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Un certain plus concernant l'exploration de l'Espace


I Introduction

    Il n'y a pas si longtemps, nous avons reçu d'un aimable internaute, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Gene S.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Wednesday, February 09, 2005 11:38 AM
Subject: we never went to the moon.

Salut Fred,

    Je viens de lire la page sur "lettre ouverte à science et avenir" et je me permets
un tout petit commentaire sur un détail qui me paraît discutable, du moins si mes souvenirs sont exactes.
Au début des années 80 (peut être fin soixante-dix), je me rapelle avoir avoir vu Armstrong dans
l'émission "les dossiers de l'écran". d'après mon souvenir, il parlait apparemment librement du sujet.
   Impossible par contre de me rappeler du film diffusé ce soir là. (d'ailleurs si vous avez une idée, ça me soulagerait!)
    J'espère que nous aurons la lumière défintive sur cette affaire tôt ou tard...

    Bon travail d' ici là.

    Amicalement

   Gene

   Nous avons bien sûr suivi de très près cette invitation d'Armstrong à Paris aux "Dossiers de l'écran en Juillet 1979" et nous allons vous en dire plus, plus bas.

   De même le 16 Décembre 2003, nous avons dû répondre à un internaute (qui se reconnaîtra facilement), et qui nous avait déclaré l'assertion suivante :
" ...mais à mon avis, seuls les dires des astronautes me semblent fiables. Qu'en penses-tu?"

   Nous allons donc aussi éclaircir toute cette affaire tant soit peu.

II Genèse de L'affaire.


   Venons en à la prestation d'Armstrong aux "Dossiers de l'écran" le 15 juillet 1979, sur la deuxième chaîne de l'ORTF.

     En premier lieu, disons que nous avions été surpris d'entendre de la bouche même d'Armstrong qu'il n'avait nullement préparé sa phrase célèbre " Un petit pas pour l'homme...etc.......", et qu'elle lui était venue à l'esprit en posant le pied sur notre satellite. Cela nous avait déjà fait sourire, car dans un moment pareil, il était pour nous impossible que la NASA,, ne lui ait pas donné des directives verbales a ce sujet. Or depuis pas mal de temps circule sur le Web cette vidéo surprenante que nous avons reçu il y a bien plus de 3 ans sous la forme: Moontruth.rmp(1,44 ko)

http://www.youtube.com/watch?v=960vBSKT-Pw 
http://www.youtube.com/watch?v=deNF7op40Tc

     On y découvre, qu'un système de projecteurs, s'est décroché au moment où l'astronaute était entrain de prononcer sa phrase célèbre. Cela surprend évidemment, mais hélas il faut toujours tenir compte des réactions des détracteurs français zététiques et autres debunkers anglosaxons, qui vous diront que ce film ( s'il n'est pas truqué ) provient effectivement de la zone de simulation, où l' on était entrain de préparer les gestes précis à faire et que ce film a bien été tourné sur la Terre. Et toc, on n'est pas plus avancé.

      Il peuvent même dire, que rien ne prouve qu'il s'agisse d'Armstrong descendant les escaliers du Lem. D'accord... mais il devient dès lors impossible d'admettre qu'Armstrong ne puisse pas être au courant de la phrase en question avant son départ pour la Lune.

     Tout ce que nous pouvons dire alors, personnellement ,c'est qu' Armstrong a bel et bien menti aux journalistes de l'emmission, quand le 15 juillet 1979, il a déclaré que sa phrase fut spontanée et non prévue à l'avance. A vous donc de juger ....

      Pour bien montrer que nous ne sommes pas restés les bras croisés après ce débat, voici une de nos missives qui a été publiée à l'époque par la revue Nostra, missive qui n'aurait aucune chance de passer dans un journal comme "Le Monde" et encore moins dans une revue comme "Paris Match", dont pourtant nous faisons allusion dans cette lettre. Mais sans doute faute de place, Nostra, n'a pas publié la fin de notre missive, qui représentait selon nous, à l'époque, nos preuves incontournables prouvant qu'il se passait des choses bizarres sur la Lune. Nous vous présenteront ces preuves plus bas.

   Voici donc le début de notre missive à Nostra, que nous avons re-structuré en 3 colonnes au lieu des deux très grandes de la revue :



   Et voici le reste de notre missive que Nostra n'a pas pu présenter:

"Il n'est pas en principe impossible que nous soyons nous même en mesure un jour dans le siècle prochain, de fabriquer des satellites de plusieurs km de diamètre, si la Terre n'est pas rasée d'ici là évidemment. Alors pourquoi pas " une Lune artificielle " dans quelques milliers d' années. .. ? J'aurais souhaiter cependant que débat réponde à tant de questions qui nous brû1ent les lèvres et entre autres à celles-ci dont les références permettront à chacun d' en vérifier facilement le bien fondé :

1°) Quelle la nature de la tache en forme d'ovale allongée sur près de 22 km de long, très brillante, couleur rouge rubis , découverte par les astronomes J. H. Greenacre et B. Barr, le 27 nov. 1963 sur l'arête du rempart du cratère d'Aristarque et dont on peut voir la photographie à la page 65 de la revue Science et Vie n° 559 d'Avril 1964 ?
2°) Quelle est aussi la nature de forme géométrique très structurée et colossale de près de 26 km de long, d' une hauteur phénoménale, et où apparaissent des sphères surmontées d'une gigantesque flèche, d'environ 8 km de haut . Cette superstructure est visible sur la face cachée de la Lune, sur une photo de Paris-Match n° 1028 du 18 Jan.1969.
3°) Pourquoi enfin la NASA n' a-t-elle pas envoyé plutôt des astronautes sur les bord du cratère Vitello où apparaïssent sans discussion possible des traces de plus de 600 mètres de long, laissées par deux véhicules d'environ 5m et 25m de large et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères? Ces traces sont très nettement visibles sur la photo n° 67-H-1135 de la NASA, phot qui est présentée dans les ouvrages de G.Léonard : " Ils n'étaient seuls sur la Lune : Le dossier secret de la NASA ". Belfond 1978, et A. Nahon : " La Lune et ses défis à la Science ". Mont-Blanc 1973

IDYLLE Fred
"

   Mais nous avons alors, rougi de satisfaction, en découvrant dans cette même revue Nostra, vers la fin d' Août 79, cette missive d'Alfred Nahon avec qui, nous avons eu par la suite, plusieurs échanges de correspondances:



   Comme vous le voyez Nostra a été plutôt coincé aux entournures au sujet du "top secret", que nous évoquions déjà à l'époque et la revue a préféré parler, "d'impossibilité d'acquérir de certitudes", plutôt d'ailleurs que de présenter, au moins déjà, nos preuves flagrantes, qui parlent d'elles mêmes et qui auraient dû être débattues, au plus haut niveau dans les médias, qui n'hésitaient pas à nous passer des reportages plein de niaiseries et autres fadaises, où le crime, l'assassinat, la violence, la cruauté et l'animalité étaient souvent mis en exergue... et cela se poursuit... trente ans après et, demandez-vous donc pourquoi, on continue à se taire sur ce qui aurait sans doute changé le destin de notre Humanité, et mis hors circuit, la mentalité guerrière et le souci de la séparation des humains, de ceux qui nous dirigent.

   Voila donc une courte, entrée en matière, qui va un peu mieux éclairer notre réponse aux deux internautes précités :

   Nous avons répondu au premier que s'il voulait bien considérer, le comportement aberrant d'Armstrong dans nos articles:

http://www.artivision.fr/docs/merlibre.html
http://www.artivision.fr/docs/lettreouverteSA.html

alors, il comprendrait vite qu'Armstrong ne pouvait se soustraire à certaines obligations imposées par la Nasa, comme de faire une présence lors des anniversaires importants du soi-disant débarquement sur la Lune, en France ou ailleurs. Mais il ne faisait que répéter un discours archi maché par la NASA, sinon sa femme et ses enfants seraient directement menacées.

   Pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Web, voici un passage très clair de notre lettreouverteSA.html sur Armstrong et sa façon d'agir qui montre, qu'il refuse parfois de jouer le jeu.

" Pour certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute, par exemple, nos déclarations sur Armstrong, l'homme qui, le premier, parait-il, a mis le pied sur un autre "astre que la Terre" et qui aurait pu amplement en tirer profit par les contrats publicitaires faramineux qui lui ont été proposés, voici quelques phrases tirées de la page 99 de l'ouvrage très documenté de Pietro Banucci intitulé "La Lune" publié aux Éditions Bordas 1989 : "Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même et évite, dans la mesure du possible, de parler du passé. Séjournant dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A plusieurs reprises, il émet des opinions négatives sur la NASA. En Décembre 1972, après la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre satellite, il refuse une invitation de la NASA à une cérémonie au cours de laquelle il aurait dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre à une "party" à laquelle l'a invité le Président Nixon... Il snobe également une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du programme Apollo dans sa villa du Pacifique en Californie...". Arrêtons là, voulez-vous, ces propos significatifs, qui justifient parfaitement, à notre avis, notre expression "Ours en cage", citée ci-dessus. "

fin de citation

   Puis nous lui avons exposé quelques éléments tangibles utiles pour mieux appréhender le site ARTivision. Nous ne les développerons pas ici.

   En ce qui concerne le deuxième internaute, qui ne jurait que par ce que racontait les astronautes, nous avons d'abord précisé que :

1°) D' abord que les astronautes ont eu à leur retour des comportements si aberrants que cela ne cadre pas du tout avec le stoïcisme et le caractère avenant que l'on prête en général à un héros de la nation et que nous avons même proposé dans merlibre.html aux étudiants en psychiatrie ou psychologie de lancer une thèse à ce sujet.

2°) Nous aussi démontré avec force détail que la plupart des photos montrant les évolutions des astronautes sur la Lune étaient manifestement truquées et qu'en conséquence de cela, il fallait remettre en cause leur prétendu alunissage avec la fusée Apollo et son module de descente le Lem. Voir justement nos articles placés directement à :

http://www.artivision.fr/docs/Ameriquechocretour.html
http://www.artivision.fr/docs/lettreouverteinternaute.html

3°) Mais alors s'ils n'ont pas été sur la Lune en 1969 avec Apollo, où donc les américains ont-ils pu trouver les roches lunaires ramenées de leur prétendues mission ? Le Président John Kennedy est sans doute mort pour avoir voulu révélé ce secret, car avant 1969, les américains avaient déjà pris contact avec "les Petits Gris" qui eux avaient les moyens d'aller sur la Lune avec leurs ovnis spéciaux. Donc les cailloux ramenés de la Lune en 1969 et distribués aux savants parcimonieusement ont donc été receuillis avant cette date par un autre moyen qui est parfaitement explicité dans l'extraordinaire confession avant sa mort, d'un officier de sécurité de la base militaire DULCE aux USA nommé Thomas Edwin Castello. Voir la fin de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/Soriarevelations.html

4°) Lorsque l'astronaute Arsmtrong a soi-disant débarqué sur la Lune (et cela 2 heures avant l'heure prévue et pour cause), il a flanqué la caméra dans une direction et elle n'a plus bougé. Jamais il n' a fait un panorama du paysage comme le fait tout alpiniste qui arrrive au sommet d'une montagne. C'est inadmissible au prix où l'on avait évidemment payé cette caméra. Des spécialistes ont démontré d'ailleurs, que la caméra n'avait aucune protection, contre les dures conditions qui régnent sur la Lune et que par conséquent, les films obtenus auraient été tous "brûlés"...

5°) Voici une autre déclaration qui vient de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/Nasajury.html


" Notons en effet aussi, ce fait important : Le 15 juillet 1975 fut lancé le vaisseau soviétique Soyouz 19 avec les cosmonautes A. léonov et V. kubasov et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains : T. Stafford , V.Brand et D.Slayton ont été largement filmés et retransmis dans tous les télés, radios et presses du monde entier.Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :



    Mais justement maintenant, il nous vient à l'idée que la Nasa n'a jamais montré pour Apollo 11 ( ni d'ailleurs, chose bizarre, pour aucun autre vol d'Apollo), (à notre connaissance bien sûr: les internautes qui en auraient la preuve nous ferait un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes Armstrong et Aldrin revenant de la Lune et de leur compagnon d'infortune Michael Collins, lui privé, hélas, du débarquement et qui est resté sagement dans le module de commande à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or Michael Collins n'avait-il à sa disposition à l'intérieur de la cabine une caméra pour filmer tout ce qu'il se passait à l'extérieur sur la Lune. Aux spécialistes de répondre "

   Quelle joie ce serait pour lui de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion au monde entier ? Non rien de tout cela ne nous a été présenté par la Nasa.     Le 24/07/09, nous avons eu le plaisir de revevoir de l'ami Olivier le message suivant : " En plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté a leurs combinaisons spatiales . Au total , 18 663 photos ont été prises manuellement et près de 15 000 par des caméras automatiques "     Tout est donc clair, et selon nous bien sûr, si Michael Collins n'a pris aucune photo du retour de ses privilégiés de copains après leur escapade très risquée sur la Lune, c'est qu'il n'y a jamais eu de rendez-vous lunaire et cela pour les 6 Apollos connuscar cette opération était effroyablement risquée pour un equipage qui n'en avait jamais fait l'expérimentation à l'avance.

 Seule la  photo suivante déjà jaunie par le temps demeure dans nos archives. Elle est tirée   d'un calendrier publié en 1971 par les Editions LYS (B -8500) Kortrijk imprimé en Belgique:

   Cette photo est accompagnée au verso de la légende : " Eagle de nouveau en orbite lunaire le 21 juillet 1969, vers 2 heures de l'après midi. Retournant au Module de Commande d' Apollo 11, Armstrong et Aldrin se trouvent dans le module de décollage, juste après leur lancement de la Lune.. Ils commencent ainsi la première partie de leur voyage de retour à la Terre. En haut sur la photo, notre planète à demi plongée dans la nuit, au desuus de la courbe de l'horizon lunaire."

  Pas de chance sur cette photo, nous aurions aimé voir fonctionner les tuyères des réacteurs d'approche, mais ce n'était pas sans doute, le bon moment, quand la photo a été prise....( Voir cependant, plus bas, l'explication scientifique du manque de jets des réacteurs )

   Cette photo agrandie apparaît aussi sur deux pages dans le n° hors série de la revue Ciel&espace de 1999 page 42 et 43 avec la légende: "Fin de la première aventure lunaire...ce 21 juillet 1969, l'étage supérieure du module Eagle se propulse vers son rendez-en orbite avec Colombia sur fond de lever de Terre" (C'est dommage que cette revue n'ait pas, elle non plus, pu nous montrer une photo du rendez-vous à l'intérieur de la cabine...)

   La caméra était-elle fixée à l'extérieur du Module de Commande pour réaliser la photo ci-dessus ? Il est important de le savoir, car le redisons encore spécifiquement, nous n'avons jamais vu, pour cette mission d'Apollo 11, ni d'ailleurs pour aucune autre mission Apollo, un seul cliché représentant l'arrivée des astronautes lunaires dans la cabine du Module de Commande...

  Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur la Lune, qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagon, sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir ?...Ne trouvez-vous pas cela bien bizarre?  
Nous attendons vos appréciations...

   A propos de cette photo ci-dessus, pendant que nous y sommes, nous remarquons sur la Lune, à droite du vaisseau, une zone rougeâtre très caractérisée, qui n'apparaît plus ensuite, sur les autres photos ultérieures de notre satellite. Aux spécialistes de nous dire pourquoi?

6°) Mais d’autre part de plus, nous pensons à un autre point clé (lié au précédent) qui prouve que les américains n’ont pas du tout explicité parfaitement cette affaire et gardent à ce sujet un secret terrible.

   En effet nous nous souvenons, que ces mêmes américains avaient eu, en Décembre 1965, un gros problème avec Gemini 6 ( avec les astronautes W.Schirra et T Stafford) qui n’a pas pu s’arrimer à un satellite cible qui devait être un étage de la fusée Agena spécialement équipée pour que le nez de la cabine Gemini 6 puisse s’y emboîter. Agena ayant échoué dans son lancement, la Nasa décide brusquement de modifier ses plans. C’est le vaisseau Gemini 7 (avec Fank Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à Gemini 6. L’expérience devient alors peu spectaculaire, puisque l’arrimage étant impossible, le 15 Sept 1965, les deux cabines ne vont pouvoir que s’approcher à deux pas l’une de l’autre, et vont effectuer ainsi en tandem plusieurs révolutions orbitales.

   Le véritable rendez-vous avec la fusée Agena inhabitée n’aura en fait lieu qu’en Mars 1966 avec Gemini 8 (avec N. Arsmtrong et D. Scott).

    Nous n’avons pas trouvé d’exemple où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo différents (avant bien sûr la mise en orbite de la navette spatiale) se sont réunis dans la même cabine après un rendez-vous spatial programmé.

   Alors, on se demande comment ces mêmes américains ont pu réussir (comme dans un fauteuil) 6 rendez-vous lunaires sans aucune anicroche, à environ 400 000 km de la Terre avec des ordinateurs très primitifs qui n'avaient même pas à l'époque la puissance d'une calculette actuelle d'écolier. Et cela en plus, malgré le terrible cône d'ombre électromagnétique que représentait la Lune, vis à vis de la Terre, en fonction des positions des éléments des vaisseaux à joindre.

   C'était donc là, l'un des moments les plus cruciaux de la trajectoire suivie par ces astronautes revenant de la Lune et, c'est là que nous avons le moins d'information et aucune image de cela.

   D'ailleurs sur la photo de la NASA n° S72-55421 pour seulement l'Apollo 17, à la page 73 du livre de Philippe Lheureux, on nous présente le décollage de la Lune de la partie supérieure du Lem contenant deux astronautes qui devaient aller joindre le compagnon d'infortune dans le module de commande en orbite autour de la Lune :



   Le hic c'est que l'on ne voit pas un seul petit jet des gaz d'éjection, assurant la poussée verticale de l'engin devant s'extraire de l'attraction lunaire.. Quelle malchance et bravo messieurs les ingénieurs photographes pour avoir déclenché votre appareil juste au moment, où il n'y avait plus rien à filmer d'important.

      Il faut cependant noter à ce sujet la réplique judicieuse, des fidèles adeptes du débarquement lunaire des americains :

      Sur le site :

http://www.ufologie.net/htm/moonhoaxf.htm

     On trouve cette explication scientifique : "Pourquoi lorsque le module se détache de sa base et s'envole pourquoi ne voit-on pas de la fumée de ses réacteurs?

Parce que la fumée de cette fusée ne se voit pas: elle marche au dinitrogène tetroxyde et à l'hydrazine, qui brûlent sans flamme ni fumée, surtout quand il n'y a pas d'air [lm1]. C'est le tetroxyde qui "remplace" l'air pour cette combustion.

     Pas mal comme explication n'est-ce pas ! Et on en déduit alors qu' Hergé s'est mis franchement "le doigt dans l'oeil", en montrant ce jet inexistant. (voir ci-dessous).

   Voici, à titre documentaire, comment le grand dessinateur Hergé imaginait ce décolage du Lem pour Appolo 12, dans un album spécial de 1985 intitulé "Ils ont marché sur la Lune : De la fiction à la réalité"



   Comme vous le voyez le dessinateur a une vue plus réaliste du décolage du Lem, que celle que nous montre la NASA. Qui a raison ? On le saura certainement un jour prochain et pas trop lointain.

    Et pour bien montrer que ceux qui ont élaboré cet album d'Hergé, étaient bien loin d'imaginer que tout cela n'était qu'un grand bluff de la Nasa, voici la première page de cet album :



   On y trouve une verve poétique émouvante, qui se termine par : "Il s'en fallait de vingt ans: Le 21 Juillet 1969, Armstrong descendait de la fusée et posait le pied sur le sol lumaire: la réalité rejoignait la fiction." Humm..Humm, la réalité est parfois très trompeuse, on le sait...

7°) Quand on lave bien blanc à la NASA.

     Extrayons la photo célèbre NASA AS16-107-17446, d'Apollo16 ce petit coin :



    Remarquons bien sur la droite du rocher ci-dessus, une partie du + pouvant servir, on le suppose, au cadrage des éléments du paysage comme le quadrillage établi par les archéologues sur le site d'un terrain ou sous la mer. Ces + devraient toujours se situer en avant des objets de l'image. Mais l'aimable internaute "PL", nous fait remarquer que justement cette photo NASA AS16-107-17446, possède à ce sujet une anomalie notoire et voyez vous-même.



    Comme vous le voyez, la branche horizontale gauche du + , passe bien derrière le bout de l'objet de forme rectangulaire et même aussi un tout petit bout de la branche verticale du bas de ce + disparait, lui aussi, derrière l'objet. Ceci est la preuve absolue que cette photo a été réalisée par la juxtataposition de plusieurs photos et l'opérateur de la NASA, ne s'est pas rendu compte de l'erreur lors du montage.

    Pour mieux voir, cela passer à l'agrandissement de :

http://spaceflight.nasa.gov/gallery/images/apollo/apollo16/hires/as16-107-17446.jpg

    Mais voilà, comment on explique le phénomène sur le site :

http://www.ufologie.net/htm/moonhoaxf.htm

     Pourquoi la croix du viseur photographique se trouve parfois devant ou derrière les objets ?

    Parce que quand l'objet est blanc la croix n'apparaît pas, le blanc "déborde", sature l'image. C'est comme ça sur toutes les photos avec ce système de marquage même en dehors des missions Apollo, et la même chose avec des photos sur Terre.

        Détail de la photographie as17-146-22296:

    C'est la saturation par la lumière blanche qui gomme la partie du marqueur devant le fond blanc.
    En fait, cet argument là est d'une ineptie rarement atteinte: les conspirationnistes veulent vous faire croire que des artistes auraient peint de "fausses croix" à la main sur les photos - alors qu'il n'y a vraiment aucun problème pour faire des photos avec des marqueurs, évidemment! Donc, les conspirationnistes prétendent que les marqueurs ont été ajoutés à la main. Mais alors, pourquoi auraient-ils arrêté de peindre les croix quand elles traversent du "blanc"? C'est au contraire si le trait avait été poursuivi que ce serait "étonnant" et que cela aurait "trahi" une anomalie!


    Donc si nous comprenons ce langage, le blanc, sature certaines parties de la croix et les fait disparaitre et on a l'illusion que la croix se poursuit en dessous.

    Voyons de plus près cette affaire de saturation :

    Analysons voulez-vous cette portion d'image d'Apollo 17 :


    Si nous regardons au bas de l'instrument que tient l'astronaute, on découvre ceci :


    Et il semblerait donc ici, que le blanc de l'instrument n'ait pas réussi cette fois, à saturer totalement les branches de la croix. Bizarre!!! Mais évidemment, on nous dira que ce blanc n'est ici pas assez éclatant...

    Mais il y a mieux :

    En effet il y a aussi cette photo d'Apollo 15AS15-85-11355 visible sur le site :
http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html

où l'on découvre ce coin, où apparaissent 4 croix dont 3 sont dans un blanc très remarquable :


    Les croix ont résisté ici, n'est-ce pas franchement à la saturation de ce qui on pourrait le dire, lave bien blanc à la NASA !

     Et voici , un autre sur le même site :


    Les 6 croix sont bien apparentes, et même celle qui nage dans le blanc... n'est-ce pas ?

    Enfin un dernier pour la route :


    Mais regardons plus loin. Il semblerait que le blanc ait aussi, un vilain concurrent, qui efface irrémédiablement les croix en entier :

    Analysons en effet, cette portion d'image d' Apollo 17, visible sur le site officiel :

http://measat.org/gallery_B/displayimage.php?pid=246&fullsize=1

où nous avons numéroté certaines croix :



    Si les croix 1, 2, 3 et 5 sont parfaitement visibles, on voit alors aussi que la croix n° 4 semble être tronquée vers le bas, tandis que la croix n°6, qui devrait être dans la zone cerclée de rouge, elle, a totalement disparue et elle devrait pourtant supplanter les petites infractuosités du rocher, où le blanc est particulièrement absent. Nous invitons donc avec déférence, l'internaute qui a le logiciel pour le faire, de transferrer par exemple la croix n° 5, sur le centre de l'emplacement cerclé de rouge et, selon nous, elle devrait apparaître parfaitement à l'intérieur et même déborder un peu.

    D'ailleurs voici sur la photo suivante, 4 croix apparaissent parfaitement sur le rocher :



    Nous avons, grosso modo, dessiné légèrement, la croix manquante et elle demeure encore visible, au moins par sa branche horizontale :



    Autrement dit, il ne s'agit pas du tout d'une affaire de blanc ou de rocher sombre qui neutralisent les croix, et la photo précédente d'Apollo 17 , nommée Apollo17_schmitt_boulder, où il manque une croix sur le rocher, ( nous n'avons pas pu hélas déterminer sa référence exacte), comme bien d'autres, ne peut être que le résultat de la juxtaposition d'au moins deux clichés différents. A vous de juger à nouveau cela.

   Mais ARTivision étant un site très pragmatique, nous allons terminer ce dossier par une énigme spatiale, qui attend encore que les médias soi-disant curieux de nature, veuille bien en étudier les incroyables tenants et aboutissants.

8°) La photo impossible.

    En effet, nous aimerions bien aussi que l'on nous explique comment un citoyen américain, dans le courant du mois d'Août 1956, (On ne pouvait pas, alors utiliser les traitements d'images informatiques), a pu prendre cette photo vraiment étonnante de la Lune, où l'on aperçoit le bord d'un hublot dans le coin supérieur gauche :



     Il faut noter ici que la première incursion dans l'espace remonte au 4 octobre 1957 avec le lancement du satellite soviétique Spoutnik I. Les américains voulant prendre leur revanche en touchant la Lune avant les soviétiques lancèrent vers cette dernière une série de sondes.   Nous disons aussi que dans le petit ouvrage de poche intitulé "la Saga de L'espace" publié chez Gallimard en Octobre 86, on découvre les précieux renseignements suivants :" Les deux premières tentatives, d'Août et de Septembre 1958 furent des échecs. La troisième, le 8 novembre 1958, voit Pioneer 1 s'élever à 113000 km d'altitude (loin encore des 384 000 Km de moyenne qui nous s'éparent de notre satellite); la suivante, le 6 Décembre 1958 conduit à une performance moins bonne : 102 000 km d'altitude pour Pioneer 3 enfin le succès est acquis le 3 mars 1959 avec Pioneer-4 qui passe à 60 000 km de la Lune. Mais les soviétiques ont fait beaucoup mieux entre temps: Le 2 janvier 1959 ,ils ont lancé leur sonde Luna-1 (alors surnommé Lunik) qui est passé dix fois plus près de la Lune (à 6500 km seulement), quoiqu'elle soit beaucoup plus lourde: 361 kg, contre 5,9 kg seulement pour Pioneer 4...
     En outre l'exploit de Luna-1 n'est qu'un prélude. Le 12 Septembre 1959, Luna-2 prend à son tour la route de la Lune sur laquelle elle s'écrase deux jours plus tard, dans la Mer de la Sérénité. Pour la première fois, un objet construit par l'homme a atteint un autre corps céleste. La performance de Luna-3 lancé le 4 octobre 1959 est encore plus remarquable: passant derrière la Lune, elle obtient les premières photographies de la mystérieuse face cachée. "
      Les détails chronologiques ci-dessus sont suffisamment éloquents, pour que nous puissions imaginer que si cette photo est bien de 1956, comme le précise son auteur, elle surclasserait de loin celle qui aurait pu être obtenue par le seul Luna-2 (en sep 59).

     Certains détracteurs n’hésiteront pas à déclarer que l'étrange photo d'H. Menger ( car il s'agit de ce contacté très critiqué comme Adamski , contacté au sujet duquel nous avons obtenu des informations ésotériques qui confirment sa visite autour de la Lune) aurait pu être obtenue juste au moment de la publication du livre en Anglais, c'est-à-dire 1959 après l’arrivée de Luna-2.

      Mais, et cela est d’une importance capitale, nous avons appris que cette sonde n'avait pas d'appareils photographiques embarqués à bord et que par conséquent, elle ne pouvait pas photographier le sol lunaire en s'y écrasant.

      D'autre part, il ne semble pas que les autres sondes spatiales citées plus haut aient eu un pouvoir de résolution suffisant pour capter les détails minimes de la Lune apparaissant sur la photo ci-dessus, et même si cela était possible, peut-on aussi penser que n'importe quel quidam, puisse à l'époque disposer d'une photo, représentant le sol lunaire, d'une telle qualité, jamais vue ailleurs, que lui aurait remise la NASA ou les Soviétiques ? Aux spécialistes de répondre.

     Si aucun éclaircissement ne pouvait nous être donné à ce sujet, alors, cette seule photo constituerait, en elle-même, un élément pour le moins sérieux, de la véracité des propos d'Howard Menger, et nous nous interrogeons évidemment grandement sur le silence, au sujet de cette incroyable photo, (comme pour la forteresse carrée de Mars ), des médias et des journalistes soi-disant curieux de nature.

     Si vous voulez en savoir plus sur Howard Menger, il ne vous reste qu'à visiter la page de l'ami Joël Baran placée directement à :

http://www.artivision.fr/docs/Howardmenger.html

III Conclusion


    Nous espérons que ces quelques interrogations concernant l'exploration de l'espace, ont su retenir l'attention de certains internautes qui veulent aller au fond des choses. Ils ne manqueront pas de trouver, eux mêmes, bien mieux plus tard.

    En effet, il y a bien d'autres énigmes de même nature, que nous pourrions évoquer. Et donc au lieu d'aller risquer leur vie dans les zones en guerre de la planète, certains journalistes et autres cinéastes, auraient pu en tirer une satisfaction bien plus étrange et reposante, et surtout, ils rendraient à l'Humanité, un service inestimable.

     Article mis en page le 07/03/05 et revu le 12/03/05, puis le 6/04/05, puis le 24/07/09, puis le 27/07/09, puis le 06/08/09, puis le 11/08/09 , puis le 03/03/2012.

    

IDYLLE Fred

Pour tout contact avec ARTivision : fred.idylle@wanadoo.fr


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