(Le 13
janvier, des membres d'une expédition américaine ont entrepris
un vol de 4344 km, de leur base de Mc
Curdo Sound, qui se trouve à (640 km) à
l'ouest du pôle Sud. Ils ont pénétré dans un territoire étendu de
3700 km au-delà du pôle" (Annonce faite à la radio et à la presse le
5 février 1956) ).
Et le 13 Mars 1956, L' Amiral Byrd a déclaré à son retour du Pôle Sud
"La présente expédition a ouvert une nouvelle terre très vaste" .
Enfin, en 1957, avant sa mort, il a rapporté que
«Ce continent enchanté dans le ciel, terre de l'éternel mystère !", énoncé qui nous reste comme le plus mystérieux de tous, et presque inexplicable :
"continent enchanté dans le ciel ..", mystère à tout jamais inoubliable en effet...
(Note 8 du Webmaster. Ce mystère s'explique parfaitement, si l'on sait que Byrd en pénétrant à l'intérieur de la Terre, par l'ouverture polaire, voyait dans le ciel le paysage qui lui était diamétralement opposé. Voir l'image ci-desous où Byrd dans son avion voyait parfaitement dans le ciel un continent suspendu au-dessus de sa tête).
Considérant tout cela, est-il là étonnant que toutes les nations du Monde ont soudainement découvert un grand intérêt pour la région polaire sud
(en particulier), en raison de sa superficie connue et pout la région polaire Nord si intensément intéressante et importante, et ces nations ont lançé là, des d'explorations à une échelle réellement énorme ?
Et n'est-ce pas, à cause
du surprenant vol de l'amiral Byrd en terre polaire inconnue en 1947, que l'Année Géophysique Internationnale a été conçue dans l'année, et a pu enfin être réalisée dix ans plus tard, tout en étant toujours en cours ? Le vol de Byrd n'a t-il pas eu comme impératif, la découverte de la nature réelle de la planète sur laquelle nous vivons, et la résolution des mystères d'énormes auxquels nous étions confrontés de manière inattendue ?
Si vous nous avez suivi de loin, il se peut que vous avez observé votre carte ou votre globe et que avez essayé d'y inclure
ces terres mystérieuses sur la planète. Alors vous avez poussé un grognement en disant :
" Ces éléments d'information sont tous très bien, mais le fait demeure qu'il n'y a nulle part où l'on peut inserrer physiquement cette masse de Terre. L'espace utile fait défaut. Il existe une impossibilité fondamentale qui ne peut être surmontée ".
Allons! ne laissez pas tomber vos armes et insistez sur le fait que nous devons surmonter cette impossibilité fondamentale, et transcender nos éléments de preuves en les multipliant par cent.
Bien qu'il soit évident à votre rédacteur en chef,
( Note 10 du Webmaster: Il s'agit ici de l'Editeur Ray Palmer ), que la preuve complète ne peut être présentée dans un seul numéro de
"FLYING SAUCERS", nous avons l'intention d'en poursuivre la présentation dans chaque numéro jusqu'à ce que nous ayons couvert l'ensemble des éléments, qui s'attachent à cette preuve. Il existe des preuves et elles sont totalement observables.
Cela couvre les domaines de l'astronomie, de la physique, de la chimie, de la géologie, de l'anthropologie et du monde des explorations. Nous avons passé treize années à amasser cette richesse de faits, et nous les présenteront tous avant que nous ayons fini. le lecteur est donc prié de rester avec nous, jusqu'à ce que nous ayons terminé notre présentation.
La question qui suit la plus logiquement, est de savoir si les deux cursus d'exploration décrits qui ont été evoqués, ont eu dans d'autres expéditions polaires des développements et des confirmations analogues. Afin de répondre à cette question, il peut être nécessaire d'examiner
les dossiers de toutes expéditions polaires Nord et Sud, depuis la premiére qui est venue à notre connaissance. En passant, il pourrait être intéressant d'aller plus avant
dans la légende et la mythologie., pour avoir encore plus d'éléments de confirmation, qui seront hélas difficillement classés comme des faits prouvables. Dans la présentation de ces faits, nous n'avons l'intention de tirer aucune conclusion. Le lecteur sera lui même juge de cela.
Pour ceux des lecteurs que cela intéresse, il doit y avoir beaucoup à tirer de leur part du débat historiquement célèbre à propos duquel on discute sur le fait de savoir si, ou les deux, ou aucun des deux,
Cook ou
Peary, auraient effectivement pu atteindre le pôle Nord. Dans les années suivantes ces expéditions, on a débattu de cela, et encore aujourd'hui les arguments font rage. En bref, nous allons ici vous exposer les revendications des deux hommes.
Dr Frederick Cook a dit qu'il a atteint le Pôle en
le 21 avril,
1908. Son annonce a été suivie après quelques jours de celle du
contre-amiral Robert E. Peary, qui dit avoir atteint le pôle le
6 avril 1909. Les deux hommes lançèrent des accusations l'un contre l'autre. Cook dit même que Peary s'étaient accaparé de certains de ses entrepôts mis à l'abri en vu de son retour du pôle. Cook, à son tour n'a pas pu fournir ses notes qu'il dit avoir élaborées lors de son voyage, et ainsi il jeta le doute sur sa propre histoire. Le lecteur qui s'intéresse à l'histoire complète devraient visiter une bibliothèque et lire plus sur cette controverse.
Bien que les revendications de Cook soit d'avoir été le premier à atteindre le pôle, nous prendrons en compte la déclaration de Peary, qui a été universellement reconnue et nous l'examinerons. La réclamation de Cook a été discréditée sur la base de fait que l'altitude du soleil était si basse que les observations de celui-ci comme preuve de la position ne valaient rien. Il convient de noter que Peary, a atteint le Pôle également en Avril, 15 jours plus tôt dans la saison et donc sa déclaration est encore plus suspecte que celle de Cook. il a été dit aussi, que Cook n'avait pas de témoins autres que les Esquimaux. Il en est de même de Peary. Toutefois, il n'avait pas eu de témoins, car il avait ordonné à ses compagnons blancs de rester derriere, tandis qu'il allait, seul avec un compagnon esquimau vers le pôle. Cook a été mis en doute en prétendant qu'il avait fait une moyenne de 15 miles par jour. Peary a affirmé en avoir effectué une.., de plus de 20.
(Note 11 du Webmaster : tiré de notre article :merlibresuite.html voici une image très significative au sujet de la controverse entre Cook et Peary)
Sans doute la polémique ne sera jamais réglée. Cependant, il y a le facteur, qui concerne le carnet de notes polaires de Peary, qui, à notre avis, est tout à fait remarquable. Il y a un facteur qui réside dans la vitesse prodigieuse avec laquelle, il fit son voyage.
Quand Peary a atteint le 88
e parallèle, il décida de foncer vers le Pôle pour l'atteindre en 5 journées. La première journée, il fit 25 miles. la seconde 20, la troisième 2O, la quatrième 25, la cinquième 40. Sa moyenne de cinq jours était de 26 miles. Sur le chemin du retour, il a parcouru un total de 153 miles en deux jours, y comprise une halte faite 5 miles en avant du Pôle, pour sonder la profondeur de l'océan. Il s'agit d'une moyenne de 76,5 miles par jour. Son temps de déplacement réelle était d'environ 19 heures par jour. Il s'agit d'une vitesse de marche de 4 miles par heure. Un homme peut-il marcher aussi vite dans les conditions incroyables de la région du Pôle Nord, un terrain de glace décrit par les hommes du
sous-marin atomique Skate, comme étant
incroyablement démonté et dentelé ? Et pourtant, plus au sud, avec un terrain plus facile, il n'a été capable que de réaliser une moyenne de seulement 20 miles par jour.
Nous insistons sur les distances parcourues seulement à cause du fait qu'elleÀ.s sont étrangement impossibles aux abords du pôle. Nous supposons alors que les déclarations de Peary sont sincères, et que ces calculs contradictoires ne jettent pas l
e discrédit sur son histoire. Par conséquent, nous pouvons supposer que sa vitesse de déplacement n'a pu être réalisée que dans la même mystérieuse zone
"insoupsonnable" d'un continent vaste ensemble qui s'inscrit dans un espace qui est totalement absent. Lorsque vous voyagez sur un terrain dont les dimensions sont fantastiquement
"élargie", la vitesse que l'on peut y réaliser n'est-elle pas aussi
hors normes? Il convient aussi de se rappeler que ces vitesses ont été calculées par une observation astronomique, et que justement la base de ces calculs astronomiques sera prise en considération, plus tard dans l'exposé de nos preuves.
A ceux qui vont se pencher, sur le sujet de l'exploration polaire, il deviendra bientôt évident que la caractéristique la plus acceptée par tous les explorateurs polaires du Nord est que
la zone est de type océanique, recouverte d'eau, et qu'elle
est diversement gelé ou partiellement libre, en fonction de la période de l'année. Une particularité que beaucoup des explorateurs ont remarquée, est que, paradoxalement,
l'eau libre existe dans une plus grande mesure à proximité du Pôle. En fait, certains explorateurs ont parfois trouvé cette région très chaude, et ont été contraints de quitter leurs vêtements de l'Arctique; On dit même qu'il y a un rapport évoquant une rencontre avec des Esquimaux nus. Pourtant, en dépit de l'existence confirmée de cette zone océanique, nous avons
le vol contradictoire de
l'Amiral Byrd fait entirement au dessus d
'une terre avec des montagnes couvertes d'arbres, entrecoupés de lacs et de ruisseaux.
L'un des rapports de l'expédition de Byrd a été l'observation d'un animal énorme à sombre fourrure. Trouve-t-on de tels animaux, ou des traces d'entre eux, dans l'Arctique? À partir de la Sibérie, le long du fleuve Lena, il y a exposés sur le sol, ou enterrés en son sein, les os et les défenses de littéralement des millions de mammouths et de mastodontes. Le consensus de l'opinion scientifique est que ce sont des ossements préhistoriques, et que le mammouth existait y a environ
20 000 ans,, et qu'il a été éliminé dans
une catastrophe inconnue que nous appelons maintenant
la dernière période glaciaire. En
1799, un marin nommé
Schumaheoff, vivant dans la Tongoose
(Sibérie), a découvert un
mammouth congelé complet dans
un bloc de glace limpide.
(Note 12 du Webmaster.Voici une vue d'artiste à ce sujet :
Habituellement, c'est dans le permafrost que l'on découvre ces animaux )
En le libérant de sa gangue de glace, il le dépouilla ensuite de ses défenses énormes, et abandonna la carcasse de viande fraîche aux loups. Plus tard, une expédition fut montée pour l'examiner et, aujourd'hui, son squelette est encore visible dans le
Musée d'Histoire Naturelle à Petrograd (puis St Petersbourg).
(Note 13 du Webmaster. Voici un autre cas analogue :
Merci à la revue: Dossier Hors série Pour la science Avril-Juin 2004: La vie au temps des mammouths )
Au début du siècle, approximativement en
1910,
un repas très scientifique a été organisé à Pétrograd. Il se composait de germes de blé provenant des tombes égyptiennes, de conserves de Pompéi et d'Herculanum, de viande de mammouth de Sibérie et d'autres mets intéressants et anciens. La viande de mammouth était fraîche, et le mammouth à partir duquel elle avait été prise, n'avait pas encore digéré la nourriture dans son estomac. Ces aliments non digérés étaient composés de jeunes pousses de sapins et de pins et de jeune cônes de sapin. Selon la Science, ce mammouth a été l'un des millions tués instantanément dans une gigantesque catastrophe, il y a 20 000 ans. Il vivait dans un environnement tropical, fait des fougères qui y vivent. Pourtant, dans l'estomac de ce mammouth se trouve la nourriture rare d'une zone sub-arctique, comme une grande partie de l'Alaska ou dans le Nord du Canada d'aujourd'hui. Il y a de bonnes raisons de jeter le doute sur l'origine tropicale du mammouth, et sa disparition soudaine. Et si la mort n'a pas été soudaine, la présence de nourriture indigeste
(pas digéré même après des mimutes d'exposition aux acides de l'estomac) dans l'estomac du mammouth
est inexplicable. s'Il est vrai que le décès ait été soudain, ce n'était alors pas dans une zone tropicale. Si elle n'est pas tropicale, alors l'arrivée de la période glacière n'est pas la cause du décès. La cause du décès est donc d'origine arctique et aurait pu se produire à tout moment. Mais depuis l'ère glaciaire, il n'y a pas eu mammouths dans le monde connu. Sauf s'ils existent dans
la terre mystérieuse au-delà du pôle, où l'un d'eux a effectivement été vu vivant, par les membres de l'expédition Byrd! Les personnes qui ont dîné de la viande de mammouth ont été
James Oliver Curwood et de
Gabrielle d'Annunzio, qui donnèrent un banquet à Hôtel Carlton à Paris.
(Note 14 du Webmaster:Toute information concernant ce fameux repas serait évidemment la bienvenue)
Nous avons choisi le mammouth comme une preuve plutôt sensationnelle moderne
de la terre mystérieuse de Byrd, mais il existe de nombreuses moindres preuves de l'existence
d'une zone inconnue, placée quelque part dans les régions septentrionales. On se contentera de citer quelques-unes de ces preuves, ce qui suggère que le lecteur, d'examiner les comptes -rendus des explorateurs polaires pour les deux derniers siècles, pour y trouver des preuves concernant la faune et la flore à la fois qui sont impossibles à concilier avec les régions connues mentionnés au début de cette présentation des faits, en l'occurence les zones polaires de nos cartes d'aujourd'hui.
Le bœuf musqué, contrairement aux attentes, migre vers le nord en hiver. À plusieurs reprises, les explorateurs arctiques ont observé que ce bœuf musqué part vers le nord dans une zone où il ne peut pas trouver sa nourriture, les renards vont aussi au nord du 80
e parallèle, et sont apparemment bien nourris. Sans exception, les explorateurs de l'Arctique sont d'accord pour dire que celui qui progresse vers le nord, découvre que la température augmente et qu'il y souffle
un vent plus chaud venant du nord. Les conifères dérivent jusqu'à la terre, et cela à partir du septentrion. Les papillons et les abeilles se trouvent dans le Grand Nord, mais jamais des centaines de miles plus au sud. Ces insectes n'apparaissent que lorsque l'on atteint les zones climatiques du Canada et de l'Alaska propice à leur condition de vie. Des variétés inconnues de fleurs se trouvent dans les hautes latitudes. Des oiseaux ressemblant à la bécassine, mais contrairement à toutes les espèces connues d'oiseaux, sortent du nord, et y retournent ensuite. les lièvres sont nombreux dans une zone où aucune végétation ne pousse jamais, mais où cette végétation dérive sous forme de débris provenant des eaux libres du Nord. Des tribus d'esquimaux, ont migré vers le nord, et ont laissé des traces incomparables de leur migration dans leurs camps temporaires, toujours en avançant vers le nord. Plus bas d'autres Esquimaux parlent de tribus qui vivent dans l'extrême nord. La mouette de Ross commune à Point Barrow, en Octobre migre vers le nord. Seules
les terres mystérieuses de l'amiral Byrd, peuvent accréditer,
les faits inexplicables de ces migrations.
La légende scandinave d'une terre placée loin au Nord et appelée
"Ultima Thulé" (que l'on confond communément aujourd'hui avec le Groenland) est
significative quand on l'étudie en détail, en raison de sa ressemblance remarquable avec la
terre vue par Byrd, et son emplacement remarquable
dans le Grand Nord . Vouloir supposer qu'
Ultima Thulé fut le Groenland c'est se confronter à la contradiction qui montre que calotte glaciaire du Groenland, forme du bassin glacière dont la profondeur atteint une moyenne de 3 km. pour y trouver une zone verdoyante et fertles il faudrait remonter à une lointaine antiquité lors du renversement des pôles terrestres qui a changé la zone du pôle Nord
(voir l'exploration de la calotte glaciaire du Groenland et sa signification possible par l'organisme "National Geographic" )..
Les terres mystérieuses et centre de la grande inconnue de l'amiral Byrd sont-elles les mêmes que
l'Ultima Thule des légendes scandinaves ?
Il y a des mystères concernant aussi l'Antarctique. Peut-être que le plus grand se rapporte à un sujet très technique de la biologie elle-même: la faune et la flore de la Nouvelle zélande et celle de l'Amerique du Sud sont identiques qui pourraient avoir émigrées de l'une à l'autre en passant croit-on par le continent de l'Antarctique. Mais à un plus
"populaire" niveau,se trouve le cas de bateau à voile
le Gladys, commandé par le capitaine
E, B, Hatfleld en
1893. Le navire a été complètement entourée par les icebergs à 43 degrés sud et 33 degrés ouest et finalement il a échappé à son piège arrivé à 40 degrés sud et 30 degrés ouest. À cette latitude un iceberg a été observé qui portait une grande quantité
de sable et de terre, et qui s'est révélé être un lieu fréquenté, avec une sorte de refuge placé dans un coin abrité. Des cadavres de cinq hommes morts gisaient à différents endroits de l'iceberg. Le mauvais temps a empêché toute tentative d'investigatlon ultérieure.
Gardez à l'esprit que, le concensus scientifique admet une seule chose propre à l'Antarctique, c'est qu'il y a pas de tribus humaines qui y vivent. Mais ce consensus doit être faux, parce qu'une enquête a montré qu'aucun navire a été perdu dans l'Antarctique à l'époque, de sorte que ces morts ne pouvaient pas avoir été des marins naufragés. Même aujourd'hui, avec une exploration intensive de l'Antarctique, on note que l'absence de
la vie humaine autochtone sur ce continent lugubre est acceptée. Se pourrait-il que ces hommes qui sont morts sur cet iceberg soient venus de
"cette terre mystérieuse au-delà du pôle Sud", découverte par l'expédition Byrd. ? S'étaient-ils alors aventurés hors de leurs terres chaudes habitables et avaient-ils perdu leur chemin le long du plateau de glace, qui finalement s'est rompu et un morceau est parti à la dérive en forme d'iceberg, les entrainant dans la mort ?
(Note 15 du Webmaster: Toute information concernant ce navire le Gladys et son capitaine E, B, Hatfleld serait évidemment la bienvenue).
La plupart des données récentes montre qu'il y a quelque chose d'étrange se passant aux Pôles de la Terre et concernant le lancement de satellites en orbite polaire. Les six premiers des fusées lancées par les États-Unis de la côte de la Californie fures pleines de déceptions - et de surprises. Les deux premiers, bien que les lancements furent parfaits, ont flanché à la dernière minute, et bien que présumés être en orbite, ils ne s'ont pas présentés lors de leur premier tour complet autour de la Terre. Techniquement parlant, ils devaient avoir. été mis sur orbite, mais il n'en a rien été. Quelque chose s'est passé, et et cela a justement eu lieu dans la région polaire. Les deux prochains tirs n'ont pu atteindre les orbites. Cela concernait pour ainsi dire une affaire de
"niveau d'altitude", avec un
grand degré d'excentricité, dont un passage serait à une altitude élévée au dessus des pôles et une altitude basse aux dessus des zones équatoriales. Il était admis que cette orbite excentrique produirait une orbite de courte durée, mais cela donnerait également l'avantage de saisir des données à des hauteurs très variées dessus de la Terre. Particulièrement intéressante devait être les enregistrements au-dessus des pôles, en raison de la découverte de l'anneau de rayonnement qui entoure la Terre comme un beignet énorme, avec des ouvertures aux deux pôles. Les scientifiques étaient très soucieux d'obtenir, la carte de cette zone de faible rayonnement, car elle offrait un espoir à des voyageurs futurs de l'espace d'échapper à la mort induite par certains rayonnements de la ceinture en question agissant autour des zones équatoriales et tempérées de la Terre.
Les deux prochains satellites étaient encastrés dans le nez d'ogives semblables à celles dans lesquelles un futur astronaute serait mis en orbite. Dans chacun d'elles était installé un puissant émetteur radio, ce qui était possible parce que l'ogive était de la taille d'une automobile, et il y étaient installées aussi des batteries lourdes. Il y avait également de puissants projecteurs qui pourraient être éclairés au moment opportun. La technique d'ouverture de l'ogive du satellite prévoyait de le larguer par un dispositif radio-commandé quelque part au dessus ALASKA. Une fois tombée, l'ogive devait perdre de l'altitude et se mettre autour de la Terre pour une autre révolution sur son orbite. Venant du pôle, l'orbite de cette ogive devrait ensuite être assez basse
(calculée les spécialistes) et elle devrait tomber près d' Hawaii, et y glisserait lentement grâce à un parachute. Puis des gros avions l'attendraient, prêts au repêchage avant qu'elle ne s'enfonce dans l'océan et cela afin de récupérer intact son précieux contenu, sans dommage.
Dans les deux cas suivants voilà ce qui s'est produit: Les signaux radio puissants n'ont pas été entendus à tous. Les lumières ne furent pas vues du tout. les Radars, avec une gamme de portée d'au moins 500 milles n'ont absolument rien détecté. Chaque
"récupération" a été un échec complet, car il n'y avait rien à ramasser.
L'explication de l'échec de la radio, qui n'a pas fonctionné, a été imputée au
"gel" des batteries. Aucune explication n'a été donnée pour l'échec des projecteurs, ou pour la mauvaise détection radar. Que les batteries aient gelé est une explication étrange, étant donné que les batteries similaires dans d'autres satellites, en orbite depuis des mois, voire des années, n'ont jamais été congelées. Une défaillance pourrait être admise dans un cas, mais un échec total dans les deux cas est très improblable .
Chaque lancement a été parfait. les Orbites furent finement déterminées à distance, et la vitesse etait exacte, etc... Tout cela a été réalisé, et constamment suivi. Pourtant, lorsque l'acte final fut effectué, et que l'ogive se fut détacher avec succès selon les dispositifs de surveillance de signalisation de cette opération, tout fut un vrai fiasco et le résultat fut la disparition totale et inexplicable de l'ogive. Certes, la déclaration fut faite qu'il y avait seulement 1 chance sur 1000 de succès, et donc deux échecs ne sont pas déraisonnables. Mais les échecs ne doivent pas être tout à fait complets. Par défaut, on entend le succès final après la récupération par l'avion. et pas la disparition complète! Au moins les signaux radio devraient être reçus, les feux des projecteurs aperçus feux on le verra, et le radar devrait détecter la descente de l'ogive.
. Est-ce que la raison de la disparition l'ogive en question ne vient pas du fait qu'elle ait survolé a une trop basse altitude
la région polaire qui est mystérieuse, et que les spécialistes n'ont pas prise en considération ?
(Note 16 du Webmaster: cette affaire de satellites et d'ogives est plutot ardue à saisir. Toute lumière à ce sujet serait la bienvenue. Cependant sur le site :
, nous avons trouvé ceci, que, nous l'espérons, les spécialistes pourront apprécier:
Merci d'avance pour votre contribution )
.
Mais le matin du
29/01/2011, nous sommes tombés sur le paragraphe suivant de notre article.
Byrdsuite.html, qui explicitait déjà cette affaire étrange de satellites dès Mars 2006. Nous vous transcrivons donc ce paragraphe tel quel :
VIII Autre information surprenante très spécifique en date du 28/03/06.
La réponse à la question précédente, nous est venue de quelques paragraphes du super site concernant
la Terre creuse :
ou sa copie à :
Il est écrit :
" The negative anomalies over the polar openings are so great that the U.S. has lost satellites over them. In the early 1960's when the U.S. was trying to put its first satellites into polar orbit, they kept losing them over the Arctic pole until they decided to put them into orbit on either side of the polar opening. When they tried to send their satellites over the polar opening, several satellite cones were lost because they followed the earth's curvature into the earth's hollow interior where they crashed. (SECRET OF THE AGES, p. 130 Brinsley Le Poer Trench Londres: Souvenir Press, 1974) "
Que nous pourrions traduire bien modestement :
" Les anomalies perverses concernant les ouvertures polaires sont si grandes que les Etats-Unis, y ont perdu des satellites. Au début des années 1960, alors que ce pays essayait de mettre ses premiers satellites sur une orbite polaire, ces derniers furent perdus au dessus du pôle arctique jusqu'à ce qu'on décide de faire passer ces satellites tangentiellement à l'ouverture polaire. Aussi longtemps que l'on a essayé d'envoyer les satellites au travers de l'ouverture polaire, plusieurs ogives de satellites ont été perdues parce que ces dernières ont suivi, vers l'intérieur, la courbure de la Terre creuse, où elles ont été englouties. (SECRET OF THE AGES, p. 130 de Brinsley Le Poer Trench Londres édité par Souvenir Press, 1974)
Mais poursuivons voulez-vous, en français cette fois la suite :
" l'auteur Ray Palmer a écrit en 1959, "la preuve la plus récente qu'il y a quelque chose d'étrange aux pôles terrestres nous vient du lancement des satellites en orbite polaires. Les six premières des fusées lancées par les Etats-Unis de la côte de Californie furent des motifs de déceptions et d'étonnements. Les deux premières, bien que les lancements furent parfaits, ont mal tourné à la dernière minute et bien que l'on croyaient qu'elles suivaient la bonne orbite, elles ont échoué lors de leur premier passage complet autour de la Terre. Techniquement on pourrait dire, qu'elles ont emprunté la bonne orbite, mais qu'en réalité, elles n'y étaient pas installées. Il s'est passé quelque chose et cela est arrivé, dans le secteur polaire....
Les deux satellites suivants portaient des ogives semblables à celles dans lesquelles un futur astronaute aurait pu être placé en orbite. Dans chacune de ces ogives se trouvaient un émetteur de radio puissant, car l'ogive était de la taille d'une automobile et transportait en plus de lourdes batteries. Il y avait aussi de puissants projecteurs pouvant être éclairés en temps voulu. La technique du largage du satellite devait s'opérer par un dispositif déclenché par radio quelque part au nord de l'Alaska. Une fois ouverte, l'ogive a perdu de l'altitude pour effectuer une révolution de plus sur son orbite. En partant du pôle son altitude devrait être assez basse ( calculs fait les spécialistes des fusées ) pour descendre au dessus d' Hawaii, et grâce à un parachute l'ogive amerrirait lentement , puis de gros avions en attente, iraient la repêcher, avant qu'elle n'ait plongé dans l'océan afin ainsi que l'on puisse récupérer intact son important contenu, sans dégâts.
Et voilà ce qui arriva : On n'a pas entendu les signaux radio puissants du tout, ni vu non plus aucun feux. Le radar, avec une portée d'au moins 500 milles n'a absolument rien détecté. Chaque expérimentation fut un échec complet parce qu'il n'y avait rien à ramasser..
Chaque lancement était parfait. Les orbites finement déterminées à la bonne distance, la vitesse exacte, etc.. et tout cela était constamment suivi à la trace. A la fin l'ogive s' est détachée avec succès et cependant tout tourna au désastre et le résultat fut la disparition complète et inexplicable de l'ogive...
.... Ce peut-il que l'ogive soit tombée à l'intérieur de la Terre, de cette "terre de mystère" découverte par l'Amiral Byrd ? Où cette ogive a-t-elle pu s'éclipser? Si on regarde les pôles de la Terre sur les cartes d'aujourd'hui, comment des lancements successifs sur une orbite basse peuvent-ils donner le même résultat inexplicable ? - Cette disparition défie la raison, n'est-ce pas ?(Lands beyond the poles par Ray Palmer, publié par Gray Barker pp. 13-14)
Aujourd'hui il n'y a aucun satellite ayant une orbite polaire passant directement sur les pôles. Ceux qui ont une orbite polaire passent tangentiellement au bord des ouvertures polaires, sauf deux. Il y a deux satellites qui ont été découverts sur une orbite polaire en passant directement sur les pôles. Ces satellites n'appartiennent à aucune nation connue sur la Terre. Et ils diffèrent de nos satellites. Ces deux satellites mystérieux consistent en deux blocs de roche d'une taille d'environ 15 tonnes . (RAPPORT D'OVNI août 1977, p. 29)
Il semblerait que ces deux satellites polaires "de roche" appartiennent à la nation placée à l'intérieur de Notre Terre Creuse qui sait comment faire pour que ses satellites compensent du manque de gravité sur les trous polaires. Ces satellites de roche ne peuvent pas être confondus à les météorites qui ont été capturés sur une orbite polaire. Ceci est pratiquement impossible d'après un consensus de scientifiques sur l'éventualité de météores tombant naturellement sur Terre. Et la possibilité de deux entrées pour la même orbite et leurs stabilisations est impossible sans une supervision intelligente.
A vous juger, une fois de plus, tout cela !
Fin de la note 16, du Webmaster).
L'ogive est-elle tombée à l'intérieur de la Terre, cette "terre de mystère", découverte par l'Amiral Byrd ? Où pourrait-il qu'il en soit autrement? Sila configuration de la Terre aux pôles est celle que nous présentent sur les cartes d'aujourd'hui, comment quatre lancements successifs sur "orbites basses" peuvent-ils donner le même résultat inexplicable - la même disparition qui défie la raison ?
S'il y a un surplus de 1700 miles (2735 km) (ou plus), dans la zone délimitée par les longitudes et latitudes sur une sphère en place dans l'Arctique, il s'ensuit que les disparitions enregistrées ne sont pas inexplicables, mais étaient plutôt certaines de se produire ! Certes l'ogive des fusées qui était amenée à parcourir une certaine distance (dans ces cas, environ 53.000 km) n'épousera pas un secteur connu de la circonférence terrestre, si la distance à parcourir à un surplus de 1700 miles (2735 km). Notre radar ne parviendra pas à trouver notre ogive, et nos yeux ne verront pas de faiseaux lumineux. Mais pourquoi n'a t-on pas pu recevoir les signaux radios ? Est-ce parce que "la terre de mystère", est en forme d'obstacle naturel ? Les ondes radios ne traversent pas la Terre, bien sûr. Si une substance solide s'interpose, alors nous pouvons comprendre pourquoi les ondes radios ne peuvent pas y pénétrer. Mais quel genre de configuration peut-il y avoir dans ce lieu ? Pourquoi n'avons-nous pas pu "ricocher" dans la stratosphère, qui existe probablement au-dessus de la "terre de mystère" de Byrd, ainsi que sur les autres terres de la carte ?
Comme la zone sphérique cartographiée de la Terre n'autorise pas que l'on puisse y placer suffisamment d'espace et y inclure deux terres mystèrieuses, alors se pourrait-il que la Terre soit d'une forme différente de la configuration sphérique? De nombreux lecteurs pousseront alors un grognement et un sourire plein d'humour. Ils diront que nous reprenons la veille regaine qui affirme que la Terre n'est pas ronde. Christophe Colomb, diront-ils, l'a finalement démontré à tous les peuples de la Terre, et Magellan a effectivement fait voile complètement autour de la Terre en naviguant dans une direction jusqu'à ce qu'il soit revenu à son point de départ. En outre, n'importe qui peut aller dans la nuit, observer une éclipse lunaire, et voir l'ombre de la Terre de projeter en forme de disque sur de la face de Lune. Voir, c'est croire, ils diront-il, en tentant de contourner la difficulté !
Il est vrai que voir c'est croire, pour la plupart des gens. Mais le plus éclairé des physiciens de l'optique ne rejoindra pas ce point de vue populaire. Il fera remarquer que l'œil humain, comme le télescope, est une lentille. Et la propriété de toutes les lentilles, c'est qu'elles tendent à arondir les angles. Peu importe ce que nous regardons, la distance convertit les contours de l'objet observé , qu'ils soient droits , anguleux, ou de travers, en des formes parfaitement arrondies. Il s'agit d'un phénomène bien connu des aviateurs, qui savent qu'en l'air, aucne maison n'a de cheminée carrée, elles sont toutes rondes. Tout pilote d'avion transporteur, vous dira que, s'il vole avec son jet à une grande hauteur, le paysage ressemble à un rond point en dessous de lui, et comme il descend, il devient un rectangle. Quiconque a traversé un tunnel de chemin de fer, positionné sur la plate-forme arrière, va témoigner du fait que l'ouverture du tunnel, si elle est carrée, elle apparaîtra progressivement circulaire à mesure que le train avance dans le tunnel. Ce sont ce que l'on appelle, des illusions d'optique. Tout expert photographe., vous dira que le film enregistre les objets éloignés ou très petits par points ronds, et qu'une certaine manipulation est nécessaire pour résoudre cette rondeur, et au-delà d'un certain agrandissement (celui du grain de l'émulsion elle-même), il est impossible de neutraliser cet arrondi.
Le fait scientifique est que si la Lune était effectivement carrée, à une distance de 386 160 Km`, nos yeux, notre télescope, notre caméra nous auraient dit qu'elle est ronde! Peu importe quelle forme elle a, nous la verrions seulement ronde. En fait, nous ne pouvons pas prouver que la lune est ronde, ni que la Terre le soit aussi. (Note 17 du Webmaster. En fait elle a la forme voisine d'une pomme telle que :
Extrait d'un tableau du peintre surréaliste belge Magritte. Nous avons supprimé la tige. Bien que pour la Terre, la concavité soit certainement moins prononcée que pour notre pomme, l'analogie est cependant remarquable).
Ainsi, les arguments établissant une Terre parfaitement ronde,
ne sont pas fondés sur des faits, seulement
sur des hypothèses. Cette hypothèse est basée sur une conception de l'astronomie n'est plus acceptable pour le scientifique. Aujourd'hui, la théorie de la nébuleuse de la formation des planètes, des soleils, même des galaxies, est considérée favorablement. La condensation de la nébuleuse en étoiles et en planètes se fait en
un mouvement giratoire. Le mouvement tourbillonnaire plus souvent produit une
"vrille circonférentielle" à l'équateur, et qui se répercute jusqu'aux pôles en applatissant les sommets de notre beignet et en y creusant un trou. Ainsi s'est formée la Terre, mais nos preuves optiques, ne nous le montrent pas...
(Note 18 du Webmaster. A l'époque en 1959, on en était aux balbutiements de l'exploration spatiale. Actuellement, on a fait mieux et, si cette photo n'est pas truquée, elle ferait bien plaisir à Ray Palmer :
Des infographistes qualifiés, ont trouvé que cette photo avait des qualités remarquables).
...Revenons à
l'amiral Peary et considérons la vitesse ahurissante de son voyage de retour du pôle. S'il avait voyagé
sur la courbure intérieure du vortex, ses rapports pourraient justifier la grande distance parcourue, en raison de la proche position de l'horizon, et les déformations des angles utilisés dans ses calculs trigonométriques. En fait, il aurait parcouru la même distance chaque jour, et la baisse de sa vitesse serait entièrement compatible avec les observations concernant un horizon sans cesse déformé.
(Note 19 du Webmaster. Pour expliquer convenablement ce paragraphe difficile à comprendre, il ne nous reste qu'à reprendre le passage suivant de notre article placé à : merlibresuite.html
Voici donc de quoi il s'agit :
c) Où la revue " Science&Vie Junior ", nous montre mathématiquement, comment on s'oriente au Pôle.
En effet, dans un article intitulé " La conquête du Pôle Nord" de Mr Philippe Nessann, du n° 115 d'Avril 1999 de la revue Science&Vie Junior, nous avons eu le bénéfice de découvrir comment en général, on peut s'orienter au Pôle en considérant évidemment que la Terre est à peu près une sphère soumise aux rayons obliques du soleil. Nous reproduisons donc ci-dessous l'admirable schéma très didactique de Mr Jean-Jacques Hatton, qui donne toute la démarche que devrait effectuer un explorateur pour calculer sa position en arrivant au Pôle Nord.
Mais il va de soi, que s'il existe une courbure de la Terre vers son intérieur au Pôle, les angles Alpha, Bêta, et Gamma ne correspondront plus à ceux que nous présente, ce schéma et donc que la position déterminée par l'explorateur en sera automatiquement faussée sur le terrain. Il en résulte que c'est en toute bonne foi, que ces explorateurs ont cru être arrivés au Pôle, alors qu'ils n'étaient, en fait, que sur le bord de concavité polaire que nous évoque notre bien pratique schéma précédent de la pomme.
Fin de la note 19 du Webmaster).
Les spécialistes des fusées ont fait grand cas de la découverte de
la ceinture de Van Allen, qui est une ceinture de radiations entourant la Terre.
Note 20 du Webmaster: Bien que cette photo soit bien plus moderne, que cette consultée à l'époque par Ray Palmer, voyons ce que le site :
WikipediaVan-Allen nous montre :
Fin de la note 20)
Le lecteur est invité à lire à ce sujet le
Scientific American, et surtout il faut noter les dessins de sa forme, qui présente précisément un vaste trou aux deux extrémités de la planette terre. Que faire si la Terre n'est pas sphérique, mais en fait en forme de beignet creusé comme le montre la ceinture de Van Allen? Tout ce qui rend la ceinture forme de vrille, ne pourrait-il pas aussi être responsable de la formation de la Terre elle-même?
La preuve est extrêmement forte, et incroyablement prolifique dans la portée et l'étendue, que la Terre est en fait en forme de cette façon. Et si elle est creuse, alors nous n'avons plus besoin de chercher l'origine des soucoupes hors de la Terre- mais plutôt dans l'espace intérieur ! Et à en juger par les preuves, l'intérieur est très habitable : une abondante végétation, des animaux
"disparus" y abondent tel que le mammouth! Byrd a volé 1700 miles
(2735 km) sur le bord intérieur du vortex, et la Marine a volé 3700 km sur le bord intérieure du pôle opposé . Les deux vols ont d'une manière partielle pénétré dans la terre intérieure. Et si tout cela est vrai, sans doute alors des vols prolongés jusqu'à 16.000 km et au-delà ont été réalisés depuis
1957 dans
cette Terre creuse, car nous avons les avions appropriés pour le faire ! Si le gouvernement connaissait
la signification des vols de Byrd au sein de la marine, il n'aurait certainement pas négligé de prolonger les explorations !
(Note 21 du Webmaster. Ray Palmer raisonne ici comme l'a fait Raymond Bernard en croyant qu'une nation aussi puissante que les USA n'avait qu'à coiffer au poteau les autres nations pour conquérir ce monde interne. Ray Palmer semble ignorer le fiasco, que fut l'opération hautement structurée High Jump 1946-1947, où Byrd a rencontré une farouche résistance des habitants de l'intérieur, et a dû rebrousser chemin vite fait. Bien sûr, très peu d'informations ont réussi à filtrer au travers du Top Secret, qui a suivi cette affaire).
Aimé Michel, dans sa théorie de la
"ligne droite" (aussi appelée l'orthoténie voir plus bas), a prouvé que la plupart des tracés de vols de soucoupes volantes sont sur une trajectoire Nord-Sud, ce qui est exactement ce qui se passerait si
l'origine des soucoupes était polaire.
(Note 22 du Webmaster.! Aimé Michel fut un très grand défricheur français des concepts hors-normes, très peu étudiés par les scientifiques. A quels travaux de lui, Ray Palmer fait-il ici allusion ? Il a publié en effet, en 1957 l'ouvrage intitulé "Lueurs sur les soucoupes volantes" chez l'Editeur MAME à Paris. Il y ferait dit-on, allusion à de nombreux cas où l'on note que ces soucoupes volantes empruntent la direction Nord-Sud, dans un sens ou dans l'autre. Pour les puristes, qui aiment partir des sources, disons aussi, chose très rare sur le sujet, que la revue bien connue, "SCIENCE et VIE", a aussi publié en Février 1958, un article d'Aimé Michel, sur l'orthoténie, dont voici quelques éléments significatifs :
Nous n'avons pas hélas, pour l'instant, la chance de posséder le n° de 1951 "Science et vie" mentionné ci-dessus, (hélas le mois n'est pas précisé ici), et nous espérons vivement qu'un aimable internaute le possède et pourra nous révéler, ce qu'il contient.
Nous avons précisé plus haut que les meilleurs ufologues ont écarté à l'époque systématiquement, l'étude des phénomènes polaires, comme pouvant être en rapport avec la provenance des soucoupes volantes. Aimé Michel est de ceux-là :
En effet dans le numéro 10 de Mai-Juin 1963, de la fameuse revue Planète, dont voici les deux couvertures , pour les puristes qui aiment remonter aux sources :

.

,on découvre alors, un article d'Aimé Michel de 15 pages, dont le début est tel que :
A aucun moment l'auteur ne parle des phénomènes polaires, et de la revue Flying Saucers de Dec59. Nous ne pouvons affirmer que l'auteur ait pu avoir en main cette revue trois ans et demi plus tard. Toujours est-il que dans sa bibliographie, elle n'apparaît pas :
Pourtant Aimé Michel, recevait de nombreux rapports en provenance des USA et de l'Angleterre, et il serait très surprenant que l'on ne lui ait pas soufflé deux mots sur cette revue qui osait présenter une thèse révolutionnaire sur la provenance des soucoupes volantes. De plus Aimé Michel avait de nombreux amis au pays de l'Oncle Sam, qui auraient pu vérifier dans les journaux de l'époque, les déclarations fantastiques de Byrd, ce qu'ARTivision , a bien du mal, à mettre en exergue actuellement.
Pour être plus explicite, présentons ce cas classique, où les soucoupes volantes ont emprunté la direction des pôles, et cas que nous extrayons du site :
http://benzemas.zeblog.com/176115-les-ovnis-dans-la-presse-annees-1950-a-1959-suite4/
Le Quotidien de la Haute Loire France, 22 septembre 1954
CIGARE VOLANT AU-DESSUS DE ANNONAY, 16 SEPTEMBRE 1954:
L'article ci-dessous est paru dans le journal Le Quotidien de la Haute Loire, le 22 Septembre 1954.
Un cigare volant sur Annonay.
Jeudi dernier, à 12h15, M. Vialon, retraité des chemins de fer, demeurant à Annonay, se préparait à prendre son repas lorsque son petit fils, âgé de sept ans, qui jouait dans le jardin, lui cria "viens vite voir la soucoupe volante". M. Vialon sortit aussitôt et le spectacle qu'il vit ne fut pas sans le surprendre. Voici le récit qu'il en a fait: "Dès que je fus sorti, j'aperçus dans le ciel, se déplaçant silencieusement, dans la direction du nord/sud, un appareil allongé que j'aurais sans doute pris pour un avion s'il n'avait été suivi par une traînée blanche, nettement plus long que lui, peut être huit à dix fois sa longueur, et qui, contrairement à celle produite par certains avions, conservait sa forme rectiligne dans le prolongement de l'engin et gardait toujours la même dimension. La vitesse de cette étrange machine était inférieure à celle des avions qui passent régulièrement et, à l'avant, on distinguait, par instants, une sorte de disque brillant ressemblant à des reflets de soleil sur une partie métallique. Cet appareil mit environ trois à quatre minutes pour traverser le ciel d'Annonay. Puis brusquement, à l'instant où il approchait de la limite de mon champ de vision, il piqua à la verticale et disparut. Pendant cette plongée, la traînée blanche prit immédiatement sa place dans le prolongement de l'appareil et à aucun moment, elle ne s'effilocha dans le ciel comme une traînée habituelle que l'on voit dans le sillage des avions.".
Mais Super Hasard , nous est venu, une fois de plus, à l' aide, et nous avons réussi à trouver l'article en question sur les soucoupes volantes de la revue "Science et Vie" de 1951. Le voilà grâce à l'extrême gentillesse de l'internaute Isabelle P........, qui nous a fait le 26 Juillet 2011, le scan des 6 pages du "Science et Vie" d'Avril 1951, dont voici le début :
Nous n'avons pas hélas, trouvé dans ces scans la mention, que certaines soucoupes volantes empruntaient la Direction Nord-Sud.
Fin de la note 22).
Suite et fin du texte de la Flying Saucers de Dec 59:
De l'avis de l'éditeur de FLYING SAUCERS, cette origine polaire des soucoupes volantes devront maintenant être discutée. Il est tout à fait nécessaire que cela soit fait. Une simple dénégation ne peu être prise en compte. Tout rejet doit être accompagné d'une preuve solide. FLYING SAUCERS suggère qu'une preuve supplémentaire ne peut être fournie actuellement. Et que jusqu'à ce que cette preuve soit avancée, FLYING SAUCERS se place dans le contexte où tous les groupes ufologistes devraient étudier la question du point de vue de la Terre creuse, et accumuler toutes les confirmations disponibles des deux derniers siècles, et aussi les dénégations qui s'imposent. Maintenant que nous avons octoyé aux soucoupes volante l'origine la plus logique (en insistant sur le fait que l'origine interstellaire présente un obstacle insurmontable exigeant des concepts allant au-delà de l'imagination), qui affirme que les soucoupes viennent de notre propre Terre, ceci doit être prouvé ou réfutée, d'une façon ou de l'autre.
Pourquoi? Parce que si la Terre intérieure est peuplée par une race très avancée scientifiquement, nous devons établir des contacts fructueux avec eux et, si elles sont leur science est très puissante, y compris dans le domaine militaire, nous ne devons pas en faire des ennemis. Et si l'intention de nos gouvernements à l'égard l'intérieur de la Terre est de le considérer comme un "territoire vierge", comme il en a été pour les "territoires indiens" d'Amérique du Nord lorsque les colons sont venus pour y chasser les propriétaires légitimes, il revient à ces gens de l'intérieur de connaître nos intentions et de donner leur avis à ce sujet. c'est le droit de que les gens sachent que l'intention, et d'exprimer leur volonté en la matière. (Note 23 du Webmaster: RAY PALMER, fait ici un faux raisonnement, car ces ovnis existe depuis des siecles comme il l'affirme, et donc les habitants de l'intérieur ont une avance considérable sur nous et n'ont nullement besoin de notre avis pour protéger leur contrée contre nos agressions habituelles. Nous déjà mis ce fait en relief dans notre article : RetourIsis.html, et nous avons même mentionné à plusieurs endroits que les Maîtres de l'intérieur peuvent pénétrer dans nos entreprises les plus secretes pour nous étudier de près).
Le concept de la soucoupe volante est devenu le fait le plus important dans l'histoire. Les réponses aux questions soulevées dans cet article doivent être trouvées. L'amiral Byrd a découvert une Terre nouvelle et mystérieuse, le centre de la grande inconnue, et c'est la découverte la plus importante de tous les temps. Nous l'avons apprise de sa propre bouche, d'un homme dont l'intégrité a toujours été irréprochable, et dont l'esprit était l'un des plus brillants de l'époque moderne.
Que ceux qui souhaitent le traiter de menteur, prouvent leurs assertions
Les soucoupes volantes viennent de cette Terre !
Fin.
Commentaire supplémentaire du Webmaster en date du 05/02/2011.
Ray Palmer a parlé plus haut que
"C'est l'ancienneté du phénomène qui est le facteur le plus important dans son analyse".
Voici donc un document qui s'inscrit directement dans cette optique
(il y en a bien sûr des dizaines d'autres)Paragraphe extrait de notre article :
raisonis.html :
IV Quand, une incontournable preuve , apparaît dès 1926 dans l'Himalaya.(Prolongement révélateur en date du 16/07/2010).
Pour bien introduire la preuve dont il est question, présentons d'abord quelques paragraphes de la revue suivnte:

En effet, le Vendredi
15 Juillet 2005, nous avons eu le privilège d'acheter dans une Grande Surface, un exemplaire de la revue
"Le monde de L'inconnu" n° 314 de Juin-Juillet 2005, et dont la couverture ci-contre, elle même, est déjà tout un programme et nous invite franchement à vouloir avoir en main cette revue.
Aussi nous allons y découvrir certains éléments que le site
ARTivision, avec ses faibles moyens, s'est évertué à mettre en exergue, il y a quelques lustres, et éléments qui ont dû à l'époque déclencher chez les biens-pensants de larges sourires sous cape. Certains de ces messieux n'ont pas hésité à écrire à
ARTivision, pour dire le fond de
leur pensée très orthodoxe, sans se douter qu'
ARTivision, avait bien d'autres informations
très pointues en réserve, qui pouvaient les mettre au pied du mur. Alors n'ayant pas de réponse à formuler au sujet de ces réserves, ce fut par la suite, de leur part, le silence complet.
Nous pourrions vous parler ici, de bien des sujets évoqués dans cette revue et en particulier, ceux qui ont trait au
Grand Mystère des régions polaires, mystère souvent évoqué sur notre site.
Mais présentons seulement plutôt, l'encadré passionnant toujours tiré de la revue précédente n° 314 :
Pour corroborer ce qui est exprimé dans cet encadré, il nous semble opportun de préciser ici ce que disait dans les mêmes conditions
Andrew Tomas dans un ouvrage de circonstance désormais incontournable :
"Shambhalla oasis de Lumière", publié aux
Éditions Robert Laffont en
1976:
Voyons alors
le passage clef de ce livre:
" Dans un article écrit en Asie Centrale en 1935. Nicolas Roerich , (Note du Webmaster: Professeur , explorateur, peintre auteur de l'ouvrage "Heart of Asia" : cœur de l'Asie ), relate ses rencontres avec les indigènes qui lui ont parlé (les Gardiens : " Lorsqu'ils surgissent, en plein désert, lui dirent-ils, chacun se demande d'abord où fut le point de départ de ce long voyage dans cette immense région sans eau, et comment ils purent le réaliser, mais de longues, longues cavernes sans fin ont été découvertes ". Sans l'existence de ces tunnels, l'apparition
des gardiens au cœur du Gobi poserait, en effet, une énigme.
Parler
de véhicules circulant à travers des galeries creusées sous les déserts et les montagnes fait penser à la science-fiction, de plus, cette tradition remonte à une époque où le monde occidental ne possédait aucune machine. Mentionner
des vaisseaux aériens aperçus dans la zone de
Shambhala paraît également fantaisiste mais comme l'expédition de Roerich avançait au voisinage des montagnes
de Karakoram, en
1926, ses membres virent tout à coup dans le ciel clair du matin,
un disque qui scintillait au-dessus de cette région désertique. Son vol fut observé à l'aide de trois puissantes jumelles. Inopinément, l'engin changea son cap, du sud au sud-ouest, pour disparaître derrière les cimes enneigées de la chaîne de Humboldt
(Humboldt Range).
Aucun avion, aucun ballon n'aurait pu, en 1926, survoler cette partie isolée de la Chine occidentale.
Des machines volantes d'un type inconnu étaient seules capables de réussir les manoeuvres aériennes rapportées par Roerich. A la vue du disque dans le ciel, les lamas qui participaient à son expédition s'exclamèrent :
" Voici le Signe de Shambhala "..
L'alpiniste anglais,
Frank Smythe eut une expérience identique au mont Everest, en 1933. A 9 000 mètres d'altitude, il vit deux sombres objets évoluer dans le ciel. L'un avait des ailes épaisses, l'autre une sorte de bec. Les deux vaisseaux aériens ou spatiaux, étaient nimbés d'un halo. Smythe fut profondément intrigué, cependant, après avoir identifié les pics et les glaciers qui 1'entouraient, il fut convaincu de n'être pas victime d'une hallucination. Les objets volants, vus par Roerich et Smythe étaient-ils des engins aériens ou spatiaux venus de Shambhala? C'est du moins l'explication que, déjà, je proposai à Shanghai en 1935, et elle est encore valable aujourd'hui, faute d'une conclusion plus satisfaisante.
"
Fin de citation.
Nous pourrions en dire bien plus sur cet ouvrage du grand explorateur que fut aussi
Andrew Tomas, mais il convient évidemment de préférence de se procurer cet ouvrage remarquable pour pénétrer vraiment au cœur de ce grand mystère qu'est
Shambhala.
Mais pour aider
le novice, à comprendre d'où vient l'expression
"Soucoupe volante", mentionnée par
Ray Palmer, au début de cet article, rendons hommage, une fois de plus, à l'ouvrage remarquable paru chez
Dargaud en 1972, de
Jacques Lob et de
Robert Gigi, en presentant quelques vignettes significatives sur le sujet. Voici d'abord la couverture de l'ouvrage en question :
Puis voici les vignettes qui expliquent bien cette affaire de
" soucoupes volantes" :
C'est donc grâce à
Kennet Arnold, que le vocable
"soucoupes volantes", a pris son essort à partir du
24 Juin 1947.
Mais pourquoi, pendant que nous y sommes, ne faire un petit clin d'oeil
justement, à
quelques brefs éléments du
dossier historique des soucoupes volantes ou ovnis ...
Bien sûr, pour en savoir plus, il convient de consulter, l'admirable album de BD en question.
A vous donc, une fois de plus, de juger tout cela...
Fin de citation.
Mais si nous n'avons pas encore pu mettre la main sur un journal de
Février 1947, ou encore
un San-Francisco daté autour du
5 Avril 1955, et surtout un journal du
13 Janvier 1956, nous pouvons déjà vous mettre sous les yeux, le document important suivant :
Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons en rouge les mots qui nous interpellent:
Traduisons alors
grosso modo ce passage :
" Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna. (Note du Webmaster : En effet Byrd avait déjà volé au dessus du pôle, le 15 Janvier 1929. Voyez vous-mêmes, cet autre document, tiré de l'ouvrage :
3
Nous avons souligné, simplement en rouge, les mots qui le prouvent).
"Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-dela du pôle ". Byrd dit " car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque de glace, et chercher un nouveau continent et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science."
Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "
Fin de la traduction.
D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme
unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir du mot
uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots
non répertorié..
Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que
Byrd était
un militaire, et donc
qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme
un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.
La question qui se pose ici, et qu'il faut creuser encore est :
" Comment peut-il exister en
Antarctique, un vaste territoire, surtout
"inconnu", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que
des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?"
Il y a aussi l'expression
"au-delà du Pôle" qui fait penser à une contrée bien à part et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle...
Il y a aussi cette affaire de
"liens manquants", que
Byrd évoque, et qui,
à notre avis, ne doivent pas s'appliquer à
des zones très arides, vraiment austères et plus que désertiques.
Mais
Ray Palmer n'a jamais mentionné dans son texte
le nom de Sir George Hubert Wilkins qui aurait aussi découvert en
1928 une terre inconnue, au pôle Sud. Nous y reviendrons...
En effet, bien qu'il soit encore plus mal aisé, de trouver des documents parlant de la découverte de
Sir George Hubert Wilkins, nous sommes vraiment fiers de vous présenter celui-ci déjà révélé dans motre article :
Cet entrefilet est tiré, on le sait du :
Disons aussi que
SARASOTA, est une ville de la
Floride.
Et voici notre modeste traduction :
Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7
Wilkins trouve une terre inconnue.
MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)
Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.
A cet effet, le service radio gouvernemental annonça la réception d'un messagge en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.
Fin de la traduction.
C'est maintenant que le lecteur curieux, doit se poser la question suivante :
"Comment un journaliste d'une gazette sérieuse comme le SARASOTA HERALD un 31 Décembre 1929, (ce n'était pas, évidemment un 1er Avril), ait pu nous affirmer une chose aussi incroyable, que la découverte par Wilkins d'une terre inconnue dans une région où chacun s'attend à n'y trouver que des étendues glacées et neigeuses à perte de vue et dont les températures sont plus que sibériennes".
Voilà un cas qui ne manquerait pas d'intéret, pour
les psychologues et les
psychiatres , n'est pas ?
Avis aux amateurs !!.
Mais en fouillant davantage dans l'ouvrage déjà présenté du
Reader Digest nommé ANTARCTICA, nous avons trouvé en page 238 ceci :
Et plus loin, en page 239, il y a
ce passage insolite :
, que l'on peut traduire grosso modo :
" Wilkins a continué à survoler la Terre de Graham :
La Terre de Graham est en bas à gauche
jusqu'à ce qu'il atteigne 7l ° 20'S, 64 ° 15 'W, et jusqu'à ce qu'il vide à moitié son réservoir. Puis l'équipage rebroussa son chemin et a atterri sain et sauf, sur l'île Déception après 11 heures de vol. L'équipage avait parcouru près de 2100 kilomètres (1300 miles), dont près d'un millier au-dessus d'un terrain jusque-là inconnu, et s'en est retourné avec de nombreuses photos, et beaucoup d'informations nouvelles. La plupart de cela s'est avéré être incorrect - Wilkins, par exemple, a signalé que la Terre de Graham a été divisée en îlots par quatre canaux, le plus méridional d'entre eux fut appelé le détroit de Stefansson. "
Là encore,
on reste muet d'étonnement, sous l'effet de cette révélation tout à fait insolite,
d'un millier de km parcouru au-dessus d'une zone de terrain inconnu. Le vocable
terrain , nous permet de supposer qu'il ne peut s'agir
aucunement ici,
d'une zone glacée et neigeuse, très inhospitalière , et zone qui caractérise, en majeure partie toute la région polaire en question.
Quel texte, n'est-ce pas, où il faut
savoir lire entre les lignes, et de plus, nous aimerions bien voir les photos, dont il s'agit !!!
Mais ce
12 Février 2011, il nous semble utile pour parfaire l'accumulation
des preuves concrètes, concernant
Wilkins, d'ajouter ici, ce passage important de notre article :
Début de citation :
Le Jeudi 16 Mars 2006, nous avons reçu des USA ce pli :
c) Quand le "San Francisco Chronicle", confirme que Sir George Hubert Wilkins a bien découvert une terre nouvelle en Antarctique...
Parmi les documents reçus, il y avait bien un, du "San Francisco Chronicle" , daté du 18 Novembre 1930, dont voici l'image :
Et en fin de colonne, nous découvrons bien la petite phrase hors norme suivante :
"He made the first airplane flight in the Antarctic in 1928 and he was the first to discover new land from an airplaine"
que nous pourrions traduire par "Il réalisa le premier vol en aéroplane dans l'Antarctique en 1928, et il fut ainsi, le premier à découvrir une nouvelle terre ".
Notons que pour éviter les répétitions, nous avons traduit " from an aeroplane" simplement par "ainsi ".
Mais revenons à cette affaire d' une terre nouvelle. Si le terme était au pluriel (new lands) certains détracteurs, diraient vite qu'il s'agit de kilomètres carrés de banquise et de déserts neigeux qui sont effectivement des terres vides et inexploitées. Mais le journaliste, dit "to discover new land". Comme cela aurait été plus clair, s'il avait écrit : "to discover a new land". N'empêche que nous sommes ici invités à traduire "à découvrir une terre nouvelle" en gardant l'article qui pose problème. Et on ne peut alors que se demander, comment peut-il exister une terre nouvelle dans une région toujours glacée et neigeuse à perte de vue, et où la température descend souvent en-dessous de 50 degrés C ?
d) Conclusion provisoire.
Cela ne confirme-t-il pas déjà en partie l'affirmation " d'Amedeo Giannini", quand il disait que "le Capitaine Sir George Hubert Wilkins aurait fait une importante découverte le 12 Décembre 1928 dans l'Antarctique" et surtout que "les organes de presse montrèrent des photographies de l'explorateur australien..." ?
Il nous manque donc les photos pour confirmer cela totalement et surtout, il nous faudra trouver le texte qui donne la date exacte du 12 Décembre 1928 pour la découverte de Wilkins , date qui n'est pas mentionnée entièrement ici dans ce document du 18 Nov 1930, vu plus haut.
Encore des recherches en perspective donc...
Fin de citation.
Le point de départ de cette affaire du
12 Décembre 1928, se trouve dans le livre hors normes :
"Mondes au delà des pôles", paru en
1959, d'
Amedeo Giannini, qui prétend que
des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones arctique et antarctique de notre planète :
Précisons ici à nouveau, avant de poursuivre que
nous ne souscrivons pas du tout à la théorie de
Giannini qui, pour expliquer ces découvertes, a élaboré à l'époque l'incroyable hypothèse qui voulait que la
Terre serait collée par les pôles à un univers parallèle et que cet univers serait lui même en relation avec un autre et que cela se poursuivrait ainsi à l'infini ...
Giannini n'a à aucun moment imaginé que
la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait
deux ouvertures aux pôles permettant d'accéder à son intérieur. Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de
continuité physique de l'Univers.
C'est en page 53 de son livre, que nous avons trouvé,
la fameuse déclaration de Giannini telle que :
Laissons aux fervents de la langue de
Shakespeare, le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu et contentons nous d'en extraire l'essentiel :
" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la
Terre : Dumbrova explorateur russe."
Mille fois,
hélas, encore une fois, ce
Giannini ne nous dit pas
dans quel document, il a découvert cette
extraordinaire déclaration de
l'explorateur russe Dumbrova. En fait, notre grande
amie Meriten, le
15 Avril 2009, nous a proposé le fait, qu'il s'agiraît
très probablement plutôt, de l'explorateur et médecin romain
Constantin DUMBRAVA (
1898-1935) qui a monté en
1927, donc bien avant Paul-Emile VICTOR, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et qui passa une année chez les Inuit...Il a étudié avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a finalement épousé une américaine et s’est installé à New-York.
Nous demandons donc,
avec déférence, à tout internaute
qui connaît parfaitement le russe et le roumain , de tout faire pour retrouver
la trace de la super déclaration précédente, et les écrits de ce Dumbrava. Il n'est pas besoin d'insister ici, sur
le caractère très important de cette recherche, car il y va d'une
plus grande compréhension de notre planète et même sans doute,
de notre système solaire.
C'est vous, qu'il appartient de juger dès lors, cette affaire,
documents en mains.
III Digression fondamentale, sur le sujet en date du 13 Février 2011.
Tout est relatif dans
le contexte planétaire évoqué ci-dessus.
En effet la rédaction du journal
France-Antilles du
Samedi 12 Février 2011, a dû
se frotter les mains de satisfaction, en nous présentant, très en évidence, cet entrefilet :
Mais, il n'est pas besoin ici de démontrer plus avant, que chacun situe
son appréhension des choses et
ses priorités en fonction de
ses préocupations
immédiates. Cependant, il arrive souvent que
quelques temps plus tard, ces préoccupations se révèlent n'avoir été que
des futilités qui
n'apportaient rien à
la compréhension de
notre environnement et à notre
intégration dans la communauté humaine
de cette planète
en grande
évolution .
Pas besoin donc, d'être sorti de Polytechnique, pour admettre que s'il existe dans l'univers des soleils en plus grande quantité que les grains de sable de la Terre, il est fatal qu'il existe encore plus de planètes tournant autour de ces soleils et donc qu'il existerait des sœurs jumelles à notre Terre par millions. Or dès la fin du XVI
e Giordano Bruno,
, philosophe, théologien, poète, peintre auteur de théatre, imprimeur , astromome , alchimiste... qui a publié près d'une centaine d'ouvrages, affirmait que
l'univers était infini et contenait sans doute
des galaxies peuplées comme la nôtre.
Voyons alors ce que nous disait le chercheur
Yvan Diagérine à son sujet, dans le
n° 16 de la revue
Le Monde Inconnu de Mars 1981:
" Giordano Bruno eut un rôle essentiel :
ouvrir des brèches dans la connaissance
des Anciens, qui représentaient l'Univers
comme une sphère close auxquelles
étaient suspendues des étoiles fixes :
par là, il se situe dans la lignée copernicienne, ainsi que dans la lignée du système de Raymond Lulle. Ce qui est
intéressant, c'est qu'il était une espèce
d'homme universel (Insanâl - Kâmil chez
les soufis), indifférent à l'égard de la
foi vulgaire: Citons ici Emile Namer :
« Il se sentait tellement étranger à toute
religion positive, qu'il avoua, presque
avec candeur, devant le Saint-Office de
Venise, que sa doctrine consistait à
admettre un univers infini, effet de
l'infinie puissance divine, et donc des
nombres innombrables - non plus un
monde unique et limité, comme l'admettait Saint-Thomas d'Aquin, après Aristote.
Cette double infinité, par la grandeur de
l'univers et la pluralité des mondes,
pouvait paraitre contraire à la vérité
selon la foi ; mais lui, Bruno, ne l'avait
pas explicitement opposée à la religion.
Il l'avait présentée simplement comme
"une conception philosophique", ajoutant
que s'il fallait parler d'une Providence,
elle devrait se situer à l'intérieur de
l'univers, âme toute entière partout et en
chaque partie, nature capable d'assurer à
chaque chose ses lois et sa conversation.
Peut-on considérer cet enseignement
comme hérétique ? se demande-t-il
devant ses juges. Dans ce cas, il faudrait
considérer comme bien plus contraires
â la foi, les lectures d'Aristote et de Platon
dont on accepte d'interpréter les enseignements selon la lumière naturelle. »
Toutes proportions gardées, on peut
dire que Giordano Bruno avait un peu la
position d'un soufi, d'un ésotériste
musulman, vis-à-vis de la tradition telle
qu'elle est vécue par le peuple. Il fait
songer à un alchimiste qui, pénétré par
sa sagesse secrète, parlerait pourtant un
peu trop. Mais à la différence que Bruno
fut parfois un philosophe "naturaliste",
un vulgarisateur, et donc le contraire de
l'hermétiste qu'il était également, par
ailleurs. I1 propagea des doctrines dangereuses, celles-là même qui ont donné
naissance à la science moderne et à tous
les dangers qu'elle suscite.
Sur le plan doctrinal, sa tâche consista
essentiellement à ébranler la conception
traditionnelle de l'univers -- celle d'un
univers clos et structuré parfaitement -
en dévoilant le système héliocentrique,
d'où il résultait que la Terre devenait un
astre au même titre que la Lune ou Vénus:
la Terre perdait du même coup son statut
privilégié pour devenir une boule perdue
dans l'infini de l'espace. De plus, la Terre
tournait non seulemant sur elle-même,
mais aussi autour du Soleil. N'ayant pas
conscience de tourner avec la Terre,
les habitants de la Terre voient le Ciel
tourner autour d'eux, exactement comme
un voyageur dans un bâteau qui part
voit un autre bateau, immobile, se mettre
en marche.
Ayant brisé, comme un moderne
Prométhée, les différents cieux, y compris
celui des étoiles fixes, il ne restait plus à
Bruno qu'a postuler un univers infini,
n'ayant ni centre ni direction privilégiée.
En démolissant le bel édifice aristotélicien du monde hiérarchisé et clos, Giordano Bruno séparait l'univers du monde,
ou plutôt des mondes, ceux-ci se composant de myriades sans fin, car non seulement chaque étoile que nous apercevons est au centre d'un monde, mais chaque
étoile est un soleil : en généralisant le
système copernicien, le Dominicain défroqué ouvrait les portes du ciel aux télescopes de l'astronomie moderne, qui
d'ailleurs ne verront jamais que leurs
propres limites, mais opérait aussi une
révolution capitale dans la pensée et
dans la conception de l'univers. L'homme
perdait son centre, son axe, et devenait
un point minuscule dans un infini sombre
et désolé : par là, Bruno n'est pas seulement le fondateur de la "philosophie" et
de l'astronomie modernes, mais aussi
de la science-fiction.
On imagine l'indignation et la prescience du pire des théologiens et des
autorités ecclésiastiques de son époque,
vis-à-vis de ce philosophe exalté qui
refusait d'assister aux offices religieux et
détruisait la sphère céleste des ancêtres.
Bruno développait aussi dans ses
innombrables écrits ses théories sur l'intelligence universelle, l'âme du monde,
sans parler de la mémoire artificielle et de
l'hermétisme,théories géniales et inspirées.
Plus personne aujourd'hui ne veut
brûler Giordano Bruno, car ce qui était
considéré comme hérétique à son époque
est devenu la philosophie officielle de nos
jours - avec toutes les transformations du
monde et de la conscience collective que
cela implique...
....En 1591, il se rend à la foire aux livres
de Francfort, où il publie trois aeuvres
latines importantes : Le Minimum, La
Monade, L'Immense et l'Innombrable.
Puis, sur l'invitation du sieur Mocenigo,
qui lui a tendu un piège, il se rend à
Venise, où l'Inquisition l'attend. C'est
alors que commencent de longs procès,
consignés dans d'innombrables documents,
très riches pour la compréhension de
l'œuvre de Bruno.
En 1593, le Vatican qui a obtenu
l'extradition de l'ex-Dominicain le
tiendra désormais prisonnier des cachots
du Saint-Office à Rome.
Pendant ses sept années de captivité,
Bruno aura le temps de préparer sa défense
contre les accusations d'hérésie.
En 1597, c'est Robert Bellarmin, un
théologien redoutable, qui s'occupe personnellement du procès de Bruno. Malgré
les protestations de l'accusé, le pape
Clément VIII décrète hérétiques huit
propositions tirées des œuvres du philosophe. Bruno refuse d'abjurer.
Le 8 février 1600, il est condamné. I1
monte sur le bûcher du Campo di Fiori le 17 Février. Giordano Bruno sera encore brûlé en effigie à Rome au XIXe siècle. "
Fin de citation
Et pour les puristes, voici en plus,
le summum :
Dessin tiré du n°13 de la revue Maths&malices Sept-Oct 1993
Alors
Messieurs les inquisiteurs contemporains, vous qui ne pouvez heureusement brûler
Ray Palmer, pour
son audacieuse théorie, ne passez plus votre précieux temps à courir après des exoplanètes
(que nous n'avons pour l'instant aucune chance de visiter tellement elles sont éloignées de nous), mais plutôt cherchez à mettre en exergue
le moindre détail, mentionné dans ce
Flying Saucers de Dec 59, et il se pourrait alors que votre attention, soit plus attirée
par exemple, par
cette superbe image de Mars :
Si cela ne vous inspire pas trop... demandez au moins à :
dans
quelle revue scientifique ou autre, cette
étrange photo, a pu être publiée ?
D'autre part vous n'aurez certainement pas de souci, pour retrouver cette
image surprenante dont nous attendons toujours un débat scientifique à son sujet :
Pas besoin de dire que c'est
cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant , qui nous interpelle ci-dessus et où l'on voit nettement juste en-dessous
une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que
cette luminosité vient de l'intérieur .
(voir le bout de la flèche rouge).
Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la
sonde Cassini Huygens avait été mise au point
par plusieurs nations, dont
l'Allemagne, la France, l'Italie.., que ces pays et d'autres, ont eu
un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc
la NASA a été prise de court et
n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux qui est apparu
au Pôle sud de Titan.
Mais
Titan a encore fait des siennes, car le
14 Janvier 2010, en pénétrant occasionnellement, dans le site :
, à la rubrique concernant
Titan ( faire bouger
l'ascenseur à côté de GO jusqu'à
Titan) , nous y avons découvert aussi, dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image :

, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.
Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010.
Puis voici l'image de cet entrefilet :
Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet
(Les couleurs sont de nous bien sûr):
TITAN.
Un point lumineux récurrent.
La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.
Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.
Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?
Fin de citation.
Mais diront encore certains irreductibles zététiques : ce sont des illusions d'optique.
On peut tout de même supposer que tous les télescopes ne déforment pas la réalité tout le temps :
" En effet., en Février 2005, plusieurs internautes vigilants, nous ont adressés l'information suivante tirée des sites :
Découverte d'un Point chaud inexpliqué sur Saturne :
Des astronomes ont découvert sur Saturne un phénomène climatique encore inconnu dans le système solaire : il s’agit d’un vortex polaire chaud situé au pôle sud de la planète aux anneaux. Glenn Orton (JPL) et ses collègues ont repéré ce point chaud grâce au télescope terrestre Keck(du Mont Mauna Kea, à Hawaii) et attendent désormais les observations de la sonde Cassini pour mieux comprendre cette curiosité.
Ces travaux sont publiés aujourd'hui dans la revue Science.
Sur Terre, ces vortex se forment dans la stratosphère, au-dessus de l’Arctique et de l’Antarctique. La différence de température entre les hautes et les moyennes latitude crée un courant circumpolaire qui isole les masses d’air froides. En Antarctique ce vortex polaire contribue à la destruction de la couche d’ozone pendant l’hiver. Au pôle nord le vortex envoie de l’air froid sur le nord de l’Amérique.
Que ce soit sur Terre, sur Jupiter, Mars ou Vénus, partout où ils ont été observés ces vortex polaires sont plus froids que l’air environnant. Sauf sur Saturne. Le pôle sud y est déjà particulièrement chaud – il est exposé au Soleil depuis 15 ans. Pourtant, à 30° de latitude du pôle les chercheurs ont repéré un point encore plus chaud.
Il pourrait s’agir d’une concentration de particules absorbant la lumière du Soleil "coincée" dans la stratosphère. Cependant l’explication est insuffisante. Pour comprendre la formation de ce vortex les astronomes attendent le passage de Cassini et l’observation de cette zone par son spectromètre à infrarouge (CIRS) en mars et mai prochains.
Fin de citation
Nous pensons alors que Cassini a eu largement le temps de photographier le pôle sud de Saturne et l'image suivante n'a rien de particulier qui puisse nous émerveiller :
Cassini a-t-il mis, au bon moment, un filtre noir pour ne pas être "aveuglé" par une lumière trop génante venue du pôle sud de la planète? "
Une fois de plus c'est un téléscope terrestre (ici celui de Keck à Hawaii) qui nous montre cette surprenante image, qui ne vient donc pas de la NASA.
Le 25 Mai 2011, nous avons reçu de notre grand ami artiste canadien André julien, la missive suivante :
From: André Julien
Sent: Wednesday, May 25, 2011 8:01 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: Si tu désires déménager Fred...
Amitiés André
Reprenons alors ici voulez-vous, ce que nous avons déjà exprimé plus haut, à savoir que chacun situe son appréhension des choses et ses priorités en fonction de
ses préocupations
immédiates. Cependant, il arrive souvent que
quelques temps plus tard, ces préoccupations se révèlent n'avoir été que
des futilités qui
n'apportaient rien à la compréhension de
notre environnement et à notre intégration dans la communauté humaine
de cette planète en grande
évolution .
Mais ce 26 Mai 2011, en relisant cet article FlyingSaucersDec59.html, nous constatons qu'il y manque un fait très significatif, qui confirme encore ce qui précède et qui fut aussi carrément passé à la trappe, par la communauté scientifique qui aurait dû au plus haut niveau, en débattre devant les médias qui ont pignon sur rue (Journaux, Radios, Télévisions etc...), mais au contraire, ce fut le silence d'une pierre tombale qui accompagna ce fait divers très astronomique. Jugez donc vous-mêmes :
En effet, le 09/09/05, nous avons eu le privilège de recevoir de l'amie Claudisa....le message suivant :
----- Original Message -----
Sent: Friday, September 09, 2005 1:34 PM
Subject: nouvelobs.com quotidien temps réel vous
informe...
Pas beaucoup d'explication sur la tache de lumière !!!
La
vraie nature de Cérès
Lire à : http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/espace/20050909.OBS8748/la-vraie-nature-de-ceres.html
Amitiés
Claudisa
Mais, au cas où ce site disparaîtrait comme par enchantement, et pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Net, voici de quoi il sagit :
© Le Nouvel Observateur
09/09/05 à 09:28
La vraie nature de
Cérès
Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète
(9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker,
Thomas, McFadden) |
|
L’astéroïde Cérès, le plus
gros représentant connu de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars
et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de
continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu
une planète. La forme sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet
homogène, possédant un cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine
dans la revue Nature.
De nouvelles observations menées en
décembre 2003 et janvier 2004 par le télescope spatial Hubble montrent que Cérès
est un objet sphérique, pas aplati, suggèrant que sa forme est contrôlée par une
force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de
la matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University) et ses
collègues.
Cérès pourraient donc être composé de deux couches : un cœur
rocheux et un manteau riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines
lunes glacées du système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus
définitive, les chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue
pour rendre visite à Cérès et à Vesta, et qui se mettrait en orbite autour de
Cérès en 2015.
Cécile Dumas
(09/09/05)
Vous constatez, nous l'espérons avec ahurrissement, que (comme nous le fait remarquer l'internaute Claudisa), dans cet entrefilet, il n'est, nulle part, question de cette lumière éclatante, qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil, sur de la glace de l'astéroide ? Aucune suggestion, ne nous est proposée. A vous de juger cet incroyable mutisme notoire.
Nous avons aussi reçu d'autres aimables internautes, cet entrefilet qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE", qui est offert gratuitement. Il est daté du 13 septembre 2005 :
Vous voyez que là nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km et surtout que les astronomes n'ont pour l'instant aucune explication à proposer au sujet de cette tache blanche très lumineuse qui apparaît sur les photos.
Nous avons évidemment fait un petit calcul qui tient compte du diamètre de 930 km de Cérès et de celui de la Terre de 12760 km . Or d'après le livre "La Terre creuse" de Raymond Bernard, le diamètre du soleil intérieur de la Terre ferait 960 km . Donc toute proportion gardée, le diamètre du soleil intérieur de Cérès , serait donnée par l'expression: ( 960 x 930) / 12760. Le résultat est donc voisin de 69,968 ...km , soit en arrondissant à 70 km .
Nous n'avons évidemment aucun moyen de savoir si cela est suffisant pour donner cette éclatante lumière que l'on aperçoit sur les images montrées.
Donc il faudrait pour en être convaincu pouvoir filmer l'autre hémisphère de Cérès et voir ainsi si l'on y découvre aussi une lumière éclatante similaire.
Nous avons d'ailleurs, demandé à Mme Régine Françoise Fauze qui channellise Soria, si effectivement l’astéroïde Cérès, possède un noyau solaire d’environ 70km de diamètre, pour que cette étrange lumière visible sur les photos vienne de là ...Elle répondra probablement dans un de ses prochains ouvrages...Affaire à suivre donc de très près.
Que donc,ceux qui préfèrent, fourrer la tête sous le sable pour ne pas voir arriver le cyclone tourbillonant du changement, continuent à s'y complaire et à courir inlassablement, après d'éventuelles exoplanètes fort évidentes du Cosmos. Quant aux autres qui, à juste titre, préfèrent se pencher sur cette affaire de disques brillants aux pôles des autres planètes, qu'ils aillent alors visiter notre article souvent rénové et placé à :
IV Autre digression plus mineure : Quand les soviétiques entrent dans la danse (paragraphe en date du 15 Février 2011).
Bien qu'il soit sorti près de 3 mois après le Flying Saucers de Dec 59, nous avons sous la main un document plutôt surprenant, qui confirme ce que nous dévoile Ray Palmer, et document qu'il convient de lire et de relire tant il sort de l'ordinaire : C'est le n° 510 du ScienceetVie de Mars 1960. Voici sa couverture :
et à la page 41, on trouve ceci :
Donc la revue Science et Vie, bien connue, nous présente ici un événement extraordinaire, qui, chose bizarre, à notre connaissance, n'a plus jamais été repris par la suite dans les colonnes de cette revue, à savoir le fait que les savants soviétiques ont pu visiter, ce que la revue appelle l' "Oasis" de Benguer .( Notez bien l'écriture du mot avec un "u", et notez surtout les guillemets qui prouvent que le rédacteur de l'article ne pense pas qu'il puisse s'agir d'une véritable Oasis ), 500 km carrés, nous dit-on pourtant, de sol complètement libre de glace, une température de 25° (voisine donc de la température moyenne de notre île de la Guadeloupe), des lacs et des cours d'eau, une maigre végétation de lichens et de mousse des oiseaux de plusieurs espèces. Notez aussi la prétendue explication qui, devrait être capable de nous faire croire, qu'une température plus basse que -80 degrés, peut passer d'un coup à plus +25 degrés par uniquement la présence de barrages naturels et l'action adoucissante de l'océan...
Voilà donc, que l'on apprend dans une revue comme "Science & Vie" (qui se veut sérieuse), qu'il existe bien, au pôle Sud, une zone "paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient pas hésité une seconde pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère bien sûr, tout le nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Puis après, ce fut motus et bouche cousue, du journaliste Paul-Marie de Gorge , qui avait élaboré si majesteusement cet article. Ceci nous montre clairement que nous sommes bien dans cette affaire, les dindons de la farce, exactement comme on nous le fera croire en 1963, dans l'assassinat du Président John Fitzgerald Kennedy. Voir alors notre article : Mystifications.html.
A vous de juger une fois de plus, tout cela en toute connaissance pragmatique. .
V Quand Byrd, fait venir en Antarctique le "snow cruiser", parait-il peu adapté à l'environnement habituel (paragraphe en date du 18 Février 2011).
Le 18 Octobre 2010, nous avons reçu de l'ami Pierre L, la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Pierre L......
To: Fred IDYLLE
Sent: Monday, October 18, 2010 7:42 PM
Subject: snow cruiser
Bonsoir Fred,
Je n'ai pas trouvé ce "fait" datant des années 39 sur votre site, mais peut-être en parlez vous...
Mais comment était donc utilisé un tel véhicule en Antarctique par l'Amiral Byrd?
En apparence totalement inadapté à la neige et à la glace???
Et de plus, portant sur sa "carlingue"...un avion de reconnaissance..
et même la Philatélie en a tiré profit :
Le tout, d'après le site
Un énorme événement traversant les États Unis depuis l'usine de fabrication jusqu'à son arrivée sur les lieux de son "champ d'action" en Antarctique ou les médiats de l'époque... perdraient sa trace!
Une "course" entre Américains et Allemands parait il ?
En tous cas, si Byrd , ou d'autres personnes ont réellement emmené cet engin bien étrange en Antarctique, ce n'est sûrement pas pour rouler sur des surfaces gelées!!! Surtouts engins à "bandes roulantes" parfaitement adaptés à ces dures conditions climatiques, aient été subitement inspirés par des systèmes ressemblent à des engins lourds de chantiers actuels, qui eux, sont au moins équipés de pneus crantés !
. (On pourrait même faire des essais "instructifs" aujourd'hui même avec des engins très proches à tout point de vue sur les pistes de ski Pyrénéennes, qui commencent d'ailleurs à s'enneiger...)
Sur une vidéo de cette époque on peut même voir cet engin en difficulté lors du passage d'un fossé, alors qu'il se rendait à son port d'embarquement (sa direction y fut endommagée sérieusement selon les commentateurs)
Cette affaire de "snow cruiser" m'intrigue de plus en plus!
Amicalement,
Pierre,
A moins d'y placer des chaînes du début à la fin, en effet, cet engin semble très mal adapté à l'environnement polaire austral.
VI Quand cette affaire de phénomènes polaires et de Terre creuse, atteint un niveau qui dépasse de très loin, les meilleures élaborations des maîtres de la Science-Fiction... (paragraphe en date du 22 Février 2011).
Le 20/02/2011, en parcourant nos dossiers, nous sommes tombés sur une photocopie d'un article très important de Monsieur Pascal Cazottes, publié dans le n° 21 de la revue Nexus, qui serait semble-t-il de Juin-Juillet 2002, et dont voici le début :
Cet article va nous permetttre d'aborder, ici un niveau tout à fait hors normes du sujet déjà extrordinaire qui nous occupe en ce moment. Jugez vous-même : En effet en page 30, de l'article en question, nous pouvons lire ces quelques mots :
" D'ailleurs, l'on peut
constater que les mystérieuses ouvertures n'apparaissent plus sur
des photos prises précédemment ou
ultérieurement. C'est alors que vient à
point nommé la théorie des «pro» qui
vous expliqueront que les ouvertures
aux pôles s'agrandissent et se rétractent
à la manière de l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même
coup une explication au fait qu'aucun
explorateur n'ait jamais trouvé ces
fameuses ouvertures ".
Et pour illustrer encore mieux, cette étrange affirmation, nous découvrons aussi cela en page 31 :
" Mais cette découverte n'est rien
comparée à celle que fit Byrd le 14
juin 1947. En effet, ce jour-là, alors
qu'il survolait une nouvelle étendue où
la glace semblait régner en maître,
quelle ne fut pas sa surprise lorsque se
présenta soudain devant lui une longue
vallée étroite et profonde, exhibant une
végétation à la richesse tout à fait
remarquable. De plus, un soleil généreux semblait dispenser en pennanence ses rayons bienfaisants à cet authentique paradis perdu.
Naturellement, Byrd et ses hommes n'hésitèrent pas un seul instant lorsqu'il s'est agi de prendre la décision d'atterrir. Une fois
posés au sol, ils virent une masse sombre se déplacer à quelques 1500 mètres d'eux. Après avoir saisi ses jumelles, Richard Byrd put
distinguer nettement un animal s'enfonçant dans un fourré, et
identifia la bête en question comme étant semblable à un... mammouth ! Cependant, les compagnons durent renoncer à aller plus avant, car
s'enfoncer dans ce lieu inconnu, sans
aucune préparation préalable, aurait relevé
de la plus folle témérité. Aussi, est-ce la
mort dans l'âme que Byrd et ses hommes
remontèrent dans l'avion afin de rejoindre
le camp de base. Dés leur retour, ils ne
manquèrent pas, bien entendu, d'informer
leurs camarades restés sur place de leur
fabuleuse découverte, et il fut décidé
qu'une expédition plus conséquente s'en
irait, dès le lendemain, explorer cette vallée des merveilles. Malheureusement,
l'équipée ne réussit pas à retrouver ce lieu
unique dont l'emplacement avait pourtant
été localisé dans le secteur du pôle géographique. Dans l'hypothèse où cette histoire est vraie, il peut être envisagé que
Byrd et ses hommes aient pénétré à l'intérieur de notre terre, sans même s'en apercevoir, en passant par une espèce de sas dont la porte aurait été ouverte au moment
propice. Ce qui expliquerait, d'autre part,
pourquoi le chemin ne put être retrouvé la
fois suivante. Mais tout ceci n'est encore
que spéculation gratuite."
Nous remercions vivement la revue Nexus et surtout Monsieur Pascal Cazottes de nous offrir la propice occasion de formuler ici, ce nouveau paragraphe.
Nous invitons donc ici dès lors, le néophyte qui entre pour la première fois, dans ARTivision par cet article, à bien attacher sa ceinture, car à l'altitude où l'on va voguer maintenant, il risque d'y avoir de très fortes turbulences.
En effet, tout cela serait considéré, comme le dit Monsieur Cazottes , comme spéculation gratuite , s'il n'y avait pas cet extraordinaire cliché :
Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune, que le diamètre de l'ouverture, n'est pas le même pour chaque photo.
Mais, concernant ce cliché, reprenons ici, le petit historique que nous fait aussi le Livre Jaune n°6 des Editions Félix :
"Quand
la NASA a remplacé en
1977, au bout de dix
ans de service, le satellite géostationnaire ATS
III par un satellite
plus moderne, le GEOS
8, elle a ordonné la
destruction des 4 500
clichés faits par ATS
III. Les images
n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait
la NASA”.
Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département,
le Dr. Locke-Stuart,
a ramené chez lui plus
de mille clichés et
il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan
Lamprecht, spécialiste
en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la
raison. Depuis des années il est à la recherche de
tous les indices qui
pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des
ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo
prise par l'ATS III,
qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région
du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )
Grâce à ses contacts avec le Goddard
Space Flight Center,
la station de contrôle
des satellites ATS, il a
pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu
à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un
trou dans le globe terrestre.
Après des semaines de longues recherches, un
initié de la NASA a découvert
pour Lamprecht
d'autres clichés qui
montrent une ouverture au pôle ,
il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS
III et qu'ils sont
soigneusement gardés par Locke-Stuart.
Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et
il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite
GEOS 8 ne montrent plus
de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange.
Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les
anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe
pas officiellement. Cette courbure "inexplicable"
a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la
Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les
photos d'ATS III
montrent également des dépressions
atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées
par l'ouverture des pôles.
On ne voit rien de tout
cela sur les images récentes de GEOS 8.
Richard Hoagland,
auteur du best-seller "The
Mars Connection",
pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977,
diffusée dans le Art
Bell Show, il disait
que les photos étaient
censurées avant d'être montrées à l'opinion publique.
Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent
dans un grand
ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la
doctrine officielle.
Après quoi les clichés sont renvoyés
dans l'espace vers un autre satellite
qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les
clichés (falsifiés)
sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux
données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent
pour dire qu'en Europe, les photos des satellites
sont également truquées,
pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique....
"Fin de citation"
Mais, dans le livre de R Bernard, mentionné tout au début de cet article, on trouve ce schéma :

et, on découvre là, que l'ouverture polaire avait environ 2300 km de diamètre. Mais, nous avons aussi découvert sur le site :
ce schéma :
Nous constatons là, ( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.
Nous avons alors poussé l'audace à demander à l'entité transcendante Soria, quel était, en fait, le diamètre des ouvertures polaires que divers auteurs présentaient avec des mesures différentes. Et voici la réponse qui nous fut faite et qui nous causa une très grande émotion :
" Ami de la Terre"
L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète s'expense. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.
Au plaisir de l'échange.
Scientifique Soria.
Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques ? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés : No Comment.
On résume, alors tout cela en disant désormais, que notre planète Terre est une "entité vivante" , qu'elle inspire par le Pôle Nord, et expire par le Pôle Sud.
Pour traduire, un peu mieux cette affaire de respiration de notre planète Terre, rendons donc d'abord à "César, ce qui lui appartient" : C'est déjà en 1979 que Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ) a présenté page 193, dans le livre de Victorino Del Pozo, publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979, l'image surprenante suivante :
Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ".
Il dit aussi dans le livre en question "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation).
Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence qui eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien. Voir alors notre article :
Comment Siragusa avait-il pu obtenir ces photos jamais vues dans la presse à l'époque? En sortant la photo en question, lors de la conférence du
20 Mai 1972 à Paris, il a déclaré : " Voici une photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord, qui permet d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29 000 clichés pris, par le satellite. Je l'aie eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public".
Curieux que tout cela, n'est-ce pas !! A vous juger, documents à l'appui....
Mais en terminant, il nous semble utile de transcrire à nouveau ici, cet incroyable paragraphe de notre article : Byrdsuiteplus.html :
Début de citation :
XXII Tremblements de terre inexplicables dans les régions polaires.
Le 11/06/08 , nous avons reçu de notre ami Rodolphe D...., la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Rodolphe D....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, June 11, 2008 10:04 AM
Bonjour Cher Fred,
Je t'ai envoyé un mail le Lun. 09/06/2008 10:34. Mais tu n'as pas du le recevoir, alors je réitère mon envoi.
Voici un article qui risque de t'intéresser au plus haut point :
Tiré du site Futura Science ce jour.
Voici donc de quoi il retourne :
voir les photos à :
Des violents séismes en Antarctique... deux fois par jour
Énorme surprise des glaciologues :
Avec une régularité de métronome, la glace de la partie ouest du continent antarctique est secouée par des mouvements équivalant à un tremblement de terre de magnitude 7.
A chaque craquement, le glacier avance de quelques dizaines de centimètres.
En plantant depuis plusieurs années des sismographes et des récepteurs GPS, une équipe américaine a mis en évidence un gigantesque glacier de cent kilomètres de large sur un kilomètre d'épaisseur.
Cette énorme masse glisse vers l'océan au sein de ce que l'on appelle la Calotte Occidentale de l'Antarctique, ou, en anglais, WAIS (pour West Antarctic Ice Sheet). On désigne ainsi la partie du continent du côté des longitudes ouest, et qui contient la péninsule antarctique, cette langue de terre s'avançant en direction de l'Amérique du sud.
Entre 2001 et 2003, Douglas Wiens, un sismologue (Washington University in St Louis), avait installé 43 détecteurs en Antarctide (comme on appelle parfois le continent antarctique) pour analyser les inévitables vibrations parcourant la glace en perpétuel mouvement. Il avait alors mis en évidence des tremblements de glace, semblables à ceux que d'autres équipes avaient repérés au Groenland.
Mais dans la Calotte occidentale, ce sont de formidables ébranlements que les instruments ont détectés, étonnamment régulièrs et violents.
Deux fois par jour, les sismographes enregistrent une secousse dont l'énergie correspond à un tremblement de terre de magnitude 7, c'est-à-dire une puissance suffisante pour détruire une ville entière.
Le terrible séisme qui a fait tant de dégâts en Chine le 12 mai dernier a été classé à 7,9.
Comment de telles secousses ont-elles pu passer inaperçues jusqu'ici ?
Parce que ces tremblements de glace s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, expliquent Wiens et ses collègues, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement.
Saccades géantes…
Pour mieux comprendre les mouvements de la glace, Wiens a travaillé avec Sridhar Anandakrishnan, un glaciologue de la Pennsylvania State University, qui, en 2004, avait planté une batterie de GPS. En comparant leurs séries de mesures, ces chercheurs ont découvert que cet énorme glacier avance brutalement à chaque secousse, de 46 centimètres en dix minutes, puis reste immobile durant douze d'heures.
Quel est le déclencheur de ces fracassants à-coups ?
Peut-être la rupture d'un énorme bloc de banquise, à l'extrémité du glacier, là où il flotte sur l'océan et se disloque en icebergs. La brutale libération de contraintes mécaniques engendrerait alors une onde remontant le long du glacier.
Rien ne vient pour l'instant étayer cette hypothèse. Mais quelle qu'en soit la cause, le phénomène attire toute l'attention des glaciologues, qui ont désormais du travail devant eux pour expliquer ces tremblements de glace.
Jusque-là, la progression d'un glacier était vue comme un mouvement à peu près continu. Mais ces observations en Antarctique évoquent au contraire un type de mouvement par saccades, souvent appelé stick-slip, signifiant à peu près collé-glissé. Ce phénomène physique très commun explique pourquoi un objet posé sur une surface légèrement inclinée ne bouge pas mais démarre brusquement pour ne plus s'arrêter quand l'inclinaison du support dépasse un certain seuil.
C'est justement de cette manière que se déclenche un tremblement de terre. Visiblement, les glaciers peuvent aussi s'offrir du stick-slip.
Ces recherches présentent encore un autre intérêt. On sait que la fonte des glaces s'est accélérée en Antarctique et la manière dont ces énormes glaciers craquent et se disloquent influe directement sur l'élévation du niveau de l'océan.
La vitesse à laquelle la glace coule vers la mer apparaît désormais comme un paramètre important de la régression des calottes polaires, ainsi que l'ont montré plusieurs scientifiques, dont Anny Cazenave et Eric Rignot. Mieux comprendre les mouvements de ces glaciers est donc indispensable pour prédire les effets du réchauffement climatique.
Fin de citation
Que voilà une nouvelle qui me ravit, en effet dès la lecture de cet article, mon cœur s’est un peu emballé !
Pourquoi ?
Parce que, ces tremblements géants, tous les 12 heures, avec une régularité de métronome, qui s’étalent sur 10 ou 20 minutes, qui ont lieu aussi bien en Arctique qu’en Antarctique et qui n’ont jamais été détectés, me font immédiatement penser, à la Terre creuse bien sur !
En effet comme il est dit dans cette théorie de la Terre creuse, les ouvertures varient en taille, un peu comme si la Terre respirait ! (Note du Webmaster voir ci dessus l a famause image clef avec les 12 clichés du pôle, qui montrent bien que le trou polaire a un diamètre qui varie avec le temps).
Et là, on nous confirme scientifiquement un tel phénomène : Très régulier, qui a lieu toutes les 12 heures très précisémment, tel un métronome, ces tremblements violents s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, alors qu'un séisme libère son énergie en quelques secondes seulement, de plus ceci se déroule aux deux poles !
Tout cela confirme donc très bien, cette histoire de Terre creuse qui fait tant rire les sceptiques.
Peut-être commençeront-ils à changer de couleur à la lecture ce cet article ! ........
nbsp; Hors les tremblements aux pôles, ne sont jamais détectés dirait on, alors que ceux-ci ont lieu depuis l’origine de la terre soit 4.5 miliards d’années !
Ces tremblements violents de 7 sur 9 de l’échelle de Richter, sur nos 2 pôles, toutes les 12 heures, ne sont jamais detectés par nos sismographes éparpillées de par le monde, cela n’est il pas étrange !
On le voit bien une nouvelle fois, les scientifiques nous disent toujours : cela est impossible dès qu’une théorie ne colle pas aux connaissances du jour.
Mais le fait est, que cela est tout à fait possible bien au contraire, la preuve en est une nouvelle fois !
Donc les railleurs de tout bord, doivent revoir leur copie, et cela est comme je le dis sans cesse, une découverte d’aujourd’hui, remet toujours en cause une belle théorie d’hier.
Très amicalement
Rodolphe.
Fin de citation.
Merci donc mille fois à l'ami Rodolphe pour sa si aimable participation aux recherches d'ARTivision, et que dire de plus, sinon que l'on s'étonne une fois encore, que ces violents séismes en Antarctique, n'aient pas eu un écho retentissant, dans les médias qui ont pignon sur rue. Il est désormais aisé de savoir pourquoi !!!
Fin du texte en question.
VII Quand l'Encyclopédie d'avant garde "Planète" d'Octobre 1964, est passée à deux doigts, de faire une découverte historique extraordinaire... (paragraphe en date du 24/02/2011).
On le sait, il arrive parfois que l'on ait en mains, un document de première importance, pour avancer assurément dans la connaissance d'une chose, et pourtant on le laisse nous échapper maladroitement. C'est ainsi que nous avons expliqué dans notre article: poissonfossile.html, ceci :
"Si nous avons retenu le témoignage vu ci-dessus de ces deux pêcheurs du petit village de Terre Neuve, c'est parce que la même histoire fantastique est arrivée dans le début de l'année 74, à deux pêcheurs guadeloupéens, qui en ont été horriblement choqués. Nous sommes impardonnables, d'avoir égaré la coupure du journal France-Antilles qui relatait cet événement extraordinaire. Mais mieux, quelques années plus tard, ce sont deux autres pêcheurs des petites îles voisines Les Saintes, qui eurent à affronter les assauts fantasmagoriques d'une créature de légende."
Nous n'avons jamais, hélas, pas encore eu le temps d'aller fouiller dans les Archives Départementales, pour retrouver cette extrordinaire coupure de France-Antilles de l'année 1974, alors que nous avons sous la main, la coupure parlant de l'aventure inouie des pêcheurs saintois :
Qui peut prétendre que ces pêcheurs, n'ont pas été terrorisés par une entité de la même nature que celle, que nous présente l'icone suivante :
L'image est tirée de la page 24 du n°spécial 300 intitulé "les Grandes énigmes de L'Univers", en date 4 au 10 Janv. 1978, de la revue hélas disparue Nostra Magazine.
Donc pour en savoir bien plus, sur cette incroyable affaire où nous nous sommes mordus les doigts de d'amertume, prière de consulter l'article en question.
Mais venons en au volume de l'encyclopédie Planète intitulée "La terre cette inconnue" publié en octobre 1964 :
Mais pour les puristes, ajoutons aussi le début plutôt surprenant, de la préface :
l'auteur se fait évidemment un devoir de survoler les différentes théories émises au sujet de la Terre creuse. Après avoir évoqué celle de 1818 de l'ancien capitaine d'infanterie Cleves Symnes de l'Ohio, il enchaîne sur ce petit texte, où il nous parle alors de la constitution de la Terre en lampion, expression que nous n'avons jamais utilisée, car elle implique que la coque de la planète soit plutôt translucide, pour diffuser la lumière du soleil central à l'extérieur :
"...Encore un siècle s'écoula et, en 1920, la
terre creuse connut une nouvelle célébrité
grâce à un autre Américain, Marshall B. Gardner. La terre de Gardner est sensiblement différente de celle de Symnes,
que d'ailleurs il traitait fort durement. Le
nouveau champion de la terre creuse
n'apportait pas moins de quatre cent
cinquante pages de ,preuves» à l'appui
de ses dires.
La nouvelle terre creuse apparaît comme
une sphère de douze cents kilomètres
d'épaisseur. Elle est percée aux deux
extrémités polaires par des ouvertures
de deux mille kilomètres de diamètre. Au
centre de ce monde intérieur, un soleil de
neuf cents kilomètres rayonne en permanence. Parfois sa lumière s'échappe par
les ouvertures polaires et provoque les
aurores boréales. Les parois intérieures de
la sphère portent la vie tout comme celles
de l'extérieur. Entre les deux mondes, les
communications sont d'ailleurs possibles
par les fameux trous des pôles. A plusieurs
reprises déjà, des espèces vivantes ont
effectué le voyage d'un côté à l'autre.
Les Esquimaux, par exemple, sont originaires de l'intérieur de la terre, mais ils
ont arrêté leur migration au bord de l'ouverture polaire. Parfois ce genre d'aventure se termine mal. C'est ainsi que les
mammouths habitués à la chaleur constante que dégage le soleil intérieur furent
soudain pris par le froid sibérien et gelés
en arrivant dans notre monde.
Cette constitution en lampion n'est pas
propre à la terre; toutes les planètes sont
faites de même. Ces fameuses calottes glaciaires que l'on prétend voir sur Mars ne
sont rien d'autres que les ouvertures
polaires de cette planète.
Les trous polaires restant aussi introuvables que le paradis terrestre, il serait
sage de nous demander si, par hasard,
nous ne vivrions pas, en ce moment même,
à l'intérieur de notre planète ?...."
Fin de citation.
Ainsi donc, l'auteur nous parle de Marshall B. Gardner, sans même nous présenter le titre son ouvrage, pourtant capital, et dont voici les principales caractéristiques :
VOYAGE À L'INTÉRIEUR DE
LA TERRE ou "les
pôles ont-ils vraiment été découverts "(1920 ) de Marschall B.Gardner.("A journey to the Earth’s interior; have the poles really been discovered ?",)
imprimé par Eugène Smith Company,
Aurora Illinois, 456 p. illus., plates , port. QB638.G3. C'est l'ouvrage clef, incontournable, qui fait date dans cette incroyable affaire des ouvertures polaires et de la Terre creuse.
Et comme nous avons le privilège de possèder l'original, voici quelques éléments de plus de cet ouvrage qui fait 456 pages, et qui est agrémenté en plus d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.
Voici donc une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage:
Montrons aussi la première page, telle qu'elle apparaît dans l'original de 1920 publié par les Editions Eugene Smith Company à Aurora en Illinois et plaçons par la même occasion, la dédicace qui la suit:
Traduisons modestement cette dédicace: "Dédicacé au progrès continu de la Science et au service qu'elle pourrait rendre à l'humanité".
Comme vous le voyez, Gardner, avait en 1920, une entière confiance dans le dévéloppement de la Science pour confirmer son hypothèse. Hélas, il ne soupsonnait pas les agissements des Forces de l'Ombre, qui occultent au plus Haut Niveau, les informations qui pourraient prouver qu'il avait raison.
Bien que l'auteur de l'Encyclopedie Planète en question, ait eu certainement des échos des extrordinaires et incroyables déclarations de Byrd , il n'a pas su faire le rapprochement avec l'ouvrage de Marshall B. Gardner, et avec les autres documents mentionnés par le naturaliste Buffon, dès 1749, dans son monumental ouvrage en plusieurs tomes et intitulé HISTOIRE
NATURELLE, GÉNÉRALE ET PARTICULIERE..., où l'on trouve, écrit noir sur blanc, ces infos :
- Le Capitaine anglais Monson qui s'est approché à deux degrés du pôle Nord, pour y trouver
une haute mer sans aucune glace.
( Nous avons écrit à l'Ambassade de Grande-Bretagne, et aussi à environ une dizaine d'associations Franco-anglaises pour
qu'elles puissent nous aider à retrouver la trace de Monson).
-
Un certain hollandais (à déterminer
avec précision car hélas Buffon n'a
pas cité son nom) qui a affirmé avoir été
jusqu'au ras du pôle et
qu'il y faisait aussi chaud qu'à Amsterdam en
été.
( Nous avons écrit de même à l'Ambassade des Pays-Bas et aussi à environ une dizaine
d'associations Franco-neerlandaises pour
qu'elles puissent nous aider à retrouver la trace des marins
hollandais en question: Nous avons même déjà une
réponse importante de l'Institut de
l'Histoire Millitaire des Pays
Bas). - Sur un
anglais nommé
Goulden,
qui mentionne dans un écrit
au roi Charles
II, l'affaire de
deux vaisseaux
hollandais qui auraient été jusqu'au
89° de latitude nord, et qui disent que là,
ils n'avaient point trouvé de glace,
mais
une mer libre, ouverte et fort
profonde.
Les documents sont
là, et il n'y a qu'à faire l'effort de les retrouver.
En fin de son Encyclopédie, l'auteur nous présente sa bibliograhie, où
hélas pour lui, ne figure pas l'ouvrage de
Marshall Gardner :
Voici alors cette bibliographie :
Nous avons souligné en rouge, le fait que l'auteur de cette encyclopédie a préféré y noter, l'œuvre d'un
autre Gardner, publiée en 1957, aux idées
totalement opposées à celles de notre
Marshall B. Gardner, et nous pensons même que son ouvrage, vu son titre en français, est franchement une attaque ciblée
, sous l'appui sournois de l'éditeur, contre le célèbre
"Le matin des Magiciens" de
Louis Pauwels et de
Jacques Bergier, publié en 1960. Nous n'avons pas le livre en anglais
"Fads and fallacies in the names of science", mais nous avons sa traduction parue en 1966, donc après
la terre cette inconnue :
On ne tardera pas, semble-t-il, à découvrir bientôt, dans
cette surprenante affaire, qui a loupé pitoyablement,
le sens de l'Histoire et celui de notre meilleure et souveraine intégration dans le Cosmos...
Mais poursuivons notre survol de l'ouvrage
"La terre cette inconnue". Aux pages 73 et 74, nous lisons :
Il y a aussi cette explication au sujet de la végétation luxuriante évoquée plus haut :
Nous connaissons bien sûr cette thèse qui prétend qu'à une époque lointaine les régions polaires furent soumises à un climat tropical peut-être à la suite d'un basculement de l'axe de rotation de la Terre après un choc avec un météor. Nous en avons parlé dans notre article à
Byrd.html, où l'on peut lire, en date du
27/10/09, entre autres choses :
YAHOO Actualités : le 25/10/09
Reuters Alister Doyle
Des palmiers dans l'Arctique… il y a 50 millions d'années
Des palmiers ont poussé dans l'Arctique pendant une courte période chaude, il y a environ 50 millions d'années, si l'on en croit une étude publiée dimanche et qui donne à penser qu'il reste de grosses lacunes dans notre compréhension du changement climatique.
La végétation de l'Arctique devait être très semblable à celle que l'on trouve de nos jours en Floride, a déclaré Appy Sluijs, de l'université d'Utrecht, aux Pays-Bas, qui a dirigé l'étude internationale. Aucun indice de présence de palmiers à une telle latitude n'avait été relevé jusqu'ici.
Les sédiments prélevés dans un fond marin qui se trouvait il y a 53,5 millions d'années à 500 km du pôle Nord contenaient des pollens d'un type ancien de palmiers, de conifères, de chênes, de pacaniers et d'autres arbres.
« La présence de pollen de palmier implique que la température moyenne la plus froide dans l'Arctique n'était pas inférieure à 8 °C », écrivent dans la revue Nature Geoscience les scientifiques basés aux Pays-Bas et en Allemagne.
Ces conclusions contredisent des simulations informatiques selon lesquelles les températures hivernales étaient inférieures à zéro, même pendant la période chaude inexpliquée qui a duré entre 50 000 et 200 000 ans à l'époque Éocène.
Les palmiers ne résistent pas au gel.
NOUVEAUX TYPES DE NUAGES ?
Appy Sluijs a noté qu'il était frappant que des palmiers, qui ne perdent pas leurs feuilles en hiver, aient grandi dans des régions où le soleil ne brille pas pendant cinq mois environ.
Des expériences sur des palmiers modernes ont montré qu'ils peuvent survivre à des périodes prolongées d'obscurité.
Les scientifiques estiment que la présence de végétaux de la famille des palmiers – on ne sait pas exactement s'il s'agissait d'arbres ou de plantes – indiquent que le système climatique actuel pourrait réserver de grosses surprises.
La température augmente actuellement en raison de gaz à effet de serre dus à l'activité humaine, principalement l'utilisation de combustibles fossiles, selon ONU-Climat.
La banquise arctique a fondu en 2007 pour atteindre son épaisseur la plus faible depuis que les satellites ont commencé à la mesurer, dans les années 1970.
La poussée de température de l'époque Éocène est peut-être due à une brusque montée des niveaux de CO2. Cela a pu être causé par des éruptions volcaniques ou par la fonte de méthane congelé piégé dans le fond de la mer.
« Nous ne pouvons l'expliquer avec notre connaissance actuelle du système climatique », reconnaît Appy Sluijs. Il est possible que ce soit dû à la formation dans l'Arctique de nouveaux types de nuages pendant le réchauffement, ce qui aurait agi comme une couverture qui a piégé encore davantage de chaleur et accéléré le réchauffement.
« Si l'océan était très chaud, il est possible que ces nuages se soient formés à une latitude plus élevée que maintenant. »
Version française Nicole Dupont
Fin de citation.
Ce communiqué semble ignorer le fait que de nombreux explorateurs avaient découvert
(nous l'avons déjà dit plus haut) à certains endroits, une
la neige qui était colorée, en rouge, en noir, vert ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à
des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à
du pollen de fleurs.
Du pollen au pôle Nord ?, et personne, nous dit-on, ne s'étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait.
Fin de citation.
Pour éclaircir davantage tout cela, disons que c'est dans l'ouvrage
désormais incontournable, de
R. Bernard " La Terre creuse", paru chez
Albin Michel en
1971 ( et actuellement pratiquement introuvable en France en librairie ) :
que l'on trouve en pages 100 et 101, du livre de R. Bernard, ceci concernant une affaire de neige colorée, de pollen, et de poussière noire circulant en abondance dans le bassin autour du Pôle nord, ceci :
" William Reed, écrit à ce sujet.
Si la matière qui produit la neige colorée est une substance végétale - ce que prouve l'analyse - substance qu'on suppose être du pollen, et si aucune plante, si aucune fleur ne peuvent croître logiquement dans le voisinage de 1'océan Arctique, alors cette substance végétale ne peut venir que de l'intérieur. Car si elle provenait d'un lieu plus éloigné à la surface de la Terre, on comprend mal pourquoi la neige ne serait pas colorée de la même façon ailleurs que dans le voisinage de l'ouverture polaire, ce qui n'est pas le cas.
La poussière, cette plaie de l'océan Arctique, est produite par des éruptions volcaniques. Légère, facilement portée par le vent, elle s'abat sur les bateaux et gêne considérablement la navigation. Quand elle tombe sur la neige, elle la rend noire. L'analyse montre qu'elle est constituée de carbone et de fer, et on suppose qu'elle provient d'un volcan en activité.
Quel est ce volcan ? On ne trouve fait mention nulle part qu'il y ait un volcan quelconque dans les environs du pôle Nord, et s'il y en a un ailleurs, plus loin, pourquoi la poussière tombe-t-elle seulement dans l'océan Arctique ?
Divers explorateurs ont fait état de la présence de nombreuses roches et de blocs de pierres, trouvés encastrés dans les icebergs. Ces blocs de pierres ont été, soit projetés là par un volcan en éruption, soit charriés par les fleuves de l'intérieur. "
Difficile à croire n'est-ce pas,
Messieurs les sceptiques ? Voyez donc vous-mêmes ce que nous en dit l' ouvrage intitulé
"Vers le Pôle" de
Fridtjof Nansen présenté par
Jean-Louis Etienne et publié par les
Editions Hoëbeke en
1996 d'après l'ouvrage de
1897, ISBN 2-84230-012-2. C'est ouvrage n'est, en fin de compte, qu'un condensé des
deux tomes de l'Édition d'origine.
Et voila ce que nous dit page 101,
Nansen, après être arrivé autour du
81° 18'de Lat Nord :
Vous constatez que cette image, nous permet de faire
d'une pierre deux coups, car en plus de la déclaration de Nansen, on a la position officielle
(sans doute celle de Jean-louis Etienne) sur la provenance de cette poussière...
A vous de juger.
Mais il y a aussi cette affaire
de troncs d'arbres qui flottent, à la dérive sur cette
mer libre du Nord :
Page 118 de l'ouvrage de R. Bernard, on trouve aussi :
" Bois flottant, branches d'arbres portant des bourgeons verts, graines tropicales, oui on a trouvé tout cela dans les mers arctiques.
A propos de ces graines tropicales Gardner écrit : " Elles viennent de l'intérieur de la Terre pourquoi ? Parce qu'elles apppartiennent à des arbres qui ne poussent que dans des climats très chauds et qu'on voit mal comment elles auraient pu parcourrir des milliers de kilomètres à travres le monde sans se désagréger" .
"
Tout cela représente
des faits clairs et nets que les chercheurs sérieux doivent absolument mettre en exergue, et faits qui ont été
malheureusement occultés par les médias, qui ont pignon sur rue, et dont la mission est justement de nous informer sur les
bizarreries de notre environnement.
A vous de juger donc...
Mais venons en
au passage clef de l'ouvrage "La terre cette inconnue" :
En pages 77 et 78 nous trouvons ceci :
Et voici finalement, l'explication des termes :
"Dans des proportions pareilles"
En ce qui concerne
les mammouths, voici déjà deux représentations artistiques qui nous interpellent :
Dans cette circonstance, il serait peut être utile de reprendre ici
pour le novice, certains paragraphes de notre article
Byrd.html :
Début de citation :
" Mais il y a de plus, cette affaire de mammouths, que l'on retrouve, de temps en temps, dans les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov découvert intact en 1997 (posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne. (Nous attendons à ce sujet les rapports d'analyse)
Autre exemple: Dans son ouvrage publié chez A. Michel en Mai 1970, intitulé " Terre énigmatique", l'écrivain Peter Kolosimo nous relate page 19 :
" Le mystère s' épaissit en 1901, quand on découvrit, au bord de la rivière Berescovka, une carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu de son estomac, était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait absorbées: des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine floraison, c'est-à-dire dans l'état où cette plante se trouve en fin Juillet ou début Août. La mort avait été subite: Dans la gueule de l'animal, il y avait encore des brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée qui l'avait transporté à des kilomètres de distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés, il était tombé à genoux et il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année.
"
Ce même auteur Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes, nous dit aussi dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé "La Planète inconnue":
" Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte en 1909 dans la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années , le corps d'un troisième mammouth non détérioré revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L'océan Glacial Arctique; soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l'herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à la flore d'une région très fertile. Cette constatation ne pouvait laisser la place qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une catastrophe imprévisible: les Mammouths avaient certainement été enveloppés, tout de suite après leur mort , par un manteau de glace. Comment expliquer autrement leur extraordinaire conservation? "
Ces hallucinantes narrations de Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un chacun d'ailleurs, dans la perplexité la plus totale, devant l'incroyable soudaineté du phénomène de congélation de l'animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons toujours l'explication, autre que (ces informations de 1901 et 1909 sont -elles fiables?). De plus, nous constatons que malheureusement, l'auteur ne nous dit rien, sur la datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule de l'animal. Mais, et ce "mais" est d'une importance notoire, pensez-vous que cette datation aurait fait l'objet d'une déclaration à l'Académie des Sciences, si l'on avait trouvé que l'animal vivait à une époque très proche de nous et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths ? A bon entendeur salut..."
Il y a aussi, tiré de l'ouvrage suivant d' Immanuel Velikovsky :
" Mondes en
collision" publié chez Stock
en 1976 , (mais paru aux USA chez Mac Milan Company New York dès
1950)
et en page 22 et 23 on découvre :

Mais il y a mieux :
En page en page 24 du même livre, nous lisons :
" Dans leur estomac et
entre les dents on a découvert de l'herbe et
des feuilles non encore digérées. Preuve nouvelle de
leur mort brutale. Des recherches ultérieures ont démontré que
les brindilles et les feuilles
trouvées dans leur estomac n'appartiennent pas à des plantes
qui poussent dans les régions où moururent les animaux, mais
beaucoup plus au sud , à plus de 1 500 km de là . "
De l'herbe et des feuilles non encore digérées dans la gueule de l'animal, et non totalement décomposés après 20 000 ans d'existence ? Très curieux tout cela n'est-ce pas ?
D'autre part, il semblerait
d'après Velikovsky,
que les étranges informations que nous avons soulignées en rouge dans
son texte, auraient été tirées des observations d'un certain D.-F
Hertz dans B. Digby, dans son ouvrage The mammoth (1926), page 9. Nous demandons alors à tout internaute possédant ce livre ou un autre, parlant
de brins herbes
découverts dans la
gueule de mammouths congelés, d'avoir l'extrême
amabilité de nous en toucher deux petits mots.
Merci mille fois d'avance.
C'est à vous qu'il appartient une fois de plus, de juger ces nouvelles incongruités, documents à l'appui !!
Enfin, en attendant que nous puissions mettre la main sur le
n° du Flying Saucers Magazine de Février 1960, qui serait parait-il la suite du
n° de Dec. 1959 que nous venons d'étudier,
( Le 11/08/2011) sur le site :
, nous avons pu trouver la photo de la couverture de ce n° de Février 1960 . La voici :
, et nous serions bien sûr, très heureux, qu'un internaute ayant des amis aux USA, puisse nous faire, le scam de l'article de Ray Palmer de ce n°) , terminons cet exposé par cette affaire
de mer libre de glace,
clairement évoquée plus haut, par les anglais nommées
Monson et Goulden.
Nous avons déja évoqué ce sujet, que
notre grand penseur Jules Verne connaissait bien, dans nos articles :
le
6 Février 2008, nous avons eu le privilège de recevoir une superbe image de l'internaute
Christian C......., qui réalise d'admirables aquarelles, et cette image est une modeste reproduction de la célèbre gravure de
Hayes représentant
la mer libre du pôle nord, que nous avons déjà présentée dans notre dernier article précité:
Voici donc cette aquarelle :
Arrivés à un certain point, très haut, dans la zone polaire, les explorateurs ne peuvent plus avancer et devant eux s'étend indéfiniment une
large mer, totalement
libre de glace, et où se précipitent et évoluent
de très nombreux oiseaux.
Mais pour l'internaute, qui découvre avec cet article, notre site, transcrivons ici à nouveau, ce que nous dit
(à son arrivée en face de la mer libre du Pôle Nord) l'auteur
Isaac Israël Hayes (1860-1861) dans son livre
"La mer libre du pôle" de
1877 , que nous avons sous la main :
Pages 188 à 189:
"Tout le démontrait : j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord, où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... ".
Mais il reste aussi
une question brûlante à résoudre, qui est clairement exprimée
page 195 du livre de
Hayes précité, et qui reproduit les paroles de l'explorateur polaire réputé, le
Dr Kane dans son ouvrage :
"Arctic Explorations", tome I de
1868, et qui est ceci :
" Il est impossible, en
rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige
fondue sur les rochers,
les troupes d'oiseaux
marins, la végétation
augmentant de plus en plus,
l'élévation du thermomètre
dans l'eau, de ne pas être
frappé de la probabilité d'un climat
plus doux vers le pôle.
Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer
libre, ce n'est pas résoudre la question, qui
reste sans réponse : Quelle
est la cause de la Mer libre ? ".
A l'époque, il lui était très difficile, il faut bien l'avouer, de pouvoir accéder à
cette extraordinaire conclusion, qui fait depuis des années l'objet des recherches
hors normes d'
ARTivision.
Merci donc une fois encore à l'internaute
Christian C......., pour sa si aimable participation aux découvertes d'
ARTivision.
Mais pour être
objectif dans cette affaire, il serait tout de même utile de présenter
le point de vue officiel sur la question :
Voici donc,
quelques éléments significatifs, présentés sur le site très bien fait du
Développement Durable Magazine:
Écrit par : Romain
Houette dans réchauffement le 1 juillet
2008
La glace recouvrant le pôle nord a de fortes chances de disparaître
entièrement dans les mois qui viennent. Voilà l'avertissement lancé par les
scientifiques du National Snow and Ice Data Centre (NSIDC) au Colorado.
Selon eux, il y a plus d'une chance sur deux qu'il n'y ait pas de glace au pôle
nord à la fin de l'été. Ils mettent en cause les importantes fontes de l'an
passé ainsi que la fragilisation des glaces par le passage de bateaux. La
banquise arctique a en effet fondu de 23% l'année dernière au point de reculer
jusqu'à moins de 1200 km du pôle.
La glace qui est venue cet hiver remplacer les lourdes pertes de l'an passé
est appelée par les scientifiques de « la glace récente d'un an ».
Cette glace, explique le journal The Australian, est mince et fortement menacée par la
fonte. Les scientifiques affirment que les données satellites des dernières
semaines montrent déjà que la glace récente fond plus rapidement que l'année
dernière. Un autre signe de la minceur de la glace récente est l'apparition de
plusieurs polynies dans la calotte glacière ; ce sont des zones libres de glace
situées dans la banquise, des lacs non gelés en quelque sorte. De plus, lorsque
la glace blanche et réfléchissante fond, elle laisse place à l'océan qui, étant
plus sombre, absorbe plus de chaleur et accélère encore la fonte aux bords de la
banquise. Dans la mesure où l'océan est également de plus en plus chaud, le
processus de fonte pourrait encore s'accélérer. Selon le chef adjoint de
l'expédition scientifique Arktika-2007, Igor Achik de l'Arctic and Antarctic Research Institute au sujet des
hausses de températures dans les couches supérieures de l'océan « les
température vont de 5 à 7°C. Jamais encore nous n'avions observé de tels
phénomènes. L'eau océanique n'a jamais été aussi chaude.».
Ci-dessous : évolution normale des glaces entre mars (maximum) et septembre
(minimum). La glace récente constitue la différence. (schémas
NSIDC)

«
A travers les années, le passage du nord-ouest est devenu de plus en
plus ouvert, mais sans jamais devenir une route maritime viable. 2007 est réellement la première année où ce fut le cas, »
estime Mark Serreze du NSIDC (ndlr : le passage du nord-ouest fut recherché par
les navigateurs pendant des siècles pour relier l'Atlantique au Pacifique). On
se rappelle également que l'année dernière, pour la première fois,
une équipe de chercheurs russes a pu plonger sous la banquise
en direction du pôle. A plus de 4 000 mètres de profondeur, rêvant d'or noir,
ils ont posé un tube en titane contenant le drapeau russe. Le professeur de
physique océanique Peter Wadhams de l'Université de Cambridge pense que
l'ouverture de l'Arctique l'été dernier implique une fonte quasi-certaine cette
année.
«
Du point de vue scientifique, le pôle arctique est un point
quelconque du globe, mais symboliquement parlant, il est considérablement
important. Il est censé y avoir de la glace au pole nord, et non de l'eau,
» assure le scientifique Mark Serreze au journal britannique
The Indépendant. Pour le Docteur Lindsay de l'Université de
Washington, «
il y a de fortes chances que tout le pôle arctique fonde.
C'est tout à fait possible, mais ce n'est pas certain. » C'est aussi là
l'avis d'autres scientifiques. Tous ne pensent pas que 2008 sera pire que 2007.«
A travers les années, le passage du nord-ouest est devenu de plus en plus
ouvert, mais sans jamais devenir une route maritime viable. 2007 est réellement la première
année où ce fut le cas, » estime Mark Serreze du NSIDC (ndlr : le passage
du nord-ouest fut recherché par les navigateurs pendant des siècles pour relier
l'Atlantique au Pacifique). On se rappelle également que l'année dernière, pour
la première fois,
une équipe de chercheurs russes a
pu plonger sous la banquise en direction du pôle. A plus de 4 000 mètres de
profondeur, rêvant d'or noir, ils ont posé un tube en titane contenant le
drapeau russe. Le professeur de physique océanique Peter Wadhams de l'Université
de Cambridge pense que l'ouverture de l'Arctique l'été dernier implique une
fonte quasi-certaine cette année.
«
Du point de vue scientifique, le
pôle arctique est un point quelconque du globe, mais symboliquement parlant, il
est considérablement important. Il est censé y avoir de la glace au pole nord,
et non de l'eau, » assure le scientifique Mark Serreze au journal
britannique
The Indépendant. Pour le Docteur
Lindsay de l'Université de Washington, «
il y a de fortes chances que tout
le pôle arctique fonde. C'est tout à fait possible, mais ce n'est pas certain.
» C'est aussi là l'avis d'autres scientifiques. Tous ne pensent pas que
2008 sera pire que 2007.
Selon les scientifiques du
projet Damoclès de l'Union Européenne, la probabilité
qu'il y ait moins de glace en septembre 2008 qu'en septembre 2007 n'est que de 3
%. Cette estimation provient d'une simulation réalisée sur un ensemble de
variables météorologiques et océanographiques. Pour le moment, les images
satellites leur donnent raison : mesurant 13,18 millions de km² au mois de mai
dernier, la banquise est plus grande de 280 000 km² que l'année dernière à la
même époque. Il faut néanmoins se rappeler que la glace récente risque de fondre
plus vite cette année.
Fin de citation partielle.
Bravo donc au site
DD Magazine pour cette étude pointue de ce qui se passait en 2007-2008 dans le zone polaire Nord.
Ce qui nous interpelle dans le schéma présenté, ce sont bien sûr,
les deux disques sombres, qui couvrent justement la zone du pôle nord, et qui prouvent ici
qu'il y a un problème. Certains diront qu'il s'agit
d'une zone non déterminée, à cause
de la limite du passage des satellites au dessus de la région, comme le montre cette image :
En voici un autre qui est tiré du site :
www.worldwidetelescope.org :
Même topo au Pôle Sud :
Nous possèdons bien sûr, d'autres images de même nature
toutes aussi surprenantes, les unes que les autres...
Bien qu'elle soit encore controversée,
cette superbe image ne nous montre-t-elle pas
justement, ce qui se passe juste à l' emplacement
du disque sombre, vu plus haut, autour du Pôle Nord :
Et alors, cette affaire
de mer libre, y trouverait son explication logique telle que :
Article mis en page par Fred IDYLLE, le 13/01/2011 , et revu le 19/01/2011, et revu le 23/01/2011, et revu le 26/01/2011, et revu le 28/01/2011, et revu le 29/01/2011, et revu le 03/02/2011, et revu le 05/02/2011, et revu le 09/02/2011, et revu le 11/02/2011, et revu le 12/02/2011, et revu le 13/02/2011, et revu le 15/02/2011, et revu le 17/02/2011, et revu le 18/02/2011, et revu le 22/02/2011, et revu le 24/02/2011, et revu le 25/02/2011, et revu le 26/02/2011, et revu le 27/02/2011, et revu le 28/02/2011, et revu le 01/05/2011, et revu le 26/05/2011, et revu le 11/08/2011, et revu le 01/01/2012, et revu le 18/10/2012et revu le 21/07/2015.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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