, à bien s'imprégner des propos précédents, car ils sont à la base du cheminement d'
de ce passage.
.
. Pourtant en 2005 sur
, qui a disparu comme par magie, et que nous avions heureusement capté à l'epoque, on pouvait lire à l'époque, ceci,
. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroide ? Aucune suggestion, ne nous est proposée.
, qui est offert gratuitement . Il est daté du
, qui apparaît sur les photos.
Nous avons évidemment fait un petit calcul, qui tient compte du diamètre
. Or d'après le livre
. Donc toute proportion gardée,
. Le résultat est donc voisin de
, et bien sûr nous n'avons évidemment aucun moyen de savoir si cela est suffisant pour donner cette éclatante lumière que l'on aperçoit sur les images montrées.
, et voir ainsi si l'on y découvre aussi une lumière éclatante similaire. Nous avons interrogé
.
, embarrasse assurément certains observateurs qui préfèrent même, comme dans le premier cas,
, et présentons tout de même deux croquis de la thèse officielle representant la Terre comme
Laisons donc les savants se complaire dans ces représentations orthodoxes, mais compte tenu de
Puis il convient d' admirer, du même artiste, cette œuvre présentant en coupe, le
, vouloir, nous faire de cette représentation ou une sculpture bien plus grande que cette petite image et sans doute, passablement plus petite que celle-ci située devant
.
Certes, on n'y voit pas d'ouvertures polaires, mais en regardant de plus près, il y a bien
Mais, il nous appartient aujourd'hui, de vous révéler qu'à une certaine époque, notre amie
, présentant les deux ouvertures polaires juxtaposées en haut et en bas.
, est une fois encore, venu à notre secours, car c'est sur le remarquable site :
, aux informaticiens qui ont su réaliser si admirablement, ces shémas qui ne peuvent que combler de satisfaction, le
.
.
. Mais à notre grand étonnement, nous n'y avons pas trouvé, la phrase mentionnée plus haut par le sieur
.
.
pour vérifier un document. Par exemple ce fut le cas pour
Au bas de la page 15, et au début de la page suivante, nous découvrons alors
.
.
Il nous appartient donc désormais de tirer la conclusion finale de cet article. Comme nous l'avons déjà exprimé,
, souvent occultés à l'époque et découverts dans la zone polaire arctique, comme par exemple le fait que l'on y a trouvé
éclatera. Mais,
. Autrement dit, déjà en
. La démarche du site
.
.
, au moins pendant l'été, autour du pôle Nord. Si quelques-unes de ces preuves, prises isolément,
.
Mais en page
118, de l'ouvrage ci-contre de
R. Bernard , publié, on le sait, par
Albin Michel en
1971, et ouvrage pratiquement introuvable en librairie, on peut noter aussi, cette expression concernant également, cette affaire
de troncs d'arbres qui flottent, à la dérive dans le bassin polaire :
" Bois flottant, branches d'arbres portant des bourgeons verts, graines tropicales, oui on a trouvé tout cela dans les mers arctiques"
Des
bourgeons sur des branches d'arbres où la temprérature oscille autour de
-40° ?
Voyons cela,
d'une manière plus détaillée, dans un autre document, venant de l'auteur
Marshall B.Gardner, dont nous avons parlé plus haut. Voici d'ailleurs une photo de l'auteur et de la couverture de son livre incomparable :
Donc à la page 253 de cet ouvrage, hélas non encore trduit en français, on découvre ceci :
Et notre modeste traduction est alors :
Bois flottant et graines de plantes.
"Maintenant, nous allons suivre plus en détail les preuves de ces différentes formes de vie dans l'Arctique. Nous avons
déjà parlé de bois flottant se trouvant a des emplacements tels que cela ne
peut provenir que de l'intérieur de la Terre. Ce phénomène est si fréquent que les explorateurs dont nous avons évoqués les exploits, ont presque tous eu, à nous dire des choses à ce sujet. Mais parfois, même, on a vu cette étrange chose dans les mers arctiques, que certains arbres portaient des bourgeons verts . Certaines graines d'espèces inconnues, comme par exemple des espèces tropicales ont été trouvées, à la dérive, en descendant des courants du Nord. Un très intéressant cas de cette nature, fut de trouver la semence de la fève d'Entada, une fève tropicale mesurant 9/4 d'inch (5cm environ). Cette découverte remarquable a été faite par une expédition suédoise sous Otto Torell près Trurenberg Bay, et il est évident que cette semence doit provenir de l'intérieur de la Terre, car elle est tirée d'un arbre qui ne pousse que dans des conditions tropicales, et elle aurait été désintégrée, si elle avait été trimballée pendant de nombreux mois, depuis de lointaines régions du monde entier, comme ce serait le cas si elle était venue
à partir des régions tropicales connues, de cette planète."
Mais voyons maintenant, toujours dans en pages 100 et 101, du livre de
R. Bernard cette
affaire de poussière noire et
de cendre volcanique de l'Arctique, et dont évite de nous parler
Jules Gay, qui ne pouvait ignorer ce phénomène, vu les nombreux ouvrages qu'il a consultés :
"La poussière, cette plaie de l'océan Arctique, est produite par des éruptions volcaniques. Légère, facilement portée par le vent, elle s'abat sur les bateaux et gêne considérablement la navigation. Quand elle tombe sur la neige, elle la rend noire. L'analyse montre qu'elle est constituée de carbone et de fer, et on suppose qu'elle provient d'un volcan en activité.
Quel est ce volcan ? On ne trouve fait mention nulle part qu'il y ait un volcan quelconque dans les environs du pôle Nord, et s'il y en a un ailleurs, plus loin, pourquoi la poussière tombe-t-elle seulement dans l'océan Arctique ?"
Pour y voir plus clair, demandons à
Reed, auteur en
1906 de l'ouvrage
"Phantom of the poles":
En page 126, on trouve alors :
Et grosso modo, notre traduction peut donner :
"Imaginez la poussière comme quelque chose d'ennuyant au milieu de l'océan Arctique! Nansen
dit: " nous avons passé ici des années les annèes, et qu'est-ce que cela nous a apporté ? Rien que de la poussière, la poussière, la poussière, que le premier vent disperse. "
Quelqu'un qui ne croit pas que
la Terre est creuse, pourra-t-il me dire d'où provient cette la poussière ? elle n'est pas un élément ou une marchandise qui s'accumule très vite sur la glace, ou en eau libre, et alors Nansen a dit : " Rentrons chez nous. Pourquoi resterons-nous ici davantage ? Rien que de la poussière, la poussière, la poussière. ".
Si vous maintenez, le fait que la Terre est un solide plein, il n'y a pas de réponse à cette question embarrassante. Mais si l'on conçoit cependant qu'elle est creuse, et que la poussière vient de l'éruption d'un volcan situé à l'intérieur, le puzzle est facile à expliquer, sans mettre en cause une comète
circulant à des millions de Km, et qui va disperser la poussière sur toutes les régions arctique et antarctique. Si la Terre se trouve être pleine, alors les gens peuvent se féliciter que cette poussière soit confinée principalement autour des pôles,... "
Vous avez bien lu que
Nansen se plaint amèrement de
l'envahisement du flot de la cendre, qui l'invite à fuir et à regagner son logis.
Mais voyons aussi alors ce que nous en dit l' ouvrage intitulé
"Vers le Pôle" de
Fridtjof Nansen présenté par
Jean-Louis Etienne et publié par les
Editions Hoëbeke en
1996, d'après l'ouvrage de
1897,
ISBN 2-84230-012-2. C'est ouvrage n'est, en fin de compte, qu'un condensé des
deux tomes de l'Édition d'origine.
En page 101, on découvre ceci concernant
Nansen, après qu'il soit arrivé autour du
81° 18'de Lat Nord :
Vous constatez que cette image, nous permet de faire
d'une pierre deux coups, car en plus de la déclaration de
Nansen, on a la position officielle
(sans doute celle de Jean-Louis Etienne) sur la provenance de cette poussière...et on évite
là, de parler
de la véritable abondance de cette chute de cendre envahissante, comme nous le dit plus haut
Nansen
Mais pour résumer tout cela, jetons voulez-vous un
furtif coup d'œil, dans le super ouvrage de
1818 déjà, présenté plus haut, suivant :
Et aux pages 121 et 122 , consacrées
aux récits de divers navigateurs :
Notre modeste traduction devient alors :
" Dans toutes mes conversations avec nos commandants, , je n'ai jamais manqué de leur demander quel itinéraire qu'ils prendraient pour atteindre les très hautes altitudes du Nord. Le résultat était alors qu'ils ne cherchaient jamais à l'atteindre en passant par l'ouest du Spitzberg, mais en filant vers le Nord en partant de la côte Ouest de la Nouvelle Zemble; Les raisons de Mr Baske et celles d'autres commandants furent :
1°) Que toutes les côtes Ouest des régions nordiques étaient pour la plupart, libre de glace à cause des vents et des marées venant principalemeent de l'Est, comme le prouve l'expérience.
2°) Que cette glace vient au départ des rivères du Tartare. Pour cela la mer ne gèle jamais, mais là elle est calme, et à la même période la neige tombe abondamment.
3°) Que près des "Seven Islands", les navigateurs ont souvent été confrontés à une houle énorme venant du Nord-Est, ce qui prouve qu'à cette époque, la mer n'est pas gelée à une considerable distance vers le Nord-Est.
4°) Que le bois flottant (Note du Webmaster: Nous venons justement d'en parler plus haut), ne pourrait pas venir de la région au nord du Spitzberg, car les mers situées entre le Nord de l'Asie et cette île, seraient gélées? Alors qu'une quantité importante de ce bois se dirige sur la côte Nord de l'Islande, et cela démontre que les courants viennent du Nord-Est.
5°) Que sur certains de ces arbres, les dessins axiaux sont très nets et la couleur du bois très vive, si bien qu'ils ne peuvent avoir été
asssurément plus de six mois en mer.
6°) Que certains de arbres ont des bourgeons qui ne pourraient rester aussi frais, si ces arbres avaient séjourné une année dans l'eau salée.
7°) Que l'Est du Groenland a maintenant été exploré jusqu'au 79° de Latitude-Nord et que probablement il s'étend plus loin en direction du Nord Nord-Eest et que l'on présume être la cause du blocage de la glace entre la côte et le Spitzberg et la raison pour laquelle il n'y a jamais de houle de Nord-ouest ou nordique.
8°) Qu' en général tous les navires qui ont été une fois au 82° de latitude nord, ont rencontré très peu ou pas du tout d'obstructions dues à la glace. Et des discusions en plus aboutiraient à la même concusion. Il y a certains cependant qui auraient préféré faire une tentative de circulation entre le Spitzberg et la terre découverte par Mr Gillis. "
Retenons, en fin de compte,
de tout ce laius plutôt fastidieux , que chaque navigateur s'attend à découvrir au-delà
du 82° de latitude nord, une mer particulièrement
libre de glace, et sutout qu'il y flotte souvent
de jeunes troncs d'arbres, portant des
bourgeons encore frais.
Autrement dit
R. Bernard ( vu plus haut en page 118 de son ouvrage ) en parlant de
bois flottant avec
des bourgeons, et aussi plus haut, de la
houle fantastique en mer polaire,
sait de quoi il parle, puisque
ce livre étonnant de 1818, en fait état,
tout à fait clairement.
Comme vous le voyez,
cette affaire de bois flottés, nous a conduit sur
des sentiers bien étranges, et plutôt loin des préocupations de
Jules GAY , n'est-ce pas !!!
A vous de juger...documents à l'appui.
Mais ce
05/07/2014, nous avons noté qu'à deux reprises
Jules Gay, a fait état, dans son fascicule cité plus haut, de
ce valeureux peuple esquimau, et pour
le novice ingénu, qui découvre
ARTIvision par cet article, nous allons en dire bien plus sur ce peuple vivant
durement et de manière très austère, dans
ces régions arctiques,
où le froid se taille la part du lion.
En effet, on sait que,
ce sont les explorateurs,
ayant fréquenté la région polaire du Grand Nord, où vivent ces esquimaux, qui ont
eux, été très stupéfaits d'apprendre que, dans leurs légendes,
ils, ne se présentent pas comme
les occupants originels de leurs aires de populations. C'est ainsi que,
une de leurs légendes, déclare même,
qu'ils auraient été transportés autrefois dans les régions du Grand Nord, par des
"oiseaux de fer géants". Cela est exprimé clairement dans l'ouvrage important, intitulé en anglais
"Not of this World" de
Peter Kolosimo, et en français
"Archéologie Spatiale", paru en
1971 chez
Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue :
"Les Chemins de l'impossible". Voici donc côte à côte, ces deux ouvrages remarquables :
Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé
les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun, ainsi que
des savants soviétiques, et il a reçu l'important prix littéraire italien
"le Premio Bancaracella", qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.
Dans le livre de poche en anglais paru en
1970, on trouve en page 92, ce passage :
,et en français, un an plus tard, voici la traduction du passage précédent, concernant les esquimaux, et qui est en page 101 :
Nous sommes alors partis à la recherche de l'origne,
éventuelle, de cette si
surprenante déclaration.
En approfondissant la recherche, nous sommes tombés sur le célèbre ouvrage
"Le Matin des Magicien"
de
Louis Pauwels, et de
Jacques Bergier, dans notre exemplaire de poche, paru en France, en Décembre 1972 :
Mais, ce livre célèbre, est sorti à l'origine en
1960, chez
Gallimard, sous l'aspect :
Pas besoin d'expliquer longuement, que c'est l'ouvrage
"Le Matin des Magiciens", qui a été le déclencheur de
notre intérêt, sans cesse croissant, pour le
Passé prestigieux de notre Planète.
Et voici maintenant, le passage important, que nous avons trouvé dans notre exemplaire de 1972,
(après pas mal de péripéties), pages 253 et 254,
re-strcturées par nos soins:
On découvre alors que dans le
New york Herald tribune du
11 Juin 1958 que nous n'avons pas hélas trouvé sur Google, que
l'Institut vénérable Smithson, dans un remarquable article paru le
11 Juin 1958 dans le
New york Herald Tribune,
" s'estime en mesure de conclure qu'il y a mille ans les esquimaux habitaient l'Asie centrale, Ceylan, et la Mongolie. Ils auraient ensuite, émigré brusquement vers le Groenland... "
Cette thèse officielle a aussi été présenrtée dans l'ouvrage intitulé :
"10 000 ans d'histoire Arctique" de
J-L Gidding de 1973 .
Jacques Bergier et Louis Pauwels, nous posent alors les questions importantes suivantes :
" - Mais Pourquoi ? cette émigration subite.
- Comment des primitifs ont-ils pu décider brusquement et en même temps de quitter ces terres pour le même point inhospitalier
du globe?
- Pourquoi quitter une zone tropicale paradisiaque comme Ceylan ?
- Comment ont-ils pu le gagner ? Ils ignorent encore maintenant que la Terre est ronde et n'ont aucune idée de la Géographie ... "
Jacques Bergier et Louis Pauwels, émettent alors l'hypothèse,
déjà hardie pour l'époque,
de l'existence d'une civilisation supérieure, il y a 10 000 ans qui aurait contrôler le Globe. Elle aurait ainsi réalisé dans le Grand Nord une sorte de zone de déportation.
C'est alors que,
Jacques Bergier et Louis Pauwels abordent
le passage le plus inouï, selon nous bien sûr, de leur chapitre V et passage, qui est, on le devine déjà :
" Or que dit le folklore esquimau? Il parle de tribus transportées dans le Grand Nord, à l'origine des temps, par des oiseaux métalliques géants "
On peut déjà, à ce niveau, se poser la question de savoir, où ces messieurs
Jacques Bergier et Louis Pauwels, ont-ils pu puiser
une si surprenante déclaration. Eux, qui sont si précis d'habitude,
là, ils ne nous en disent rien !!! Alors on peut supposer que c'est dans le texte très académique de
l'Institut vénérable Smithson, paru le
11 Juin 1958 dans le
New York Herald Tribune, que se trouve ce
passage inouï (nous avons failli écrire ce passage inuit).
La seule façon de le savoir, c'est de consulter, ce
New York Herald Tribune du
11 Juin 1958. Nous n'avons pas réussi encore à trouver comment commander ce journal sur Internet, et nous implorons l'internaute qui connaît ce moyen, de nous en faire aimablement part.
Pour clore l'affaire, nous voyons aussi dans l'image précédente que ces messieurs
Jacques Bergier et Louis Pauwels ironisent sur l'attitude qu'avaient
les archéologues de XIXe, au sujet de ces
oiseaux métalliques évoqués par les esquimaux. Ces archéologues qualifiaient, ces oiseaux métalliques
d'absurdité. Mais entre temps , nous qui avons découvert
les avions et bien d'autres engins métalliques volants, nous devons réfléchir assurément sur
ce passage surprenant où l'on parle d'oiseaux métalluiques Volants, car le site
ARTivision , prétend démontrer que ces esquimaux ont été déportés de la
Terre intérieure, vers
les zones polaires, et l'on va vite découvrir
pourquoi, dans d'autres documents.
Mais, ces savants du
XIXe avaient certaiment entendu aussi parler de
descriptions ancestrales d'engins fantastiques, appelés "vimanas",
(déjà évoqués plus haut), , et qui circulaient à l'époque dans la région
des Indes. Reprenons donc le texte important quii en parle tiré, on le sait, du
"Le Matin des Magiciens" :
Si ces savants du
XIXe, ont dû qualifier ces textes indiens
de purs contes et de légendes imaginaires., nous,
nous en savons maintenant bien plus, n'est-ce pas !!!
A propos de légendes des esquimaux, il y en a,
une autre tout, aussi extraordinaire :
En effet pour
les puristes, voici en partant du livre d'origine de 1964 de
R.Bernard, suivant :
, et à la page 71, on découvre
ce passage clef :
dont, une portion de la traduction se trouve dans l'ouvrage de
Raymond Bernard de 1971
"La Terre creuse" cité plus haut , paru chez
ALbin Michel :
où , en page 150, on trouve alors ce passage :
Le Webmaster du site
ARTivision, qui aime retrouver
la source d'un document, a cherché pendant très longtemps dans quel ouvrage le
Dr R. Bernard, avait trouvé
cette incroyable légende, concernant
les esquimaux qui pointent le doigt vers le Nord, pour indiquer leur origine....
C'est ainsi, que nous avons même commandé en,
Juillet 2010, dès que nous avons pris connaissance de son existence, l' ouvrage sorti, aux Editions
Flies France, en 2006 :
N'ayant en effet, rien trouvé dans cet ouvrage concernant
l'affaire des Inuit, qui prétendent venir du
Nord le plus haut , nous avons écrit, à ce sujet à l'
Editeur, et même à l'auteur
Maurice Coyaud, dont un aimable internaute nous avait trouvé l'e-mail, et hélas depuis lors, nous n'avons reçu aucune réponse, ni de l'un, ni de l'autre. Un jour peut-être à titre documentaire, nous publierons ces lettres. Nous vous laissons alors, le soin de juger,
ce manque flagrant de courtoisie, et le fait que cela dénote aussi,
selon nous, bien sûr,
une prétention inégalée, de se croire être
des as du savoir, concernant les esquimaux...
Récemment cependant, nous avons eu le privilège d'entrer en possession de l'ouvrage de
1907, suivant :
Et en page 180, on découvre alors :
Traduisons très modestement, ce passage concernant l'origne des esquimaux
" Ce peuple étrange n'a aucune idée de sa provenance. Il n'a même pas, comme la plupart des peuples primitifs, une légende indiquant sa provenance. Quand on questionne l'esquimau sur le sujet, il indique invariablement la direction du nord, sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste. Il est plus que probable que ce peuple est le résidu d'une puissante race formée des plus anciens habitants l'hémisphère occidental... "
De plus donc,
si l'on sait lire entre les lignes, on voit là que, l'esquimau
au lieu de faire de longues phrases ambigües, prèfère utiliser le même geste de ses ancêtres
en pointant le doigt vers le Nord. Quoique l'auteur en pense, c'est tout de même,
une légende, transmise de génération en génération. D'ailleurs l'auteur dit lui même, plus loin, que le dialecte de l'esquimau, possède très peu de mots,
300 environ. Donc
il n'a pas l'habitude de parler en l'air...
Mais, (et ce mais , est on le verra plus bas, d'une très grande importance), c'est la phrase suivante du
DR SENN, qui nous intéresse grandement, et il faut la comprendre à
deux niveaux :
" sans avoir la moindre idée de la signification de ce geste "...
Le
premier niveau, est que l'esquimau
a oublié effectivement, pourquoi il pointe
le doigt en direction du nord , et le
deuxième niveau, c'est le
Dr Senn lui-même, qui nous donne l'occasion de l'exprimer, car, croyant que sa culture intellectuelle
est plus achevée, que celle de l'esquimau, alors,
il ne jugera pas utile d'approfondir la portée de ce geste insolite de l'esquimau, bien qu'il ait, entendu parler par de nombreux explorateurs de
cette énigmatique Mer libre du Pôle Nord. Il a donc, comme vous le voyez,
loupé le coche comme Jules Gay, alors
qu'il avait en main, les attributs d'une énorme découverte, concernant
la structure essentielle de la planète Terre .
Mais, il existe
un autre fait qui surprend, et qui concerne
la vie des esquimaux : Quand on demande à certains de ces derniers, où
ils supposent que leur entité va après la mort, ils
ne montrent pas le ciel au dessus de leur tête, ni
le soleil du jour, ni
les étoiles du soir, ni
l'immensité du cosmos qui les environne, mais
ils montrent le sol, et parlent de certains niveaux à
l'intérieur de la Terre, d'une
bien autre manière, que nos savants actuels, qui y placent
un torride redoutable feu central, fait
de métaux en fusion. Mais lisez plutôt ce qui suit tiré de notre ouvrage déjà présenté plus haut :
Voici donc, un extrait des pages 206 et 207
restructurées par nos soin :
Et, voici donc notre modeste traduction :
Religion
"La Nature, elle-même a imprimé dans les esprits de tous, l'idée d'un Dieu. Pour quelle nation ou race humaine n'aurait-elle pas, même si l'on n'y pense pas, instilé une certaine idée de Dieu ?" Cicéron.
"Les Esquimaux issus des colonies danoises n'ont jamais connus d'instruction religieuse et n'ont pas d'idées fixes concernant la création et l'existence d'un Dieu vivant. Ils croient en un monde futur, dont les occupations et les plaisirs, selon les crédos habituels des races primitives qui sont basés sur contacts sensuels. Leur idée du paradis est bien la même que celle des indiens d'Amérique. L'âme descend sous la terre, dans diverses demeures, la première ayant une forme qui ressemble à un purgatoire. Mais les bons esprits la traversent rapidement pour aller trouver d'autres demeures, plus perfectionnées et s'envont alors à une profondueur plus importante atteindre celle où se situe le bonheur parfait, où le soleil ne se couche jamais, et où sur les bords de grands lacs qui ne gèlent pas, errent dans de grands troupeaux, les cerfs et aussi où, dans les eaux, abondent toujours le phoque et le morse (Parry et Lyon) Ils n'ont pas de religion, pas d'idoles, pas de culte. Leurs idées à ce sujet sont très primaires, et ils reconnaissent cependant l'existence d'un être, correspondant au bien et au mal..."
Fin de la traduction.
Tout cela s'apparente,
selon nous, bien sûr, à des réminicences ancestrales
d'un passé millénaire, ayant trait à une
époque bénie, où ces esquimaux vivaient
à l'intérieur paradisiaque de la planète.
Mais revenons à nos chers esquimaux dont on parle aussi, à propos
d'une disparition très mystérieuse, dans leur communauté.
Nous, avons aussi en effet, cette énigme non résolue, soulignée par
P. Kolosimo dans son livre de 1971, déjà cité plus haut, et pour les puristes, ceci se trouve en
page 92 du livre anglais en question.
Et voici, de quoi il s'agit :
Nous avons déjà largement évoqué,
cette affaire inouie de disparition de diverses communautés arctiques, dans notre article:
Pour tenter de résoudre cette énigme, on peut déjà placer ici, une partie de notre traduction d'amateur du livre,
"The SmokyGod", placée par
ARTivision, dès le
6 Avril 2001 en exclusivité, sur le Net Français, à
l'url :
Voici donc cette tranche du texte en question :
"On était autour du premier Septembre , (1829 : rappel du Webmaster) plus de cinq mois, nous l'avons calculé, après avoir fait nos adieux à Stockholm. Subitement nous eûmes, une peur bleue, en entendant dans le lointain le chant de certaines personnes. Tout de suite après nous avons aperçu un énorme bateau qui descendait la rivière, droit dans notre direction. Ceux qui chantaient à bord formaient un chœur puissant dont l'écho se répercutait d'une berge à l'autre de la rivière comme mille voix, remplissant l'univers entier d'une vibrante mélodie. La musique d'accompagnement était exécutée sur des instruments à cordes qui ressemblaient assez à nos harpes.
Nous n'avions jamais vu un si grand bateau, et si différent en matière de construction.
À ce moment précis, notre sloop se trouvait au calme et pas loin du rivage. Le bord de la rivière, était couvert de belle façon, d'arbres gigantesques de plusieurs centaines de pieds de haut. Il nous semblait être aux abords de quelque forêt primitive qui sans aucun doute, devait s'étirer loin à intérieur.
L'immense embarcation, fit une pause et presque immédiatement après, une barge fut déposée sur l'eau et six hommes de stature gigantesque, se sont rapprochés de notre petit sloop. Ils nous ont parlé dans une langue étrange. Nous avons deviné, cependant, à leur manière d'agir qu'ils n'étaient pas inamicaux. Ils ont parlé entre eux un bon bout de temps, et l'un d'entre eux fut pris d'un fou rire énorme, comme si notre vue était devenue pour eux, une étrange découverte. L'un d'entre eux a examiné scrupuleusement notre boussole qui a semblé les intéresser tous, bien plus qu'aucune autre partie de notre sloop.
"
Se pourrait-il, que ces esquimaux aient été emportés à l'intérieur de la Terre, par un bateau de même nature que celui décrit dans ce
Smoky God ?
Voici d'ailleurs deux images tirées du livre en anglais correspondant :
A gauche, on voit la découverte du
Soleil brumeux par les norvégiens
Olaf Jansen et son père, à bord de leur petit sloop, et à droite on voit
les géants, qui receptionnent les deux norvégiens, dans leur immense bateau.
Finalement il vous appartient dès lors, de juger si ces esquimaux ont pu être emportés, par
le grand navire, en question .
Pour rendre hommage à ce peuple valeuleux des esquimaux, voici quelques silhouettes de leurs tribus :
Mais ce
06/07/2014, il nous vient à l'idée d'ajouter,
ce petit plus littérraire pour la route :
En effet, retrouvons quelques lignes de
ce périodique, que notre ami
Claude, nous a fait découvrir, dès le
1er Février 2010, sur le site :
Les exemplaires du périodique en question, furent rassemblés dans les
" Annales des voyages, de la géographie, de l'histoire et de l'archéologie ", ouvrage dirigé par
V. A. Malte-Brun,...Éditeur :
Challamel aîné (Paris) .
Jetons alors un coup d'oeil, aux pages 16 et 17 du tome 1 :
Nous avons souligné
en rouge, les paragraphes qui nous interpellent fortement. On voit alors que les informations évoquées dans ce périodique, se rapprochent grandement de celles vues plus haut et aussi de celles qui ont déjà aussi été présentées en partie dans notre article :
Buffon.html
On note ainsi, qu'un capitaine de la
Compagnie Hollandaise du Nord, affirma à l'époque avoir trouvé
la mer libre, en se dirigeant
droit au Nord, et il approcha à
la distance de 2 degrés
du Pôle, duquel il fit deux fois le tour. Ce capitaine
avait coutume de raconter cela publiquement, et de
prendre son équipage à témoin de ce fait. Mais, on peut toujours dire alors, que les mesures de ce capitaine,
furent, à l'époque, très approximatives.
Mais, plus connue, est l'histoire de ce que raconte
Joseph Moxon, qui lors de sa visite en hollande en
1656, eu écho du fait qu' un capitaine hollandais,
" homme très respectable auquel il pouvait ajouter foi, qu'il avait navigué sous le Pôle,
où, il trouva l'air aussi chaud qu'il avait coutume de
l'être en été à Amsterdam. Enfin le capitaine Gould,
qui avait fait plus de vingt voyages au Groenland, dit au
roi Charles II, qu'étant au Groenland vingt ans auparavant, il avait rencontré près de l'île Edges, à l'est
de cette contrée, deux navigateurs hollandais qui résolurent, comme il ne paraissait pas de baleine sur ce rivage, de faire voile plus loin vers le nord ce qu'ils
firent en effet; qu'ils étaient revenus quinze jours après,
et avaient été jusqu'au 89° degré, où ils n'avaient vu
aucune glace, mais une mer parfaitement libre, et des
vagues aussi grandes que dans la mer de Biscaie."
Comme il serait important et merveilleux
qu'un chercheur des Pays Bas, puisse mettre la main sur le
carnet de bord du voyage de ces deux navigateurs dont hélas,
le nom n'est pas ici encore mentionné.
Mais voyons aussi les pages 18 et 19 :
Là encore, ce périodique, nous reprend les propos de
l'explorateur Kane, vus plus haut par nous, sous
la forme plus complète et inouïe :
" Il est
impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Enfin nous devons aussi noter, ce que
les esquimaux proposent pour comprendre cette affaire :
" Enfin si nous en croyons les rapports faits par
des tribus Tchoukchtes du nord de la Sibérie, à Wrangell, des bateaux chargés d'hommes partis d'une terre située au nord du détroit de Béering seraient venus aborder sur leurs côtes; il y aurait donc au nord-est de la
Sibérie et dans la direction du détroit de Béering, une
terre habitable par l'homme. Du reste, les contrées qui
avoisinent le Pôle Nord sont, généralement, amplement
pourvues de ce qui peut intéresser la vie de l'homme. "
Fin de citation .
Que dire que plus, devant un résumé
si bien éclairé,
des faits polaires relevés par
ARTivision, dans tout ce qui précède. De plus, on évoque aussi ici,
les légendes extraordinaires des esquimaux, qui impliquent irrémédiablement
l'existence d'une terre tropicale plus haut dans le nord, et terre à rechercher avec la plus grande persévérence. Voilà, ce qui devrait faire l'objet
d'une thèse admirable d'étudiants actuels, en
Ethnologie, Psychologie et autre Philosophie de même nature, qui étudient la vie des peuples, comme par ailleurs, il aurait dû déjà y avoir,
( mais nous, n'en connaissons hélas aucune),
des thèses bien ficelées, démontrant
noir
sur blanc, le fait surprenant que les icebergs, sont uniquement faits d'eau douce.
C'est donc à vous, qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents à l'appui...
Donc, ce 07/07/14, nous avons noté avec la plus grande surprise que des historiens français ou consorts voisins, ont écrit dans leurs annales publiées autour de 1868, que : " .. il y aurait donc au nord-est de la Sibérie et dans la direction du détroit de Béering, une
terre habitable par l'homme", et que cette affirmation saugrenue n'a pas eu jusqu'à lors le moindre effet sur nos intellectuels si fiers de leur cursus universitaires . En fouillant un peu plus, dans la tradition des esquimaux, ces intellectuels découvriraient qu'il ne s'agit pas du tout d'un peuple primitif, vivant "au nord-est de la
Sibérie et dans la direction du détroit de Béring" , mais bien d'un peuple très évolué, venant du Nord le plus proche du pôle, inconnu à l'époque.
Ces historiens, en fouillant un peu dans leurs bibliothèques, auraient pu alors, être plus avant initiés, sur l'affaire du peuple en question, d'abord par l'ouvrage ci-après désigné :
En effet disons, que, nous avons nous-mêmes, appris l'existence de cet ouvrage, quand dès le 20 mars 2003, nous avons eu le grand privilège de recevoir de l'ami Michel Hertzog un CD bourré de données extraites de la Bibliothèque Nationale. Il y avait là, la copie entière d'un ouvrage d'un certain écrivain anglais nommé Sir Hormisdas Peath , qui est en fait le pseudonyme d'un auteur très connu Collin de Plancy, qui a publié de nombreux ouvrages ésotériques, sur la sorcellerie, la magie etc...Aussi sommes-nous très réservés, au sujet de l'authenticité de tout le récit, de cet auteur, qui commence en Juin 1806, et dont la traduction fut publiée à Paris en 1821, en trois tomes sous le titre "Voyage au centre de la Terre ou aventures diverses de Clairancy et de ses compagnons dans le Spitzberg, au Pôle-Nord, et dans des pays inconnus".
Nous notons donc, dans ce texte, en premier lieu, qu'il existe bien un vortex au Pôle nord, conduisant à l'intérieur de notre planète, et on peut assurément ici, se poser la question de savoir où l'auteur a-t-il pu puiser, le contenu d'une telle affirmation en 1821 !!. C'est tout simplement ahurissant.
On note alors, que l'auteur fait allusion à l'existence d'un soleil central , au sein de notre planète, et qui est encore plus fanstatique, car ni Jules Verne, (on l'a vu plus haut), ni William Reed dans son surprenant ouvrage :
n'ont pu imaginer cela, alors que tiré de notre article : DilemmeLexical.html , on découvre ceci :
Les phrases en rouge sont assez claires et significatives pour que nous n'ayons pas besoin d'en dire plus, n'est-ce pas ? On reste cependant bouche bée en découvrant que c'est le génial mathématicien suisse Euler, (toute information à son sujet concertant le texte où il affirme cela, serait la bienvenue), qui semble être le premier ( il y eu d'autres thèses bien moins superbes), à avoir conçu que la Terre pouvait, être creuse avec surtout, un soleil central, tel que le découvrirent ( on le sait déjà), les norvégiens Olaf Jansen et son père, partis en voyage de découverte en 1829, en direction du Pôle Nord.
Aux pages 1, 2, et 3, les explorateurs découvrent en plein Pôle Nord, des champs couverts d'herbes des fleurs, des fruits.. etc..
.
Puis aux pages 16 à 20, c'est bien du Soleil central dont on nous parle..
On découvre aussi dans l'ouvrage de Sir Hormisdas Peath de 1821, que les jours sont d'environ dix huit heures et les nuits d' à peu près six heures (ce qui s'oppose aux 12 h /12h que nous déclare Olaf Jansen) et que le soleil s'évanouit au milieu de l'azur, en temps voulu bien qu'il n'y ait aucun nuage. Curieux tout cela, n'est-ce pas...?, concernant notre planète et même notre système solaire.
.
" D'autre part, en se reportant à ce que nous avons expliqué sur le symbolisme du "Pôle", il est facile de voir aussi que la montagne du Paradis terrestre est identique à la "montagne polaire" dont il est question, sous des noms divers, dans presque toutes les traditions : nous avons déjà mentionné le Méru des Hindous et l'Alborj des Perses, ainsi que le Mont-salvat de la légende occidentale du Graal ; nous citerons aussi la montagne de Qâf des Arabes , et même l'Olympe des Grecs, qui, à bien des égards, a la même signification. Il s'agit toujours d'une région qui, comme le Paradis terrestre, est devenue inaccessible à l'humanité ordinaire, et qui est située hors de l'atteinte de tous les cataclysmes qui bouleversent le monde humain à la fin de certaines périodes cycliques. Cette région est véritablement la "contrée suprême" du reste, d'après certains textes védiques et avestiques, sa situation aurait été primitivement polaire, même au sens littéral de ce mot; et, quoi qu'il en puisse être de sa localisation à travers les différentes phases de l'histoire de l'humanité terrestre, elle demeure toujours polaire au sens symbolique, puisqu'elle représente essentiellement l'axe fixe autour duquel s'accomplit la révolution de toutes choses.".
Dire que
l'Olympe des grecs, à la même signification que
l'Hyperborée,
(mentionnée plus haut), c'est vraiment faire un
amalgame fallacieux et dérisoire, bien que ce
René Guenon, reconnaisse qu'à
l'origine, la localisation de la fameuse
"contrée suprême", d'après certains textes,
aurait été primitivement polaire.
Voyons maintenant
un autre son de cloche, bien
plus réaliste :
En effet, c'est le grand ésotériste français
Serge Hutin, qui dans son petit livre de poche intitulé
"Hommes et civilisations fantastiques" paru en
1970 chez l'Editeur
J'ai Lu dans la remarquable collection hélas disparue
" L'Aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues" n° A 238 :
nous dit, en page 44 et 45 ceci :
On voit que,
Serge Hutin était particulièrement informé sur
ces mystères polaires, car il connaissait déjà en
1970 , le livre en anglais de
R. Bernard, non encore publié en français
(Il le sera l'année suivante en 1971). Dommage qu'il situe l'aventure de
Byrd en Alaska alors qu'elle a eu lieu,
aux abords, de la région en rouge de notre carte déjà connue :
Mais cet auteur, qui a bien compris
l'énorme importance de cette affaire polaire, va nous en dire,
bien plus, dans un nouvel ouvrage paru en
1976, tel que :
Et là, en pages 46 et 47, il met carrément
le pied dans le plat :
Précisons alors que, ce n'est qu'en
1913, que l'écrivain
Marshall B.Gardner, un habitant d'AURORA dans l'Illinois publia, à ses frais, un petit livre intitulé
"Voyage à l'intérieur de la Terre...", où il fait état de
ce soleil central. En
1920, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.
Etant donnée,
l'importance de tout cela, voici
une fois encore, la photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de
son incomparable ouvrage, que nous avons aussi le privilège de posséder :
Et c'est pour en savoir encore bien plus, sur tout cela,
qu'ARTivision, a publié déjà, près de
90 articles, sur
ce sujet si ahurissant.
Il y a même, des gens qui
ont loupé aussi le coche, quand après avoir eu en main l'ouvrage de
R. Bernard, la Terre creuse de 1971, sont vite partis le revendre pour
de la menue monnaie, et c'est ainsi que nous avons pu en trouver un, à Paris chez
Gibert Jeune, en 1977, pour seulement 11 F, pour le parain de notre fils qui cherchait cet ouvrage depuis 2 ans.
Cet inconnu, qui a revendu son livre, pour une bouchée de pain l'aurait certainement gardé, si deux années plus tard, il l'avait encore, et s'il avait pu aussi découvrir, les quelques lettres ci-dessous de la revue
Nostra, concernant la
"Théorie de la Terre Creuse". La revue
Nostra,, quand elle avait alors
le privilège d'exister, nous
instruisait souvent sur ce que bien d'autres revues préféraient taire.
(Remarque: à l'époque, on écrivait OVNI à la place d'ovnis, et nous avons mis, comme à notre habitude en relief, les mots clés, selon nous bien sûr, de ces lettres)
Première lettre que nous avons personnellement adressée à la revue Nostra en Avril 1979 , et qui a été
publiée en début Mai 1979 :
LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE.
Recevant votre revue depuis parution, j'ai lu
avec un vif intérêt l'article du
n° 363 de fin Mars 1979 de M.J.L.
Bérault sur “l'Agartha”,
la cité souterraine qui abriterait les “Maîtres
Inconnus” du Monde. Le lama
Lobsang Rampa, cité dans cet article a
effectivement prouvé son haut
degré d'initiation, puisque dans un livre
publié à Londres en 1971
et intitulé “Feeding the
flame”, il annonçait déjà la prochaine
destitution d'un président des
Etats-Unis, événement impensable, avant l'affaire
du Watergate qui allait précipiter, on le
sait, en 1974, la chute du Président
Nixon.
Ce Lama affirme de plus que cette
cité souterraine de l'Agartha appartient à
un autre monde immense, non encore découvert par nous, mais situé
à l'intérieur de la Terre, qui est creuse
et possède un soleil central, qui y entretient
vies et civilisations, (voir “Crépuscule”
J'ai Lu )
D'ailleurs dans votre article paru dans le n°283
d'Avril 1977, le regretté Jacques
Bergier (qui
paradoxalement ne croyait pas aux O.V.N.l.)
présente cette thèse de la “Terre
creuse” comme très possible étant donné
que les photos prises par satellites des pôles de la Terre sont frappées
d'un “top secret”
mondial .
Pourtant la revue “Science
et Vie” annonçait dans son n°
510 de Mars 1960 la découverte en plein
Pôle Sud de “l’Oasis de Benguer” où la température dépassait
25° et où vivaient des oiseaux
de plusieurs espèces. Le livre du Docteur Raymond
Bernard paru
en 1971 chez Albin Michel, pratiquement
introuvable et intitulé “la
Terre Creuse” donne davantage de détails
sur cette oasis, ainsi que sur l’Agartha et les trous situés aux pôles
et permettant d’y accéder.
Bergier, affirme également qu'un homme
d’affaires anglais Mr Mc
Donald aurait fondé à Londres en
1961 une société des partisans
de la “Terre Creuse”. Connaissez-vous
l'adresse de cette société et existe-t-il en France une société
analogue ? Cette thèse mériterait en effet que
nous puissions en étudier le pour et le contre, si fantastique qu'elle
paraisse cependant.
F.I. (Guadeloupe)
Réponse de NOSTRA n° 369 du 8
Mai 1979 à notre précédente lettre.
"Nous
n’avons plus entendu parler de cette société depuis l’article de
Jacques Bergier et, à notre connaissance, aucun mouvement identique
n'existe en France. Il n'en reste pas moins que cette théorie de la
Terre creuse, compte toujours de nombreux partisans et que le mystère
n'est pas près d'être élucidé."
Deuxième lettre d'un lecteur qui répond
à la nôtre:
LA THÉORIE
DE LA TERRE CREUSE.
C’est avec un peu de retard, que j'apporte mon
témoignage dans la conception de la Terre
creuse qu'un lecteur
de la Guadeloupe, dans le n° 369 de Nostra, a
si brillamment évoqué. J'espère que ce
lecteur n'a pas eu d'ennuis suite à cet exposé,
car par ordre des services
officiels, il y a un “top
secret” , sinon beaucoup de personnes disparaîtraient
de la surface pour aller à l'intérieur de notre bonne vieille Terre,
trouver la paix. C'est d'ailleurs de cette
même Terre intérieure que viennent les O.V.N.I,
surveiller le dessus, car l'homme n'est pas sérieux et se détruit
lui-même, Ces O.V.N.I., d'ailleurs, se déplacent le plus simplement du
monde, leur système de rotation serait basé sur le principe du
gyroscope. Ils viennent donc de
l'intérieur de la Terre. J'aimerais connaître
d' autres partisans de ce phénomène qui sera
tôt ou tard découvert des habitants de l'extérieur.
J'espère vivre assez longtemps pour voir cela.
De toute façon, si une guerre mondiale se déclare tôt ou tard, il n'y
a que dans cette Terre que
certains privilégiés pourront sauvegarder leur existence.
c.l. (Paris)
Réponse de Nostra-- N°384 du 15 Août
1979.
"Vous
n'êtes pas le seul , en effet, a exprimer une si totale croyance en
cette théorie de la Terre creuse. Mais d’autres la réfutent pour des
raisons qui seraient trop long d’exposer. Nous espérons pouvoir un jour,
faire le point des recherches."
Fin de citation .
Nous avons beaucoup regretté
par la suite, de n'avoir pas pris contact, il y a déjà, hélas, des lustres, avec ce Monsieur
c.I.
de Paris, qui a l'air
d'en savoir beaucoup plus qu'il n'en dit.
Avec un peu de chance, quelqu'un qui le connaît, ou lui même, s'il
est toujours vivant, pourrait découvrir notre site et nous contacter.
Mais ce
9/07/2014, poursuivons ici,
les superbes lettres de Nostra :
Troisième lettre d'un autre
lecteur:
LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE
Dans le n°
425 de votre revue (du
29 mai au 4 juin 1980), un article de M.
Jean Brun fait état de la découverte, faite
par l'amiral Byrd, en 1926,
d'une “Oasis de l'Arctique”,
découverte faite à pied, en marchant sur la banquise.
Mais M. Brun ne mentionne pas les deux
expéditions de Byrd, faites en avion, l'une en 1947
“au-delà”
du Pôle Nord, l'autre en 1959
“au-delà” du Pôle Sud. Les temps
“au-delà” ayant une signification spéciale, clairement explicitée
dans l'article de Serge Hutin
publié dans le n° 3 du “Grand
Albert”.
Ce dernier article se réfère à la théorie de
“la Terre creuse”,
titre d'un ouvrage fort intéressant de Raymond
Bernard (Albin Michel, 1971), actuellement
retiré de l'édition en France, et fort
difficile à avoir aux USA (titre américain
"The Hollow Earth",
l969, University Book). Car ce sujet
est tabou aux USA, comme les OVNI, d'ailleurs,
selon R. Bernard. Cela a d'ailleurs été confirmé par Jacques
Bergier qui, en 1977, a bien voulu me
communiquer l'adresse de la
Société Mac Donald qui, en Angleterre,
s'occupe de ces questions, J'ai adressé à ce dernier une lettre, mais sans
réponse, malgré un rappel.
Avez-vous, aujourd'hui, quelques nouvelles
informations, de votre côté, sur ces importants sujets ?
M. R.N. (Le Chesnay) Union théosophique
Réponse NOSTRA n° 428 du 19 au 25 Juin
1980
"Hélas
non, nous n'avons rien appris de nouveau sur ces sujets depuis qu'ils
ont été traités dans “Nostra”. Mais il est évident que nous
publierons immédiatement toute information qui pourrait nous parvenir."
Quatrième lettre d'une autre
personne :
"
La Terre Creuse"
Quelques mots m’étonnent dans l’article sur
le "6 ème continent l’Antarctique",
non parce qu’il pourrait être un vestige
de l’Atlantide, mais parce que vous dites:
“Contrairement à l’Arctique
qui est pour l’essentiel une mer gelée..”
N’avez-vous pas lu “La
Terre Creuse” de Raymond
Bernard introuvable aujourd’hui ?
j’aimerais tant le retrouver ! N’avez-vous jamais fait des articles
sur l’Arctique ou sur des possibilités que l’intérieur de la Terre
était habité ?
M.D. (Paris)
Réponse de Nostra n° 473 du 6 Mai 1981.
"Nous avons à plusieurs
reprises évoqué ce problème dans Nostra , notamment Jacques Bergier
dans le n° 263."
Nous aimerions également,
évidemment, que cette dame nous contacte sur le Web, si elle est toujours de ce monde.
Mais, bien que cela ne concerne pas
nos historiens faiseurs d'annales, vus plus haut, ni d'ailleurs
l'ecrivain Willian Reed déjà cité, et, puisque nous venons d' évoquer les dires du
lama Lobsang Rampa ( toujours vilipendé par des journalistes ignares, ésotériquement parlant), voyons tout de suite, ce qu'il nous disait,
de son vivant (il a quitté ce monde le 25 Janvier 1981) , sur
cette affaire fantastique de la Terre creuse :
Rappelons donc ici, que c'est d'abord dans son
extraordinaire ouvrage (qui a dû bien faire rire sous cape à l'époque les géographes et autres géologues agrégés de la
Faculté), "Twilight" , publié d'abord de Grande
Bretagne chez
Corgy Books n°
05520997675, en
1975, puis en français en fin
de la même année sous le titre
"Crépuscule" chez
J'ai Lu n°
A226 , dans la
prestigieuse collection, hélas disparue :
"
L'aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations
disparues", et actuellement, ce livre porte le n°
1851 dans la collection
"L'Aventure
Secrète".
Cet ouvrage inoui , nous introduit
franchement dans le contexte incroyable
des
ouverture polaires, et de la
Terre creuse,:
et ce contexte est
plus tard, aussi évoqué dans un autre ouvrage
de Rampa intitulé
" C'était ainsi" publié par l'Editeur
Stanké en 1976 n°
ISBN 0-88566-038-2 et puis en édition de poche
"J'ai Lu" -l'aventure secrète- n° 1976/2... Le site
ARTivision s'évertue, on le sait, depuis le
17/09/2000, de mettre en exergue cette extraordinaire théorie.
Afin de montrer que les dires de
Rampa ne sont pas
des allusions psychologiques intangibles appartenant à un monde parallèle
(comme certains le pensent encore actuellement), il est peut-être utile ici de préciser ici pour le lecteur qui entre la première fois dans le site
ARTivision, quelques éléments de
cette affaire incroyable de Terre creuse révélée par l'auteur du livre suivant, déjà évoqué plus haut :
Lobsang et son maître, sont entrain d'explorer un long tunnel extraordinaire, sorte d'épine dorsale de la planète, taillée dans le roc à l'époque de
l'Atlantide...
" Lobsang, me dit mon guide, il y a sur cette terre
de nombreuses choses que les gens ne comprennent
pas ; il y a également des choses à l'intérieur de la
terre, car, contrairement à la croyance commune, la
terre est en fait creuse, et il existe une autre race de
gens vivant à l'intérieur de cette terre. Ils ont atteint à un plus grand développement que nous, et il arrive que certains d'entre eux sortent de la terre dans des véhicules spéciaux". S'arrêtant, il désigna l'une des
étranges choses sur les peintures, puis poursuivit :
"Ces véhicules sortent de la terre et volent autour
d'elle afin de voir ce que font les gens, et pour
s'assurer que leur sécurité n'est pas menacée par
ceux qu'ils appellent les concurrents".
Je pensai que l'intérieur de la terre était un lieu
bien étrange où vivre ; il devait y faire affreusement
sombre, et j'y aurais eu très peur, moi à qui il faut le
réconfort d'une lampe dès que vient l'obscurité. Mon
guide sourit et dit, comme s'il avait deviné ma
pensée : " Mais, Lobsang, l'intérieur de la terre n'est
pas obscur ; ils ont un soleil, un peu comme le nôtre,
mais plus petit et beaucoup plus puissant. Ils sont
beaucoup plus intelligents que nous. Mais dans le
futur, vous apprendrez beaucoup de choses sur les
gens de la terre intérieure. Venez, maintenant,
Lobsang. "
Et plus loin on trouve finalement :
"....Ceci est un passage conduisant au monde intérieur. Nous
pensons qu'il a été scellé par les ouvriers du monde
intérieur afin de préserver leur civilisation lors du
déluge qui frappa cette terre. Nous croyons que si
ceci était ouvert, je veux dire si nous pouvions l'ouvrir, les gens nous assailliraient et nous écraseraient pour avoir osé violer leur intimité. Nous, lamas
de rang supérieur, sommes souvent venus en ce lieu
pour essayer, par la télépathie, de communiquer
avec ceux en dessous. Ils ont reçu nos messages, mais
ils se refusent à avoir quoi que ce soit à faire avec
nous ; ils nous disent que nous aimons la guerre, que
nous sommes aussi ignorants que des enfants qui
essaieraient de faire sauter le monde ; ils nous ont
dit, par télépathie, qu'ils avaient l'oeil sur nous et
qu'ils interviendraient s'ils jugeaient nécessaire de le
faire. Nous ne pouvons aller plus loin : ceci est la fin,
c'est la ligne de séparation entre deux mondes".
Nous espérons que l'éditeur nous pardonnera cette incursion dans le texte du livre en question et souhaitons qu'il ne prenne pas ombrage du fait que nous y avons extrait ces phrases si importantes pour la suite de notre article.
Vous avez bien noté nous l'espérons, que les gens de l'intérieur, refusent de prendre contact avec nous, car notre mentalité n'excède pas celle des enfants ignorants, jouant à une sorte
de Monopoly militaire, où règnent
agressivité et violence.
Il n'est pas besoin en effet d'insister sur le fait que
les conflits armés pullulent sur cette planète et certains sont même arrivés à croire qu'en se suicidant en tuant en même temps, des dizaines de personnes, ils vont pouvoir être adulés et choyés dans l'au-delà. Il ne savent pas que leur prétendu sacrifice et leur désir absolu de vengeance, dans quelques années très proches,
seront considérés comme ayant été totalement vains et inutiles.
De plus certains internautes ont du mal à assimiler le fait
que l'on est que des minus, vis à vis ces peuples évolués qui
ne veulent pas ouvertement intervenir dans nos scabreuses affaires.
En
Avril 2005, un internaute nous disait :
"A vrai dire la théorie de la Terre creuse me revient sans arrêt à l'esprit et j'essaie de la fuir, mais je n'y arrive pas vraiment; elle est tellement merveilleuse ! Par contre elle porte tellement de conséquences si elle vraie, qu'elle en est effrayante. Cette révélation va bouleverser le monde quand les preuves seront là."
Que penser de tout cela ? A notre avis, seule
la peur de l'inconnu et de ce qui remet en question notre savoir intime, peut distiller
cette notion d'angoisse , évoquée par cet internaute au sujet de
cette théorie fantastique de la Terre creuse.
Mais ce
10/07/2014, il serait peut-être utile de présenter, d'autres ouvrages de la fin du 19
e siècle, qui auraient pu insprirer assurément nos
(vus plus haut) ,
nos historiens et consorts faiseurs d'annales (s'ils étaient encore vivants) et surtout,
William Reed, dont nous avons déjà présenté plus haut
le surprenant ouvrage , de
1906 "Fantôme des pôles", et qui fut exploré plus avant dans
notre article clef :
À tout seigneur tout honneur, commençons par le croquis fantastique suivant connu dès au moins
1892 :
Ce croquis est tiré de l'ouvrage de d'un certain
William R. Bradshaw, et dont le titre commence par :
"The Gooddest of Atvatabar : Being the history of Discovery of the interior Words and Conquest of Atvatabar ".
Donc ce Monsieur, avait déjà une idée bien avancée de la
Terre creuse, surclassant de loin,
les autres écrivains précurseurs audacieux de son époque.
C'est en effet, le
15 Juillet 2012, nous avons eu le grand privilège de recevoir la missive suivante de l'ami internaute
Joël B.......:
From : Joël B.......
À : fred.idylle@orange.fr
Envoyé : Dimanche 15 Juillet 2012 à 13:42
Objet : croquis fantastiques: Le croquis Bradshaw.
Cher
Fred
Le livre "The
Gooddest of Atvatabar" est disponible
en e-book sur l'excellent site du projet Gutemberg ou l'on peut découvrir
beaucoup d'anciens ouvrages:
et, peut être téléchargé gratuitement:
Title: The
Goddess of Atvatabar
Being the history of the discovery of
the interior world
and conquest of Atvatabar.
Author: William R. Bradshaw.
Mais peut-être vous l'a t-on déjà signalé...
A noter que en cliquant sur
l'onglet "bibrec" puis sur "les lecteurs ont aussi téléchargé", l'on arrive sur
la page:
, qui présente d'autres ouvrages similaires invitant aussi à des voyages
intérieurs peut être imaginaires...
Bien cordialement (pluvieusement ici)
Joël.
Donc, en perspective, de nombreuses pages de traductions à effectuer, tout au moins, jusqu'à la découverte de cette
affaire inouïe pour l'époque,
de trous polaires, et surtout du
Soleil central...
Après découvertes des premières page de cet ouvrage, nous pensons qu'il est un excellent
roman de fiction, bien que le début de l'histoire, semble partir
d'éléments vraissemblables, par exemple au chaptre 2 page 20, on trouve :
CHAPTER II.
THE CAUSE OF THE EXPEDITION.
The Polar King, in lat. 84', long. 151' 14", had entered an ocean
covered with enormous ice-floes. What surprised us most was the fact
that we could make any headway whatever, and that the ice wasn't
frozen into one solid mass as every one expected. On the contrary,
leads of open water reached in all directions, and up those leading
nearest due north we joyfully sailed.
May the 10th was a memorable day in our voyage. On that day we
celebrated the double event of having reached the furthest north and
of having
discovered an open polar sea.
Seated in the luxurious cabin of the ship, I mused on the origin of
this extraordinary expedition. It was certain, if my father were alive
he would fully approve of the use I was making of the wealth he had
left me. He was a man utterly without romance, a hard-headed man of
facts, which quality doubtless was the cause of his amassing so many
millions of dollars.
Le
Roi polaire ( The Polar king) étant le nom du navire affrété par un certain
Lexington White (donc ce n'est déjà le nom de l'auteur), qui semble raconter cette incroyable aventure. Voici donc notre très modeste traduction :
L'origine de l'expédition
"Le Roi polaire à la latitude de 84° et à la Longitude de 151°14' est entré dans un océan parsemé d'énormes blocs de glaces et ce qui nous a surpris le plus fut le fait que nous pouvions progresser entres ces blocs car la banquise n'était pas gelée en une seule masse solide comme on s'y attendait à le voir. Au contraire, des filets d'eau libre , partaient dans toutes les directions autour des blocs, et même vers le nord, où nous nous dirigions joyeusement.
Le 10 Mai, fut une journée mémorable pour notre voyage, Ce jour là, nous avons célébré le double événement d'avoir d'une part atteint le point le plus septentrional connu, et d'autre part le fait d'avoir découvert une mer libre au pôle Nord .
Assis dans la cabine de luxe du navire , je m'interrogeais, sur l'origine de cette expédition hors normes. Il était évident que si mon père étaient encore vivant, il aurait totalement approuver, l'utilisation, que j'en avais faite, de la fortune qu'il m'avait laissée. C'était un homme très peu romantique, à cheval sur les faits bruts, et ces spécifications, lui avaient permis d'amasser des quantités de millions de dollars."
Jusque là, le récit semble cohérent avec celui
d'Olaf Jansen dans
smokyGod.html
Remarquons de l'auteur
William R. Bradshaw, pouvait parfaitement avoir connu cette affaire de
Mer libre du Pôle dans les récits de nombreux explorateurs qui y font allusion, et en particulier chez le recit du
Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin
(28 Fevrier 1820 – 16 Février 1857) de la Marine des USA, qui on le sait , publia en
1857 l'ouvrage très important déjà mentionné plus haut plusieurs fois :
Mais c'est quand l'auteur
William R. Bradshaw aborde la notion de
soleil central, que les différences sont
notoires :
Au chapitre VII, on trouve
par exemple, page 40 :
"We continued our voyage in the semi-darkness, the prow of the vessel still pointed to the centre of the earth, while the polar star shone in the outer heavens on the horizon directly over the rail of the vessel's stern.
It did not appear to us that we were dropping straight down into the interior of the earth; on the contrary, we always seemed to float on a horizontal sea, and the earth seemed to turn up toward us and the polar cavern to gradually engulf us. The sight we beheld that day was inexpressibly magnificent. Five hundred miles above us rose the crest of the circular polar sea. Its upper hemisphere glowed with the light of the unseen sun. We were surrounded by fifteen hundred miles of perpendicular ocean, crowned with a diadem of icebergs!
Glorious as was the sight, the sailors were terribly apprehensive of nameless disasters in such monstrous surroundings. It was impossible for them to understand how the ocean roof could remain [43] suspended above us like the vault of heaven. The idea of being able to sail down a tubular ocean, the antechamber of some infernal world, was incomprehensible. We were traversing sea-built corridors, whose oscillating floors and roof remained providentially apart to permit us to explore the mystery beyond.
Mid-day on the 13th of May brought no sight of the sun, but only a deepening twilight, the dim reflection of the bright sky we had left behind. The further we sailed into the gulf the less its diameter grew. When we had penetrated the vast aperture some two hundred and fifty miles, we found the aërial diameter was reduced to about fifty miles, thus forming a conical abyss. We were clearly sailing down a gigantic vortex or gulf of water, and we began to feel a diminishing gravity the further we approached the central abyss.
The cavernous sea was subject to enormous undulations, or tidal waves, either the result of storms in the interior of the earth or mighty adjustments of gravity between the interior and exterior oceans. As we were lifted up upon the crest of an immense tidal wave several of the sailors, as well as the lookout, declared they had seen a flash of light, in the direction of the centre of the earth!
We were all terribly excited at the news, and as the ship was lifted on the crest of the next wave, we saw clearly an orb of flame that lighted up the circling undulations of water with the flush of dawn! We were now between two spectral lights—the faint twilight of the outer sun and the intermittent dawn of some strange source of light in the interior of the earth.
The sailors crowded to the top of both masts and stood upon cross-trees and rigging, wildly anxious to discover the meaning of the strange light and whatever the view from the next crest of waters would reveal.
"What do you think is the source of this strange illumination," I inquired of the captain, "unless it is the radiance of fires in the centre of the earth?"
"It comes from some definite element of fire," said the professor, "the nature of which we will soon discover. It certainly does not belong to the sun, nor can I attribute it to an aurora dependent on solar agency."
"Possibly," said Professor Rackiron, "we are on the threshold of if not the infernal regions at least a supplementary edition[44] of the same. We may be yet presented at court—the court of Mephistopheles."
"You speak idle words, professor," said I. "On the eve of confronting unknown and perhaps terrible consequences you walk blindfold into the desperate chances of our journey with a jest on your lips."
"Pardon me, commander," said he, "I do not jest. Have not the ablest theologians concurred in the statement that hell lies in the centre of the earth, and that the lake of fire and brimstone there sends up its smoke of torment? For aught we know this lurid light is the reflection of the infernal fires."
At this moment a wild cry arose from the sailors. With one voice they shouted:
"The sun! The sun! The sun!"
The Polar King had gained at last the highest horizon or vortex of water, and there, before us, a splendid orb of light hung in the centre of the earth, the source of the rosy flame that welcomed us through the sublime portal of the pole!
As soon as the astonishment consequent on discovering a sun in the interior of the earth had somewhat subsided, we further discovered that the earth was indeed a hollow sphere. It was now as far to the interior as to the exterior surface, thus showing the shell of the earth to be at the pole at least 500 miles in thickness. We were half way to the interior sphere.
Professor Starbottle, who had been investigating the new world with his glass, cried out: "Commander, we are to be particularly congratulated; the whole interior planet is covered with continents and oceans just like the outer sphere!"
"We have discovered an El Dorado," said the captain, with enthusiasm; "if we discover nothing else I will die happy."
"The heaviest elements fall to the centre of all spheres," said Professor Goldrock. "I am certain we shall discover mountains of gold ere we return."
"I think we ought to salute our glorious discovery," said Professor Rackiron. "You see the infernal world isn't nearly so bad a place as we thought it was.""
Et, voici alors notre très modeste traduction :
"Nous avons continué notre voyage dans la semi-obscurité, la proue du navire encore pointée vers le centre de la Terre, tandis que l'étoile polaire brillait dans les cieux extérieurs à l'horizon directement au-dessus de la flèche de la poupe du navire.
Il ne nous paraîssait que nous étions entrain de glisser vers le bas à l'intérieur de la Terre, au contraire, nous avons toujours semblé flotter sur une mer horizontale, et la Terre semblait nous entourer et la caverne polaire, nous engloutissait progressivement. Le spectacle que nous avons contemplé ce jour-là, était indiciblement magnifique. Cinq cents miles au-dessus de nous, s'élevait le tunnel de la mer polaire. Son hémisphère supérieur brillait avec la lumière d'un soleil invisible. Nous étions entourés au dessus de nous de quinze cents miles de l'océan, couronné d'un diadème d'icebergs!
Bien que le spectacle fut glorieux, les marins étaient terriblement inquiets des catastrophes sans nom qui pourraient arriver dans un tel environnement monstrueux. Il était impossible pour eux de comprendre comment l'océan pouvait rester en forme de toit, suspendu au-dessus de nous comme la voûte du ciel. L'idée d'être en mesure de descendre dans un océan tubulaire, antichambre de certains monde infernal, échappait à leur compréhension. Nous suivions des couloirs marins, dont le plancher et le toit oscillaient en demeurant providentiellement de notre progression pour nous permettre d'explorer le mystère au-delà.
le 13 Mai à la mi-journée, on ne vit pas le soleil, mais seulement un crépuscule lointain, comme la réflexion du ciel brillant, nous avions laissé par derrière notre marche. Plus nous avons avancé dans le tunnel, moins son diamètre a augmenté. Quand nous avons pénétré dans l'ouverture vaste quelque deux cent fifty miles, nous avons trouvé le diamètre aérienne a été réduite à une cinquantaine de miles, formant ainsi un cône abîme. Nous avons été clairement navigue sur un vortex géant ou un golfe de l'eau, et nous avons commencé à ressentir une gravité décroissante plus on approchait de l'abîme central.
La mer caverneuse a été soumis à d'énormes ondulations, ou raz de marée, soit le résultat des tempêtes à l'intérieur de la terre ou des ajustements puissants de la gravité entre l'intérieur et l'extérieur des océans. Comme nous avons été élevé sur la crête d'une vague immense marée plusieurs des marins, ainsi que la recherche, a déclaré qu'ils avaient vu un flash de lumière, dans la direction du centre de la terre!
Nous avons tous été terriblement excité à la nouvelles, et que le navire a été porté sur la crête de la vague suivante, nous avons vu clairement une boule de feu qui éclairait les ondulations l'aube! Nous étions maintenant entre deux luminaires, le crépuscule pâle spectral du soleil externe et l'apparition d'une source intermittente étrange de la lumière dans l'intérieur de la Terre.
Les marins entassés au sommet de deux mâts et sur le gréement, follement désireux de découvrir le sens de la lumière étrange et quel que soit ce que le point de vue de la crête suivante, allait révéler.
"Que pensez-vous que puisse être la source de cette illumination étrange," demandai-je au capitaine, "N'est-il est l'éclat du feu régnant au le centre de la Terre?"
"Il vient de quelques éléments précis de feu, dont nous en découvrirons bientôt la nature", dit le professeur ". Cela certainement n'appartient pas au soleil, et je ne peux pas l'attribuer non plus à un contexte venant d'une aurore solaire."
"Peut-être," a déclaré le professeur Rackiron, "Nous sommes sur le point de voir les régions infernales, ou ce qui leur est assimillé. Nous pouvons alors être présenté à la cour de Méphistophélès."
"Vous utilisez des mots vides, professeur»,dis-je. "A la veille d'affronter l' inconnu et vous avancer les yeux bandés en plaisantant, alors que cela peut avoir des conséquences terribles, concernant les chances inespérés de notre voyage. ."
"Pardonnez-moi, commandant," dit-il, "je ne plaisante pas. N'avez-vous pas les déclaration des plus habiles théologiens qui ont pu souscrire au concept que l'enfer se trouve dans le centre de la Terre, et que c'est là que l'étang de feu et de soufre diffuse sa fumée de tourments ? Pour autant que nous puission le savoir, cette lumière sinistre, pourrait être le reflet des feux infernaux. "
En ce moment, un cri sauvage est né des marins et d'une seule voix, on entendit :
"Le soleil! Le soleil! Le soleil!"
Le roi polaire, avait avancé vers l'horizon supérieur du vortex d'eau, et là, devant nous, un astre splendide de lumière était supendu au centre de la Terre, la source de la flamme rose, nous accueillait au travers du portail sublime du pôle !
Dès que l'étonnement dû à la découverte d'un soleil à l'intérieur de la Terre, se fut un peu atténué, nous avons alors découvert que la Terre était en effet une sphère creuse. Ce soleil était maintenant, équidistant des surfaces externes et internes, montrant ainsi que la coque terrestre faisait au niveau du pôle, au moins 500 miles d'épaisseur. Nous étions à mi-chemin dans la sphère intérieure.
Le Professeur Starbottle, qui avait enquêté sur le nouveau monde avec son monocle, s'écria : «Commandant, nous devont d'être particulièrement félicités ; la planète intérieure est couverte avec des continents et des océans, tout comme la sphère extérieure !"
"Nous avons découvert un El Dorado", a déclaré le capitaine, avec enthousiasme, «si nous découvrons rien d'autre, je mourrai heureux."
"Les éléments les plus lourds tombent au centre de toutes les sphères », a déclaré le professeur Goldrock. «Je suis certain que nous allons découvrir des montagnes d'or avant notre retour."
"Je pense que nous devons saluer notre glorieuse découverte," a déclaré le professeur Rackiron. "Vous voyez le monde infernal est loin d'être un endroit aussi négatif, que nous l'avions imaginé.""
Comme vous le voyez ce passage, est empreint
de nombreuses considérations religieuses, qui avaient cours à l'époque, et qui se poursuivent encore de nos jours chez certains penseurs. N'empèche que ce récit, paru en
1892, est
le premier, que nous connaissons actuellement, à présenter
un admirable schéma, montrant
les ouvertures polaires, et surtout l'existence d'un
Soleil au centre de la Terre.
Chapeau donc, à l'auteur de cet ouvrage, pour ce magnifique schéma, et
bravo pour l'inspiration stupéfiante, qu'il a eue à l'époque, pour nous sortir un tel récit .
Mais ce
11/07/2014, poursuivons tout juste un peu, le texte du livre de
William R. Bradshaw, qui a comme on le voit, pu parfaitement s'inspirer
du livre anglais de
Sir Hormidas Peath de
1821 :
Au chapitre XIII, on trouve aussi
par exemple, page 66 :
"The ever-shining sun lent a brilliant effect to the pageant. Our complexions were lighter than those of the Atvatabarese, who were universally of a golden-yellow tint, and it was surprising to see how fair the people appeared, considering that they lived in a land where the sun never sets. None had a complexion darker than a rich chocolate-brown color. This was accounted for by the fact that the light of Swang was not half as intense as that of the outer sun in the tropics. The diminutive size of the luminary counterbalanced its proximity to the surrounding planet. The light that fell upon Atvatabar was warm, genial, glowing, and rosy, imparting to life a delightful sensation...."
Et, voici alors notre très modeste traduction :
"Le soleil a toujours accordé un effet brillant à la reconstitution historique. Nos teints étaient plus légers que celui des habitants d'Atvatabar, qui étaient universellement d'une teinte jaune d'or, et il est surprenant de voir comment les gens semblaient beau, compte tenu du fait qu'ils vivaient dans un pays où le soleil ne se couche jamais. Aucun d'eux n'avait un teint plus foncé que celui d'un veritable brun chocolat. la raison de cela provient du fait que la lumière de Swang n'atteignait pas la moitié de l' intensité que celle du soleil externe dans nos tropiques. La petite taille de l'astre contrebalançait sa proximité à la terre environnante. La lumière qui tombait sur Atvatabar était chaleureuse, cordiale, incandescente, et rose, ce qui confère à la vie une sensation délicieuse..."
Et, il appartient bien sûr,
aux spécialistes des textes anglais, de poursuivre cette analyse, et de nous en dire, aimablement bien plus.
Quelle imagination n'est ce pas !!!. Cependant il y a cette phrase innocente :
"La petite taille de l'astre contrebalançait sa proximité à la terre environnante", qui signifie clairement que, plus
le soleil, est près du sol, plus il y fait chaud,
ce qui est faux. Le site
ARTivision, dans de nombreux articles :
, démontre qu'en réalité
notre soleil est froid, et
sa chaleur et sa lumière, ne sont fonction que de l'épaisseur de l'atmosphère de l'astre, où tombent ses rayons en forme de micro-ondes.
Mais, il y a
un autre croquis, qui est sorti aussi en Angleterre,
6 ans plus tard. et qui se présente tel que :
Cet ouvrage, que nous n'avons pas pu, encore trouver sur le Web, est intitulé en français,
"Le Secret des Pôles", et est paru en
1898. C'est une brochure de
48 pages, dont l'auteur est un certain
Henry Campion. Son traité fut publié à
Birmingham, Angleterre. Donc précédant, les écrivains américains,
William Reed (1906) et
Marshall B. Gardner (1920), cet
Henry Campion écrivait déjà à son époque, que
la Terre était trouée aux deux pôles sud et nord. Citons Campion :
" L'axe de la Terre est complètement vide, et entièrement dépourvu de matière du nord au sud. Il a deux ouvertures complètes, une au Pôle nord, l'autre exactement à son opposé, au pôle sud. Cette terre littéralement complément vide intérieurement d'un pôle à l'autre.."
Bien qu'il ne fasse pas allusion au
Soleil central, c'est tout de même pas mal n'est-ce pas, d'apprendre que l'auteur connaissait déjà à l'époque, en
1898, cette affaire
des ouvertures polaires, alors que nous, nous avons appris
ce fait incroyable, seulement en
1972. On découvre plus de détails, sur l'auteur sur le site :
Mais il y a aussi, ce précurseur nommé
Sir John Leslie (1766-1832), qui lui imagina
bien plus, puisqu'il parle lui,
de deux soleils, nommés :
Pluto et Proserpina, situés
à l'intérieur de la Terre. Voir sur le site :
le passage :
" a Scottish physicist and mathematician, proposed that the earth had a hollow interior containing two suns "Pluto and Proserpina" ."
Cependant chez
Jules Verne, ces
deux soleils, sont devenus
deux planètes :
" puis,
dans la sphère creuse, on imagina l’existence de deux planètes, Pluton et
Proserpine, et un air lumineux par suite de la forte pression qu’il éprouvait. "
Ceci est tiré de l'ouvrage tome 2, de
1866, de
Jules Verne " Voyages et aventures du capitaine Hatteras".
Comment les deux
"soleils" de
Leslie, ont pu devenir
"deux
planètes" chez
Jules
Verne ?
Aux historiens curieux de répondre.
D'ailleurs les internautes qui ont le privilège d'écrire aisément l'anglais, pourraient contacter le Webmaster du site précédent pour en savoir plus, et par exemple essayer de découvrir dans quel livre de
John Leslie, apparaît cette extraordinaire affaire
de deux soleils présents à l'intérieur de la Terre. Voilà déjà ici une avancée très utile qui pourrait être réalisée dans
cette affaire saugrenue.
Mais ce 12/07/2014, nous allons quitter le 19
e siècle, pour présenter très brièvement d'autres schémas apparus au début du 20
e, et en particulier ceux de
William Reed de son livre de 1906 dont voici à nouveau la couverture déjà présentée plus haut :
Bien que les interrogations de
Reed, concernant les problèmes polaires, remontent à plus d'un siècle, certaines, nous interpellent encore vivement.
En page 27, nous trouvons ce superbe schéma :
En page 41, on trouve aussi :
, où
Reed tente d'expliquer le fonctionnement anormal de la boussole, lors du franchissement de l'ouverture polaire nord .
Enfin page 171, on trouve :
Comme vous le voyez
Reed imagine,
une concavité au Pôle Nord, bien plus prononcée que celle que montre notre amusante
pomme artistique, vue dans
Byrd.html :
Passons maintenant aux croquis de
Marshall, B, Gardner de
1920, dans son livre clef
"Voyage à l'intérieur de la Terre" déjà également présenté plus haut :
Et voici à gauche
le célèbre diagramme que
Gardner , qui fut aussi traduit en français à droite, dans l'ouvrage
la Terre creuse de
R. Bernard :
Notez bien que les
2300 km du diamètre de l'ouverture polaire sont tout à fait
aléatoires, car
chose incroyable, ce diamètre varie en fonction de la
"respiration" de la
Terre. Voir à ce sujet,
nos articles clefs :
Mais, il y a désormais
une extraordinaire vidéo, qui circule actuellement sur le Web, et que nous vous invitons
à enregistrer le plus rapidement possible,
car elle pourrait disparaître plutôt magiquement. Elle est encore visible pour l'instant à l'url :
Cette video
( au Canada on dit un vidéo et, nous ne savons pas pourquoi), nous présente un panorama impressionnant de documents allemands laissant croire que
certains Nazis, avaient à la fin de la deuxième guerre mondiale,
utilisé des sous-marins et autres soucoupes volantes, pour
aller se cacher en Antarctique,
et mieux, on dit qu'ils avaient même découvert,
un couloir sous la glace antarctique, pour rejoindre
l'ouvertutre polaire sud..
Avouons que
des infographistes pervers actuels, auraient un mal fou, pour trafiquer des tels documents...
C'est aux
spécialistes de l'allemand et aux historiens, qu'il appartient de
vérifier l'authenticité de ces importants documents. Or, pour ne pas
salir leur petite réputation
sociale,
ils se taisent, lamentablement.
De plus, ces derniers temps,
un autre document incroyable , est apparu sur
le Web :
Grosso modo, cette missive fait état en
1947, des manœuvres à effectuer, par un sous-marin dont le conmmandant était un certain
Heinrich Brodda.. Un des membres d’équipage de ce sous-marin nommé
Karl Unger, a envoyé une lettre en allemand, de confirmation à son ami en Amérique du Sud expliquant ce qu’ils ont fait pour rejoindre l’intérieur de la Terre,
à travers l’entrée sud polaire.
PLONGÉE AU POINT AVEC LES COORDONNEES: exacte intersection: 68 °de latitude sud et 1 ° de longitude est, à une profondeur de 400 mètres Les instructions doivent être strictement suivies! 20 ° port de, plongée à une profondeur de 310 mètres jusqu'à l'entrée de la caverne est atteint. Après le marqueur 310 mètreavec un ballast de proue. Angle d'inclinaison 7 ° jusqu'à 360 mètres. Distance 70 milles marins. Procéder à angle tribord de 31 ° jusqu'à une profondeur de 380 mètres.
Plus clairement, voici une suite plus précise d'instructions :
Instruction U-boote 209
PLONGÉE AU POINT AVEC LES COORDONNEES: exacte intersection:
68 ° de latitude sud et 1 ° de longitude est, à une profondeur de 400 mètres Les instructions doivent être strictement suivies!
Plongez. Du point à la moitié de la vitesse de plongée, avec un angle de 10 ° sur tribord, avec un angle d'inclinaison ballast arc de 5 °.
Distance 188 laboratoires nationaux de métrologie [miles nautiques]. Étant donné la profondeur de 500 mètres. (En raison de la navigation dans un couloir, la pression sur la coque du navire est marginalement.)
2. Emerge. Ballast à l'arrière, angle 23 ° émerger, avec un angle de port de 22 °.190 mètres vers le haut. Distance 75,5 milles marins.
3. Manœuvre difficile! Emerge. Ballast à l'arrière, l'angle émerger 41 °.
Naviguer en ligne droite. 110 mètres vers le haut. Distance 21,5 milles marins.
Après cela, l'angle de 8 ° à tribord jusqu'à débouchant à la surface de la caverne. Distance 81 milles marins.
4. Naviguer à la surface à l'intérieur de la caverne, avec un angle de 8 ° à tribord.Distance 286 milles marins.
5, 6. manœuvre difficile! Dive. Avec un angle d'inclinaison de l'arc de ballast de 45 °.Jusqu'à à une profondeur de 240 mètres, la distance de 60 milles marins. Après cela, avec un angle de 20 ° port de, plongée à une profondeur de 310 mètres jusqu'à l'entrée de la caverne est atteint. Après le marqueur 310 mètres, vous pourrez procéder à plonger avec un ballast de proue. Angle d'inclinaison 7 ° jusqu'à 360 mètres. Distance 70 milles marins. Procéder à angle tribord de 31 ° jusqu'à une profondeur de 380 mètres.
7. Dive. Bow ballast, angle d'inclinaison de 22 °. Emerge 100 mètres avec un angle d'orifice de 26 °. Distance 43 milles marins.
8. Emerge. Ballast Stern. Emerge angle de 45 °, toujours tout droit, jusqu'à débouchant à la surface de l'Agartha. Distance 70 milles marins.
9. Navigation vers Agartha. Pleine vitesse. Naviguer en ligne droite, jusqu'à ce que la nouvelle lumière soitt identifiée. Les variations de pôles magnétiques. Les mouvements de l'aiguille de la boussole et de mesure doivent être ignorés!
(autres instructions dans le paquet n°. 3. Ne pas ouvrir avant d'arriver à Agartha!)
Quel degré de précision que contient tout cela, n'est-ce pas !! Il est vraiment difficile de croire qu'il ne sagit
là, que d'une œuvre d'imagination .
Pour
en savoir plus, prière de consulter
le super site :
Rappelons, que nous avons aussi,
très modestement abordé, il y a
belle lurette, ce sujet
des mouvements Nazis vers l'Antarctique, dans les articles d'
ARTivision, suivants:
Un petit bémol cependant, concerne le passage de cette vidéo, montrant le trou polaire en activité :
Nous pensons alors, s'agit
d'un véritable hoax
, et nous avons écrit pour cela,
au Directeur et ami de la revue
"Top Secret", qui a présenté, rappelons-le, un dossier pointu, sur cette
affaire incroyable de Terre creuse.
Voici une image de la couverture de ce dossier :
Et voici la réponse du Directeur de la revue en question :
From: Roch Saüquere
To: 'Fred IDYLLE'
Sent: Thursday, October 15, 2009 9:03 PM
Subject: RE: Du nouveau important sur ARTivision.
Cher Fred,
Je pense en effet que cette vidéo est bidon à 98% de chance ...
Les effets de flammes sont trop réguliers. C'est à mon avis un habile montage.
Si l'on compare la zone avec ce que l'on voit sur les pôles des autres planètes, ça n'a pas grand-chose à voir.
En outre les navettes et l'ISS, ne peuvent pas se rendre si près des pôles à si basse altitude.
Vive amitié mon Fred !!!!!
A+
Roch Saüquere.
http://www.topsecret.fr
L'aventure continue, le meilleur est encore à venir.
Fin de citation.
Mais, sur la vidéo fantastique en question, on découvre surtout des
schémas étonnants, que nous ne savons pas,
hélas, explorer :
Merci mille fois, à l'internaute qui aurait des lumières là-dessus. Même topo pour
ce curieux croquis, venant parait-il du
Tibet , aussi bien inexplicable pour nous :
Enfin, terminons par
ce splendide et très connu schéma, dont nous n'avons toujours pas de légende explicative :
On aperçoit cependant, clairement,
des tunnels qui permettent
(en dehors des ouvertures polaires), de pénétrer à l'intérieur de
la Terre, mais, on s'imagine aisément, que
les entrées de ces tunnels, doivent
être parfaitement camouflées, aux yeux du commun des mortels...
Finalement, il serait étonnant que
tous ces croquis, n'aient pas
un dénominateur commun, et qu'en
fin de compte, ils puissent être
sous-jacents, à l'existence
d'une Vérité inouïe que l'on cache depuis des lustres, au monde entier...
A bon entendeur...salut.
Mais,
le novice ingénu, qui entre pour la première fois dans le site
ARTivision, justement en consultant cet article
a encore le droit d'être très sceptique sur tout cela, qui,
contredit totalement ce qui est enseigné dans nos écoles et nos universités.
Mais pour avancer dans une meilleure compréhension de
cette curieuse affaire des ouvertures polaires, et de la Terre creuse,
le novice en question, doit aussi savoir que
l'amiral Richard Evelyn BYRD, dont on voit
les superbes photos, dans la vidéo en question :
a été effectivement parfaitement impliqué dans
ce contexte polaire étrange et le site
ARTivision a été
le premier sur le Web français, à en montrer les preuves incontournables .
Rappelons
au novice, que l'amiral
Richard Evelyn BYRD, était
Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences, et possèdait de
très noubreuses autres distinctions, qui en fit l'un des citoyens
le plus titré des USA. Il a quitté ce monde, au soir du
11 Mars 1957, à
68 ans.
En effet chrolologiquement parlant, voici d'abord un entreflet du
"Miami Daily News", du
25 Juin 1926, placé pour les puristes à
l'url suivant :
,
et article,
(restructuré en
d'autres colonnes par nos soins) :
On pourrait déjà traduire
le titre
grosso modo, par :
"Ovation
rendue à Byrd par la foule, à son retour au bercail
".
Avant de sortir nos
dictionnaires et de demander à certains traducteurs automatiques du Web, de nous aider à mettre en français, au moins les deux premières colonnes, de l'image précédente, jetons un petit coup d'œil,
pour bien situer le contexte de l'époque,
(et pour les internautes qui n'ont pas beaucoup d'affinités avec la langue anglaise), sur deux articles, que nous avons aussi pu découvrir, au sujet de
Byrd :
D'abord à
l'url :
On note alors d'abord que
cette information vient de l'Agence
"International News Service"(INS) qui n'est pas la même que l'agence du texte anglais
l'Associated Press.
Puis voyons aussi
l'url suivant :
qui, avec une
restructuration des colonnes par
ARTivision donne :
Concernant ce texte en français, il ne vient pas, comme on pourrait le croire du
Canada. En effet c'est le
22/07/2013, que nous sommes tombés sur ce texte en Français
(chose très rare) venant du contexte de
http://news.google.ca/newspapers? et imprimé à l'époque dans la ville
Woonsocket des USA. il faut savoir alors que
Woonsocket, est une ville industrielle de l'Etat du
Rhode Island, qui comptait,
en 1932,
40 000 Français sur 50 000 habitants, en majorité des émigrés canadiens. Ils définissaient leur ville comme
"La ville la plus française aux États-Unis". Ce journal fut édité de
1900 à 1934, et fut suivi de
1935 à 1942 par
"l'Indépendant", également en français.
Après ce survol du contexte de l'époque, revenons à
Byrd qui a alors exprimé
cette incroyable déclaration, que nous avons soulignée en rouge plus haut dans l'article du
"Miami Daily News" du
25 Juin 1926, et qui est telle que :
Soit donc :
"
There is land in a vicinity of the Nord Pole "
, in the belief of Commander
Byrd.
"
There might be land in there
somewhere, and I think there is"
. Byrd said after telling that his search of the icy span below
the machine failed to reveal any sign of life.
Pour bien cibler,
le problème qui se pose, demandons d'abord au traducteur en ligne
SYLTRAN placé à :
de nous traduire ces deux phrases en rouge :
On a alors :
"Il y a terre dans une proximité du Pôle Nord",
dans la croyance de commandant Byrd.
"Il pourrait y avoir terre dedans là quelque part, et je pense qu'il y a".
Byrd a dit après avoir dit que sa recherche de l'envergure glaciale au-dessous de la machine n'a pas indiqué n'importe quel signe de vie.
Bien que nous sachions que les traductions en ligne, méritent toujours quelques rectifications, nous voyons que ce traducteur
Syltran, n'a su traduire le mot
land, qui n'est pas ici précédé par un article, ou qui n'est pas écrit au pluriel
(Lands). Ce traducteur, pour la première phrase, aurait dû écrire au moins,
"Il y a des terres dans une proximité du Pôle Nord", ou encore
"Il y a une terre, dans une proximité du Pôle Nord".
Mais quelle est donc la bonne traduction ? Comment choisir ? Il s'agit bien ici de ce que l'on pourrait appelé un
" Dilemme lexical..."
Avançons alors progressivement, vers une solution de
cette incroyable énigme.
Nous avons en mains, trois dictionnaires qui disent que l'on peut traduire
land par
terre (sol), par
terrains, par
terres (biens propriétés et ici, il semble qu'il ne s'agit pas du tout, de cela), et enfin par
pays.
Mais, allons plus loin en digitalisant pour
les puristes, d'abord les deux premières colonnes du texte du
"Miami Daily News" en question, et laissons
aux spécialistes de l'anglais, le soin d'obtenir pour le tout, une bien meilleure traduction que nous pourrions en élaborer.
Voici déjà, la portion digitalisée du texte :
"RICHMOND,-Va, June 25. -
((AP) - Commander Richard
Evelyn Byrd, Virginia's modern hero, first to cross the north pole in
an airplane, came home last night to receive the greatest ovation the old
Dominion has accorded a son in many years.
Several thousand persons jammed the
railway station were the Richmond 1ight Infantry Blues and Richmond Howitzers
formed a military escort for the returning conqueror. Gov. Harry Flood Byrd, a
brother, led the official welcoming delegation.
To thousands who filled the
city auditorium, Commander Byrd recounted his adventures in the frozen north. He
painted a word picture of his flight from Spitzenbergen to the top of the world,
while on a screen, before the home folks' eyes, scenes of his exploits and
labors were flashed.
"There are the ones to whom the credit is due", he said several times as pictures showed, his comrades engaged in the hazardous
task of floating the huge Fokker airplane on a raft through the ice floes. He
also was lavish in his praise of Floyd Bennet
another Virginian, who piloted the airplane on the trip to the North
Pole.
John
Stewart Bryan, publisher of the News-Leader, introduced the
Commander by recalling the exploits of the Byrd family. It was William Byrd who founded the tobacco industry in
Virginia, he said, and William Byrd II,
who chose the sites of Richmond and
Petersburg.
"One
of the greatest miracles of all time was the flight to the pole by this
descendants of the Virginia pioneer heroes," Mr. Bryan
declared.
The story of "America' s polar triumph" was unfolded by
Commander Byrd in a detailed public description of the first f1ight to the north
pole. The Arctic explorer was at home in the land he declared "The most wonderful event,
made", and in the city founded by his ancestor, William
Byrd.
One of the largest crowds ever
gathered under a roof in Richmond cheered the young Virginian. More than 4.500
persons jammed city auditorium, while nearly 2.000 stood outside and heard his
voice carried by loud speaker. His address was under auspices of Richmond News
Leader.
"
There is land in a vicinity of the Nord Pole "
, in the belief of Commander Byrd.
"
There might be land is there
somewhere, and I think there is"
. Byrd said after telling that his search of the icy span below
the machine failed to reveal any sign of
life.
Home among the people he knew Byrd
grew intimate in his description of the flight. It was "we" as the naval officier told of the hardships of the
expedition, the preparation for which he characterised as the worst of the
job".
Fin de
l'extrait anglais.
Voici maintenant la traduction de Google
translate.google.fr, arrangée bien sûr par
ARTivision du texte en question, en notant bien que google a traduit
"land" par
"terres"
"Commandant Richard Evelyn Byrd, héros moderne de la Virginie,le
premier à traverser le pôle Nord dans un avion, est rentré hier soir au bercail
et a reçu la plus grande ovation, que la vieille Dominion, ait accordé à un fils depuis
de nombreuses années .
Plusieurs milliers
de personnes s'entassèrent à la gare quand le Richmond
1ight infantry Blues et le Richmond Howitzers formént une
escorte militaire pour le vainqueur du Pôle. Le gouverneur Harry Flood Byrd, un frère, a conduit la délégation
officielle de bienvenue.
Pour des milliers
qui ont rempli l'auditorium de la ville , le commandant Byrd a raconté ses
aventures dans le Grand Nord. Il a peint une image de mot de son vol de
Spitzenbergen au sommet du monde, tandis que sur un écran, sous les yeux des
gens de la maison, des scènes de ses exploits et de ses travaux ont été
projetées.
"
Il y a ceux à qui le crédit est dû" ,
a-t-il dit à plusieurs reprises alors que les images étaient montrées, ses
camarades engagés dans la tâche dangereuse de faire flotter l'énorme avion
Fokker sur un radeau à travers la banquise. Il adressa aussi un grand éloge à
Floyd Bennet un autre citoyen de la
Virginie, qui a piloté l' avion lors du voyage au Pôle Nord.
John Stewart
Bryan, éditeur du " News Ledear", a présenté le commandant en
rappelant les exploits de la famille Byrd . C'était William Byrd qui a fondé l'industrie du tabac en
Virginie, dit-il, et William Byrd II, qui a
choisi les sites de Richmond et de Petersburg.
"Un des plus grands miracles de tous les temps a été ce vol au pôle par ce descendant des pionniers héros de la
Virginie ", a déclaré M. Bryan.
L'histoire du "triomphe polaire de l'Amérique'', a été présentée en détail publiquement par le commandant Byrd, au
sujet du premier vol vers le Pôle Nord . L' explorateur de l'Arctique de reour au
bercail, a déclaré: "L'événement le plus merveilleux, a été réalisé", et cela a été dit dans la ville fondée par son ancêtre, William
Byrd .
Une des plus grandes foules jamais réunie, sous un même toit à Richmond, acclamèrent le jeune Virginien
. Plus de 4.500 personnes envahirent l'auditorium , tandis que près de 2 000
étaient dehors et ont entendu sa voix, portée par haut-parleur. Le commanditaire fut le "Richmond News Leader".
" Il y a des terres au voisinage du pôle
Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.
"Il pourrait y avoir des terres, là quelque part, et je pense qu'il en est ainsi",
affirma Byrd, après avoir dit que sa traversée de l'étendue de glace en dessous
de la machine, n'a révélé aucun signe de vie.
Au sein des gens qu'il
connaissait, Byrd a poursuivi en détail la description de son vol. C'était à
"nous", en tant qu'officier de la Marine, de décrire les difficultés de
l'expédition, et de sa préparation, qualifiée de la pire, qu'il soit. "
Fin de la traduction de l'extrait.
Vous avez donc bien noté, nous l'espérons, que
Google, nous propose pour la traduction de la première phrase en rouge :
" Il y a des terres au voisinage du pôle Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.
Mais
les éternels zélés ou zététiques
détracteurs, embarassés par
cette affaire de Terres en pleine zone froide et
glacée et désertique, nous diront évidemment qu'il fallait traduire
plutôt
" Il y a de la place
dans le voisinage du Pôle Nord",
etc....
Mais là,
ils ne nous apprennent absolument rien car chacun sait que la superficie de la zone polaire nord, à l'intérieur du
cercle arctique (latitude 66° 33'N), est immense et fait plusieurs fois la France, et donc par conséquent, il existe, on le sait effectivement,
de vastes étendues autour du pôle Nord, et il en résulte que
l'explorateur Byrd, n'
aurait absolument pas fait allusion ici à
cette notoire acception, s'il ne voulait pas passer aux yeux de ses interlocutueurs pour un vrai
débile mental.
Non, il y a pour sûr,
autre chose, à prendre en considération dans cette affaire.
On doit alors se poser la question de savoir, si
Byrd a effectué, une autre expédition au
Pôle Nord ?
Nous n'avons encore rien trouvé, sur le super site de Google déjà présenté venant du contexte de
http://news.google.ca/newspapers? .
Mais cependant, nous avons trouvé sur le site :
, ce paragraphe
très significatif :
"En 1947, avant d'entamer une nouvelle mission dans l'Arctique, Byrd dira à la presse : "J'aimerais voir ce pays derrière le pôle (Nord). Cet endroit est le centre du Grand Inconnu". Selon les sources officielles, l'expédition fit un vol de sept heures, ce jour du 19 février 1947. Mais, étrangement, lui qui aimait parler de ses exploits à la presse, ne dit mot à quiconque de son voyage, cette fois-là. D'ailleurs, son comportement changea singulièrement à partir de cette date et pratiquement aucune information ne filtra.
C'est chose acquise aujourd'hui, le Pentagone le mit au secret militaire et lui confisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui fut interdit de s'exprimer en public. Le doute plana sur cette histoire pendant près d'un demi-siècle et c'est finalement à la fin des années 1990 que ressurgit le fameux carnet de vol."
Hélas, nous ne pouvons pour l'instant confirmer ce paragraphe n'ayant encore pas pu mettre la main sur
un document officiel, qui le prouve.
Mais comme nous avons eu l'heureuse opportunité de tomber sur ce superbe entrefillet du
"Miami Daily News", en date du
25/06/1926, nous avons pensé alors, que
d'autres journaux devraient également parler, de cette information de l'Agence
"Associated Press", autour de la même date
.
C'est ainsi que le
13/06/2013, nous sommes
tombés en page 6, à l'url suivant :
,
sur cet entrefilet de l'
Evening
Tribune, en date du
24 Juin
1926:
On apprend alors
ici , que l'expédition
de Byrd au
Pôle Nord, a eu lieu le
9 Mai 1926. On sait d'ailleurs qu'une
polémique a eu lieu plus tard, au sujet de cette expédition.
(voir notre article :
D'autre
part, et
cela est très
regrettable, on voit que, les phrases clefs déjà présentées :
, ne sont plus
du tout mentionnées dans le texte en question. Autrement dit, une
information capitale venant l'Agence
"Associated Press", qui intéresse
l'humanité
entière, et qui a trait
à la composition
interne de notre planète, et même sans doute
à la structure de notre système solaire , a
été escamotée purement et simplement, par des responsables inconscients
et ignares de la diffusion de l'information dans leur région
( Mais évidemment ces responsables ne pouvaient le savoir
à l'époque). Ceci est bien la preuve que de nombreux textes,
nous venant du Passé, ont été
trafiqués
selon l'humeur et la droiture des
transmetteurs, et par exemble, nous l'avons déjà écrit ailleurs,
nos Textes dits Sacrés, sur lesquels, on a fondé
toute notre civilisation
judéo-chrétienne, et une
grande
partie de nos lois actuelles, ont
été aussi, manipulés et trafiqués à profusion.
A
bon entendeur salut ...
Mais
pour
ARTivision, compte-tenu des très
nombreuses autres déclarations de
Byrd, qui vont suivre, nous pensons alors que
notre traduction, des phrases en rouge précédentes devrait être plus précisément :
" Il y a une terre, dans le voisinage du Pôle Nord
" comme le croit le commandant
Byrd.
" Il pourrait y avoir une terre
quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".
Ce sera alors aux spécialistes de la langue de
Shakespeare, de donner leur avis...quand ils auront pris connaissance des incroyables documents que nous allons présenter ci-dessous.
Mais ce 14 Juillet 2014,
les éternels zélés ou zététiques
détracteurs, embarassés par cette affaire génante d'article absent des phrases
de Byrd du
"Miami Daily News", du
25 Juin 1926, nous diront évidemment pour noyer le poisson :
" Vous faites une fixation dérisoire sur cette affaire d'article manquant, qui n'est, en fin de compte, qu'une faute de frappe ou une coquille, de l'imprimeur du journal ".
Ces détracteurs, oublient que le site
ARTivision, a
toujours en réserve des documents incontournables, prouvant ses extrordinaires affirmations :
Donc, nous allons démontrer ici que
"cette affaire faute de frappe ou de coquille", est
nulle et non avenue ...
En effet, le
Jeudi 16 Mars 2006, nous avons reçu des USA ce pli:
où, se trouvait un entrefilet du
"San Francisco Chronicle", daté du
18 Novembre 1930, confirmant que l'explorateur
Sir George Hubert Wilkins, avait bien découvert
une terre nouvelle,
en Antarctique:
Et en fin de colonne, nous découvrons bien
la petite phrase hors norme suivante :
"He made the first airplane flight in the Antarctic in 1928 and he was the first to discover new land from an airplaine", que nous pourrions traduire par
"Il réalisa le premier vol en aéroplane dans l'Antarctique en 1928, et il fut ainsi, le premier à découvrir une nouvelle terre ".
Notons que pour éviter les répétitions, nous avons traduit
" from an aeroplane", simplement par
"ainsi ".
Mais comme ce qui précède, analysons voulez-vous, cette affaire de
new land sans article. Si le terme était au pluriel
(new lands) certains détracteurs, on le sait, diraient vite qu'il s'agit de kilomètres carrés de banquise et de déserts neigeux qui sont effectivement des terres vides et inexploitées. Mais le journaliste, dit
"to discover new land". Comme cela aurait été plus clair, s'il avait écrit :
"to discover a new land". N'empêche que nous sommes ici invités à traduire
"à decouvrir une terre nouvelle" en gardant l'article qui pose problème. Et on ne peut alors que se demander, comment peut-il exister
une terre nouvelle, dans une région toujours glacée et neigeuse à perte de vue, et où la température descend souvent en-dessous de 50 degrés C ?
Donc il semblerait que, de
1926 à
1930,
deux rédactions de journaux différents, utilisent
la même expression bancale ( sans article). Vous ne trouvez pas cela bizarre ?
D'autant que l'on retrouve
le même son de cloche sur le
Sarasota Herald de
Floride , du
31 Décembre 1930:
Traduisons,
à peu près, le contexte de l'image précédente :
Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7
Wilkins trouve, une terre inconnue.
MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)
Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.
A cet effet, le service radio gouvernemental annonça la réception d'un messagge en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.
Comme on le voit, il manque encore ici l'article devant
"unknow land" Dommage, mais en français, nous sommes obligés de placer l'article
"une", devant
"terre inconnue". Aux spécialistes de la langue anglaise de nous expliquer une fois plus, cela .
Mais pour les toujours réfactaires détracteurs, il y a encore ceci venant de cet entrefilet du
"Berkeley Daily Gazette", en date du
18 Novembre 1930 page 10, qui nous est tombé sous la main le
09/06/2013 au soir, et dont voici d'abord
l'url :
On retrouve alors dans cet entrefilet,
la même phrase ambigüe sans l' article clef :
"...and he was the first to discover new land, from an airplane", ce qui prouve que cette absence de l'article en amglais
"a", vient,
selon nous, directement
des reporters de l'Agence de Presse en question; (Agence hélas non mentionnée ici).
Mais, en plus, on y apprend que
Willkins fut
" ..the first man to attempt to go under the ice of the North Pole in a submarine..." " le premier homme à tenter de pénétrer sous le Pôle Nord, à l'aide d'un sous-marin". Pour en savoir plus sur les péripéties dramatiques de cette affaire, prière de consulter notre article :
Finalement, nous ne pouvons ici de même traduire la phrase anglaise :
"...and he was the first to discover new land, from an airplane", que par ceci
"le premier à découvrir par avion une terre nouvelle", en gardant l'article qui pose problème, et en invitant les spécialistes de l'anglais de nous donner leur précieux avis.
Reste à savoir,
(nous l'avons déjà exprimé), comment il peut exister
une terre nouvelle
dans cette zone terrestre glacée de
l'Antarctique, couverte de neige à profusion, et où
la température, tourne régulièrement autour de -50 °, ou même moins.
Mais, il faut aussi savoir que dans notre article :
, nous avions écrit, ceci :
" ..., et en particulier les déclarations insolites (nous dit le scientifique de l'époque, Giannini voir notre article FlashbacktotheveryimportantGiannini'sreports.html ) de l'amiral Byrd, et aussi et surtout, la découverte extraordinaire faite en 1928 par Sir George Hubert Wilkins, et découverte qui s'attache à l'exploration de l'Antarctique ". Donc, ce qui précède semble confirmer au moins,
en partie, l'affirmation de
"F Amedeo Giannini", quand il dira que :
"le Capitaine Sir George Hubert Wilkins, aurait fait une importante découverte, le 12 Décembre 1928, dans l'Antarctique", et surtout que
"les organes de presse montrèrent des photographies de l'explorateur australien"...
Alors Messieurs
les journalistes blasés, vous qui cherchiez,
un très bon scoop, filez vite aux USA, pour retrouver les précieux dossiers
d'A. Giannini, dont voici, une
très rare silhouette :
et, si vous y trouvez
les références de la précédente déclaration de Giannini alors,
vous aurez gagné bien plus, que le Gros lot.
A vous donc, une fois de plus, de juger tout cela, documents à l'appui.
En effet, ce 16/07/2014, pour mieux cerner
cette incroyable déclaration, concernant cette découverte du
Sir George Hubert Wilkins, il conviendrait d'abord de consulter
le point de départ de cette
ahurissante affaire, qui se trouve dans le livre
hors normes, paru en
1959,
( hélas non encore traduit en français), et intitulé :
"Mondes au-delà des Pôles", du sieur
" Amedeo Giannini " , dont on a vu, la photo ci-dessus :
On doit alors savoir d'abord, que
Giannini était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Voici une silhouette de lui :
Notons en passant, que nous avons parlé longuement de cet
Amedeo Giannini dans nos articles suivants :
Précisons cependant, avant de poursuivre
que nous ne souscrivons pas du tout, à la théorie
fantasmagorique de
Giannini qui, pour expliquer ses découvertes, a élaboré, à l'époque
l'incroyable hypothèse, qui voulait que la
Terre soit collée par les pôles, à un univers parallèle bien réel, et que cet univers serait
lui-même, en relation avec un autre, et que cela
se poursuivrait ainsi à l'infini ...Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de
continuité physique de l'Univers.
Giannini, n'a, à aucun moment imaginé que
la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait
deux ouvertures aux pôles, permettant d'accéder, à son intérieur.
Mais, il s'avère cependant que
les prémices des recherches de Giannini,
( qui semblait recevoir, des infos sensibles de ses amis militaires), qui sont à l'origine de son extravagante théorie, sont les mêmes qui s'articulent au départ
de la théorie " des ouvertures polaires et de la Terre creuse", mise en exergue par
ARTivision , dès
Septembre 2000, et théorie qui s'est poursuivie jusquà ce jour, dans près de
90 articles sur le sujet :
Il est aussi à noter, le site de synthèse :
Mais, il y a aussi la page que nous avons mise en couleurs et qui fut traduite de l'anglais, placée dès le 26/04/04 à :
Mais, avant de poursuivre notre propos ce jour, disons que nous avons été particulièrement heureux de recevoir, de notre bonne amie Nicole, la missive suivante, dont nous vous présentons seulement, le début :
From: Nicole
To: fred.idylle
Sent: Tuesday, July 15, 2014 2:21 AM
Subject: There is a land ...
Bonsoir Cher Fred,
Concernant la phrase ci-dessus, vous avez parfaitement raison de la traduire par:" il y a une terre "... C'est une erreur de le traduire par: " il y a des terres" .En effet pour 2 raisons :
a) Si Byrd voulait mettre le pluriel, il aurait ajouté un "s" (lands), ce qu'il n'a pas fait.
b) D'autre part, n'oublions pas que Byrd est essentiellement un marin, et sur les bateaux quand la vigie crie "Terre", en anglais ils disent "Land" tout court. C'est donc son langage de marin, sinon il aurait utilisé, une autre terminologie. Land est un mot tres complexe, car il a beaucoup de sens : terre, terrain, propriete, nation etc.. Land veut aussi dire Terre habitable. C'est donc le mot juste, qui traduit son sentiment. On pourrait aussi dire : "il existerait un autre monde dans le voisinage du Pole "... et c'est ce qu'il veut dire. Cette phrase ne doit pas être sortie de son contexte, à l'époque à laquelle, elle a été dite. Toute autre phraséologie serait inexacte. Le problème avec les traductions est qu'on est souvent obligé de paraphraser lorsqu'il s'agit de l'anglais, notre vocabulaire est trop riche et leur langue plutot pauvre, ce qui conduit souvent à des erreurs d'interprétation, l'essentiel étant de remettre les évènements à leur place, et surtout de bien cerner la pensée et la personnalité de celui qui parle . Le "mot à mot", ne convient absolument pas et c'est pourquoi les traducteurs automatiques sont toujours sujets à caution. La traduction fait partie d'un processus de pensée et les robots peuvent traduire, mais certainement pas encore penser....
Fin de citation d'une portion de la missive de Nicole.
Nous ne pouvons que nous rejouir, de cette superbe réponse de Nicole, à notre propos souvent exprimé, tel que : " ..laissons aux spécialistes de l'anglais, le soin d'obtenir pour le tout, une bien meilleure traduction que nous pourrions en élaborer".
Mais chemin faisant, présentons maintenant ici, une certaine digression :
Concernant également l'épopée de Byrd au Pôle Nord le 9 Mai 1926, voici alors, un entrefillet du Miami Daily News du 10 Mai 1926, à l'url suivant :
, et entrefilet, restructuré par nos soins, en d'autres colonnes, que celles présentées sur deux pages par journal en question :
Bien sûr, nous laissons aux spécialistes de la langue de Shakespeare, le soin de sortir une traduction convenable en partant de l'url (car les caractères de notre image sont trop petits), de ce long texte dédié à l'exploit de Byrd, et contentons nous, modestement de ces paragraphes dont certains passages sont soulignés en rouge :
Où, l'on pourrait lire : " Vijhalmar Stefansson, explorateur vétéran de l'Arctique a ici déclaré, que le compte-rendu du commandant Byrd, relatif à son vol, sera très fructueux.
L'exploit de Byrd est considéré par Stefansson, comme ouvrant la voie à son plus important et ambitieux vol vers le nord-ouest de la "Peary Land", dans le but de rechercher une terre inconnue .
Deux expéditions polaires russes sont sur le point de s'élancer là, une autre française avec des avions et des traîneaux à chiens, se mettra en route bientôt, tandis que le lieutenant Leigh Wade, un globe-trotter mondial aviateur américain conduira une expédition des Universités américaines au dessus du pôle, dans le but de découvrir une route courte entre Londres et Tokio.
Le Capitaine George H. Wilkins de l'expédition polaire de Detroit qui est à la rechrerche de terres nouvelles, s'envolera au dessus des dangereuses montagnes Endicott, à 300 milles de Port Barow en Alaska.
Le Lieutenant Flaissen, un norvégien envisage un vol polaire
et le Dr Hugo Eckener, un allemand pense à un vol en dirigeable. "
Oh La, la.., il semble qu'en douce, on se bousculait à l'époque, au portillon de la zone polaire Nord.
Vous avez bien lu, nous l'espérons que l'explorateur Stefansson, parle ouvertement d'une terre inconnue , qui subsiste dans la région, et plus bas, nous découvrons aussi que le fameux Capitaine George H. Wilkins, déjà largement présenté plus haut, est encore ici crédité du fait, qu'il est bien à la recherche de terres nouvelles, (notez bien le pluriel), en pleine zone polaire nord, alors que nous avons vu plus haut, qu'en Nov 1926, il fut, concernant l'Antarctique : "the first to discover new land, from an airplane", et donc qu'il fut "le premier à découvrir par avion une terre nouvelle" .
Si cette affaire de Terres nouvelles à découvrir, ne fait ni chaud, ni froid à certains détracteurs, c'est leur problème, mais le site ARTivision, lui, poursuivra inlassablement sa quête sur cette affaire, jusqu'à ce que la vérité se fasse jour d'une manière tout à fait éclatante.
Mais pendant que nous y sommes, donnons aussi quelques informations sur Vijhalmar Stefansson, un explorateur canadien des régions polaires du nord (1879-1972), voir le site :http://en.wikipedia.org/wiki/Vilhjalmur_Stefansson
Cependant, il y a, dans notre article :
, ceci :
"Quand les Ages Sombres furent passés, le Groenland fut redécouvert, avec l’établissement de la 1ère implantation moderne de Hans Egede, en 1721. Tout ce qui pouvait être retrouvé des pionniers Viking fut des ruines et des animaux. Même l’auteur Vilhajalmur Stefansson, qui traite de l’Arctique dans son livre "UNSOLVED MYSTERIES OF THE ARCTIC" ,
, a conclu que la disparition de la colonie Viking, était un mystère. Les colons Viking ont apparemment migré de plus en plus au nord où ils chassaient et pêchaient plus facilement, jusqu’à ce qu’ils disparurent."
Puis, à notre article Thalasso, déjà présenté plus haut, et placé à :
On trouve alors, concernant Wilkins :
" En 1910, Wilkins, va être initié aux expéditions polaires par le grand explorateur Stefansson (Note du Webmaster. cette expédition se prolongea jusqu'en 1913. Plus tard dans l'Antarctique, il fut le compagnon de Shackeleton (1921-1922): Dictionnaire de exporations Larousse 1966). Il est embarqué comme caméraman dans la plus ambitieuse et la plus chère campagne en Arctique, jamais organisée, à la recherche d'un continent cachée dans les glaces du pôle Nord. 8000 km parcourus pendant trois ans sur l'océan gélé. Onze membres de l'équipage y laisseront leur vie ".
Vous avez bien noté là, que l'on oublie de parler du climat, pour révéler cette chose incroyable que l'expédition était à la recherche "d'un continent caché" , dans cette région polaire, où règnent pourtant un froid intense et des étendues à perte de vue de neige et de glace. Nous aimerions évidemment en savoir bien plus sur ce "continent caché", sur l'origine de cette appellation, sur les auteurs qui en ont fait état, etc...Mais, maheureusement (pas pour nous, mais pour les reporters de Thalassa, qui ont là, également loupé le coche), rien de tout cela, ne nous sera révélé, tant soit peu.
Fin de la digression en question .
Et que celui qui sait lire, ce qui apparaît clairement entre ces lignes... en tire éventuellement les conclusions qui s'imposent... et surtout, le besoin d'en savoir plus.
Mais, revenons maintenant à l'épopée de l'explorateur Byrd, qui après le Pôle Nord en 1926, s'est attaqué au Pôle Sud en 1929. Nous avons donc de très nombreux entrefilets amércains qui nous en parlent, et pour les puristes, en voici un en anglais, qui est le premier volet de 6 pages :
Cependant, ici à aucun moment, Byrd ne présente ici, ( même dans les 6 pages) , une déclaration insolite, sur des découvertes de terres inconnues, qu'il aurait aperçues, à ce moment-là.
En français, on trouve aussi la Tribune du 30 Nov. 1929, et Le Devoir aussi du 30 Nov. 1929 :
Là non plus, aucune révélation d'une contrée inconnue n'est faite.
Cependant, il nous reste l'extraordinaire témoignage, de Madame Emily Ingram, relevé par l'écrivain célèbre Charles Berlitz (auteur du "Triangle des Bermudes", et qui ne semble pas pourtant, vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement). Il nous transmet, aux pages 164 et suivantes de son livre : "Sans Trace ", publié chez Flammarion en 1978, un récit stupéfiant, qui relate, l'aventure inouïe de l'amiral Byrd en 1929, lors de son survol du Pôle Sud :
Mais voyons donc ce récit incroyable:
" Une curieuse légende s'est instaurée à la suite du survol du pôle sud par l'amiral Richard E. Byrd en 1929 . Elle a trait à un
rapport radio qu'aurait lancé l'amiral Richard E. Byrd depuis son avion -
rapport tellement incroyable qu'on préféra le taire officiellement
- sur l'observation à laquelle il se serait livré dans les parages
du pôle. Au cours de son vol, qui simultanément faisait l'objet
d'un reportage radio, il émergea soudain d'un banc de brume et
se retrouva en train de survoler une terre sans glace où il fut à
même de distinguer de la végétation, des lacs, des animaux ressemblant à des mammouths ou à d'énormes buffles ainsi que des humains qui semblaient les garder. D'après certains chercheurs, spécialisés dans les domaines de la zoologie et de
l'exploration. qui s'efforcèrent d'élucider ce rapport, la transmission fut interrompue et les parties de ce reportage qui avaient
trait à ce phénomène insolite furent par la suite supprimées. Cependant, la croyance populaire en ce curieux rapport se
trouva ultérieurement renforcée par les phrases bizarres de l'amiral Byrd quant à "cette terre au-delà du pôle... centre du
grand inconnu... ", et une remarque encore plus étrange, proférée
en 1957, ayant trait à ce "continent enchanté dans le ciel, terre
d'éternel mystère"...
Le fait que bien des gens semblent se rappeler, ou croient se
rappeler, l'émission tronquée apporte un mystère au cœur du
mystère, non seulement sur la question de savoir ce que l'amiral
Byrd a vu ou était censé avoir vu, mais aussi sur ce qu'il est
advenu de son rapport initial ainsi que de la brochurc écrite par lui, comprenant moins de cent pages. dans laquelle il narrait son aventure et qui disparut des bibliothèques et des collections en dépit du fait que, comme dans le cas de l'émission, nombre de personnes prétendent avoir eu connaissance de cet opuscule.
La recherche de témoins auditeurs concernant cette émission controversée et presque légendaire est évidemment très difficile puisque tant de gens se la rappellent mais que si peu en ont un souvenir précis. A l'occasion de cette enquête, nous avons été particulièrement heureux d'enregistrer le témoignage d' Emily Ingram de Miami, journaliste judiciaire dont la profession a
exercé la mémoire, a qui lui permet de se montrer très précise
en évoquant les événements passés. Emily Ingram est une femme
vive, à la nature enjouée, douée du sens de l'humour, qui
poursuit avec brio sa carrière de journaliste. Le souvenir qu'elle
garde du reportage de Byrd lors de son survol du pôle sud
remonte à 1929, mais elle ne se rappelle pas moins l'incident de
façon fort détaillée :
"Nous habitions Boston à cette époque et mon père avait
récemment acheté, un nouveau poste de T.S.F, qui comportait un
haut-parleur en plus du casque d'écoute. L'amplificateur était
encastré dans le mur et tout l'appareillage nécessitait une grande
antenne. Je m'en souviens très bien parce que mon père tomba
du toit en l'installant, mais il n'en réunit pas moins à faire
fonctionner le poste.
Ma mère s'intéressait particulièrement au reportage de l'amiral Byrd. On avait annoncé qu'il devait suivre le 70e parallèle
jusqu'au-dessus du pôle et qu'il émettrait pendant le vol. Une
fois le poste branché sur la station (un relais dc Boston) le haut-parleur commença à nous distiller l'émission. Il y eut beaucoup
de parasites, puis la voix de l'amiral Byrd nous parvint. Au
début, ce fut un récit classique, décrivant le survol des champs de
neige et de glace. Puis, les parasites revinrent; ils s'intensifièrent
et cessèrent subitement. Tout devint plus calme et la voix de Byrd
nous parvint très nettement. Tout à coup, il dit :
" Regardez! Vous voyez? 11 y a de l'herbe, là en bas.- une herbe drue... comme elle est verte!... il y a des fleurs partout...
elles sont superbes... et regardez ces animaux... on dirait des élans... l'herbe leur arrive au ventre... et regardez!... il y a aussi
des gens. Ils paraissent surpris de voir un avion." .
Je me souviens qu'à ce moment, ma mère a lancé une
boutade : « Je parie qu'ils ont aussi de longues oreilles! » Puis il
y eut beaucoup de bruit et de parasites, et ce fut tout ce qu'on
entendit jamais du programme. Impossible de le retrouver sur les
ondes où de la musique succédait à la voix de l'amiral Byrd sans
qu'on n'ait fait la moindre annonce.
Jamais on ne nous expliqua ce qui s'était passé. Plusieurs de
nos voisins avaient aussi écouté l'émission, mais ils n'en savaient
pas plus que nous. On avait coupé la parole à l'amiral Byrd au
beau milieu de son reportage. Je souhaitais vivement apprendre
ce qui était arrivé et j'écrivis à la famille Byrd, en Virginie -
vous savez, le sénateur - mais je ne reçus jamais de réponse."
Cette évocation d'une étrange émission, remontant à près de
cinquante ans, souligne à quel point ce rapport radiodiffusé
parut incroyable (ainsi qu'en atteste la réaction initiale de la mère d'Emily Ingram); il est donc possible que la station de Boston, sur un ordre officiel quelconque, ait préféré interrompre le reportage qui paraissait dénué de sens, en partie peut-être
pour sauvegarder la réputation de l'amiral Byrd, et peut-être
aussi parce que l'information était si insolite que la censure, ou
tout au moins une diffusion différée, semblait s'imposer.
"
Fin de citation.
Que dire de plus, sinon qu'il est préférable de lire plus avant, le reste de tout cela dans l'ouvrage en question de
Berlitz, qui a quitté ce monde le
18 Décembre 2003 à Tamarac, en Floride. Que
Paix, et
Lumière accompagnent
(celui qui de son vivant fut un infatigable chercheur), dans
la Haute Dimension, où il évolue en ce moment, et que sa
joie , rejaillisse tant soit peu sur les terriens qui sont épris de
la découverte d'une connaissance transcendante, pour que l'on puisse enfin, mieux vivre sur cette planète.
Mais,
où l'affaire va vraiment se corser, c'est en
1933,
( plus précisément le 7 Septembre ) , et vous allez vite voir pourquoi :
En effet, c'est
21 Septembre 2010, que nous avons reçu de l'ami canadien
Sébastien, la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Sebas c ..
To: fred Idylle
e
Sent: Thursday, September 16, 2010 11:11 PM
Subject: Une affaire importante concernant Byrd en 1933 à :
Amitiés
Sébastien
Pour le cas où ce site disparaîtrait brusquement, voici le document en question :
Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons encore en rouge les mots qui nous interpellent:
Traduisons alors
grosso modo, ce passage :
" Byrd expliqua :
:
"Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi étendue, que les Etats Unis et le Mexique réunis. "
Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.
Byrd dit : "Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-delà du Pôle, car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque glacière, et chercher un nouveau continent, et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science. "
Byrd qui a volé au dessus du pôle,
4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns
des liens manquants dans le déroulement des faits.
"
Fin de la traduction.
D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme
unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir du mot
uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots
non répertorié.
Il nous faut maintenant
analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que
Byrd était
un militaire, et donc
qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme
un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.
Comme on le voit, ces expressions de
Byrd sont
déjà très claires , même si l'on doit parfois,
savoir lire entre les lignes. L'expression
"et chercher un nouveau continent" , nous interpelle
bien sûr grandement, mais nous y reviendrons plus tard.
Mais restons donc à la date du
7 Septembre 1933 , et voici un entrefilet venant de la
"seconde Section" du
"Spokane Daily Chronicle" , et qui est formulé dans le même style, issu de l'Agence
Associated Press, et placé à
l'url :
On voit aussi que
là , on retrouve les mêmes expressions concernant l'affaire du territoire aussi vaste que
les USA et le Mexique réunis, l'affaire
du vaste territoire inconnu de l'humain, existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, puis encore l'affaire des
liens manquants à la science dans le déroulement des faits, et enfin surtout
l' affaire clef et très surprenante du
"nouveau continent". C'est donc un entrefilet, qui vient confirmer parfaitement le précédent .
Mais,
Super Hasard , le
17/05/2013, a mis encore la barre,
à un plus haut niveau, puisqu'il nous a placé sous les yeux, ce qui suit, également en date du
7 Septembre 1933 ( Nous n'étions même pas encore né ) :
En effet sur le site :
On trouve alors :
Traduisons alors,
grosso modo, le début :
"L'expédition de Byrd au Pôle Sud, est prète à partir, par avion, de Boston le 25 Septembre"
L'amiral fait appel aux bons offices du Président.
L'expédition, utilisera deux navires, un personnel élargi, pour partir à la recherche d'un vaste continent et du pôle.
On voit alors que l'on retrouve ici, le
vocable surprenant :
"continent", mais certains, pour noyer le poisson, auront vite fait, de dire que là, il ne s'agit que du
continent Antarctique. Mais allons plus loin, voulez-vous ...
"Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a là, une zone encore inexplorée aussi vaste que les USA et le Mexique réunis . Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "
Nous recherchons un nouveau continent .
Byrd dit : " Nous espérons découvrir un nouveau continent, en plus de celui déjà découvert : afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."
Là, tout est clair,
Byrd parle bien,
d'un nouveau continent, et même,
si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait
des caractéristiques d'une zone tropicale, car si
Byrd parle
de cela, dans ces régions ultrafroides et gelées,
c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.
Et même
le Président des USA de l'époque,
T. Roosevelt , renchêrit en affirmant qu'il existe bien
une immense zone à répertorier d'un nouveau continent, jusqu'à présent inexploré, et s'il ne sagisait que d'une autre grande étendue extrêmement froide de neige et de glace,
il n'aurait jamais utilisé ce langage, n'est-ce pas !!!
Finalement, on en déduit
qu'en 1933,
les protagonistes de cette exploration polaire, étaient loin
d'imaginer la portée gigantesque que leurs découvertes dans les régions polaires de notre planète.
Nous y reviendrons....
Mais ce 18 Juillet 2014, voyons aussi un autre entrefillet, concernant le
7 Septembre 1933, que nous avons découvert, sur la page de
Google à :
On y retrouve
les mêmes expressions que précédemment : l'histoire
"du nouveau continent", et même cette fois,
( et cela est surprenant), on reprend
deux fois l'affaire de la contrée aussi vaste que
la superficie des USA et du Mexique réunis. Quand à l'affaire
des liens manquants aux problèmes scientifiques, expliquons ici ce que cela signifie en douce. En effet
Byrd, a découvert
une immense zone tout à fait tropicale en plein
Antarctique ( et il l'a aussi vue dans l'Arctique en Mai 1926 ), comme
la Science, n'a pas encore de théorie pour expliquer cela, alors,
Byrd croit pouvoir s'attacher à résoudre
cette fantastique énigme, mais à l'époque en
1933, nous pensons qu'il n'avait encore mis le doigt sur la bonne solution, et même s'il l'avait trouvée,
le Gouvernement américain lui interdirait de la révéler.
Allez , concernant cette même date du
7 Septembre 1933, un petit dernier pour la route :
Sur la page de Google à :
Nous avons trouvé avec beaucoup de chance ceci :
On constate d'abord que ce journal n'a pas pu trouver une petite place dans son titre pour y inscrire le mot
Byrd (d'ailleurs écrit en premier lieu dans le texte avec une faute d'orthographe : Bird à la place de Byrd ) . Mais bravo cependant, on retrouve dans le texte en question,
les mêmes expressions que précédemment : l'histoire de la zone non répertoriée
aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, l'affaire
du vaste territoire inconnu de l'humain et existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, et enfin la surprenante affaire
"du nouveau continent", et des
liens manquants à la science dans le déroulement des faits ( ce dernier point est dejà expliqué plus haut).
Autrement dit, ce
"San Jose News" a passablement correctement suivi l'annonce de l'
Agence United Presse du
7 Septembre 1933, dont
ARTivision, aurait bien aimé avoir de texte d'origine.
Mais liquidons tout de suite,
cette affaire incroyable , concernant une zone à explorer
aussi grande, que
les USA et le Mexique réunis.
Voyons alors, les vignettes suivantes, donnant la superficie des USA et du Mexique :
Au total, cela fait en tout pour la superficie de ces deux pays : 9 529 063 + 1 958 201 =
11 487 264 Km2
Comme on apprend sur le site :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antarctique , que l'Antarctique a une superficie de
14 107 637 km2, on voit alors que :
14 107 637 km2 -11 487 264 Km2 = 2 620 373 Km2, et donc autrement dit, il ne reste pas grand chose dans ce territoire, pour
l'Antarctique déjà connu , et si l'on retire encore en plus, les immenses territoires de l'Antarctique, que dès le
23 Juillet 1923, la
Grande-Bretagne s'était permise d'annexer sans demander rien à personne, il ne reste donc plus grand chose pour
les nombreux autres pays, qui s'étaient aussi installés sur ce continent austral. Voyez-vous même la carte suivante, où nous avons colorié en vert, les territoires en question :
carte tirée des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.
Un internaute géographe pourra additionner,
les nombreuses surfaces des portions occupées par les diverses nations, et l'on verra vite,
que le compte, n'y est pas. Donc
pas question d'y découvrir un territoire inconnu aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, comme
Byrd le dit, dans
de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.
D'ailleurs, voici une carte que nous présente aussi le
volume 92,
n°4 d'Octobre 1947 de la revue
The National Géographic Magazine :
Donc, sans même y ajouter
le Mexique, on voit clairement qu'il ne reste vraiment pas grand-chose pour les portions occupées par les diverses nations.
Mais il y a justement un cas où, en 1955,
Byrd, ne parle plus du Mexique, tout en invoquant une surface de
3 millions de milles carrés (soit environ 7 770 000 km²). Voyez donc la fin de l'article suivant :
Mais où donc
Byrd a-t-il pu découvrir ces
7 770 000 km² surtout
tout à fait inconnus des humains, et ce qui entraîne le
fait clair et net ,
que le territoire occupé par autres nations (voir plus haut), se réduit évidemment
comme une peau de chagrin ?
Alors, Messieurs
les détracteurs zélés irréductibles, vous avez le choix dans ces deux options :
-- Soit le
vice amiral Byrd de l'époque,
était tout à fait timbré, et
un blagueur fini.
-- Soit,
il a bel et bien pénétré, dans
le vortex polaire sud, que
nous cachent nos gouvernements depuis des lustres, et
vortex qui conduit,
quand il s'ouvre, à
l'intérieur de la Terre creuse, où il y a vraiment
un immense continent à découvrir, possédant
vies et civilisations très développées par rapport à nous.
Mais pour aller plus loin dans cette affaire de
Nouveau continent évoquée de dans nombreux journaux vus plus haut, voyons auss furtivement ceci aussi en date du
7 Septembre 1933.
Sur la page de Google à :
On trouve alors :
Nous y découvrons
les mêmes termes, que les journaux précédents : Berkeley Daily Gazette ; Spoken daily Chonicle ; The Milwaukee Journal , The Reading Eagle ; San José News ; et termes en provenance de l'Agence :
"Associated Presse",
sauf que là, les phrases concernant
un nouveau continent, ont été
purement et simplement escamotées, tellement elles ont dérangé, les Éditeurs de l'époque de ce journal, comme d'ailleurs, elles doivent toujours
mettre très mal à l'aise les contradicteurs bien-pensants actuels. Notez donc bien,
cette très décevante incongruité.
Il va sans dire
que pour noyer le poisson,
les irréductibles détracteurs, embarassés par les termes incompréhensibles de
Byrd, ayant trait à un
nouveau continent à découvrir, nous diront, évidemment
sans d'abord tourner leur langue sept fois dans son logement, que nous faisons,
une fixation nominale, sur le mot
continent, qui concerne
seulement le territoire immense peu connu, de l' Antarctique, qui est
déja classé comme un véritable continent ...Point Barre.
Ces détracteurs, oublient une fois de plus que le site
ARTivision, a en réserve,
d'autres arguments , qui confirment ses dires :
En effet, c'est encore
l'ami du grand Canada Sébastien, toujours très entreprenant, qui nous dit que sur le site :
On découvre alors ceci :
Nous n'avons reproduit qu'une partie de cet article, et aussi nous avons souligné en rouge, les termes qui, ici, nous interpellent grandement .
Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en question :
Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques
Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.
"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte géographique primordiale du 20 siècle "- soit : un huitième continent."
Plus bas en parlant du capitaine
George J. Derek, Officier de la Marine US de 43 ans, accompagnant
Byrd en Antarctique,
Lee Van ATTA nous dit :
"Si alors il trouve que les eaux sous glace de la mer de Walddel, séparent la terre de James Ellsworth du reste de l'Antarctique, ainsi un huitième continent pourra être ajouté aux cartes du monde, et Byrd croit fermement qu'une telle découverte est possible."
Il est clair que le début de cette dernière phrase est totalement confus et incompréhensible, mais seule
la croyance affirmée de Byrd, nous intéresse ici :
un huitième continent pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition. Mais que signifie donc tout cela !!!
Précisons d'abord, ce que l'on découvre au sujet
des continents sur le site :
Comme on le voit, il a bien
7 continents, et
l'Antarctique est déjà
un des 7. Alors comment se fait-il que
Byrd, parle d'un
huitième continent qui
existerait encore en Antarctique ?
La seule façon de comprendre ce langage tout à fait
énigmatique,
(voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser, et ce monsieur a publié aussi d'autres articles surprenants de Byrd ), est d'admettre,
une fois pour toutes, que
Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pénétrer,
(en quelques milliers de km) dans
"l'ouverture polaire sud" ( les guillemets ont ici une très grande importance) ( et rappelons aussi que Byrd, l'a fait également pour celle du pôle Nord en 1926), est certain cette fois, avec
la puissante armada de l'opération
"High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de
ce continent, qui s'étend à
l'intérieur de la Terre ( On ne sait pas, si Byrd savait déjà cela à l'époque) .
Point Barre.
A vous de juger tout cela, documents à l'appui.
Mais ce 20/07/2014, malgré
la multitude de documents présentés ci-dessus, concernant les explorateurs,
Vilhjalmar Stefansson,
Sir George Hubert Wilkins,
Byrd et consorts, qui affirment qu'il existe au-delà des Pôles Nord et Sud de notre planète des
terres inconnues sans glace, nous
serions cependant naifs de croire que cela suffit pour convaincre
les éternels détracteurs et autres zélés zététiques qui ne peuvent remettre en cause
le principal enseignement qu'ils ont reçu dans nos écoles et universités, et
terres inconnues que nous cachent sournoisement nos Gouvernements,
pour de vulgaires questions de prestige national, et de puissance technologique ou militaire, et tout cela est aussi mis sous le boisseau par
des médias serviles, (pourtant à l'affut de scoops sensationnels), et médias qui nous abreuvent de déboires conflictuels humains créés de toutes pièces par ceux qui nous dirigent en douce .
Pourtant il est clair, que l'annonce de
l'existence d'un continent immense à l'intérieur de notre planète , porte en lui même,
la raison majeure d'unir l'Humanité, et d'en finir une fois pour toutes
avec ces guerres dérisoires et calamiteuses, qui la déchirent depuis des siècles.
En effet, comme nous l'affirme,
le colonel Billie Faye Woodard, déjà présenté plus haut,
le peuple de l'intérieur qui est d'une immense sagesse, a des milliers d'avance sur nous, dans ce domaine, et par exemple, ils ont trouvé depuis belle lurette,
le moyen de vivre chez eux dans un monde en paix,
débarrassé de toute pollution,
un vrai bonheur, dont ils pourraient nous faire profiter,
si nous étions moins vindicatifs et agressifs envers nos propres frères..
Aussi pour clore cet exposé,
( hélas même les bonnes choses ont aussi leur fin), nous allons devoir,
par analogie avec le célèbre roman de cape et d'épée de Paul Féval, de 1858 "Le Bossu", utiliser ce que l'on pourrait nommer,
notre botte de Nevers..
En effet, le
26 Février 2011, nous avons reçu de nouveau de notre ami canadien,
toujours aux aguets,
Sébastien, la missive extraordinaire suivante, dont voici le début :
----- Original Message -----
From: sebas c
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, February 26, 2011 2:05 AM
Subject: Byrd
Bonjour Fred,
J'aimerais vous présenter l'article du Leader Post du 31 janvier 1947. C'est un article ayant pour sujet l'expédition de Byrd vers le pôle sud en Février 1947. (voir fichier joint)
Et voici l'url :
.....................suite coupée...........
Merci mille fois encore, à
Sébasbien, pour sa si efficace participation aux recherches
d'ARTivision.
Après quelques ajustements, voilà ce que l'on découvre sur ce site :
Le titre surprend déjà :
Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire.
Ah Ah...comme vous le voyez, il y a tout de même
un secret à découvrir, dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini n'est-ce pas ? contrairement à ce que nous disait,
déjà plus haut, ce probable astromome,
Serge Jodra , dans son article de la revue
"Ciel&Espace de Juillet 1997", et intitulé
"Terre creuse voyage au centre d'un fantasme".
et, qui met entre guillemets l'expression
"mystère polaire":
, ce qui veut dire clairement, que pour
lui, qu' il n'y pas
rien de mystérieux aux Pôles, sinon un
fantasme, comme
il le dit, si bien dans son titre.
Revenons au
texte extraordinaire de Byrd du
31 Janvier 1947, et traduisons quelques paragraphes, où il y a des phrases soulignées en rouge.
D'abord tout au début on trouve
" Little America. 31 Jan. Le Vice Amiral Richard E.Byrd a atteri à Little America jeudi et immédiatement annonça ses objectifs en vue d'un vol à travers le Pôle Sud dans un territoire inexploré pour déterminer si l'Antarctique est un continent unique ou une masse de deux grandes îles.
Byrd dit que l'expédition de la Navy sous son commandement allait devenir peut-être "La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".
Quel tissu
de sous-entendus, Byrd nous livre
là ? Et de plus, il faut
savoir lire entre les lignes, bien sûr.
En effet d'abord, pour savoir si
l'immense continent, possède
des failles profondes (rappelons qu'à certains endroits, il y a près de 4000m d'épaisseur de glace, d'après le dessin en perspective suivant tiré du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :
où l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à 4200m ), capables de le séparer en divers portions, il faudrait
des centaines d'avions munis de radars puissants pouvant sonder sous la glace et
de vastes équipes au sol pour baliser le terrain. Donc, cette affaire
d'îles à déterminer est
un énorme bluff pour noyer le poisson, et détourner l'attention des journalistes.
Puis, il y a ceci :
"La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde". Cette phrase ressemble
bizarrement à celle
d'Amadeo Giannini, tirée de son ouvrage
(déjà présenté plus haut), de
1959, intitulé :
"Mondes au-delà des pôles", qui prétend que
des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones
arctique et antarctique de notre planète :
Mais voyez alors ce texte tiré des pages 13 et 14 du livre de
A Giannini en question :
Et notre modeste traduction donne :
Le 28 Novembre 1955 " C'est la plus importante expédition dans l'Histoire du Monde" . Amiral
Byrd avant son départ pour explorer une terre au-delà du Pôle Sud .
C'est donc pratiquement
la même phrase, mais en plus il y a le vocable
"Géographique" qui donne à la phrase une portée plus pointue , et de plus cette phrase avec le mot géographique était déjà du
31 Janvier 1947,
donc 8 ans plus tôt. L'information de
Gianinni,
avait donc un certain retard. Nous n'avons pas encore
hélas, trouvé cette phrase dans un journal du
28 Nov 1955.
Avis aux amateurs.
De plus, comment à l'époque
(le Traité de l'Antarctique interdisant toute mesure de nature militaire et non pacifique qui a pris effet le 23 Juin 1961, n'était donc pas encore en vigueur), l'exploration de
quelques veines apparentes de charbon ou d'autres minerais utiles à l'industrie, pouvait-elle être considérée
comme la plus importante découverte géographique ou géologique qui soit ?
Puis il y a cette déclaration inouïe de Byrd :
"I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pôle" :
"J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette vaste zone inconnue, située de l'autre côté du Pôle". Ne trouvez-vous pas que cette dernière déclaration,
s'apparente aussi énormément à celle que
Byrd, aurait dite, d'après
A. Giannini , en
Février 1947 (le jour n'étant pas hélas précisé), et concernant le Pôle Nord :
"J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord)...", alors qu'ici il s'agit du Pôle Sud, le
31 janvier 1947.
Aux spécialistes de résoudre cette énigme saugrenue
Plus loin, il y a aussi
cette affaire d' inacessibillité que nous avons déjà traitée dans notre article :
N'est-ce pas encore ici le moment, de reprendre la célèbre réplique
(déjà vue plus haut le grand acteur français), que fut
Louis Jouvet :
Moi, j'ai dit BIZARRE,
BIZARRE ? COMME C'EST ÉTRANGE ...
Mais, ce 21 Juillet 2014,
le novice ingénu,
(qui a cependant, un esprit plutôt large), et qui découvre
ARTvision par cet article, nous dira innocemment :
" Vous avez là , certes, marqué des points sérieux en exposant, cet article incroyable, du "The Leader Post" , du 31 Janvier 1947. Faudrait doubler la mise, en présentant d'autres journaux qui s'expriment de manière analogue, à la même date" .
Quelle logique et subtile proposition !! Heureusement que nous les moyens de satisfaire cette proposition .
En effet, c'est le
6/03/2014, en cherchant tout autre chose, que nous sommes tombés, à l'url suivant :
sur
cet article insolite de 1947, en page 18 :
Géographiquement, c'est le site :
https://www.google.fr/#q=portsmouth+usa+map, qui nous indique, où est située la ville de
Portsmouth aux USA :
Comme on le voit, cet entrefilet reprend, à
la même date, pratiquement les mêmes termes
( soulignés en rouge, et déjà étudiés plus haut ), que celui du
"The Leader Post" . Mais, et ce
mais nous a plongé dans une certaine stupéfaction, car on y présente, l'expression difficile à traduire :
"Ski-Jet planes" .
C'est alors que notre
grande amie Nicole est venue à notre secours, en nous écrivant ceci :
" Traduction du titre du Portsmouth Times du 31.1.47: "Byrd s'active à la préparation de ses avions sur skis équipés de réacteurs". ou "ses avions à réaction montés sur skis", ce qui n'est pas très juste car ce ne sont pas des avions standards, mais un bricolage fait par Air Force pour l'expédition -- en effet impossible d'atterrir sur la glace avec des roues donc il a fallu composer mais en meme temps permettre aux avions de voler à grande vitesse, ils ont donc rajouté des réacteurs. En effet, la suite de l'article précise bien que ses avions sur skis étaient équipés de réacteurs. Je suis quand même étonnée , et, je ne pense pas qu'il existe en francais une formule consacrée à ce genre d'avion que je n'ai d'ailleurs jamais vu. Je voudrais bien vous préciser que l'avion sur skis de Byrd dont parle l'article du Portsmouth Times était "équipé" , de réacteurs pour doubler la vitesse de croisière par rapport à un avion classique. Il ne faut pas oublier que les avions dits "à réaction", à proprement parler ont seulement commencé à être construits pendant la guerre, et ils n'ont été mis officiellement en service commercial qu'en 1950. Auparavant c'était seulement le privilège des forces armées et pas pour le commercial. Donc on ne peut pas savoir si c'est un prototype d'un Jet qui a été équipé de skis pour l'expédition, ou si on a rajouté des réacteurs à un avion existant pour accroitre sa vitesse. Comme on ne sait pas au juste, il vaut mieux nuancer. L'article n'est pas très clair à ce sujet étant donne la concision nécessaire au style journalistique.
Ensuite petit titre de l'article :"L'explorateur estime que ce vol polaire est d'une importance primordiale"."
Merci donc mille fois à
l'amie Nicole, pour ses
magistraux éclaircissements, car nous nagions
là, dans une grande
incompréhension.
Cependant, le
17/03/2014 au soir, nous avons eu le privilège de découvrir dans le
"The Washington Reporter" ceci :
On voit donc, que tout à fait au début du texte, il est fait état également
(hélas sans aucune explication), des
jet-assisted skiplanes de Byrd, et aussi voici un autre journal qui s'exprime de la même manière :
Mais, voici encore un autre article, d'un journal également en date du
31 Janvier 1947, qui mentionne aussi très brièvement cette affaire de
jet-assisted planes :
Mais, voilà pourquoi
il ne faut jamais se contenter d'un seul son de cloche, car cet entrefilet,
ignore absolument toutes les phrases clefs, que nous avons soulignées en rouge, dans les supers entrefilets du
"The Leader Post" ou du
"The Portsmouth Times". Un historien lisant seulement ce
"Youngstown Vindicator", du
31 Janvier 1947, aurait
assurément loupé le coche, concernant
les phrases insolites et inouïes de Byrd..
Ainsi,
les étermels détracteurs, se contenteraient de cet article, et
le mettrait manifestement en exergue, pour affirmer que,
Byrd n'a jamais rien découvert au Pôle Sud.
Pour savoir, si c'est
le Rédacteur du journal
"Youngstown Vindicator", qui a trafiqué le texte, le mieux serait de pouvoir comparer,
(documents historiques en mains),
les textes exacts balancés, ce
31 Janvier 1947, par
les deux agences de Presse, en question :
l' United Press d'une part, et
l'Associated Press, d'autre part.
Alors Messieurs les historiens, vous avez désormais, la parole...
Il y a aussi cette affaire,
de roues d'avion remplacées par des
skis,. Elle nous est présentée, succinctement, dans le
volume 92,
n°4 d'Octobre 1947 de la revue
The National Géographic Magazine, qui a publié à l'époque, un super article de
93 pages de
Byrd :
Mais, pour éclaircir encore plus, cette affaire de
jet-assisted skiplanes de Byrd, disons que, le
20/03/14, nous avons revu de l'aimable internaute
Bernard, la missive suivante, dont voici seulement quelques éléments:
----- Original Message -----
From: Bernard
To: Fred Idylle
Sent: Thursday, March 20, 2014 6:13 PM
Subject: Problème technique et informations sur le JATO
Bonjour Fred !
D'abord un petit problème technique.
................................................................
.............................................................
Maintenant la partie intéressante, pour la page :
Il est fait référence à des "Ski-Jet planes".
En cherchant dans Google avec Navy DC3 R-4D, on trouve une référence à des "JATO" qui sont décrits en français ici :
Et en anglais ici de manière plus complète:
On trouve une petite histoire des DC3 de la Navy ici :
Avec en particulier dans cette page un lien vers une photo des JATO ici:
........................................................................................
.......................................................................................
Bonne lecture, tout de bon !
A bientôt,
Bernard ............
Fin de citation .
Merci donc à
Bernard pour ses précieuses informations, qui cela va de soi, doivent tourner autour de la date du
31 Janvier 1947, moment où les journaux présentés ci-dessus, en parlent :
Voyons déjà ce que l'on peut trouver d'intéressant sur le site :
http://fr.wikipedia.org/wiki/JATO
"Le Décollage assisté par réaction (de l'anglais, Jet-assisted take-off, JATO) est un système de moteurs-fusées qui permet de fournir une puissance supplémentaire lors du décollage d'un avion. L'autre désignation, plus précise, mais moins fréquemment utilisée, est décollage assisté par fusée (Rocket-assisted take-off, RATO)
Les fusées JATO se présentent sous la forme de grosses bouteilles, généralement fixées sous les ailes ou sur les côtés du fuselage.
Cas particulier, le Boeing B-47 Stratojet disposait d'un espace à l'arrière du fuselage pour monter 18 (puis 33) fusées dans un conteneur largable...
...Aux États-Unis, les premières fusées JATO ont été conçues par une équipe de chercheurs américains dirigée par Theodore von Kármán. Les essais commencèrent en août 1941 et, en 1942, la compagnie Aerojet Engineering Corp. fut créée pour fabriquer ces fusées en série."
Fin de citation.
Autrement dit
Byrd pouvait parfaitement utiliser ce dispositif pour permettre,
d'une part, à l'avion de décoler plus facilement du terrain neigeux qui fraîne les déplacements,
et d'autre part, pour gagner de la vitesse et du temps pour la mission délicate qu'il allait entreprendre au
Pôle Sud .
Voici maintenant, comment on installait, d'après le
National Geographic Magazine, ces
bouteilles rockets, sous un avion en 1957 :
Et on en déduit qu'en 1947,
l'amiral Byrd en installait certainement un peu moins, mais seule une photo de
l'avion de Byrd, au départ pour
l'Antarctique, pourra nous éclaircir ce point.
A vous de juger une fois de plus tout cela, et d'en tirer les conséquences qui s'imposent
Pour diminuer le temps de chargement, nous avons tronqué cet article en deux, et désormais, la suite de cette partie I, est placée à :