Il est bien aussi à remarquer qu'une telle photo,
(à notre connaissance, mais un cas pourrait peut-être nous avoir échappé ), ne
fut jamais diffusée
dans
les médias qui ont pignon sur rue, et pour cause. Vous pouvez chercher dans
revues spécialisées bien connues,
aucune d'entre elles
n'a osé en parler,
même à titre de curiosité, car leurs
journalistes ,
n'ont aucune explication
orthodoxe, à présenter sur le cas de
cette incroyable brillance du pôle de Mars en question. Alors il est préférable dans ce cas de se taire et de
fourrer la tête sous le sable comme
l'autruche pour ne pas voir l'inexplicable.
Mais le
30 Août 2010,
Super Hasard est venu, à notre aide pour nous offrir
sur le plateau d'argent, les
caractéristiques ( que nous avions oubliées à l'epoque de noter) tant recherchées depuis des années, de la fameuse photo .
En effet, en tapant sur
GOOGLE, entre guillemets :
http://www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html
, nous sommes tombés alors, sur le site de
Merlin placé à :
, où il est écrit, en dessous de la photo :
Mars, Su 083103 - Griffith Satellite Observatory
Telescope: 127mm f/12.1 Maksutov.
, ce qui signifie que cette photo
de Mars, fut réalisée
le Dimanche 31 Août 2003, par le
- Griffith Satellite Observatory, avec
un Telescope: 127mm f/12.1 Maksutov.
Donc un
Grand Bravo à
Merlin, qui a eu à l'époque, avant la disparition du site,
l'idée géniale de noter les caractéristiques de la fameuse photo en question. Toutes nos missives en direction du
- Griffith Observatory - , sont demeurées sans réponse, sans doute parce que nous n'avions pas l'e-mail du
Centre Principal.
Mais
Super Hasard a
fait encore plus fort : En effet le
09/09/2010, nous avons reçu d'un aimable internaute, la missive très importante suivante :
----- Original Message -----
From: S.. U...
To: fred.idylle
Sent: Thursday, September 09, 2010 5:02 AM
Subject: Cela pourrait très certainement (énormement) vous intéresser.
Bonjour M Idylle,
Comment vous expliquer ? Il existe un site de sauvegarde sur le net qui permet parfois de retrouver d'anciens sites disparus, c'est celui-ci :
On peut y retrouver (parfois) certaines pages disparues.....
J'y ai donc mis l'adresse suivante:
www.jplrecclubs.caltech.edu/astron/images/din/Griffith/Griffith.html
que vous donnez sur votre site.
Voici le résultat :
Veuillez cliquer sous "2004", il y a deux pages de cet ancien site, qui pourraient vous intéresser je crois....
Mais vous connaissez peut être déjà ce site, veuillez alors ne pas tenir compte de ce mail.
Très cordialement.
S... U....
PS : Je tiens à m'excuser pour mon dernier mail, mais je n'avais plus d'ordinateur chez moi, j'en ai un nouveau depuis.
Fin de citation.
Comme c'est étonnant, c'est bien la page que nous recherchions depuis
le début de 2006.
Extrayons en, la partie qui nous intéresse :
Une modeste traduction des 7 premières lignes
(dont nous connaissons déjà une partie) donne alors ceci :
Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX webcam.
C'est la meilleure image de Mars qui se compose de plusieurs dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord est en haut et l'Est est à gauche.
Remarquons que
l'Est devrait être à droite, et donc
il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord soit en haut. Le télescope en effet,
inverse les images ...
Nous nous posons alors la question, de savoir
pourquoi un site aussi bien fait et aussi utile , a
pu disparaître aussi souverainement, et pourquoi nous n'avons reçu aucune réponse,
aux adresses Griffith, que nous avions contactées ? Grâce à l'internaute
S...U..., tout devient désormais plus pratique et explicatif.
Bravo aussi donc, pour sa trouvaille et surtout pour
son heureuse initiative en direction d'
ARTivision.
Le
26/09/2010, nous avons eu l'idée de rechercher
le nom véritable de
cette surprenante image de Mars sur le site en question, en cliquant sur l'image et puis ensuite sur Propriétés. Et non seulement nous avons trouvé son nom :
Mars083103.jpg, mais en plus, nous avons trouvé aussi
( nous l'avons déjà écrit plus haut), en réfléchissant un peu, son adresse Web actuelle :
, ce qui nous donne alors ce superbe spectacle qui en mettant
l'Est à droite, donne pour le Pôle Nord de Mars :
Comme on le voit, sur
ARTivision chaque chose arrive, en temps voulu, n'est-ce pas !!.
Cependant compte tenu de
ces nouvelles données précises, il conviendrait de demander au moins à :
dans
quelle revue scientifique ou autre, cette
étrange photo, a
pu être publiée ? Avis aux
chercheurs, et même aux
amateurs, qui
s'interrogent vraiment sur tout cela ...
VI Quand ARTivision fait un flashback sur les énormes implications , que l'on peut tirer du document en date du 9 Juillet 1947, en provenance du journal "Le Canada", déjà vu plus haut (en date du 10/01/2014).
Alors que les médias de ce matin, se
gagarisent des frasques amoureuses d'un très haut personnage de l'Etat (naiseries tout à fait, hors des recherches pointues du site ARTivision ), il serait bon
de remettre à nouveau clairement en évidence, cet entrefilet canadien :
Bien sûr, nous avons
d'autres entrefilets de même nature, qui signalent
cette surprenante affaire,
( en ligne directe avec les propos de l'astronome européen en question) :
En voici deux autres, réunis sur le même document :
Nous avons supprimé bien sûr, les colonnes du journal, qui n'intéressent pas notre affaire.
Il va sans dire que cet évènement,
devait absolument être contredit par les autorités, et on verra plus bas pourquoi.
Mais, quelle fut alors la parade première utilisée pour nier l'affaire. On en trouve une partie, dans l'ouvrage remarquable suivant
de 1990, du chercheur ufologue opiniâtre
Jean Sider:
"ULTRA TOP-SECRET": Ces Ovnis qui font peur. Ed.
AXIS MUNDI 8, Galerie Montmartre 75 002 Paris :
et, en page 30, on découvre ceci, qui fut
la combine des autorités pour nier cette affaire de récupération d'ovni :
Pas mal n'est-ce pas
l'astuce à l'époque du ballon météo
tombé juste providentiellement, pour bluffer les journalistes et les gogos de l'époque, qui n'ont pas cherché à voir les dessous de l'affaire. C'est aussi, dans cet ouvrage de
Jean Sider que l'on trouve, en page 54, ce document important :
, dont il est question des années plus tard, dans la missive suivante en date du
9 Avril 2011, venant de notre bonne amie
Cassiopée:
----- Original Message -----
From: Cassiopee
Sent: Saturday, April 09, 2011 6:43 PM
Subject: Le FBI confirme le crash de Roswell, et a trouvé des corps d'ETs
Ah enfin ils le reconnaissent, c'est dingue quand même !!
Fin de missive.
Explicitons alors les princaux éléments de ce document important :
Date : March 22, 1950.
Photo non présentée, du document vu juste au-dessus...
The following information was furnished to SA XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX .
An investigator for the Air Force stated that three so-called flying saucers had been recovered in New Mexico. They were described as being circular in shape with raised centers, approximately 50 feet in diameter. Each one was occupied by three bodies of human shape but only three feet tall, dressed in metallic cloth of a very fine texture. Each body was bandaged in a manner similar to the blackout suits used by speed flyers and test pilots.
According to Mr. XXXXXXXXXX informant, the saucers were found in New Mexico due to the fact that the Government has a very high-powered radar set-up in that area and it is believed the radar interferes with the controlling mechanism of the saucers. No further evaluation was attempted by SA XXXXXXXXX concerning the above.
Fin de citation.
Modestement, on pourrait traduire cela ainsi :
Le 22 Mars 1950.
" L'information suivante a été fournie à SA XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX .
Un enquêteur de la Force Aérienne a déclaré que trois prétendues soucoupes volantes avaient été récupérés au Nouveau-Mexique. Elles ont été décrites comme étant de forme discoïdale, d'environ 50 pieds de diamètre (autour de 15 m), et comportant un renflement au centre. Chacune d'elles était occupée par trois corps de forme humaine, mais ayant seulement trois pieds de haut (environ 90 cm), vêtus de toile métallique d'une texture très fine. Chaque corps était enveloppé d'une combinaison fermant hermétiquement ainsi que pourraient l'être celle des pilotes d'avions ultra-rapides et ou comme celle des pilotes d'essai.
Selon l'informateur M XXXXXXXXXXXXXXXXX, les soucoupes ont été trouvées au Nouveau-Mexique en raison du fait que le gouvernement y dispose d'un radar à très haute fréquence mis en place dans cette zone, et on croit que le radar a interfèré avec le mécanisme de contrôle des soucoupes. SA XXXXXXXXXXXXXXXX n'a pas tenté d'obtenir d'autre renseignement, au sujet de ce qui précède. "
Comme, depuis
Avril 2011 jusqu'a ce jour du
10 Janvier 2014, auucn
démenti du document en question, n'a été avancé, ni par le gouvernement américain, ni par un quelconque
perfide infographiste, qui aurait monté ce coup, pour
se faire stupidement mousser dans les médias, nous pouvons alors croire que ce document,
(qui paraît d'ailleurs bien être d'époque), a de très grandes chances d'être authentique..
Certains novices diront
" Mais pourquoi donc le gouvernement américain a caché cela, qui concerne pourtant l'humanité entière ? C'est difficile à admettre"
Nous répondrons alors, à
ces novices, qu'il faut d'abord savoir, que
les ovnis ont une avance technologique très supérieure à la nôtre , et,
si l'on arrivait à déterminer leur fonctionnement, cela permettrait au pays qui a récupéré des épaves d'ovnis, de faire
un bond considérable dans la connaissance du cosmos, et porterait surtout la puissance de ce pays,
à un niveau inimaginable par rapport aux autres nations de la Terre.
L'affaire des ovnis est
donc le sujet le plus haut classifié des
Services Secrets en général, c'est à dire le sujet
tout à fait Top Secret du pays.
Mais découvrons aussi , quelques autres
ouvrages incontournables, qui ont été publiés sur
cette affaire Roswell, en commençant par celui qui suit, sorti aux
Editions France-Empire en
1981. (
les couleurs sont de nous, bien sûr) :
En abordant l'introduction de cet ouvrage, on tombe déjà sur les propos
très significatifs suivants :
"...Il n'empêche que trop d'intérêt manifesté aux OVNI
est toujours considéré comme une aberration. Cela
tient peut-être au fait qu'aucune preuve concrète n'a
été trouvée, ou reconnue telle. II manque le corpus
delicti.
Si une telle preuve avait été trouvée en territoire
contrôlé par l'une des grandes puissances, ou même
quelque puissance mineure, elle aurait été - on le
comprend bien -, couverte par le secret jusqu'à ce que
les autorités nationales aient décidé de faire en sorte
que la chose puisse servir leurs desseins et leurs
intérêts.
Telle est peut-être l'explication du Cas Roswell. Cependant, loin d'être seulement un intéressant mystère, ayant connu son heure de succès dans la presse, puis ayant été emporté par le temps, le cas Roswell est toujours d'actualité. Selon les rapports, les restes du véhicule sont toujours étudiés, peut-être même dans un but de reproduction. La composition de parties d'un
métal inconnu est toujours l'objet de recherches. Les
signes hiéroglyphiques découverts sur les appareils de
contrôle sont soumis au déchiffrement par ordinateur.
Les cellules et la structure interne des membres de
l'équipage - humanoïdes quoique d'une espèce étrangère- sont livrées à l'analyse médicale. Du point de vue
de l'intérêt public, de nouveaux comptes rendus de
témoins ou de familles de témoins, peu désireux
antérieurement de laisser un témoignage écrit, et aussi
les "réflexions après coup" de militaires impliqués dans le secret, apportent matière à conviction : il n'est
pas possible que ce naufrage de vaisseau aérien n'ait été
qu'une vaste illusion populaire ; ce fut un événement
réel.
Depuis notre entrée dans l'Âge de l'Espace, il a été
souvent suggéré que nous, race humaine de cette terre,
pourrions être à la veille d'entrer en contact avec
certains de nos voisins du cosmos et d'avoir ainsi la
démonstration définitive de ce que dans notre galaxie,
nous ne représentons pas la seule forme de vie possible.
Peut-être est-ce arrivé déjà en 1947, dans le Nouveau
Mexique. Et peut-être est-ce seulement maintenant
qu'en apparaissent les conséquences à travers la découverte d'une nouvelle information et grâce à l'Acte sur la
Liberté de l'Information ".
Après, cette sublime introduction, présentons volontairement
à nouveau, ici pour
les puristes qui aiment remonter aux sources d'une information,
le document clef d'origine (re-structuré ici, car ses mesures dépassent de loin notre petit scanner), qui prouve le début de toute
cette incroyable affaire :
Et voici, ce que l'on trouve comme texte, dans ce livre
de Berlitz et Moore :
Donc aucune ambiguïté ne demeure désormais, sur le fait que des journaux ont bien présenté
cette affaire de récupération d'une soucoupe volante par l'Armée.
A vous de juger.
Mais allons plus loin, dans les révélations de cet ouvrage en racontant l'épisode extraordinaire de l'ingénieur
Grady Barnett, si bien présenté dans l'émission
"Mystère" de
1993, et dont nous venons ce
1er Juillet de 2010, de mettre la main sur
l'url de la vidéo :
Nous en reparlerons plus bas.
En effet, suite à une conférence faite en fin octobre
1978 dans l'université du Minnesota par le Physicien nucléaire
Stanton Friedman, ce dernier reçoit la visite de
Mr et Mme Jean Maltais, qui lui disent avoir bien connu un certain
Barnett, alors ingénieur civil, très respecté du gourvernemment pour la conservation des sols et qui prétentait avoir vu un jour, dans une zone inhabitée,
un disque volant de huit à 10 m, tombé au sol avec des
occupants non terrestres décédés. Friedman confie alors une enquête sur le sujet, à
William Moore, un professeur de lycée, aussi passionné de l'étude des Ovnis, et qui raconte ceci dans l'ouvrage précédent écrit en collaboration avec
Charles Berlitz:
"
Trois décennies ont passé depuis que Barnett a raconté cette étrange
histoire aux Maltais et les Maltais s'en souviennent parfaitement, d'autant plus que l'importance en était soulignée par le nombre même des observations d'OVNI
signalées dans le Nouveau Mexique à l'époque. Les Maltais parlaient avec
admiration du caractère de Barnett. Il était plus âgé qu'eux, très conservateur,
absolument sûr de lui, pas du tout le genre à lancer des canulars. Pourtant
Barnett était catégorique : il avait vu la chose au sol. Selon ses amis, voici
ce qu'il leur aurait dit :
"J'étais de service et travaillais près de Magdalena dans le Nouveau
Mexique, un matin, quand la lumière réfléchie d'une sorte de grand objet
métallique me frappa les yeux. Pensant qu'un avion avait pu s'écraser pendant la
nuit, je me dirigeai vers l'objet, peut-être à 1 500 mètres de là sur un terrain
désertique. Le temps d'y aller, et je compris que ce n'était pas du tout un
avion, mais un objet en forme de disque, en métal, de huit à dix mètres de
diamètre. Tandis que je le regardais, essayant de déterminer ce que ce pouvait
être, d'autres personnes arrivaient d'une autre direction et observaient à leur
tour. Ils me dirent un peu après qu'ils faisaient partie d'une équipe de
recherche archéologique d'une Université de l'Est (l'université de Pennsylvanie)
et qu'ils avaient d'abord pensé qu'un avion s'était écrasé. Ils entouraient tous l'épave et
l'observaient. Je notai qu'ils entouraient et observaient intensément
quelques cadavres tombés au sol. Je pense qu'il y en avait d'autres à
l'intérieur de la machine, une sorte de construction métallique en forme de
disque, et pas très grande. Le métal ressemblait à de l'acier inoxydable terni.
La machine avait éclaté du fait du choc ou d'une explosion.
J'essayai de m'approcher pour voir à quoi ressemblaient les
corps. Ils étaient tous morts, du moins pour autant que je pouvais le voir. Il y
en avait à l'intérieur et à l'extérieur du véhicule. Ceux qui étaient dehors
avaient été catapultés par l'impact. Ils ressemblaient beaucoup à des humains,
mais ce n'était pas des humains. Les têtes étaient rondes, les yeux très petits,
et ils n'avaient pas de cheveux. Les yeux étaient bizarrement espacés. Ils
étaient, selon nos standards, très petits et les têtes étaient
proportionnellement à leurs corps, plus larges que les nôtres. Leur vêtement
semblait d'une pièce et de couleur grise. On ne pouvait voir ni poches, ni
ceintures, ni boutons. Ils me semblaient tous mâles, et ils étaient nombreux. J'étais assez près pour les toucher, mais je ne l'ai pas fait. J'ai été éloigné
avant d'avoir pu en voir davantage.
Tandis que nous observions, un officier de l'armée était arrivé dans un
camion avec un conducteur et avait pris le contrôle de l'affaire. Il nous dit à
tous que l'Armée prenait la chose en charge et que nous devions passer
notre chemin. D'autres militaires arrivaient et formaient un cordon autour des
lieux. On nous dit de quitter le secteur et de ne parler à personne de ce que
nous avions vu... II était de notre devoir de patriote de garder le silence..."
Ici, Mrs Maltais, interrompit son mari pour ajouter :
"Barnett dit qu'il était loin lorsqu'il a vu la chose, et
qu'il y avait là avec lui d'autres personnes. Je pense qu'il a dit que les
personnes avec qui il parlait étaient de l'université de Pennsylvanie. Ils
procédaient à des fouilles dans le Nouveau Mexique et n'ont été mêlés à
l'incident que parce qu'ils opéraient dans le secteur quand il est arrivé.
L'objet était d'un quelconque métal. Les occupants
étaient, selon nos standards, franchement petits, et leurs têtes
proportionnellement à leurs corps plutôt grandes. Je me souviens très bien que
Barnett s'était fait dire de ne rien raconter, absolument rien. C'est ce qu'il
avait fait pendant plusieurs années jusqu'à ce jour de 1950 où il a partagé son
secret avec nous. Nous étions très amis, peut-être ses amis les plus
intimes.
Barnett disait que ces créatures étaient des mâles. I1 ne
mentionnait pas de femelles parmi elles. Le nombre en était important, mais je
ne peux pas me souvenir du chiffre qu'il donnait. I1 a répété plusieurs fois
que leurs yeux étaient petits et bizarrement écartés.
L'objet avait été rapidement enlevé. "Ils" avaient apporté un
grand camion. Les hommes chargés de l'opération demandaient aux spectateurs de
dégager. Il n'y avait pas d'exception pour le groupe de l'université de
Pennsylvanie. On disait indifféremment à tout le monde de quitter le secteur et
de ne parler de cela à personne, parce que le faire serait un acte contre la
patrie."
Comme on lui demandait si elle se rappelait la partie du Nouveau Mexique que
Barnett avait indiquée comme emplacement de l'accident, Mrs Maltais répondit : "Non, je ne m'en souviens pas
exactement. II a dû le dire, mais je ne peux m'en souvenir. II a parlé de
prairie, de terres plates. Sûrement pas un secteur montagneux. Barnett se
déplaçait dans tout le Nouveau Mexique, mais son travail, il le faisait surtout
dans le secteur immédiatement à l'ouest de Socorro." ".
Fin de citation.
Etonnant n'est-ce pas que tout cela !!! Notez bien la phrase
"un acte contre la patrie": mais en effet, à l'époque, que ne ferait-on pas pour
les beaux yeux de la Patrie ? Actuellement ce discours aurait évidemment bien du mal à passer. Pour en savoir plus, il convient bien sûr de plonger plus avant dans cet ouvrage remarquable cité plus haut.
Mais, si cela ne vous ennuie pas trop, voici un dernier cas pour agrémenter un petit peu plus, votre route.
Voilà donc le récit extraordinaire que nous pouvons lire aux pages 141 et 142 de
l'ouvrage remarquable de Berlitz et de Moore :
" Un autre compte rendu plus détaillé de la présence
de l'épave à Wright-Patterson vient d'une employée
civile de la base et a été recueilli par Charles Wilhelm,
enquêteur sur les OVNI, et contact de Len Stringfield.
Ancienne employée à la base, Mrs Norma Gardner
s'était retirée pour raison de santé en 1959 et vivait
seulement à Price Hill, quartier de Cincinnati. Charles
Wilhelm, qui, à l'époque n'avait pas vingt ans avait
effectué de petits travaux pour Mrs Gardner. Ayant
parlé avec elle de son intérêt pour les OVNI, il s'était
vite aperçu qu'elle partageait cet intérêt.
L'état de santé de Mrs Gardner ayant empiré,
Wilhelm continua à lui rendre visite. Au cours de ces
visites, selon Wilhelm, elle lui confia de surprenantes
informations sur des récupérations d'OVNI et 1a
présence à la base de corps d'étrangers de l'espace. Elle
dit qu'au temps où elle travaillait à Wright-Patterson,
en 1955, elle avait été affectée à un poste où l'une de ses
tâches était de cataloguer tout le matériel OVNI
entrant. Elle avait reçu un certificat très élevé de
sécurité, et, au cours de cette affectation, devait
enregistrer plus de mille articles distincts, comprenant
des pièces de l'intérieur d'un OVNI récupéré et amené
à la base nettement plus tôt. Tous ces articles, disait-elle, avaient été soigneusement photographiés et étiquettés. En 1955, elle avait visité un hangar réservé, et
vu deux engins semblables à des saucisses, l'un apparemment intact et l'autre endommagé.
Elle avait aussi croisé un jour alors qu'elle était
encore en fonctions, deux humanoïdes transportés par
lit roulant d'une chambre à une autre. Non seulement
elle avait vu personnellement les corps, mais elle avait
eu entre les mains le rapport de leurs autopsies. Ces
corps, conservés dans une solution chimique, devaient
avoir entre 1,20 mètre et 1,50 mètre. Leurs caractéristiques physiques étaient humaines, mis à part le volume important des têtes par rapport aux torses et aux
membres, et les yeux fortement bridés. Mrs Gardner
ne savait pas si les corps provenaient d'un accident
récent ou avaient été amenés à la base longtemps après
un accident antérieur.
Mrs Gardner raconta son histoire à Wilhelm quand
elle se mourait du cancer. Elle était si convaincue de ne
jamais se remettre qu'elle spéculait sur la possibilité de
couper court aux règles de sécurité, déclarant sur un
ton dramatique. "L'oncle Sam ne pourra rien me faire
quand je serai dans ma tombe."".
Fin de citation.
Conmme vous le voyez,
à l'époque, il était préférable d'être à
l'article de la mort, pour rompre cet
effroyable secret.
Il nous faut cependant, arrêter là,
ces propos vraiment hors normes, car nous ne voulons pas subir
les foudres de l'Éditeur de ce livre, qu'il vous appartient de vous procurer, si vous voulez en savoir bien plus...
A vous de juger, une fois de plus tout cela.
Ensuite, vient l' ouvrage sérieux
Robert J. SHIRKEY "Roswell 1947. J'étais là", nous en dit plus .
Robert J. Shirkey fut à l'époque, lieutenant-pilote de l'Armée de l'Air Force des USA, et officier assistant du
Groupe d'Opérations, des bombardiers du 509è VH de l'Armée de l'Air de Roswell.
Il y a aussi le livre très documenté
du Commandant Jean-Gabriel GRESLÉ
" EXTRATERRESTRES, SECRET D'ÉTAT L'AFFAIRE ROSWELL", chez l'Editeur
"J'AI LU" (l'Aventure Secrète. Avril 99).
et comme suite à ce qui précède, on lit à la page 78 ceci :
Cet ouvrage ne laisse aucun doute, à notre avis,
sur l'existence de
cet incroyable secret gardé au plus
haut niveau.
Puis en 1997, en souvenir du 50ème
anniversaire du
crash de Roswell, est
paru aux USA, le livre extraordinaire
"The Day After Roswell" du
colonel Philip. J. Corso, Ex-lieutenant
Colonel dans l'armée des Etats-Unis et qui,
ce n'est pas rien, était attaché au
"Bureau
de la Technologie Etrangère" dans le département
" Recherche et Développement " de l'Armée
au Pentagone, et en plus il a été conseiller du chef de l'époque de ces services :
Le Général Trudeau.
Ce livre nous l'avons dit, fut publié en 1997, et nous ne pouvons que vous inviter à en lire des passages importants à l'adresse :
Les révélations qui apparaissent
dans cet ouvrage sont si sérieuses, tout en étant fantastiques qu'elles ont été jugées crédibles par
le fameux rapport COMETA.
En effet le
16 Juillet 1999, le n° hors série
de la
revue VSD, publiait l'intégralité
d'un
rapport sur les Ovnis, destiné au
Président Chirac ainsi qu'au Premier Ministre Jospin .
En effet, il s'agissait d'un document semi officiel, si l'on considère qu'il a été
élaboré par
le COMETA association de soutient
à l'
Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale
(l'IHEDN), dont les membres sont
des généraux retraités et des anciens ingénieurs polytechniciens ayant appartenu à ce prestigieux
organisme dépendant du Ministère de la Défense Nationale. Ce rapport était
intitulé:
"Les O.V.N.I et la Défense. A quoi doit-on se préparer?".
Donc dans un chapitre consacré aux
recherches sur les ovnis à l'étranger, ce rapport fait état, avec constance, du livre
extraordinaire de ce
colonel Philip J CORSO, présenté déja plus haut.
Enfin notons l'excellent livre de
Gildas Bourdais paru aux
Presses du Châtelet en 1995 :
D'autre part, le
17/04/2010, nous avons reçu par la Poste, le magazine remarquable suivant :
Pour savoir plus voir le site :
Aux pages 39 et 40 le
Dr Carol Rosin, une ancienne collaboratrice américaine de
Werner von Braun (considéré comme le Père du programme spatial US), a déclaré ceci :
Et en ce qui concerne
l'encadré en question, il débute ainsi :
Mais en voici un petit peu plus pour la route, quand la
Rédaction du magazine en question, posa en 2008, au
Dr Carol Rosin, l'
étrange question qui suit, et voyez donc la réponse à côté :
Mais le
18 Août 2009, nous avons reçu de notre grande amie du Canada
Ischaia, l'information sensationnelle suivante, venant de l’astronaute
Edgar Mitchell (6ème à marcher sur la Lune), qui affirme
l'existence des Ovnis .
Nous sommes visités et un contact permanent existe avec certains gouvernements.
Interview de l’astronaute Edgar Mitchell sur Kerrang-Radio :
Interview de l’astronaute Edgar Mitchell sur FoxNews :
Roswell était donc d'après tout cela,
un crash bien réel.
Ainsi donc
l'événement le plus extraordinaire de notre histoire, a été camouflé purement et simplement pour satisfaire
les désirs de puissance d'une nation, alors que cet événement porte en lui même,
la raison majeure d'unir l'Humanité, et d'en finir une fois pour toutes
avec ces guerres dérisoires qui la déchirent depuis des siècles.
Pour les internautes fervents de films racontant
cette affaire Roswell, il faut savoir que l'émission
"Mystère" a présenté un volet très bien fait, environ de 21 minutes, en
1993 de cette affaire extraordinaire. Voici à nouveau
l'url de cette super vidéo :
Mais nous, nous possédons aussi, un film entier
(hélas en cassette vidéo), où tout y est dit. En voici la jaquette :
Avec un peu de chance, vous pourriez, peut-être, trouver sur
le Web, ce film en DVD.
Bonne chance donc.
Nous pourrions encore présenter ici
de très nombreux documents concernant
cette affaire Roswell, mais nous risquons de provoquer
une certaine saturation, chez le lecteur.
Alors, que ceux qui veulent encore nier
cette affaire Roswell, continuent
à faire comme l'autruche, jusqu'au jour où
le train de la Vérité, qui avance à grande vitesse,
les éjectera brutalement de leur piedestal branlant.
Mais en terminant
cette affaire Roswell, qui fut aussi on le sait, maintenant précédée de
l'affaire de San Diego en 1941 au bord l'océan Pacifique, révélée par le
Dr Michael Wolf (en qui nous avons toute confiance), puis, il y a eu aussi la même année,
l'affaire du Missouri, que nous avons placée à :
Mais tout cela serait considéré,
comme de la bonne science fiction, s'il n'y avait pas eu,
le terrible texte, paru dès
Octobre 2000, du
Dr Michael Wolf (déjà mentionné plus haut), et texte présenté sous le titre
"The UFO cover up and ET Reality ", que vous pouvez trouver sur le site :
Nous n'allons pas nous étendre longuement sur
les révélations hors normes, de ce
Dr Michael Wolf, car il suffit de se reporter à
l'url en français du site "On nous cache tout" qui est tel que :
Cependant, mettons tout de même en exergue, les points suivants :
Début de citation :
- Les premiers constats américains de l'écrasement d'un engin ET remontent à 1941. L'engin s'est écrasé dans l'océan Pacifique près de San Diego et il fut récupéré par la Marine américaine. À l'intérieur gisaient les corps de Zétas réticuliens, alias les Gris. Les dépouilles et le vaisseau furent transportés à la Section de la technologie étrangère de la base aérienne Wright-Patterson, à Dayton, Ohio, et étudiées par le groupe de recherche Retfours (Retfours Special Studies Group).
Suite au démantèlement de l'appareil, des composantes furent expédiées aux installations S4 et Indian Springs au Nevada. L'engin s'était écrasé sous l'influence du nouveau radar à impulsions que l'on venait d'inventer. Au moment du drame, la Marine procédait à des essais sur l'île Tinian, située à 5 kilomètres au sud/sud-ouest de Saipan. La Marine américaine occupe depuis une position dirigeante en matière d'ovnis.
- L'écrasement à Roswell en juillet 1947 est un fait et le récit dont fait état le Colonel Corso dans son livre The Day After Roswell est véridique. Le Dr Wolf avait en sa possession la liste officielle du gouvernement satellite américain de tous les écrasements/récupérations d'ovnis répertoriés, y compris d'autres incidents survenus entre 1941 et 1947, mais il n'était pas disposé à en livrer les détails.
- Deux engins se sont écrasés à Roswell suite à une collision aérienne survenue au cours d'un orage électrique. L'un des engins contenait des "Gris", l'autre des "Oranges"; les deux espèces furent ainsi nommées en raison de la couleur de leur peau. Les extraterrestres de type "Orange" proviennent du système stellaire Andromède. Le documentaire de Santilli montrant une autopsie est authentique . Il s'agit d'une autopsie pratiquée sur le corps d'un ET orange. Le Dr Wolf en a vu d'autres. La confusion résulte d'une seconde autopsie exercée à l'époque sur un extraterrestre de type différent.
- L'autopsie pratiquée sur la dépouille du ET orange a produit les constats suivants : une grosse tête; de grands yeux foncés dépourvus d'iris ou de blancs; six doigts, six orteils; un cerveau composé de quatre lobes, et plus développé mais non connecté au corpus callosum; des nerfs optiques et orbiculaires de type différent; un système digestif spongieux. Le docteur Wolf affirme avoir rencontré un Orange de son vivant.
- Il existe différents types de "Gris". Il a en côtoyé de très évolués qui contrairement à l'opinion courante, possédaient des personnalités et même un sens d'humour. Le Dr Wolf n'a jamais rencontré de Gris qu'il n'aimait pas. À son avis, ils faisaient tous partie d'une grande famille et aimaient câliner les humains. Mais cette marque d'affection ne faisait pas l'unanimité chez ses pairs. L'un de ses collègues les appellait des baise-joux (kissey facey). Leurs corps sont doux au touché, telle la peau d'un dauphin. Il communiquait avec eux par télépathie et s'était tout particulièrement lié d'amitié avec une entité nommée Kolta. La photo de ce Gris apparaît sur la couverture de son livre. Elle fut prise par un ami occupant les fonctions d'amiral dans la Marine.
Fin de citation.
Nous invitons aimablement ici, le novice à lire aussi avec une grande attention nos articles placés à :
Mais nous vous invitons maintenant à lire avec la plus grande attention cet entefilet, du
14 Juillet 1947 , venant encore du journal
"Le Canada", et dont l'url est placé à :
Si nous avons parlé de cela, c'est pour rappeler ici, ce passage de notre article :
"Mais, en plus on sait que, le militaire Milton William Cooper, (qui a été abattu le 5 novembre 2001 à l'âge de 58 ans, dans des circonstances particulièrement troubles, à Eagar en Arizona), par les sbires du Gouvernement de l'Ombre, affirme qu'il y a eu deux autres crashs, l'un le 13 Février 1948, et l'autre le 25 Mars également en 1948.
Nous sommes d'ailleurs presque certains, que tous ces crashs de soucoupes volantes qui eurent lieu avant le 14 Mai 1948, date de la création de l'Etat d'Israël, auraient déterminé la Société des Nations remplacée en 1945 par l'ONU, à agir autrement (par exemple en créant un état provincial juif, dans l'immense Australie, ou, comme on l'a vu plus haut, un état au Tamganika à l'est de l'Afrique), et donc cet état d'Israël, n'aurait probablement pas été créé à l'endroit, où il se trouve actuellement, et cela évidemment, aurait évité sans doute, tous les conflits désastreux ultérieurs de la poudrière du Proche et Moyen Orient...".
Fin de citation.
Que ceux
qui avaient bien ri sous cape, à l'époque de notre proposition, se préparent désormais
à raser les murs le soir, car le temps des
Révélations est bien arrivé, n'est-ce pas !!! .
VII Quand, la comète ISON et bien d'autres, remettent en cause les acquis scientifiques, concernant fait que : - soit les comètes ne sont pas des " boules de glace et de neige sales", - soit que l'on doit tout revoir, concernant le fonctionnement du Soleil (en date du 13/01/2014).
Voici une photo magnifique
de la comète ISON le
15 Nov 2013, un peu avant qu'elle aille frôler notre Soleil.
(Voir l'url du site L'Express plus bas ):
ou encore juste avant le contour du Soleil :
Comme cette comète, allait tourner le
Jeudi 28 Nov 2013, tout près du soleil
( à environ 1,6 millions de km de son centre):
, une
très grande proportion de scientifiques a pronostiqué
sa disparition totale, car dit-on la température de
la couronne solaire, ferait des millions de degrés, et cette cométe devrait être volatilisée.
Hélas pour
ces bien-pensants, la comète a poursuivi
son petit bonhomme de chemin, peut-être un peu déplumée. Nous n'avons pas trouvé encore de photos nettes de cela . Nous pouvpns cependant présenter ces images où la cométe est hélas tronquée
(Url site vu juste au-dessus) :
Merci à l'internaute qui trouvera mieux pour ISON après son contour du Soleil. Mais plaçons cependant ici, le magnifque schéma suivant trouvé sur le site :
Et avec nos indications en plus, on a :
Ce schéma confirmerait parfaitement ce que dit le site
du Monde.fr/ Science :
où, l'on découvre ceci ;
" La comète ISON aurait survécu à sa rencontre avec le Soleil.
On la supposait morte à la suite de sa rencontre avec le Soleil, jeudi. Pourtant, une nouvelle vidéo mise en ligne par la NASA semble prouver que la comète ISON a repris sa route. Après un quart de tour en orbite autour du centre de notre système, elle apparaît certes rétrécie mais toujours bien présente. "
Cette affaire serait considérée par
ARTivision comme anecdotique, s'il n'y avait pas eu d'autres cas semblables : En effet on apprend aussi qu'en
2011, qu'une comète nommée
Lovejoy, a également plongé dans le bord solaire et en est ressortie intacte sans changer de vitesse et de direction. Même topo pour
la grande cométe de Septembre 1882, et qui restera visible, à l'œil nu jusqu'au mois de
Mars 1883. Plus près de nous, il y a eu aussi la comète nommée
C/1965 S1 (Ikeya-Seki), plus communément appelée comète
Ikeya-Seki, qui a aussi rasée à 450 000 km, le Soleil le
21 Octobre 1965, et on dit seulement que son noyau s'est brisé en deux, et qu'elle devient visible en plein jour et présentait une queue s'étendant sur 45° de la surface du ciel.
Tous les sites en question, et bien d'autres, tentent d'expliquer
le fait que la comète ISON n'a pas fondu ou explosé, uniquement en mettant en cause
la structure et la composition, mal connues de cette comète, qui en fin de compte, ne serait peut-être pas, une jolie
"boule de glace et de neige sales ".
Aucun de ces sites n'a osé mettre en cause, la nature et la constitution de notre Soleil, et c'est justement ce que va ici, remettre en cause, le site
ARTivision, qui n'est pas, on le sait, un site scientifique, mais un site
ésotérique, qui possède des
documents hors normes et incontournables, pour prouver ses dires.
Voici pour commencer Voici en effet, une photo du satellite de
Saturne,
Titan, que nous avait présentée, le
"Figaro Magazine" du Samedi
13 Nov. 2004 :
On voit alors que
la partie droite de l'image de
Titan du
"Figaro magazine" en question, présente
une luminosité remarquable, et, on nous dit que c'est alors
"notre soleil qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan".
Voici encore une autre photo de
Titan tirée du n° 415 du
"Ciel&Espace" de Décembre 2004 :
On apprend alors que, cette belle image de
Titan ci-dessus, aurait été captée par
Cassini Huygens, le 26 Octobre 2004, en passant à 1176 km de la planète. Cette photo ne semble pas très différente de la prédédente ci-dessus du
"Figaro magazine", où la partie droite du globe de Titan
brille d'une manière étonnante, pour un astre placé, si loin de notre soleil
On ose alors nous dire alors, que cette
luminosité remarquable, vient aussi de
notre soleil qui fait ainsi briller admirablement,
l'atmosphère de Titan. Or d'après ce que dit Mr
Emmanuel Monnier, dans le n° Spécial de
Mars 2008 suivant :
, il se trouve que,
le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre. Lisez cela vous-même :
Alors, on se demande, comment ce
flaiblard flux, pourra à
1,5 milliard de Km du Soleil, venir par une concentration
quasi magique , exciter les
épaisses couches atmosphériques de
Titan de
1200 km d'épaisseur, contre environ
100 km pour la Terre. C'est
donc stupéfiant , et les images suivantes de
Titan :
ne
présentent pas du tout,
des paysages glaciaires correspondant à une température de
-180°, comme les scientifiques de la NASA l'affirment, mais plutôt, des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara.
A vous de juger tout cela...
Cette affaire folle et incroyable
du Soleil, a déjà été évoquée plusieurs fois par
ARTivision, et on en a déduit alors, que la surface
du soleil ne serait pas du tout brûlante. Pour expliquer plus avant cette affaire, prenons l'exemple simple suivant :
Voici le schéma de fonctionnement d'une loupe convergente :
Un primitif vivant au fin fond de l'Amazonie, qui serait déjà surpris, en voyant qu'en plein jour que l'on peut allumer un feu avec cette simple loupe, il serait encore plus étonné de découvrir qu'après l'arrivée de la flamme dans les brindilles de bois, que la loupe est parfaitement froide.
Cette analogie avec la loupe, va nous permettre
à un niveau bien supérieur, de comprendre ce qui se passe du côté du
Soleil.
On sait en effet, que l'axe de l'équateur et celui de l'écliptique sont inclinés l'un sur l'autre de
23° environ et, il en résulte que le pôle n'est plus le point où la lempérature est minima. Pour mieux visualiser tout cela, empruntons à l'ouvrage
"Astronomie et l'exploration spatiale", publié à
Hachette Jeunesse en juillet 1985, le schéma suivant, que nous avons un peu modifié:
Mais, ce qui est rarement expliqué dans les manuels scolaires, c'est qu'étant donné que la Terre ne décrit pas exactement un cercle autour du Soleil,
mais une ellipse, on découvre alors que la distance de la Terre au Soleil est environ de
147 millions de kilomètres au mois de Janvier, et est de
152 millions de kilomètres au mois de Juillet, et autrement dit
le Soleil est, paradoxalement
plus près de la Terre en hiver, qu'en été, de
5 millions de Km . Le site :
, nous illustre schématiquement tout cela admirablement :
Et on voit bien là, que
la Terre,
est plus proche du Soleil en hiver, qu'elle
ne l'est en été.
Dans les sphères officielles, on explique ce phénomène
justement par l'inclinaison de 23 ° de l'axe de la Terre par rapport au plan de l'écliptique et qui fait que les rayons du soleil sont toujours obliques par rapport à l'axe de rotation de la Terre.
Et, pour ARTivision, cela est très discutable...
Si donc, le soleil était
une boule de feu émettant
chaleur et lumière en direction de la Terre, son action aurait certaimement augmenté grandement en avançant de
5 millions de Km de sa cible. Des maquettes à l'échelle, et des simulations informatiques, le démontreraient sans doute.
Mais , si vous tenez à avoir une explication
non officielle de
ce surprenant phénomène, alors accrochez vous solidement aux murs car cela peut-être, va vous déstabiliser fortement :
Nous avons en effet, sous la main, l' ouvrage extraordinaire d'un certain
"contacté ", nommé Howard Menger, aussi célèbre que le
fameux Adamski, et ouvrage intitulé :
"Mes amis les hommes de l'espace", dont voici la couverture :
paru aux Editions
DERVY-LIVRES en Juillet 1965 ,
(voir à ce sujet, l'article de notre ami Joël Baran à : http://www.artivision.fr/Howardmenger.html) nous lisons page 220, la phrase suivante qui témoigne bien de
la grande modestie de l'auteur et qui raconte là, un voyage qu'il aurait fait dans un vaisseau spatial de ses amis :
" Ma première réaction, quand je me levai, fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir où nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boule rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi, il n'était pas brillant.
"
Surprenant n'est-ce pas !!! surtout pour quelqu'un qui
n'avait rien des qualités d'un astrophysicien. Rappelons que cet
Howard Menger, a produit dans son livre,
des photos de la Lune, dont voici une, qu'aucun spécialiste
n'a pu expliquer jusqu'à présent :
on y voit parfaitement dans
le coin supérieur gauche, une portion
du hublot de l'astronef, qui a transporté l'auteur jusqu'à
la Lune...
Mais voyons maintenant l' explication qui est présentée par un certain
Maître cosmique nommé
Pomar et document extraordinaire placé dans la revue suivante
très précieuse bien sûr pour nous :
C'est dans cette revue que nous avons découvert
à l'époque, cette
chose inouie, dont l'article de 5 pages débute ainsi :
Et voici
le texte inouï intégral en question :
VOYAGE EN OVNI : le système solaire
Extrait de la revue Ondes Vives n°83 de Mars 1973
" Nous avons pris contact avec un groupe de Bologne (Italie) qui reçoit des messages télépathiques d'Extra-Terrestres. Ce groupe présente l'immense intérêt d'avoir des relations directes avec eux. De ce fait le témoignage des sens exclut toute fantaisie imaginative. Voici un résumé d'une de ces entrevues qui eut lieu le 15/10/62. C’était la 7e rencontre. Ondes Vives : (Itacar et Saki sont deux extraterrestres)
Le
15 Aout 1962, à 23 heures, appelé télépathiquement comme d'habitude, je me rendis au lieu de rencontre.
Itacar et
Saki m'y attendaient et m’embrassèrent. Nous entrâmes dans la soucoupe volante. Itakar, passant la main sur le triangle, démarra. Quelques minutes plus tard nous étions arrivés. Nous sortîmes et je vis que nous étions dans un grand cratère volcanique dont le fond poli servait de base d'atterrissage. Itacar me dit que
nous étions sur le satellite de la Terre, c'est-à-dire
la Lune. J'eus tout loisir d'examiner l'installation avec
ses grandes portes en arche, éclairées comme en plein jour. Nous entrâmes par l'une d'elle et suivîmes un corridor de 4 m de large et 400 m de long, éclairé par le plafond, mais on ne voyait pas de lampes. De part et d'autre il y avait des portes surmontées de signes géométriques. Nous entrâmes dans l'une qui portait comme sigle un cercle avec un point rouge au centre. Je vis une chambre circulaire de 20 m de diamètre avec, au centre, une table ronde aussi, de 3 mètres de diamètre, entourée de sièges. Itacar et moi nous nous assîmes tandis que Saki sortait.
Bientôt entra un homme que je connaissais déjà. Je me levai et lui serrai la main. Il me dit:
"Je suis POMAR, de la planète ATOUN. Me trouvant sur la Terre où je devais passer plusieurs jours, je pensais te revoir et te parler de choses que tu ne sais pas et que tu ne comprendras peut-être pas maintenant. Néanmoins, imprime-les bien dans ta pensée afin de t'en souvenir et de les répéter à tes frères. Donc écoute:
Nous appelons votre Terre SARAS, d'un mot chaldéen ancien : SHAN-RAN (SHAN la Croix, RA cercle) Saras fait partie du Système solaire en vertu du mouvement qui l'anime. Si ce mouvement venait à cesser, il en résulterait une rupture d'équilibre qui affecterait l'harmonie de la Création et bouleverserait les lois précises qui la gouvernent. La Terre ne pourrait plus exister comme telle. Il lui faut donc, pour subsister, continuer son mouvement qui lui permet non seulement de parcourir son orbite définie, mais de se mouvoir selon les calculs extrêmement exacts de la nature, en synchronisme avec tout le reste du Cosmos.
Dans l'espace compris entre tes mondes "matériels", il existe un immense filet éthérique, un océan éthérique où ces mondes naviguent avec leurs satellites. Le Cosmos où nos mondes orbitent est TRINO parce qu'il représente la totalité des formes "intérieures". La nature est conforme à la loi binaire parce qu'elle est la manifestation des formes "extérieures". L'un est le point de départ, l'autre le point d'arrivée. Les deux sont reliés au cercle éternel des phases dualistes naturelles, d'évolution ou d'arrêt. Ce dualisme trouve sa réplique dans divers symboles. En fait, sur ta Terre, l'axe vertical symbolise l'ascension, la vie, la flamme montant vers le haut, le principe, la levée. Au contraire l'axe horizontal représente l'assise, la fin, l'eau, l'immobilité, le sommeil, la mort.
L'union et l'équilibre de ces deux lignes, verticale et horizontale, forme la CROIX, symbole métaphysique des événements de la nature dans son dualisme , accouplement des deux forces fondamentales qui générèrent l'équilibre des quatre éléments représentés par les quatre bras de la croix.
Vos savants se sont-ils demandé la véritable signification du symbole de la croix ? Jamais, parce qu'ils sont athées ou semi-athées. Cela veut dire que, n'ayant pas foi en Dieu et ne connaissant pas à fond la métaphysique, ils ne réussiront jamais à comprendre les lois cosmiques multiples qui règlent les mondes et leurs évolution. Vos hommes de science n'ont jamais pensé à ce que deviendrait l'existence humaine si ces lois venaient à faillir ne serait-ce qu'un instant. Eh bien, cela pourrait se produire, pour absurde que cette hypothèse puisse sembler à la suite de multiples explosions atomiques. L'astre solaire, étincelle de la création est par rapport à l'Univers comme l'Esprit est au corps. De même que l'Esprit vivifie la matière, le Soleil anime tout le système solaire. S'il vous était donné de le regarder hors de votre atmosphère, vous seriez stupéfaits de le voir comme une balle violette aux reflets verts opaques, parfois iridescents d'une multitude de couleurs où domine le bleu profond. Vous auriez aussi pour la première fois l'impression que le Soleil est "obscur" et que l'énergie de chaleur et de lumière qui semble émaner de lui, n'est qu'un aspect de la radiation effective de l'astre.
Combien de conceptions erronées ont été émises par vos savants, et combien de doutes les assaillent ! Tout cela parce qu'ils marchent sans foi dans une voie fausse. En fait, le Soleil ne représente pas autre chose qu'un centre d'émanation une source d'ultra-micro-ondes radioactives à une fréquence extrêmement haute concentrant un potentiel de haute valeur.
Tel quel, il ne peut donc être qu’absolument froid, ce qui est contraire aux conclusions de vos savants qui attribuent au soleil une chaleur de millions de degrés, tentant d'établir la valeur thermique de l'astre. - Se peut-il que la loi de Wien soit fausse ? La sensibilité des bolomètres serait-elle en défaut ? Rien de tout cela et cependant le Soleil est froid en réalité. L'erreur est dans le principe, sans lequel il est inutile de formuler une théorie. Il faut rechercher la cause de la lumière et de la chaleur, dans les phénomènes qui se manifestent dans le non parcours ou encore mieux dans la "réaction" de résistance que son énergie suscite loin du centre d'émanation. Les vibrations radiantes projetées par le soleil dans l'espace, sont reçues par l'éther qui n'est pas le vide absolu, mais bien un ensemble d'espaces qui s'étendent de planéte à planète et qui les unissent comme le ferait une mer dont les substances éthériques agissent comme des conducteurs d'énergie.
La résultante de ces oscillations n'est pas la lumière mais un "rayon" inconnu de vous, qui part du Soleil et se propage dans le Cosmos en vertu du vide éthérique et par conséquent porteur d'une charge électrique à corpuscules radioactives, grâce auxquelles il acquiert la puissance radiante.
Vous connaissez déjà quelques-unes des propriétés du radium par les simples applications que vous en faites et vous savez combien est mystérieuse cette substance qui émet une incalculable énergie soit sous forme radioactive, soit en pouvoir dissociant et consumant (dûs tous deux à des propriétés positives et négatives complexes et inconnues de vous).
Vous avez fait des expériences avec le radium et vous avez constaté que tout objet soumis à son action ne peut que bruler ou devenir lumineux. Le même phénomène se produit dans le Cosmos et les radiations du Soleil bien que froides et obscures, peuvent donner, en des points déterminés "d'arrivée", lumière et chaleur. En fait, le rayon obscur qui traverse l'espace, acquiert cette propriété ignorée de vous, selon la planète sur laquelle il est projeté. Son effet étant en rapport avec l'atmosphère déterminée qu'il traverse.
L'émanation radioactive obscure à l’origine, et transportée à travers le Cosmos, se transforme donc en rayons lumineux au contact de l'atmosphère qui peut être plus ou mois dense et volumineuse. Il se produit en ce cas une réaction entre l' énergie "d'arrivée" et les composants gazeux de l'air. Il en résulte une production de micro-ondes lumière dont l'intensité augmente à mesure qu’elle approche de la croûte de la planète lorsqu'il y a des substances gazeuses toujours plus raréfiées. Un rapport analogue entre puissance irradiante et radiation se trouve dans votre lumière électrique que vous ne connaissez pas encore à fond. L'énergie est produite dans une lointaine centrale hydroélectrique alors que l'effet lumineux à travers le filament conducteur se manifeste à distance, dans un ballon de verre où existe une ambiance idoine pour porter le filament à l’incandescence.
La Terre est comme une énorme lampe lorsqu’on la voit dans la nuit éthérique. Elle illumine une partie infinitésimale de l'infini et ce faisant, elle brille. Le cercle d'illumination en montre le diamètre alors que la ligne équatoriale en symbolise la résistance. C'est maintenant compréhensible parce que règne la plus profonde obscurité dans les espaces sidéraux infinis. Ce phénomène est vérifiable, bien qu'il soit en contradiction avec les conclusions de toutes vos recherches scientifiques. Il est donc tout simplement absurde de formuler un principe selon lequel la chaleur est inversement proportionnelle à la distance. Il s'ensuivrait pour vous, terriens, comme résultat logique, que Mercure devrait être une fonderie de bismuth et de plomb, alors qu'au contraire Mercure possède les mêmes éléments que la Terre et il est le centre radio de notre système habité par des hommes physiologiquement et spirituellement plus élevés que vous. Donc votre science erronée est en contradiction avec la leur en tant qu’ils obéissent aux lois universelles de l'Esprit Créateur : Dieu.
"Il y a aussi un autre fait qui contribue à démolir les théories scolastico-scientifiques grâce à la giration de la Terre autour du Soleil, vous avez l’été lorsque vous êtes au point le plus éloigné du Soleil, et l’hiver quand vous en êtes au plus près. Pour justifier anomalie votre science a émis l'hypothèse de l'obliquité des rayons et de la durée des jours. Cela est vrai, mais en fait, c'est dû à l'action des rayons obscurs qui viennent du soleil. S'il en était autrement, l'énorme accroissement de température que la Terre devrait subir au périhélie ne pourrait expliquer le retour cyclique de votre pâle et froid soleil des journées d'hiver. Je chercherai plus tard à vous confirmer le principe que je viens d'exposer : plus grande est la densité des stratifications atmosphériques traversées, plus grande est la chaleur des rayons. Comme toute autre planète, votre Terre, dans son mouvement de rotation autour de son axe, doit entraîner la rotation de l'atmosphère qui prend de ce fait un aspect parabolique. Elle se dispose donc sous une forme ellipsoïde avec le petit axe superposé à celui de la Terre. Il s'ensuit que le rayon solaire traversant l'équateur trouvera une plus grande épaisseur atmosphérique et par conséquent produira plus de chaleur qu'aux pôles. Voilà pourquoi la zone équatoriale est brûlante alors qu'en zone polaire règne la glace. En conclusion il faut se convaincre de l'erreur de vos savants qui font du Soleil ce distributeur d'énergie, une gigantesque pile infernale, qui devrait être aussi la cause des valeurs hyperboliques de la température des étoiles.
Ceci est une autre théorie bâtie par vous, terriens, avec vos fausses convictions qui amènent des conclusions inexactes , à cause de l'insuffisance du préjugé initial. L'orgueil de nier l'Esprit Créateur et Ses lois dans le crépuscule où vous êtes, vous fait approcher toujours davantage de minuit. Que celui qui a des oreilles entende; que celui qui a des yeux les ouvre à la lumière "
Pomar se tut. Je me sentais étrangement léger de corps et d'âme. Je comprenais parfaitement tout cela comme je l'avais toujours su. Je fus coupé de mes réflexions par Pomar qui me dit:
"D'ici peu tu connaîtras d'autres frères de SARAS qui croient et qui travaillent selon leurs possibilités, mais avec foi. Ils t'aideront en tout ce dont tu auras besoin pour continuer ta vie. Beaucoup d'obligations te sont réservées et tu seras instruit en conséquence. Maintenant je dois partir "
Il se leva, me tendit la main et dit "j' ai vite appris ta langue . Donc nous nous reverrons bientôt."
Il partit. Nous sortîmes de la salle et nous rejoignîmes la soucoupe où Saki nous attendait. Nous décollâmes à la verticale et, en peu de minutes je fus déposé à l'endroit habituel. Nous nous saluâmes..
De retour à la maison, je m'aperçus qu'il était 3 heures du matin. J'étais resté avec eux pendant 4 heures. Par bonheur tout le monde dormait à la maison. Personne, même ma femme, ne s'aperçut de mon absence.
NOTA : Lors de son voyage à Catane, en Octobre 1972, Mr J.C.Salémi (le rédacteur en chef et directeur de la revue Ondes Vives) a présenté ce récit à Mr Eugénio SIRAGUSA pour lui demander s'il était authentique, puisqu'Eugenio a des rapports avec les E.T. depuis 22 ans et qu'il a lui-même voyagé en Soucoupe Volante. Eugénio a répondu que c'est bien ainsi que les choses se passent. "
Ondes Vives
Fin du texte de la revue Ondes Vives
En somme, si nous comprenons bien tout cela, le système fonctionnerait comme
le four à micro-ondes, qui chauffe rapidement l'aliment que l'on y place,
mais le four lui-même, demeure parfaitement froid à l'extérieur.
Avouons donc que, si tout ceci est sorti du cerveau d'un auteur plein d'imagination,
il est vraiment fortiche, et il pourrait facilement écrire un roman de Science-Fiction
qui surclasserait de loin les meilleurs du genre.
A vous de juger.
N'empêche que le webmaster du site,
ARTivision, serait
aux anges, si un internaute connaissant parfaitement
l'italien, pouvait trouver dans la région en question, d'autres textes aussi fantastiques, de
ce prodigieux Pomar.
Certains détracteurs, diront vite, que nous n'avons jamais lu cela, dans un texte faisant autorité... Alors
ARTivision dira : Lisez plutôt ceci:
From: Phil ........
Sent: Wednesday, October 10, 2012 6:38 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: Du Soleil froid...
Bonjour Cher Fred,
Votre article quant au Soleil froid est fascinant. Sauf erreur de ma part, il me semble que Fulcanelli n'a pas été mentionné...
En effet, dans "Les demeures philosophales" Tome 1, l'auteur écrit des choses à propos du Soleil froid...
Etes-vous au courant ?
Si cela vous intéresse, je vous scanne la page concernée.
A bientôt Fred.
Phil
Nous avons remercié vivement
Phil , pour cette affaire de
Soleil froid (que nous ne connaissions pas), du Grand alchimiste
Fulcanelli.
Voici donc quelques lignes des pages 50 et 51, de l'ouvrage en question :
Renversant n'est-ce pas !!!. Mais si vous étes
un infographiste confirmé, vous pouvez alors démontrer, que la photo
d'Howard Menger , de la Lune, que nous reprenons volontairement ici, avec quelques couleurs et indications en plus :
est
authentique ou pas. Et donc,
si elle est authentique, alors l' histoire incroyable
d'Howard Menger, du
Soleil qui n'était pas brillant a aussi de grandes chances d'être vraie.
Que celui, qui a lu tout cela, avec attention, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout le désir latent, d'en savoir plus.
VIII Quand, la notion d'éther mentionnée par Pomar, réapparaît curieusement, et remet totalement en cause, nos démonstrations scientifiques, niant cette notion . (en date du 15/01/2014).
Vous avez bien noté, que ce texte extraordinaire de
Pomar, remonterait à plus
de 50 ans , et se présentait déjà à l'époque, comme le texte le plus
anti-système, que l'on puisse imaginer
( il déclasse de loin toujours, tous les mouvenents actuels individuels ou pas, qui osent revendiquer une conception anti-système de notre socièté). Le site
ARTivision (qui possède ce texte depuis 40 au moins), a eu tout le temps, pour en analyser
les tenants et les aboutissants fantastiques, à commencer par cette affirmation
( que refusent de commenter et d'intégrer la plupart des scientifiques actuels ) :
"votre science erronée est en contradiction avec la leur en tant qu’ils obéissent aux lois universelles de l'Esprit Créateur : Dieu".
On sait désormais, que le site
ARTivision, n'utilise plus dans ses textes, le vocable trop banalisé :
Dieu, mais le remplace partout, par l'expression particulière :
"Le Très Haut" .
Pour compléter cette affaire, reprenons ici
( il y a de nombreux autres textes de même nature), ce passage
mystico-technique du
texte hors normes de
l'ami galactique, placé à :
" L’Être que vous nommez Dieu, est Celui qui se trouve à l’origine et à la fin des émissions de l’ensemble de ces ondes extra-temporelles à travers les structures matricielles " .
Peut-être que tout cela,
permettra en partie, aux internautes curieux, de comprendre pourquoi le site
ARTivision , revendique le statut de site
Mystico-Rationaliste, mot que vous ne trouverez, on le sait, dans aucun dictionnaire.
Mais revenons, à cette
très délicate et incroyable affaire de l'éther, évoquée par
Pomar, en ces termes :
" Les vibrations radiantes projetées par le soleil dans l'espace, sont reçues par l'éther qui n'est pas le vide absolu, mais bien un ensemble d'espaces qui s'étendent de planéte à planète et qui les unissent comme le ferait une mer dont les substances éthériques agissent comme des conducteurs d'énergie."
Ce mot
éther, a semble-t-il ici
une connotation toute particulière, et il faut aussi savoir que ce mot, a divisé la communauté scientique dès la fin du
XIX e siècle. En effet en
1887, eu lieu la célèbre expérience de
Michelson et Morley qui, a conduit les physiciens à mettre en doute l'existence de
l'Éther, qui était le pensait-on le support matériel des vibrations d'une onde électromagnétique comme la lumière, ou tout au moins de son mouvement. Cela montrait aussi que la vitesse de la lumière était la même dans toutes les directions. C'est dans l'histoire de la physique l'une des plus importantes et l'une des plus célèbres expériences, qui valut à
Michelson le
prix Nobel en 1907. Et jusqu'à nos jours tous les scientifiques officiels, en sont restés
là. Voilà un fait,
clair et net, que l'on croit avoir démontré,
une fois pour toute.
Mais, ces temps-ci, un scienfique ayant aussi étudié
l'alchimie,
Isaac Plotain, remet en cause les conclusions de
cette célèbre expérience, en disant qu'elle avait été
mal orchestrée à l'époque, et que
l'éther existe bien. Voici deux ouvrages qui présentent cette histoire plutôt
"éthérique" :
Cela est d'ailleurs, confirmé par le groupe
transcendant Soria, souvent évoqué sur
ARTivision, et voici par exemple quelques propos de
Soria, à ce sujet dans divers ouvrages :
"Nous leur lançons un avertissement sérieux et espérons ne pas voir la réalisation de cette réalité qui, malheureusement, est déjà en train d'être enregistrée dans l'éther de votre planête.....
...La chimie subtile de la rose circule dans les couches d'air, aussi bien celles de la Terre qu'autour ou dans l'éther lointain. Cette chimie véhicule des énergies fines pouvant réactiver l'ouverture d'un cœur (son chakra). Celles-ci s'infiltrent dans le réseau de la chaîne de ce chakra, glissent dans les molécules de l'air et parviennent au cœur de la plus petite parcelle de vos atomes. L'énergie de la rose demeure la nourriture la plus subtile nécessaire à l'apport de la chimie de l'Amour dont a besoin une bibliothèque intérieure.
L'Éther est une matrice vivante , animée par des atomes.
...etc....
Oh là..., une
"matrice vivante" , les meilleurs ouvrages de Science-Fiction sont
alors là, tout à fait
surclassés n'est-ce pas !!
Mais, pour clarifier encore mieux tout cela puisque
Pomar nous parle asssi de
Mercure , voici un peit plus à ce sujet et relatif encore à
cette affaire d'éther ignorée ,on le sait, de nos scientifiques contemporains . Cette information est tirée du
volet V de
l'affaire Kraspedon de la revue
ONDES VIVES n° 94 de Fév 1974 :
Et en page 5, on trouve ceci, et
chers novices, veuillez bien attacher solidement votre ceinture :
Vous avez bien lu, nous l'espérons, que
la couche éthérique est de
624 000 km pour
Mercure , alors qu'elle n'est que de
400 000 pour
la Terre ,
(elle arrive donc jusqu'à la Lune), et que la largeur de
la couche d'éther d'une planète, est
inversement proportionnelle à son éloignement du Soleil.
Décidément
cette Nature ( Le Très Haut), nous
surprendra toujours plus, quand on veut bien analyser son fonctionement .
IX Quand, on apprend, que de nombreux autres textes, mentionnent également, la notion extraordinaire, que le soleil ne serait pas brulant. (en date du 16/01/2014).
Première déclaration :
Au mois de
Décembre 2000, la revue
"Ciel & espace", a sorti son
n° 367, en spécifiant qu'il était
"exceptionnel", car il représente, nous dit-on le
"journal du siècle en Astronomie" et voici pour les puristes, la couverture du numéro en question :
Il convient donc de garder précieusement ce numéro, où nous avons noté, à l'époque, certaines anomalies .
Concernant notre Soleil, à
la page 41 de cette revue, nous notons le texte suivant:
"Retour vers le futur: Plus de 50 ans après, on ne connaît toujours pas le mécanisme précis du chauffage de la couronne. Il semble que Hans Alfvèn ( Prix Nobel de Physique en 1970) soit le plus proche de la réalité. Certaines ondes dites "magnétohydrodynamiques" se propageraient dans la couronne et la chaufferaient. Les satellites d'observation du Soleil, comme Yohkod, Soho, ou Trace, ont mesuré sa température : Elle dépasse les 2 millions de degrés !"
Vous avez bien lu :
"On ne connaît pas encore le mécanisme du chauffage de la couronne", et nous souhaitons que les appareils de mesure de cette couronne ne soient pas du même gabarit que ceux qui ont mesuré la température de
Titan (-180 °)
Deuxième déclaration :
Bien que cela soit assez ancien, et ambigu, il convient d'en dire deux mots :
A la page 289 d'un livre remarquable intitulé
" La barrière du temps " de l'écrivain explorateur
Andrew Tomas, nous lisons la phrase attribuée vers
1882 , aux
"Mahatmas" :
" Le Soleil n'est ni un corps solide, ni un liquide. Ce n'est pas cependant un gaz incandescent, mais une boule gigantesque de force électromagnétique, le réservoir de la vie et du mouvement universel ".
Etonnant n'est-ce pas !!! Donc, laissons aux spécialistes, le soin de discuter de tout ceci, et surtout de ce que nous allons vous révéler ci-dessous, car nous n'avons pas la compétence requise pour savoir si cela est vrai ou non. Notre rôle se résume,
nous l'avons déjà exprimé ailleurs,
à montrer des documents qui n'ont pas connu, en leur temps, la publicité qu'ils auraient dû normalement avoir.
Troisième déclaration :
Nous voilà arrivé,
au point le plus crucial, de cet exposé:
En effet Il cnvient de présenter d'abord ici, l'ouvrage publié en 1953 chez
Werner
Laurie Hc, est intitulé
"Flying saucers have Landed". Il fut écrit en collaboration avec un auteur anglais
Desmond Leslie ancien pilote de la
RAF et était le neveu de
Wiston Churchill , qui a quitté ce
monde en
2001 à 79 ans :
On peut encore peut-être avoir la chance de trouver cet ouvrage
en français chez
"J'ai
Lu" n°
A 260, dans la
prestigieuse collection hélas disparue
"L'aventure
mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues", publié au
début de
1971 sous le titre
"Les Soucoupes volantes ont atterri":
C'est alors que,
Desmond Leslie, nous déclare pages 144 à 145, du livre en français, ceci , qui est
tout à fait hors-normes :
"
Mais pour le moment, notre propos est de découvrir l'origine des véritables soucoupes interplanétaires. Les planètes voisines semblent apporter la réponse la plus plausible: Mars et Vénus. Mais alors, pourquoi pas aussi Saturne, Jupiter, Uranus, Neptune, Pluton et toutes les planètes encore inconnues? On nous oppose que la chose est impossible car toutes les planètes au-delà de l'orbite de Mars sont trop glacées pour que la vie puisse y exister, et que Vénus et Mercure sont trop brûlantes, mais rien ne nous affirme que la chaleur en tant que telle émane du soleil. Les textes anciens nous apprennent que le Soleil produit une énergie irradiante mais pas de chaleur (telle que nous la connaissons) que cette chaleur n'est qu'un sous-produit de l'énergie soumise à la friction de notre atmosphère. Dans ce cas, cela expliquerait la ceinture d'air chaud récemment découverte à 60 kilomètres d'altitude où toute vie serait impossible dans ces températures avoisinant 170°. Selon les Anciens, une atmosphère planétaire agit à la fois comme convertisseur d'énergie et comme filtre réglant la quantité de chaleur ainsi formée. Ainsi, il est fort possible que toutes les planètes de notre système aient une atmosphère semblable à la nôtre. Imaginons un instant que nous puissions emporter nos instruments sur Mars et contempler la Terre, nous verrions cette ceinture brûlante et nous penserions qu'à la surface de ce globe la température est de 170°. Et si les Martiens n'ont pas de meilleurs instruments que nous, on leur pardonnera de penser que toute vie humaine est impossible sur la Terre. Donc, tant que nous ne serons pas allés examiner de près les autres mondes, il serait plus sage de ne pas pontifier dans un sens ou un autre."
Que dire de plus devant une telle affirmation de
Desmond Leslie, qui rappelons-le, était le neveu de
Wiston Churchill , et n'avait donc pas l'habitude de raconter des balivernes. Il est bien dommage cependant que cet auteur ait oublié de citer
au moins un des textes anciens auxquels il fait référence, de même que
les travaux sur lesquels, il s'appuie pour affirmer l'existence d'une ceinture brûlante placé
à 60 Km d'altitude dans notre atmosphère. Nous invitons les internautes spécialistes qui auraient quelques informations à ce sujet, à bien vouloir nous contacter pour tirer au clair cette affaire. Merci d'avance...
De même,
Adamski reprend
cette curieuse affaire concernant le soleil dans son troisième ouvrage de
1961, publié aussi par
Abelard-Schuman, hélas non traduit en français pour le grand public :
On peut découvrir ce livre en PDF, sur le site :
Mais
ARTivision posséde, une
traduction privée de
1962 , exécutée par la courageuse, Mme
H. Verdin Roussel. Voici d'abord, de ce livre,
(extrêmement précieux et sans doute introuvable actuellement) , l'image de la
couverture que nous avons du refaire parce qu'elle était abimée et surtout,
celle de la première page avec la typographie et les inscriptions de
l'époque:
Nous lisons alors
chapitre II (intitulé "l'activité de l'espace dans notre système solaire") page 32:
" La première chose à réaliser est que le Soleil n'émet pas de la lumière et de la chaleur sous la forme que nous observons sur Terre. La radiation du Soleil ne se manifeste comme lumière et chaleur que lorsqu'elle pénètre dans l'atmosphère des planètes elles-mêmes. L'espace extérieur est dépourvu de lumière, telle que nous la connaissons. Dans l'espace extérieur la lumière est une lumière froide, causé par la phosphorescence de vastes nuages de particules et de gaz, répondant à la radiation émise par le Soleil. Pour un observateur humain, l'espace extérieur parait être un vaste vide obscur, rempli de billions de billions de minuscules étincelles de lumière multicolore. Toutes ces minuscules lumières sont en état de mouvement continuel et d'activité. "
Notons en passant que ce n'est du tout
là, le genre de discours utilisé par
un affabulateur psychopathe, ou un
gourou de secte. C'est en effet, à ce genre d'individu que certains auteurs,
(émules de la désinformation officielle ou encore auteurs qui ont oublié de se recycler en données ésotériques modernes), ont voulu assimiler cet
Adamski, qui n'a pas fini de nous étonner.
Tout le chapitre en question, est pratiquement
consacré à la lumière et l'espace. Nous signalons cependant que les premiers astronautes comme
Glenn et
Carpenter ont bel et bien été confrontés à ce problème
de particules lumineuses dansant devant leur hublot, et particules
qu'Adamski avait lui-même qualifiées, bien avant eux, de
"lucioles" (Voir ci-dessous le "France Soir" du 25/05/62, ou le Paris-Presse l'Intransigeant : même date:)
A vous de juger tout cela.
Quatrième déclaration :
Voici ce que déclare
Dino Kraspédon, (déjà présenté plus haut dans le Ondes Vives de FéV. 1974), dans un ouvrage publié à Londres en 1959, non traduit en français
(mais dont nous possédons aussi, une traduction privée plutôt rare ) , et ouvrage intitulé
"Mon contact avec les ET. " à la suite de la question suivante qu'il fait à l'extraterrestre:
" Certains disent que la chaleur présente dans l'atmosphère terrestre vient du soleil. Y-a-t-il du vrai dans cette affirmation ? "
Réponse de l'extraterrestre:
" La chaleur vient du Soleil, mais sous forme d'ondes hautes fréquences qui sont converties en rayonnements calorifiques. Cette conversion se produit dans l'atmosphère des planètes. Ils ne viennent pas du soleil sous cette forme car la chaleur ne peut pas voyager dans le vide. Même la chaleur du soleil est supportable car il n'est qu'un champ générateur de force électriques. Un générateur est froid, mais les courants qu'il engendre peuvent produire de hautes températures. Il est absurde d'affirmer que des températures de plusieurs millions de degrés existent sur le Soleil. Sa luminosité n'a rien de commun avec sa chaleur. Sur Terre, on peut trouver des sources de lumière froide . La lumière d'un néon n'est pas chaude. Nombre d'insectes produisent de la lumière froide, de même que certains légumes sous une action bactériologique. Comme vous le constatez mon ami, votre science regorge d'erreurs. je n'en suis pas surpris, car les choses de la vie sont jugées par les vérités qu'elles peuvent avoir, pas par leurs erreurs."
C'est encore très surprenant, n'est-ce pas ?
Mais, arrêtons ici maintenant,
ces déclarations insolites, pour ne pas trop indisposer nos amis internautes...
X Quand, on apprend aussi, que l'intelligentsia scientifique et médiatique de l'époque, a occulté une lettre inouie d'Adamski, et cela continue de nos jours.(en date du 17/01/2014).
Toujours en rapport,
avec l'affaire des ovnis, révélée par de l'astronaute européen en question dans cet article, maintenant, nous allons présenter ici
un document plutôt rare,, qui est la traduction d'une missive du fameux
Adamski, parue en page 7, dans
le
n°2 , du 2 Avril 1955, de la revue intitulée
"Le courrier
interplanétaire":
dirigé par notre ami
(hélas décédé en 1990),
Alfred Nahon , avec qui nous avons eu quelques correspondances dans les années 1979 et
1980.
Alfred Nahon est, on le sait aussi l'auteur de
l'ouvrage remarquable :
"La Lune
et ses défis à la Science", publié aux
Editions MONT-BlANC de Suisse en
1973 et que nous déjà commenté dans souvent dans nos articles.
Début de citation : traducteur non mentionné, et les couleurs et les mots en italiques et en gras, sont de nous, évidemment .
:Lettre de George Adamski à Alfred
NAHON :Mont Palomar 15 Nov
1954.
Mon Cher Ami,
Je vous salue comme un ami et
un frère travaillant dans 1es grands plans qui se développent maintenant pour
les peuples de la Terre. Ce sont les jours de réalisation des prophéties, car
qui peut nier que (les fils de Dieu viennent du
ciel), comme il fut prédit
?
Ce sont les habitants d'autres
planètes qui se meuvent à travers notre atmosphère ou au-delà, dans leurs
vaisseaux de l'espace.
Ce ne sont pas
des "esprits" opérant dans d'autres
dimensions que les nôtres. Ils ne se matérialisent ni se dématérialisent, comme
on le dit si souvent d'eux. Ce sont des êtres physiquement semblables à nous.
Leurs navires aériens sont des appareils mécaniques comme le sont nos avions.
La vie dans d'autres mondes
ressemble fort à celle que nous vivons sur cette planète, mais ces êtres ont
appris à vivre avec honneur et respect, les uns vis à vis des autres, au lieu
d'entretenir comme nous des divisions et la dualité de l'amour et de la
haine.(Note du Webmaster: Les gourous de sectes utilisent
rarement ce language)
Oui , j'ai vécu prés de 200 heures en compagnie d'hommes et de femmes d'autres
mondes. Ils m'ont dit que toutes les humanités du système solaire, seule notre humanité faisait la guerre, les hommes se massacrant
les uns les autres periodiquement. Ils affirment que la cause de
ces guerres est dansles divisions que les hommes ont
créées eux mêmes à travers les siècles . Cependant, ils ne nous
condamnent pas pour autant. Ils comprennent nos insuffissances, nos erreurs, et
savent qu'en temps voulu - le temps est infini -
, nous apprendrons nos leçons et nous vivrons enfin comme notre
""Père éternel", (Note du Webmaster : sur ARTivison, il est appelé le Très Haut), nous destine tous à
vivre.
Je suis monté dans leurs
engins en plusieurs occasions, et j'ai été emmené au-delà de la limite de notre
atmosphère, d'où j'ai vu l'activité de l'espace, qui nous est inconnue sur
Terre. Quand nous aurons appris à traverser l'espace comme eux, beaucoup de nos
vieilles théories sur l'univers acceptées par nous comme faits intangibles
devront être entièrement revisées,
parce qu'elles sont grossièrement
incorrectes. Nous apprendrons nous-mêmes que nos planètes sœurs
sont habitées par des êtres humains tels que nous, et qu'il existe ici et là des
formes de vie similaires à celles qui nous sont famillières. La-bas l'atmosphère n'est pas très différente de celle que nous connaissons sur la Terre, car
l'atmosphère est engendrée par le mouvement dans l'espace de toute planète qui
se meut à travers lui.
Toutes les
autres planètes sont constituées de substances similaires à celles existant sur
notre planete, et toutes se meuvent autour du soleil. Par notre manque de
compréhension, nous les avons rendues mystérieuses, mais elles ne le sont pas.
Tout ceci - et bien d'autres choses
encore - sera relaté dans notre prochain livre intitulé "Dans un navire de
l'espace" (en collaboration avec
mon ami Desmond LESLIE, écrivain irlandais expilote de Spitfire) que
nous espérons pouvoir publier ce
printemps.
Vous me faites un grand
honneur en me demandant d'être le Président de la section américaine de
l'AMI . (Note
du Webmaster : l'Association Mondialiste
Interplanétaire ). J'aimerais accepter, mais je suis
obligé de décliner votre offre, car cette position exigerait de moi beaucoup de
temps en raison des devoirs nécessaires qu'elle implique. Mais je tiens à
cooperer d'une façon ou d'une autre autant que possible, car je réalise qu'il est très important, en effet, que la vérité soit dite aux populations sur les événements qui prennent place aujourd'hui.
Il n'y a pas de raison de craindre
ces visiteurs d'autres mondes. Ils viennent en amis. Mais l'ignorance et le manque de
compréhension créent la crainte. C'est à cette fin que nous devons
travailler.
Je vous envoie mon cher
ami, mes salutations fraternelles.
George
Adamski.
Palomar
Gardens Star Road Valley center Mont Palomar (Californie : USA)
Pour
l'époque, voilà n'est-ce pas, un discours qui surprend (surtout venant d'un vendeur
de Hot-dogs comme le qualifaient ses détracteurs).
A vous de juger...
Mais, nous avons des dizaines de documents sur
cette affaire fantastique d' Adamski, il nous est apparu utile de présenter aussi, ici, un texte paru dans l'ouvrage suivant publié en 1955 par Abelard-Schuman :
Le texte de ce livre peut être désormais trouvé alors sur le site :
Cet ouvrage fut traduit en français seulement en
1979, chez
Michel Moutet
Editeur sous le titre
"A l'intérieur des vaisseaux
de l'espace" :
Voici donc en français, en page 22 le texte en question :
Tout
cela nous paraît tout à fait logique, et comme nous le savons, les
gouvernements qui cachent au plus haut niveau, l'existence de civilisations extraterrestres (pour ne pas diminuer leur mainmise sur les populations), feraient
absolument tout , pour faire taire, l'individu qui
affirmerait être un extraterrestre et le prouverait.
(Rappelez-vous, ce qui est arrivé au Président John Fitzgerald Kennedy.(Voir notre article : myslune.html )
Bien sûr,
vous êtes libre de ne pas croire cela, mais rassurez-vous, vous serez vite
"dédouané", et cela dans très peu de temps. car
(nous l'avons souvent affirmé), le
Temps des révélations est bien arrivé .
Mais, pour
ARTivision le novice doit savoir, qu'il y a mieux encore, qui est
caché à l'humanité entière et
qui reste toujours en rapport avec les ovnis qui évoluent étrangement dans nos cieux :
On découvre ici clairement, qu'
Adamski ne
devait pas révéler certaines vérités qui lui avaient été confiées à l'époque, et en particulier,
47 ans, avant que le site
ARTivision ne le dévoile en
Septembre 2000.
En effet, seule la fouille intégrale des archives
d'Adamski , pourrait nous apprendre s'il a écrit quelque part, dans un petit coin, les inscriptions
"Terre creuse" ou
"planète creuse" ou même
"trous polaires" . L'une de ces inscriptions, trouvée dans le lieu indiqué, serait pour
ARTivision, bien plus, que d'avoir gagné le
gros lot, à la loterie.
En effet depuis
Septembre 2000, ce site s'est évertué à démontrer
le fait incroyable,
que la Terre et toutes les autres planètes sont creuses et abritent des civilisations intérieures très développées, et on peut parfaitement imaginer que si
Adamski, avait révélé
cette information phénoménale,
( il ne disposait pas l'époque comme nous, des photos satellites pour le prouver), en plus de ce qu'il avait déjà dévoilé, autour de
1953, cela aurait ajouté à son récit
une note d'incrédulité gigantesque, qui l'aurait
discrédité totalement et l'on aurait vite fait, n'est-ce pas, de l'enfermer dans un hopital psychiatrique.
Point barre.
Pour
les puristes, qui aiment découvrir
les documents de base, voici
les urls de près de 80 articles, où dès
Septembre 2000,
ARTivision a dévéloppé,
cette notion fantastique :
Il est aussi à noter, le site de synthèse :
Mais, il y a aussi la page que nous avons mise en couleurs et qui fut traduite de l'anglais, placée dès le 26/04/04 à :
XI Quand, on apprend, ce 18/01/2014, qu'il existe en Bolivie, une communauté rurale, qui parle un vieil allemand, refuse l'automobile, l'electricité et tout modernisme, pour ne suivre que les prétendues prescriptions de la Bible , alors qu'Adamski, affirme lui, que les extraterrestres (sans doute les fameux Elohim de la Bible), ont un grand laboratoire sur le bord de la face cachée de la Lune, ce qui est confirmé par la superstructure gigantesque, découverte dans le Paris Match 1028 (en date du 18/01/2014).
C'est en prenant ce jour, notre petit déjeuné, que nous avons eu la grande opportunité de visualiser un documentaire très intéressant qui a montré (entre autres choses instructives), comment vivait (comme au 18 e siècle) en pleine Bolivie, une certaine communauté (dont nous n'avons pas pu hélas retenir le nom). Cette emission s'intitule "Des trains pas comme les autres" :
Mais puisque, l'on nous présente aussi dans ce programme l'affaire étrange du Titanic, il est bon ici que nous invitions les internautes novices à consulter aussi notre surprenant article, placé à :
Merci donc, une fois de plus à Super Hasard , de nous avoir permis de visaliser cet excellent documentaire, qui ressemble à l'affaire des Amish au Nord des USA, qui appliquent la consigne ancestrale "Tu ne te conformeras point à ce monde qui t’entoure".
Bien que nous admettons que chacun est libre de vivre comme bon lui semble, disons d'emblée cependant, que cette consigne est absurde, car rien dans l'univers n'est statique, et on se souvient parfaitement, par exemple, que l'on a assisté en direct, au mois de Juillet 1994. à la dislocation cosmique de la comète Shoemaker-Levy 9, ( en abrégé SL9), qui est alors entrée en collision, avec la planète Jupiter :
Ce spectacle a émerveillé de très nombreux astronomes et consorts, mais imaginons que cette comète au lieu de se fracasser sur Jupiter, avait touché plutôt la Terre, qui du point de vue cosmique, est à deux pas de cet astre Jupiter. Les adeptes de la dérisoire consigne précédente, n'existeraient probablement plus pour la sanctifier, et nous-mêmes, nous ne serions plus là, pour en parler actuellement. Donc tout est relatif dans ce monde et il convient de s'en souvenir régulièrement.
Et, c'est donc bien ici, le moment de redire avec insistance, qu'il n'est pas besoin d'être un docteur en Philosophie, pour savoir, que chacun situe son appréhension des choses et ses priorités, en fonction de ses préocupations immédiates. Cependant, il arrive souvent que
quelques temps plus tard, ( pour les textes bibliques, par exemple, il faudra attendre des siècles), ces préoccupations se révèlent n'avoir été que des futilités qui n'apportaient rien la compréhension de
notre environnement , et à notre intégration dans la communauté humaine
de cette planète
en grande
évolution .
Si nous n'avions pas sous la main la photo de cette superstructure déjà présentée plus haut:
et placée sur la face cachée de la Lune, nous aurions des réticences à croire ce que nous dit justement le grand chercheur ésotériste français, Jean Sendy, dans son ouvrage révolutionaire (et le mot est à peine convenable), déjà cité plus haut : "La Lune clé de la Bible", de 1968 , et dont nous allons plus bas découvrir quelques révélations :
Mais notons en passant que c'est encore le nommé Adamski qui déjà en 1955, nous disait ceci en page 81 de son ouvrage déjà présenté plus haut "A l'intérieur des vaisseaux de l'espace" :
" - Beaucoup de vos savants ont exprimé l'idée que la Lune est un corps mort. Si cela était vrai et que la Lune était morte, suivant le sens que vous donnez à ce mot, il y a longtemps qu'elle aurait disparu de l'espace par désintégration. Non ! Elle est bien vivante et supporte une vie qui comprend des humains. Nous avons nous-mêmes un grand laboratoire juste au-delà du bord de la Lune, hors de la vue de la Terre, dans la section tempérée et fraîche de ce corps... ".
Bien sûr, nous aurions aussi des réticences à croire cela, quand nous avons découvert l'ouvrage de 1979 de l'Editeur Moutet , si nous n'avions pas déjà à l'époque, sous la main, le fameux Paris Match 1028, montrant la superstructure en question, que les médias ( même ceux que l'on dit people), ayant pignon sur rue, n'ont jamais osé présenter ouvertement dans leurs colonnes, car cela remet en cause tous les fondements culturels de notre société. A vous de juger !!
Quant à ceux qui ne jurent que par la Bible ( nous préférons parler des textes bibliques, car chaque confession possède sa propre Bible , différente des autres), il faut savoir que le texte
d'origine en hébreu, vient de
récits, qui se répétaient oralement d'abord d'une génération à l'autre, par les anciens des villages du peuple hébreu, et ce n'est que quelques siècles avant J.C, que l'on a pu coucher ces récits sur des
parchemins. Autrement dit, la Bible , adorée par certains, n'est que le compte-rendu, du condensé, du résumé , d'événements extraordinaires, qui se sont passés dans les temps anciens, et qui ont été plus ou moins traduits de générations en générations, avec toutes les lacunes, les erreurs, et omissions, voulues ou pas, par les transmetteurs et vecteurs, des textes en question. Le site ARTivision a produit de nombreux documents qui prouvent que l'Ancien Testament , parle clairement d'êtres supérieurs nommés Elohim, qui ont trafiqué et manipulé le contexte planétaire terrestre, et que ces Elohim n'ont rien à voir, avec le Dieu de Jésus-Christ qu'il appelait mon Père, et qu'ARTvision nomme "le Très Haut" ou "La Source". Pas besoin de chercher longtemps, ceux à qui profitait cet amalgame entre l'Ancien Testament et le Nouveau, et cela pour mieux contraindre à l'obéissance l'innocent commun des mortels , et faire appliquer la devise scélérate connue :"Il faut diviser pour mieux régner" .
Pour en savoir bien plus prière de consulter notre article :
Désormais, on sait que ce terme ELOHIM, qui se trouve noir sur blanc , dans le texte hébreu d'origine, a été galvaudé et traduit de très nombreuses manières, alors que la prudence la plus élémentaire, aurait été de ne pas le traduire. (Si dans un livre d'anglais de sixième, on lit la phrase à traduire : "Mr. Pickwick was walking with his dog", que l'on pourrait traduire modestement, "Monsieur Pickwick était entrain de se promener avec son chien", on conçoit alors parfaitement que le vocable Pickwick n'ait pas été traduit... n'est-ce pas !) .
Seules alors les traductions récentes du texte d'origine en hébreu, on le sait déjà, d'abord de CHOURAQUI,(COL.Desclée de Brouwer 1974), celle-ci toujours, et parfois celle de DHORME (COL. La Pléiade, Gallimard 1956), satisfont à cette mesure judicieuse (revoir plus bas leur présentation)
Mais, pour clarifier encore davantage cette affaire biblique, exprimons ici encore le fait que sentant approcher l'an 2000, en Avril 1999, la revue Science&Vie Junior, a eu la géniale idée de nous faire un récapitulatif de toute l'histoire de la chrétienté depuis deux millénaires. Ce remarquable condensé, que l'on devrait trouver dans toutes les bibliothèques de nos communes, nous démontre comment s'est érigé le Vatican, et pourquoi la communauté héritée du Maître Jésus Christ, a supplanté beaucoup d'autres religions.
Voici donc la couverture de ce magistral numéro :
Venant après bien des péripéties arrivées à l'église chrétienne, la revue en question, nous expose admirablement le schisme provoqué en 1517 par le moine allemand Martin Luther, qui s'opposa farouchement au pape Léon X, qui avait renouvelé la vente des indulgences, qu'avait instituée Jules II en 1506. Cela permettait à un chrétien, en versant de l'argent à l'Église, de se libérer de ses péchés et de s'assurer une place au paradis.
Nous avons alors, bien apprécié cette image de la revue :
Mais pour les puristes qui veulent en savoir plus, voici le sommaire de la revue en question :
Mais, venons en au passage crucial suivant, issu de la page 52 intitulée : "L'Église contre-attaque et perd." :
Nous avons souligné en rouge, la phrase clef qui pose problème. En effet, il est peut-être utile de préciser ici, (la revue semble l'oublier en parlant du dieu chrétien, cruel et intolérant ), que la doctrine du Christ, c'est avant tout, "Aimez vous, les uns les autres", et cela s'oppose en effet, totalement à la loi du seigneur de l'Ancien Testament, nommé Iahvé, par certains ou Jéhovah par d'autres, et dont la loi est tout au contraire "œil pour œil, et dent pour dent", loi dite aussi du talion.
Comme vous l'avez vu ce texte fait référence au chef de file des "philosophes des lumières" : Voltaire.
Et voici une admirable image de ce grand philosophe que nous présente aussi page 53 ce n° d'Avril 99 :
En bas à droite, on peut lire alors : "Voltaire a passé sa vie à épingler le Dieu "obscurantiste" de l'Église, il lui préférait les "lumières" de la raison. Une bonne partie de la bourgeoisie, de la noblesse et même des curés furent sous le charme de son ironie, dévastatrice pour le catholicisme."
De plus, il faut savoir que dans son Dictionnaire philosophique de 1765 (in-12) au chapitre Genèse, Voltaire, a écrit ce passage très important :
" "Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre".
C’est ainsi qu’on a traduit; mais la traduction n’est pas exacte. Il n'y a pas d’homme un peu instruit qui ne sache que le texte porte : "Au commencement, les dieux firent ou les dieux fit le ciel et la terre". Cette leçon d’ailleurs est conforme à l’ancienne idée des Phéniciens, qui avaient imaginé que Dieu employa des dieux inférieurs pour débrouiller le chaos, le chautereb."
Fin de citation
Pour en savoir plus sur Voltaire voir le site : http://www.voltaire-integral.com/Html/19/genese.htm
Seulement voilà, si Voltaire voulait rester fidèle au texte hébreu, il aurait dû savoir que le mot traduit par Dieu, est en réalité Elohim qui est le pluriel de Eloah. Il aurait donc dû écrire plutôt :
"Au commencement, Elohim créa le ciel et la terre"
et aussi surtout :
"Au commencement, les Elohim firent ou les Elohim fit le ciel et la terre"
Pour mieux appréhender tout cela, considérons alors maintenant la phrase simple suivante :
" Généralement, les français, aiment le bon vin"
.
Nous pensons qu'il ne viendrait à personne l'idée de refuser que l'on écrive, cette phrase aussi sous la forme :
" Généralement, la communauté des français, aime le bon vin".
On voit alors que le verbe qui était au pluriel (aiment) est désormais au singulier (aime), et cela n'est pas génant du tout.
Il s'en suit qu'inversement, dans cette dernière phrase, le vocable "la communauté" peut être supprimé ici en français sans problème, à condition de changer le singulier en pluriel et le des en les (les hébreux, en faisant de même, il y a des siècles, pour gagner de la place, auraient pu vouloir supprimer, en plus, le les , et même, vouloir garder le singulier, ce qui nous donna cette phrase tordue :"Elohim fit le ciel et la terre") .
Comme il n'est pas correct d'écrire en français "les Elohim fit le ciel et la terre", et pour garder le verbe au singulier, le Webmaster du site ARTivision, propose donc la traduction suivante :
"Au commencement, la communauté des Elohim fit (ou mieux élabora),
le ciel et la terre"
Donc il suffira que l'on remplace partout le terme Elohim par l'expression "la communauté des Elohim", pour que le texte de l'Ancien Testament, devienne tout à fait clair et lumineux, racontant ainsi l'arrivée sur Terre d'êtres venus des cieux, pour re-structurer cette planète.
Il est en effet grand temps , qu'un Éditeur curieux , prenne son courage à deux mains, pour publier enfin cette "Bible Cosmique", qui s'harmoniserait avec les dernières découvertes faites sur la Lune, sur Mars.. etc..., qui donnent entièrement raison à Jean Sendy ( Voir ces découvertes plus bas).
Apres son ouvrage incontournable "La Lune clé de la Bible", Jean Sendy a aussi publié en Juin 1969 :
qui complète parfaitement son livre précédent.
Nous allons alors donc ici, présenter une thèse hors normes, qui sort des sentiers battus, et que l'on pourrait qualifier, sans problème, de thèse cosmique, et thèse qui affirme, la présence des Elohim, dans l'Ancien Testament.
Mais pour cela présentons à nouveau les premières pages des les premiers mots des deux bibles de Chouraqui (1974) (à gauche) , et de Dhorme (1956) (à droite) :
"Au commencement, Elohim créa le ciel et la Terre." (Extrait de la bible de Dhorme publiée en 1956 chez Gallimard. Précisons que nous ne cautionnons ici, aucune secte ou mouvement se réclamant de la primauté des Elohim dans notre civilisation, comme par exemple le mouvement Raëlien).
Précisons aussi encore pour le novice, que ce mot Elohim est le pluriel du mot Eloah, (qui signifie Dieu), comme nous le redit si bien Jean Sendy, à la page 18 de son live de 1968 précité (La Lune clé de la Bible) :
" "Elohim" est en hébreu, la forme purale de "Eloah" et Eloah au singulier, apparaît quarante fois dans le Livre de Job. "Elohim" n'est donc pas "Dieu" mais "Dieux"...
"
Deux images clefs, extraites du site :
nous précisent très bien cela :
Et on voit parfaitement que les deux mots en question ne s'écrivent pas du tout de la même façon, et donc leur traduction ne devrait pas identique.
Mais voyons donc en effet, le passage du chapitre IV du livre de Job, versets 17 et 18 de la Bible de Dhorme volet II , de 1959 , publiée chez Gallimard :
"Un homme est-il juste devant Eloah,
un humain est-il pur devant son auteur ?"
Pour le même passage dans la Bible de Chouraqui de 1985 :
"l' homme est-t-il juste contre Eloha ?
Ou plus que son auteur, le brave serait-il pur ?"
Pour le même passage dans la Bible du Chanoine A Crampon de 1939 chez Desclée et Co :
"l' homme sera-t-il juste vis a vis de Dieu ?
Un mortel sera t-il pur en face de son créateur ?"
Pour le même passage dans la Bible de Louis Second de 1991 ABU :
"L' homme serait-il juste devant Dieu?
Serait-il pur devant celui qui l'a fait ?"
Voyons maintenant, ce que nous dit cette bible en anglais de 1993, pour le même passage :
" Can a mortal be more righteous than God?
Can a man be more pure than his Maker ?"
Donc il est clair que les bibles courantes en français ou en, anglais, ne font pas du tout apparaître ce vocable Eloah dans leurs traductions (Eloah et Elohim, c'est blanc bonnet et bonnet blanc, et c'est Dieu. (Point Barre)
Pourtant, il faut savoir que selon nous, la distinction de ces deux termes, joue un rôle capital dans la compréhension des textes bibliques.
Certains agnostiques, diront vite que ces affaires de textes bibliques, les laissent totalement indifférents, car elles sont très lointaines de leurs préoccupations actuelles. C'est exactement le même raisonnement, qu'ont dû tenir les rédacteurs de l' The Evening Tribune en disant que "ces affaires bizarres de terre, au voisinage du Pôle Nord, ou ces affaires, d'un huitième continent au Pôle Sud, ..etc.., nous indifférent radicalement, supprimons les de nos colonnes, pour gagner de la place pour nos publicités. " voir notre article :
N'empêche, que le site ARTivision pense qu'il est grand temps, nous l'avons déjà dit plus haut, qu'un Editeur courageux, nous sorte enfin, la "Bible cosmique", qui expliquerait assez bien, les découvertes faites dans notre Système solaire, et qui ont été évidemment cachées, en Haut Lieu au commun des mortels, et cela pour de vulgaires questions de stratégies militaires et d'hégémonie politique et économique .
Mais jetons alors maintenant un furtif coup d'oeil, sur ce que pourait être le début du texte du chapitre 6, de cette "Bible cosmique", et texte qui a considérablement embarrassé, tous les traducteurs et exégètes de la Bible,, car il s'y trouve des révélations tout à fait fantastiques...
En effet, l'hébreu "bnei ha Elohim", signifie sans contestation possible : "les fils des Elohim",(voir à ce sujet : La Lune clé de la Bible de J. SENDY Editeur J'AI LU n° A 208, édité en 1974, sans doute plus facile à trouver et de plus cette version possède une postface importante, qui n'existait pas chez Julliard) :
Mais justement, ces "fils des Elohim", d'où viennent-ils? On les découvre ici sans aucune description préalable, ce qui prouve bien que les textes ayant donné naissance à l'A.T. nous sont parvenus sous une forme fragmentaire, et que ces textes ont été transcrits progressivement après bien des transformations et des oublis. Ces "fils des Elohim", ont d'ailleurs été plus tard assimilés à des "anges", de nature immatérielle par excellence, alors que le texte hébreu précise parfaitement qu'ils ont fait des enfants avec les filles des hommes, qu'ils avaient judicieusement choisies.
Voyons d'ailleurs ce qu'en dit A.D.GRAD dans son livre "les Clés secrètes d'Israël" publié en 1973 dans la collection - Les portes de l'étrange : écrits ésotériques chez Robert LAFFONT, ouvrage réédité désormais par les Editions du Rocher. (Mr A. D. GRAD qui parle près de dix langues, a publié 23 livres sur la Kabbale Hébraïque, et est considéré comme un spécialiste mondial de cette science mystique et ésotérique. Nous avons eu le grand privilège de le rencontrer en 1990 à la Martinique, où il réside actuellement) :
Page 29 : " Car ailleurs, "en Haut", dit le Livre des mystères kabbalistiques, les "anges " parlent hébreu. Les "anges d'En Haut " ne comprennent que les prières formulées en hébreu. C'est pourquoi le langage des "rebelles" de Babel a été confondu, afin de leur faire perdre la source de leur puissance, afin qu'ils ne soient pas entendus d'En Haut.
En Haut.
Mais où?
Faut-il croire à un En Haut non mythique ?
Faut-il croire à l'existence d'une ou de plusieurs planètes habitées, habitées par des "anges", et qui parleraient la langue d'Elohîm et du premier homme, la langue commune d'avant Babel, la langue des Hébreux?
Et les Hébreux qui savaient avant tout le monde des savants que la Terre tournait, ainsi que nous le verrons dans le chapitre consacré au ZOHAR, et semblaient connaître la position non centrale de notre planète dans le cosmos, ont-ils jamais évoqué une planète autre planète que cette Terre sur laquelle ils affirment qu'ils sont étrangers?
Bien sûr il y a les troublantes affirmations bibliques sur "les fils des Elohîm" (beney-HâElohîm), qui virent que les "filles de l'Adam" (Benôth-HâAdâm) étaient belles, et qu'ils choisirent pour femmes.
Bien sûr , il y a la mention biblique de Nefîlîm -les "Tombés " (du ciel) qui parurent sur la Terre à cette époque et aussi depuis (et même après cela dit l'écriture), lorsque "les fils des Elohîm" se mêlaient aux filles de l'Adam et qu'elles leur donnèrent des enfants...."
Que peut-on ajouter de plus, à un si remarquable passage de ce livre ? Vous avez bien lu j'espère, que dans le texte hébreu, il s'agit assurément de l'expression les fils des Elohîm et non pas les fils d'Elohim ou les fils de Dieu comme l'ont écrit les auteurs précités pour accorder le texte hébreu à leur propre vision religieuse. Que ceux qui veulent en savoir plus, se précipitent donc évidemment sur l'ouvrage de A.D. GRAD , que l'on peut encore trouver, peut-être, dans les bonnes librairies.
( Notons en passant, d'après A.D.GRAD dans ce même ouvrage, "Les Clés secrètes d'Israël", que ces Elohim pourraient bien provenir de "Arqâ", lieu ou planète restant encore à identifier : Voir le verset de Jérémie (27) traduit d'après A.D. GRAD, d'une manière totalement incongrue et inappropriée ).
Il faut savoir aussi que ces fils des Elohim ou fils d'Elohim ou ces fils de Dieu selon la Bible choisie, sont décrits, chose très surprenante dans le Livre de Job, comme des êtres ayant eu le privilège d'observer, avec admiration, le processus utilisé par Iavhé l'Elohim, pour la mise en élaboration fonctionnelle de la Terre. (Job (XXXVIII - 4 à 9)
On pourrait parler pendant des heures de ces fameux Elohim et de leurs fils frivoles, mais pour ceux qui ne sont pas encore convaincus de la pluralité des Elohim, voici un autre passage très significatif que l'on trouve dans toutes les bibles connues. En effet en Genèse Ch.3 ver22 on trouve ce verset extraordinaire : " Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous ", et certaines bibles écrivent même " l'un d'entre nous ", ce qui ne peut d' aucune manière être qualifié de pluriel de majesté, (si cher à tant d'exégètes de la Bible, pour noyer le poisson), car dans ce cas Iahvé l'Elohim aurait dit "Voici que l'homme est devenu comme Nous". Mais puisqu'il y a "l'un", c'est qu'il y a obligatoirement aussi "l'autre", quelque part, parmi nous. Il est donc ici évident que Iahvé ne s'adresse pas à Adam, ni à Eve, car il aurait dit : "Te voilà devenu comme moi", ou, s'il se parlait à lui même en aparté, il aurait dit "Voici que l'homme est devenu comme Moi ", mais s'il dit : l'un de nous", c'est parce qu'il s'adresse bien, à d'autres Elohim comme lui même, présents à ce moment là, dans le jardin d'Eden. Notons cependant que la Bible de l'Alliance Biblique Universelle (A.B.U) en français courant, contourne astucieusement la difficulté, en proposant la traduction :"Voilà que l'homme est devenu comme un dieu".
Vous voyez donc maintenant, les conséquences très graves d'avoir nié la pluralité des Elohim, dans les textes bibliques en question, et il y a maintenant le fait, que des millions de gens ont été totalement bernés, et continuent à l'être.
A bon entendeur salut !..
XII Quand, on apprend, que la Bible parle clairement d'Ovnis ( les chars de l'Eternel), et qu'il existe une chronique du 9 e siècle, où l'on découvre que des paysans eurent une surprenante rencontre avec un ovni, et subirent alors de désastreux déboires, pour avoir révélé leur aventure.. (en date du 20/01/2014).
Nous avons vu plus haut que les fameux Elohim, doivent être désormais considérés comme un peuple uni, très évolué, venant des cieux, et utilisant des vaisseaux spatiaux du type "soucoupe volante". En effet l'A.T. désigne ces vaisseaux par les mots qui étaient disponibles à cette époque où nulle technologie n'existait encore. Ces mots sont: nuées, chars flamboyants, tourbillons, puissance et gloire, gerbes de feu, etc...
Mais lisez plutot cela , qui selon nous, ne peut que concerner l'affaire des ovnis soulevée par l'astronaute européen :
" Iahvé allait devant eux le jour en une colonne de nuée pour leur montrer la route et la nuit en une colonne de feu, pour les éclairer afin qu'il leur fût possible de marcher la nuit comme le jour. La colonne de nuée et la colonne de feu ne cessèrent jamais de précéder le peuple".(Ex.13: 21 et 22). Et on sait que Moise resta 40 jours et 40 nuits dans cette nuée".
"Quand Iahvé fit monter Elie aux cieux dans un tourbillon, Elie et Elisée s'en allaient du Guilgal".(II Rois ch.2 ver.1) "
"Ils marchaient tout en parlant et voici qu'un char de feu et des chevaux de feu s'interposèrent entre eux deux, et Elie monta aux cieux dans le tourbillon. Ce voyant, Elisée criait: "Mon père, mon père, char d'Israël et ses cavaliers ! ver.11 et 12 )".
"Les chars de Iahvé se comptent par vingt mille, par milliers... le seigneur est au milieu d'eux..." (Psaumes 68;18)".
Pour en savoir vraiment plus long sur cette affaire d'ovnis dans la Bible, nous vous invitons, dès lors, à consulter l'excellente revue : "TOP SECRET" (http://www.topsecret.fr ) n° 17 de Janvier 2005 qui en parle d'une manière très détaillée, pages 34 à 41:
Dans cette même revue, par la même occasion, vous trouverez, pages 42 à 44, un article également de circonstance d'Alain Moreau intitulé "La destruction de Sodomme et Gomorrhe" .
Mais pour les puristes qui aiment remonter aux sources d'une affaire, voici une histoire très curieuse, tirée de l'ouvrage suivant de 1980 :
Cette histoire, nous dit l'auteur Guy Breton, est tirée, d'un traité écrit par Agobard lui-même ( qui fut un homme d'église du Moyen Âge, et archevêque de Lyon.).
Pages 186 à 189 :
Un voyage en Ovni au IXe siècle.
En ce jour d'été de l'an 852, dix-huitième du règne de Louis le Débonnaire, il fait chaud à Lyon ; et de nombreux
promeneurs flanent au bord du Rhone à la recherche d'un
peu de fraicheur. Soudain, quelqu'un désigne le ciel :
- Oh ! regardez !...
Les braves gens lèvent la tête et restent figés. Au même
instant, d'autres cris retentissent dans toute la ville :
- Venez voir ! Venez vite ! I1 y a grande merveille dans le ciel ! . . ..
Alors, sortant des maisons, des couvents, des églises, des
hommes et des femmes envahissent les rues et demeurent
saisis en voyant ce que tout le monde voit.
Là, au-dessus d'une prairie, à hauteur de trois maisons,
une chose qui ne ressemble à rien de connu, flotte dans l'espace, immobile et silencieuse.
Est-ce un char ? Un vaisseau ? Une bête ? Un dragon?
Personne ne peut le dire.
Tout à coup, la chose se met à descendre lentement vers la
prairie et les braves Lyonnais, epouvantes, tombent à genoux.
La chose descend toujours. Elle est maintenant à quelques
pieds du sol. Enfin, elle se pose à terre avec une extraordinaire douceur.
Les Lyonnais, prostrés dans 1'herbe, n'osent pas bouger.
Frappés de stupeur, ils attendent en silence ce qui va maintenant se passer.
Un long temps s'écoule.
Soudain, un cri jaillit de la foule. Sur un côté de la chose,
une porte vient de s'ouvrir. Un escalier se.déplie, et voilà que
des êtres humains apparaissent en haut des marches. Ils sont
quatre : trois hommes et une femme portant des costumes
semblables à ceux des Lyonnais et qui les regardent. A
présent, ils descendent en se soutenant mutuellement.
La foule, ahurie, les observe.
Ils descendent toujours, atteignent le sol, avancent en
titubant. Ils ont 1'air hébétés.
Quand ils ont fait une cinquantaine de pas, l'escalier qu'ils
ont emprunté se replie tout seul, puis la porte par laquelle ils
sont passés se referme, et la chose, toujours silencieuse,
quitte le sol et s'élève lentement au-dessus de la foule. Quand
elle a atteint une centaine de pieds, elle fait brusquement un
bond prodigieux dans le ciel et disparait derrière les nuages.
Alors, les quatre mystérieux personnages se laissent tomber à terre. Ils semblent à la limite de leurs forces. La femme surtout parait fort mal en point : elle pleure et ses membres sont agités par des tremblements.
Les Lyonnais se sont relevés.
.
- Attention ! crie quelqu'un, n'approchez pas d'eux, ce
sont des sorciers !
Mais voilà que 1'un des hommes venus du ciel parle et
s'exprime dans la langue des Lyonnais :
- Nous ne sommes pas des sorciers, dit-il d'un ton las.
Nous sommes d'un village voisin. Nous avons été enlevés par
des genies... N'ayez pas peur de nous ! . . . Secourez plutot
cette femme qui est malade...
Ils sont si pitoyables tous les quatre que des braves gens
s'approchent :
- D'où êtes-vous ?
L'homme donne le nom de son village.
-Nous vous expliquerons tout, dit-il, mais soignez cette
femme, elle a eu si peur. . .
Alors, malgré ceux qui crient à mort et au sorcier, on les emmene dans une maison où on les couche après leur avoir fait boire un vin frais où flottent des herbes revigorantes...
La foule s'est amassée devant la porte. Elle attendra des
heures avant que les hommes venus du ciel aient la force de
parler. Vers le soir enfin, l'un d'eux fait cet extraordinaire
recit :
-Voila, dit-il. Nous étions tous les quatre dans un
champ quand cette chose que vous avez vue est descendue du
ciel et s'est posée près de nous. Des êtres semblables à des
hommes en sont sortis et nous ont appelés. Nous avions si
peur qu'il nous était impossible de bouger. Alors ils sont
venus et nous ont invites à monter dans leur navire aérien.
« II faut que vous sachiez qne nous ne sommes pas malfaisants », nous ont-ils dit. Nous les-avons suivis et la chose s'est
envolée. Nous étions derrière des fenêtres rondes par lesquelles nous pouvions voir la terre au-dessous de nous. Nous
avons vu des campagnes, des rivières et des villes ; puis nous
sommes entrés dans un brouillard et, brusquement, nous
avons cru être en paradis... « Nous sommes au-dessus des
nuages ! » nous a dit 1'un des génies.
Ensuite, nous avons dormi. A notre réveil, nous nous
sommes aperçus que la chose s'était posée dans un pays
inconnu. Le génie qui s'occupait de nous est venu nous
chercher et nous a emmenés dans un palais où se trouvaient
des femmes très belles.
« Voici nos femmes, a-t-il dit. Vous voyez bien que nous
ne sommes pas des demons ! »
Puis il nous a fait visiter la ville et nous sommes remontés
dans la chose. Mais avant de revenir ici, on nous a promenés
dans différents endroits de la terre. Nous nous sommes posés
dans des pays de glace et dans des pays de sable où il fait une
chaleur torride. Avant de nous laisser partir, tout à 1'heure, le
génie nous a dit :
" Racontez aux autres hommes ce que vous avez vu, et
dites-leur que nous ne leur voulons pas de mal, que nous ne
venons pas pour jeter du venin sur leurs fruits, empoisonner
leurs fontaines, exciter les orages ou faire tomber la grêle sur
leurs moissons... Dites-le pour que vos rois le sachent ! Voila,
vous savez tout !"
Les Lyonnais, qui ont écouté ce récit fabuleux, sont perplexes. Soudain, un homme crie :
- Je ne crois rien de tout cela ! Ces.gens sont des sorciers. Ils viennent pour faire tomber la grêle ! . . .
- C'est le duc de Bénévent qui les envoie ! dit un autre.
Oui, oui, crie bientôt la foule. C'est Grimoald, le duc
de Bénévent, qui les envoie pour massacrer nos moissons ! Ce sont des sorciers !. .
- A mort ! I1 f aut les bruler ! . . ..
Et on les emmène.
En attendant que le bûcher soit prêt, la foule hurlante leur
fait faire le tour de la ville. On les insulte. On leur jette des
pierres. On leur promet 1'enfer.
- A mort ! Sorciers ! A mort !...
Mais voila qu'un homme accourt, alerté par tout ce
vacarme. C'est Agobard, 1'évêque de Lyon.
- Que se passe-t-il ?
On lui explique que ces sorciers viennent du ciel pour gâter
les moissons et qu'on va les bruler.
Agobard est un brave homme. Il se tourne vers les quatre prisonniers et leur demande de s'expliquer. Les autres
racontent de nouveau leur extraordinaire aventure.
- Vous voyez, crie la foule, ce sont des sorciers, il faut les
bruler !
Mais Agobard secoue la tête :
- Non je vous interdis formellement de les bruler. Ces
trois hommes et cette femme ne sont pas des sorciers. Pour la
simple raison qu'ils mentent, qu'ils ne sont jamais allés se
promener dans les airs, car de tels faits sont impossibles !
- Mais nous les avons tous vus descendre du ciel, dit
quelqu'un.
- Eh bien, vous avez tous eu la berlue ! reprend 1'évéque.
Et pendant trois quarts d'heure, il leur expose toutes les
raisons qu'on a de ne pas croire à un tel prodige. I1 ajoute :
- D'ailleurs, ceux qui affirment en avoir été les témoins pourraient bien risquer eux-mêmes d'être considérés comme
des sorciers...
Il n'en faut pas plus, on s'en doute, pour que les Lyonnais
declarent à leur bon évéque que tout cela n'a été qu'un rêve.
Et 1'on relacha les quatre prisonniers qui retournèrent dans
leur village, tandis qu'à Lyon, des centaines d'hommes et de
femmes allaient ----.sans le confier à personne - garder dans
leur memoire 1'image obsédante d'une chose mystérieuse
descendue du ciel par un beau jour d'été...
Fin du texte de Guy Breton.
Bien sûr, pour en savoir plus, il est bon d'avoir, de préférence cet ouvrage remaquable , sous la main...
Les psychiatres, psychologues et consorts modernes qui refusent toujours cette notion d'ovnis étudiée ici, utiliseront probablement encore, à tous les coups, le concept de l'hallucination collective, comme d'ailleurs Agobard, l'a déjà fait au Moyen-Age pour se débarrasser de cette histoire phénoménale. Heureusement que le bûcher n'est plus en vigueur dans notre socièté actuelle, mais l'intelligentsia scientifique orthodoxe, ou la curie médiatique, ont des moyens très efficaces, pour discréditer l'individu qui prétendra, (comme dans le récit précédent), être monté dans un vaisseau spatial, même s'il a des preuves photographiques ou autres, qui n'existaient pas à l'époque d'Agobard.
Un exemple significatif se trouve dans l'ouvrage de la collection "pour et contre" dont voici un exemplaire classique:
et voici le passage d'Aimé Michel qui se trouve en page 29 :
On ne peut être plus caustique, n'est-ce pas !!, alors que le premier travail, de ce grand précurseur spécialiste des soucoupes volantes, aurait été d'obtenir et de présenter, un document incontournable, prouvant que les phographies d'Adamski étaient vraies ou fausses, au lieu de critiquer dans le vide, pour se faire mousser devant ses collègues . Point barre.
Que celui qui a bien lu, ce qui précède, en tire les éclaircissements bénéfiques qui s'imposent, et, surtout le désir latent d'en savoir plus.
Mais, pour les puristes, voici un autre document qui raconte, d'une manière plus générale, ces affaires extraordinaires , d'êtres circulant dans le ciel et , affaires arrivées au Moyen-age sous le règne de Charlemagne et Louis le Débonnaire. Le texte suivant, est tiré de l'ouvrage remarquable de 1972 de Jacques Vallée :
Et, aux pages 33 et 34, on découvre ceci :
Vous avez bien noté, nous l'espérons, que dans le texte précédent que Charlemagne et Louis le Débonnaire son successeur imposèrent de lourdes amendes aux supposés tyrans de l'air ( Jacques Vallée dit qu'ils avaient pour nom "les sylphes", et nous on les appelle désormais simplement des extraterrestes), et que ces dispositions impériales se trouvent dans le premier chapitre des capitulaires des empereurs précités. Aux historiens et autres spécialistes de l'histoire du Moyen-Age, de vérifier et de clarifier, noir sur blanc , cette surprenante affaire...n'est-ce pas !
Tout cela nous montre, une fois de plus, que le passé de notre planète, est bien plus extraordinaire, que l'on a toujours voulu, nous l'apprendre.
A bon entendeur salut !
XIII Quand, on apprend, que l'affaire des "Sylphes" du Moyen-Age, serait du même acabit , que ceux bien connus deGeorge Adamski ou d'Howard Menger, dont on a pourtant, (entre autres choses), des preuves photographiques incontournables, que les détracteurs , préfèrent ne pas chercher à voir (en faisant comme l'autruche) (en date du 23/01/2014).
Mais, pour les puristes, tiré de l'ouvrage suivant :
, analysons alors ce passage de la page 31:
Notre traduction approximative, pourrait donner ceci :
"
Après avoir obtenu avec succès deux bonnes photos, Adamski n'a pratiquement
rien présenté l'année et demi suivante . Souvent il dormait dans un hamac suspendu
à proximité, et il décrit très joliment , la température, le climat, et
animaux et les oiseaux observés pendant les nuits des nombreux mois, où il passa à comtempler cela. De l' été à l'automne 1951 jusqu'à 1952, il a obtenu quelque chose comme 500 photographies , dont seules quelques-unes, évoquaient un engin volant. En Juillet 1951 le magazine "Fate" , a publié un de ses articles,
qui l'a aidé financièrement, et a également été à l'origine de nombreuses demandes de renseignements sur ses
photos, pour lesquelles il a demandé à contre-coeur un petit paiement.
A ce jour, il n'existe aucune preuve que l'une de ces photographies soit fausse. Adamski disait lui-même, qu'il " n'avait aucune envie de se salir les mains, pour prouver un sujet, ni se moquer de manière inédite d' un événement".
Dans tous les cas, les plaques qu'il a utilisées étaient des plaques très anciennes, même à ce moment-là , et l'équipement obsolète dont il disposait ne se prêtait pas facilement à des manipulations , sans laisser de traces tangibles évidentes. Tous les développemments de clichés
( On parlait alors définition), ont été faits par un
expert de ce matériel d'époque, un certain M. D.J. Detwiler,, qui vivait dans
Carlsbad, à environ 40 miles de Palomar Gardens. "
Fin de la traduction.
Donc tout cela pouvait être vérifié en long et en large, et si les médias se sont tus à ce sujet, pas besoin d'être un docteur en philosophie, pour comprendre pourquoi !!
Mais, pour le novice, qui débarque ces temps-ci sur ARTivision, voici quelques photos célèbres d'Adamski, faites, on l'a vu, avec un matériel d'amateur primitif :
Mais, ce que les détracteurs zélés ou zététiques, évitent généralement et soigneusement d'avouer, c'est ce que nous dit plus bas Desmond Leslie qui , on l'a vu plus haut, fut un ancien pilote anglais de la Royal Air Force, et neveu de Churchill, et qui fut aussi un infatigable chercheur, des preuves de l'apparition des extra-terrestes dans l'histoire de nos civilisations. Il a quitté ce monde le 21 Février 2001, à Antibes en France, et nous pensons que désormais, il a pu découvrir Paix, Sérénité et Lumière, dans la haute dimension, où il évolue en ce moment, et nous souhaitons ici, que sa Joie, rejaillisse tant soit peu sur les terriens, qui sont épris de la découverte d'une connaissance transcendante pour mieux vivre sur cette planète.
Voici donc, ce qu'il a écrit dans l'ouvrage suivant d'Adamski:
et en page 14 :
Mais, Desmond Leslie, nous a aussi écrit (en anglais bien sûr) en 1953, ceci qui suit dans l'ouvrage que l'on peut avoir encore la chance de trouver chez l'Éditeur "J'ai
Lu" n° A 260, dans la
prestigieuse collection hélas disparue " L'aventure
mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues", publié au
début de 1971 sous le titre " Les Soucoupes volantes
ont atterri ":
En page 285, on peut lire alors :
Une fois de plus, c'est à vous qu'il appartient de juger tout cela, documents à l'appui...
Mais pour arriver à intégrer le paragraphe suivant plutôt inouï, nous demenderons au novice qui vient à peine de découvrir , le site ARTivision, de bien vouloir attacher solidement sa ceinture , car à l'altitude où l'on va évoluer, il risque d'y avoir de très sérieuses turtbulences
Quand
XIV Quand, on apprend, que dès Mai 1959, qu'Adamski, a soulevé, un fait inexplicable, concernant l'exploration lunaire des soviétiques de l'époque, et probablement aussi, concernant les américains leurs complices. (en date du 25/01/2014).
Disons que nous allons être obligés ici, de monter le niveau de cet article d'un cran.
En effet , il faut savoir que d'abord, de simples observateurs (avec de très faibles moyens), ont réussi, à mettre en évidence, les bizarreries des photos de la NASA,. comme le webmaster d'ARTivision, qui dès le 30/04/2000, a été l'un des premiers sites du Web français, à découvrir cela , dans son article daté du et placé tel que :
Puis nous avons progressivement, sorti aussi les articles :
Il ne faut surtout pas oublier, l'admirable livre "Lumières sur la Lune" (le grand doute) de Philippe Lheureux, publié aux Editions Carnot en Novembre 2000:
De très nombreux autres sites, ont aussi faits état de cela, , comme par exemple le super site qui présente 12 vidéos , qui s'enchaînent successivement :
Il faut remarquer alors, que si, ce sont plusieurs années après 69 que l'on a pu s'apercevoir que les photos produites par les américains de leur escapade sur la Lune, étaient absolument truquées, il ne faut pas l'ignorer, que c'est un américain même, qui le premier a tout dévoilé dès 1976, de ce grand bluff, à ces risques et périls. En
effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé Bill Reid Kaysing dans un ouvrage paru aux USA en cette année, et intitulé "We never went to the Moon", publié par la Société of Metaphisicians LTD
Bill Reid Kaysing n'est pas le premier venu dans
cette affaire, car c'était un ingénieur à la retraite de la société Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo.
Pour les puristes , qui recherchent plus de détails, disons aussi que cet ouvrage a été écrit en collaboration avec un certain Randy Reid (nous n'avons aucune information sur lui), et voici donc quelques images de plus sur cette affaire :
Cet ouvrage, hélas jusqu'à présent, n'a jamais été traduit en
français, et ses auteurs sont bien cependant, tout simplement, les précurseurs
incontestables, qui avaient déjà à l'époque flairé le
Gigantesque Bluff, à l'égard de l'humanité, que
représente le prétendu débarquement des astronautes américains sur la Lune, par les "fusées Apollo, LEM, jeep lunaire etc..."
Cela explique aussi le comportement inadmissible de Neil Armstrong, l'homme le
plus célèbre de la Terre à l'époque (décédé le 25 Août 2012).
Mais où le bât blesse, c'est comment expliquer que les spécialistes soviétiques de l'Espace, qui ont dû aperçevoir ces truquages dès dès Juillet 1969, pourtant, n'ont absolument rien dit depuis ....
C'est donc, qu'ils étaient parfaitement complices de cette macarade, et le concept de Guerre froide, qui battait son plein à l'époque, n'est qu'un autre bluff, mis au point par les soviétiques et les américains, pour noyer le poisson, et poursuivre en douce leur scélérate collaboration avec Les Petits Gris, dont nous allons parler ci-dessous.
De plus les soviétiques n'auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans , une raison d'Etat supérieure, à tout ce qui est économiquement et socialement valable. S'ils ont laché prise, c'est parce qu'ils ont appris l'existence effective d'un troisième larron, plus puissant que les américains et les soviétiques, et donc que ces deux derniers pays, n'avaient plus aucune raison de se taper dessus.
Peut-être comprendrez-vous dès lors, un peu mieux, le dénouement surprenant, le 26 octobre 1962, de l'affaire des fusées de Cuba.
Mais c'est encore, Adamski , qui nous nous donnera indirectement la solution de cette énigme....
Pour mieux appréhender cette affaire, il nous semble utile justement ici, de présenter le texte suivant de l'ouvrage publié chez Gallimard en Octobre 1986, tel que :
"Les deux
premières tentatives, d'Août et de Septembre 1958 furent des échecs. La
troisième, le 8 novembre 1958, voit Pioneer 1 s'élever à 113000 km d'altitude
(loin encore des 384 000 Km de moyenne qui nous s'éparent de
notre satellite); la suivante, le 6 Décembre 1958 conduit à une
performance moins bonne : 102 000 km d'altitude pour Pioneer 3 enfin le succès
est acquis le 3 mars 1959 avec Pioneer-4 qui passe à 60 000 km de la Lune. Mais
les soviétiques ont fait beaucoup mieux entre temps: Le 2 janvier 1959, ils ont
lancé leur sonde Luna-1 (alors surnommé Lunik) qui
est passé dix fois plus près de la Lune (à 6500 km
seulement), quoiqu'elle soit beaucoup plus lourde: 361 kg, contre 5,9 kg
seulement pour Pioneer 4...
En outre l'exploit de
Luna-1 n'est qu'un prélude. Le 12 Septembre
1959, Luna-2 prend à son tour la route de la Lune sur laquelle elle
s'écrase deux jours plus tard, dans la Mer de la Sérénité. Pour la première
fois, un objet construit par l'homme a atteint un autre corps céleste. La
performance de Luna-3 lancé le 4 octobre 1959 est encore plus remarquable:
passant derrière la Lune, elle obtient les premières photographies de la
mystérieuse face cachée. "
Voyons maintenant les pages suivantes de notre traduction privée du livre
d'Adamski de
1961
"Flying Saucers Farwell":
Notons ici que c'est
le 15 Mai 1959,
qu'Adamski, dit être arrivé à
Amsterdam et qu'il fut reçu en audience privée par
la Reine, le
18 Mai 1959.
Et de plus il y a ceci en page 227:
Mais d'après notre contrôle,
cette brêve audition de la BBC, eu lieu le lendemain de la visite à
la reine de Hollande, donc le
19 Mai 1959. Or l'ouvrage précité
"La saga de l'espace", nous précise bien, que c'est
seulement le 4 Octobre 1959, que les soviétiques ont lancé la sonde
Luna-3, qui devait contourner la Lune, et photographier la face cachée invisible de la Terre,
pour la première fois. Donc soit
Adamski, s'est trompé de date de l'audition de la BBC, soit, si l'on retrouve cet entrefilet vocal de la BBC, à la date indiquée, alors
depuis belle lurette, on nous prend pour
des minus abrutis, à écarter absolument de la réalité cosmique.
Aux spécialistes de répondre, aux questions que pose ici, cette incongruité manifeste.
Pour les puristes, qui aiment partir
des documents sources, voici d'abord la converture du
Science et Vie n°
507 de Décembre 1959, qui parle de cet exploit soviétique de
Luna III :
Et voici la page 93, qui annonce l'exploit :
Et enfin, voici les pages en question, montrant la photo de
la face cachée de la Lune,
prétendue photopgraphiée pour la première fois, par les soviétiques :
Et que celui qui sait lire, ce qui se dessine clairement entre ces lignes... en tire la conclusion qui s'impose, et surtout , le besoin d'en savoir plus.
Mais, revenons au texte d
'Adamski .
Et pour bien cibler le problème, reprenons vu son importance, ce passage de la page 227, déjà vue plus haut :
" J'étais curieux de savoir comment les Russes avaient gagné cette information. Mes amis et moi discutâmes les possdibilités, plus tard, le matin. Etait-il possible qu'un Russe eut fait une incursion comme-moi, ou qu'il eût reçu l'information de leur satellite, sur la Lune, qui suivit une orbite autour du soleil ?..( L'information reçue au moment où j'écris ceci semble confirmer qu'ils l'ont fait). "
Alors avez-trouvé l'explication de l'incongruité ?
Mais dans le texte qui précède,
Adamski , ne dit pas clairement qu'il ne peut s'agir que du satellite
Lunik 1, lancé le
2 Janvier 1959, qui, parait-il, serait passé seulement à
6500 km de la Lune. Or, on le sait déjà, on était le
19 Mai 1959, et il est donc inutile d'évoquer
Luna 2 du
12 Septembre 59, qui s'est dit-on écrasé sur la Lune, et encore moins on l'a vu
Luna 3 lancé le
4 Octobre 1959.
De plus
Adamski ne dit pas non plus,
quelle information il a reçue, et information
qui a confirmé ses soupçons.
Comme vous le voyez donc,
Adamski ne
pouvait pas tout dire de ce qu'il savait, car cette information était,
selon nous, d'une
importance capitale, et relevait de
notre impérieuse connaissance historique de l'Astronautique, et décidément
cet Adamski , nous
surprendra toujours davantage ..., et la phrase, en anglais bien sûr,
" L'information reçue au moment où j'écris ceci semble confirmer qu'ils l'ont fait", qui
est totalement passée inaperçue dans les médias, est sans doute
la plus importante qu'Adamski n'ait jamais prononcée...
Nous allons donc
tenter ici une explication de cette incongruité, puisque
personne jusqu'à présent, ne nous en a touché, deux mots.
Voici donc un passage très significatif concernant cette affaire et passage que l'on peut trouver à notre article,
plutôt corsé, vous le verrez :
Début de citation :
" Donc il est clairement ici, mis en évidence, le fait, que certains gouvernements de cette planète, ont fait alliance avec ces Petits Gris, pour profiter de leur technologie. On pourrait même, en déduire, que c'est avec les navettes spatiales de ces Petits Gris, que les américains et probablement les soviétiques de l'époque, sont montés sur la Lune pour y déposer des instruments de mesures et collecter les, environ 380 kg de roches lunaires, remis aux scientifiques terrestres pour les étudier. Mieux vaut ne pas évoquer ici, ce que ces gouvernements scélérats, ont offert en retour à ces Petits Gris (entre autres choses, le droit d'enlever des animaux et des humains pour leur expériences génétiques), et ce qui est le plus triste, c'est qu'il paraît même, que le Vatican , est parfaitement au courant de cette affaire. On trouvera sur le Web, les arcanes de l'affaire Barboto, mais le mieux pour nous, est de présenter ici, l'excellent article paru dans le Nexus n° 51 de Juillet-Août 2007:
,
et surtout, une restructuration du début des deux premières pages de cet article :
Pour en savoir plus, veuillez consulter le site :
Pour être encore plus explicite, voici un passage clef, de cet article:
" Du point de vue chronologique, l'événement qui a déclenché la création du SIV ( en italien, Service d'information du Vatican), s'est produit aux États-Unis en Février 1954. Ce fut la rencontre à Muroc Airfield (future Edwards Air Force Base), en Californie, d'une délégation d'aliénigènes avec le président Dwight D. Eisenhower, en présence de l'évêque de Los Angeles, James Francis Mclntyre. La rencontre fut filmée par des militaires, utilisant trois caméras 16 mm placées en des endroits différents et chargées de pellicules couleur ".
Mais il y a mieux : Dans cet article, on apprend avec stupéfaction, que le nommé George Adamski, cité plus haut, avait bien rencontré en le 31 Mai 1963, le pape Jean XXIII, à la grande déconvenue des irréductibles détracteurs, dont les écrivains Jean S.... et Marc H....., avec qui, pour tous les deux, nous avons été en correspondance, il y a longtemps. Ces écrivains avaient fait d'Adamski , leur bête noire , et affirmaient sans retenue, que puisque le pape étant mourant, il ne pouvait donc recevoir de visites, et on en déduisait alors qu'Adamski, avait menti une fois de plus, comme il l'avait fait en disant qu'il était passé très près de la Lune, en soucoupe volante.
Mais voyons de plus près, ce que l'on trouve dans ce document au sujet d'Adamski :
" Adamski a rencontré le Pape. Il est allé à Saint-Pierre une fois, précisément après que le pape eut décidé qu'il ne fallait plus poursuivre les contacts avec les aliénigènes, même si ceux-ci étaient amicaux. En outre, jean XXIII refusait que cette relation soit révélée à la population chrétienne. Adamski se présentait comme chargé de mission par les aliénigènes pour tenter d'obtenir du Pape, qui était mourant, un accord définitif. Il apportait en outre un don pour le saint père : une substance liquide qui devait le délivrer de la gastro-entérite dont il souffrait et qui, évoluait en péritonite aiguë. Le pape ne prit pas cette potion et avant de mourir, tenant le crucifix, déclara : « Les bras ouverts de Christ furent l'objet de mon pontificat. Ainsi que vous le voyez, un pontificat simple et humble dont j'assume toute la responsabilité. Je suis satisfait de ce que j'ai fait et de la manière dont je l'ai fait.»
En outre, ce geste de la part des aliénigènes convainquit le Pape mourant, dans le peu d'énergie et de lucidité qui lui restait, que même si les "frères de l'espace" se comportaient avec bienfaisance envers l'humanité, il convenait qu'ils agissent de façon autonome, séparément de l'Église et des activités humaines en général, par la prière et des actes conformes à la loi de Dieu et particulièrement sous la direction du Saint Esprit.
La tentative d'Adamski mit fin au contact direct entre ces êtres et le pape ainsi que ses successeurs qui, faisant confiance en la clairvoyance de Jean XXIII, comprirent qu'il ne fallait pas que l'Église entretienne ces contacts.
Dans un manuscrit secret du Pape Jean XXIII à ses successeurs, qui comprend un dossier spécial sur le SIV, est cité un passage de l'évangile de Marc (Marc 9 : 38-41) qui expose clairement la position que doit adopter l'Église vis à vis des êtres bienfaisants venus d'autres mondes.
Ainsi donc l'événement contemporain le plus important de toutes actions humaines actuelles, a été camoufflé par l'église Catholique , alors que cet événement possèdait en lui-même, la potentialité inestimable d'unir les humains entre eux, et d'en finir, une fois pour toute, avec toutes ces tensions, tiraillements et déchirements, qui l'animent sans cesse de nos jours" .
Fin de citation.
Dès lors, comment de pas croire
aux déclarations extraordinaires, d'un
Milton William Cooper, faites dans son ouvrage vraiment
hors normes (Âmes sensibles s'abstenir) :
Il faut alors savoir que
Milton William Cooper a été assassiné
(sans doute par les Forces de répression américaines ou autres) le
5 novembre 2001, à l'âge de
58 ans, dans des circonstances particulièrement troubles, à Eagar en Arizona.
Voici alors une de ses déclarations :
" Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale (Note du Webmaster: Adamski ne disait pas autre chose. Voir nos articles :
FlashbackAdamskien1955.html ou RetourauCosmos.html ou encore RetourauCosmosplus.html ). Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous présente pas toujours exactement la même face, comme on le pense généralement [NDT: c’est le mouvement de précession de la Lune, qui la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des bords de sa face visible]. Il y a aussi des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à sa surface, munis simplement d'une bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles.
J'ai personnellement des photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon, et dans Someone Else is on the Moon. (Note du Webmaster : Nous avons déjà présenté ces ouvrages, dans d'autres articles). En 1969, une confrontation eu lieu entre les soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur programme pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à agir ensemble... "
Fin de citation.
Donc, on en déduit logiquement, que
les Américains et les soviétiques, avaient déjà installé,
une base sur la Lune en 1969, et donc pour cela, il fallait,
dès 1968 au moins, avoir déjà prévu les installations requises. Alors,
le prétendu débarquement sur la Lune du 20 Juillet 69 des Américains,
ne pouvait être qu'un canular, qui a bien fait
rire sous cape les soviétiques de l'époque.
C'est à vous, qu'il appartient désormais de juger tout cela, documents incontournables à l'appui.
XV Quand, on apprend, en ce qui concerne "Apollo XI", et confirmant ce qui précède, que d'une part, Neil Armstrong, a menti, concernant l'origine de sa célèbre phrase : " That's one small step for man... ( C'est un petit pas pour l'homme...).", et que d'autre part Buzz Aldrin a été interné deux fois, et Michel Collins, a été si choqué, qu'il n'a plus jamais participé à aucune autre mission . (en date du 26/01/2014).
Cette affaire commence, lors de la réception des missives suivantes :
Première missive :
En effet, le 27 Janvier 2011, nous avons reçu la missive suivante du Canada :
----- Original Message -----
From: Jean R......
To: Fred Idylle
Sent: Thursday, January 27, 2011 3:01 PM
Subject: TR: ... DIE NASA-MOND-LANDUNG ... IM STUDIO ON PLANET ERDE
accompagné d'un petit film
Deuxième missive :
From: Maryse B................
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Sunday, August 14, 2011 6:02 PM
Subject: moon rising "montée de lune"
Bonsoir/jour Fred,
Juste au cas, où vous l'aurez pas vu, une petite vidéo
Amicalement, Maryse
Troisième missive : (il y a a eu bien d'autres):
----- Original Message -----
From: chanal S...
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Thursday, December 15, 2011 8:27 AM
Subject: Les américains n'ont pas été sur la Lune
Bonjour Fred,
Je sais que vous prenez du repos et j'espère que tout se
passe au mieux.
Je suis tombée sur une séquence relativement courte mais étonnante.
Sur le site www.moontruth.com. Je vous la mets par hasard en pièce jointe.
Et encore merci pour tout votre immense travail accompli.
C'est un vrai plaisir sans cesse renouvelé que d'aller sur votre site.
Bonne continuation.
Chanta.......
Nous avons bien sûr, répondu à ces aimables intenautes à l'époque, en disant que nous connaissions le petit film en question, depuis au moins 2005, et cette courte vidéo s'appelait autrefois
"Moontruth". On pouvait la voir à l'époque sur près d'une demie douzaine de sites, et actuellement il reste encore celui là, sans doute pas pour longtemps :
On y voit donc un système de projecteurs qui dégringole à côté de
"l'astronaute".
Cela surprend évidemment, mais les
détracteurs français zététiques et autres debunkers anglosaxons, vous diront que ce film provient effectivement du centre d'entraînement, où l'on était entrain de préparer les gestes précis à faire et que ce film a bien été tourné sur la Terre et probablement ce n'est même pas
Armstrong, qui descend de l'échelle et qui prononce le phrase clef.
Point Barre.
Mais, ce que ces
détracteurs zélés ignorent, c'est que nous avons assisté à l'époque, à la télévision, aux déclarations en direct
d'Armstrong lors de l'emission de FR3
"Les Dossiers de l'écran" ,
le 15 Août 1979, et à un moment donné
Armstrong, a affirmé devant des millions de téléspectateurs,
groso modo, que sa phrase
fut spontanée et non prévue à l'avance, lors de son débarquement sur la Lune. Cette vidéo prouve donc qu'il a berné tout à fait, les journalistes de
l'émission, alors que le premier quidam rencontré après cette émission, sans être
docteur en psychologie, vous dirait d'emblée, que cette phrase ne pouvait avoir été spontanée, pour quelqu'un debarquant sur une autre planète pour la première fois dans l'histoire de l'Humanité.
Chaque mot et chaque pas, devaient assurément, être étudiés à l'avance :
Merci mille fois à l'internaute qui retrouvera sur
Google,
l'url où le DVD, de cette emission des
"Les Dossiers de l'écran" , pour
bien analyser dans le détail, les propos d'Armstrong, correspondant à sa célèbre phrase. Nous avons nous-mêmes écrit , à la revue
Nostra à propos de cette émission . Voici la lettre en question :
La vidéo
MoonTruth ,
( que l'on a intérêt à enregistrer rapidement, car elle pourrait disparaître comme par enchantement), prouve sans contestation, que la phrase
d'Armstrong, prononcée solennellement en posant le pied sur le sol, avait
bien été calibrée d'abord, et donc
Armstrong,
devait savoir cela : Pourquoi a-t-il menti ? Aux spécialistes de répondre...Nous attendrons avec ferveur, leurs conclusions pour les publier joyeusement...
Mais, puisqu'on est certain ici,
qu'il a menti, nous pouvons lui appliquer sans réserve, l'
aphorisme célèbre :
"Qui vole un œuf, peut voler aussi un autre jour, un bœuf".
Et, alors on peut dire que, si
Armstrong, a
menti une fois, il peut très bien le faire
en mieux,
une autre fois. On pense même que ce film aurait été tourné en Angleterre sur le plateau de cinéma, où fut réalisé le célèbre film de
Stanley Kubrick :
" 2001 l'odyssée de l'espace" :
Un documentaire
ironique, nous explique tout cela d'une manière
très ambigüe :
Si
en plus, on étudie le
comportement aberrant de cet "astronaute", on reste sidéré devant une telle
attitude fallacieuse, car cela ne cadre pas du tout avec
le stoïcisme et le caractère avenant que l'on
prête en général à un héros de la nation, et
nous invitons maintenant,
les internautes curieux, à analyser avec
le plus grand soin, les quelques lignes suivantes extraites d'un vieux
Paris Match n°1242 du
24 Février 1973, où figure un article courageux, tout à fait
hors-normes, et intitulé :
Le langage est donc clair : les astronautes sont devenus
"les désaxés" soit, les
"misfits" de la NASA.
Mais pour mieux analyser cette affaire, rappelons ici les propos poétiques de l'explorateur américain
Israel Isaac Hayes "La mer libre du Pôle" de
1877:
On trouve alors ceci, aux pages
188 à 189 :
" Tout le démontrait: j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "
et le 19 Mai 1861:
" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une fascination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "
Fin de citation
Tout ce qui est raconté ci-dessus est superbement rassemblé dans une gravure montrant
ce fantastique paysage, qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez
Hayes et son compagnon. Voici à nouveau
cette gravure sublime :
Et en aquarelle en couleur, c'est mieux :
Cette émotion toute naturelle, n'a pourtant pas plu
aux bien-pensants explorateurs modernes des pôles, comme un certain
Paul-Emile Victor.
(Voir notre article : http://www.artivision.fr/LaMerlibreduPoleNord.html)
En comparant cette déclaration de
I. I. Hayes avec le comportrement
d'Armstrong, on voit alors, que nous passons d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine s'exprime avantageusement,
selon nous, pour
Hayes, voici que pour
Armstrong, décédé on le sait,
le 25 Août 2012, qui, dans une situation encore plus extraordinaire, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre,
(et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet,
le souffle coupé , devant un tel paysage
d'outre-terre), ce dernier,
en véritable robot, refuse même de dire devant ses interlocuteurs seulement,
que la Lune est belle et même, il agit comme si la lune lui avait donné "le dégoût de la Terre" . Mais relisez donc à nouveau, bien ce passage :
Voilà, Messieurs les journalistes intrépides,
un sujet d'article passionnant, que représente ce parallèle à faire
entre deux explorateurs si opposés dans la conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants
en Psychiatrie, Psychologie , Philosophie et consorts,
une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance, sur
une étude comparative de
ces deux modes d'expression, des explorateurs précités...
On voit donc clairement dans le texte du
Paris Match 1242, présenté ci-dessus, que
"l'astronaute" Neil Armstrong, est bruquement devenu comme
"un ours en cage", et on dit, parait-il, qu'il ne voulait
plus entendre du tout parler de la Lune. Le titre même de ce
Paris Match 1242 , est déjà à notre avis, en lui même, très explicite:
"Ils sont
encore dans la Lune".
Il y a donc bien
"anguille sous roche", pour cet
"astronaute", qui est devenu après son
"voyage" vers la
Lune,
un obscur professeur d'université, face à des étudiants, ignorant de lui, tout ce qui précède et ce qui va suivre.
Certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute, nos déclarations sur
Neil Armstrong, doivent savoir que ce dernier aurait pu amplement tirer,
de grands profits par les contrats publicitaires faramineux qui
lui ont été proposés. Connaissez-vous en effet,
cher internaute, un américain qui refuse de ramasser
des millions de dollars
qu'on lui offre
sur un plateau
d'argent, comme certains footbaleurs français ou étrangers, bien connus,
l'ont honnêtement bien fait ?
Et bien oui, il en existe au moins un, c'est
Neil
Armstrong, l'homme qui on le sait,
fut dit-on, le premier,
parait-il, à mettre le pied sur un autre
"astre que la Terre"
Voici aussi, d'autre part, quelques phrases tirées de la
page 99 de l'ouvrage très documenté de
Pietro Banucci , intitulé
"La Lune", et publié aux
Éditions Bordas 1989 :
"Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même, et évite, dans la mesure d
possible, de parler du passé. Séjournant
dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un
poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A
plusieurs reprises, il émet des opinions
négatives sur la NASA. En Décembre 1972 après
la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre
satellite, il refuse une invitation de la
NASA, à une cérémonie au cours de laquelle il aurait
dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La
photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre
à une party, à laquelle l'a invité le Président Nixon.. Il snobe également
une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du
programme Apollo , dans sa villa du Pacifique en Californie...".
Mais, il y a aussi ceci : Lorsque l'astronaute
Armstrong, a soi-disant débarqué sur la Lune
et cela,
( 5 heures avant l'heure prévue,
ce qui a désorganisé tous les programmes des médias qui suivaient l'événement ), il a flanqué la caméra
dans une direction et elle n'a plus bougé ...
Jamais, il n'a fait
(à notre connaissance bien sûr, et nous aimerions avoir la preuve du contaire),
un panorama du paysage, comme le ferait tout alpiniste, qui arrrive au sommet d'une montagne...
C'est inadmissible, au prix où l'on avait soi-disant payé cette caméra... Des spécialistes ont démontré d'ailleurs, que la caméra n'avait
aucune
protection contre les dures conditions et radiations, qui régnent sur la Lune, et que par conséquent, les films obtenus auraient été tous
"brûlés"...
Arrêtons là, voulez-vous, ces
propos significatifs sur Armstrong, qui justifient parfaitement, à notre
avis, notre expression
"un ours en cage" citée ci-dessus...
Voilà donc, quelques
éléments très prosaïques et
il y en a d'autres, qui nous invitent à croire qu'
Armstrong qui vient de passer l'arme à gauche, n'a probablement,
jamais mis les pieds sur la Lune, et pour cause....
Donc ce n'est pas comme le pense le
France-Antilles du 27 Août 2012, présenté ci-dessous, , une affaire d'
Humilité,
qui a présidé au
comportement aberrant, d'
Armstrong, mais,
pour nous, la seule façon de comprendre ce comportement, c'est de se dire
qu' Armstrong, a eu
un sursaut évident, de dignité et de moralité, et il a donc refusé de participer à
cette mascarade cosmique, montée par son gouvernement et la
NASA, pour
de vulgaires questions de prestige politique, économique et militaire de sa nation.
Point-Barre...
Mais, dans ce même
numéro 1242 de Paris Match, il y a aussi
cette incroyable page 79 :
, où l'on apprend que, le second
"voyageur de la Lune",
d'Apollo XI,
Buzz Aldrin, qui aurait été
interné deux fois, a prononcé cette phrase
très
insolite :
"On
nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés"
.
Il y a donc bien
quelque chose d'incroyable qui s'est passé au sujet de la Lune également pour Aldrin, n'est-ce pas !!
Mais parlons aussi un peu de,
Mikael Collins (le troisième larron qui a seulement tourné en rond autour de la Lune
dans le Module de Commande, quand ses camarades étaient "déscendus", sur le sol lunaire), et qui
parait-il a été
si choqué par son
"aventure lunaire", si bien qu'il ne participera plus à aucun autre vol spatial. Voir à ce sujet, la revue
"Valeurs Actuelles" n° 1725 de Déc. 1969 page 22:
Que celui qui a bien su lire tout qui précède, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout, le désir latent d'en savoir plus, documents à l'appui.
XVI Quand, on découvre que, ni Michael Collins, ni Richard Cordon, ni Stuart Rossa, ni Alfred Worden, ni Thomas Mattingly, ni Ronald Evans, les 3e "voyageurs" des diverses missions "Apollo", qui ne sont pas descendus sur le sol lunaire, n'ont jamais photographié par les sas d'entrée, leurs collègues de retour de leurs dangeureux périples sur la Lune. (en date du 28/01/2014).
Pour bien analyser
cette nouvelle énigme, nous nous souvenons d'abord, que c'est en
Décembre 1965, que les américains eurent un gros problème avec
Gemini 6 ( avec les astronautes
W.Schirra et T Stafford), qui n’a pas pu s’arrimer à un satellite
cible qui devait être
un étage de la fusée Agena, spécialement équipée pour que
le nez de la cabine
Gemini 6 puisse s’y emboîter.
Agena ayant échoué dans son
lancement, la NASA, décide brusquement de modifier ses plans. C’est le vaisseau
Gemini 7 (avec Fank
Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à
Gemini 6. L’expérience devient alors peu spectaculaire,
puisque
l’arrimage étant impossible, le
15 Sept 1965, les
deux cabines ne vont pouvoir que s’approcher à deux pas l’une de l’autre, et
vont effectuer ainsi
en tandem plusieurs révolutions
orbitales.
Le véritable rendez-vous avec la fusée Agena
inhabitée n’aura en fait lieu qu’en
Mars 1966
avec
Gemini 8 (avec N.
Arsmtrong et D. Scott) et encore que le vol fut interrompu à cause d'un court-circuit.
Mais où cela est surprenant, c'est que nous
n’avons pas
trouvé d'autres d’exemples, où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo
différents
(avant bien sûr la mise en orbite de la
navette spatiale), se
sont réunis dans la même cabine, après un
rendez-vous spatial programmé.
Mais, il nous appartient maintenant de noter ici, ce fait important : Le
15 juillet 1975, fut lancé le vaisseau soviétique
Soyouz 19 avec les cosmonautes
A. léonov et V. kubasov , et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission
aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias , si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et
le passage par le sas de contact, des visiteurs américains :
T. Stafford , V.Brand et D.Slayton, ont été
largement filmés et retransmis, dans toutes les télés, radios et presses du monde entier. Les deux équipages ont bien d'abord montré
leur grande joie de se rencontrer, et par la suite, ils ont expérimenté et testé
les processus d'amarrage des deux vaisseaux, pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :
Mais, justement maintenant, il nous vient à l'idée, que
la NASA, n'a jamais montré, pour aucune des missions "Apollo",
(à notre connaissance bien sûr et les internautes qui en auraient la preuve, nous feraient un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait
somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes revenant de
la Lune, avec de leur compagnon d'infortune, qui lui fut privé, hélas, du débarquement, et qui est resté sagement dans le
Module de commande, à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or ce dernier avait
assurément, à sa disposition à l'intérieur de la cabine,
une caméra pour filmer, tout ce qui se passait autour de lui...
Aux spécialistes de répondre et
de nous dire pourquoi aucune photo des retrouvailles n'a été montrée.
Quelle joie ce serait en effet, pour lui, de filmer le passage, par le sas
d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion, au monde entier ?
Non rien de tout cela ne nous a été présenté par la NASA !!!
On sait d'ailleurs maintenant, qu'en plus des caméras
placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient
chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales.
De plus, il serait peut-être utile, de présenter ici le passage qui suit du site :
" Lorsqu'en 1961, le président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, fixe comme objectif à l'agence spatiale américaine d'envoyer des hommes sur la Lune avant la fin de la décennie, le programme spatial américain est encore balbutiant. Après avoir étudié plusieurs configurations pour le vaisseau spatial, la NASA choisit en 1962 d'avoir recours au LEM, module destiné au débarquement sur la Lune, malgré les interrogations que suscitent à cette époque le recours au rendez-vous orbital lunaire (LOR) que sous-tendait ce choix. Seule cette solution permettait en effet de tenir l'échéance fixée, en réduisant la masse à satelliser et en limitant les coûts et les risques techniques.
Le LEM comporte deux étages : un étage de descente dont le rôle principal est de faire atterrir verticalement le module lunaire grâce à un moteur à poussée variable et un étage de remontée doté de son propre moteur et dans lequel se situe la cabine pressurisée où séjournent les astronautes. Malgré la complexité de sa mission et une contrainte de masse très sévère (15 tonnes), le LEM a réussi à six reprises à amener sans défaillance grave, et faire séjourner deux hommes dans un environnement lunaire particulièrement hostile et à l'époque mal connu.. "
Fin de citation.
Vous avez bien noté,
nous l'espérons, le fait que
des spécialistes affirmaient que le rendez-vous lunaire posait déjà, à l'époque en 1962, de
notoires interrogations, et que
malgré complexité de la mission, on a
tout de même pu, réussir sans embages, 6 jonctions ( et on pourrait aussi ajouter celle d' Apollo10, donc cela fait 7 en tout ), entre
un étage de remontée du LEM avec le
Module de Commande,
d'Apollo tournant autour de la Lune.
Alors, on se demande maintenant, comment ces mêmes américains ont pu réussir
(comme dans un fauteuil) 6 rendez-vous
lunaires sans aucune anicroche, à environ
400 000 km de la Terre, avec
des ordinateurs très primitifs, qui n'avaient
même pas à l'époque la puissance d'une calculette actuelle de lycéens. Et cela en
plus, malgré
le terrible cône d'ombre
électromagnétique, que représentait la Lune, vis à vis de la
Terre,
en fonction des positions des éléments des vaisseaux à
joindre.
C'était donc
là, l'un des moments
les plus cruciaux de la
trajectoire suivie par ces astronautes revenant de la Lune
et,
c'est là, que nous avons le moins d'information et
aucune image de cela.
Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur
la Lune, qui reviennent
au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagnon,
sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir ?...Ne trouvez-vous pas cela bien
bizarre ?
Nous attendons alors vos précieuses conclusions...
Mais, pour
ARTivision,
tout est donc clair, et ,
selon nous bien sûr, si aucune photo n'a été prise du retour des copains après
leur escapade très risquée sur
la Lune, c'est qu'il n'y a jamais eu de rendez-vous lunaire et cela pour aucune mission Apollo connue, car cette opération était
effroyablement risquée, et c'est
un exploit quasi miraculeux, que de
réussir 6 rendez-vous lunaires, sans aucune complication.
Point barre...
Bien sûr, on nous présente des images extérieures de
l'étage superieur du Lem, rejoignant la capsule Apollo, mais ces photos peuvent être des montages faciles à faire . Voici par exemple pour
Apollo 17, ce que nous avons relevé sur le site quasi officiel :
Et voici, dans l'ordre, les images correspondantes :
C'est tout
harmonieux , mais ce qui nous intéresse au plus haut point, c'est la photo des astronautes d'
Apollo 17 qui pénètrent dans
le Module de Commande, et embrassent cet astronaute :
Photo tirée du Ciel&Espace n° 391 de Décembre 2002
Et là, c'est l' Arlésienne , que l'on ne voit jamais...
A vous de juger en connaissance de cause.
XVII Quand, on découvre que l'un des plus grands spécialistes américains des recherches spatiales, affirme que la NASA a menti concernant certaines caractéristiques de la mission Apollo 8, à l'origine dit-on, de la fameuse photo du Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969 (en date du 30/01/2014).
Pour entrer dans le vif de ce sujet, il fallait avoir eu le bénéfice de découvrir à temps la vidéo :
, qui a disparu comme
par enchantement. Merci à l'internaute qui retrouvera la vidéo en question, dans un petit coin.
Voici une photo de
Richard Hoagland,
l'un des plus grands spécialistes non conformiste des recherches spatiales , et dont nous avons largement évoqué ,dès le
21 Aout 1998, les travaux hors normes dans notre article :
Richard Hoagland
Dans son livre récent suivant :
, il dévoile en substance ceci :
Nous pourrions bien sûr, ajouter bien plus d'images, mais
toutes les bonnes choses ont une fin...
Mais tournons nos regards maintenant vers
la mission Apollo 8 , qui aurait pris
cette photo incroyable de la page 33 du
Paris Match 1028 et analysons certaines caractéristiques de cette mission...
Jetons d'abord un coup d'Oeil sur cette photo du Paris Match
n° 1025 du 25 Déc. 1968, qui présentait en première page, les 3 astronautes de la mission :
Mais en pages 32 et 33, ce Paris-Match 1025, nous présentait
un superbe schéma que notre petit scanner a eu bien du mal à reconstituer :
Et pas besoin de sortir de Polytechnique pour deviner,
la grande complexité de l'entreprise, qui conduirait les protagonistes jusqu'à environ
400 000 km de la Terre, et entreprise menée à l'aide d'ordinateurs, qui à l'époque, avaient
à peine la puissance d'une calculette actuelle de lycéen...
Trois ans plus tôt,
(c'est tout de même peu, pour faire d'énormes avancées techniques), nous découvrons un remarquable article de
Mr Renaud de la Taille dans le
n° 589 du
"Science et Vie" d'
Octobre 1966 et dont l'image suivante nous donne le titre :
Voyons de quoi il ressort, bien qu'il ne sagisse ici, que d'une simple trajectoire concernant la
capsule Ranger, percutant directement la Lune, sans une satellisation autour de l'astre :
Nous ne pouvons bien sûr, sans subir les foudres de la revue
"Science et Vie", vous transcrire l'article en entier, mais voici donc, en digitalisation les premières lignes :
"
Plus que trois ans maintenant, et l'homme
posera le pied sur la Lune. Trois années
encore, peu de . chose en somme,
36 petits mois, le temps pour un étudiant de
finir une licence et pour un promoteur d'achever un immeuble. Et là, un cosmonaute un
peu fatigué mais déjà émerveillé léchera la
fusée pour aller s'asseoir au bord d'un cratère, dans l'aveuglante lueur d'un soleil que
rien ne voile jamais.
Peut-être même les Russes nous réserveront-ils la surprise de débarquer là-bas plus
tôt encore ; ils ont promis d'être sur place
avant les Américains. A priori, on peut leur
faire confiance : ce sont leurs cosmonautes
qui ont marqué toutes les grandes dates de la
conqiiéte interplanétaire. Premier satellite :
russe ; premier homme dans l'espace : russe;
première photo de la Lune : russe ; première
station posée sur notre satellite : russe ; premier homme sur la Lune: ... russe ? Espérons-le, car il y aurait alors encore moins de temps
à attendre.
Mais si les récents exploits, tant américains
que soviétiques, avec Ranger, Surveyor ou
Luna nous ont habitués à la course vers la
Lune, il reste à comprendre pourquoi le cosmonaute n'est pas déjà sur place. Car tout
de même, on satellise maintenant des charges
de plus de 10 tonnes, on réussit des rendez-vous à journée faite, on va prendre Mars en
photo à l'autre bout du système solaire, et
toujours personne sur la Lune, c'est Irritant !
Mais voilà, c'est qu'en fait l'astronautique
n'a toujours pas de moteurs pour ses vaisseaux interplanétaires. Le cosmonaute entre
deux étoiles est dans la situation d'un conducteur auquel il ne resterait que quelques
grammes d'essence dans le réservoir pour
faire Paris-Marseille. Juste un petit coup de
moteur pour se lancer, et ensuite à la grâce
de Dieu : tout le reste du parcours en roue
libre. Alors que ce serait si simple avec un
réservoir plein !
L'astronautique en est au même point faute
de moteur, ou si l'on veut de carburant : entre
deux planètes le cosmonaute est toujours en
roue libre. Le défaut de moteur est simple
comme tout à comprendre : les fusées actuelles consomment tellement de carburant
qu'elles sont incapables d'en emporter assez
pour faire tout le trajet, ni même la moitié,
le quart, le dixième ou le centième. Faute de
stations-service sur le parcours, il ne reste
plus qu'à continuer sur sa lancée.
Encore faut-il exploiter au mieux cette lancée, en espérant qu'elle aura été assez forte
pour emmener l'équipage jusqu'au bout. Pas
question non plus de s'être un peu trompé
de direction : là encore tout serait à refaire.
Voilà pourquoi on parle toujours de l'astronautique comme d'une science de précision :
tout le trajet doit être fait dans les quelques secondes du départ. Après, plus de moteur,
plus de freins, plus de direction, ou si peu.
Comment exploiter cette lancée ? A coups
d'équations. Une fois partie, la fusée obéit aux
lois qui gouvernent le mouvement des corps
dans l'espace, et le trajet n'est plus qu'un
problème de mécanique céleste. Problème particulièrement ardu dont nous allons dégager
les grandes lignes, ce qui nous permettra de
comprendre pourquoi-il faut au moins deux
jours pour atteindre la Lune, à quoi servent
les fameuses orbites de parking et pourquoi on
manque si facilement la cible.
Une épingle entre deux aimants
On sait que tous les corps s'attirent entre
eux en raison directe de leurs masses et
inversement au carré de leurs distances ; c'est
la loi de Newton. La Terre attire les pommes
qui tombent dans les prés, comme elle attire
la Lune qui nous tomberait sur la tête si elle
ne tournait pas. Heureusement, elle tourne,
et la force centrifuge compense l'attraction.
Mais cette attraction, comme nous l'avons dit,
diminue avec le carré de la distance; une
pomme est quatre fois moins attirée à
6 371 km d'altitude qu'au niveau du sol,
puisque sa distance au centre de notre globe
a doublé. On conçoit alors qu'il existe une
distance au delà de laquelle l'attraction exercée par la Terre devient faible, tandis que
celle exercée par un corps voisin devient
prépondérante.
Puisque nous nous intéressons ici au problème Terre-Lune, qui sont séparées de
384 000 km, la distance à laquelle on peut
considérer qu'un satellite n'est plus sous l'influence de la Terre, mais sous celle de la
Lune, est de 318 000 km ; la Lune est alors
à 66 000 km de ce point. Retenons bien ces
deux chiffres, car ils sont très importants dans
toutes (es trajectoires qui visent notre satellite.
On définit mieux ces distances en parlant
de sphères d'influence : la sphère d'influence
de la Terre par rapport à la Lune n'est qu'une
grande boule fictive centrée sur notre
globe et dont le rayon vaut 318 000 km. Celle
de notre satellite est de même une sphère
tangente à la première, centrée sur la Lune
et de rayon 66 000 km. On admet alors qu'un
mobile quelconque de l'espace est uniquement
sous l'influence de l'attraction terrestre, s'il
est dans la sphère centrée sur notre globe,
et uniquement sous l'influence lunaire s'il
navigue dans la sphère qui entoure la Lune.
Ouvrons ici une courte parenthèse pour ceux
de nos lecteurs qui ont quelques connaissances de mécanique céleste, car il pourra
leur paraître curieux de simplifier à ce point un problème en réalité fort complexe. Le satel-
lite entre la Terre et la Lune est à l'image
d'une épingle entre deux aimants. (Les forces
d'attraction magnétiques obéissent en effet
aux mêmes lois en mm'/r- ; il faut décoller
l'épingle du premier aimant pour l'envoyer
sur le second, et inversement.)
De même on décolle le satellite de la Terre
pour l'envoyer sur la Lune ; mais une fois
dans le vide, il subit l'influence de tous les
corps célestes environnants, de même que
notre épingle subit non seulement l'attraction
de nos deux aimants, mais également celle
de toutes les masses aimantées voisines, en
particulier celle du champ terrestre.
Le satellite est donc attiré par la Terre et
par la Lune, de même que la Terre est attirée
par la Lune et par le satellite, et la Lune par
la Terre. et par le satellite ; encore faudrait-il
tenir compte de l'influence du Soleil, et même
de celle des planètes voisines. On simplifie
la question en ne considérant que l'ensemble satellite-Terre-Lune, et on arrive alors au problème bien connu des 3 corps qui s'écrit sous
forme d'équations aux dérivées partielles tout
particulièrement salées : il a fallu les travaux
de plusieurs générations de mathématiciens
pour préparer la solution rigoureuse du problème par Sundman. Et encore, un petit détail
suffit à gâcher ce tableau réjouissant : les
formules de Sundman sont inutilisables en
pratique ! II faudrait calculer des millions de
termes pour connaître à peu près le mouvement du satellite. Seules les machines à calculer, travaillant par solutions approchées,
permettent aujourd'hui de mener à bien les
missions interplanétaires.
Ce sont ces méthodes de calcul approché,
justement, qui ont montré que la théorie des
sphères d'influence constituait une excellente
approche du problème puisque la masse du
satellite est négligeable devant celles de la
Terre ou de la Lune. Reprenons notre épingle
et nos deux aimants: l'épingle est mise en
mouvement par l'attraction de l'un ou l'autre
des aimants, l'inverse n'est pas vrai car
l'épingle est négligeable devant ceux-ci. De même on pourrait définir une sphère d'influence
autour de l'extrémité de chaque aimant : à
l'intérieur de cette sphère tout se passe
comme si l'épingle n'était soumise qu'à un
seul des aimants.
Envoyer un satellite vers la Lune va donc
consister essentiellement à lui faire quitter la
sphère d'influence de la Terre pour le placer
dans celle de la Lune. Comme l'influence terrestre s'étend, pour le problème considéré,
jusqu'à 318 000 km, le problème premier est
d'envoyer le satellite au moins à cette distance ; à ce moment, plusieurs solutions sont
possibles, et cela en fonction d'éléments fixes
que nous allons définir maintenant.
Le premier paramètre à retenir est la vitesse
de la Lune sur son orbite : 1 km/s ; le second
la vitesse de libération terrestre au niveau de la mer, c'est-à-dire la vitesse que doit posséderun mobile pour quitter définitivement la Terre d'un sel élan: 11,4 km/s. En dessous de cette vitesse, et suivant sa direction, ou le satellite tourne autour de notre globe, ou il retombe dessus ..."
Arrêtons ici
cette description bien technique, qui nous explique plus loin, avec schémas, les détails de l'action de la Terre et de la Lune sur la trajectoire de la fusée.
Mais, pour palier à certains inconvènients cités ici, ci dessus,
nous savons n'est-ce pas, que pour
Apollo 8, il y avait,
des dispositifs pointus de corrections de trajectoires, devant être utilisés avec
une précision millimétrique.
Mais, voyons tout de même, la
conclusion finale de
Mr Renaud de la Taille concernant le cas
où l'on voudrait atterrir sur la Lune :
Pour en savoir plus sur le sommaire de ce
"Science et Vie" d'
Octobre 1966 prière de consulter le super site suivant qui nous a beaucoup servi à découvrir ce qui précède :
Mais concernant les caractéristiques du sol lunaire en
Déc. 1966 le n° 591 la revue
"Science et Vie", avait déjà présenté l'entrefilet suivant, dans sa rubrique
Science Flash :
Cependant c'est, dans le Paris Match
n° 1027 du 11 janvier 1969, dont voici une portion de la couverture :
, que l'on nous présente cette intéressante image montrant le cheminement des
8 révolutions du vaisseau spatial d
'Apollo 8 :
Notre scanner ne pouvant pas prendre l'image en totalité, nous vous en avons présenté presque les 4/5 èmes.
Le commentaire de la revue est alors :
" Le trait indique les huit révolutions d'Apollo VIII à 112 km d'altitude. Ce parcours a permis le survol des sites convenant à un alunissage. Les nunéros désignent les cratères reproduits dans nos pages : 1: Cauchy ; 2: Gocleninus ; 3: Magelhaens ; 4: Colombo ; 5: Lagrenius. "
Nous aurions, bien sûr, aimé avoir la même image, qui correspondrait, à la face cachée de la Lune, car sur deux pages du
Paris Match 1028 du 18 janvier 1969, qui vient juste après celui qui précède,
on découvre
une superbe photo globale de la Lune, où apparaît une petite partie de la face cachée. Mais hélas toujours à cause de notre scanner, nous ne pouvons ici, vous en présenter qu'un petit quart environ :
Des spécialistes détermineront
à quelle hauteur cette photo a pu être prise par
Apollo 8, car elle est
vraiment sensationnelle. En effet au bout de la flèche rouge, on aperçoit
une étrange anomalie ayant l'aspect d'un demi
porte-avions de prés de
30 kilomètres de long, et dont la partie centrale serait constituée
de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment surmontées d'une sorte de
" flèche gigantesque".
Voyez donc les deux images ci-dessous déjà présentées plus haut :
De plus, nous avons alors reçu le
27/05/2010, du
Service de Création d'une entreprise spécialisée dans la
3D, une
structuration imaginée en 3D, qui est la suivante :
Hélas, tous les efforts d'
ARTivision, ont
été vains pour retrouver
le négatif du cliché, utilisé à l'époque par
Paris Match, qui l'aurait emprunté parait-il à
l'Agence
World Book Science Service , qui
hélas n'existe plus.
(Voir les missives en question dans
notre article) :
Vu donc
la complexité que représentait l'aventure d'Apollo 8, on peut maintenant véritablement se poser la question :
Peut-on alors encore affirmer que, c'est Apollo 8, qui a pris cette photo incroyable du Paris Match 1028 ???
A vous de juger !!!
La conclusion est telle que
(on l'a déjà évoquée plus haut) , si la
NASA a déjà
"volé un œuf" pour
Apollo 8,
( qui rappelons-le ne devait pas descendre sur la Lune), elle a pu parfaitement aussi,
"volé un bœuf", pour
les autres missions.
Tout cela vous laisse encore peu convaincu, mais alors, avez-vous déjà trouvé la réponse
à la grave interrogation que nous pose
par exemple, et il y en a beaucoup d'autres, la photo
AS17-137-20979, d'
Apollo 17 ?
Alors que l'on apperçoit clairement les traces de pas de l'astronaute sur le sol lunaire meuble,
Là, la roue arrière droite de la jeep lunaire (dont le garde-boue, nous dit-on, a été bricolé très grossièrement au cours d'une sortie lunaire bien déterminée), n'a laissé aucune trace ni en avant, ni en arrière prouvant un déplacement quelconque de cette jeep. Autrement dit la jeep lunaire est arrivée là, sans rouler sur le sol lunaire après pourtant de grandes ballades ailleurs. Comme il n'existait pas de grue pour poser à un moment quelconque en douceur cette jeep sur le sol, à cet endroit, soit tout ceci s'est passé
"sur Terre" avec une vraie grue
(et dans la précipitation de l'action les opérateurs ont oublié les traces de roues), ou soit
et c'est encore bien plus grave, il s'agit
d'une vulgaire manipulation photographique de diveres prises de vues bien terrestres et réalisées plus tôt.
Donc ici la tromperie est très claire , et si vous avez une autre explication, nous serions très heureux de la présenter prochainement. C'est
le très petit détail qui, comme dans le célèbre film
d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 :
"Le crime était presque parfait" , a confondu le coupable...
Point barre.
Mais il serait aussi bon de lire ce qui suit :
En effet,
nous avons tiqué , en lisant
les récents URLs surprenants suivants :
On peut alors vraiment considérer
cette info comme très fiable, car elle nous vient
d'un organisme presque officiel.
Surprenante cette affaire n'est-ce pas, d'autant que cette information se rapproche de celle d'un
"Science et Vie" n° 606 de Mars 1968 qui nous présentait déjà une région terrestre dont certaines caractéristiques minières, pouvaient être analogues à celles découvertes sur
la Lune... Voyez cela vous-même :
, et ceci est accompagné du texte :
Et il y a eu aussi, ces deux pages 66 et 67, nous expliquant les prouesses de
Surveyor III :
Il ne fut pas donc difficile, étant données des études poussées réalisées, de vite repérer sur Terre, les zones qui présentaient des analogies avec
les roches lunaires dépistées.
Mais il y a bien mieux, qui prouve une fois de plus, que sur
ARTivision ,
rien ne se passe par hasard . En effet, Le
2/02/2014, en cherchant toute autre chose dans nos dossiers, nous sommes tombés sur
cette information remarquable tirée du site :
Les couleurs sont de nous, bien sûr .
Un minerai rare trouvé sur la Lune, découvert en Australie
Publié le 05/01/2012 à 09:30.
La lune HENNING KAISER AFP/Archive
Un minerai ramené sur Terre par les premiers astronautes qui se sont rendus sur la Lune et qu'on a longtemps pensé être spécifique à la Lune, a été trouvé dans des roches d'Australie vieilles de plus d'un milliard d'années, ont indiqué des scientifiques jeudi.
La tranquillityite est un minerai qui doit son nom à l'endroit où il a été trouvé, en 1969: la Mer de la Tranquillité, une plaine de basalte située sur la Lune.
Ce minerai a "longtemps été considéré comme un minerai propre à la Lune", jusqu'à ce que des géologues en trouvent des échantillons dans l'ouest de l'Australie, a déclaré Birger Rasmussen, un scientifique australien.
"Il n'avait jamais été découvert dans d'autres échantillons terrestres" depuis plus de 40 ans, a déclaré à l'AFP le scientifique, de Curtin University, à Perth (ouest).
Les échantillons de la Lune étaient considérés comme "extrêmement précieux" et ont été soumis à quantité d'examens très détaillés, alors qu'on en avait en fait "sous notre nez depuis toujours", a-t-il relevé.
"On en a toujours eu sur Terre, ils ne sont pas juste venus de la Lune", a souligné le scientifique, qui a publié ses recherches dans la publication Geology. "Cela signifie qu'en gros, on a les mêmes phénomènes chimiques et les mêmes processus qui se déroulent sur la Lune et sur la Terre"
.
Ce minerai, rare, a jusqu'à présent été trouvé dans six endroits différents en Australie. Il permet notamment une datation précise des roches qui le contiennent, a précisé Birger Rasmussen.
© 2012 AFP
Il
n'est donc pas interdit de penser, que les américains,
qui avaient bien avant 1969, en main des échantillons de sol lunaire, aient pu avec les moyens dont ils disposaient à
la NASA, repéré sur Terre,
(et en particulier en Australie),
les roches identiques dont il est fait allusion ci-dessus...
Pour
les puristes, voici d'autres sites qui parlent de cette même affaire extraordinaire :
................................etc...........................
A vous donc de juger ce rebondissement surprenant..., et merci encore à Super Hasard qui souvent, nous comble d'émerveillement.
En terminant ce paragraphe, demandons alors, une fois de plus, à
l'entité transcendante Soria, de nous éclairer davantage, sur tout cela :
En effet ces derniers temps, nous avons été amenés à plusieurs reprises, à sortir de notre bibliothèque l'ouvrage de
Soria, vieux de 12 ans
(en 2014), ci-après :
"...Votre isolement commence seulement à se lézarder. Les
rayonnements des autres formes de vie pointent leur Lumière
(Ombre ou Lumière : attention, tout n'est pas rose au sein des
Univers !), et certains de vos gouvernements savent déjà à
quoi s'en tenir ! Même s'ils ne vous ont pas révélé ces visites
et essaient de vous ridiculiser dans votre approche des autres
mondes, il est vrai qu'ils considèrent les habitants de cette
Terre comme des retardés mentaux à qui il faut cacher la
vérité, de manière à ne pas les affoler. La population terrienne
ne jouit pas d'une grande réputation aux yeux des dirigeants!
Étrange, votre choix d'être sans cesse rabaissés aux yeux des
autres ! Ce miroir vous apprend-il encore quelque chose aujourd'hui ? Ne l'avez-vous pas assez exploité ? Ou avez-vous
simplement oublié que vous pouvez exister sans cette
reconnaissance aliénante ?...etc... ".
Extrait des pages 185 et 186 de Voyage tome III aux Editions Ariane, premier trimestre 2002.
XVIII Quand, on découvre qu'une certaine personne, très médiatisée en ce moment , "a loupé volontairement le coche", qui lui aurait permis de se hisser sur les sommets de la gloire véritable, et d'entrer ainsi par la grande porte, dans l'histoire grandiose de l' Humanité. (en date du 31/01/2014).
Vous avez bien noté, juste au-dessus, que
nos gouvernements, nous considèrent comme des
retardés mentaux, à qui il faut
cacher la
vérité, de manière à ne pas les affoler, et surtout que nous-mêmes
nous aimons choisir étrangement d'être sans cesse rabaissés aux yeux des autres ! Mais il convient aussi d'ajouter, que nos gouvernements appliquent
la devise scélérate, ( diviser pour régner), qui vise à ne pas permettre aux humains
de trop s'unir entre eux, pour mieux les mener par le bout du nez. voir notre article :
raisonis.html
Voyons donc une suite à cela, dans ce paragraphe :
C'est le
30/01/2014, au matin que nous avons découvert sur le site :
Cette information très people :
Publié le 29/01/2014 à 12h12 Valérie Trierweiler fait la une de Paris Match :
Précisons d'emblée que
nous ne nous intéressons pas du tout à ce genre d'information people, qui fait les délices de la revue en question, et que nous n'aurions fait l'acquisition de cette revue,
uniquement si la dame en question , y avait mentionné, pour enfin
"casser la barraque" , et,
mettre au pied du mur ceux qui l'avaient offusquée, l'affaire désormais incontournable et embarrassante du
Paris-Match 1028, dont elle est très certainement au courant et nous allons dire ici pourquoi.
Soyons cependant logique,
la Direction de Paris Match, n'aurait jamais laissé passer dans l'article cette information,
( mais cette Dame aurait assurément trouvé, une autre revue sans doute moins célèbre que Paris Match pour publier son article), qui concerne on le sait, cette superstructure
placée sur la face cachée de la Lune, et publiée par le
n° 1028, du
Paris Match (en près d'un million d'exemplaires), le
18 Janvier 1969 , et dont voici
à nouveau, quelques éléments notoires .
Et un modeste agrandissement en couleur donne ceci :
Pour simplifier l'analyse disons que :
1°) Soit qu'il s'agissait
d'un vaisseau spatial de près de
30 km de long, et que ce dernier se serait déplacé par la suite pour aller ailleurs, car toutes les autres photos de la Lune ultérieures ne présentaient plus rien au même endroit.
2°) Soit qu'il s'agissait
d'une vraie ville gigantesque qui
a été camouflée volontairement, pour la simple raison, qui veut que
nos gouvernements cachent tout ce qui concerne les ovnis, pour ne pas affaiblir leur autorité auprès des masses laborieuses.
Pour ceux qui croient que
là , nous exagérons, en disant que tous les clichés
d'Apollo 8, présentés par la la NASA aux médias,
ne présentaient plus rien, au même emplacement où était supposée être cette
"superstructure", sur le
Paris Match 1028.(Voici une photo en question de la NASA, où nous avons inscrit un petit cercle rouge correspondant à l'emplacement de la superstructure) :
Pas besoin d'être
un fortiche de la photographie, pour noter qu'à l'intérieur de ce
cercle rouge, apparaît une
auréole caractérisée, qui pourrait être le résultat de l'application d'une
"pastille de camouflage".
C'est, n'est-ce pas, ici peut-être, que les internautes qui ont la grande chance de posséder le logiciel
TUNGSTENE,
(dont nous ignorons totalement les capacités), peuvent entrer en action, pour démontrer s'il s'agit bien,
d'une pastille de camouflage.
Mais revenons à nos moutons :
Dans les deux cas, ce serait nous le pensons fermement
le scoop du siècle, et le chiffre d'affaire de la revue qui publierait cela,
crèverait le plafond. De plus, ces révélations ne manqueraient pas de frapper l'opinion publique pour faire ressortir le fait indéniable que tous les hommes sont, en fin de compte,
beaucoup plus frères entre eux, que l'on n'a bien voulu nous le faire croire.
Comment
une chose aussi extraordinaire,
qui devrait être décortiquée en long et en large par les quelques journalistes que nous avions contactés, a-t-elle pu pendant plus de
45 ans ( en l'an 2014), rester ignorée du grand public, et mieux encore être mise sous le boisseau par ceux-là mêmes, qui recherchaient soit-disant,
le scoop médiatique, et à qui nous avions dévoilé l'affaire.
Si nous éliminons au départ,
(vu la forme et la netteté de cette superstructure), le fait que
cette étrange anomalie pourrait être une poussière sur le négatif ou un défaut d'impression ou même quelques autres imperfections photographiques, devant
ce manque flagrant de curiosité et d'initiative de la part des journalistes en question, trois hypothèses s'imposent en la circonstance :
- Soit que ces journalistes
entre autres, ceux de
Paris Match, que nous avions contactés sur place, dès
1992, ont jugé que
nous n'étions pas assez représentatifs, pour venir de si loin, hors de notre petite île, leur montrer une chose, qui en plus, se trouvait dans leur
"propre jardin". C'était trop d'audace, pour en tenir compte.
- Soit que ces journalistes n'étaient pas encore prêts pour
"encaisser" , le fait que nous
"ne sommes pas seuls dans l'Univers", et que cette planète Terre est visitée depuis des siècles par des soi-disant
"Dieux", présents dans presque toutes les mythologies. Nous, nous n'avons pas hésité à franchir ce seuil de compréhension, et ceci est justement à la base
des recherches astro-archéologiques lancées sur notre site
ARTivision voir notre article :
AstroArcheologie.html
- Soit que ces journalistes ont perçu, très bien,
le caractère dérangeant de cette affaire, et qu'ils ont aussi compris, par la même occasion, que cela touchait sans doute,
au secret d'état ultra-confidentiel, et qu'il valait mieux ne pas s'y frotter.
Mais, pour ceux qui ne s'en souviennent déjà plus, rappelons ici
l'étrange propos du nommé
Adamski qui déjà en
1955, nous disait ceci en page 81 de son ouvrage déjà présenté plus haut
"A l'intérieur des vaisseaux de l'espace" :
" - Beaucoup de vos savants ont exprimé l'idée que la Lune est un corps mort. Si cela était vrai et que la Lune était morte, suivant le sens que vous donnez à ce mot, il y a longtemps qu'elle aurait disparu de l'espace par désintégration. Non ! Elle est bien vivante et supporte une vie qui comprend des humains. Nous avons nous-mêmes un grand laboratoire juste au-delà du bord de la Lune, hors de la vue de la Terre, dans la section tempérée et fraîche de ce corps... ".
Alors
Adamski, a-t-il tout inventé ? Cette
superstructure pourrait-elle être
le laboratoire en question ? L'avenir nous le dira sans doute bientôt...
Mais, pour poursuivre, notre investigation disons que le site
ARTivision, sait toujours quand c'est le moment utile de sortir la célèbre réplique de
Paul Féval, dans son roman de 1858, le
"Bossu" :
"...et, quand il sera temps, si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi ! ".
En effet, nous avons eu le privilège un jour, de tomber sur le
Paris Match n° 2738 de Nov 2001, qui nous permettra de faire ici,
"d'une pierre trois coups":
Nous avons ainsi appris, que l'auteur
( dont nous avons caché le nom), de cet éditorial était à l'époque
rédacteur en chef de
Paris Match . A la fin de cet éditorial, il y avait comme signature
l'adresse e-mail de l'intéressé,
(Maintenant cela ne se fait plus du tout, et on a toutes les peines du monde à trouver un e-mail d'un journaliste quelconque de Paris Match)
Nous avons alors écrit une première lettre à ce Monsieur, qui à l'époque ne travaillait plus à
Paris Match, pour une raison que nous n'avons pas à dévoiler ici. Cette lettre concernait bien sûr
l'affaire du PM 1028.
Pas de réponse.
Nous avons tenté le coup, une deuxième fois, et
toujours pas de réponse. Nous sommes donc absolument certains, que ce Monsieur a reçu nos missives, et a dû prendre contact en douce avec
ses anciens fidèles collègues, et qu'il leur a conté
l'affaire du PM 1028. Nous supposons alors, que l'histoire,
par le bouche à oreille, est bien arrivée à la
Dame Valérie T en question, qui travaillait depuis près de 10 ans dans cette revue .
Autre source : Si vous regardez sur le côté droit de l'image précédente, vous verrez que l'on y mentionne le nom d'un certain Mr
Michel Peyard.
Or c'est, le
9/10/01, nous avons appris, l'arrestation par les Talibans, de ce journaliste de Paris Match,
Michel Peyrard, et aussi de deux de ses accompagnateurs Pakistanais, aussi journalistes
(mais dont bizarrement les noms n'ont pas été révélés ). Ces journalistes, qui ont voulu pénétrer, déguisés dans une région en crise de l'Afghanistan, ont tout juste échappé à la lapidation totale par la foule en colère et ils ont été exhibés comme des espions. Ces journalistes se sont donc à l'époque placés
"dans de très mauvais draps".
Et nous avions écrit à ce moment là, dans un article très corsé ceci :
"Franchement, dans le contexte de guerre très périlleux actuel de la zone en question et
cela malgré l'avertissement solennel des responsables talibans
stipulant que tout étranger pénétrant sans autorisation dans le
pays allait être considéré comme un espion à la solde
d'un pays ennemi, nous pensons donc que l'incursion audacieuse de ces journalistes
dans cette zone explosive, relève d'un
défi inouï, qui même
pour faire son métier, vaille que vaille, afin de recueillir l'information au cœur même de
l'action et surtout (ce qu'on dit
moins), pour assurer la pérennité de la célèbre devise : "Le
poids des mots et le choc des photos",
cela ne valait certainement pas la peine de risquer la vie de ces
trois individus pour la gloire éphémère d'un reportage
journalistique si pointu et si désiré soit-il. (Remarque :
ces journalistes ont peut-être eux mêmes choisi de prendre le
risque d'aller où on ne les a pas envoyés : c'est le système
qu'il faut incriminer ici). Nous pensons aussi en effet que si Paris Match en ces temps de crise voulait faire monter son chiffre d'affaire d'une
manière ahurissante, il lui aurait suffit de sortir de ses
archives le n° 1028 du 18 Janvier 1969 et d' y extraire de la page 33, ce qu'aucun de ses journalistes n'avait remarqué à l'époque (ni
d'ailleurs aucun autre journaliste de la presse française)
une chose incroyable, inimaginable et pourtant bien apparente, représentant un
bien étrange "artefact" de la face cachée de la Lune, que nous reproduisons encore ici, pour ceux qui n'auraient pas pris connaissance de notre dossier placé à :
Fin de citation.
Le 3 Novembre 2001, nous avons appris avec une grande satisfaction, que Michel Peyrard avait été libéré par les Talibans qui le retenaient prisonnier depuis près d'un mois, mais ses confrères eux n'ont pas parait-il, eu encore la même chance. Paris-Match a dû faire jouer, vous vous en doutez bien, au plus haut niveau sa notoriété pour réussir une telle prouesse en ces temps d'incertitude et de guerre qui règnent dans la région. Cette revue, maintenant que sa tranquillité d'esprit est revenue avec le retour au bercail de son téméraire reporter, aura-t-elle aussi l'audace de sortir de l'oubli enfin, maintenant, l'affaire incroyable de son propre numéro 1028 , affaire qui aurait assurément remis les compteurs à zéro, dans tous ces conflits dérisoires qui arrivent en ce moment et réduiraient assurément le nombre de ces journalistes qui se font tuer dans ces conflits.
Mais Paris Match a gardé pour cette affaire le silence de la pierre tombale.
Ce qu'il faut savoir aussi, c'est que nous avons adressé, à l'époque, à la revue Paris Match, pour féliciter son journaliste d'avoir eu la vie sauve, la missive suivante :
----- Original Message -----
From: fred.idylle
To: rlesommier@hfp.fr
Sent: Monday, November 05, 2001 5:47 PM.
Subject: félicitations à Mr Michel Peyrard.
Bien chère équipe de Paris Match
Nous venons ici vous transmettre nos très sincères
félicitations pour le retour sain et sauf de votre audacieux journaliste
Mr Michel
Peyrard
, qui nous le pensons, a vraiment eu de la chance
aujourd'hui, vu le contexte conflictuel qui règne en ce moment en
Afghanistan. Nous n'avons hélas pas eu des nouvelles des deux autres
journalistes pakistanais qui l'accompagnaient qui pourtant risquaient tout
autant leur vie que lui.
Nous vous prions donc de transmettre à Mr
Michel Peyrard,
le fichier joint ci-contre, dont il comprendra lui-même
l'importance. Même s'il n'a pas d'adresse e-mail en ce moment,
nous pensons qu'il sera heureux d'en avoir une copie de votre part, car la
chance inouïe dont il a bénéficié cette fois, ne sera peut-être pas au
rendez-vous une seconde fois et il lui appartient donc d'en tirer
incessamment, utilement profit.
Fidélement et tropicalement Vôtre:
Fred IDYLLE
Fichier Joint: Dilemme à Paris Match et Photo de
la superstructure du PM 1028 du 18 janvier 1969.
Évidemment nous n'avons reçu aucune réponse, ni de la rédaction de Paris Match, ni de la part du journaliste en question, qui avait sans doute autre chose à faire que de répondre à un inconnu notoire, vu les sollicitations des médias qu'il a dû
recevoir. Mais peut-être a-t-il dorénavant envie, comme d'autres journalistes de se pencher sur les mystérieuses affaires de la NASA, qui nous interpellent grandement (voir notre article :
Les responsables de cette revue Paris Match auraient mieux fait de bien analyser, il y a 40 ans ( en 2014), les propos extrêmement courageux pour l'époque, de l'écrivain Patrice Gaston dans son livre "Disparitions Mystérieuses" chez R. Laffont de janv. 1974 dans la prestigieuse collection "Les énigmes de L'univers" :
Et voici, un bref aperçu de la page 232 :
" Les savants n'ignorent pas que la Lune est habitée, qu'une activité fantastique s'y déroule depuis des lustres, que parmi les milliers de photos qui ont été prises de son sol, il en est qui sont "la" preuve d'une d'une vie sur le satellite. Mais la Nasa se tait. Sans doute attend-elle qu'on lui donne le feu vert pour faire -publiquement- des révélations. Ainsi , la conquête spatiale prendra-t-elle sa véritable dimension...."
Ce n'est pas à notre avis la conquête spatiale qui aurait pris une autre dimension si la Nasa avait parlé, mais c'est toute l'humanité qui aurait pris un autre visage... sans doute moins agressif.
Bravo donc aussi à l'Editeur R. Laffont, d'avoir osé publier en 74, une déclaration aussi fracassante qui pourtant aurait dû inspirer davantage les grands rédacteurs de Paris Match, et peut-être auraient-ils, alors découvert, dans leurs propres archives (par exemple dans ce n°1028), la preuve irréfutable de cette mémorable déclaration de Patrice Gaston.
Mais chose incroyable, les responsables de cette revue Paris Match, auraient surtout pu 20 ans avant la sortie du remarquable livre de Patrice Gaston, plonger dans les propres archives de la revue, et y sortir le n° 287 de Septembre 1954 (sans doute le premirer article sur les soucoupes volantes de la revue) :
où, l'on découvre des témoignages inouïs, et surtout un laïus très favorable au sieur Adamski , qui était peu connu en France à l'époque, et donc pas encore villipendé, par les rationalistes de tous bords qui se disaient fermement cartésiens.
Ces responsables de cette revue, auraient alors pu lire ce passage surprenant de l'article, en page 63 :
Rappelons, comme on l'a vu plus haut, que le Major Donald E. Keyhoe, qui a travaillé à USAF (United States Air Force : Force aérienne des Etats Unis), et qui
a dirigé pendant 13 ans, le NICAP: (Comité National Américain d'enquêtes sur les phénomènes aériens), est l'un des chercheurs les plus documentés sur le phénomène des Ovnis, et dont l'autorité est mondialement reconnue.
On s'étonne alors que les reporters de l'époque, de Paris Match n'aient pas bougé, le petit doigt, pour retrouver chez les astronomes en question, un seul cliché, de cette route lunaire construite récemment disait-on, à l'époque. Voilà le genre de preuve qu'un journaliste curieux, doit obligatoirement se procurer. C'est exactement comme si une météorite était tombée sur un arbre du Zoo de Vincennes, et avait calciné cet arbre, et que le journaliste s'était contenté du récit d'un visiteur pour raconter l'affaire sans se rendre sur place pour photographier l'événement. Il serait n'est-ce pas inadmissible que l'auteur de l'article agisse ainsi. Alors pourquoi ne nous a-t-on pas montré, dans ce Paris Match n°287, cette route lunaire si significative?
Mais comme ARTivision, a toujours des données en réserve, voici une sorte de route lunaire que les médias ont évité de montrer souvent...
En effet, en fouillant dans nos dossiers, le 23/05/2012, nous sommes tombés sur une missive d'un ami internaute Joël B....., datée du 30 Juin 2002, où il nous présentait une photo de la Lune extraite du site Cassiopaea de l'an 2000, et photo qui prouvait sans l'ombre d'un doute, que les autorités gouvernementales cachaient la vérité au sujet de la Lune, à savoir que notre satellite fait depuis des lustres, l'objet de travaux que l'on pourrait qualifier en termes bien terre à terre, de "Génie Civil":
La piste rectiligne fait près de 29 km de long sur 1,7 km de large. Cette piste est courbée à gauche comme le serait une crosse de Hockey. Voici d'ailleurs, en vert, la forme générale de la structure :
On distingue d'ailleurs, très nettement, une figure insolite, en forme de F, qui apparaît sur la gauche du tracé rectiligne :
Donc voilà un document extraordinaire de la NASA, qui date d'avant l'An 2000, et qui n'a fait l'objet d'aucune discussion dans les revues d'Astronomie, qui ont pignon sur rue, et encore moins de débats télévisuels de prétendus journalistes et consorts, souvent à l'affût du moindre scoop d'actualité.
Ces journalistes de Paris Match, s'ils étaient plus curieux, ils auraient aussi, un peu plus tard, que la sortie de leur super n° 287 de Sept 1954 , pu découvrir dans la revue très avant-gardiste, des années 61 et suivantes :
où, dans ce n° 41 en pages 17 à 26, on découvre ceci, (les colonnes sont de nous) :
Et, ce n'est qu'une petite partie de l'article en question. Il aurait déjà été n'est-ce pas, très surprenant, que tout cela ait été imaginé par un esprit pervers, alors que l'Internet, n'existait à l'époque.
Maintenant, comme nous le dit ce n° 41 de Planète, de Juillet-Août 1968, il ne nous reste qu'à prouver que cette preuve inouïe, non présentée par les journalistes distraits ou égarés, du fameux Paris Match n° 287 de Septembre 1954, pourrait justement étre, la la brèche découverte le 6 Mai 1954 par le professeur Frazer Thompson de l'Université américaine de Tulane, dans la ceinture du cirque Piccolomini de la Lune d'où partait une longue bande é et rectiligne large d'environ trois cents mètres, et ressenmblant à une super autoroute ou à une piste d'envol. L' internaute possédant des images de télescope de cette brèche, dans le cratère Piccolomini ( hélas, il y a plusieurs cratères qui portent ce nom), serait bien sür, le béni des cieux, s'il pouvait, nous envoyer une image de cela :
Bon courage et merci d'avance..
Rappelons au novice incrédule, que nous avons reçu deux preuves que la NASA, était parfaitement au courant de cette affaire du Paris Match 1028.Voici la première de ces preuves :
Le 18 Sep. 2000, nous avons reçu d'un aimable internaute dont nous ne pouvons donner ici le nom, sans son autorisation, mais nous pourrions dire cependant, qu'il a été enquêteur dans la revue très sérieuse d'ufologie LDLN, la missive incroyable suivante :
Bonjour,
Juste pour vous signaler qu'en 1991, j'ai eu en main les originaux des photos concernées, remises à un ami à moi, par une personne de la NASA. Ces photos étaient plus nombreuses ( environ une dizaine ) et partaient de la face globale de la Lune pour arriver à un zoom de ce qu'on pourrait qualifier de réservoirs ou de citernes sur les cotés de l'objet.
Depuis je cherche désespérément à retrouver des photos de la zone en question, mais visiblement tout a disparu... on se demande pourquoi ...??
En tout cas, bravo pour votre investigation et votre site très intéressant.
à bientôt.....
Et voici notre réponse, à ce monsieur, envoyée le lundi 18 Sept 2000.
Bien cher Monsieur
Je tombe à la renverse, à la suite de votre message. Nous avons fait des pieds et des mains pour retrouver l'original de la page 33 du PM 1028 et vous me dites que vous que vous l'avez eu en main avec d' autres en plus ? C'est tout simplement incroyable.
Si vous voulez que j'en parle dans mon article, ce serait formidable et vous seriez alors un émule du scientifique J.F.Gille, qui n'a pas hésité de mettre avec éclat, le pied dans le plat (voir mon article... le concernant). En attendant d'avoir, de votre part, plus de détails sur votre incroyable incident, je demeure confiant en votre prochaine missive où vous m'en direz sûrement un peu plus sur tout cela, au sujet duquel, je n'en reviens toujours pas.
Fidèlement Vôtre:
Fred
Fin de la missive du 18 Sept. 2000.
La
deuxième preuve, est plus récente et c'est un de nos amis à la retraite, neveu d'un camarade de Faculté, qui fait la navette entre la Guadeloupe et les USA et qui a rencontré là bas, par
une chance inouie, un
ancien employé à la retraite de la NASA dans la maison même où ce dernier vivait. Dans la conversation qui s'en est suivie, ce neveu en question a parlé, à tout hasard, de
l'affaire du Paris-Match 1028, et ce retraité de la
NASA est parti à un moment donné, pour aller fouiller dans ses dossiers, et chose incroyable, il a remis au neveu,
un exemplaire du Paris Match en question,
(sans doute parcequ'il en avait d'autres à sa disposition), en lui racontant une histoire presqu'analogue à celle qui précède.
Donc, si quelqu'un nous sortait
un de ces vrais clichés, de celle
incroyable super-structure du Paris Match 1028, voilà ce qui
serait un vrai buzz, plutôt
que ces insignifiances, qui ont fait la une des journaux ces temps-ci, et où le vocable
espionnage informatique, était à toutes les sauces journalistiques et politiques .
Voyez donc ce qui est mentionné de cet entrefilet du journal
France-Antilles du
1er Juillet 2013 :
,où nous avons souligné
en violet, le fait que
les conjurés, ont osé dire que
des gens risquaient de mourir, à la suite des révélations d' Edouard Snowden . C'est
un comble, et c'est incompréhensible. Les gens vont-ils se suicider, se battre en eux ? Il y aura-t-il des guerres ? Tout cela n'est pour nous, qu'une incitation à susciter,
la Peur, chez l'interlocuteur.
Pourtant, il y a belle lurette
qu'ARTivision, a déclaré qu'il convenait de se poser la question de savoir, si des gens auraient tout de même encore envie de se suicider, si
nos dirigeants au plus haut niveau,, avaient seulement avoué au peuple,
la présence d'Ovnis, dans nos cieux et nos mers, ce qui implique évidemment comme corollaire, qu'il
existe d'autres êtres, comme nous, vivant
sur la Lune ou dans les environs ou mieux, à l'intérieur de cette planète (près de 80 articles présentés au paragraphe X, ci-dessus, tentent de le démontrer), et qui viennent nous visiter de temps à autre. Ces êtres seraient sans doute,
prêts à nous faire bénéficier de leur savoir, si nous n'étions pas si
vindicatifs et profiteurs envers nos propres frères.
Que ceux qui ont la chance d'avoir des tympans et des yeux en bonne santé, les utilisent souverainement pour mieux entendre et surtout pour mieux voir (par exemple en page 33 du Paris Match n° 1028), ce qui ne nécessite même pas de loupe, et encore moins de microscope...
Mais, en ligne directe avec notre missive à Paris Match du 5/11/2001 déjà présentée ci-dessus, voici une deuxième missive
bien plus salée que probablement la rédaction de Paris Match n'a pas diffusée, au premier venu de ses journalistes, mais il n'est pas interdit de penser que la
Dame Valerie T.... en question, l'ai lue:
----- Original Message -----
From: Fred IDYLLE
To: parismatchlecteurs@hfp.fr
Sent: Wednesday, September 17, 2008 6:33 PM
Subject: Une affaire de la plus haute importance .
Très chère équipe.
Bonjour de l'Archipel de la Guadeloupe.
A transmettre à Monsieur Olivier Royant, ou à un rédacteur quelconque de la revue Paris Match, ou à tout journaliste ayant un contact avec cette revue.
Cette missive ne manquera pas de vous étonner bien que vous soyez habitués à recevoir toutes sortes d'informations insolites. Mais, soyez en certain, celle-ci vaut son pesant d'or et bien plus sans doute.
Nous avons en effet, sous la main, le Paris Match n° 3095 du 11 au 17 Septembre 2008, qui a suivi celui présentant un reportage très contesté sur les Talibans, et dont voici le bandeau annonciateur de la couverture qui relance l'affaire :
Pour ARTivision ce n° 3095 est sans doute encore plus intéressant que le précédent, car Paris Match y donne ses justifications pour avoir publié le reportage contesté, par le concours de divers intervenants. Voici d'ailleurs un extrait, en page 40, des raisons invoquées par le Directeur actuel de la Rédaction :
Nous avons souligné en rouge certaines assertions de ce texte de Monsieur Olivier Royant , Directeur de la Rédaction de Paris Match qui a écrit :
" En publiant dans notre dernier numéro un
reportage sur le commando taliban qui le 18 Août , a monté l'embuscade contre
nos soldats dans la vallée d'Uzbin, Paris Match a d'abord voulu répondre au devoir d'informer. Cette exigence de
vérité nous lie aux français depuis soixante ans "
Et plus loin, on le voit bien, il est aussi écrit, cette phrase sublime :
" A
Paris Match, dire la vérité , c'est la montrer" .
Nous espérons donc vivement que cette belle devise s'appliquera dans le contexte ci-dessous déjà évoqué dans un de nos articles :
XI Quand Paris Match cherche à booster son tirage par un coup médiatique très controversé (en date du 08/09/08).
Le 4/09/08, nous avons appris la sortie dans la revue Paris Match d'un reportage fait par des journalistes montrant les évolutions des insurgés talibans qui ont récemment décimé dans une embuscade des militaires français en opération en Afghanistan. La Chaine I Télé, nous permet d'en découvrir plus :
Tollé général de la nomenklatura
politique, sociale et militaire, (et surtout de certaines familles douloureusement touchées directement par ce drame), qui s'insurgent directement contre la publicité gratuite faite ainsi aux insurgés qui ont su en profiter largement. Les journalistes eux parlent de liberté de la presse et d'intégrité professionnelle, ayant pour but d'assurer une vision journalistique des deux camps. Puisque nous sommes dans un article parlant de l'illusion, nous allons voir ici que cette prétendue liberté de la presse, invoquée par ces journalistes n'est qu'un trompe l'oeil, et nous exhorterons plus bas, ces journalistes à nous prouver le contraire...
Nous n'allons pas épiloguer ici sur le droit qu'avaient ces journalistes, de faire ou non ce reportage, ni sur l'opportunité qu'en a tirée la communauté talibane, de mettre en exergue, sa légitimité.
Le site ARTivision, cela va de soi, de toute façon ne peut que s'insurger contre toute communauté religieuse ou pas, qui méprise la dignité de l'être humain de sexe féminin en lui interdisant par exemple le droit à protection et surtout à l'instruction dans tous les domaines de la Connaissance, de quelque discipline que ce soit.
D'autre part les occcidentaux si fiers de leur culture et qui veulent l'imposer aux autres, devraient balayer d'abord devant leur porte, et se souvenir des innombrables conflits et massacres de populations qui leur sont imputables, (Voir par exemple, comment ont été balayés les améridiens, qui avaient tout aussi le droit de vivre sur la terre de leurs ancêtres, avant la venue des pionniers et autres conquistadors armés jusqu'aux dents pour les supprimer), et exactions dont ils sont responsables depuis des siècles pour des raisons d'abord religieuses et ethniques et puis ensuite économiques, et cela continue ... (Voir ce qui se passe actuellement en Bosnie, et qui prouve que rien n'a changé).
L'article sur l'illusion, que vous pouvez lire en ce moment, est un article ésotérico-philosophique, lancé par le plus grand hasard, et nous voyons progressivement qu'il a bien sa raison
d'être. En fait cet article n'est pour ARTivision qu'un tremplin pour faire
un retour sur les magouilles des
acteurs dirigeants ( politiques,
scientifiques, religieux etc..) de notre socièté qui sont
bien, on le
sait désormais,
des "marchands d'illusion", qui se remplissent les poches de dollars, en nous faisant "prendre des vessies pour des lanternes ".
Pour ARTivision qui s'efforce de lire entre les lignes, il semblerait que cette action insolite, des journalistes de Paris Match, a pour objet, en ligne droite, de péréniser la devise bien connue de cette revue :
"Le
poids des mots et le choc des photos",
et évidemment de faire monter en flèche le tirage de la revue en question.
Nous avions dès le 11/10/01 , dans notre article,
dilemmePM.html, ouvertement et sans concession, stigmatisé, cette attitude mercantile de la revue, lors de l'arrestation par les Talibans, d'un journaliste de Paris Match, nommé Michel Peyrard, et de deux de ses accompagnateurs pakistanais, aussi journalistes (mais dont bizarrement les noms n'ont pas été révélés à l'époque). Rappelons brièvement (cette affaire étant déjà presque enfouie dans les vases du passé), que ces journalistes, (pour, selon nous, mettre en exergue la fameuse devise de Paris Match citée plus haut, et évidemment pour aussi gonfler le tirage de la revue.), ont voulu pénétrer, déguisés dans une région en crise de l'Afghanistan, et ils avaient tout juste échappé à la lapidation totale par la foule en colère, car ils étaient considérés alors comme d'affreux pestiférés.(Apparemment cela ne semble plus être le cas pour les journalistes actuels).
Mais revoyons ici, certains propos que nous avions avancés à ce sujet :
Mais revoyons ici, certains propos que nous avions avancés à ce sujet :
Début de citation :
" Seulement, voilà que nous sommes désormais confrontés actuellement à l'une des crises mondiales des plus graves et qu'il ne convient plus de faire le timoré, ou de mettre comme l'autruche la tête sous le sable, pour ne pas voir le danger. Comment en effet arrêter ce cycle infernal "attentats-représailles, re-attentats et re-représailles", qui n'en finit pas d'émailler la vie politique internationale et cela sans doute jusqu'à l'explosion apocalyptique finale, qui rasera tout sur cette planète qui s'endormira ainsi pour dix mille ans au moins, et comme nous l'avons déjà dit, (voir notre article : reveutopique.html), ainsi que cela s'est déjà passé dans les temps reculés et hélas oubliés de l'humanité.
Nous déplorons donc ici une fois de plus que des êtres humains, vont devoir subir les affres maléfiques d'un système fantasmagorique, qui ne vise que le profit immédiat, et qui pousse les individus comme les pions d'un échiquier, avec tous les risques que cela comporte de voir ces pions être mis hors circuit. Nous apportons ici aux familles de ces journalistes toute notre sympathie dans la terrible angoisse qui les étreint en ce moment, comme d'ailleurs, nous accordons aussi notre chaleureuse considération à tous ceux qui pleurent leurs blessés, morts ou disparus dans cette explosion de violence qui fuse de partout en ce moment.
Paris Match avait donc mieux à faire pour éviter l'engrenage dans lequel se trouvent désormais son journaliste et ses confrères pakistanais... ".
Fin de citation.
Nous sommes presque certains que si cette revue Paris Match avait pris en considération, il y a déjà près de 7 ans , notre exhortation, les familles françaises actuelles en détresse n'auraient certainement pas à pleurer leurs récents disparus d'Afghanistan, car toute la face politique, économique et militaire du monde, en aurait été changée (après évidemment quelques réticences et atermoiements vite bayayés ), et les humains prendraient alors conscience qu'ils sont tous des frères de cœur sur cette planète, et que depuis belle lurette, ils sont surveillés et "suggestionnés" par les Dieux d'Outre-espace, qui nous considèrent comme des attardés mentaux, en raison des agissements aberrants de nos dirigeants, qui évidemment en profitent pour s'enrichir, par l'intermédiaire des marchands d'armes et des autres acteurs de la pollution planétaire, et qui nous cachent cette vérité connue (par eux) depuis des lustres. Ces dirigeants ne veulent absolument pas la dévoiler car ceci, évidemment, affaiblirait considérablement leur autorité et leur capacité à nous mener par le bout du nez.
Il ne nous reste donc, cette fois de plus , qu'à mettre au défi, les journalistes qui ont voulu gonfler leur prestige, par ce dérisoire compte-rendu fait en Afghanistan, de vouloir, dans leur prochain reportage (où ils n'auront pas du tout à risquer leur vie inutilement pour assurer la célèbre devise vue plus haut de leur revue) d'aller simplement dans le centre de stockage des anciens numéros de Paris Match et d'y soustraire le n° 1028 du 18 Janvier 1969 et d'y photographier page 33, dans le quadrant supérieur droit cette incroyable superstructure que nous reproduisons ici, à dessein une fois de plus (le subconscient s'accomode parfaitement parait-il des répétitions pour en saisir l'essentiel), étant donnée son importance ( et il serait dès lors, très opportun de la mettre en 3D, dans ce reportage ) :
De toute façon, nous sommes absolument certains, que, plus ces journalistes refuseront de montrer au monde entier cette superstructure fantastique, et (chose ironique) venant de leur propre périodique, plus ils seront discrédités (et invités à se taire), quand ils voudront prendre le train en marche qui justement s'emballe de plus en plus (Et ARTivision s'efforce de le dire et de le montrer régulièrement). A bon entendeur Salut !!!.
Recevez très chère équipe notre meilleur souvenir des Tropiques .
Fred Idylle.
http://www.artivision.fr
Comme vous le voyez, chers internautes le site
ARTivision, n'y est pas allé
cette fois encore, de main morte.
Nous espérons donc vivement que
cette
belle
devise de Paris Match :
" A
Paris Match, dire la vérité, c'est la montrer" .
, s'appliquera
enfin dans le contexte du
n° 1028 du 18 Janvier 1969, évoqué ci-dessus...
Donc Qui vivra, Verra.
Article mis en page le 02/01/2014 , et revu le 04/01/2014 , puis le 05/01/2014 , puis le 06/01/2014 , puis le 07/01/2014 , puis le 08/01/2014 , puis le 09/01/2014 , puis le 10/01/2014 , puis le 12/01/2014 , puis le 13/01/2014 , puis le 14/01/2014 , puis le 15/01/2014 , puis le 16/01/2014 , puis le 17/01/2014 , puis le 18/01/2014 , puis le 19/01/2014 , puis le 20/01/2014 , puis le 21/01/2014 , puis le 23/01/2014 , puis le 25/01/2014 , puis le 26/01/2014 , puis le 27/01/2014 , puis le 28/01/2014 , puis le 30/01/2014 , puis le 31/01/2014 , puis le 01/02/2014 , puis le 02/02/2014 , puis le 03/02/2014 , puis le 04/02/2014 , puis le 05/02/2014 , puis le 03/03/2014 , puis le 27/07/2014 , puis le 15/10/2014 , puis le 31/10/2014 , puis le 19/11/2015 . puis le 27/03/2017 . puis le 24/04/2017 .
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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