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Avant-propos
L'article qui va suivre est de notre ami Roch Saüquere, directeur de la revue "Top Secret :http://www.topsecret.fr ", revue que nous avons à plusieurs reprises mentionnée dans nos pages. Il nous fait aujourd'hui l'honneur de nous envoyer cet article qui s'insère dans la droite ligne des interrogations du site ARTivision.

Un grand merci donc Roch Saüquere pour son aimable participation culturelle à notre site.

 


Un polaroïd pour la Nasa...

1/ Introduction

  Que savons nous de la Lune ?

   Les astronautes sont allés là-bas, ils ont parcouru quelques kilomètres, ramassé quelques cailloux, pris des photos, et hop, trois petits tours et puis s’en vont ! Depuis, la Lune semble avoir perdu tout intérêt. Aujourd’hui nous envoyons des sondes dans l’espace, nous lançons des navettes dans la proche périphérie de la Terre, mais lorsque nous nous projetons dans l’avenir, nous ne rêvons plus de la Lune. Il semble que la Lune soit morte ; qu’elle appartienne au passé. L’avons-nous donc explorée de fond en comble ? Pas du tout ! Si l’on se réfère aux seules missions officielles américaines et soviétiques, l’immense majorité de la Lune nous demeure encore totalement inconnue ; sans parler de son sous-sol. Or, puisque nous savons si peu de chose à son sujet, pourquoi donc l’avons-nous abandonnée si brutalement ? Et comment se fait-il que les gens ne se posent pas plus souvent la question ? Sommes-nous devenus amnésiques pour avoir oublié à ce point les ambitions de conquête que nous avions ? Que sont devenus ces beaux projets de bases lunaires que nous projetions d’aménager ? Tout était prévu, calculé sur 20 ou 30 ans.

 C'est trop cher, la Lune ? Comment croire que la construction de stations spatiales exiguës qui coûtent des milliards de dollars et qui sont dotées d’une espérance de vie limitée soit plus rentable ? C’est absurde ! Sur la Lune nous aurions pu édifier des bases au cœur des nombreuses cavités. Elles auraient été destinées à durer. Nous aurions pu nous lancer dans des programmes d’exploitation à long terme de ses ressources.

 Trop loin la Lune ? Aujourd’hui, techniquement, le voyage Terre/Lune ne poserait plus de problème.

  Pas pratique ? Allons bon, l’assemblage de boîtes de conserve tournant dans le vide, et qui retomberont inexorablement sur nos têtes, avec les risques que cela comporte, voilà une solution bien pratique !

   Ne soyons pas naïfs ! Non seulement j’ai l’impression que nous avons tourné en rond depuis 40 ans à l’intérieur de nos navettes, mais en plus, que nous avons tourné en rond dans le mauvais sens !

   Alors encore une fois, pourquoi avons-nous abandonné la colonisation de la Lune ? 

     Voilà une question qui devrait nous tracasser. Cependant tout se passe comme si un grand hypnotiseur, roi de l’embrouille, nous avait fait apparaître cet abandon comme la chose la plus naturelle du monde. Or, c’est peut-être justement là le plus grand mystère de la Lune : cet abandon, s’il n’y avait pas tous les autres !

2/ Des hypothèses.

    De deux choses l’une, soit la conquête lunaire s’est prolongée dans le cadre secret des fameux programmes « noirs » ? On ne voit pas trop, dans ce cas, l’intérêt d’avoir débuter ce programme avec des missions aussi médiatisées que l’étaient celles d’Apollo. Soit la lune est déjà occupée par des êtres qui nous considèrent comme des indésirables. Voici ce qu’écrivait déjà en 1976 George Léonard, dans son admirable livre « Ils n’étaient pas seuls sur la Lune » :

« …Les engins de travaux publics, les cratères aux crêtes arasées, les objets étranges, les constructions ; nous, c’est à dire nos envoyés spéciaux les astronautes, ont vu tout cela, et ils l’ont vu de près. Et ils ont dit ce qu’ils avaient vu : des êtres vivants et travaillant comme des forcenés, là-haut, sur « notre » lune, presque sous notre nez…

   Que fait-on quand on se trouve face à face avec des extra-terrestres peu aimables capables d’abattre un pan de montagne d’un coup de pelleteuse ou d’écraser, si la fantaisie leur prend, votre vaisseau spatial d’une chiquenaude ? Que fait-on quand on a acquis la conviction qu’ils ne s’en iront que quand Ils auront terminé les travaux mystérieux qui paraissent tant les absorber ?

   C’est simple : on se retire soi-même sur la pointe des pieds. Et on annonce au reste du monde que les vols spatiaux ont perdu tout leur intérêt, qu’il n’y a rien sur la Lune et que, de toute façon, cela coûte trop cher d’y aller voir. Si on vous pose des questions gênantes, vous déclarez tout simplement que cela ne regarde personne. Voilà exactement où nous en sommes avec la Lune et ses programmes exploratoires. »

  Depuis 1976, il semble que la situation n’ai pas beaucoup changée, et que nous en sommes toujours au même point

3/ Les photos de la mission Apollo.

   Il est donc très probable que les astronautes aient effectivement vu des « choses » sur notre satellite. Des « choses » qu’il a fallu cacher au public, et gommer des photos afin d’éviter la panique dans le monde. On imagine que le laboratoire de développement photos de la Nasa a dû travailler dur durant toute cette période pour nous restituer des images « convenables » de l’événement. Et bien évidemment, dans certains cas, il fallut reconstituer certaines ombres. Ces reconstitutions n’eurent pas toujours l’effet voulu et certains chercheurs américains comme Richard C. Hoagland, le Dr. Mark Carlotto et bien d’autres, ne tardèrent pas à relever certaines anomalies qu’ils dénoncèrent sur le site http://www.lunaranomalies.com/. La thèse fut relayée en France par Philippe Lheureux sur son site http://www.multimania.com/autocoup/ et dans son livre « Lumières sur la Lune », auquel je ne ferais qu’un reproche en passant : celui de ne pas avoir mis l’adresse du site Artivision dans les liens Internet qu’il donne. Cet oubli est d’autant plus regrettable qu’il connaissait le site. Gageons qu’il s’agit là d’un oubli bien compréhensible dans l’excitation d’une première publication.

    La théorie avancée par tous ces chercheurs consiste donc à dire que les images des missions Apollo ont été prises en studio. Il est légitime de s’interroger là-dessus. Voici pour preuve trois images d’entraînement des missions Apollo.

    

    Après avoir gommé ou ajouté certains éléments du décors, vous jureriez d’être sur la Lune non ?

   Ce raisonnement est également valable pour Mars où le décor de Pathfinder a été reconstitué avec un réalisme fou. Moi je ne m’étonne plus d’apprendre que ce petit véhicule n’a pas pu s’éloigner au-delà de 20 mètres de son point d’atterrissage. Et, oui, pour aller plus loin, il aurait fallut qu’il traverse les murs ! ! ! Je plaisante.

 

   Certes, quelques photos de la mission Apollo semblent douteuses, mais j’ai envie de dire : « Et alors ? » Une fois que nous aurons démontré le truquage (ce qui est loin d’être fait), il faudra encore élucider la question la plus importante : pourquoi ces photos ont-elles été trafiquées ? Toutes les photos de presse sont retouchées pour une raison ou pour une autre. Cette pratique est courante. Pourquoi les images d’Apollo auraient-elle échappées à la règle ? La Nasa aura beau jeu de nous livrer sa dizaine de réponses préparées à l’avance, et sur lesquelles nous pourrons polémiquer des années encore. Finalement, l’énigme des images Apollo nous conduira sur une nouvelle impasse.

   De fait, la Nasa ne semble vraiment pas embarrassée par cette affaire. Au contraire, elle l’alimente elle-même sur son site officiel. En effet, elle répond laconiquement aux sceptiques, et, " bon joueur ", elle donne même l’adresse de trois sites défendant cette thèse finalement assez classique et inoffensive. 

http://www.badastronomy.com/bad/misc/apollohoax.html

  http://pirlwww.lpl.arizona.edu/~jscotti/NOT_faked/ 

  http://www.nsta.org/pubs/tst/article1.asp

   Nous sommes donc en droit de nous demander si cette affaire n’est pas un os que la Nasa nous a donné à ronger pour gagner du temps. Car pendant que nous nous interrogeons sur l’authenticité des photos, nous perdons de vue le sujet même qui nous occupe : les anomalies visibles sur la Lune elle-même !

 

4/ Quelques anomalies

A/ Du côté de Tycho

   Prenons de l’altitude. De la Lune, nous connaissons ce que la Nasa a bien voulu nous montrer, c’est à dire pas grand chose. Sur le web, 90% des images sont floues ou prises à une altitude moyenne de 2500 km comme celles de Lunar Orbiter http://www.lpi.usra.edu/research/lunar_orbiter/ . Lorsqu’on regarde ces photos, on est dans la situation d’un myope sans lunette ! Si vous vous rendez sur le site de clémentine http://www.nrl.navy.mil/clementine/clib/ vous irez de surprise en surprise. Il existe tellement de paramètres à définir avant de pouvoir afficher une image que la plupart du temps le site vous répondra que la photo n’existe pas. Il faut donc changer un des paramètres, mais lequel ? Et lorsque nous avons enfin la chance de voir s’afficher une image, celle-ci est d’une qualité épouvantable ! Comme le chargement de chaque image prend en moyenne 5 minutes, à la fin nous renonçons. Il existe cependant quelques rares images « en clair » de la mission Clémentine, et nous y trouvons justement des choses intéressantes. Commençons donc avec le célèbre cratère Tycho (Latitude: 43.4°S, Longitude: 11.1°W) dont parlait déjà Stanley Kubrick dans son film « 2001, l’odyssée de l’espace »

 

B/ Du côté de Lobachevsky

     Le cratère Lobachevsky, sur la face cachée de la Lune, présente également sur son flan une particularité surprenante. La Nasa nous livrerait-elle ces images pour le plaisir d’alimenter notre parano ! ?

   

    Comme par hasard, vous ne trouverez pas le cratère Lobachevsky dans la base de donnée pourtant très riche de Lunar Orbiter

C/ Du côté d’Anuchin

     Poursuivons notre petite promenade sur la Lune en utilisant justement les nombreux clichés de la mission Lunar Orbiter. Dans la zone du cratère Anuchin, (Latitude: 49.0°S, Longitude: 101.3°E ) j’ai repéré plusieurs zones qui me paraissent étranges. Il y a en effet au moins deux monticules alignés (peut-être trois en comptant le tout petit monticule à coté de celui de droite), qui pourraient correspondre à des pyramides. Vous trouverez la photo originale à l’adresse suivante :

  http://cass.jsc.nasa.gov/htbin/lunar_orbiter/lo.pl?info1492

   Ces « pyramides » gigantesques, plus larges que hautes, viennent s’ajouter aux déjà nombreuses observations de structures cyclopéennes de la lune. La photo a été prise d’une altitude d’environ 3000 km. J’ai également repéré une sorte d’entrée de galerie souterraine que j’ai agrandie. Je vous laisse seul juge. Il faudrait malheureusement trouver une meilleure photo pour se faire une idée plus précise.

 

D/ Du côté d’Archimèdes

   Archimèdes est un cratère de 82 kilomètres de diamètre, situé à la latitude 29.7°N, et longitude: 4.0°W. Au Sud-ouest du cratère Archimèdes se trouve une zone très accidentée que j’ai appelée la « Plate-forme » Vous trouverez la photo originale de cette zone à cette adresse : http://www.lpi.usra.edu/research/lunar_orbiter/img/4-109H3.jpg

 

   Au nord de cette curieuse structure de forme rectangulaire, à la hauteur du cratère Archimède mais plus à l’ouest, se trouve une autre région très remarquable par les formes géométriques de certaines « montagnes ». J’ai appelé cette zone « La flèche » pour une raison qui vous paraîtra évidente.

 

5/ Illusions d’optiques ?

   Voici à présent trois phénomènes d’illusions d’optiques dont j’ai été victime en étudiant les photos de la lune. C’est en effet ainsi que je préfère appeler ces découvertes qui dépassent l’entendement. Mais est-ce réellement des illusions d’optiques ? C’est à vous d’en décider.

    La première concerne une photographie du cratère Schmidt, publiée dans le numéro 1049 de Paris Match, le 14 juin 1969. Ce numéro consacrait un long article accompagné de nombreuses excellentes photos de la mission Apollo X.

    Les coordonnées du cratère Schmidt sont les suivantes : Latitude: 1.0°N, Longitude: 18.8°E

    Tout ce dont je vais parler se situe sur le flan du cratère, cependant on peut apercevoir des choses intéressantes tout autour. C’est le cas de bien des images que je vous ai présentées ici.

 

    Voici à présent la région du cratère Arybhata (Latitude: 6.2°N, Longitude: 35.1°E) Cette image est tirée du site de Lunar Orbiter à l’adresse http://www.lpi.usra.edu/research/lunar_orbiter/img/4-73H1.jpg . On y découvre ce qui pourrait apparaître comme une tour.

 

 

    Pour finir, je vous propose une image extraite de la très célèbre vidéo de la sonde Ranger 9 que les Américains lancèrent comme un missile sur la Lune, afin d’en obtenir les premières informations. Ranger 9 filma le sol lunaire jusqu’au moment de l’impact dans le cratère Alphonsus (Latitude: 13.7°S, Longitude: 3.2°W), l’un des plus célèbres cratères de la Lune. Le diamètre du cratère fait 108 km et ses rebords s’élèvent environ à 2 km. Je précise toutes ces mesures afin que vous puisiez avoir une bonne idée de la vision fantastique à laquelle je vous invite. En effet, le rebord du côté sud du cratère Alphonsus semble avoir été taillé pour laisser un passage à d’immenses véhicules qui semblent avoir laisser des traces de leurs vas et viens. Au milieu de ce passage, subsiste une partie du rebord du cratère qui paraît (et c’est là que se situe l’aspect fantastique) avoir été sculpté. Le monument ressemble vaguement à celle d’un Bouda à genoux ou dans la position du lotus. Mais regardez plutôt l’effet de cette superbe « illusion d’optique ».

 

              

 

     

 

6/ La présence répétée de ces anomalies

Un autre aspect particulièrement intéressant de la recherche repose sur les similitudes qui peuvent exister entre différentes structures retrouvées sur différents endroits de la Lune ou même d’autres corps célestes, à différents moments de l’histoire de l’aventure spatiale. On a pu remarquer une première fois cette occurrence avec l’affaire du Paris Match 1028 que vous avez pu lire à cette adresse http://www.artivision.fr/docs/match.html sur ce même site. Si vous avez lu l’article « Remue-ménage cosmique» traité également sur le site d’ARTivision, vous vous souvenez sans doute de cette structure blanche rectangulaire présente sur Eros.

 

    Il se trouve que cette structure, ou du moins des structures ressemblantes ont été retrouvées sur la Lune et photographiées par l’une des missions Lunar Orbiter. La première structure ressemblante se trouve tout près du cratère Archimèdes, tandis que la seconde a été découverte dans le fond d’un cratère d’une zone inconnue de la Lune. La photo originale de cette dernière découverte se trouve à cette adresse : http://www.lpi.usra.edu/research/lunar_orbiter/img/4-172H3.jpg

   Mais voyez plutôt par vous même de quoi il s’agit.

 

     Si, prises isolément, ces structures ne semblent pas très naturelles, les septiques pourront toujours arguer que le hasard géologique en est seul responsable. Cependant, le fait de les retrouver à différentes reprises et à différents endroits renforcent l’idée que nous avons à faire ici à des anomalies complexes qui ne devraient pas se trouver là, et qui n’ont rien à voir avec des évènements géologiques. Cela tend également à prouver l’existence dans notre galaxie d’une population extraterrestre suffisamment avancée, et qui a pu coloniser notre système solaire.

7/ Conclusion

    Il est très difficile, voire impossible de se faire une idée précise de ce qu’il y a sur la Lune en étudiant les documents dont nous disposons sur le Web. Preuve, s’il le fallait, que nous ne connaissons finalement pas grand chose de la configuration du sol lunaire. A moins que la Nasa nous cache délibérément les choses. Si la Nasa n’a rien à cacher, alors, nous devrions peut-être nous cotiser une bonne fois pour toute, afin d’offrir à cette prestigieuse administration un bon polaroïd qui lui permettra enfin de nous présenter des photographies dignes de ce nom !

Roch Saüquere

 

  Pour tout contact au sujet de cet article : SAÜQUERE

 

Article mis en page par Idylle Fred le 22/10/01, et revu le 23/10/01, puis le 16/06/03, puis le 16/05/05, puis le 07/06/05.

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