. Pour le novice, nous allons donc faire appel aux déclarations bien répertoriées
qui sous autohypnose avait l'inéfable possibilité d'explorer ce que les grands mystiques appellent
, avaient des avions. Voilà qui va faire
qui n'ont pu être élaborées, qu'en utilisant des avions. Voir nos articles :
Vous ne pouvez y croire, mais ce n'est pas une boutade pour plaisanter, car voici un petit plus sur la question des avions et l'affaire des animaux préhistoriques :
pour l'humain.
, l'un avec un couteau, l'autre avec une hache. Ils n'étaient probablement pas des atlantes
. Mais l'on nous dit, dans les universités que les dinausaures ont disparu, il y a 60 millions d'années et que l'homme n'existait pas à cette époque.
.
.
Ces affirmations
scientifiques qui rebutent les égyptologues égyptiens, viennent confirmer cette
date de 10500 ans avant J-C dont j’ai d’autres
sources.
Dans le second film, plus long
vous verrez qu’il est aussi question de la Terre
Creuse !
Alors je vous adresse
tous mes meilleurs vœux et pour Noël et pour Nouvel
An,
Très
cordialement,
Alain
Fin de
citation.
On n'est donc pas surpris par la date
de 10 500 ans, envisagée par ces
scientifiques, puisqu'elle s'aligne, pratiquement, sur celle proposée par
Edgar Cayce, car 10490 est vraiment proche de
10500, n'est-ce pas ? Et cela est fort différent du contexte officiel qui dit que cette Grande Pyramide, fut édifiée autour de 4 500 ans, sous la IVe dynastie, au cœur de la nécropole funéraire de Khéops à Gizeh en Égypte. Elle ne saurait de plus être un tombeau, comme le prétend la Science Officielle, car la Grande Pyramide de Khéops possède environ 2 300 000 blocs de pierres , et si l'on admet, que l'on parvienne avec nos moyens actuels, les plus modernes à placer et à ajuster parfaitement 30 blocs de 2,5 tonnes par jour, on pourrait se féliciter d'avoir superbement bien travaillé. Et pourtant la construction durerait encore envron 315 ans. La construction d'un tombeau ne peut aucunement être prévu por une si longue période et il est clair que même avec des milliers d'esclaves, comme on le prétend, on ne pourrait faire mieux, car étant donnée, la précision de l'ajustement incroyable des blocs, ces esclaves ne pourraient pas se piétiner et s'écrabouiller pour aller plus vite. Donc à vous de juger tout cela ...
Mais où donc se situait vraiment cette Atlantide ? Cela va faite l'objet du focus n° 2:
Deuxième focus : Quand
Edgar Cayce , précise clairement la localisation géographique de l'Atlantide.
En pages 46 et 47, on trouve alors ce passage important:
Notez bien le vocable
Bahamas. On y reviendra plus bas.
Mais il est dit plus haut que
certaines archives de l'Atlantide ont été transportées en Égypte. Voyons donc cela, plus en détail en pages 93-94 :
Il n'est pas besoin d'insiter ici
sur l'importance de cette déclaration d'Edgar Cayce, et sur
l'intérêt que l'on aurait à possèder cet incontournable livre de poche n° A 300 en
J'ai Lu, dans la collection, hélas disparue :
" L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues".
Tout cela serait
de la bonne science-fiction pour intellectuels blasés, si justement, pendant le mois de
Septembre 1968, l'équipe d'un certain professeur
MANSON VALENTINE, œuvrant pour
le Musée des Sciences de Miami en Floride, n'avait pas découvert au nord-ouest de
Bimini, petite île des Bahamas
(bien mentionnée, on le sait maintenant, par Edgar Cayce , dans ses étranges lectures ) ,
à environ 1200 km de la Guadeloupe,
des structures cyclopéennes immergées à environ
6 mètres sous la surface de la mer. Cette découverte fut rendue possible grâce à l'engin
Remora M-114-E, scooter sous-marin construit par
Dimitri Rebikoff, explorateur, ingénieur spécialisé dans le domaine de la photographie sous-marine et grâce également au concours de
Paul Aranda aviateur et de
Robert MARX, célèbre plongeur , passionné de recherches sur les anciennes navigations et sur l'archéologie sous-marine des îles Bahamas.
Voyez donc l'image ci-dessous :
Donc en
fin de 1971, des chercheurs découvrirent qu'il s'agissait,
d'une gigantesque structure, de la forme d'un grand
U, pouvant faire office de port dont la jetée courbée mesurait plus de
600 m de long sur 10 m de large, et formée de blocs de pierres dont la constitution
ne présente aucune ressemblance avec les formations naturelles qu'ils surplombent.
( Voir le croquis ci-dessous :)
Extrait de l'ouvrage remarquable de Pierre Carmac "l'Histoire commence à BIMINI"
publié en 1973 chez Robert Laffont dans la prestigieuse collection : "Les énigmes de l'Univers".
Ces blocs sont régulièrement alignés,
parfaitement à l'équerre dans leurs trois axes et assemblés par une sorte de ciment. Certains d'entre eux avaient près de
5 m de côté, et leur épaisseur variait entre
50 et 150 cm , ce qui parfois correspondait à une masse d'environ
5 tonnes par bloc. De plus, on constata en effectuant des tranchées d'exploration que
certains de ces blocs étaient posés sur des piliers carrés de 30 cm de hauteur, ce qui détruisait définitivement la thèse,
de certains géologues profanes, comme
le nommé Harrison, qui d'emblée sans attendre la fin de l'exploration de l'équipe
Valentine, avaient déclaré que
le mur de Bimini était un ensemble d'origine strictement naturel. Par la suite, on découvrit encore aux alentours
de Bimini, d'autres structures
de formes linéaires, rectangulaires, polygonales et même pyramidales .
Mais
quel pouvait être l'âge de ces constructions? Des études de datation
au carbone 14, estimèrent que pour
une profondeur de 6 m, ces structures devaient être à la surface
il y a environ 10 000 ans, ce qui ne signifie pas
qu'elles venaient d'être édifiées à ce moment là. Mais en ce qui concerne les bâtisseurs,
c'est le mystère le plus total. En effet
rien de ce qui nous est connu de l'histoire des amérindiens,
(qui remonte à environ 2000 ans avant J.C), ne nous permet
la moindre hypothèse, concernant le peuple qui vivait à cette époque, et même en Europe
aucune peuplade n'aurait été capable en cette période d'édifier une construction aussi monumentale. C'est pourquoi,
il valait mieux étouffer cette affaire dans l'œuf, comme certains ont cru devoir le faire aisément. Quelques revues sérieuses en ont cependant fait état sommairement :
Science&Vie n°640 de Jan.1971 -
Sciences et Avenir les
numéros 286, 291, surtout 298 de Dec.1971, puis vint, on le sait l'ouvrage de
Pierre Carnac :
"L'Histoire commence à Bimini" chez
R. Laffont 1973 .
Disons donc ici déjà, un
Super Bravo, à cet
Edgar Cayce, qui
a déboussolé plus d'un bien-pensant, confortablement enveloppé de sa culture universitaire classique, et qui nous a fait comprendre clairement que
le Passé de la Terre, est
bien plus fantastique, que ne sauraient l'imaginer,
les meilleurs auteurs de Science-Fiction.
Mais,
il y a mieux, car il paraît même que l'on a trouvé dans les environs,
une pyramide immergée. Nous possédons même, trois articles du journal
France-Antilles, qui en parlent. D'où
notre 3e focus :
Troisième focus : Quand on apprend que l'on a aussi découvert, une pyramide sous la mer au large de Cuba, au sujet de laquelle , les médias qui pignon sur rue, ont actuellement mis une chappe de plomb incomparable..
Bien sûr, aucune photo de cette pyramide n'a pu émerger au grand jour, sauf peut-être
un schéma (voir plus bas ), obtenu au radar et présenté en page
94 ter, de l'admirable ouvrage
"Sans Trace "de
Charles Berlitz, publié chez Flammarion en
1978:
Voici donc d'abord un article du France-Antilles de cette époque :
Lundi 4 Avril 1977: Agence-France-Presse relayée par France-Antilles 11è année n°2132.
Découverte d'une pyramide immergée dans le fameux Triangle des Bermudes
L'écrivain américain
Charles Berlitz estime que la pyramide, qu'il affirme avoir découverte sous les eaux de l'Atlantique, dans le
"Triangle des Bermudes", est plus grande que la pyramide égyptienne du pharaon Chéops.
"Il ne s'agît pas d'une plaisanterie ou d'un poisson d'Avril" a déclaré samedi a Mexico
Mr Berlitz, qui, en annonçant vendredi cette découverte, a provoqué un certain étonnement dans les milieux scientifiques, et notamment aux Etats-Unis.
"Cette pyramide, a-t-il ajouté a un angle identique à celle de Chéops et se trouve curieusement située sur la même latitude que la pyramide égyptienne".
Écrivain linguiste et explorateur des fonds-marins,
Berlitz, qui est âgé de 60 ans et qui s'est rendu célèbre par un best-seller,
“Le Triangle des Bermudes”, a d'ailleurs annoncé qu'il comptait organiser d'ici à trois mois une expédition sous-marine afin de photographier la pyramide et de vérifier si elle est sur le lieu exact où il l'a localisée, précisant en riant qu'il n'avait pas envie que son collègue français
Jacques Yves Cousteau, soit au courant.
“ Si nous parvenons à déterminer exactement la nature de cette pyramide de deux cents mètres de hauteur et enfouie à une profondeur de neuf cents mètres, nous prouverons ainsi l'existence d'une civilisation, qui, si elle n'est pas celle de l'Atlantide, est néanmoins aujourd’hui disparue”, souligne l'écrivain.
Précisant que cette expédition serait composée de six ou sept personnes,
Mr Berlizt a déclaré qu'il aurait aimé utiliser
l'un des bathyscaphes français, comme celui de
“la Calypso”, mais que c'était
“ horriblement” cher.
A propos de la découverte elle-même, l'écrivain a précisé que ce sont des amis pêcheurs qui ont été le premiers à repérer l’existence de
ce qui semblait être le sommet d'une montagne sous-marine.
Berlitz s'est alors rendu lui même sur place a confirmé la présence de la pyramide
grâce à un nouveau système de sonar latéral plus perfectionné que le sonar horizontal, que l'on utilise pour localiser les bancs de poissons.
-Tous les détails de cette découverte seront d'ailleurs bientôt dévoilés dans un livre qui doit être publié à Paris par la maison d'édition
“Flammarion” et dont le titre français n'a pas été révélé. En anglais,
Berlitz a intitulé son ouvrage
“Without a Trace” ou "
sans une trace"
L'écrivain a avoué d'autre part qu'il éprouvait une certaine crainte à l'idée de s'aventurer sous les eaux du
Triangle des Bermudes, où de nombreux bateaux et avions ont disparu mystérieusement. Berlltz attribue ces mystérieuses disparitions à phénomènes électromagnétiques produisant une
“désintégration moléculaire” qui explique, selon lui, que l'on ne trouve jamais de traces des bateaux ou des avions disparus.
- Berlitz qui est né à New York, vit actuellement au bord de la mer à Glen-Cove (Long Island). Petit fils du fondateur des écoles de langues Berlitz, il affirme connaître une trentaine de langues. Il a écrit de nombreux ouvrages qui ont été traduits dans 22 langues.
- Berlitz a commencé à s'intéresser au mystérieux Triangle des Bermudes dés 1945, alors qu'il était
lieutenant colonel dans l'Armée de l'Air Américaine et que de nombreux bombardiers américains avaient disparu à cet endroit.
- Enfin, l'écrivain affirme que depuis six mois, les Etats-Unis et l'Union Soviétique enquêtent conjointement dans le Triangle des Bermudes, dans le cadre d'un plan dénommé
“Polymode” auquel participent des bateaux des deux puissances.
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Et voici un deuxième article, de cette epoque :
France-Antilles le Samedi 30 Avril 1977 n° 2154
L' EXISTENCE DE LA CIVILISATION DE L'ATLANTIDE SERA T-ELLE PROUVÉE PAR L'EXPLORATION DE LA PYRAMIDE DU TRIANGLE DE5 BERMUDES ?
La pyramide que l'écrivain Américain
Charles Berlitz a affirmé avoir découverte SOUS les eaux de l'Atlantique, dans le Triangle des Bermudes, serait à peine moins grande, - et non plus grande - que la pyramide. égyptienne de Chéops.
C 'est ce qui ressort du nouveau livre de M. Berlitz,
“Without a trace” “Sans laisser de traces”), à paraître le 27 Mai prochain, à New-York, aux éditions
Doubleday, puis à Paris, chez
Flammarion.
L'ouvrage contient un schéma de la pyramide sous-mairne, tel qu'il a été tracé par l'homme qui le premier l'a repérée au sonar, le
capitaine Don Henry.
Au début du mois d'Avril, à Mexico, dans des déclarations à l'AFP, l'auteur du best-seller
“le Triangle des Bermudes” avait laissé entendre que la pyramide engloutie était
plus haute que la grande pyramide de Gizeh.
Annonçant qu'une expédition sous-marine serait organisée l'été prochain afin de photographier la pyramide, Mr
Berlitz avait ajouté :
“Si nous parvenons à déterminer exactement la nature de cette pyramide de deux cents mètres de haut et enfouie à neuf cents mètres de profondeur, nous prouverons l'existence d'une civillsation, qui si elle n'est pas celle de l’Atlantide, est néanmoins aujourd'hui disparue”
Ce graphisme a été montré pour la première fois en France, page 95 de l'ouvrage remarquable de
Charles Berlizt "Sans Trace : Le triangle de Bermude 2", publié dés
Février 1978.
L'écrivain américain avait également précisé que la découverte remontait a deux mois à peine et qu'elle occuperait une place importante dans
"Without a Trace".
Or, Si l'on en juge d'après l'exemplaire du nouveau livre de
M. Berlitz remis à l'AFP par les éditeurs, nulle part dans le texte il n'est fait mention de cette découverte, qui n'est signalée que dans la partie réservée aux illustrations et seulement sous la forme d'un dessin et d'une légende.
La légende dit notamment
“le sonar latéral ou celui utilisé pour repérer les bancs de poissons ont révélé la présence, au fond de la mer, de masses volumineuses qui font penser à des pyramides et à d'autres constructions. Le profil ci-dessus obtenu par le capitaine Don Henry depuis son bateau, équipé de sonar pour la pêche, montre ce qui parait être une pyramide..dont la hauteur est estimée à 420 pieds (128 mètres), avec une base de 540 pieds (164 mètres). Si c'est bien d'une pyramide qu'il s'agit, elle se rapproche beaucoup de la grande pyramide de Gîzeh en Egypte, dont la hauteur est d'un peu plus de 480 pieds (146 m)” .
(Note annexe du Webmaster : Voici le graphisme qu'a donné l'écho radar, obtenu par le capitaine Don Henry:
Surprenant n'est-ce pas !!)
Le profil obtenu au sonar révèle bien une forme pyramidale parfaitement symétrique avec un léger gradin dans sa partie supérieure. Mais les annotations à la main portée sur le schéma ne paraissent pas correspondre exactement aux mesures contenues dans. la légende : elles attribuent à la pyramide une base de 520 pieds (158 mètres) et une hauteur de 470 pieds (143 mètres), ce qui, de toutes manières, confirmerait que la mystérieuse
construction, - Si c'en est une - découverte dans
le Triangle des Bermudes n'est pas de dimensions supérieures à celles de la Pyramide de Chéops.
Il convient de rappeler, toute fois, que
M. Berlitz avait souligne, à Mexico, qu'il s'était rendu lui-même sur place et qu'il avait pu confirmer l'existence de la pyramide grâce à un nouveau système de sonar.
M. Berlitz ne fait aucune allusion dans son ouvrage à cette enquête personnelle. Il n'apporte pas non plus de précisions sur le lieu exact où il aurait repéré la pyramide.
En ce qui concerne les énigmatiques disparitions de bateaux et d'avions constatées depuis des dizaines d'années dans le
Triangle des Bermudes, M.
Charles Berlitz révèle, dans
Without a Trace, qu'au cours de la période
1974-1976,
" plus de six cents yachts et autres bateaux de plaisance ont disparu au large des côtes des Etats- Unis et qu' un pourcentage considérable de ces pertes a été enregistré dans le Triangle".
A l'heure actuelle, affirme-t-il,
“les disparitions dans le Triangle continuent de se produire au rythme d'un avion par quinzaine environ et d'un bateau ou yacht presque chaque semaine”.
Les apparitions
d'objets volants non identifiés (OVNIS) occupent également une large place dans le nouveau livre de Berlizt , véritable appendice de son best-seller de 1974, qui a été traduit en une vingtaine de langues et dont plus de cinq millions d'exemplaires ont éte vendus à travers le monde.
A ce propos, l'auteur rappelle que
M. Jimmy Carter avait lui-même vu un OVNI à Thomaston, Georgie, en
1973, et qu'il a en outre déclaré au mois de
Juin 1976 :
“Si je deviens président, je ferai en sorte que toutes les informations que les Etats-Unis détiennent sur les apparitions d'OVNIS, soient mises à la disposition du public et des savants”.
René CENTASSI
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Et voici un troisème article sur le sujet:
le Jeudi 15 Juin 1978 Agence-France-Presse relayée par France Antilles n° 2493
Va-t-on éclaircir le mystère de la pyramide sous-marine des Bermudes ?
Une expédition scientifique se rendra, au mois d'Août prochain, a deux cents milles nautiques au
sud des Bahamas pour tenter d'identifier
l'objet de forme pyramidale qui a été localisé par 100 m de profondeur sous la mer.
Organisée par l'industriel grec,
Ari Marshall, elle sera dotée de moyens très importants comprenant notamment un sous marin de poche. Le Docteur
Manson Valentine, de Miami, spécialiste en archéologie sous marine et le recordman du monde de plongée libre, le Marseillais
Jacques Mayol, feront partie du voyage. Selon ce dernier, l'étude de films, pris il y a trois semaines a démontré qu'il s'agit bien d'un objet de forme pyramidale de 150m de haut et de 300m de longueur à la base. L'aspect rectiligne de cet objet est marqué par deux Ouvertures latérales où l'eau s'engouffre à une vitesse prodigieuse.
PRENDRE DES ECHANTILLONS
- “Je suis convaincu à 60%, a déclaré Jacques Mayol, qu'il s'agit d'une pyramide. Mais la seule façon de vérifier c'est d’y aller avec un sous-marin de poche d'une part, et de perforer la pierre d'autre part, pour prendre des échantillons. Je pense que la Compagnie Maritime d'Expertise pourrait envoyer des plongeurs par la suite. Mais je crois qu'elle s'intéressera a l'aventure dans la mesure où il y aura des indices assez valables pour le faire” .
Evoquant les relations de cause à effet qui pourraient être faites entre la découverte d'une pyramide sous-marine dans cette région et le mystère du
"Triangle des Bermudes" le plongeur marseillais
s'est montré très réservé.
“Tout ceci. a-t-il dit, est très difficile à relier. Certains esprits romantiques aimeraient bien voir une relation entre ce qui pourrait être les vestiges d'une vieille civilisation qui utilisait des forme d'énergie que nous ne connaissons pas et les disparitions constatées dans secteur. Pour le moment ce n'est pas très scientifique, bien que les phénomènes électro-magnétiques signalés dans cette zone soient vraiment troublants, puisque les boussoles se mettent à tourner à des allures hallucinantes et que des pilotes disparaissent et réapparaissent après que leurs montres se soit arrêtées durant ce temps.”
Le plongeur marseillais estime que
“toutes les hypothèses sont maintenant valables, même la rupture de la continuité espace-temps”.
L'expédition
coûtera plus d'un million de Francs et sera uniquement financée par
M. Marshall, un riche propriétaire de mines.
Fin de citation
Mais pour clore
ce troisième focus, peut-être, est-il aussi utile de placer ici, les propos sublimes d'un
très Grand Maître, qui
remet maintenant les pendules à l'heure, et cela va encore
faire grincer des dents, les habituels zélés et irréductibles détracteurs, bien assis dans leur confort intellectuel classique...
(Âmes sensibles s'abstenir) :
" Tu me demandes de te parler de technologies avancées et je te réponds ceci : Vous ne pouvez tirer aucun avantage de technologies avancées, sans pensée avancée. Sans pensée évoluée, la technologie évoluée n'engendre pas l'avancement, mais la mort...
Vous en avez déjà fait l'expérience sur votre planète et vous êtes tout juste sur le point de l'expérimenter de nouveau... Je vous dis qu'il vous est déjà arrivé sur votre planète d'atteindre les hauteurs - de dépasser les hauteurs en fait - vers lesquelles vous grimpez lentement à l'heure actuelle.
Vous aviez sur Terre une civilisation plus avancée que celle qui existe à présent et elle s'est détruite. Non seulement l'a-t-elle fait, mais elle a presque détruit tout le reste aussi. Elle l'a fait parce qu'elle ne savait pas comment gérer les technologies mêmes qu'elle avait développées. Son évolution technologique était si en avance sur son évolution spirituelle, qu'elle a fini par faire de la technologie son Dieu.
Les gens vénéraient la technologie et tout ce qu'elle pouvait apporter ... Ils ont littéralement mis fin à leur monde. "
(D'après le C.A.D. nº3 de Neale Donald Walsch aux Éditions ARIANE. Fév. 1999)
...Et à bon entendeur, Salut...
Pourtant, il y a
dix ans à peine, les humaims ont assisté au phénomène du
fameux tsunami du
26 Décembre 2004, qui, en une matinée a détruit plus de
220 000 vies humaines en Indonésie , et nous pouvons imaginer facilement, que
ce tsunami aurait pu parfaitement arriver sur
les côtes d' Europe ou d'Amérique ou même de la Caraïbe, et alors les médias ayant pignon sur rue en parleraient toujours actuellement.
Soyons donc, bien plus solidaires entre nous, insignifiants et orgueuilleux vers de terre que nous sommes, sur cette planète, et arrêtons voyons, les massacres incessants qui arrivent chaque jour, entre nous :
.
Mais il y a pire, voyez donc ce communiqué du
"Monde International", en date du
16 Février 2015:
Vous pensez bien que des êtres bien plus évolués que nous, ne vont pas débarquer, ici dans ce bourbier , pour nous dire :
"Voyez on existe bien, et on veut vous aider à évoluer et à utiliser l'énergie gratuite du cosmos, que nous employons depuis des siécles. Si, hommes de la Terre, vous étiez plus affables et hospitaliers, nous pourrions intervenir, pour vous aider à vous intégrer davantage dans la connaissance cosmique . Nous-mêmes sommes passés par ce même stade que vous, il y a des milliers d'années. Mais si nous intervenons tout de même, vous allez nous prendre pour des espions d'une nation quelconque, et nous martyriser assurément, si vous arrivez à nous attraper. Bien sûr, nous pouvons nous défendre, mais nous n'avons pas le droit de vous détruire. Aussi nous attendrons encore quelques siècles, afin que votre niveau évolue dans la compréhension des lois cosmiques.
"
Inversement, imaginons ce qui se passerait si
les Gouvernenemts qui nous dirigent avouaient qu'il existe bien des civilisations bien plus avancées que les notres, et qui nous considèrent comme des minus écervelés ...
En effet, soyons
plutôt réalistes voulez-vous, et maginons, qu'il y a bien longtemps,
deux tribus amérindiennes voisines d'Amérique du nord ,
( par exemple les Sioux et les Comanches), et ou même d'ailleurs, cela n'a aucune importance,
s'entretuent à l'époque de Christophe Colomb, à l'aide de flèches bien aiguisées, pour une vulgaire et futile question de zone d'influence, ou de limite territoriale.
C'est alors qu'arrivent,
à leur plus grande stupéfaction, ceux appelés au Nord, pudiquement
les pionniers, et au sud les
conquistadors, munis de chevaux effrayants, de canons tonitruants, et de fusils qui tuent à de longues distances, et envahisseurs qui chassent sans remords les belligérants, dont nous venons de parler, pour s'emparer de leurs précieuses terres, faisant l'objet des litiges évoqués entre les deux tribus.
Que pensez-vous qu'il arriva ? Croyez-vous vraiment
que ces amérindiens vont continuer à se battre entre eux,
sous le regard cynique et amusé, de leurs envahisseurs ?
Nous pensons au contraire, que
ces deux peuples amérindiens vont vite s'unir pour faire front,
sans doute hélas d'une manière dérisoire, à
la nouvelle menace venue de l'Est, et menace qui, nous le savons maintenant,
sera l'une des plus graves atteinte à l'écologie mondiale (voir à ce sujet l'excellent article de A. DOROZYNSKI page 72 à 84 de la revue "Science&Vie" n° 892 de Janvier 1992, et intitulé "Le plus grand bouleversement écologique de l'Histoire").
Mais, lisons aussi cela, tiré de l'ouvrage
"Voyage " du
collectif Soria, formé, on le sait de
4520 entités cosmiques :
ces derniers temps, nous avons été amenés à plusieurs reprises, à sortir de notre bibliothèque l'ouvrage de
Soria, vieux de 13 ans
(en 2015), ci-après , extrait des pages 185 et 186 :
"...Votre isolement commence seulement à se lézarder. Les
rayonnements des autres formes de vie pointent leur Lumière
(Ombre ou Lumière : attention, tout n'est pas rose au sein des
Univers !), et certains de vos gouvernements savent déjà à
quoi s'en tenir ! Même s'ils ne vous ont pas révélé ces visites
et essaient de vous ridiculiser dans votre approche des autres
mondes, il est vrai qu'ils considèrent les habitants de cette
Terre comme des retardés mentaux à qui il faut cacher la vérité, de manière à ne pas les affoler. La population terrienne ne jouit pas d'une grande réputation aux yeux des dirigeants! Étrange, votre choix d'être sans cesse rabaissés aux yeux des
autres ! Ce miroir vous apprend-il encore quelque chose aujourd'hui ? Ne l'avez-vous pas assez exploité ? Ou avez-vous
simplement oublié que vous pouvez exister sans cette
reconnaissance aliénante ?...etc... ".
Dur.. Dur... n'est-ce pas !!!, et l'on est certain
qu'aucun de nos médias actuels ne pourait soutenir un tel langage, n'est ce pas !!!
A propos
des Indiens d'Amérique que les
"pionniers", venus d'Europe, qualifiaient à l'époque de
"sauvages", pour mieux justifier
leur massacre, voici un texte tiré des pages 205 et 206 du tome 4 du livre intitulé
"Partenaire avec le Divin", de l'entité nommée
Kryeon publié dès
1998 aux
Editions Ariane du Canada.
N'oublions pas que la devise des
"visages pâles" , comme les nommaient autrefois, les autochtones amérindiens, était :
"Un bon indien est un indien mort".
...Les européens qui ont massacré les amérindiens
(incas, mayas, aztèques etc ..), porte actuellement
un énorme karma,
( mot non étudié dans nos universités), qui
au niveau cosmique, pourrait s'énoncer ainsi :
"On récolte toujours un jour, ce que l'on a semé"
Ces amérindiens avaient tout aussi, le droit de vivre sur la terre de leurs ancêtres.. n'est-ce pas !!!.
Mais,
certains détracteurs ignares et matérialistes à fond , vous diront, vite fait :
"Vous oubliez volontairement l'adage bien connu : La raison du plus fort est toujours la meilleure ...Point Barre.".
A vous de juger Messieurs, les philosophes et consorts sociologues...
Mais, il y a encore mieux à découvrir dans cette affaire...
Voici un texte, qui semble venir
d'un très grand et sage philosophe contemporain :
Une traduction donnerait alors :
"Des civilisations
supérieures pourraient réellement détruire une civilisation inférieure sans le vouloir, en imposant leur sagesse supérieure à des gens qui ne peuvent pas la comprendre ou 1'absorber. Les hommes de 1'espace réalisent ce danger, et ils font très attention à la façon de procéder à notre éducation.
Quand les hommes blancs sont venus chez les
Indiens, et quand les missionnaires ont pénétré chez
les indigènes, ils ont imposé leurs concepts et leurs méthodes à des civilisations moins avancèes. Leurs résultats furent souvent désastreux.
Les hommes de 1'espace, ont mis au point de nombreuses machines, des appareils qui aident à vivre plus, agréablement, et ils ont développé des facultés psychiques supérieures, qui seraient fantastiquement utiles pour notre humanité. Mais s'ils nous les confaient d'une manière brusque, sans nous préparer graduellement à les utiliser, leurs dons risqueraient de déclencher des désastres au lieu de bénédictions.
Trop de gens, par exemple, qui ont été dotés de pouvoirs psychiques divins , et qui ont developpé
certaines facultés supérieures telles que la perception extrasensorielle, la projection du corps astral, la téléportation, etc., utilisent ces facultés pour des buts personnels - par exemple contrôler et influencer leurs frères sur cette planète, au lieu de les aider à s'aider eux-mêmes. Je connais plusieurs personnes qui ont
developpé certains de ces talents et qui s'en sont servis
pour safisfaire leur curiosité et pour impressionner autrui. Ces facultés supérieures, sauf si elles ne sont utilisées qu'en cas de nécessité, et SEULEMENT pour
aider autrui, disparaissent plus ou moins rapidement non
sans inconvenient. Ceux qui sont doués de facultés supérieures ne devraient s'en servir que parcimonieusement et seulement au nom du Père infini . Lors de mes premières expériences avec ces facultés, j'ai, moi aussi, commis des fautes mais heureusement, je sais maintenant ce qu'est leur usage
correct. "
On devine alors maintenant que notre
sage philosophe , n'a rien à voir
avec un penseur de nos universités,
car son verbe, ne correspond pas du tout à ce qui y est enseigné...
En effet ce texte provient de l'ouvrage d'un auteur
tout aussi critiqué qu'Adamski, nommé
Howard Menger, et qui fut l'une des figures les plus marquantes du monde
des Contactés, dans l'Amérique des années 50 et 60. Le livre
qu'il écrivit à la fin des années 50
"From Outer Space to You", est sorti en France en 1965
aux Editions Dervy, sous le titre
"Mes Amis les Hommes de l'Espace", et il alimenta de vives polémiques.
Les termes cités juste plus haut viennent-ils simplement de l' éducation religieuse classique
d'Howard Menger, ou
d'une instruction spécifique, venue de
"ses amis de l'espace", comme il qualifiait
les êtres, qu'il dit avoir rencontrés.
Affaire à suivre, donc avec la plus grande minutie...
Mais devant
l'importance que revêt cette affaire de
l'Atlantide placée dans la région de Bimini,
certains zélés détracteurs toujours
insatisfaits, pourraient, nous reprocher, de ne montrer que
des digitalisations d'articles, qui ne sont pas des preuves directes, et tout un chacun peut en imaginer à sa guise. Reste à présenter les documents d'origine. D'où, notre 4
e focus.
Quatrième focus : Quand ARTivision sort aussi, les documents incontournables qui attestent du grand embarras, que causa aux scientifiques le mur de Bimini, et ce vocable Bimini ayant été si admirablement et curieusement nommé par Egard Cayce des années avant la découverte. du mur en question .
Mais justement pour
les intellectuels pointilleux , qui aiment
les exposés paléontologiques détaillés , en voici un, du
savant atomiste, très atypique ,
Jacques Bergier, paru dans un almamach
(probablement Hachette), après 1971 :
Merci donc à l'internaute
béni, qui nous retrouvera
l' année exacte de sortie de cet almanach, que nous avons mis à la poubelle par mégarde .
Voici aussi pour les puristes, quelques bribes, d'un article de
Mr Pierre de Latil, à l'époque, professeur à la Sorbonne et article tiré du
Sciences et Avenir n° 298 de Décembre 1971 , déjà annnoncé plus haut :
Et voici une portion du fameux mur :
Enfin, nous notons bien la conclusion résignée du Professeur Pierre de Latil :
Donc il y a
44 ans ( en 2015), ce professeur est revenu des Bahamas en étant partisan de
la solution archéologique pourtant si difficilement admissible dans son cursus historique.
Il est donc curieux que
cette affaire n'ait pas eu depuis le retentissement médiatique, qui lui revenait de droit.
A vous de juger ...
Mais, le site
ARTivision a déjà longuement, dans de nombreux articles, expliqué
le silence de la pierre tombale
qui s'est attaché à cette affaire, et ce n'est pas fini.
Mais voici maintenant quelques éléments de l'article , d' il y a aussi
44 ans du
Science&Vie n° 640 de Janvier de 1971, déjà également annoncé plus haut :
Et voici la conclusion des auteurs :
Après présentation de
quelques textes prélininaires de documents de base incontournables (qui selon nous bien sûr, et nous en sommes tout à fait convaincus) ,
mettent les archéologues et autres paléontologues au pied du mur, c'est à dire, démontrent que le Passé de la Terre est bien plus fantastique que l'on nous l' enseigne dans nos universités, nous allons ce
18 Février 2015 faire ici état
d'un autre document exceptionnel qui devrait être diffusé très tôt dans toutes les écoles de la nation
( cela éviterait sans doute que des jeunes citoyens aillent un jour faire le coup de feu , dans des zones de non droit).
Il s'agit d'un petit film de
1978 du commandant
Jean Yves Couteau, et film que nous avions eu la grande joie d'enregistrer en cassette video et de visualiser à l'époque de nombreuses fois. Mais
l'Ecclésiaste , nous dit : ,
"Vanité des Vanités tout est vanité" , et cette cassette est désormais bonne pour la voirie, car l'humidité qui règne au pied du volcan où nous habitons, en a fait un recueil de moisissures de toute nature.
Heureusement qu'il y a toujours
un bon Dieu pour les canards sauvages, et que
Google a été inventé au bon moment, puisque nous avons retrouvé ce petit film documentaire, à l'adresse suivante :
Et seules les 15 premières minutes ont su vraiment retenir incomparablement notre notre attention et nous allons voir, ci dessous, pourquoi!
En voici donc, quelques images clefs
( et nous remercions vivement alors le réalisateur de cette super vidéo, dont on va voir ici l'importance)
Dans le générique, on trouve bien sûr :
Bien que, le
commandant cousteau considérait à l'époque
l'Atlantide (contre l'avis de Platon), comme faisant partie de l'ile de
Santorin au large de la Grèce, il a eu l'audace d'aller avec son équipe, dont
son fils Philippe, et un certain
Docteur Zink (écriture non garantie et Dr probalement mandaté par le Musée Océanographique de Monaco)), explorer
le fameux mur de Bimini dont on évite soigneusement actuellement, de discuter la présence dans les médias ayant pignon sur rue.
et voici donc
quelques aspects furtifs du mur en question :
Philippe Cousteau s'installe alors sur l'aile de l'hydravion de l'équipe avec le
Dr Zink :
Et Philippe demande alors au Dr Zink s'il a écarté l'hypothèse d'une formation simplement naturelle ?
Réponse du Dr Zink :
" C'est à peu près, ce dont je suis certain. Mes arguments sont essentiellement basés sur la forme et la structure des pierres. Dans la Nature, il est extrêmement rares de voir des lignes de fractures se terminer aussi brutallement. Si c'est du beachroc formé sur place, on s'attendrait à plus de cohérence entre les blocs et le substrat rocheux. Or nous avons bien constaté que ce n'est pas le cas. souvent des petites pierres supportent les grandes en laissant un vide en dessous..."
Le docteur Zink présente alors le schéma en forme de J, de la structure, composée de petites et de plus grandes pierres :
..Philippe , demande si ce site pourrait être à l'origine du mythe de l'Atlantide ? .
Réponse du Dr Zink :
" Il y a là, peut-être, une relation à cause de l'ancienneté de la formation, mais ce ne pouvait être qu'une sorte de poste avancée, une colonie éloignée. "
Croyez vous que Platon ait tout inventé ? demande ..Philippe
Réponse du Dr Zink :
"Tout est possible aux époques d'angoisse et d'incertitude quant au présent et au futur, il est confortable psychologiquement de se tourner vers un Âge d'Or. C'est une façon d'interpréter cette histoire. Mais, il y en a d'autres
Et si l'on découvrait l'Atlantide demande Philippe ?
" Quiconque porte le moindre interêt à l'Atlantide, pense à l'effet qu'aurait une telle découverte . L'effet serait de nous montrer, qque nous aussi nous pouvons disparaître, et qu'une civilisation hautement évoluée, peut s'anéantir "
Imaginons alors, que lors du
26 Décembre 2004 en Indonésie,
le Tsunami avait été lègèrement plus fort, ou plus près, et avait noyé totalement
la centrale atomique de Fukushima, et que celle-ci avait explosé,
Le japon serait probablement sous le eaux en ce moment.
Mais ne jouons pas les oiseaux de mauvais augure, et pausons, nous seulement la question de savoir, ce que seraient devenus
les révolutionnaires matérialistes et autres terroristes barbares, comme ceux qui pullulent, un peu partout en ce moment, sur cette planète .
Alors
chers jeunes quidams blasés, méditez encore un peu, sur tout cela, et surtout remerciez aussi le
Dr Zink , pour
sa super clairvoyance, dans cette affaire, mais sachez que
le plus surprenant, est encore à venir.
Disons donc, ce
20/02/2015, que nous,
les petits et négligeables humains que nous sommes sur cette
Terre, devraient
être bien plus solidaires et unis entre nous, car
nous sommes à la merci de catastrophes de toute nature ( catastrophes dues à notre activité industrielle débridée, ou à des phènomènes venus de l'espace). Or d'après ce que nous déclare
le très grand sensitif que fut Edgar Cayce, on ne nous enseigne même pas, dans les universités,
la raison de notre passage sur cette planète, car
l'humain est branché sur d'autres dimensions, dont nous ignorons totalement l'existence.
Voyez donc,
cet artéfact, qu'avec
tous nos moyens modernes, on aurait un mal fou, à découper dans une carrière et à transporter avec une machine :
Il s'agit de la phénoménale pierre
"Hadjar el Gouble" à
Baalbek au Liban de
22,73 m de long - 4,55 m de large - 4,68 m de haut Masse: environ 1200 tonnes, et dont les
bien-pesants actuels , évitent soigneusemment de nous montrer, comment elle a pu être si bien découpée et surtout déplacée. Mais
il y a aussi ceci, au sujet duquel, aucun un débat scientifique télévisé, n'a pas encore eu lieu :
On voudrait bien voir, nos entrepreneurs nous expliquer en 3D, comment les ouvriers de l'époque ont réussi ce formidable exploi.
Il en est de même, pour
cette architecture fabuleuse , où les
mentors des Universités, n'ont en effet jamais pu fournir
une seule explication pleine de discernement logique, concernant la taille et le transport des énormes pierres, et la construction des murs trouvés en Amérique du Sud, tel que :
La pierre placée derrière,
la jeune femme (placée là, uniquement pour donner l'échelle et qui elle, fait environ 1,60 de haut) , mesure à peu près
5 m de large, et bien que l'on ne connaisse pas ici la profondeur, elle pourrait peser, plus
de trois cents tonnes. Elle est, on
le voit, formée de
11 angles
d'ajustement. Comment a-t-on pu non seulement
déplacer un tel bloc, mais en plus le tailler et le polir de telle
sorte qu'il s'ajuste si parfaitement avec les
7 autres blocs voisins, si bien que
l'on ne puisse pas glisser une lame de rasoir, dans les jointures ?
Les Incas n'avaient pas des burins en acier, et même s'ils en avaient, cette perfection est tout simplement
époustouflante. C'est pour cela, avec
preuve à l'appui, que le site
ARTivision, propose une
explication
hors normes, qui consiste à faire intervenir pour cette construction
des Maîtres visiteurs venus du Cosmos ou de la Lune, tout proche de nous. Ces Maîtres voyageurs du Cosmos, sont appelés des Dieux, dans toutes nos mythologies... .
Voyez aussi dans le même chapitre, cette photo extraordinaire, où figure un collègue
(qui donne l'echelle), visitant en 1972
l'incomparable mur de Sacsayhuamán au Pérou, avec autre un ami, qui a pris la photo :
Et voici, aussi le celèbre bloc avec 12 angles d'ajustement
( le petit écolier donne l'échelle) :
Hélas, ce petit écolier, ne trouvera actuellement , aucune maitresse
(ou maître), capable de lui enseigner, comment ses ancêtres, ont réussi
à réaliser une telle construction ! !
Mais il y a aussi cela :
Voila, à
Ollantaytambo au Pérou, à près de 2800 m
d'altitude, on trouve
ces pierres
gigantesques dont l'échelle nous est donnée par la présence du même collègue en 1972.
La taille est si
parfaite que l'on ne peut pas passer une lame de rasoir entre
les pierres. Comment a-t-on pu d'ailleurs, les transporter
à une telle altitude, car les carrières sont
très éloignées de là, dans la vallée?
Mais de plus, regardez bien
la corniche qu'indique la fléche rouge. Elle
n'a pas été encastrée dans la pierre, mais c'est
la pierre qui a été rabottée tout autour de cette mince corniche, pour la mettre en relief. Vous voyez donc, le travail que cela a dû occasionner.
Mais regardez aussi
les 6 superbes pierres placées encore plus haut dans la montagne:
Un ami de taille normale
(1,70 cm), a pu grimper sur leur flanc, ce qui fait que certaines d'entre elles, ont environ
4 m de hauteur :
Et regardez bien alors aussi ,
la finesse des pierres de jointure, où l'on ne peut même pas glisser une lame de rasoir :
Alors donc, il faut se faire à l'idée, que les gens qui ont exècuté
cette architecture fabuleuse, existaient
bien avant ces incas, qui ont été bayayés par les conquistadors, car étant donné
la puissance de la technologie, dont ils ont fait preuve, pour construire ces murs, les espagnols auraient alors été vite lessivés en se mesurant à eux .
Donc, soit
ces Maîtres bâtisseurs sont repartis dans l'espace à un certain moment, soit ils ont été annéantis par un cataclysme quelconque...qui peut aussi nous menacer .
A vous de choisir....
Voir aussi, notre article
FlashbackJUNG.html, qui affirme que se sont egalement,
des dieux qui ont apporté
le maïs, aux ancêtres des Mayas :Voyez donc à quoi, ils resemblaient :
Pensez-vous que
les Mayas, auraient representé,
d'une manière si expressive, ces silhouettes, s'ils ne les avaient pas vues
en chair et en os ?
Mais de plus, nous dit aimablement, le
13/03/2013, l 'internaute
Monique G...; " Avez vous remarqué que chaque fois que leurs mains sont visibles , elles ne comptent que 4 doigts ? "
Mais, dans les images suivantes, il ne sagit plus du tout
de masques rituels,
(comme on l'a si souvent évoqué pour noyer le poisson), mais bien
d'astronautes manipulant des instruments dans une cabine :
C'est alors que l'on découvre aussi, cette gravure surprenante :
Que fait donc
cet épi de maïs, sur le coté gauche de cet artefact ? Pour
ARTivision, cela ne peut signifier que le fait,
que ce maïs, a été effectivement apporté par les aliens aux yeux ovales et inclinés, de leur planète sur la Terre, au moment de leur arrivée.
Point Barre
Mais,
ces Maîtres visiteurs , pourraient même, venir de
la planète Mars, car en effet, pour nous
le seul
endroit, où il faut envoyer des sondes sur Mars, est sur le plateau de
Cydonia, où les sondes
Vikings 76H593 et 17384 ont filmé en 1976 , cette
structure surprenante :
Il n'est pas besoin en effet, de sortir
de l'école Polytechnique, pour relever
le caractère artificiel de
cette structure gigantesque placée au centre de la photo et
appelée par certains chercheurs, la
"forteresse", et dont l'épaisseur des
"murs", formant deux angles
droits, dépasse les
300m. Le voisinage
fait aussi apparaître une sorte de
"pyramide" dont la hauteur dépasse le km.
Bien évidemment, les revues spécialisées qui ont pignon sur rue,
évitent soigneusement de parler de tout cela.
Et on sait maintenant que la
NASA et son complice un
certain
Michael Malin (et vous verrez que l'on devrait plutôt le nommer, plus diaboliquement parlant, Michael le Malin), ont trafiqué les photos pour en neutraliser les formes non naturelles. Voir pour cela absolument l'article
incontournable de la revue Nexus n° 61 de Mars-Avril 2009 :
Ces protagonistes pervers ont
tout
fait, pour
maquiller sans scrupules cette admirable image, et donc tant que ces
Messieurs les sceptiques, qu'ils soient
haut placés ou pas dans l'Université, et tous
ces médias et autres prétendus astronomes et scientifiques de tout
bord, se tairont au sujet de cette
"forteresse" sur Mars
(ou au sujet de cette structure
gigantesque placée sur la
face
cachée de la Lune, et visible sur le
Paris Match du 18 Janvier 1969 ), le site
ARTivision,
continuera à les pousser dans
leurs plus petits retranchements, et les forcer à un jour à
parler.
Voilà une mission
très prosaïque, qui n'a rien
de
magique.
Les deux sondes
Spirit et
Opportunity et
(d'autres après comme celle nommée Curiosity lancée le 26/11/11 ) qui ont été envoyées sur Mars
(soi-disant pour y détecter la vie ), ne sont que
des leurres, et de
la frime, pour faire travailler les chercheurs de la NASA, mais surtout pas pour prouver
que la vie a existé sur Mars, car alors,
la preuve est déjà là, en la matière de cette
"forteresse" dont chaque mur fait, nous l'avons déjà dit plus haut, près de
300 m
de large et qui doit faire à vue d'œil
au moins
700 m de haut
(alors la Tour Eiffel
serait vraiment un petit bambin à côté)
Le voisinage fait
aussi apparaître une sorte de
"pyramide" dont la hauteur dépasse
le km. La Nasa et ses sbires agissent exactement comme si un extraterrestre qui
voudrait ralentir
la découverte de
l'existence d'une
civilisation développée sur Terre, commencerait pour noyer
le poisson, en faisant atterrir son robot au beau milieu
d'une zone aride et stérile du Sahara, oubliant
volontairement, les villes comme
Paris, New York etc...
Pour en savoir plus, il y a d'abord, le
remarquable fascicule américain publié dès
1988, et intitulé
"Unsusual Mars Surface Features" de
Vincent DiPietro, Gregory Molenaar, et Dr John Brandendurg, par
Mars Resaearch P.O. Box 284 GLENN DALE , MAYLAND 20769 :
, et où l'on découvre la photo claire et nette
n° 76H593/17384 de la région
Cydonia sur Mars, faite par la sonde
Viking, le
31 Juillet 1976 :
Nous ne nous éterniserons pas sur
cette affaire de visage qui a fait couler beaucoup d'encre, Puis il y a aussi le très remarquable ouvrage
"Guizeh, au dela des grands secrets" de
Guy Gruais et Guy Mouny publié
aux
Editions du Rocher dans la collection chez
l'Age du Verseau en Avril
1997.
Puis aussi, il y a le livre
"Le mystère de Mars" de
Graham Hancock, Robert Bauval et John Grigsby
publié aux
Editions du Rocher en Octobre 2000.
Il y a aussi, le numéro spécial sur
Mars d'Avril 2000 de la revue
Science&Vie Junior page 57 et photo
visible sur mon article placé directement à :
et le nom de la photo est
imcydonia1b.jpg . La voici :
Cependant
(Et voilà ici comment une revue importante, fait comme l'autruche) cette revue à grand tirage
(réservée à la jeunesse) en
présentant cette
"forteresse" ,
(placée
ici sur la gauche de la photo) n'a à aucun moment, donné
la moindre information et
encore moins
une explication
utile à son sujet, même à titre de
curiosité et seul le prétendu,
le visage, a fait l'objet de commentaires de
cette revue sous
forme d'illusion d'optique bien
sûr.
C'est
une
honte et un
défi
inadmissible à
l'esprit humain que nous montrent
ces journalistes soi-disant curieux de nature.
Notre explication
des Maîtres visiteurs venus du Cosmos ou de la Lune , utilisent depuis des siècles
(et continuent donc à utiliser actuellemen), comme nous,
des minerais et des métaux pour évoluer.
A cet effet, ils
"ratissent tout naturellement probablement à l'aide d'engins automatiques téléguidés ", les sols des
"gros cailloux planétaires", ainsi que le sol de la Lune et celui d'autres astres, pour se procurer les matériaux qui leurs sont utiles.
En voici
une preuve incontournable ,
qui va couronner tout ce qui précède, et qui concerne
Miranda,
l'impossible satellite d'Uranus.
En effet du
3 au 7 novembre 1986 s'est tenu à Paris,
un congrès de Planétologie, auquel la revue
"Sciences et Avenir" a consacré
un numéro spécial n°61 hors série fin 1986. Mais citons plutôt le préambule de l'article de
Mr Pascal Lee de la page 14, qui est très significatif au sujet de
l'incompréhension totale des scientifiques concernant le phénomène planétaire de Miranda, petite lune d'Uranus, photographiée en début d'année 1986:
"Pour les astronomes, la plus petite lune d'Uranus représente un véritable miracle: Sur sa surface est réunie la quintessence des curiosités géologiques rencontrées sur les planètes. Reste à expliquer pourquoi ? Voir l'image n°1, incroyable de Miranda, ci-dessous:
Sur tout le congrès, la belle ombre de Miranda aura plané. Même si ce sujet de conversation devait à tout prix être évité, la mystérieu
se lune d'Uranus laisse perplexe : Miranda est taboo !.. On se souvient en effet des extraordinaires clichés transmis le 24 Janvier 1986 par voyager-2 . Passé à moins de 29000 km de Miranda, avec une vitesse proche de 72000 km/h, la sonde avait pu enregistrer au prix d'une subtile manœuvre de pivotement compensatrice , une magnifique mosaïque de huit scènes (paysages) couvrant l'ensemble de l'hémisphère austral. La résolution spatiale des meilleures , images obtenues a atteint 600 m, soit une finesse qui n'avait encore jamais été obtenue au-delà de Mars. Nous avons ainsi découvert un monde tout à fait différent de ce qu'on présumait. On imaginait volontiers, avant l'arrivée des "Voyager", Miranda comme une classique boule de glaces et de roches, criblée de cratères et sans signe d'activité importante. Or les astronomes se sont trouvés en présence de terrains extrêmement variés, contrastés, présentant des structures complexes, évoluées, qui témoignent d'une histoire très mouvementée. Même les plus imaginatifs sont surpris. Les géologues distinguent aujourd'hui sur ce monde une dizaine de types de terrains différents. Ils parleraient plutôt "d'unités géomorphologiques " que l'on peut en fait regrouper selon deux catégories principales, avec d'une part des surfaces anciennes cratérisées, émoussées, bosselées et d'autre part des terrains cannelés de sillons parallèles et serrés, moins cratérisés...
"
Donc nous avons bien noté les termes de
"miracle" de
"conversation à éviter", de
"perplexe", de
"taboo",
(On se demande d'ailleurs pourquoi? Faut-il faire absolument le silence sur les phénomènes que l'on ne comprend pas ? Si c'est cela l'esprit scientifique...? Alors vous comprenez maintenant la raison de l'existence notre notre site Web ARTivision qui dénonce ce genre d'attitude) et surtout on trouve aussi l'expression :
"Même les plus imaginatifs sont surpris" ce qui veut dire en clair que
"la réalité dépasse de très loin la fiction même la plus imaginative".
Ainsi pour terminer résumons que
Miranda présente d'une part, des terrains anciens n'ayant pas bougé depuis un temps immémorial, et d'autre part, des surfaces qui correspondent à des modifications plus récentes très insolites, qui dessinent de vastes figures aux contours très nets renforçant le contraste avec la toile de fond ancienne . Certaines figures sont en forme
d'ovales très allongés et dont les structures évoquent incontestablement des champs de courses de chars romains à la "BEN HUR".
Voir l'image n°2, de Miranda, ci-dessous:
D'autres encore présentent des formes étonnantes d'une structure anguleuse tel le désormais célèbre
"chevron" situé au pôle Sud .
Voir l'image n°3 de Miranda, ci-dessous:
La seule explication scientifique trouvée de nos jours pour justifier une telle fantaisie de relief sur
Miranda est
toute aussi incroyable et miraculeuse en elle même :
Miranda serait une planète ressuscitée, c'est à dire qu'elle aurait volé en éclat à la suite d'une violente collision,
mais ses morceaux au lieu de se disperser dans l'espace se seraient agglomérés de nouveau pour former dans le désordre, ce puzzle sphérique que nous avons découvert, montrant à sa surface des
"grumeaux" provenant des entrailles de
son incarnation intérieure.
(sic)
Que celui qui a de bons yeux, pour voir, tout ce qui concerne, la stupéfiante Miranda, en tire la clef lumineuse qui s'impose, et, surtout le désir latent d'en savoir plus.
Allez un petit plus qui montre comment ces dieux ratissent le sol de la Lune d'abord, puis d'autres corps célestes ensuite et voici donc
une photo très rare, tirée de l'ouvrage
"The Moon" de
Mr Zdenek Kopal chez
l'Editeur D. Reidel Publication à
Dordrecht.
Merci mille fois à l'internaute qui nous dira, quel télescope a pu prendre une telle photo...:
Cette photo a été présentée dès
1973 par notre ami
(hélas décédé en 1990) Alfred NAHON dans son remarquable ouvrage
"la Lune et ses défis à la science"? paru aux
Editions Mont-Blanc.
On y voit clairement dans le cercle indiqué
un engin indiscutablement non naturel, entrain
de raboter la partie droite du cratère Copernic. Il va sans dire que cet engin peut parfaitement être
antigravitationnel, et utiliser
des énergies inconnues de nous, pour extraire du sol du cratère,
des minéraux utiles aux occupants. La poussière lunaire, peut donc s'y coller progressivement, et surtout s'y détacher en fonction des directions rectilignes empruntées pour le transport de ces minéraux. Cela est à l'origine de la blancheur du cratère, et des
fameuses rayures concentriques blanchâtres, que l'on découvre autour de ces cratères d'exploitation minières. Par exemple
le cratère Tycho, de 85 km de diamètre et qui possède aussi
ces rayures centrales :
Si vous avez une meilleure explication du phénomène, soyez assez aimable de nous l'envoyer, afin que nous puissions la publier, dès réception....
N'empêche qu'il faut vraiment,
vouloir imiter l'autruche, pour dire, que ceci qui suit,
est tout à fait naturel :
Si l'on sait que
ce cratère Copernic mesure environ
93km, un calcul élémentaire donne
pour la largeur de l'engin excavateur, près de
12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à :
12 km. Comment donc il se fait,
qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu
dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues et cela bien avant 1973, date de publication du livre d'Alfred NAHON ?
Bien sûr,
aucune autre photo moderne de Copernic,
ne nous présente ce super engin excavateur, et nous formulons ici, le grand espoir
qu'un courageux infographiste, pourra enfin, nous mettre en
3 D,
cette super-structure, tout à fait
hors normes.
A vous de juger, documents, à l'appui...
Mais, pour ceux
qui continuent tout de même à rire sous cape, alors voyons ceci :
Cette photo, est issue de la
NASA
et nous avons découverte à la page 46 sur une revue
d'astronomie bien connue, de
Septembre 2003 portant le
n°400,
représente une photo de
Callisto
, un satellite
de Jupiter, et que nous a envoyée la
sonde
Galileo, avant de plonger
dans l'atmosphère fantasmagorique de Jupiter. Il suffit alors de
regarder attentivement le bout de la flèche rouge, pour y
découvrir un incroyable
hexagone
régulier qui s'érige à l'intérieur du cratère,
lui-même d'une
blancheur
extraordinaire.
D'autre part, pas besoin de sortir de Polytechnique, pour deviner que
l'image en bas à droite, ayant grossièrement la forme d'une
croix de Malte :
n'a elle, aucune chance, de provenir de choc météoritique tant elle est bizarrement structurée et d'une blancheur inouïe .
Evidemment, la
revue en question, n'a pas osé signaler
(
même à titre de curiosité) dans son article,
ces extraordinaires
structures , dont un spécialiste pourra vite
déterminer l'échelle. A vous de juger donc, le soi-disant
"caractère météoritique" que la revue
semble affecter à
ces formations hors normes . Vous trouverez plus de détails surcette incroyable photo, à l'adresse déjà vue de notre article :
remucos.html
Mais il existe sur Terre
d'autres choses très tangibles, et
très mystérieuses qui intriguent énormement les spécialistes étudiant,
la configuration cartographique de notre planète et ceci va faire l'objet de notre 5e focus .
Cinquième focus : Quand ARTivision découvre un article du Spokane Daily Chronicle de 1933 où l'Amiral Byrd des USA, s'interroge, afin de savoir si les montagnes de l'Antarctique, sont dans le prolongement de la Cordilière des Andes, ce qui est justement attesté par les cartes de Piri Réis.
C'est à la date du
7 Septembre 1933 , du
"Spokane Daily Chronicle", que nous avons trouvé
un étrange entrefilet, issu de l'Agence
Associated Press, et placé à
l'url suivant :
Et nous avons souligné ici,
en violet,
le paragraphe qui nous interpelle ici . et que voici :
Passage que l'on peut traduire modestement par :
" Il espérait découvrir un nouveau continent, en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la Cordilière des Andes..."
Nous discuterons plus bas des autres surprenantes affirmations, de cet entrefilet que l'on retrouve aussi dans le "Youngstone Vindicator" ou le "The Milwaukee Journal" ou encore "The Reading Eagle" et du "The Tuscaloosa News" du même 7 Sept 1933.
Disons donc d'emblée ici, que pour sonder sous les glaciers de la
Patagonie, de la Terre de feu, et de l'Antarctique,, et de plus sous la mer, et dans le fond du Passage de Drake, il faut des équipes superbement nombreuses et outillées, dont ne disposait pas Byrd en 1933 :
Il aurait fallait d'ailleurs à l'époque ( maintenant on a des satellites et encore...), de nombreux d'avions munis de radars puissants, pouvant sonder sous la glace et bateaux bien equipés pour sonder sour la mer et en plus de vastes équipes au sol pour baliser le terrain.
Donc, cette affaire
de Cordilière des Andes, reliée à l'Antarctique , avait selon nous pour but de noyer le poisson, et
détourner l'attention des journalistes.
Comment comprendre alors cette allusion, de
Byrd
, au fait que
l'Antarctique puisse être la continuation de la Cordilère des Andes ? . Ceci pourrait-il alors être le fait, que
Byrd, ait eu vent de l'existence
des cartes de Piri Reis ?
Disons alors deux mots sur la découverte de
ces fameuses cartes :
Le
9 novembre 1929, Mr
Malil Edhem, Directeur des musées nationaux turcs en faisant un inventaire de tout ce que contenait alors le fameux
Musée de Topkapi à Istanbul, découvrit
deux cartes du monde dans un ouvrage intitulé le
"Bahiyre" , et dont l'auteur était un certain amiral de la flotte turque
Piri Ibn Haji Memmed, nommé de nos jours,
Piri Reis un célèbre héros du XVIe pour les turcs et un vrai pirate pour les autres et qui relate avec force détails, les conditions dans lesquelles il réalisa les différentes cartes
(215 au total) de son livre de mémoires,
le "Bahiyre".
Piri Reis était un homme cultivé, remarquable homme de mer qui contribua à asseoir la suprématie maritime incontestée alors de l'Empire Ottoman. Il élabora ainsi deux précieuses cartes du monde, l'une en
1513, et l'autre de
1528.
(Voir l'image ci-dessous:)
Celle de
1528 placée à droite, dont on ne voit qu'une portion, fut établie sous le règne de
Soliman le Magnifique. Piri Reis était un savant très méticuleux, et par exemple dans la préface de son
"Bahiyre", il évoque longuement sa première carte dessinée dans sa ville natale
Gelibolu du
9 mars au 7 avril 1513 et déclare avoir compulsé toutes les cartes existantes connues de lui, certaines très secrètes et très anciennes,
(une vingtaine environ), que sa connaissance du grec, de l'italien, de l'espagnol et du portugais, lui a grandement permis d'en tirer profit.
Il révèle aussi, qu'il a eu en sa possession, une carte établie par
Christophe Colomb, lui même, et qu'il avait obtenue d'un marin du Génois, capturé par
Kemal Reis, son oncle. Il affime ainsi que Christophe Colomb,
n'a fait que redécouvrir l'Amérique, et qu'il a eu en sa possession un ouvrage datant d'
Alexandre le Grand, révélant qu'au bout de la Mer Occidentale
(c'est à dire aujourd'hui l'Océan Atlantique), tout à fait à l'ouest, il y avait de nouvelles côtes et des iles couvertes de métaux et de pierres précieuses et il affirme surtout, que, si Christophe Colomb offrit aux indigènes de la première ile découverte,
de la verroterie, c'est parcequ' il savait, aux dires de cet ouvrage, que ces gens adoraient cela. Voilà déjà un détail extraordinaire, qui semble-t-il
n'a jamais en effet encore été commenté ouvertement par les spécialistes. Et Piri Reis cite, en plus
des Vikings bien connus, qui ont abordé l'Amèrique avant Christophe Colomb,
Sanvobrandant devenu plus tard St Brandant, le Portugais
Nicola Giuvan puis
Anton le Génois etc...
Les cartes de Piri Reis découvertes, sont
sur parchemin en couleur, enluminées et enrichies de nombreuses illustrations et de portraits de souverains de divers pays et les légendes sont en turc. Les spécialistes turcs, nostalgiques de l'époque faste de l'Empire Ottoman se penchèrent sur ces cartes avec précaution et dévotion sans en tirer, pour cela, des conclusions notoires, mais ils en firent des reproductions qui furent dirigées de par le monde, vers les bibliothèques qui en firent la demande. Et c'est alors qu'en
1953, qu'un officier du
Service hydrographique de la US Navy, le
Captain Arlington H. Mallery, qui se penchait depuis des années sur l'étude des cartes très anciennes, en cherchant à décoder leur système de projection, tomba en extase sur
les copies des cartes de Piri Reis qu'il avait pu se procurer.
Il avait déja en effet constaté qu'une carte très ancienne
( la carte de Zeno,1558), malgré ses dissemblances d'avec les cartes modernes, était basée sur des réalités, longtemps oubliées, ou mêmes disparues, car cette carte montrait, par exemple, que
la terre du Groenland était divisée
(sous l'épaisse couche de glace qui la recouvre) en trois parties, ce que venait de découvrir en 1951, une expédition française dirigée par
Paul Emile Victor.
Arlington Mallery eut donc immédiatement l'intuition que ces cartes de Piri Reis recélaient également un mystère fascinant. Aidé de spécialistes en cartographie comme
le suédois Nordenskjöld qui mit
18 ans pour établir la correspondance du système de projection des parchemins martimes,
(les portulans) avec celui de la cartographie moderne, Mallery fut convaincu que les cartes de Piri Reis montraient, d'une part
les côtes orientales de l'Amèrique, pourtant bien dessinées
avec les longitudes parfaitement exactes, alors que Christophe Colomb
ne savait pas les calculer, mais d'autre part, ces cartes montraient aussi, vraiment, les rivages de
l'Antarctique et du Groenland, mais cependant, dans l'état où ces rivages se présentaient avant la glaciation actuelle des pôles.
En effet, d'après les techniques modernes
(gravimétrie, sondages sismiques, etc...), réalisées par les expéditions polaires de divers pays qui ont pu ainsi sonder sous
les 3300 m de la glace de l'Antarctique et les
4500 m de celle du Groenland, les conclusions de Mallery furent formelles: Le Groenland, tel qu'il est dessiné par l'amiral Piri Reis, correspondait aux lignes de relief trouvées par ces expéditions polaires et en particulier aux deux étranglements médians qui partagent ce territoire en trois parties, ce que révélait déjà, on le sait, la carte de Zeno.
De plus, dans la carte de Piri Reis de 1513, le rivage qui prolonge si longuement celui de l'Amérique du Sud, ne pouvait qu'être que
celui de l'Antarctique tel qui est actuellement à plus de trois mille mètres sous les glaces. Arlington Mallery prit alors le soin de suivre la carte, millimètre par millimètre et d'établir chaque fois la comparaison avec les données modernes. C'est ainsi qu'il constata, par exemple,
deux baies notées sur les cartes de Piri Reis à un endroit de la Queen Maud Land du rivage antarctique, alors que la carte récente de l'Antarctique établie par un certain
Peterman en 1954 ne montrait que de la terre ferme. Mallery posa si bien le problème au Service Hydrographique Américain, que des techniciens de haut niveau, entreprirent des sondages sismiques de vérification à cet endroit. Et, quelle fut leur surprise?
c'était la carte de Piri Reis qui avait raison.
Nous nous trouvons donc maintenant devant un dilemme inévitable, à savoir, soit que les documents
(portulans) , ayant servis à
Piri Reis à établir les cartes de 1513 et 1528 de son Bahiyre, ont été élaborés
avant le quinzième siècle, par une civilisation inconnue assez proche de nous, mais capable aussi, comme nous, de sonder sous la glace polaire, soit aussi, et cela est encore plus extraordinaire, que les données exactes de ces documents
ont été élaborées avant la dernière période glaciaire qui a débuté il y a plus de 10000 ans. A cette époque régnait, d'après la science officielle,
l'homme de Cro-Magnon qui ne connaissait, ni le travail des métaux, ni la culture de la terre, ni même la domestication des animaux et donc il ne pouvait aucunement réaliser des recherches cartographiques aussi pointues qui nécessitent, d'une part des explorateurs et des techniciens particulièrement compétants et organisés et surtout d'autre part, vue l'immensité du territoire,
des moyens de locomotion allant de l'automobile à l'avion..
Notons alors que
Byrd, pouvait à son époque, avoir eu en main cette publication du
"Illustrated London News" du
27 Février 1932, intitulé
"A Colombus Contoversy" ( Piri Re's Map), ou encore, il aurait pu lire aussi, entre autres ouvrages ceux-ci
:
"Turkish Interest in America in 1513 : Piri Re'is chart of Atlantic" ou encore
"scotland in the portulant charts " Scottich Geographical Magazine XLII (1926).
Nous sommes en
1933, et
Byrd ne pouvait avoir sous la main,
les divers ouvrages modernes parus bien après cette date, et ouvrages dont nous allons ici donner quelques passages :
En effet voici justement un ouvrage de référence paru en français, en
1981, mais aux USA dès
1966, et que
Byrd ne pouvait pas connaître :
Nous devons de plus avouer ici que, c'est
cette incroyable affaire des cartes de Piri Reis, qui fut l'une
des principales clefs de voute, à l'origine de la création en
Janvier 1997, du site
ARTivision , et on verra plus bas pourquoi !
Commençons, si vous le voulez bien, par le passage en page 15, du livre en question :
Voici maintenant, la
fameuse carte de Piri Reis, qui montre clairement, qu'à un certain moment,
L'Amérique du Sud était bien liée à l'Antarctique :
Les cartes de Piri Reis découvertes, sont
sur parchemin en couleur, enluminées et enrichies de nombreuses illustrations et de portraits de souverains de divers pays et les légendes sont en turc. Les spécialistes turcs, nostalgiques de l'époque faste de
l'Empire Ottoman, se penchèrent sur ces cartes avec précaution et dévotion sans en tirer, pour cela, des conclusions notoires, mais ils en firent des reproductions qui furent dirigées de par le monde, vers les bibliothèques qui en firent la demande. Donc en couleur on agrandi ce qui est présenté plus haut, et c'est mieux n'est-pas ! :
Mais, étant donnée l'importance de l'affaire, nous ne résistons pas au plaisir de vous présenter quelques passages de la Revue
PLANÈTE n° 29 de
Juillet-Août 1966 de
Paul-Emile Victor et
Arlette Peltant:
Et pour le novice,
qui n'a jamais entendu parler des cartes de Piri Reis , voici un petit plus :
Allez un petit plus, de la page 121:
Vous avez bien noté, nous l'espérons,
cette phrase stupéfiante :
" Nous ne comprenons pas comment ces cartes ont pu être dressées sans le secours de l'aviation. En outre, les longitudes sont absolument exactes .
"
Enfin, si vous voulez rêver davantage, voici le
Science et vie n° 516 de Septembre 1960, qui
est épuisé, d'après la
Rédaction de la Revue, et voyez vous-même ce document qui le prouve :
Nous avions hélas perdu ce numéro à l'époque, en
1997, mais grâce à l'heureuse initiative de
notre ami Jérôme Gorriz, nous avons pu le commander sur le Net et le recevoir
le 21 Juin 2012.
Mais pour les puristes, qui aiment partir des sources d'un document important, et au cas où l'on apercevrait ce
n° 516, de
"Science et Vie", dans un vide-grenier quelconque, voici une photo de sa couverture :
Et maintenant, voici le début de
cet article extrordinaire :
et, nous ne résistons pas au plaisir, de vous présenter ces
lignes remarquables, de l'article :
Mais il faut aussi savoir, qu'à la fin de cet article, on découvre un
court panorama d'énigmes archéologiques inexpliquées de l'époque, et énigmes
qui le sont toujours de nos jours :
Enfin rappelons aussi que dans ce
Science et Vie n° 516 de Sept 1960 , il y a de plus, un article de 9 pages
d'Aimé Michel sur les
Soucoupes Volantes, et pour en savoir plus sur
Aimé Michel, prière de se reporter à notre article :
Mais, poursuivons ce
26/02/2015, notre exploration des artéfacts surprenants qui existent sur cette planete, sans que
les bien-pensants, n'aient pu trouver
une seule explication logique à leur édification:
Et, il ne nous reste donc ici, qu'à élaborer notre 6
e focus :
Sixième focus : Quand ARTivision redécouvre les preuves incontournables, qui démontrent noir sur blanc , que le Passé de notre Planète Terre, est beaucoup plus fantastique, que les meilleurs auteurs de Science-, ne sauraient l'imaginer.
Il existe,
par exempleen
Bolivie,
un mystérieux lac, mommé
le lac Titicacca, qui est situé à
3800 mètres d'altitude et qui mesure environ 220 km sur 110 km et couvre une superficie de près de
6900 km2, et peut atteindre une profondeur de 300m à certain endroits. Voyez donc cette carte tirée de l'admirable ouvrage de
Graham HANCOCK publié par
Pygmalion en 1996 :
, et à la page 67, on trouve :
Ce lac est salé, et possède des poissons d'eau de mer. On pense que cette partie de la Cordilière des Andes, s'est soulevée suite à une catastrophe planétaire
(Chute d'une autre lune de la Terre ou frottement d'un metéor), et cela cela se passait il y a plus
de 100 millions d'années.. Or il est manifeste que
l'extraordinaire cité de Tiahuanaco, était jadis un port avec des longs quais se prolongeant le long du lac, mais il se trouve que les ruines de Tiahuanaco, sont dès lors à près
de 18 km au sud du lac (voir figure ci-dessus), et à une hauteur voisinant 30 m. Un jour on sera certainement surpris d'apprendre
l'énorme ancienneté de cette fameuse cité.
Mais demandons au petit livre de poche suivant :
,de nous en dire un peu plus :
Pas besoin de dire
qu'un tel travail sur cette pierre si dure et si bien poli, ne s'est pas fait avec
des burins en cuivre, ou des bifaces en silex, car on nous apprend bien sur, qu'à cette époque, les indigènes ne connaissait pas l'acier.
A vous de juger, documents à l'appui.
Mais, pour
les novices ingénus, qui découvrent actuellement le site
ARTivision, présentons ici aussi, cette superbe
boule de granit, découverte dans les jungles du
Costa Rica, et exposée sur une place publique du pays :
ou encore :
Mais c'est le célèbre l'explorateur suisse,
Erich von DÄNIKEN, dans son remarquable ouvrage
"Retour aux étoiles", publié chez
R. Laffont en 1971, ou plus récemment chez
J'ai Lu (numéro A 322), qui nous a admirablement présenté ces artéfacts extraordinaire découverts dans le petit État du
Costa Rica, en Amérique Centrale.
Vous avez aussi bien sûr,
cette boule de 12 tonnes, que montre
notre page d'accueil, et qui est analysée par le
Dr Stirling et sa femme:
Mais, sil vous voulez en voir plus, analysez donc avec le
Dr Smith,
cette manifique courbure, d'une autre boule :
Là non plus, on ne pourra pas nous dire, que
se sont des artistes bricoleurs, qui ont réalisé
ces boules si parfaites,
avec les outils primitifs qui sont supposés, d'après nos universités, exister à l'époque, .
On trouve ces boules bien pleines, parfois
au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et elles sont dispersées çà et là . Leur diamètre nous dit-on va de quelques centimètres, à près de
3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée parait-il
(nous aimerions bien en voir une photo) pèse environ
30 tonnes (Voir à ce sujet la page 303 du livre de Gérard DEMARCQ :Les PARATERRESTRES Editions RAMUEL Juin 1997.)
Ces boules admirables sont-elles un simple
caprice de la Nature ? Concernant
la boule étudiée ci-dessus , par le
Dr Smith, nous rejetons sans réticence cette hyphothèse. Mais notons bien qu'il existe aussi des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan, ou même certains galets géants qui auraient roulé dans le lit d'une rivière durant des siècles, grâce à la puissance de l'eau, et qui pourraient approcher une forme presque sphérique
L'auteur
Erich Von DÄniken , nous précise surtout qu'il a dû parcourir, dans la région de
Piedras Blanca, au sud-est, près
de 100 km en Landrover, dans une jungle hostile, où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa, à un certain moment, d'aller plus loin. Et pendant encore une heure de marche, aidé d'un guide expérimenté qui courrait devant lui pour écarter les araignées géantes aux morsures mortelles, il réussit à se trouver en face de
deux énormes boules parfaitement sphériques, et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement dit-il parce que ces boules de
Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle, que cela valait la peine d'aller les filmer".
En effet, il faudra bien se poser alors la question de savoir
comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.
Trois possibilités s'offrent alors à nous :
- Soit que ces boules ont été taillées
(avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine
( puisse qu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région ), dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins
24 tonnes pour les boules de
2,5 m de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes,
(une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait ), puis on doit alors penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt, et abandonnées là, de plus pour une raison incompréhensible.
- Soit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là,
avant l'arrivée de cette forêt ce qui nous place, dans des temps
plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.
- Soit encore plus fort, ce sont
les Dieux évoqués ci-dessus, et dont parlent tant de mythologies qui avec
leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de
ces Dieux, est sujette à caution, dans notre enseignement universitaire. C'est pourtant cette thèse
hors normes , que nous développons justement dans cet article:
Et voici dans ce but un petit plus
très transcendant qui nous vient du
Collectif Soria formé, on le sait, de
4520 entités cosmiques, et tiré du livre :
" Tous vos dieux et déesses mythologiques furent des visiteurs de l'espace en mission temporaire sur votre sol .
Leur histoire demeure encore vivante dans vos
livres en ce qui a trait à leurs manifestations passées. Votre
mémoire présente range ces existences anciennes dans une
catégorie que vous appelez ironiquement mythe. Si votre
mémoire ancestrale conserve le souvenir plus précis de ces
dieux et déesses, elle n'a pas retenu tous les êtres vivant
autour d'eux et en provenance des mêmes étoiles. Chaque
grande épopée accompagnant les humanités a vu atterrir les
vaisseaux voyageurs que vous désignez actuellement par le
mot ovnis.
À ce sujet, il y a fort longtemps que votre Terre n'accueille plus de visiteurs de l'espace consciemment et en
instituant des échanges. Vous vous apprêtez toutefois à
renouer avec une de ces époques. Les précédentes ont d'abord
connu une phase d'essor entre les intéressés, puis une autre de
dissension entraînant enfin un repli des visiteurs stellaires. Le
dernier repli fut à l'origine de la décision de la pose des
cercles d'isolement. Le départ de chaque vague de visiteurs
a aussi entraîné une période de décadence de l'humanité
résidente. Sur l'Atlantide, ce fut l'amorce de la disparition
physique de cette portion de terre et de la décision d'une
partie de ses habitants d'entrer dans les entrailles de cette
planète. La dernière civilisation à adopter la même attitude
fut, du temps de l'Égypte, au faîte de son histoire. Actuellement, vous n'en étudiez que la phase décadente ; les
pharaons installés dans l'aisance des communications et des
échanges entre le ciel et la Terre n'ont pas laissé de traces."
Extrait des pages 185 et 186 de Voyage tome III aux Editions Ariane, premier trimestre 2002.
Le passage précédent est
d'une telle importance pour
ARTivision qu'il a été repris dans de très nombreux articles, et dont le plus corsé est :
Et ce passage est à la base de toutes les recherches poussées
d'ARTivision)
Que celui, qui a de bons yeux, pour les admirables images qui précèdent , en tire la conclusion logique, qui s'impose, et surtout, le désir latent, de pousser plus avant les investigations.
Mais ce
28/02/2015, poursuivons, une fois de plus, notre exploration
d'un autre modèle surprenant d' artéfacts, qui existe
encore au Mexique ( Têtes Olmèques), ce qui met bien mal à l'aise
ethnologues, archéologues et consorts, qui préfèrent ne pas trop en parler.
Rappelons en effet que concernant le Mexique, dans un autre article, nous avons présenté déjà
l'extraordinaire chronique,
des entités mayas à 4 droigts, venus dont ne sait où et ayant les yeux très ovales et inclinés<:
Mais, dans les images suivantes il ne sagit plus du tout
de masques rituels (comme on l'a si souvent évoqué pour noyer le poisson), mais bien
d'astronautes manipulant des instruments dans une cabine :
De plus il y a cette extraordinaire gravure :
Que fait donc
cet épi de maïs, sur le coté gauche de cet artefact ? Or on sait que cette espèce végétale , est
originaire du Mexique, et constituait
l'aliment de base des Amérindiens, avant l'arrivée en Amérique de Christophe Colomb.
cette plante fut divinisée dans les anciennes civilisations d’Amérique centrale .
Alors pour
ARTivision, ce dessin du maïs sur la gravure précédente, cela ne peut signifier que le fait,
que ce maïs, a été effectivement apporté par les aliens aux yeux ovales et inclinés, de leur planète sur la Terre, au moment de leur arrivée. Merci donc mille fois à l'internaute qui retrouvera dans les légendes du pays,
le fait que ce sont bien les dieux ( nom ancestral des aliens), qui ont apporté,
ce maïs , au peuple amérindien.
Mais venons en à nos têtés olmèques du Mexique :
En 1758, un certain
Carl Von Linné proposa dans son livre
Systema Natura , quatre variétés
d’Homo sapiens, en leur attribuant des caractéristiques très peu scientifiques : Il y avait à peu près cela:
- La race rouge en Amérique ...
- La race blanche en Europe...
- La race jaune en Asie...
- La race noire en Afrique...
Maintenant
cette distinction n'est plus acceptée , et seule
la race humaine, est prise en compte dans les rapports sur l'homo sapiens.
Mais, remontons à
l'Amanach Hachette de 1950, et à côté, plaçons une publicité de la page 31 :
Dans la page publicitaire,
(qui a occasionné des remous médiatiques beaucoup plus tard) , on nous fait voir ici, que certaines catégories de la race dite à l'époque,
noire ( par exemple, les Ethiopiens s'en écartent de beaucoup), ont comme caractérisques essentielles d'avoir
les lèvres épaisses et le nez plus ou moins applati : Voici une photo prise en
Afrique Équatoriale Francaise, dans les années
1930 :
d'où, nous extrayons deux individus, qui entrent bien dans cette catégorie évoquée ci-dessus :
Mais jetez maintenant, un coup d'œil, sur cette tête olmèque publiée le
2 Février 1947, par le journal américain
"The Miami News" :
Ne trouvez-vous pas là,
un très bon air de famille, et une forte analogie avec cette affaire
de lévres épaisses et de nez applati.
Et là ci-dessous, côté lèvres, on est servi n'est-ce pas !!
Mais voyons aussi ceci :
Allez voici un petit plus, où une une amie sert à donner l'échelle).
Des noirs considérés comme des Dieux , puisque, l'on a jugé bon de leur ériger de colossales statues dont certaines pésent près de 18 tonnes, comme celle-ci de Véracruz:
La question à 1000 € , est désormais de savoir comment des noirs d’Afrique sont arrivés là, au Mexique, bien avant le commerce appelé pudiquement
" le commerce triangulaire ", dit esclavagiste. Chez les
ethnologues, archéologues et consorts c'est
le silence de la pierre tombale. Mieux, pour eviter de contredire ce que l'on enseigne dans les universités, la parade a vite été trouvée :
" Ces têtes mexicaines n'ont rien à voir avec les noirs d'Afrique,, car il existe aussi des têtes asiatiques, et c'est donc une comunauté inconnue.
"...
Point Barre.
Ce qu'ils oublient de dire, c'est que
ces têtes sont casquées et sanglées comme des explorateurs en mission, et même, regardez bien l'oreille gauche de celui-ci :
En effet, sur l'oreille gauche du sujet, apparaît
nettement branché,
une sorte
d'appareillage très particulier. A quoi pouvait-il
bien servir ? Ces explorateurs connaissaient-ils un moyen d'amplifier et de capter le son à distance ?
A vous de juger tout cela, documents à l'appui.
Peut-être qu'en visualisant le tableau suivant,
une petite idée jaillira :
Vous n'avez pas encore saisi de quoi il s'agit, alors il vous faut aussi savoir
qu'à ses préliminaires, le
site
ARTivision a diffusé
la
théorie des anciens
astronautes (au grand désarroi de
nos vis à vis, intégrés dans le cursus culturel
habituel) et théorie que l'on ne nous enseigne
pas bien sûr dans nos universités. C'est en effet, notre Sinbad des temps modernes Robert Charroux, né
Robert Grugeau le 7 Avril 1909 à Payroux et qui nous a quitté le 24 Juin 1978 à Vienne en France, qui a été
l'un des premiers écrivains
actuels à lancer en France, cette théorie des anciens astronautes, encore appelée
le néo-évhémérisme
, et thèse toujours contestée par les archéologues
officiels.
Nous avons résumé tout cela, des
années après, dans nos articles :
Le Dimanche
14 Janvier 2001 nous avons
eu la chance d'enregistrer l' émission
E=M6, à notre avis bien sûr, fut ce jour là exceptionnelle, car elle reflète parfaitement les motivations essentielles du site
ARTivision. En
effet cette émission consacrée
aux énigmes égyptiennes , nous
présente entre autres choses, les efforts démesurés faits par des
scientifiques pour arriver à ériger de
minuscules obélisques avec des cordes énormes modernes très résistantes
(cordes,
dont il reste à démonter qu'elles existaient abondamment à l'époque) et cela en
faisant glisser du sable autour du socle
de ces obélisques. Mais ce sont surtout
les deux énigmes
suivantes qui ont retenu
notre attention :
 Voici donc ces
deux enigmes archéologiques, qui rejoignent parfaitement
les tenants et aboutissants, de cette affaire
de têtes toltèques du Mexique ayant des caractéristiques de certains noirs d'Afrique :
Première énigme :
1976,
la momie de Ramsés II qui présentait des moisissures, fut envoyée en France par
le Musée du Caire, pour des soins d'urgence. Des échantillons de la substance d'embaumement furent
prélevés par
Michelle Lescot, botaniste au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris.
Elle découvre alors avec ahurissement que ces échantillons contiennent
des feuilles de tabac, ce qui parait
impossible, d'après les connaissances actuelles, car le tabac n'a pu
être rapporté en Égypte via l'Europe que
2700 ans plus tard au
retour de Christophe Colomb.
Deuxième énigme :
16 ans plus tard en
1992 une découverte toute
aussi étonnante va avoir
lieu.
Svelta Balabanova une toxicologue de Munich,chargées
d'étudiée les drogues utilisées pour réaliser la momie
vieille de 3000 ans,
d'Enouctaoui (écriture non garantie), une
prêtresse égyptienne, découvre
alors, elle aussi avec stupéfaction, que le corps de cette momie
contient de grandes
quantités de cocaïne et
que de plus, l'analyse des cheveux prouvent que cette prêtresse
en avait, elle même,
consommée
avant de mourir. Cette
annonce fait
l'effet d'une bombe, et la scientifique allemande reçoit
alors des montagnes de lettres,
presque menaçantes, des lettres d'insultes (vous
avez bien lu, et ceci est à rapprocher de l'affaire Glozel citée dans un de nos articles ) disant que tout cela
était absurde et impossible, car il était soi-disant prouvé, qu'avant Christophe Colomb, cette plante,
la
coca , d'où l'on extrait
la cocaïne,
n'existait nulle part ailleurs, qu'en
Amérique . Et la toxicologue allemande, s'est vue alors obligée d'affirmer
dans l'émission, qu'il ne peut y avoir d'erreur dans la méthode d'analyse ,
et que
cette méthode a fait ses preuves des centaines de fois.
" On se prend alors à rêver dit le commentateur de l'émission. Et si les égyptiens avaient eu des contacts avec le continent américain....Mais un jour il faudra bien se rendre à l'évidence les peuples de l'Antiquité connaissaient sûrement mieux la planète qu'on ne le pense aujourd'hui.Il faut bien dire que la plupart des égyptologues ne croient pas à cette hypothèse, mais pour l'instant il n'y a pas vraiment d'autres explications
"
Nous n'avons pu révéler, hélas, qu'une petite partie de cette émission. Alors messieurs les puristes, à vos enregistreurs, elle repassera sans doute un ce ces jours sur les ondes.
Pour en savoir bien plus sur cette affaire prière de se reporter l'
url:
Fin de citation.
Autrement dit
le chercheur qui veut sortir des sentiers battus, aura en face de lui,
la féroce opposition des pontifes,
bien assis dans cette société, pourtant en grande mutation .
Toujours dans la stricte continuation de ce qui précède, ce
02/03/2015, il nous vient à l'idée de vous présenter une affaire très contemporaine qui nous montre clairement comment un fait tout simple s'érige au cours des siècles en mythe, puis en religion.
Nous avons dans nos dossiers, la cassette vidéo suivante tirée d'un film de
1970, fait d'après les écrits d'
Erich Von Daniken :
Helas la détériorisation due à l'humidité de cette cassette, fait qu'elle ira sans remission un jour à la poubelle.
Heureusement que l'internet est venu à notre secours et que l'on peut découvrir des extraits de cette cassette à l'url :
En effet, nous avons de nos jours, eu la chance d'assister à la
naissance
, sans qu'on comprenne comment cela fut possible.
Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi s'appliquer ici à cet ouvrage. En effet pour les puristes présentons d'abord des extraits des pages 124 à 127, qui concernent justement notre affaire vue plus haut, des
Voyons maintenant ce que notre très modeste traduction pourrait donner :
Aujourd'hui, ils sont un rappel et un anathème apparente à certains quelques scientifiques qui ne peuvent accepter que toute civilisation, peut-être plus avancée que la leur, aurait pu exister sur terre il y a plus de 8000 années.
se trouve sur un pic de montagne au-dessus modem Cuzco, des hautes Andes du Pérou. Certains des pierres utilisées dans la construction de l'arc des parois dudit peser environ 200 tonnes chacun. Ils se adaptent si parfaitement et précisément que vous ne pouvez pas insérer une lame de couteau entre eux.