" D'autre part, en se reportant à ce que nous avons expliqué sur le symbolisme du "Pôle", il est facile de voir aussi que la montagne du Paradis terrestre est identique à la "montagne polaire" dont il est question, sous des noms divers, dans presque toutes les traditions : nous avons déjà mentionné le Méru des Hindous et l'Alborj des Perses, ainsi que le Mont-salvat de la légende occidentale du Graal ; nous citerons aussi la montagne de Qâf des Arabes , et même l'Olympe des Grecs, qui, à bien des égards, a la même signification. Il s'agit toujours d'une région qui, comme le Paradis terrestre, est devenue inaccessible à l'humanité ordinaire, et qui est située hors de l'atteinte de tous les cataclysmes qui bouleversent le monde humain à la fin de certaines périodes cycliques. Cette région est véritablement la "contrée suprême" du reste, d'après certains textes védiques et avestiques, sa situation aurait été primitivement polaire, même au sens littéral de ce mot; et, quoi qu'il en puisse être de sa localisation à travers les différentes phases de l'histoire de l'humanité terrestre, elle demeure toujours polaire au sens symbolique, puisqu'elle représente essentiellement l'axe fixe autour duquel s'accomplit la révolution de toutes choses.".
Confondre
l'Olympe des grecs et
l'Hyperborée,
(mentionnée plus haut), c'est vraiment faire un
amalgame fallacieux et dérisoire, bien que ce
René Guenon, reconnaisse qu'à
l'origine, la localisation de la fameuse
"contrée suprême", d'après certains textes,
aurait été primitivement polaire.
Voyons maintenant
un autre son de cloche, bien plus réaliste :
En effet c'est le grand ésotériste français
Serge Hutin, qui dans son petit livre de poche intitulé
"Hommes et civilisations fantastiques" paru en
1970 chez l'Editeur
J'ai Lu dans la remarquable collection hélas disparue
" L'Aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues" n° A 238 :
nous dit, en page 44 et 45 ceci :
,
cela prouve bien sûr que,
Serge Hutin, était particulièrement informé
sur
ces mystères
polaires,
( que certains auteurs,
préfèrent ignorer, voir par exemple l'affaire Serge
Jodra à notre article : PreuvesFlagrantes.html), car il connaissait,
déjà en
1970
(avant la parution en 1971 du livre français), le livre en anglais de 1964
R. Bernard,
(déjà présenté ci-dessus).
Mais cet auteur, qui a bien compris
l'énorme importance de cette affaire polaire, va nous en dire,
bien plus, dans un nouvel ouvrage paru en 1976, tel que :
Et là, en pages 46 et 47, il met carrément
le pied dans le plat :
Précisons alors que, ce n'est qu'en
1913, que l'écrivain américain,
Marshall B.Gardner, un habitant d'AURORA dans l'Illinois publia, à ses frais, un petit livre intitulé
"Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait état de
ce soleil central. En
1920, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.
Voici donc une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de
son incomparable ouvrage, et qui vaudra sans doute bientôt,
bien plus que son poids en or ...
Mais ce
23 Juin 2018, disons aussi alors que
le valeureux peuple Esquimau, a aussi
dans son Passé, cette autre légende, qui nous interpelle grandement, et que nous avons déjà aperçue
plus haut, à la fin de ce document recomposé par nos soins :
On le sait déjà, que cette citation concernant
des oiseaux métalliques, ayant transporté, il y a des lustres, les esquimaux, est extraite de notre exemplaire de poche, intitulé
"Le Matin des Magiciens" de
Louis Pauwels, et de
Jacques Bergier, paru en France, en Décembre 1972 :
D'abord, on voit que,
les célèbres auteurs de cet ouvrage, se posent
à juste titre, les questions relatives
à la migration vers le Grand Nord, de ce peuple d'esquimaux, dont parle le
New York Herald Tribune du 11 Juin 1958 en question :
" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.
- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier
du globe?
- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan ?
- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ... "
Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse,
déjà hardie pour l'époque,
de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.
On voit aussi que, les auteurs en question, pourtant si précis d'habitude, dans leurs propos, ne nous disent pas,
où ils ont pu puiser une si surprenante déclaration, du folklore esquimau, disant que : " ces tribus ont été transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps, par des oiseaux métalliques géants "
Mais, on peut aisément supposer que
cela se trouve justement dans l'article de l'Institut Smithson
paru New York Herald Tribune du 11 Juin 1958 en question. Merci donc mille fois, à l'internaute béni, qui pourra trouver sur le Web, une copie de ce super article...
Pour fignoler l'affaire, disons aussi que ces messieurs
Jacques Bergier et Louis Pauwels, ironisent d'abord sur l'attitude qu'avaient
les archéologues de XIXe, au sujet de ces oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques d'absurdité.
Mais,
nous, qui avons découvert
les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur
ce passage surprenant...
Le site
ARTivision, prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de
la Terre intérieure, vers
les zones polaires, et l'on va vite découvrir
pourquoi, dans d'autres documents.
Mais, ces savants du
XIXe, avaient certainement entendu aussi parler de
descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés vimanas, et qui circulaient à l'époque dans la région des Indes, comme nous le décrit ce passage des pages 257 à 258 de notre livre de poche :
Ces savants du
XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens,
de purs contes et de légendes imaginaires... Et vous, qu'en pensez-vous maintenant ?
Voici d'ailleurs, une vue d'un artiste contemporain, repésentant
deux vimanas en mouvement , tableau,
hélas dont nous ignorons l'origine :
Pour en savoir plus à ce sujet, prière de consulter notre article :
Mais, dans cette affaire, il nous fallait donc trouver au moins
un autre ouvrage, révélant ce fait concernant des
d'oiseaux métalliques transportant les esquimaux ...
En fouillant, dans notre bibliothèque, nous sommes tombés
très heureusement Hum, hum... , sur l'ouvrage intitulé en anglais
"Not of this World" de
Peter Kolosimo, dont la traduction est en français nommée :
"Archéologie Spatiale", paru en
1971 chez
Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue :
"Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :
Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé
les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que
des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien
"le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.
Dans le livre de poche en anglais paru en
1970, on trouve en page 92, ce passage :
, et en français, un an plus tard, voici la traduction du passage précédent, concernant les esquimaux, et qui est en page 101 :
Mais, il existe
une troisième énigme relative au folklore des esquimaux, et pour la mettre évidence, nous sommes obligés de revenir, à
l'ouvrage important du Dr SENN,
(non traduit hélas en français, et déjà présenté, plus haut : )
En effet, dans cet ouvrage, on trouve aussi,
un autre fait qui surprend, et qui concerne
la vie des esquimaux :
En effet, quand on demande à certains de ces derniers,
où ils supposent que leur entité va après la mort, ils
ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni
le soleil du jour, ni
les étoiles du soir, ni
l'immensité du cosmos qui les environne, mais
ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à
l'intérieur de la terre, d'une
bien autre manière, que nos savants actuels, qui y placent
un torride redoutable feu central, fait de
métaux en fusion ...
Voici donc, un extrait des pages 206 et 207
restructurées par nos soins :
Et, voici donc notre modeste traduction :
Religion
"La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.
"Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."
Fin de la traduction.
ARTivision, croit alors que tout cela s'apparente, à
des réminicences ancestrales d'un passé millénaire, ayant trait à une
époque bénie, où ces esquimaux vivaient
à l'intérieur paradisiaque de la planète...
En respect, pour ce peuple si valeureux, voici quelques vignettes de leurs silhouettes :
N'est-ce pas alors le moment, de replacer ici,
notre amusante réplique, vue plus haut, et légèrement modifiée :
"Légende, vous avez parlé de légende ? Comme cela semble très... légendaire"
Mais, ce
25 Juin 2018, voyons
un dernier fait incroyable qui concerne une fois de plus, le Peuple des Esquimaux...
Disons alors que, c'est le
31 Mai 2012, que nous avons eu le
grand bonheur, de recevoir de l'ami intenaute
Phil du Temps de Paris, les 16 pages photocopiées, de l'ouvrage de
1873, d'un certain
Jules Gay ( qui fut à l'époque, professeur de Physique à Montpellier), et ouvrage intitulé :
"La Mer libre du Pôle Nord" :
Mais voici la missive en question :
From: Phil Du T.....
Sent: Thursday, May 31, 2012 7:09 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: De la part de Phil de PARIS !...
Bonjour de Métropole cher Fred !
Vous avez écrit :
"Merci d'avance à l'internaute béni, qui pourrait découvrir cet ouvrage quelque part."
Et bien voilà, l'heure de la bénédiction a sonné ! Le texte va s'étaler sur plusieurs mails pour éviter les lourdeurs risquant d'entraver la correspondance entre nos deux adresses...
Bonne lecture !
A bientôt Fred !
Avec tous mes encouragements et mes vifs remerciements pour votre travail !
Fin de citation
C'est ainsi que les 16 pages de l'ouvrage sont arrivées chez nous sous forme d'images, dont nous allons ici vous digitaliser sans crainte certains passages, car cet ouvrage a
bien plus de 70 ans, et est donc tombé dans
le domaine public.
Présentons d'abord le début,
tel quel, en page 5 :
On voit alors déjà, que pour nous guider dans notre perception du sujet évoqué,
le professeur Jules GAY nous présente d'emblée, à juste titre,
( très utiles pour les puristes) quelques ouvrages disponibles à son époque, et que nous rassemblons dans la liste suivante, en invitant alors les internautes qui pourraient retrouver
ces ouvrages anciens, de bien vouloir, nous en toucher si possibe, deux petits mots :
- Histoire des deux voyages entrepris par ordre du gouvernement anglais, l'un par terre, dirigé par le Capitaine Frankling, l'autre par mer, sous les ordres du capitaine Parry, traduit de l'anglais. 1 Vol in 8, Paris Gide 1824
- Voyage à la recherche du passage N. O. pendant le années 1829 à 1833. par Sir J. ROSS, traduit de l'anglais par Defauconpret. 2 vol in 8 Paris 1835.
- Voyage dans les régions arctiques à la recherche du capitaine Ross en 1834 et 1835 Capitaine Back, traduit par Caseaux; 2 vol . In 8. Paris, Artus Bertrand 1836.
- Journal d'un Voyage aux Mers Polaires de J.-R. Bellot 1 vol In -12 Pérotin libraire Editeur 1866 .
- La Mer polaire - De Lanoye - 1 vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Voyage dans les glaces du pôle arctique - Hervé et De Lanoye - vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Voyage of the Fox, in the Arctic seas - Mac Clintock - In 8 Londres 1859.
- Discovery of a N.-W. Passage by H.M.S investigator 1850-54 - Mac Clure - In 8, Edimbourg 1865..
- Stray leaves from and Arctis journal 18 Months in the Polar regions, - Osborne - in 8 Edinbourg 1865
- The polar Regions Richardson - in 8 Edimbourg 1861
- Artics Explorations - Kane - in 8 Philadelphie 1857.
- Du Spitzberg au Sahara - Ch. Martin - in 8 Paris 1866.
- Esquisse physyque des îles Spitzbergen et du pôle Arctique - Ch. Grad - in 8 Paris 1866
- Les voyageurs au pôle Nord - Desprez - in 8 Paris 1869
- La Mer libre du Pôle . - Dr Hayes - trad. par Ferd de Lanoye, In 8 Paris Hachette 1868
- Lettres écrites des régions polaires. - Lord Dufferin - trad. par Ferd de Lanoye in 8, Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Année géographique - Vivien de Saint Martin - Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Le Tour du Monde journal des Voyages. Paris Hachette ( Auteur et date non mentionnés).
- Le Bulletin de la Société géographique (n°s non mentionnés).
- Geograph Mittheilungen - Aug. Petermann -(date non mentionnée).
etc etc ...
Mais poursuivons donc maintenant, la digitalisation de quelques passages de cet opuscule :
" Les bords de ce bassin polaire , de cette espèce de cuvette qui l'occupe l'extrémité Nord de notre globe sont maintenant connus. Les côtes de l'Asie ont été déterminées avec précision, depuis longtemps déjà, par les officiers russes. Quant aux côtes septentrionales de l'Amérique, elles ont été plus récemment décrites. Jusqu'en 1818, on n'en connaissait que les deux extrémités et un ou deux
points intermédiaires. A partir de cette époque, les admirables voyages de Franklin et de ses émules, les Parry, les Ross, etc. ; puis à
partir de 1845, les expéditionq envoyées â la recherche de l'illustre
Franklin ont achevé le relevé de ces côtes sur l'immense étendue de
75 degrés en longitude. En méme temps, ont été parcourues et déterminées la plupart des îles qui forment l'archipel du nord de l'Amérique;
les côtes occidentales du Groënland ont élé relevées, justlu'au 83° degré de latitude, par les Américains Kane et Hayes. Mais qu'y a-t-il au
delà de ce 80" parallèle, qui, trois fois seulement, a été notablement
dépassé par Parry, en 1827, par Kane en 1854, par Hayes en 1861 ?
A cette question il est permis de répondre avec une probabilité
équivalente presque à une certitude : Il y a une mer, libre au moins
pendant l'été. Cette mer contient peut-étre quelques iles ; elle est
entourée par une ceinture de glaces à peu près immobiles pendant
l'hiver, qui se brisent en été, et dérivant rapidement vers le sud
vont fondre dans les eaux chaudes de l'atlantique et du Pacifique."
Fin de citation :
Au bas de la page 15, et au début de la page suivante, nous découvrons alors
cette déclaration époustouflante de Jules Gay :
"... Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habitants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices
d'un climat plus doux vers le nord. " Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note du Webmaster: il s'agit bien sûr du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude située au nord, sont arrivés sur leurs côtes."
Etant donnée, l'importance
d'une telle déclaration, le Webmaster du site
ARTivision,
serait bien aux anges, s'il pouvait en découvrir
l'origine russe, et l'ouvrage
qui l'a publiée en premier.
Mais pour
les puristes, voici aussi ce que l'on peut lire en pages 14 et 15 :
" Au nord de la Sibérie, des résultals semblables ont été obtenus, et les explorateurs ont toujours trouvé la mer libre au-delà d'une ceinture de glace. adhérentes aux côtes " Au nord des îles de la Nouvelle Sibérie, par 76 degrés de latitude, dit Hedenstöm, on trouve un océan qui ne gèle jamais; même en Mars, je n'y ai vu que peu de glaces flottantes. " Le gouvernement russe chargea en 1819 le lieutenant, depuis amiral Wrangel (décédé en 1870), d'explorer les rives septentrionales de la Sibérie et de s'élever le plus possible au nord en taîneaux. Pendant trois années, Wrangel fit des efforts prodigieux pour s'élever ainsi vers le nord; chaque fois, il fut arrété par l'eau libre et obligé de regagner la côte en toute hâte, non sans courir de graves dangers, par suite de la faible épaisseur des glaces et de l'agitation de la mer, qui menaçait à chaque instant de rompre la crôute solide. En dernier lieu, en 1823, à 17 milles allemands de la terre, par 70° 51' latitude, M. de Wrangel étant monté sur le plus élevé des blocs de glace, "la mer ouverte s'étendait devant nous, à perte de vue", et nous dûmes abandonner le but que pendant trois ans, à travers des privations, des misères et des dangers de
toutes sortes, nous nous étions efforcés d'atteindre. Le courant
était dirigé avec une vitesse de 4,3 milles à l'heure...Depuis, les baleiniers américains, particulièrement les capitaines Long et Rodger, se sont avancés fort loin dans cette mer libre, cette Polynia des Russes, vue par Hedensöm et Wrangel".
Tout ce qui précède, justifie n'est-ce pas,
à lui seul, les nombreux articles, où
ARTivision, affirme
l'existence effective de cette mer libre du Pôle Nord, dont nous parlerons bientôt et que
l'on nous cache depuis des lustes, en très Haut lieu ....
Finalement ce fascicule de
Jules GAY est très important pour nous faire toucher du doigt les phénomènes polaires que
les médias de l'époque et même ceux d'aujourd'hui ont évité soigneusement de mettre exergue, comme
par exemple, le fait que l'on ait trouvé dans la zone polaire boréale,
beaucoup d'arbres qui flottaient dans la mer et qui étaient d'espèces inconnues, et le site
ARTivision, s'est évertué avec beaucoup d'efforts, à poursuivre des recherches
très prosaïques, sur cette affaire, qu'aurait pu et dû poursuivre
Jules GAY, et
là, nous devons
hélas avouer
qu' il a vraiment loupé le coche, alors qu'il était arrivé tout près de la
Superbe Vérité, qui inéluctablement bientôt, éclatera. En effet,
Jules GAY a eu le grand mérite de transcrire la déclaration de
Mr de Wrangel,
( que nous n'aurions sans doute jamais connue) , et qui donne la parole
>aux esquimaux Tchoukises, qui affirment dans leur tradition que
des bateaux et des hommes sont venus chez eux, d'une île plus chaude, située au nord...
Autrement dit, déjà en
1873, certains chercheurs comme
Jules GAY, admettait qu'il pourrait y avoir au sein de
cette Mer libre du Pôle Nord, des
îles habitées inconnues.
La démarche du site
ARTivision est justement, de démontrer,
documents à l'appui,
qu'il s'agit bien plus que des îles disparates inconnues, mais plutôt, d'un immense continent situé à l'intérieur de la Terre qui est creuse, quoiqu'en pensent
les détracteurs zélés et autres intellectuels blasés , mais,
continent révélé fantastiquement par l'amiral Byrd des USA, et ceci est parfaitement connu de nos gouvernements, qui le cachent au Monde entier, pour de vulgaires questions de politiques sécuritaires économiques, et surtout militaires.
Mais,
le Temps des Révélations est bien arrivé, et les
Sbires des Forces de l'Ombre et leurs instigateurs, vont bientôt
mordre la poussière,
(poussière dont nous parlerons justement plus bas), afin que cette planète devienne enfin un havre de
Paix et d'
Harmonie " .
Aux dernières nouvelles
un très aimable internaute GR, nous indique que l'on peut désormais trouver le livre
de Jules Gay en PDF à :
Mais voici donc
un petit plus, qui va bien nous éclairer sur
ces mystères polaires si bien occultés par nos hauts dirigeants, et
par exemple, voici, ce que nous dit au sujet de
cette mer libre, le grand explorateur,
le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin
(28 Février 1820 - 16 Février 1857), de la Marine des USA, et qui fut un très grand explorateur polaire du
19 e siècle.
On sait qu'il publia en
1857, cet ouvrage connu que l'on peut trouver sur le site :
Et pour les puristes, voici en anglais, le
paragraphe surprenant qui nous intéresse :
Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :
" Il est
impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on
découvre, ici, encore une fois,
l'incompréhension des
observateurs de l'époque , devant ce
phénomène hors normes de
la mer libre du pôle.
Alors
chers détracteurs zélés et consorts intellectuels blasés de cette civilisation actuelle, sauf de dire que
Dr Elisha Kent Kane, était plutôt
timbré, nous attendons
votre réponse de circonstance sur ce sujet...
Mais disons également ici, qu'il y a aussi des chercheurs, comme
Jules GAY, dont nous possèdons certains ouvrages, qui, tout en n'étant pas des explorateurs, ont largement évoqué
cette mer libre du Pôle, dans
leurs investigations, comme
Buffon, Boiteau, J-p Bellot, Jules Verne, Daines Barrington, ...etc...
Tous ces gens ne peuvent avoir menti, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas avec
la rigueur morale, et pour
les puristes, qui recherchent des documents d'origine, il nous vient à l'idée de présenter ici l'ouvrage de
1818, d'un certain
Daines Barrington, que nous avons sous la main
:
libraryAmbaFrance-org-ukn2.jpg
Et nous découvrons alors en page 37, ceci :
Une modeste traduction pourrait donner alors :
" Le Capitaine
Goulden, qui avait fait plus de trente voyages au Groenland,
a rapporté à Sa Majesté, que,
étant au Groenland pendant une vingtaine d'années, il fut en compagnie de
deux Hollandais à l'est de l'île
d'Edge. Comme les baleines fuyaient la côte, les deux Hollandais se
déterminèrent à aller plus loin vers le
nord, et après une quinzaine de jours, ils furent de retour. Ils
dirent alors qu'ils avaient navigué jusqu'au 89
° de latitude nord , et qu'ils ne rencontrèrent pas de glace, mais
une mer libre et ouverte, et qui
avait une configuration ressemblant à celle de la baie de Biscaye. M. Goulden n'étant pas satisfait par cette brutale révélation, ils lui ont présenté quatre journaux de bord des deux
navires, qui en témoignaient catégoriquement, et cela, en quatre minutes, reçu
l'agrément de tout un chacun. "
Comme il serait intéressant n'est-ce pas, de retrouver la trace de la déclaration de
ce Goulden, et bien sûr, aussi le nom de ces hollandais et
surtout
leurs journaux de
bords, s'ils ont été conservés dans des bibliothèques
!!!
Mais, pour ces mêmes
puristes, qui aiment remonter aux sources, voici encore un autre document
très significatif à cet égard, et venant du
" The New York Times" du 21 Octobre 1871 :
Donc, juste au début on découvre que :
" le 20 Octobre .- Des Rapports complets de la dernière expédition allemande vers le Pôle Nord ont été publiés. Il y est fait état que l'expédition fut un succès. Une mer polaire fut découverte libre de glace, et grouillant de baleines...".
A vous de juger ... une fois de plus, documents très prosaïques à l'appui ...
Mais, ce
27 Juin 2018, comme disent parfois aussi, les anglo-saxons :
"Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil brille), nous allons
faire
état d'un fait extraordinaire contemporain qui nous a été rapporté dès le mois de Mai 2003, par un très aimable internaute Remarque : le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux urls :
Pour le
19 Mars 2003 à :
Pour
le 9 Janvier 2006 :
et aussi à d'autres dates).
En effet, c'est le
18 Mai 2003, que nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante
(les couleurs sont de nous,
évidemment) :
----- Original
Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent:
Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle
Nord
Bonjour Fred
J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet
article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...
v.........t
|
Pas de glace au Pôle Nord
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord
cet été n'y a pas vu de glace. Là où
aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan
Arctique. Une première en... 50 millions
d'années.
États-Unis
21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe
américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en
compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise
de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y
avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon
l'expert, ce serait la première fois depuis 50
millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la
banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée
parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.

Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était
aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était
la première fois, que l'on trouvait les
eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a
traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette
région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur.
Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10
kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez
solide pour pouvoir y marcher.
Autre détail
troublant : des goélands ont
été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se
nourrissent de créatures marines, ne vivent
habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une
épaisse banquise.
Les participants de l'expédition voient dans
<toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100.
Philippe
Gauthier
|
Voilà donc,
un fantastique communiqué, qui parle souvent de
première fois, et
chose surprenante voici un communiqué n'a eu aucun écho dans la Presse, ayant pignon sur rue.... Devinez alors pourquoi,
une découverte d'une telle importance, est
passée carrément à la trappe. Ce communiqué montre bien, aussi,
l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, ne dit pas autre chose, sur
"La mer libre du Pôle", que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom et de l'explorateur américain,
Isaac Israël Hayes :
Cet
ouvrage extraordinaire, a été publié en
1868, en France par l'éditeur
Hachette, sous le titre
"La mer libre du Pôle" Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de 70 gravures sur bois et de 3 cartes. Vous trouverez ce livre, en PDF à l'url :
Isaac Israël Hayes, était un explorateur, né à Chester
(Pennsylvanie) le 5 mars 1832, mort à New York le 17 décembre 1881.
Médecin en 1853, il prit part en cette qualité à une expédition de Kane au pôle Nord.
Nous avons de lui, l'ouvrage suivant :
, ouvrage de
1877, qu'en
1984, par
une chance inouie (Merci à Super Hasard, car cette chance est sans doute mieux que celle de gagner le gros lot au Loto), nous avons trouvé dans une vieille malle à
600 m de chez nous. Comme il manquait, les 18 premières pages de la Préface, nous avons dû aller, en
1992, les photocopier à la BN de Paris. Ce livre, qui est un condensé du précédent, nous raconte de même
l'émerveillement, d'
Isaac Israël Hayes, à la découverte de cette
mer libre du Pôle Nord, ce qui
a déplu amèrement, à l'explorteur français
Paul Emile Victor.
Voir notre article à ce sujet :AffaireP-E.Victor
D 'ailleurs, à propos
de légende attachée cette fois, à la cartographie, en voici une très officielle, qui figure dans un livre
réservé aux élèves de 6 éme et publié en 1977 par Fernand Nathan :
Chacun sait en effet, que le texte explicatif figurant en dessous de l'image, est appelé aussi justement
une légende. N'est-ce pas ?
Vous avez bien noté, cependant que cette carte, place
le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la
"banquise permanente",
(zone encerclée du trait vert), alors que le site
ARTivision, prétend démontrer que ce
Pôle Nord, se trouve dans une
"Mer libre de glace".
Reste à savoir,
pourquoi nos gouvernements, nous cachent, cette mer libre du Pôle Nord, dont il est question,
dans de très nombreux articles de notre site ?
A suivre...
Article mis en page le
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