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"Quand
la NASA a remplacé en
1977, au bout de dix
ans de service, le satellite géostationnaire ATS
III par un satellite
plus moderne, le GEOS
8, elle a ordonné la
destruction des 4 500
clichés faits par ATS
III. Les images
n?auraient aucune valeur météorologique ?prétendait
la NASA?.
Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département,
le Dr. Locke-Stuart,
a ramené chez lui plus
de mille clichés et
il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan
Lamprecht, spécialiste
en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la
raison. Depuis des années il est à la recherche de
tous les indices qui
pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des
ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo
prise par l'ATS III,
qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région
du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )
Grâce à ses contacts avec le Goddard
Space Flight Center,
la station de contrôle
des satellites ATS, il a
pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu
à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un
trou dans le globe terrestre.
Après des semaines de longues recherches, un
initié de la NASA a découvert
pour Lamprecht
d'autres clichés qui
montrent une ouverture au pôle ,
il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS
III et qu'ils sont
soigneusement gardés par Locke-Stuart.
Stuart se montre très réservé sur ces clichés ?sans valeur?, et
il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite
GEOS 8 ne montrent plus
de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange.
Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les
anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe
pas officiellement. Cette courbure "inexplicable"
a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la
Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les
photos d'ATS III
montrent également des dépressions
atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées
par l'ouverture des pôles.
On ne voit rien de tout
cela sur les images récentes de GEOS 8.
Richard Hoagland,
auteur du best-seller "The
Mars Connection",
pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977,
diffusée dans le Art
Bell Show, il disait
que les photos étaient
censurées avant d'être montrées à l'opinion publique.
Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent
dans un grand
ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la
doctrine officielle.
Après quoi les clichés sont renvoyés
dans l'espace vers un autre satellite
qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les
clichés (falsifiés)
sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux
données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent
pour dire qu'en Europe, les photos des satellites
sont également truquées,pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique....
Fin de citation.
Mais, si dans le livre de R Bernard, nous avions découvert plus haut que l'ouverture polaire avait environ 2300 km de diamètre, nous avons aussi découvert sur le site :
J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet
article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...
Pas de glace au Pôle Nord
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. États-Unis 21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.
Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher. Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise. Les participants de l'expédition voient dans toutes ces premières une preuve de plus de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule, au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40% depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici 2100. Philippe Gauthier |
R.Bernard, déjà cité, nous
précise même, qu'il est arrivé, que la calotte polaire brillait comme
une nébuleuse alors que la
planète Mars, elle-même, était cachée par des nuages. Nous, vous
proposons donc ici, deux photos de Mars où l'on voit bien le
pôle qui brille parfaitement, alors que le reste de la planète est dans l'ombre. (voir la photo télescope Mars 1: )
Commençons, si vous le voulez bien, par ce montage mosaïque, réalisé dès fin Sept 1902, par l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :
Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu ( Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!) . A vous de juger.
Voyons cela de plus près maintenant, avec des couleurs toujours étonnantes :
On découvre aussi alors, ces propos :
, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.
On peut retrouver aussi bien sûr cette photo de Titan, sur le site officiel de la NASA :
Vous avez bien lu, nous l'espérons la mention "The cassini spacecraft will look for a glint of sun light reflecting off a methane lake", que nous traduirons grosso modo "la sonde Cassini regardera un reflet d'un rayon du soleil qui s'est réfléchi sur la surface d'un lac de méthane".
Comme vous le voyez, c'est de la NASA elle-même, qu'est sortie cette fumiste explication, que bien d'autres revues ont reproduite, sans même voir qu'elle était nulle et non avenue...
Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :
, et qui confirme ce qui précède :
Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète
(9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker,
Thomas, McFadden) |
Vous constatez effectivement, comme le souligne l'internaute Claude, que dans cet entrefilet, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroide? Aucune suggestion, ne nous est proposée. A vous de juger ce mutisme notoire.
Mais analysons d'emblée un super ouvrage intitulé " Le Livre Jaune n°6 " (début 2000) publié par les
Editions Félix :(leseditionsfelix.com) ouvrage qui a mis mal à l'aise, de très nombreux bien-pensants :
Écrit par : Romain Houette dans réchauffement le 1 juillet 2008.
La glace recouvrant le pôle nord a de fortes chances de disparaître entièrement dans les mois qui viennent. Voilà l'avertissement lancé par les scientifiques du National Snow and Ice Data Centre (NSIDC) au Colorado. Selon eux, il y a plus d'une chance sur deux qu'il n'y ait pas de glace au pôle nord à la fin de l'été. Ils mettent en cause les importantes fontes de l'an passé ainsi que la fragilisation des glaces par le passage de bateaux. La banquise arctique a en effet fondu de 23% l'année dernière au point de reculer jusqu'à moins de 1200 km du pôle.
La glace qui est venue cet hiver remplacer les lourdes pertes de l'an passé est appelée par les scientifiques de « la glace récente d'un an ». Cette glace, explique le journal The Australian, est mince et fortement menacée par la fonte. Les scientifiques affirment que les données satellites des dernières semaines montrent déjà que la glace récente fond plus rapidement que l'année dernière. Un autre signe de la minceur de la glace récente est l'apparition de plusieurs polynies dans la calotte glacière ; ce sont des zones libres de glace situées dans la banquise, des lacs non gelés en quelque sorte. De plus, lorsque la glace blanche et réfléchissante fond, elle laisse place à l'océan qui, étant plus sombre, absorbe plus de chaleur et accélère encore la fonte aux bords de la banquise. Dans la mesure où l'océan est également de plus en plus chaud, le processus de fonte pourrait encore s'accélérer. Selon le chef adjoint de l'expédition scientifique Arktika-2007, Igor Achik de l'Arctic and Antarctic Research Institute au sujet des hausses de températures dans les couches supérieures de l'océan « les température vont de 5 à 7°C. Jamais encore nous n'avions observé de tels phénomènes. L'eau océanique n'a jamais été aussi chaude.».
Ces hallucinantes
narrations de Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un
chacun d'ailleurs, dans la perplexité la plus
totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de congélation de
l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons
toujours l'explication, autre que (ces informations de
1901 et 1909 sont-elles fiables?). De plus, nous constatons que
malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la
datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule
de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que
cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à
l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait
à une époque très proche de nous et non pas du
tout, il y a 20 000 ans, date supposée
à laquelle vivaient ces mammouths ?
Si l'on pouvait donc mettre la main sur les rapports des laboratoires
qui ont fait les analyses, ( à condition que l'on ne les ait pas jetés à la poubelle), on pourrait peut-être tomber
sur un petit
détail ou un
commentaire ,
très significatif
Mais, chacun sait aussi , en plus que l'on retrouve, de temps en temps, des mammouths congelés dans les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov , découvert intact en 1997(posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne. (Nous attendons à ce sujet les rapports d'analyse)
Le 30 Avril 2012, nous avons eu le privilège que regarder un remarquable documentaire sur la découverte plus recente en Sibérie d'un autre bébé mammouth qui, nous dit-on souvent dans ce documentaire, est d'une "stupéfiante conservation", bien qu'il soit vieux de 40 000 ans:
Commentaires du narrateur: "...La partie la plus délicate du travail commence . La fosse est profonde de 6m. Alors il s'agit de tailler le permafrost à l'horizontal sous le mammouth. C'est à cet instant que Dick et Bernard font une vraie découverte. " Regarde ça, à certains endroits, il y a une drôle d'odeur . On dirait quelque chose d'organique. Si l'on s'approche, ça sent vraiment. C'est intéressant; ça a au moins 20 000 ans; incroyable, inimaginable, sous le mammouth, protégés par son corps au moment de sa mort, les plantes aquatiques sont intactes. Elles ont donc aussi plus de 20 000 ans." L'enthousiasme de Dick et Bernard est à son paroxysme . "C'est entrain de fondre et ça sent. Ouais l'odeur est très très forte. C'est de la matière organique. - Regarde comment sont les restes - et la couleur sur celle là est très belle (Apparaît alors à l'écran une petite tige de plante d'une couleur éclatante verte ou jaune).- Tu peux voir le morceau coupé, il y a un trou dedans et c'est encore vert - Le plus magique pour moi, c'est la couleur;- elle est conservée d'une manière intacte.- Oui c'est très très spectaculaire - le froid et aussi l'argile favorisent une conservation extraordinaire des végétaux et du mammouth. Ce morceau est extrêmement riche, ce sont des végétaux qui proviennent d'un étant ou d'un petit lac - Cela va nous fournir de nouvelles informations sur la végétation aquatique à l'époque du mammouth."
fin de citation des commentaires du film
Notez bien que dans le documentaire ci-dessus, l'on voit aussi un chercheur dégager du permafrost une énorme touffe de poils roux de l'animal, avec un simple sèche-cheveux. Comment peut-on encore après 20 000 ans, retrouver des poils aussi bien conservés qui ne s'effritent pas au toucher et dont la couleur et aussi l'odeur, n'ont même pas disparu ? Mais de plus, on fait état dans ce documentaire de la découverte de pousses de végétations encore vertes après 20 000 ans ? Et vous avez noté aussi, nous l'espérons, les termes dithyrambiques utilisés par le narrateur et aussi par les chercheurs: incroyable, inimaginable, magique , très très spectaculaire, etc.. mis en rouge dans le texte. On aimerait bien, n'est-ce pas, consulter les rapports de datation des organes trouvés et si bien conservés.....Ah si un aimable internaute pouvait mettre la main sur ces rapports (non trafiqués cela va de soi), alors comme tout deviendrait plus clair....
L'explication serait d'après Gardner déjà cité: " que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."
C'est à notre avis bien sûr, pour l'instant, la seule explication ( et nous publierons, ici, toute autre, meilleure que celle-là, que les internautes nous proposeraient ), capable de résoudre cet irritant problème de la soudaineté de la congélation qui s'attache au phénomène.
En Sibérie, le long de la Léna, on a retrouvé les ossements et les défenses de milliers de mastodontes . L'opinion scientifique, on le sait, est unanime à penser que ce sont des vestiges de l'époque préhistorique. Les mammouths vivaient là, nous l'avons dit, il y a quelque 20 000 ans, mais ils furent anéantis dans une terrible et mystérieuse catastrophe. Cette catastrophe pourtant, est inconnue dans les annales, en raison justement de cette soudaineté, qui ne permet même pas à un mammouth de digérer l'herbe qu'il a dans la gueule.
Mais terminons voulez-vous cette affaire de pachydermes par ces quelques lignes plus modernes, mais toutes aussi surprenantes glanées dans un article d'Hervé Ponchelet, tiré de l'hebdomadaire "Le Point" n° 1148 du 17 Sept. 1994:
"...il provient d'une récente "chasse" aux mammouths dans le grand Nord Sibérien. Des mammouths qui, pourtant disparus depuis la fin de la dernière glaciation, émergent de temps à autre du permafrost, le sol toujours gelé de la steppe, aussi "vivants" que pourrait l'être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur...Dans l'île de arctique de Wrangel des chercheurs russes n'ont-ils pas récemment trouvé des dents de mammouth à peine vieilles de 4000 ans? Une époque postérieure à la fin de la dernière glaciation qui, croyait-on, avait signé le glas des mastodontes. Particularité: ces dents ont appartenu à des mammouths nains ne dépassant pas 1,80m de hauteur, contre 3 m à leur ancêtres du continent. Troublant, car sur des fresques murales égyptiennes du temps des pharaons, un chercheur a découvert un éléphant nain qui ressemble bougrement à un mammouth laineux. D'ici à ce que l'on tombe comme le prétendent certaines légendes, sur des mammouths vivants...
En 1977, coup de tonnerre. En attaquant à la lance à incendie les berges gelées de la rivière Kirgiliakh, dans la région de Magadan, des chercheurs d'or mettent à jour un bébé mammouth. Le corps (1,15 m de longueur, 100 Kg) est dans un état de conservation extraordinaire. L'animal auquel il ne manque que la toison, devait avoir 7 mois lors de son décès. L'autopsie, conduite à grand renfort de publicité pour la glorieuse science soviétique, permet de retrouver dans l'estomac et le tube digestif du mammoutheau surnommé Dima, son dernier repas. Dans son c?ur, arrêté depuis 40 000 ans, 1,5 gramme de sang séché, dont globules blancs et rouges se distinguent encore.
A l'époque, on commence à peine de parler de manipulation génétique. Pourtant, des biologistes soviétiques laissent entendre qu'à partir du noyau d'une cellule du mammouth de Magadan, placée dans un ovule énucléé d'éléphante d'Asie, on pourrait par clonage faire revivre le géant de la préhistoire. "
Vous avez bien noté, nous l'espérons, les termes vivants, troublant, état de conservation extraordinaire, coup de tonnerre, son dernier repas etc... qui montrent bien "la surprise" de l'auteur de l'article en question, devant le caractère insolite de cette affaire de Mammouth. Quant à la note finale, à la "Jurassic Park", nous avons bien voulu aussi, la citer, pour montrer encore une fois, "que la réalité pourrait rejoindre ici, bien vite la fiction."
Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que les datations avancées dans les divers cas précédents auraient fait l'objet d'une déclaration de circonstance à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que le mammouth congelé vivait à une époque très proche de nous, et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths sur cette planète Terre ?
Rappelez-vous les incroyables pressions subies par les scientifiques dans les deux cas suivants :
Premier cas :
1976, la momie de Ramsés II qui présentait des moisissures, fut envoyée en France par le Musée du Caire, pour des soins d'urgence. Des échantillons de la substance d'embaumement furent prélevés par Michelle Lescot, botaniste au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris.
Elle découvre alors avec ahurissement que ces échantillons contiennent des feuilles de tabac, ce qui parait impossible, d'après les connaissances actuelles, car le tabac n'a pu être rapporté en Égypte via l'Europe que 2700 ans plus tard au retour de Christophe Colomb.
Deuxième cas plus grave:
16 ans plus tard en 1992 une découverte toute aussi étonnante va avoir lieu. de Svelta Balabanova, une toxicologue de Munich, chargée
d'étudiér les drogues utilisées pour réaliser la momie
vieille de 3000 ans, d'Enouctaoui (écriture non garantie), une
prêtresse égyptienne, découvre
alors, elle aussi avec stupéfaction, que le corps de cette momie
contient de grandes
quantités d'une substance contenue dans les feuilles de coca et
que de plus, l'analyse des cheveux prouvent que cette prêtresse
en avait, elle même, consommée
avant de mourir.. Cette annonce fait l'effet d'une bombe, et la scientifique allemande reçoit alors des montagnes de lettres, presque menaçantes, des lettres d'insultes (vous avez bien lu, et ceci est à rapprocher de l'affaire Glozel citée dans un de nos articles ) disant que tout cela était absurde et impossible, car il était soi-disant prouvé, qu'avant Christophe Colomb, cette plante, la coca , d'où l'on extrait la cocaïne, n'existait nulle part ailleurs, qu'en Amérique. Et la toxicologue allemande, s'est vue alors obligée d'affirmer dans l'émission, qu'il ne peut y avoir d'erreur dans la méthode d'analyse, car cette méthode a fait ses preuves des centaines de fois.
A bon entendeur salut...
Terminons cette affaire de congélation brûtale inexplicable, par ce petit plus, digne de surprendre les plus blasés des quidams lambda :
Cette information provient du Science et Vie d'Avril 1959 n° 499 :
Voici de quoi il s'agit, à droite de la couverture :
Disons aussi cependant, pour compléter ce qui précède, que : et aussi que : Le secret de la Vie n'est pas d'avoir tout ce que la société actuelle par sa nature, nous porte à désirer, mais plutôt de désirer tout ce que l'on a en Soi et dont on ignore souvent la nature. Par exemple, si vous arrivez à projeter votre corps astral (celui qui, dans votre sommeil pendant que vous rêvez, voyage hors de votre corps physique, et non encore admis dans nos universités), alors vous n'aurez plus besoin d'un poste de télévision pour aller visiter n'importe quel lieu sur cette Terre, mais aussi, et cela est plus merveilleux, n'importe quel lieu en dehors de la Terre... D'après l'ouvrage "Nouvelles Révélations" de Neale Donald Walsch publié aux Editions Ariane au premier trimestre 2003 ""
Extrait pages 172 et 173 de
"Voyage" tome III de Soria
Edition Ariane Mars
2002.
Cela vous fait sourire sous cape, mais lisez svp, donc ce passage de notre article :
"Leurs technologies sont en correspondance avec leur niveau de conscience et leur permettent de comprendre et de faire l?interface avec l?univers matériel comme avec les niveaux astraux et causals plus subtils du cosmos. Ils peuvent apparaître et se manifester sous la forme d?un Maître connaissant une illumination extrême, qui peut se matérialiser et se dématérialiser, changer de forme et d?apparence , et avoir une présence qui vous fasse ressentir cette illumination extrême?"
Autremendit, si un jour vous rencontrez, un SDF, sur un banc public, retenez bien ses propos, car ce pourrait parfaitement être ceux d'un Maître en mission.
Mais voici encore un petit plus. dans un ouvrage publié en 2013, de l'entité transcendante Soria :
on peut lire, pages 151 et 152 :
Autrement dit tout cela nous donne une sérieuse leçon de civilité et d'amabilité envers les gens que l'on rencontre au détour d'un chemin.
Mais pour ceux qui penseraient à tord, que les gens de l'intérieur ne peuvent pas être comparés avec les médecins de l'esprit évoqués ci-dessus, rappelons le passage inouï de l'ouvrage du Dr. Ferdinand Ossendowski, voyageur polonais illustre, homme de science et écrivain, dont le manuscrit original a été publié dès 1924 chez Plon, et dont nous ne possèdons que l'édition de poche publiée au 2e trim 1970 chez l'éditeur "J'ai lu" dans la prestigieuse collection hélas disparue, "L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues" :
Voici quelques bribes, des pages en question :
" Le lama Turgut qui fit le voyage d'Ourga à Pékin avec moi, me donna d'autres détails :
"La Capitale d'Agarthi est entourée de villes où habitent des grands prêtres et des savants. Elle rappelle Lhassa où le palais du Dalaï lama, le Potala, se trouve au sommet d'une montagne recouverte de temples et de monastères. le trône du Roi du Monde est entouré de deux millions de dieux incarnés Ce sont les Saints panditas...
...Ils peuvent dessécher les mers, changer les continents en océans et répendre les montagnes parmi les sables du désert. A leur commandement, les arbres, les herbes et les buissons se mettent à pousser; des hommes vieux et faibles deviennent jeunes et vigoureux et les morts ressussitent. Dans d'étranges chariots, inconnus de nous, ils franchissent à toute vitesse les étroits couloirs à l'intérieur de notre planète"".
Fin de citation.
Avouons que ces propos du Dr Ossendowski surclassent de très loin les meilleurs auteurs de Science-Fiction, et à l'époque, même un tabloid très réputé, et avide de scoop journalistique, n'aurait pas eu le courage de publier ce qui précède...
Ceci prouve de plus que le peuple de l'intérieur a des millénaires d'avance sur nous dans la compréhension du Cosmos, et de sa manifestation sur la Terre que nous appelons La Nature.
Il va sans dire, que, comme ces êtres de l'intérieur, vivent très longtemps, rien n'empêche que le même Maître, qui aurait rendu une visite à Euler au 17e siécle, récidive avec un Williams REED, et aussi un Marschall B.Gardner, autour du début du 20e siécle.
Tout cela est de la même verve, que ce que nous raconte le célèbre film suivant :
Ceux qui ont eu le privilège de visualiser ce film, se souviennent alors que l'équipage de l'Enterprise, un vaisseau spatial du XXIIIe siècle, remonte le temps et débarque sur Terre en plein milieu du XXe siècle, pour sauver deux baleines.
Une fois de plus, le site ARTivision peut dire ici, que "la réalité surclasse souvent de très loin, la fiction".
Cependant pour le novice, qui découvre ce site par cet article, avant de poursuivre les détails de ce 13e indice, disons quelques mots à propos de cette affaire de fiction, que les éternels et zélés détracteurs, auront vite fait d'évoquer (au risque de se voir bientôt conspuer sévèrement), au sujet des textes transcendants, qui vont suivre, et qui ont pour but de préparer le terrain :
Le premier texte, est tiré de l' ouvrage sidérant, ( ce terme est à peine suffisant pour qualifier ce livre), intitulé "La Quête éternelle", d'un certain Joseph Whitfield, et publié aux Editions Vivez Soleil en 1991, mais aux USA dès 1983 :
Et voici, en pages 141 et 142, le texte en question qui fera, sans aucun doute, grincer des dents, les bien-pensants de nos écoles dites supérieures :
" La planète Terre contient plus de secrets que l'homme n'ose en rêver. Ce que je vous dis
maintenant est seulement l'un de ces grands
secrets. Vous vous rappelez que Prime Nova
racontait â Victor que le Soleil était creux, comme toutes les planètes. De grandes civilisations existent à l'intérieur de la Terre. Je ne vais pas vous parler d'elles maintenant, mais
sachez qu'en plus de cet espace sous Terre,
l'écorce terrestre abrite aussi de grandes cités
civilisées. C'est l'une d'entre elles que je vais évoquer à présent.
La totalité du continent sud-américain contient plus de secrets que le reste de la Terre. Cachées dans et sous ses immenses jungles,
se trouvent les réponses à de nombreux mystères et énigmes qui ont intrigué l'homme et l'ont
rendu perplexe pendant des siècles. La cité
dont je vous parle est située sous ces jungles.
Je ne dirai pas où exactement, pour des raisons évidentes, car la cité existe encore aujourd'hui. Depuis que l'homme fait l'expérience de l'existence terrestre, il vit aussi dans cette cité souterraine. L'espèce humaine et la vie dans cette cité diffèrent de la vie sur Terre ..."
Le deuxième texte est tout aussi renversant, pour les bien-pensants zélés en question, et est tiré du livre du groupe Soria intitulé "Voyage" Tome 3, aux Editions ARIANE en Mars 2002 ISBN 2-920987-58-5 :
À ce sujet, il y a fort longtemps que votre Terre n'accueille plus de visiteurs de l'espace consciemment et en
instituant des échanges. Vous vous apprêtez toutefois à
renouer avec une de ces époques. Les précédentes ont d'abord
connu une phase d'essor entre les intéressés, puis une autre de
dissension entraînant enfin un repli des visiteurs stellaires. Le
dernier repli fut à l'origine de la décision de la pose des
cercles d'isolement. Le départ de chaque vague de visiteurs
a aussi entraîné une période de décadence de l'humanité
résidente. Sur l'Atlantide, ce fut l'amorce de la disparition
physique de cette portion de terre et de la décision d'une
partie de ses habitants d'entrer dans les entrailles de cette
planète. La dernière civilisation à adopter la même attitude, du temps de l'Égypte, au faîte de son histoire. Actuellement, vous n'en étudiez que la phase décadente ; les pharaons installés dans l'aisance des communications et des échanges entre le ciel et la Terre n'ont pas laissé de traces."
Fin de citation .
Les amis d'ARTivision, savent que ce site n'a cessé de proclamer dès 1997, que les dieux antiques, n'étaient que des visiteurs du cosmos (voir par exemple notre article : AstroArcheologie.html).
Que celui qui a un esprit curieux pour vouloir comprendre, s'interroge franchement sur tout cela, et surtout qu'il en tire, la velléité de chercher à en découvrir davantage.
Nous allons maintenant exposer certaines œvres (il y en bien d'autres que nous n'avons pas encore pu découvrir), qui auraient pu, selon nous revevoir une inspiration venues des Maîtres de l'intérieur, que l'on croive à leur existence ou non. Nous allons donc choisir ici certains textes déjà présentés dans notre article de synthèse :
Commençons si vous le voulez bien par ceci :
b) Où pourrait apparaître une deuxième inspiration :
- ISOCAMÉRON ou histoire d'Edouard et d'Elizabeth qui passèrent quatre vingts ans chez les Mégamicres habitants aborigènes du Protocosme dans l'intérieur de notre globe, traduite de l'anglais par
Jacques Casanova de Seingalt, Vénitien, 1788.
Nouvelles Éditions:
- Éditions d'aujourd'hui: Le Plan-de-la-Tour 1987, collection " Les introuvables " réédition de l'édition de Spolete -complète.
- Éditions François Bourrin 1988 réédition amputée des chapitres 1 à 3 du tome 1.
- Dans "Histoire de ma vie " de Casanova Collection " Bouquins " Ed Robert Laffont 1993 tome 2 pages 1031 à 1092 divers textes sur l'Isocameron.
- Dans les Editions Saint-Germain Moria : ICOSAMÉRON Casanova - 2 tomes , 4e trim 2007 (edition@saint-germain-morya.com)..&..
Notons qu'il n'estjamais question dans cette œucre romanesque, de trous polaires.
c) Où pourrait apparaître une troisième inspiration :
- VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE ou Aventures diverses de Clairancy et de ses compagnons, dans le Spitzberg au Pôle Nord et dans des pays inconnus.(1821 ) par Sir Hormidas Peath (pseudonyme de Jacques-Auguste-Simon Collin de Plancy ) traduit de l'anglais par M. Jacques de Saint-Albin, ouvrage en 3 volumes édité à Paris par Caillot père et fils libraires.&
Mais voici un petit plus à ce sujet :
En effet c'est dès le 20 mars 2003 que nous avons eu le grand privilège de recevoir de l'ami Michel H.... un CR bourré de données extraites de PDF de la Bibliothèque Nationale. Il y avait là, la copie entière d'un ouvrage d'un certain écrivain anglais nommé, Sir Hormisdas Peath qui est en fait le pseudonyme d'un auteur très connu Collin de Plancy qui a publié de nombreux ouvrages ésotériques sur la sorcellerie, la magie etc...Aussi nous sommes très réservés au sujet de l'authenticité de tout le récit de cet auteur, qui commence en Juin 1806 et dont la traduction fut publiée à Paris en 182I en trois tomes sous le titre "Voyage au centre de la Terre ou aventures diverses de Clairancy et de ses compagnons dans le Spitzberg, au Pôle-Nord, et dans des pays inconnus."
Voyons d'abord en images les textes d'origine :
Aux pages 1, 2, et 3, les explorateurs découvrent en plein Pôle Nord, des champs couverts d'herbes des fleurs, des fruits.. etc..
.
Il est à noter que l'auteur cité plus haut William Reed, n'avait certaiment, hélas pour lui, pas lu (en anglais bien sûr) l'ouvrage précédent, car il n'a pas eu l'idée (comme cela le fut pour Jules Verne), de de l'existence d'un soleil en réduction, au centre de la Terre, car à ce moment là, il aurait parfaitement damer le pion à Marshall B.Gardner, qui semble t-il n'a pas connu son livre " of the poles", de 1906. Rappelons que dès 1913, un habitant d'AURORA dans l'Illinois, Marshall B.Gardner, publia, à ses frais, un petit livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait déjà état de ce soleil central. Sept ans plus tard, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.
d) Où pourrait apparaître une quatrième inspiration :
Mais il nous faut, tout de même mentionner encore ici l'ouvrage très connu, ( déjà présenté plus haut), VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE de 1864 de Jules VERNE publié à Paris par le prestigieux Editeur Pierre-Jules Hetzel & Cie. Si l'original princeps doré sur tranche, doit être hors de prix et on peut se contenter du Fac-similé publié à Genève en Suisse en Sep. 1981 par les Editions de L'AGORA.&
Hélas Jules Verne n'a pas eu dans cet ouvrage l'audace de parler des ouvertures polaires et encore moins du Soleil central. Mais chose surprenante, seulement deux ans plus tard, en 1866 dans son ouvrage "Voyages et aventures du capitaine Hatteras" , et dont voici deux présentations modernes :
et, dans le chapitre XXIV intitulé : "Cours de cosmographie polaire", on trouve au tome 2 Le désert de glace ceci :
" Enfin, de nos jours, on a prétendu qu'il existait aux pôles une immense ouverture, d'où se dégageait la lumière des aurores boréales,
et par laquelle on pourrait pénétrer dans l'intérieur du globe; "
Comme on le voit donc, c'est clair , net, et sans bavure, au moins dès 1866, Jules Verne a connu cette affaire des "Ouvertures polaires", alors que le Webmaster d'ARTivision, lui, n'a découvert cela, qu'en 1972, lorsqu'une aimable amie de la Métropole a eu la très géniale idée, de nous offrir le livre déjà présenté plus haut "La Terre creuse" de Raymond Bernard , publié en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible":
Alors Messieurs les bibliothécaires et autres passionnés de l'œuvre de Jules Verne, si vous arrivez à trouver dans les dossiers conservés de ce grand écrivain une note montrant qu'il connaissait l'affaire des trous polaires, avant la publication de son célèbre ouvrage de 1864, alors vous casserez carrément le moule, en prouvant que Jules Verne a loupé le coche, comme l'a fait Jules Gay en 1873.
e) Où pourrait apparaître une cinquième inspiration :
- Mais c'est dans notre article :
que, nous avons présenté l'ouvrage de 1999, d'un écrivain qui semble être britannique sous la forme :
Nous avons été très surpris, de découvrir dans cet ouvrage, en page 54, le schéma suivant :
Ce schéma est extrait d'un ouvrage de 1892, d'un certain William R. Bradshaw, et dont le titre commence par : "The Gooddest of Atvatabar : Being the history of Discovery of the interior Words and Conquest of Atvatabar ".
Donc ce Monsieur, avait déjà une idée bien avancée de la Terre creuse, surclassant de loin, les autres écrivains précurseurs audacieux, que nous avons déjà présenté plus Haut.
Le 15 Juillet 2012, nous avons eu le grand privilège de recevoir la missive suivante de l'ami internaute Joël B.......:
À : fred.idylle@orange.fr
Envoyé : Dimanche 15 Juillet 2012 à 13:42
Objet : croquis fantastiques: Le croquis Bradshaw.
Cher
Fred
Le livre "The
Gooddest of Atvatabar" est disponible
en e-book sur l'excellent site du projet Gutemberg ou l'on peut découvrir
beaucoup d'anciens ouvrages:
et, peut être téléchargé gratuitement:
Title: The
Goddess of Atvatabar
Being the history of the discovery of
the interior world
and conquest of Atvatabar.
Author: William R. Bradshaw.
Mais peut-être vous l'a t-on déjà signalé...
A noter que en cliquant sur
l'onglet "bibrec" puis sur "les lecteurs ont aussi téléchargé", l'on arrive sur
la page:
,qui présente d'autres ouvrages similaires invitant aussi à des voyages
intérieurs peut être imaginaires...
Bien cordialement (pluvieusement ici)
Joël.
 Pour les puristes en voici un petit plus qui invitera peut-être un éditeur curieux à traduire cet ouvrage où, pour l'époque, on découvre aussi déjà cette affaire inouïe des trous polaires, et surtout celle du Soleil central...
Finalement, nous pensons que cette œuvre est un excellent roman de fiction, bien que le début de l'histoire, semble partir d'éléments vraissemblables, par exemple au chaptre 2 page 20, on trouve :
CHAPTER II.
THE CAUSE OF THE EXPEDITION.
May the 10th was a memorable day in our voyage. On that day we
celebrated the double event of having reached the furthest north and
of having discovered an open polar sea.
Seated in the luxurious cabin of the ship, I mused on the origin of
this extraordinary expedition. It was certain, if my father were alive
he would fully approve of the use I was making of the wealth he had
left me. He was a man utterly without romance, a hard-headed man of
facts, which quality doubtless was the cause of his amassing so many
millions of dollars.
Le Roi polaire ( The Polar king) étant le nom du navire affrété par un certain Lexington White (donc ce n'est déjà pas le nom de l'auteur), qui semble raconter cette incroyable aventure. Voici donc notre très modeste traduction :
L'origine de l'expédition.
"Le Roi polaire à la latitude de 84° et à la Longitude de 151°14' est entré dans un océan parsemé d'énormes blocs de glaces et ce qui nous a surpris le plus fut le fait que nous pouvions progresser entres ces blocs car la banquise n'était pas gelée en une seule masse solide comme on s'y attendait à le voir. Au contraire, des filets d'eau libre , partaient dans toutes les directions autour des blocs, et même vers le nord, où nous nous dirigions joyeusement.
Le 10 Mai, fut une journée mémorable pour notre voyage, Ce jour là, nous avons célébré le double événement d'avoir d'une part atteint le point le plus septentrional connu, et d'autre part le fait d'avoir découvert une mer libre au pôle Nord .
Assis dans la cabine de luxe du navire , je m'interrogeais, sur l'origine de cette expédition hors normes. Il était évident que si mon père étaient encore vivant, il aurait totalement approuver, l'utilisation, que j'en avais faite, de la fortune qu'il m'avait laissée. C'était un homme très peu romantique, à cheval sur les faits bruts, et ces spécifications, lui avaient permis d'amasser des quantités de millions de dollars."
Jusque là, le récit semble cohérent avec celui d'Olaf Jansen dans smokyGod.html
f) Où pourrait apparaître une sixième inspiration :
- Mais, il y a aussi cette couverture d'un ouvrage anglais que nous recherchons depuis des lustres :
Cet ouvrage précurseur, dont le titre en français est intitulé, "Le Secret des Pôles", est paru en 1898, et est une brochure de 48 pages, dont l'auteur est un certain Henry Campion. Son traité fut publié à Birmingham, Angleterre. Donc précédant, les écrivains américains, William Reed (1906) et Marshall B. Gardner (1920), cet Henry Campion écrivait déjà à son époque, que la Terre était trouée aux deux pôles sud et nord. Citons Campion : " L'axe de la Terre est complètement vide, et entièrement dépourvu de matière du nord au sud. Il a deux ouvertures complètes, une au Pôle nord , l'autre exactement à son opposé, au pôle sud . Cette terre littéralement complément vide intérieurement d'un pôle à l'autre.."
Comme on le voit, sur le schéma, Henry Campion ., n'a pas imaginé (Jules Verne non plus), la présence d'un Soleil central, à l'intérieur de la planète.
Pas mal tout de même, n'est-ce pas, comme inspiration, pour ces deux précédents auteurs !!!
g) Où pourrait apparaître une septième inspiration :
A vrai dire, cette septième inspiration , aurait pu sans problème être la première, car elle est basée sur la découverte d'un document de 1569, mais pourrait être bien plus ancienne...
En effet, disons encore bravo à Super Hasard, qui a fait surgir, juste au bon moment, un texte en latin où une légende apparaît, spectaculairement.
C'est le 03/01/2013, que nous avons reçu la remarquable missive suivante :
From: Pierre
Sent: Thursday, January 03, 2013 5:22 PM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: cartes "oubliées", mais pas par tout le monde...
Bonjour Fred,
Je vous présente tous mes voeux de bonne santé et de merveilleuses découvertes pour les jours à venir...
Je pense que vous avez déjà lu le texte ci-dessous, qui est la traduction du latin d'un "cartouche" sur une carte de Oronce Finae(Relevé sur le site "Top Secrêt")
, où l'on parle du n°27 de la revue "Top Secret d'Oct-Nov. 2006".
Ce qui m'interpelle le plus dans le texte ainsi que sur la carte en question ci-jointe, est la présentation du "trou polaire" à une époque à définir où la mer extérieure se serait engouffrée dans l'orifice polaire par quatre grands "fleuves marin" en tourbillonnant vers l'intérieur. et provoquant probablement de formidable vortex d'air entre l'intérieur et l'extérieur en forme de gigantesque sablier rempli d'air tourbillonnant.
La zone d'exclusion aérienne des pôles doit également trouver une de ses causes ici: De gigantesques turbulences cycloniques!!!
Les intra-terrestres eux même, ne peuvent probablement pas dans ces contextes là "sortir" ou "entrer" n'importe quand!
Même eux, puisque la "respiration" dont vous parlez souvent, change sans cesse les conditions extrêmes de cet endroit si particulier...Il devrait donc y avoir ici aussi des "accalmies" au centre, pendant des transitions d'inversions qui doivent fatalement s'y produire.
Des cartes très anciennes comme celles-ci seraient toujours utilisées par "l'armée" (laquelle? ou lesquelles?) ainsi que d'autres avec beaucoup plus de détails encore, mais elles, encore "classifiées" très probablement.
(Du classifié Préhistorique, c'est pas courant!).
La carte est très connue des chercheurs, mais je n'en connaissais pas la traduction de la légende en Latin qui n'apparait pas toujours visible sur les reproductions...
Mais le Temps des Révélations, s'accélère de jour en jour si l'on sait observer...n'est-ce pas vrai?
Amicalement,
Pierre.
Nous avons bien sûr, déjà remercié Pierre, pour sa si efficace contribution, aux recherches pointues d'ARTivision.
Nous avons vite retrouvé, le n° 27 de la revue "Top Secret" d'Oct-Nov 2006, de notre ami Roch Saüquere, (et nous avions totalement oublié ce qui suit de ce n°), et dont la couverture est ci-dessous, à gauche :
L'image de droite correspond à la page 17 de la revue, où figure un texte extraordinaire d'un lecteur de la revue, placé justement dans la rubrique "Le rendez-vous des lecteurs".
Mettons aussi en évidence, le texte en latin en cartouche, afin que tout spécialiste, puisse en dire plus, si cela lui plait :
Et voici, le texte surprenant de l'internaute Pierre C, de l'image de droite ci-dessus et qui comprend:
"Cher Monsieur, en complément de votre numéro Hors Série sur la Terre Creuse,
Voici quelques commentaires et réflexions... La carte de Mercator, créée en 1569:
Il y a trois ans environ, après avoir lu le chapitre I du livre "L'empreinte des Dieux", j'ai recherché d'anciennes cartes où l'on pouvait peut-être voir le trou au pôle. Nous sommes allés, ma compagne Lara et moi-même, à la bibliothèque de Bordeaux et, dans un ancien livre rempli de grandes cartes remontant au Moyen-âge, nous avons trouver une carte de Mercator présentant le trou avec une montagne au centre et quatre fleuves se déversant dans l'Océan Arctique.
J'ai voulu savoir sur Internet avec un ami si nous pouvions trouver autre chose d'important. Sur un site nous avons pu voir que l'armée utilise d'anciennes cartes du XVIe siècle d'Orance Fine représentant le pôle avec des terres entourant le trou, très détaillées, libres de glace avec montagnes, fleuves, etc...
Après avoir lu que l'armée utilisait ces anciennes cartes détaillées pour compléter ce que les satellites ne lisent pas sous 1500 mètres de glaces, j'ai découvert que ces cartes se trouvaient à la Bibliothèque Nationale de Paris. Lorsque j'ai voulu les voir, "top secret" s'est affiché sur l'écran.
Il faut savoir tout de même que le célèbre géographe du XVIe siècle Mercator était le disciple d'Orance Fine.
eVoici la traduction du texte latin de la carte : Sur la description ci-jointe du pôle Nord :
Comme notre tableau ne pouvait être étendu jusqu'au pôle et les degrés de latitude se prolongeant indéfiniment, nous avons jugé nécessaire de reprendre ici la fin de notre description et de rattacher tout le reste au pôle. Nous avons choisi la figure qui convenait le mieux avec cette partie du monde et qui était capable de reproduire la situation et l'aspect de ces contrées comme sur une sphère. Pour ce qui est de la description, nous l'avons trouvée dans l'Itinéraire de Jacob Croyen d'Hertogenbosch (Nederland) qui cite certains des hauts faits d'Arthur de Bretagne ; mais pour l'essentiel, il la tient d'un certain prêtre qui vivait chez le roi de Norvège en 1364. Il était descendant, au 4e degré, de ceux qu'Arthur avait envoyés habiter ces îles et rapportait qu'en l'an 1360, un certain mathématicien anglais d'Oxford était venu dans ces îles ; les ayant quittées et étant parti vers des terres plus lointaines, il avait tout décrit et pris les mesures au moyen d'un astrolabe comme nous l'avons trouvé dans Jacob. Il disait que l'eau de 4 détroits était entraînée avec une telle violence vers un tourbillon intérieur que des vaisseaux, une fois engagés, ne pouvaient rebrousser chemin, sous l'effet d'aucun vent ; et que d'autre part, jamais à cet endroit le vent n'était assez fort pour suffire au transport de quantités de blé (?). Giraud de Cambrai donne des indications semblables dans son livre sur les merveilles de l'Irlande. Il écrit en effet : Non loin des îles du côté du Nord, il y a dans la mer une sorte de tourbillon prodigieux vers lequel affluent et se rassemblent de toutes parts, venant de lieux reculés, tous les flots de la mer. Se déversant dans les recoins secrets de la nature, ils sont là comme engloutis dans un abîme ; et si d'aventure un navire vient à passer devant ce gouffre, il est frappé, entraîné avec une si grande violence qu'aussitôt sa puissante voracité l'aspire irrévocablement.
Pierre C.
Il nous reste donc à retrouver, les écrits des personnages cités en rouge dans la traduction précédente, car un petit détail important, aurait pu échapper à l'auteur du texte en latin.
Et dire qu'avant 1972, le Webmaster d'ARTivision, n'avait jamais entendu parler d'aucun tourbillon de cette nature au Pôle Nord. Il avait seulement entendu une affaire à peine semblable, arrivée autour du Pôle Sud, à un certain, Arthur Gordon Pym, dans le roman, hélas inachevé, d'Egard Poe de 1838, et remis en exergue par Jules Verne, au chapitre 5 de son œuvre "Le sphinx des Glaces" publié en 1897.
Bravo donc, à ces courageux Mr Pierre C. et sa compagne Lara, d'avoir eu la sompteuse idée, de faire traduire ce texte latin sans doute écrit bien avant 1569, et texte qui nous parle d'un vortex boréal fantastique, que le sieur Siragusa (voir plus haut), connaissait assurément avant le 20 Mai 1972, où il montra lors d'une conférence à Paris, une photo du Pôle Nord avec un grand trou.
Merci surtout à Super Hasard, de nous avoir permis de retrouver dans nos dossiers, juste au moment voulu, un document exceptionnel, qui prouve que des explorateurs du Grand Nord du XVIe en savaient déjà, bien plus sur le vortex polaire que certains bien-pensants de nos contemporains.
C'est donc bien le moment de reprendre ici notre réplique souvent transcrite dans notre article : legendesvraies.html
h) Où le naturaliste Georges-Louis
Leclerc, dit Comte de
BUFFON, (1707-1788), nous conduit à découvrir une huitième inspiration :
Il convient en effet ici de mentionner brièvement, un écrit de ce naturaliste, biologiste écrivain...Intendant du jardin du roi en 1739 (jardin des plantes).Il publia alors :
HISTOIRE
NATURELLE, GÉNÉRALE ET PARTICULIERE, AVEC LA DESCRIPTION DU CABINET DU ROY. Tome
Premier. publié à partir de 1749...
sur Google, nous avons trouvé de superbes références sur le comte de Buffon et même une emission de radio à son sujet à l'adresse :
Nous vous invitons à écouter cette émission de radio de 35 mn environ, car nous y reviendrons en bas de cet article.
On découvre alors que Buffon était un ami de Voltaire, traducteur des textes de Newton, et qu'il fut également un industriel en construisant ce que l'on appelait à l'époque des forges, à Châtillon-sur-Seine.
Son ouvrage "L?histoire naturelle générale et particulière" , en 36 volumes parus de 1749 à 1789, fut l?un des plus retentissants succès de librairie au XVIIIe siècle. Ouvrage décliné en anthologies plus ou moins richement illustrées, pour les grands et pour les petits, il y inclut tout le savoir de l?époque dans le domaine des sciences naturelles. Buffon fut élu le 23 Juin 1753 à l'Académie Française.
Voici donc le portrait de l'auteur et la couverture du livre en question :
La digitalisation de l'ouvrage faite par le super site :
, nous permet d''extraire des pages 215 à 220, les paragraphes très intéressants suivants (l'orthographe est d'époque, et les couleurs sont de nous évidemment) :
ARTICLE VI.
GEOGRAPHIE.
Page 215 et suivantes:
.....On trouve une grande quantité de ces glaces flottantes (les icebergs) dans la mer du nord, surtout à quelque distance des terres ; elles viennent de la mer de Tartarie dans celle de la nouvelle Zemble & dans les autres endroits de la mer glaciale. J?ai été assuré par des gens dignes de foi, qu?un Capitaine Anglois, nommé Monson, au lieu de chercher un passage entre les terres du nord pour aller à la Chine, avoit dirigé sa route droit au pole & en
avoit approché jusqu?à deux degrés ; que dans cette route il avoit trouvé une haute mer sans aucune glace, ce qui prouve que les glaces se forment auprès des terres & jamais en pleine mer ; car quand même on voudroit supposer, contre toute apparence, qu?il pourroit faire assez froid au pole pour que la superficie de la mer
fût glacée, on ne concevroit pas mieux comment ces énormes glaces qui flottent, pourroient se former, si elles
ne trouvoient pas un point d?appui contre les terres, d?où ensuite elles se détachent par la chaleur du soleil. Les deux vaisseaux que la Compagnie des Indes envoya en 1739 à la découverte des terres australes, trouvèrent des glaces à une latitude de 47 ou 48 degrés, mais ces glaces n?étoient pas fort éloignées des
terres, puisqu?ils les reconnurent, sans cependant pouvoir y aborder. Voyez sur cela la carte de M. Buache,
1739. Ces glaces doivent venir des terres intérieures & voisines du pole austral, & on peut conjecturer qu?elles suivent le cours de plusieurs grands fleuves dont ces terres inconnues sont arrosées, de même que le fleuve Oby, le Jenisca & les autres grandes rivières qui tombent dans les mers du nord, entraînent les glaces
qui bouchent pendant la plus grande partie de l?année le détroit de Waigats, & rendent inabordable la mer de
Tartarie par cette route, tandis qu?au delà de la nouvelle Zemble & plus près des poles où il y a peu de fleuves & de terres, les glaces sont moins communes & la mer est plus navigable ; en sorte que si on vouloit encore tenter le voyage de la Chine & du Japon par les mers du nord, il faudroit peut-être, pour s?éloigner le plus des terres & des glaces, diriger sa route droit au pole, & chercher les plus hautes mers, où certainement il n?y a que peu ou point de glaces ; car on sait que l?eau salée peut sans se geler devenir beaucoup plus
froide que l?eau douce glacée, & par conséquent le froid excessif du pole peut bien rendre l?eau de la mer
plus froide que la glace, sans que pour cela la surface de la mer se gèle, d?autant plus qu?à 80 ou 82 degrés,
la surface de la mer, quoique mêlée de beaucoup de neige & d?eau douce, n?est glacée qu?auprès des côtes. En
recueillant les témoignages des voyageurs sur le passage de l?Europe à la Chine par la mer du nord, il paroît qu?il existe, & que s?il a été si souvent tenté inutilement, c?est parce qu?on a toûjours craint de s?éloigner des terres & de s?approcher du pole, les voyageurs l?ont peut-être regardé comme un écueil.
Cependant Guillaume Barents qui avoit échoué, comme bien d?autres, dans son voyage du nord, ne doutoit pas qu?il y eût un passage, & que s?il se fût plus éloigné des terres, il n?eût trouvé une mer libre & sans glaces. Des voyageurs Moscovites envoyés par le Czar pour reconnoître les mers du nord, rapportèrent que la nouvelle Zemble n?est point une isle, mais une terre ferme du continent de la Tartarie, & qu?au nord de la nouvelle Zemble c?est une mer libre & ouverte. Un voyageur
Hollandois nous assure que la mer jette de temps en temps sur la côte de Corée & du Japon, des baleines qui ont sur le dos des harpons Anglois & Hollandois. Un autre Hollandois a prétendu avoir été jusque sous le pole,
& il assuroit qu?il y faisoit aussi chaud qu?il fait à Amsterdam en été. Un Anglois nommé Goulden, qui avoit
fait plus de trente voyages en Groenland, rapporta au Roi Charles II que deux vaisseaux Hollandois avec
lesquels il faisoit voile, n?ayant point trouvé de baleines à la côte de l?isle d?Edges, résolurent d?aller
plus au nord, & qu?étant de retour au bout de quinze jours, ces Hollandois lui dirent qu?ils avoient été jusqu?au 89me degré de latitude, c?est-à-dire, à un degré du pole, & que là ils n?avoient point trouvé de glaces, mais une mer libre & ouverte, fort profonde & semblable à celle de la baye de Biscaye, & qu?ils lui montrèrent quatre journaux des deux vaisseaux, qui attestoient la même chose & s?accordoient à fort peu de chose près. Enfin il est rapporté dans les Transactions philosophiques que deux Navigateurs qui avoient entrepris de découvrir ce passage, firent une route de 300 lieues à l?orient de la nouvelle Zemble, mais qu?étant de retour la Compagnie des Indes qui avoit intérêt que ce passage ne fût pas découvert, empêcha ces Navigateurs de retourner. Voyez le Recueil des voyages du nord,
page 200. Mais la Compagnie des Indes de Hollande crut au contraire qu?il étoit de son intérêt de trouver
ce passage ; l?ayant tenté inutilement du côté de l?Europe, elle le fit chercher du côté du Japon, & elle
auroit apparemment réussi, si l?Empereur du Japon n?eût pas interdit aux étrangers toute navigation du côté
des terres de Jesso. Ce passage ne peut donc se trouver qu?en allant droit au pole au-delà de Spitzberg, ou bien en suivant le milieu de la haute mer, entre la nouvelle Zemble & Spitzberg, sous le 79 degré de latitude
: si cette mer a une largeur considérable, on ne doit pas craindre de la trouver glacée à cette latitude, & pas même sous le pole, par les raisons que nous avons alléguées ; en effet, il n?y a pas d?exemple qu?on ait
trouvé la surface de la mer glacée au large & à une distance considérable des côtes, le seul exemple d?une mer
totalement glacée est celui de la mer noire, elle est étroite & peu salée, & elle reçoit une très-grande
quantité de fleuves qui viennent des terres septentrionales & qui y apportent des glaces, aussi elle gèle
quelquefois au point que sa surface est entièrement glacée, même à une profondeur considérable, &, si on en
croit les historiens, elle gela du temps de l?Empereur Copronyme, de trente coudées d?épaisseur, sans compter
vingt coudées de neige qu?il y avoit par dessus la glace : ce fait me paroît exagéré, mais il est sûr qu?elle gèle presque tous les hivers, tandis que les hautes mers qui sont de
mille lieues plus près du pole, ne gèlent pas ; ce qui ne peut venir que de la différence de la salûre & du peu de glaces qu?elles reçoivent par les fleuves, en comparaison de la quantité énorme de glaçons qu?ils transportent dans la mer noire.
Ces glaces, que l?on regarde comme des barrières qui s?opposent à la navigation vers les poles & à la
découverte des terres australes, prouvent seulement qu?il y a de très-grands fleuves dans le voisinage des
climats où on les a rencontrées, par conséquent elles nous indiquent aussi qu?il y a de vastes continens d?où
ces fleuves tirent leur origine, & on ne doit pas se décourager à la vûe de ces obstacles ; car, si l?on y
fait attention, l?on reconnoîtra aisément que ces glaces ne doivent être que dans de certains endroits
particuliers, qu?il est presqu?impossible que dans le cercle entier que nous pouvons imaginer terminer les
terres australes du côté de l?équateur, il y ait partout de grands fleuves qui charient des glace, & que par
conséquent il y a grande apparence qu?on réussiroit en dirigeant sa route vers quelqu?autre point de ce
cercle...
Fin de citation.
Que dire de plus sur le fait (comme nous le raconte si bien le comte de Buffon) qu'il existe bien au delà d'une certaine latitude voisine du Pôle nord , une mer libre de glace et Buffon nous invite donc paradoxalement en partant de l'Europe et pour rejoindre la Chine et le Japon par le passage nordique tant recherché de foncer droit vers le pôle pour rejoindre la mer parfaitement navigable qui s'y trouve.
Il nous faut noter que dans l'émission de radio mentionnée plus haut un certain paléontologue, Dr Es Sciences, (que nous ne nommerons pas pour le mettre vraiment mal à l'aise), nous précise que Buffon en découvrant des dents de mammouths qu'avait envoyées la Russie à Paris, en avait déduit qu'il s'agissait d'éléphants qui seraient passés du Midi vers le Nord, et qui avaient dû s'adapter au climat qui avait changé à l'époque. C'est alors que notre paléontologue affirme que cela n'est pas tout à fait vrai, parce que le mammouth dit-il a vécu dans des périodes froides avec de longs poils, et il ajoute que Buffon a donc bien réalisé que ces espèces d'éléphants étaient des espèces perdues qui n'existaient plus aujourd'hui. C'est d'ailleurs ce qui sera développé ultérieurement par Cuvier.
Ce paléontologue réputé aurait subtilement certainement évité d'évoquer cette affaire de mammouths, s'il avait lu certains articles d'ARTivision , et en particulier celui placé à :
, où il est mentionné ce petit paragraphe, lourd de signification :
" Est-il besoin de révéler ici que l'on n'a pas arrêté depuis, de découvrir des animaux congelés (et en particulier des mammouths), dans les zones arctiques et que par exemple en 1906, ce fut un mammouth presque entier découvert près de la grande île de Liakhov dans l'archipel de la Nouvelle Sibérie. Ce mammouth est depuis 1998, exposé dans la Galerie de Paléontologie du Muséum National de l'histoire Naturelle de Paris. On discute toujours sur la nature du phénomène qui a congelé ces animaux, alors que certains d'entre eux, avait encore de l'herbe dans la gueule, qu'ils n'ont même pas eu le temps d'avaler, à cause de la soudaineté du phénomène. "
Voilà, selon nous bien sûr, des détails absolument importants, qu'un spécialiste du Muséum National d'Histoire Haturelle, se devait de vérifier pour en comprendre les extraordinaires tenants et aboutissants.
Il est tout de même curieux que Buffon soit déjà vers 1850, au courant de cette affaire incroyable de Mer libre, et que de nos jours, les médias qui ont pignon sur rue, n'en parlent jamais.
Mais il y a aussi un autre auteur qui évoque les mêmes faits polaires étranges que Buffon. Voici cet ouvrage que nous avons en mains, et dont on peut trouver l'url tel que :
Effectivement dans l'ouvrage de 1818
suivant :
Nous découvrons alors en page 37, ceci :
Une modeste traduction pourrait donner alors :
"Le Capitaine
Goulden, qui avait fait plus de trente voyages au Groenland,
a rapporté à Sa Majesté, que,
étant au Groenland pendant une vingtaine d'années, il fut en compagnie de
deux Hollandais à l'est de l'île
d'Edge. Comme les baleines fuyaient la côte, les deux Hollandais se
déterminèrent à aller plus loin vers le
nord, et après une quinzaine de jours, ils furent de retour. Ils
dirent alors qu'ils avaient navigué jusqu'au 89
° de latitude nord , et qu'ils ne rencontrèrent pas de glace, mais
une mer libre et ouverte, et qui
avait une configuration ressemblant à celle de la baie de Biscaye. M. Goulden, n'étant pas satisfait par cette brutale révélation, ils lui ont présenté quatre journaux de bord des deux
navires, qui en témoignaient catégoriquement, et cela, en quatre minutes, reçu l'agrément de tout un chacun."
Comme il serait intéressant n'est-ce pas, de retrouver la trace de la déclaration de ce
Goulden, et bien sûr, aussi le nom de ces hollandais et
surtout leurs journaux de
bords, s'ils ont été conservés dans des bibliothèques
!!!
Autrement dit, tout se tient, et Buffon , a eu certainement en mains,
les mêmes sources
que celles de Mr Daines Barrington en 1818 , car on y retouve les mêmes déclarations.
Bien sûr, dans cette affaire, le Webmaster d'ARTivision, n'est pas resté, les bras croisés, et nous avons écrit à l'Ambassade de Grande-Bretagne, et aussi à environ une dizaine d'associations Franco-anglaises pour
qu'elles puissent nous aider à retrouver la trace de ce Monson, et aussi celle de ce Goulden.
Nous avons écrit de même à l'Ambassade des Pays-Bas, et aussi à environ une dizaine
d'associations Franco-neerlandaises à propos de cet hollandais, (à déterminer
avec précision car hélas Buffon n'a
pas cité son nom) qui a affirmé avoir été jusqu'au ras du pôle et qu'il y faisait aussi chaud qu'à Amsterdam en
été.
Nous avons même reçu déjà, une
réponse importante de l'Institut l'Histoire Militaire des Pays
Bas.
La voici, pour les puristes :
Le site ARTivision, pense que nos progrès en informatique et les consorts Google, nous permettront, assez vite, de retrouver les documents en question, et on aura ainsi la preuve indéniable, que l'on nous ment au plus Haut Niveau, sur cette affaire de mer libre au Pôle nord et de "trous polaires".
Mais, voici un petit plus qui nous est donné par la revue dite sérieuse par les bien-pensants : "La Recherche" :
Cette revue va nous permettre d'accéder, à un niveau de compréhension très philosophique, concernant la nature humaine.
En effet, dans cette revue nous avons eu le bénéfice de découvrir un article de 4 pages sur le naturaliste Buffon, dont on vient de parler justement, ci-dessus :
Voici donc, une partie du début du remarquable article de Mme Frédérique Rémy en question :
Et voici aussi, la partie qui nous interpelle grandement :
L'auteur reprend donc les affirmations vues plus haut concernant le capitaine Anglais Monson qui, en se dirigeant droit vers le Pôle, est arrivé dans une haute mer sans aucune glace. Il y a aussi, l'hitoire d'un hollandais qui a prétendu avoir été jusque sous le pôle, et qui affirma qu'il y faisait, aussi chaud qu'à Amsterdam en été. Mais, elle ne nous parle pas du nommé Goulden, qui a recueilli le témoignage de deux autres Hollandais, et qui lui dirent, qu'ils avaient été jusqu'au 89e degré de latitude, c'est-à-dire, à un degré du pôle, et que là, ils n'avaient point trouvé de glaces, mais une mer libre et ouverte, fort profonde et semblable à celle de la baye de Biscaye. Ces hollandais lui montrèrent quatre journaux des deux vaisseaux, qui attestaient la même chose.
Malgré tout cela, cette scientifique continue à croire que tous ces gens ont menti, et que la mer libre de glace n'existe pas, alors qu'elle avait certainement plus de moyens qu'ARTivision, pour aller vérifier tout ce qui précède, et tout ce que nous affirme Buffon, et mettre ainsi la main, par exemple, sur les livres de bord, en question des hollandais et autres Monson anglais. Cette scientifique semble ignorer le fait, qu'en plein système moderne, analysé par toutes sortes de médias prétendus évéillés, on nous a parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme par exemple, l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire du débarquement bidon des américains sur la Lune en Juillet 1969, l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York en Sept. 2001... etc..., et bien d'autres affaires encore cachées...
Voir quelques unes de ces affaires dans nos articles :
Alors, il faut savoir que le niveau du secret concernant l'affaire de la Terre creuse , est au-dessus de tout ce qui précède et donc tout est fait, pour nous cacher la Vérité sur cette affaire, et cette scientifique une fois plus... voir notre article clef :
, montre son obstination, à se laisser leurrer par ses pairs et consorts. C'est son droit le plus absolu. Mais le site ARTivision lui, poursuivra sans relache, sa quête d'une vérité inouïe, qui concerne l'humanité entière, et que l'on nous cache en Très Haut lieu, pour de vulgaires questions de prestige national, et de dérisoires sujets économiques et militaires. Le document ci-dessus, de l'Institut l'Histoire Militaire des Pays
Bas. est la la preuve tangible que nous ne nous tournons pas les pouces de satisfaction, dans la connaissance de l'état de la situation géographique actuelle de notre planète.
A bon entendeur salut...
i) Quand la "Bande déssinée", nous conduit à découvrir une neuvième inspiration :
Rappelons à toutes fins utiles, que cet article n'est pas du tout une thèse scientifique rigoureuse, (comme certains détracteurs le souhaiteraient sans doute), mais plutôt une sorte de causerie au clair de Lune, au pied du volcan tropical La soufrière, où nous habitons, et causerie telle qu'elle avait lieu autrefois, quand le modernisme n'était pas entré dans les mœurs. C'est aussi une sorte de conte philosophique antillais à la veillée, et ce conte inclut le fait que certains auteurs aient eu justement l'audace de nous sortir des textes qui parlent d'une terre fertile et luxuriante en pleine région polaire. La non orthodoxie, de ces récits extraordinaires, ne peut que nous interpeller ,, et nous pensons qu'il s'agit là de documents initiatiques sans doute élaborés, soit par une véritable connaissance secrète de l'auteur, soit encore par une Force informative subconsciente latente, venant du fond des âges, ou d'un Maître en mission.
Il n'y a pas si longtemps au Fort Delgrès de Basse-Terre en Guadeloupe, s'est tenu un forum de la BD, où les plus grands spécialistes du genre, montraient leurs œuvres. Nous avons étonné tout un chacun, en prétendant que nous recherchions en priorité un dessinateur de BD Norvégien, pour l'inviter à sortir un album très classique, sur l'histoire du "Smoky God", de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson, paru en 1908 . Hélas il n'y avait aucun dessinateur norgévien, dans le coin et tout le monde a voulu prendre notre photo, quand nous avons sorti le Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969, où l'on voit à vue d'œil, une super structure gigantesque placée sur la face cachée de la Lune. Mais, ensuite ce fut tout. Ces messieurs spécialistes de la BD, ont replongé dans leur petit train-train quotidien, et pas un ne nous a contacté, pour en savoir plus sur l'ouvrage extraordinaire "Smoky God", (que nous avons été, rappelons le, le premier à traduire gratuitement sur le Web Français). Ils s'en mordront les doigts, car le Temps des Révélations, est bien arrivé, et ils ont loupé le coche comme beaucoup d'autres. Ah s'ils avaient au moins lu, cet épisode en BD de Russ Manning de Tarzan à Pellucidar, d'après l'œuvre de Edgar Rice Burroughs:
Il nous faut maintenant savoir que, le texte d' Edgar Rice Burroughs, nous présente l'histoire de David Innes, ingénieur des mines, qui a accepté de financer la construction d'un excavateur de type
nouveau inventé par son ami Abner Perry. Les deux hommes effectuent un test dans le désert du Sahara, et tombent dans le monde intérieur inconnu de Pellucidar. Donc il n'est pas du tout question ici du Pôle Nord. Voir le tome 1 sur le site à :
C'est donc Russ Manning lui-même, qui autour de 1970, a imaginé cette affaire de voyage de Tarzan en dirigeable vers le Pôle Nord. Bravo à lui, car cela montre qu'il connaissait parfaitement, la théorie de la Terre creuse, et l'on va voir ci-dessous pourquoi...(Cette théorie, on le sait est parfaitement bien occultée dans notre enseignement scolaire puisque nous-mêmes, nous l'avons souvent dit, nous ne l'avons découverte qu' autour de 1972, après avoir pris lecture de l'ouvrage désormais incontournable sur le sujet de R.Bernard: La Terre creuse de 1971 ).
En effet, Voici donc, grâce à l'amabilité de notre ami Joël Baran, quelques vignettes d'une BD réalisée, on le sait par Russ Manning , et concernant l'affaire du monde de Pellucidar. Ces vignettes sont parues en France, journellement par bandes de trois au maximum, du 23 Nov. 1971 au 29 Juillet 1972, puis groupées dans la revue HOP n° 42 de 1987. On y voit alors Tarzan monter dans un Zeppelin pour se rendre au pays de Pellucidar en passant.... par l'ouverture du pôle Nord, vous l'avez bien lu....Voici donc quelques éléments choisis, de cette bande dessinée remarquable hélas en noir et blanc (Tout internaute qui pourrait avoir cela en couleur, serait bien sûr plus que béni) :
De plus on apprend que dans le trou polaire, il faut suivre une route en spirale car la boussole (le compas) est inutilisable :
Mais il y a aussi le fait qu'à intérieur de la Terre existe un Soleil et que donc l'horizon qui n'est plus une ligne droite, mais une surface courbée qui remonte toujours plus.
Pas mal n'est-ce pas cette imagination hors norme de l'auteur !!!
Cependant, si l'on voit dans ces quelques images, déjà apparaître des reptiles volants préhistoriques, nommés des Ptéranodons, nous ignorons, si dans le reste de la BD, il est fait aussi mention des mammouths. En tout cas, bravo donc à l'imagination si fertile de Russ Manning, qui nous laisse dès lors pantois, et surtout, imagination qui tend à s'aligner parfaitement, sur ce que nous dit William Reed dès 1906 dans son ouvrage "Fantôme des pôles", , et bien d'autres auteurs, comme par exemple Raymond Bernard, dans son ouvrage incontournable de 1964 "the Hollow Earth" que Russ Manning avait probablement lus...
Á vous de juger tout cela...
Mais nous avons aussi une autre BD, qui sans aller aussi loin dans l'audace d'Edgar Rice Burroughs, a du tout de même dû puiser son inspiration, dans des couloirs d'un subconscient quelconque :
nbsp; Voici en effet, la couverture et quelques vignettes de la BD intitulée : "Le secret de l'Antarctique", d'Henri Vernes & Dino Attanasio, publiée par Claude Lefrancq en 1989, et qui est l'adaptation du roman homonyme "Le secret de l'Antarctique" du même Henri Verne, et publié par Marabout, en 1965 :
Nous n'avons hélas pas le privilège de posséder ni le livre, ni la BD en question, et nous serions très heureux d'apprendre si l'auteur mentionne aussi la présence de mammouths. Merci à l'internaute béni qui pourra nous fournir ce renseignement.
Notez bien cependant d'une part, l'explication aberrante, qui justifie géologiquement la présente de cette zone tropicale en plein Pôle sud, exactement comme celle apportée pour expliquer l'existence de l'oasis de Benguer, présentée plus haut, (Voir le "Science et Vie" n°510 de Mars 1960), et d'autre part, notez aussi l'astuce du brouillard, qui nous a caché depuis nos progrès en aviation, cette merveilleuse contrée.
Tout cela nous interpelle tout de même, assez royalement, car à notre avis, en 1965, quand Henri Vernes a publié son roman, le survol aérien des deux pôles, faisait déjà l'objet une interdiction mondiale.
A vous de juger...
Indice n°14 : Quand on s'interroge, sur la teneur de certains films, à l'affiche pendant la période de Noël 2013.
En effet, le 22 Décembre 2013, nous avons eu droit aux films suivants de la Télévision Française :
Dans le premier documentaire, qui nous vient de la chaine ARTE, on aperçoit une impressionante migration de cervidés ( élans et consorts), qui nous dit-on, se dirigent tous, vers le Nord. Mais, en ce qui concerne la raison de cette gigantesque fuite en avant vers cette zone officiellement, glacée et désertique qui entoure le Pôle Nord, où en principe, il ne doit pas se trouver, une nourriture habituelle pour ces animaux, c'est le silence de la tombe.
Quant au deuxième film, (qui n'est pas différent de beaucoup d'autres concernant les voyages au centre de la Terre) , il n'est qu'une grossière adaptation très classique du livre de Jules Verne de 1864. Il est évidemment, interdit aux très jeunes enfants (alors que l'on sait maintenant d'après Olaf Jansen, et quelques autres, l'émerveillement qui règne à cet endroit pour les curieux de 7 à 77 ans), et surtout, on sait que ce genre de film est souvent fait pour susciter la Peur et l'angoisse, chez le téléspectateur et ARTivision, et c'est pour cela, que nous reprenons le passage suivant de notre article clef, qui nous invite grandement à retrouver les vertus de la Nature:
, où l'on peut lire ceci :
"De même tant que vous n'aurez pas compris qu'il faut fuir toute information vous apportant des images montrant la Peur, la Haine, les crimes, les massacres, etc ..en somme tout ce qui est négatif, vis à vis de l'Esprit d'Amour, vous pataugerez dans la violence jusqu'au cou et ce sera vous même, qui en serez responsable en créant ce qu'on appelle un égrégore vibratoire de basse énergie ( Note du Webmaster : certains l'appellent le Diable), qui vous réclamera toujours plus de sang. Le Très Haut vous a donné votre libre arbitre, il ne saurait vous l'enlevez en vous promettant une punition quelconque. Votre seule punition, est celle que vous avez vous-même choisie. Mais rassurez-vous, vous avez encore le moyen d'agir sur cette situation ( Et il faut faire cependant très vite car le temps presse) en refusant d'accepter de regarder des films noirs et d'épouvante, de lire des romans noirs où règnent violence, crimes et exactions de toute nature, d'écouter de la musique qui déprime déjà les plantes, etc... alors et alors seulement, il vous sera peut-être possible de retrouver assez tôt, Paix et Sérénité, au sein d'un Âge d'Or retrouvé.."
- Les pensées enracinées dans la Peur produisent une énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.
- Les pensées enracinées dans l'Amour produisent une énergie qui s'étend, s'ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit..
Les bien-pensants vont encore se tordre de rire en douce, mais ils feraient mieux d'essayer de comprendre pourquoi l'information essentielle qui suit plus bas, et qui concerne la cosmonaute Marina Popovitch, n'a eu aucun écho dans les médias qui ont pignon sur rue, car elle remet en cause totalement leurs affinités, pour les informations négatives :
Tout cela confirme parfaitement, cette affaire vue dans plusieurs articles ayant trait à cet égrégore négatif entourant en ce moment la Terre, et que vient de mettre admirablement en exergue le colonel et cosmonaute russe Marina Popovitch dans un document très important placé à :
Nous vous invitons à sauvegarder cette page, car elle pourrait disparaître, par enchantement, comme celle du Griffith Observatory dont nous avons parlé dans divers articles.
Mais revenons, à Marina Popovitch, dont il convient de bien regarder la frimousse:
Vous avez bien noté, nous l'esperons, que cette scientifique déclare que "... les scientifiques estiment que le chaos émotionnel humain perturbe énormément la Terre, qui réagit de plus en plus violemment à cette saturation. Ce qui doit être porté à la connaissance des populations et doit absolument déclencher un changement radical de tous nos comportements."
et aussi surtout :
"..Nous avons ainsi découvert que ce champ est un tissu éthérique chargé d?émotions. C?est pourquoi il est nécessaire de contrôler nos passions. Chacun de nous a le pouvoir d?affecter ce champ de manière positive ou négative. Toute la négativité exprimée, comme la haine et la peur, a une incidence directe sur l?état de la planète. La Terre réagit violemment à nos pensées et nos sentiments, et elle émet un type de rayonnement qui se répercute sur les modèles climatiques. Les éléments sont comme des anticorps planétaires.."
Les réalisateurs de films auraient pu nous emerveiller, si, en plus de l'histoire fantastique du "Smoky God" vue plus haut, ils avaient eu sous la main l'histoire racontée en exclusivité par Raymond Bernard, dans son ouvrage de 1964 :
Pour les puristes, qui apprécient, à juste titre, les documents originaux, voici de quoi il s'agit :
Cette histoire, nous vient donc d'un certain Dr Nephi Cottom de los Angeles, ( hélas nous n'avons pas pu, déterminer si ce Docteur, avait publié un livre), qui raconte une aventure extraordinaire, arrivée à un de ses patients qui habitait la Norvège, et qui prétend avoir un jour voulu avec un ami, aller aussi loin que possible dans le Nord, avec un petit bateau de pêche muni d'une voile et rempli de provisions pour près d'un mois. Au bout de ce mois de navigation, ils ont pénétré parait-il, dans un étrange pays où il faisait si chaud qu'ils n'arrivaient pas à dormir. Puis ce patient explique : " Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser. intrigué, nous continuâmes dans cette direction et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste cañon qui conduisait au centre du Globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de La Terre."
Nous ne pouvons, pas bien sûr ici rapporter tout ce que ce patient a révélé de son extraordinaire récit, où il est fait aussi mention, entre autres choses, de plantes et animaux et même d'humains gigantesques, et il est étonnant qu'un tel récit soit passé si inaperçu (Les services secrets américains ou autres, ont dû agir en douce), alors qu'il déclasse de loin les récits les plus imaginatifs comme ceux de Gulliver, mais il est aussi prenant que celui duSmoky God, aussi mentionné dans le texte en anglais juste ci-dessus.
Alors Messieurs les journalistes et consorts blasés, (qui risquent assurément leur vie dans des reportages dérisoires, concernant des belligérants fanatiques de diverses religions), prenez vite l'avion, pour aller retrouver avec une résolution inégalée, la lettre inestinable, de ce patient du Dr Nephi Cottom, et lettre qui probablement se trouve dans les dossiers du Dr Raymond Bernard ( qui en réalité s'appelait Walter Seigmeister), si un quidam ignare, ne les a pas balancé à la poubelle. Cette lettre à notre avis, si elle est un jour retrouvée, dépassera alors de loin la valeur d'un tableau éminent de Picasso.
Indice n°15 : Quand Le Maître tibétain : Lobsang Rampa, toujours décrié par des journalistes et consorts ignares, en dit bien plus sur l'affaire de la Terre creuse...
Rappelons pour commencer que ce Lobsang Rampa est l'auteur du best-seller paru en Angleterre en 1955 et qui déffraya terriblement la Chronique : "The Third eye" :
En effet les révélations de cet auteur en 1955 ont echappé (et continuent à le faire) à tout rationalisme enseigné dans nos universités Et en particulier il affirme que les lamas Tibetains lui ont ouvert par une opération très spéciale un Troisième œil ( d'ou le nom de son ouvrage) et en mémoire de cette opération pratiquée pendant de lustres par ces maitres tibétains, des siècles après, les gens d'Orient
qui voulaient montrer leur respect pour ces
Maîtres, utilisèrent une pastille écarlate nommée
le signe du Tilac qu'ils placèrent au
milieu du front juste au dessus de la glande pinéale. Cela n'est pas de
l'imagination puisqu'il en reste quelque chose sur les sculptures en bois des Indes
Et cela n'a pas l'air d'être une égratignure insignifiante n'est-ce pas que
cette ouverture bien circulaire au milieu du front de cette statue du XIIè
siècle présentée par la revue hélas disparue Planète. Libre à vous d'imaginer donc son
utilité !!
Ce lama dit aussi, (comme le prétend le démontrer le site ARTivision), que "le Passé de la Terre" est bien plus extraordinaire, que l'on ne pourrait jamais se l'imaginer.
Pour en savoir bien plus sur les révélations hors normes, de ce lama prière de se reporter à notre article :
Disons aussi que les détracteurs zélés de ce Lobsang Rampa n'ont pas du tout pu concevoir que les grands Maitres Tibétains (voyant combien son corps physique avait été torturé et martyrisé), aient décidé de lui offir un nouveau corps plus agréable à supporter.
Ces détracteurs zélés ignoraient totalement le phénomène de Channeling ou simplement le phénomène, que les psychiatres appellent pudiquement le dédoublement de la personnalité, alors que dans certains des individus, il peut cohabiter ensemble, plusieurs personnalités totalement étrangères l'une à l'autre. Le quotient intellectuel est différent, la voix, et l'écriture, et les habitudes, sont différentes. Nous avons nous-même connu une personne nommée Emmanuel, qui avait au moins 5 personnalités différentes, et nous en parlons justement d'une manière très succincte dans nos articles :
Rappelons en passant, que dans ce dernier article, qu'un de ces personnages par la bouche d'Emmanuel , nous avait dit, alors que nous ne lui avions rien demandé, qu'il "... nous connaissait depuis 2000 ans".
D'autre part, si vous n'avez pas vu le téléfilm américain intitulé "Sybil "réalisé en 2007 par Joseph Sargent et basé sur le livre de la journaliste scientifique Flora Retha Schreiber intitulé aussi Sybil, paru aux USA en 1973, alors regardez bien ces deux photos :
Sur la première photo, Margaux, est bien officiellement qualifiée d'aveugle. Sur la deuxième photo, elle ne l'est plus, et peut vous décrire par exemple, votre habillement dans le moindre détail.
Pour en savoir plus, lisez alors ceci que le 08/02/2010, nous avons reçu du fidèle ami Jérémy :
----- Original Message -----
From: Jérémy N...........
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Sunday, February 07, 2010 7:45 PM
Subject: Une affaire de multiples personnalités.
Bonjour Fred,
J'étais en train de lire votre remarquable article concernant le Lama Rampa, et à la fin de votre article, vous parlez du cas de gens ayant des personnalités multiples. Il se fait que récemment, je suis tombé sur cette intriguante histoire, qui mérite vraiment d'être visionnée :
Vous souhaitant de bonnes choses, je vous dis à bientôt.
Cordialement Jérémy.
Merci mille fois à Jérémy, pour cette sublime vidéo.
Le site ARTivision, qui justement le 8/02/2010 au matin, a dépassé le million de visiteurs, accorde dans cette affaire, très peu de crédit, aux déclarations des psychiatres et autres psychologues, mettant en avant, leurs bancales théories freudiennes, pour expliquer le phénomène. Pour nous, il est de loin préférable, d'admettre simplement, que cette jeune fille, sensible à des vibrations très particulières, sert malgré elle, de canal privilégié à des entités évoluant dans un univers parallèle. Point barre.
Après avoir effleuré le niveau de certaines révélations extraordinaires de Lobsang Rampa, voyons maintenant comment il aborde la thèse de la Terre creuse, qui n'est pas pour lui une théorie, mais un fait clair et net.
Précisons d'abord que l'affaire de la Terre creuse n'est pas expliquée dans le fameux "Troisième Oeil" dejà présenté plus haut, mais dans un autre extraordinaire ouvrage (qui a dû bien faire rire sous
cape à l'époque les géographes et
autres géologues agrégés de la Faculté), "Twilight" , publié
d'abord de Grande Bretagne
chez Corgy Books n° 05520997675, en
1975, puis en français en fin de la
même année sous le titre "Crépuscule" chez J'ai Lu n° A 226
, dans la prestigieuse collection, hélas disparue : "L'aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations
disparues", et actuellement, ce livre porte le n° 1851 dans la collection "L'Aventure Secrète".
Cet ouvrage inoui , nous
introduit franchement dans le contexte incroyable des
ouvertures polaires et de la Terre
creuse, contexte très cher à ARTivision.
Ce contexte est prolongé dans les ouvrages ci-après désignés :
Lobsang et son maître, sont entrain d'explorer un long tunnel extraordinaire, sorte d'épine dorsale de la planète, taillée dans le roc à l'époque de l'Atlantide...
" Lobsang, me dit mon guide, il y a sur cette terre
de nombreuses choses que les gens ne comprennent
pas ; il y a également des choses à l'intérieur de la
terre, car, contrairement à la croyance commune, la
terre est en fait creuse, et il existe une autre race de
gens vivant à l'intérieur de cette terre. Ils ont atteint à un plus grand développement que nous, et il arrive que certains d'entre eux sortent de la terre dans des véhicules spéciaux".
S'arrêtant, il désigna l'une des
étranges choses sur les peintures, puis poursuivit :
"Ces véhicules sortent de la terre et volent autour
d'elle afin de voir ce que font les gens, et pour
s'assurer que leur sécurité n'est pas menacée par
ceux qu'ils appellent les concurrents".
Je pensai que l'intérieur de la terre était un lieu
bien étrange où vivre ; il devait y faire affreusement
sombre, et j'y aurais eu très peur, moi à qui il faut le
réconfort d'une lampe dès que vient l'obscurité. Mon
guide sourit et dit, comme s'il avait deviné ma
pensée : " Mais, Lobsang, l'intérieur de la terre n'est
pas obscur ; ils ont un soleil, un peu comme le nôtre,
mais plus petit et beaucoup plus puissant. Ils sont
beaucoup plus intelligents que nous. Mais dans le
futur, vous apprendrez beaucoup de choses sur les
gens de la terre intérieure. Venez, maintenant,
Lobsang. "
Et plus loin on trouve finalement :
"....Ceci est un passage conduisant au monde intérieur. Nous
pensons qu'il a été scellé par les ouvriers du monde
intérieur afin de préserver leur civilisation lors du
déluge qui frappa cette terre. Nous croyons que si
ceci était ouvert, je veux dire si nous pouvions l'ouvrir, les gens nous assailliraient et nous écraseraient pour avoir osé violer leur intimité. Nous, lamas
de rang supérieur, sommes souvent venus en ce lieu
pour essayer, par la télépathie, de communiquer
avec ceux en dessous. Ils ont reçu nos messages, mais
ils se refusent à avoir quoi que ce soit à faire avec
nous ; ils nous disent que nous aimons la guerre, que
nous sommes aussi ignorants que des enfants qui
essaieraient de faire sauter le monde ; ils nous ont
dit, par télépathie, qu'ils avaient l'œil sur nous et
qu'ils interviendraient s'ils jugeaient nécessaire de le
faire. Nous ne pouvons aller plus loin : ceci est la fin,
c'est la ligne de séparation entre deux mondes ".
Nous espérons que l'éditeur nous pardonnera cette incursion dans le texte du livre en question et souhaitons qu'il ne prenne pas ombrage du fait que nous y avons extrait ces phrases si importantes pour la suite de notre article.
Vous avez bien noté, nous l'espérons, qu'à l'époque, les gens de l'intérieur, refusaient de prendre contact avec nous, car notre mentalité n'excède pas celle des enfants ignorants, jouant à une sorte de Monopoly militaire, où règnent agressivité et violence.
Mais les choses ont changé et les Maîtres de la Confédération Galactique, ont décidé d'agir en accord avec les gens de l'intérieur, pour remettre à zéro, les compteurs de cette planète Terre. Donc patience, et ouvrez l'œil...
Il n'est pas besoin en effet d'insister sur le fait que les conflits armés pullulent sur cette planète et certains sont même arrivés à croire qu'en se suicidant et en tuant en même temps, des dizaines de personnes, ils vont pouvoir être adulés et choyés dans l'au-delà. Il ne savent pas que leur prétendu sacrifice de kamikazes, et leur désir absolu de vengeance, dans quelques années très proches, seront considérés comme ayant été, totalement vains et inutiles.
Disons en passant, et nous l'avons déjà spécifié dans d'autres articles du site ARTivision, que ce site devrait être considéré comme un site anti-suicide, car ne dit-on pas souvent, "Aux innocents les mains pleines", alors qu'en fonction des incroyables découvertes de ce site, à ceux qui mettent fin à leurs jours délibérement sans vouloir attendre un peu que la Révélation proche arrive, on devrait dire : "Aux innocents les mains vides".
En voilà deux, qui n'ont pas eu la chance de connaître ARTivision, avant de commettre leur forfait :
Nous avons bien sûr, supprimé la photo de la jeune fille, pour ne pas augmenter encore le chagrin et l'amertume, de ses proches.
Les Âmes des deux protagonistes en question, doivent désormais comprendre, peut-être mieux que nous, la phrase du Grand Maître, souvent mise en relief dans nos articles :
I1 est inutile de laisser les façons d'être du monde t'enfoncer...
Quant à ceux, qui voudraient immiter sans réfléchir longuement, ces protagonistes, il ne nous reste qu'à leur dire : À bon entendeur salut...
De plus certains internautes ont du mal à assimiler le fait que l'on est, que des minus, vis à vis ces peuples évolués, qui ne veulent pas ouvertement intervenir dans nos scabreuses affaires.
En Avril 2005, un internaute nous disait :
"A vrai dire la théorie de la Terre creuse me revient sans arrêt à l'esprit et j'essaie de la fuir, mais je n'y arrive pas vraiment; elle est tellement merveilleuse ! Par contre elle porte tellement de conséquences si elle vraie, qu'elle en est effrayante. Cette révélation va bouleverser le monde, quand les preuves seront là. "
Que penser de tout cela ? A notre avis, seule la peur de l'inconnu et, de ce qui remet en question notre savoir intime, peut distiller cette notion d'angoisse évoquée par cet internaute au sujet de cette théorie de la Terre creuse.
Si les habitants de l'intérieur, beaucoup plus évolués que nous, voulaient nous envahir et nous imposer leur système de vie, ( comme dans le style du livre et du film "La guerre des mondes"), il y a longtemps qu'ils l'auraient fait. Mais tout au contraire, il faut savoir que vu, (nous l'avons déjà dit) notre agressivité à tous les niveaux et notre attitude conquérante, belliqueuse et guerrière, ils ont hésité des siècles avant de nous contacter. Mais, il est désormais, Grand Temps que tout cela change, pour que cette Terre retrouve, la Paix et l'harmonie, et enfin l'âge d'Or, dont parlent si justement nos admirables légendes.
Pour nous, la découverte d'un monde nouveau de sagesse sous nos pieds ou même sur la Lune ne peut que nous réconforter en des lendemains meilleurs. Mais encore faudrait-il que nos gouvernants vendent la mêche, mais ils préfèrent évidemment le statut-quo, où ils savent nous mener efficacement par le bout du nez.
Mais peut-être est-il ici le moment de transcrire ce petit plus du du Grand Maître concernant ce qu'est la Vie, et ce qu'est aussi, notre aptitude à l'appréhender.
T'attends-tu au meilleur.
ou es-tu de ceux qui ont toujours peur que le pire arrive,
que les choses tournent mal ?
Si oui, tu mérites ce qui t'arrive,
car tu attires à toi ce que tu aimes
ou ce que tu détestes et crains.
Lorsque ta conscience est négative,
tu attires à toi la négativité comme un aimant attire 1'acier,
et tu te trouveras en compagnie d'âmes qui te ressemblent,
car qui se ressemble s'assemble.
Lorsque ta conscience sera d'amour,
quand tu seras débordant des joies de la vie
et quand ton cœur sera rempli de gratitude pour tous et tout,
tu te surprendras à attirer vers toi
les âmes heureuses, et joyeuses
qui irradient I'amour et la joie où qu'elles aillent.
Ta vie sera remplie de ce que la vie peut offrir de meilleur.
Pourquoi ne pas voir le meilleur en chaque situation ?
Visualise le meilleur
qui est attiré à toi maintenant.
Méditation pour le 26 Décembre,
après adaptation d'ARTivision.
Donc une fois de plus... A bon entendeur Salut...
Mais en augmentant le niveau, le Maître, a aussi dit , (que cela déplaise ou non, aux mécréants et consorts agnostiques, modernes de tout bord, fiers de l'être) :
le mystère et le merveilleux qui demeurent
dans la Vie éternelle
et dans la réalisation de ton Unité
avec le Très Haut, le Créateur de la vie.
Pas à pas, tu avances et t'élèves,
empli de Paix , Tranquilité et de Sérénité
prenant conscience que puisque tout repose entre Ses mains,
il est inutile de t'inquiéter.
C'est lorsque tu essaies de regarder trop loin devant toi
que la vie devient un réel fardeau,
et que tu apportes peur, incertitude et même manque de foi
et de croyance à beaucoup d'âmes.
Deviens comme un petit enfant, libre et joyeux,
et la vie sera pour toi une continuelle source de délices.
Crois en la vie et vis-la pleinement !
Méditation pour le 1er Juillet,
après adaptation d'ARTivision.
Fred IDYLLE
Article mis en page le 24/11/2013, puis le 25/11/2013, puis le 26/11/2013, puis le 27/11/2013, puis le 28/11/2013, puis le 29/11/2013, puis le 30/11/2013, puis le 01/12/2013, puis le 02/12/2013, puis le 03/12/2013, puis le 04/12/2013, puis le 05/12/2013, puis le 07/12/2013, puis le 08/12/2013, puis le 09/12/2013, puis le 11/12/2013, puis le 12/12/2013, puis le 13/12/2013, puis le 14/12/2013, puis le 15/12/2013, puis le 16/12/2013, puis le 17/12/2013, puis le 19/12/2013, puis le 20/12/2013, puis le 23/12/2013, puis le 24/12/2013, puis le 26/12/2013, puis le 29/12/2013, puis le 30/12/2013, puis le 01/06/2014, puis le 25/06/2014, puis le 16/11/2014.