Page 29 :
" Car ailleurs, "en Haut", dit le Livre des mystères kabbalistiques, les "anges " parlent hébreu. Les "anges d'En Haut " ne comprennent que les prières formulées en hébreu. C'est pourquoi le langage des "rebelles" de Babel a été confondu, afin de leur faire perdre la source de leur puissance, afin qu'ils ne soient pas entendus d'En Haut.
En Haut.
Mais où?
Faut-il croire à un En Haut non mythique ?
Faut-il croire à l'existence d'une ou de plusieurs planètes habitées, habitées par des "anges", et qui parleraient la langue d'Elohîm et du premier homme, la langue commune d'avant Babel, la langue des Hébreux?
Et les Hébreux qui savaient avant tout le monde des savants que la Terre tournait, ainsi que nous le verrons dans le chapitre consacré au ZOHAR, et semblaient connaître la position non centrale de notre planète dans le cosmos, ont-ils jamais évoqué une planète autre planète que cette Terre sur laquelle ils affirment qu'ils sont étrangers?
Bien sûr il y a les troublantes affirmations bibliques sur "les fils des Elohîm" (beney-HâElohîm), qui virent que les "filles de l'Adam" (Benôth-HâAdâm) étaient belles, et qu'ils choisirent pour femmes.
Bien sûr , il y a la mention biblique de Nefîlîm -les "Tombés " (du ciel) qui parurent sur la Terre à cette époque et aussi depuis (et même après cela dit l'écriture), lorsque "les fils des Elohîm" se mêlaient aux filles de l'Adam et qu'elles leur donnèrent des enfants...."
Fin de citation
Que peut-on ajouter de plus, à un si remarquable passage de ce livre ? Vous avez bien lu, nous l'espèrons, que dans le texte hébreu, il s'agit assurément de l'expression
les fils des Elohîm et non pas
les fils d'Elohim ou
les fils de Dieu comme l'ont écrit les auteurs précités pour accorder le texte hébreu à leur propre vision religieuse. ..
Que ceux qui veulent en savoir plus, se précipitent donc évidemment sur l'ouvrage de
A.D. GRAD, que l'on peut encore trouver, peut-être, dans les bonnes librairies.
( Notons en passant, d'après A.D.GRAD dans ce même ouvrage, "Les Clés secrètes d'Israël", que ces Elohim pourraient bien provenir de "Arqâ", lieu ou planète restant encore à identifier : Voir le verset de Jérémie (27) traduit d'après A.D.GRAD d'une manière totalement incongrue et inappropriée ).
Il faut savoir aussi que ces
fils des Elohim ou
fils d'Elohim ou
ces fils de Dieu selon la Bible choisie, sont décrits,
chose très surprenante dans le
Livre de Job, comme des êtres ayant eu le privilège
d'observer, avec admiration, le processus utilisé par Iavhé l'Elohim, pour la mise en élaboration fonctionnelle de la Terre.
Mais, voyons à ce sujet, ce que nous en dit, Monsieur
Roger Vigneron, spécialiste de l'hébreu et de l'étude de la racine des mots
(Philologie), dans son ouvrage intitulé
"Elohim :
Une autre lecture de la Bible" :
Vous pouvez encore trouver ce texte en PDF à :
Pages 44 à 46.
" Des témoins enthousiastes.
Eh ! oui, il s'était passé des choses auparavant. Là peut-être, et ailleurs, sûrement. On le sait, parce que la création, vaste entreprise, très localisée, d'aménagement d'une planète prise en charge dans un état chaotique, a eu des témoins. De près ou de loin, mais sans y participer, des témoins ont assisté au travail. Ils existaient donc bien déjà quand le chantier-Terre a été ouvert. Ils existaient AVANT. Ces témoins sont, d'une part, "les étoiles du matin ", et, d'autre part, "tous les fils d'Elohim". C'est écrit au Livre de Job (XXXVIII - 4 à 9).
Dans le récit biblique, le malheureux Job est soumis, par IHVH (Elohim), à une batterie de questions ironiques destinées à lui faire mesurer son ignorance et sa petitesse. Ces "colles", du type "La pluie a-t-elle un père ? ", remplissent quatre chapitres. Depuis longtemps la science apporte des réponses définitives à la plupart de ces questions. Mais, à la haute époque de l'humanité, le pauvre Job en est resté coi. On le comprend d'autant mieux que nous n'avons toujours pas de réponse à des questions plus ardues, telles que celles-ci : "Où étais-tu, lui demande Iahvé (dans la version Dhorme) quand je fondais la terre ? (...) Qui a fixé ses mesures (...) ou qui a tendu sur elle un cordeau ? En quoi ses socles furent-ils enfoncés ou qui posa sa pierre angulaire ? Quand chantaient en choeur les étoiles du matin et que tous les fils d'Elohim acclamaient. Qui enferma, à deux battants, la mer (...) quand je mis une nuée pour son vêtement... "
On notera que, dans un style très imagé, Elohim s'exprime en architecte-maître d'ouvrage, qui ne crée pas, au sens absolu, mais qui FONDE, qui édifie, avec les matériaux dont il dispose, un ensemble cohérent, où l'on retrouve la terre-sol-terrain et la mer, agencés comme les éléments d'un tout. Toutes les versions, sauf deux, disent que ce travail s'est fait en présence des "étoiles du matin ". Crampon et Maredsous inclinent pour que ces étoiles soient des " astres ". Il est vraisemblable que le " matin " soit la métaphore qui marque le début de la réorganisation planétaire. A moins qu'il soit, très antérieurement, le matin de l'univers cosmique... Il est évidemment surprenant de lire que ces étoiles-astres chantaient en choeur " (Crampon, Kahn, Dhorme, TOB), " éclataient en chants d'allégresse " (Segond, Scofield), " entonnaient des chants d'allégresse " (Synodale), " chantaient ensemble " (Darby), " jubilaient ensemble " (Chouraqui), " poussaient ensemble des cris de joie " (Ostervald, Monde nouveau), donnaient un " joyeux concert " (Osty), un " concert joyeux " (Jérusalem), des " joyeux concerts " (Maredsous). Curieux, non, ce comportement de bon public... humain ? A moins qu'il s'agisse de ce que Pythagore appelait "l'harmonie des sphères "... Nous retiendrons que la Bible indique que la mise en ordre de notre planète a commencé et s'est faite dans l'harmonie d'un cosmos déjà bien structuré, et " meublé ". Les étoiles du matin qui assistent à la fondation de la terre dérangent cependant l'ordre dans lequel le texte de la Bible déroule le scénario de la Genèse. Rappelons que ce scénario place la fondation de la terre le troisième jour, et l'apparition des étoiles (avec le Soleil et la Lune) le quatrième jour. Or, pour Job, les étoiles du matin sont données comme étant présentes dès le troisième jour, sinon dès le premier. La Bible ne pouvant se contredire à ce point, il convient de voir, là, un recoupement supplémentaire qui accrédite la thèse de " l'ordre aberrant ", preuve du processus spécial que nous avons analysé. Quant à "tous les fils de Dieu ", que seuls Dhorme et Chouraqui nomment, conformément au texte hébreu, "fils d'Elohim ", ils manifestent eux aussi leur enthousiasme par des "acclamations" (Ostervald, Synodale, Osty, Maredsous, Dhorme, Monde nouveau), des " acclamations unanimes " (Jérusalem), des " ovations " (Chouraqui), des "cris de joie" (Segond, Scofield, Kahn), des "cris d'allégresse " (Crampon), tandis que pour Darby ils " éclataient de joie " et que pour TOB ils " crièrent hourra "... comme des sportifs anglo-saxons. Les versions Ostervald, Synodale et de Jérusalem, omettent de signaler la présence de " tous " les fils d'Elohim, ou, pour elles, de Dieu ( Note du webmaster lire : fils de Dieu). Mais qui sont-ils donc, ces fils d'Elohim ? Dans l'envolée lyrique d'un texte qui, dans la Bible, se balance souvent sur deux pieds pour exprimer la même chose, sont-ils l'autre dénomination des " étoiles du matin " ? Nous verrons, ailleurs dans la Bible, des "fils d'Elohim " qui ne sont pas des étoiles, au sens astronomique du terme. Et nous verrons aussi des étoiles qui ne sont pas des astres. En attendant de mieux cerner ces " fils " bornons-nous à constater, ici, leur présence, au moment précis où Elohim, leur père, met en oeuvre une genèse particulière et ponctuelle, à laquelle, nécessairement, ils pré-existaient..."
Fin de citation
Que d'interrogations, soulévent n'est-ce pas, ces
"fils des Elohim " !!!
A vous de juger, une fois de plus, tout cela, documents à l'appui...
Mais on le sait, le site
ARTivision, aime appyer ses dires sur des vieux documents, qu'il a en sa possession et,
(malgré ses moyens réduits), a dès
1997, fourni
des preuves indiscutables, de la présence d'artefacts sur Terre et dans le système solaire, qui ne peuvent
qu'être l'œuvre d'une intelligence supérieure, à celle de humains actuels.
Nous admettons alors que se sont aussi ces
" Elohim ou leurs successeurs ", qui en sont les commanditaires, comme le montrent d'ailleurs, les artefacts présentés, au début de cet article...
Si
Messieurs les bien-pensants, vous étes toujours sceptiques, voilà,
une certaine digression, qui
pourrait peut-être vous convaincre :
Allons, en effet jusqu'à la planète
Uranus, située à environ 2 milliards de km de notre
petite Terre, et, profitons en, pour jeter un rapide coup d'oeil sur son très étrange satellite nommé,
Miranda, une petite lune, photographiée en
début d'année 1986.
En effet, si vous avez la très grande chance de possèder
le n° 61 Hors-Série de fin 1986, de la revue bien connue
Sciences et Avenir, il faut savoir que, c'est
un vrai trésor, qui vaudra bientôt
son pesant d'or :
Mais, lisez plutôt les préliminaires, de cette affaire aux pages 14 et 15 :
En effet, on nous dit que, du
3 au 7 novembre 1986 s'est tenu à Paris,
un congrès de Planétologie auquel la revue en question a consacre un dossier Mais citons plutôt ce début l'article de
Mr Pascal Lee , de la page 14 qui est très significatif au sujet de
l'incompréhension totale des scientifiques concernant le phénomène planétaire de Miranda...
"Pour les astronomes, la plus petite lune d'Uranus représente un véritable miracle: Sur sa surface est réunie la quintessence des curiosités géologiques rencontrées sur les planètes. Reste à expliquer pourquoi ? Voyez donc vous-même cette image incroyable de Miranda de la NASA :
Sur tout le congrès, la belle ombre de Miranda aura plané. Même si ce sujet de conversation devait à tout prix être évité, la mystérieuse lune d'Uranus laisse perplexe : Miranda est taboo !
On se souvient en effet des extraordinaires clichés transmis le 24 Janvier 1986 par voyager-2 . Passé à moins de 29000 km de Miranda, avec une vitesse proche de 72000 km/h, la sonde avait pu enregistrer au prix d'une subtile manœuvre de pivotement compensatrice , une magnifique mosaïque de huit scènes (paysages) couvrant l'ensemble de l'hémisphère austral. La résolution spatiale des meilleures, images obtenues a atteint 600 m, soit une finesse qui n'avait encore jamais été obtenue au-delà de Mars. Nous avons ainsi découvert un monde tout à fait différent de ce qu'on présumait. On imaginait volontiers, avant l'arrivée des "Voyager", Miranda, comme une classique boule de glaces et de roches, criblée de cratères et sans signe d'activité importante. Or les astronomes se sont trouvés en présence de terrains extrêmement variés, contrastés, présentant des structures complexes, évoluées, qui témoignent d'une histoire très mouvementée. Même les plus imaginatifs sont surpris. Les géologues distinguent aujourd'hui sur ce monde une dizaine de types de terrains différents. Ils parleraient plutôt "d'unités géomorphologiques" , que l'on peut en fait regrouper selon deux catégories principales, avec d'une part des surfaces anciennes cratérisées, émoussées, bosselées et d'autre part des terrains cannelés de sillons parallèles et serrés, moins cratérisés..."
Vous bien noté,
nous l'espérons, les termes de
"miracle " de
"conversation à éviter", de
"perplexe" de
"taboo"
,
(On se demande d'ailleurs pourquoi, faut-il faire absolument le silence sur les phénomènes que l'on ne comprend pas ? Si c'est cela l'esprit scientifique...? Alors vous comprenez maintenant la raison de l'existence notre notre site Web, ARTivision, qui dénonce ce genre d'attitude) et surtout on trouve aussi l'expression :
"Même les plus imaginatifs sont surpris", ce qui veut dire en clair que
"la réalité dépasse de très loin la fiction, même la plus imaginative".
Ainsi pour terminer résumons que
Miranda, présente d'une part, des terrains anciens n'ayant pas bougé depuis un temps immémorial, et d'autre part, des surfaces qui correspondent à des modifications plus récentes très insolites, qui dessinent de vastes figures aux contours très nets renforçant le contraste avec la toile de fond ancienne. Certaines figures sont en forme
d'ovales très allongés, et dont les structures évoquent incontestablement des champs de courses de chars romains à la "BEN HUR".
D'autres encore présentent des formes étonnantes d'une structure anguleuse tel le désormais célèbre "
chevron" situé vers le sud :
Jamais les bien-pensants et autres commentateurs spécialistes officiels actuels, toujours prêts, à parader sur les plateaux de télevision,
n'ont osé faire un seul petit débat à la télé, sur cette affaire, très insolite de Miranda, comme sur bien d'autres présentées, plus haut, dans cet article.
À vous de juger...
La seule explication scientifique trouvée de nos jours, pour justifier une telle fantaisie de relief
sur Miranda, est toute aussi incroyable en elle-même :
"Miranda serait une planète ressuscitée, c'est à dire qu'elle aurait volé en éclat à la suite d'une violente collision,
mais ses morceaux au lieu de se disperser dans l'espace se seraient agglomérés de nouveau pour former dans le désordre, ce puzzle sphérique que nous avons découvert, montrant à sa surface des "
grumeaux" provenant des entrailles de
son incarnation intérieure.
(sic) " .
Nous ne souscrivons pas, évidemment,
à cette explication hallucinante, voire digne de la potion magique d'Astérix, qu'aucune simulation informatique n'est venue, on s'en doute, confirmer. Et nous sommes contraints ici de donner encore, après
les nombreuses énigmes évoquées sur notre site, une explication qui,
seule à notre gré, peut traduire toutes ces transformations cosmiques, vues ci-dessus :
Il y a plus de
12000 ans, une civilisation très avancée,
a pris naissance sur Terre.. Elle avait pour nom
"l'Atlantide", vestige culturel, après des siècles, du passage des Elohim en question. Mais elle a été balayée par
de gigantesques cataclysmes,
(Attention, nous sommes livrés à la même enseigne), et son continent a sombré dans l'Océan Atlantique. Cependant, il y a eu des rescapés priviliégés
(comme toujours dans ces cas là) qui
se sont installés sur notre satellite la Lune, et aussi quelque part "
ailleurs" (que nous préciserons ultérieurement...). Ils possédaient en effet , déjà à l'époque,
des moyens de locomotion plus modernes que les nôtres ( A ce sujet, voir par exemple à titre documentaire, la "lecture" d'Edgar CAYCE n° 2157-1 du 27 Mars 1940), et ils doivent donc utiliser actuellement comme nous,
des minerais et des métaux pour évoluer. A cet effet, ils "
ratissent tout naturellement probablement à l'aide d'engins automatiques téléguidés ", les sols des
"gros cailloux planétaires", ainsi que
le sol de la Lune, pour se procurer les matériaux qui leurs sont utiles.
Voilà donc
une thèse qui n'a rien de magique (comme celle que l'on nous propose pour résoudre le cas précédent si insolite de Miranda), et qui a aussi le mérite
de résoudre bien d'autres énigmes, qui nous environnent
(qui sont évoquées en partie sur le site d'ARTivision), même si cette thèse
casse notre orgueil démesuré, qui veut que notre civilisation soit la seule, depuis l'histoire de l'humanité, qui ait atteint le développement scientifique et technique connu actuellement. Quant à savoir
pourquoi ces Atlantes ne prennent pas contact avec nous?... Cela fera l'objet d'un autre débat, qui nous préoccupe tout autant, et que nous ouvrirons sans doute ultérieurement. Voir aussi au sujet de
l'Atlantide, nos articles :
Fin de la digression
Comme tout cela, est troublant !! Et, c'est à vous, qu'il appartient désormais, de juger, documents à l'appui...
Mais ce
22 Août 2018, avant d'aborder
notre 4e focus, il nous appartient de préciser ici, au novice, la signification de notre phrase précédente :
" Mais elle a été balayée par de gigantesques cataclysmes, (Attention, nous sommes livrés à la même enseigne),"
Commençons ce propos, en présentant
l'entrefilet désastreux suivant, montrant que
certains humains, sont encore loin d'avoir compris, qu'ils ne sont que
des 3 m (minus, minables, misérables) sur
cette planète qui va bientôt remettre les compteurs à zéro :
Et tant que
ces jihadistes, "va-t-en-guerre", ne pourront pas expliquer à leurs adeptes, les constructions vues plus haut, qui existent sur la Lune, ils ont intérêt, (on va le voir plus bas), à fraterniser avec les autres humains, tout aussi insignifiants, qu'eux mêmes.
Tout le monde a en effet, entendu parlé de
cette affaire de déluge, qui a eu lieu sur Terre, il y a des milliers d'années, et sans vouloir jouer les oiseaux de mauvaise augure, reprenons ce que nous disions
le 24/05/2017, dans notre article clef :
"Tout ce qui précède, nous invite à croire qu'il est grand temps que,
nos dirigeants avouent au monde entier, qu'il existe bien des entités intelligentes sur la Lune ou dans les environs, qui sont bien plus avancées que nous, nous le sommes par rapport aux fourmis ou aux termites. On sait maintenant,
le fait que ces entités qui nous surveillent depuis des siècles et qu'elles seront totalement à l'abri, si un immense déluge arrivait sur Terre, comme cela est raconté dans la Bible et dans d'autres textes sacrés.
Faisons ici, alors
une petite digression, sachant que certains détracteurs
sous informés, nieront cette affaire
de déluge gigantesque, alors qu'ils en ont eu,
un très petit avant-goût, en Indonésie, le
26 Décembre 2004, quand en plein jour, près
de 250 000 personnes, ont péri dans
un terrible tsunami,, que ces détracteurs
semblent avoir vite oublié, et pour
les puristes, présentons ici ces trois pages sur cinq, de
Geneviève Vanquelef, de la superbe revue :
Et en pages 32, 33 et 34, on trouve alors :
Pour être encore plus clair, présentons alors, ce texte fantastique, paru en
page 48, de l'ouvrage de poche, si souvent nommé par
ARTivision, du
grand extralucide américain, Edgar Cayce , qui avait le pouvoir d'explorer, ce que les ésotéristes appellent, les
Annales Akashiques, où sont enregistrés, comme sur un immense disque dur, tous les événements qui arrivent
sur Terre. Cet ouvrage est intitulé :
"Visions de l'Atlantide", et est paru à l'époque, dans la collection
J'ai Lu, sous le
n° A 300 en 1973.
Voici donc ce texte fantastique :
Ici on voit, qu'
Edgar Cayce fait allusion au continent disparu
la Lémurie,
( il a souvent aussi plutôt parlé de l'Atlantide, dans cet ouvrage), mais en plus, on découvre
qu'à une époque,
le Nil, au lieu de se
jeter dans la Méditerranée, se jetait alors dans
l'Atlantique. Mais de plus,
oh surprise
énorme, on apprend aussi,
que l'axe
terrestre s'est un jour renversé, ce qui s'oppose totalement à la théorie
des Universités modernes :
"l'uniformitarisme" , qui prétent que sur cette planète,
il ne peut y survenir,
que des changements très
progressifs , et
jamais de grands boulversements planétaires, comme nous
le souligne, cet
Edgar Cayce ,
hors-normes.
Disons en plus, que
rien dans l'univers n'est statique, et on se
souvient parfaitement, par exemple, que l'on a assisté en direct, au mois de
Juillet 1994. à la
dislocation cosmique de la comète
Shoemaker-Levy 9,
( en abrégé SL9), qui est alors entrée en collision,
avec la planète
Jupiter
:
Ce spectacle a
émerveillé de très
nombreux
astronomes et consorts, mais imaginons que cette comète au lieu
de se fracasser sur
Jupiter, avait
touché plutôt la
Terre, qui, du point de
vue cosmique, est à deux pas de cet astre
Jupiter. Les
détracteurs cités plus haut et leurs consorts intelletuels blasés, n'existeraient probablement plus,
(et ARTivision, non plus bien sûr), pour épiloguer sur tout ce qui précède...Et donc, on le sait,
tout est relatif dans ce monde, et il convient de s'en
souvenir régulièrement...
Et, c'est donc bien ici, le moment de redire
avec insistance,
qu'il n'est pas besoin d'être un docteur en Philosophie,
pour savoir, que chacun situe
son appréhension
des choses et
ses
priorités, en fonction de
ses
préocupations immédiates. Cependant,
il arrive souvent que quelques temps plus tard,
( pour les textes bibliques, par exemple, il faudra
attendre des siècles), ces préoccupations se révèlent n'avoir été,
que des futilités,
qui n'apportaient rien
à la
compréhension de notre environnement, et à notre
intégration dans la communauté humaine
de cette planète en grande évolution . "
Fin de citation .
Mais qui était vraiment
ce fameux Edgar Cayce ? Pour faire plutôt court, demandons au remarquable site :
de nous résumer rapidement
quelques
éléments préliminaires, de la vie extraordinaire de cet
Edgar Cayce(on
pronnonce Caïci) :
Voir aussi notre article placé tel que :
Pour en savoir bien plus, sur cet
"ahurrissant sensitif",
le novice pourrait déjà commencer, par découvrir
les ouvrages intitulés "
L'univers d'Edgar
Cayce" de
D.K.de BIZEMONT aux
Editions Robert Laffont 1985.
Mais il existe de très nombreux livres et
articles sur
ce fameux Edgar
Cayce: voyez aussi celui-ci :
Mais voyons aussi, en
passant, ce que
Cayce, nous dit
dans son admirable opuscule déjà présenté plus haut :
Et Cayce nous situe donc l'Atlantide en pages 46-47, telles que :
Notez bien le vocable
Bahamas. On y reviendra plus bas.
Comme vous le voyez, ce
Edgar Cayce, n'avait pas
sa
langue dans la poche.
"
Et en page 96, on trouve ceci :
On voit alors que la situation est identique
actuellement entre
les spritualistes
écologistes et
les
matérialistes avides de puissantes énergies, et donc on le voit
bien,
" Il n'y a
rien de nouveau sous le soleil ".
(Ecclésiaste Chap. I
vers.9)
Fin de la digression
Fin de citation ..
Mais justement,
au sujet de la disparition de l'Atlantide, voyons aussi ce que nous en dit l'ouvrage de 2013 qui suit, qui prétend que nous sommes en effet entrain de perpétuer le même systeme d'exploitation des masses innocentes, qu'à l'époque de cette
Atlantide, avant sa disparition totale,
près de 12000 ans. Nous prenons donc
exactement le même chemin, et le même sort, nous sera réservé..., si nous n'agissons pas très rapidement...
Et donc nous vous invitons
aimablement et très humblement, à découvrir les phrases extrordinaires, situées en pages 179 et 180, de l'ouvrage en question :
Mais, disons aussi que
les éternels détracteurs zététiques et leurs consorts intellectuels blasés, nous diront vite fait, bien assis dans leurs supposés cocons feutrés et rassurants de cette société en profonde mutation,
que tout cela n'est que de la piètre Science-Fiction, digne de nos films catastrophes habituels, et que nous n'en avons aucune preuve scientifique.
Ce que
ces zélés détracteurs oublient, c'est que le site
ARTivision, a toujours dans ses dossiers,
d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires...
Pour ceux qui aiment aller, au fond des choses, disons que le site
ARTivision, pendant
les 21 ans de son existence, a parlé de
cette super civilisation atlante (encore niée par pontifes universitaires, toujours bien gonflés d'orgueil), dans nos articles :
Mais ce
24 Août 2018, avant d'aborder notre
très ahurissant 4e focus, présentons ici, quelques récents entrefilets, que nous avons sous la main, prouvant
une fois encore au visiteur occasionnel, que le site
ARTivision, n'est pas du tout un site que l'on fréquente
par convivialité, pour se changer éventuellement les idées, mais c'est surtout
un site où chaque petit détail, à son importance, et doit être explorer à fond, pour mettre en lumière sa substantifique moelle .
Présentons d'abord cette information
qui vaut son pesant, non pas d'or, mais de chaleur :
Et, nous espérons, que notre aimable néophyte, a bien lu, le passage suivant, de ce curieux entrefilet :
Pour éclairer davantage tout ceci, disons alors que c'est en effet au mois de
Décembre 2000, que la revue "
Ciel & espace", a sorti son
n° 367, en spécifiant qu'il était "
exceptionnel", car il représente, nous dit-on le "
journal du siècle en Astronomie", et voici pour les puristes, la couverture du numéro en question :
Il convient donc de garder précieusement ce numéro, où nous y avons noté, à l'époque, certaines anomalies, concernant notre Soleil, et ainsi nous notons à la page 41, le texte suivant:
"Retour vers le futur: Plus de 50 ans après, on ne connaît toujours pas le mécanisme précis du chauffage de la couronne. Il semble que Hans Alfvèn ( Prix Nobel de Physique en 1970) soit le plus proche de la réalité. Certaines ondes dites "magnétohydrodynamiques" se propageraient dans la couronne et la chaufferaient. Les satellites d'observation du Soleil, comme Yohkod, Soho, ou Trace, ont mesuré sa température : Elle dépasse les 2 millions de degrés !"
Vous avez bien lu nous l'espérons :
" On ne connaît pas encore le mécanisme du chauffage de la couronne" , et nous souhaitons que les appareils de mesure de cette couronne ne soient pas du même gabarit que ceux qui ont mesuré la température de
Titan (-180 °) .
Nous avons en effet,
dans de très nombreux articles, exprimé le fait que
notre soleil n'est pas du tout brulant, et que
la comète Ison :
qui est allée tourner vers le Jeudi 28 Nov 2013, tout près du soleil ( à tout de même, environ 1,6 million de km de son centre) n'a pas du tout fondu ou explosé comme l'attendaient la plupart des scientifiques. Point à la ligne.
Pour en savoir,
un petit peu plus, sur
cette affaire incroyable, prière de consulter,
par exemple, notre article, en s'attachant solidement la ceinture :
Mais, voici maintenant, un autre entrefilet tout aussi révélateur et
qui fera bondir de satisfaction les bien-pensants, qui adulent les progrès scientifiques de haut niveau :
Mais tout cela serait passé, comme lettre à la poste, si nous n'avions pas souligné en rouge, ces lignes très significatives,
pour nous bien sûr :
Nous savions déjà, que le
VLT: (Very Large Telescope), au
Chili, avait la possiblilité de voir des objets mesurant près
de 10 métres sur la Lune, et que
là, on pouvait donc, assurément, apercevoir les diverses configurations des
LEM ( Lunar Excursion Module) , dont
l'empattement faisait 9 m 45, posés sur la Lune, d'Apollo 11 à 17 (moins Apollo 13, bien sûr). Or chacun le sait,
les Directeurs et ingénieurs des VLT en question, n'ont rien fait pour cela... Très Bizarre que ce comportement, n'est ce pas !!!
Or voilà maintenant, que
le CNRS francais ( Le Centre National de la Recherche Scientifique), nous affirme que désormais
grâce à l'instrument nommé Gravity, plus les VLT, on pourrait voir,
"une balle de tennis posée sur la Lune".
Comme cette affirmation est incroyable, n'est-ce pas !!! ?.
Mais ARTivision pense que cette fois-ci encore, ce sera le silence de la pierre tombale , concernant la vérité au sujet des expéditions lunaires de la NASA, de 69 à 72,
Cependant, dès le
28/03/2013, le site
ARTivision a sommé
les spécialistes de l'espace, de s'exprimer clairement sur cette exclusivité de notre site, qui n'a jusqu'à présent reçu aucune réponse ...
Voilà une fois de plus, que quoi il s'agit, et pour être encore plus crédible, nous nous baserons sur
les affirmations péremptoires, de
la revue Ciel&espace n° 391 Décembre 2002, qu'il convient d'avoir absolument sous la main, afin que l'on ne dise pas que nous avons tout inventé, et qu'il s'agit encore d' images manipulées:
Et en feuilletant donc cette revue, vous découvrirez un surper un dossier central détachable de 8 pages, consacré à
"l'exploit", d'
Apollo 17...
Mais brûlons les étapes et arrivons d'emblée au point crucial de l'histoire... Voici donc déjà les pages 8 et 9 de la revue en question :
On voit
là, les nombreuses évolutions accomplies par les prétendus astronautes et leur Jeep, nommée officiellement le
LRV (Lunar Rover Vehicule). ...
Puis, nous arrivons, à
cette dernière image clef concernant Apollo 17, de la revue en cause :
Cette photo porte le n°
AS17-137-20979, que l'on peut trouver sur
le site quasi officiel ... :
Mais pour les puristes, voici donc
le bouquet..., qui n'a jusqu'à présent pas reçu
la moindre explication, de
ces Messieurs astronomes, astrophysiciens et consorts béni-oui-oui de NASA...
Notons d'abord ici, que le site ARTivision, n'a jamais bien su, comment le garde-boue de la jeep lunaire a été cassé. Mais, on dit tout de même, que cela a eu lieu lors de la première sortie des "astronautes".
Donc, on devine que les "spationautes", d'Apollo 17, ont effectué après leur premier périple mouvementé, sur des "km de sol lunaire", une réparation de fortune du garde-boue de la roue arrière droite du LRV (Lunar Roving Vehicle), et ils ont fait rouler la jeep jusqu'à son emplacement actuel. Comment ont-ils pu l'amener ici, sans qu'elle laisse des traces sur le sol ?
Donc là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et ce LRV, n'a pu être placé ici, qu'avec un élévateur bien terrestre, mais cela, dans un centre de simulation du Névada ou de l'Arizona, où l'on avait reconstitué l'apparence du sol lunaire. Mais, on a oublié de faire rouler un peu la jeep, avant de faire la photo. C'est le très petit détail qui, comme dans le célèbre film d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 : "Le crime était presque parfait", a confondu le coupable...Point barre..."
Bien sûr, nous avons
beaucoup d'autres anomalies du même gabarit, dans nos dossiers, comme par exemple
cette affaire d'Apollo 15, découverte en Février 2015 :
Sur le site quasi officiel :
, cette photo porte le
N° AS15-88-11901 avec l'inscription
"The Lunar Rover at its final parking place", et pourtant bien que ce soit, l'emplacement final, du Rover, on n'y voit aucune trace de roues, alors que des traces de pas, sont là, bien nettes.
A vous de juger.
Mais terminons
ce court panorama d'actualités cosmiques, par cette missive qui nous vient de notre ami de longue date
Pierre Lux
au nom
si prédestiné :
----- Original Message -----
From : Pierre Lux
To : Fred Idylle
Sent: Tuesday, August 21, 2018 6:58 PM
Subject: Confirmation de la présence de glace à la surface de la Lune
Confirmation de la présence de glace à la surface de
la Lune
On savait déjà qu’il y avait beaucoup d’eau sur
la Lune, notamment en sous-sol, mais des scientifiques de la Nasa ont confirmé
mardi la présence d’eau glacée en surface, la rendant potentiellement disponible
pour de futurs astronautes.
Cette observation, publiée en détails dans la
revue scientifique américaine PNAS, s’ajoute à plusieurs études passées sur la
présence d’eau sur la Lune.
La glace se trouve aux pôles nord et sud du
satellite naturel de la Terre, dans des cratères où les rayons du soleil ne
pénètrent pas. La température n’y dépasse jamais environ -150 degrés
Celsius.
«Avec suffisamment de glace à la surface, sur
quelques millimètres, l’eau pourrait peut-être devenir une ressource pour les
futures expéditions d’exploration ou de séjour sur la Lune, potentiellement plus
facile d’accès que l’eau détectée sous la surface lunaire», avance la
Nasa.
Les chercheurs ont obtenu la preuve grâce à un
instrument envoyé en 2008 à bord d’une sonde indienne, et qui a mesuré
directement la façon dont les molécules de glace absorbaient la lumière
infrarouge.
"C’est la première fois que des scientifiques
obtiennent une preuve irréfutable de la présence d’eau glacée à la
surface ", dit à l’AFP l’auteur principal, Shuai Li, de l’Institut de
Selon lui, la seule manière de savoir si cette eau
est exploitable pour l’homme est d’envoyer des robots afin de prélever des
échantillons. La Nasa a comme projet de renvoyer des humains sur la Lune, pour
la première fois depuis décembre 1972.
En 2008 déjà, des chercheurs avaient trouvé des
molécules d’eau à l’intérieur de magma ramené plusieurs décennies auparavant par
des astronautes des missions Apollo dans les années 1960. L’an dernier, des
chercheurs avaient conclu que les profondeurs de la Lune étaient riches en eau,
sur la base de données satellitaires.
L’eau est également présente sur Mercure et Mars.
Un lac souterrain d’eau liquide a récemment été détecté sur la planète
rouge.
Fin de citation.
Inutile de préciser ici, que le Webmaster du site ARTivision, sait lire entre les lignes de ce communiqué de la NASA, et qu'il sait, depuis des lustres, que la Lune posséde de l'eau à gogo, et aussi des occupants, pour l'utiliser. Voir alors les déclarations extraordinaires de Milton William Cooper, faites dans son ouvrage (paru en anglais en 1989, et en français en 1999), et, déclarations vraiment hors-normes (Âmes sensibles s'abstenir) :
Rappelons brièvement que Milton William Cooper, a été assassiné (sans doute par les forces de répression américaines ou autres) le 5 Novembre 2001, à l'âge de 58 ans, dans des circonstances particulièrement troubles, à Eagar en Arizona.
Milton William Cooper, a servi dans la Marine américaine la Navy, dans un sous-marin d'abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Mais, ce 26 Août 2018, comme nous venons de parler de la Navy, et qu'il est toujours préférable sur ce site de " de battre le fer pendant qu'il est chaud ", rappelons avec humilité, que depuis des années nous cherchons, à trouver une déclaration fracassante de la la Navy, qui a bien sûr, été supprimée des colonnes des grands médias ayant pignon sur rue mais il se pourrait bien qu'une feuille de chou ait echappé à la censure et un internaute arrivait à mettre la main dessus, nous pouvons lui assurer, le fait, qu'il aura gagné plus que le gros lot au loto...
Toute l'affaire est bien expliquée, dans notre article clef :
Mais pour le puriste, disons que tout est parti de cette revue :
A la page 42 on y trouve une missive d'un certain David COX, habitant 2546 Sepulveda Blvd, W. Los Angeles 64 .Calif. , envoyèe à l'époque au Directeur Ray Palmer, de la revue.
En voici le début, qui nous semble très significatif :
Et voici une traduction que nous a proposé notre amie Nicole , passée hélàs, dès lors dans une autre dimension :
" Votre article : "soucoupes volantes venant de la Terre" , dans votre dernier numero de F.S. est l’article le plus surprenant que j’aie lu depuis que je me suis interesse au phenomène en 1952.
Le ton positif, presque aggressif de l’article, semble suggérer que vous êtes vraiment tombé sur "quelque chose" après des années de recherche.
Votre article est rédige de maniere très serieuse, toutefois et c’est une bonne chose, que nous en soyions convaincus.
Dans la preface vous commencez à considerer votre vérite (affirmation) , comme inattaquable, et que des faits déja connus, comme tellement importants sont cosidéré comme .. top secret . Il y a grand danger … etc.. Est-ce que cela est vrai ? Je pense que vos lecteurs ont le droit de savoir, jusqu'à quel point de telles affirmations sont valables.
L’idee d’une terre creuse est bien évidemment captivante, c’est le moins que l’on puisse dire, et elle n’est pas trés eloignee des idées de M.K. Jessup, au point de vue de l'origine des disques volants. (je sais que les soucoupes existent en ayant vu une moi-meme du debut de l’annee derniere a Los Angeles).
Je me souviens quand ont été diffusés les rapports de la Marine, dont les appareils ont volé jusqu'à 2 300 miles (environ 3 701km) "au-dela" du Pôle Sud, et je me suis quelque peu interrogé à ce sujet, et j'ai pensé qu’il s’agissait d’une erreur typographique ou autre coquille d’impression. Puis j’en ai moins pensé, n'ayant aucune idée que ce fait puisse contenir une signification aussi fantastique, que celle que vous lui attribuez."
Fin de citation
Donc dans cette lettre à Ray Palmer, le lecteur affirme avoir lu ou entendu, le rapport de US NAVY, mais hélas, il ne dit pas où, et le petit détail, donnant les coordonnées de l'information (Radio ou journaux) est manquant... et c'est justement cela, que nous recherchons depuis des lustres...,
Si donc, un petit journal de l'endroit, où peut habiter, un internaute quelconque, a publié l'info suivante, ce sera pour lui, le super BUZZ :
" 1956 : January
13." On
January 13, members of the United States expedition
accomplished a flight of 2,700 miles from the base at
McMurdo Sound, which is 400 miles west of the South Pole, and penetrated a land
extent of 2,300 miles beyond the Pole. " (Radio
announcement, confirmed by
press of February 5).
Que l'on pourrait traduire modestement en français :
: " Janvier 1956: " Le 13
Janvier, des membres de l'expédition des Etats-Unis ont accompli un vol de 4320 km à partir de la base de McMurdo Sound, située
à 640 km à l'ouest du pole Sud et pénétré dans une terre sur une distance de 3700 km au-delà du
pôle". Message radio en provenance de l'expédition
antarctique de Byrd, confirmé par la presse
américaine du 5 Février 1956.
Où donc peut-on (sauf en
radio bien sûr), trouver ce rapport de la Navy et Quel organisme à part l'INS (International News Service) à l'époque, publiait ces rapports ?
Voilà,
ce que l'on doit
trouver, absolument, et qui est
d'une importance inimaginable .
C'est maintenant alors, le moment d'aborder notre
très ahurissant 4e focus
Nous arrivons alors à notre
notre ahurissant 4e focus.
Quatrième focus :Quand ARTivision , découvre une affaire de blasphème interdit, concernant les Elohim, dans le verset 28 du chapitre 22 de l'Exode...
En effet, reprenons le même petit ouvrage déjà cité, dont nous montrons à nouveau en réduction, étant donnée son importance, l'image des couvertures:
Il nous faut savoir alors que
Maître de l'ésotérisme britannique SIR Brinsley le Poer Trench a marqué là un très grand coup .
On découvre en effet, ce passage très important, en pages
74 et 75 :
Nous avons souligné en rouge, les mots qui nous interpellent grandement ici et qui sont seulement la traduction de l'Editeur du livre de 1960 :
"The Sky People" du Lord anglais en question
Dur... dur, cette affaire à encaisser n'est-ce pas !!!
Le super hic, c'est que jusqu'à
présent, nous n'avons trouvé aucune bible française, qui ait écrit ainsi le verset 28 du chapitre 22 de l'Exode tel que :
" Tu ne blasphémeras point contre les dieux"
Si donc vous en trouvez une, soyez assez aimable de nous en faire part.
Nous avons une bible espagnole de
1987, et voici ce que peut y lire et on y trouve page 105 :
Comme on le voit
Dios est écrit avec une majuscule, et l'expression
"los dios" est bien abscente.
Mais sur
Google, nous avons trouvé, les deux expressions suivantes
totalement contradictoires :
Nous voyons là,
que l'on a bien
manipulé à souhait, le texte d'origine en hebreu, pourtant dit sacré, et texte, on le sait, qui est à la base de très nombreuses obédiences religieuses, qui se regardent actuellement en chiens de faïence.
A titre documentaire, voyons aussi comment les deux bibles particulières citées plus haut, s'expriment dans
cette très curieuse affaire :
Chez Dhorme 1956 : Ne blasphème pas contre Elohim... .
Chez Chouraqui 1975 : Tu ne blasphémeras pas Elohim... .
Chez Chouraqui 1985 : Elohim, tu ne le maudiras pas... .
Voyons alors pour d'autres bibles et avec quelques variantes sur le mot
blasphème, on trouve alors
:
Tu ne blasphémeras pas contre Dieu...
(C'est là, la version où le bluff, est le plus énorme)
Notons cependant à part, la version de la
Bible en français courant 1996, dejà présentée plus haut :
Vous ne devez ni m'insulter, moi, votre Dieu,
Ni maudire le chef de votre peuple.
Seul donc un connaisseur de l'hébreu, aurait pu nous dire, ce qui se trouve vraiment dans le texte d'origine.
Voyons maintenant, ce que nous trouvons dans une premiere bible anglaise de 1978, que nous possédons : :
et à la page 88, on trouve alors :
Notez bien ici le vocable :
The gods, où
le pluriel nous interpelle grandement.
De même, dans la bible suivante, de 1987 :
, nous lisons alors, en bas de la page 40 :
Donc c'est
Kif.. Kif , et on voit que ces deux textes proviennent de la même version d'origine .
Sur Google nous avons aussi trouvé la version du
Douay-Rheims Bible. :
Thou shalt not speak ill of
the gods, and the prince of thy people thou shalt not curse.
Ainsi donc d'après ces Bibles, il semblerait que le texte hébreu, porte bien
le pluriel (escamoté dans toutes les autres bibles usuelles), et nous pouvons parfaitement écrire désormais dans une
Bible dite Cosmique (qui conserverait le pluriel Elohim, partout où il se trouverait dans le texte hébreu) :
Tu ne blasphémeras pas les Elohim...
Dans la même catégorie, notons aussi à l'url :
et plus précisément encore :
, et l'on découvre aussi que :
, le terme
Elohim est,
là aussi, remplacé par
"
the gods". Mais il semblerait que nous avons
là, la même version d'origne
du King James
A vous de juger, documents à l'appui !
Mais, nous possédons aussi, une autre Bible en anglais :
et, voyez vous même, ce qui est écrit au verset 28 de l'Exode 22 :
Le pluriel a là, disparu.
Mais
ce qui est encore plus surprenant, c'est qu'en bas de page, on nous dit que la note
f, placée après
God, pourrait signifier que l'on peut aussi traduire
"Do not blaspheme God" par
"Do not revile the judges" (Ne pas outrager les juges),
ce qui implique aussi ici, la présence du pluriel que le traducteur préfère ignorer ici.
Et que donc, viennent faire ici ces juges ?
Sans doute
cette affaire de juges, est tirée :
- Soit des Psaumes 58 vers. 12 :
- Chez Segond: "Et les hommes diront: Oui il est une récompense pour le juste; Oui il est un Dieu qui juge sur la Terre" (notez bien le Un).
- Chez Chouraqui: :
"L'humain dit: Mais il est un fruit pour le juste , mais un Elohim qui juge sur Terre " (notez bien le terme Elohim seule Bible à le transcrire partout où il est écrit, ce qui est très utile (on l'a déjà dit) pour ceux qui ne connaissent pas l'hébreu)
- Chez Dhorme : "Et l'on dira: Oui il y a un fruit pour le juste, oui il y a des Elohim qui jugent sur la Terre " "(notez bien les termes "des Elohim", seule Bible à transcrire courageusement, parfois le pluriel, où il se trouve dans le texte, pluriel pourtant très embarrassant pour lui. )
- Soit encore des Psaumes au Chap. 82 ,Vers 1
- Chez Segond: " Dieu se tient dans l'assemblée de Dieu. Il juge au milieu des dieux. " (notez bien les deux écritures différentes : Dieu et dieux )
- Chez Chouraqui: :
" Elohim se poste au concile d'El au milieu des Elohim il juge." ( notez bien le terme " El" à la place de "Dieu" et surtout les termes "des Elohim", ce qui a du faire grincer des dents cet auteur car c'est plutôt rare qu'il place un "des" devant Elohim) .
- Chez Dhorme : "Elohim est debout dans l'assemblée divine , au milieu des dieux il juge " (notez bien les termes "des dieux", moins compromettant, à la place du "des Elohim" de Chouraqui car Dhorme voulait justement rester le plus souvent fidèle au texte hébreu et ici justement, il ne l'a pas fait )
La preuve est donc faite ici que
les traducteurs ont trafiqué selon leur humeur,
le texte d'origine, et cela ici entraîne, que les théologiens seront désormais forcés de constater que
Iahvé, admet donc la présence
des autres Elohim, qui ne
doivent pas être blasphémés, mais que seul
le souverain du peuple, donc
Iahvé lui même, peut recevoir des sacrifices, et être spécialement respecté.
En effet, en plus , il faut savoir, que
le souverain du peuple n'est pas
Moïse, comme certains traducteurs l'ont compris, mais bien
Iahvé lui même, car
Moïse n'a jamais été nommé,
ni souverain, ni prince, ni même chef du peuple. Il n'est
qu'un simple messager, choisi pour transmettre les ordres de Iavhé :
"Ainsi tu diras aux fils d'Israël que Iahvé l'Elohim de vos pères, l'Elohim d'Abraham, l'Elohim d'Isaac et l'Elohim de Jacob m'a envoyé vers vous." (
Exode III,15).
Mais
le 01/11/2010, nous avons eu l'idée de chercher sur
Google, l'expression placée entre guillemets suivante :
" Thou shalt not revile the gods" + Bible
, et voici ce que nous avons découvert en passant par l'un des sites indiqués :
Exodus 22:28
1. - King James Bible
Thou shalt not revile
the gods, nor curse the ruler of thy
people.
2. - American King James Version
You shall not revile
the gods, nor curse the ruler of your
people.
3. - Douay-Rheims Bible.
Thou shalt not speak ill of
the gods, and the prince of thy people thou shalt not curse.
4. - Darby Bible Translation
Thou shalt not revile
the judges, nor curse a prince amongst
thy people.
5. - Éxodo 22:28
Spanish: Sagradas Escrituras (1569)
No maldecirás a
los
jueces, ni maldecirás al príncipe de tu pueblo.
6. - Éxodo 22:28
Spanish: Modern
No maldecirás a
los jueces, ni hablarás mal
del gobernante de tu pueblo.
7. - Éxodo 22:28
Spanish: Reina Valera (1909)
No
denostarás á
los jueces, ni
maldecirás al príncipe de tu pueblo.
8. - Exode 22:28
French: Martin (1744)
Tu ne
médiras point
des Juges, et tu
ne maudiras point le Prince de ton
peuple.
Mais, il serait peut-être utile de mentionner ici, un célèbre commentaire fait sur ce verset 28 de l'Exode 22 :
Thou shalt not revile the gods - Most commentators believe
that the word gods here
means magistrates. The original is אלהים Elohim, and should be understood of the
true God only: Thou shalt not blaspheme or make light of [תקלל tekallel] God,
the fountain of justice and power, nor curse the ruler of thy people, who
derives his authority from God. We shall ever find that he who despises a good
civil government, and is disaffected to that under which he lives, is one who
has little fear of God before his eyes. The spirit of disaffection and sedition
is ever opposed to the religion of the Bible. When those who have been pious get
under the spirit of misrule, they infallibly get shorn of their spiritual
strength, and become like salt that has lost its savor. He who can indulge
himself in speaking evil of the civil ruler, will soon learn to blaspheme God.
The highest authority says, Fear God : honor the king.
Et voyons alors comment Google nous traduit cela d'une manière fantaisiste :
Commentaire Adam Clarke sur la Bible
Tu ne maudiras point Dieu - La plupart des commentateurs estiment que le mot signifie ici les dieux magistrats. L'original אלהים est Dieu, et doit être compris seulement en tant que vrai Dieu. Tu ne blasphèmeras pas ou tu ne parleras pas legèrement de Dieu, la fontaine de la justice et du pouvoir, ni tu ne lancera la malédiction sur le prince de ton peuple, qui tire son autorité de Dieu. Nous allons toujours trouver que celui qui méprise un bon gouvernement civil, et est mécontent de celui dans lequel il vit, est celui qui craint peu Dieu devant ses yeux. L'esprit de mécontentement et de sédition n'est jamais opposé à la religion de la Bible. Quand à ceux qui ont été avides de faire régner l'esprit de désordre, ils seront infailliblement dépouillés de leur force spirituelle, et deveviendront comme le sel qui a perdu sa saveur. Celui qui peut se livrer à la médisance de la règle civile, va bientôt apprendre à blasphémer Dieu. L'autorité suprême dit : Craignez Dieu, et honorez le roi.
Fin de la traduction de Google.
Vous avez bien lu, les Elohim ici, sont devenus desdieux magistrats. Quel cirque magistral...n'est-ce pas !!!
Ce qu'il nous faut retenir de cette traduction bizarre, c'est que Google a programmé son logiciel de traduction pour rendre the gods, et aussi Elohim, par simplement Dieu. Comme c'est surprenant, n'est-ce pas !! Point barre...
Mais compte tenu, des découvertes extraordinaires faites sur la Lune et dans son environnement, le Webmaster d' ARTivision, a, la quasi certitude, que bientôt, apparaîtra sur le marché " La Bible cosmique", qu'il a si souvent appelée de ses vœux, afin que cette planète puisse enfin hausser plus humainement et plus charitablement, son niveau d'évolution.
A vous de juger tout cela, documents à l'appui...
Mais ce 28 Août 2018, après cette rapide mise au poing, concernant les magouilles opérées dans l'Ancien Testament, à cause d'un manque total, au cours des siècles, du concept cosmique, lié au destin de l'humanité, nous allons aujourd'hui aborder, l'expression d'une légende toute aussi extraordinaire, que celle du Dieu grec Apollon, déjà présentée plus haut... et, nous demandons humblement alors au novice ingénu, qui découvre à peine ce site, de prendre vraiment la précaution de bien attacher sa ceinture, car à l'altitude où l'on va évoluer, il risque d'y avoir, pour lui, de très sérieuses turbulences psychiques...
Disons maintenant ici, qu'il n'y a pas, en effet, que les Grecs, qui nous obligent à plonger dans leur mythologie pour accéder à une surprenante Vérité, et nous allons cette fois, monter plus au nord, et voir ce que nous racontent les Esquimaux, qui ont réussi à s'adapter au climat très rigoureux de la zone polaire nord.
Voici donc, une autre affaire aussi curieuse, concernant les esquimaux . Nous n'avons connu cette affaire qu'en fin de 1972, lorsqu'une aimable amie de la Métropole a eu la très géniale idée, de nous offrir le livre "La Terre creuse" de Raymond Bernard , publié en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible" (très difficile à trouver, et très cher sur Web) :
Ces derniers temps, on peut trouver sur le marché, cet autre ouvrage en remplacement, publié aux Editions Hades en Sept.2017
Mais, jetons alors, un coup d'oeil très pointu, sur le passage admirable, en page 150, de ce suprenant ouvrage de 1971 :
Mais pour les puristes, qui aiment partir des sources avant traduction, nous avons aussi dans notre bibliothèque l'ouvrage (où apparait cette curieuse légende) du DR Raymond Bernard paru en 1964 "THE HOLLOW
EARTH ", the greatest
geographical discovery in history, chez l'éditeur FIELDCREST aux USA :
Et en page 17, voilà le texte originel :
Donc, tout est clair, il n'y a pas d'erreur de traduction et de transmission dans cette affaire, et comme pour le dieu Apollo, on est en demeure, de se poser la question :
" Pourquoi donc, ce si valeureux peuple Esquimau, a montré justement le Pôle Nord, comme le lieu de son origine, alors , (on le sait bien), que pour nos savants actuels, ce point est situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?"
.
De plus,
cela contredit tout ce qui est révélé académiquement par nos pontifes universitaires... (voir par exemple les documents et livres suivants) : :
Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage
"Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de
notre intérêt, sans cesse croissant, pour le
Passé prestigieux de notre Planète.
Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé dans notre exemplaire de 1972,
(après pas mal de péripéties), pages 253 et 254,
re-strcturées par nos soins:
On découvre alors, que dans le
New York Herald Tribune du
11 Juin 1958, que nous n'avons pas hélas trouvé sur Google, que
l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article paru dans le
New york Herald Tribune,
" s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "
Ou encore dans l'ouvrage d'un certain archéologue des régions polaires :
Ouvrage que nous avons découvert, lors de notre passage à Paris en Mai 2007, à
la Libraire de l'Avenue 31 Rue de Lecuyer, Porte de Saint-Ouen.
Cet ouvrage est paru aux USA, sous le titre
"Ancient Men Of The Arctic" by
J. Louis Giddings. publié en
Juillet 1967 avec photographies , schémas de gravures et cartes, avec 391 pages et publié chez
Alfred A Knopf.
En feuilletant cet ouvrage dans la librairie, nous avions remarqué, qu'il s'y trouvait un chapitre parlant de
"L'énigme des Esquimaux" , et c'est essentiellement cela, qui nous a déterminé à faire l'acquisition de cet ouvrage.
Voyons donc ce que l'on nous dit en 1973, dans
la préface de cet ouvrage, préface écrite par
Jean Malaurie anthropogéographe, explorateur spécialiste des régions arctiques et administrateur chez Fayard de la collection
"Civilisations du Nord".
Voilà donc, en partie, ce qui concerne l'origine de cet étrange peuple des esquimaux :
a) De l'origine des esquimaux et de la raison du peuplement des zones arctiques
"L'Arctique pour le lecteur français, ce sont.., les Esquimaux. Les Esquimaux, toujours les Esquimaux. Pour les premiers chercheurs aussi. Et c'est très tard que l'on a saisi
l'unité culturelle de cette civilisation originale qui se déploie
sur un front de 15 000 kilomètres, de la Sibérie au Groenland.
Civilisation surprenante à des latitudes où toute vie est un défi,
et qui confond, par son unité et son ampleur. C'est l'espace
civilisationnel le plus vaste du monde après celui occupé par
les Arabes. Et l'on comprend qu'elle ait retenu la première attention des ethnologues, bien que leur effort de description et
d'analyse ait souvent absorbé ceux-ci au point qu'ils en ont oublié le sens profond.
D'où viennent-ils et pourquoi cette montée des hommes
vers le pont ou le détroit de Béring ? Les traits mongoloides des Esquimaux ont conduit les premiers observateurs à conclure hâtivement (dès le XVIIIe siècle), qu'il s'agissait
de peuples du nord de l'Asie - Toungouzes ou Chinois -
repoussés par des tribus hostiles vers le Nord-Est sibérien, puis vers les steppes glacées américaines - les futures
prairies - non occupées encore par les Indiens. Etc..."
Mais un peu plus haut dans cette préface, on trouve aussi une raison concernant le peuplement des zones arctiques :
"...Pourquoi cette poussée, cette obstination vers le Nord ? Parce
qu'aux interstadiaires, c'est-à-dire aux périodes relativement
tempérées des zones arctiques, les steppes, libres des glaciers,
sont d'immenses prairies verdoyantes parcourues par un abondant gibier. Etc.... "
Fin de la citation très partielle.
Autrement dit, les régions arctiques actuellement si réfrigérantes ont été peuplées autrefois, quand la température était plus tempérée, parce qu'elles regorgeaient de nourriture.... Point à la ligne et n'en parlons plus...
Bien sûr pour
ARTivision, il y a
bien mieux comme explication. Alors
Messieurs les historiens des zones arctiques, prière SVP, d'attacher SVP, solidement vos ceintures, car vous allez, sans doute, être choqués par les propos qui suivent...
Le Webmaster du site
ARTivision, qui aime retrouver
la source d'un document, a cherché pendant prés de
40 ans, dans
quel ouvrage R. Bernard avait trouvé cette incroyable légende, concernant les esquimaux qui pointent le doigt vers le Nord, pour indiquer leur origine...
C'est ainsi que nous avons même commandé en,
Juillet 2010, dès que nous avons pris connaissance de son existence l' ouvrage sorti, aux Editionx
Flies France en 2006 :
N'ayant en effet, rien trouvé dans cet ouvrage concernant
l'affaire des Inuit , qui prétendent venir du Nord, le plus haut, nous avons écrit à ce sujet à l'
Editeur, et même à l'auteur
Maurice Coyaud dont un aimable internaute nous avait trouvé l'e-mail, et hélas depuis lors, nous n'avons reçu aucune réponse, ni de l'un, ni de l'autre. Un jour peut-être à titre documentaire, nous publierons ces lettres. Nous vous laissons alors, le soin de juger
ce manque flagrant de courtoisie, et le fait que cela dénote aussi,
selon nous, bien sûr,
une prétention inégalée, de se croire être
des as du savoir concernant les esquimaux...
Mais, le
13/09/2012, nous avons eu le grand privilège d'entrer en possession de l'ouvrage de
1907, suivant :
Et en page 180, on découvre alors :
Traduisons très modestement, ce passage concernant l'origne des esquimaux :
" Ce peuple étrange n'a aucune idée de sa provenance. Il n'a même pas, comme la plupart des peuples primitifs, une légende
indiquant sa provenance. Quand on questionne l'esquimau sur le sujet, il indique invariablement la direction du nord, sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste. Il est plus que probable que ce peuple est le résidu d'une puissante race formée des plus anciens habitants l'hémisphère occidental... "
Très curieux ce laïus... n'est-ce pas ?
Mais, si
l'on sait lire entre les lignes, on voit là que, l'esquimau au lieu de faire de longues phrases ambigües, prèfère utiliser le même geste, de ses ancêtres,
en pointant le doigt vers le Nord. Quoique l'auteur en pense,
c'est tout de même bien une légende gestuelle, transmise de génération en génération. D'ailleurs l'auteur dit lui même, plus loin,
que le dialecte de l'esquimau possède très peu de mots, 300 environ. Donc il n'a pas l'habitude de parler en l'air... Mais, c'est la phrase suivante du
Dr Senn, qui nous intéresse grandement, et il faut la comprendre à
deux niveaux :
"sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste ".
Le
premier niveau est le fait, que l'esquimau a oublié effectivement
pourquoi il pointe le doigt en direction du nord !, et cela se comprend très bien.
Le
deuxième niveau, c'est le
Dr Senn lui-même, qui nous donne l'occasion de l'exprimer, car, croyant que sa culture intellectuelle
est plus achevée, que celle de l'esquimau, alors il
ne jugera pas utile d'approfondir la portée de ce geste insolite de l'esquimau, bien qu'il ait, entendu parler par de nombreux explorateurs de
cette énigmatique Mer libre du Pôle, dont nous avons parlé.dans de très nombreux articles et en particulier à :
Ce
Dr Senn, a donc, comme vous le voyez,
loupé le coche, alors
qu'il avait bien en main, les attributs péremptoires, d'une énorme découverte .
Ce
Dr Senn,
(grâce au peuple des esqimaux), a, en effet, été tout près de découvrir
l'existence d'un vortex polaire authentique, au Pôle Nord, mais, il a assurément oublié
l'affaire de la "Mer libre du Pôle Nord" , comme le préconisaient les nommés
: Le Dr Elisha Kent Kane, le Dr Isaac Israël Hayes, le Comte de Buffon, Daines Barrington, Boiteau, J-p Bellot, Nansen, Greely, Hall, Edward Parry, Ingleflied, Jules Verne, Jules Gay, De Wrangell .. etc.. Mais, sans avoir
les photos satellites, que nous possédons, les nommés
: William R. Bradshaw, Sir Hormidas Peath, Henry Campion, Sir John Leslie, William Reed, Olaf Jansen, Marshall B.Gardner, Raymond Bernard ..etc....
ont eux, bel et bien, parlé des vortex polaires, à notre grande stupéfaction ...
Donc pour bien comprendre,
cette affaire de l'esquimau, qui pour indiquer la provenance de son peuple, montre actuellement le Pôle Nord, il est préférable d'avoir sous la main, l' image suivante de la NASA :
Cette photo, qui nous montre
le satellite Titan de Sature, provient du site
très bien fait :
Et on découvre aussi que cette photo, aurait été obtenue, par
la sonde Cassini,
le premier Juillet 2004 :
Si nous analysons de près,
le disque blanc très brillant, au pôle sud de l'astre,
( que certains ont qualifié, vite fait, de petit nuage blanc), on voit nettement en-dessous,
une sorte de réverbération lumineuse, sur les couches de l'atmosphère
de Titan, prouvant ainsi
que la lumière du disque blanc, vient de l'intérieur de l'astre :
Mais,
"comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", voici encore une
superbe image bleutée de Titan, qui met bien en relief, le phénomêne en question :
Disons alors aussi que la photo précédente est du
début de Juillet 2004, et
url du site , est placé tel que :
Comme on le voit,
le doigt de l'esquimau, nous a conduit sur une piste, plutôt glissante et fantastique.
Mais ce
30 Août 2018, certains
détrateurs zélés, nous diront vite, en bombant le torse :
"Dans cette affaire, on ne voit que le satellite Titan de Saturne, c'est trop particulier, et l'on connaît bien l'adage populaire : "Testis unus, testis nullus" (Témoin unique, témoin nul)... Point à la ligne ..."
Nous dirons alors encore une fois, à
ces zélés détracteurs, qu'il est préférable pour eux, de ne pas, trop vite, oublier que le site
ARTivision, a toujours dans ses dossiers,
d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires...
Présentons alors ci-dessous, quelques vues, qui ne courent les rues
(et pour cause), de
la Planète Mars.
Présentons d'abord,
une photo de Mars, tirée de la revue
Siences et Avenir n° 108 de Février 1956 ( que nous avons le privilège de possèder, et qui doit être plutôt rare à trouver sur le marché), et dont pour les puristes, voici la couverture :
Et voici la photo en question :
Cette image, nous montre,
la calotte polaire de Mars,
qui brille souverainement, alors que
la zone tout autour, est dans un noir notoire.
Si cette affaire,
ne vous
fait, ni chaud ni froid...Alors, regardez aussi, ce qui suit
:
Pas mal, n'est-ce pas, ces
"couvre-chefs lumineux", bien en relief, au dessus de la planète
!!! Et en plus, voici encore d'autres images de Mars, où
l'on voit, que
la calotte brille
majesteusement, alors que
la région
environnante est dans l'ombre...
Quant à prendre en
considération, les documents de la
NASA, où
figurent certaines images,
des pôles de
Mars, comme par exemple, celles-ci :
,
C'est alors du temps
totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile
actuellement pour la
NASA, de trafiquer des
photos à sa convenance personnelle et de nous
nous mener carrément en
bâteau...
Mais, voici
le bouquet incontournable, qui se présente pour les
images suivantes de
Neptune, à
gauche, et de
Mars à droite
:
Hallucinant... n'est ce pas
!!! Nous insistons ici sur le
fait, que la photo de
Mars, à droite ci-dessus
ne vient pas de la NASA,
(qui
vérouille et camoufle toutes images troublantes, venant des sondes spatiales), mais du
Griffith Observatory, à los Angeles, en
Californie,
(et qui existe depuis
1935).
Cette
extraordinaire photo de Mars, prise le
31
Août 2003 par le
"Griffith Satellite Observatory", lors de
la fameuse opposition de 2003, où
Mars, était alors au plus près de la
Terre, à environ
56 millions de km :
Pour ceux qui voudraient en savoir plus, prière
de contacter
cet Observatoire
Griffith pour lui demander pourquoi cette superbe image,
n'a jamais fait la une des médias qui ont
pignon sur rue ... et surtout que l'on nous dise pourquoi
le site admirable, qui présentait cette photo
à :
a disparu en 2005, comme par
magie.
On y voyait
alors entre autres choses, ceci :
Une modeste
traduction des 7 premières lignes, donne alors ceci :
Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un
Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX
webcam.
C'est la meilleure image de
Mars qui se compose de plusieurs
dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de
prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette
année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif
Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord
est en haut et l'Est est à gauche.
Remarquons que
l'Est devrait être à
droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord
soit en haut. Le télescope en effet,
inverse les images ...
Mais vous pouvez cependant,
grâce au
merveilleux site :
, retrouver,
le site Griffith qui a disparu, désormais en passant par exemple par le
( 29 Fev 2008) :
Le
nom de la photo étant
Mars083103.jpg, vous
pouvez la trouver directement sur le Web à l'adresse :
, ce qui nous donne alors ce superbe spectacle qui en mettant
l'Est à droite, en inversant l'image
Cependant compte tenu de
l'importance de cette affaire, il
conviendrait
aux puristes de demander
au moins à :
dans
quelle revue scientifique ou
autre, cette
étrange
photo, a pu être publiée
?
Avis aux
chercheurs et même aux
amateurs qui
s'interrogent
vraiment sur tout cela
... Il nous reste
maintenant à démontrer, ce jour,
que
l'aspect global de la
Terre vue de l'espace, est tout à fait analogue à celui de Mars,
mais bien sûr,
toutes les photos de la NASA
venant des satellites ont été mises sévèrement sous le boisseau.
Disons alors ici en effet, que malgré
la multitude d'engins spatiaux qui tournent autour de notre planète,
il est très rare de tomber sur une photo présentant à la fois les aurores boréales et australes de la planète Terre, comme on en découvre une bien superbe pour Jupiter, placée à :
Jupiteraurores.html
Il y a cependant une,
(qui est vraiment surprenante) qui a pu échapper à
la censure, et que l'on trouve sur le site de la NASA :
C'est à vous qu'il appartient, désormais, de juger tout cela, documents incontournables à l'appui...
Mais, ajoutons ce jour
ce petit plus pour
les bien-pensants, beni-oui-oui de la NASA dont nous n'avons pas encore reçu
une seule petite réponse concernant l'absence flagrante de traces sur la Lune de la jeep pour Apollo 15 et aussi Apollo 17. Ce petit plus concerne toujours
Apollo 17
Si nous analysons en effet, la tranche
la fameuse roue immobile de la photo en cause, vue plus haut, et nommée
AS17-137-20979 :
Nous y distinguons clairement,
les petits grains de sable, qui sont restés coincés dans les interstices de cette roue qui n'a pourtant pas roulé ici
(voir plus haut ), mais qui a dû les ramasser certainement ailleurs.
Maintenant scrutez attentivement, la semelle présentée dans la photo
AS17-134-20453 :
Et, voyons cela, de plus près, et en diminuant le contraste:
Pas un grain de poussière, n'est collé en dessous de la chaussure.
Ne trouvez-vous pas cela bizarre ? "L'astronaute", est-il passé directement du LEM au LRV
sans toucher le sol ?
Quelle prouesse ? Aux spécialistes de répondre si une telle chose est possible !!!
Mais, soyons encore plus pointilleux : Regardez la photo suivante, où nous avons tracé grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues du
LRV :
On voit alors que les roues de droite du LRV, n'ont laissé sur le sol
aucune traces visibles dans la direction montrée. Dommage que l'on ne puisse pas voir le sol entre roues . ni aussi un peu du sol, qui précède la première roue de droite,
car certains n'hésiteront pas à dire que le jeep est arrivée là, en reculant...
A vous de juger une fois de plus, documents à l'appui.
Mais en partant du site presque officiel, déjà vu :
, présentons maintenant, la photo, toujours d'Apollo 17, référencée
AS17-147-22526, qui présente
une prétendue trace, entre les deux roues visibles, où l'on découvre ceci :
On voit alors que :
Les stries entre les deux roues
ne sont presque plus visibles, comme si elles avaient
été dénaturées, par une manipulation photographique quelconque.
Analysons alors cela de plus près, en agrandissant cette trace, pour y voir plus clair.
On découvre alors cette image :
Et on voit ici,
une étrange trace dont la moitié est floutée, et, on ne comprend pas du tout, pourquoi cela ? De plus
le dessin qu'a laissé, la miotiée droite de la roue de la jeep, est faux, car les segments intérieurs sont perpendiculaires au bord du ruban laissé au sol, alors que ces segments devraient être passablement inclinés sur le bord en question.
Voici à nouveau,
plus clairement, le modèle des roues, où l'on voit que
les segments sont très inclinés par rapport au bord de la roue :
Voyez vous-même :
Ne trouvez-vous pas cela très Surprenant ?
Et n'est-ce pas le moment de donner, une fois de plus la parole, au grand acteur, que fut
Louis Jouvet, en reprenant ce qu'il nous dit dans le film de
Marcel Carné , dans le film
"Drôle de drame", de 1937. et écoutez donc cette voix à : (
Voix de Jouvet),
MOI J'AI DIT BIZARRE, BIZARRE, COMME C'EST BIZARRE.
A vous de juger, une fois de plus tout cela, documents à l'appui...
Mais, ce
1er Septembre 2018, en abordant notre
5e focus, poursuivons ainsi notre exploration
des légendes de notre Passé, que les pontifes de la culture contemporaine, et ses intellectuels blasés, considèrent comme des histoires inventées, pour endormir subrepticement le peuple.
Cinquième focus :Quand ARTivision , ressort de ses dossiers l'affaire de des oiseaux métaliques, ayant véhiculé, il y a des lustes les esquimaux, jusqu'à leur region actuelle...
Analysons donc maintenant, le document suivant :
Ce passage est tiré
(on l'a vu déjà plus haut) de notre exemplaire de poche, intitulé
"Le Matin des Magiciens" de
Louis Pauwels, et de
Jacques Bergier, paru en France,
en Décembre 1972 :
On decouvre alors dans cet ouvrage que, ses
célèbres auteurs, se posent
à juste titre, les questions relatives
à la migration vers le Grand Nord, de ce peuple d'esquimaux, dont parle le
New York Herald Tribune du 11 Juin 1958 en question :
" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.
- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier
du globe?
- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan ?
- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ... "
Jacques Bergier et Louis Pauwels , émettent alors l'hypothèse, (déjà hardie pour l'époque), de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans, qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord, une sorte de zone de déportation.
Mais on voit aussi, que les auteurs en question,
( pourtant si précis d'habitude), dans leurs propos, ne nous disent pas,
où ils ont pu puiser, une si surprenante déclaration, extraite du folklore esquimau,
et disant que : " ces tribus ont été transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps par, des oiseaux métalliques géants "
Mais, on peut aisément supposer que
cela se trouve justement dans l'article de l'Institut Smithson
paru New York Herald Tribune du 11 Juin 1958 en question. Merci donc mille fois, à l'internaute béni, qui pourra trouver sur le Web, une copie de ce super article...
Pour fignoler l'affaire, disons aussi que ces messieurs
Jacques Bergier et Louis Pauwels, ironisent d'abord sur l'attitude qu'avaient
les archéologues de XIXe, (qui ne connaissaient pas encore l'avion) au sujet de ces oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques d'absurdité.
Mais,
nous, qui avons découvert
les avions et bien d'autres engins métalliques volants comme les satellites,, nous devons réfléchir assurément sur
ce passage surprenant...
Le site
ARTivision, prétend démontrer que
ces esquimaux, ont été déportés de
la Terre intérieure, vers
les zones polaires, et l'on va vite découvrir
pourquoi, dans d'autres documents.
Mais, ces savants du
XIXe, avaient certainement entendu aussi parler de
descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés vimanas, et qui circulaient à l'époque dans la région des Indes, comme nous le décrit ce passage des
pages 257 à 258 de notre livre de poche :
Ces savants du
XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens,
de purs contes et de légendes imaginaires... Et vous, qu'en pensez-vous maintenant ?
Voici d'ailleurs, une vue d'un artiste contemporain, repésentant
deux vimanas en mouvement, tableau,
hélas, dont nous ignorons l'origine :
Pour en savoir plus à ce sujet, prière de consulter notre article :
Mais, dans cette affaire, il nous fallait donc trouver au moins
un autre ouvrage, révélant ce fait concernant des
d'oiseaux métalliques transportant les esquimaux ...
En fouillant, dans notre bibliothèque, nous sommes tombés
très heureusement Hum, hum... , sur l'ouvrage intitulé en anglais
"Not of this World" de
Peter Kolosimo, dont la traduction est en français nommée :
"Archéologie Spatiale", paru en
1971 chez
Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue :
"Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :
Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé
les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que
des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien
"le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.
Dans le livre de poche en anglais paru en
1970, on trouve en page 92, ce passage :
, et en français, un an plus tard, voici la traduction du passage précédent, concernant les esquimaux, et qui est en page 101 :
Donc
cette nouvelle légende des esquimaux, qui sont arrivés un jour dans leur région, (et on ne sait pas d'où ils venaient), avec de grands oiseaux métalliques, nous
interpelle au plus haut point, et par contre, elle ne peut
que faire tomber à la renverse nos bien-pensants, qui croient être les plus beaux et les plus intelligents de notre si chancelante civilisation.
Mais lisez donc aussi, ce texte très académique, et tiré de
l'Agenda Mémoire de l' Homme Moderne de 2017, que l'on ne peut nullement taxer
de dissertation intempestive :
Mais pour aider
le novice, à comprendre d'où vient l'expression
"Soucoupe volante",
( S.V.), rendons hommage,
une fois de plus, à l'ouvrage remarquable paru chez
Dargaud en 1972, de
Jacques Lob et de Robert Gigi, en présentant quelques vignettes significatives de leur BD, sur le sujet. Voici d'abord la couverture de l'ouvrage en question :
Puis voici les vignettes qui expliquent bien cette affaire de"
soucoupes volantes" :
C'est donc grâce à
Kennet Arnold,
(qui croyait que ces S.V. étaient d'origine extraterrestre), que le vocable "
soucoupes volantes" a pris son essort à partir du
24 Juin 1947.
Mais pourquoi, pendant que nous y sommes, ne faire un petit clin d'œil
justement, à
quelques brefs éléments du
dossier historique des soucoupes volantes ou ovnis ...
Bien sûr, pour en savoir plus, il convient de consulter,
l'admirable album de BD en question.
Mais, il nous semble utile également, de présenter ici, quelques lignes sur le sujet des Ovnis, de l'article de
l'écrivain ami Guy Tarade, paru dans
le n° 289 de l'excellente revue "Le Monde de L'Inconnu", de
Déc. 2000-Janv. 2001, telle que :
:
Et voici, ce que l'on découvre à la page 61 :
Rappelons aussi en passant, que
l'extrordinaire affaire, qui a eu lieu à Nice, en 1608, a reçu, un court développement, à notre article :
A vous donc, une fois de plus, de juger tout cela...
Seulement,
le hic vient du fait, que d'après le
Maître ésotériste britannique,
Sir Brinsley Le Poer Trench : (déjà largement présenté plus haut), ces soucoupes volantes ne viennent pas de bien loin. Et lisez donc plutôt, cet entrefilet publié le
6 Février 1975 par
Jacques Bergier, dans le Nostra
n° 148 :
Après quelques bonnes recherches
du Webmaster du site
ARTivision, ce dernier a découvert, que c'est dans l'ouvrage de 1974 suivant,
(non traduit en français jusqu'à présent), que
ce lord anglais a parlé de cette affaire, tout à fait hors-norme :
"Des Ovnis venant de l'intérieur de la Terre ", voilà
un
surprenant entrefilet, qui n'avait aucune chance, de sortir, il y
a environ,
quarante trois ans en 2018, dans des
revues qui ont pignon sur rue comme la
"Recherche",
"Sciences et Avenir"
..etc. alors que ces revues, en étaient
seulement, à se poser la question
de
l'existence reelle de ces Ovnis ?
Voyons
par exemple,
l'introduction du n° 403 de la revue "Science et Vie" d'Avril 1951 :
Comme vous le voyez, certains savants américains et suédois, en étaient, encore en 1951,
à mettre une fois pour toutes,ces affaires de soucoupes volantes (ou de disques volants comme on disait aussi à l'époque)
, dans la catégorie des ballons atmosphériques, ou autres illusions d'optique. Point Barre...
Voici en plus, un autre son de cloche, bien plus tard, qui est la conclusion tirée d'un article de
19 pages du n° 245 de Mars 1968 , de la revue très officielle : "Forces Aériennes Françaises" :
Mais, ce que
le commun des mortels, ne savait pas à l'époque
( Les scientifiques gouvernementaux; eux le savaient), c'est que pour les USA, au moins,
l'affaire des ovnis, , dont parle, en passant, cet entrefilet significatif : :
était donc déjà,
(et l'est toujours),
le sujet le plus haut classifié, des Services Secretsen général, c'est à dire le sujet tout à fait Top Secret, du pays. Tout cela est clairement transcrit dans
le mémorandum (que nous possédons bien sûr),
rédigé par l'ingénieur Wilbert.B.Smith,
qui était responsable des télécommunications du Ministère des Transports du Canada, daté du
21 Novembre 1950, et adressé au ministre concerné portant à l'origine la mention
"Très Secret", et donnant les informations qu'il avait obtenues lors de conférences et de contacts à Washington avec ses collègues américains.
A vous de juger, une fois de plus, documents à l'appui ...
Mais, ce
3 Septembre 2018, n'ayant toujours pas reçu,
la moindre explication concernant les aberrations constatées, plus haut dans la prétendue mission lunaire d'Apollo 17, en Dec. 1972 de la NASA, nous allons ici, ajouter encore quelques anomalies que
le Webmaster d'
ARTivision, a personnellement découvertes dans cette affaire saugenue :
Mais, pour bien visualiser les incongruïtés de cette affaire, il est préférable d'avoir sous la main le
Paris Match 1236, du
13 Janvier 1973, qui nous présente alors, sur deux pages entières,
(que nous ne pouvons capter entièrement avec notre petit scanner), cette image
d'Apollo 17, que nous tirons du site
apolloarchive.com sous le n° :
AS17-I40-21496 :
La légende accompagnant la même photo géante de ce
Paris Match n° 1236, est alors :
" Un rocher comme sur la Terre : ce monstrueux bloc de rocher est une autre découverte impressionnante. Son aspect déchiqueté et érodé contraste étrangement avec les formes lunaires habituelles, douces et arrondies, telles qu'on peut les voir se profiler à l'arrière plan. Au retour de ce dernier voyage, Apollo 17 a ainsi emporté une moisson fabuleuse d'échantillons que le géologue Harrison H. Schmitt, a choisis avec discernement. 270 Kilogrammes de roches ont été jusqu'à ce jour prélevés sur la lune puis déposés 350 000 kilomètres plus loin sur la Terre. ".
Comme tout cela est bien envoyé, n'est-ce pas !!
On s'aperçoit déjà, que ce rocher présente
de nombreuses anfractuosités, contenant plusieurs angles droits, et même
des trous carrés, que vous n'aurez aucun mal à déceler et qui donnent l'impression que
ce rocher aurait été carrément sculpté.
(Mais ce n'est qu'une impression que des spécialistes en mathématiques et topologie, n'auront aucun mal à préciser).
Mais extrayons en, ces deux paties :
Reprenons d'abord la photo de gauche, en y plaçant deux petites flèches :
Au bout de flèche rouge
n° 1, on découvre une sorte d'inscription voilée représentant un
R, et un
Y ou un
4. Plus bas, au bout de la
flèche 2, on distingue comme une parcelle de la roche qui aurait été comme grattée et dont la couleur est plus foncée. Sur la photo d'à côté, nous avons volontairement accentué le contraste pour que cela soit plus net. On y voit alors parfaitement la
forme géométrique de ce grattage, pour y faire disparaître d'autres inscriptions, mais que l'on a cependant oublié sur les bords du grattage un
V, qui apparaît bien nettement, et
au-dessous duquel, pointent deux portions de droites bien parallèles.
Évidemment, tout cela pourrait être
le fruit du hasard. Mais dans le cas où des spécialistes en graphologie,
(possédant des moyens informatiques bien plus puissants que les nôtres), démontreraient qu'il s'agit vraiment d'une écriture que l'on a essayé de camoufler, il n'est pas besoin d'insister sur
les implications extraordinaires, que l'on pourrait en tirer.
Donc, aux spécialistes , de répondre...
.
Venons en alors, à la photo suivante, où nous avons placé une seule flèche :
Au bout de la flèche rouge, on aperçoit
une sorte forme circulaire très étrange, et qui pourrait être un outil oublié dans ce coin, ou mieux
une sorte de crochet (il y en a, peut-être, d'autres cachés par derrière), pouvant servir à soulever la structure lègère en carton-pâte ou en plastique. Et là, il ne peut s'agir
du fruit du hasard, devant une forme aussi géométrique.
Que ceux qui ont les moyens, nous en disent plus SVP, en mettant cela en 3D...
D'ailleurs
le sommet de ce rocher, paraît
bien plat pour un bloc lunaire:
car sur la Lune,
dit-on académiquemnt, il n'y a pas en principe de fortes érosions, susceptibles de le raboter de la sorte :
Pour préciser encore mieux cette affaire, jetons un peit coup d'oeil sur
le célèbre n° 153, du Sciences et Avenir de Novembre 1959,
(sorti à peine 10 ans avant Apollo 11) et dont voici, la photo de couverture :
Et aux pages
562 et 563, on trouve ce titre très parlant et significatif,
(pour nous bien sûr) :
Mais,
pour les puristes qui aiment remonter aux sources d'une information, et pour être plus explicite pour la suite de notre exposé, voyons brièvement, ce que l'on nous dit
au sujet de la Lune, dans ce
Sciences et Avenir Nov. 1959 :
Début de citation, page 558 :
Futures visions Lunaires ?
....C'est le moment de nous préparer à la première grande révélation astronomique. Ce que des esprits scientifiques pouvaient refuser d'imaginer gratuitement nous devons le regarder bien en face: Que seront les paysages lunaires?
...Jusqu'ici, c'est comme par jeu que certains astronomes se sont plus à les concevoir. Sur quels éléments certains pouvaient-ils raisonner ?
D'abord la nudité du sol est évidente, ni fleuves, ni mers, ni forêts. Pas de nuages. Un monde strictement minéral
.
D'autre part, la certitude de l'absence d'atmosphère. D'où découlaient de nouvelles certitudes : toute érosion aussi bien éolienne que fluviales, est à exclure : la lumière du soleil ne pouvant se diffracter sur les molécules atmosphériques comme elle le fait chez nous, en donnant au ciel son apparence azurée, le ciel est noir , même en plein jour, et les étoiles y scintillent sans cesse; le fait que toute diffraction est impossible mène à comprendre que tout objet est divisé en deux moitiés bien opposées, l'une franchement éclairée l'autre franchement dans l'ombre, sans que des molécules gazeuses donnent un certain moelleux aux ombres portées; enfin, élément décisif pour compléter notre tableau, la lumière est terriblement forte, terriblement crue car les feux du soleil ne sont filtrés par rien.
Fin de citation.
Mais avant de poursuivre notre exposé de ce jour, faisons ici pour
les admirateurs des exploits de la NASA,
une importante digression :
En effet, il est quasi certain qu'aux USA, en 1959, il existait aussi de livres et de nombreux magazines comme le
Sciences et Avenir en question,
( en particulier le magazine "Sky and Telescope" , paru dès Nov 1941), qui publiaient régulièrement des informations classiques sur notre Lune. Nous avons nous-mêmes dans notre bibliothèque l'ouvrage suivant, qui emboîte, tout à fait le pas, à ce qui précède :
Disons
(bien que cela va encore faire huler de dépit les bien-pensants blasés de notre culture académique), il faut bien avouer que les informations concernant la Lune ci-dessus
s'opposent catégoriquement aux données avancées dans les années 55 et plus, par les spationautes non officiels, comme George Adamski et Howard Menger, bien critiqués par des journalistes et écrivains sous-alimentés, en données parallèles ésotériques de l'époque.
Voici par exemple, comment les savants de 1959,
imaginaient le sol lunaire, dans un croquis présenté
à la page 559 du Science et Avenir n° 153 en question :
et voilà ce que nous montre
Apollo 11, à peine 10 ans plus tard :
Ces photos sont loin de correspondre avec le paysage lumaire vu plus haut, dans le
Science et Avenir, de Nov 1959, et surtout encore moins, avec les photo de la NASA, où les mamelons pullulent comme pour Apollo 17 :
D'ailleurs,
ces mamelons géants, se retrouvent à profusion à partir des photos
d'Apollo 15.
On aimerait bien savoir pourquoi ?
Qui donc, aurait averti la NASA déjà à cette époque (entre 1959 et 1969), qu'il avait bien une atmosphère sur la Lune, et donc, une effective érosion du paysage ? Tout cela expliquerait le fait que la NASA a osé, sans explication bien sûr, nous exposer aussi en Juillet en 1969, cette photo, où le sol est bien aplati et raboté à souhait :
Fin de la digression.
Tout cela serait à se tordre de rire, si nous n'avions pas aussi dans nos dossiers, mais cela, est arrivé, bien plus tard, cet entrefilet exceptionnel de la Revue Sciences et Avenir de Novembre 1995, revue qui a, on le sait, pignon sur rue en matière de vulgarisation scientifique :
l'image ci-dessus, est tirée du
numéro 69 de la revue
Top Secret, d'
Octobre- Novembre 2013,
Mais, nous avons aussi, cet entrefilet, venant notre
grand ami Roch Saüquere , Directeur de la revue
Top Secret, et tiré du
numéro 69 d'Octobre- Novembre 2013 :
Ces deux entrefilets sont très importants, car ils montrent sans l'ombre d'un doute que
la NASA et ses sbires, assurément, nous prennent assurément
"pour des abrutis notoires" .
Pour expliquer tant soit peu, pourquoi
la NASA a agi de la sorte,
déjà au moins de 1959 à 1969, nous allons émettre,
deux hypothèses,
( Il y en a certainement plus), qui vont encore
faire hurler de dépit, nos éternels et blasés détracteurs :
- Soit : Ces américains ont bien tenu compte des renseignements parallèles et secrets concernant la Lune, qui ne sont pas diffusés dans le grand public et que mentionna plus tard le regretté Milton William Cooper
(Voir plus haut), et essayez aussi d'ouvrir le site placé à :
,dont la première image est telle que :
- Soit : Ils ont pris en considération, en douce bien sûr, les déclarations hors-normes faites à l'époque par les spationautes non officiels, dejà mentionnés plus haut : George Adamski et Howard Menger, et déclarations, qui s'opposent, on le sait, totalement, au cursus académique des données planétaires connues de l'époque.
Nous avons bien sûr, dans de très nombreux articles, mis en exergue ces déclarations...
Finalement,
tout cela a été très probablement, une occasion révée, pour ces américains de monter une opération médiatique totalement bidonnée, dans les centres de simulation, de l' Arizona et du Névada, en faisant croire qu'ils étaient montés en 1969, sur la Lune, et en subjugant ainsi le Monde entier..
A vous d'en tirer les conclusions qui s'imposent, n'est-ce pas !!!
Attention, nous n'avons jamais affirmé que personne des missions Apollos, n'est monté sur la Lune, car en fonction de
l'affaire Barboto, nous savons
que le gouvernement américain a fait alliance avec"les Aliens", dès Février 1954, et la rencontre eu lieu à Muroc Airfield (future Edwards Air Force Base), en Californie. En effet à cette époque,
c'est le Président Dwight D. Eisenhower lui-même, qui pris contact avec une "délégation d'alienigènes", et cela en présence de l'évêque de Los Angeles, James Francis Mclntyre.
La rencontre fut, parait-il,
filmée par des militaires, utilisant trois caméras 16 mm placées en des endroits différents et chargées de pellicules couleur .
Si donc
Neil Armstrong et Buzz Aldrin, sont montés
sur la Lune, c'est avec
une soucoupe des aliens, et non avec
ce matériel désuet d'Apollo 11 et cette areignée grotesque, nommée LEM ( voir le film Hibernatus 1969).
Si
en plus, on étudie le
comportement aberrant de ce prétendu "spationaute" : Neil Armstrong, on reste sidéré devant sa manière d'agir, car cela ne cadre pas du tout avec
le stoïcisme et le caractère avenant, que l'on
prête en général,
à un héros de la nation, et
nous invitons maintenant, les internautes curieux, à analyser avec
le plus grand soin, les quelques lignes suivantes extraites d'un vieux
Paris Match n°1242 du
24 Février 1973, où figure un article courageux, tout à fait
hors-normes, et intitulé :
Le langage est donc clair : les
"astronautes" sont devenus "
les désaxés", soit, les
"misfits" de la NASA.
De plus, disons
Bravo au rédacteur de cet article du numéro 1242 de Paris Match, qui a eu
le super courage de publier un tel texte, qui s'achève par l'image très significative de Buzz Aldrin telle que :
Nous vous invitons donc à lire et relire avec la plus pointue des attentions, cette formulation de
Buzz Aldrin :
"
On nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés".
Il y a donc bien
quelque chose d'incroyable qui s'est passé au sujet de la Lune, également pour Aldrin, n'est-ce pas !!
Mais parlons aussi un peu de,
Mikael Collins (le troisième larron qui a seulement tourné en rond autour de la Lune
dans le Module de Commande, quand ses camarades étaient "déscendus", sur le sol lunaire), et qui
parait-il a été
si choqué, par son "
aventure lunaire", si bien qu'il ne participera plus à aucun autre vol spatial. Voir à ce sujet, la revue
"Valeurs Actuelles" n° 1725 de Déc. 1969 page 22:
Que celui, qui a bien su lire, tout qui précède, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout, le désir latent, d'en savoir plus, documents à l'appui.
Allez, voici
encore un petit plus, pour la route, concernant encore
les frasques d' Apollo 17. En effet, dans le même super
n°1236 de Paris Match consacré à Apollo 17
(vu plu haut), nous avons aussi repéré l'image du véhicule lunaire
(LRV)Lunar Roving Vehicle placé presque qu'au centre des deux grandes pages 40 et 41, trop étendues pour notre scanner :
Mais sur le site :
, nous avons retrouvé l'image globale en question :
Voyons de plus près ce
LRV (Lunar Roving Vehicle) du Paris Match :
qui correspond à la légende :
" ...Harrisson H. Schmitt parait isolé et perdu vec sa jeep dans ce paysage lunaire fantastique et désolé. C'est ici que vient d'être découverte pour la première fois une roche de couleur orange. Cette couleur est nettement visible de chaque côté du véhicule. trace d'une éruption volcanique ou de la présence d'eau voici des milliards d'années sur la Lune, cette roche sera analysée par les chercheurs. Son origine pose une nouvelle énigme.".
Ce que nous constatons d'emblée, c'est que l'on ne voit
aucune trace de roues du véhicule, ni devant, ni derrière. Comment a-t-il pu arriver au centre du paysage sans laisser de traces sur le sol. Bien sûr, on nous dira que c'est la dureté du sol qui en est responsable.
Point Barre.
Mais il y a une autre énigme tout aussi étrange : On s'aperçoit que la branche horizontale bien noire de
la super croix qui traverse le
LRV (Lunar Roving Vehicle:rappel) ,
passe carrément sous une partie de l'appareillage, alors qu'elle
devrait passer dessus :
Certains internautes ont cru démontrer que c'était
le blanc qui saturait le trait noir de la croix, et le faisait disparaître. Dans notre article
unplusdansespace.html,
nous avons démontré que c'était faux, et voici alors,
les deux images qui font foi, montrant nettement que le blanc ne gêne pas la croix :
Nous voilà arrivés au
5 Septembre 2018, et après une brève incursion
dans les incongruites des images de la NASA, revenons à
notre affaire de légendes, si critiquées par nos bien-pensants.
Il existe en effet,
une troisième énigme relative au folklore des esquimaux, et pour la mettre évidence, nous sommes obligés de revenir, à
l'ouvrage important du Dr SENN,
(non traduit hélas en français, et déjà présenté, plus haut : )
C'est dans cet ouvrage, que l'on trouve aussi,
un autre fait surprenant, et qui concerne
la vie des esquimaux :
En effet, quand on demande à certains de ces derniers,
où ils supposent que leur entité va après la mort, ils
ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni
le soleil du jour, ni
les étoiles du soir, ni
l'immensité du cosmos qui les environne, mais
ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à
l'intérieur de la terre, d'une
bien autre manière, que nos savants actuels, qui y placent
un torride redoutable feu central, fait de
métaux en fusion ...
Voici donc, un extrait des pages 206 et 207
restructurées par nos soins :
Et, voici donc notre modeste traduction :
Religion
"La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.
"Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."
Fin de la traduction.
ARTivision, croit alors que tout cela s'apparente, à
des réminicences ancestrales d'un passé millénaire, ayant trait à une
époque bénie, où ces esquimaux vivaient
à l'intérieur paradisiaque de la planète...
Venons en maintenant la quatrième légende de ce si valeureux peuple
(il y en a d'autres que nous ne mentionnerons pas ici)
Disons alors que, c'est le
31 Mai 2012, que nous avons eu le
grand bonheur, de recevoir de l'ami intenaute
Phil du Temps de Paris, les 16 pages photocopiées, de l'ouvrage de
1873, d'un certain
Jules Gay ( qui fut à l'époque, professeur de Physique à Montpellier), et ouvrage intitulé :
"La Mer libre du Pôle Nord" :
Mais voici la missive en question :
From: Phil Du T.....
Sent: Thursday, May 31, 2012 7:09 PM
To: Fred IDYLLE
Subject: De la part de Phil de PARIS !...
Bonjour de Métropole cher Fred !
Vous avez écrit :
"Merci d'avance à l'internaute béni, qui pourrait découvrir cet ouvrage quelque part."
Et bien voilà, l'heure de la bénédiction a sonné ! Le texte va s'étaler sur plusieurs mails pour éviter les lourdeurs risquant d'entraver la correspondance entre nos deux adresses...
Bonne lecture !
A bientôt Fred !
Avec tous mes encouragements et mes vifs remerciements pour votre travail !
Fin de citation
C'est ainsi que les 16 pages de l'ouvrage sont arrivées chez nous sous forme d'images, dont nous allons ici vous digitaliser sans crainte certains passages, car cet ouvrage a
bien plus de 70 ans, et est donc tombé dans
le domaine public.
Présentons d'abord le début,
tel quel, en page 5 :
On voit alors déjà, que pour nous guider dans notre perception du sujet évoqué,
le professeur Jules GAY nous présente d'emblée, à juste titre,
( très utiles pour les puristes) quelques ouvrages disponibles à son époque, et que nous rassemblons dans la liste suivante, en invitant alors les internautes qui pourraient retrouver
ces ouvrages anciens, de bien vouloir, nous en toucher si possibe, deux petits mots :
- Histoire des deux voyages entrepris par ordre du gouvernement anglais, l'un par terre, dirigé par le Capitaine Frankling, l'autre par mer, sous les ordres du capitaine Parry, traduit de l'anglais. 1 Vol in 8, Paris Gide 1824
- Voyage à la recherche du passage N. O. pendant le années 1829 à 1833. par Sir J. ROSS, traduit de l'anglais par Defauconpret. 2 vol in 8 Paris 1835.
- Voyage dans les régions arctiques à la recherche du capitaine Ross en 1834 et 1835 Capitaine Back, traduit par Caseaux; 2 vol . In 8. Paris, Artus Bertrand 1836.
- Journal d'un Voyage aux Mers Polaires de J.-R. Bellot 1 vol In -12 Pérotin libraire Editeur 1866.
- La Mer polaire - De Lanoye - 1 vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Voyage dans les glaces du pôle arctique - Hervé et De Lanoye - vol in 18 Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Voyage of the Fox, in the Arctic seas - Mac Clintock - In 8 Londres 1859.
- Discovery of a N.-W. Passage by H.M.S investigator 1850-54 - Mac Clure - In 8, Edimbourg 1865.
- Stray leaves from and Arctis journal 18 Months in the Polar regions, - Osborne - in 8 Edinbourg 1865
- The polar Regions Richardson - in 8 Edimbourg 1861.
- Artics Explorations - Kane - in 8 Philadelphie 1857.
- Du Spitzberg au Sahara - Ch. Martin - in 8 Paris 1866.
- Esquisse physyque des îles Spitzbergen et du pôle Arctique - Ch. Grad - in 8 Paris 1866.
- Les voyageurs au pôle Nord - Desprez - in 8 Paris 1869.
- La Mer libre du Pôle . - Dr Hayes - trad. par Ferd de Lanoye, In 8 Paris Hachette 1868.
- Lettres écrites des régions polaires. - Lord Dufferin - trad. par Ferd de Lanoye in 8, Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Année géographique - Vivien de Saint Martin - Paris Hachette (Date non mentionnée).
- Le Tour du Monde journal des Voyages. Paris Hachette ( Auteur et date non mentionnés).
- Le Bulletin de la Société géographique (n°s non mentionnés).
- Geograph Mittheilungen - Aug. Petermann -(date non mentionnée).
etc etc ...
Mais allons vite, à l'essentiel qui se trouve au bas de la page 15, et au début de la page suivante, et nous y découvrons alors
cette déclaration époustouflante de Jules Gay :
"... Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habitants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices
d'un climat plus doux vers le nord. " Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note du Webmaster : il s'agit bien sûr, du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, des bateaux et des hommes venus d'une île plus chaude, située au nord, sont arrivés sur leurs côtes."
Etant donnée, l'importance
d'une telle déclaration, le Webmaster du site
ARTivision,
serait bien aux anges, s'il pouvait en découvrir
l'origine russe, et l'ouvrage
qui l'a publiée en premier.
Nous avons,
bien sûr, écrit à
de nombreuses associations et ambassades russes,. afin de joindre un interlocuteur parlant français et russe, pour lui demander
simplement, de découvrir dans quel ouvrage
cet Amiral De Wrangel, à pu ecrire ce qui précède, mais, hélas, nous n'avons jamais reçu, une seule petite réponse, depuis des années. Ah... si notre site s'écrivait ainsi :
, les réponses auraient pullulées.
Autrement dit, dans cette affaire pourtant extraordinaire, c'est l'indifférence totale, qui a droit de cité et donc :
"Moins on se mouille, mieux on se porte".
Mais, ne vous en faites pas, le Maître du Temps, saura bientôt reconnaître, à bon escient, ses limiers...
Mais pour les puristes, voici aussi ce que l'on peut lire en pages 14 et 15 :
" Au nord de la Sibérie, des résultals semblables ont été obtenus, et les explorateurs ont toujours trouvé la mer libre au-delà d'une ceinture de glace. adhérentes aux côtes " Au nord des îles de la Nouvelle Sibérie, par 76 degrés de latitude, dit Hedenstöm, on trouve un océan qui ne gèle jamais; même en Mars, je n'y ai vu que peu de glaces flottantes. " Le gouvernement russe chargea en 1819 le lieutenant, depuis amiral Wrangel (décédé en 1870), d'explorer les rives septentrionales de la Sibérie et de s'élever le plus possible au nord en taîneaux. Pendant trois années, Wrangel fit des efforts prodigieux pour s'élever ainsi vers le nord; chaque fois, il fut arrété par l'eau libre et obligé de regagner la côte en toute hâte, non sans courir de graves dangers, par suite de la faible épaisseur des glaces et de l'agitation de la mer, qui menaçait à chaque instant de rompre la crôute solide. En dernier lieu, en 1823, à 17 milles allemands de la terre, par 70° 51' latitude, M. de Wrangel étant monté sur le plus élevé des blocs de glace, "la mer ouverte s'étendait devant nous, à perte de vue", et nous dûmes abandonner le but que pendant trois ans, à travers des privations, des misères et des dangers de
toutes sortes, nous nous étions efforcés d'atteindre. Le courant
était dirigé avec une vitesse de 4,3 milles à l'heure...Depuis, les baleiniers américains, particulièrement les capitaines Long et Rodger, se sont avancés fort loin dans cette mer libre, cette Polynia des Russes, vue par Hedensöm et Wrangel".
Tout ce qui précède, justifie n'est-ce pas, à lui seul, les nombreux articles, où ARTivision, affirme
l'existence effective de cette mer libre du Pôle Nord, dont nous parlerons bientôt et que
l'on nous cache depuis des lustes, en très Haut lieu ....
Finalement ce fascicule de
Jules GAY, est très important pour nous faire toucher du doigt les phénomènes polaires, que
les médias de l'époque et même ceux d'aujourd'hui, ont évité soigneusement de mettre exergue, comme
par exemple, le fait que l'on ait trouvé dans la zone polaire boréale,
beaucoup d'arbres qui flottaient dans la mer et qui étaient d'espèces inconnues, et le site
ARTivision, s'est évertué avec beaucoup d'efforts, à poursuivre des recherches
très prosaïques, sur cette affaire, qu'aurait pu et dû poursuivre
Jules GAY, et
là, nous devons hélas avouer
qu' il a vraiment loupé le coche, alors qu'il était arrivé tout près de la
Superbe Vérité, qui éclatera inéluctablement bientôt.
En respect, pour ce peuple si valeureux, voici quelques vignettes de leurs silhouettes :
N'est-ce pas alors le moment, de replacer ici,
notre amusante réplique, vue plus haut, et légèrement modifiée :
"Légende, vous avez parlé de légende ? Comme cela semble très... légendaire"
Mais ce
7 Septembre 2018, en abordant notre
6e focus, poursuivons ainsi notre exploration
de textes importants, qui explicitent clairement, cette affaire de Mer libre du Pôle Nord.
Sixième focus :Quand ARTivision , met empiriquement en relief, cette affaire de Mer libre du Pôle Nord, révélée si souvent par les chercheurs et explorateurs (qui n'avaient pas, bien sûr, à leur disposition les satellites actuels)
Faisons ainsi, une fois encore, allusion aux chercheurs tels que :
: Le Dr Elisha Kent Kane, le Dr Isaac Israël Hayes, le Comte de Buffon, Daines Barrington, Boiteau, J-p Bellot, Nansen, Greely, Hall, Edward Parry, Ingleflied, Jules Verne, Jules Gay, De Wrangell, Olaf Jansen, .. etc..
Reprenons, par exemple, la déclaration,
(confirmée par le Maître Dorian), de ce marin norvegien
Olaf Jansen, dont le nom deviendra bientôt très célèbre :
"
Devant nous et directement au nord, s'étendait, une mer libre."
Cette déclaration fut publiée en
1908, dans
l'incomparable ouvrage intitulé:
The Smoky God, de l'écrivain nord-américain
Willis George Emerson :
ou encore, aux USA :
C'est
l'histoire tout à fait fantastique,
(qui selon nous, bien sûr, surclasse de très loin le célèbre ouvrage de Jules Verne VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE de 1864, publié à Paris par le prestigieux Editeur Pierre-Jules Hetzel & Cie).
d'un extraordinaire voyage de deux Norvégiens nommés Jens le père et son fils Olaf JANSEN, qui, en passant par
le vortex polaire nord, sont arrivés
à l'intérieur de la Terre,. où ils ont constaté, qu'il y avait,
un Soleil bien en suspension à son centre, et aussi des civilisations évoluées. Le Texte en anglais peut être trouvé à :
et
notre modeste traduction est sortie dès le
6/10/2001, sur notre site aux adresses :
D'autre part cet ouvrage fut traduit plus professionnellement, en 2007, par notre amie canadienne :
Ischaia :
Edité par les
Éditions Saint-Germain-Morya au Québec
N° ISBN 2-923568-01-X
Pour
les puristes, voici une superbe représentation de
cette affaire de Soleil central, que nous devons au merveilleux site :
Bravo donc, aux informaticiens et infographistes géniaux, qui ont su réaliser si admirablement, ces shémas, qui ne peuvent que combler de satisfaction, le
Webmaster du site
ARTivision.
Mais tout cela aurait pu être classé dans le domaine
de la Science'Fiction s'il n'y avait pas eu au paravent,
(le texte qui suit qui s'interroge au sujet de la
mer libre en question ) du très grand explorateur,
le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin
(28 Février 1820 - 16 Février 1857), de la Marine des USA, et un explorateur polaire du
19 e siècle.
On sait qu'il publia en
1857, cet ouvrage connu que l'on peut trouver sur le site :
Et pour les puristes, voici en anglais, le
paragraphe surprenant qui nous intéresse :
Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :
" Il est
impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse :
Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on
découvre, ici, encore une fois,
l'incompréhension des
observateurs de l'époque, devant ce
phénomène hors normes de
la mer libre du pôle.
Mais, pour les puristes
puristes, qui aiment remonter aux sources d'une affaire, voici encore un autre document
très significatif à cet égard, et venant du
" The New York Times" du 21 Octobre 1871 :
Donc, juste au début on découvre que :
" le 20 Octobre .- Des Rapports complets de la dernière expédition allemande vers le Pôle Nord ont été publiés. Il y est fait état que l'expédition fut un succès. Une mer polaire fut découverte libre de glace, et grouillant de baleines...".
Tous ces gens qui affirment l'existence d'une mer libre de glace au Pôle Nord, ne peuvent avoir menti, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas avec la rigueur morale...
D 'ailleurs, à propos
de légende attachée cette fois, à la cartographie, en voici une très officielle, qui figure dans un livre qui était
réservé aux élèves de 6 éme et publié en 1977 par Fernand Nathan :
Chacun sait en effet, que le texte explicatif figurant en dessous de l'image, est appelé aussi justement
une légende. N'est-ce pas ?
Vous avez bien noté, cependant que cette carte, place
le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la
"banquise permanente",
(encerclée d'un trait vert pâle) alors que le site
ARTivision, prétend démontrer que ce
Pôle Nord, se trouve dans une
"Mer libre de glace".
Reste à savoir,
pourquoi nos gouvernements, nous cachent, cette mer libre du Pôle Nord, dont il est question,
dans de très nombreux articles de notre site ?
D'ailleurs,
les éternels détracteurs auront
(selon nous bien sur), un
bien grand mal à expliquer les photos ci-dessous de la NASA du Pôle Nord où la manipulation informatique crève les yeux :
Photo que nous avons trouvée, dès 2007 sur le site :
Mais qu'est-ce que peut bien être
cette sombre sorte d'étoile de mer, au pôle nord ?
Voyons cela, sous un autre angle :
, et maintenant, de plus près :
.Que sont donc, ces nuages noirs filiformes et qui se dirigent tous, vers un point central au dessus du Pôle Nord. A notre humble connaissance,
C'est du jamais vu dans un contexte météorologique quelconque. Tout cela doit être
là,
pour camoufler quelque chose...A vous de juger !!!
Mais, justement, concernant cette affaire, sur le super site qui suit :
, voilà, ce qu'on peut aussi y trouver :
Mais, que veulent donc bien nous montrer,
la superbe flèche rouge en question, et le cercle bien net, en son bout ?
A vous donc de juger, tout cela, documents à l'appui...
Mais, ce
09 Septembre 2018, comme disent parfois aussi, les anglo-saxons :
"Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil brille), prolongeons donc, notre
6e focus,
en y faisant état, d'un fait extraordinaire contemporain qui nous a été rapporté dès le mois de Mai 2003, par un très aimable internaute.
Remarque : Le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux urls :
Pour le 19 Mars 2003 à :
Pour le 9 Janvier 2006 :
et aussi à d'autres dates).
En effet, c'est le
18 Mai 2003, que nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante
(les couleurs sont de nous,
évidemment) :
----- Original
Message -----
From : V... T...
To: Fred IDYLLE
Sent:
Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle
Nord
= Bonjour Fred
J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet
article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...
v.........t
|
Pas de glace au Pôle Nord
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord
cet été n'y a pas vu de glace. Là où
aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan
Arctique. Une première en... 50 millions
d'années.
États-Unis
21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe
américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en
compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise
de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y
avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon
l'expert, ce serait la première fois depuis 50
millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la
banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée
parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.
Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était
aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était
la première fois, que l'on trouvait les
eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a
traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette
région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur.
Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10
kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez
solide pour pouvoir y marcher.
Autre détail
troublant : des goélands ont
été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se
nourrissent de créatures marines, ne vivent
habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une
épaisse banquise.
Les participants de l'expédition voient dans
toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100.
Philippe
Gauthier
|
Voilà donc,
un fantastique communiqué, qui parle souvent de
première fois, et
chose surprenante, voici un communiqué n'a eu que très peu d'écho dans la Presse, ayant pignon sur rue... et pas un film n'a été montré à la télé, alors que "l'expédition tourristique", en question avait certainement des caméras à sa disposition n'est-ce pas !!! . Devinez alors pourquoi,
une découverte d'une telle importance, est
passée carrément à la trappe. Ce communiqué montre bien, aussi,
l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, ne dit pas autre chose, sur
"La mer libre du Pôle", que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom et de l'explorateur americain,
Isaac Israël Hayes :
Cet
ouvrage extraordinaire, a été publié en
1868, en France par l'éditeur
Hachette, sous le titre "
LA MER LIBRE DU PôLE"
Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par
Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de
70 gravures sur bois et
de 3 cartes. Vous trouverez ce livre, en PDF à l'url :
Isaac Israël Hayes, était un explorateur, né à Chester
(Pennsylvanie) le 5 mars 1832, mort à New York le 17 décembre 1881.
Médecin en 1853, il prit part en cette qualité à une expédition de Kane au pôle Nord.
Nous avons de lui, l'ouvrage suivant :
, ouvrage de
1877, qu'en
1984, par
une chance inouie (Merci à Super Hasard, car cette chance est sans doute mieux que celle de gagner le gros lot au Loto), nous avons trouvé dans une vieille malle à
600 m de chez nous. Comme il manquait, les 18 premières pages de la Préface, nous avons dû aller, en 1992, les photocopier à la BN de Paris. Ce livre, qui est un condensé du précédent, nous raconte de même l' émerveillement, de
Isaac Israël Hayes, à la découverte de cette
mer libre du Pôle Nord,
Mais, au sujet du
super communiqué de l'océanographe James McCarthy en date 21/08/2000
, vu juste ci-dessus, voici aussi ce jour,
( et pour être aussi tant soit peu fair-play), quelques infos supplémentaires, qui pourraient peut-être satisfaire,
la prétendue soif de rigueur culturelle de ces bien-pensants zététiques qui ne croient, que ce qu'ils croient voir, avec leurs deux yeux pointus
Lizez donc ce
paragraphe significatif de la page 114 de la célèbre revue,
"La Recherche",
n° 335 d'Octobre 2000,
qui nous fut envoyé à une certaine époque, par
notre ami internaute M.H :
Sur une obsession
collective.
" Des touristes en croisière ayant trouvé de l'eau libre de glaces au pôle Nord, ( Il s'agit en effet de l'affaire en date du 21/08/2000 du brise-glace Russe vue plus haut et signée de Mr Philippe Gauthier), l'alarmante nouvelle fit le tour du monde. Du New York Times au Figaro, en passant par la une du magazine Time, retentit le roulement de tambour désormais familier :
"Oyez, braves gens, nous
vilains et représentants technophiles et productumanes, nous sommes en train de
changer de le climat de notre précieuse planète. D'urgence, il faut limiter la
consommation de pétrole, pour limiter les émissions de ces satanés gaz à effets
de serre, d'où nous vient tout le mal. Lester Brown, secrétaire perpétuel du
Worldwatch Institute, produisit son inévitable éditorial, pieusement reproduit
dans les colonnes du Herald Tribune : "La découverte d'eau libre au Pôle Nord apporte une nouvelle preuve non seulement que la couverture de glace de la Terre fond, mais quelle fond à un rythme accéléré"
Le très austère
Financial Times, tança vertement les gouvernements occidentaux pour leur peu d'empressement à respecter leurs engagements de réduire les émissions de gaz carbonique.... "
Fin de citation
Merci mille fois à l'internaute, qui pourrait nous procurer, au moins un, des articles des médias mentionnés ci-dessus.
Comme vous le voyez,
la mer libre du pôle, pourtant découverte par certains explorateurs depuis le 19
e siècle,
(voir le livre de 1857 du Dr Elisha Kent Kane; présenté plus haut),
est totalement ignorée par les médias en question, et d'après eux, seul
l'effet de serre, est responsable
de cette mer libre de glace, par la
fonte des glaces du Pôle.
Mais comme on le sait,
qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, parlons à nouveau de cette revue
"La Recherche", qui en
Octobre 2012, a publié un fascicule
Hors série,
n° 51, intitulé
Les Dossiers de la Recherche, et où apparaît
un article significatif, sous la plume de
Mme Frédérique Rémi :
Ce n° 51 spécial de cette revue, va nous permettre d'accéder à
un niveau de compréhension très philosophique, concernant la nature humaine.
En effet dans cette revue nous avons eu le bénéfice de découvrir un article de 4 pages, sur le célèbre naturaliste
Buffon (1707-1788), dont nous avons parlé, dans notre article :
Voici donc, une partie du début du remarquable article de Mme
Frédérique Rémy en question :
Et voici aussi, la partie qui nous interpelle grandement :
L'auteur reprend donc les affirmations connues de
Buffon, concernant le
capitaine Anglais Monson qui, en se dirigeant droit vers le Pôle, est arrivé dans
une haute mer sans aucune glace. Il y a aussi, l'histoire
d'un hollandais, qui a prétendu avoir été jusque sous le pôle, et qui affirma qu'il y faisait,
aussi chaud qu'à Amsterdam en été. Mais, elle ne nous parle pas, du nommé
Goulden,
(mentionné en pages 215 et suivantes du super ouvrage de Buffon), qui a recueilli le témoignage
de deux autres Hollandais, et qui lui dirent, qu'ils avaient été jusqu'au 89
e degré de latitude nord, c'est-à-dire, à un degré du pôle, et que
là, ils n'avaient point trouvé de glaces, mais
une mer libre et ouverte, fort profonde et semblable à celle de la baye de Biscaye. Ces hollandais lui montrèrent
quatre journaux de deux vaisseaux, qui attestaient la même chose.
Malgré tout cela, cette scientifique continue
à croire que tous ces gens se sont trompés amèrement, et que
la mer libre de glace n'existe pas (Sans doute, a t-elle lu cette affaire d'effet de serre du n° 335 d'Octobre 2000, affaire vue plus haut, dans la même revue ). Pourtant cette dame, avait certainement plus de moyens qu'
ARTivision, pour aller vérifier tout ce qui précède et que nous affirme
Buffon, et mettre ainsi la main,
par exemple, sur
les livres de bord , en question
des hollandais, et aussi sur les déclarations osées du fameux
Monson anglais.
Cette scientifique, semble ignorer le fait, qu'en
plein système moderne, analysé par toutes sortes
de médias prétendus éveillés, on nous a
parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme
par exemple,
l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire du débarquement bidon des américains sur la Lune en Juillet 1969, l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York le 11 Sept. 2001...etc..., et bien d'autres affaires encore cachées...
Voir quelques unes de ces affaires, dans nos articles :
..................................... etc ....................................
Cette scientifique aurait mieux fait d'écrire, dans sa chère revue en question,
une explication significative du phénomène souvent présenté sur notre site concernant le satellite de Saturne nommé Titan, et que voilà à nouveau étant donnée son importance :
Disons à nouveau, pour les novices de passage sur ce site
ARTivision, que si nous analysons de près, le disque blanc très brillant, au Pôle sud
( que certains prétendus scientifiques ont qualifié, vite fait, de petit nuage blanc), on voit nettement en-dessous, une sorte de réverbération lumineuse, sur les couches de l'atmosphère de Titan, prouvant ainsi que
la lumière du disque blanc, vient de l'intérieur de l'astre, et en
bleu...
, c'est encore plus net :
Pas besoin de sortir de Polytechnique, pour découvrir ici, que,
c'est cet œil surprenant de Titan, extrêmement brillant , de près de
300 km de diamètre, qui nous interpelle ci-dessus, et où l'on voit encore plus clairement, juste en-dessous
la sorte réverbération en question, sur les
couches de l'atmosphère de la planète, prouvant que
cette extrême luminosité vient bien de l'intérieur de l'astre .
(voir le bout de la flèche rouge).
Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la
sonde Cassini Huygens, avait été mise au point
par plusieurs nations, dont
l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu
un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc
la NASA a été prise de court, et
n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux qui est apparu
au Pôle sud de Titan... Point Barre .
Cette Dame aurait aussi pu s'interroger sur la brillance du Pôle Sud de Saturne, jamais expliquée dans nos médias, si avides de scoops hors-normes :
Alors, il faut savoir que
le niveau du secret concernant
cette affaire de mer libre de glace, reliée à celle de la Terre creuse, est au-dessus de tous les autres secrets, et,
donc tout est fait, pour nous cacher la Vérité, sur cette affaire hors normes, et cette scientifique, montre ici, son obstination, à se laisser leurrer par ses pairs et consorts. C'est son droit le plus absolu.
Cependant, il nous vient, l'idée de placer ici, la superbe phrase de
Lionel Hubert dans son ouvrage :
"les phénomènes Psi" aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61 :
"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais, c'est le désir de voir, qui fait défaut"
Mais le site
ARTivision,
lui, poursuivra sans relache, sa quête
d'une vérité inouïe, qui concerne
l'humanité entière, et que l'on nous cache en
Très Haut lieu, pour de vulgaires questions de
prestige national, et de
dérisoires sujets économiques et militaires.
Voilà, ainsi, ci-dessous,
la preuve que nous ne nous tournons pas les pouces, de satisfaction dans
l'état de notre situation actuelle et où nous avons essayé d'obtenir des renseignements sur ces hollandais en mission autour du Pôle Nord .
A bon entendeur salut...
Mais ce
11 Septembre 2018,
(Quantieme terrible, on le sait, pour les nord-américains : voir plus haut l'affaire du 11 Sept. 2001), pour mieux éclairer, cette affaire si saugrenue, de
cette mer libre de glace au Pôle Nord, voici d'abord, une page du premier chapitre de notre surprenant livre de
1877 :
Puis voici, la page du chapitre clef
d' Isaac Israël Hayes, à son arrivée devant
cette mer libre de glace au Pôle Nord :
On trouve alors ceci, aux pages
188 à 189 de ce super ouvrage :
" Tout le démontrait: j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "
et le 19 Mai 1861:
" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une fascination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "
Fin de citation
Les propos très poétiques ci-dessus, ont profondément déplu à un explorateur Français, et vous en saurez plus en visitant notre page à :
AffaireP-E-Victor
Tout ce qui est raconté ci-dessus est superbement rassemblé dans une gravure montrant
ce fantastique paysage, qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez
Hayes et son compagnon. Voici donc
cette gravure sublime, représentant en page
190 bis, cette surprenante
Mer libre du Pôle :
Il nous reste cependant,
à bien analyser cette gravure dans ses détails les plus fins, et surtout en ce qui concerne
les oiseaux, dont nous parlerons plus bas.
Et en couleur c'est mieux, grâce à une petite contribution de notre ami
Christian C......., qui réalise d'amirables aquarelles
(Aquarelle et
voyage):
Mais, il se trouve que par
une chance inouïe,
ARTivision, a découvert dès
2004,
( Grâce à la super initiative de notre ami J... RES....canadien qui connaît bien l'allemand ),
avec un grand ahurissement, une photo incroyable montrant,
l'ouverture polaire Nord, et par la même occasion, on y voit aussi cette affaire de mer libre du Pôle, toujours niée également par nos doctes universités :
Et, avec quelques unes de nos explications, on a alors :
Après quelques recherches, nous avons appris, il y a déjà quelque temps, que cette photo aurait été captée par
un radio-amateur
d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque,
au
Centre Spatial de
Garchlingen ( Bayern )
et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Cette
photo a été copiée plusieurs fois, et on la trouve aussi sur un site
au graphisme admirable, et dont
l'url est :
Nous recherchons bien sûr toute nouvelle information au sujet de cette photo hors-norme,
Merci déjà à l'internaute béni, qui pourra s'en procurer une .. Certains détracteurs, n'ont pas hésité, pour noyer, sans aucune preuve, le poisson gênant, à dire que c'est une photo trafiquée, mais selon nous,
les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser une telle photo, même pour faire
de la désinformation. Nous avons, tout de même, osé placer cette photo dans certains de nos articles, et en particulier le
21/04/04 à l'article:
et le
01/05/2006 à l'article:
et, le site
ARTivision, a aussi été le premier sur
le Net Français, à présenter,
une analyse pointue de cette image, faite par
un infographiste canadien qualifié :
Voici donc ici,
une partie, de la
conclusion de
ce très aimable infographiste, qui en plus, l'a fait gratuitement :
"Hors
dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son
intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal
pour une lumière réfléchie.
Seule une image extrêmement complexe utilisant
du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un
nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.
Mais
vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et
d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils
d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses... "
Si cela s'averrait exact, nous serions
là, en
présence d'un
document exceptionnel et inestimable...
Mais les choses changent rapidement, car la photo en question se retrouve,
sans explication aucune, dans
les trois opuscules modernes, présentés ci-dessous :
Les deux premiers de gauche, présentent la photo en noir et blanc
(respectivement pages 16 et 52), et le 3
e, bien plus agréable à voir en couleur,
(page 23) . Pour avoir eu l'audace de publier cette photo,
ces opuscules ont dû, très certainement, tirer partie de l'analyse précédente de notre infographiste canadien, mais ils évitent soigneusement de le dire, et surtout de parler d'
ARTivision.
A vous de juger.
Disons aussi, que avons retrouvé, il y a des années de cela, la photo précédente
(à gauche), camouflée
(à droite) par la mention
"The Hollow Earth" :
, et en plus, elle était en fond de page, du site :
Cela prouve, que
certains Webmasters, ont jugé utile d'apporter
toute leur confiance, à
cette photo ahurissante.
Mais, beaucoup plus tard, pourtant nous avons aussi, par un heureux
hasard,
(que nous ne pouvons décrire ici), réussi à mettre la main, sur cette
étonnante photo :
Cette superbe photo nous a été envoyée notre ami de longue date,
Frédéric (
ashtar-sheran.htm), qui nous explique que cette photo est extraite de la vidéo plutôt ancienne :
On voit alors que, cette image est exactement la même que celle déjà vue plus haut, mais
elle a été redressée...
Cette inclinaison, s'explique par le schéma suivant :
Où l'on voit alors, que le disque représentant
le vortex polaire en question,
ne se juxtapose pas juste au-dessus du
Pôle Nord, d'après le site
( http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm), il existe bien
un Pôle Nord géographique, tel que
l'axe polaire de rotation, n'est pas confondu avec
l'axe passant par le centre des trous polaires, comme l'indiquerait le schéma :
Cependant nous avons fait quelques calculs concernant
le diamètre du trou présenté. Compte tenu du diamètre polaire de la Terre, qui est d'environ
12713 km et que sur la photo testée, l'arc de la courbure terrestre mesure
15,5 cm, un calcul élémentaire, nous donne
1494 km pour l'ouverture, que nous arrondissons à
1500 km, ce qui est tout de même bien plus court que les
2300 km du schéma extrait du livre de
1971 de
R. Bernard "La Terre creuse" :
Mais, si dans le livre en question, ci-dessus, nous avions découvert que
l'ouverture polaire avait environ
2300 km, de diamètre, nous avons aussi découvert sur le site :
ce schéma :
Nous constatons là,
(les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord
(comme celle du sud d'ailleurs), ne fait plus que
90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec les 2300 km présentés sur le schéma de R. Bernard.
Pour en savoir bien plus à ce sujet, il faut savoir aussi, que le
29 Février 2004, nous avons personnellement, contacté
Mme Régine-Françoise Fauze, qui est le channel de
SORIA, afin de soumettre à son analyse,
les deux photos en question déjà vues plus haut :
Voulez-vous connaître la réponse de
Soria, au sujet de cette différence de largeur dans les ouvertures polaires présentées ?
Lettre personnelle adressée au Webmaster d'
ARTivision :
" Ami de la Terre"
L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La Terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète est en expansion. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.
Au plaisir de l'échange
Scientifique Soria.
Que dire de plus devant tant
de révélations fantastiques? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés:
No Comment...
Mais nous savons maintenant donc, que les
"ouvertures polaires" s'ouvrent et se ferment en fonction de la
"Respiration de la Terre..."
Dur..dur
à encaisser, n'est-ce pas, que tout cela...!!!
On reparlera, une autre fois, de cette affaire de la
fluctuation, de
"l'ouverture polaire", où
les guillemets ont donc, on le sait, une très grande importance .
Le plus extraordinaire serait, actuellement, de découvrir, que parmi
les si peu nombreuses photos de Titan, (non camouflées par la NASA ), on arrive à déterminer
qu'il y a bien une fluctuation, à l'ouverture sud. Avis aux amateurs...
Mais ce
13 Septembre 2018, pour ceux qui voudraient en savoir plus, sur
cette incroyable affaire de dilatation polaire, présentons ici, le passage
très expressif et superbement significatif de l'entité transcendante nommée Soria formée, on le sait, d'un collectif de 4520 entités cosmiques..
En effet, voici ce que l'on peut lire, dans l'ouvrage, suivant qui ne doit certainement pas de trouver facilement, dans les bibliothèques académiques de nos universités :
Voici donc le passage en question :
(Âmes sensibles, mieux vaut s'abstenir)
"...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette
Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu constater la dilatation des pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes".
Et on trouve aussi
cette phrase surprenante :
" ...Voilà pourquoi vous prenez
peu à peu conscience que cette sphère est un être vivant ayant
ses lois interactives. Tout désordre entraîne des conséquences
sur l'ensemble planétaire interne et externe. Nous insisterons
encore sur l'interpénétration de ces trois modes de vie par la
zone intermédiaire, en l'occurrence vous. Votre responsabilité
est grande. Seule cette prise de conscience évolue, car, pour
le reste, rien n'a changé dans l'immédiat."
Tiré de l'ouvrage de
Soria de Mars 2002 intitulé
"
Voyage"
Tome
3, aux Editions ARIANE, ISBN 2-920987-58-5
Inutile de dire ici qu'il convient
ici, de bien lire et relire
ce passage fantastique, de Soria, et d'en tirer toutes des gigantesques conséquences, qui s'imposent et qui sont relatives à la connaissance intime de notre planète, et même, nous le pensons assurément, à celle de notre Système Solaire. .
Et disons encore
aux zélés et zététiques détracteurs...
à bon entendeur Salut...
A vous de
juger, une fois de plus, tout cela !!
Mais, pour traduire, un peu mieux cette
affaire de respiration de notre planète Terre, rendons donc d'abord à "
César, ce qui lui appartient" :
En effet, c'est déjà en
1979, que
Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ), a présenté page 193, dans le livre de
Victorino Del Pozo, publié par
COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979,
, l'image surprenante suivante :
Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus,
Mr Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme que "
ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ".
Mais, pour
ARTivision, ces trois photos ne représentent pas du tout,
le trou polaire, mais ce sont les résultats des manipulations photographiques, pour combler
d'une part, les parties hors de la circulation satellitaire, et
d'autre part, ce sont des caviardages pour dissimuler, les zones très lumineuses, qui apparaissent lors des
"ouvertures polaires" ...
Mais
Mr Siragusa affirme aussi dans le livre en question :
"qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur, au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (
Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.)
Rappelons aussi, que la photo ci-dessus, montrant
un trou noir inexplicable, fut présentée dès le
20 Mai 1972,
(d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence de
Mr Siragusa , qui eu lieu
à Paris,, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien.
Et
Mr Siragusa dira alors :
"Voici une photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord, qui permet d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29 000 clichés pris, par le satellite. Je l'aie eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public".
Alors,
(bien que le livre présenté ci-dessus, concernant le sieur Siragusa, et celui concernant Soria, ne soient certainement pas trouvables facilement, sur les rayons de vos bibliothèques) Messieurs les psychologues, psychiatres, et consorts intellectuels blasés affiliés, pouvez vous SVP, nous expliquer comment ce
Mr Siragusa, a pu être au courant
au moins 23 ans avant, la sortie de l'ouvrage
de 2002 de
Soria, (déjà présenté plus haut) de cette affaire de dilatation du Pôle Nord, qui serait élastique...dit-il ! alors que personne, à notre connaissance, n'en avait fait état, au paravent...
Nous attendons avec ferveur, votre réponse...
Mais ce jour, il nous appartient aussi de reparler du
super article de
Monsieur Pascal Cazottes, paru dans le
Nexus n°21, de 2002, déja présenté plus haut :
où ce grand chercheur de l'insolite, a écrit :
"
D'ailleurs, l'on peut constater que les mystérieuses
ouvertures n'apparaissent plus sur des photos prises précédemment ou
ultérieurement. C'est alors que vient à point nommé la théorie des «pro», qui vous expliqueront que les ouvertures aux
pôles s'agrandissent et se rétractent à la manière de
l'obturateur d'un appareil photo, trouvant ainsi et du même coup une
explication au fait qu'aucun explorateur n'ait jamais trouvé ces fameuses
ouvertures ".
Voici donc, pour
le puriste, (qui pourrait tomber dessus, dans un vide grenier), quelques éléments
super article:
et dont voici à titre documentaire le
sommaire :
où, l'on découvre
un article concernant
la Théorie de la
Terre creuse, qui pour
ARTivision, est parfaitement démontrée,
noir sur blanc ,
dans près de 100 articles et des poussières ...
Point
Barre.
Voici donc, ce
super article de
Monsieur Pascal Cazottes, dont nous donnons
seulement, le début :
Voyons d'abord ce
texte préliminaire :
Et au bas du texte, on découvre plus clairement :
Les phrases en rouge, sont
assez claires et
significatives, pour que nous n'ayons pas besoin d'en dire plus,
n'est-ce pas ? On reste
cependant
bouche bée, en
découvrant que c'est le
génial mathématicien
suisse Euler ( 1707-1783),
(toute information à son sujet concernant un texte, où il
affirme cette affaire de Terre creuse, serait la bienvenue), qui
semble être le premier ( il y eu d'autres thèses bien moins superbes), à avoir
conçu que la Terre pouvait,
être creuse avec
surtout, un soleil central, tel que le découvrirent
( voir notre article à : SmokyGod.html ), les norvégiens
Olaf Jansen et son père, partis
en voyage de découverte en
1829, en
direction du Pôle Nord.
Selon nous, ce mathématicien prodigieux, a dû recevoir en temps utile, une
nspiration bien
calibrée, pour nous produire
une
si remarquable thèse,
(et nous expliquerons cela, plus bas, une autre fois,), qui n'est toujours pas admise dans nos universités, et thèse, qui remet en question toute notre connaissance
de la géographie et de la géodynamique de notre
planète Terre, et même la
connaissance intime de notre système solaire.
Tout est clair,
désormais,
Mr Pascal Cazottes
était parfaitement au courant déjà, au moins
dès Juin 2002 ( Notez bien aussi, que le livre de Soria est sorti en Mars 2002), de cette affaire
inconcevable, de dilatation des trous pôlaires, et nous serions très particulièrement enchanté , qu'il veuille bien expliciter plus
avant, dans un autre article l'origine de cette la théorie des «pro», à laquelle il a fait, si bien
allusion.
Tout cela serait considéré, comme de
la pure Science-Fiction, s'il n'y avait pas
cet extraordinaire cliché :
Des nuages tourbillonnent autour de l'ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris
en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune,
que le diamètre d'un certain trou ,
(qui n'est pas selon nous, axé sur le vrai trou polaire), n'est pas le même pour chaque photo.
De plus nous avons aussi reçu, le
11/06/08 , cette missive incroyable de notre ami
Rodolphe D.... :
----- Original Message -----
From: Rodolphe D....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, June 11, 2008
10:04
AM
Bonjour
Cher Fred,
Je t'ai envoyé un mail le Lun.
09/06/2008 10:34. Mais tu n'as pas dû le recevoir, alors je réitère mon
envoi.
Voici un article qui risque de
t'intéresser au plus haut point :
Tiré du
site Futura Science , ce jour. Voici donc de
quoi il retourne et voir les photos à :
Des violents séismes en Antarctique...
deux fois par jour
Énorme surprise des glaciologues :
Avec une régularité de métronome, la
glace de la partie ouest du continent antarctique est secouée par des mouvements
équivalant à un tremblement de terre de magnitude 7.
A chaque craquement, le glacier avance de
quelques dizaines de centimètres.
En plantant depuis plusieurs années des
sismographes et des récepteurs GPS, une équipe américaine a mis en évidence un
gigantesque glacier de cent kilomètres de large sur un kilomètre d'épaisseur.
Cette énorme masse glisse vers l'océan au sein
de ce que l'on appelle la Calotte Occidentale de l'Antarctique, ou, en anglais,
WAIS (pour West Antarctic Ice Sheet). On désigne ainsi la partie du continent du
côté des longitudes ouest, et qui contient la péninsule antarctique, cette
langue de terre s'avançant en direction de l'Amérique du
sud.
Entre 2001 et 2003, Douglas Wiens, un
sismologue (Washington University in St Louis), avait installé 43 détecteurs en
Antarctide (comme on appelle parfois le continent antarctique) pour analyser les
inévitables vibrations parcourant la glace en perpétuel mouvement. Il avait
alors mis en évidence des tremblements de glace, semblables à ceux que d'autres
équipes avaient repérés au Groenland.
Mais dans
la Calotte occidentale, ce sont de formidables ébranlements que les instruments
ont détectés, étonnamment régulièrs et
violents.
Deux fois par jour, les sismographes
enregistrent une secousse dont l'énergie correspond à un tremblement de terre de
magnitude 7, c'est-à-dire une puissance suffisante pour détruire une ville
entière.
Le terrible séisme qui a fait tant de
dégâts en Chine le 12 mai dernier a été classé à
7,9.
Comment de telles secousses ont-elles pu
passer inaperçues jusqu'ici ?
Parce que ces
tremblements de glace s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes,
expliquent Wiens et ses collègues, alors qu'un séisme libère son énergie en
quelques secondes seulement.
Saccades géantes…
Pour mieux comprendre les mouvements
de la glace, Wiens a travaillé avec Sridhar Anandakrishnan, un glaciologue de la
Pennsylvania State University, qui, en 2004, avait planté une batterie de GPS.
En comparant leurs séries de mesures, ces chercheurs ont découvert que cet
énorme glacier avance brutalement à chaque secousse, de 46 centimètres en dix
minutes, puis reste immobile durant douze
d'heures.
Quel est le déclencheur de ces
fracassants à-coups ?
Peut-être la rupture d'un
énorme bloc de banquise, à l'extrémité du glacier, là où il flotte sur l'océan
et se disloque en icebergs. La brutale libération de contraintes mécaniques
engendrerait alors une onde remontant le long du glacier.
Rien ne vient pour l'instant étayer cette
hypothèse. Mais quelle qu'en soit la cause, le phénomène attire toute
l'attention des glaciologues, qui ont désormais du travail devant eux pour
expliquer ces tremblements de glace.
Jusque-là,
la progression d'un glacier était vue comme un mouvement à peu près continu.
Mais ces observations en Antarctique évoquent au contraire un type de mouvement
par saccades, souvent appelé stick-slip, signifiant à peu près collé-glissé. Ce
phénomène physique très commun explique pourquoi un objet posé sur une surface
légèrement inclinée ne bouge pas mais démarre brusquement pour ne plus s'arrêter
quand l'inclinaison du support dépasse un certain seuil.
C'est justement de cette manière que se
déclenche un tremblement de terre. Visiblement, les glaciers peuvent aussi
s'offrir du stick-slip.
Ces recherches
présentent encore un autre intérêt. On sait que la fonte des glaces s'est
accélérée en Antarctique et la manière dont ces énormes glaciers craquent et se
disloquent influe directement sur l'élévation du niveau de
l'océan.
La vitesse à laquelle la glace coule
vers la mer apparaît désormais comme un paramètre important de la régression des
calottes polaires, ainsi que l'ont montré plusieurs scientifiques, dont Anny
Cazenave et Eric Rignot. Mieux comprendre les mouvements de ces glaciers est
donc indispensable pour prédire les effets du réchauffement
climatique.
Que voilà une nouvelle qui me ravit, en
effet dès la lecture de cet article, mon cœur s’est un peu emballé !
Pourquoi
?
Parce que, ces tremblements géants, tous
les 12 heures, avec une régularité de métronome, qui s’étalent sur 10 ou 20
minutes, qui ont lieu aussi bien en Arctique qu’en Antarctique et qui n’ont
jamais été détectés, me font immédiatement penser, à la Terre creuse bien sur
!
En effet comme il est dit dans cette théorie de la Terre creuse, les ouvertures
varient en taille, un peu comme si la Terre respirait ! (Note du Webmaster voir ci dessus l a famause image clef avec les
12 clichés du pôle, qui montrent bien que le trou polaire a un diamètre qui
varie avec le temps).
Et là, on
nous confirme scientifiquement un tel phénomène : Très régulier, qui a lieu
toutes les 12 heures très précisémment, tel un métronome, ces tremblements
violents s'étalent sur une dizaine à une vingtaine de minutes, alors qu'un
séisme libère son énergie en quelques secondes seulement, de plus ceci se
déroule aux deux poles !
Tout cela confirme
donc très bien, cette histoire de Terre creuse
qui fait tant rire les sceptiques.
Peut-être commençeront-ils à changer de
couleur à la lecture de cet article ! ........
Hors les tremblements aux pôles, ne
sont jamais détectés dirait on, alors que ceux-ci ont lieu depuis l’origine de
la terre soit 4.5 miliards d’années !
Ces
tremblements violents de 7 sur 9 de l’échelle de Richter, sur nos 2 pôles,
toutes les 12 heures, ne sont jamais detectés par nos sismographes éparpillées
de par le monde, cela n’est il pas étrange
!
On le voit bien une nouvelle
fois, les scientifiques nous disent toujours : cela est
impossible dès qu’une théorie ne colle pas aux connaissances du jour.
Mais le fait est, que cela est tout à fait
possible bien au contraire, la preuve en est une nouvelle fois
!
Donc les railleurs de tout bord, doivent
revoir leur copie, et cela est comme je le dis sans cesse, une découverte
d’aujourd’hui, remet toujours en cause une belle théorie d’hier.
Très
amicalement
Rodolphe.
Fin de citation de la missive de Rodolphe.
Merci donc mille fois à
l'ami Rodolphe pour sa si aimable
participation aux recherches d'ARTivision, et que dire de plus, sinon que
l'on s'étonne une fois encore, que ces violents séismes en Antarctique, n'aient
pas eu un écho retentissant, dans les
médias qui ont pignon sur rue. Il est désormais aisé de savoir pourquoi..!!
Disons d'autre part, qu'il est très difficile d'obtenir des photos satellites (non trafiquées) montrant le Pôle Sud. Mais Super Hasard, a bien voulu nous mettre sous le nez, cette incroyable photo de l'Antarctique :
Cette image provient, de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046. Aucune explication ne fut fournie par cette revue, sur la présence de ce disque tout noir, au beau millieu de la photo, sauf celle-ci : "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"
Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication concernant sa présence très insolite, à l'endroit en question...
Bien que l'on sache que cette photo est
une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), on demeure confondu
devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)
Il va s'en dire que
cette gigantesque pastille noire, n'est pas là par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer
une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le
satellite Envisat, semble bien avoir,
quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit des
faisceaux très lumineux sous-jacents, s'échapper tout autour du disque noir.
Les
éternels détracteurs zélés, ne manqueront pas de s'esclaffer vite fait, en disant :
"Toutes vos prétendues rayons lumineux ne sont que des illusions d'optique, venant du sommet des montagnes neigeuses".
Mais ce que
ces détracteurs semblent ignorer, c'est que le site
ARTivision, a toujours en réserve,
des données irrécusables prouvant ses dires...
En effet c'est le
19 Octobre 2012, que notre ami
Jean Philippe, nous a envoyé cette photo mosaïque qui représente la circulation des satellites au dessus de la zone polaire Sud.
On voit
avec stupéfaction que tous ces satellites ont une trajectoire qui ne passe jamais au dessus du Pôle Sud, mais cette trajectoire reste toujours tangeante à un disque (ou un cylindre) bien précis.
Cette image est tirée du site :
Certains détracteurs, ne manqueront pas de dire à ce sujet :
"Rien d'étrange du tout dans ces trajectoires, c'est simplement de la mécanique spatiale " voir le site :
D'abord pour
les fortiches en Math, nous ne résistons pas au plaisir d'extraire du site précédent, la formule régissant l'orbite d'un satellite terrestre :
Mais, nous serions très heureux d'apprendre, par
un spécialiste en Maths,
(mais nous en doutons fortement), que
cette formmule prend bien en compte, le fait que nous montre l'image envoyée par
Jean-Philippe, à savoir que
les nombreux satellites passant au-dessus de l'Antarctique, restent tous tangents à un disque de diamètre bien déterminé, qui semble être du même calibre que celui du disque du Science&vie de Novembre 2004, vu plus haut .
Mais, ce
15 Septembre 2018, disons aussi que de plus, on doit aussi savoir, qu'en
1992, nous avons eu le privilège
de visiter
"la Cité des Sciences et
l'Industrie" à la Porte de la
Villette à Paris, et nous avons été surpris de constater
à la section,
réservée aux moyens concernant l'étude de la Terre par
satellites, que ces derniers ne passaient
jamais par les Pôles, mais circulaient tous à la limite d'un
cercle ou disque précis entourant chaque Pôle.
(Dommage que nous n'avons pas pensé à l'époque, à prendre une photographie du phénomène).
Mieux, le
Samedi 7 Octobre 2000
en recherchant un ouvrage égaré, nous avons découvert une cassette vidéo
contenant une information remarquable à ce sujet, que nous vous
transmettons ci-dessous:
  En effet en 1993,
nous avions enregistré une émission de
RFO,
produite par
Jean Yves Casgha
et intitulé "
Science
Frontière" et où
Cathy
Nivez a fait l'interview dans le cadre du
magazine "
C'est à dire"
d'
Ichtiaque RASOOL, alors
Directeur de programmes
concernant la géosphère et la biosphère à la NASA, professeur à l'époque à
Paris, à l'
Ecole Normale Supérieure et au Collège de France.
Le programme "
Global
Change", qui revient par an, à environ
un milliard de dollars aux USA, et dont s'occupe encore sans doute ce
savant, a pour mission la surveillance de la planète Terre et même des
autres planètes par des satellites géostationnaires, ou des
satellites
à défilement, comme par exemple
SPOT
et NOAA, qui sont capables de repérer des détails
détails de 10 à 20 m, satellites qui nous intéressent
tout particulièrement dans cet article... Le film montré à cette
occasion, nous présente les trajets de ces satellites à défilement,
et nous précise que les trajectoires de ces derniers
" ne
sont pas tout à fait polaires" , termes
exacts utilisés, alors qu'on aimerait bien savoir
si "
ces trajectoires ne
sont jamais polaires ". Toujours est-il
que le film nous présente la Terre entrain de tourner et
le faisceau des trajectoires qui reste "
étrangement
tangent" au bord d'un "
disque
polaire d'un diamètre remarquable"
.(
Voir ci-dessous, deux images du
film du Pôle Sud)
La question qui reste pour l'instant sans réponse,
serait de savoir
pourquoi, pas
un seul de ces satellites, ne traverse diamétralement ce disque
polaire, alors
qu'il aurait tout intérêt à
le faire, et que de plus, sa trajectoire n'est pas soumise, elle, comme
pour un avion, aux évaluations d'un altimètre ?
Mais ce jour, il serait peut-être aussi utile, de vous présenter aussi, les images suivantes :
D'abord sur le site :
Et puis sur le site :
Ou encore, sur le site :
Ou enfin, sur le site :
Pas mal, n'est-ce pas,
cette étrange zone polaire, qui
fait fuir les satellites.
Mais il y a mieux encore :
En effet, pour compléter ce qui précède, nous allons aussi évoquer ici ceci :
Le
10 Février 2009, les Services de Presse , nous ont appris que deux satellites, étaient entrés en collision à 800 km d’altitude, au-dessus de la Sibérie. le premier fut lancé en 1997 etait la proprièté de la
société américaine de télécommunication Iridium. le second , nommé
Cosmos-2251, fut mis en orbite en 1993 pour le compte de l’armée russe mais est devenu inactif en 1995, à la suite d'une panne .
La collision est décrite en détail, sur le site::
Ce qui nous intéresse particulièrement dans cette affaire, c'est la trajectoire suivie
par les débris issus de cette collision : Nous notons déjà avec soin que ;
"L'impact a éparpillé des fragments de satellites dans différentes orbites se trouvant entre 500 et 1.300 kilomètres de la Terre".
Il se trouve justement
qu'un jour béni nous sommes tombés à la renverse,
( merci encore à Super Hasard ), et découvrant dans la revue
Science&Vie n° 893 de Février 1992, un article évoquant le même sujet, et dont voici le début en page 80 :
Mais voyons un paragraphe particulier de cet article à la page 49 :
" Quelle est donc l'origine de ces débris? Plus de la
moitié proviennent de fusées ou de satellites qui ont
explosé accidentellement ou que l'on a délibérément
fait exploser à cause d'un mauvais fonctionnement.
Le reste est constitué de 102 étages supérieurs de
fusée, séparés du satellite après mise en orbite de
celui-cl, et de 150 satellites abandonnés. Dans l'espace, on trouve ainsi des objets de tout volume, de-
puis des capots entiers de fusée jusqu'à des particules de peinture. Selon des données de 1987, 9096 de ces débris évoluent entre 200 et 2 000 km d'alti-
tude, dans les zones de grande circulation, avec des
pointes à 600. 1000 et 1500 km.
La première explosion en orbite fut celle de la fusée
américaine Ablestar, le 29 juin 1961, deux heures
après son lancement On en a dénombré 1 716 fragments supérieurs au millimètre et 271 supérieurs à
10 cm. La fusée Titan 3C-4, détruite le 15 octobre
1965, semble détenir le record pour les débris de plus
de 10 cm, avec le chiffre de 477. Pour les débris supérieurs au millimètre, le record reviendrait à Ariane
V16, le 11 novembre 1986, avec 2 330, dont 2 104
seraient encore en orbite à l'heure actuelle."
C'est alors que la revue nous présente une simulation informatique de l'évolution,
4 ans après en 1989 , des orbites des fragments de l'explosion d'un étage supérieur de d'Ariane :
Nous serions donc curieux, de découvrir cette simulation pour 2018 ! Mais ce qui frappe en priorité dans cette figure, c'est que toutes les trajectoires semblent passer tangentiellement à un disque ou à un cylindre dont le centre serait sur l'axe des pôles de la Terre. Pas un débris ne traverse diamétralement ce disque. C'est très bizarre tout cela, n'est-ce pas !!. Les rationalistes endurcis, selon nous, auront bien du mal, à trouver, une explication même vaseuse, à cela...
A vous de juger tout cela, documents à l'appui...
Mais, ce
17 Septembre 2018, puisque nous n'avous toujouirs pas reçu,
une seule réponse, expliquant les anomalies présentées-ci dessus, concernant les prétendus débarquements lunaires des missions Apollos, voici,
toujours dans notre 6 e focus,, une fois de plus, de quoi s'interroger amérement sur l'affaire des Apollos en question :
Commençons,
par exemple, par
Apollo XI, en y extrayant certaines images du site
quasi officiel suivant :
Et en cliquant sur l'onglet
Apollo11, puis allons d'emblée à l'image
ap11-S69-40308 suivante que toutes les télévisions du monde entier, et les journaux d'astronomie en vogue, nous ont galvaudée, à souhait :
Mais, on le
sait, le site
ARTivision, évite toute
spéculation et bavardages non basés
sur des faits précis, et c'est ainsi que l'on qu'il n'est absolument pas besoin en
effet, de sortir de
Polytechnique, (et de très nombreux sites ont soulevé cette aberration) , pour s'apercevoir que
l'ombre de
l'astronaute de droite, est bien plus
longue, que celle de son confère. Les
rayons du soleil venant de l'infini et
en plus ce Soleil étant assez proche de
l'horizon, les deux ombres
doivent être parallèles et surtout de même longueur, car les
"astronautes", ont des tailles très voisines, et comme on le voit <
ce n'est pas le cas ici, pour la longueur des ombres en question.
Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste
expérience suivante :
Un jour vers
16 h 20 locales, nous avons simplement
placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté
de visu, que
les ombres était parfaitement
parallèles, et que l'ombre portée mesurait
98 cm, pour chacune d'elles.
En
conséquence, il s'en suit que :
- Soit que les deux astronautes sont éclairés (sur Terre évidemment,
par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada
ou de l'Arizona)...
- Soit que pire
encore, il s'agit d'un montage
de deux photos différentes prises pour chaque astronaute
séparément et, bien entendu, sur Terre.
De plus, regardez donc cette image et l'ombre du drapeau :
Voici donc encore
une exclusivité d' ARTivision, car en effet, étant donnée la position
de la hampe du drapeau, au pied de
"l'astronaute" , ce drapeau devrait se projeter sur l'astronaute de gauche grosso modo, comme le montre notre modèle grossier,
un peu trop foncé :
(Merci mille fois à l' infographiste passionné, qui pourra mieux réaliser cela que nous, et avec les couleurs requises ):
Pourquoi donc ce drapeau n'a-t-il pas d'ombre sur l'
"astronaute" en question ? Certains, vous diront,
vite fait, que
c'est le blanc du scaphandre, qui a saturé le flaiblard noir de l'ombre du drapeau.
Point barre
Voici une image, qui prouve que c'est faux :
Mais il y a aussi ce point
qui n'a jamais reçu de réponse claire, ni de la NASA, ni de ses émules asservis :
En effet, on ne nous a jamais présenté
le trépied ou la fixation, qu'auraient utilisés les "astronautes", pour répondre à la question qui consiste à simplement dire :
Qui a pu filmer et prendre ces images , si bien
agencées, des deux "astronautes", évoluant côte à côte, sur la
Lune. On sait en effet que le troisième confrère nommé
Collins, était très éloigné en haut
dans le ciel lunaire, et dirigeait, dit-on
le Module de
Commande. Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre ces photos si claires
!!
Où était donc fixée la
caméra en question ? A-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou
a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si
précieuse en ce lieu ?
La même question se pose, pour les photos suivantes concernant
Apollo 16:
Qui a pris cette photo coincée entre les gros rochers, que l'on aperçoit
à l'avant plan ? Le LRV ne semble pas pouvoir s'y intercaler. Où était donc déposée la caméra, qui ainsi a pu permettre de faire les photos en question ? On ne nous a jamais présenté
le trépied pouvant permettre d'y placer une imposante caméra !!! Nous avons longuement attendu
une réponse orthodoxe et officielle des béni-oui-oui de NASA.
Mais, puisque, comme on dit,
qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, nous ne terminerons pas
ce 6e focus, sans vous présenter,
cette incroyable photo d'Apollo 12 :
AS12-49-7281, à découvrir sur le site quasi officiel :
et en analysant la visière de plus près, on voit alors :
Que fait là
cette faramineuse lumière, à gauche, et aussi, partant d'elle, que représente
cette ribambelle de points très lumineux , qui pourraient être
des sortes de projecteurs dont, on aurait caché les supports.
Par ailleurs, examinons l'image du casque, dont l'individu représente, on le suppose
Conrad, prenant la photo en question :
On voit alors que ce denier, semble posséder un objet blanc dans sa main droite,
au lieu de tenir la caméra pour bien la diriger vers Bean, et cadrer normalement la photo. On ne voit pas bien hélas, la caméra et surtout ce que fait la main gauche.
Des spécialistes en infographie, pourraient certainement, de nos jours, nous en dire plus sur
ce reflet de la visière de Bean.
Et, si ces infographistes démontraient que
la main gauche de Bean, pend
simplement le long de son corps, sans toucher à la caméra, se serait
la preuve absolue, qu'il s'agit
de manipulations photographiques, et d'un montage bidon.
Avis aux amateurs...
Mais, ce
18 Septembre 2018,
profitons de notre extravagante percée, dans les corridors tortueux des missions Apollos, pour en traduire ici le summum...
que nous présente la fameuse image d'Apollo 16, bien galvaudée, où pourtant les Beni-oui-oui de la NASA, n'ont rien vu de particulier...
Voici
(avec quelques couleurs et une flèche rouge mises par nos soins), la fameuse photo :
Pour les puristes, Disons que cette photo apparaît en page 39 dans l'admirable livre
"Lumières sur la Lune" (le grand doute) de
Philippe Lheureux, publié aux
Editions Carnot en Novembre 2000:
Mais, si l'on scrute de près, le rocher en bas à gauche, au bout de la fleche rouge, on distingue alors une sorte de lettre
C, inscrite sur ce rocher .
Pour mieux éclairer cette affaire,
disons que Super-Hasard , a encore marqué un grand coup, ( Hum hum ), car il nous a permi, d'entrer en possession d'
un poster de 47,5 cm sur 40,5cm, de cette image célèbre
d'Apollo 16 , et image tirée du document suivant :
Cette page est tirée de la page 41 d'un brochure, datée du
1er au 15 Mars 1994, et intitulée
"Textes et Documents pour la Classe",
TDC 671,
Donc, on voit que,
ce poster incroyable, avait été réalisé, près de
22 ans, après
"l'exploit", d'
Apollo 16, en question.
Nous avons aussi pu extraire, de
cette photo d'Appolo 16 du site :
Mais,
chose ahurissante, le
C , au bout de la flèche rouge, a totalement disparu :
Meme topo, sur le quasi officiel déjà présenté plus haut avec la photo
AS16-107-17446:
La lettre
C, a aussi
là, disparu comme par magie.
Pourquoi ? Qui avait intérêt à la faire disparaître ?
Comment donc ce
C, qui se trouve sur poster au moins déjà en
Mars 1994, et encore sur l'ouvrage
"Lumières sur la Lune : Le grand doute", de
fin 2000, et même dans le documentaire que nous avons pu visualiser le
Dimanche 6 Février 2005 :
, un volet de 30 minutes de la chaîne de l'époque "
Planète Choc", intitulé "
l'espace intersidéral" de la série d'émission"
théories du complot", dont le générique était :
et, où on voit nettement ce
C tel que :
Alors, comment expliquer, que ce
C ait pu disparaître comme
par magie sur les sites modernes ? Et il a disparu, on le sait déjà, tel que :
Aux irréductibles sceptiques de répondre des lors, et nous en attendons,avec ferveur, cette simple réponse
Mais, il y a bien mieux. Visualisons alors maintenant cette partie en bas à droite de l'image ;
et sur poster plus coloré, nous avons aussi, extrait cette image avec
nos commentaires incontournables:
Donc, on ne peut ici que constater,
que les deux traces de roues sont tout à fait différentes...
Celle de gauche, pourrait s'identifier, à la moitié de la trace d'une
jeep Willys, bien connue dans les films de guerre américains :
Cette jeep ne peut rouler sur la Lune, car son carburateur a besoin d'air pour fonctionner,
et il n'y en pas des masses la haut..
L'autre trace du bas, vient de la
jeep LRV dont la structure nous est donnée sur le site :
Voici les photos des quatre roues juxtaposées de la jeep
(LRV) :
Que peut-on alors dire sur
cette nouvelle affaire, de deux traces différentes de jeeps, avec celle
de la Willys qui n'est, elle, jamais montée sur la Lune.
Bien sûr, en fouillant encore un peu plus dans cette photo, on découvrirait
d'autres anomalies notoires, qui ont été largement mis en évidence, dans de nombreux articles
ARTivision.
Allons plus loin dans l'analyse de la photo
AS16-107-17446 :
Vous l'avez remarqué sur la droite du rocher ci-dessus, on voit une partie du
+ pouvant servir, on le suppose, au cadrage des éléments du paysage comme le quadrillage établi par les archéologues sur le site d'un terrain ou sous la mer.
Ces + devraient toujours se situer en avant des objets de l'image . Mais la photo
NASA AS16-107-17446, possède à ce sujet
une anomalie notoire, qui se situe à cet endroit de l'image :
Comme vous le voyez, la branche horizontale gauche du
+ , passe bien derrière le bout de l'objet de forme rectangulaire et même aussi un tout petit bout de la branche verticale du bas de ce
+ disparait, lui aussi, derrière l'objet. Ceci est la preuve absolue que cette photo a été réalisée par
la juxtataposition de plusieurs photos et l'opérateur de la NASA, ne s'est pas rendu compte de l'erreur lors du montage. Voir cependant le développement plus poussé de cette
affaire de croix réticulaire, à article :
http://www.artivision.fr/Lumieresoit.html, où nous neutralisons l'objection disant que c'est le blanc du dessous qui sature le noir de la croix.
A vous de juger cela encore une fois .
Mais voyons
une autre anomalie, en revenant encore à l'image agrandie du site :
Analysons alors cette portion :
On découvre alors
un flou caractérisé derrière les roues du LRV
(Lunar Roving Vehicle). Il semblerait donc que là encore, ce flou inadmissible ici
(vu la masse de la jeep LRV qui dépasse de loin celle de l'astronaute), c'est une tentative de voiler, la trace embarrassante de la
jeep Willys par
une manipulation photographique dérisoire.
D'ailleurs,
une autre anomalie saute aux yeux, quand on analyse de près le dessin des roues de cette photo
AS16-107-17446 . En effet d'après le site vue plus haut :
, ,on peut lire :
" Pour faire face aux restrictions de masse et permettre la mobilité nécessaire sur la Lune, on développa des roues hors du commun. Outre les jantes en titane et les enjoliveurs en aluminium, celles-ci ne sont pas équipées de pneus conventionnels. En effet, l'enveloppe extérieure de celui-ci est fabriquée en treillage métallique."
Ce
treillis métallique brillant s'est semble-t-il métamorphosé ici en vulgaire
pneu conventionnel à
enrobement élastique et très terne. Voyez donc le dessin des sculptures :
Pourquoi la NASA a-t-elle substitué ici pour
Apollo 16,
les vraies roues par des fausses ? Ces deux roues conventionnelles ne pouvaient en aucune manière fonctionner sur la Lune, à moins être pleines uniquement de matière élastique.
Mais ce jour , disons aussi, qu'il existe encore une
cinquième anomalie, qui saute aux yeux, quand on analyse de près, la trace des roues de la Jeep lunaire de cette photo célèbre
AS16-107-17446 .
En effet, certains chercheurs ont supposé que l'astronaute qui a conduit la jeep, où elle s'est arrêtée,
était vraiment un piètre chauffeur pour l'avoir fait grimper
sur un énorme rocher ,
(au risque de casser un essieu ou quelque chose d'autre plutôt difficile à remplacer sur la Lune), et qu'il a aussitôt après, en plus,
braqué brusquement à presque 90°.
Mais analysons, voulez-vous, de plus près, cette photo :
Nous y avons placé
deux flèches rouges extrêmement importantes.
La flèche n°1 nous montre que les dessins de la roue de droite de la jeep arrivent
tout à fait au bord d'un petit monticule de gravas, comme si ces dessins passaient en dessous de ce monticule
(Rappelons que cette trace de jeep Willys est déjà impossible sur la Lune). Pour
la flèche n°2, regardez en effet bien la trace gauche de la rainure de la roue en question, trace qui démarre
d'une manière trés proche derrière le gros rocher, et trace, qui
ne devrait pas exister, si la roue était montée vraiment sur ce rocher.
Avec nos faibles moyens, (un infographiste passionné, ferait bien plus admirablement resortir le phénomène), soyons voulez-vous, encore plus pragmatique et scannérisons la roue arrière de droite de la jeep de notre poster
Prenons alors,
à peu près, le diamètre de cette roue, puis dessinons la sur du papier calque et plaçons le schéma, juste au dessus du caillou, et de telle sorte que le bord de la roue, arrive jusqu'à la trace visible sur le sol. Évidemment la perspective n'est pas très orthodoxe et nous vous prions d'excuser le manque de moyens dans ce domaine et soulignons, alors par un trait rouge, la portion approximative de la trace qui ne devrait pas exister, si la roue etait montée sur le rocher. :
Bien que montage soit
très approximatif, on voit parfaitement,
la marge qu'il y aurait de trop, sur la rainure gauche de la trace de la roue, au cas où, celle-ci serait vraiment montée sur le rocher.
Des spécialistes en infographie auront, nous l'espérons vite fait de rectifier l'imperfection de montage.
Si ces spécialistes, qui travailleraient sur les documents originaux, confirment avec une bonne perspective montage, on ne pourra qu'en déduire de la roue droite de la jeep
n'est pas montée sur le rocher, mais qu'assurément
le rocher et la terre avoisinante,
ont été placés accidententellement sur les traces déjà existantes de la roue, après le passage du véhicule.
ll en résulterait alors
des implications énormes, car on ne voit pas du tout,
Pourquoi un astronaute sur la Lune, considérablement gêné aux entournures dans son scaphandre plutôt rigide, va s'amuser à projeter de la terre, et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep. C'est donc une photo,
faite sur Terre, dans
le centre de simulation du Nevada ou ailleurs , où la terre d'à côté, a
été remuée maladroitement pour une raison ignorée, et elle est venue couvrir le dessin de la roue de la jeep, avant que l'on ait pris la photo en question, et cela sans que le photographe de la NASA s'aperçoive de ce détail scabreux.
Aux spécialistes de répondre au sujet de cette
étrange anomalie, et à ce
nouveau gros point d'interrogation, que nous soulevons ici.
Pour être
fair play, précisons que
les rationalistes détracteurs ont trouvé la parade à cela, en disant que :
" En fait on doit imaginer une dénivellation importante, tout de suite derrière le rocher. Comme une sorte de décaissement (que l’on devine peut-être un peu sur la droite) d’au moins 50 cm en pente raide. Donc la roue de la jeep est tombée derrière le rocher sur cette pente abrupte (là pas possible de voir de trace, puis 1m50 plus loin elle réapparaît en fait en remontant la pente (que l’on devine aussi un peu au niveau de la trace arrondie) et elle réapparaît visuellement juste derrière le rocher alors qu'elle se trouve en fait à plus d’1 mètre. Ce qui donne alors l’illusion d’optique d’une impossibilité de voir la trace à cet endroit si on ne tient pas compte de la différence de niveau. De plus la perspective sur les photos Apollo est très trompeuse , tout le décor semble comme écrasé, et il est donc possible que cette dénivellation n’apparaisse pas sur la photo mais qu’elle soit bien là. Et dans ce cas la taille de la trace s’explique aussi, c’est simplement qu’il s’agit d’une trace du passage superposé des DEUX roues droites, celle de l’avant et celle de l’arrière… et avec le décalage la trace qui apparaît comme la trace du passage d’une seule roue à cause de l’illusion d’optique, parait plus grande que nature…et parait donc impossible alors que ce serait logique avec cette thèse."
Toujours l'explication par
l'illusion d'optique, comme vous le voyez. Nous répondons à cela que
des infographistes confirmés, peuvent
parfaitement déterminer, avec les moyens puissants qui sont à leur disposition,
qu'il n'y a aucune dénivellation cachée possible, au bout de la
flèche n° 1, tel que :
, et donc, les traces de la roue
passent bien sous les gravas et cela, donnera pleinemernt raison à
ARTivision.
Point barre.
Mais,
(toujours avec nos faibles moyens), dès le
7/11/2010, nous avons tenté de présenter
une modeste preuve, de cette curieuse affaire, qui se joue au bout de
la flèche n°1.
En effet, partons de l'image très agrandie placée sur le site :
Puis extrayons en, la portion adéquate suivante :
On voit alors que, si la roue était montée sur les gravas, elle aurait laissé au moins une trace approximativement à l'endroit, où nous allons placer nos pointillés rouges.
Or,
pas un seul filet de poussiére, ni une seule petite trace ne subsiste aux endroits précités...Revoyez cela, vous même avec une grande attention l'image précédente :
On voit alors aussi que la trace de la roue s'arrête brusquement, et
que des gravas la couvrent. Ces petits gravas, auraient dû être écrasés par la roue, si elle était montée dessus :
Donc, nous en déduisons, que
les gravas ont bien été projetés sur la trace de la roue et que finalement, celle-ci n'est pas montée sur ces gravas, ni sur le gros rocher en question. Point Barre.....
Il ne reste aux détracteurs désormais, que de pouvoir expliquer
pourquoi un astronaute sur la Lune, considérablement engoncé, dans son rigide scaphandre, va s'amuser à projeter, avec une pelle non visible ici , de la terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep, comme s'il cherchait un trésor.
Mais terninons cette affaire de la prétendue mission d'
Apollo 16 , par ce petit coup d'œil, sur cette superbe photo, placée à
Et voici une portion significative de l'image :
Quel beau panorama n'est-ce pas ?
Mais, voyons cela de plus près :
Bien que la roue semble métallique cette fois, elle a laissé une trace
totalement incompatible avec les sculptures très obliques qu'elle porte. D'ailleurs la plupart des traces sur sol, découvertes dans les photos des Apollos, sont presques toutes des moitiés de traces de jeep Willys, sur lesquelles on a juxtaposé maladroitement, une moitié de traces de jeep LRV, comme le montre bien cette image placée à :
et que voici, avec nos commentaires :
En terminant notre laïus
( Il y a bien d'autres anomalies ailleurs), disons que
l'affaire est dans le sac, et Aléa jacta est ( le sort en est jeté) pour ceux qui comme celui qui suit, est toujours le Beni-Oui-Oui de la NASA :
Mais lisons d'abord ceci ;
Puis découvrons aussi ceci qui est une superbe interview réalisée le
31 Juin 2017 de
RFI , très significative présentée sur le site :
Et voici alors une partie des propos échangés :
RFI : Mars justement, c'est un rêve pour vous ' Vous y rendre '
Thomas Pesquet : Bien sûr ! Je suis de la première génération d'astronautes qui est née après les premiers pas sur la Lune. La sélection de 2009, elle a eu lieu en Russie, aux Etats-Unis, au Japon, au Canada, et en Europe en même temps. Ce n'était pas spécialement fait exprès, mais il se trouve que ça correspond à toute une génération, un peu partout dans le monde, qui n'était pas née au moment des premiers pas sur la Lune. C'est la première fois que ça arrive. On n'a donc pas tellement tendance à regarder ce qu'il s'est fait avant, et plus à regarder vers l'avenir. Nous sommes la génération, clairement, qui a Mars en ligne de mire. Peut-être que ce ne sera pas quelqu'un d'entre nous. J'espère que si, et évidemment moi à plus forte raison. Mais peut-être que ce ne sera pas le cas. Et ce n'est pas grave, car c'est une génération qui y travaille vraiment.
Le but avoué de tout le monde, on n'a pas peur de le dire, c'est de mettre un homme sur Mars, dans peut-être 20-25 ans. La Nasa travaille sur le véhicule Orion, l'ESA est embarquée sur ce projet aussi.. On fournit la partie propulsion électrique qui est une partie critique. Puis un jour, on ira tous ensemble dans une mission internationale vers mars. Ca me fait rêver à titre personnel, mais c'est aussi très réel. Mon présent, c'est la Station spatiale internationale, mais dans le futur, on va réellement aller de plus en plus loin. Ce ne sont pas juste des projets sur papier ! La capsule Orion a déjà fait un vol de test et ça va continuer comme ça dans les années qui viennent.
RFI : Comment est-ce que vous expliquez qu'on n'ait toujours pas été sur Mars ' Pour la Lune il a fallu une dizaine d'années seulement, Mars, cela fait plus de cinquante ans qu'on en parle'
Thomas Pesquet : On a mis 10 ans à aller sur la Lune, c'est vrai, mais avec un effort financier qui était conséquent. En terme de pourcentage du PIB américain, le programme Apollo était infiniment supérieur à ce que la Nasa a aujourd'hui, même si elle a un bon budget en soi. Mais on nous fait aussi le reproche que ça coûte cher. Ce n'est pas tellement vrai en fait, et ça ne me dérange pas de le dire. Ca ne coûte pas cher. Le budget de l'Agence spatiale européenne, aujourd'hui, c'est 12 euros par an et par citoyen européen. C'est une place de cinéma un peu chère à paris. Les vols habités, envoyer des humains dans l'espace, c'est le prix d'un café, par an, par citoyen européen. Ce n'est quand même pas grand-chose ! Quand on construit une autoroute, évidemment c'est utile, mais ça coûte beaucoup plus cher. Un jour de guerre en Irak, c'est l'équivalent de 10 ans de programme Apollo ! Quand on déploie des porte-avions, des milliers d'hommes avec de la logistique, ça coûte extrêmement cher. Il faut mettre les choses en perspective...
Fin de citation .
Donc, on voit que ce
Thomas Pesquet, affirme ceci :
"Je suis de la première génération d'astronautes qui est née après les premiers pas sur la Lune." .
Pour
ARTivision, ce spationaute qui n'était pas né à l'époque
( et qui ne tient pas à salir sa si brillante réputation),
est parfaitement au courant,
du fait que
"les premiers pas sur la Lune", qu'il évoque ici,
ont été une vraie fumisterie, et qu'Armstrong et ses confrères d' Apollo XI, n'ont jamais foulé le sol de satellite. Point Barre...
Mais ce
20 Septembre 2018, après une nouvelle et furtive incursion dans
l'affaire des Apollos, revenons à
notre cursus culturel, ayant trait aux incroyables légendes de notre planète., et ceci va faire l'objet de
notre Septième focus, que nous avons placé, dans une page à part,
pour ne pas trop alourdir ce premier dossier...
Voir donc la suite à :
Fred IDYLLE
Article mis en page le
08/08/2018, et revu le
14/08/2018, et revu le
16/08/2018 , et revu le
20/08/2018, et revu le
21/08/2018, et revu le
22/08/2018 , et revu le
24/08/2018, et revu le
26/08/2018 , et revu le
27/08/2018 , et revu le
28/08/2018 , et revu le
30/08/2018 , et revu le
01/09/2018, et revu le
03/09/2018, et revu le
04/09/2018, et revu le
05/09/2018, et revu le
07/09/2018, et revu le
09/09/2018, et revu le
11/09/2018, et revu le
13/09/2018, et revu le
15/09/2018, et revu le
16/09/2018, et revu le
17/09/2018, et revu le
18/09/2018, et revu le
20/09/2018.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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