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Quand les "performances", de certains télescopes, nous interpellent prodigieusement.


I Introduction.

             Nous avons été grandement surpris, en recevant, vers la mi-Avril 2010, le n° 48 d'Avril 2010 de la revue TOP Secret. En effet, cette revue présente un article sur la Terre creuse en citant élégamment ARTivision, et c'est pour cela que nous avons placé sa couverture sur notre Page de Garde :


     Cependant aussi, en page 9, on trouve ce surprenant entrefilet, que nous avons structuré en deux colonnes au lieu d'une :


     Mais c'est la date citée du 25 Février 1992, qui nous interpelle grandement. En effet un certain astronome nommé Bazea, (toute information à son sujet serait la bienvenue) nous dit qu'à l' aide du grand téléscope de 10 m de " l'observation " des Andes, (il eu été préférable de parler de l'Observatoire des Andes), il avait le 25 Février 1992, découvert la disparition des artefacts des Apollos du sol de la Lune. Or d'après Wikipédia, ce n'est qu'en Mai 1998, que le premier télescope du VLT du Chili fut opérationnel et on a enregistré sa première lumière. L'année suivante le second télescope est inauguré. Le président de la République du Chili, Eduardo Frei, inaugure officiellement le VLT le 5 Mars. Ce n'est qu'en 2001, que tous les télescopes principaux furent opérationnels.

     Mais il se trouve justement que le 2 Juillet  2002, nous avons reçu cette missive très importante, d'un aimable internaute :

----- Original Message -----
From: Antoine B...
To: VallieresChowy@aol.com
Cc: opiomm@ASTRO.UMontreal.CA
Sent: Tuesday, July 02, 2002 9:34 PM
Subject: Re: Bon Dimanche


     On Sun, 30 Jun 2002 VallieresChowy@aol.com wrote:

> Comme vous le savez, il y a des personnes qui ne croient pas au fait que l`homme ait marché
> sur la Lune. Pourrai-je savoir, si avec le téléscope Hubble, il est possible de
> voir le module lunaire et les autres objets, laissés la-haut pour finalement
>  clouer le bec, à ces sceptiques, pour toujours ?
>
>
>             Merci d`avance

>             Antoine B.....


     RENE VALLIERES

      Il s'agit d'une bonne question. Voici quelques explications pour vous
aider à repondre à vos amis qui ne croient pas aux histoires de la NASA.

Premièrement, sur le site OPIOMM, comme vous l'avez surement remarqué,
nous avons des images à haute résolution de la Lune. Ces images ont été
prises à l'aide du télescope du Mont Mégantic dont le miroir principal a
un diamètre de 1,6 mètres soit légèrement inférieur à celui de Hubble. La
plus grande différence entre Hubble et Mégantic est que le premier est
situé dans l'espace ce qui fait que la qualité de ses images n'est pas
détériorée par l'atmosphère terrestre. La résolution de nos images ne peut
donc pas atteindre celle du télescope spatial. Quand meme, nous avions une
résolution inférieure (donc meilleure) à 3 secondes d'arc (1 degre est
subdivisé en 60 parties que l'on nomme minutes d'arc -- le terme "arc"
sert à distiguer les angles de la mesure du temps -- chaque minutes peut
également être subdivisé en 60 secondes. Donc 1 seconde est 1/3600e de
degré et, par conséquent, 3 secondes est 1/1200e de degré)
.

      À la distance de la Lune (385000 km) un angle de 3 secondes d'arc
correspond à une largeur d'environ 5,5 km. Ceci veut dire que tous les
détails qui ont une largeur plus grande que 5,5 km peuvent être
clairement distingués sur nos images à haute resolution. Malheureusement,
le module lunaire de la mission Apollo ne faisait que quelques mètres de
large. Mais encore une fois, Mégantic n'est pas Hubble!

      Le télescope spatial Hubble (un diamètre de 2,4 mètres) peut atteindre des
résolution de 0,05 secondes d'arc. Ce qui donnerait une résolution
d'environ 100 mètres à la surface de la Lune. Ce n'est toujours pas assez
pour voir les restes d'Apollo. Et puis de toutes façons, si vos amis ne
croient pas que la NASA ait envoyé un homme marcher sur la Lune, il ne
croiront pas plus à des images venant de Hubble car le telescope
appartient également à la NASA.

  Il existe cependant d'autres télescopes qui utilisent une nouvelle
technologie qu'on appelle l'interférométrie et dont je vous épargne les
détails. En particulier le Very Large Telescope pourra éventuellement
atteindre des résolution de 0.001 seconde à l'aide de 4 télescopes
de 8 mètres chacun. La technique n'est pas encore au point mais ça s'en vient
(fin 2002, début 2003). Avec une telle résolution, on pourra voir des
détails de 2 mètres de large sur la Lune, donc juste parfait pour le module
lunaire. En plus il s'agit de télescopes européens qui n'ont rien à voir
avec la NASA...


Fin de citation.

             Autrement dit, il était en 1992, (et même, pas avant 2001)  totalement impossible que ce monsieur Bazea, puisse apercevoir aucun instrument des Apollos sur la Lune. Le sieur Bazea voulait-il parler du 25 Février 2002 ? Or si le journal "Sun", a bien parlé de cette affaire dès 1992 (si l'on pouvait retrouver ce journal, cela éclaircirait parfaitement cette histoire), nulle équivoque ne serait plus possible.

      De plus, à notre avis, les Services Secrets américains, ont pu très bien intervenir, auprès des spécialistes européens de l'espace, pour nous "blousés" encore une fois, et subjuguer (à coups de monceaux de dollars cela s'entend), les techniciens responsables européens travaillant au VLT du Chili, en leur montrant les conséquences de leurs brutales révélations sur cette affaire très épineuse des Apollos.

      Mais pendant que nous y sommes, parlons un peu plus d'Hubble...

      Nous devons d'abord avouer que les prétendues images époustouflantes, des galaxies d' Hubble, comme par exemple, cette image surprenante, que l'on a bien voulu appeler "l'œil de Dieu":


, ne nous font ni chaud ni froid, car ce télescope a été incapable de nous montrer certaines images de la Lune, bien plus proches de lui que celles du lointain Cosmos, et images qui posent problème, comme par exemple, celle que nous avons découverte dans le cratère Rutherford (ou Rutherfurd en anglais) (61°S; 9°W), (placé sur le bords du grand cratère Clavius), dont nous avons déjà parlé, dans pas mal de nos articles.

      Reprenons alors, pour le novice, qui rentre pour la première fois dans le site par cet article, quelques points élémentaires de cette surprenante affaire :

  

      La photo ci-dessus est de l'observatoire du Mont Wilson et remonte à plus de 40 ans, à l'époque où personne ne se préoccupait de traces d'extraterrestres sur la Lune et Robert Jastrow en publiant son livre en 1967, n'y a probablement rien vu de saillant. Nous, nous y voyons dans le cercle rouge, ( qui entoure, à peu près, Rutherford), une profusion des formes géométriques spéciales, et il y a aussi des angles droits partout dans la zone en question, qui ne laissent aucun doute, sur le caractère artificiel des structures que l'on y aperçoit, et seuls les irréductibles détracteurs, vont fourrer encore la tête sous le sable, pour ne rien y voir de particulier.

      Cette extraordinaire image est publiée dans un ouvrage très connu dans les milieux de l'Astronomie anglosaxone, intitulé "Red Giants and White Drarfs", de Robert JASTROW publié, nous l'avons déjà dit, dès 1967, chez Harper and Row Publishers incorporeted, à l'époque situé à : 49 East 33rd Street New York N.Y. 10016. On découvre aussi, tout cela actuellement, dans un ouvrage plus récent de 1990, intitulé de même "Red Giants and White Dwarfs", considéralement agrémenté d'images nouvelles dont plusieurs en couleur :

  

      Et à la page 119 , nous découvrons encore ceci :


      La flèche rouge, nous indique que le complexe très structuré de Rutherford est toujours là. Il y a une sorte d'obélisque, surélevé sur une plateforme presque carrée. On y voit aussi cette sorte d'arche gigantesque en suspension sur du vide, puique son ombre apparaît en dessous de son extrémité, comme l'indique notre flèche bleue. Notons toujours à droite de cette arche, de nombreux blocs à bords parallèles ou orthogonaux.

      Souhaitons cependant pour terminer, qu'un jour assez proche, un bon logiciel, nous permettra de réaliser en 3D, ces fantastiques structures, décelables dans ce petit cratère Rutherford.

      Donc si Hubble, n'a rien vu de tout cela, c'est que l'on n'a pas voulu qu'il aille voir de près, trop de choses génantes sur la Lune. Point barre.

     Pour en savoir plus, prière de consulter le paragraphe commençant par " Il y a aussi aussi à la page 69," de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/AstroArcheologie.html

      A vous de juger, désormais, cette affaire surprenante, concernant les "performances" des télescopes en application dans notre environnement céleste.

     Article mis en page le 04/10/2010 .

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