" D'autre part, en se reportant à ce que nous avons expliqué sur le symbolisme du "Pôle", il est facile de voir aussi que la montagne du Paradis terrestre est identique à la "montagne polaire" dont il est question, sous des noms divers, dans presque toutes les traditions : nous avons déjà mentionné le Méru des Hindous et l'Alborj des Perses, ainsi que le Mont-salvat de la légende occidentale du Graal ; nous citerons aussi la montagne de Qâf des Arabes , et même l'Olympe des Grecs, qui, à bien des égards, a la même signification. Il s'agit toujours d'une région qui, comme le Paradis terrestre, est devenue inaccessible à l'humanité ordinaire, et qui est située hors de l'atteinte de tous les cataclysmes qui bouleversent le monde humain à la fin de certaines périodes cycliques. Cette région est véritablement la "contrée suprême" du reste, d'après certains textes védiques et avestiques, sa situation aurait été primitivement polaire, même au sens littéral de ce mot; et, quoi qu'il en puisse être de sa localisation à travers les différentes phases de l'histoire de l'humanité terrestre, elle demeure toujours polaire au sens symbolique, puisqu'elle représente essentiellement l'axe fixe autour duquel s'accomplit la révolution de toutes choses.".
C'est par essence,
exactement le langage des psycho-sociaux n'est ce pas ? Confondre
l'Olympe des grecs et
l'Hyperborée, c'est vraiment faire un
amalgame fallacieux et dérisoire, bien que ce
René Guenon, reconnaisse qu'à
l'origine, la localisation de la fameuse
"contrée suprême", d'après certains textes,
aurait été primitivement polaire.
Fin de la deuxième digression...
Mais revenons, à
l'ouvrage important du Dr SENN,,
(non traduit hélas en français) et vu plus haut :
En effet, dans cet ouvrage, on trouve aussi,
un autre fait qui surprend, et qui concerne
la vie des esquimaux : Quand on demande à certains de ces derniers, où
ils supposent que leur entité va après la mort, ils
ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni
le soleil du jour, ni
les étoiles du soir, ni
l'immensité du cosmos qui les environne, mais
ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à
l'intérieur de la terre, d'une
bien autre manière, que nos savants actuels, qui y placent
un torride redoutable feu central, fait de
métaux en fusion.
Voici donc, un extrait des pages 206 et 207
restructurées par nos soins :
Et, voici donc notre modeste traduction :
Religion
"La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.
"Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."
Fin de la traduction.
ARTivision, croit alors que tout cela s'apparente, à
des réminicences ancestrales d'un passé millénaire , ayant trait à une
époque bénie, où ces esquimaux vivaient
à l'intérieur paradisiaque de la planète.
Mais, pour
être fair play, ce 15 Novembre 2014, avant que de poursuivre
nos révélations fantastiques, concernant ces esquimaux, donnons ici
quelques bribes d'information officielles, sur
ce courageux peuple du Grand Nord.
Lors de notre dernier passage
à Paris en Mai 2007, nous avons eu le bénéfice de tomber à
la Libraire de l'Avenue, 31 Rue de Lecuyer, Porte de Saint-Ouen, sur l'ouvrage d'un certain archéologue des régions polaires :
Cet ouvrage est paru aux USA sous le titre
"Ancient Men Of The Arctic" by
J. Louis Giddings. publié en
Juillet 1967 avec photographies , schémas de gravures et cartes, avec 391 pages et publié chez
Alfred A Knopf.
C'est en feuilletant cet ouvrage dans la librairie, que nous avions remarqué, qu'il s'y trouvait un chapitre parlant de
"L'énigme de Esquimaux" , et c'est essentiellement cela, qui nous a déterminé à faire l'acquisition de cet ouvrage.
Voyons donc ce que l'on nous dit en 1973 dans
la préface de cet ouvrage, préface écrite par
Jean Malaurie anthropogéographe, explorateur spécialiste des régions arctiques et administrateur chez Fayard de la collection
"Civilisations du Nord".
Voilà donc en partie ce qui concerne l'origine de cet étrange peuple des esquimaux:
"L'Arctique pour le lecteur français, ce sont.., les Esquimaux. Les Esquimaux, toujours les Esquimaux. Pour les premiers chercheurs aussi. Et c'est très tard que l'on a saisi
l'unité culturelle de cette civilisation originale qui se déploie
sur un front de 15 000 kilomètres, de la Sibérie au Groenland.
Civilisation surprenante à des latitudes où toute vie est un défi,
et qui confond, par son unité et son ampleur. C'est l'espace
civilisationnel le plus vaste du monde après celui occupé par
les Arabes. Et l'on comprend qu'elle ait retenu la première attention des ethnologues, bien que leur effort de description et
d'analyse ait souvent absorbé ceux-ci au point qu'ils en ont oublié le sens profond.
D'où viennent-ils et pourquoi cette montée des hommes
vers le pont ou le détroit de Béring ? Les traits mongoloides des Esquimaux ont conduit les premiers observateurs à conclure hâtivement (dès le XVIIIe siècle), qu'il s'agissait
de peuples du nord de l'Asie - Toungouzes ou Chinois -
repoussés par des tribus hostiles vers le Nord-Est sibérien, puis vers les steppes glacées américaines - les futures
prairies - non occupées encore par les Indiens. Vicissitudes de
l'histoire? C'est vite dit. La théorie darwinienne a rendu compte
des différenciations évidentes, de l'ouest à l'est, de la toundra
à la forêt, sur lesquelles une recherche plus attentive a mis
depuis l'accent. On s'est alors attaché - sous l'égide de spécialistes danois, particulièrement avancés dans la connaissance
du peuple groenlandais - à classer, par ordre de complexité,
les éléments clés ou jugés comme tels, dans chaque groupe.
D'un point de vue technologique, le Danois Rink a ainsi conclu
que les Esquimaux, venus à une date indéterminée de la forêt
avaient appris peu à peu à vivre en dehors de celle-ci. Avec
l'Autrichien Boas, le champ s'est encore élargi : il paraissait
difficile au grand anthropogéographe devenu américain, d'isoler
les Esquimaux du contexte indien. C'est à l'échelle nord-américaine et en portant particulièrement son regard sur la façade
nord Pacifique, que la vraie signification des différentes cultures
qui composent la complexe civilisation esquimaude peut être,
selon lui, dégagée. Et c'est à Boas encore que l'on doit d'avoir
fait ressortir que la parenté entre les sociétés sibérienne et
indienne de la Colombie britannique est plus étroite qu'entre
chacun de ces deux groupes et les Esquimaux. Les travaux
ethnologiques poursuivis entre les deux guerres et depuis ont
précisé, çà et là, les différences et les analogies ; ils n'ont pas
cependant altéré la thèse générale selon laquelle "les peuples
hyperboréens nord-américains, venus de l'Asie orientale, se sont
répandus à partir d'un fonds paléo-indien progressivement adapté
à un espace froid, l'unité de culture n'étant acquise, sur les littoraux, qu'à la faveur des migrations tardives de peuples behringiens aux fortes empreintes nord-japonaises".
Jusqu'alors, les efforts visaient donc à souligner le caractère toujours plus extensif des sociétés boréales. Avec une connaissance plus fine des ethnographies, croissait dans le même temps
le nombre des énigmes: le Dorset à formes paléo-indiennes,
les Eschato-Esquimaux de l'Arctique central, etc. Et du même
coup, Giddings démontrait le caractère tardif de la civilisation
esquimaude, celle-ci, se trouvant dès lors, curieusement dépouillée d'assises, dépourvue, pour ainsi dire, d'une véritable préhistoire."
Mais un peu plus haut dans cette préface, on trouve aussi une raison concernant le peuplement des zones arctiques :
"...Pourquoi cette poussée, cette obstination vers le Nord ? Parce
qu'aux interstadiaires, c'est-à-dire aux périodes relativement
tempérées des zones arctiques, les steppes, libres des glaciers,
sont d'immenses prairies verdoyantes parcourues par un abondant gibier. Dans les forêts subtropicales ou tempérées, la
chasse est malaisée et peu productive. Le chasseur en est réduit
à traquer des bêtes isolées qu'il poursuit à l'arc. Les immenses
toundras sont, elles, parcourues par des troupeaux de milliers
de têtes : rennes et boeufs musqués paissent par millions pour
les premiers, par milliers pour les seconds dans ces grandes
steppes gelées. Le chasseur peut par ruse en forcer quelques-uns
à se jeter dans les lacs ou à se précipiter sur le bord des falaises
abruptes; presque sans coup férir, ils y sont massacrés. Les forêts
de sapins, d'aulnes et de bouleaux des franges subarctiques sont
en effet des réserves de lichens et d'herbacées inépuisables pour
les grands mammifères continentaux. Et les rivières et les lacs
sont en outre et jusqu'à l'océan Glacial d'une exceptionnelle
richesse en salmonidés, particulièrement lors du frai saisonnier. Première image : la toundra, un entrepôt de viande et de
poisson. I1 est plus : les mers de Béring et des Tchouktchis
offrent, sur leurs rives, des refuges pour les chasseurs continentaux, lorsque l'écologie, reflet des changements de climat,
devient contraire à la vie animale. Et les eaux plus homéothermes
que les continents, en raison de leur volant thermique, sauvent
les sociétés de chasseurs dans les périodes de refroidissement.
Effet du brassage constant des eaux froides du pôle et des eaux
chaudes du Pacifique (brassage favorisant la concentration des
composés nitrogènes), le riche plancton de ces mers est attesté
par les concentrations baleinières. Dans l'Arctique, au Quaternaire récent, l'espace marin libre de glace, l'été, a pu être plus
étendu que de nos jours. Les premières hypothèses à cet
égard sont en cours de révision. Aux interglaciaires, on peut
ainsi, pour des raisons paléogéologiques et paléozoologiques,
supposer que l'océan Arctique était partiellement libre de glace,
notamment sur sa rive nord-est sibérienne et nord-ouest américaine. On en devine les conséquences anthropologiques. Des
fouilles - notamment sous-marines, les sites étant submergés - pourraient réserver de grandes surprises, reculant
de plusieurs millénaires le temps d'occupation sur les littoraux du détroit de Béring et des mers polaires immédiatement adjacentes. On sait, d'ores et déjà, que des civilisations
boréales importantes se sont développées au Paléolithique supérieur sur les deux façades de la mer de Béring. Sur les bords
des mers des Tchouktchis et de Beaufort, beaucoup peut être
attendu. Les littoraux du nord-est de l'Asie, du Japon à la mer
des Tchouktchi ont été le théâtre en vérité d'une histoire -
inconnue en France - qui a pu être égale en importance à celle
des peuples méditerranéens. Une vaste société maritime s'y
est épanouie sous le signe d'une vie intense de relations maritimes. Les techniques, l'expression artistique, le chants, les
danses, les coutumes guerrières, tout atteste l'unité culturelle
de ces divers foyers. "
Autrement dit,
les régions arctiques actuellement si réfrigérantes
ont été peuplées autrefois, quand la température était plus tempérée, parce qu'elles regorgeaient de nourriture.
Point à la ligne ...
Mais, il serait peut-être utile de juxtaposer ici, un extrait du livre extraordinaire de
Raymond Bernard "La Terre creuse",
( déjà présenté plus haut) , en la teneur du paragraphe intitulé :
" Des migrations étranges" :
Les explorateurs polaires font mention de l'existence dans l'extrême Nord non seulement d'une faune animale, mais aussi d'une flore. Beaucoup d'animaux, comme le bœuf musqué, émigrent vers le nord en hiver.
Pourquoi le feraient-ils si leur instinct ne leur indiquait pas qu'il y a par là-bas une terre plus chaude ? A maintes reprises, les explorateurs ont observé des ours se dirigeant vers le nord, dans une région où
apparemment ils ne pouvaient trouver aucune nourriture... à moins que le " trou " polaire ne leur permît d'atteindre une contrée plus clémente ?
On vit aussi des renards au-delà du 80° parallèle, et ces renards paraissaient manifestement bien nourris et montaient toujours plus haut vers le nord. Les explorateurs arctiques s'accordent tous sans exception pour affirmer que, bizarrement, plus on va vers le nord, au-dessus d'une certaine latitude, plus il fait chaud. Comme
si un vent venu du nord réchauffait tout à coup la température. Dans ces hautes latitudes, on a même trouvé
des papillons et des abeilles, ainsi que des variétés inconnues de fleurs. On a vu, venant du nord et y
retournant, des oiseaux ressemblant à la bécassine, mais n'appartenant à aucune espèce connue.
Des tribus d'Esquimaux, ayant émigré vers le nord, ont laissé des traces claires de leur passage. Les Esquimaux
du Sud parlent de ces tribus qui vivent dans l'extrême Nord, et ils imaginent un pays merveilleux,
patrie de leurs ancêtres. La légende scandinave d'une terre merveilleuse située à l'extrême limite
septentrionale du monde connu est intéressante. Cette terre, appelée " Ultima Thulé ", et qu'on a confondue avec le Groenland, ressemble fort à celle qu'a survolée l'amiral Byrd des centaines de siècles plus tard. Bref, tous ces faits inexplicables, ces migrations étranges, sont autant de preuves qui viennent confirmer l'hypothèse que nous développons dans cet ouvrage."
Mais il y a mieux plus loin :
Chapitre VI
L'ORIGINE DES ESQUIMAUX
William F. Warren, dans son livre intitulé : "Le Paradis retrouvé, ou le berceau de la race humaine",
développe une thèse passionnante. La race humaine aurait pris naissance sur un continent tropical
situé dans l'Arctique, la fameuse Hyperborée des anciens Grecs. Une terre éblouissante de soleil dont les habitants étaient des dieux qui vivaient des milliers d'années sans jamais vieillir.
Les anciens écrits de la Chine, de l'Égypte, de l'Inde, et aussi les légendes des Esquimaux, parlent d'une grande ouverture dans le nord et d'une race vivant sous la croûte terrestre dont les ancêtres étaient originaires de cette terre paradisiaque.
(A ce propos, est-ce que le Père Noël ne pourrait pas représenter le souvenir déformé d'un
bienfaiteur de l'humanité qui vint sur la Terre à travers l'ouverture polaire - peut-être à bord d'une
soucoupe volante, symbolisée par un traîneau aérien traîné par des rennes ?)
Un royaume radieux au-delà du septentrion.
La plupart des écrivains qui se sont intéressés à ce sujet ont émis l'idée que l'intérieur du globe était habité par une race de petits hommes à la peau brune, et que les Esquimaux, dont le type de race ne ressemble à aucun autre, provenaient de ce Monde souterrain.
Quand on demande aux Esquimaux d'où venaient leurs ancêtres, ils pointent un index dans la direction
du nord. Leurs légendes évoquent une terre merveilleuse inondée de lumière. Là il n'y a jamais d'obscurité. Là
règne un climat tempéré. Les lacs n'y sont jamais gelés, des hordes d'animaux errent dans les broussailles, des
oiseaux de toutes les couleurs sillonnent le ciel. C'est une terre d'éternelle jeunesse où les gens vivent des
milliers d'années dans la paix et le bonheur.
Il y a aussi l'histoire de ce roi anglais, Herla, que les Skraelings (les Esquimaux) emmenèrent sous terre dans un pays enchanteur. Il y a encore cette légende irlandaise d'un royaume radieux au-delà du septentrion.
Le même sans doute qu'évoquent les légendes scandinaves sous le nom d'Ultima Thulé.
A propos de l'origine des Esquimaux, Gardner écrit
" Les premiers Norvégiens considérèrent ces petits hommes bruns comme des êtres surnaturels. Ne prétendaient-ils pas que leurs ancêtres venaient d'un pays enchanteur situé très loin dans l'extrême Nord ? Or les Norvégiens, pour qui les régions polaires étaient le bout du monde, ne pouvaient croire à l'existence d'un tel pays. Ils en conclurent que les Esquimaux étaient des créatures d'un autre monde, qu'ils sortaient de l'intérieur de la Terre, séjour supposé des gnomes et des fées. "
Voici ce que dit d'ailleurs Nansen, et cela vient confirmer l'opinion de Gardner
" J'ai déjà souligné que le nom nordique " Skraeling " pour Esquimau doit avoir été employé à l'origine
pour désigner des fées ou des créatures mythiques. Cela laisserait supposer que lorsque les Islandais
rencontrèrent pour la première fois des Esquimaux dans le Groenland, ils les considérèrent comme des êtres
surnaturels et les appelèrent des " trolls ". Cette idée a persisté plus ou moins jusqu'à nos jours ".
Nansen poursuit en nous racontant que ces Skraelings, ou Esquimaux, lorsqu'ils étaient mentionnés dans des ouvrages latins, étaient désignés sous le vocable de " Pygmaei " (Pygmées), définis comme des "
êtres sous-développés, de très petite taille, et d'un aspect surnaturel ". Au Moyen Age, on pensait qu'ils
habitaient Thulé, terre ultime d'au-delà du nord. Cette croyance en un royaume radieux situé très loin dans le nord, habité par un peuple étrange, était très répandue. Saint Augustin en parla, et plus tard Isidore, et à leur suite toute l'Europe médiévale eut connaissance de ces "Pygmées" qui vivaient fabuleusement aux frontières ultimes du monde connu. Ils viennent de l'intérieur de la Terre.
Beaucoup de légendes anciennes narrent les aventures de gens qui ont pénétré à l'intérieur de la Terre, et qui ont trouvé là un monde extraordinaire où ils ont vécu pendant de longues périodes avant de remonter à
la surface.
Nansen cite un écrivain du XIIIe siècle, selon lequel les Esquimaux, à cette époque, étaient regardés comme un peuple surnaturel, petit de taille, et de ce fait différent par son origine des autres peuples de la Terre. "
Arrêtons-voulez-vous cette transcription du chapitre en question du livre de
R. Bernard,, pour éviter de subir
les foudres de l'Editeur,
et que celui qui, en plus, sait lire entre les lignes de tout cela, en tire l'enseignement et les interrogations qui s'imposent.
Passons maintenant à
une histoire fantastique de esquimaux, qui assurément
a dû faire grincer des dents les psycho-sociaux du calibre de René Guénon (déjà présenté plus haut) .
En effet, on sait que,
ce sont les explorateurs,
ayant fréquenté la région polaire du Grand Nord, où vivent ces esquimaux, qui ont
eux, été très stupéfaits d'apprendre que, dans leurs légendes,
ils, ne se présentent pas comme
les occupants originels de leurs aires de populations. C'est ainsi que,
une de leurs légendes, déclare même,
qu'ils auraient été transportés autrefois dans les régions du Grand Nord, par des
"oiseaux de fer géants". Cela est exprimé clairement dans l'ouvrage important, intitulé en anglais
"Not of this World" de
Peter Kolosimo, et en français
"Archéologie Spatiale", paru en
1971 chez
Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue :
"Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :
Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé
les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que
des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien
"le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.
Dans le livre de poche en anglais paru en
1970, on trouve en page 92, ce passage :
,et en français, un an plus tard, voici la traduction du passage précédent, concernant les esquimaux, et qui est en page 101 :
Nous sommes alors partis à la recherche de l'origne,
éventuelle, de cette si
surprenante déclaration.
En approfondissant la recherche, nous sommes tombés sur le célèbre ouvrage
"Le Matin des Magicien"
de
Louis Pauwels, et de
Jacques Bergier, dans notre exemplaire de poche, paru en France, en Décembre 1972 :
Mais, ce livre célèbre, est sorti à l'origine en
1960, chez
Gallimard, sous l'aspect :
Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage
"Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de
notre intérêt, sans cesse croissant, pour le
Passé prestigieux de notre Planète.
Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé dans notre exemplaire de 1972,
(après pas mal de péripéties), pages 253 et 254,
re-strcturées par nos soins:
On découvre alors que dans le
New york Herald tribune du
11 Juin 1958 (que nous n'avons pas hélas trouvé sur Google), que
l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article,
s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "
Jacques Bergier et Louis Pauwels, nous posent alors les questions importantes suivantes :
" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.
- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier
du globe?
- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan ?
- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ... "
Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse,
déjà hardie pour l'époque,
de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.
C'est alors que,
Jacques Bergier et Louis Pauwels, abordent
le passage le plus inouï, selon nous bien sûr, de leur chapitre V et passage, qui est, on le devine déjà :
" Or que dit le folklore esquimau? Il parle de tribus transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps, par des oiseaux métalliques géants "
On peut déjà, à ce niveau, se poser la question de savoir, où ces messieurs
Jacques Bergier et Louis Pauwels, ont-ils pu puiser
une si surprenante déclaration. Eux, qui sont si précis d'habitude,
là, ils ne nous en disent rien !!! Alors on peut supposer que c'est dans le texte très académique de
l'Institut vénérable Smithson, paru le
11 Juin 1958 dans le
New York Herald Tribune, que se trouve ce
passage inouï (nous avons failli écrire ce passage inuit).
La seule façon de le savoir, c'est de consulter, ce
New York Herald Tribune, mais hélas, nous n'avons pas réussi encore à trouver comment commander ce journal sur Internet, et nous implorons l'internaute qui connaît ce moyen, de nous en faire aimablement part.
Pour clore l'affaire, nous voyons aussi dans l'image précédente que ces messieurs
Jacques Bergier et Louis Pauwels ironisent sur l'attitude qu'avaient
les archéologues de XIXe, au sujet de ces
oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques
d'absurdité. Mais entre temps , nous qui avons découvert
les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur
ce passage surprenant où l'on parle d'oiseaux métalliques Volants, car le site
ARTivision, prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de la
Terre intérieure, vers
les zones polaires, et l'on va vite découvrir
pourquoi, dans d'autres documents.
En attendant, relisons donc avec ferveur, le texte important
(déjà vu plus haut) qui parle de
vimanas, texte tiré, on le sait, du
"Le Matin des Magiciens", et document que ces savants du
XIXe, ont dû qualifier assurément, nous l'avons déjà vu,
de purs contes et de légendes imaginaires, ce que font toujours d'ailleurs,
les irréductibles psycho-sociaux actuels :
Mais, le
Temps de la Vérité approche à grands pas, et
gare à ceux qui voudront prendre le train en marche, car ils risquent,
de glisser brutalement sur le ballast et les dures traverses de la voie ferrovière.
Poursuivons donc ce 16/11/2014, notre exploration des légendes, ayant cours chez les esquimaux.
Pas besoin de remonter jusqu'en
1907, pour s'apercevoir que bien plus près de nous, un autre explorateur bien connu,
Paul-Emile Victor n'a pas non plus su, tirer profit des légendes concernant les esquimaux. En effet, dans l'ouvrage de
1976 du grand ésoteriste français,
Serge Hutin,
"Des mondes souterrains au Roi du monde":
, on trouve, en page 50, cette
extraordinaire révélation :
L'ouvrage de
Paul Emile Victor "Banquise" serait sorti en
1939 chez Grasset, et a été réédité en
1946 sous la forme :
Cependant il convient ici de citer quelques éléments d'une missive très importante que nous avons reçue d'un aimable internaute le
13 Janvier 2014 :
-----Message d'origine-----
De : D..................
Envoyé : lundi 13 janvier 2014 16:19
À : fred.idylle@orange.fr
Objet : Votre dossier BYRD Dilemne Lexical
Bonjour M. Idylle,
Avant tout et puisque nous sommes encore à la période des v?ux, je vous adresse tous mes v?ux de bonne et heureuse année 2014 et vous souhaite de réussir à poursuivre encore toute cette année vos enquêtes et vos recherches passionnantes.
Vos articles et dossiers m'interpellent depuis plusieurs années, notamment ceux de la Terre Creuse, car j'ai lu beaucoup de livres et de récits d'aventures sur les régions polaires depuis 30 ans. Je suis par ailleurs de formation scientifique.
Dans votre dossier "ByrdDilemme Lexical" (que j'ai consulté fin décembre 2013), vous demandez à vos lecteurs des infos sur le livre "BANQUISE" de Paul-Emile VICTOR (PEV). Il se trouve que je possède ce livre en édition originale de 1939:
J'ai donc fait la recherche pour vous par rapport au livre de Serge Hutin qui cite PEV en disant "ils sont grands, ils sont terribles, ceux de l'intérieur". Je me demande si Serge HUTIN n'a pas cité ce texte de mémoire car on ne trouve pas exactement le même texte dans le livre BANQUISE, mais c'est tout de même très approchant. Ces phrases sont issues d'un chant de duel entre hommes du Groenland où PEV a vécu. Les pages 65 et 66 du livre sont tout à fait intéressantes à ce sujet. Toutefois, officiellement, les hommes de l'intérieur sont ceux de "l'intérieur du pays" (l?Inlandsis) et pas de "l'intérieur de la Terre".
Regardez cependant la page 69 du livre BANQUISE, car elle me semble encore plus intéressante :
Elle concerne la « Légende des peuples ». On y parle des « Timertsit », mot inuit qui signifie « les gens qui voyage DANS l?intérieur ».
J?ai surligné en jaune les lignes qui me semblaient les plus importantes, mais je n?ai peut-être pas tout vu dans ce chapitre...
Quoiqu?il en soit, si cette modeste contribution peut vous aider dans vos recherches d?indices, j?en serais très heureux.
Je vous souhaite bon courage dans vos recherches.
Bien sincèrement
D......................
Nous avons bien sûr remercié à cette époque, grandement
l'internaute D.................., pour sa si aimable participation aux recherches pointues d'
ARTivision.
Une question se pose alors ici : Comment
le très grand ésotériste français Serge Hutin a pu ecrire dans son livre ce qui précède concernant les esquimaux,
sans avoir en main le livre de P.E.V. en question (bien sûr il aurait aussi pu le consulter à la Bibliothèque Nationale de Paris) ?
C'est pratiquement impensable !! Y a-t-il eu deux tirages particuliers de cet ouvrage en
1939, ou bien pire encore, le manuscrit d'origine de P.E.V. qu'aurait consulté
Serge Hutin, a-t-il été modifié à la première impression ? Voilà une autre énigme à laquelle nous aimerions bien, avoir la solution...
Rappelons alors
au novice, quelques œuvres de
Serge Hutin :
Sans compter
les innombrables articles, publiés dans diverses revues et journaux .
Mais il y a eu aussi, ceci tiré de ce petit livre de poche de 1970 :
, qui prouve que,
Serge Hutin était particulièrement informé sur
ces mystères polaires, car il connaissait, déjà en
1970, le livre en anglais
de
R. Bernard,
de 1964
, que nous représentons ici à nouveau, vu son importance :
et livre non encore publié en français
(il le sera l'année suivante, en 1971), et
ouvrage clef, que nous personnellement, n'avons connu qu'en
1972.
Donc on voit mal que, ce
Serge Hutin n'ait pas observé de visu,
les déclarations extraordinaires mentionnées plus haut, de
Paul Emile Victor, au sujet des esquimaux .
Il y a bien anguille sous roche.
N'empêche que là,
Paul Emile Victor, a lui aussi agi, comme le
dr SENN,
"loupé le coche", malgré le fait qu'il ait noté
cette incroyable expression des esquimaux,
( Les gens qui voyagent dans l'intérieur), à ne pas confondre avec
" les hommes de l'intérieur qui sont ceux de "l'intérieur du pays" (l?Inlandsis)".
En effet
ARTivision, a découvert, qu'il a
descendu impitoyablement en flèche Isaac Hayes, pour ses
"épanchements lyriques", concernant
la Mer libre du Pôle. voir à ce sujet notre article :
Tout ce qu'
ARTivision, a
bénévolement réalisé, depuis la découverte en
1972, de l'ouvrage incontournable de
Raymond Bernard "La Terre creuse" (dont nous avons pourtant critiqué certains défauts, dans notre article :
RaymondBernardouvrageTC.html), c'est ce Monsieur
Paul Emile Victor, qui aurait
pu et dû l'entreprendre, et avec
des moyens au moins dix fois supérieurs...
Paul Emile Victor est décédé le
7 Mars 1995 à Bora Bora, et il aurait sans doute changé d'avis
( à moins qu'il ait été parfaitement au courant, mais qu'il ait eu, des Secrets d'État, à camoufler) s'il avait eu, le privilège comme nous, d'avoir sous la main,
la missive extraordinaire en date du
18 Mai 2003, vue plus haut et concernant les explorateurs modernes comme l' océanographe
James McCarthy et le paléontogue
Malcolm C. McKenna, et dont missive
étant donnée son importance, voici à nouveau le début :
|
Pas de glace au Pôle Nord
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord
cet été n'y a pas vu de glace. Là où
aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan
Arctique. Une première en... 50 millions
d'années.
États-Unis
21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe
américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en
compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise
de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y
avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon
l'expert, ce serait la première fois depuis 50
millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la
banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée
parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.

Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était
aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était
la première fois que l'on trouvait les
eaux du pôle libres de glace........
|
Mais poursuivons ce
20/11/2014, notre découverte des histoires fantastiques du peuple des esquimaux :
Nous, avons aussi en effet, cette énigme non résolue, soulignée en page 101, par
P. Kolosimo dans son livre de 1971,
déjà cité plus haut, et pour les puristes, ceci se trouve en page 92 du livre anglais en question.
Et voici, de quoi il s'agit :
Nous avons déjà largement évoqué,
cette affaire inouie de disparition de diverses communautés arctiques, dans notre article:
Pour tenter de résoudre cette énigme, on peut déjà placer ici, une partie de notre traduction d'amateur du livre,
"The SmokyGod", placé par
ARTivision, dès le
6 Avril 2001 en exclusivité, sur le Net Français, à
l'url :
Voici donc cette tranche du texte en question :
"On était autour du premier Septembre , (1829 : rappel du Webmaster) plus de cinq mois, nous l'avons calculé, après avoir fait nos adieux à Stockholm. Subitement nous eûmes, une peur bleue, en entendant dans le lointain le chant de certaines personnes. Tout de suite après nous avons aperçu un énorme bateau qui descendait la rivière, droit dans notre direction. Ceux qui chantaient à bord formaient un chœur puissant dont l'écho se répercutait d'une berge à l'autre de la rivière comme mille voix, remplissant l'univers entier d'une vibrante mélodie. La musique d'accompagnement était exécutée sur des instruments à cordes qui ressemblaient assez à nos harpes.
Nous n'avions jamais vu un si grand bateau, et si différent en matière de construction.
À ce moment précis, notre sloop se trouvait au calme et pas loin du rivage. Le bord de la rivière, était couvert de belle façon, d'arbres gigantesques de plusieurs centaines de pieds de haut. Il nous semblait être aux abords de quelque forêt primitive qui sans aucun doute, devait s'étirer loin à intérieur.
L'immense embarcation, fit une pause et presque immédiatement après, une barge fut déposée sur l'eau et six hommes de stature gigantesque, se sont rapprochés de notre petit sloop. Ils nous ont parlé dans une langue étrange. Nous avons deviné, cependant, à leur manière d'agir qu'ils n'étaient pas inamicaux. Ils ont parlé entre eux un bon bout de temps, et l'un d'entre eux fut pris d'un fou rire énorme, comme si notre vue était devenue pour eux, une étrange découverte. L'un d'entre eux a examiné scrupuleusement notre boussole qui a semblé les intéresser tous, bien plus qu'aucune autre partie de notre sloop.
"
Se pourrait-il, que ces esquimaux aient été emportés à l'intérieur de la Terre par un bateau de même nature que celui décrit dans ce
Smoky God ?
Voici d'ailleurs deux images tirées du livre en anglais correspondant :
A gauche, on voit la découverte du
Soleil brumeux par les norvégiens
Olaf Jansen et son père, à bord de leur petit sloop, et à droite on voit
les géants, qui receptionnent les deux norvégiens, dans leur immense bateau.
Mais pour
les puristes, qui trouveraient que notre traduction laisse à désirer, voici une autre traduction plus professionelle, extraite de l'ouvrage publié en
2007, par notre amie canadienne
Ischaia :
Edité par les
Éditions Saint-Germain-Morya au Québec ...
Rappelez-vous aussi cependant, le témoignage de surprenant de
l'amiral Wrangel mentionné dans l'opuscule de
Jules GAY :
"La mer libre du pôle Nord" de
1873 :
On y trouve alors ceci :
"Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habitants, de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices d'un climat plus doux vers le nord.
" Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises, m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes, venus d'une île plus chaude située au nord, ont abordé leurs côtes. " ".
Rappelons, à toute fin utile, que
Mr. de Wrangel,
fut un amiral, un explorateur et un ministre russe, né en
1797, et décédé en
1870.
On pourrait déjà penser, que nous avons trouvé suffisamment d'énigmes concernant le mystère du Pôle Nord, dans l'histoire de ce valeureux peuple esquimau vivant
durement et de manière très austère, dans ces régions arctiques où le froid se taille la part du lion. Mais il y a encore mieux...
Voici en effet autre chose sur les esquimaux, que nous confie
Jules Gay, dans son surprenant opuscule :
" Lors du premier voyage de Ross et de Parry, en 1818, ces navigaleurs entrèrent en relations avec les Esquimaux de la baie Melville. Tous se refusèrent à croire que les navires venaient du sud.
"De ce côté, disaient-ils, tout était glace; il n'y avait d'hommes que dans la direction du nord, où étaient leurs demeures, et d'où
ils étaient descendus sur cette côte pour pécher des narvals". Plus
tard, Ross retrouva chez les Esquimaux de la presqû ile de Boothia-Félix cette même croyance à un climat plus doux et à une eau libre dans le nord.
Tel est l'ensemble des preuves qui nous paraissent établir l'existence d'une mer libre, au moins pendant l'été, autour du pôle Nord. Si quelques-unes de ces preuves, prises isolément, peuvent paraître
insulfisantes, il nous semble que leur réunion ne peut guère laisser
de doutes sur l'objet que nous avions en vue".
En conclusion, on voit ici que
Jules GAY reprend ses arguments principaux en faveur de
la Mer libre, mais une fois de plus, son
subconscient l'invite à insister sur
des détails hors nomes, que la communauté scientifique de son temps, a volontairement
mis sous le boiseau, à savoir, que
(revoir notre article :LaMerLibreduPoleNord.html), ,
Il nous appartient donc désormais de tirer la conclusion finale de cet article. Comme nous l'avons déjà exprimé,
un gros bon point, est à octoyer à
Jules GAY, d'une part pour avoir évoqué dès
1873, des
faits hors normes, souvent occultés à l'époque et découverts dans la zone polaire arctique, comme cette affaire étrange de découverte dans les mers arctiques,de troncs d'arbres flottant dans la mer dont certains portaient des
bourgeons verts . Il y a aussi la découverte en zone arctique de certaines graines d'espèces tropicales qui ont été trouvées, à la dérive, en descendant des courants du Nord. Un très intéressant cas de cette nature, fut de trouver la semence de
la fève d'Entada, une
fève tropicale mesurant 9/4 d'inch
(5cm environ). Cette découverte remarquable a été faite par une expédition suédoise
sous Otto Torell près Trurenberg Bay, et il est évident que cette semence doit provenir de l'
intérieur de la Terre, car elle est tirée d'un arbre qui ne pousse que dans des conditions tropicales, trop loin de la zone polaire.
Et le site
ARTivision, s'est évertué avec beaucoup d'efforts, à poursuivre des recherches
très prosaïques sur
cette affaire qu'aurait pu et dû poursuivre Jules GAY, et là,
il a vraiment, lui
aussi, loupé le coche, et ses héritiers louperont aussi
les lauriers historiques , qui vont en sortir dès que la
Vérité éclatera.
Mais,
Jules GAY, on le sait désormais, a eu le mérite de transcrire la déclaration de
Mr de Wrangel, et qui donne la parole
aux esquimaux Tchoukises, qui affirment dans leur tradition que
des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude , située au nord. Autrement dit, déjà en
1873, certains chercheurs comme
Jules GAY, admettait qu'il pourrait y avoir au sein de
cette Mer libre du Pôle Nord, des
îles habitées inconnues. La démarche du site
ARTivision, est justement, de démontrer,
documents à l'appui, qu'il s'agit bien plus
que des îles disparates inconnues, mais plutôt,
d'un immense continent , situé à l'intérieur de la Terre qui est creuse, quoiqu'en pensent les
détracteurs zélés, mais
continent parfaitement connu de nos gouvernements, qui le cachent au Monde entier, pour de
vulgaires questions de politiques sécuritaires économiques et surtout militaires.
Mais
le Temps des Révélations est bien arrivé, et les
Sbires des Forces de l'Ombre et leurs instigateurs, vont bientôt
mordre la poussière, afin que cette planète devienne enfin un havre de
Paix et d'
Harmonie.
Voici donc pour clore
l'affaire étrange esquimaux, quelques silhouettes de ce peuple si valeureux :
Nous voilà arrivés, ce
21 Novembre 2014, à la section finale la plus importante de cet exposé et l'on va vite comprendre pourquoi !!
Treizième focus : Quand, le grand explorateur militaire américain Richard Evelyn Byrd affirme avoir découvert, des terres nouvelles en plein dans les zones polaires .
Rappelons,
vu son extrême importance, l'entrefilet l'article du
"Miami Daily News", en date du
25 Juin 1926
et surtout les phrases soulignées en rouge tel que :
Phrase nous l'on expliqué plus haut que nous avons traduite après mures réflexions par :
" Il y a une terre, dans le voisinage du Pôle Nord
" comme le croit le commandant
Byrd.
" Il pourrait y avoir une terre
quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".
Bien sur l
es Psycho-sociaux et autres detracteurs blasés et zétetiques, vous diront vite fait, qu'il n'y là, aucun mystère, puisque
Byrd , a bien découvert des zones nouvelles non encore cartographiées et qui s'étendent parfaitement glacées et givrées au-delà du Pôle Nord.
Point Barre.
Nous allons démontrer, dans ce qui suit, que
cette déduction est totalement fausse, et nous allons prouver qu'il s'agissait bien
d'une zone couverte de végétation,, et où circulaient même, de gros mamifères.
En effet puisqu'il s'agit
de la zone polaire nord, restons encore un peu, et lisez plutot ceci que nous devons à l'écrivain
Mr Pascal Cazottes, toujours très bien documenté, et affaire qui concerne, d' un film montrant des actualités de
1926 :
Aux dernières nouvelles, les recherches du Webmaster
d' ARTivision , l'amènent à déclarer, que cette lectrice du magazine
"Amazing Stories", s'appelait
Miss Dorothy E. Graffin, et vivait à New York.
Alors,
Messieurs les journalistes et consorts blasés, si vous retrouvez cette missive dans un petit coin, non seulement,
vous aurez gagné le Super Gros Lot, mais en plus
votre nom sera désormais, sous peu de temps, cité, dans
les manuels d'histoire de cette planète.
Mais, poursuivons notre explication, concernant la
la zone polaire Nord et qui concerne encore l'expédition de
Byrd de
1926:

Ce qui suit est tiré d' un article de
Jean Brun de l'hebdomadaire
Nostra du
n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, qui nous apprend que,
Byrd aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord.
Voici donc quelques lignes de cet article:
"Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58° ! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
Fin de citation
Notons, qu'avec regret,
nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de
Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir du philosophe
Jean Brun (1919-1994), qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc, avec la plus grande déférence,
tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander
très aimablement de nous ecrire, pour nous expliquer la nature des documents,
où il a puisé les éléments étranges de ce qui précède. Il y va de
notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de
notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire.
Merci d'avance...
Ce Monsieur
Jean Brun, aurait-il
eu
la chance inouïe, d'entrer en possession de la brochure publiée à l'époque par
Byrd, comme nous le précise, l'écrivain
Charles Berlitz dans son ouvrage intitulé
"Sans Trace ", publié chez Flammarion en
1978, et ouvrage dont nous reparlerons plus bas :
" ...mais aussi sur ce qu'il est advenu de son rapport initial ainsi que de la brochurc écrite par lui, comprenant moins de cent pages. dans laquelle il narrait son aventure et qui disparut des bibliothèques et des collections, en dépit du fait que, comme dans le cas de l'émission, nombre de personnes prétendent avoir eu connaissance de cet opuscule ".
Fin de citation.
A vous de juger, une fois de plus,
cette affaire zone couverte de végétation en plein Pôle Nord, et d'autre part, cette affaire
de brochure qui s'est évanouie comme par enchantement, des bibliothèques.
De plus nous n'avons trouvé chez
Google que le seul entrefilet du
"Miami Daily News", en date du
25 Juin 1926, qui nous parle de
cette affaire de terre, découverte au Pôle Nord. Dans toute
l' Amérique, nous pensons qu'il devrait y avoir,
au moins un deuxième journal, qui en parle.
Merci mille fois, à l'internaute béni, qui pourrait le découvrir...
Voici d'ailleurs un autre journal en français de
Juin 1926, où bien sûr comme beaucoup d'autres, rien n'est mentionné au sujet de
cette affaire de terre, découverte au Pôle Nord :
A vous de juger
cette notoire distorsion, et rappelons que ce journal
"La Tribune", est bien un journal américain, produit dans la ville de
Woonsoquet, de l'Etat du
Rhode Island, par d'anciens émigrés canadiens.
Mais, nous allons voir maintenant, que
l'affaire est encore plus corsée, en ce qui concerne
le Pôle Sud.
Mais ou l'affaire va vraiment se corser (âmes sensibles s'abstenir), c'est le jour où nous sommes tombés sur le document que nous a adressé l'ami
canadien Sebastien dès le
16 Sept. 2010.
A l'url suivant :
,on trouve le document :
Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons encore en rouge les mots qui nous interpellent:
Traduisons alors
grosso modo ce passage :
" Byrd expliqua :
:
"Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi étendue, que les Etats Unis et le Mexique réunis. "
Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.
Byrd dit : "Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-delà du Pôle, car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque glacière, et chercher un nouveau continent, et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science. "
Byrd qui a volé au dessus du pôle,
4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns
des liens manquants dans le déroulement des faits.
"
Fin de la traduction.
Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que
Byrd était
un militaire, et donc
qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme
un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.
Comme on le voit, ces expressions de
Byrd sont
déjà très claires , même si l'on doit parfois,
savoir lire entre les lignes.
Il y a d'abord cette affaire surprenante de l'existence d'une contrée aussi étendue, que les
Etats Unis et le Mexique réunis. "
Voilà un discours, déjà
bien surprenant, qui ne court pas les rues, et pour mieux comprendre cette affaire, voyons alors
les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :
Au total, cela fait en tout pour la superficie de ces deux pays : 9 529 063 + 1 958 201 =
11 487 264 Km2
Comme on apprend sur le site :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antarctique , que l'Antarctique a une superficie de
14 107 637 km2, on voit alors que :
14 107 637 km2 -11 487 264 Km2 = 2 620 373 Km2, et donc autrement dit, il ne reste pas grand chose dans ce territoire, pour
l'Antarctique déjà connu , et si l'on retire encore en plus, les immenses territoires de l'Antarctique, que dès le
23 Juillet 1923, la
Grande-Bretagne s'était permise d'annexer sans demander rien à personne, il ne reste donc plus grand chose pour
les nombreux autres pays, qui s'étaient aussi installés sur ce continent austral. Voyez-vous même la carte suivante, où nous avons colorié en vert, les territoires en question :
carte tirée des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.
Un internaute géographe pourra additionner,
les nombreuses surfaces des portions occupées par les diverses nations, et l'on verra vite,
que le compte, n'y est pas. Donc
pas question d'y découvrir un territoire inconnu aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, comme
Byrd le dit, dans
de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.
D'ailleurs, voici une carte que nous présente aussi le
volume 92,
n°4 d'Octobre 1947 de la revue
The National Géographic Magazine :
Donc, sans même y ajouter
le Mexique, on voit clairement qu'il ne reste vraiment pas grand-chose pour les portions occupées par les diverses nations.
Mais il y a justement un cas où, en 1955,
Byrd, ne parle plus du Mexique, tout en invoquant une surface de
3 millions de milles carrés (soit environ 7 770 000 km²). Voyez donc la fin de l'article suivant :
Mais où donc
Byrd a-t-il pu découvrir ces
7 770 000 km² surtout
tout à fait inconnus des humains, et ce qui entraîne le
fait clair et net ,
que le territoire occupé par autres nations (voir plus haut), se réduit évidemment
comme une peau de chagrin ?
Alors, Messieurs
les détracteurs zélés irréductibles, vous avez le choix dans ces deux options :
-- Soit le
vice amiral Byrd de l'époque,
était tout à fait timbré, et
un blagueur fini.
-- Soit,
il a bel et bien pénétré, dans
le vortex polaire sud, que
nous cachent nos gouvernements depuis des lustres, et
vortex qui conduit,
quand il s'ouvre, à
l'intérieur de la Terre creuse, où il y a vraiment
un immense continent à découvrir, possédant
vies et civilisations très développées par rapport à nous.
L'expression
"et chercher un nouveau continent" , nous interpelle bien sûr grandement, mais nous y reviendrons plus tard.
Mais restons donc à la date du
7 Septembre 1933 , et voici un entrefilet venant de la
"seconde Section" du
"Spokane Daily Chronicle" , et qui est formulé dans le même style, issu cette fois, de l'Agence
Associated Press, et placé à
l'url :
On voit aussi que
là , on retrouve les mêmes expressions concernant l'affaire du territoire aussi vaste que
les USA et le Mexique réunis, l'affaire
du vaste territoire inconnu de l'humain, existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, puis encore l'affaire des
liens manquants à la science dans le déroulement des faits, et enfin surtout
l' affaire clef et très surprenante du
"nouveau continent". C'est donc un entrefilet, qui vient confirmer parfaitement le précédent .
Mais,
Super Hasard , le
17/05/2013, a mis encore la barre,
à un plus haut niveau, puisqu'il nous a placé sous les yeux, ce qui suit, également en date du
7 Septembre 1933 ( Nous n'étions même pas encore né ) :
En effet sur le site :
On trouve alors :
Traduisons alors,
grosso modo, le début :
"L'expédition de Byrd au Pôle Sud, est prète à partir, par avion, de Boston le 25 Septembre"
L'amiral fait appel aux bons offices du Président.
L'expédition, utilisera deux navires, un personnel élargi, pour partir à la recherche d'un vaste continent et du pôle.
On voit alors que l'on retrouve ici, le
vocable surprenant :
"continent", mais certains, pour noyer le poisson, auront vite fait, de dire que là, il ne s'agit que du
continent Antarctique. Mais allons plus loin, voulez-vous ...
"Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a là, une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "
Nous recherchons un nouveau continent .
Byrd dit : " Nous espérons découvrir un nouveau continent, en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."
Là, tout est clair,
Byrd parle bien,
d'un nouveau continent, et même,
si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait
des caractéristiques d'une zone tropicale, car si
Byrd parle
de cela, dans ces régions ultrafroides et gelées,
c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.
Et même
le Président des USA de l'époque,
T. Roosevelt , renchêrit en affirmant qu'il existe bien
une immense zone à répertorier d'un nouveau continent, jusqu'à présent inexploré, et s'il ne sagisait que d'une autre grande étendue extrêmement froide de neige et de glace,
il n'aurait jamais utilisé ce langage, n'est-ce pas !!!
Finalement, on en déduit
qu'en 1933, les protagonistes de cette exploration polaire, étaient déjà tout prêts
d'imaginer la portée gigantesque, de leurs découvertes dans les régions polaires de notre planète. Ce n'est pas encore
hélas, le cas, pour nos journalistes actuels.
Mais, pendant que nous sommes au
7 Septembre 1933, voyons aussi cet autre document de même nature, que nous avons découvert, sur la page de
Google à :
On y retrouve
les mêmes expressions que précédemment : l'histoire
"du nouveau continent", et même cette fois,
( et cela est surprenant), on reprend
deux fois l'affaire de la contrée aussi vaste que
la superficie des USA et du Mexique réunis. Quand à l'affaire
des liens manquants aux problèmes scientifiques, expliquons ici ce que cela signifie en douce. En effet
Byrd, a découvert
une immense zone tout à fait tropicale en plein
Antarctique ( et il l'a aussi vue dans l'Arctique en Mai 1926 ), comme
la Science, n'a pas encore de théorie pour expliquer cela, alors,
Byrd croit pouvoir s'attacher à résoudre
cette fantastique énigme, mais à l'époque en
1933, nous pensons qu'il n'avait encore mis le doigt sur la bonne solution, et même s'il l'avait trouvée,
le Gouvernement américain lui interdirait de la révéler.
Mais
les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par
cette affaire de nouveau continent, nous diront évidemment
sans d'abord tourner leur langue sept fois dans son logement, que nous faisons
une fixation lexicale, sur le mot
continent, qui concerne
seulement le territoire immense peu connu de l' Antarctique, qui est
déja classé comme un véritable continent ...Point Barre.
Ces détracteurs, oublient que le site
ARTivision, a
toujours en réserve des documents incontournables, prouvant ses extrordinaires affirmations :
En effet ce
23 Novembre 2014, reprenons l'indication de
l'ami du Grand Canada Sébastien, toujours très entreprenant, qui nous dit que sur le site :
On découvre alors ceci :
Nous n'avons reproduit
qu'une partie de cet article, et aussi nous avons souligné en rouge, les termes qui, ici, nous interpellent grandement .
Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en question :
Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques
Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.
"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte géographique primordiale du 20 siècle "- soit : un huitième continent."
Plus bas en parlant du capitaine
George J. Derek, Officier de la Marine US de 43 ans, accompagnant
Byrd en Antarctique,
Lee Van ATTA nous dit :
"Si alors il trouve que les eaux sous glace de la mer de Walddel séparent la terre de James Ellsworth du reste de l'Antarctique, ainsi un huitième continent pourra être ajouté aux cartes du monde, et Byrd croit fermement qu'une telle découverte est possible."
Il est clair que le début de cette dernière phrase est totalement confus et incompréhensible, mais seule
la croyance affirmée de Byrd, nous intéresse ici :
un huitième continent pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition. Mais que signifie donc tout cela !!!
Précisons d'abord, ce que l'on découvre au sujet
des continents sur le site :
Comme on le voit, il a bien
7 continents, et
l'Antarctique est déjà
un des 7. Alors comment se fait-il que
Byrd, parle d'un
huitième continent qui
existerait encore en Antarctique ?
La seule façon de comprendre ce langage tout à fait
énigmatique,
(voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser, et ce monsieur a publié aussi d'autres articles surprenants de Byrd ), est d'admettre,
une fois pour toutes, que
Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pénétrer,
(en quelques milliers de km) dans
"l'ouverture polaire sud" ( les guillemets ont ici une très grande importance) ( et rappelons aussi que Byrd, l'a fait également pour celle du pôle Nord en 1926), est certain cette fois, avec
la puissante armada de l'opération de
1947,
"High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de
ce continent, qui s'étend à
l'intérieur de la Terre.
A vous de juger tout cela, documents à l'appui.
Notez bien qu'avec notre plus amer regret, nous n'avons pas trouvé, sur
Google , le journal du
"Palm Beach Daily News" du
7 Septembre 1933, ni celui hélas, du
31 Janvier 1947, et c'est donc avec
la plus grande déférence, que nous demandons aux
internautes bénis, qui savent où se trouvent
les archives de ce journal, ou qui ont
un accès informatique privilégié à la Bibliothèque Nationale du Congrès Américain, d'avoir l'extrême gentilesse de nous scanner,
les articles sur Byrd, qui pourraient s'y trouver.
Merci déjà mille fois d'avance.
Mais pour mieux visualiser tout cela, remontons justement au
7 Septembre 1933, et voyons l'article d' un autre journal donc
l'url est placé à :
On constate d'abord que ce journal n'a pas pu trouver une petite place
dans son titre pour y inscrire le mot
Byrd (d'ailleurs écrit en premier lieu dans le texte avec une faute d'orthographe : Bird à la place de Byrd ) .
Mais bravo cependant, on retrouve dans le texte en question,
les mêmes expressions que précédemment : l'histoire de la zone non répertoriée
aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, l'affaire
du vaste territoire inconnu de l'humain et existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, et enfin la surprenante affaire
"du nouveau continent", et des
liens manquants à la science dans le déroulement des faits ( ce dernier point est déjà expliqué plus haut).
Autrement dit, ce
"San Jose News", a passablement correctement suivi l'annonce de l'
Agence United Press ( pas très différente de celle de l'Agence Associated Press) du
7 Septembre 1933 .
Par contre, toujours pour ce
7 Septembre 1933, à
l'url suivant :
On voit alors que le
Rédacteur en chef de ce journal, y a été
au minimum, avec l'information de l'
Agence United Press en question
et information qui pourtant intéresse, selon nous, l'humanité entière :
Traduisons, grosso modo, le début :
Les objectifs de Byrd : 2 années d'exploration en Antarctique.
" Washington UPI . L'explorateur polaire, le vice Amiral Byrd , annonça à la Maison Blanche aujourd'hui, qu'il s'envolera le 25 Sept de Boston pour un voyage de deux ans d'exploration en Antarctique . Byrd télephona au Président Roosevelt , avant son départ avec deux navires " The Old revenue Cutter Bear " et "the supply Vessel Pacific Fir", pour sa base de glace "Little America", en Antarctique .
Byrd dit encore : " Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi large que les USA et le Mexique réunis ", et il ajouta qu'il espérait faire 10 fois mieux que sa précédente incursion dans l'Antarctique." .
On voit là aussi, que l'affaire très importante,
du nouveau continent à découvrir, est
passée bien sûr, carrément à la trappe.
A vous de juger cette déviance comportementale, de l'être humain.
Mais nous avons évoqué ci-dessus, la date importante du
31 Janvier 1947 et voici donc une partie notoire incontournable de la réponse :
En effet c'est le 26 Février 2011, que nous avons reçu encore de notre ami canadien
Sébastién , cet
url très important :
Après quelques ajustements des colonnes, voilà ce que l'on découvre sur ce site :
Le titre surprend déjà :
Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire.
Ah Ah...comme vous le voyez, il y a tout de même
un secret à découvrir, dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini n'est-ce pas ?
Avant de poursuivre l'exploration de cet important document nous ne résistons pas au plaisir de vous placer ici cette petite image du
"Ciel&Espace de Juillet 1997" :
On voit que l'expression
"mystère polaire" est vbolontairement placée et entre guillemets, ce qui veut dire clairement, l'auteur de l'article un certain
Serge Jodra, sans doute un astronome qui se croit qualifié, pense que l'affaire de
la Terre creuse n'est qu'un fantasme relevant entièrement du mythe , comme, il le dit si bien dans le titre suivant, que nous vous exposons ici
seulement , pour montrer que nous sommes encore toujours
fair-play dans cette affaire :
Mais poursuivons plutôt, plus avant, l'étude de
ce texte inouï du
"Leader Post" du
31 janvier 1947 .
Traduisons quelques paragraphes, où il y a des phrases soulignées en rouge.
D'abord tout au début on trouve
" Little America. 31 Jan. Le Vice Amiral Richard E.Byrd a atteri à Little America jeudi et immédiatement annonça ses objectifs en vue d'un vol à travers le Pôle Sud dans un territoire inexploré pour déterminer si l'Antarctique est un continent unique ou une masse de deux grandes îles.
Byrd dit que l'expédition de la Navy sous son commandement allait devenir peut-être "La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".
Quel tissu
de sous-entendus, Byrd nous livre
là ? Il faut
savoir lire entre les lignes, bien sûr.
En effet d'abord, pour savoir si
l'immense continent possède
des failles profondes (rappelons qu'à certains endroits, il y a près de 4000m d'épaisseur de glace, d'après le dessin en perspective suivant tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :
où l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à 4200m ), capables de le séparer en divers portions, il faudrait des centaines d'avions munis de radars puissants pouvant sonder sous la glace et de vastes équipes au sol pour baliser le terrain. Donc, cette affaire
d'îles à déterminer est
un énorme bluff pour noyer le poisson, et détourner l'attention des journalistes.
Arrivé à ce niveau de l'affaire, il nous faut faire alors ici
une troisième digression :
En effet, les amis
d'ARTivision, savent depuis des années, que tout est parti, des pages 13 et 14 du livre
"Mondes au delà des pôles", d'
Amedeo Giannini, qui prétend que
des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones
arctique et antarctique de notre planète :
On doit alors savoir d'abord, que
Giannini était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Et voici donc juxtaposées, une partie des pages en question de ce livre :
Notre modeste traduction du premier paragraphe donne :
Février 1947 " J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle (Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu".
Vice-amiral Richard E Byrd de la Marine de USA, avant ses 7 heures de vol au-delà du pôle Nord.
Hélas, nous n'avons trouvé
aucune mention dans un journal quelconque, de cette expédition de Byrd, au Pôle Nord de 1947.. Si
Giannini ne ment pas, cette expédition a dû être
Ultra Top-secrète. C'est pour cela qu'
à notre plus grand regret, nous pensons que
Giannini, a commis
là , une
grave erreur, et qu'il aurait dû absolument, mentionner la source de cette si
surprenante déclaration de
Byrd.
Voici donc, une des rares photos de ce
Giannini :
Notons en passant, que nous avons parlé longuement de cet
Amedeo Giannini dans nos articles suivants :
Précisons cependant, avant de poursuivre
que nous ne souscrivons pas du tout, à la théorie
fantasmagorique de
Giannini qui, pour expliquer ses découvertes, a élaboré, à l'époque
l'incroyable hypothèse qui voulait que la
Terre soit collée par les pôles, à un univers parallèle bien réel, et que cet univers serait lui même en relation avec un autre, et que cela
se poursuivrait ainsi à l'infini ...Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de
continuité physique de l'Univers.
Giannini, n'a à aucun moment imaginé que
la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait
deux ouvertures aux pôles, permettant d'accéder à son intérieur.
En essayant de décortiquer cet ouvrage très ardu à lire, il va s'en dire que nous n'avons pas pensé, une
seule seconde qu'
Amedeo Giannini, ait pu inventer tout cela, avec tant de détails précis, surtout à l'époque,
où l'on ne plaisentait pas sur la rigueur morale.
Mais, il s'avère cependant que
les prémices des recherches de Giannini, qui sont à l'origine de son extravagante théorie, sont les mêmes qui s'articulent au départ
de la théorie des "ouvertures polaires", et en particulier les déclarations insolites
(nous dit Giannini) de
l'amiral Byrd et aussi et surtout, la découverte extraordinaire faite en
1928 par
Sir George Hubert Wilkins, et découverte qui s'attache à l'exploration de
l'Antarctique.
Fin de la troisième digression
Reprenons ici la suite dfe l'étude du document clef du
"Leader Post" en question.
Puis, il y a ceci :
"La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde". .
Cette phrase
ressemble n'est-ce pas bizarrement à celle citée plus haut de Giannini en date de
28 Nov 1955 ;
"This is the most important expedition in history of the World",
et pourtant on est ici en fin Janvier 1947 soit
environ 8 ans plus tôt.
A vous de juger, cette nouvelle approche de l'affaire, document à l'appui.
De plus, comment à l'époque
(le Traité de l'Antarctique interdisant toute mesure de nature militaire et non pacifique qui a pris effet le 23 Juin 1961, n'était donc pas encore en vigueur), l'exploration de
quelques veines apparentes de charbon ou d'autres minerais utiles à l'industrie, pouvait-elle être considérée
comme la plus importante découverte géographique ou géologique qui soit ?
Puis il y a
cette déclaration inouïe de Byrd :
"I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pôle" :
"J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette vaste zone inconnue, située de l'autre côté du Pôle". Ne trouvez-vous pas que cette dernière déclaration,
s'apparente énormément à celle que
Byrd, aurait dite plus haut en
Février 1947 (le jour n'étant pas hélas précisé), et concernant
le Pôle Nord :
"J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord)...", alors qu'ici il s'agit du
Pôle Sud, le
31 janvier 1947.
Aux spécialistes de résoudre cette énigme saugrenue.
Alors disons encore cette autre réplique de
Louis Jouvet:
Moi, j'ai dit BIZARRE,
BIZARRE ? COMME C'EST ÉTRANGE ...
Plus loin, il y a aussi
cette affaire extraordinaire d' inacessibillité :
Que nous pourrions traduire grosso modo :
" Byrd dit qu'il était extrêmement intéressé par la région non répertoriée qu'il aimerait explorer. il la qualifia de "zone la plus inaccessible de la Terre juste au-delà du pôle sud, par rapport à la base Little America". "
Et nous voilà donc ici confronté à
cette affaire d'inaccessibilité très difficile à comprendre ici .
Mais pour
les puristes, voici une missive très interressante et un autre son de cloche venant du
New York Times du
18 Février 1947 :
Traduisons approximativement les lignes soulignées en rouge à la fin :
" Après avoir quitté le Pôle, l'Amiral Byrd dirigea les avions vers la droite afin d'explorer la région qu'il avait décrite comme "la zone la plus inaccessible à la surface de la terre".
Toujours cette affaire
de région inaccessible et évidemment
Byrd, ne nous explique pas du tout ce que cela signifie.
Cette affaire, étant trop longue à traiter ici, et vous en trouverez des détails dans nos articles :
Mais ce
26 Nov. 2014, il nous semble opportun de placer ici pour les puristes , un document encore plus fantastique que celui du
Leader Post vu précédement . Il s'agit du
"The Portsmouth Times" , également du
31 Janvier 1947, où l'on voit que
Richard E. Byrd, fait état
d' avions à réaction expérimentaux, montés sur skis, et article qui se présente ainsi :
On voit que, cet entrefilet reprend pratiquement les mêmes termes que ceux du
Leader Post, présenté plus haut, et même l'affaire de
"la zone la plus inaccessible", s'y trouve aussi. Donc
tout est désormais clair, et en complément
pour les puristes, présentons aussi ici, cet article du même
"Portsmouth Times", en date du
7 Septembre 1933, tout aussi surprenant :
A vous de juger tout cela, documents à l'appui.
Mais aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe une fantastique histoire concernant
le Pôle Sud, et qui s'apparente
à celle incroyable, vue plus haut, au sujet de
Miss Dorothy E. Graffin, qui vivait à New York et qui elle, nous parlait de l'expédition de
Byrd au
Pôle Nord en
1926 .
En effet, de plus, il nous reste l'extraordinaire témoignage de
1929, de Madame
Emily Ingram, relevé par
l'écrivain célèbre Charles Berlitz (auteur du "Triangle des Bermudes", et qui ne semble pas pourtant, vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement). Il nous transmet, aux pages 164 et suivantes de son livre :
"Sans Trace ", publié chez Flammarion en
1978,
un récit stupéfiant, qui relate,
l'aventure inouïe de l'amiral Byrd en 1929, lors de son survol
du Pôle Sud :