publié près d'une centaine d'ouvrages, et nommé Giordano Bruno, affirmait déjà, que l'univers était infini et contenait sans doute ce que nous appelons des galaxies, qui pourraient être peuplées comme la nôtre.
Ce Giordano Bruno, fut, on le sait aussi, brûlé vif en l'an de Grâce 1600, (donc déjà 16 ans plus tôt avant le communiqué officiel du Saint Office en question), par la Sinistre Inquisition, pour ses idées tout à fait admises actuellement, mais qui étaient hors-normes pour son temps...
Dessin tiré du n°13 de la revue Maths&malices Sept-Oct 1993
Ce dessin pourtant admirable est incomplet, car les tortionnaires de l'Inquisition ont en plus, traversé la langue du supplicié d'une tige métallique, pour bloquer ses lèvres, et l'empêcher de hurler ses dernières volontés.
Mais, (On le sait aussi, et on évite soigneusement d'en parler dans la sphère réligieuse en question), que ce Giordano Bruno, n'a jamais,
à notre connaissance, été réhabilité, ou même canonisé, ce qui n'aurait pratiquement rien coûté moralement actuellement, à l'Église qui l'a brulé.
Certains bien-pensants zététiques et consorts intellectuels blasés, vous diront vite fait :
"Vous oubliez simplement, le fait qu'en l'an 1600, c'était la préhistoire de la démarche scientifique, et que maintenant, on a des moyens plus avancés, pour découvrir les lois de la Nature, et que de plus, l'on ne brule plus les gens pour imposer une idée... "