Ainsi, en Mai
1880,
le Patna, un steamer de la
Compagnie des Indes Britanniques, fit une étrange
rencontre en traversant le Golfe Persique. La nuit était sombre quand, tout à coup, le capitaine Avern et deux de ses hommes virent
apparaître, de chaque côté du navire, deux énormes roues lumineuses qui tournaient sur elles-mêmes et dont les
"rayons" paraissaient frôler la coque du
bateau. D'après les témoins, ces rayons mesuraient de
200 à 300 mètres de long. Pendant une vingtaine de minutes, le steamer fut ainsi escorté.
Dans cette même région du Golfe Persique, peu de
temps après, l'aventure du Patna, un nouveau
phénomène fut remarqué par le commandant
Harris
du Shah Jehan. Dans la soirée, alors que tout était
calme et normal, il fut frappé par
un spectacle si
surprenant qu'il fit stopper les moteurs.
"II s'agissait,
dit-il, de vagues entre-espacées de lumières brillantes
et d'une substance inconnue qui flottait, ne jetant pas
de feu, mais paraissait éclairée par de gigantesques
rayons lumineux. Onde sur onde se succédaient en l'un des spectacles les plus grandioses et les plus
solenels qui se puisse imaginer".
Toujours dans ce même Gofe Persique,
le 4 Avril 1901, le capitaine
Hoseason, du vapeur,
Kilwa, observa
durant un quart d'heure,
de vastes ondulations lumineuses qui évoluaient à une vitesse qu'il estima de
10 km/h.
Surprises du même ordre dans le détroit de
Malacca.
En
1907,
M.S.C. Patterson,
du vapeur
Delta, assiste, pendantt 30 minutes, au
spectade que lui offrirent
des rayons lumineux d'environ 300 mètres de long
"qui pivotaient sur un
centre".
En
Juin 1909, le capitaine
Gabe du paquebot
le Bintang, aperçut, dans la même zone, une
"sphère de lumière mouvante" juste au-dessous du niveau de la mer.
"Elle s'approcha lentement du paquebot, écrivit-il, dans le livre de bord, en s'atténuant et en s'évanouissant dans les eaux".
C'est, dans la mer de Chine, cette fois, que le
capitaine
Breyer, du bateau
Valentijn, fut témoin le
12
Août 1910, d'une
rotation
d'éclairs qui'il décrivit comme
"une roue horizontale,
tournant rapidement au-dessus de l'eau et produisant
sur l'équipage un profond sentiment de malaise".
Dans l'Océan Indien, plus exactement dans
le Golfe
d'Oman, une
nappe lumineuse apparut devant le
navire de
M.D. Canegie. Quant on en fut à une vingtaine de mètres
"des rayons aveuglants vinrent
frapper l'avant du bâtiment à une vitesse prodigieuse
qu'on peut estimer de 100 à 200 km/h".
Canegie déclara aussi que les rayons semblaient
provenir des pronfondeurs. II ajouta :
"un navire qui
passait à proximité ne brisait pas leur trajectoire : on
aurait dit qu'ils le traversaient d'outre en outre".
Un autre phénomène extraordinaire se produisit
durant le tremblement de terre de
Sankiru au Japon,
le
3 mars 1933. Ce jour-là, la mer se retira pour laisser
voir à des centaines de témoins, un
"halo luminescent" de couleur bleuâtre qui reposait sur le fond
de l'océan.
Un certain Frank Lane
rapporta que le même
phénomène s'était produit
quelques années aupara-
vant. La crête de vagues
émettait une lumière fai-
ble continue; toute la côte
était enveloppée d'une
douce clarté bleuâtre.
Ces étranges clartés qui montent des abysses.
Que cachent-ils donc, ces
étonnants effets de lumière
constatés en des points si
divers du globe? Tout comme pour
le triangle des
Bermudes on se perd en
conjectures. D'autant que
tes aspects ne sont jamais
rigoureusement identiques.
Certains sont même si
extraordinaires qu'ils semblent tout droit sortis de
l'imagination
d'un Edgar
Poë. Qu'on en juge par ce
dernier exemple.
C'était dans un passé
encore récent : en
1957. Le chalutier
Ella Hewett
pêchait au nord-est de
l'île de Man quand il fut environné d'une vive lueur, un
peu comme si le faisceau d'un projecteur géant l'avait enveloppé. II n'y eut aucune vibration, aucun bruit étrange. Mais une altération
que le capitaine
Fred Sutton devait rapporter, le lendemain, en ces termes :
"II m'est arrivé un drôle de truc, hier soir. Toute la peinture de la passerelle a disparu. La peinture était là, quand je suis allé me coucher. Ce matin il n'y avait plus que la sous-couche de minium. Je me suis creusé la tête toute la journée, pour
comprendre. Mais je ne trouve aucune explication"....ET C'EST LA DERNIÈRE IMAGE QUE LES ASTRONAUTES EMPÖRTÈRENT DE LA TERRE.
J.M. DOUCHET
Rappelons tout de même ici, tiré de notre article :
, le paragraphe suivant :
"Cela est déjà arrivé à maintes reprises et ces
intrusions expliquent le fonctionnement du gouvernement secret de cette planète
que vos chefs d'état ont cautionné.
Certaines de ses portes stellaires sont enfouies sous l'eau, depuis le dernier
déluge. Ces vortex sous-marins attirent
certains appareils qui se trouvent à leur proximité, lorsqu'ils sont enclenchés. C'est le cas de
la porte stellaire qui se situe dans le
Triangle des Bermudes et qui
explique nombreuses disparitions de navigateurs et d'aviateurs. Toutes ces
informations vous sont actuellement disponibles dans de nombreux ouvrages et
sur le Net depuis une dizaine d'années.
Même vos films vous dévoilent des vérités que vous
n'osez encore accepter. "
On comprend
alors un peu mieux , comme nous le dit plus haut,
L. Rampa, l'affaire
"fantastique" des sous-marins américains Thresher et
Sorpion qui
ont disparu corps et biens , le premier
le 10 Avril 1963 avec 129 hommes à bord et le second
le 21 Mai 1968 avec 99 hommes.
Et voici maintenant l'article du
Nostra n° 289 du 19 au 25 Oct 1977 :
Et voici maintenant, le début de l'article de
Mr Jacques DEGAS :
Voyons maintenant la digitalisation du reste de cet article :
..un extraordinaire phénomène. Ils se trouvaient au
~ large de l'lie Khiouma par moyen fond lorsqu'ils
remarquèrent une masse oblongue qui se déplaçait
parallèlement à eux. Une luminescence bleuâtre en
émanait sans que ne soient visibles en aucun point
des hublots ou des projecteurs. La clarté formait
un anneau proche du vert au centre de l'objet. La
longueur du mystérieux sous-marin qui ne répondit pas
aux sommations d'usage fut estimée à une trentaine
de mètres et son diamètre à dix. L'engin filait trois ou
quatre nœuds mais quelques minutes après avoir été
repéré, il disparut presque instantanément vers le
Nord-Est. Selon les ingénieurs soviétiques, il ne
pouvait absolument pas s'agir d'un autre submersible de modèle connu, les sous-marins ne présentant jamais de luminescence diffuse sur toute leur surface
et ne pouvant s'esquiver aussi rapidement.
La publication de cette rencontre dans le très officiel
magazine de science soviétique équivaut pratiquement
à une caution des autorités que l'on sait pourtant
réticentes à voir de tels phénomènes évoqués.
D'autres sous-marins d'URSS observèrent de semblables engins qui disparurent à leur approche. Tous
ne présentaient pas des caractéristiques lumineuses,
mais la vitesse à laquelle ils s'esquivèrent interdit toute
assimilation de ces objets non identifiés avec des
modèles de submersibles connus ou des monstres
marins. De pareils engins ont été repérés dans les eaux
australiennes à plusieurs reprises, près des îles
Seychelles et au large de la fosse des Philippines.
Le 10 juin 1909, presque exactement un an après
la fameuse catastrophe de Tunguska, un USO
immense, brillamment éclairé, apparut sous la surface
des eaux dans le détroit de Malacca. Tout l'équipage du navire danois, le Bintam put l'observer et le
capitaine consigna le mystérieux événement dans son
livre de bord.
En 1959, les marins du Herald II, un submersible de
la Navy, rencontrèrent un USO en forme d'anneau de
couleur grise qui disparut en girant sur lui-même
de l'lie Mas-a-fuera. On évalua le diamètre du
mystérieux engin sous-marin à une vingtaine de
mètres. Près de l'île Oualan, dans le Pacifique, le
Jackson, attaché à la base d'Hawaï, croisa à moins de
cent mètres d'une masse vaguement opalescente de
forme allongée qui portait plusieurs protubérances
hémisphériques. De la même manière, l'objet non
identifié disparut à Vès grande vitesse.
Depuis 1960, date à laquelle se produisit un étrange
incident dont le grand public n'eut jamais l'explication
dans la baie de Buenos Aires, on fut parfois sur le point
d'arraisonner des USOs mais ils parvinrent toujours à
fuir presque instantanément. L'un d'eux fut littéralement bloqué par la marine norvégienne dans les eaux du port de Bergen. On ne sut jamais exactement de
quoi il s'agissait et certains journaux, écartant
l'hypothèse d'un submersible étranger, prétendirent
que les plus hautes instances avaient autorisé sinon
facilité sa fuite. II en irait de même du mystérieux
sous-marin qui croisait au voisinage de l'île de Gotland
en Mai 1974. Qu'est-il advenu des recherches
entreprises pour le retrouver et l'arraisonner?
Soviétiques et Américains unirent leurs efforts, en
Mars 1969, pour surprendre un engin non identifié au
large des Kouriles. C'est l'agence Chine Nouvelle qui avait signalé sa présence dans les eaux territoriales
chinoises, pensant que ce submersible obéissait aux
ordres de Washington ou de Moscou. On le localisa
près d'Itouroup. Les bases d'Hokkaïdo et du
Kamtchatka se mirent en état d'alerte. On repéra un
submersible non identifié au large d'Akkesi, au Japon.
D'après les appareils de détection il mesurait plus de
cinquante mètres de long et filait à très vive allure en
direction du Sud. Bien entendu, il ne fut jamais
arraisonné...
Qu'en est-il de ces manifestations étranges d'objets
sous-marins non identifiés? Pouvons-nous les rapprocher des OVNI et seraient-ils aussi des véhicules de
visiteurs extra-terrestres? C'est la théorie de l'Américain
Robin Collyns, le Soviétique Altov demeurant plus
réservé, sans toutefois repousser définitivement
pareille hypothèse. II remarque que le monstre observé
dans le lac Vorota, en Sibérie, depuis 1964, n'a rien d'un animal survivant des époques antédiluviennes.
"II a communément été décrit, note Altov, comme un
cylindre très long, aux reflets d'un gris métallique
comme n'en peut émettre, au soleil, une peau
serait-elle écailleuse. Depuis quand les animaux
fossiles présentent-ils une forme et un aspect
semblables? En a-t-on jamais imaginés qui évoluent
comme ce prétendu monstre avec toutes les
caractéristiques de nos plus modernes submersibles?"
De longs engins fuselés.
Et de rappeler la singulière observation qui fut
effectuée près de Tachkent. Un petit homme
étrangement dépourvu d'oreilles avait été découvert
mort sur le rivage d'un lac voisin. Peu auparavant on
avait enregistré plusieurs témoignages d'OVNI semblant en difficulté au-dessus de la région. Une exploration des eaux du lac n'avait pas permis de découvrir l'engin qui, selon un enfant et un pêcheur,
s'y serait englouti.
Collins ainsi que Shklovsky, le célèbre partisan soviétique - et académicien! - ont retrouvé dans
l'histoire et le mythe d'innombrables exemples
d'extraterrestres à la technique prodigieusement
évoluée dont les véhicules auraient hanté nos océans.
L'astrophysicien russe cite volontiers cette tablette
sumérienne retrouvée près de l'emplacement de
l'antique Heridu et qui date de 35 siècles avant J.-C. Ce document cunéiforme relate qu'au début des
temps, vivaient des sages dans de longs engins fuselés
au fond du golfe Persique. Ces sous-marins immémoriaux allaient à la vitesse de l'éclair et périodiquement
leurs occupants en descendaient sur la terre ferme
pour apporter la civilisation aux humains. Ils leur
donnèrent des semences et leur apprirent à fabriquer
des outils et ils leur enseignèrent comment bâtir des
maisons de pierre et de métal. Leur oeuvre achevée, les
submersibles s'élevèrent à la surface des eaux et
disparurent dans le ciel...
Poséidon, dieu des mers, vivait lui-même sous les
eaux au large de l'ïle d'Eubée. Et c'est grâce à un
monstre marin de fer et de feu qu'il parvint à envahir le
royaume de Céphée, dans l'actuelle Ethiopie.
La baleine de Jonas, dans la description qu'en
donne la Bible, ressemble davantage à un submersible
qu'à un cétacé dont on ne connaît aucune espèce
susceptible d'engloutir un homme et de le rejeter
vivant au rivage trois jours et trois nuits plus tard!
Dans les mythologies celtiques, nombreuses sont ces
histoires de protégés des dieux qui furent mis à l'épreuve et eurent le privilège de voyager dans les airs et sous les eaux à de vertigineuses vitesses en
empruntant le char magique de Cuchulaïn.
En ce qui concerne la description du Léviathan, le
monstre biblique des forces du mal, on ne peut guère
douter qu'il s'agisse d'un engin métallique :
« Ses éternuements jettent un éclat de lumière et
ses yeux sont comme les paupières de l'aube du jour. II
sort des flambeaux de son corps et il en rejaillit des
étincelles de feu; il sort de la fumée de ses narines... II
fait bouillonner le fond de la mer comme un
chaudron... »
Les mêmes descriptions d'animaux "divins ou
infernaux" qui hantent les mers et que choisissent certains dieux comme habitations et véhicules fourmillent dans l'histoire mythique de l'humanité. On
les retrouve avec les énormes serpents marins d'or et
d'argent bleu que montent Vichnou et Nava Yama.
Dans les pays nordiques où des monstres comme celui
du Brendan gaélique, sont aussi vastes que des îles et
abritent des hommes "aussi beaux que les dieux et
qui sont leurs frères déchus..."
Le célèbre Nessie du Loch Ness ne serait lui-même
que l'un de ces mystérieux submersibles. L'hypothèse
d'un tunnel joignant le loch à la mer ne serait, selon de
nombreux scientifiques, nullement à rejeter. Elle
expliquerait les apparitions et les disparitions du
"monstrez" et peut-être devrait-elle être mise en
rapport avec ces énigmatiques boules de feu qui
apparaissent périodiquement au-dessus des lochs
voisins Leven et Awe. On a pu les observer et les
photographier à maintes reprises, évoluant avec
lenteur et dans le plus grand silence à quelques mètres
des eaux. Bien entendu, on n'a jamais donné
d'explication scientifique du phénomène...
Jacques DEGAS
Fin de citation des articles.
Toutes ces affaires
de lumières étranges et de submersibles inconnus dont
les bien-pensants se gausent allègrement, n'auraient pas été mises en relief ici, par
ARTivision, s'il n'y avait pas aussi, ce
petit lapin, que nous allons tirer maintenant, de notre chapeau...
Voici donc, la photo qui nous avait été adressée, il y a pas mal de temps, par l'ami
Joël Baran , qui a aussi placé certains articles, sur notre site : .
La photo de Bruno Ghibaudi.
- Le 27 avril 1961, autour de
midi, Bruno
Ghibaudi, journaliste scientifique, arrêta sa voiture
suite à une crevaison alors qu'il se trouvait face à la
plage de Montesilvano (ville italienne de la province de Pescara ). Il commença à changer la roue quand
il remarqua la présence en l'air d'un disque peu commun métallique
plongeant en direction de l'océan. La chose passa au-dessus,
ralentit, prit un angle aigu vers le nord et s'envola.
|
- Il eut le temps de prendre
cette photo ci-dessus, qui montre cette chose étrange, munie de
nombreuses ailes et presque organiques.
|
Comme le voyez,
cette excellente et surprenante photo n'a jamais fait la une, des grands médias qui ont pignon sur rue en France, bien qu'elle ait été réalisée à l'époque où les ordinateurs
étaient vraiment balbutiants.
Alors, Messieurs
les journalistes, chroniqueurs et consorts, si vous voulez vraiment faire
un bon scoop, remontez alors jusqu'au
négatif de cette photo de
Bruno Ghibaudi, pour en déterminer
tous les tenants et les aboutissants, puis faites au moins
un débat à ce sujet, dans les médias officiels, afin que le citoyen,
soit enfin informé d'une vérité inouie que l'on nous
cache depuis des lustres...
C'est à vous qu'il appartient désormais de juger tout cela, documents à l'apppui.
Article mis en page le 07/07/2012 , et revu le 8/07/2012 , et revu le 11/07/2012.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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