C'est tout simplement fabuleux . Si vous avez d'autres tuyaux sur cette affaire, ne m'oubliez pas.
Fin de citation.
Que dire de plus, si ce n'est
que les scientifiques auront un mal fou à ranger ce cratère dans la catégorie habituelle dite de
caratère d'impact , ou encore de
cratère météoritique. Le bloc central est, en effet,
bien trop structuré géométriquement, pour être le résidu d'impact d'un météor qui ferait simplement, on le sait, un grand trou assez profond, avec en plus
des renflements caractérisés sur les bords, ce qui n'est pas du tout le cas ici, ni pour le cratère
Giordano Bruno évoqué plus haut.
Mais c'est,
l'extrordinaire image suivante (jamais montrée dans les revues d'astronomie qui ont pignon sur rue), qui va nous fournir la solution du problème :
Et en augmentant un peu le contraste, on voit alors :
Cette photo a été présentée dès
1973 par notre ami
(hélas décédé en 1990) Alfred Nahon dans son remarquable ouvrage
"la Lune et ses défis à la science"? paru aux
Editions Mont-Blanc.
On y voit clairement dans le cercle indiqué
un engin indiscutablement non naturel, entrain
de raboter la partie droite du cratère Copernic. Il va sans dire que cet engin peut parfaitement être
antigravitationnel et utiliser des énergies inconnues de nous, pour extraire du sol du cratère des minéraux utiles aux occupants. La poussière lunaire, peut donc s'y coller progressivement, et surtout s'y détacher en fonction des directions rectilignes empruntées pour le transport de ces minéraux. Cela est à l'origine de la blancheur du cratère et des
fameuses rayures concentriques blanchâtres que l'on découvre autour de ces cratères d'exploitation minières. Si vous avez une meilleure explication du phénomène, soyez assez aimable de nous l'envoyer, afin que nous puissions la publier, dès réception....
Si tout cela,
vous laisse de marbre, peut-être trouverez vous
une inspiration plus souveraine, dans
les structures phénoménales présentées dans le même ouvrage,
(jamais montrées non plus, dans les revues spécialisées en question) :
Toutes
ces structures surprenantes ( présentées pourtant, il y a déjà 41 ans (en 2014)),
gagneraient assurément à être mises en 3D, et l'on s'étonne grandement qu'aucun spécialiste de l'art de la
3D,
n'ait eu encore l'idée de le faire.
Bizarre, n'est-ce pas !!! et c'est donc encore, ici le moment, de reprendre la célèbre réplique, du grand acteur français, que fut
Louis Jouvet :
BIZARRE, VOUS AVEZ DIT BIZARRE ? COMME C'EST BIZARRE...
Pourtant en ce qui concerne
la superstructure en question, aperçue dans
le Paris Match 1028, nous avons reçu dès le
27/05/2010, du
Service de Création, d'une entreprise spécialisée dans l'art de la
3D,
la structuration imaginée , suivante :
Merci donc, mille fois, au Webmaster de cette entreprise, d'avoir accepté de nous réaliser, cette
surprenante image.
A vous donc de juger, maintenant tout cela...
Bien que cela va nous éloigner un petit peu de
la Lune, et puisque nous parlons de la
3D, c'est sans doute aussi ici, le moment de dire, que c'est
la même téméraire entreprise qui nous a réalisé de superbes vues, d'une
autre structure tout à fait insolite (jamais montrée non plus dans les journaux d'astronomie bien connus)
et dont voilà la vue d'en haut de la Nasa :
C'est
la huitième vue intitulée
" The View from Low Orbit "
En voici un petit agrandissement :
Pas mal n'est-ce pas
cette structure bizarre, sur un vulgaire astéroïde nommé
Éros, filmé par la sonde américaine
Near en
Février 2000.
Et voici l 'admirable représentation en
3D, de l'entreprise en question :
Puis aussi, voici quelques autres vues :
Et en tenant compte du relief et du bassin dans lequel est placée la structure, on a aussi :
Merci donc encore , au Webmaster de cette entreprise, d'avoir accepté de nous structurer en
3D, cette
surprenante image d'Eros.
Faisons cependant un petit rappel : C'est le
17 Janvier 1996, que fut lancée la sonde
NEAR ( Near Earth Asteroid Rendez-vous : Rendez-vous avec un astéroïde proche de la Terre), et qui après environ
316 millions de Km, s'est posée sur
EROS, un caillou de forme allongée
comme une pomme de terre, et de 34 km de longueur.
C'est alors que nous avons eu le grand bénéfice de découvrir
un extraordinaire schéma, dans la revue destinée aux adolescents et merveilleusemment illustrée du
Science&VieJunior n°139 d'Avril 2001, dont voici la couverture :
Et voici ce super schéma, où nous avions ajouté en rouge,
fut un temps, la position de
l'Anti-Terre (dont il convient ici, de ne pas tenir compte), à l'arrivée finale de la sonde
NEAR sur
EROS le
12 Février 2001.
Après s'être mise en orbite autour de l'astéroïde, dès le
14 Février 2000, le
13/02/01 à
20H04 GMT, la sonde Near lancée le
17 fév. 1996, s'est effectivement posé en douceur sur
Eros,
( ce qui a surpris les observateurs méticuleux, car cet atterrissage sur l'astéroïde, a été annoncé au tout dernier moment. Une mission comme celle-là se prépare pendant de très longs mois à l'avance et l'on n'avait pas de raison, de nous en dissimuler, la finalité. Alors pourquoi tant de cachotteries de la part de la NASA ? ). On apprend aussi que les promoteurs de cette première spatiale n'estimaient d'ailleurs qu'à
1%, les chances de réaliser ce contact.
(Le Parisien du 13/02/01)
Remarque :Cet événement pourtant exceptionnel n'a fait l'objet de la moindre phrase dans le quotidien local de la Guadeloupe ( France-Antilles), tout au moins, du Vendredi 9 au Mercredi 13 Fév. 2001, ce qui prouve encore une fois que certains journalistes préfèrent nous entretenir de ce qui parle du train-train quotidien, bien ancré au "plancher des vaches", en escamotant parfois un "événement cosmique qui, comme vous venez de voir est tout à fait stupéfiant ".
Notons en plus, que l'on a pu trouver l'échelle de cette forme surprenante, qui présente
des blocs verticaux à bords parallèles.
Or d'après
Roch Saüquere Directeur de la revue
Top Secret :
http://www.topsecret.fr, et selon les commentaires de la
NASA, le rocher blanc au fond du cratère devrait mesurer
au moins 45 mètres. Faut-il encore y ajouter,
45 m, pour le bloc fin qui se déboîte en dessous ?
Aux spécialistes de répondre !!!
On ne va pas tout de même pas nous dire que
cet artefact (l'illusion d'optique souvent avancée par les éternels détracteurs n'est pas soutenable ici), est venu là, sur
Eros, par l'opération du
Saint-Esprit , et les revues et médias,
qui ont pignon sur rue, n'ont jamais pourtant osé parler de cela, et surtout de faire un débat public à son sujet. Or dans les mythologies
incas, aztèques, mayas, ( et même les textes bibliques ) etc.. on ne parle que de
puissants Dieux géants qui régnaient à un moment donné sur cette Terre.
Point barre...
Mais
les éternels et zélés détracteurs, ou autres
olibrius zététiques, vous diront, comme d'habitude, qu'il ne s'agit là, que
d'un minuscule rocher unique, et peu significatif, qui se prête admirablement à l'illusion d'optique.
Mais,
ce que ces détracteurs font semblant d'ignorer, c'est que le site
ARTivision, a toujours en réserve d'autres données, pour appuyer ses dires.
Voyons donc cela plus avant, car il y a bien d'autres structures bizarres, sur
Eros, et en particuler :
On apprend alors, qu'il existe de nombreuses zones
d'une blancheur notoire inexplicable, et on décrouvre ici, des rayures ayant des
barres parallèles, coupant à angle droit, un axe central. Mais il semblerait que cette blancheur cache parfois
(comme le montre la flèche de gauche de la photo précédente, et avec une loupe bien sûr c'est encore mieux) des formes très régulières
(sortes blocs parallèles et orthogonaux)
A vous de juger, quel est le phénomène inconnu, qui pourrait être à l'origine de
ces étranges manifestations, sur
ce vulgaire rocher, qui se ballade dans les environs de notre
Terre..., et rocher, où il ne peut y avoir
une quelconque érosion nanurelle ( pas de vent, pas de rivières, pas de pluie.. etc..)
Mais voici mieux encore :
Le 8 mai 2001 nous avons reçu d'un spécialiste canadien en traitement photographique,
Yves Vaillancourt, l'agrandissement suivant :
Il est donc curieux que cette structure très insolite ci-dessus,
n'ait jamais été montrée en 3D par la NASA, et les médias spécialisés si avides d'images chocs. Un grand merci donc à
Yves Vaillancourt pour sa remarquable contribution à notre découverte d'Eros.
Si de plus vous jetez un coup d'oeil sur le site de l'ami
Christian Macé :
Vous y découvrirez cette
très étrange sphère placée également, sur Éros :
Photo NASA de l'astéroïde EROS :
au fond du cratère, une sphère de pierre
.
Bien sûr
les détrateurs endurcis auront vite fait de nous dire que sur Terre, on peut trouver des blocs de roches qui ressemblent à des sphères, quand on les regarde d'en haut,
et qu'il n'y a pas de quoi en faire un plat.
Le site
ARTivision ne s'occupe plus de ce genre de commentaires, et met alors
ici , chacun
( écrivains, journalistes, savants officiels) au
pied du
mur, et ils seront bien obligés un jour, de ne plus
faire comme l'autruche et
de tirer la tête sous le sable, pour analyser enfin
ces structures implacables et très dérangeantes, découvertes sur ce vulgaire rocher nommé
Éros (Et il n'est pas le seul, où l'on a fait des trouvailles insolites) .
Mais il y a aussi, d'autre part, cette histoire fantastique de
l'Atlantide qui a fait couler beaucoup d'encre. D'ailleurs cela ne fait que commencer avec
l' Internet. Il vous faut aussi savoir, que les gouvernements n'ont
au plus Haut Niveau, aucun intérêt à vous dévoiler qu'il a existé
sur Terre avant le déluge,
des civilisations de loin supérieures à la nôtre et qui construisaient
des pyramides sur Terre qui défient la résistance de nos constructions les plus modernes. Mais en plus nous savons que l'on nous cache aussi la présence sur Mars
de pyramides dix fois plus hautes que celles d'Egypte. Comment voulez-vous que ces gouvernements avouent,
sans perdre la face et leur autorité,
(déjà si souvent remise en cause dans nos societés), que ces civilisations n'ont pas disparu complétement, et qu'il existe encore,
des vestiges vivants de ces civilisations,
basés à l'intérieur, et autour de la Terre. On voit leurs traces, sur
la Lune ou ailleurs, et même on sait que, leurs protagonistes viennent nous visiter dans
des engins non identifiés, qui survolent le territoire national et que bien sûr, tout notre arsenal militaire
(soutenu à grand frais par nos impots), est
incapable de les intercepter. Si les gouvernements reconnaissaient cela, ce serait avouer
l'inefficacité de notre système de défense, et
notre impuissance vis à vis d'autres intelligences supérieures.
Donc toute découverte
(entre autre, celle de la pyramide dans le triangle des Bermudes ou ailleurs au large de Cuba) donnant la preuve absolue
que ces civilisations avancées ont bien existé est
obligatoirement classée Secret d'Etat, d'autant plus que l'on peut découvrir dans
les cryptes secrètes des monuments en question
(les pyramides d'Egypte par exemple) des
schémas d'appareils fantastiques, utilisant par exemple
l'antigravitation qui polarise en ce moment nos savants et qui donnerait au premier pays découvreur de cela, une puissance considérable par rapport aux autres Etats. Ces
cryptes secrètes ont parait-il, bien été découvertes.
Voir alors nos articles plutôt corsés et placés à :
Concernant les
engins non identifiés évoqués juste ci-dessus, voici une information très récente s'y rapportant :
----- Original Message -----
From: banlin
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, February 08, 2014 3:45
AM
Subject: Nouveaux articles
Quand un ancien ministre de la défense du CANADA se "
lâche" sur les OVNIS à la télévision....
Il n'y a même pas un entrefilet dans la presse en FRANCE..... Edifiant !

Sophie
Chevardnadze : Notre invité aujourd'hui est l'honorable Paul Hellyer , ancien
ministre de la Défense du Canada , et il croit que les formes de vie de l'espace
sont présentes sur Terre . C'est super de vous avoir dans notre émission .
Pourquoi dites-vous que les Ovnis sont aussi réels que les avions volant
au-dessus de nos têtes ?
Paul Hellyer : Parce que je sais qu'ils le sont . En fait, ils visitent notre planète depuis des milliers d'années et l'un des cas qui est le plus connu, si
vous me donnez deux ou trois minutes pour répondre, c'est quand durant la guerre
froide en 1961, il y avait environ 50 OVNIS en vol en formation qui sont passés
au sud de la Russie et à travers l'Europe, le Commandant suprême allié était
très préoccupé et presque prêt à appuyer sur le bouton " panique " quand les
Ovnis virèrent de bord et partirent vers le pôle Nord. Ils ont décidé de faire
une enquête et ils ont étudié pendant 3 ans et ils ont déduit avec une certitude
absolue que quatre espèces au moins avaient visités notre planète depuis
des milliers d'années.
http://www.banlin.fr
Vous avez bien noté, que les engins en question
"..virèrent de bord et partirent vers le pôle Nord...". C'est justement, ce dont
"ARTivision", se fait l'écho, depuis près de
16 ans ...
En effet, bien avant l'époque de la
guerre froide de 61 mentionnée ci-dessus, il y a eu en
1947, l'affaire de
Kennet ARNOLD, et pour
le novice ingénu qui veut en savoir plus sur
ces affaires d'ovnis (on parlait autrefois de soucoupes volantes), dont on évite soigneusement le sujet dans nos chaînes de télévision, empruntons à l'ouvrage remarquable paru chez
Dargaud en 1972, des courageux
Jacques Lob et de
Robert Gigi, quelques vignettes significatives sur le sujet. Voici d'abord la couverture de l'ouvrage en question :
Puis voici les vignettes
( hélas en noir et blanc à l'époque), qui expliquent bien la provenance cette affaire de
"soucoupes volantes" :
C'est donc grâce à
Kennet Arnold, que le vocable
"soucoupes volantes", a pris son essort à partir du
24 Juin 1947. Voila déjà un point. très clair.
Mais pour bien montrer, que le site
ARTivision a suivi cette affaire, il y a des lustres, voici quelques informations sur
le chercheur frénétique sur les soucoupes volantes, que fut
Aimé Michel,
( il fut aussi un très grand défricheur français des concepts hors-normes, très peu étudiés par les scientifiques), et il a ainsi découvert que la plupart des tracés de vols de soucoupes volantes sont sur
une trajectoire Nord-Sud, ce qui est exactement ce qui se passerait si
l'origine des soucoupes était polaire.
Il a publié en effet, en
1957 l'ouvrage intitulé
"Lueurs sur les soucoupes volantes" chez
l'Editeur MAME à Paris. Il y fait allusion à de nombreux cas, où l'on note que ces soucoupes volantes
empruntent la direction Nord-Sud,
dans un sens ou dans l'autre.
Pour les
puristes, qui aiment partir des sources, disons aussi, chose très rare sur le sujet, que la revue bien connue,
"SCIENCE et VIE", a aussi publié en
Février 1958, un article d'
Aimé Michel, sur
l'orthoténie, dont voici quelques éléments significatifs :
Il faut aussi savoir que les meilleurs ufologues ont écarté à l'époque systématiquement,
l'étude des phénomènes polaires, comme pouvant être en rapport avec
la provenance des soucoupes volantes.
Aimé Michel est de ceux-là :
En effet dans
le numéro 10 de Mai-Juin 1963, de la fameuse revue
Planète, dont voici les deux couvertures:

.

, on découvre alors, un article d'
Aimé Michel de 15 pages, dont le début est tel que :
A aucun moment l'auteur ne parle
des phénomènes polaires, et de la revue
Flying Saucers de Dec59. Nous ne pouvons pas affirmer que l'auteur ait pu avoir en main cette revue parue trois ans et demi tôt. Toujours est-il que dans sa bibliographie, elle n'apparaît pas :
Pourtant
Aimé Michel, recevait de nombreux rapports en provenance des USA et de l'Angleterre, et il serait
très surprenant que l'on ne lui ait pas soufflé deux mots sur cette revue qui osait présenter
une thèse révolutionnaire sur la provenance des soucoupes volantes. De plus
Aimé Michel avait de nombreux amis au pays de l'Oncle Sam, qui auraient pu vérifier dans les journaux de l'époque,
les déclarations fantastiques de Byrd, ce qu'
ARTivision , a eu bien du mal, à mettre en exergue dans ses articles :
Pour être plus explicite, présentons ce cas classique, où les soucoupes volantes ont emprunté
la direction des pôles, et cas que nous extrayons du site :
Le Quotidien de la Haute Loire France, 22 septembre 1954
CIGARE VOLANT AU-DESSUS DE ANNONAY, 16 SEPTEMBRE 1954:
L'article ci-dessous est paru dans le journal Le Quotidien de la Haute Loire, le 22 Septembre 1954.
Un cigare volant sur Annonay.
Jeudi dernier, à 12h15, M. Vialon, retraité des chemins de fer, demeurant à Annonay, se préparait à prendre son repas lorsque son petit fils, âgé de sept ans, qui jouait dans le jardin, lui cria "viens vite voir la soucoupe volante". M. Vialon sortit aussitôt et le spectacle qu'il vit ne fut pas sans le surprendre. Voici le récit qu'il en a fait: "Dès que je fus sorti, j'aperçus dans le ciel, se déplaçant silencieusement, dans la direction du nord/sud, un appareil allongé que j'aurais sans doute pris pour un avion s'il n'avait été suivi par une traînée blanche, nettement plus long que lui, peut être huit à dix fois sa longueur, et qui, contrairement à celle produite par certains avions, conservait sa forme rectiligne dans le prolongement de l'engin et gardait toujours la même dimension. La vitesse de cette étrange machine était inférieure à celle des avions qui passent régulièrement et, à l'avant, on distinguait, par instants, une sorte de disque brillant ressemblant à des reflets de soleil sur une partie métallique. Cet appareil mit environ trois à quatre minutes pour traverser le ciel d'Annonay. Puis brusquement, à l'instant où il approchait de la limite de mon champ de vision, il piqua à la verticale et disparut. Pendant cette plongée, la traînée blanche prit immédiatement sa place dans le prolongement de l'appareil et à aucun moment, elle ne s'effilocha dans le ciel comme une traînée habituelle que l'on voit dans le sillage des avions.".
Nous n'avions pas hélas,
à l'époque la chance de posséder le
n° de 1951 "Science et vie" mentionné ci-dessus dans la page présentée d'Aimé Michel de la même revue de Février 1958.
Mais
Super Hasard , nous est venu,
une fois de plus, à l' aide, et nous avons réussi à trouver l'article en question sur les soucoupes volantes de la revue
"Science et Vie" de 1951. Le voilà grâce à l'extrême gentillesse de l'internaute
Isabelle P........, qui nous a fait le
26 Juillet 2011, le scan des 6 pages du
"Science et Vie" d'Avril 1951, dont voici le début :
Nous n'avons pas
hélas, trouvé dans ces scans la mention, que certaines soucoupes volantes empruntaient la
direction Nord-Sud.
Pour en dire plus, voici une portion du texte que nous avons étudié dans notre article plutôt avant-gardiste :
Début de citation :
De l'avis de l'éditeur de FLYING SAUCERS, cette origine polaire des soucoupes volantes devront maintenant être discutée. Il est tout à fait nécessaire que cela soit fait. Une simple dénégation ne peut être prise en compte. Tout rejet doit être accompagné d'une preuve solide. FLYING SAUCERS suggère qu'une preuve supplémentaire ne peut être fournie actuellement. Et que jusqu'à ce que cette preuve soit avancée, FLYING SAUCERS se place dans le contexte où tous les groupes ufologistes devraient étudier la question du point de vue de la Terre creuse, et accumuler toutes les confirmations disponibles des deux derniers siècles, et aussi les dénégations qui s'imposent. Maintenant que nous avons octoyé aux soucoupes volante l'origine la plus logique (en insistant sur le fait que l'origine interstellaire présente un obstacle insurmontable exigeant des concepts allant au-delà de l'imagination), qui affirme que les soucoupes viennent de notre propre Terre, ceci doit être prouvé ou réfutée, d'une façon ou de l'autre.
Pourquoi? Parce que si la Terre intérieure est peuplée par une race très avancée scientifiquement, nous devons établir des contacts fructueux avec eux et, si elles sont leur science est très puissante, y compris dans le domaine militaire, nous ne devons pas en faire des ennemis. Et si l'intention de nos gouvernements à l'égard l'intérieur de la Terre est de le considérer comme un "territoire vierge", comme il en a été pour les "territoires indiens" d'Amérique du Nord lorsque les colons sont venus pour y chasser les propriétaires légitimes, il revient à ces gens de l'intérieur de connaître nos intentions et de donner leur avis à ce sujet. c'est le droit de que les gens sachent que l'intention, et d'exprimer leur volonté en la matière. (Note 23 du Webmaster: RAY PALMER, fait ici un faux raisonnement, car si ces ovnis existent depuis des siècles, comme il l'affirme, alors les habitants de l'intérieur ont une avance considérable sur nous , et n'ont nullement besoin de notre avis pour protéger leur contrée contre nos agressions habituelles. Nous avons déjà mis ce fait en relief, dans notre article : RetourIsis.html, et nous avons même mentionné à plusieurs endroits que les Maîtres de l'intérieur, peuvent pénétrer dans nos entreprises les plus secrètes, pour nous étudier de près).
Le concept de la soucoupe volante est devenu
le fait le plus important dans l'histoire. Les réponses aux questions soulevées dans cet article doivent être trouvées.
L'amiral Byrd a découvert
une Terre nouvelle et mystérieuse, le
centre de la grande inconnue, et c'est
la découverte la plus importante de tous les temps. Nous l'avons apprise
de sa propre bouche, d'un homme
dont l'intégrité a toujours été irréprochable, et dont
l'esprit était l'un des plus brillants de l'époque moderne.
Que ceux qui souhaitent le traiter de menteur, prouvent leurs assertions .
Les soucoupes volantes viennent de cette Terre !
Fin.
Fin de citation .
Que celui qui a des oreilles pour bien entendre, et des yeux pour bien voir, les ouvre encore mieux, à la lumière, qui nous éclabousse de plus en plus.
Rappelons, à toutes fins utiles, que cet article n'est pas du tout une thèse scientifique rigoureuse,
(comme certains détracteurs le souhaiteraient sans doute), mais plutôt
une sorte de causerie au clair de Lune, au pied du volcan tropical
La soufrière, où nous habitons, et causerie telle qu'elle avait lieu autrefois, quand le modernisme n'était pas entré dans les mœurs. C'est aussi une sorte de conte philosophique antillais à la veillée, et ce conte inclut le fait que certains auteurs
( comme l'amiral Byrd, cité admirablement juste au-dessus), aient eu l'audace de nous sortir des textes qui parlent
d'une terre fertile et luxuriante en pleine région polaire. La
non orthodoxie, de ces récits extraordinaires, ne peut
que nous interpeller ,, et nous pensons qu'il s'agit là de
documents initiatiques, sans doute élaborés, soit par une
véritable connaissance secrète de l'auteur, soit encore par une
Force informative subconsciente latente, venant du fond des âges, ou d'un
Maître en mission.
Pour illustrer tout cela,
Super Hasard, vient encore de nous mettre sous le nez, un autre document, qui va faire grincer des dents les éternels zélés détracteurs. Cela concerne le journal
Youngstown Vindicator de
L'OHIO des USA du
7 Septembre 1933 et dont url est placé à :
Sur le site :
on découvre alors ces infos :

.

Disons que ce journal tombe à pic
(puisque l'on en parle justement plus haut) pour nous faire retrouver avec bonheur, les stupéfiantes affirmations de
L'amiral Byrd, déjà présentées dans d'autres articles.
Commençons si vous le voulez bien, par ceci :
" Wants To investigate continent Bigger than U.S; and Mexico." Ce Titre est l'expression condensée du paragraphe suivant placé plus bas :
, que nous pourrions traduire modestement :
"Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a là, une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "
Vers la fin de l'article, on trouve aussi ceci :
Que nous pourrions traduire Grosso modo :
"Il espérait découvrir un nouveau continent, dit-il, en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."
Là, tout est clair,
Byrd parle bien,
d'un nouveau continent, et même,
si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait
des caractéristiques d'une zone tropicale, car si
Byrd parle
de cela, dans ces régions ultrafroides et gelées,
c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.
Mais pour faire très court, rappelons seulement ici également cet entrefilet également du
7 Septembre 1933, du
NewBurg News et placé à :
Traduisons, grosso modo, le début :
Les objectifs de Byrd : 2 années d'exploration en Antarctique.
" Washington UPI . L'explorateur polaire, le vice Amiral Byrd , annonça à la Maison Blanche aujourd'hui, qu'il s'envolera le 25 Sept de Boston pour un voyage de deux ans d'exploration en Antarctique . Byrd télephona au Président Roosevelt , avant son départ avec deux navires " The Old revenue Cutter Bear " et "the supply Vessel Pacific Fir", pour sa base de glace "Little America", en Antarctique .
Byrd dit encore : " Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi large que les USA et le Mexique réunis ", et il ajouta qu'il espérait faire 10 fois mieux que sa précédente incursion dans l'Antarctique." .
On voit là, bien à regret, que l'affaire très importante,
du nouveau continent à découvrir est
passée, carrément à la trappe.
Mais, pour mieux comprendre cette affaire concernant
les USA et le Mexique réunis, voyez donc les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :
Au total, cela fait en tout pour la superficie de ces deux pays : 9 529 063 + 1 958 201 =
11 487 264 Km2
Comme on apprend sur le site :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antarctique , que l'Antarctique a une superficie de
14 107 637 km2, on voit alors que :
14 107 637 km2 / 11 487 264 Km2 =
1,2228...
Autrement dit, compte tenu du vaste territoire de l'Antarctique déjà connu par
Byrd,
(et aussi occupé par de nombreuses nations),
il n'y a pas la place en Antarctique pour un autre continent inconnu, aussi large,
que les USA et le Mexique réunis, comme
Byrd le dit, dans
de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.
Alors Messieurs
les détracteurs zélés irréductibles, vous avez le choix dans ces deux options : Soit le
vice amiral Byrd de l'époque était tout à fait timbré , et
un blagueur fini, soit,
il a bel et bien pénétré, dans
le vortex polaire sud, que
nous cachent nos gouvernements depuis des lustres, et
vortex qui conduit,
quand il s'ouvre, à
l'intérieur de la Terre creuse, où il y a vraiment
un immense continent à découvrir, possédant
vies et civilisations très développées par rapport à nous.
Mais, pour ceux qui tout de même, douteraient toujours, voici
encore mieux :
En effet; sur le site :
On découvre alors ceci :
Nous n'avons reproduit qu'une partie de cet article, et aussi nous avons souligné en rouge, les termes qui, ici, nous interpellent grandement .
Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en question :
Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques
Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.
"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte géographique primordiale du 20 siècle "- soit : un huitième continent."
Donc ici, seule
la croyance affirmée de
Byrd, nous intéresse ici, car il affoirme :
un huitième continent pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition. Mais que signifie donc tout cela !!!
Précisons d'abord, ce que l'on découvre au sujet
des continents sur le site :
Comme on le voit, il a bien
7 continents, et
l'Antarctique est déjà
un des 7. Alors comment se fait-il que
Byrd, parle d'un
huitième continent qui
existerait encore en Antarctique ?
La seule façon de comprendre ce langage tout à fait
énigmatique,
(voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser), est d'admettre,
une fois pour toutes, que
Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pénétrer,
(en quelques milliers de km) dans
"l'ouverture polaire sud" ( les guillemets ont ici une très grande importance) ( et rappelons aussi que Byrd, l'a fait également pour celle du pôle Nord en 1926), est certain cette fois, avec
la puissante armada de l'opération
"High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de
ce continent, qui s'étend à
l'intérieur de la Terre ( On ne sait pas, si Byrd savait déjà cela à l'époque) . .
Mais, par contre, on le sait, il rencontrera alors,
une résistance hors normes, et il s'en
retournera hébété, au point de parler ensuite,
de manière ambigüe, de
menaces voilées et peu explicites, envers les
USA,
venant des deux pôles. Voir nos articles :
Mais, qui fut donc ce
Lee Van ATTA,
qui savait tout ? C'est maintenant
là, qu'il faut chercher,
des éclaircissements supplémentaires, n'est-ce pas ...!
C'est à vous qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents à l'appui, et encore merci à
Super Hasard, de nous avoir permis ici de faire un
Flash back, toujours utile, sur
les déclarations insolites de
l'amiral Byrd, qui a quitté ce monde, rappelons-le à toutes fins utiles,
à 68 ans, au soir du 11 Mars 1957.
Mais voilà que
Super Hasard, vient de faire encore des siennes, car ce matin du
17/02/2014, nous avons eu l'idée de plonger à nouveau, dans les colonnes du
Youngstown Vindicator, et voilà ce que nous y avons trouvé, en date
13 Mars 1957 :
Traduisons alors, grosso modo, les
17 premières lignes de ce texte :
"
Notre plus grand explorateur.
Jusqu' au décès de l'amiral Richard E. Byrd, lundi, il était sans aucun doute "le dernier vivant des explorateurs mondiaux" comme son chef. l'Amiral Burke, l'a fait observer lors d'un dinner en témoignage de la carrière de Byrd. en le comparant en vérité avec précurseurs célèbres de l'histoire, ces esprits intrépides que furent Drake et Magellan.
La biographie de l'amiral Byrd est parsemée d'un épais gisement d'accomplissements. Il a réalisé la première exploration systématique de la région de l'Arctique, et a navigué avec le premier avion qui survola le pôle Nord. Il fut chargé de la première traversée vers le pôle Sud. Il a commandé cinq expéditions antarctiques , et a exploré près de deux millions de milles carrés de l'Antarctique - plus que tous les autres explorateurs réunis en avaient pu cartographier. "
Nous voyons ici, qu'il est bien précisé que
Byrd a exploré
près de deux millions de milles carrés de l'Antarctique. Or sur le site :
on découvre :
ANTARCTICA - About 5,500,000 square miles (14,245,000 square km).
Si l'on retire, les 2 millions de milles carrés découverts par
Byrd,, il reste seulement
3 500 000 milles carrés pour
l'Antarctique déjà connu , et si l'on retire encore en plus, les immenses territoires de l'Antarctique, que dès le
23 Juillet 1923, la
Grande-Bretagne s'était permise d'annexer sans demander rien à personne, il ne reste donc plus grand chose pour
les nombreux autres pays, qui s'étaient aussi installés sur ce continent austral. Voyez-vous même la carte suivante, où nous avons colorié en vert, les territoires en question :
carte tirée des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.
Un internaute géographe pourra additionner les diverses surfaces des portions occupées par les nations,
autres que la Grande Bretagne et les USA, et l'on verra vite,
que le compte, n'y est pas.
Donc, pour trouver
ces 2 millions de milles carrés, il faut bien aller puiser dans
l' immense vortex polaire, découvert
par Byrd et aussi par Sir George Hubert Wilkins en 1928,
au-delà, du
Pôle sud, et hélas pour
Byrd, c'était un territoire
qu'il ne pouvait revendiquer publiquement, à cause du fait, que cela est devenu pour son gouvernement,
Ultra Top Secret, et
l'est toujours.
Mais
le novice ingénu, qui découvre à peine, les arcanes du site
ARTivision dira :
"Prouvez-moi plus visuellement l'existence de ce vortex".
Point Barre....
Nous n'avons bien sûr, pas de photos d'en haut de
ce vortex polaire sud, mais on peut déjà se poser la question de savoir pourquoi
la ronde des satellites au-dessus du Pôle Sud est toujours tangente à
un disque ou un cylindre notoire , sans jamais le traverser une seule fois :
ou encore on a aussi :
Nous avons attendu depuis le
17/11/2012, depuis la sortie de notre article :
Larondedessatellites.html, que les fortiches en Math,
( et là c'est le silence de la tombe), nous expliquent comment la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :
, pourra prendre en compte,
le fait surprenant, que nous montrent clairement les images précédentes, à savoir que aucun de ces satellites ne passe au dessus du pôle sud
( Il en est de même du Pôle Nord) .
Nous sommes maintenant presque certains que la formule ci-dessus ignore totalement le phénomène polaire en question .
Mieux, ce disque semble
se juxtaposer étrangement, à ce disque bien noir de l
'Antarctique :
Cette image provient, on le sait, de la revue bien connue,
Science&vie de
Novembre 2004, numéro 1046. Aucune explication ne fut fournie par cette revue, sauf celle-ci :
La légende qui présente cette photo est simplement:
"L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"
Il va sans dire que
cette gigantesque pastille noire , n'est pas là par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer
une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le
satellite Envisat semble bien avoir,
quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit des
faisceaux très lumineux sous-jacents, s'échapper tout autour du disque noir.
Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue,
qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de
l'Antarctique avec un disque noir gigantesque,
sans aucune explication concernant
sa présence très insolite à l'endroit en question.
Bien que l'on sache que cette photo est
une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), on demeure confondu devant tant
d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue.
Mais nous avons aussi, à vous conter ici, une importante affaire, qui nous est arrivée, et qui fut l'un des meilleurs coups spectaculaires de
Super Hasard, concernant l'aventure de
L'amiral Byrd.
Il y a en effet, pas mal d'année en cherchant dans nos dossiers tout autre chose, nous sommes tombés,
avec ahurissement, sur une revue, dont voici déjà, la photo de la couverture :
Et, dans cette revue , intitulée
"Sélection du Reader's Digest" de
Janvier 1956, il y avait un article de l'amiral
Byrd, qui s'exprimait avec des
sous-entendus notoires.
Faisons déjà ici, une petite
adéquate digression : En effet certains
internautes qui s'affirment bien-pensants, diront d'emblée :
"Oh là ...cette revue bourgeoise m'indiffère grandement". Le site
ARTivision, a déjà expliqué ce comportement dans son article
plutôt corsé pour ce genre d'internautes, ayant sans doute vécu, les événements de Mai 68, en France :
, et nous précisons, une fois encore ici, que le site
ARTivision, ne se
préoccupe nullement du
prétendu caractère sérieux ou pas d'une revue, car somme toute, cela est
très relatif dans le temps et l'espace, et ce qui est sérieux aujourd'hui, peut paraître totalement insignifiant plus tard.
Point barre...
Précisons aussi que nous n'étions pas du tout abonné à cette revue, et qu'elle est arrivée dans notre bibliothèque, tout simplement après le décès d'une parente.
Fin de la digression...
Et voici aussi donc, une image de la première page de l'article en question :
Et en page 10, on trouve surtout :
Dans cet article,
Byrd nous parle de
l'expédition de
1947-1948 , déjà évoquée plus haut, et nommée
"Opération High Jump", qui fut l'expédition polaire de loin la plus importante qui ait jamais été
réalisée, et
Byrd , nous fait
la déclaration inouïe suivante :
"Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au delà du pôle , une
région aussi vaste que les États-Unis, entièrement
inconnue, et dont il n'existait aucune
carte...".
Évidemment,
Byrd ne parle pas de la découverte d'une
quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme
"au-delà", et non
"autour" du pôle, ou
"après le pôle", ou encore
"derrière le pôle". L'expression
"au-delà du Pôle", nous l'avons souvent dit dans nos articles, nous fait plutôt penser à
une contrée bien à part, et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle. Comment peut-il exister
"au delà du
Pôle", une immense région, surtout
"inconnue", alors que chacun s'attend à
n'y trouver,
à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très
caractérisées ?
Il ne faut pas oublier
(nous l'avons aussi souvent exprimé) que
Byrd, était un
militaire
de haut rang, et qu'il était
évidemment astreint,
à une stricte obligation de
réserve, à laquelle il ne pouvait se soustraire, même à la
retraite.
Or, dans ce texte, nous sommes en 1956 (et là, on le sait), Byrd évoque l'opération High Jump de 47-48), et il reprend pratiquement la même expression vue plus haut et concernant un nouvreau continent. Ce qui prouve qu'il n'a pas, en 1933, pu explorer à sa guise, le territoire inconnu évoqué.
Rappelons aussi, que dès 1929, donc effectivement 4 ans avant 1933, il avait survolé le Pôle Sud, et participé alors à une incroyable émission de radio dont l'extraordinaire reportage, nous est fait par l'écrivain célèbre Charles Berlitz, (auteur du "Triangle des Bermudes") (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement), et qui nous transmet ce reportage, aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978:
Voir ce reportage inouï, à la fin de notre article :
Bravo donc, à cette revue "Sélection du Reader's Digest", de nous avoir dès début de 1956, mis aussi, en alerte sur des événements surprenants, arrivés sur le continent Antarctique...
A vous de juger, tout cela... documents à l'appui.
III Quand ARTivision, retrouvre l'extraordinaire photo chinoise de l'internaute Gabriel S.... .
Ce matin du 20/02/2014, une forte impression nous a invité à taper dans le cadre de recherches de Google : Photos prises par la sonde lunaire chinoise Chang'e-1 . Nous sommes alors tombés sur le répertoire suivant :
Comme vous le voyez, chose surprenante, l'exceptionnelle image :
, ne s'y trouve pas. Nous allions, tout déçus, abandonner la recherche, quand nous avons eu l'idée saugrenue, de placer le curseur sur les images en question . Et c'est sur la première image de gauche, en cliquant sur l'onglet inférieur "Images similaires" que nous avons trouvé ceci :
Comme vous le voyez alors, la troisième image correspond parfaitement à celle que nous cherchions depuis si longtemps, et la voilà maintenant en mieux :
C'est ainsi que l'on découvre que cette photo porte le numéro : 0011431ac16e08c8a7c95f
et elle est directement visible sur le site :
Et voici le texte, que l'on trouve sous l'image :
Vous voyez alors que l'on donne des détails nombreux sur la sonde chinoise Chang'e-1 et la caméra utilisées, mais, il n'y pas un seul mot sur la nature du paysage lunaire en question. Comme c'est bizarre n'est-ce pas !!!
Mais, chose encore plus surprenante, si nous tapons ce qui suit à Google images, voilà ce que l'on obtient :
Ainsi donc l'une des plus extraordinaires photos de la sonde chinoise Chang'e-1 de 2007 est inconnue de Google images, et nous avons eu une chance inouie ( merci encore à Super Hasard ), de pouvoir dénicher cette superbe photo, qui nous interpelle grandement.
A vous de juger, une fois de plus ces incongruités notoires.
Mais ce 22/02/2014, analysons de plus près, le centre de cette image étrange de la sonde chinoise Chang'e-1 de 2007 , qui nous l'avons dejà dit, ne peut pas du tout, être le résultat d'un choc météoritique , comme les bien-pensants, ont vite fait de cataloguer cette image.
Mais pendant que nous y sommes analysons aussi la septième image (traversée par une barre noire) du groupe précédent :
Cette photo serait issue de la Sonde Chang’e-3 en date du 14 Déc 2013 avant son alunissage. On peut trouver cette photo, aussi à l'url :
En mettant un peu plus de contraste, sur la partie blanche qui nous interpelle grandement sur cette photo, on découvre ceci :
En y regardant de plus près, on y voit, (certes c'est un peu flou), au centre, une structure, où transparaît un bloc rectangulaire, bien caractérisé.
Nous attendrons sans doute longtemps encore, avant que, les astronomes, astrophysiciens et consorts assimilés, nous donnent une seule explication du phénomène naturel, étant à l'origine des configurations des structures précédentes bien étranges, et on se demande d'ailleurs, si cette bande noire, qui traverse l'image ci-dessus, n'est pas là, pour dissimuler des structures encore plus fantastiques. Point Barre .
Nous pourrions, (et nous l'avons déjà fait, dans de nombreux autres articles) , trouver ici, beaucoup d'autres structures insolites, qui prouvent de manière incontournable, qu'il existe sur la Lune et dans les environs, l'expression d'une vie assurément intelligente, mais cet événement extraordinaire, qui est, selon nous, par exemple, bien plus important que le passage une comète dans le ciel, a été (et est tojours), pour de vulgaires questions de prestige national, et de puissance technologique ou militaire, soustrait à la connaissance de l'Humanité entière, alors que cet événement porte en lui-même, la raison majeure d'unir cette Humanité, et d'en finir une fois pour toutes avec ces guerres dérisoires et calamiteuses, qui la déchirent depuis des siècles.
Combien de temps, seront-nous encore les dindons de la farce, dont justement le France-Antilles du 22/02/2014, nous présente, un court échantillon lamentable :
Pour ceux qui veulent en savoir plus, prière de se reporter à l'excellent documentaire, intitulé "Victimes de la bombe atomique française", que nous avons eu le privilège, très surprenant et bouleversant, de découvrir ( Merci encore à Super Hasard) , le 15/04/2014, au soir, sur une Chaîne de la Télé, telle que :
A bon entendeur salut !!!
IV Quand ARTivision, découvre une autre photo de la sonde chinoise, Chang’e-3, ressemblant à celle du Paris Match 1028 .
Le
23/02/2014, après midi, en tapant sur
Google, ceci :
, nous avons obtenu, donc les quatre images qui précèdent, et en posant simplement le curseur sur la première image et en cliquant sur l'onglet inférieur
"Images similaires", nous avons trouvé en partie ceci :
Bien sûr, c'est
la sixième image qui a fait tilt, pour nous :
Comme
cette image ressemble, n'est-ce pas à celle du
Paris-Match 1028 !!!
Mais voyons cela de plus près :
Mais scrutons alors le cratère suivant, du Paris Match 1028 :
et aussi le même, de la sonde chinoise en question :
A la finesse des détails du Paris Match 1028, on trouve en bas des traits grossiers et limités. Ce qui prouverait que ce globe lunaire de la
sonde
Chinoise Chang'-3, n'est
qu'une reconstitution en carton-pate, comme on nous le montre, sur les photos suivantes, où l'on découvre que
la NASA, avait reconstitué le globe lunaire entièrement :
Pour en savoir
bien plus, prière de consulter le site :
, ou encore, le site :
Mais si l'on pousse le raisonnement plus avant, on peut dès lors, se demander si les chinois ont refait eux-mêmes un autre globe lunaire gigantesque comme celui les americains
( ce qui représente des mois d'un travail assidu) , ou s'ils ont tout simplement utilisé
l'image carton-pate déjà fignolée de la NASA, que leurs auraient fourni leurs copains russes...
Aux spécialistes de faire les ajustements et les comparaisons. Notre rôle à nous, est simplement de suggérer le fait.
Mais ce
26/02/2014, il nous vient l'idée de remonter alors à l'image vue plus haut concernant Apollo 8 :
Cette image, rappelons-le, nous venait du site :
Et voyons de plus près, le même cratère en question :
Comme on le voit, alors ce cratère a aussi
des traits grossiers du carton-pate, qui sont loin de la
finesse de ceux de l'image du Paris Match 1028, déjà présentée ci-dessus. .
A vous de juger tout cela, documents à l'appui ...
V Quand ARTivision, découvre un film de CNTV, montrant l'alunnissage de la sonde chinoise, Chang’e-3, le 14 Décembre 2013.
Ce
27/02/2014, après avoir taper sur
Google :
Photos prises par la sonde chinoise Chang'e-3, nous avons obtenu en images condensées ceci :
Et, en posant simplement le curseur, sur la première image nous obtenons :
En cliquant alors sur l'onglet
"Images similaires", on obtient en partie :
Et alors, nous avons eu l'idée de selectioner, la
quatrième photo telle que :
Hélas nous ne savons pas comment inclure
l'animation présentée de CNTV, mais nous pouvons tout de même, regarder
le bas assez surprenant , de l'image en question et voici
quelques éléments insolites que nous y avons découverts :
Précisons que
des infographistes, bien plus équipés que nous, pourraient
bien sûr, en dire davantage sur cette photo.
Mais il y a aussi, cette reconstitution imagée du décor lunaire, que l'on trouve sur le site :
tel que :
Cette reconstitution, calquée sur celle les images des
"Apollos lunaires" , nous
fait bien rire sous cape, car les
monts arrondis (si bien, souvent montrés par les missions Apollos en question), devraient
être plutôt escapés et déchiquetés, vu
le manque d'érosion du coin, comme ce qui suit, qui nous montre, comment
Wernher VON BRAUN, dans son ouvrage de
1961, se représentait les paysages lunaires, et selon nous,
il en connaissait un rayon :
Comme on le voit, il n'y a
là, aucune colline arrondie, et le paysage est très déchiqueté.
Mais demandons aussi au célèbre dessinateur belge
Hergé (Conseillé parait-il par la NASA), de nous en dire aussi quelques mots imagés dans son abum de 1985 :
Là encore, à aucun moment, on ne trouve de collines arrondies, mais, le même paysage acéré, rempli d'arêtes pointues.
Mais
les éternels détracteurs diront encore, que ce sont des dessins et que chacun peut imaginer, ce qu'il veut, en la demeure.
Voyons donc un paysage lunaire authentique :
Et pour ne pas subir la foudre des éditeurs, disons que la photo de gauche est tirée de l'ouvrage intitulé
LA LUNE de
F. LINK, publié chez
A. Michel en 1970. L'image de droite est sortie de
"Atlas of the Moon", d'
Antonin Rükl, édité en
1991 par
Hamlyn London.
Comme on le voit,
là non plus, il n'apparaît pas de
collines bien arrondies et bombées.
Alors d'où viennent
ces collines mamelonnées souvent blanchies, que nous montre la photo ci-dessus du site
futura-sciences.com/, et surtout aussi, collines qui émaillent régulièrement
les photos lunaires Apollo, de la
NASA :
Cette photo,
aux collines vraiment blanchies, est répertoriée, sous le
n° AS17-134-2037
Et donc on aimerait bien connaître
la super lessive, qui lave toujours plus blanc à La NASA, n'est-pas !!!
A vous de juger, et de nous en dire, tant soit plus, si possible ... .
Mais ce
28/02/2014, il nous vient à l'esprit, qu'il y a encore un cas, où à la NASA, on lave très blanc. A vrai dire la NASA elle se tait, mais ce sont ses sbires en la substance de certains scientifiques, qui ne peuvent qu'être très honteux de s'être faits lamentablement berner par la NASA.
Ainsi sur le site en anglais :
et mieux le même site en français :
on peut lire le passage suivant :
" Les appareils photo emportés par les astronautes comportaient un système de marquage sous forme de petites croix ; or, sur certaines photos, ces croix seraient « cachées » par les éléments d'avant-plan ce qui tend à prouver que ces éléments ont été ajoutés ultérieurement à la prise de la photo par le biais d'un photomontage."
C'est exactement ce que dit
ARTivision.
Mais voilà, ce que répliquent
les prétendus intercesseurs de la NASA :
"Les croix ne seraient pas masquées par les éléments du décor mais simplement « brûlées » par les éléments d'image de couleur blanche. Les zones blanches de la pellicule sont celles éclairées par la lumière, qui aurait tendance à se diffuser dans la couche sensible du film, provoquant cet effet de débordement du blanc. "
Autrement dit, c'est la
clarté lumineuse du blanc qui fait disparaitre la croix en question.
Pour mieux saisir de quoi il s'agit, voyons une fois de plus cette fameuse image
AS16-107-17446, de la
NASA , ou
de très nombreuses anomalies ont été mises en relief par
ARTivision , et remarquez dejà SVP, la petite flèche rouge que nous y avons placée :
Disons déjà, que c'est parce que
Super hasard, nous avait mis sous la main dès
1972,, un poster
( que nous possédons tojours) de
47,5 cm sur 40,5cm,, de cette fameuse photo, que nous avons pu découvrir ce détail
(et bien d'autres d'ailleurs) :
Comme vous le voyez, la branche horizontale gauche du
+ , passe
bien derrière le bout de l'objet de forme rectangulaire, et même aussi un tout petit bout de la branche verticale du bas de ce
+ , disparait, lui aussi, derrière l'objet. Ceci est la preuve absolue que cette photo a été réalisée par la juxtataposition de plusieurs photos et l'opérateur de la NASA, ne s'est pas rendu compte de l'erreur, lors du montage.
Mais les
les prétendus défenseurs de la NASA ont vite fait de nous dire que
" le blanc, sature certaines parties de la croix, et les fait disparaître. On alors l'illusion que la croix se poursuit en dessous.
"
Voyons de plus près
cette affaire de saturation :
Analysons voulez-vous cette portion d'image d'
Apollo 17 :
Si nous regardons au bas de l'instrument que tient l'astronaute, on découvre ceci :
Et il semblerait donc ici, que
le blanc de l'instrument n'ait pas réussi cette fois, à saturer totalement les branches de la croix.
Bizarre!!! Mais évidemment, on nous dira que
ce blanc n'est ici pas assez éclatant...
Mais il y a mieux :
En effet il y a aussi cette photo d'
Apollo 15 n°
AS15-85-11355 visible sur le site :
où l'on découvre ce coin, où apparaissent 4 croix dont 3 sont dans un blanc très remarquable :
Les croix ont résisté ici, n'est-ce pas
franchement à la saturation de ce qui on pourrait le dire, lave bien blanc à la NASA !
Et voici , un autre sur le même site :
Les 6 croix sont bien apparentes, et même celle qui nage dans le blanc... n'est-ce pas ?
Enfin un dernier pour la route :
Autrement dit, il ne s'agit pas du tout
d'une affaire de blanc qui sature les bords de la croix .
Mais,
un détracteur zélé et pointilleux, nous dira :
" Cela est un cas isolé, et il n' est pas assez significatif ".
Point barre
Ce qu'il faut savoir, c'est que le site
ARTivision, a toujours en réserve, des éléments pouvant confirmer ses dires :
Voyez alors l'mage
d'Apollo 17 :
tirée du site :
Cette image est, heureusement pour nous
plus réduite, que celle du
Paris Match n°1236 du
15 Janvier 1973, consacré à
Apollo 17, et pour les puristes, qui aiment voir les documents d'origine, voici déjà la couverture de la revue en question :
Et voici, en page 35, le haut d'article en question :
Et c'est, au centre des deux grandes pages 40 et 41, trop étendues pour notre scanner, que nous avons alors repéré l'image superbe du véhicule lunaire
(LRV) Lunar Roving Vehicle , que nous replaçons ici, pour mieux revoir cela :
Cette photo, numérotée
AS16-107-17446 sur le site déjà vu :
http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html),
possède alors des
anomalies notoires :
Voyons alors de plus près ce
LRV (Lunar Roving Vehicle) du
Paris Match :
, qui correspond à la légende de la revue ::
" ...Harrisson H. Schmitt parait isolé et perdu avec sa jeep dans ce paysage lunaire fantastique et désolé. C'est ici que vient d'être découverte pour la première fois une roche de couleur orange. Cette couleur est nettement visible de chaque côté du véhicule. trace d'une éruption volcanique ou de la présence d'eau voici des milliards d'années sur la Lune, cette roche sera analysée par les chercheurs. Son origine pose une nouvelle énigme.".
Pas mal
ce laïus très coloré n'est-ce pas !
Ce que nous constatons d'emblée, c'est que l'on ne voit
aucune trace de pas, ni surtout des roues du véhicule, ni devant, ni derrière. Comment
"l'astronaute" et
la jeep, ont-ils pu arriver au centre du paysage,
sans laisser de traces sur le sol. Bien sûr, on nous dira que c'est,
la dureté du sol qui en est responsable.
Point Barre.
Maintenant, il faut aussi remarquer les caractéristiques du symbole
+, pouvant servir, on le suppose, au cadrage des éléments du paysage, comme le quadrillage établi par les archéologues sur le site d'un terrain ou sous la mer. Ce
+ , devrait toujours se situer
en avant, des objets de l'image. Mais la photo précedente, du
Paris Match nous montre exactement ceci :
Comme on le voit , la branche horizontale gauche et droite du
+ , passe bien derrière le bout des objets du LVR et même aussi presque toute la branche verticale du bas de ce
+ , disparait lui aussi, derrière le LVR.
Autrement dit, il ne s'agit pas du tout
d'une affaire de blanc, qui sature les bords de la croix et cela donc, ne peut être que le résultat de la juxtaposition
d'au moins deux clichés différents, et l'opérateur de la NASA, ne s'est pas rendu compte de l'erreur lors du montage.
A vous de juger, à nouveau tout cela...
Mais regardons plus loin, car il semblerait que
le blanc ait aussi,
un vilain concurrent, qui efface irrémédiablement les croix en entier :
Analysons en effet, l'image suivante
Apollo 17, visible sur le site officiel suivant, et bien d'autres :
Sur cette image :
On ne voit ici pratiquement pas les petites croix du cadrage, alors que sur celle-ci, on les voit bien mieux:
:
On devrait en compter
6. Mais, si la croix qui est près de la main de
"l'Astronaute", semble tronquée
( aux spécialistes de précisez cela), par contre la croix qui devrait apparaître sur le rocher est bien absente sur cette photo.
Autrement dit
le rocher,
sature tout aussi bien que du blanc, n'est-ce pas ! .
Pour y voir plus clair, voici une autre image, où nous avons renforcé,
la trace des croix, et
surtout, placé celle qui manque sur le rocher :
Mais, pour contredire cette afirmation, disant que
le rocher est apte à faire lui aussi disparaître les croix, comme le blanc, voici alors une photo prise aussi par
Apollo17, où 4 croix apparaissent parfaitement sur un rocher :
A vous de juger, une fois de plus, cette affaire cruciale...
VI Quand ARTivision, décide de mettre davantage en accusation, les velléités dérisoires des sites Wikipedia, et bien d'autres du même gabarit, comme celui des Mythbusters, visant à glorifier, les fausses aventures lunaires, des Nord-américains.
Ce
03/03/2014, nous allons poursuivre l'analyse très pragmatique de quelques points des sites suivants:
et surtout du site déjà présenté en anglais :
et mieux du même site en français :
On peut alors lire au debut dans
l'historique le passage suivant :
"À l'époque du débarquement sur la Lune, il existait déjà une petite minorité d'incrédules qui se recrutait aux États-Unis dans les classes sociales les plus défavorisées, coupées de toute connaissance scientifique, et les minorités. L'audience de la thèse du canular lunaire (« moon hoax ») s'élargit dans les années 1970 lorsqu'un climat de défiance vis-à-vis des institutions s'installe chez beaucoup d'Américains... "
Autrement dit, seuls
les scientifiques bien assis dans cette socièté, sont capables de connaître
le vrai, dans cette affaire et les autres quidams incrédules, ne sont que des
mécréants inaptes, sans outils adéquats, pour juger.
Il est bon alors, en premier lieu, de rappeler ici que le site
ARTivision, prétend aussi démontrer dans ses nombreux articles que
le Temps des Révélations est bien arrivé, et que
tout un chacun est porteur d'un brin de Vérité, et cela est assimilable
à la goutte d'eau de pluie qui va rejoindre immanquablement l'océan, où elle y puisera,
force et régénération. Nous sommes donc tous individuellement reliés à
cette Énergie Cosmique, qu'
ARTivision appelle aussi
le Très Haut, actuellement en grande mutation,
et nous avons tous notre petite pierre à apporter à l'édifice fantastique qui se construit actuellement, d'en
déplaise à ceux ( nous les avons déjà nommés ci-dessus), qui croient être les seuls à posséder la vraie connaissance.
Point Barre
Plus bas sur le site
Wikipedia , on trouve aussi, alors ceci :
"
Plusieurs photos montrent des ombres portées dans des directions différentes, alors que la lumière solaire venant de suffisamment loin, toutes les ombres devraient être parallèles.
"Ce ne seraient pas les ombres qui ne seraient pas parallèles, mais le relief du sol qui en donnerait l'illusion. De plus, si une seconde source de lumière était présente, les ombres seraient dédoublées, ce qui n'est pas le cas sur la photo."
Et toc... Voilà
une autre affaire réglée, vite fait et bien fait. Ce que l'on ne précise pas ici, c'est que les contre-expériences, ont été faites avec,
un gros projecteur, qui n'était pas placé à l'infini, comme notre soleil l'est.
Pour mieux cerner cette affaire, analysons, voulez-vous, de plus près, cette image célèbre d'
Apollo11, que le monde entier a admirée :
Mais, on le sait, le site
ARTivision, évite toute spéculation et tout bavardage, non basés sur des faits précis concernant cette affaire de débarquement sur la Lune de
Neil Armstrong et consorts.
Pas besoin en effet, de sortir de
Polytechnique, pour s'apercevoir que
l'ombre de l'astronaute de droite,
est bien plus longue, que celle de son confère. Les
rayons du soleil viennent de l'infini, et
en plus ce Soleil est assez proche de l'horizon. Les deux ombres
doivent être parallèles et surtout de même longueur, car la taille des
"astronautes" , était la même, à quelques cm près...
Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste expérience suivante :
Un jour, vers
16 h 20 locales, nous avons simplement placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que
les ombres étaient parfaitement parallèles, et surtout que l'ombre portée mesurait
98 cm, pour chacune d'elles.
En conséquence, il s'en suit que :
- Soit que les deux
"astronautes" , sont éclairés
(sur Terre évidemment, par de puissants et différents projecteurs , dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona)...
- soit,
pire encore , il s'agit
d'un montage de deux photos différentes prises pour chaque "astronautes" , séparément et, bien entendu, sur Terre.
De plus,
nous n'avons pas reçu, une seule réponse, concernant
le gros point d'interrogation, que nous avions soulevé dans d'autres articles, et qui consiste à simplement dire :
Qui a pu filmer et prendre ses images si bien agencées, des deux "astronautes" , évoluant côte à côte sur la Lune. On sait en effet que le troisième confrère nommé
Collins , était très éloigné en haut dans le ciel lunaire et dirigeait le
Module de Commande. Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre ces photos si claires !!
Mais,
où était donc fixée la caméra en question, a-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si précieuse en ce lieu ?
Jamais la NASA n'a éclairci, ce point crucial...
Nous attendrons encore quelque temps
une réponse claire, de ces deux sites présentés plus haut et nous la publirons volontier dès réception.
A vous de juger une fois de plus... mais cette fois expérience à l'appui .
Mais ce
04/03/2014, il nous vient l'idée de préciser encore
certains points très litigieux, de la photo
d'Apollo 16, déjà présentée plus haut :
Une fois de plus, nous allons scruter
certains éléments, de notre poster, de
47,5 cm sur 40,5cm, qui y sont donc plus visibles et décelables, vu l'époque
fin 1972 de la sortie de ce poster,
( l'image a été modifiée depuis) , et poster, qui était destiné à la documentation scolaire.
Pour mieux appréhender ce qui va suivre, il importe d'abord de revoir l'excellent documentaire intitulé
"l'espace intersidéral", et qui est passé le
Dimanche 6 Février 2005,, pendant 30 minutes de la chaîne
"Planète Choc" dans la série d'émissions des
" théories du complot" ( n° 9 de 2001), et le programme de télévision de la semaine à l'époque nous montrait ceci :
Nous ne pourrons évidemment que vous présenter,
certains passages de ce film, que
nous avons jugé assez significatifs. Les puristes pourront toujours un jour, si ce n'est pas déjà fait, le visualiser complètement et merci à l'internaute qui nous en retrouvera l'url de la version en streaming.
Mais que découvre-t-on de surprenant dans ce petit film ?
D'abord le générique nous montre ceci :
La première personne questionnée, ancien membre de la NASA (Nom non mentionné que nous appellerons par commodité Monsieur X ) :
"Apollo, c'est comme le couvercle de la boîte de Pandore. Il y a assez de preuves pour me faire douter qu'un homme est vraiment marché sur la Lune".
La deuxième personne questionnée :. On apprend après, qu'il s'agit du britannique
David Percy, photographe professionnel et producteur de films qui démontre que l'éclairage des photographies d'Apollo n'aurait pas pu être obtenu ailleurs que dans un studio sur Terre. Il affirme même connaître un informateur de la NASA qui aurait confirmé ses doutes.
"Tout semble être faux, quand on regarde les enregistrements des premiers pas de L'homme sur la Lune".
La troisième personne questionnée: (nous l'appellerons: Monsieur Y)
"Pourquoi les événements de l'espace sont-ils dissimulés? C'est très simple, les affaires étouffées, c'est la spécialité de la politique officielle."
On voit ensuite Armstrong posant le pied sur la Lune et qui dit
"Un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'humanité".
Puis le commentateur reprend:
" Mais une autre version existe, une version de complot, de dissimulation et de culpabilité".
Le même Monsieur Y :
" Je regardais ce petit et ce grand pas, je me suis dit que, c'est fantastique, c'est extraordinaire, l'homme a marché sur la Lune, je croyais ce que je voyais. Mais cela s'est-il vraiment passé, comme on nous l'a montré ? La mission Apollo est-elle une farce ?"
Puis le commentateur explique a nouveau :
"Selon un complot possible, la NASA n'a pas pu atteindre la Lune et les missions ont donc été truquées. Au lieu de monter dans les fusées les astronautes auraient été emmenés dans un studio de cinéma secret au fin fond du désert du Névada. L'atterrisage sur la Lune, y a été filmé puis les séquences ont été envoyées à Houton ainsi qu'aux télévisions crédules du monde entier."
Commentaire à chaud du webmaster: Il n'était pas nécessaire que les astronautes quittent la fusée, car les séquences d'alunissage
(en zone de simulation au Nevada) pouvaient avoir été filmées et fignolées bien avant le vrai départ pour l'espace. Les astronautes se contentant d'effectuer une simple mission de satellisation autour de la Terre, pour redescendre juste au moment voulu. Ainsi cela restraignait le nombre de gens dans le secret. On peut même admettre que ces astronautes aient fait quelques tours de la Lune,
les trois dans la cabine de commande, pour faire des photos de notre satellite, puis ils sont revenus sans y descendre...
Pour en savoir plus, sur ce documentaire, prière de se reporter à notre article :
Venons en maintenant, à cette affaire incroyable de la
lettre C, placée sur un rocher :
Alors
Mr David Percy complète en présentant la photo célèbre
NASA AS16-107-17446, d'
Apollo16 :
C'est l'astronaute
Charles M. Duke Jr., le pilote du module lunaire d' Apollo 16, qui se tient debout, le
22 Avril 1972, à côté du
Lunar Roving Vehicle.
" Regardez la roche en bas à gauche de cette photo (flèche rouge).
On y voit écrit dessus, la lettre C. Pourquoi une lettre de l'alphabet devrait-elle être écrite sur roche de la surface lunaire ? Il s'agit certainement d'une roche utilisée par des studios de cinéma , et cette lettre désigne un emplacement précis"
Commentaire à chaud du webmaster : Certains détracteurs n'ont pas hésité à dire que cette lettre
C, comme le
+ placé à côté et utlisé pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, à des repères sur la pellicule. Mais hélàs,
aucun d'eux, n'a été capable de présenter
le négatif en question avec le C correspondant. Donc, on en déduit qu'il s'agit bien, d'une erreur de manipulation de cette pierre,
(en zone de simulation, au Névada bien sûr), et pierre qui devait être tournée à l'opposée, pour que cette lettre n'apparaisse pas sur le film.
Sur notre poster
cette lettre C, est clairtement visible :
(Voir l'image gauche suivante) :

 

L'image de droite, est tirée de la page 39 du livre de
Philippe Lheureux, paru aux Editions Carnot
dès la fin 2000 "Lumières sur la Lune" (le grand doute) .
.
Mais, si vous jetez un coup d'oeil, sur la page actuelle suivante en relation avec la NASA:
Sur la droite et en bas de l'image des flèches permettent de l'agrandir très confortablement. On voit alors
avec un grand étonnement, que, sur le rocher en question
le C , a
disparu comme par enchantement.
Ne trouvez-vous pas cette disparition plutôt suspecte ?
A vous de juger tout cela !
Mais cette affaire de
lettre C, qui disparaît à la longue n'est
qu'une broutille, vis à vis de celles que nous allons présenter ici maintenant,
en exclusivité sur le Web Français, et affaires jamais évoquées dans les bavardages futiles des sites,
Wikipedia,
Mythbusters, et
consorts affiliés...
Poursuivons donc l'analyse de notre photo
NASA AS16-107-17446 :
Nous l'avons déjà dit, c'est grâce au fait que nous possédions
par le plus grand des hasards ( Hum hum ) un poster de 47,5 cm sur 40,5cm, de cette image célèbre, et aussi ensuite
grâce à la perspicacité d'une aimable internaute, que nous avons pu extraire, de cette photo une image surprenante du site :
et sur notre poster plus coloré, nous avons extrait cette image avec
nos commentaires incontournables:
Donc, on ne peut ici que constater,
que les deux traces de roues sont tout à fait différentes...
Celle de gauche pourrait s'identifier, à la moitié de la trace d'une
jeep Willys, bien connue dans les films de guerre américains :
Cette jeep ne peut rouler sur la Lune, car son carburateur a besoin d'air pour fonctionner.
L'autre trace du bas, vient de la
jeep LRV dont la structure nous est donnée sur le site :
Voici les photos des quatre roues juxtaposées de la jeep
(LRV) :
Que peut-on alors dire sur
cette nouvelle affaire, de deux traces différentes de jeeps, avec celle
de la Willys qui n'est, elle, jamais montée sur la Lune.
Désormais,
les
détracteurs endurcis et autres consorts zététiques, qui n'ont de cesse de
trouver une raison pour défendre la NASA, vont
mordre la poussière, au moins celle qu'ils croient être de la Lune), et alors
là,
tout penauds, ils vont devoir avouer, que
la photo est bien truquée , et qu'elle
n'a pas été faite sur la Lune. Mais pour ne pas perdre la face devant les millions d'internautes, ils font alors dire que cela était voulu, pour des
raisons stratégiques, politiques ou autres, non communicables aux novices ...etc.. etc...
Comme vous le voyez, le site
ARTivision est prêt à répondre à toute
réplique tordue des protagonistes en question.
D'ailleurs, cette photo
d'Apollo 16 présente bien
d'autres anomalies inouies. Par exemple, analysons alors cette portion d'image:
Il semblerait donc que là encore, ce flou inadmissible ici
(vu la masse de la jeep LRV (Lunar Roving Vehicle) qui dépasse de loin celle de l'astronaute dont les pas, sont nets), c'est une tentative de voiler, la trace encore embarrassante d'une
jeep Willys par
une manipulation photographique dérisoire, car en effet le début de la trace en bas à droite, provient assurément d'une
jeep Willys.
Notons que pendant que nous parlons
du même sujet, que nous avons aussi la
photo d'Apollo 15 :
AS15-85-11435, où l'on découvre une
tentative de camoufflage, de deux traces différentes du soi-disant véhicule lunaire LRV . Tentative très mal réussie ici,
(il y en a bien d'autres plus nettes encore) :
Mais revenons voulez-vous, à notre chère image
d'Apollo 16 NASA AS16-107-17446 :
D'ailleurs, une autre anomalie saute aux yeux, quand on analyse de près
le dessin des roues de cette photo
AS16-107-17446. En effet d'après le site :
,on peut lire :
" Pour faire face aux restrictions de masse et permettre la mobilité nécessaire sur la Lune, on développa des roues hors du commun. Outre les jantes en titane et les enjoliveurs en aluminium, celles-ci ne sont pas équipées de pneus conventionnels. En effet, l'enveloppe extérieure de celui-ci est fabriquée en treillage métallique."
Ce treillis métallique brillant s'est semble-t-il métamorphosé ici en vulgaire
pneu conventionnel à enrobement élastique et très terne. Voyez donc le dessin des sculptures :
Pourquoi
la NASA, a-t-elle substitué ici pour
Apollo 16,
les vraies roues par des fausses ? Ces deux roues conventionnelles ne pouvaient en aucune manière fonctionner sur
la Lune à moins d'amener l'air nécessaire à leur gonflage, ou pire
les alourdir en les réalisant dans un enrobement élastique complet.
Mais ce 6/03/2014, nous allons présenter ici une autre anomalie de cette photo
AS16-107-174 :
En effet certains chercheurs ont supposé que l'astronaute
Charles Duke qui a conduit la jeep, où elle s'est arrêtée, est vraiment un piètre chauffeur pour l'avoir fait grimper sur un énorme rocher
(au risque de casser un essieu ou quelque chose d'autre) et qu'il a aussitôt après, en plus, braqué brusquement à presque 90° comme s'il faisait un gymkhana sur la Lune pour rigoler un peu.
Mais analysons, voulez-vous, de plus près, cette photo :
Nous y avons placé deux flèches rouges extrêmement importantes.
La flèche n°1 nous montre que les dessins de la roue de droite de la jeep arrivent
tout à fait au bord d'un petit monticule de roches, comme si ces dessins passaient en dessous de ce monticule. Pour
la flèche n°2, regardez en effet bien la trace gauche de la rainure de la roue en question, trace qui démarre
d'une manière trés proche derrière le rocher, et trace, qui
ne devrait pas exister, si la roue était montée vraiment sur ce rocher.
Avec nos faibles moyens, scannérisons la roue arrière de droite de la jeep:
qui serait soi-disant montée sur le gros caillou.
Prenons alors,
à peu près, le diamètre de cette roue, puis dessinons la sur du papier calque et plaçons le schéma, juste au dessus du caillou, et de telle sorte que le bord de la roue, arrive jusqu'à la trace visible sur le sol. Évidemment la perspective n'est pas très orthodoxe :
Soulignons, alors par un trait rouge, la portion approximative de la trace que nous mettons en question :
Bien que notre montage soit
très approximatif, on voit parfaitement,
la marge qu'il y aurait de trop, sur la rainure gauche de la trace de la roue, au cas où, celle-ci serait vraiment montée sur le rocher.
Des spécialistes en infographie auront, nous l'espérons vite fait de rectifier l'imperfection de notre montage.
Si ces spécialites, qui travailleraient sur les documents originaux, confirment avec une bonne perspective notre montage, on ne pourra qu'en déduire de la roue droite de la jeep n'est pas montée sur le rocher, mais qu'assurément
le rocher et la terre avoisinante, auraient été placés accidententellement sur les traces déjà existantes de la roue,
après le passage du véhicule.
ll en résulterait alors
des implications énormes, car on ne voit pas du tout pourquoi, un astronaute sur la Lune, considérablement gêné aux entournures dans son scaphandre plutôt rigide, va s'amuser à projeter une importante masse de terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep.
C'est donc une photo, faite sur Terre, dans
le centre de simulation du Nevada ou ailleurs , où la terre a été remuée maladroitement pour une raisona ignorée, et elle est venue couvrir le dessin de la roue de la jeep, avant que l'on ait pris la photo en question, et
cela sans que le photographe de la NASA s'aperçoive de ce détail scabreux.
Aux spécialistes de répondre au sujet de cette
étrange anomalie, et à ce
nouveau gros point d'interrogation, que nous soulevons ici.
Pour être
fair play, précisons que
les rationalistes détracteurs, ont trouvé la parade à cela, en disant que :
" En fait on doit imaginer une dénivellation importante, tout de suite derrière le rocher. Comme une sorte de décaissement (que l’on devine peut-être un peu sur la droite) d’au moins 50 cm en pente raide. Donc la roue de la jeep est tombée derrière le rocher sur cette pente abrupte (là pas possible de voir de trace, puis 1m50 plus loin elle réapparaît en fait en remontant la pente et elle réapparaît visuellement juste derrière le rocher alors qu’elle se trouve en fait à plus d’1 mètre. Ce qui donne alors l’illusion d’optique d’une impossibilité de voir la trace à cet endroit si on ne tient pas compte de la différence de niveau. De plus la perspective sur les photos Apollo est très trompeuse, tout le décor semble comme écrasé, et il est donc possible que cette dénivellation n’apparaisse pas sur la photo mais qu’elle soit bien là. Et dans ce cas la taille de la trace s’explique aussi, c’est simplement qu’il s’agit d’une trace du passage superposé des DEUX roues droites, celle de l’avant et celle de l’arrière… et avec le décalage la trace qui apparaît comme la trace du passage d’une seule roue à cause de l’illusion d’optique, parait plus grande que nature…et parait donc impossible alors que ce serait logique avec cette thèse."
Toujours l'explication par
l'illusion d'optique, comme vous le voyez. Nous répondons à cela que
des infographistes confirmés, peuvent
parfaitement déterminer, avec les moyens puissants qui sont à leur disposition, au bout de la
flèche n° 1 de l'image suivante :
où,
il n'y a aucune dénivellation cachée possible, si donc, les traces de la roue
passent sous les gravas. C'est cela qui donnera pleinemernt raison à
ARTivision.
Point barre.
Mais, avec nos faibles moyens, ce
7/11/2010, nous allons tenter ici de présenter
une modeste preuve, de cette curieuse affaire, qui se joue au bout de
la flèche n°1.
En effet, partons de l'image très agrandie placée sur le site :
Puis extrayons en., la portion adéquate suivante :
On voit alors que si la roue était montée sur les gravas, elle aurait laissé au moins une trace approximativement à l'endroit où nous avons placé nos pointillés rouges. Or,
pas une seule petite trace ne subsiste aux endroits précités...Revoyez cela, vous même...:
Paradoxalement, c'est la flèche bleue du bas, qui va nous permettre de mieux appréhender la situation. En effet sans tenir compte du rocher, en premier plan, qui semble-t-il est en retrait par rapport à la trace de la roue, on voit alors que la trace de la roue s'arrête brusquement, et que des gravas la couvrent. Ces petits gravas, auraient dû être écrasés par la roue, si elle était montée dessus :
Donc, nous en déduisons, que les gravas ont bien été projetés sur la trace de la roue et que finalement, celle-ci n'est pas montée sur ces gravas, ni sur le gros rocher en question.
Point Barre.
Il ne reste aux détracteurs désormais, que de pouvoir expliquer pourquoi un astronaute sur la Lune, considérablement engoncé, dans son rigide scaphandre, va s'amuser à projeter,
avec une pelle non visible ici , de la terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep, comme s'il cherchait un trésor.à côté
Donc
tout cela a eu lieu sur Terre , où un engin quelconque a déplacé
de la terre et des gravas du centre de simulation, sur la scène cinématographique qui était prévue à cet effet.
Mais,
les détracteurs zélés et autres debunkers anglo-saxons, auront encore plus de mal à trouver la réponse
( car là, ils ne pourront pas évoquer l'éternel illusion d'optique), à
l'anomalie qui va suivre :
En effet, analysons de près, la photo
AS17-137-20979, d'
Apollo 17, que voici :
Alors que l'on apperçoit clairement les traces de pas de l'astronaute sur le sol lunaire meuble,
Là, la roue arrière droite de la jeep lunaire (dont le garde-boue, nous dit-on, a été bricolé très grossièrement au cours d'une sortie lunaire bien déterminée), n'a laissé aucune trace ni en avant, ni en arrière prouvant un déplacement quelconque de cette jeep. Autrement dit, la jeep lunaire est arrivée là, comme par magie, sans rouler sur le sol lunaire, après pourtant de grandes ballades ailleurs. Comme il n'existait pas de grue pour poser à un moment quelconque en douceur, cette jeep sur le sol, à cet endroit, on peut en déduire,
les points suisants :
- Soit tout ceci s'est passé
"sur Terre" , avec une vraie grue
(et dans la précipitation de l'action les opérateurs ont oublié les traces de roues obligatoires ).
- Soit,
et c'est encore bien plus grave, il s'agit
d'une vulgaire manipulation photographique de diverses prises de vues, bien terrestres et réalisées plus tôt.
Donc ici la tromperie est très claire,
et, si vous avez une autre explication, nous serions très heureux de la présenter prochainement. C'est
le très petit détail, qui, comme dans le célèbre film
d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 :
"Le crime était presque parfait", a confondu le coupable...
Point barre.
Mais ce 7/03/2014, si tout de même, après tout cela,
vous êtes encore sceptique, le site
ARTivision, a encore
en exclusivité, beaucoup d'autres anomalies à soumettre à votre attention.
En effet, dans le même
Paris Match n°1236 du
15 Janvier 1973, consacré à
Apollo 17, et déjà présenté plus haut, on découvre sur deux pages,
( 44 et 45 ) (la capacité de notre petit scanner est là, battue en brèche), l'image connue sous le n° :
AS17-I40-21496 que nous tirons du site
apolloarchive.com déjà présenté plus haut :
Et c'est justement parce que cette revue,
a des moyens d'agrandissements sans trop flouter l'image, que nous avons pu découvrir ce qui va suivre.
Présentons d'abord,
la légende accompagnant cette photo alors :
" Un rocher comme sur la Terre : ce monstrueux bloc de rocher est une autre découverte impressionnante. Son aspect déchiqueté et érodé, contraste étrangement avec les formes lunaires habituelles, douces et arrondies, telles qu'on peut les voir se profiler à l'arrière plan. Au retour de ce dernier voyage, Apollo 17 a ainsi emporté une moisson fabuleuse d'échantillons que le géologue
Harrison H. Schmitt a choisis avec discernement. 270 kilogrammes de roches ont été jusqu'à ce jour prélevés sur la lune puis déposés 350 000 kilomètres plus loin sur la Terre. ".
Comme tout cela est bien envoyé, n'est-ce pas !!!
En violet et en gras, nous avons mis en relief justement, les termes
qui ne correspondent pas normalement au paysage lunaire.
On s'aperçoit déjà, que ce rocher présente
de nombreuses anfractuosités, contenant plusieurs angles droits, et même
des trous carrés, que vous n'aurez aucun mal à déceler et qui donnent l'impression que
ce rocher aurait été carrément sculpté.
(Mais ce n'est qu'une impression que des spécialistes en mathématiques et topologie, n'auront aucun mal à préciser).
Mais extrayons en, ces deux paties :
Reprenons d'abord la photo de gauche, en y plaçant deux petites flèches :
Au bout de flèche rouge n° 1, on découvre une sorte d'inscription voilée représentant un
R, et un
Y ou un
4. Plus bas, au bout de la flèche 2, on distingue comme une parcelle de la roche qui aurait été comme grattée et dont la couleur est plus foncée. Sur la photo d'à côté, nous avons volontairement accentué le contraste pour que cela soit plus net. On y voit alors parfaitement la
forme géométrique de ce grattage, pour y faire disparaître d'autres inscriptions, mais que l'on a cependant oublié sur les bords du grattage un
V, qui apparaît bien nettement, et
au-dessous duquel, pointent deux portions de droites bien parallèles.
Évidemment, tout cela pourrait être
le fruit du hasard. Mais dans le cas où des spécialistes en graphologie, démontreraient qu'il s'agit vraiment d'une écriture que l'on a essayé de camoufler, il n'est pas besoin d'insister sur
les implications extraordinaires, que l'on pourrait en tirer.
Aux spécialistes donc de répondre...
Venons en alors, à la photo suivante, où nous avons placé une seule flèche :
Au bout de la flèche rouge, on aperçoit
une sorte forme circulaire très étrange, et qui pourrait être un outil oublié dans ce coin, ou mieux
une sorte de crochet (il y en a, peut-être, d'autres cachés par derrière), pouvant servir à soulever la structure lègère en carton-pâte ou en plastique.
D'ailleurs
le sommet de ce rocher, paraît plutot applati, pour un bloc lunaire, car sur la Lune , on le sait, il n'y a pas en principe d'érosion, susceptible de le raboter de la sorte.
Enfin, ce
08/03/2014, voici 3 petites derniéres anomalies pour la route :
Si nous analysons la tranche
la fameuse roue immobile de la photo
AS17-137-20979, d'
Apollo 17 vue plus haut :
Nous y distinguons clairement,
les petits grains de sable, qui sont restés coincés dans les interstices de la roue, quand elle a roulé ailleurs.
Maintenant scrutez attentivement, la semelle présentée dans la photo
AS17-134-20453 :
Mais, voyons cela, en augmentant le contraste:
Pas un grain de poussière n'est collé
en dessous de la chaussure.
"L'astronaute", est-il passé directement du LEM au LRV
sans toucher le sol ? ? Quelle prouesse ? Aux spécialistes de répondre si une telle chose est possible !!!
Mais soyons plus pointilleux encore : regardez la photo suivante, où nous avons tracé grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues de LRV :
On voit alors que les roues de droite du LRV n'ont laissé sur le sol
aucune traces visibles dans la direction montrée. Il en est de même d'ailleurs semble t-il, pour la roue arrière gauche.
Mais retrouvons la photo référencée
AS17-147-22526, sur le site presque officiel déjà vu :
, où l'on découvre ceci :
On voit alors que :
Les stries entre les deux roues
ne sont presque plus visibles, comme si elles avaient
été dénaturées, par une manipulation photographique quelconque.
Analysons almors cela dfe plus près en agrandissant cette trace pour y voir plus clair, on découvre alors, ceci :
On voit alors que cette trace
ne correspond pas du tout, au dessin que devrait laisser la roue de la jeep
LRV car les segments intérireurs sont perpendiculaires au bord du ruban laissé
au sol. Voici à nouveau plus clairement le modèle des roues ou l'on voit que
les segments sont très inclinés par rapport au bord de la roue :
Voyez vous-même :
Ne trouvez-vous pas cela très bizarre ?
Et n'est-ce pas le moment de donner, une fois de plus la parole, au grand acteur, que fut
Louis Jouvet, en reprenant ce qu'il nous dit dans le film de
Marcel Carné , dans le film
"Drôle de drame", de 1937 .
MOI J'AI DIT BIZARRE, COMME C'EST BIZARRE...!
A vous de juger une fois de plus, documents à l'appui.
Nous attendons
bien sûr,
avec ferveur, les explications des sites comme
Wikipedia, et bien d'autres
du même gabarit, comme celui des
Mythbusters, qui n'ont pas hésité à glorifier ces temps-ci ,
les fausses aventures lunaires, de la
NASA .
Que celui qui a des yeux pour bien voir, et un cerveau vigilant pour comprendre, les utilise encore mieux, pour faire désormais jaillir, cette lumière, dont on a voulu si longtemps nous cacher l'éclat .
Article mis en page le 09/02/2014 , et revu le 10/02/2014 , et revu le 11/02/2014 , et revu le 12/02/2014 , et revu le 13/02/2014 , et revu le 14/02/2014 , et revu le 15/02/2014 , et revu le 16/02/2014 , et revu le 17/02/2014 , et revu le 18/02/2014 , et revu le 20/02/2014 , et revu le 21/02/2014 , et revu le 22/02/2014 , et revu le 24/02/2014 , et revu le 25/02/2014 , et revu le 26/02/2014 , et revu le 27/02/2014 , et revu le 28/02/2014 , et revu le 01/03/2014 , et revu le 02/03/2014 , et revu le 03/03/2014 , et revu le 04/03/2014 , et revu le 06/03/2014 , et revu le 07/03/2014 , et revu le 08/03/2014 , et revu le 17/04/2014 .
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