Des touristes en croisière ayant
trouvé de l'eau libre de glaces au pôle Nord, l'alarmante nouvelle fit le tour
du monde. du New York Times au Figaro, en passant par la une du magazine Time, retentit le roulement de tambour désormais familier : Oyez, braves gens, nous
vilains et représentants technophiles et productumanes, nous sommes en train de
changer de le climat de notre précieuse planète. D'urgence, il faut limiter la
consommation de pétrole, pour limiter les émissions de ces satanés gaz à effets
de serre, d'où nous vient tout le mal. Lester Brown, secrétaire perpétuel du
Worldwatch Institute, produisit son inévitable éditorial, pieusement reproduit
dans les colonnes du Herald Tribune : " La découverte d'eau libre au pôle
Nord apporte une nouvelle preuve non seulement que la couverture de glace de la
Terre fond, mais quelle fond à un rythme accéléré ". Le très austère
Financial Times tança vertement les gouvernements occidentaux pour leur peu
d'empressement à respecter leurs engagements de réduire les émissions de gaz
carbonique.... "
Comme vous le voyez,
la mer libre du pôle pourtant découverte par certains explorateurs depuis le siècle dernier,
(voir le livre de 1857 du Dr Elisha Kent Kane; présenté plus haut) ,
est totalement ignorée par les médias en question, et d'après eux, seul l'effet de serre est responsable
de cette mer libre de glace par la
fonte des glaces du Pôle .
Mais comme
il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, parlons à nouveau de cette revue
"La Recherche", qui en
Octobre 2012, a publié un fascicule
Hors série,
n° 51 , intitulé
Les Dossiers de la Recherche, et où apparaît
un article significatif, sous la plume de
Mme Frédérique Rémi :
Ce n° 51 spécial de cette revue, va nous permettre d'accéder à
un niveau de compréhension très philosophique, concernant la nature humaine.
En effet dans cette revue nous avons eu le bénéfice de découvrir un article de 4 pages, sur le célèbre naturaliste
Buffon (1707-1788), dont nous avons parlé, dans notre article :
Voici donc, une partie du début du remarquable article de Mme
Frédérique Rémy en question :
Et voici aussi, la partie qui nous interpelle grandement :
L'auteur reprend donc les affirmations connues de
Buffon, concernant le
capitaine Anglais Monson qui, en se dirigeant droit vers le Pôle, est arrivé dans
une haute mer sans aucune glace. Il y a aussi, l'histoire
d'un hollandais, qui a prétendu avoir été jusque sous le pôle, et qui affirma qu'il y faisait,
aussi chaud qu'à Amsterdam en été. Mais, elle ne nous parle pas, du nommé
Goulden,
(mentionné en pages 215 et suivantes du super ouvrage de Buffon), qui a recueilli le témoignage
de deux autres Hollandais, et qui lui dirent, qu'ils avaient été jusqu'au 89
e degré de latitude nord, c'est-à-dire, à un degré du pôle, et que
là, ils n'avaient point trouvé de glaces, mais une mer libre et ouverte, fort profonde et semblable à celle de la baye de Biscaye. Ces hollandais lui montrèrent
quatre journaux de deux vaisseaux, qui attestaient la même chose.
Malgré tous ces rapports maritines officiels, cette scientifique continue
à croire que tous ces gens se sont trompés amèrement, et que
la mer libre de glace n'existe pas. (Sans doute, a t-elle lu cette affaire d'effet de serre du n° 335 d'Octobre 2000, affaire vue plus haut, dans la même revue ).
Pourtant cette dame, avait certainement plus de moyens qu'
ARTivision, pour aller vérifier tout ce qui précède et que nous affirme
Buffon, et bien d'autres navigateurs. Elle pouvait alors assurément, mettre ainsi la main,
par exemple, sur
les livres de bord , en question
des hollandais, et aussi sur les déclarations osées du fameux
Monson anglais,
car à l'époque, on ne pouvait pas encore évoquer, la contrainte de l'effet de serre, pour expliquer la présence, de cette mer libre de glace, au Pôle Nord. Point à la ligne...
Cette scientifique, semble ignorer le fait, qu'en
plein système moderne, analysé par toutes sortes
de médias prétendus éveillés, on nous a
parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme
par exemple,
l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire trafiquée du débarquement des américains sur la Lune en Juillet 1969, l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York le 11 Sept. 2001...etc... et il y a en plus, bien d'autres affaires, encore cachées...
Voir quelques unes de ces affaires, dans nos articles :
Alors, il faut savoir que
le niveau du secret concernant
cette affaire de mer libre de glace, reliée à celle
de la Terre creuse, est au-dessus de tout ce qui précède et donc
tout est fait, pour nous cacher la
Vérité, sur cette affaire hors normes, et cette scientifique
une fois plus... voir notre article clef :
, montre
son obstination, à se laisser leurrer par
ses pairs et consorts. C'est son droit le plus absolu. Mais le site
ARTivision,
lui, poursuivra sans relache, sa quête
d'une vérité inouïe, qui concerne
l'humanité entière, et que l'on nous cache en
Très Haut lieu, pour de vulgaires questions de
prestige national, et de
dérisoires sujets économiques et militaires. Voilà, ci-dessous,
la preuve que nous ne nous tournons pas les pouces, de satisfaction dans
l'état de notre situation actuelle et où nous avons essayé d'obtenir des renseignements sur ces hollandais en mission autour du Pôle Nord .

A bon entendeur salut...
Alors amis d'
ARTivision, il ne vous reste qu'à poursuivre les investgations, et à participer, par la même occasion,
au Temps des Révélations,
déjà, on le voit, bien amorcé.
Mais, il nous plait aussi, ce
25 Juillet, de demander au
Grand Maître, ce qu'il en pense :
Voici le temps de construire, de créer de l'unité
et de 1'harmonie,
de la paix et de l'amour, de
la globalité et de I'Unification.
Maintiens tout le temps dans ta conscience ces pensées positives,
constructives, créatives et ne les laisse jamais s'en aller.
Vois-les vivre et vibrer, et avoir leur essence en toi,
et contemple la vision du nouveau Ciel .
et de la nouvelle Terre , qui prennent forme et substance.
Laisse-la se déployer au-dedans de toi.
Si tu t'harmonises avec I'idée du Nouvel Âge ,
et avec sa véritable signification,
il commencera à se déployer graduellement en toi;
tu découvriras que tu en fais partie et qu'il fait partie de toi.
C'est une chose magnifique, comme un géant endormi attendant de se réveiller:
lorsqu'il commencera à s'animer, rien ne pourra arrêter son expression.
Il n'y a rien contre quoi se battre; il n'y a pas de raison de lutter encore.
Apprends simplement à servir la Source,
et laisse Son plan parfait se déployer !
La petite voix : Eileen Caddy. Le
Souffle d'or (1994).
Méditation pour
le 25 Juillet, après adaptation d'ARTivision.
Mais ce
26/07/2015, disons d'abord
pour les puristes qui aiment retrouver, le document d'origine d'un sujet, qu'il faut savoir que l'Éditeur
Hachette , avait d'abord
(9 ans avant notre ouvrage de 1877, qui n'est en fait qu'un petit condensé), en
1868, publié du Dr
I.I. HAYES,
"La mer libre du Pôle." Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par
Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de
70 gravures sur bois et
de 3 cartes. Reliure demi-basane violette, dos lisse.
Le
04/07/09, l'ami internaute
Etienne F , nous apprenenait que désormais on peut découvrir cet ouvrage en PDF sur le super site :
Et directement en PDF à :
Pour tourner les pages, cliquer sur les petites flèches de droite ou de gauche
Mais on peut avoir aussi le texte brut en entier à :
Mais, il est peut-être aussi judicieux de présenter ici, pour
les puristes, cette missive ancienne de l'internaute
M H du 6/02/2003 :
----- Original Message -----
From:Hertzog....
To: Fred Idylle
Sent: Thursday, fev.06, 2003 1:28 PM
Subject: Jean-Louis Etienne et la mer libre du pôle
Bonsoir,
Voici le témoignage de Jean-Louis Etienne
que j'ai trouvé au chapitre La voie royale : la banquise et
Les pôles, Jean-Louis Etienne,
Arthaud, 1992
extrait pp. 35-36 (C'est le début du chapitre)
"Jusqu'à ce que Robert Peary atteigne le pôle nord, le 6 avril 1909,
les explorateurs avaient toujours cru à la thèse selon laquelle
la Terre est coiffée par « la mer libre du pôle Nord ». C'était un géographe de
salon, l'Allemand Petermann, qui avait fait courir cette légende. Quel décalage
entre l'idée qu'on se faisait alors de l'océan Arctique et l'implacable réalité de cette banquise démontée,
de ce chaos qui ne vous épargne à aucun moment. En 1986, en allant au pôle Nord,
je savais bien que j'allais trouver de la glace jusqu'au bout, mais jamais je n'avais imaginé
qu'elle fût aussi impraticable. Il est difficile de bien comprendre cela tant qu'on ne l'a pas
expérimenté soi-même. Jusqu'à la fin, jusqu'au pôle, j'ai rêvé qu'elle finirait bien à un moment
donné de s'aplanir, cette terrible surface, mais en vain.
La banquise tient fermement sous sa coiffe l'ensemble de l'océan Glacial Arctique.
Au milieu du XIXe siècle tous les explorateurs nourrissaient l'idée que pour atteindre la " mer libre du pôle", il suffit de se frayer un chemin à travers la banquise,
et qu'à une certaine latitude, la mer enfin finira par s'ouvrir et libérer la route
vers le point tant convoité : 90° nord. On sait déjà à cette époque qu'il existe plusieurs
« entrées » possibles : le détroit de Davis, la région du Spizberg et le détroit de Béring.
Mais personne ne peut dire où ces passages aboutissent.
Bon nombre d'hommes ont perdu la vie dans cette lutte sans issue pour gagner le nord.
Certains d'entre eux étaient animés par une réelle envie de découvrir et d'autres par un simple désir de gloire,
certains ont agi pour la renommée de leur patrie et d'autres par pur esprit d'aventure. [..]
Ci-joint une ancienne carte polaire scannée à la page 42 du même ouvrage.

Notez bien qu'aucune référence n'est lisible sur cette carte, et la moindre des convenances, aurait été de nous en inscrire la provenance......
Fin de citation.
Vous avez aussi noté que l'auteur affirme que c'est un certain
Allemand Petermann, qui a fait courir
la légende de la mer libre au pôle, tandis que
P-E Victor lui, affirme que c'est un hollandais
Plancius, du XVII e siècle qui en est l'inventeur. Faudrait accorder vos violons, messieurs les explorateurs modernes, vous qui avez pourtant à votre disposition
d'immenses bibliothèques. Cette carte, est tout à fait identique selon nous, mise à part la coloration, à celle que nous avons mise en évidence dans le
CD TOP Secret n°4 (voir pour cela :http://topsecret.magazine.free.fr/), et où nous apprenons là au moins, qu'il s'agit d'une carte de la région arctique faite par
Gérard Mercator en 1630.
On aperçoit donc sur ces cartes qu'à l'époque, on croyait qu'il y avait
4 passages à travers la banquise permettant de rejoindre
la Mer libre placée ici au centre de la carte.
Mais voyons rapidement, tiré de
notre ouvrage de 1877, ce que nous dit
Hayes de sa découverte
de la Mer libre de glace du Pôle
Pages 188 à 189 :
"
Tout le démontrait: j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal
kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "
Page 190 où après avoir hissé des drapeaux,
Hayes déchira une feuille de son carnet de notes pour y inscrire les lignes suivantes:
" Ce point, le plus septentrional qu'on ait encore pu atteindre, a été visité les 18 et 19 Mai 1861 par le soussigné, accompagné de George F . Knorr, après un voyage en
traîneau tiré par des chiens. De notre hivernage près du cap Alexandre , à l'entré du détroit de Smith, nous sommes arrivés ici
par une marche de quarante six jours. Je crois, d'après mes observations, que nous sommes à 81 degrés 35 minutes de latitude septentrionale et à 70 degrés 30 à minutes de longitude occidentale. La glace pourrie et les crevasses nous
empêchent d'aller plus loin Le canal kennedy parait s'ouvrir dans le bassin polaire. aussi persuadé qu'il est navigable en Juillet, Août et Septembre au moins, je retourne à ma station d'hiver pour essayer de pousser mon navire au travers des glaces après la débâcle de cet été ".signé J.J. HAYES
19 Mai 1861
" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une
fascination puissante, et c'est avec des sensation inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au-delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous,
l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines
où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions..."
Fin de citation
Mais faisons, voulez-vous ici,
une autre digression : Au sujet de ceux qui trouvent comme
P-E Victor et consorts , que
les épanchements lyriques de Hayes, ne devaient pas être de mise devant le
spectacle fabuleux que lui offrait
cette mer libre du pôle au sommet du monde, nous leurs dédions, à contrario, ces quelques lignes extraites d'un vieux
Paris Match n°1242 du 24
Février 1973:
Là, comme on le voit,
nous passons d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine s'exprime avantageusement,
selon nous, pour
Hayes, voici que pour
Armstrong, dans une situation encore plus extraordinaire, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre,
(et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet,
le souffle coupé devant un tel paysage
d'outre-Terre), ce dernier,
en véritable robot, refuse même de dire devant ces interlocuteurs seulement
que la Lune est belle. Voilà, Messieurs les journalistes intrépides,
un sujet d'article passionnant que représente ce parallèle à faire entre deux explorateurs si opposés dans la conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants
en Psychiatrie, Psychologie ou autre Philosophie,
une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance, sur une étude comparative de ces deux modes d'expression, des explorateurs précités...
Fin de la digression.
Mais venons-en aux déclarations du sieur
Jean Louis Etienne . Il a aussi en
décembre 2002
(nous n'avons pas en tête le jour
exact), déclaré sur la chaîne satellite
I Télévision que, au dessus de son abri déposé au soi-disant pôle
Nord, il avait vu passer
à son grand étonnement
au dessus de sa tête,
trois sortes d'oiseaux qui
circulaient dans le coin.
Notre question est la suivante :
"Que faisaient ces oiseaux, si loin dans le nord où l'on ne trouve que des étendues glacées et neigeuses, et où en principe, il n'y a
rien à manger, et de plus on aimerait savoir, où ils se dirigeaient ? "
Voilà les questions qu'un téléspectateur avisé, aurait dû poser à l'explorateur, plutôt que de lui parler de banalités.
Le problème qui s'attache aux
expéditions de
J.L. Etienne, et à tous ceux qui
prétendent être allés au pôle, est qu'ils font le calcul en considérant la Terre
comme
une vraie sphère un peu aplatie aux
Pôles et donc, il suffit de mesurer par des procédés
géographiques, la distance parcourue, pour dire après, que l'on a
atteint
le point clef, que l'on croit être le sommet de la Terre.
Reprenons les indications se trouvant sur
la carte Nathan de 1977, déjà vue plus haut ;
Imaginons donc que l'on veuille faire la distance la plus courte présentée ici, pour relier le Pôle Nord. En partant de la côte soviétique et en faisant à vol d'oiseau
1600 km, bien mesurés avec nos appareils et nos calculs de position, on croira être arrivé au Pôle, soit très facilement par avion comme Byrd le pensait, soit beaucoup plus difficilement avec des
traîneaux de chiens, comme ont cru l'avoir fait tant d'explorateurs polaires, dont beaucoup ont laissé leur vie à cause du froid intense qui règne sur la banquise, soit même en passant
sous la banquise comme prétend l'avoir fait le sous-marin américain
le Nautilus le
3 Août 1958.
Puis, il suffit de planter un drapeau au bout de ces 1600 km et de sauter de joie en disant que l'on était enfin arrivé
à ce point mythique. Ensuite, il ne reste qu'à faire demi-tour, ou même à longer le bord supérieur de la concavité, pour ressortir de l'autre côté
( pour ceux qui
prétendent avoir traversé de part en part toute la banquise) sans s'apercevoir pour cela qu'il
y a une inclinaison notoire du sol dans ces régions immenses qui font plusieurs fois la superficie de la France.
Evidemment, on ne peut avoir tenu compte dans les calculs d'approche de ce point mythique de la concavité polaire, dont on ignore jusqu'à l'existence.
Voici par exemple, une carte de l'Arctique, tirée de l' Histoire Universelle des Explorations où l'on constate bien qu'aucune des expéditions au Pôle Nord ne l'a traversé diamétralement, et deux seulement, la bleue faite par Amunsen et Nobile en 1926 et celle en orange faite par les soviétiques Tchkalov et Gromov en 1937, ont poursuivi leur route en l'incurvant fortement vers la droite.
Reprenons maintenant notre pomme artistique présentée sur notre page :
et voyons comment se passe les choses effectivement, si l'on admet la théorie de la Terre creuse :
Nos grossières trajectoires tracées empiriquement, pour les expéditions Peary en 1909 d'une part, et d'Amundsun-Nobile d'autre part, montrent que ces trajectoires peuvent parfaitement se rencontrer au même point supposé être le Pôle Nord (ce qui reste à démonter historiquement). Et Amundsun et Nobile d'une part, et Tchkalov et Gromov d'autre part, peuvent aussi parfaitement croire qu'ils ont traversé le bassin polaire, de part en part, sans pour autant, l'avoir du tout traversé diamétralement ce qui est impossible d'après cette théorie de la Terre creuse.
Mais super Hasard a encore fait des siennes car dans un article intitulé " La conquête du Pôle Nord" de Mr Philippe Nessann, du n° 115 d'Avril 1999 de la revue Science&Vie Junior, nous a offert le grand bénéfice de découvrir comment en général, on peut s'orienter au Pôle en considérant évidemment que la Terre est à peu près une sphère soumise aux rayons obliques du soleil. Nous reproduisons donc ci-dessous l'admirable schéma très didactique de Mr Jean-Jacques Hatton, qui donne toute la démarche que devrait effectuer un explorateur pour calculer sa position en arrivant au Pôle Nord.
Mais il va de soi, que s'il existe une courbure de la Terre vers son intérieur au Pôle, les angles Alpha, Bêta, et Gamma ne correspondront plus à ceux que nous présente, ce schéma et donc que la position déterminée par l'explorateur en sera automatiquement faussée sur le terrain. Il en résulte que c'est en toute bonne foi, que ces explorateurs ont cru être arrivés au Pôle, alors qu'ils n'étaient, en fait, que sur le bord de concavité polaire que nous évoque notre bien pratique schéma précédent de la pomme.
Nous avons été aussi cependant, bien agréablement étonné, de trouver dans ce même numéro 115 de SVJ, un médaillon en forme de tableau, où un artiste a représenté la mythique mer libre du Pôle :
Voici d'ailleurs, les quelques lignes de l'article qui en parlent, où l'on apprend d'abord, qu'un certain James Clark, neveu du navigateur John Ross a localisé le 30 juin 1931, un endroit de l'Arctique où l'aiguille de la boussole se dresse verticalement par rapport au sol :
"...Il vient d'atteindre le Pôle Nord Magnétique et non géographique. Le premier, indiqué par une boussole, se situe au Canada. Il se déplace d'une dizaine de mètres par an en fonction du magnétisme terrestre. Le second est fixe : point du globe le plus au nord, il a pour latitude 90°. Entre les deux : 2000 km de distance et une sacrée différence de réputation. Car le pôle, le vrai, le sommet du monde, c'est le pôle géographique.
Mais au fait, qu'y trouve-t-on exactement ? En cette seconde moitié de XIXe siècle, on n'en sait fichtrement rien. Est-ce un continent, comme au pôle Sud, ou une mer libre, comme le prétendent certaines légendes, ou encore un océan recouvert d'une gigantesque banquise ? Peu à peu, l'attention des explorateurs se détourne des passages du Nord-Est et du Nord-Ouest franchis en 1878 par le Suédois Nordenskjöld et en 1905 par le Norvégien Amundsen - pour se fixer sur le pôle."
Eh bien, apparemment, selon nous, le " on n'en sait fichtrement rien" s'applique encore de nos jours, et il semblerait justement qu' ARTivision, dans pas mal de ses articles, s'évertue à le démonter... n'est-ce pas ?
Mais ce 27 Juillet 2015, poursuivons notre étude concernant cette égnimatique mer libre du Pôle, et voici, comment, Super Hasard, nous a apporté sur un plateau d'argent béni, l'ouvrage remarquable de 1873 de Jules Gay, alors professeur à Montpellier.
En effet, c'est dans le courant de 2010,
(des problèmes informatiques nous ont fait perdre la missive en question), qu'un très aimable internaute, nous apprenait l'existence
d'un opuscule de 16 pages au titre très significatif, d'un certain
Jules Gay ( qui fut à l'époque, professeur de Physique à Montpellier), et ouvrage intitulé :
"La Mer libre du Pôle Nord" :
Nous avons immédiatement lancé une recherche à ce sujet au
Service d'information des bibliothécaires à distance (SINDBAD) :
Et voici la réponse, que nous avons obtenue :
----- Original Message -----
From: reserve-livres-rares@bnf.fr
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, October 06, 2010 10:20 AM
Subject: Question de la bibliothèque - Réponse [Question #5958001]
Madame, Monsieur,
Vous trouverez ci-dessous la réponse à la question que vous avez envoyée au service de réponses à distance de la BnF (SINDBAD).
L'ouvrage est accessible en version PDF à partir de la notice du catalogue général:
Cordialement
Catherine A....... pour le Service d'information des bibliothécaires à distance (SINDBAD)
Département de la Réserve des livres rares
Bibliothèque nationale de France
Hélas, il nous
fut impossible impossible, d'ouvrir le document... et nous avons écrit à nouveau sans succès à cette Mme
Catherine A......., et nous avions donc déjà remercié mille fois l' internaute
béni, qui pourrait nous faire avoir le texte de ce fascicule.
Nous allions alors, nous désespérer, quand le
31 Mai 2012, nous avons eu le grand bonheur, de recevoir de l'ami internaute
Phil du Temps de Paris, la missive suivante et les 16 pages photocopiées, de l'ouvrage de
1873 en question :
From: Phil Du T.....
Sent: Thursday, May 31, 2012 7:09 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: De la part de Phil de PARIS !...
Bonjour de Métropole cher Fred !
Vous avez écrit :
"Merci d'avance à l'internaute béni, qui pourrait découvrir cet ouvrage quelque part."
Et bien voilà, l'heure de la bénédiction a sonné ! Le texte va s'étaler sur plusieurs mails pour éviter les lourdeurs risquant d'entraver la correspondance entre nos deux adresses...
Bonne lecture !
A bientôt Fred !
Avec tous mes encouragements et mes vifs remerciements pour votre travail !
Fin de citation
C'est ainsi que les 16 pages de l'ouvrage sont arrivées chez nous sous forme d'images, dont nous allons ici vous digitaliser sans crainte certains passages, car cet ouvrage a
bien plus de 70 ans, et est donc tombé dans
le domaine public.
Présentons d'abord le début,
tel quel, en page 5 :
On voit alors déjà, que pour nous guider dans notre perception du sujet évoqué,
le professeur Jules GAY nous présente d'emblée, à juste titre,
( très utiles pour les puristes) quelques ouvrages disponibles à son époque, et que nous rassemblons dans la liste suivante, en invitant alors les internautes qui pourraient retrouver
ces ouvrages anciens, de bien vouloir, nous en toucher si possibe, deux petits mots :
- Histoire des deux voyages entrepris par ordre du gouvernement anglais, l'un par terre, dirigé par le Capitaine Frankling, l'autre par mer, sous les ordres du capitaine Parry, traduit de l'anglais. 1 Vol in 8, Paris Gide 1824
- Voyage à la recherche du passage N. O. pendant le années 1829 à 1833. par Sir J. ROSS, traduit de l'anglais par Defauconpret. 2 vol in 8 Paris 1835.
- Voyage dans les régions arctiques à la recherche du capitaine Ross en 1834 et 1835 Capitaine Back, traduit par Caseaux; 2 vol . In 8. Paris, Artus Bertrand 1836.
- Journal d'un Voyage aux Mers Polaires de J.-R. Bellot 1 vol In -12 Pérotin libraire Editeur 1866 .
- La Mer polaire - De Lanoye - 1 vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Voyage dans les glaces du pôle arctique - Hervé et De Lanoye - vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Voyage of the Fox, in the Arctic seas - Mac Clintock - In 8 Londres 1959.
- Discovery of a N.-W. Passage by H.M.S investigator 1850-54 - Mac Clure - In 8, Edimbourg 1865..
- Stray leaves from and Arctis journal 18 Months in the Polar regions, - Osborne - in 8 Edinbourg 1865
- The polar Regions Richardson - in 8 Edimbourg 1861
- Artics Explorations - Kane - in 8 Philadelphie 1857.
- Du Spitzberg au Sahara - Ch. Martin - in 8 Paris 1866.
- Esquisse physyque des îles Spitzbergen et du pôle Arctique - Ch. Grad - in 8 Paris 1866
- Les voyageurs au pôle Nord - Desprez - in 8 Paris 1869
- La Mer libre du Pôle . - Dr Hayes - trad. par Ferd de Lanoye, In 8 Paris Hachette 1868
- Lettres écrites des régions polaires. - Lord Dufferin - trad. par Ferd de Lanoye in 8, Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Année géographique - Vivien de Saint Martin - Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Le Tour du Monde journal des Voyages. Paris Hachette ( Auteur et date non mentionnés).
- Le Bulletin de la Société géographique (n°s non mentionnés).
- Geograph Mittheilungen - Aug. Petermann -(date non mentionnée).
etc etc ...
Mais poursuivons donc maintenant, la digitalisation de quelques passages de cet opuscule :
" Les bords de ce bassin polaire , de cette espèce de cuvette qui l'occupe l'extrémité Nord de notre globe sont maintenant connus. Les côtes de l'Asie ont été déterminées avec précision, depuis longtemps déjà, par les officiers russes. Quant aux côtes septentrionales de l'Amérique, elles ont été plus récemment décrites. Jusqu'en 1818, on n'en connaissait que les deux extrémités et un ou deux
points intermédiaires. A partir de cette époque, les admirables voyages de Franklin et de ses émules, les Parry, les Ross, etc. ; puis à
partir de 1845, les expéditionq envoyées â la recherche de l'illustre
Franklin ont achevé le relevé de ces côtes sur l'immense étendue de
75 degrés en longitude. En méme temps, ont été parcourues et déterminées la plupart des îles qui forment l'archipel du nord de l'Amérique;
les côtes occidentales du Groënland ont élé relevées, justlu'au 83° degré de latitude, par les Américains Kane et Hayes. Mais qu'y a-t-il au
delà de ce 80" parallèle, qui, trois fois seulement, a été notablement
dépassé par Parry, en 1827, par Kane en 1854, par Hayes en 1861 ?
A cette question il est permis de répondre avec une probabilité
équivalente presque à une certitude : Il y a une mer, libre au moins
pendant l'été. Cette mer contient peut-étre quelques iles ; elle est
entourée par une ceinture de glaces à peu près immobiles pendant
l'hiver, qui se brisent en été, et dérivant rapidement vers le sud
vont fondre dans les eaux chaudes de l'atlantique et du Pacifique."
Fin de citation :
Au bas de la page 15, et au début de la page suivante, nous découvrons alors
cette déclaration époustouflante de
Jules Gay :
" ... Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habilants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices
d'un climat plus doux vers le nord. "Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note du Webmaster: il s'agit bien sûr du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude située au nord, sont arrivés sur leurs côtes."
Etant donnée, l'importance d'une telle déclararation
le Webmaster du site
ARTivision,
serait bien aux anges, s'il pouvait en découvrir
l'origine russe, et l'ouvrage
qui l'a publiée en premier.
Mais pour
les puristes, voici aussi ce que l'on peut lire en pages 14 et 15 :
" Au nord de la Sibérie, des résultals semblables ont été obtenus, et les explorateurs ont toujours trouvé la mer libre au-delà d'une ceinture de glace. adhérentes aux côtes " Au nord des îles de la Nouvelle Sibérie, par 76 degrés de latitude, dit Hedenstöm, on trouve un océan qui ne gèle jamais; même en Mars, je n'y ai vu que
u peu de glaces flottantes. " Le gouvernement russe chargea en 1819 le lieutenant, depuis amiral Wrangel (décédé en 1870), d'explorer les rives septentrionales de la Sibérie et de s'élever le plus possible au nord en taîneaux. Pendant trois années, Wrangel fit des efforts prodigieux pour s'élever ainsi vers le nord; chaque fois, il fut arrété par l'eau libre et obligé de regagner la côte en toute hâte, non sans courir de graves dangers, par suite de la faible épaisseur des glaces et de l'agitation de la mer, qui menaçait à chaque instant de rompre la
crôute solide. En dernier lieu, en 1823, à 17 milles allemands de
la terre, par 70° 51' latitude, M. de Wrangel étant monté sur le plus élevé des blocs de glace, "la mer ouverte s'étendait devant nous, à perte de vue", et nous dûmes abandonner le but que pendant trois ans, à travers des privations, des misères et des dangers de
toutes sortes, nous nous étions efforcés d'atteindre. Le courant
était dirigé avec une vitesse de 4,3 milles à l'heure...Depuis, les baleiniers américains, particulièrement les capitaines Long et Rodger, se sont avancés fort loin dans cette mer libre, cette Polynia des Russes, vue par Hedensöm et Wrangel".
Tout ce qui précède, justifie n'est-ce pas,
à lui seul, les nombreux articles, où
ARTivision, affirme
l'existence effective de cette mer libre du Pôle Nord, que
l'on nous cache d'en Haut .
Et voici, donc la
conclusion, que nous avons tirée, de cet ouvrage dans notre article placé à :
" Il nous appartient donc désormais de tirer la conclusion finale de cet article. Comme nous l'avons déjà exprimé,
un gros bon point, est à octoyer à
Jules GAY, d'une part pour avoir évoqué dès
1873, des
faits hors normes, souvent occultés à l'époque et découverts dans
la zone polaire arctique, comme par exemple le fait que l'on y ait trouvé
beaucoup d'arbres flottés d'espèces inconnues, et le site
ARTivision, s'est évertué avec beaucoup d'efforts, à poursuivre des recherches
très prosaïques, sur cette affaire qu'aurait pu et dû poursuivre
Jules GAY, et
là, il a vraiment loupé le coche, et il n'aura pas, les lauriers historiques qui vont en sortir dès que la
Vérité éclatera. Mais,
Jules GAY a aussi eu le mérite de transcrire la déclaration de
Mr de Wrangel ( que nous n'aurions sans doute jamais connue) , et qui donne la parole
aux esquimaux Tchoukises, qui affirment dans leur tradition que
des bateaux et des hommes sont venus chez eux, d'une île plus chaude, située au nord. Autrement dit, déjà en
1873, certains chercheurs comme
Jules GAY, admettait qu'il pourrait y avoir au sein de
cette Mer libre du Pôle Nord, des
îles habitées inconnues. La démarche du site
ARTivision est justement, de démontrer,
documents à l'appui, qu'il s'agit bien plus
que des îles disparates inconnues, mais plutôt,
d'un immense continent situé à l'intérieur de la Terre qui est creuse, quoiqu'en pensent les
détracteurs zélés, mais,
continent, révélé fantastiquement par l'amiral Byrd, et parfaitement connu de nos gouvernements, qui le cachent au Monde entier, pour de
vulgaires questions de politiques sécuritaires économiques et surtout militaires.
Mais,
le Temps des Révélations est bien arrivé, et les
Sbires des Forces de l'Ombre et leurs instigateurs, vont bientôt
mordre la poussière,
(poussière dont nous parlerons justement plus bas), afin que cette planète devienne enfin un havre de
Paix et d'
Harmonie " .
Aux dernières nouvelles
un très aimable internaute GR, nous indique que l'on peut désormais trouver le livre
de Jules Gay en PDF à :
Mais ce
29/07/2015, il nous appartient de préciser cette affaire juste évoquée ci-dessus,
d'arbres flottés d'espèces inconnues en vadrouille autour du pôle Nord. D'où le
12e focus :
Focus n°12 : Où ARTivision, produit des textes incontournables, montrant la découverte dans la zone polaire nord, d'une part, de troncs d'arbres d'espèces inconnues flottant dans la mer et portant des bourgeons verts., d'autre part, de la neige colorée en bleu, vert, et rose, et aussi d'une grande quantité époustouflante de poussière noire.
En effet, en page 118 de l'ouvrage de
R. Bernard de 1971 chez Albin Michel (très difficile à trouver, et très cher sur Web) :
il est fait mention de cette affaire
de troncs d'arbres qui flottent, à la dérive sur la
mer libre du Nord. lisez donc ceci :
" Bois flottant, branches d'arbres portant des bourgeons verts, graines tropicales, oui on a trouvé tout cela dans les mers arctiques"
Des
bourgeons sur des branches d'arbres où la temprérature oscille autour de
-40° ?
Voyons cela,
d'une manière plus détaillée, dans un autre document, qui se trouve dans le livre de
Gardner dont voici d'abord une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage:
Et à la page 253 cet cet pouvrage époustouflant on trouve :
Et notre modeste traduction est alors :
Bois flottant et graines de plantes.
"Maintenant, nous allons suivre plus en détail les preuves de ces différentes formes de vie dans l'Arctique. Nous avons
déjà parlé de bois flottant se trouvant à des emplacements tels que cela ne
peut provenir que de l'intérieur de la Terre. Ce phénomène est si fréquent que les explorateurs dont nous avons évoqués les exploits, ont presque tous eu, à nous dire des choses à ce sujet. Mais parfois, même, on a vu cette étrange chose dans les mers arctiques, que certains arbres portaient des bourgeons verts . Certaines graines d'espèces inconnues, comme par exemple des espèces tropicales ont été trouvées, à la dérive, en descendant des courants du Nord. Un très intéressant cas de cette nature, fut de trouver la semence de la fève d'Entada, une fève tropicale mesurant 9/4 d'inch (5cm environ). Cette découverte remarquable a été faite par une expédition suédoise sous Otto Torell près Trurenberg Bay, et il est évident que cette semence doit provenir de l' intérieur de la Terre, car elle est tirée d'un arbre qui ne pousse que dans des conditions tropicales, et elle aurait été désintégrée, si elle avait été trimballée pendant de nombreux mois, depuis de lointaines régions du monde entier, comme ce serait le cas si elle était venue à partir des régions tropicales connues, de cette planète."
Voyons maintant
cette affaire de neige colorée que l'on a déjà présentée, dans
le focus n° 12 plus haut :
Le premier auteur qui, dès
1906, a tenté d'expliquer ce phénomène est
William Reed dans son ouvrage tel que :
Mais lisez alors ceci de
William Reed :
...Il y a un autre phénomène qui a surpris plus d'un explorateur, subitement, à certains endroits, la neige était colorée, rouge, noire, verte ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à du pollen de fleurs. Du pollen au Pôle Nord ? Personne ne s'étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait.
Venons en maintenant à
cette poussière noire, qui pullule dit-on, dans la zone polaire nord:
C'est dans les pages 100 et 101, du livre de
R. Bernard que l'on parle de cette
affaire de poussière noire et
de cendre volcanique de l'Arctique, et dont évite de nous parler
Jules Gay, qui ne pouvait ignorer ce phénomène, vu les nombreux ouvrages qu'il a consultés :
"La poussière, cette plaie de l'océan Arctique, est produite par des éruptions volcaniques. Légère, facilement portée par le vent, elle s'abat sur les bateaux et gêne considérablement la navigation. Quand elle tombe sur la neige, elle la rend noire. L'analyse montre qu'elle est constituée de carbone et de fer, et on suppose qu'elle provient d'un volcan en activité.
Quel est ce volcan ? On ne trouve fait mention nulle part qu'il y ait un volcan quelconque dans les environs du pôle Nord, et s'il y en a un ailleurs, plus loin, pourquoi la poussière tombe-t-elle seulement dans l'océan Arctique ?"
Pour y voir plus clair, demandons à
Reed, auteur en
1906 de l'ouvrage
"Phantom of the poles":
En page 126, on trouve alors :
Et grosso modo, notre traduction peut donner :
"Imaginez la poussière comme quelque chose d'ennuyant au milieu de l'océan Arctique! Nansen
dit: " nous avons passé ici des années les annèes, et qu'est-ce que cela nous a apporté ? Rien que de la poussière, la poussière, la poussière, que le premier vent disperse. "
Quelqu'un qui ne croit pas que
la Terre est creuse, pourra-t-il me dire d'où provient cette la poussière ? elle n'est pas un élément ou une marchandise qui s'accumule très vite sur la glace, ou en eau libre, et alors Nansen a dit : " Rentrons chez nous. Pourquoi resterons-nous ici davantage ? Rien que de la poussière, la poussière, la poussière. ".
Si vous maintenez, le fait que la Terre est un solide plein, il n'y a pas de réponse à cette question embarrassante. Mais si l'on conçoit cependant qu'elle est creuse, et que la poussière vient de l'éruption d'un volcan situé à l'intérieur, le puzzle est facile à expliquer, sans mettre en cause une comète
circulant à des millions de Km, et qui va disperser la poussière sur toutes les régions arctique et antarctique. Si la Terre se trouve être pleine, alors les gens peuvent se féliciter que cette poussière soit confinée principalement autour des pôles,... "
Vous avez bien lu que
Nansen se plaint amèrement de
l'envahisement du flot de la cendre, qui l'invite à fuir et à regagner son logis.
Mais voyons aussi alors ce que nous en dit l' ouvrage intitulé
"Vers le Pôle" de
Fridtjof Nansen présenté par
Jean-Louis Etienne et publié par les
Editions Hoëbeke en
1996, d'après l'ouvrage de
1897,
ISBN 2-84230-012-2. C'est ouvrage n'est, en fin de compte, qu'un condensé des
deux tomes de l'Édition d'origine.
En page 101, on découvre ceci concernant
Nansen, après qu'il soit arrivé autour du
81° 18'de Lat Nord :
Vous constatez que cette image, nous permet de faire
d'une pierre deux coups, car en plus de la déclaration de
Nansen, on a la position officielle
(sans doute celle de Jean-Louis Etienne) sur la provenance de cette poussière...et on évite
là, de parler
de la véritable abondance de cette chute de cendre envahissante, comme nous le dit plus haut
Nansen. Et là, dans cet ouvrage on a eviter soigneusement de nous entretenir
d'une part, de troncs d'arbres d'espèces inconnues flottant dans la mer et portant des bourgeons verts., d'autre part, de la neige colorée en bleu, vert, et rose, et aussi de cettegrande quantité époustouflante de poussière noire.
A vous de juger
Mais ce
05/08/2015, il nous appartient d'évoquer ici
une affaire si étrange concernant le Pôle Nord, qu'elle semble sortir d'un rêve veritable . D'où le
13e focus :
Focus n°13 : Où ARTivision, reçoit une missive inouie d'un aimable internaute de passage à Paris, faisant état d'une révélation tout à fait hors norme, d'un certain écrivain tchèque : Karel Capek, grand voyageur dans les régions nordiques.
Le
28/05/2011, nous avons reçu de l'ami
David L...., une missive, nous précisant que, de passage à Paris, il était tombé à la
Librairie Gibert Jeune (Nous nous souvenons parfaitement de la Librairie Gibert sur le Bd St Michel à Paris pour y avoir trouvé en 1977, l'ouvrage incontournable "la Terre creuse" de R. Bernard que nous avons offert au parrain de notre fils Ludovic né justement en 1977. ), sur un ouvrage illustré, intitulé
"Voyage vers le Nord", d'un certain écrivain tchèque
Karel Capek, où il est mentionné l'existence
d'une île tropicale en plein Pôle Nord. Ce livre est alors accessible à :
Bravo donc à
David pour
l'opportunité, qu'il a eue de mettre la main sur cet ouvrage et surtout merci à
Super Hasard qui,
là encore, a frappé très fort.
Pour en savoir plus, nous avons immédiatement commandé cet ouvrage sur
Internet, que nous avons reçu le
6/06/2011, et nous allons ici, vous en dire plus :
La version d'origine fut publiée en
1939 à New York,
(un an après le décès de Karel Capek), sous le titre
"Cesta da Sever".
Mais, pour
les puristes, spécialistes des polices de caractères ou d'autres choses, voici comment se présente
toute nue, la page 17 de l'ouvrage :
Mais, sans doute sous l'influence des
Forces de la Révélation, les
Éditions du Sonneur, ont jugé bon, de placer justement sur les deux couvertures de ce livre,
le passage de la page 17, qui nous intéresse grandement, et passage, qui nous avait aussi été envoyé par
David. Chose étrange, le texte en question commence sur la dernière couverture
(là rien d'anormal), mais ce texte se poursuit à l'envers, sur la premiére couverture, ce qui en principe, à notre connaissance,
ne se fait jamais. C'est pour cela, que nous avons inversé la présentation de ces couvertures. Si l'Editeur voulait mettre en relief
ce texte bizarre, il a choisi ainsi
une méthode très inédite. Ou mieux , ce sont selons nous
les Maîtres qui agissent en douce. Revoici donc le texte en question, mais avec les couleurs codées choisies par
ARTivision :
"Ce voyage dans le nord a commencé voilà bien longtemps, dans les premiers jours de ma jeunesse ; où sont-ils, ces temps où nous quittions Göteborg à bord du Vega (Note 1 du traducteur : Bateau à bord duquel l'explorateur suédois Adolf Erik Nordenskjöld (1832-1901) franchit pour la première fois le passage du Nord-Est. ), Vardö à bord du Fram (Note 2 du traducteur : Bateau à bord duquel l'explorateur polaire norvégien Fridtjof Nansen (1861-1930), auteur de vers le pôle, tenta de gagner le pôle Nord ) ?
"Une mer calme et vaste s'étalait devant nous", ma foi, ce furent de belles journées. Mais la vie est imprévisible et pleines d'aventures, et si aucun Tchèque n'est devenu explorateur polaire, cela ne tient qu'à un caprice du destin. Il y avait bien pourtant une terre inconnue, prise dans des glaces éternelles, qui attendait d'être découverte par 89°30' de latitude nord; elle abritait un volcan qui la chauffait tant, mon île, qu'y poussaient des oranges, des mangues, et d'autres végétaux encore peu connus aujourd'hui; et vivait là un peuple ignoré, hautement civilisé, qui se nourrissait du lait des vaches de mer. Désormais, il est fort peu probable que quiconque la trouve jamais, cette île... "
Que dire alors, de ce texte
très surprenant de
Karel Capek ?
En premier lieu, il parle de sa jeunesse, et hélas il utilise le
nous comme s'il avait participé à l'expédition du
Vega et du Fram.
Karel Capek est né en
1890 (et décédé en 1938), donc il ne pouvait être dans le
Vega, qui franchit le passage Nord-est en Juillet 1879. De même
le Fram a navigué de
1893 et 1896, et de 3 ans à 6 ans, il ne pouvait non plus, être sur ce navire. Donc
le nous represente pour
Karel Capek , seulement
l'ensemble les explorateurs intrépides des régions nordiques, mais l'auteur lui-même,
n'y était pas.
Venons en maintenant à la phrase :
"Une mer calme et vaste s'étalait devant nous", où
Karel Capek fait allusion
(hélas encore sans explication) à cette affaire de
Mer Libre du Pôle, déjà vue plus haut, et si souvent évoquée, en long et en large, sur
ARTivision :
http://www.artivision.fr/Byrd.html
http://www.artivision.fr/merlibre.html
Enfin, venons en au nœud de l'affaire, où Karel Capek, nous parle, sans donner aucune référence d'une île tropicale (comme la Guadeloupe avec la même végétation), qui existerait en plein Pôle Nord. (notez surtout qu'il donne l'indication de la latitude par 89°30'nord. Où a t-il bien pu découvrir cela ? ). De plus, il ajoute encore plus audacieusement, qu'un peuple hautement civilisé y habite. Cette incroyable information bien que tronquée , ne pourrait venir, selon nous, que des plus hautes autorités de l'Etat, en passant bien sûr, par un membre des Services Secrets Tchèques et Consorts...de 1939, où il n'existait pas encore de photos satellites, et donc on n'en savait pas trop, sur le Vortex polaire Nord A vous de juger !!
De plus, il ajoute que cette île ne sera pas découverte de sitôt... Est-il alors au courant du fait que la civilisation avancée qui s'y trouve, a le moyen, d'éviter que nous puissions, nous en approcher ? Nous avons déjà explicité ce fait clairement, dans notre article :
De plus, cette affaire d'ile inaccessible, nous rappelle carrément celle de la Terre de Sannikov que vous pouvez découvrir a notre article :
Tiré de l'ouvrage du Dr Vladimir Obroutchev
Notez bien aussi que ce peuple nous dit Karel Capek , se nourrit de lait des vaches de mer..., qui sont aussi appelés des lamantins, et il pourrait aussi s'agir des animaux que l'on appelle des dugongs ..Dur dur..., n'est ce pas ?
Ce qui est aussi surprenant c'est que le traducteur dont nous avons présenté les deux premières notes, ( il y en a 73 en tout), et qui semble être un historien de premier ordre, n'a fait aucun commentaire et n'a proposé aucune petite note, à ce passage incroyable de la page 11 du livre de Karel Capek .
A vous de juger tout cela...
Ce traducteur aurait pu simplement pour noyer le poisson, dire que Karel Capek faisait là, allusion à ses lectures d'enfance concernant le territoire légendaire de l'Hyperborée.
Il en est de même d'ailleurs de l'Editeur moderne du livre, qui avait parfaitement le droit d'ajouter un commentaire du même genre, pour que l'on ne dise pas, dés le début de la lecture, que l'auteur traduit, est un véritable insensé. Faudrait voir aussi dans l'Edition d'origne de 1939, si l'Editeur de l'époque (qui n'est pas mentionné) en dit deux mots.
Enfin, il y a aussi le sieur Cees Nooteboom, qui a élaboré la magnifique préface de cet ouvrage intitulée "Les yeux sont la meilleure partie du cerveau" , et qui évidemment connaissait bien les œuvres de Karel Capek, qui reste lui aussi muet, sur cette incroyable déclaration de la page 11 du livre. C'est proprement de la dérobade notoire devant ce qui est tout a fait mystérieux, et qui ne pouvait qu'attirer l'attention d' ARTivision, qui a publié plus de 90 articles sur le sujet.
Pensez-vous alors en conclusion, que ce grand écrivain tchèque, qui nous envoie cette incroyable déclaration, comme une bouteille à la mer, soit réellement fou, ou plutôt qu'il sait vraiment quelque chose, que l'on n'a pas l'habitude de crier sur les toits du commun des mortels.
Que peut-on faire maintenant ? Il nous appartient déjà, d'approfondir tout cela, en recherchant dans les archives de cet écrivain, ( si elles existent encore dans les bibliothèques tchèques ), les notes importantes se rapportant à ce qui précède et, en l'occurence, tout ce qui parle d'une zone tropicale , "camouflée", en plein pôle Nord.
Bon courage et bonne chance, donc à l'intrépide internaute qui arrivera à mettre la main sur ce trésor.
Le 08 Juin 2011, nous avons eu le privilège de recevoir de l'ami Marc-Antoine, la missive importante suivante :
----- Original Message -----
From: Marc-Antoine
To: Fred IDYLLE
Sent: Wednesday, June 08, 2011 11:08 PM
Subject: Re: Du nouveau sur ARTivision
Mon cher fred,
Merci pour ton nouvel article.
Très très intéressant car complètement inatendu.
Je pense que tout comme Jules Verne, Karel Capek était un initié à sa façon. Mais en étudiant un peu
sa biographie, il a effectivement fait un voyage
vers le Nord, juste avant son décés un peu étrange. Il est très possible qu'il ait eu accès à certaines
informations "spéciales".
J'ai regardé ses dessins, car on peut feuilleter
le livre sur le site de l'Éditeur.
Il n'y a rien d'étrange dans ces dessins, mais je suis sûr que le texte
d'introduction est un signal envoyé à travers le temps.
Il aussi faut savoir que dans sa pièce RUR, tirée de son roman du même nom, les "robots" sont des clones, puisqu'ils peuvent se reproduire...
Pas mal comme idée n'est-ce pas, et ce le texte date de 1920 !!
D'autre part, on trouve de nombreux portaits de Karel Capek sur le site :
,dont celui-ci :
placé à http://capek.misto.cz/obrazky/portrety/kcapek1.jpg
Mais sur le site : http://www.centralbohemia.cz/addressBookLang.asp?thema=307058&item=66549, il y a l'adresse des descendants de Karel Capek, et tu pourras peut-être les contacter.
Peut-être pourrait-on consulter alors son journal intime placé dans une bibliothèque, ou les notes qui ont servi à l'élaboration du livre "Voyage vers le Nord".
Bien sûr, il a très bien pu avoir des contacts verbaux, mais je suis certain qu'il a dû prendre des notes,
comme tout bon écrivain qui se respecte.
Adresa
Památník Karla Capka ve Staré Huti
u Dobríse
Stará Hut
26202
tel.: +420 318 522 265e
-email : pamatnik.vanova@tiscali.cz
WWW: http://www.capek-karel-pamatnik.cz
Eh bien, l'enquête continue...
À bientôt de tes nouvelles.
Marc-Antoine.
Merci donc à Marc-Antoine pour sa superbe missive, et nous avons immédiatement écrit à l'e-mail précédent en espérant vivement recevoir une réponse.
Le 11/06/2011, nous avons découvert dans le journal France-Antilles, une information aussi stupéfiante, que celle de Karel Capek, et qui pourtant n'a pas fait beaucoup de bruit dans les médias, et pour cause, car il s'agit, ni plus ni moins, d'hybridation entre l'humain et l'animal. Voilà de quoi il s'agit :
Du lait de vache possédant deux gênes humains !! Les gens très civilisés évoqués plus haut, par Karel Capek ont-il su, il y a des lustres réussir à faire de même avec les lamantins ? A vous de juger.
Comme nous le disions, au début, il y a là, dans cette affaire, de quoi faire un roman de science-fiction hors pair. Mais le plus extraordinaire est déjà à notre portée, car voila une autre information tout à fait fantastique, et qui a eu peu d'échos, médiatiquement parlant :
Regardez en effet bien, le petit garçon de cette photo :
Puis lisez SVP, ce que l'on nous en dit les urls suivants :
...etc...voir Google à Brooke Greenberg.
Un bébé qui a actuellement, près de 18 ans, et qui ne vieillit pas. C'est inoui n'est-ce pas ?
Beaucoup d'internautes diront qu'une telle information ne peut qu'etre qu'un Hoax . Nous ne somme pas qualifiés pour le démontrer, mais par contre nous avons aussi à votre dispossition cette autre affaire plus crédible :
En effet le 08 Décembre 2011, nous avons reçu de notre ami belge de longue date, le missive ci-dessous :
----- Original Message -----
From: Pierre L.....
To: Fred
Sent: Thursday, December 08, 2011 12:16 PM
Subject: Méduse...
Mais,...Une nouvelle suprenante sur le site :
Amitiés
Pierre.
Comme cette info, peut disparaître du jour au lendemain, en voici l'essentiel :
Une méduse immortelle sème la panique dans le monde scientifique.
La méduse Turritopsis nutricula, découverte pour la première fois par des chercheurs en biologie de l’Université de Lecce, serait originaire de la mer des Caraïbes, et se répandrait à présent dans toutes les mers du globe.
D’après des recherches scientifiques, elle serait le seul être vivant immortel. Ainsi, cette méduse serait capable de remonter le temps, passant d’une phase de vie avancée à une phase de vie plus jeune, par des mécanismes d’apoptose bloqués et de trans-différenciation, reconfigurant ainsi ses cellules défaillantes en cellules neuves et parfaites. Inconnues durant fort longtemps, ces méduses singulières furent difficiles à trouver puisqu’elles évoluent uniquement dans les eaux profondes, et, comme elles ne peuvent pas mourir, ces méduses se sont multipliées à travers les océans du monde entier, provoquant une panique presque surnaturelle dans la communauté scientifique internationale au point que le Docteur Maria Miglietta de l’Institut Marin Tropical de Smithsonien, a déclaré aux journalistes : "Nous nous préparons à une invasion silencieuse mondiale".
Une menace ou une alliée ?
De par ses caractéristiques exceptionnelles, cette méduse fait l’objet d’études par les biologistes et les généticiens puisqu’elle est le seul organisme complexe vivant connu à ce jour capable d'inverser complètement son processus de vieillissement.
Mais cette immortalité potentielle inquiète cependant les scientifiques, car elle serait responsable de l’accroissement démesuré de son espèce dans les eaux du globe. Des légendes entourent cette méduse, beaucoup de témoignages à travers le monde, lui prêtent des phénomènes psychiques en tous genres. Est-ce son immortalité qui provoque une véritable colonisation de toutes les mers par cette méduse ? Difficile de répondre à cette question pour le moment. En revanche, il est certain que la méduse Turritopsis nutricula, se répand dans toutes les eaux du globe de manière considérable chaque année.
Une clé pour devenir immortel.
Les études menées sur la méduse Turritopsis nutricula ont poussé les scientifiques a trouver un moyen de reproduire le processus de renouvellement des tissus chez les êtres humains, voir même à redonner la vie… Par ailleurs, cette méduse immortelle possède la réponse qui permettrait de guérir l’homme de toute maladie en créant des médicaments anti-vieillissement.
Le monde des immortels, bientôt une réalité ?
Deux écoles scientifiques s’affrontent, l’une nous dit que l’homme est indépassable et que sa mutation doit être le biocyborg, c'est-à-dire l’ajout de technologies qui dopent ses capacités ; l’autre enseigne que tout est déjà dans nos gènes, comme endormi, qu’il suffit de retrouver en nous les moyens pour mettre en œuvre nos capacités qui seraient immenses, comme la capacité de se rajeunir, via un processus cellulaire particulier. Quelle école l’emportera, l’avenir apportera la réponse.
Cependant les journalistes de WikiStrike pensent que ce sera la première, car l’école scientifique qui voit le dépassement de l’homme par le biocyborg permettra de donner la puissance aux multinationales qui posséderont les nanotechnologies et autres puces de ce nouveau marché du surhomme sous code-barre, pseudo-dieu qui ne sera qu’un esclave passionné de body-tuning.
L’autre école scientifique donnerait la liberté absolue à tous et gratuitement, alors imaginez la tête de vos banquiers et de vos patrons ! Ayez pitié, pensez à eux, et prosternez-vous par compassion !...Ou pas !
William McAtbash for WikiStrike.
De plus, le 12/10/2013, nous avons découvert dans notre boîte aux lettres, le numéro 69 de la revue Top Secret, d'Octobre- Novembre 2013, et on peut y lire en page 7, ceci de très étonnant :
A vous donc de tirer de ces trois affaires, les conclusions qui s'imposent...
Ne pensez-vous pas aussi, que les Maîtres très civilisés, dont parle Karel Capek, ont su également, depuis des siècles, trouver le gêne responsable du veillissement, afin de s'en préserver le plus longtemps possible, comme nous le disent, ceux qui ont eu, le très grand privilège de pénétrer chez eux.
Décidément, comme ARTivision, s'évertue à le répéter souvent, le "Temps des Révélations", est bien arrivé, et comme nous le dit si bien l'ésotériste Jean Sendy :
" Les descriptions de l'Age d'Or des idolâtres et celles des Temps messianiques des Hébreux, concordent sur un point fondamental :
Quand on en sera là, nous rabâchent-ils depuis des siècles et des siècles, l'homme saura accomplir les actes attribués par les Mythes aux divers "dieux" , et aux Elohim par la Genèse. " .
Extrait de "Les temps messianiques", J'ai Lu A 381 page 33.
Affaire à suivre donc absolument....et toute aide permettant de retrouver les acceptions ci-dessous, serait évidemment la bienvenue.
Mais ce 7 Août 2015, nous allons pénétrer dans le contexte civilisationnel d'un peuple très méritant, qui évolue dans le cercle polaire arctique : les esquimaux , et cela fera l'objet de notre 14e focus :
Focus n°14 : Où ARTivision, en apprend énormément sur l'extraordinaire contexte polaire, dans les légendes et la vie du valeureux peuple des esquimaux.
Soyons d'abord fair play et présentons ici, ce que l'on trouve sur les esquimaux, dans l'incontournable fascicule déja présenté plus haut :
Concernant les exquimaux, extrayons alors à la page 50, la question n°14 (il y en a 27 en tout) d'un certain lecteur nommé : Victor.H. Hendersby qui ne croyait pas du tout à la thèse de la Terre en forme de beignet, prônée par Ray Palmer, Directeur de la revue en question .
Notre modeste traduction donnerait alors :
" 14. p 16 Les Esquimaux dont on parle, représentent des tribus vivant dans le Grand Nord ne connaissant pas où se trouve le pôle et ils n'ont aucune idée de la forme de la Terre. le Nord pour eux pourrait signifier la côte sibérienne au travers de l'océan Arctique ".
Nous allons plus bas, présenter des documents prouvant que cette declaration est totalement fausse. Mais voyons aussi la réponse de Ray Palmer :
que nous pourrions traduire de même :
" 14. Les Esquimaux vous-dites, ne savent point ou se trouve la Sibérie et pour la plupart d'entre eux ce serait l'Ouest et pas au travers d'un océan Arctique quelconque. Mais vraiment pensez-vous que les esquimaux n'ont auune idée des 4 points cardinaux de la boussole. J'ai entendu quelque part qu'ils naviguent fort bien et qu'ils sont souvent utilisés comme guides par des explorateurs polaires. En fait, sans eux, Nansen serait retourner au bercail, avant même d'être parti. Il semblerait qu'il connaissent vraiment de Nord du Sud . Il en est de même des astromomes amateurs. Vous avez toutes les constellations du Nord nommées avec leurs propres noms qu'amplifient les légendes ".
Mais soyons maintenant, très pragmatique dans cette affaire et commençons par revoir ce que que l'on découvre en page 70 du livre surprenant du Lord anglais : Brinsley Le Poer Trench de 1974 tel que : :
Et voici le texte correspondant à la vie des esquimaux :
Traduisons donc grosso modo, le petit passage de texte de l'auteur parlant des esquimaux :
"
Maintenant j'en arrive au point clef relatif aux esquimaux. Dans son livre Gardner fait état du fait que les esquimaux qui viennent des contrées inférieures en latitude, comme nous l'avons vu, ont dit que les explorateurs polaires avaient trouvé, une énorme abondance d'espèces vivantes, en allant plus loin vers le nord.
Ceci peut sembler surprenant, mais nous avons déjà expliqué comment Nansen, a rencontré des amimaux qui apparemment ne devaient pas se trouver dans le coin.
Gardner, a écrit : " Que les esquimaux sont venus de l'intérieur de la Terre, ce qui signifie qu'ils viennent d'une région, dont ils ne peuvent expliquer, aux Norvégiens ( qui les ont interrogé à ce sujet), la situation originelle, et cela est traduit, par le fait que très tôt, ces norvégiens les ont assimilés, à un peuple surnaturel, à
espèces de lutins, en quelque sorte. "
Le site ARTivision a dans de nombreux articles, déjà présenté l'ouvrage incontournable de Marshall B. Gardner, de 1920, qui est tel que :
Ce citoyen américain, deviendra bientôt, à coup sûr, bien plus célèbre qu'Einstein, quand les êtres de l'intérieur, se manifesteront au grand jour, comme ils l'ont promis ces temps-ci, à l'approche de la Grande Révélation.
Mais développons plus avant, cette affaire bien étrange d'esquimaux, en transcrivant le passage suivant du livre de 1960 (très peu connu), du Dr Raymond Bernard , intitulé Nuclear Age Savior : Flying saucers and the Subterranean World, paru en 1960 chez Health research, Mokelunne Hill, USA, et dont nous avons une copie moderne faite par kessiger Publishing's ISBN 9781162556628 :
Cet ouvrage est un simple opuscule de 65 pages où R. Bernard pense que les soucoupes volantes sont apparues en grand nombre après l'explosion de la première bombe atommique, pour en étudier les effets, car les gens de l'intérieur reçoivent obligatoirement par les ouvertures polaires, les effluves radioactives de nos désastreuses explosions nucléaires.
A la page 7, on trouve ce passage très significatif concernant les esquimaux :
Pour les puristes qui aiment remonter aux sources d'un document, il leur faut savoir que la traduction texte anglais qui précède , se trouve pratiquement intégralement page 150, du livre de 1971 de Raymond Bernard " La Terre creuse" :
Cet ouvrage, est on le sait une modeste traduction, de l'ouvrage américain que Raymond Bernard a publié dès 1964.
Mais, il y a aussi, ce passage tiré du fascicule suivant, déjà présenté plus haut :
Mais voyons de plus près, ce que l'on lit dans ce "Civilisations mystérieuses n°7", concernant les esquimaux :
Nous pensons alors, que ces affirmations sont d'une très grande importance. Dommage que les auteurs n'en aient pas dit plus ici, faute sans doute de place.
Le Webmaster du site ARTivision, qui aime retrouver la source d'un document, a cherché pendant prés de 40 ans, (quarante ans) , dans quel ouvrage R. Bernard, avait trouvé cette incroyable légende, concernant les esquimaux , qui pointent le doigt vers le Nord, pour indiquer leur origine...
C'est ainsi que nous avons même commandé en, Juillet 2010, dès que nous avons pris connaissance de son existence, l' ouvrage sorti, aux Editionx Flies France en 2006 :
N'ayant en effet, rien trouvé dans cet ouvrage concernant l'affaire des Inuit , qui prétendent venir du Nord, le plus haut, nous avons écrit à ce sujet à l'Editeur, et même à l'auteur Maurice Coyaud, dont un aimable internaute, nous avait trouvé l'e-mail, et hélas depuis lors, nous n'avons reçu aucune réponse, ni de l'un, ni de l'autre. Un jour peut-être à titre documentaire, nous publierons ces lettres. Nous vous laissons alors, le soin de juger ce manque flagrant de courtoisie, et le fait que cela dénote aussi,
selon nous, bien sûr, une prétention inégalée, de se croire être des as du savoir, concernant les esquimaux...
Récemment cependant, nous avons eu le privilège d'entrer en possession de l'ouvrage de 1907, suivant :
Et en page 180, on découvre alors :
Traduisons très modestement, ce passage concernant l'origne des esquimaux " Ce peuple étrange n'a aucune idée de sa provenance. Il n'a même pas, comme la plupart des peuples primitifs, une légende indiquant sa provenance. Quand on questionne l'esquimau sur le sujet, il indique invariablement la direction du nord, sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste. Il est plus que probable que ce peuple est le résidu d'une puissante race formée des plus anciens habitants l'hémisphère occidental... "
De plus donc, si l'on sait lire entre les lignes, on voit là que, l'esquimau au lieu de faire de longues phrases ambigües, prèfère utiliser le même geste de ses ancêtres en pointant le doigt vers le Nord. Quoique l'auteur en pense, c'est tout de même une légende transmise de génération en génération. D'ailleurs l'auteur dit lui même, plus loin, que le dialecte de l'esquimau possède très peu de mots, 300 environ. Donc il n'a pas l'habitude de parler en l'air... Mais, c'est la phrase suivante du DR SENN qui nous intéresse grandement, et il faut la comprendre à deux niveaux : " sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste ".
Le premier niveau est que l'esquimau a oublié effectivement pourquoi il pointe le doigt en direction du nord , et le deuxième niveau, c'est le Dr Senn, lui-même, qui nous donne l'occasion de l'exprimer, car, croyant que sa culture intellectuelle est plus achevée, que celle de l'esquimau, alors il ne jugera pas utile d'approfondir la portée de ce geste insolite de l'esquimau, bien qu'il ait, entendu parler par de nombreux explorateurs de cette énigmatique Mer libre du Pôle. Il a donc, comme vous le voyez, loupé le coche, alors qu'il avait en main, les attributs d'une énorme découverte .
Mais, le plus étrange, est encore à venir. Alors, Messieurs les zélés et zététiques détracteurs et autres psycho-sociaux frénétiques, tournez donc 7 fois plutôt qu'une, votre plume sur la page blanche, avant que vos velléités culturelles ordinaires, ne vous invitent, à y inscrire des niaiseries flagrantes, concernant l'histoire merveilleuse, des peuples de cette planète.
Mais arrivé à ce niveau, faisons ici justement une autre petite digression :
En ligne directe avec ce qui précède concernant les propos des ces Messieurs les zélés et zététiques détracteurs et autres psycho-sociaux frénétiques, voici comment un autre célèbre écrivain ésotérique français, René Guénon, lui aussi, loupé le coche, dans son ouvrage intitulé "Le Roi du Monde", publié en 1958 chez Gallimard. En effet, il parle de ces affaires polaires de manière tout à fait symbolique, faisant partie de l'imaginaire collectif, ou pour ne pas le dire mieux, d'un fantasme séculaire. ( Il est vrai qu'en 1958, il ne pouvait disposer comme nous, de photos satellites, mais il avait beaucoup d'autres moyens de se rendre compte, qu'il y avait vraiment un mystère concernant le Pôle Nord, et cela lui est passé sous le nez très malencontreusement).
" D'autre part, en se reportant à ce que nous avons expliqué sur le symbolisme du "Pôle", il est facile de voir aussi que la montagne du Paradis terrestre est identique à la "montagne polaire" dont il est question, sous des noms divers, dans presque toutes les traditions : nous avons déjà mentionné le Méru des Hindous et l'Alborj des Perses, ainsi que le Mont-salvat de la légende occidentale du Graal ; nous citerons aussi la montagne de Qâf des Arabes , et même l'Olympe des Grecs, qui, à bien des égards, a la même signification. Il s'agit toujours d'une région qui, comme le Paradis terrestre, est devenue inaccessible à l'humanité ordinaire, et qui est située hors de l'atteinte de tous les cataclysmes qui bouleversent le monde humain à la fin de certaines périodes cycliques. Cette région est véritablement la "contrée suprême" du reste, d'après certains textes védiques et avestiques, sa situation aurait été primitivement polaire, même au sens littéral de ce mot; et, quoi qu'il en puisse être de sa localisation à travers les différentes phases de l'histoire de l'humanité terrestre, elle demeure toujours polaire au sens symbolique, puisqu'elle représente essentiellement l'axe fixe autour duquel s'accomplit la révolution de toutes choses.".
C'est par essence,
exactement le langage des psycho-sociaux n'est ce pas ? Confondre
l'Olympe des grecs et
l'Hyperborée, c'est vraiment faire un
amalgame fallacieux et dérisoire, bien que ce
René Guenon, reconnaisse qu'à
l'origine, la localisation de la fameuse
"contrée suprême", d'après certains textes,
aurait été primitivement polaire.
Fin de la deuxième digression...
Mais revenons, à
l'ouvrage important du Dr SENN,,
(non traduit hélas en français), et vu plus haut :
En effet, dans cet ouvrage, on trouve aussi,
un autre fait qui surprend, et qui concerne
la vie des esquimaux : Quand on demande à certains de ces derniers, où
ils supposent que leur entité va après la mort, ils
ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni
le soleil du jour, ni
les étoiles du soir, ni
l'immensité du cosmos qui les environne, mais
ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à
l'intérieur de la terre, d'une
bien autre manière, que nos savants actuels, qui y placent
un torride redoutable feu central, fait de
métaux en fusion.
Voici donc, un extrait des pages 206 et 207
restructurées par nos soins :
Et, voici donc notre modeste traduction :
Religion
"La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.
"Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."
Fin de la traduction.
ARTivision, croit alors que tout cela s'apparente, à
des réminicences ancestrales d'un passé millénaire , ayant trait à une
époque bénie, où ces esquimaux vivaient
à l'intérieur paradisiaque de la planète.
En respect, pour ce peuple si valeureux, voici quelques vignettes de leurs silhouettes :
Mais, il existe
une troisième énigme, concernant les esquimaux, tout aussi surprenante...En effet, elle se trouve, dans notre exemplaire de poche, paru en France, en Décembre 1972 :
Mais ce livre est sorti en premier en
1960, chez
Gallimard, sous l'aspect :
Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage
"Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de
notre intérêt, sans cesse croissant, pour le
Passé prestigieux de notre Planète.
Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé, pages
253 et 254, dans cet ouvrage 1972, et pages
re-strcturées par nos soins:
1. New york Herald tribune du 11 Juin 1958.
Nous apprenons donc ici, que
l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article paru le
11 Juin 1958 dans le
New york Herald Tribune,
s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "
Jacques Bergier et Louis Pauwels, nous posent alors les questions importantes suivantes :
" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.
- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier
du globe?
- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan
- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ... "
Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse,
déjà hardie pour l'époque,
de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.
C'est alors que,
Jacques Bergier et Louis Pauwels abordent
le passage le plus inoui, selon nous bien sûr, de leur chapitre V et passage, qui est, on le devine déjà :
" Or que dit le folklore esquimau ? Il parle de tribus transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps , par des oiseaux métalliques géants "
On peut déjà, à ce niveau, se poser la question de savoir, où ces messieurs
Jacques Bergier et Louis Pauwels ont-ils pu puiser
une si surprenante déclaration. Eux, qui sont si précis d'habitude,
là, ils ne nous en disent rien !!! Alors on peut supposer que c'est dans le texte très académique de
l'Institut vénérable Smithson, paru le
11 Juin 1958 dans le
New York Herald Tribune, que se trouve ce passage inouï
(nous avons failli écrire ce passage inuit).
La seule façon de le savoir, c'est de consulter, ce
New York Herald Tribune du
11 Juin 1958. Nous n'avons pas réussi encore à trouver comment commander ce journal sur Internet, et nous implorons l'internaute qui connaît ce moyen, de nous en faire aimablement part.
Pour clore l'affaire, nous voyons aussi dans l'image précédente que ces messieurs
Jacques Bergier et Louis Pauwels ironisent sur l'attitude qu'avaient
les archéologues de XIXe, au sujet de ces
oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques
d'absurdité. Mais, nous qui avons découvert
les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur
ce passage surprenant.
ARTivision, prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de la
Terre intérieure, vers
les zones polaires, et l'on va vite découvrir
pourquoi, dans d'autres documents.
Mais, ces savants du
XIXe avaient certaiment entendu aussi parler de
descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés "vimanas", et qui circulaient à l'époque dans la région
des Indes, comme nous le décrit ce passage :
"Le Matin des Magiciens" pages 257-258
Ces Savants du
XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens de
purs contes et de légendes imaginaires... Et vous, qu'en pensez-vous maintenant ?
Voici d'ailleurs, une vue d'un artiste contemporain, repésentant
deux vimanas en mouvement , tableau,
hélas dont nous ignorons l'origine :
Pour en savoir plus à ce sujet, prière de consulter notre article :
Cette affaire d'oiseaux métalliques apparaît aussi, page 92, de l'ouvrage de
Peter Kolosimo :
"Not of this World" ( Souvenir Press Ltd, Grande Bretagne 1970)
Il faut savoir aussi que cet ouvrage de
P. Kolosimo, est en fait, la version anglaise de l'ouvrage intitulé
"Archéologie Spatiale", paru en
1971 chez
Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue :
"Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :
Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé
les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que
des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien
"le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.
Et voici donc maintenant, la traduction du passage anglais précédent, concernant les esquimaux , et qui est en page
101 :
Mais dans ce même livre de
P. Kolosimo et toujours à la page 101 on trouve ceci qui constitue
une quatrième énigme s'attachant à l'histoire des esquimaux :
Nous avons déjà largement évoqué,
cette affaire inouie de disparition de diverses communautés arctiques, dans notre article:
Ne trouvez-vous pas que cela
fait beaucoup d'énigmes dans l'histoire de ce valeureux peuple esquimau, vivant
durement et de manière très austère, dans
ces régions arctiques, où le froid se taille la part du lion ?
Enfin, il y a encore
une dernière énigme, que nous vous avons déjà, plus haut, soumise à votre attention, concernant aussi les esquimaux :
En effet, cette énigme se trouve dans l'ouvrage de
1873, que nous représentons ici, étant donnée son importance
Et pour
les éternels zélés détracteurs, qui auraient l'audace de dire, que nous avons imaginé cette affaire d'esquimaux, voici encore le passage qui nous a interpelés vivement plus haut :
, et avec quelques couleurs, c'est bien mieux :
" ... Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habilants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices
d'un climat plus doux vers le nord. "Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note du Webmaster: il s'agit bien sûr du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude située au nord, sont arrivés sur leurs côtes."
Mais ce
08/08/2015, il nous appartient de parler de
la mythologie grecque qui comme les esquimaux, fait allusion à
une étrange terre polaire. Cela fera alors l'objet de notre
15e focus :
Focus n°15 : Où ARTivision, en apprend encore plus sur le mystère polaire grâce aux extraordinaires voyages du dieu grec Apollon, dans la région.
Voyons d'abord ce que nous dit
le Petit Dictionnaire Larousse de 1988, au sujet de
cet Apollon:
Notez bien surtout
cette affaire étrange de divination, dont nous parlerons utltérieurement.
Plongeons donc succinctement dans
cette Antiquité grecque, qui parle si bien, du dieu Apollon.
Remontons donc à
ce Passé lointain, pourtant, bien plus extraordinaire que
les bien-pensants, ne se l'imaginent. Mais, lisez plutot ceci, qui est formé, d'extraits tirés des pages 15 et 17 du livre de
1960 de
Brisley Le Poer Trench:
"Le peuple du ciel" :
On découvre là, que
le Dieu Grec Apollon se déplaçait dans
un char de feu tirés par des cygnes, et on peut donc là, imaginer qu'il s'agissait d'un engin ressemblant à ce que l'on appelait aux Indes
un vimana, ayant une forme de cygne, ou
décoré avec des dessins en formes de cygnes.
Mais où les rationalistes, vont une fois de plus sur
ARTivision, mordre la poussière,
(nous l'on déjà exprmé ailleurs), c'est que cet
Apollon, allait régulièrement se resourcer dans
une sorte d' Eden, situé,
à notre plus grande stupéfaction, au
pôle Nord.
Sortons alors à nouveau de nos dossiers, cette affaire
de l'Hyperborée de la mythologie grecque, qui nous interpelle aussi, grandement.
(Voir aussi notre article :
qui met alors les points sur les Is , dans cette affaire)
En effet, nous avons sous la main, en ce moment, ce petit fascicule :
Et, voyons tout de suite, ce qui pouvait
être lu, ( on appelle cela des légendes), sur les grecs dans leur glorieuse tradition .
Pour être loyal, disons déjà, que pour faire plus condensé, nous avons recomposé les colonnes de ce texte :
Nous avons bien lu, et même bien relu, les
mots soulignés en rouge, de ce
texte inouï.
Mais, nous avons aussi reçu, il y a quelque temps,
de Paris, de notre ancien élève
Jean-François, le document suivant, tiré de cet admirable fascicule, qu'il est bien sûr,
très préférable, d'avoir aussi en mains.
Et justement en page 39, voilà ce que l'on peut y découvrir :
Il ne nous reste, maintenant, qu'à nous poser
la question cruciale :
" Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis ", justement au Pôle Nord, qui est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .
De plus, on apprend que
le dieu "Apollon rencontra au pôle nord ,les hyperboréens, peuple vénérable qui ne connaît ni la maladie, ni la vieillesse".
Curieux n'est-ce pas !!!...Bien sûr,
les psycho-sociaux, vous diront, vite fait,
que cela n'est qu'un mythe, qui est à rélier
à l'imagination fertile de l'humain.
Point à la ligne
Le site
ARTivision, va démontrer ici
noir
sur blanc , que ces zélés détracteurs, se fourrent le doigt dans l'œil, jusqu'au coude, sans de plus, s'en rendre compte.
En effet cette affaire des hyperboréens, qui ne connaîssent ni la maladie, ni la vieillesse, est aussi, explicitement présenté , dans ouvrage surprenant, "Bêtes Hommes et Dieux", du Dr Ferdinand Ossendowski, voyageur polonais illustre, homme de science et écrivain, dont le manuscrit original a été publié dès 1924 chez Plon, et dont nous ne possèdons que l'édition de poche publiée au 2e trim 1970 chez l'éditeur "J'ai lu" n° A 202, dans la prestigieuse collection hélas disparue, "L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues" :
Voici quelques bribes, des pages en question :
" Le lama Turgut qui fit le voyage d'Ourga à Pékin avec moi, me donna d'autres détails :
"La Capitale d'Agarthi est entourée de villes où habitent des grands prêtres et des savants. Elle rappelle Lhassa où le palais du Dalaï lama, le Potala, se trouve au sommet d'une montagne recouverte de temples et de monastères. le trône du Roi du Monde est entouré de deux millions de dieux incarnés Ce sont les Saints panditas...
...Ils peuvent dessécher les mers, changer les continents en océans et répendre les montagnes parmi les sables du désert. A leur commandement, les arbres, les herbes et les buissons se mettent à pousser; des hommes vieux et faibles deviennent jeunes et vigoureux et les morts ressussitent. Dans d'étranges chariots, inconnus de nous, ils franchissent à toute vitesse les étroits couloirs à l'intérieur de notre planète"".
Fin de citation.
Avouons, que ces propos du Dr F. Ossendowski, surclassent de très loin, les meilleurs auteurs de Science-Fiction, et à l'époque, même un tabloid très réputé, et avide de scoops journalistiques sensationnels, n'aurait pas eu le courage de publier ce qui précède...
Ceci prouve de plus que le peuple de l'intérieur a des millénaires d'avance sur nous dans la compréhension du Cosmos, et de sa manifestation sur la Terre que nous appelons La Nature. Voir à ce sujet, notre article très écologiste :
De plus, l'ouvrage de Raymond Bernard "La Terre creuse " déjà présenté plus haut, nous affirme aussi que les
gitans, comme les esquimaux, viendraient de l'intérieur de notre planète, et chacun sait aussi, que les femmes gitanes, ont une certaine maitrise des arts divinatoires, que pratiquait aussi Apollon, avec sa Pythie. Curieux n'est-ce pas !!!. Les habitants de l'intérieur sont-ils devenus , au cours des siècles des Maîtres, dans ces arts divinatoires, en explorant avec aisance la quatrième dimension, autrement dit la fine structure du Temps. A vous de juger...
Ce peuple ne connaît pas la maladie, ni la veillesse, comme l'affirme aussi Billie Faye Woodard, qui aurait eu l'immense privilège, de le visiter. Voir alors nos articles :
Mais ce 10/08/2015, il nous appartient de parler de cette affaire d'icebergs, qui sillonnent étrangement les régions polaires. Cela fera alors l'objet de notre 15e focus :
Focus n°16 : Où ARTivision, explique le mystère polaire des icebergs faits entièrement d'eau douce.
Nous avons déjà plus haut présenté l'image qui suit en disant : " on y voit un énorme iceberg, dont on a du mal à expliquer la présence, car en effet, ce ne sont pas les maigres précipications du coin, qui pourraient engendrer de tels monstres, et il n'y a pas à l'intérieur de la banquise nord, de continent solide, ( comme par exemple le Groenland ), d'où pourraientt se détacher ces surprenants icebergs " .
Mais c'est " Le Livre Jaune n°6 " (début 2000) publié par les Editions Félix :(leseditionsfelix.com), qui va nous en dire un peu plus, et ouvrage, qui a mis très mal à l'aise, de très nombreux bien-pensants :
Revoir déjà plus haut, ce que l'on trouve en page 246 de ce livre :
" Mais qui peut dire d'où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l'eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l'eau douce, sans exception. La pluie ? "Comment cinq centimètres de précipitation annuelle, peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l'océan Arctique ?", se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n'y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres (!) de long, un iceberg qui va de Paris à Toulouse, qui s'est formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles ? Si on part du fait qu'il existe bien un pôle Nord et qu'il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d'innombrables explorateurs ont dû être pris d'hallucinations à partir de 80° de latitude nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus.... "
Mais peut-etre est-il utile de présenter aussi ici la position ogfficielle, en la matière de ce passage extrait de notre article :
Disons pour les puristes, qui aiment remonter aux sources d'une information, que cet article est tiré du n° 422 de Nov. 1952 de "Science et Vie" que nous avons la grande chance de possèder :
Voici de quoi il s'agit :
" Le floe, avons nous vu, est un morceau plus
ou moins grand de la surface gelée de la mer.
L'iceberg, au contraire, c'est un morceau de glacier
terrestre qui, a glissé dans la mer. Il est donc constitué par une accumulation séculaire de neige.


( Note numérotée du Webmaster: Cette affaire d'icebergs en ballade, nous préoccupe depuis des lustres. En principe on dit que ces icebergs de l'Arctique viennent en majeure partie de l'immense glacier du Groenland .
Mais voyons déjà, comment on parle de tout cela sur le Web...
Sur le site:
on apprend, que :
Les icebergs sont relativement pérennes et leurs flancs peuvent facilement
déchirer les tôles minces qui constituent les coques des navires. En
conséquence, ils présentent un réel danger pour la navigation. Le naufrage le
plus célèbre dû à une collision avec un iceberg est probablement le Naufrage du Titanic le 14 Avril
1912 voir notre article Titanic .html.
Au cours du XXe siècle, plusieurs
organisations furent créées pour l'étude et la surveillance des icebergs.
Actuellement, l'International Ice Patrol contrôle et publie leur
déplacement dans l'océan Atlantique
nord.
Les icebergs provenant de l'Antarctique sont
suivis par le National Ice
Center. Ceux qui mesurent plus de 10 milles marins (18,52 kilomètres) de longueur
(plus grand axe) sont désignés par un nom composé d'une lettre indiquant le
quadrant d'origine, suivie par un nombre, incrémenté pour chaque nouvel iceberg.
La première lettre signifie que l'iceberg est issu :
Ensuite sur le site :
"Avant que certains icebergs ne se dégradent complètement , ils peuvent parcourir des milliers de kilomètres. Originaire d'environ 75o de latitude nord dans la baie de Baffin, un iceberg peut parcourir jusqu'à 4000 km au sud à environ 40o de latitude nord (800 km au sud de Saint-Jean). Observations très rare dans les Bermudes et l'Irlande ont eu lieu bien au-delà de cette limite normale.
Les icebergs résultent généralement de la fragmentation d'une masse de glace débouchant sur la mer (front de glacier, glace de barrière...). Cette fragmentation, appelée "vêlage", produit une masse de glace flottante pouvant alors dériver vers le large.
Très souvent, en raison de la taille de leur partie immergée, les icebergs s'échouent temporairement sur le fond qu'ils peuvent racler en y laissant leur empreinte, puis reprennent leur errance, parfois quelques années plus tard.
Certains icebergs présentent des zébrures de teinte foncée correspondant à une formation géologique : ce sont de très anciens bancs de cendre volcanique ou des inclusions de moraines...Parfois, les icebergs présentent des zones de colorations rouges, orangées ou vertes qui sont dues à la présence de différentes sortes d'algues, les diatomées (Bacillariophyta) ".
Mais aussi sur le site:
, on découvre ceci :
" Dans l'océan Arctique, les sources plus haute latitude des icebergs sont l'Archipel du Svalbard au nord de la Norvège et les îles de l'Arctique russe. La production des icebergs provenant de ces sources n'est pas grand-estimée 6.28 km cube (1,5 miles cubes) par an sur un total de 250 à 470 km cubes (60-110 miles cubes) pour toute la région arctique. On estime que 26 pour cent provient de Svalbard, 36 pour cent provient de la Terre Franz Josef, 32 pour cent est ajoutée par la Nouvelle-Zemble, environ 6 pour cent commence à Severnaya Zemlya, et de 0,3 pour cent proviennent de l'île Ouchakov. De nombreux icebergs provenant de ces sources pour entrer directement dans la mer de Barents peu profondes ou des mers de Kara, où ils échoué. Sentiers en boucle de banquise fragmentée sont laissés comme des icebergs aller au-delà des obstacles"
et sur le site :
On découvre le morcellement d'un bord de ce glacier.
Ces images ont été réalisées, nous dit-on , grâce au radar Asar
(Advanced Synthetic Aperture Radar), embarqué à bord du
satellite Envisat.
Hélas malgré le perfectionnement des satellites nous n'avons pas beaucoup vu de photos semblables pour
les milliers d'icebergs qui circulent dans le
bassin arctique:
Mais voyons plutôt, comment l'on nous présente par satellite
le bassin arctique :
Sur le site:
On découvre alors, cette image de l'Arctique avec un disque noir qui surprend :
Et le
16/08/2009, il y avait aussi sur ce site ceci :
De nombreux internantes se sont évidemment demandés,
la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...
Voici une reponse:
Et en voici, une autre, plus académique :
En effet, le
21 Mai 2006, un certain internaute
Fabrice c....., nous a interpellés sévèrement pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve :
" Eeeeh.. oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT
qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de
naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "
Cette
assertion péremptoire de l'internaute
Fabrice c..... avait été initiée par
cette affaire hallucinante de la photo venant de la revue bien connue
Science&vie de
Novembre 2004, numéro 1046, qui montre sans aucune explication,
un superbe disque noir, au centre de l'
Antarctique :
Sous le disque noir, on voit cependant parfaitement fuser clairement tout autour du disque
des rayonnements lumineux surprenants".
Fin de citation .
Vous constatez que dans tout ce qui précède, nulle part, on ne nous donne l'explication concernant le fait que
les icebergs sont faits uniquement d'eau douce, alors
que la banquise est une mer salée .
L'explication,
la plus plausible , nous est venue des chercheurs
hors normes, Williams REED , et
Marschall
B.Gardner (voir les titres et les photos plus haut, ou dans notre article : audelaGrandNord.html ).
En effet
ces incomparables auteurs,
(il y a plus de
100 ans pour Reed), nous affirment que
ces nombreux icebergs, ne peuvent venir que
de puissants fleuves sous-marins issus de l'intérieur de la
Terre, et fleuves qui gêlent à la
sortie des
ouvertures polaires,
où régne un froid terrible. Et c'est pour cela en plus, que l'on constate que ces icebergs....
sont uniquement faits d'eau douce ...
Si cela est vrai, il est donc
déjà, de
la plus haute importance, pour tout chercheur intéressé par cette théorie, qu'il puisse avoir d'abord sous la main
une étude officielle, démontrant que
les icebergs sont bien constitués uniquement d'eau
douce. Donc
Bravo mille fois, à l'internaute qui mettra la main sur cette étude... et
avis aux
amateurs....
Mais ce
11/08/2015, nous allons soulever ici, une énigme concernant
les icebergs et autres blocs de glace en vadrouille dans l'Arctique et énigme,
dont le médias qui ont pignon sur rue ont soigneusement évité de parler.
Cette affaire très insolite, s'est révélée quand L'
ESA (Europeen Space Agency) a voulu cartographier le mouvement des
blocs de glaces de la mer dans la
zone arctique .
En effet, le
8 Février 2013, nous avons reçu d'un aimable internaute nommé
Thierry l..., l'invitation à visualiser les données du site suivant :
Nous invitons humblement, ceux qui en ont les moyens, de sauvegarder au plus vite
cette extraordinaire video, car elle pourrait disparaître comme par enchantement, du jour au landemain. Toutefois, il vous resterait le moyen de revoir cette video, le 12 juin 2013 à
l'url béni :
Mais
pour les puristes très occupés, au cas où cette page de ESA venait à disparaître, voyons en quelques bribes ...
On y trouve alors en premier lieu ceci :
Puis, un écran développant une importante vidéo, que nous ne savons pas hélas reproduire ici
( toute aide serait alors très appréciée) , et en dessous de la vidéo, apparaît ce texte :
Texte que nous traduissons grosso modo :
"GlobIce: cartographier le mouvement de la glace de mer.
14 Mars 2012.
Un projet financé par l'ESA pour modéliser la dynamique de la glace de mer (banquise arctique) à l'aide de données radar archivées de la mission Envisat et ERS, a publié un premiers jeu de données, applicable pour les hivers arctiques de 2004 à 2011. La cartographie du déplacement des glaces de mer est un élément clé pour la recherche sur le climat.
La glace de mer influe profondément sur les échanges de chaleur, d'eau et la vitesse acquise des fluides entre l'océan et l'atmosphère, et joue un rôle important dans la convection océanique et la formation des eaux profondes
Le projet GlobIce qui coute 1.000.000 €, qu et i a débuté en 2005, avec un consortium de huit partenaires dirigés par l'University College London (UCL), mesure le mouvement des glaces de mer pour une utilisation dans la modélisation du climat et de la recherche.
A l'appui du projet sur le Climat et la cryosphère du Programme Mondial de Recherche, GlobIce valide le flux de la glace de mer et sa la déformation
.
Les images radar, du déplacement de la glace, captées à des intervalles de quelques jours, sont utilisées pour générer un grand nombre d'articles en haute résolution, utiles pour la recherche sur le climat, tels que les cartes marines donnant la vitesse de déplacement de la glace.
Les produits de GlobIce fournissent de larges données sur la dynamique des glaces de mer de l'Arctique à une echelle de résolution dix fois plus haute que toutes les autres configutations actuellement disponibles, obtenues par satellites.
Sous l'image du glole , on peut lire : La dérive des glaces de mer en l'Arctique.
"
Fin de notre brève traduction.
Ce qui nous interpelle ici, c'est d'abord le fait que l'on oublie de parler des
icebergs. Il faut croire qu'il n'y en a pas dans le coin.
Affaire à suivre...
Cependant le
28/03/2013, nous sommes tombés sur la page de la revue
Le Point, placée à :
On y voit alors d'abord ceci :
Puis cela de très important :
Ah...ah, tout de même, il y a des icebergs qui se détachent du
Pôle Nord, et qui diffèrent de ceux venant du
Groenland . Mais certains
rationalistes endurcis, pour noyer le poisson, diront vite fait :
icebergs et blocs de glace de mer, c'est
Kif-Kif... c'est
blanc bonnet et bonnet blanc. Sauf qu'ils oublient que les icebergs sont faits uniquement
d'eau douce...A vous de juger.
En deuxieme lieu , nous voyons
avec un très grand étonnement que, dans cette dérive de blos de glace de mer de la zone arctique en question ,
ces blocs se déplacent en évitant soigneusement une zone centrale très caractérisée . Voyez cela vous-même sur les photos suivantes extraites de la vidéo :
Il est donc très curieux de voir que
ces très nombreux blocs de glace , pendant une si longue période, se balladent en évitant d'entrer dans le disque rouge suivant dessiné par nos soins :
et cela se passe en depit de
la dérive énorme habituelle de la banquise , dont nous parlerons une autre fois.
Quelle explication, peut-on trouver à ce phénomène bizarre ?
Mais cela nous fait aussi nous souvenir de ces images de l'Arctique
(déjà vues plus haut justement ci-dessus la fin de notre notre 16 e focus) , où
des disques noirs, sinon très colorés
, y apparaisent comme par magie et ne sont jamais expliqués positivement.
Puisons alors de même quelques autres échantillons tirés de notre article :
"
Puis, sans explication, apparaît la carte du bassin polaire telle que :
Mais, chose étonnante, une seconde image est présentée, comme si le caméraman voulait nous dire en douce : "Regardez cela un peu mieux" , mais le narrateur est resté lui, muet comme une carte, à ce sujet :
Et bien sûr, aucun des climatologues en question, n'a donné la moindre explication sur ce disque insolite , placé au cœur de la zone arctique.
A vous de juger, ces surprenantes contingences.
Cette situation, nous rappelle celle d'un journal télévisé d'Octobre 2006. Voilà de quoi il s'agit :
En effet, le Mercredi
04/10/06, nous avons eu l'opportunité de regarder le journal télévisé de 19/20 de
France 3 retransmis par
RFO guadeloupe de l'époque.

Dans un volet relatif
au déréglement climatique de la planète, un interlocuteur patenté a présenté sur un écran vidéo la calotte polaire nord. Mais ce qui nous a frappé d'emblée, c'est qu'il y figurait un super disque noir à peine plus petit que celui ci contre du
Science&Vie de Nov 2004, déjà vu plus haut.
Hélas nous n'avions pas capté sur DVD ces informations, et nous nous sommes précipités à l'adresse de l'époque:
Pour retrouver ce volet
sur les déréglements climatiques, mais malheureusement, nous n'avions pas le logiciel pour capter les images du film où figurait le disque noir. Le
6/10/06, nous en avons parlé
tout à fait par hasard , à notre cousin
Patrick, Directeur d'une école de langues, à Basse-Terre, qui nous a alors dit qu'il possédait un logiciel requis et qu'il allait nous envoyer les images en question.
Merci donc une fois de plus à
Super Hasard, et voici donc trois clichés parmi ceux que nous avons reçus :
Que peut-on dire sur ces photos surprenantes ? Nous avions toujours cru que le pôle géographique était symbolisé par un point et
non un disque. Sur la photo de gauche relative à l'année 2005, il aurait suffit de placer un petit point noir et tout à côté l'inscription bien visible,
(en jaune par exemple),
"Pôle Nord". Passons, on nous dira que le disque noir, c'était pour mettre en relief l'inscription. Mais pour 2006 on a carrément oublié de l'inscrire ce qui est plus étonnant.
Nous le savons déjà, l'intertnaute
Fabrice C...., dont nous avons parlé plus haut
, nous a affirmé sans sourciller:
" Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire..."
Eh oui bien sûr, comme c'est évident pour tout un chacun, et surtout, on attendait cette fois que l'interlocuteur scientifique de l'émission, nous en dise quelques mots de plus que le
Science&Vie de Nov 2004 (qui fut lamentablement muet à ce sujet ) . Là aussi dans ce journal télévisé du
04/10/06 ce fut
le silence de la pierre tombale ".
Fin de citation.
Revoyons alors le disque des images 2 et 3, et cela ressemble bien
une éclipse solaire...où quelque chose de très lumineux doit être camouflé
A vous de juger, une fois de plus, tout cela...
Rappelons aussi
au novice que l'après midi du
10/10/08, en recherchant une information dans nos dossiers, nous sommes tombés sur un entrefilet de la revue
TOP SECRET n° 33 d'
Oct-Nov 2007 :
D'abord, félicitons vivement notre ami
Roch Saüquere, Directeur de la revue
Top Secret, pour
la belle formule littéraire ("Ils decident de ce que nous devons croire et penser") de la couverture de sa revue.
Il nous reste maintenant à nous demander,
(concernant, à la page 5 de la revue, l'entrefilet présenté ici sur la droite de la couverture), comment il se fait, que sur
l'énorme étendue glacée et toute éclatante de blancheur de l'Arctique , on aperçoive
cette insolite pastille noire et qui évidemment
n'a jamais été expliquée par les commentateurs du journal télévisé de
LCI.
Mais, si nous agrandissons un peu, ce dique noir, cela nous donne grosso modo ceci :
On découvre alors qu'au bout de le flèche rouge, mise par nos soins, il y a
une faible luminosité qui semble fuser à deux endroits, en-dessous du disque en question. N'y aurait-il pas alors au centre de ce disque quelque chose de bien plus lumineux que l'on cherche à cacher.
A vous de juger !!
Mais, pendant que nous sommes, dans
la région arctique, poursuivons alors, notre exploration :
Le
14/08/09, nous avons reçu à notre cousin
Patrick, déja présenté plus haut, les
l'url suivant :
Et il y a aussi cette vidéo sur Youtube:
Au cas, où ces urls ne seraient plus opérationnels, voici de quoi il s'agit :
et voici encore une image déjà vue plus haut :
Que fait fait encore
cette pastille noire au sein de cette zone polaire ?
Mais pour être
objectif dans cette affaire, il serait tout de même utile de présenter
le point de vue officiel sur la question :
Voici donc,
quelques éléments significatifs, présentés sur le site très bien fait du
Développement Durable Magazine:
Écrit par : Romain
Houette dans réchauffement le 1 juillet
2008.
La glace recouvrant le pôle nord a de fortes chances de disparaître
entièrement dans les mois qui viennent. Voilà l'avertissement lancé par les
scientifiques du National Snow and Ice Data Centre (NSIDC) au Colorado.
Selon eux, il y a plus d'une chance sur deux qu'il n'y ait pas de glace au pôle
nord à la fin de l'été. Ils mettent en cause les importantes fontes de l'an
passé ainsi que la fragilisation des glaces par le passage de bateaux. La
banquise arctique a en effet fondu de 23% l'année dernière au point de reculer
jusqu'à moins de 1200 km du pôle.
La glace qui est venue cet hiver remplacer les lourdes pertes de l'an passé
est appelée par les scientifiques de « la glace récente d'un an ».
Cette glace, explique le journal The Australian, est mince et fortement menacée par la
fonte. Les scientifiques affirment que les données satellites des dernières
semaines montrent déjà que la glace récente fond plus rapidement que l'année
dernière. Un autre signe de la minceur de la glace récente est l'apparition de
plusieurs polynies dans la calotte glacière ; ce sont des zones libres de glace
situées dans la banquise, des lacs non gelés en quelque sorte. De plus, lorsque
la glace blanche et réfléchissante fond, elle laisse place à l'océan qui, étant
plus sombre, absorbe plus de chaleur et accélère encore la fonte aux bords de la
banquise. Dans la mesure où l'océan est également de plus en plus chaud, le
processus de fonte pourrait encore s'accélérer. Selon le chef adjoint de
l'expédition scientifique Arktika-2007, Igor Achik de l'Arctic and Antarctic Research Institute au sujet des
hausses de températures dans les couches supérieures de l'océan « les
température vont de 5 à 7°C. Jamais encore nous n'avions observé de tels
phénomènes. L'eau océanique n'a jamais été aussi chaude.».
Ci-dessous : évolution normale des glaces entre mars (maximum) et septembre
(minimum). La glace récente constitue la différence. (schémas
NSIDC)

«
A travers les années, le passage du nord-ouest est devenu de plus en
plus ouvert, mais sans jamais devenir une route maritime viable. 2007 est réellement la première année où ce fut le cas, »
estime Mark Serreze du NSIDC (ndlr : le passage du nord-ouest fut recherché par
les navigateurs pendant des siècles pour relier l'Atlantique au Pacifique). On
se rappelle également que l'année dernière, pour la première fois,
une équipe de chercheurs russes a pu plonger sous la banquise
en direction du pôle. A plus de 4 000 mètres de profondeur, rêvant d'or noir,
ils ont posé un tube en titane contenant le drapeau russe. Le professeur de
physique océanique Peter Wadhams de l'Université de Cambridge pense que
l'ouverture de l'Arctique l'été dernier implique une fonte quasi-certaine cette
année.
«
Du point de vue scientifique, le pôle arctique est un point
quelconque du globe, mais symboliquement parlant, il est considérablement
important. Il est censé y avoir de la glace au pole nord, et non de l'eau,
» assure le scientifique Mark Serreze au journal britannique
The Indépendant. Pour le Docteur Lindsay de l'Université de
Washington, «
il y a de fortes chances que tout le pôle arctique fonde.
C'est tout à fait possible, mais ce n'est pas certain. » C'est aussi là
l'avis d'autres scientifiques. Tous ne pensent pas que 2008 sera pire que 2007.«
A travers les années, le passage du nord-ouest est devenu de plus en plus
ouvert, mais sans jamais devenir une route maritime viable. 2007 est réellement la première
année où ce fut le cas, » estime Mark Serreze du NSIDC (ndlr : le passage
du nord-ouest fut recherché par les navigateurs pendant des siècles pour relier
l'Atlantique au Pacifique). On se rappelle également que l'année dernière, pour
la première fois,
une équipe de chercheurs russes a
pu plonger sous la banquise en direction du pôle. A plus de 4 000 mètres de
profondeur, rêvant d'or noir, ils ont posé un tube en titane contenant le
drapeau russe. Le professeur de physique océanique Peter Wadhams de l'Université
de Cambridge pense que l'ouverture de l'Arctique l'été dernier implique une
fonte quasi-certaine cette année.
«
Du point de vue scientifique, le
pôle arctique est un point quelconque du globe, mais symboliquement parlant, il
est considérablement important. Il est censé y avoir de la glace au pole nord,
et non de l'eau, » assure le scientifique Mark Serreze au journal
britannique
The Indépendant. Pour le Docteur
Lindsay de l'Université de Washington, «
il y a de fortes chances que tout
le pôle arctique fonde. C'est tout à fait possible, mais ce n'est pas certain.
» C'est aussi là l'avis d'autres scientifiques. Tous ne pensent pas que
2008 sera pire que 2007.
Selon les scientifiques du
projet Damoclès de l'Union Européenne, la probabilité
qu'il y ait moins de glace en septembre 2008 qu'en septembre 2007 n'est que de 3
%. Cette estimation provient d'une simulation réalisée sur un ensemble de
variables météorologiques et océanographiques. Pour le moment, les images
satellites leur donnent raison : mesurant 13,18 millions de km² au mois de mai
dernier, la banquise est plus grande de 280 000 km² que l'année dernière à la
même époque. Il faut néanmoins se rappeler que la glace récente risque de fondre
plus vite cette année.
Fin de citation partielle.
Bravo donc au site
DD Magazine pour cette étude pointue de ce qui se passait en 2007-2008 dans le zone polaire Nord.
Ce qui nous interpelle dans le schéma présenté, ce sont bien sûr,
les deux disques sombres, qui couvrent justement encore la zone du pôle nord, et qui prouvent ici
qu'il y a un problème. Certains diront qu'il s'agit
d'une zone non déterminée, à cause
de la limite du passage des satellites au dessus de la région, comme le montre cette image :
Mais il y a bien mieux en effet, le
19 Octobre 2012, nous avons reçu, la très intéressante missive suivante :
From: Jean-Philippe.......
Sent: Friday, October 19, 2012 4:50 PM
To: 'Fred IDYLLE'
Subject: RE: Terre creuse et Lune
Merci pour tes articles Fred, voici une image que tu dois connaître qui est tirée du site :
Certains diront : « Rien d'étrange du tout dans ces trajectoires, c'est simplement de la mécanique spatiale » voir le site:
???
Amitiés.
JPh
Nous avons déjà bien sûr, remercié vivement
Jean-Philippe, pour sa si aimable contribution
aux recherches pointues d'ARTivision.
D'abord pour les fortiches en Math, nous ne résistons pas au plaisir d'extraire du site précédent, la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :
Mais nous serions heureux d'apprendre par un spécialiste
que cette formmule prend bien en compte le fait que nous montre l'image, envoyée par
Jean-Philippe, à savoir que les nombreux satellites passant au-dessus de
l'Antarctique, restent encore cette fois-ci, tous tangents à un disque de diamètre bien déterminé.
Nous le savons aussi, que de nombreux internautes se sont aussi évidemment demandés
la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...
En plus de l'affirmation tonitruante vue plus haut de l'internaute
Fabrice C..., voyons à nouveau celle du nommé
Guihem déjà aussi vue; plus haut :
Vous avez bien noté, que le nommé
Guihem, donne sa
prétendue explication, qui n'est qu'une réponse de normand, car
il ne dit pas du tout, pourquoi les satellites en question
n'arrivent pas à prendre la zone incriminée en photo.
Cependant, il est à noter que l'internaute
Patrick C......, et le
Guihem en question, et bien d'autres inconnus qui
ont jubillé, en nous lançant à la figure, cette histoire de
la limite de la couverture satellitaire, si évidente pour eux, sont
lamentablement restés muets, quand nous avons présenté dans nos articles
cette photo assurément trafiquée du
pôle nord de Jupiter, extraite du
n° 266 de la revue
Ciel&Espace de Février 1992 :
Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette
pastille noire ,, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle, on voit nettement là encore, fuser
des rayonnements lumineux notoires. Que fait
là, cette
obscure pastille très géométrique ? Elle n'a rien à voir,
ici, bien sûr, avec
une limite satellitaire quelconque,
n'est-ce pas !!!. Hélas nous n'avons pas reçu, une seule réponse
même vaseuse, depuis des années, des
prétendus rationalistes endurcis, concernant cette très étrange photo de
Jupiter de la Nasa..
.
A vous de juger
Rappelons qu'
ARTivision, a déjà évoqué cette affaire de circulation des satellites aux pôles de la Terre, dans notre article :
mystifications.html, où d'abord, on trouve une image surprenante réalisée par ordinateur donnant la trajectoire de tous les débris de matériels lancés à l'époque dans l'espace terrestre :
Ce qui frappe en priorité dans cette figure, c'est que toutes les trajectoires semblent passer tangentiellement à un disque, ou à un cylindre dont le centre serait sur l'axe des pôles de la Terre. Pas un débris ne traverse diamétralement ce disque. C'est
très bizarre cela.!!!
Trève de plaisanterie, le site
ARTivision, sait donc parfaitement ce qui s'est passé. Ce n'est pas
une affaire de blocs de glace en vadrouille qui fuient la zone rouge, mais bien
l'affaire des satellites qui ne survolent pas une certaine zone polaire, et donc ils ne peuvent pas photographier les blocs de glaces de ce coin. Revoyons donc la superbe image présentée plus haut ::
Et finalement, redemandons au nommé
Guihem, dont nous avons exposé plus haut la
prétendue explication de normand, concernant la présence
de disques insolites sur les cartes des régions polaires,
pourquoi alors les satellites en question, ne passent jamais au dessus des Pôles de cette planète ? ... Point Barre.
Et dire que certains croient, qu'avec nos nombreux satellites explorant la
Terre,
plus rien ne peut rester cacher . Allez encore un petit coup d'oeil, pour la route :
Pour bien comprendre cela, il vous savoir que, le
14 Nov. 2000,
nous avons enregistré sur la chaîne
Tempo, qui a disparu depuis belle lurette de nos ondes tropicales, la rediffusion de l'émission bien connue de
Frédéric
Courant, Jamy Gourmaud et Bernard Gonner,
C'est
pas sorcier, consacrée justement aux satellites de
la Terre. Mais écoutons textuellement ce que nous dit
Jamy
au sujet du satellite
SPOT, qui
orbite à 830 Km de la Terre:
;"Comment le satellite SPOT,
peut-il observer toute la Terre, d'autant que lorsqu'il passe au dessus
de nos têtes, il ne couvre qu'une bande d'une centaine de Km ? Eh bien
d'abord, il faut savoir que SPOT a une orbite
polaire, autrement dit, il fait le tour de la Terre en passant par les
deux Pôles, et il boucle un tour complet en un peu plus d'une
heure et quarante minutes. Seulement comme la Terre tourne, elle aussi
autour d'un axe, hé bien d'un tour à l'autre SPOT ne passe pas au même endroit et peut
ainsi couvrir toute la Terre en un peu plus de 26 jours..."
Nous avons évidemment souligné en rouge, les mots clés de
cette déclaration, qui montrent comment
on
nous induit petit à petit en erreur en prétendant que les satellites
connus passent par les pôles, et qu'ils
balayent
ainsi toute la Terre, bien que l'on sache que ce
genre d'émission est destiné
à la jeunesse et qu'il ne faut pas lui
demander une grande précision. Reste à savoir, cependant, si les
protagonistes, eux mêmes, de cette émission, ont été
"initiés" dans leurs études universitaires,
à
"cette affaire polaire", mise en exergue par
ARTivision, dès
Septembre 2000.
Eh oui, pourtant comme on l'a vu plus haut, il existe bien
une vaste région polaire, nord et sud, qui n'est pas explorée par nos satellites.
Nous attendons,
vos suggestions à ce sujet avec ferveur...
En conclusion, de cette affaire inexplicable des
blocs de glace de la banquise en vadrouille, et qui pourtant évite soigneusement de traverser une zone parfaitement déterminée par notre image au
disque rouge, que nous vous présentons une fois de plus, tant elle est extraordinaire :
Bravo donc alors à ces blocs de glace, qui par une
solidarité transcendante, ont réussi à fuir une sorte de
zone vampirique qui ne pouvait que leur être néfaste. Et
aux spécialistes de nous expliquer plus avant, tout cela .
Mais alors,
Messieurs les irréductibles zélés et zététiques détracteurs, qui parfois, aiment bomber le torse, en attaquant le Webmaster du site ARTivision, ce dernier vous invite à avoir un peu plus de modestie dans vos affirmations, et au moins à ré-écouter cette superbe réplique du grand acteur que fut Louis Jouvet, et réplique extraite du film de 1937 "Drôle de Drame" de Marcel Carné avec la (Voix de Jouvet), telle que :
Moi, j'ai dit BIZARRE,
BIZARRE ? COMME C'EST ÉTRANGE ...
Mais ce
13/08/2015, nous allons soulever ici, l' énigme extraordinaire concernant
les mammouths découverts congelés dans l'Arctique et les environs et ayant dans la Gueule les vestiges de leur dernier repas . Ceci fera donc l'objet de notre
17e focus :
Focus n°17 : Où ARTivision, explique le mystère des mammouths découverts congelés avec dans la gueule, l'herbe de leur dernier repas .
Mais pour bien appréhender
cette très étrange affaire reprenons alors, une partie du texte, vu plus haut
au focus n° 3, et tiré d' un article de
Jean Brun publié par l'hebdomadaire
Nostra du n° 425 de la semaine du 29 Juin au 4 Juillet 1980. et ou BYRD aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord en 1926 .
Voici donc quelques lignes de cet article :
"...A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.... "
Fin de citation .
Disons à nouveau,
merci mille fois à
tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur Jean BRUN (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents,
où il a puisé les éléments de ce qui précède. Il y va de
notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de
notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire.
Enfin, il y a aussi
le témoignage surprenant de
Miss Dorothy E. Graffin, présenté dans le livre très criticable de l'écrivain anglais
Alec Maclellan intitulé
"The hollow Earth Enigma" :
On y trouve cette affaire d'une dame de New-York, dans une missive envoyée parait-il à l'écrivain
F. A Giannini ( affaire non citée nulle part par Giannini), qui prétend avoir assisté à la projection d'un film à l'époque, où il y avait, la séquence dite
des actualités :
" Cette année (1929) un film d'actualités a pu être vu dans les cinémas d'Amérique, où l'on y décrit les deux vols. Ce film a également montré des photographies de journaux concernant "la terre au delà du pôle avec ses montagnes, les arbres, les rivières et un grand animal identifié comme un mammouth". Aujourd'hui, ce film d'actualités ne semble pas exister, bien que des centaines de gens se souviennent de l'avoir vu. Ils ont vu des choses enregistrées sur ce film qui prouve que cette terre inconnue, inexplorée, et actuellement non admise, existe."
L'auteur dit que l'existence de
ces actualités filmées, a également été confirmée dans un certain nombre
de lettres de gens qui les avaient vues.
Mais d'après ce qui suit cette lettre aurait plutôt été envoyée à
Ray Palmer, Directeur de la
Flying Saucer's Review:
En effet, voici ce que l'on peut lire sur le site :
"Magazine editor and publisher Ray Palmer stated that hundreds of his magazine readers recalled seeing the newsreel filmed by Admiral Byrd during his 1929 flight BEYOND the south Pole. It was shown that year in American movie theatres. Here is a letter from one of the magazine's readers:
"Dear Ray Palmer,
There still seems to be considerable controversy about Admiral Byrd's flights to the North and South Poles and what he saw in the interior of the earth at the South Pole, but nobody ever mentions the DOCUMENTARY FILM, WHICH BYRD TOOK ON HIS FLIGHT IN COLOUR, and which was shown in motion picture theatres throughout the United States soon after Byrd's return home. (My sister (Miss Dorothy E. Graffin), and I, saw this in White Plains, New York.)
Byrd narrated this film himself and EXCLAIMED IN WONDER, AS HE APPROACHED A WARM WATER LAKE SURROUNDED BY CONIFERS, WITH A LARGE ANIMAL MOVING AMONG THE TREES, and what Byrd described as a 'MOUNTAIN OF COAL, SPARKLING WITH DIAMONDS'.. Sincerely,".
Et voici notre traduction approximative :
"Éditeur de magazine et éditeur Ray Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs de magazines se rappelaient le fait d'avoir vu les actualités filmées par l'amiral Byrd au cours de son vol 1929 AU-DELÀ du Pôle Sud. Ce film a été diffusé, cette année là, dans les cinémas américains. Voici une lettre d'une des lectrices du magazine:
"Cher Ray Palmer,
Il semble toujours y avoir une controverse considérable sur les vols de l'amiral Byrd aux pôles Nord et Sud et ce qu'il a vu à l'intérieur de la terre au pôle Sud, mais personne n'a jamais mentionne le FILM DOCUMENTAIRE en couleur que BYRD a pris lors de son vol , et qui a été montré dans les salles de cinéma aux États-Unis peu de temps après le retour à domicile Byrd. (Ma sœur (Miss Dorothy E. Graffin) et moi, avons vu ce film à White Plains, New York.
Byrd commentait lui-même ce film et exprima son émerveillement, comme il approchait un lac d'eau chaude, entouré par des conifères, et apparu un gros animal se deplaçant sous les arbres que Byrd décrit comme une "MONTAGNE CHARBONNEUSE", étincelante de diamants ».
Cordialement,"
"Fin de citation.
Comme vous le voyez il n'est pas mentionné dans quel document de
Ray Palmer apparaît
cette extraordinaire lettre. Il va sans dire, qu'il est
donc impérieux que l'on retrouve ces lettres, si elles n'ont pas été jetées négligemment, à la poubelle...
Quant au film en question, il existe certainement quelque part, et il est évident que le journaliste ou autre archiviste qui mettra la main dessus, touchera
bien plus qu'un gros lot de la loterie.
Avis aux amateurs.
Mais présentons plutôt des textes officiels parlant de ces mammouths trouvés congelés par ci par là :
Voici ce que nous lisons par exemple dans la revue
le Point n° 1148 du 17 Septembre 1994 :
Vous avez noté, nous l'esperons, l'expression :
" émergent de temps à autre du permafrost de la steppe aussi "vivant" que pourrait l'être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur." - Pas mal n'est-ce pas comme allusion ?
Nous avons eu la chance de découvrir sur Google
l'url d'un site qui diffuse de nombreuses images :
Mais c'est l'image
n° 21 qui a retenu particulièrement notre attention. Cette image extraordinaire est très probablement un montage, mais c'est très bien fait :
On y voit, un mammouth encastré dans un glacier et ayant une patte qui émerge du bloc de glace.
Voici aussi une autre vue d'artiste, tirée du livre
"A Journey to the Earth's Interior" de
Marshall B. Gardner page
222 bis :
De toute façon, ces images trafiquées sans doute, ne sont pour nous
qu'un prétexte pour faire pénétrer plus avant dans
les
tenants et les aboutissants d'une histoire
absolument fantastique, qui est reliée, nous le pensons fermement, à
l'affaire du trou polaire nord vue plus haut.
Mais voyons de plus près quoi il s'agit :
Tout est parti de l'ouvrage d'
Immanuel Velikovsky, intitulé :
" Mondes en
collision" publié chez
Stock
en
1976 ,
(mais paru aux USA chez Mac Milan Company New York dès
1950) :
On sait que les théories
d'Immanuel Velikovsky qui ont trait à des bouleversements planétaires, ont été sévèrement combattues, par les Universités qui enseignaient que la Terre s'était formé progressivement sans cassure brutale, donc
sans catastrophisme. Et maintenant, on pense parfaitement que les dinosaures auraient été exterminés à la suite de la chute sur Terre d'un météore géant. Donc on admet implicitement
"les boulversements planétaires" préconisés par cet
audacieux Velikovsky.
Nous avons aussi l'ouvrage
"Les grands bouleversements terrestres" du même auteur, également publié chez Stock en
1982 et dernièrement la revue ésotérique
"Le monde de l'inconnu", lui a rendu un hommage très mérité sur de nombreuses pages... dans son
n° 305 :
Mais, découvrons alors, ce que nous avons souligné en rouge en pages 22 et 23 de
"Mondes en collision" :
Mais il y a mieux : En page en page 24 du même livre, nous lisons :
" Dans leur estomac et
entre les dents on a découvert de l'herbe et
des feuilles non encore digérées. Preuve nouvelle de
leur mort brutale. Des recherches ultérieures ont démontré que les brindilles et les feuilles
trouvées dans leur estomac n'appartiennent pas à des plantes
qui poussent dans les régions où moururent les animaux, mais
beaucoup plus au sud , à plus de 1 500 km de là ."
Il semblerait
d'après Velikovsky
que les étranges informations que nous avons soulignées en rouge dans
son texte, auraient été tirées des observations d'un certain D.-F
Hertz dans B. Digby, dans son ouvrage The mammoth (1926), page 9.
Nous demandons alors à tout internaute possédant ce livre ou un
autre, parlant
de brins herbes
découverts dans la
gueule de mammouths congelés, d'avoir l'extrême
amabilité de nous en toucher deux petits mots. Merci mille fois d'avance.
Mais il est peut être utile de n'avoir pas qu'un son de cloche dans
cette affaire de Mammouth congelé, et pour ceux qui n'ont pas encore lu notre article sur l'
amiral Byrd , donnons ici quelques paragraphes du livre de
Peter Kolosimo, publié chez
A. Michel en Mai
1970 , et intitulé :
" Terre énigmatique" :
Cet auteur
Peter
Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation
scientifique et qui a côtoyé les savants
Jacob
Eugter, Hermann Oberth et
Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a
reçu l'important prix littéraire italien
"le Premio
Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la
traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.
Peter
Kolosimo, nous relate page 19, ceci :
" Le mystère s' épaissit en
1901, quand on découvrit, au bord de la
rivière Berescovka, une carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu de
son estomac, était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait absorbées: des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine
floraison, c'est-à-dire dans l'état où cette plante se trouve en
fin Juillet ou début Août. La mort avait été
subite: Dans la gueule de l'animal, il y avait encore des
brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement
déchaînée qui l'avait transporté à des kilomètres de
distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés,
il était tombé à genoux et il était mort de froid... dans
la saison la plus chaude de l'année. "
C'est très curieux n'est ce pas?
Dans un autre ouvrage publié également chez
A. Michel en 1974 et intitulé
"La Planète inconnue":
Et on y découvre alors, ceci :
" Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte en 1909 dans la vallée de
Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années , le corps d'un troisième mammouth non détérioré
revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L'océan
Glacial Arctique; soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita
l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque
éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l'herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à
la flore d'une région très fertile. Cette
constatation ne pouvait laisser la place qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale,
déterminée par une catastrophe imprévisible:
les Mammouths avaient certainement été enveloppés, tout de suite
après leur mort , par un manteau de glace. Comment
expliquer autrement leur extraordinaire
conservation? "
Ces hallucinantes
narrations de Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un
chacun d'ailleurs, dans la perplexité la plus
totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de congélation de
l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons
toujours l'explication, autre que (ces informations de
1901 et 1909 sont-elles fiables?). De plus, nous constatons que
malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la
datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule
de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que
cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à
l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait
à une époque très proche de nous et non pas du
tout, il y a 20 000 ans, date supposée
à laquelle vivaient ces mammouths ?
Si l'on pouvait donc mettre la main sur les rapports des laboratoires
qui ont fait les analyses, ( à condition que l'on ne les ait pas jetés à la poubelle), on pourrait peut-être tomber
sur un petit
détail ou un
commentaire ,
très significatif
Mais, chacun sait aussi , en plus que l'on retrouve, de temps en temps, des mammouths congelés dans les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov , découvert intact en 1997(posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne. (Nous attendons à ce sujet les rapports d'analyse)
Le 30 Avril 2012, nous avons eu le privilège que regarder un remarquable documentaire sur la découverte plus récente en Sibérie d'un autre bébé mammouth qui, nous dit-on souvent dans ce documentaire, est d'une "stupéfiante conservation", bien qu'il soit vieux de 40 000 ans:
Mais il y avait aussi bien avant, l'émission
Thalassa intitulée
"Dans le sillage des Mammouths", et qui est passée le
20/10/01 en Métropole et reprise par la suite en Guadeloupe sur la
Chaîne Tempo,qui n'existe plus.
Nous reprenons ici, quelques propos tirés du documentaire
(joint à cette émission) de
Pierre Fauque, Bernard Buigues et Jean-Charles Deniau concernant l'extraction en 1999 du sol des glaces sibériennes du mammouth cité plus haut nommé Jarkov et documentaire que nous avions eu la chance d'enregistrer auparavant sous le titre
"Mammuthus"
Commentaires du narrateur: "...La partie la plus délicate du travail commence . La fosse est profonde de 6m. Alors il s'agit de tailler le permafrost à l'horizontal sous le mammouth. C'est à cet instant que Dick et Bernard font une vraie découverte. " Regarde ça, à certains endroits, il y a une drôle d'odeur . On dirait quelque chose d'organique. Si l'on s'approche, ça sent vraiment. C'est intéressant; ça a au moins 20 000 ans; incroyable, inimaginable, sous le mammouth, protégés par son corps au moment de sa mort, les plantes aquatiques sont intactes. Elles ont donc aussi plus de 20 000 ans." L'enthousiasme de Dick et Bernard est à son paroxysme . "C'est entrain de fondre et ça sent. Ouais l'odeur est très très forte. C'est de la matière organique. - Regarde comment sont les restes - et la couleur sur celle là est très belle (Apparaît alors à l'écran une petite tige de plante d'une couleur éclatante verte ou jaune).- Tu peux voir le morceau coupé, il y a un trou dedans et c'est encore vert - Le plus magique pour moi, c'est la couleur;- elle est conservée d'une manière intacte.- Oui c'est très très spectaculaire - le froid et aussi l'argile favorisent une conservation extraordinaire des végétaux et du mammouth. Ce morceau est extrêmement riche, ce sont des végétaux qui proviennent d'un étant ou d'un petit lac - Cela va nous fournir de nouvelles informations sur la végétation aquatique à l'époque du mammouth."
fin de citation des commentaires du film
Notez bien que dans le documentaire ci-dessus, l'on voit aussi un chercheur dégager du permafrost une énorme touffe de poils roux de l'animal, avec un simple sèche-cheveux. Comment peut-on encore après 20 000 ans, retrouver des poils aussi bien conservés qui ne s'effritent pas au toucher et dont la couleur et aussi l'odeur, n'ont même pas disparu ? Mais de plus, on fait état dans ce documentaire de la découverte de pousses de végétations encore vertes après 20 000 ans ? Et vous avez noté aussi, nous l'espérons, les termes dithyrambiques utilisés par le narrateur et aussi par les chercheurs: incroyable, inimaginable, magique , très très spectaculaire, etc.. mis en rouge dans le texte. On aimerait bien, n'est-ce pas, consulter les rapports de datation des organes trouvés et si bien conservés.....Ah si un aimable internaute pouvait mettre la main sur ces rapports (non trafiqués cela va de soi), alors comme tout deviendrait plus clair....
L'explication serait d'après Gardner déjà cité: " que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l'intérieur de la Terre. Certains d'entre eux arrivent jusqu'à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l'ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs."
C'est à notre avis bien sûr, pour l'instant, la seule explication ( et nous publierons, ici, toute autre, meilleure que celle-là, que les internautes nous proposeraient ), capable de résoudre cet irritant problème de la soudaineté de la congélation qui s'attache au phénomène.
En Sibérie, le long de la Léna, on a retrouvé les ossements et les défenses de milliers de mastodontes . L'opinion scientifique, on le sait, est unanime à penser que ce sont des vestiges de l'époque préhistorique. Les mammouths vivaient là, nous l'avons dit, il y a quelque 20 000 ans, mais ils furent anéantis dans une terrible et mystérieuse catastrophe. Cette catastrophe pourtant, est inconnue dans les annales, en raison justement de cette soudaineté, qui ne permet même pas à un mammouth de digérer l'herbe qu'il a dans la gueule.
Mais terminons voulez-vous cette affaire de pachydermes par ces quelques lignes plus modernes, mais toutes aussi surprenantes glanées dans un article d'Hervé Ponchelet, tiré de l'hebdomadaire "Le Point" n° 1148 du 17 Sept. 1994:
"...il provient d'une récente "chasse" aux mammouths dans le grand Nord Sibérien. Des mammouths qui, pourtant disparus depuis la fin de la dernière glaciation, émergent de temps à autre du permafrost, le sol toujours gelé de la steppe, aussi "vivants" que pourrait l'être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur...Dans l'île de arctique de Wrangel des chercheurs russes n'ont-ils pas récemment trouvé des dents de mammouth à peine vieilles de 4000 ans? Une époque postérieure à la fin de la dernière glaciation qui, croyait-on, avait signé le glas des mastodontes. Particularité: ces dents ont appartenu à des mammouths nains ne dépassant pas 1,80m de hauteur, contre 3 m à leur ancêtres du continent. Troublant, car sur des fresques murales égyptiennes du temps des pharaons, un chercheur a découvert un éléphant nain qui ressemble bougrement à un mammouth laineux. D'ici à ce que l'on tombe comme le prétendent certaines légendes, sur des mammouths vivants...
En 1977, coup de tonnerre. En attaquant à la lance à incendie les berges gelées de la rivière Kirgiliakh, dans la région de Magadan, des chercheurs d'or mettent à jour un bébé mammouth. Le corps (1,15 m de longueur, 100 Kg) est dans un état de conservation extraordinaire. L'animal auquel il ne manque que la toison, devait avoir 7 mois lors de son décès. L'autopsie, conduite à grand renfort de publicité pour la glorieuse science soviétique, permet de retrouver dans l'estomac et le tube digestif du mammoutheau surnommé Dima, son dernier repas. Dans son cœur, arrêté depuis 40 000 ans, 1,5 gramme de sang séché, dont globules blancs et rouges se distinguent encore.
A l'époque, on commence à peine de parler de manipulation génétique. Pourtant, des biologistes soviétiques laissent entendre qu'à partir du noyau d'une cellule du mammouth de Magadan, placée dans un ovule énucléé d'éléphante d'Asie, on pourrait par clonage faire revivre le géant de la préhistoire. "
Vous avez bien noté, nous l'espérons, les termes vivants, troublant, état de conservation extraordinaire, coup de tonnerre, son dernier repas etc... qui montrent bien "la surprise" de l'auteur de l'article en question, devant le caractère insolite de cette affaire de Mammouth. Quant à la note finale, à la "Jurassic Park", nous avons bien voulu aussi, la citer, pour montrer encore une fois, "que la réalité pourrait rejoindre ici, bien vite la fiction."
Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que les datations avancées dans les divers cas précédents auraient fait l'objet d'une déclaration de circonstance à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que le mammouth congelé vivait à une époque très proche de nous, et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths sur cette planète Terre ?
Rappelez-vous les incroyables pressions subies par les scientifiques dans les deux cas suivants :
Premier cas :
1976, la momie de Ramsés II qui présentait des moisissures, fut envoyée en France par le Musée du Caire, pour des soins d'urgence. Des échantillons de la substance d'embaumement furent prélevés par Michelle Lescot, botaniste au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris.
Elle découvre alors avec ahurissement que ces échantillons contiennent des feuilles de tabac, ce qui parait impossible, d'après les connaissances actuelles, car le tabac n'a pu être rapporté en Égypte via l'Europe que 2700 ans plus tard au retour de Christophe Colomb.
Deuxième cas plus grave:
16 ans plus tard en 1992 une découverte toute aussi étonnante va avoir lieu. Svelta Balabanova une toxicologue de Munich, chargée
d'étudiér les drogues utilisées pour réaliser la momie
vieille de 3000 ans, d'Enouctaoui (écriture non garantie), une
prêtresse égyptienne, découvre
alors, elle aussi avec stupéfaction, que le corps de cette momie
contient de grandes
quantités d'une substance contenue dans les feuilles de coca et
que de plus, l'analyse des cheveux prouvent que cette prêtresse
en avait, elle même, consommée
avant de mourir. Cette annonce fait l'effet d'une bombe, et la scientifique allemande reçoit alors des montagnes de lettres, presque menaçantes, des lettres d'insultes (vous avez bien lu, et ceci est à rapprocher de l'affaire Glozel citée dans un de nos articles ) disant que tout cela était absurde et impossible, car il était soi-disant prouvé, qu'avant Christophe Colomb, cette plante, la coca , d'où l'on extrait la cocaïne, n'existait nulle part ailleurs, qu'en Amérique. Et la toxicologue allemande, s'est vue alors obligée d'affirmer dans l'émission, qu'il ne peut y avoir d'erreur dans la méthode d'analyse, car cette méthode a fait ses preuves des centaines de fois.
A bon entendeur salut...
Terminons cette affaire de congélation brûtale inexplicable, par ce petit plus, digne de surprendre les plus blasés des quidams lambda :
Cette information provient du Science et Vie d'Avril 1959 n° 499 :
Voici de quoi il s'agit, à droite de la couverture :

Ce
surprenant entrefilet est tiré de la page 33 d'une rubrique intitulée
Le Monde en marche. Croyant à un poisson d'Avril, nous nous sommes précipités sur le
n° 500 de Mai 1959, de la même revue, qui
aurait dû nous avertir que cette information était un poisson d'avril, bien que ce n'était pas du tout le genre de la maison à l'époque. Nulle part dans ce n° 500, on ne parlait de
cette affaire de baleine congelée. Nous y avons même trouvé, cette autre entrefilet, qui parle lui aussi, des baleines :
Concernant l'affaire
(qui seule nous intéresse ici) de la
baleine congelée, nous n'avons pas souvenance, du tout, d'avoir à l'époque entendu une telle information
(pourtant de taille) à la radio. Si vous l'avez entendue, Il est de la plus haute importance de nous le faire savoir. Nous avons dejà écrit à
un organisme français du Spitzberg, hélas sans succes. Peut-être qu'un
autre internaute béni, aura plus de succès, que nous.
Même, en ces temps actuels certaines informations tombent et l'on n'a pas eu d'echo de cela quand l'événement a eu lieu. Voyez cette affaire
de vol de roches lunaires, qui est restée
sous le boisseau de la NASA, sans que les principaux médias en soient au courant...
Il y a bien d'autres faits, de même nature,
qui nous sont très bien occultés, et faits importants encore décrits par
le livre jaune n° 6 dont nous avons déja parlé plus haut. Finalisons ici les déclarations de cet ouvrage, qui
a mis très mal à l'aise, de très nombreux
bien-pensants :
Revoir déjà plus haut, ce que l'on trouve en page
246 de ce livre :
Et voici la suite :
"En 1799, le pêcheur sibérien Schumachoff fait une incroyable découverte, un squelette entier de mammouth, congelé dans un bloc de glace. Les loups avaient commencé à dévorer la viande qui dégelait. Le squelette a pu être sauvé, il est exposé maintenant au Musée d'Histoire Naturelle de St-Petersbourg. Les os de mammouth ne sont pas rares en Sibérie. Sur les bords de la Lena, on en trouve de des milliers. On explique leur présence par une glaciation qui serait apparue brutalement, il y a 20 000 ans. Mais il existe une autre explication, plus inattendue. Marshall B. Gardner, un écrivain américain, l'a proposée en 1920. Les mammouths seraient des animaux qui viennent de l'intérieur de la Terre,
leurs cadavres auraient été charriés par les grands fleuves qui sortent de l'ouverture du pôle, et se seraient échoués sur les côtes sibériennes. On a trouvé toutes sortes d'animaux surprenants dans les glaces de la banquise : des hippopotames, des lions, des hyènes et des rhinocéros. La position géographique particulière de leurs tombes peut s'expliquer par le fait que l'axe de la Terre a pu être inclinée beaucoup plus à une certaine époque, et la région polaire aurait ainsi connu un climat tempéré ou même subtropical, à une certaine époque... "
Mais il y a encore mieux dans l'émission intitulée
"Le mythe du déluge" de la
Chaine PlanèteSat telle que :
Voyons, ce que ce documentaire nous dit au sujet
des mammouths.
" ....Dans le sol perpétuellement gelé de la Sibérie et de l'Alaska on trouve des millons d'ossements mélès ayant appartenu à des animaux qui ont péri dans un cataclysme. Le grand mammouth, n'a pas succombé aux chasseurs de la préhistoire, il a été fauché par une catastrophe naturelle.
Au début du 20e siècle, des trappeurs sibériens découvrent le squelette d'un animal gigantesque. on le déterre, puis on l'analyse.
Son estomac contient des restes de plantes poussant dans un climat tempéré. L'animal a été congelé à une vitesse qui dépasse les capacités des congélateurs les plus modernes.
Ce dont on est sûr, c'est qu'il a 12000 ou 13000 ans, un grand froid s'est abattu sur la Sibérie, qui ne s'est plus jamais réchaufé depuis.
L'énigme des mammouths congelés en quelques heures a suscité quantités d'annectotes. Certaines sont véridiques d'autres non comme celle des steaks de mammouth servis à ferbanks en Alaska. L'une des annecdotes probablement authentique est celle du baron Wrangel, un naturaliste russe du 19é sur l'ile qu'il découvre dans l'archipel aux ours du Nord de la Sibérie et à laquelle il va donner son nom. Le sable était retenu par des digues de défenses de mammouths et des ossements d'autres animaux disparus lors d'une mistérieuse catatrophe primitives.
Ces extinctions de masse, cette terrible activité volcanique, la rapidité de la fonte des glaces, tout cela semble indiquer qu'une immense révolution climatique a eu lieu, il y a 12 000, mais la cause de cette révolution reste énigmatique.
Arrêtons là notre transcription suprenante, bien que nous aimerions en dire plus. Vous avez noté le fait que l'on parle, à un endroit, de
" L'énigme des mammmouths congelés, en
quelques heures", et a un autre endroit plus haut
"L'animal a été congelé a une vitesse qui dépasse les capacité de congélateurs les plus modernes. La question qui se pose là, dans ce discours, est de savoir s'il faut quelques heures à un congélateur moderne pour figer conplétement un amimal qui n'a pas même pas le temps d'avaler l'herbe qu'il a dans sa gueule ? Ne trouvez vous pas qu'il y là
comme un hic ?
Et puis pourquoi des amimaux qui ne vivent pas mélangés entre eux comme
des antilopes, des bisons, des loups, d'énormes félins... se retrouvent
tous vautrés les uns sur les autres dans une mort inexplicable ? Vivaient-ils dans un paradis terrestre où le carnivore jouait avec l'herbivore pour aller par la suite bras-dessus bras-dessous au même cimetière quand l'heure était arrivé, cataclysme ou pas?
Tout cela, on le voit, nous interpelle et nous avons cherché sur quelques sites internets la réponse :
Nous ne contestons pas que la Sibérie ait changé de climat à une époque donnée et que divers animaux y vivaient alors. Mais hélas en ce qui concerne
la soudaineté du phénomène qui a frappé, par exemple
le mammouth de la Beresovka, c'est
le silence glacial, si l'on peut nous autoriser ce jeu de mot de circonstance.
A vous donc de juger tout cela.
Voyez aussi donc
(dans ce même documentaire de La Chaine Planète), en effet ce qui est arrivé à l'archéologue
Jean Steen-Mackintyre qui en
1966 découvrit un site au Mexique, possédant des outils en pierre et des ossements humains qu'elle fait dater par divers laboratoires, persuadée que ces objets avaient, au plus,
20 000 ans date voisine de ce qui est accepté officiellement. Mais le résultat de ces laboratoires surprendra tout un chacun, car les objets furent datés de
250 000 ans. :
Jean Steen-Mackintyre qui voulait s'en tenir aux résultats des datations fut discréditée et
elle perdit son emploi, car le site fut fermé par les autorités...Plus tard on trouva en Russie un site analogue vieux de 300 000 ans ce qui donnait bien raison à l' archéologue déchue
Jean Steen-Mackintyre.
Malheur donc à ceux qui osent défier les pontifes...
Voici d'ailleurs la dernière image, un peu plus élaboréee de ce documentaire vue plus haut de la Chaine Planète :
Merci cette fois-ci à la revue
Pour la Science de Avril-Juin 2004: Dossier Hors Série n° 43 :
La vie au temps des mammouths :
A suivre...
Fred IDYLLE
Article mis en page le 07/07/2015 , et revu le 08/07/2015 , et revu le 09/07/2015 , et revu le 10/07/2015 , et revu le 11/07/2015 , et revu le 12/07/2015 , et revu le 14/07/2015 , et revu le 15/07/2015 , et revu le 17/07/2015 , et revu le 18/07/2015 , et revu le 19/07/2015 , et revu le 21/07/2015 , et revu le 22/07/2015 , et revu le 23/07/2015 , et revu le 24/07/2015 , et revu le 25/07/2015 , et revu le 26/07/2015 , et revu le 27/07/2015 , et revu le 29/07/2015 , et revu le 05/08/2015 , et revu le 07/08/2015 , et revu le 08/08/2015 , et revu le 10/08/2015 , et revu le 11/08/2015 , et revu le 13/08/2015 , et revu le 09/11/2016 .
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