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Les détails de ces deux dernières photos doivent être, bien sûr, mieux analysées sur les originaux disponibles sur le site: http://near.jhuapl.edu (21 Août 2000 et 18 Dec.2000) que nous a transmis le 18 Fév. 2001 l'ami ufologue Christian Macé.
Prolongement révélateur en date du 05/04/01
En Avril 2001 cette même revue "Ciel & Espace" publiait dans son n° 371 une nouvelle photo de d'Eros (certes un peu moins simpliste que celle du n°367 montrée plus haut ), où l'on aperçoit cependant, page 30, tout de même, quelques timides rochers (en anglais boulders) à peine décelables, alors que cette revue aurait pu sans problème choisir au moins l'une des deux photos précédentes , à notre humble avis, bien plus explicites. On dirait que les rédacteurs ne tiennent pas à recevoir un courrier trop gênant au sujet des anomalies caractérisées que nous avons détectées sur Eros. Voyez vous même la photo ci-dessous :
A vous de juger... Mais si vous voulez des informations plus conséquentes sur les photos précédentes et bien d'autres concernant Eros, prière de se reporter à l'adresse relative à "remucos" ci-dessous en fin d'article.
Autre photographie d'Eros en date du 2/05/2001 que nous reprenons de notre article "remucos".
Terminons notre éventail, par la photo suivante, où nous avons placé quelques flèches pour mieux visualiser certaines structures significatives :
En effet si vous scrutez le bout de la flèche n°1, vous apercevrez une structure très insolite en forme T, qu'il faudrait surtout bien analyser, tant elle est surprenante, ainsi que d'autres structures qui se trouvent en bout de la flèche n° 2 un complexe très extraordinaire de structures où règnent un bassin étrange ayant des angles droits et jouxtant un ensemble de blocs insolites presque cachés hélas par l'ombre formée dans grand cratère.
En suivant la crête supérieure du paysage, les flèches 3 et 4 montrent aussi très nettement <font color="#FF0000">deux formations insolites formés de blocs très structurés avec bords apparemment parallèles. Le rocher au bout de la flèche n° 5, lui, par la projection de son ombre au sol, nous montre qui a une forme très géométrique.
Il y a bien plus à voir dans cette image (comme certains bassins rectangulaires ou presque carrés, rainures parallèles etc...), que nous vous laissons le soin de découvrir par vous même . Des agrandissements fidèles et un traitement informatique, faits par des spécialistes pourraient s'avérer, ici , très utiles pour révéler, enfin, ce que l'on nous cache depuis des lustres. Avis aux amateurs.
Le 8 mai 2001 nous avons reçu du spécialiste en traitement photographique :Yves Vaillancourt l'agrandissement suivant :
Il est donc curieux que cette structure très insolite ci-dessus, n'a jamais été montrée en 3D par la Nasa et les médias spécialisés si avides d'images chocs. Un grand merci donc à Yves Vaillancourt pour sa remarquable contribution à notre découverte d'Eros.
Nouveau prolongement révélateur en date du 28/11/01.
Dans son numéro n°379 de Décembre 2001 la revue "CIEL & espace" publie, dans le cadre d'un dossier intitulé "Astéroïde la grande traque" sous la plume de Jean-François Haït, quelques rares photos d'Eros plutôt banales, sans doute judicieusement choisies pour éviter toutes questions inopportunes sur lesquelles nous avons repérés cependant quelques détails insolites. Notons d'abord qu'en interrogeant Robert Farquhar directeur de la mission de Near-Shoemaker, ce dernier nous apprend que "La sonde Near a survolé Eros à 2,7 km d'altitude à peine . Cela nous a permis de prendre près de 160 000 photos à haute résolution de sa surface sans compter les données des spectrographes infrarouge, X et gamma qui nous renseigneront sur la composition de l'astéroïde" . Comme nous aimerions analyser quelques unes de ces photos qui n'ont pas fait l'objet de publication sur Internet?
Mais analysons maintenant, voulez vous, les propos, page 48 de J-F Haït, au sujet de la surface d'Eros: " Celle d'Eros semble avoir été peu altérée au cours de ses pérégrinations..." Alors là nous ne comprenons pas pourquoi la revue a choisi justement de nous présenter cette vue d'artiste d'Eros criblée de cratères souvent alignés et dont le relief est très accentué.(voir l'image1 ci dessous :)
Notez bien que l'artiste a représenté vers le haut , vers le milieu, une série de 3 crevasses longitudinales strictement parallèles encadrées par deux lignes parallèles de plusieurs cratères équidistants. Regardez également les zones légèrement blanchâtres sur la droite, on y distingue en sous-plan des structures assez surprenantes où règnent les angles droits et blocs parallèles. Bravo donc à "l'inspiration" de cet artiste.
Mais voyons maintenant ce que nous révèle l'auteur du dossier sur les fameux boulders (rochers blancs) cités plus haut que l'on avait jusqu'àlors très peu vus dans les articles de cette revue "Ciel & et espace", concernant Eros. " Les images de Near-Shoemaker posent encore nombre de questions. Par exemple pourquoi ces rochers, résultats d'impacts, et cette poussière à leur surface se trouvent-ils là alors que la gravité d'un tel objet est aussi faible"
Donc vous le voyez bien ces rochers souvent dressés verticalement posent bien problème aux spécialistes de la revue qui ne voient en eux que des <i>résultats d'impacts causés en principe par le choc avec d'autres matériaux venus d'ailleurs. Soyons sérieux cette hypothèse ne tient pas du tout la route vu la netteté des structures de ces blocs. Mais voyons tout de même ce que nous dévoile enfin cette revue à ce sujet: (voir l'image 2 suivante:)
Notez bien les ombres portées de ces blocs et les structures situées entre les deux petits blocs blancs en haut à droite où règnent des forment géométriques notoires. Notez aussi vers milieu du bas de l'image un bloc à bord indiscutablement parallèles , hélas un peu voilé, mais dont nous aimerions bien calculer la longueur si nous avions l'échelle de cette photo.
Enfin sur la partie gauche de la photo d'Eros présentée, on distingue les traces de cette poussière citée plus haut et ici elle prend des formes géométriques particulièrement curieuses où règnent les lignes orthogonales. (Voyez donc l'image n° 3 suivante:)
Notez aussi les nombreux rochers alignés et en forme de triangles en bas à gauche de l'image.
Dans ce même n°367 de Déc. 2000 cette revue nous présente aussi une image que nous avons vainement recherchée dans nos dossiers et que nous venons de retrouver grâce à l'ingéniosité et l'efficacité très active notre ami Roch Saüquere qui concerne les retrouvailles entre l'homme et la machine sur l'Océan des Tempêtes sur la Lune. En effet les astronautes Charles Conrad et Alan Bean, d'Apollo 12, auraient retrouvé le 19 Nov. 1969, la sonde Surveyor 3 qui s'était posée en douceur sur la Lune en 1967. Un des buts de la mission étaient précisément de visiter ce qui restait de cette sonde-robot et d'y prélever certaines parties métalliques et en particulier la caméra. Il s'agissait de vérifier l'état de conservation de ce matériel, après deux ans et demi d'exposition aux micrométéorites, aux radiations cosmiques, au vent solaire et aux poussées thermiques allant de -180 ° à + 120°.
Le 19/11/01, nous avons retrouvé dans le Paris Match n° 1073, que nous pensons être du 18 Nov. 1969 (il manque la couverture), cette portion de bande dessinée réalisée spécialement par le grand dessinateur Hergé pour Paris Match à l'occasion de l'arrivée d' Apollo XII sur la Lune:
Vous avez bien noté n'est-ce pas les termes employés: Elle est maintenant "Ocre pâle" et aussi : elle a été cuite par le soleil. Où sont donc passées les photos couleur en question de la de la Nasa ? Décidément les anciens numéros de Paris Match possèdent des perles d'informations très révélatrices à analyser méticuleusement.
Or dans le numéro 1076 sorti le 20 Déc. 69 la revue Paris-Match a publié 10 pages spéciales détachables consacrées à l'épopée d'Apollo 12 sur la Lune en Nov.69, pages spéciales que nous avons heureusement conservées et intitulées "32 heures sur la Lune -D'Apollo 11 à Apollo 12, un formidable bond en avant ", et où nous lisons le passage suivant:
" La rencontre des explorateurs lunaires et du robot est un instant émouvant . "Pour nous, il est plus précieux que le plus beau diamant", dit Conrad qui constate que la carapace du Surveyor parait avoir été cuite par les 120 ° du midi lunaire. Ensuite Bean et Conrad détachent la caméra de Surveyor, des câblages, un panneau de verre et la main du bras articulé du robot. Avant de partir, ils photographient (ci dessous) les trois traces de pieds de Surveyor, le 17 Avril 1969, lorsqu'il rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire. Elles annonçaient l'empreinte historique des pas d'Armstrong en juillet dernier..."
Vous avez bien noté l'expression "avoir été cuite" et aussi l'expression "annonçaient l'empreinte" que nous préférons ici remplacer par l'expression "corroborait l'empreinte".
Voici donc la photo en question retrouvée par l'ami Roch:
Voici donc la photo que nous avons du pied de Surveyor :
Comme vous le voyez, les photos de ce Paris-Match montrant l'astronaute qui touche Surveyor 3, et le pied de ce dernier ont de superbes couleurs que ne nous montre pas bizarrement la photo en noir en noir et blanc de la revue" Ciel & Espace" de Déc. 2000 en question. Voici cette image :
Vous retrouverez également ces photos sur les sites de la Nasa où les couleurs jaunâtres, brillent par leur absence.
http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/mission_page/EM_Apollo_12_page1.html
http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/mission_page/EM_Apollo_12_page2.html
Donc, il semblerait que les photos précédentes en couleur de Paris-Match n'existent pas et c'est pourquoi cette revue "Ciel et espace", qui aurait, nous l'admettons tout de même, les moyens de retrouver le cliché d'origine en couleur de cette photo, ne l'a pas présenté et il est ahurissant de constater que c'est Paris-Match qui a volontairement "colorisé" son cliché "pour faire mieux". Donc comme vous le voyez "le choc des photos'" est plutôt bidon ici . Mais cette histoire de Surveyor (qui aurait été cuit par les 120 degrés lunaire) est-elle aussi "bidon" ??. Un tel événement mérite tout de même que l'on s'interroge à son sujet, mais la revue "Ciel & espace" a oublié, hélas, de nous en parler.
Nous avons d'ailleurs, retrouvé cette photo noir et blanc de Surveyor 3, dans une ancienne revue américaine intitulée "People Press UFO Report" dans son n° de Mars 1975: Voici cette photo:
Comme le papier de cette revue
avait la même qualité que le papier journal,
il est évident que la photo ci-dessus est moins lumineuse que celle de
la revue "Ciel et espace",
mais cependant 25 plus tard,
cette revue ne nous apprend rien de plus
aujourd'hui sur ce "jaunissement
notoire", pourtant insolite révélé
par le Paris Match en question. Affaire à suivre donc. Aux
spécialistes de répondre.
"Surveyor
a t'il vraiment subi
un changement de couleur insolite
après ses deux années de séjour sur le sol lunaire
et pourquoi exactement? S'agit-il
d'une "oxydation"
que l'on veut cacher ?
".
Nous notons en passant d'après Paris Match, que Surveyor 3 a bien rebondi sur le sol lunaire en laissant des traces de pieds très nettes et profondes dignes d'un sol argileux (voir justement la photo couleur de Paris-Match ci-dessus) et peu compatible avec un sol poussiéreux ou sablonneux grillé ou durci par les conditions extérieures extrêmes qui règnent sur le sol de la lune et que nous avons déjà mentionnées plus haut (radiations cosmiques, vent solaire et aux poussées thermiques allant de -180 ° à + 120°.)
On se souvient en effet que malgré ses 16 tonnes, le Lem (Lunar Excursion Module) n'avait, lors de "l'alunissage", pour Apollo 11, aux abords de ses pieds, montré, chose étonnante, aucun glissement ou ripage, sur le sol lunaire, comme on le voit pour Surveyor 3. (Voir à ce sujet la photo de la Nasa AS11-40-5902 que l'on peut analyser page 36 du livre de Philippe Lheureux: "Lumière sur la Lune" aux Editions Carnot Nov. 2000.)
A vous de vous faire une opinion, et de poursuivre vos recherches là-dessus.
Dans ce même n°367 de Déc. 2000 de "Ciel & espace" nous avons de plus eu droit à la présentation, sans explication, d'une des photos les plus surprenante des missions lunaires, où l'on aperçoit, parait-il, l'astronaute Conrad circulant sur le sol de l'Océan des Tempêtes, les bras chargés d'appareils formant un laboratoire Lunaire de près de 200kg et coûtant la bagatelle de 25 millions de dollars et qui comprenait un sismomètre, un appareil de mesure de poussière, un magnétomètre, un spectromètre, une analyseur d'ions et un instrument destiné à l'étude des éventuels gaz très raréfiés qui s'échappent encore de la croûte lunaire et qui formerait une atmosphère dont la densité est soit disant bien plus basse, dit-on, que le meilleur vide jamais réalisé sur Terre. Voilà donc cette photo:
Comme vous pouvez le remarquer cette photo présente une superbe diffusion des rayons lumineux du soleil, diffusion qui ne s'explique que par la présence d'une épaisse atmosphère et non pas seulement par la diffraction de ces rayons lumineux au travers du verre de l'objectif de l'appareil photographique, comme on l'a si vite dit pour se débarrasser du problème. Pour ceux qui doutent encore qu'il y ait une atmosphère sur la Lune, voici un communiqué publié en Nov. 1995, par la revue "Sciences et Avenir" qui a pignon sur rue en matière de vulgarisation scientifique:
Mais il y a de plus sur cette photo extraordinaire la présence de deux sources lumineuses totalement inexpliquées qui ont eu pour effet de plonger dans la plus grande perplexité, tous ceux qui s'interrogent vraiment sur les tenants et les aboutissants de l'épopée lunaire et sur les "cachotteries de la Nasa". De plus ces deux sources lumineuses bizarres ont été gommées comme par enchantement, sur la même photo en couleur page 66 de même Paris-Match n° 1076 de Déc. 69. Alors, Bravo tout de même à la revue "Ciel et espace" d'avoir eu l'audace de monter ces sources lumineuses, pourtant bien gênantes, puisque le "choc des photos" n'a pas été en 69, assez puissant, pour que Paris-Match veuille nous les montrer.
A vous de juger tout cela !! Vous avez la parole : Atmosphère ou pas sur la Lune ?...
Une fois de plus, nous voyons que l'information qui nous arrive, par les médias, subit souvent "une distorsion relative" qui est discutable à tout moment et qui nous montre bien que l'on ne nous dit pas tout (surtout au sujet de ce qui est gênant).Nous pensons aussi fermement, que ce n'est pas pour rien que la Nasa s'intéresse à ce rocher Eros et que l'on ne dépense pas des millions de dollars pour simplement aller gratter le sol d'un gros caillou. Nous espérons que les "vraies photos qui posent problème", sur Eros ne seront pas encore une fois, camouflées par ceux là même qui devraient les mettre en exergue. Nous avons d'ailleurs dans notre article intitulé "remue-ménage cosmique"(voir l'adresse à "remucos" ci-dessous) explicité grandement, quelques interrogations substantielles sur la question.
Il
n'empêche que nous avons noté dans ce numéro de
Déc. 2000
de "Ciel &
espace", (
qui mérite donc bien le
qualificatif d'exceptionnel,
vu les interrogations qu'il nous a permis de soulever ),
des informations
révélatrices très
utiles et même péremptoires. Nous avons apprécié, par
exemple, l'évocation succincte, page
38, de l'un des
événements cosmiques, Il y a
aussi cet article page 42,
intitulé "Comment
Tintin est-il allé sur la Lune",
où l'on fait un utile rappel sur l'ouvrage
d'Albert
Ducrocq
prénommé :
"L'humanité
devant la navigation interplanétaire
" et édité en Octobre
1947
par CALMANN-LEVY
Editeurs dans la collection "Science
et Humanité"
dirigée par Roger Simonet.
En effet cet ouvrage,
que nous gardons précieusement avec une certaine nostalgie, car
il nous avait été offert, il y a bien longtemps déjà, à la distribution des prix en
terminale, et qui résume toutes les connaissances astronautiques et
planétaires de l'époque, nous sera en effet fort utile, quand nous
allons parler de certains "contactés",
qui ont osé contredire "les
certitudes de leur temps"
et par delà leur époque
même, celles que nous affirmons actuellement. A
bientôt donc sur le Web... PS. Le
jeudi 15 février 2001,
l'Agence France Presse publiait le
communiqué suivant enfin relayé
par France-Antilles: ESPACE Fin du communiqué.
http://www.artivision.fr/docs/match.html
http://www.artivision.fr/docs/myslune.html
ou http://www.artivision.fr/docs/mars.html
ou http://www.artivision.fr/docs/mercure.html
ou http://www.artivision.fr/docs/Nasajury.html
ou http://www.artivision.fr/docs/Nasatangible.html
ou http://www.artivision.fr/docs/Nasatangiblesuite.html
ou http://www.artivision.fr/docs/remucos.html
ou http://www.artivision.fr/docs/lettreouverteSA.html
ou http://www.artivision.fr/docs/lettreouverteSVJ.html
u http://www.artivision.fr/docs/lettreouverteMHetFR3.html
ou http://www.artivision.fr/docs/Gille.html
ou http://www.artivision.fr/docs/RoseC.html
ou http://www.artivision.fr/docs/Roselune.html
ou http://www.artivision.fr/docs/Terresym.html
ou http://www.artivision.fr/docs/unplusdansespace.html
ou http://www.artivision.fr/docs/Ameriquechocretour.html
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http://lheureux.free.fr
La sonde NEAR toujours en service
La NASA a
décidé Mercredi de prolonger de dix jours la vie de la sonde NEAR
Shoemaker, qui s'est posée lundi sur
l'astéroïde Eros, afin de tenter d'engranger une moisson supplémentaire de mesures sur ta
composition du sol de l'astre, a annoncé l'agence spatiale américaine. Après un long voyage de cinq ans, dont une année en orbite autour de l'astéroïde, et 3,2 milliards de kilomètres parcourus, la sonde
NEAR a en effet survécu à son atterrissage sur
Eros, une
manœuvre jamais tentée auparavant dans l'histoire de la conquête spatiale.
Posée sans dommages sur cette petite planète morte en forme de pomme de terre oblongue d'environ 33 kilomètres de long sur l3km de diamètre,
NEAR est toujours en communication avec le centre de contrôle.