Ces expressions semblent parfaitement s'accorder avec ce que nous disait, plus haut
En somme, si nous comprenons bien tout cela, le système fonctionnerait comme
le four à micro-ondes, qui chauffe rapidement l'aliment que l'on y place,
mais le four lui-même, demeure parfaitement froid, dans son environnement...
Avouons donc que, si tout ceci est sorti du cerveau d'un auteur plein d'imagination,
il est vraiment fortiche, et il pourrait facilement écrire un roman de Science-Fiction,
qui surclasserait de loin, les meilleurs du genre.
Vous avez aussi, bien noté par ailleurs, plus haut, que
le narrateur explique ce qui suit, bien avant
le prétendu débarquement lunaire de Neil Armstrong et de Buzz Aldrin, en Juillet 1969 :
" Itacar me dit que nous étions sur le satellite de la Terre, c'est-à-dire, la Lune"
A vous de juger tout cela, ce document exceptionnel, à l'appui...
Ce qu'il faut aussi savoir, c'est que nous avons été en correspondance avec le Directeur de la revue
Ondes Vives J.C Salémi, et il nous a dit,
ses vifs regrets, de n'avoir pas pu obtenir plus d'information sur le
Maître Pomar, présenté par
le Groupe de Bologne d'Italie.
Quant au personnage narrateur de l'histoire en question, ce pourrait etre
le nommé Luciano Galli, un mécanicien de 42 ans, de Bologne en Italie, dont la fantastique aventure du 7 Juillet 1957, dans une soucoupe volante, fût publiée en 1962, par le journal italien Corriere della Serra...
Nous demandons donc,
avec la plus grande déférence,
à toute personne connaissant l'italien, de rechercher plus avant, ce qu'est devenu,
ce Groupe de Bologne, qui opérait déjà en 1962.
Merci mille fois d'avance.
Cependant, il nous reste à présenter,
d'autres documents, qui prouvent que le Maitre Pomar, a entièrement raison, dans cette incroyable déclaration...
Commençons donc ce
30 Décembre 2018, par présenter quelques schémas explicatifs, relatifs à la position de la Terre par rapport au Soleil en été et hiver.:
a) Premièr éclairage
schématique très significatif .
Cette affaire folle et incroyable concernant notre
Soleil, a déjà été évoquée plusieurs fois par
ARTivision, qui en a déduit alors, que la surface
du Soleil ne serait pas du tout brûlante. Pour expliquer plus avant cette affaire, prenons l'exemple élémentaire suivant, en partant du simple schéma de fonctionnement, d'une loupe convergente :
Un primitif vivant au fin fond de l'Amazonie, qui serait déjà surpris, en voyant qu'en plein jour que l'on peut allumer un feu avec cette simple loupe, il serait encore plus étonné de découvrir qu'après l'arrivée de la flamme dans les brindilles de bois, que la loupe est parfaitement froide.
Transposons alors, grossièrement, ce schéma de la loupe, pour mieux saisir ce qui se passe au niveau de notre environnement solaire :
Précisons alors que cette coupe diamétrale, n'est pas du tout à l'échelle, et que le
complexe moléculaire et vibratoire, en forme de loupe, est en réalité
une sorte de sphère, qui existe tout autour de la Terre.
Cette analogie avec la loupe, va nous permettre
à un niveau bien supérieur, de comprendre ce qui se passe du côté du
Soleil.
On sait en effet, que l'axe de l'équateur et celui de l'écliptique sont inclinés l'un sur l'autre de
23° environ et, il en résulte que le pôle n'est plus le point où la lempérature est minima. Pour mieux visualiser tout cela, empruntons à l'ouvrage
"Astronomie et l'exploration spatiale", publié à
Hachette Jeunesse en juillet 1985, le schéma suivant, que nous avons un peu modifié:
Mais, ce qui est rarement expliqué dans les manuels scolaires, c'est qu'étant donné que la Terre ne décrit pas exactement un cercle autour du Soleil,
mais une ellipse, on découvre alors que la distance de la Terre au Soleil est environ de
147 millions de kilomètres, au mois de Janvier, et est de
152 millions de kilomètres au mois de Juillet, et autrement dit, en fait,
le Soleil est, paradoxalement plus près de la Terre en hiver, qu'en été de 5 millions de Km.
Le site :
Le site :
, nous illustre schématiquement tout cela, très admirablement :
Et on voit bien là, que la Terre, est plus proche du Soleil en hiver, qu'elle ne l'est en été.
Dans les sphères officielles, on explique ce phénomène justement par l'inclinaison de 23 ° de l'axe de la Terre par rapport au plan de l'écliptique et qui fait que les rayons du soleil sont toujours obliques par rapport à l'axe de rotation de la Terre. Et, pour ARTivision, cela est très discutable...
Si donc, le soleil était une boule de feu émettant chaleur et lumière en direction de la Terre, son action aurait certainement augmenté grandement, en avançant de 5 millions de Km de sa cible. Des maquettes à l'échelle, et des simulations informatiques, le démontreraient sans doute.
Avis aux amateurs, et même aux scientifiques aguerris.
Surprenant n'est-ce pas !!! Mais, qui donc a dit... mieux ?
Mais, ce
1er Janvier 2019,
(alors que les médias officiels nous commentent à jets continus, les niaiseries de la banale affaire Alexandre Benalla), nous allons présenter d'autres
documents surprenants qui eux,
confirment apparemment, les dires extraordinaires du Maître Pomar, déjà présentés plus haut :
b) Deuxième éclairage très significatif.
Puisque nous avons aussi parlé
(voir plus haut l'article de la revue Ondes Vives de Février. 1974), d'un certain spationaute non officiel nommé
Dino Kraspedon, voyons dèjà, ce que ce dernier pense de l'affaire :
En effet dans un ouvrage publié à Londres en 1959, non traduit en français
(mais dont nous possédons aussi, une traduction privée plutôt rare ), et ouvrage intitulé
"Mon contact avec les ET. ", voyons ce qu'il déclare à la suite de la question suivante qu'il fait à l'extraterrestre:
" Certains disent que la chaleur présente dans l'atmosphère terrestre vient du soleil. Y-a-t-il du vrai dans cette affirmation ? "
Réponse de l'extraterrestre:
" La chaleur vient du Soleil, mais sous forme d'ondes hautes fréquences qui sont converties en rayonnements calorifiques. Cette conversion se produit dans l'atmosphère des planètes. Ils ne viennent pas du soleil sous cette forme, car la chaleur ne peut pas voyager dans le vide. Même la chaleur du soleil est supportable car il n'est qu'un champ générateur de forces électriques. Un générateur est froid, mais les courants qu'il engendre peuvent produire de hautes températures. Il est absurde d'affirmer que des températures de plusieurs millions de degrés existent sur le Soleil. Sa luminosité n'a rien de commun avec sa chaleur. Sur Terre, on peut trouver des sources de lumière froide . La lumière d'un néon n'est pas chaude. Nombre d'insectes produisent de la lumière froide, de même que certains légumes sous une action bactériologique. Comme vous le constatez mon ami, votre science regorge d'erreurs. Je n'en suis pas surpris, car les choses de la vie sont jugées par les vérités qu'elles peuvent avoir, pas par leurs erreurs."
Fin de citation.
Dur dur... n'est-ce pas !!! à encaisser, et comme tout cela, est encore, bien surprenant !!!
Mais, il nous vient aussi l'idée de mentionner ici,
un super cas de lumière bien froide, produite par un être vivant, que l'on devrait bien sûr, étudier avec la plus grande considération :
En effet, à la recherche d'une certaine information spatiale dans nos multiples dossiers, nous sommes tombés en arrêt
le 26/02/02, devant un encadré remarquable du n°187 de la revue NOSTRA, en date du 5 Nov 1975, que nous vous transcrivons ci-dessous intégralement :
( TEL-AVIV )
LES SECRETS DU POISSON-PHARE
Son nom scientifique est " photoblepharon palpebratus". Mais les plongeurs qui peuvent admirer cet étonnant spécimen de la faune océane l'appellent plus simplement , "le poisson-phare". Il est long
de sept centimètres environ et ses eaux de prédilection sont celles du golfe d'Elath, en lsraël. Non content d'émettre une très forte lumière, il présente la particularité d'en diriger le faisceau à son gré, comme s'il s'agissait d'un projecteur.
On a surtout insisté, jusqu'ici, sur son aspect féerique. Mais les époux Morin, professeurs de l'Université de Los Angeles, sont allés plus avant dans les investigations et voici ce qu'ils nous révèlent â son sujet :
- Le « phare » est un organe en forme de haricot placé juste sous les yeux et porteur de bactéries luminescentes. Le poisson l'utilise pour se procurer sa nourriture. Parfois, de véritables bancs se forment, pour balayer le fond de la mer d'une nappe de lumière extrêmement brillante où apparaissent les petits crustacés convoités.
- Le même phare est un moyen de défense. Le poisson éblouit et aveugle ses adversaires, lesquels s'enfuient, au comble de la terreur.
Certains pêcheurs ont capturé des poissons-phares et les ont placés en aquarium. Il leur devenait possible de lire le journal, en pleine nuit, rien qu'en se tenant à un mètre de la vitre protectrice.
Fin de l'entrefilet encadré.
Et voici alors, notre modeste montage, pour représenter
cette manifestation si lumineuse :
Que dire de plus devant
cette ingéniosité de la Nature, à créer toujours, de quoi nous émerveiller chaque fois un peu plus, et
n'est-il pas imaginable de croire, que si elle a été capable de réaliser un tel phénomène il ne lui serait pas, selon nous, plus difficile, d'en créer un autre plus merveilleux, en la matière d'un soleil froid, initiateur des radiations vitales, dans notre système Solaire et ailleurs bien sur. Point Barre...
Bien sûr
les éternels mécréants intellectuels zélés et zététiques, vous diront :
"Tout cela, ce sont des "fake news", et de la manipulation médiatique et politique, pour discréditer les véritables chercheurs scientifiques de la NASA, en qui nous avons assurément foi..."
c) Troisième éclairage très significatif.
Nous répondrons
à ces zélés mécréants, que cela fait
60 ans en 2019, qu'est sorti,
l'extraordinaire ouvrage incontournable suivant, que nous avons eu en mains par Internet, le
13/02/2014 :
où l'auteur
(aussi vilipendé par des ignares bien-pensants que le sieur George Adamski), affirme au début de la page 150, qu'il est passé en soucoupe volante
au large du Soleil, et voici ce que l'on y trouve :
et voici ce qu'en dit, la traduction :
"Ma première réaction, quand je me levai, fut d'aller jusqu'au hublot et de regarder à l'extérieur pour voir où nous étions. Des sortes de boules de couleurs étaient partout visibles, ainsi qu'une boule rouge de dimensions gigantesques, qui semblait être une énorme planète. Ils me dirent plus tard que c'était le Soleil; je ne sais pas pourquoi, il n'était pas brillant. "
Cette traduction est tirée, de l'ouvrage que nous avons acquis
à Lyon en 1966, tel que :
paru aux Editions
DERVY-LIVRES en Juillet 1965
Mais tout cela, serait des paroles en l'air, si cet
Howard Menger, n'avait pas produit dans son livre,
des photos de la Lune, dont voici une,
qu'aucun spécialiste, (pourtant avec les moyens informatiques énormes dont on dispose actuellement ),
n'a pu expliquer, jusqu'à présent, la provenance et surtout l'élaboration, :
On y voit parfaitement dans
le coin supérieur gauche, une portion
du hublot de l'astronef, qui a transporté l'auteur jusqu'à
la Lune.., et
si l'on arrive à démontrer que cette photo est authentique, pas
besoin d'imaginer l'implication et les répercutions, que cela pourrait avoir.
Mais le Temps des Révelations, est bien arrivé, car dans
le n° 94 de Déc 2017-Janv 2018 de la
Revue TOP
Secret, que tout chercheur en
astroarchélologie devrait avoir sous la main :
Il y a
l'article sensationnel de 5 pages du chercheur
George METZ, dont voici, les deux premières pages :
, où, il démontre que sur
Google Moon, il a découvert, l'exacte position,
approximativement à 30° 39' S et 43° 30' O, du
fameux cliché ci-dessus, de la lune d' Howard Menger .
Hélas, le Webmaster d'
ARTivision
, n'accorde que
très peu de crédit
au logiciel Google Moon comme d'ailleurs à Google Mars et même Google Earth. Aussi, il a essayé de contacter
près d'une quinzaine de responsables d'Observatoires Astronomiques de la planète pour avoir, moyennant finances bien sûr, un agrandissement de la localité lunaire en question.
Jusqu'à présent, nous n'avons reçu,
aucune réponse de ces préposés astronomes, mandatés cependant par nos impots. La courtoisie n'est donc pas, le point fort, de leurs préoccupations, et là, dans cette extraordinaire affaire, les infographistes et les journalistes curieux d'habitude, se taisent lamentablement à ce sujet, et fourrent la tête sous le sable comme l'autruche.
Nous publierons en temps utile, les noms des Observatoires en question, afin de bien montrer, qu'ils ont lamentablement loupé le coche, qui a pourtant frôlé leur pas de porte.
A vous de juger désormais, une fois de plus, documents à l'appui, toute cette fantastique affaire.
Mais ce
4 Janvier 2019, poursuivons le complément de notre très délicat sujet.
Quant à,
ces bien-pensants zététiques, qui nous accusent de ne délivrer que des "Fake News", alors que site ARTivision, depuis 22 ans en 2019, est l'un des sites les plus pragmatiques du Web français, ne se basant que sur des documents indiscutables, souvent anciens, nous allons une fois de plus, les mettre au pied du mur, en leur demandant de repondre enfin, (ce qu'ils ont toujours soigneusement, éviter de faire) , à la question claire et nette suivante :
Voyez donc, cette photo largement commentée, et tirée de
la revue Ciel&espace n° 391 Décembre 2002, qu'il convient d'avoir absolument sous la main, afin que l'on ne dise pas que nous avons tout inventé, et qu'il s'agit encore d' images manipulées:
Voici donc, l'image en question, qui concerne
le prétendu voyage d'Apollo 17 sur la Lune à partir du 11 Décembre 1972
Cette photo porte le n°
AS17-137-20979, que l'on peut trouver sur
le site quasi officiel :
La question clef suivante n'a jusqu'à présent pas reçu
la moindre explication, de
ces Messieurs astronomes, astrophysiciens et consorts cosmologistes béni-oui-oui de NASA..et autre citoyen romancier en vogue qui ose, par exemple, critiquer méchamment la ville de Niort, au lieu de s'en prendre à cet organisme NASA, plus que suspect .


Notons d'abord ici, que le site ARTivision, n'a jamais bien su, comment le garde-boue de la jeep lunaire a été cassé. Mais, on dit tout de même, que cela a eu lieu lors de la première sortie des "astronautes".
Donc, on devine que les "spationautes", d'Apollo 17, ont effectué après leur premier périple mouvementé, sur des "km de sol lunaire", une réparation de fortune du garde-boue de la roue arrière droite du LRV (Lunar Roving Vehicle), et ils ont fait rouler la jeep jusqu'à son emplacement actuel. Comment ont-ils pu l'amener ici, sans qu'elle laisse des traces sur le sol ?
Donc là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué l'apparence du sol lunaire. Mais,
on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est
le très petit détail qui, comme dans le célèbre film
d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 :
"Le crime était presque parfait", a confondu le coupable...
Point barre..."
Bien sûr, nous avons
beaucoup d'autres anomalies du même gabarit, dans nos dossiers,
et ce qui précède, est la preuve absolue, qu'il y a eu, une magouille ahurissante, dans l'affaire très scabreuse, des Apollos de la NASA...
Pour en savoir plus, prière de consulter,
par exemple, notre article placé à :
Après cette
courte digression, sur les magouillages de la NASA,
dont on évite soigneusement de débattre sur les plateaux des Télévisions de nos sociètés, passons ce 6 Janvier 2019, à un autre volet tout aussi surprenant, concernant les attributs physiques de notre Soleil :
d) Quatrième éclairage très significatif.
Nous voilà arrivé,
au point le plus crucial, de cet exposé :
En effet, il convient alors, de présenter d'abord ici, l'ouvrage publié en 1953 chez
Werner
Laurie Hc, et intitulé
"Flying saucers have Landed". Il fut écrit en collaboration avec un auteur anglais
Desmond Leslie ancien pilote de la
RAF et qui était aussi, le neveu de
Wiston Churchill. Ce
Desmond Leslie a quitté ce
monde en
2001 à 79 ans :
On peut encore peut-être avoir la chance de trouver cet ouvrage
en français, chez "J'ai
Lu" n° A 260 dans la
prestigieuse collection hélas disparue "L'aventure
mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues", et ouvrage publié au
début de 1971 sous le titre "Les Soucoupes volantes ont atterri" :
C'est alors que,
Desmond Leslie, nous déclare pages 144 à 145, du livre en français, ceci , qui est
tout à fait hors-normes :
"
Mais pour le moment, notre propos est de découvrir l'origine des véritables soucoupes interplanétaires. Les planètes voisines semblent apporter la réponse la plus plausible: Mars et Vénus. Mais alors, pourquoi pas aussi Saturne, Jupiter, Uranus, Neptune, Pluton et toutes les planètes encore inconnues ? On nous oppose que la chose est impossible car toutes les planètes au-delà de l'orbite de Mars sont trop glacées pour que la vie puisse y exister, et que Vénus et Mercure sont trop brûlantes, mais rien ne nous affirme que la chaleur en tant que telle émane du soleil. Les textes anciens nous apprennent que le Soleil produit une énergie irradiante mais pas de chaleur (telle que nous la connaissons) que cette chaleur n'est qu'un sous-produit de l'énergie soumise à la friction de notre atmosphère.
Dans ce cas, cela expliquerait la ceinture d'air chaud récemment découverte à 60 kilomètres d'altitude où toute vie serait impossible dans ces températures avoisinant 170°.
Selon les Anciens, une atmosphère planétaire agit à la fois comme convertisseur d'énergie et comme filtre réglant la quantité de chaleur ainsi formée. Ainsi, il est fort possible que toutes les planètes de notre système aient une atmosphère semblable à la nôtre. Imaginons un instant que nous puissions emporter nos instruments sur Mars et contempler la Terre, nous verrions cette ceinture brûlante et nous penserions qu'à la surface de ce globe la température est de 170°. Et si les Martiens n'ont pas de meilleurs instruments que nous, on leur pardonnera de penser que toute vie humaine est impossible sur la Terre. Donc, tant que nous ne serons pas allés examiner de près les autres mondes, il serait plus sage de ne pas pontifier dans un sens ou un autre."
Que dire de plus devant une telle affirmation de
Desmond Leslie, qui rappelons-le, était le neveu de
Wiston Churchill , et n'avait donc pas l'habitude de raconter des balivernes. Il est bien dommage cependant que cet auteur ait oublié de citer
au moins un des textes anciens, auxquels il fait référence, de même que
les travaux sur lesquels, il s'appuie pour affirmer l'existence d'une ceinture brûlante placé
à 60 Km d'altitude dans notre atmosphère.
Nous invitons alors les internautes spécialistes, qui auraient quelques informations à ce sujet, à bien vouloir nous contacter pour tirer au clair cette affaire. Merci d'avance...
De même,
Adamski reprend
cette curieuse affaire concernant le soleil dans son troisième ouvrage de
1961, publié aussi par
Abelard-Schuman, qui restera non traduit en français ,pour le grand public, pendant 55 ans. Mais voir plus bas la trduction de 2017. :
On peut découvrir ce livre en PDF, sur le site :
Mais
ARTivision posséde, une
traduction privée de
1962 , exécutée par la courageuse, Mme
H. Verdin Roussel. Voici d'abord, de ce livre,
(extrêmement précieux et sans doute introuvable actuellement) , l'image de la
couverture que nous avons du refaire parce qu'elle était abimée et surtout,
celle de la première page avec la typographie et les inscriptions de
l'époque:
Nous lisons alors
chapitre II (intitulé "l'activité de l'espace dans notre système solaire") page 32:
" La première chose à réaliser est que le Soleil n'émet pas de la lumière et de la chaleur sous la forme que nous observons sur Terre. La radiation du Soleil ne se manifeste comme lumière et chaleur que lorsqu'elle pénètre dans l'atmosphère des planètes elles-mêmes. L'espace extérieur est dépourvu de lumière, telle que nous la connaissons. Dans l'espace extérieur la lumière est une lumière froide, causé par la phosphorescence de vastes nuages de particules et de gaz, répondant à la radiation émise par le Soleil. Pour un observateur humain, l'espace extérieur parait être un vaste vide obscur, rempli de billions de billions de minuscules étincelles de lumière multicolore. Toutes ces minuscules lumières sont en état de mouvement continuel et d'activité. "
Notons en passant que ce n'est du tout
là, le genre de discours utilisé par un affabulateur psychopathe, ou un gourou de secte. C'est en effet, à ce genre d'individu que
certains auteurs, (émules de la désinformation officielle ou encore auteurs qui ont oublié de se recycler en données ésotériques modernes), ont voulu assimiler cet Adamski, qui n'a pas fini de nous étonner....
Tout le chapitre en question, est pratiquement
consacré à la lumière et l'espace. Nous signalons cependant que les premiers astronautes comme
Glenn et
Carpenter ont bel et bien été confrontés à ce problème
de particules lumineuses dansant devant leur hublot, et particules
qu'Adamski avait lui-même qualifiées, bien avant eux, de
"lucioles" (Voir ci-dessous le "France Soir" du 25/05/62, ou le Paris-Presse l'Intransigeant : même date:)
En 2017, une traduction du troisième livre d'Adanski est sortie, chez notre ami éditeur, tel que :
A vous de juger, une fois de plus, documents à l'appui, toute cette incroyable affaire.
Passons ce
8 Janvier 2019, à un autre important éclairage, concernant notre affaire
de Soleil non brulant :
d) Cinquième éclairage très significatif.
Mais pour mieux encore saisir
le fin fond de cette affaire, nous allons devoir monter le niveau de cet exposé,
à un degrè qui va assurément donner des sueurs très froides à nos détracteurs irréductibles et autres consorts intellectiels blasés du système sociétal actuel...
Regardez d'abord, cette image où l'on découvre en bas à droite
une très étrange luminosité :
Cette photo fut prise en 2004, par la celèbre sonde
Cassini Huygens, déjà évoquée plus haut, et ayant frôlé
Titan, le
26 Octobre 2004.et tirée à l'epoque du site :
Présentons ensuite l' image suivante de la NASA :
Cette photo, qui nous montre
le satellite Titan de Sature, provient du site
très bien fait :
Et on découvre aussi que cette photo, aurait été obtenue, par
la sonde Cassini,
le premier Juillet 2004 :
Si nous analysons de près,
le disque blanc très brillant, au pôle sud de l'astre,
( que certains ont qualifié, vite fait, de petit nuage blanc), on voit nettement en-dessous,
une sorte de réverbération lumineuse, sur les couches de l'atmosphère
de Titan, prouvant ainsi
que la lumière du disque blanc, vient de l'intérieur de l'astre :
Mais,
"comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", présentons cette image toute bleue de Titan qui est encore plus significative :
Suivez donc d'abord aussi
le bout de la fléche rouge placée sur l'image en question :
Disons alors que la photo précédente vient,
chose curieuse, de la NASA en
début Juillet 2004, et dont l'url du site est placé à :
On découvre alors ceci d'abord justement en noir et blanc :
Et voici alors, un semblant d'explication de la NASA :
En rouge, on comprend :
" Un brillant nuage de particules de méthane apparaît au pôle sud des 3 images. .."
Oh là ....un
"un nuage de particules de méthane", disons que ce méthane, a dû être
chauffé à blanc, et ionisé sous forme
de plasma, par
un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir
une luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les rayons
d'un Soleil, qui, on le sait, est très éloigné de Titan, de près d' 1,5 milliard de Km...
Et...désormais, c'est
à vous de juger en toute connaissance de cause ...
Puis, poursuivons maintenant en couleur, notre analyse, où l'on trouve aussi ceci :

Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu ( Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!).
Voyons cela de plus près maintenant, avec des couleurs toujours étonnantes :
Comme vous l'avez sûrement remarqué, c'est bien
le point extrêmement lumineux, que l'on aperçoit au bas de la planète, et un calcul élémentaire, nous montre que ce point correspond en fait,
à un disque superbement lumineux gigantesque d'environ 300 Km de diamètre .
Le site
ARTivision, a été le premier site français, à expliquer ce phénomène, dès le
17 Septembre 2000, dans son article clef :
Remarquons surtout, que c'est parce que, la
sonde Cassini Huygens, qui a phjotographié Titan, avait été mise au point
par plusieurs nations, dont
l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu
un accès direct en temps réel, aux informations de la sonde. Donc
la NASA, a
été prise de court, et
n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu
au Pôle Sud de Titan. On en reparlera un autre jour .
Mais revenons à notre sujet principal, concernant
l'affaire de notre Soleil qui ne serait pas brulant :
Regardez en effet,
cette autre image de Titan, tirée du
"Figaro Magazine", du Samedi
13 Nov. 2004 :
On voit alors que
la partie droite de l'image de
Titan de ce
"Figaro magazine" en question, présente
une luminosité remarquable, et, on nous dit alors, que c'est,
"notre soleil, qui illumine par derrière, l'épaisse atmosphère de Titan".
Voici encore une autre photo
de Titan , tirée, cette fois-ci du
n° 415 du
"Ciel&Espace" de
Décembre 2004 :
On apprend alors que, cette belle image de
Titan ci-dessus, aurait été captée par
Cassini Huygens, le
26 Octobre 2004, en passant à
1176 km de la planète. Cette photo ne semble pas très différente de la prédédente ci-dessus, du
"Figaro magazine", où la partie droite du globe de Titan,
brille d'une manière étonnante, pour un astre placé, si loin de notre soleil
On ose nous dire alors, que cette
luminosité remarquable, vient aussi de
notre soleil, qui fait ainsi briller admirablement,
l'atmosphère de Titan.
Mais voyons ici, ce que dit Mr
Emmanuel Monnier, dans
le n° Spécial déjà vu plus haut, de
Mars 2008:
Donc, il est bien spécifié ici, que ,
le flux de lumière, qui arrive dans ces contrées reculées est 900 fois plus faible, qu'au voisinage de la Terre.
Alors, on se demande, comment ce
flaiblard flux, pourra à
1,5 milliard de Km du Soleil, venir
par une concentration quasi magique, exciter les épaisses couches atmosphériques de Titan de 1200 km d'épaisseur, (contre environ 100 km pour la Terre). C'est donc
tout à fait stupéfiant , et les images suivantes de
Titan :
, ne présentent pas du tout, comme les scientifiques de la NASA l'affirment,
des paysages glaciaires,
correspondant à une température de - 180°, mais plutôt,
des paysages d'une zone désertique très chaude, comme celle du Sahara et de son voisinage ...
A vous de juger désormais, une fois de plus, documents à l'appui, toute cette fantastique affaire, de lumières très insolites, sur Titan .
A suivre...
Fred IDYLLE
Article mis en page le 23/12/2018, et revu le 26/12/2018, et revu le 27/12/2018, et revu le 28/12/2018, et revu le 30/12/2018, et revu le 01/01/2019, et revu le 03/01/2019, et revu le 04/01/2019, et revu le 06/01/2019, et revu le 08/01/2019.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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