Notons d'abord ici, que le site ARTivision, n'a jamais bien su, comment le garde-boue de la jeep lunaire a été cassé. Mais, on dit tout de même, que cela a eu lieu lors de la première sortie des "astronautes".
Donc, on devine que les "spationautes", d'Apollo 17, ont effectué après leur premier périple mouvementé, sur des "km de sol lunaire", une réparation de fortune du garde-boue de la roue arrière droite du LRV (Lunar Roving Vehicle), et ils ont fait rouler la jeep jusqu'à son emplacement actuel. Mais, comment ont-ils pu l'amener ici, sans qu'elle laisse des traces sur le sol ?
Donc là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué l'apparence du sol lunaire. Mais, on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est le très petit détail qui, comme dans le célèbre film d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 : "Le crime était presque parfait", a confondu le coupable...Point barre..."
Bien sûr, nous avons
beaucoup d'autres anomalies du même gabarit, dans nos dossiers, mais il n'est pas possible ici, de reprendre tout cela, et nous attendons encore, avec ferveur, l'explication officielle, de cette roue, qui apparaît, sans une seule trace, au sol ...
Mais ce
19 Décembre 2018, voici de plus, un petit détail, qui est encore
une exclusivité d' ARTivision, qui n'a jamais reçu, la moindre explication, de ces Messieurs, les béni-oui-oui de NASA...
Regardez en effet, cette image, d'Apollo 11, nommée AP11FR11, et surtout l'ombre, du drapeau :

Voyons cela de plus près :
Et maintenant voyons, cette autre photo très connue, de la même mission Apollo 11, montant dit-on les évolurtions sur la Lune en 1969, de Neil Armstrong et Buzz Adrin.
Cette image est nommée ap11-S69-40308, et c'est elle, que toutes les télévisions du monde entier, et les journaux d'astronomie en vogue, nous ont galvaudée, à souhait :
On voit alors qu'étant donnée la position de la hampe du drapeau, au pied de "l'astronaute" , ce drapeau devrait se projeter sur "l'astronaute" de gauche grosso modo, comme le montre notre modèle grossier, un peu trop foncé :
(Merci mille fois à l' infographiste passionné, qui pourra mieux réaliser cela que nous, et avec les couleurs requises )...
Pourquoi donc ce drapeau n'a-t-il pas d'ombre sur l'"astronaute" en question ?
Certains, vous diront, vite fait, que c'est le blanc du scaphandre, qui a saturé le flaiblard noir de l'ombre du drapeau. Point barre...
Nous avons démontré dans pas mal d'articles, que c'était faux, et voici par exemple, deux images, tirées du site, quasi officiel :
montrant nettement que le blanc ne gêne pas trop, la croix :
Reprenons maintenant, l'image bien connue d'Apollo 11, vue ci-dessus :
Il n'est absolument pas besoin, en effet, de sortir de Polytechnique, (et de très nombreux sites, ont soulevé cette aberration), pour s'apercevoir que l'ombre de
l'astronaute de droite, est bien plus
longue, que celle de son confère. Les rayons du soleil venant de l'infini et en plus ce Soleil étant assez proche de
l'horizon, les deux ombres doivent être parallèles et surtout de même longueur, car les "astronautes", ont des tailles très voisines, et comme on le voit, ce n'est pas du tout, le cas ici, pour la longueur des ombres en question.
Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste expérience suivante :
Un jour, vers
16 h 20 locales, nous avons simplement
placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté
de visu, que
les ombres étaient parfaitement
parallèles, et que l'ombre portée mesurait
98 cm, pour chacune d'elles.
En
conséquence, il s'en suit que :
- Soit que les deux astronautes sont éclairés (sur Terre évidemment,
par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada
ou de l'Arizona
)...
- Soit que
pire
encore, il s'agit
d'un montage
de deux photos différentes prises pour chaque astronaute
séparément et, bien entendu,
sur Terre.
Mais, il y a aussi ce point,
qui n'a jamais reçu de réponse claire, ni de la NASA, ni de ses émules asservis :
En effet, on ne nous a jamais présenté
le trépied ou la fixation, qu'auraient utilisés les prétendus "astronautes", pour répondre à la question qui consiste à simplement dire :
Qui donc, a pu filmer et prendre ces images, si bien
agencées des deux prétendus,"astronautes", évoluant côte à côte, sur la
Lune ?
On sait en effet que le troisième confrère nommé
Collins, était très éloigné en haut
dans le ciel lunaire, et dirigeait, dit-on
le Module de
Commande. Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre ces photos si claires
!!
Où était donc fixée la
caméra en question ? A-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou
a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si
précieuse en ce lieu ?
La même question se pose, pour les photos suivantes concernant
Apollo 16:
Qui a pris cette photo coincée entre les gros rochers, que l'on aperçoit
à l'avant plan ? Le LRV ne semble pas pouvoir s'y intercaler. Où était donc déposée la caméra, qui ainsi a pu permettre de faire les photos en question ? On ne nous a jamais présenté
le trépied pouvant permettre d'y placer une imposante caméra !!! Nous attendons encore
une réponse orthodoxe et officielle des béni-oui-oui en question.
Mais,
voyons pour clore cette affaire, un petit plus, concernant aussi le mission
Apollo 15, affaire decouverte par nous, en Février 2015 :
Mais, en y regardant de plus près, il semblerait même, que ce ne sont pas des pas d'un éventuel astronaute, mais la trace camouflée d'une roue
jeep Willys, bien connue dans les films de guerre américains :
A vous de juger...encore une fois, tout cela, documents incontournables à l'appui.
Mais ce jour,
revenons, à notre affaire fantastique concernant, une ou plusieurs civilisations anciennes qui se seraient installées sur la Lune, il y a des milliers d'années de cela ...

Tout cela serait de la bonne Science-fiction, si l'une des plus extraordinaires découvertes de Robert Charoux n'avait pas été présentée dans son ouvrage intitulé "L'énigme des
Andes" paru en 1973.
Ce fut en effet sa "rencontre" avec 15 000 pierres gravées, qu'un médecin péruvien, Javier Cabrera,
avait réunies dans son musée personnel et secret à Ica.
Pour Charroux, ces galets plats, de toutes tailles,
racontent l'histoire du monde en ces territoires depuis
50 millions d'années. Les gravures représentent de
grands sauriens de l'ère secondaire, mais aussi le reflet
d'une humanité très avancée en chirurgie, en
médecine et en géographie.
Voyez, vous-même cette extraorninaire image, que l'on aimerait bien voir, ces temps-ci à la télévision, suivie d'un débat académique, au lieu des banalités quotidiennes, que l'on aime souvent, nous faire avaler :
L'auteur suppose que
cette bibliothèque lapidaire, constituerait les archives
de nos grands ancêtres, et qu'elles furent réunies
dans le souci de sauver ce capital de connaissances.
Pour lui, ces peuples de l'Antiquité, ne seraient autres que les Atlantes : les survivants à la "grande
catastrophe" auraient atteint le Pérou.
A suivre...
Fred IDYLLE
Article mis en page le 04/12/2018, et revu le 06/12/2018, et revu le 08/12/2018, et revu le 11/12/2018, et revu le 13/12/2018, et revu le 14/12/2018, et revu le 15/12/2018, et revu le 17/12/2018, et revu le 19/12/2018.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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