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Oasis et mers libres des régions polaires :
Autres indices révélateurs

      

I Introduction.


      La sagesse populaire antillaise prétend que "C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes : Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup" . Mais il semblerait que ce dicton puisse aussi s'appliquer, aux vieilles revues d'ésotérisme disparues.

      En effet, il n'y a pas bien longtemps nous avons retrouvé un document de la revue NOSTRA n°307 du 22-28 Fév. 1978 signé de Mr Jean-Luc BERAULT et intitulé "L'énigme des Zones inconnues du Globe".

     Voici donc la couverture de cet important Nostra n° 307 :


     Voici aussi le début, du super article de Mr Jean-Luc BERAULT :


     Les internautes qui voudraient avoir les admirables pages 24 et 25 de cet article, peuvent écrire au Webmaster d'ARTivision.

     Présentons alors ci-dessous, de ce texte, quelques passages qui nous semblent plutôt remarquables, d'autant qu'ils évoquent un événement que nous avons personnellement vécu en 1976, à savoir la vive querelle opposant les volcanologues chargés surveiller les caprices de la Soufrière, alors en réveil brutal. ( les couleurs sont de nous, évidemment.)

     " La découverte des fonds océaniques par le bathyscaphe, la croisière sous le pôle Nord du sous-marin atomique Nautilus, l'ascension de l'Everest, autant de faits qui portent à croire que l'exploration de notre vieux monde est terminée. Et, pourtant, alors même que la conquête de l'espace est d'ores et déjà commencée, il reste encore bien des taches blanches sur le globe, bien des mystères à élucider.

     L'Afganistan est la plus ancienne voie de pénétration vers l'Asie centrale, celle que les armées d'Alexandre empruntèrent dans l'Antiquité. Mais, au sud du pays, le désert du Régistan, à cheval entre l'Afghanistan et le Pakistan, est encore inconnu. Il en va de même de certaines régions du Badakhshan et du Ouakhan, à proximité de l'U.R.S.S.( Note du Webmaster : Ce texte évidemment, remonte avant sa disparition), territoires peuplés de tribus farouches qui s'opposent à tout passage.

    Dans la péninsule arabique, la région du Roubal-Khali, grande à peu près comme la France, n'a pas encore livré ses secrets. Les caravanes ne s'y aventurent pas et aucune mission d'exploration n'a encore pu y faire un travail sérieux. Une cité mystérieuse s'y trouverait, Ouabar, que certains identifient à la capitale de la reine de Saba, vainement recherchée par André Malraux en 1934 au cours d'un raid aérien.

Polémique à propos de la Soufrière

     Que sait-on de la région de I' llou Bakor, immense étendue lacustre située entre l'Ethiopie, le Kenya et le Soudan ? Rien. Ni sur sa géographie, ni sur ses habitants.

     En Amérique du Sud, le bassin de l'Orénoque, le cours supérieur de l'Amazone, la Selva brésilienne, pour n'évoquer que ces contrées, sont très mal connus. Certes, des explorations y ont eu lieu, mais en suivant des vallées distantes de plusieurs centaines de kilomètres. Qu'il y a-t-il entre elles ? On l'ignore encore.

     Lorsqu'en 1976 le volcan de la Soufrière menaça d'entrer en éruption et de provoquer un cataclysme à la Guadeloupe, une vive polémique secoua le monde de la volcanologie, opposant l'un des pionniers de cette science, Haroun Tazieff, au professeur Brousse et à d'autres géophysiciens. Tazieff leur reprochait d'être des "volcanologues de laboratoire" se basant sur des recherches théoriques et l'étude des statistiques. Pour lui, rien ne valait l'étude sur le terrain. "Pour soigner un malade, disait-il en substance, une consultation par téléphone ne suffit pas. Il faut être à côté du malade, pouvoir l'ausculter avant de formuler un diagnostic."

     Il en va à peu près de même en géographie. La grande majorité des géographes travaillent en chambre, à partir de relevés effectués sur le terrain, il y a des décennies, voire des siècles, se contentant de les mettre à jour de temps en temps. Les cartes sont encore dressées par triangulation, procédé imaginé au début du XVIIe siècle par le Hollandais Snellius, qui consiste à partager la surface terrestre en un réseau de triangles. Pour obtenir une carte exacte, il faut que le calcul de la latitude et de la longitude du sommet de chaque triangle soit rigoureusement exact. Or, il n'est évidemment pas possible de refaire tous les calculs effectués dans le passé. Et certains sont entachés d'erreurs.

     Pour les nouvelles cartes, des calculs précis sont faits pour certains points du globe, mais le "remplissage" tient compte de données anciennes. C'est pourquoi on estime qu'en quelques parties du monde les cartes ne sont justes que pour 30 %, les 70 % restants n'étant qu'approximatifs.

     Dans certains cas, par exemple à des fins militaires pour le lancement de missiles intercontinentaux, cela peut conduire à des catastrophes. C'est pourquoi, en 1974, les responsables du Pentagone ont désigné des experts pour vérifier les cartes existantes. Leurs conclusions furent navrantes et cela explique le lancement de satellites destinés à faire des observations terrestres. Evidemment, avec ces satellites, il est possible de dresser une carte exacte de la terre. Toutefois, les photos obtenues ne sont pas toutes divulguées, certaines étant classées "top secret".

Ce secret n'est pas nouveau. On dit que lorsque l'amiral Courbet procéda à l'exploration du Tonkin, des mandarins soudoyèrent les cartographes de son escadre pour qu'ils ne dessinent pas sur leurs cartes une région prospère connue sous le nom d'Harinésie. Peut-être n'est-ce qu'une légende. Cependant, en 1954, les cartes des hauts plateaux montagnards du Centre Annam étaient caviardées de taches blanches avec la mention "zone inconnue". Or, ces régions étaient accessibles, je peux en apporter personnellement le témoignage pour les avoir sillonnées.

Un phénomène à peu près comparable existe au pôle Nord. Les premiers explorateurs russes de l'Arctique ne faisaient pas mystère d'avoir découvert au nord du Groenland, une terre réchauffée par un courant chaud, qu'ils baptisèrent "terre de Sannikov", abordée à plusieurs reprises par des brise-glace. Or, depuis des années, c'est le silence absolu. Les géographes soviétiques ne l'ont pas portée sur leurs cartes, soutenant qu'il s'était agi d'un bloc de glace détaché de 1a banquise, ayant depuis disparu.

     La terre de Sannikov a-t-elle une importance stratégique qui justifierait ce secret ? C'est possible, mais, grâce à leurs satellites, les Américains ont pu la situer et, dans ce cas, leur silence ne s'expliquerait que par le silence gardé par les Russes sur d'autres terres qu'ils auraient découvertes. Donnant, donnant... "


Fin de la sélection du texte de Mr J-L. Berault.

      Nous n'allons pas vous parler des îles fantômes, du triangle des Bermudes, de l'Ovale du Diable, etc.. mentionnés par cet article, mais vous avez bien lu que vers la fin l'auteur nous parle de la Terre de Sannikov du pôle Nord qui aurait été découverte par les premiers explorateurs russes de l' Arctique...

      Nous félicitons donc vivement l'auteur de ce texte d'avoir eu l'audace de publier un tel texte dès 1978, et s'il est encore vivant, peut-être nous fera t-il savoir s'il avait aussi eu vent de cette oasis de Benguer du Pôle Sud dont parle le "Science et Vie"510 de Mars 1960, et nous souhaitons que l' internaute qui connaît ce monsieur (s'il n'est pas connecté lui-même), lui dise toute notre émotion d'avoir donné une nouvelle jeunesse à son texte, qui n'a pas pris une ride depuis sa parution.

      Nous allons donc aujourd'hui faire état de nouveaux documents découverts, soit au sujet de cette oasis du Pôle Nord, nommée La terre de Sannikov et de la mer libre de glace qui s'étale tout autour, soit aussi de cette oasis de Benguer du Pôle Sud et de son environnement. Il sera bien sûr, question d'œuvres publiées dans des revues qui ont pignon sur rue, mais aussi d'œuvres que l'on peut qualifier de science-fiction pour l'époque de leur publication, mais que nous considérons tout de même, comme très importantes en raison de la qualité de leurs auteurs qui ont peut-être trouvé , un moyen de dire tout haut, ce que d'autres oseraient à peine, révéler tout bas.

     D'autre part, qui peut affirmer que certaines idées qui jaillissent de certains cerveaux à un moment donné, ne sont pas des "manifestations subconscientes", bien orchestrées temporellement, venant d'une autre dimension parallèle, et dimension qui reste, bien sûr, encore à déterminer et que la Science commence à peine à mettre en exergue? Nous pensons donc vraiment que certains textes d'auteurs, nommés ci-dessous doivent être lus, sous l'angle d'un deuxième degré sous-jacent.

II Genèse de l'affaire.


a) Où la science-fiction russe, nous interpelle.


     Vladimir Afanassiévich Obroutchev, né en 1863 et mort en 1956, aurait écrit plusieurs romans scientifiques à l'époque où il était membre de l'Académie des Sciences de L' URSS, et était aussi un éminent géologue soviétique connu pour ses ouvrages sur la géologie et la géographie de la Sibérie, de l'Asie Moyenne et Centrale, et de la Chine. Parmi ces romans, on trouve La Plutonie (1924), et La terre de Sannikov (1926), Dans la brousse de l'Asie centrale (1950).

     Que ce scientifique nous entretienne, justement de cette oasis polaire appelée terre de Sannikov en 1926, voilà ce qui retient vivement notre attention, aujourd'hui. Nous n'avons pas encore le privilège de posséder ce roman d' Obroutchev, mais voilà ce que l'on découvre sur le Net à son sujet:

    La Terre de Sannikov relate la découverte, du côté du Pôle Nord, dans le cratère d'un volcan présumé éteint, mais qui se réveillera à la fin, d'un « monde perdu » fertile, où survivent les Inkilios, peuple que l'on croyait disparu à la suite d'une migration, ainsi qu'une faune archaïque. Voir à ce sujet l'Encyclopédie de l'utopie, des Voyages extraordinaires et de la Science-Fiction, Pierre Versins, L'Age d'homme, 1972, p. 639

    Pour les puristes, on trouve aussi en anglais: Sannikov Land. See the picture below :


   or in russian : Zemlia Sannikova , translated from the Russian by David Skvirsky. illustrated by Y. Krasny. 372 pp. Moscow. Foreign Languages Publishing Co. ISBN: 5050016908. (Moscow: Raduga Publishers 1988 pbk) First published in 1925, this 'scientific romance' book by Soviet geologist/geographer/traveller Obruchev relates the story of an expedition to find a mysterious island, an Arctic volcanic crater containing flora and fauna of a remote geological period. The five expedition members encounter stone age men, mammoths and cave bears, and discover the reason for the disappearance of the Onkilon tribe, who once inhabited Northern Siberia.

     Néanmoins, cependant, nous avons sous la main, la Plutonie traduit du russe en 1954, par M. Arséniéva, édition en langues étrangères (Moscou)

   


      Or Obroutchev nous dit, dans la préface de ce roman qui se veut didactique : " Je dois dire que jamais le voyage dont j'ai fait la description n'a eu lieu, ni ne peut avoir lieu, car à nul endroit de notre écorce terrestre, il n'existe d'orifice par lequel on pourrait pénétrer dans les tréfonds de la terre.. Notre planète ne comporte, ni ne peut comporter de cavité interne. Ce voyage est une fiction que j'ai créée pour faire connaître aux lecteurs la nature, la flore et la faune des ères géologiques révolues, et l'ambiance qui leur était propre."

    Mais l'auteur prend bien le soin de nous avertir que " La Plutonie est basée sur une hypothèse, discutée dans la littérature scientifique à l'étranger, il y a plus d'un siècle, et qui à l'époque trouva de nombreuses adeptes. Ils affirmaient que le globe terrestre est creux, et que cette cavité, éclairée par un petit astre, est peuplée. Dans le chapitre intitulé " causerie scientifique", cette hypothèse exposée en détail, est défendue par Troukhanov, organisateur de l'expédition en Plutonie."

    Voyons voulez-vous quelques propos significatifs de cette causerie scientifique.

     Il est à remarquer d'abord que l'auteur explique en fin de roman page 341, d'où vient le terme Plutonie en faisant parler son héros, le professeur Kachtanov en ces termes : "Nous voudrions savoir sur quoi se fondait votre hypothèse quant à l'existence de la cavité interne du globe, hypothèse brillamment confirmée."

     Troukhanov, diplomé de l'université en géophysique et astronomie organisateur dans le roman de l'expédition répond alors:

     " Ma foi, il faut vous dire que cette idée ne m'appartient pas, elle n'est même pas nouvelle. Elle a été exposée, il y a plus d'un siècle, par certains savants européens et j'en ai eu connaissance en feuilletant d'anciennes revues . Elle m'a intéressé, j'ai tenu à vérifier et j'ai eu la preuve de son bien fondé.
    - Ne pourriez-vous nous pas nous en faire part?
    - Volontier . Si vous voulez, je vous ferai aujourd'hui même un rapport circonstancié.
    Le soir même une passionnante causerie scientifique eut lieu dans le carré.
     Après avoir mentionné les idées des peuples de l'antiquité sur la forme applatie de la Terre surgissant parmi l'océan primitif et la théorie d'Aristote sur la forme sphérique de notre planète, Troukhanov s'arrêta plus longuement sur les conceptions modernes:
    - A la fin du XVIIIº le savant Leslie affirmait que l'intérieur de la Terre était rempli d'air lumineux par la suite de la pression; deux planètes y évolueraient: Proserpine et Pluton.
    Pluton ? s'étonna Borrovoï. Nous n'avons donc rien inventé pour l'astre souterrain !
    Non, on avait déjà anticipé sur ce nom répondit Troukhanov. Certains savants avaient même calculé l'orbite de ces planètes qui, en se rapprochant de l'écorce terrestre, provoqueraient les tempêtes magnétiques et les tremblements de terre.

     D'après Leslie, à la surface intérieure de la Terre, éclairée par une douce lumière électrique, dans un printemps éternel s'épanouit une flore luxuriante et un monde très original. (Note du webmaster: rappelons ici, que c'est en 1930 donc 6 ans après la publication de l'ouvrage La plutonie que l'astronome américain Cyde Tombaugh, découvrit la plus petite planète de notre système solaire, qu'il appela justement comme par hasard Pluton.)

     Il avait parfaitement raison s'écria Papotchkine, sidéré.
     Toujours d'après la théorie de Leslie, l'entrée
     Mais c'est inouï s'exclama Makhéev. Quelle précision. Nous avons découvert le bord méridional de l'orifice aux environs du 81e degré.
     - Leslie l'avait déterminé d'après l'endroit où les aurores boréales atteignent le maximum d'intensité, car il supposait qu'elles émanaient des entrailles de la Terre et constituaient des rayons électriques qui éclairaient la surface interne du globe. La théorie de Leslie eut de nombreux adeptes, et on parla même d'une expédition à l'intérieur de la Terre.
    - Ça, par exemple ! fit Groméko en souriant. Dans ce domaine aussi nous avons failli avoir des précurseurs.
    - Mais cette expédition n'eut pas lieu, car des savants de l'époque, qui jouissaient d'une grande autorité Buffon, Leibniz, Kircher, tournèrent en dérision l'hypothèse de Leslie et la prétendirent fantaisiste. Ils considéraient que le noyau de la Terre en état de fusion était unique, ou qu'il possédait de nombreux foyers secondaires, dits pyrofiliations. A la fin du XVIII e siècle, l'harmonieuse hypothèse de Kant et Laplace quant à l'origine de notre système planétaire issu des gaz d'une nébuleuse incandescente, fut presque universellement reconnue et évinça toutes les autres.
    Mais en 18l6, Kormuls affirmait que l'intérieur de la Terre était vide et que l'écorce terrestre n'avait pas plus de 300 milles anglaises d'épaisseur.
    Halley, Franklin, Lichtenberg et Kormuls tâchaient d'expliquer les phénomènes du magnétisme terrestre et ses transformations au cours des siècles par l'existence d'une hypothétique planète intérieure. Le professeur allemand Steinhauser considérait en 1817 comme un fait acquis l'existence de cette planète a laquelle il avait donné le nom de Minerve.
    De nouveaux projets d'expédition a l'intérieur de la Terre furent conçus. En Avril 1818, Symmes, capitaine d'infanterie en retraite, qui habitait Saint-Louis dans le Missouri, publia dans les journaux une lettre qu'il expédia simultanément a nombre d'institutions d'Amérique et d'Europe. Cette lettre adressée « au monde entier »....


     Arrêtons là, voulez vous, ces quelques propos de cette causerie scientifique du roman qui est par la suite très détaillée et où en plus de la fameuse lettre de Symmes dont nous déjà parlé dans notre article sur Byrd, nous trouvons d'autres noms de savants prestigieux et de nombreuses valeurs numériques concernant la planète Terre.

     Une petite phrase tout à fait à la fin du livre, nous laisse cependant un peu rêveur:

     " Le journal de voyage et croquis appartenant à un membre défunt de l'expédition, sont tombés par hasard entre les mains de l'auteur. C'est d'après ces matériaux qu'il a écrit ce livre."

    L'auteur n'aurait-il pas effectivement bénéficié des notes incroyables de certains explorateurs russes ou autres et n'a-t-il pas préféré prendre les devants en publiant un roman de fiction, plutôt que de heurter de front la communauté scientifique de l'époque, un peu comme cet impensable article d'Avril 2000 de la revue "Pour la science" intitulé "La lune artefact extraterrestre ?" et qui n'avait (à notre avis bien sûr) pour but que de sonder la réaction de la communauté scientifique française, vis à vis d'une hypothèse audacieuse publiée, à grand fracas par les soviétiques en 1970 et hypothèse qui heurtait à l'époque outrageusement, le soi-disant esprit cartésien français.(Voir à ce sujet notre article : Rose et le mystère de la Lune artificielle )

     Comme vous le savez déjà, l'auteur ne se contentera pas de son roman la Plutonie pour aborder ce sujet hors-normes de la Terre creuse..

     Il va encore récidiver deux ans plus tard dans un autre roman intitulé La terre de Sannikov. Ne trouvez vous pas que cette insistance un peu trop insolite ?...

     Si nous n'avons pas pour l'instant la chance d'avoir ce roman dans nos archives, nous nous souvenons parfaitement d'un télé-film portant, ce même nom "La terre de Sannikov" et qui est passé sur la chaîne RFO autour de 1983 et qui était du même sytle que le "6e Continent ", réalisé par Kevin Connor d'après l'œuvre d'Edgard Rice Burroughs plus connu par ses écrits sur le fameux Tarzan.

    Le 2 juillet 2003 nous avons reçu d'un très aimable internaute dont le site est placé à :

http://www.fantasfilm.com

de précieuses informations sur le film en question. Les voilà ci-dessous :

LA TERRE DE SANNIKOV

Origine :  Russie

Durée :90 mn

Couleur/NB :Couleur

GENRE :Aventure fantastique

Année : 1972

Réalisateur :A.MKRTICIAN / L.POPOV

Acteur Principal : UGADILAV DVORGEZKI

Autres Acteurs : GEORGHI VIZIN-MAHMUD ESSAMBAEU


     Nous n'avons pas encore eu la chance de découvir la jacquette de ce téléfilm et nous prions humblement celui qui en posséderait une de nous en envoyer une copie.

     Toute information au sujet de ce roman et sur ce film serait la bienvenue. Dans la même optique, nous recherchons ardemment une photo publiée en 1960 (hélas le jour est inconnu) par Globe and Mail de Toronto montrant une vallée verdoyante prise par un explorateur arctique.

     Le 24/04/2012, nous avons reçu de notre ami Bernard, la missive suivante :

Bonjour cher Fred,

     Pour la jaquette du film "La Terre de Sannikov", je n'en connais que l'édition originale, si vous la cherchez toujours, on peut la voir ici :

http://en.wikipedia.org/wiki/The_Sannikov_Land_%28film%29


          Amitiés d'A...., Bernard.


     Merci à l'ami Bernard , pour sa très aimable participation aux recherches d'ARTivision.

     Mais le 07/07/04, nous avons pu trouver cet ouvrage, et pour ne pas gonfler encore cet article déjà trop long, nous vous invitons ici à continuer la lecture à :

http://www.artivision.fr/docs/terreSannikov.html


  Article mis en page le 03/03/03, et revu le 06/03/03, puis le 17/03/03, puis le 19/03/03, et le 30/04/03, et puis le 27/05/03, puis le 03/07/03, puis le 1/08/03, puis le 4/08/03, puis le 28/11/03, puis le 12/03/04, puis le 10/05/04, puis le 30/12/04 , puis le 11/06/04 , puis le 16/05/04, puis le 22/04/2012, puis le 23/04/2012, puis le 06/05/2012.

 Fred IDYLLE


fred.idylle@orange.fr

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