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J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet
article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?... Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord
cet été n'y a pas vu de glace. Là où
aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan
Arctique. Une première en... 50 millions
d'années.
États-Unis
21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe
américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en
compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise
de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y
avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon
l'expert, ce serait la première fois depuis 50
millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la
banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée
parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.
Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était
aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était
la première fois que l'on trouvait les
eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a
traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette
région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur.
Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10
kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez
solide pour pouvoir y marcher.
Autre détail
troublant : des goélands ont
été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se
nourrissent de créatures marines, ne vivent
habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une
épaisse banquise.
Les participants de l'expédition voient dans
toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100.
Ces mêmes photos du Flying Saucers de Juin 1970 , nous les avons trouvées, aussi, dans l'ouvrage incontournable de 1974 de Brinsley le Poer Trench : "Secret of the Ages" :
Mais il y a mieux, tel que :
Toutes ces photos sont donc des photos mosaïques de la NASA,
trafiquées à souhaits, et destinées à cacher assurément l'ouverture polaire.
Vous avez du mal à le croire, alors regardez aussi ceci :
C'est un document de la NASA, que nous avons personnellement obtenu en 1975, des mains de l'agence USIS, qui siégeait à cette époque au sein même de l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin à 75042 Paris. Ce document serait aussi bien sûr, une photo mosaïque, qui fut réalisée par le Dr David S. Johnson du "National environnement Satellite Center", à partir des prises de vue en Avril 1967 du satellite Essa III. On constate alors, une fois de plus, que la zone concernant le Pôle Nord, et qui nous intéresse justement, a été encore ici simplement escamotée sans explication, alors que l'on avait tout intérêt à blanchir tout le bassin polaire. On aimerait bien savoir pourquoi ?
La parole est donc désormais, aux spécialistes...
Fin de la digression .
Pour mieux cerner cette affaire de Byrd et de ses voyages au Pôle Nord, il est bon pour ARTivision de présenter ici l'affaire du très mystérieux n° 52 , de la revue Nostradamus. de l'époque
Il faut d'abord savoir que la revue "Nostradamus""L'hebdomadaire de l'actualité mystérieuse", (comme elle était présentée à l'époque) , avait le format(29 ; 43), et dont le n° 1 (que nous possédons toujours) est du 13 Avril 1972, et ce périodique a duré environ 10 ans jusqu'en Juillet 82. Il s'est appelé Nostra à partir du n° 147 du 30 janvier 1975 format (20 ; 28) .
Mais après le n° 51, il s'est passé une chose bizarre, que nous n'avons jamais pu expliquer. Si n° 51 et 53 étaient tout à fait normaux (format 29 ; 43), nous n'avons jamais reçu le n°52,, mais il est arrivé à l'époque une sorte d'ersatz du journal, de format plus petit (27 ; 39), sans n° et sans date. Comme-ci la rédaction ou l'imprimeur avait eu un empêchement quelconque pour produire la revue normale. (Grève, rupture de stock etc..)
Nous en avons déduit plus tard que cet ersatz représentait bien le n° 52 manquant, et que la date de sortie devait être le 6 avril 1973. Donc si quelqu'un veut aller à
la Bibliothèque Nationale, pour consulter ce n° 52 (pourtant très important, vous allez voir plus bas pourquoi), il se pourrait qu'on ne le retrouve pas.
Mais d'une part, le format étant trop grand pour notre scanner, nous avons dû couper le document de couverture, et d'autre part, étant donnée l'humidité qui règne au pied du volcan où nous habitons, les convertures de ce n° 52 fictifont été détériorées. Veuillez donc excuser, le manque de netteté des images :
Mais ce qui nous a amené à parler de cette histoire, c'est que justement, ce n° fictif 52, possède un article unique en son genre, pour l'époque et article qui nous interpelle quant aux sources qui ont servi à son élaboration.
Mais voyez donc vous même :
Nous avons évidemment coupé la publicité de l'époque dans la deuxième partie de la feuille.
Bien que les caractères soient encore lisibles sur ses deux images, pour ne pas vous fatiguer la vue, voici la digitalisation de ce document.
"
Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences, n'avait jamais été aussi stupéfait. Le flegme légentaire des officiers de l'American Navy faisait place sur son visage à son étonnement qu'il n'avait pu contenir.
Dieu sait pourtant qu'au cours
d'une longue carrière d'explorateur polaire il avait subi de dures épreuves : il avait vu trop
de ses plus fidèles compagnons,
morts de froid et d'épuisement,
immergés dans l'océan sauvage,
une gueuse de fonte lestant
leurs corps cousus dans une
toile à voile, selon la séculaire
coutume des matelots.
Il avait supporté lui-même,
jusqu'à l'inanition, la dure loi
des expéditions en terres inhumaines loin des bases où la fraternité des amis aguerris réchauffait le cœur dans ce
climat mortel.
Mais là, avec deux quartiers-
maîtres et un capitaine de vaisseau, il parvenait au bout de la
surprise.
- Je n'aurais jamais cru ça
possible, Damned ! lança-t-il
en jurant comme un vulgaire
canonnier.
De fait, même pour un marin
américain que rien ne devrait
étonner, il y avait de quoi être
surpris.
Richard Byrd venait de découvrir, au sein des glaces perdues au Pôle Nord, un véritable
paradis terrestre !
Depuis huit heures, il marchait sur la banquise, avec son
équipe, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces
éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un
rocher vertical.
Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'équipe de
pointe de l'expédition était parvenue au prix de mille dangers,
le spectacle était inoubliable.
Sous les yeux de Byrd médusé
et de ses compagnons ahuris,
s'étendait une longue vallée
étroite et profonde, couverte
d'une végétation luxuriante et
apparemment baignée d'un
chaud soleil permanent. Une
véritable oasis de vie au milieu
du grand désert de glace...
D'un geste machinal, l'amiral consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra lentement dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth, placide et lourd comme ceux que l'on a rencontré en 1921 en sibérie centrale. Autour d'eux les gazouillis d'oiseaux et la stridence des cigales démontraient à l'evidence l'existence d'un climat subtropical.
Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
repartis sur la banquise, les explorateurs, un moment émerveillés, retrouvaient le grand silence blanc
et la desolation du froid éternel. A leur retour, ils racontèrent leur découverte à leurs camarades restés au camp.
Après une journée de repos tous voulaient retourner voir ce que l'amiral Byrd appela désormais le " paradis inconnu ".
Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, dans la région même du pôle magnétique, il avait été impossible à l'ordonnance de l'amiral d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques.
En effet dans cette region du globe terrestre , les boussoles deviennent folles et leurs aiguilles aimentées virevoltent sans jamais se fixer !
Pendant des années dans son laboratoire de Boston, Richard Byrd chercha à délimiter la
position géographique de la
vallée heureuse cachée au fond
des glaces. Noatalgique du paradis perdu, il réalisa de nombreuses autres expéditions après
s'étre entouré de toutes les précautions et de tous les détails
qu'il jugeait indispensables.
En 1929, il repartait de l'île Wrangel à l'estuaire nord de la Sibérie, avec la plupart de ses
premiers accompagnateurs. Ce
fut en vain.
En 1936, accompagaé
d'Amundsen, il survolait sans
résultat toute la banquise arctique avec les tout premiers hélicoptères. En 1947 encore,
n'ayant pas perdu l'espoir de
refouler â nouveau le merveilleux gazon du paradis polaire,
il repartait avec un matériel
ultra-moderne. Ce fut un voyage pour rien.
Jusqu'en 1957, où il mourut
brutalement d'un transport au
oerveau, l'amiral américain n'a
jamais retrouvé le paradis du
fond des glaces...
Et pourtant, sa découverte a été confirinée par un médecin
de Los Angelès, le docteur Nephi Cotton. Celui-ci recueillit de l'un de ses patients un étrange
récit. Le malade, habitant l'extrême nord de la Norvège, avait,
avec un ami, entrepris une croisière en direction du pôle.
Après un mois de navigation
hasardeuse, entre les écueils et
Ies icebergs, ils avaient atteint
un pays où, selon leurs aifirmations, "la température était extraordinairement élevée" et "la flore était d'une richesse
comparable à celle des pays tropicaux les plus fertiles".
A plusieurs reprises, des expéditions quasi-clandestines
furent organisées par des explorateurs norvégiens et anglais. Ce
furent des tentatives stériles, car
dans le voisinage du Pôle, les
boussoles ne servent plus à
rien et le hasard qui avait si
bien servi Byrd n'a jamais
consenti à aider ceux qui suivirent ses traces. Plus récemment et à trois reprises, les
services spéciaux des grandes
puissances du monde ont monté des explorations aussi couteuses que secrètes. Rien n'y
fit. Au , désespoir des organisateurs, les barbouzes de
l'ouest et de l'est sont revenues
bredouilles.
Le Paradis polaire garde
jalousement son extraordinaire secret.
Les survivants de l'expédition
de 1926 rêvent encore de leur journée du 14 juin. Avec l'amiral Byrd, ils affirment qu'ils ne
furent pas victimes d'un mirage
ou d'une hallucination. Ils se
bornent, devant l'incrédulité générale, à répéter qu'un jour on
saura bien retrouver la vaIlée
perdue... "
Fin de citation.
Comme vous l'avez sans doute remarqué ce document est bourré de détails pointus que l'on pourrait vérifier (comme par exemple, le nom de l'ordonnance de l'amiral Byrd : le capitaine Peter Fitin). Ce document précise aussi clairement que Byrd, a bien effectué une expédition au Pôle Nord en 1947 et expédition qui a été vaine.. Mais chose très surprenante, ce document n'est pas signé, et il n'indique pas hélas les sources utilisées, pour faire l'article.
Ce document précise clairement, que Byrd et ses compagnons ont bel et bien monté des expéditions sans doute très secrètes au Pôle Nord, en
1929, 1936, et surtout 1947, et expéditions, dont on ne retrouve aucune trace dans les médias de l'époque.
Comme on y parle de Services spéciaux de grandes puissance et de barbouzes, nous
soupçonnons le fait, que ce texte, proviendrait du savant atomiste Jacques Bergier, qui, on le sait, faisait partie des Services Secrets Alliés de la dernière guerre. Il a d'ailleurs écrit entre autres choses : Un Mémoire sur la détection électromagnétique des avions autour de 1939 et Le Manuel du parfait saboteur en 1943 .
Mais, à part l'histoire du Docteur Nephi Cotton, et la photo de la Terre, qui sont directement tirées du livre de R. Bernard "La Terre creuse" (A. Michel 1971):
, où donc Bergier (ou l'auteur inconnu), a-t-il pu trouver ces extraordinaires informations (qui ne courent pas les rues), concernant les diverses expéditions de Byrd au Pôle Nord, dont certaines sont totalement occultées .
Aurait-il pu par exemple, mettre la main sur l'introuvable brochure de Byrd, dont on ne connaît même pas le titre et dont nous parle Charles Berlitz aux pages 164 et 165 de son livre "Sans Trace"
:
, publié chez Flammarion en 1978 ?, alors que plusieurs personnes affirment avoir eu connaissance de cette brochure de Byrd, comprenant moins de 100 pages dans laquelle il narrait son aventure, cet important document a disparu bizarrement des bibliothèques et des collections nationnales.
Mais, Il faut aussi savoir que certains paragraphes ce Nostradamus n° 52 fictif, ont été repris 7 ans plus tard, par
Mr Jean Brun, dans le Nostra n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980.
En conclusion, une fois de plus, nous voyons qu'ici s'applique parfaitement l'adage : " L'habit ne fait pas le moine ", car en effet, ce n'est absolumemt pas dans les revues bien assises et qui ont pignon sur rue, comme "La Recherche" , "Science&Vie" etc... que l'on aurait découvert à l'époque, un tel document, que nous avons la chance inouïe, de posséder, depuis 43 ans (en 2016) . A vous donc de juger, tout cela, documents à l'appui...
Mais ce 22/02/2016, pour les puristes qui aiment avoir les informations en direct, et concernant ce n° 425 aussi fameux de NOSTRA, et bien que cela
utilise, des mots déjà employés plus haut, voici ce que nous avons écrit dès le 17/09/2000, dans notre premier article sur le sujet - (voir alors Byrd.html) - :
Voici donc quelques lignes de cet article:
"Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
Hélas ! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
Fin de citation.
Notons, qu'avec grand regret, nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir du philosophe Jean Brun (1919-1994), qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc, avec la plus grande déférence, tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé, les éléments étranges de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire. Merci d'avance...
On pourrait donc croire que nous avons là, affaire à un début d'un roman inédit de Jules Verne, si l'on ignore que l'amiral Byrd a participé par la suite à de nombreuses autres expéditions polaires, et on le sait, en 1929, 1936, 1947, 1956, à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des déclarations insolites...
Mais ce jour, donnons une dernière preuve, concernant le vol de Byrd au Pôle Nord en 1929...
C'est en effet, dans l'ouvrage, déjà cité plus haut, de 1974 du Lord Anglais Brinsley le Poer Trench que nous avons découvert en pages 96 et 97 ceci :
Et notre modeste traduction donne :
" Présentons maintenant le mystère numéro n° 2, concernant Byrd .
Palmer vit à Amherst, Wisconsin, États-Unis. Il a écrit que Nelsonville se situait à environ 3 miles
(4,8 Km) de chez lui, et là se situait maison de Lloyd K. Grenlie. . Ce monsieur a vécu plus récemment à Green Bay,et il travaillait à l'Agence fédérale de l'aviation, avant sa mort, le 7 Juin 1970.
. Cependant, les membres de famille de Grenlie était les voisins de Palmer. Selon Palmer, ce qui est important de savoir, c'est que Lloyd K.Grenlie était l'homme-radio de l'expédition de l'amiral Byrd au Pôle Nord en 1926, et il le fut aussi aux deux pôles en 1929.
" On a catégoriquement nié que Byrd ait été aux deux pôles en 1929. Cette année-là un film d' actualités a pu être vu dans les salles de cinéma d'Amérique, qui décrivaient les deux vols, et on y voyait des photographies d'époque de la " terre au-delà du Pôle (nord) avec ses montagnes, arbres , rivières, et un grand animal identifiés comme un mammouth " .
"Aujourd'hui, ce film d'actualités n' existe apparemment pas, bien que des centaines de mes lecteurs se souviennent, comme moi, de ce court film. Ainsi, j'ai mon avis personnel au sujet ce court-métrage et aussi l'avis de l'homme radio qui alla avec Byrd dans cette terre au-delà du pôle, et qui a vu les enregistrements de ce film, concernant cette terre inconnue, inexplorée, dont actuellement on nie l'existence"(4 : Raymond A. PALMER reply to a reader 's letter Flying saucers Septembre 1970 )"
"Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs du magazine se rappelaient avoir vu les actualités."
Fin de citation.
Pour ARTivision, donc la double expédition Byrd en 1929, a pu très bien se reproduire en 1947. Point Barre
Alors Messieurs les journalistes, éditorialistes et consorts écrivains intrépides, si vous retrouvez des lettres écrites, de ce Lloyd K. Grenlie, quelque part, et qu'il y mentionne cela, vous aurez assurément touché le Gros Lot. A bon entendeur salut...
A vous de juger tous ces faits extraordinaires, documents à l'appui.
Mais ce 24 Février 2016, analysons le troisième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre Troisième focus , qui correspond à cela :
Notre modeste traduction donne :
" En considérant, les sous-marins atomiques US qui ont voyagé sous la glace de l'océan arctique, et qui sont passés sous le pôle, tout cela ne pourrait pas se faire. "
Bravo pour la confiance, que Mr John M. Prytz, apporte aux dires de la Marine américaine. Analysons alors, cette affaire en détail :
Dans notre article en date du 02/12/2012 : VoyageNautilusetSkateauPN.html, nous avions déjà écrit cela :
"C'est d'une façon aussi explosive que s'est imposé l'intérêt des régions arctiques pour les liaisons entre continents. C'est presque simultanément, il est curieux de le constater, que ces régions ont intéressé l'aviation commerciale, la navigation de surface et la navigation sous-marine. Ceci est d'autant plus remarquable que les problèmes à résoudre dans des domaines aussi différents, n'avaient absolument rien de commun.
II n'y avait de commun que le désir de raccourcir les routes entre les rives européennes de l'Atlantique et les côtes du Pacifique. Cet intérêt des liaisons polaires a été développé assez souvent au cours des derniers mois à propos des lignes aériennes. Paris-Tokio "par le Pôle" est un trajet de 13 500 km contre 15 250 par la voie classique. ( Note du Webmaster : Comme vous le voyez l'auteur Mr George Lacoste de cet article a utilisé les guillemets dans l'expression "par le Pôle". Cela prouve indiscutablement que cet auteur (qui est probablement décédé actuellement car s'il avait écrit ce remarquable article à 50 ans mininum, il aurait 104 en 2012), n'ignorait sans doute pas, en effet, que les boussoles se dérèglent totalement au Pôle, et que les avions ne pourraient plus contrôler leur direction. Mais ce défaut de la boussole peut être contourné (Voir l'entrefilet qui précède)...Il savait aussi certainement que les autorités gouvernementales interdisaient aux pilotes des avions millitaires ou pas, le survol du Pôle Nord."
Fin de citation .
Venons en maintenant à l'affaire des sous-marins : Nautilus et Stake qui auraient fait des plongées sous le Pole Nord. Il y a déjà un hic , puisque le Lord anglais Brinsley le Poer Trench dans l'ouvrage déjà cité plus haut, mais que nous reprenons volontairement ici, en réduction :
affirme que le Nautilus après avoir "frôlé", le Pôle Nord, géographique , a battu en retraite et s'en est retourné au Spitzberg.
Aux historiens de répondre, car ce n'est pas du tout le schéma que nous propose le n° 140 de la revue Science et Avenir, d'Octobre 1958, où il est fait état, dans un remarquable article, du passage sous le Pôle Nord, au travers de la banquise arctique de ces sous-marins atomiques américains tel que le Nautilus (en 3 Aout 1958), et le Skate en (17 mars 1959).
Voyez vous même, ce que l'on nous propose dans cette revue :
Et voici donc, le début de l'article en question :
Et, pour débuter voici un montage d'une portion du sommaire de l'article de ce ScienceetAvenir d'octobre 1958:
Vous avez bien noté, que ce sommaire, nous apprend que le Nautilus et le skate "ont montré que la meilleure route maritime passait sous le Pôle", et que cela pourrait mettre en branle les "sous-marins cargos"...
Voyez d'ailleurs aussi, en passant, cette représentation du trajet du Nautilus paru dans la revue "Jours de France" N°197 du 23/08/1958.
Bien sûr, le site ARTivision, sait que ces sous-marins sont passés sous l'eau, tangentiellement au vortex polaire comme l'ont fait à la surface certains explorateurs, qui ont cru être arrivés au Pôle Nord, ou ont aussi cru traverser la calote polaire de part et part:
Autrement ces sous-marins, auraient plongé dans le vortex polaire, et auraient peut-être disparu, corps et biens, dans la région.
Dessinons alors grossièrement, un disque mauve pour représenter l'entrée de ce vortex, qu'ils ont frôlé assurément. Quant à dire que les commandants de très haut grade de ces sous-marins atomiques, ignoraient l'existence de ce vortex, c'est justement ce que nous allons évoquer plus bas
Mais voyons de plus près, quelques paragraphes bien sélectionnés de cet article,..
" ...Aux dernières nouvelles les U.S.A. qui ont huit sous-marins atomiques à flot et treize en construction, en ont au surplus douze de commandé. Si bien que, sans même escompter un relèvement très probable des programmes, la marine américaine disposera d'au moins trente trois sous-marins atomiques en 1961.
UN BRISE-GLACE AU POLE
C'est d'une façon aussi explosive que s'est imposé l'intérêt des régions arctiques pour les liaisons entre continents. C'est presque simultanément, il est curieux de le constater, que ces régions ont intéressé l'aviation commerciale, la navigation de surface et la navigation sous-marine. Ceci est d'autant plus remarquable que les problèmes à résoudre dans des domaines aussi différents, n'avaient absolument rien de commun...
...Ce franchissement du fameux "passage du Nord-Ouest", tellement recherché au cours des siècles passés, n'a pas, aujourd'hui, qu'un intérêt sportif ou de prestige. En effet, les U.S.A. ont installé tout le long de la façade de l'Océan Glacial Arctique une série de radars d'alerte, de stations météorologiques et même d'aérodromes qui ont pour eux un intérêt stratégique de premier plan. ( Note du Webmaster : Il ne devrait pas être question de stratégie, mais de coopération et d'entraide entre les nations installées dans ces régions archi-froides et désertiques et ou règnent souvent des tempêtes glaciales. Il y a autre chose que l'on l'on cache au monde entier et les hauts responsables de ces gouvernements qui patrouillent dans l'Arctique sont parfaitement au courant des circulations d'Ovnis qui y circulent par l'ouverture polaire quand elle est opérationnelle.
Mais ce raccourcissement est encore beaucoup plus sensible pour la route maritime. Sur son trajet classique Paris-Tokio, l'avion volait à peu près en ligne droite de Paris à Karachi, puis à Bangkok, à Hong-kong; à Tokio; il n'avait à contourner ni la péninsule d'Arabie, ni l'Inde, ni la longue péninsule de Malaisie.
Le cargo et le paquebot, eux, accomplissaient un périble de 22 680 km pour rejoindre l'archipel nippon. Ainsi, alors que la route arctique fait gagner à l'avion un peu plus de 10 % sur Paris-Tokio, elle peut faire gagner plus de 40 %, au navire.
La publicité faite dans la grande presse par les diverses compagnies aériennes lors de l'ouverture de leur "ligne polaire" (Voyez encore ici les guillemets) a familiarisé le public avec l'intérêt de ces nouvelles liaisons. Les exploits tout récents du Nautilus et du Skate, sont encore suffisamment présents à l'esprit pour qu'il ne soit pas nécessaire de rappeler ici l'importance de leur périple; par contre, les progrès de la navigation de surface dans les régions polaires sont passés beaucoup plus inaperçus.
Et pourtant, au cours de ces dernières années le problème a beaucoup évolué. Du côté des U.S.A., plusieurs tentatives ont été récemment faites pour relier l'Atlantique au Pacifique en passant par l'extrême-nord du continent américain. C'est ainsi que, en 1954, le bateau canadien Labrador mit 27 jours pour relier Halifax à Esquimaulc en empruntant le "passage du Nord-Ouest". Les renseignements météorologiques et géographiques rapportés par le Labrador permettent de supposer que l'état des glaces rendra ce passage praticable pendant plusieurs mois par an...
...Le matériel nécessaire à ces installations a été soit parachuté, soit amené avec des frais et des pertes incroyables par des trains de traîneaux motorisés. Pour leur ravitaillement, ces bases continuent à dépendre de la voie aérienne ou terrestre. Tant pour étendre fortement cette infrastructure polaire que pour assurer un abaissement de son coût d'entretien. Le transport maritime par le passage du Nord-Ouest s'avère d'un puissant intérêt.
Les Russes ont naturellement, de leur côté, les mêmes problèmes. II s'y ajoute pour eux un intéret économique de liaison entre Vladivostok et le nord de l'Atlantique ainsi que pour l'évacuation de certaines productions sibériennes. Aussi ne doit on pas s'étonner de ce que, la Nature aidant, (le passage du Nord-Est semble plus libre de glace que celui du Nord-Ouest), le problème de la navigation polaire est très avancé de l'autre côté du Rideau de Fer.
Une escadre de brise-glace s'efforce de maintenir libre un chenal tout le long de la côte sibérienne, et, la plupart des étés, depuis quelques années, l'Océan Glacial Arctique est le siège d'une navigation de cargos portant sur des tonnages nullement négligeables.
C'est pour moderniser et renforcer cette flotte de brise-glace que fut mis en chantier à Leningrad, le brise-glace atomique Lenine. L'intérêt de la propulsion atomique pour un brise-glace est évident. Ce navire a besoin, pour rompre la banquise, de disposer de puissance considérable; de plus, il évolue dans des zones où son ravitaillement est difficile et coûteux. I1 était donc logique que les Russes lancent comme premier navire atomique un tel bâtiment. C'est le seul, ont-ils dit à Genève, dont l'intérêt économique soit dès maintenant certain.
I1 semble, d'autre part, qu'une fois la décision prise de lancer ce brise-glace géant (son tonnage est de 16 000 tonnes contre 11 à 12 000 tonnes pour les plus gros brise-glace classiques actuellement en service), un projet audacieux soit né dans l'esprit des dirigeants soviétiques : lui faire conquérir le Pôle.
La chose a été préparée d'assez longue date. II s'agissait de trouver une voie d'accès vers le Pôle où l'épaisseur des glaces ne fût pas excessive. C'est le professeur Lapoff, de l'Académie des Sciences de Moscou, et le Colonel Ratentrine qui ont, au préalable, entrepris l'indispensable expédition pour reconnaître un trajet polaire combinant des moyens aériens et sous-marins....
...Une exploration aérienne permettait tout d'abord de repérer une zone où la banquise était suffisamment fracturée pour que l'on puisse espérer y faire émerger un sous-marin. ( Note du Webmaster : Avec un peu de chance ces hélicos auraient pu découvrir un passage, conduidsant à la mer libre tel que :
Comme on le voit sur cette photo satellite (nous en dirons plus, une autre
fois, sur cette extraordinaire photo), il existe bien une zone libre de glace dont la flèche rouge, nous montre, un passage y accédant (des dizaines d'articles d'ARTivision le démontrent) :
Cette mer libre est donc immense et est reliée au vortex polaire, que nous cachent nos gouvernements pour de vulgaires questions de prestige national, et militaire, et surtout pour assurer et pérenniser leur devise scélérate "Diviser pour mieux régner", et pour nous mener par le bout du nez. De plus des scientifiques pour ne pas salir leur réputation, cautionnent cette mystification, et nous le démontrerons plus bas...
...Mais cette fois les U.S.A. ont pris leurs dispositions pour ne pas se laisser distancer. Cela nous a valu les téméraires exploits du Nautilus et du Skate qui se sont déroulés dans des conditions assez peu classiques pour la nation américaine : d'une part, le secret a dominé l'opération, d'autre part l'excès de prudence habituel qui oblige les U.S.A. à procéder par lentes étapes successives a été ici violé. Après une courte incursion sous la banquise en octobre dernier, le Nautilus s'est lancé dans l'inconnu au sein d'un océan dont les fonds étaient presque totalement ignorés. ( Note du Webmaster : Ça c'est l'auteur George Lacoste, qui s'imagine que les fonds étaient ignorés. S'il s'était renseigné sur les découvertes du contre Amiral Byrd, il aurait mis aussi là des guillemets à son expression. En effet d'abord il aurait dû savoir que, ces fonds polaires, n'étaient pas si ignorés que cela, puisque nous l'avons vu plus haut, l'explorateur Nansen en avait mesuré la profondeur à certains endroits, et elle atteignait près de 4000 m, puis il y avait aussi détecté un courant puissant allant du détroit de Bering à l'Atlantique, et même il en avait déduit qu'il existait un courant d'eau chaude à quelques centaines de mètres de la surface etc...
Mais de plus, ce Monsieur George Lacoste aurait pu en 1958 savoir, que le Gouvernement américain, était parfaitement au courant, depuis belle lurette, du fait que le vice Amiral Richard E. Byrd, avait découvert une région inconnue, au-delà du Pôle Nord. Puis, ce fut une affaire analogue au-delà du Pôle Sud, et là, nous avons beaucoup plus de documents qui le prouvent, pour le Pôle Nord.
Maintenant que la preuve éclatante a été faite des possibilités de la flotte sous-marine atomique les U.S.A. vont entreprendre une politique systématique d'amélioration du rendement des propulseurs, quitte à prendre le risque d'avoir des réacteurs un peu moins robustes. Le réacteur du Nautilus est un véritable gouffre sur le plan économique. Sa première charge qui lui a permis de parcourir 42 500. milles a coûté 4 millions de dollars. Même si l'on admet que l'uranium résiduel pollué garde 50 % de sa valeur financière le prix du CV heure ressort à 10 fois celui du CV/heure fourni par un moteur classique.
Fort heureusement les choses évoluent rapidement. Déjà, on commence à publier quelques chiffres sur les nouveaux réacteurs qui vont équiper les prochains submersibles: or, ces chiffres sont très encourageants. Le capitaine Anderson, commandant- le Nautilus, et qui est lui-même ug spécialiste des questions nucléaires, a déclaré ré cemment à New York que les nouveaux réacteur produiraient de l'énergie qui serait à peine deux) fois plus chère que celle que produisent les pro pulseurs d'un sous-marin classique.
Certes, il faut bien se dire que le calcul du prix) de l'énergie atomique outre-atlantique est faussi par le tarif artificiel de l'uranium enrichi. Toutefois, si nous nous en tenons aux déclarations du capitaine Anderson, nous devons remarquer que le prix du CV/heure auquel il fait allusion semble bien être celui des moteurs diesel actionnant les sous-marins en surface.
Pour les plongées profondes, le problème changi du tout au tout. En effet, les accumulateurs soni des engins à très mauvais rendement; les pertes dues à leur charge et à leur décharge atteignet pratiquement 50 % dans les conditions d'exploitation d'un sous-marin. Ainsi, le prix de l'énergie en plongée est-il doublé par rapport à celui de l'énergie fournie directement par les diesels au), arbres d'hélices. Dans ces conditions, la propulsior nucléaire en plongée n'apparaоtrait pas comme plus coыteuse que celle des sous-marins classiques
Ces conditions, valables pour les militaires résignés à payer plus cher la propulsion sous-marine, restent-elles valables pour le cargo ?... Dans le cas assez particulier des routes polaires, la réponse est positive puisque, nous l'avons vu, la solution sous-marine permet précisément de raccourcir de moitié environ la longueur classique des itinéraires. La dépense énergétique resterait donc identique à celle d'un navire classique transportant les marchandises entre Paris et Los Angeles par exemple, tandis que les autres frais comme ceux de l'équipage et l'immobilisation du navire se trouveraient toujours divisés par deux du fait de la réduction du parcours.
LE GLAS A SONNÉ POUR LES NAVIRES DE SURFACE.
Où en est la France, dans le domaine de la navigation sous-marine atomique ? La Marine Nationale a mis en chantier un premier sous-marin atomique de 5 450 tonnes. Malheureusement, la date d'achèvement de ce bâtiment ne peut être fixée pour le moment. En effet, pour équiper son réacteur, si nous ne voulons pas mettre à flot un navire totalement dépassé sur le plan technique, il nous faut de l'uranium enrichi, car les U.S.A., seuls fournisseurs possibles à l'heure actuelle, ont une règle absolue : pas un gramme de ce produit ne peut être cédé pour un usage militaire. On sait que la France a présenté à Genève, le mois dernier, ses projets pour la réalisation d'une usine franзaise de séparation isotopique. Même si la construction de cette usine, démarrait avant l'an prochain, il faudrait compter un délai assez important pour son achèvement et sa mise au point, puis pour que sa production cummulée fournisse le tonnage nécessaire à un réacteur de sous-marin. En admettant, bien entendu, que le sous-marin dispose en matière de combustible enrichi, d'une priorité absolue.
En attendant, la France dispose toutefois d'un biais intéressant pour se familiariser avec les moteurs atomiques marins. Celui d'entreprendre la construction d'un navire de commerce atomique, d'un pétrolier, par exemple. Dans ce cas alors, les U.S.A., qui nous ont déjà fourni de l'U 235 à diverses concentrations pour nos réacteurs de recherche, ne refuseront pas la livraison du combustible nécessaire. La France pourra alors se familiariser avec la construction de réacteurs à hautes performances. Au moment où; notre propre production de combustible enrichi sera suffisante, nous pourrons aborder sans tвtonnement l'équipement de notre premier sous-marin atomique.
A moins que d'ici là, l'idée du cargo sous-marin fasse de tels progrès, qu'il devienne possible, sans invraisemblance, de solliciter des U.S.A. la fourniture d'uranium enrichi pour l'équipement d'un navire sous-marin qui n'aurait pas une destination militaire...
L'amiral Monsen n'a-t-il pas déclaré récemment aux États-Unis : "Le glas a sonné pour les navires de surface. La transformation des navires sera évidemment progressive, mais elle sera totale et s'accomplira aussi bien dans les flottes marchandes que polir les navires de combat." Dès que la technique le permet, l'homme a, en effet, tout intérêt à quitter la limite perturbée de l'air et de la mer pour naviguer dans le grand calme qui règne sous le miroir de la surface.
Fin de citation
En conclusion, on a bien lu plus haut que : LE GLAS A SONNÉ POUR LES NAVIRES DE SURFACE.. Donc L'homme propose, et cependant c'est le Maître du Temps qui lui, dispose. Pas un seul de ces cargos sous-marins, si bien décrits plus haut, n'a vu le jour alors que le monde du commerce est très puissant, et n'hésite pas une seconde pour faire valoir ses droits. Certains diront vite fait, que la technologie n'était pas encore au point dans le temps qui a suivi cet exposé du sieur Georges Lacoste, ou que cela n'a pu se réaliser pour d'autres raisons économiques non connues etc...
Le site ARTivision, pense que nos progrès en Informatique et consorts,, nous auraient vite permis de surmonter les difficultés inhérentes à la construction de ces cargos sous-marins. Mais ARTivision affirme aussi, que le passage sous le Pôle de nombreux sous-marins"était bien trop dangeureux ", pour que l'on s'y risque, à cause bien sûr du vortex polaire, qui s'y manifeste à certains moments.
Enfin rappelons que Brinsley Le Poer Trench avait écrit en 1974, ( comme croyait W. Reed), dans son livre cité plus haut :
"le pôle Nord n' est pas un point reel, mais il est virtuellement localisé au cœur de la grande entrée polaire".
Le siteARTivision, a démontré que cette assertion n'est pas correcte, car on sait maintenant, que le disque représentant le vortex polaire en question, ne se juxtapose pas juste au-dessus du Pôle Nord.
et (on l'a déjà vu plus haut), qu'il existe bien un Pole Nord géographique, tel que d'après le site ( http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm), on a appris
que l'axe polaire de rotation, n'est pas confondu avec l'axe passant par le centre des trous polaires, comme l'indiquerait le schéma :
Une fois de plus, à vous de juger, toute cette affaire de sous-marins en ballade sous la banquise, documents à l'appui.
Mais ce 26 Février 2016, analysons le quatrième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre Quatrième focus correspondant
:
Notre modeste traduction donne :
" Le plancher de l'océan arctique a été passablement répertorié et cartographié.- aucune trace d'une quelconque ouverture polaire n'a été trouvée. "
Encore bravo, pour cette confiance absolue que ce Mr John M. Prytz accorde aux dirigeants de son pays. S'il s'était aussi intéressé à la Lune, il verrait assurément, que l'on nous ment au plus haut niveau, et par exemple, il découvrirait cette photo extraordinaire et très rare, du cratère Copernic, tirée de l'ouvrage publié en 1969 (donc avant son laius, que nous étudions actuellement) , "The Moon" de Mr Zdenek Kopal publié chez l'Editeur D. Reidel à Dordrecht:
On y voit clairement dans le cercle indiqué un engin indiscutablement non naturel, entrain de raboter la partie droite de Copernic. Il va sans dire, que cet engin peut parfaitement être sans roues et antigravitationnel, c'est-a-dire qu'il utilise des énergies inconnues de nous, pour extraire du sol du cratère, des minéraux utiles aux occupants.
Si l'on sait que ce cratère Copernic mesure environ 93km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur, près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à : 12 km. Comment donc il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues ...
Mais pour le puriste, extrayons du site :
, quelques éléments académiques, concernant les fonds de ce bassin Arctique :
"L’océan Arctique, ou océan glacial Arctique, s'étend sur une surface d'environ 14 millions de km2, ce qui en fait le plus petit océan. Il recouvre l'ensemble des mers situées entre le pôle Nord et le nord de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique. Il communique avec le nord de l'océan Atlantique, recevant de grandes masses d'eau à travers la mer de Barents et le détroit de Fram. Il se trouve aussi en contact avec l'océan Pacifique à travers le détroit de Béring
.
La banquise le recouvre en grande partie avec des variations saisonnières. En son centre, la banquise mesure jusqu'à 4 mètres d'épaisseur. Cette épaisseur est atteinte par le glissement de plaques de glace les unes sur les autres. Sa surface et son albédo tendent à se réduire en raison du réchauffement climatique et d'un réchauffement régional (deux à trois fois plus rapide que dans le reste du monde pour la période 2010-2014) qui cause aussi une hausse de l'absorption du rayonnement solaire par cette région du monde, ce qui pourrait accélérer le réchauffement de l'eau et la libération d'hydrates de méthane "
Et pour les specialistes en géographie bien connue :
Nous ne sommes pas compétant pour discuter les détails mentionnés ci-dessus . Par contre, voila un autre carte qui ne coure pas les rues, et qui vient du site, on le devine bien, ARTivision.
On voit là parfaitement, où est situé le trou polaire et dont le diamétre varie ( On verra cela plus bas)
Mais pour être plus clair dans cette affaire, présentons ici cette photo très surprenante, que l'on trouve dans de très nombreux articles de notre site, et qui fut déjà esquissée plus haut:
Après quelques recherches, nous avons appris, il y a quelque temps déjà, que cette photo aurait été captée par un radio-amateur
d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque,
au Centre Spatial de
Garchlingen ( Bayern )
et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Cette
photo a été copiée plusieurs fois et on la trouve aussi sur un site au graphisme admirable, et dont l'url est :
.
Nous ne savons toujours pas si cette photo est un habile montage ou pas, mais pour nous, les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser, même pour faire de la désinformation, une telle photo. Nous avons, tout de même, osé placer cette photo dans certains de nos articles, et en particulier dès le 21/04/2004 à l'article:
Donc le site ARTivision, a aussi été le premier sur le Net Français, à présenter, une analyse pointue, de cette image, faite gratuitement par un infographiste qualifié :
"Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière
ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son
intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal
pour une lumière réfléchie.
Seule une image extrêmement complexe utilisant
du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un
nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.
Mais
vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et
d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils
d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses... "
Si cela s'averrait exact, nous serions là, en
présence d'un document exceptionnel et inestimable.
Maintenant, il suffit pour comprendre que les choses bougent en ce moment, de jeter un bref coup d'œil dans une librairie moderne, pour y découvrir cette incroyable ouverture polaire, dans les opuscules qui fleurisent en ce moment, sur la thèse de la Terre creuse que le site ARTivision, fut l'un des premiers à présenter sur le Net français dès Septembre 2000.
Voyez vous-même ceci : :
Donc cette photo très surprenante se retrouve, sans explication aucune, dans les trois opuscules présentés ci-dessus. Les deux premiers de gauche présentent la photo en noir et blanc (respectivement page 16 et 52) et le 3e, bien plus agréable à voir en couleur, (page 23).
Pour nous, les protagonistes des opuscules précédents , ont dû prendre en compte l' analyse pointue de notre très aimable infographiste (sans, nommer une seule fois, notre site), pour oser présenter à nu, cette photo hors norme, dans leur fascicule.
A vous de juger, une fois encore, documents à l'appui...
Mais ce 27/02/2016, poursuivons notre étude du bassin polaire Arctique, et nous allons voir encore, qu'il s'y passe des choses très significatives, que l'on nous cache absolument en haut lieu.
Mais reprenons le texte de Wikipedia tel que :
" La banquise le recouvre en grande partie avec des variations saisonnières. En son centre, la banquise mesure jusqu'à 4 mètres d'épaisseur. Cette épaisseur est atteinte par le glissement de plaques de glace les unes sur les autres."
A aucun moment il n'est fait état, dans cette banquise, de cette mer polaire libre de glace, que de multiples explorateurs affirment y avoir rencontrée.
D'ailleurs voici une image très officielle et cartographique, qui figure dans un livre, qui était réservé aux élèves de 6 éme, et publié en 1977 par Fernand Nathan :
Vous avez bien noté, dans la légende, que cette carte, place le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la "banquise permanente", alors que le site ARTivision, prétend démontrer que ce Pôle Nord, se trouve dans une "Mer libre de glace". Reste à savoir, pourquoi nos gouvernements, nous cachent cette mer libre du Pôle Nord, dont il est question dans de très nombreux articles de notre site.
Or, sur les photos de la NASA, montrant la zone polaire nord, pas une, ne montre cette mer libre autour du pôle, dont parlent pourtant de très nombreux explorateurs, qui ne peuvent en aucun cas être des affabulateurs.
Mais, c'est dans l'exceptionnel ouvrage "The Smoky God" de 1908 (voir notre article : SmokyGod.html), que l'on découvre un extraordinaire voyage au Pôle Nord :
Pour voir ce qu'il y avait là, le navigateur norvégien, Olaf
Jansen, et son pêre, se sont dirigés vers le Grand Nord, avec leur sloop de pêche, à une certaine période de 1829.
Alors Olaf, nous dit ceci, à un moment particulier du voyage :
Et, nous voilà donc, en plein milieu de cette affaire de mer libre du Pôle, niée actuellement par nos universités, mais longuement évoquée, par de très nombreux explorateurs polaires comme Greely, Nansen, Hall, Wrangell, Edward Parry, Ingleflied, Kane, Hayes ...etc...
Ce dernier, Isaac Israël Hayes, était un explorateur, né à Chester (Pennsylvanie) le 5 mars 1832, mort à New York le 17 décembre 1881. Médecin en 1853, il prit part en cette qualité à une expédition de Kane au pôle Nord.
Nous avons de lui l'ouvrage suivant :
, ouvrage de 1877, qu'en 1984, par une chance inouie (Merci à Super Hasard, car cette chance est sans doute mieux que celle de gagner le gros lot au Loto) , nous avons trouvé, en Guadeloupe, dans une vieille malle à 600 m de chez nous. Il y manquait
18 pages, de la Préface, que nous avons pu heureusement faire photocopier à la Bibliothèque Nationale de Paris. Pour en savoir plus sur cette affaire prière de consulter notre page :
On trouve alors ceci, aux pages 188 à 189 :
" Tout le démontrait: j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "
et le 19 Mai 1861:
" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une fascination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "
Fin de citation
Tout ce qui est raconté ci-dessus, est superbement rassemblé dans une gravure montrant ce fantastique paysage, qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez Hayes et son compagnon. Voici donc cette gravure sublime, représentant en page 190 bis, cette surprenante Mer libre du Pôle :
Il nous reste cependant, à bien analyser cette gravure dans ses détails les plus fins, et surtout en ce qui concerne les oiseaux , dont nous parlerons plus bas.
Et en couleur c'est mieux, grâce à la une petite contribution de notre ami Christian C....... qui réalise d'amirables aquarelles (Aquarelle et
voyage):
Mais voici aussi ce que nous dit au sujet de cette mer libre, le grand explorateur, le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin (28 Février 1820 – 16 Février 1857) de la Marine des USA, et fut un très grand explorateur polaire du 19 e siècle.
On sait qu'il publia en 1857, cet ouvrage connu que l'on peut trouver sur le site :
Et pour les puristes, voici en anglais, le paragraphe surprenant qui nous intéresse :
Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :
" Il est
impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation
augmentant de plus en plus, l'élévation du
thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les
modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre
la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on
découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des
observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de
la mer libre du pôle.
Alors chers détracteurs zélés, sauf de dire que Dr Elisha Kent Kane et Isaac Israël Hayes étaient plutôt timbrés, nous attendons votre réponse...
Il y a aussi des chercheurs qui, tout en n'étant pas des explorateurs, ont largement évoqué cette mer libre, dans leurs investigations, comme Buffon, Boiteau, Jules Gay, J-p Bellot, Daines Barrington etc...
Tous ces gens ne peuvent avoir menti, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas avec la rigueur morale.
Mais pour les puristes, qui aiment remonter aux sources, voici aussi un document très significatif à cet égard :
Donc, juste au début on découvre que : " le 20 Octobre .- Des rapports complets de la dernière expédition allemande vers le Pôle Nord ont été publiés. Il y est fait état que l'expédition fut un succès. Une mer polaire fut découverte libre de glace et grouillant de baleines...".
Nous devons maintenant ici, fustiger , l'explorateur Français Paul Émile Victor, qui a critiqué très sévèrement l'explorateur américain Israel Isaac Hayes, au sujet de cette mer libre. Voir alors cette triste affaire, à notre article :
Ce Paul Emile Victor, est décédé le 7 Mars 1995 à Bora Bora, et il aurait sans doute changé d'avis ( à moins qu'il ait été parfaitement au courant, mais qu'il ait eu, des Secrets d'État, à camoufler), s'il avait eu, le privilège comme nous, d'avoir sous la main, la missive extraordinaire en date du 18 Mai 2003 (mais hélas il n'était plus de ce monde), qui suit. Remarque : le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux urls :
Pour le 19 Mars 2003 à :
Pour le 9 Janvier 2006 :
et aussi à d'autres dates).
En effet, le 18 Mai 2003, nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les couleurs sont de nous,
évidemment) :
----- Original
Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent:
Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle
Nord
Bonjour Fred
Pas de glace au Pôle Nord
Philippe
Gauthier
Fin de citation
Voilà donc un fantastique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante qui n'a eu aucun écho dans la Presse, ayant pignon sur rue.... Devinez alors pourquoi une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe. Ce communiqué montre ainsi bien, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, ne dit pas autre chose, sur la mer libre du pôle, que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom (vu plus haut et dont voici encore une présentation, étant donnée son importance :
Parlons maintenant d'une émission de I Télévision en
Décembre 2002 (nous n'avons pas hélas noté le jour
exact), où le Dr Jean-Louis Etienne a déclaré que, au dessus de son abri déposé au soi-disant Pôle
Nord, il avait vu passer à son grand étonnement
, au dessus de sa tête, trois sortes d'oiseaux qui
circulaient dans le coin.
Notre question est la suivante : "Que faisaient ces oiseaux, si loin dans le nord, où l'on ne trouve que des étendues glacées et neigeuses, et où en principe, il n'y a
rien à manger, et de plus on aimerait savoir, où ils se dirigeaient ? ".
Voilà les questions qu'un téléspectateur avisé, aurait dû poser à l'explorateur, plutôt que de lui parler de banalités.
Le problème qui s'attache aux
expéditions de J.L. Etienne, et à tous ceux qui
prétendent être allés au pôle, est qu'ils font le calcul en considérant la Terre
comme une vraie sphère un peu aplatie aux
Pôles et donc, il suffit de mesurer par des procédés
géographiques, la distance parcourue, pour dire après, que l'on a
atteint le point clef, que l'on croit être le sommet de la Terre.
Reprenons les indications se trouvant sur la carte Nathan de 1977, déjà vue plus haut ;
Imaginons donc que l'on veuille faire la distance la plus courte présentée ici, pour relier le Pôle Nord. En partant de la côte soviétique, et en faisant à vol d'oiseau 1600 km, bien mesurés avec nos appareils et nos calculs de position, on croira être arrivé au Pôle, soit très facilement par avion comme Byrd le pensait, soit beaucoup plus difficilement avec des
traîneaux de chiens, comme ont cru l'avoir fait tant d'explorateurs polaires, dont beaucoup ont laissé leur vie à cause du froid intense qui règne sur la banquise, soit même en passant sous la banquise comme prétend l'avoir fait le sous-marin américain le Nautilus le 3 Août 1958.
Puis, il suffit de planter un drapeau au bout de ces 1600 km et de sauter de joie en disant que l'on était enfin arrivé à ce point mythique. Ensuite, il ne reste qu'à faire demi-tour, ou même à longer le bord supérieur de la concavité, pour ressortir de l'autre côté ( pour ceux qui
prétendent avoir traversé de part en part toute la banquise) sans s'apercevoir pour cela qu'il
y a une inclinaison notoire du sol dans ces régions immenses qui font plusieurs fois la superficie de la France.
Evidemment, on ne peut avoir tenu compte dans les calculs d'approche de ce point mythique de la concavité polaire, dont on ignore jusqu'à l'existence.
Mais pour clore ce 4ème focus, présentons ici une disgression, très significative , pour ceux qui trouvent comme P-E Victor et consorts, que les épanchements lyriques de Hayes, ne devaient pas être de mise devant le
spectacle fabuleux que lui offrait cette mer libre du pôle au sommet du monde. Voici, à contrario, ces quelques lignes extraites d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973:
Là, comme on le voit, nous passons d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine s'exprime avantageusement, selon nous, pour Hayes, voici que pour Neil Armstrong, dans une situation encore plus extraordinaire, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre, (et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet,
le souffle coupé devant un tel paysage
d'outre-Terre), ce dernier, en véritable robot, refuse même de dire devant ces interlocuteurs seulement que la Lune est belle.
Voilà, Messieurs les journalistes intrépides, un sujet d'article passionnant que représente ce parallèle à faire, entre deux explorateurs, si opposés dans leur conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants en Psychiatrie, Psychologie ou autre Philosophie, une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance, sur une étude comparative de ces deux modes d'expression, des explorateurs précités...
Fin de la digression.
A vous de juger tout cela, une fois de plus, documents à l'appui... .
Mais ce 29 Février 2016, analysons le cinquième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre cinquième focus correspondant
:
Notre modeste traduction donne :
" S'il existe une ouverture polaire, la circulation des courants océaniques mondiaux, en serait affectée."
Pour illustrer cette affaire de courants marins adressons nous par exemple (il y a d'autres sites de même nature), au site très académique de Jean-louis Étienne tel que:
On y découvre alors les paragraphes partiels suivants :
L’océan Arctique, centré sur le pôle Nord géographique, couvre environ 13 000 000 km2. Ses fonds ne sont connus que depuis quelques dizaines d’années. Sorte de Méditerranée boréale quasi fermée par le détroit de Béring, il est enserré par les grands continents de l’hémisphère nord et ne s’ouvre largement que vers l’océan Atlantique, entre le Groenland et la Scandinavie.
Le centre de l’océan Arctique est occupé par des cuvettes profondes de 3 000 à 5 000 m, séparées par des chaînes sous-marines dont les sommets culminent à près de 1000 m sous la surface. Cette morphologie complexe reflète une histoire géologique longue et tumultueuse.
L’océan Arctique est une sorte de cul-de-sac de l’océan Atlantique dont il est le prolongement naturel. La large ouverture entre Groenland et Spitzberg permet de vastes circulations de masses d’eau, tant en surface qu’en profondeur. Ce brassage génère d’importants échanges de chaleur, clefs du climat de l’hémisphère Nord.
Le fond de l'immense cuvette océanique boréale communique par un étroit sillon sous-marin (fosse de la Léna, dont la profondeur maximale dépasse 4 000 m) avec un deuxième domaine, le bassin scandinave, trois fois plus petit, qui s'étend entre le Svalbard, la Norvège, l'Islande et le Groenland. Ce bassin scandinave est, lui, largement ouvert sur l'Atlantique de part et d'autre de l'Islande.
L'eau qui pénètre dans l'océan Arctique par le détroit de Béring, poussée par le courant giratoire de la mer de Béring, est réduite à une couche superficielle (seuil d'une quarantaine de mètres de profondeur) ; côté Atlantique en revanche, la branche du puissant courant nord atlantique, qui rentre le long de la Norvège, est large généreuse (seuils vers -200 m et -500 m, soit une "ouverture" 200 fois plus importante qu'au détroit de Béring). Ainsi, si l'océan Antarctique est le rond-point des eaux océaniques mondiales, l'océan Arctique, au contraire, en est en quelque sorte le cul-de-sac, le point de rebroussement.
Les sorties d'eau se font essentiellement de deux façons : en profondeur, de la mer de Norvège vers l'Atlantique, et en surface par les courants du Groenland et du Labrador. Pratiquement rien ne ressort par le seuil de Béring vers le Pacifique.
En profondeur, la circulation océanique arctique est très différente de celle de la surface.
Toutes les eaux venues de l'Atlantique Nord y retournent, car la sortie vers le Pacifique est condamnée. Au niveau du Svalbard, les eaux atlantiques, plus salées et plus denses quoique moins froides, plongent sous les eaux polaires formées en surface dans le vaste bassin arctique ; cette plongée est nettement marquée par une frontière hydrologique sinueuse : le front polaire. Là, ces eaux pénètrent en profondeur dans le vaste bassin boréal, où on les reconnaît à leur température toujours positive et leur salinité supérieure à 35 %. Cette masse d'eau intermédiaire longe tout d'abord le talus eurasiatique, puis, piégée dans les bassins sous-marins successifs, s'en retourne et ressort par le profond sillon de la Léna vers le bassin Scandinave et la mer du Groenland.
Tout au fond du bassin eurasiatique - le plus profond - une couche d'eau de température négative, formée au niveau du plateau continental, demeure piégée, ne pouvant franchir la chaîne de Lomonossov.
En général, une couche superficielle d'environ 150 m d'épaisseur, relativement douce (à cause des apports environnants) et dont la température demeure toujours négative, recouvre une couche intermédiaire qui descend jusque vers 900 m, plus chaude (> 0° C) et plus salée (>35%°); puis jusqu'au fond, circule une couche profonde à peine moins salée, mais de température à nouveau légèrement négative.
D'autres subdivisions, parfois saisonnières, apparaissent dans les mers nordiques.
Le fond des seuils sous-marins nordiques sont marqués par les courants (à gauche), alors que les plaines, calmes, ne le sont pas (à droite).
Au fond de l'océan Arctique, l'eau peut s'en échapper vers le sud en débordant au-dessus des seuils sous-marins du détroit du Danemark et des îles Féroé. Ainsi naît le courant de fond de l'Atlantique Nord, qui s'écoule en véritables "cataractes géantes" sous-marines.
Au sud du seuil groenlando-islandais, l'eau forme une cataracte de 2 000 mètres de dénivelé et de 200 km de large ; vers 3 500 m de profondeur, elle constitue l'eau profonde de l'Atlantique Nord. Pendant sa descente, l'eau de la cataracte se mélange probablement avec de l'eau plus chaude (venue en particulier de la Méditerranée occidentale), de sorte que l'eau profonde de l'Atlantique Nord est un peu plus chaude que l'eau de fond antarctique, qui arrive, elle, du sud, et forme une couche distincte au-dessus.
Ces cataractes ont un débit au moins 25 fois, plus que celui de l'Amazone !
Les océans ne sont pas immobiles. Au contraire, courants de surface et courants profonds les animent en permanence.
Les courants de surface (0,1 à 0,5 m/s) sont entraînés par l'action des vents ; les courants profonds, beaucoup plus lents, sont dus aux différences de densité de l'eau de mer, réglées par les températures et les salinités. Tous ces courants sont, lors de leurs déplacements, déviés par la rotation du globe (force de Coriolis).
L'océan reçoit beaucoup de chaleur sous les tropiques. De là, les courant de surface transportent les eaux chaudes vers les hautes latitudes, où la chaleur est restituée à l'atmosphère. Ensuite, l'eau, refroidie et donc plus lourde, plonge en profondeur et repart vers les tropiques, emportée par la circulation profonde (eau profonde nord atlantique par exemple).
Les masses d'eau océaniques tempèrent ainsi les rigueurs des régions froides et modèrent la température des régions chaudes. Comprendre la circulation océanique mondiale c'est donc mieux comprendre les climats de la Terre ; et toute variation océanique altère les climats.
Courant circumpolaire Antarctique : 130 Sv*
Gulf Stream : 90 Sv
Cataracte sous-marine du détroit du Danemark : 2,5 à 5 Sv
Courant de Béring : environ 1 Sv
Tous les fleuves du monde : 1 Sv
* 1 Sv (Sverdrup) = 1 million de m3/s
Les marées sont dues à l'attraction qu'exercent la Lune et le Soleil sur la masse d'eau des océans. Mais cette explication - même en tenant compte de l'inertie, des frottements. - ne suffit pas à retrouver par le calcul les rythmes et les marnages peu croyables que l'on observe, par exemple, en Nouvelle - Écosse canadienne (jusqu'à 16 mètres en baie de Fundy !).
En effet, l'attraction lunaire seule "soulève" les eaux d'environ 50 cm ; le Soleil - bien plus massif mais tellement plus lointain - rajoute sa contribution : une vingtaine de cm. Mais le reste ? C'est essentiellement le résultat d'une amplification locale, due à la forme des côtes et la remontée des fonds : une résonance. Au fond d'un golfe, ou d'un entonnoir côtier en pente douce, le balancement de la marée se réfléchit sur les parois et "résonne" donc (oscillations forcées), ce qui peut décupler l'amplitude du phénomène initial.
Les oscillations des marées génèrent bien sûr des courants, parfois très puissants ; par exemple, entre les îles de Barents et d'Edge. En frappant les pentes des talus continentaux du nord de l'Eurasie, les marées créent également des tourbillons - sortes de mini cyclones aquatiques - qui s'enfoncent profondément dans toute la hauteur d'eau (vortex).
Au milieu des océans, les marées existent aussi, mais en l'absence d'île, rien ne permet de s'en rendre compte (les bateaux montent avec le niveau de la mer...). Les scientifiques mesurent ce battement du niveau océanique en immergeant sur le fond des appareils enregistreurs (marégraphes) sensible à la pression de la colonne d'eau qui les écrase : une méthode qui donne la marée au centimètre près.
Sous l'effet de l'ensemble de ces phénomènes, le niveau des océans semble chaque jour se balancer et tourner autour de points fixes : ces points de marée nulle sont dits amphidromiques (du grec amphi et dromos, qui court autour) et les lignes qui permettent de suivre les amplitudes au fil des heures, des lignes cotidales, c'est-à-dire d'égale marée (de l'anglais tide, marée). Les océanographes représentent leurs résultats sous formes de cartes où ces points et lignes apparaissent, exprimées en "heure cotidale" ou degrés de longitude à partir du méridien de Greenwich (Temps Universel).
- Un litre d'eau froide est plus lourd qu'1 litre d'eau chaude; un litre d'eau très salée, est plus lourd qu'1 litre d'eau moins salée. Les différences de densité - liées aussi à la pression c'est-à-dire à la profondeur - semblent infimes : quelques dizaines de kilos par tonne (1m3). Mais cela suffit pour faire plonger ou surnager les diverses masses d'eau océaniques... que les physiciens repèrent et suivent, précisément, grâce à leurs "signes particuliers" : température et salinité.
- Une diminution de température de 10 °C fait croître la densité de l'eau de mer autant qu'une augmentation de salinité de 2 g/l, ou qu'un enfoncement de 2 ou 300 m dans les profondeurs. Ainsi, une eau polaire superficielle de densité de 1,027 par exemple, passerait à une densité de 1,022 à l'équateur, mais à 1,050 vers 5 000 m de profondeur.
- En Arctique, c'est la salinité de l'eau de mer qui conditionne les plongées d'eau à très grande profondeur, plus encore que la température. En effet, si la salinité de surface de l'océan est faible - en raison par exemple d'un excès de précipitations ou d'apports d'eau douce par les fleuves - la glace va pouvoir se former sur la mer avant que la densité de l'eau n'ait atteint une valeur suffisamment élevée pour lui permettre de plonger à grande profondeur. Or, une fois formée, la glace de mer bloque les échanges océan atmosphère, ce qui arrête alors la formation d'eau profonde...
Fin de la citation partielle
Comme tout cela est magistralement bien dit , mais laisse perpléxe notre petit cerveau qui demeure dans une indéniable ambigüité. Voici une missive reçue le 28/02/2016, de notre bonne amie Nicole :
---- Original Message -----
From: Nicole
To: fredidylle
Sent: Sunday, February 28, 2016 1:28 PM
Subject: Océan Arctique - presence d'eau douce
Bien cher Fred,
Comme dit J.L. Etienne : "En effet, si la salinité de surface de l'océan est faible - en raison par exemple d'un excès de précipitations ou d'apports d'eau douce par les fleuves - la glace va pouvoir se former sur la mer avant que la densité de l'eau n'ait atteint une valeur suffisamment élevée pour lui permettre de plonger à grande profondeur."
Votre question: Selon J.L. Etienne L'eau douce surnagerait l'eau salée à certains endroits de l'ocean Arctique. Est-ce correct ?
L'eau salée gèle à une température inférieure à 0°C, et l'abaissement de température de congélation dépend de la concentration en sel. Ainsi, l'eau de mer gèle à -1,9°C pour une salinité de 35g/l. Lorsque de l'eau salée gèle, la glace ne contient pas de sel. Les ions du sel n'arrivent pas à se placer dans la structure de la glace.
C'est parfaitement clair qu'étant donné que l'eau salée une fois gelée ne contient pas de sel il serait normal qu'elle se nomme "eau douce" plus ou moins douce selon le degré de salinité local prévalant au moment de la baisse de temperature et qu'elle forme la banquise. Ainsi que le dit Olaf Jansen je cite ARTivision ...
Ce phénomène se passe quand une couche superficielle d'eau douce surnage sur l'eau de mer salée et cette eau douce glisse avec le bateau sur la mer plus lourde du dessous comme si cette mer constituait une couche fixe.
Ce manteau d'eau douce congelée peut eventuellement se transformer en eau douce liquide lorsque la masse se trouve proche des massifs continentaux - effet des vents, réchauffement de l'air, débit des fleuves accru par une hausse de temperature faisant fondre la neige des sommets etc..
Dans des conditions polaires courantes cette eau douce n'est pas sous forme liquide, mais solide.
"En hiver, lors de la formation de la banquise, la glace une fois formée expulse le sel qui alourdit encore davantage l'eau non gelée qui devient « tellement » dense qu'elle plonge vers les profondeurs."
Ces plateformes d'eau douce se deplacent de maniere aléatoire avec les vents et les courants.Mais plus on va vers le Nord plus ce manteau de glace fond et se transforme en eau douce liquide ainsi que de nombreux navigateurs ont pu le constater au cours des siècles.
Pourquoi ?
Si on fait abstraction des nombreuses iles qui se trouvent le long du passage Nord-Ouest qui eventuellement peuvent contribuer a rechauffer l'atmosphere et faire fondre certaines plaques de glace gelee passant à proximité et permettre de trouver une Mer Libre, la seule explication est que ces marins se sont rapprochés, sans le savoir, de l'ouverture polaire qui, grace à une température + clémente a fait fondre la glace.
Il me semble que c'est la seule explication car quand l'eau salée gèle la glace ne contient pas de sel donc on peut en conclure que l'eau douce surnageait l'eau salee - J.L. Etienne n'est pas suffisamment précis quant a la qualification de l'eau douce: à l'état liquide ou solide ?
Plusieurs facteurs influent probablement sur le volume et la puissance du courant polaire : les marees, les courants de surface: les vents, la force de Coriolis, tourbillons, vortex etc.
Il y a bien trop d'inconnues dans ces theories: probablement que certains Océanographes en savent beaucoup plus long: J.L. Etienne a fait des observations d'ordre général mais il dit bien " La circulation des eaux, processus d'englacement et de dégel sont encore très hypothetiques et la modélisation de l'océan Arctique sur ordinateur pose de graves problèmes".
En realité, il n'en sait trop rien ou ne veut rien dire : je suppose qu'il est parfaitement au courant de ce phenomène de présence d'eau douce en surface dans certaines régions polaires, mais ne veut probablement pas se compromettre avec des theories qui le mettraient au ban de ses pairs.
Amitiés
Nicole
Remercions donc l'amie Nicole
d'avoir bien voulu, nous en dire plus, sur cette affaire d'eau douce, au cœur de cette zone arctique.
Nous nous pensons encore, à ce que nous disait (voir plus haut ) Olaf Jansen, au sujet de la Mer libre de glace, qu'il a dévouverte avec son pére en pleine zone arctique ... Mais, il a aussi écrit ceci dans son ouvrage fantastique, présenté plus haut -The Smoky God -
"J'ai essayé d'oublier ma soif en m'évertuant à transbahuter de la
cale quelques provisions et un récipient vide. Me penchant par dessus la rampe
latérale, j'ai rempli le récipient d'eau dans le but de me laver les mains et le
visage. À ma stupéfaction, lorsque mes lèvres sont entrées en contact avec
l'eau, elle n'était pas
salée. La
découverte me fit sursauter. "Père !" Ai-je haleté le souffle proprement
coupé , " l'eau, l'eau, elle est douce
"; "Que dis tu là, Olaf ?" a hurlé mon père, jetant un coup d'œil hâtivement
autour. "Tu te trompes sûrement. Il n'y a aucune terre
dans les environs. Tu débloques voyons."
"Mais
goûte-moi cela !" ai-je crié.
Et ainsi
nous avons fait la découverte que l'eau était en effet
douce, tout à
fait douce, sans le moindre
le goût salé, ni même un soupçon de saveur salée.
Nous avons immédiatement rempli, nos deux derniers
tonneaux d'eau et mon père a déclaré que c'était une faveur céleste venant des
dieux Odin et Thor.
Voyons de plus près ce que l'on peut trouver pour expliquer ce phénomène.
Auparavant, il nous semble judicieux de transcrire ici, ce passage important du livre de 1897 de Fridjord Nansen, intitilé "Farthest Nord" :
"Quand
la NASA a remplacé en
1977, au bout de dix
ans de service, le satellite géostationnaire ATS
III par un satellite
plus moderne, le GEOS
8, elle a ordonné la
destruction des 4 500
clichés faits par ATS
III. Les images
n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait
la NASA”.
Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département,
le Dr. Locke-Stuart,
a ramené chez lui plus
de mille clichés et
il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan
Lamprecht, spécialiste
en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la
raison. Depuis des années il est à la recherche de
tous les indices qui
pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des
ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo
prise par l'ATS III,
qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région
du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )
Grâce à ses contacts avec le Goddard
Space Flight Center,
la station de contrôle
des satellites ATS, il a
pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu
à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un
trou dans le globe terrestre.
Après des semaines de longues recherches, un
initié de la NASA a découvert
pour Lamprecht
d'autres clichés qui
montrent une ouverture au pôle ,
il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS
III et qu'ils sont
soigneusement gardés par Locke-Stuart.
Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et
il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite
GEOS 8 ne montrent plus
de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange.
Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les
anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe
pas officiellement. Cette courbure "inexplicable"
a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la
Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les
photos d'ATS III
montrent également des dépressions
atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées
par l'ouverture des pôles.
On ne voit rien de tout
cela sur les images récentes de GEOS 8.
Richard Hoagland,
auteur du best-seller "The
Mars Connection",
pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977,
diffusée dans le Art
Bell Show, il disait
que les photos étaient
censurées avant d'être montrées à l'opinion publique.
Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent
dans un grand
ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la
doctrine officielle.
Après quoi les clichés sont renvoyés
dans l'espace vers un autre satellite
qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les
clichés (falsifiés)
sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux
données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent
pour dire qu'en Europe, les photos des satellites
sont également truquées,
pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique....
"Fin de citation"
Une fois de plus, le site ARTivision, peut dire ici, que "la réalité surclasse souvent de très loin, la fiction".
Mais, il se passe en plus, ces temps-ci, des choses très étranges. Jetez par exemple, un coup d'oeil à la photo qui suit, et qui est tirée pourtant, d'une revue d'informatique très connue. Il s'agit du Micro Hebdo n°568 du Samedi 11 Mars 2009 :
Question de Mr Lecandide : " Une question me tracasse cependant : Si Dieu reste en contact permanent avec nous, pourquoi la vie nous abandonne-t-elle à un moment donné et pourquoi doit-on mourir ? Dieu lui, on le sait, ne meurt pas, et il est éternel. Pourquoi pas nous ? "
Réponse de Mr le Sage : "Votre question
est cruciale et de nombreux philosophes et écrivains ont examiné ce sujet dans de multiples ouvrages. D'une part, même si votre corps disparaît physiquement, votre esprit est lui, éternel et il saura vous trouver un autre corps en temps voulu, ne vous inquiétez pas. Nous ne pouvons aborder ici aujourd'hui cette notion de re-structuration moléculaire et psychique dans le Temps, du corps physique. D'autre part, il est écrit dans l'un de vos textes sacrés : Au Commencement était le Verbe". Mais que signifie "le Verbe"? Tout ce qui existe dans l'univers est parti de la pensée de Dieu, de son verbe qui est la vibration première à la base de toute chose. Vos savants ont bien montré par exemple que le son est formé d'un ensemble de vibrations que l'on peut décomposer aisément. Ils ne vont tarder à découvrir que la pensée est aussi formée d'un ensemble de systèmes vibratoires très subtils qui agit directement sur son environnement matériel et matière qui est, somme toute, une condensation énergétique donc aussi vibratoire. Autrement dit tout vibre à différents niveaux dans L'univers. Si donc vous prononcez les mots de mort, de décrépitude, de déliquescence,.. etc... , vous allez créer un vortex vibratoire où ces concepts seront efficients et vous participerez à son évolution. C'est exactement ce qui se passe quand vous allez habiter dans un pays étranger et vivre au cœur même de ses ressortissants (et non pour y vivre à l'écart avec votre communauté habituelle) vous ne vous apercevrez même pas que vous prenez l'accent des autochtones et c'est quelqu'un d'autre qui vous le fera remarquer. Ce qui s'est passé c'est que votre corps tout entier et surtout vos cordes vocales, sont entrés en résonance parfaite, avec niveau vibratoire du système dans lequel vous êtes plongés. Il en résulte que vous subissez inéluctablement et tout ce qui est vivant également (les plantes, les animaux) les contraintes vibratoires du milieu dans lequel vous évoluez et si le concept de mort y a été construit et admis comme infaillible, vous l'assimiler et vous mourrez. C'est aussi simple que cela. Mais rien n'est plus difficile que d'éradiquer de votre langage et de votre civilisation des concepts et des images qui ont été érigés et galvaudés depuis des lustres surtout maintenant que les moyens de diffusion de l'information sont très multiples. Vous pensez bien que ce n'est pas demain la veille, que vos radios, télés, journaux, etc.. supprimeront de leurs expressions verbales et iconographiques
les notions de mort, de décrépitude etc... De même tant que vous n'aurez pas compris qu'il faut fuir toute information vous apportant des images montrant la Peur, la Haine, les crimes, les massacres, etc ..en somme tout ce qui est négatif, vis à vis de l'Esprit d'Amour, vous pataugerez dans la violence jusqu'au cou et ce sera vous même, qui en serez responsable en créant ce qu'on appelle un égrégore vibratoire de basse énergie ( Note du webmaster : certains l'appellent le Diable) et aussi que : Le secret de la Vie n'est pas d'avoir tout ce que la société actuelle par sa nature, nous porte à désirer, mais plutôt de désirer tout ce que l'on a en Soi et dont on ignore souvent la nature. Par exemple, si vous arrivez à projeter votre corps astral Notre ami Jean SIDER, auteur de plusieurs ouvrages très documentés
sur les ovnis (et en particulier
"ULTRA TOP-SECRET: ces
ovnis qui font peur"
préfacé par le Pr
Rémy CHAUVIN aux Editions AXIS MUNDI 1990), a fait des pieds et des mains pour retrouver ce négatif à Paris et à la NASA et a, finalement dû abandonner ses recherches. En janvier 1987, le Chef des Archives Photos de Paris Match, que Jean Sider a interrogé à ce sujet, n'a pas su donner des détails sur les
références codées de ce négatif, ni même sur la destination précise, qui lui a été octroyée après son utilisation par sa revue et Mr Sider a été aiguillé vers l'Agence Scoop (Service de diffusion d'articles) qui ignorait
également ce qu'est devenu cet important négatif, qui
aurait été la propriété de l'Agence World Book Science Service, qui hélas n'existe plus. Voici la preuve que cette agence est bien mentionnée, au bas de l' image de droite, présentant un autre article du Paris Match 1025 du 28/12/1968 p 29: Précisons bien que tous les clichés d'Apollo 8 expédiés par la NASA, à Mr Jean Sider, ne présentaient plus rien, au même emplacement, où était supposée être cette " superstructure" sur le Paris Match 1028. Mais il est à noter qu'à l'intérieur de ce
cercle rouge, dessiné par nos soins, apparaît une
auréole caractérisée qui pourrait être le résultat
de l'application d'une "pastille de camouflage"
. Tout ce qui précède aurait pu être vite oublié, si le même phénomène ne se présentait pas aussi encore sur Mercure, qui en principe ne devrait pas avoir de calotte polaire, vu sa
proximité avec le Soleil. D'ailleurs, ce n'est qu'en 1965,
qu'on a découvert que Mercure est animé d'un très lent mouvement de
rotation sur lui-même et de ce fait ne présente pas toujours la même
face au soleil, contrairement à ce que l'on pensait auparavant, ce qui
permettait d'admettre l'existence de régions totalement plongées dans
l'obscurité (Le
livre d'Albert Ducrocq
"l'humanité devant
la navigation interplanétaire "
chez Calmmann-Levy de 1947,
nous est, et sera encore bientôt, très utile à ce sujet). L'article nous dit
que l'on distingua alors nettement une
zone ovale brillante de 640 x 300m inexplicable,
que l'on devrait attribuer à une calotte glaciaire. (voir
la photo pôle Mercure ci-dessous:) On trouve aussi dans
cet article: "
Mais voilà, Mercure n'a
pas de saisons, possède
de forts écarts de température
entre la nuit et le jour
et des températures qui peuvent atteindre les
430°C. Autant dire que
ces conditions ne sont pas réellement propices à la formation de la
glace." Mais l'auteur ajoute
une phrase très révélatrice.
"Sans
compter que Mariner
10, la
seule sonde à avoir jamais frôlé Mercure,
n'a détecté aucune
anomalie de ce type
lorsqu'elle a survolé une partie du pôle en
1974 ". Nous
en reparlerons. Nous avons appris
par la suite, qu'en 1993,
il allait y avoir une nouvelle
fenêtre d'observation pour ce
même pôle Nord
et en 1994
une autre pour le pôle Sud,
qui est pourtant parait-il très difficile à observer. Nous notons cependant la présence
aux pôles de Saturne deux cercles
lumineux proéminents, attribués ici aux aurores boréales
et australes.
Nous voyons donc que
l'auteur était très documenté
pour l'époque sur les
manifestations planétaires, car nous personnellement, nous n'avons pas
eu la chance de tomber sur les documents ou revues montrant ces
bizarreries des pôles de Vénus.
Disons aussi cependant, pour compléter ce qui précède, qu' il serait sans doute utile de présenter encore ici, les paroles d'un très Grand Maître, exprimées dans l'ouvrage : "Nouvelles Révélations" de Neale Donald Walsch publié aux Editions Ariane au premier trimestre 2003 :
- Les pensées enracinées dans la Peur produisent une énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.
- Les pensées enracinées dans l'Amour produisent une énergie qui s'étend, s'ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit..
Fin de citation.
Mais ce 15/03/2016, nous allons faire un stupéfiant voyage dans le Temps, qui fera une fois encore grincer les dents de stupéfaction des zélés et zététiques éternels intellectels détracteurs du site ARTivision, qui est nous le
rappelons à dessein, est un site Mystico-rationaliste, mot on le sait, introuvable dans aucun dictionnaire.
Ce voyage dans le flux du Temps, va nous permettre une fois de plus d'apprécier, le verbe transcendant du Grand Maître de Findhorn, verbe souvent honoré par ARTivision :
As-tu peur de vieillir ?
Ou es-tu quelqu'un qui prend choses comme elles viennent
et qui sait et comprend que la fontaine de jouvence
se trouve dans sa conscience?
Si tu gardes un mental jeune, frais et alerte,
le vieillissement n'existe pas.
Si tu as beaucoup de centres d'intérêts dans la vie
et si tu jouis de la vie pleinement,
comment pourrais-tu jamais devenir vieux ?
Les humains se limitent eux-mêmes quand ils pensent qu'à soixante-dix ans,
ils ont atteint la plénitude de la vie.
Pour beaucoup d'âmes, ce peut être seulement le commencement,
l'éveil à la merveille qu'est la vie,
et en s'éveillant, elles commencent à l'aimer.
Bannis toute pensée de vieillesse !
C'est juste une "forme-pensée Universelle"
.
qui est devenue si forte
qu'elle est comme une noix très dure, difficile à casser.
Commence dès maintenant à réajuster ta conception de l'âge.
Méditation pour le 19 Juin,
après adaptation d'ARTivision.
Mais ce 17 Mars 2016, analysons le Septième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse.
Notre modeste traduction donne :
"
Puisque l'on dit, qu'une ouverture polaire Nord existe, et que des Ovnis y entrent et en sortent, pourquoi n'ont-ils pas été repérés par notre systeme DEW Line (Système de repérage radar de l'hémisphère Nord) ?"
Notons que The Distant Early Warning Line, also known as the DEW Line, or Early Warning Line, d'après ce que nous en dit, nos amies Nicole et Chantal , c'est un système de stations radar de la région
nord de l'Arctique canadien, ajouté à des stations de la côte nord et des îles Aléoutiennes
de l'Alaska, avec en plus les îles Féroé, du Groenland et l'Islande :
Voici donc une représentation cartographique de la Ligne DME, suivi de la représentation sommaire des trois lignes de défense en Amérique du Nord en 1960.
Pour répondre à ce 7ème concept, de l'auteur, nous abordons ici, notre Septiéme focus .
Disons d'emblée, que ce Monsieur John M. Prytz, qui doit être décédé actuellement ( car en admettant qu'il avait 60 ans au moins, en 1970, donc en 2016, il frôlerait les 106 ans), a une haute opinion des Services Secrets américains ou autres, et il croit fermement à la transparence, de leurs déclarations au sujet des ovnis ou autres. Ces Services DME, sont parfaitement au courant, ( Billie Faye Woodard nous l'a prouvé ci-dessus ), de tous les mouvements d'ovnis du secteur nord de la Terre, mais ils doivent absolument le cacher, sinon le dollar s'effondrerait d'un seul coup et
avec, toutes les conséquences annexes, en guise de panique générale dans les institutions bancaires ou autres.
C'est, on le sait très bien,
les mêmes raisons qui ont présidé au camouflage des ovnis, récupérés dans divers crashs, comme ceux de l'affaire du Crash de Missouri
en Mai 1941, de l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, ...etc...:
Voir alors nos articles :
http://www.artivision.fr/raisonis.html
http://www.artivision.fr/astronauteEuropeOvnis.html
http://www.artivision.fr/FlashbackJUNG.html
http://www.artivision.fr/Nasajury.html
...................................................................etc.............................................................
Mais, le novive ingénu, qui débarque dans notre site par cet article, nous dira à juste titre ; " Je ne vois pas clairement, la raision pour laquelle on cache ces affaires d'ovnis au grand public, et quels sont les documents incontournables, qui prouvent que ces ovnis existent vraiment ? " :
Disons d'abord, que l'une des raisons pricipales (il y en a beaucoup d'autres), est que les ovnis , ont une avance technologique très supérieure à la nôtre , et si l'on arrivait à déterminer leur fonctionnement, cela permettrait au pays qui a récupéré des épaves d'ovnis, de faire un bond considérable dans la connaissance du cosmos, et porterait surtout la puissance de ce pays, à un niveau inimaginable par rapport aux autres nations de la Terre.
L'affaire des ovnis est donc le sujet le plus haut classifié des Services Secrets en général, c'est à dire le sujet tout à fait Top Secret du pays.
Imaginez alors que vous viviez aux USA, ou au Canada, et que vous tombez sur cet entrefilet en date du 5 Juillet 1947 :
ou encore sur ces 2 entrefilets d'un même autre journal :
Comme on le voit, à l'époque, l'affaire Ovnis, ou des disques volants encore appelés,
on le sait, soucoupes volantes, était très préoccupante, au moins dans le contexte social du moment.
C 'est alors, qu'au Canada, le 9 Juillet 1947, est sorti l'incroyable communiqué suivant :
Compte-tenu de tout ce qui précède, il y a là, en effet de quoi rester pantois, devant une telle information.. Mais cette information, a aussi été confortée par celle-ci aux USA :
Aussitôt après, bien sûr, les autorités ont dementi l'information, et pire, elles ont déclaré qu'il ne s'agissait que de la chute libre d'un ballon météo, mais on n'est pas tenu d'y croire... . .
Bien sûr, les irréductibles détracteurs zélés et zététiques , vont nous mettre vite fait, en exergue, ce démenti. Mais, voici tiré, des pages 80-81 du livre incontournable sur cette affaire : "Ultra Top-Secret : Ces ovnis qui font peur" , la combine de la conférence de presse, de l'époque :
Le livre qui en parle, est du grand ufologiste Jean SIDER , et qui est paru chez Axis Mundi en 1990 :
Et, en page 30, on découvre aussi ceci, qui fut la combine des autorités, pour nier cette affaire de récupération d'ovni :
Pas mal, n'est-ce pas l'astuce à l'époque du ballon météo, tombé juste providentiellement, pour bluffer les journalistes et les gogos de l'époque, qui n'ont pas cherché à voir les dessous de l'affaire.
C'est aussi, dans cet ouvrage de Jean Sider que l'on trouve, en page 54, ce document important :
, dont il est question des années plus tard, dans la missive suivante en date du 9 Avril 2011, venant de notre bonne amie Cassiopée:
----- Original Message -----
From: Cassiopee
Sent: Saturday, April 09, 2011 6:43 PM
Subject: Le FBI confirme le crash de Roswell, et a trouvé des corps d'ETs
Ah enfin ils le reconnaissent, c'est dingue quand même !!
Fin de missive.
Explicitons alors les princaux éléments de ce document important :
Date : March 22, 1950.
Photo non présentée, du document vu juste au-dessus...
The following information was furnished to SA XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX .
An investigator for the Air Force stated that three so-called flying saucers had been recovered in New Mexico. They were described as being circular in shape with raised centers, approximately 50 feet in diameter. Each one was occupied by three bodies of human shape but only three feet tall, dressed in metallic cloth of a very fine texture. Each body was bandaged in a manner similar to the blackout suits used by speed flyers and test pilots.
According to Mr. XXXXXXXXXX informant, the saucers were found in New Mexico due to the fact that the Government has a very high-powered radar set-up in that area and it is believed the radar interferes with the controlling mechanism of the saucers. No further evaluation was attempted by SA XXXXXXXXX concerning the above.
Fin de citation.
Modestement, on pourrait traduire cela ainsi :
Le 22 Mars 1950.
" L'information suivante a été fournie à SA XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX .
Un enquêteur de la Force Aérienne a déclaré que trois prétendues soucoupes volantes avaient été récupérés au Nouveau-Mexique. Elles ont été décrites comme étant de forme discoïdale, d'environ 50 pieds de diamètre (autour de 15 m), et comportant un renflement au centre. Chacune d'elles était occupée par trois corps de forme humaine, mais ayant seulement trois pieds de haut (environ 90 cm), vêtus de toile métallique d'une texture très fine. Chaque corps était enveloppé d'une combinaison fermant hermétiquement ainsi que pourraient l'être celle des pilotes d'avions ultra-rapides et ou comme celle des pilotes d'essai.
Selon l'informateur M XXXXXXXXXXXXXXXXX, les soucoupes ont été trouvées au Nouveau-Mexique en raison du fait que le gouvernement y dispose d'un radar à très haute fréquence mis en place dans cette zone, et on croit que le radar a interfèré avec le mécanisme de contrôle des soucoupes. SA XXXXXXXXXXXXXXXX n'a pas tenté d'obtenir d'autre renseignement, au sujet de ce qui précède. "
Comme, depuis Avril 2011 jusqu'à ce jour du 10 Février 2016, aucun démenti du document en question, n'a été avancé, ni par le gouvernement américain, ni par un quelconque perfide infographiste, qui aurait monté ce coup, pour se faire stupidement mousser dans les médias, nous pouvons alors croire que ce document, (qui paraît d'ailleurs bien être d'époque), a de très grandes chances d'être authentique..
Mais découvrons aussi justement, un des ouvrages incontournables (il y en a des dizaines) , publié sur cette
affaire, cette affaire Roswell et qui est sorti aux Editions France-Empire en 1981 :
En abordant l'introduction de cet ouvrage, on tombe déjà sur les propos très significatifs suivants , (les couleurs sont de nous, bien sûr):
"...Il n'empêche que trop d'intérêt manifesté aux OVNI
est toujours considéré comme une aberration. Cela
tient peut-être au fait qu'aucune preuve concrète n'a
été trouvée, ou reconnue telle. II manque le corpus
delicti.
Si une telle preuve avait été trouvée en territoire
contrôlé par l'une des grandes puissances, ou même
quelque puissance mineure, elle aurait été - on le
comprend bien -, couverte par le secret jusqu'à ce que
les autorités nationales aient décidé de faire en sorte
que la chose puisse servir leurs desseins et leurs
intérêts.
Telle est peut-être l'explication du cas Roswell. Cependant, loin d'être seulement un intéressant mystère, ayant connu son heure de succès dans la presse, puis ayant été emporté par le temps, le cas Roswell est toujours d'actualité. Selon les rapports, les restes du véhicule sont toujours étudiés, peut-être même dans un but de reproduction. La composition de parties d'un
métal inconnu est toujours l'objet de recherches. Les
signes hiéroglyphiques découverts sur les appareils de
contrôle sont soumis au déchiffrement par ordinateur.
Les cellules et la structure interne des membres de
l'équipage - humanoïdes quoique d'une espèce étrangère- sont livrées à l'analyse médicale. Du point de vue
de l'intérêt public, de nouveaux comptes rendus de
témoins ou de familles de témoins, peu désireux
antérieurement de laisser un témoignage écrit, et aussi
les "réflexions après coup" de militaires impliqués dans le secret, apportent matière à conviction : il n'est
pas possible que ce naufrage de vaisseau aérien n'ait été
qu'une vaste illusion populaire ; ce fut un événement
réel.
Depuis notre entrée dans l'Âge de l'Espace, il a été
souvent suggéré que nous, race humaine de cette terre,
pourrions être à la veille d'entrer en contact avec
certains de nos voisins du cosmos et d'avoir ainsi la
démonstration définitive de ce que dans notre galaxie,
nous ne représentons pas la seule forme de vie possible.
Peut-être est-ce arrivé déjà en 1947, dans le Nouveau
Mexique. Et peut-être est-ce seulement maintenant
qu'en apparaissent les conséquences à travers la découverte d'une nouvelle information et grâce à l'Acte sur la Liberté de l'Information ".
Mais ce 17 Mars 2016, nous allons aussi ici, faire état d'une importante missive, reçue en Juin 2011, de notre grand ami Claude... (Les couleurs et la forme sont d'ARTivision, bien sûr)
----- Original Message -----
From: Claude.
To: Fred IDYLLE
Sent: Monday, June 27, 2011 6:43 PM
Subject: Roswell...
Cher Fred,
Voici une info, venant de la page :
• Roswell révélation.
Le témoignage récent d’un ancien soldat américain lève un coin du voile sur la légendaire affaire "Roswell". Se sachant mourant, Paul Epley (80 ans) a décidé de libérer sa conscience en racontant à plusieurs journalistes ce dont il avait été le témoin 60 ans plus tôt.
Durant l’été 50, alors qu’il se trouvait sur la base militaire de camp Perry en Virginie, il avait insisté pour connaître le contenu d’un Bunker gardé par un de ses amis. Celui-ci avait finalement accepté de lui laisser jeter un coup d’œil à l’intérieur. Paul avait alors pu voir clairement, à 5 ou 6 mètres de lui, un être hors du commun enfermé dans une cage minuscule. Cet être de +/- 1,30 m , avait une couleur de peau orangé-grisâtre qui évoquait celle d’un cadavre. Hormis sa couleur et ses doigts très effilés, il était très semblable aux humains. Son ami lui avait expliqué que c’était le 5e de "Roswell".
Il comprit alors qu’il devait garder le secret le plus absolu sur ce qu’il venait de voir, et choisit de garder le silence jusqu’à la veille de son décès en août dernier.
Source : Agenda Plus n° 224 – Fév. 2011
traduction de : http://allnewsweb.com/page1199999414.php
Fin de citation du communiqué.
Hélas cet url : http://allnewsweb.com/page1199999414.php , n'est plus fonctionnel, mais nous avons pu le trouver sur le merveilleux site d'Archives placé à :
Tel que l'on découvre ceci :
Nous n'avons pas hélas les moyens, comme ces journalistes et consorts éditorialistes des médias européens ayant pignon sur rue , pour aller vérifier l'authenticité d'une telle information. C'est là, en effet qu'il convenait de faire une enquête pointue et ces grands medias pouvaient facilement, alerter à ce moment là, leurs correspondants journalistes outre-atlantique, et aller ainsi à la source de l'info, pour connaitre vraiment les tenants et les aboutissants de cette reversante information venue du sieur Paul Epley. Mais, nous le savons aussi, il est bien plus aisé et surtout moins risqué, de discourir et d'enquêter sur des sujets d'une médiocrité inexprimable, telle que cette affaire mise en exgergue, il n'y a pas si longtemps, et qui raconte les méfaits d'un habile escroc, (et ce n'est qu'un exemple parmi des dizaines d'autres), qui a grugé de nombreuses personnalités importantes du Show Business, comme s'il n'y a avait rien de mieux à faire que d'encourager d'autres escros, à agir davantage, encore dans le même sens.
et, nous demandons donc avec déférence, à tout internaute pouvant faire cette vérification de l'affaire Paul Epley , d'être assez aimable de nous en toucher deux mots.
Néanmoins, ainsi que dans l'affaire Dreyfus, si, les journalistes et leurs consorts rédacteurs en chef, en question, avaient fait comme Emile Zola, une action historique en dénonçant les contrevérités des autorités, sur cette affaire Roswell qui est exceptionnelle et qui intéresse l'humanité entière, ils se seraient alors dans un jour historique (qui ne tardera pas à arriver), félicités assurément d'être partis aux Usa, pour étudier l'affaire en question, plutôt que d'aller s'exposer à des dangers redoutables dans des zones de non-droit, dont voici quelques caractéristiques actuelles :
Mais, pour satisfaire à un intêret passager, très médiatique et tout à fait conventionnel, voilà ce que l'on peut lire dans l'entrefilet suivant :
On nous dit donc en substance dans cet entefilet didactique, que la mission d'informer, ainsi que la Liberté de la Presse, ne sont pas des acquis...et que ce métier de journaliste a des exigences telle que l'investigation, le terrain ... . On s'en doutait un peu, n'est-ce pas !!, vu le large éventail des conflits qui émaillent la vie des sociétés de cette planète, à la dérive . Et finalement on nous dit, qu'il y a un risque à prendre pour informer, le grand public en toute indépendance.
Mais, pour ARTivision, il reste à définir ce qui est avant tout important de dire, pour soi-disant informer le citoyen lambda, et, on le sait, chacun est libre de choisir ses préocupations immédiates, jusqu'au moment où elles s'avérèrent avoir étés inutiles voire dérisoires..
Mais, ce 17/03/2016, nous pourrions parfaitement dire déjà, que les documents précédents (concernant l'effective existence sur cette Terre et nous l'avons aussi démontré dans de très nombreux articles, sur la Lune, d'entités extraterrestres non humaines, en chair et en os), sont assez époustouflants , pour convaincre de cela bien sûr, le novice ingénu, mais aussi pour mettre au pied du mur, ces détracteurs zélés et consorts intellectuels blasés, lèche-bottes des médias actuels, qui nous inondent de balivernes modernes insignifiantes, alors que ce qui est très important, est souvent et manifestement évincé, pour soutenir le piedestal branlant, des sournois Gouvernants.
A bon entendeur Salut...
Mais ce 18/03/2016, il nous appartient d'en dire un peu plus sur ces affaires d'ovnis, et pour les puristes qui désirent remonter aux sources voici des documents plutôt rares, qui ne courent pas les rues, et qu'il convient cependant d'analyser avec soin, car, tout cela pourrait passer pour des élucubrations, s'il y n'avait pas eu un mémorandum, désormais célèbre, qui en parle :
En effet, c'est à la suite d'une action en justice, sous le couvert de la loi sur la liberté de l'information en date du 4 Juillet 1974 (F.O.I.P.A Freedom of Information and Privacy Act), qu'un chercheur canadien, Mr Arthur Bray d'Ottawa, a obtenu, ces derniers temps, dans un lot de documents sans grand intêret, la copie d'un mémorandum rédigé par l'ingénieur Wilbert.B.Smith qui était responsable des télécommunications du Ministère des Transports du Canada, daté du 21 Novembre 1950, et adressé au ministre concerné portant à l'origine la mention "Très Secret" et donnant les informations qu'il avait obtenues lors de conférences et de contacts à Washington avec ses collègues américains. Mais que raconte donc, ce mémorandum ? :
"
J'ai fait de discrètes approches par l'intermédiaire du personnel en poste à l'ambassade du Canada à Washington, lequel réussit à obtenir pour moi les renseignements suivants :
a) L'affaire (des disques volants ou soucoupes volantes comme on disait à l'époque) est le sujet le plus hautement classifié (c'est à dire tout à fait Top-secret) au sein du gouvernement américain des Etats-Unis, à un niveau plus élevé que la bombe H.
b) Les soucoupes volantes existent.
c) Leur modus operanti est inconnu mais un effort très intensif est fait actuellement là-dessus par un petit groupe dirigé par le Dr Vannevar Bush. ( Groupe appelé par la suite, Majestic 12)
d) L'affaire entière est considérée par les autorités des Etats-Unis comme étant d'une immense importance."
Voir la copie de ce mémorandum pages 97 et 98 du livre déjà cité de notre ami Jean Sider:"ULTRA TOP-SECRET": Ces Ovnis qui font peur. Ed. AXIS MUNDI 8, Galerie Montmartre 75 002 Paris. deja présenté plus haut, mais dont nous vous donnons à nouveau, les deux couvertures étant donné l' importance de cet ouvrage :
Notons que par la suite, on a appris que c'était le Dr Robert I. Sarbacher, qui fut le Président du Washington Institute of Technologie jusqu'en 1983, qui avait donné les renseignements à l'ingénieur canadien B. Smith . De plus, on découvrit par la suite , dans le carnet de notes de ce canadien, qu'il avait interrogé ce Dr Sarbacher sur le livre de Franck Scully: "Behind the flying Saucers", premier livre américain sur les soucoupes volantes, écrit par un écrivain spécialisé dans les ouvrages scientifiques, et qui par conséquent n'avait pas l'habitude de raconter des balivernes :
Voici quelques mots retrouvés dans ce carnet de notes :
"
W.B. SMITH: j'ai lu le livre de Franck Scully sur les soucoupes volantes, et j'aimerais savoir qu'est-ce qu'il y a de vrai dans cette histoire ?
R.I.SARBACHER: Les faits cités dans ce livre sont corrects en substance.
W.B. SMITH: Alors les soucoupes existent ?
R.I.SARBACHER: Oui; elles existent.
W.B. SMITH: Se déplacent-elles comme le suggère Scully sur des principes basés sur le magnétisme ?
R.I.SARBACHER: Nous n'avons pas pu reproduire leurs performances.
W.B. SMITH: Viennent-elles d'une autre planète ?
R.I.SARBACHER: Tout ce que nous savons, c'est que nous n'avons pas pu les construire et il est à peu près certain qu'elles ne sont pas originaires de la Terre.
W.B. SMITH: Je comprends pourquoi toute cette affaire de soucoupes est classifiée.
R.I.SARBACHER: Oui. Elles est même classifiée à deux niveaux plus élevés que la bombe H. En Fait, c'est le sujet le plus haut classifié au sein du Gouvernement à l'heure actuelle
W.B. SMITH: Puis-je connaître la raison de cette classification ?
R.I.SARBACHER: Je regrette, mais je ne puis vous le dire... "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on comprend désormais très bien, le pourquoi de la promulgation aux Etats-Unis de l'ordonnance AFR 200-2 (qui indiquait comment réduire banalement les cas d' objets volants non identifiés ) et surtout de l'ordonnance JANAP 146 (qui punissait de dix ans de prison et de 10000 dollars d'amende tout pilote militaire révélant au public l'observation d'un"incident aérien" sans autorisation de ses supérieurs.)
A l'abolition de cette dernière, les pilotes rendirent immédiatement publiques quelques 24000 observations et les 500 employés du Centre de recherches ufologiques (concernant les ovnis) de la "Northwestern University" appelé désormais la "Heineck Foundation" enregistèrent plus de 300 000 rapports sur les évolutions d'ovnis.
Donc, cette affaire d'ovnis récupérés, comme le voyez désormais, est tout à fait claire.
Nous avons le privilège de posséder la traduction française du livre de Frank
Scully " Le Mystère
des soucoupes Volantes " paru chez DEL
Duca Paris dans la collection Galaxie en
Janvier 1951 premier livre paru en France sur les S.V. , et sans doute difficile à trouver sur le marché.
Si nous vous parlons ici, de ce livre, c'est surtout parce qu'il a fait couler beaucoup d'encre, et il affirme aussi que, de très nombreux crashs d'ovnis, ont eu lieu autour de 1950, et nous possédons même aussi des copies tous les articles de
France-soir du
27 Oct 1950 au 6 Nov 1950 qui
présentent les éléments surprenants de ce livre, paru d'abord aux USA plus tôt. En voici un, daté du 30 Octobre 1950 :
Mais avançons voulez-vous davantage dans les faits incroyables que nous raconte ce live de F. Scully en résumant un peu tout cela :
"
Le 8 MARS 1950 à Denver
(COLORADO) 350 étudiants de l'Université ont laissé passer l'heure du déjeuner pour de préférence, assister à midi et demie à un exposé d'un scientifique
d'âge moyen et dont le nom n'avait pas été mentionné
par celui qui l'a présenté à l'auditoire, lui bien
connu puisqu'il s'agissait de Mr George T. KOEHLER rédacteur d'une station
de radio indépendante dont l'indicatif était K.M.Y.R..
Cette conférence qui a été
enregistrée sur disque, a suscité à l'époque
de vives controverses parmi les privilégiés qui l'avaient
suivie. Donc durant près de cinquante
minutes, le conférencier affirma qu'il existait
effectivement des engins aériens nommés "soucoupes volantes" malgré les affirmations de l'Armée de l' Air, qui
prétendait avoir abandonné ses investigations dans ce domaine
mais qui les poursuivait en secret sous une autre appellation. Le conférencier
révéla alors que 4 soucoupes volantes avaient réellement atterri sur notre Terre, en Amérique
et que 3 d'entre elles furent retrouvées et examinées par des spécialistes
de Géophysique (lui- même paraissait avoir fait partie du
groupe ).
Mais il déclara surtout cette sensationnelle
information, que 34 êtres
mesurant de 80 cm à 1 mètre furent trouvés morts dans
les 3 soucoupes découvertes et étudiées par les savants. La 1ére soucoupe avait atterri
près de 2 ans avant la conférence en un lieu situé à moins de huit cents kilomètres de Denvers
et l'examen des matériaux de l'engin, révéla l'existence
de 2 métaux jusqu'ici inconnus. Les soucoupes se composaient d'un anneau métallique tournant
autour d'une cabine centrale. Un système d'engrenages unissait la
cabine au disque qui lui tournait tandis que la cabine restait immobile. Il n'y avait aucun lubrifiant et
le rapport de multiplication de ces engrenages était totalement nouveau
pour les ingénieurs. Le conférencier
pensait que les soucoupes se déplaçaient en utilisant les lignes de forces magnétiques qui on
le sait, entourent les planètes de notre système solaire et
qui sont disait-il au nombre de 1257 lignes par centimètre carrés. Il affirma aussi que 1700 savants au moins se livraient à des travaux ultra-secrets depuis 1942 pour le Gouvernement afin de découvrir les lois de ce magnétisme
terrestre.
De la première soucoupe, on retira 16 passagers morts et leurs cadavres étaient
carbonisés et de couleur brun foncé. 16 autres êtres
furent égale ment trouvés dans le second appareil, mais ceux-là ne portaient aucune trace de brûlures
et avaient tous la peau claire. Ils étaient aussi de petite taille,
tous sans barbe, mais certains avaient des poils très fins ressemblant
à un duvet d'un fruit comme la pêche. Le 3ème engin découvert avait aussi un équipage
de seulement deux hommes, vivants au moment de l'atterrissage, mais qui sont morts en essayant de sortir de leur cabine. En ce
qui concerne la construction des appareils, ils étaient totalement
différents de ce que nous faisons sur la Terre. On n'y trouva pas un rivet, pas un boulon, et pas une seule vis. Les tableaux de direction se
composaient de plusieurs boutons et les parties extérieures étaient
faîtes d'un métal léger ressemblant à de l'aluminium,
mais d'une dureté à
toute épreuve. Aucun chalumeau n'a pu l'attaquer : (Note du webmaster: c'est exactement ce qui nous est révélé dans le célèbre film culte " Le jour où la Terre s'arrêta " réalisé en 1951 par Robert Wise Voir ci-dessous la jaquette ):
, aucune arme dans les cabines, et dans l'une
d'elles, il y avait des lits-placarts qui pouvaient disparaître
complètement dans la paroi et étaient
automatiquement dissimulés par un système ingénieux
de rideaux quand on les mettait en place. Vers la fin de sa conférence
l'inconnu cita la découverte
d'une quatrième soucoupe aperçue non loin d'un terrain d'essais
officiel. Elle était vide quand on s'en approcha, mais les savants voulurent
aller prendre du matériel et appareils photographiques restés
dans leur voiture et lorsqu'ils retournèrent à la soucoupe,
ils virent de petits êtres s'y précipiter, et l'appareil disparu en un clin d'oeil .
A aucun moment le conférencier n'indiqua
ce qu'étaient devenues les soucoupes et leurs occupants, (donc les 34 cadavres découverts), ni la suite que l'on avait réservée aux recherches
faites après leurs différentes récupérations.
Mr F.SCULLY rencontra plus tard personnellement le conférencier,
et apprit qu'il s'appelait Mr E.B.DAVIS ".
Mais chacun connaît l'adage : " Si l'on veut noyer son chien, on l'acuse de la rage " . voyez comment une revue moderne parle de cette affaire pour mieux la ridiculiser :
Pour comprendre ce que l'on reproche au livre de Frank Scully, voir le bas de la page 81, de la revue "Le Point", n° 1200 du 16 Septembre 1995, tel que :
Faut-il donc croire, le Gouvernement américain et ses sbires ( peut-être que le reporter du magazine TRUE , en serait), ou le Dr Sarbacher, qui a pris d'énormes risques, en dévoilant tout cela...?
Plus tard, ce sera le n° de Septembre 1954 de Paris Match, qui allait aussi nous entretenir de cette affaire d'ovnis.
Le n° 34 de la revue Top Secret, nous présente admirablement, ce n° 287 de Paris Match de Septembre 1954:
Peut-être est-il ici, aussi utile de présenter, le célèbre ufologue américain Leonard Stringfield qui racontre des choses assez renversantes :
, sorti en Mai 1977 et qui a eu par la suite, plusieurs éditions :
Cependant en 1978, ce livre fut traduit en français aux Editions France-Empire.
C'est ainsi que l'on découvre que Leonard Stringfield, fut pilote d'avion et en relation avec de nombreux organismes qui s'occupent d'Ovnis. Son livre est d'ailleurs préfacé par le Major Donald E. Keyhoe (voir plus bas)
qui a travaillé à USAF (United States Air Force : Force aérienne des Etats Unis) et qui
a dirigé pendant 13 ans le NICAP: (Comité National Américain d'enquêtes sur les phénomènes aériens) et qui est l'un des chercheurs les plus documentés et dont l'autorité
est mondialement reconnue. Il a publié, entre autres choses, en 1973, "Aliens from space the real story of UFOs", qui fut traduit en 75 en français sous le titre " Les étrangers de l'espace ", également aux Editions France Empire .
A la page 118, Leonard Stringfield nous décrit l'aventure d'un certain Dr Botta. Il était ingénieur en construction, en Argentine et en pleine campagne en 1950, il a eu, dit-il, le privilège de pénétrer, par le plus grand des hasards, dans un objet métallique discoïdal, placé sur le bord de la route. Une sorte de lumière rouge pulsait dans le dôme. Par une sorte d'ouverture sur le côté, il osa pénétrer à l'intérieur de l'engin. Sur une sorte de divan arrondi, il y avait 4 sièges dont trois étaient occupés par de petits êtres (de 1,20 m environ), vétus de survêtements collants gris. Leurs visages semblaient noircis au charbon ou c'était leur couleur naturelle. Devant eux, se trouvait un écran allumé, où se mouvaient des sortes de rayons, et au dessus pivotait un globe transparent. Le Br Botta ne put s'empêcher de toucher un de ces petits êtres. Sa chair était rigide.
Le Dr Botta s'enfuit ensuite à toutes jambes dans sa voiture et gagna à fond de train, son hotel... etc..etc...Et, comme nous ne voulons pas subir, les foudres de l'Editeur, prière svp, de voir la suite dans l'ouvrage en question...
Lorsque Leonard Stringfield, eu connaissannce de ce cas, il essaya d'en savoir plus et voici un petit extrait de ce le Dr Botta lui répondit le 25 Octobre 1955 :
"
... J'ai eu une longue discussion scientifique avec un
membre de votre CRIFO, Horacio Gonzalès G., et à partir
de mon expérience professionnelle et des particularités de
l'incident argentin, j'ai repris l'étude des OVNI.
Personne plus que moi ne croit à leur existence...."
Terminons justement par la déclaration du Major Donald E. KEYHOE ( déjà présenté plus haut), tirée de son livre paru également chez France-Empire, dès 1975 :
Et pages 193 et 194, on découvre alors :
Donc une fois de plus, c'est à vous qu'il appartient désormais de juger tout cela, documents à l'appui...
Ce livre nous démontre noir sur blanc que tout est camouflé en
Haut Lieu, et c'est la désinformation qui est partout de
rigueur. Mais les choses changent en effet, et selon nous, les autorités semblent vouloir lâcher justement du
lest dans ce domaine des ovnis, (Par exemple France 2, le 16 Mai 2008, a déclaré que les anglais viennent, à leur tour, après le CNES français, de lever le secret sur 8 000 dossiers d'enquêtes sur les ovnis), sans doute, parce qu'ils sentent l'orage qui approche ".
Bien que l'on sache, que nous sommes arrivés au Temps des Révélations, où il ne sera plus possible de cacher grand-chose à l'humanité, restons tout de même prudent car les irréductibles détracteurs, font tout pour se faire mousser vulgairement sur le Web, en trafiquant des documents avec leurs puissants ordinateurs...
Un exemple flagrant, concernant le cratère Tycho de la Lune :
Voilà, un cratère soi-disant, venant de la face cachée de la Lune :
Le 14/12/2011, nous avons reçu de l'aimable internaute Fabien L....la preuve absolue que cette image est truquée. En effet Fabien, nous a envoyé la photo du cratère Tycho de la Lune et les nombreuses correspondances avec le pseudo cratère ci-dessus montrent sans l'ombre d'un doute qu'il s'agit d'un montage bidon :
Bravo donc à Fabien, pour son heureuse et efficace contribution aux recherches d'ARTivision
Il est clair que, ce que cet hurluberlu, a élaboré pour la Lune, il peut en faire pire, pour des images quotidiennes.
Mais c'est vraiment lamentable que des infographistes gâchent leur temps, pour monter des canulars aussi inutiles, afin de se faire mousser dérisoirement sur le Web, alors qu'il y a tant de choses véritables à mettre en relief, comme par exemple mettre en 3D la super structure du Paris Match 1028, que chaque ami d'ARTivision
, connaît bien, et que nous allons voir en détail plus bas, ou encore cette structure inouie découverte sur Mars par les sondes "Viking" en 1976 :
Voici de plus la trouvaille, que nous avons faite, il n'y a pas si lontemps, sur une revue du 6 Février 1975, hélas disparue :
Après enquête, nous avons découvert cet ouvrage de 1974:
Nous savons maintenant, que cet auteur Brinsley Le Poer Trench , était un Lord anglais, qui ne se serait pas permis d'avancer des déclarations tonitruantes, s'il n'en avait pas sérieusement, vérifié les sources. D'ailleurs, on nous dit aussi, qu'il avait pris contact avec le pilote de la Royal Air Force Desmond Leslie, qui a écrit on le sait, un livre surprenant avec le nommé George Adamski, si décrié par des ignares de journalistes et autres consorts éditorialistes Voir nos articles :
:
http://www.artivision.fr/HommageBrinsleyLePoerTrenchSuite.html
Finalement, disons Bravo à
Nostra, car le surprenant entrefilet, qui est du Nostra n° 148: "Des Ovnis venant de l'intérieur de la Terre ", n'avait aucune chance, de sortir, il y a
quarante et un ans (en 2016), dans des revues qui ont pignon sur rue, comme "La Recherche", "Science&Vie" ..etc. , alors que ces revues, en étaient seulement encore, à se poser la question de l'existence réelle de ces Ovnis ?
Voici par exemple à ce sujet, la conclusion
tirée d'un article de 19 pages du n° 245 de Mars 1968, de la revue très officielle : "Forces Aériennes Françaises" :
Ou encore, voyons l'introduction du n° 403 de la revue "Science et Vie" d'Avril 1951 :
Comme vous le voyez, certains savants américains et suédois, en étaient, encore en 1951, à mettre une fois pour toutes, ces affaires de soucoupes volantes (ou de disques volants comme on disait aussi à l'époque)
, dans la catégorie des ballons atmosphériques, ou autres illusions d'optique. Point Barre...
Et que celui qui veut en savoir plus, aille fouiller toujours plus avant, dans les arcanes "exotériques" du site
ARTivision, et encore une fois... à bon entendeur, salut...
Mais ce 19/03/2016, avant de quitter cette affaire d'ovnis toujours secrète, en haut lieu, il nous appartient de révéler ici au novice ingénu, le plus affreux de l'affaire, qui est le fait scélérat, que les gouvernements, américain, russe et consorts dissimulés, ont été contactés par des extra-terrestres nommés, Grands Blancs, Petits Gris, Dracos,..etc... , et ont fait des alliances ultra-secrètes, avec certains d'entre eux. Voir l'extraordinaire affaire Barboto, déjà présentée dans de très nombreux articles d'ARTivision, mais que nous ne pouvons pas représenter encore ici, pour ne pas trop alourdir ce dossier :
Il y a quelque temps nous avons reçu la missive suivante, et finalement nous espèrons que le propos, de cet internaute, n'est qu'une boutade, et qu'il ne cautionne pas du tout, son contenu belliqueux.
En effet, le mythe de la supériorité technologique d'un peuple pour imposer sa culture sur un autre est toujours présent insidieusement de nos jours :
Voyez donc cette missive que nous avons reçue le 24 Nov 2012 d'un internaute qui ne croit pas du tout à l'existence des Petits Gris:
From: J-C................
Sent: Saturday, November 24, 2012 7:03 AM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: Petits Gris
Bonjour M. IDYLLE
Puisque vous affirmez que les "petits gris", ont un niveau technologique très supérieur au nôtre, ainsi que des intentions peu charitables, comment expliquez-vous qu'ils n'aient pas depuis longtemps envahi notre planète et exterminé l'humanité ?
Je vous souhaite une excellente journée.
J-C. .......
Le propos très allarmiste de cet internaute, nous fait penser d'emblée à celui d'un partisan (à une époque pas si éloignée) de la thèse de la Terre plate, qui affirmait ceci : "La Terre ne peut être ronde car les gens des antipodes tomberaient dans le vide ". Bien sûr, il ignorait que, la loi de gravitation autrement dit la pesanteur collerait, ces gens des antipodes, comme lui, à la terre ferme. Donc on peut dire ici "Aux innocents les mains pleines"
On pourrait en effet croire, que ces Petits Gris, s'ils existent, et détenant une Force puissante et une Technologie supérieure, à la nôtre, auraient vite fait, comme les allemands de la dernière guerre, de massacrer, ce que ces derniers appelaient "les races inférieures" ...
Ici donc la pesanteur, peut être assimilée par le fait qu'il existe d'autres entités, bien supérieures à ces Petits Gris, qu'ARTivision nomme les Maîtres :( SaLuSa, Dratzo, Soria,
Dorian, etc...) et ces Maîtres affirment qu'il existe désormais une loi de
non-intervention, qui empêchent les êtres avancés d'une civilisation, d'intervenir dans celle d'une autre moins avancée. Cette loi est sur le point de changer grâce à une autorisation spéciale.
Mais pour le novice qui n'a jamais entendu parler de cette affaire, il faut savoir en effet, que la race d'extraterrestres, (déjà mentionnée plus haut) et nommée les Petits Gris ( Short Greys), est représentée sur Google, par les configurations suivantes :
Et, nous aurions considéré tout ce qui précède comme venant d'une imagination débridée d'un auteur de science-fiction, si nous n'avions pas reçu récemment, de notre ami Jean B..... (http://www.banlin.fr.), l'url d'un site archéologique concernant les Mayas :
et, exposant des découvertes faites dans le centre du Mexique, il y environ 55 ans, et montrant des entités analogues, ayant aussi des yeux ovales très inclinés :
Pensez-vous que les Mayas, auraient représenté, d'une manière si expressive, ces silhouettes, s'ils ne les avaient pas vues en chair et en os ?
Mais de plus, nous dit aimablement, le 13/03/2013, l 'internaute Monique G...; " Avez vous remarqué que chaque fois que leurs mains sont visibles , elles ne comptent que 4 doigts ? "
Mais, dans les images suivantes, il ne sagit plus du tout de masques rituels (comme on l'a si souvent évoqué pour noyer le poisson), mais bien d'astronautes manipulant des instruments dans une cabine :
Cependant, pour mieux saisir les tenants et les
aboutissants, de ce qui va suivre, allons d'abord visiter brièvement le site :
Cette espèce, originaire du Mexique, constituait l'aliment de base des Amérindiens avant l'arrivée en Amérique de Christophe Colomb. La plante fut divinisée dans les anciennes civilisations d’Amérique centrale .
Fin de citation .
C'est alors que l'on découvre aussi, cette gravure surprenante :
Que fait donc cet épi de maïs,
sur le coté gauche de cet artefact très ancien ? Pour ARTivision, cela ne peut signifier que le fait, que ce maïs, a été effectivement apporté par les aliens aux yeux ovales et inclinés, de leur planète sur la Terre, au moment de leur arrivée. Merci donc mille fois à l'internaute qui retrouvera dans les légendes du pays, le fait que ce sont bien les dieux ( nom ancestral des extraterrestres), qui ont apporté, ce maïs, au peuple amérindien.
Mais, comme il convient souvent de battre le fer, quand il est chaud, rappelons ici , une fois encore, cette très étrange affaire (vite qualifiée de canular par les esprits dits forts, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez ...). Il s'agit de l'extraordinaire petit film, d'une incroyable
autopsie, réalisée dit-on en 1947, après l'affaire Roswell, et où l'on voit clairement que l'extraterrestre en question, a 6 doigts parfaitement constitués, aux mains et aux pieds :
Pour en savoir plus, voir plus bas, et prière aussi de consulter notre article :
Ce film est désormais présenté par de nombreuse vidéos sur Google, dont celle concernant le reporter Jacques Pradel, à qui nous rendons ici hommage, pour le courage dont il a fait preuve à l'époque, et cela lui a causé d'énormes ennuis par la suite :
Et voici une autre vidéo :
Voici aussi, la photo de la cassette vidéo, que nous avions pu nous procurer à l'époque :
Il y a eu aussi le périodique VSD n° 930 du 22 au 28 Juin 1995, qui a parlé de l'affaire :
En ce qui concerne, le film en question, (malgré les contredits grotesques du Science&Vie cité ci-dessous), on ne peut nier qu'il est d'époque, car les instruments utilisés et même le téléphone accroché au mur, sont d'époque. Le cameraman semble être en effet, un amateur pris sur vif, pour remplir cette tâche, d'où les nombreux flous constatés. Quant au cadavre, des chirugiens expérimentés attestent qu'il s'agit bien d'un corps "humain", et non d'un pantin en silicone. Le fait qu'il ne possède pas de nombril, et surtout 6 doigts parfaitement constitués aux pieds et mains, prouve que cet être n'existe pas sur Terre, car si l'on avait trouvé, un seul cas comme celui là , dans les annales médicales des monstres humains nés sur Terre, les nombreux contradicteurs, l'auraient vite sorti et monté en épingle, ( et, en faire un bouquin qu'ils brandiraient sur les plateaux de Télévision et consorts), pour railler amplement cette affaire "très embarrassante pour eux", ...
Mais tout cela serait considéré, comme de la vaste fumisterie, s'il n'y avait pas eu le terrible texte, paru dès Octobre 2000, du Dr Michael Wolf-Kruvant (en qui nous avons toute confiance):
et texte présenté sous le titre "The UFO cover up and ET Reality ", que vous pouvez trouver sur le site :
Nous n'allons pas nous étendre longuement sur les révélations hors normes, de ce Dr Michael Wolf, car il suffit de se reporter à l'url en français du site, qui est tel que :
Cependant, mettons tout de même en exergue, les points suivants :
. Les premiers constats américains de l'écrasement d'un engin ET remontent à 1941. L'engin s'est écrasé dans l'océan Pacifique près de San Diego et il fut récupéré par la Marine américaine. À l'intérieur gisaient les corps de Zétas réticuliens, alias les Gris. Les dépouilles et le vaisseau furent transportés à la Section de la technologie étrangère de la base aérienne Wright-Patterson, à Dayton, Ohio, et étudiées par le groupe de recherche Retfours (Retfours Special Studies Group).
Suite au démantèlement de l'appareil, des composantes furent expédiées aux installations S4 et Indian Springs au Nevada. L'engin s'était écrasé sous l'influence du nouveau radar à impulsions que l'on venait d'inventer. Au moment du drame, la Marine procédait à des essais sur l'île Tinian, située à 5 kilomètres au sud/sud-ouest de Saipan. La Marine américaine occupe depuis une position dirigeante en matière d'ovnis.
. L'écrasement à Roswell en juillet 1947 est un fait et le récit dont fait état le Colonel Corso dans son livre The Day After Roswell est véridique. Le Dr Wolf avait en sa possession la liste officielle du gouvernement satellite américain de tous les écrasements/récupérations d'ovnis répertoriés, y compris d'autres incidents survenus entre 1941 et 1947, mais il n'était pas disposé à en livrer les détails.
. Deux engins se sont écrasés à Roswell suite à une collision aérienne survenue au cours d'un orage électrique. L'un des engins contenait des "Gris", l'autre des "Oranges"; les deux espèces furent ainsi nommées en raison de la couleur de leur peau. Les extraterrestres de type "Orange" proviennent du système stellaire Andromède. Le documentaire de Santilli montrant une autopsie est authentique. Il s'agit d'une autopsie pratiquée sur le corps d'un ET orange. Le Dr Wolf en a vu d'autres. La confusion résulte d'une seconde autopsie exercée à l'époque sur un extraterrestre de type différent.
. L'autopsie pratiquée sur la dépouille du ET orange a produit les constats suivants : une grosse tête; de grands yeux foncés dépourvus d'iris ou de blancs; six doigts, six orteils; un cerveau composé de quatre lobes, et plus développé mais non connecté au corpus callosum; des nerfs optiques et orbiculaires de type différent; un système digestif spongieux. Le docteur Wolf affirme avoir rencontré un Orange de son vivant.
. Il existe différents types de "Gris". Il a en côtoyé de très évolués qui contrairement à l'opinion courante, possédaient des personnalités et même un sens d'humour. Le Dr Wolf n'a jamais rencontré de Gris qu'il n'aimait pas. À son avis, ils faisaient tous partie d'une grande famille et aimaient câliner les humains. Mais cette marque d'affection ne faisait pas l'unanimité chez ses pairs. L'un de ses collègues les appellait des baise-joux (kissey facey). Leurs corps sont doux au touché, telle la peau d'un dauphin. Il communiquait avec eux par télépathie et s'était tout particulièrement lié d'amitié avec une entité nommée Kolta. La photo de ce Gris apparaît sur la couverture de son livre. Elle fut prise par un ami occupant les fonctions d'amiral dans la Marine.
Fin de citation.
Mais, ce 19/03/2016, pendant que nous y sommes, c'est donc le moment de sigmatiser à nouveau les rédacteurs et journalistes des revues, qui ont tiré à boulets rouges sur l' autopsie, montrée à la télévision en 1995, d'un ET orange, dont parle ci-dessus, le Dr Wolf .
Les revues dont il s'agit, (et il y en a sans doute de nombreuses autres), vilipendées par ARTivision, (et dont les numéros discrédités vont apparaître plus bas), ne resteront certainement pas longtemps dans les mémoires, sinon comme le type de revue d'époque ayant comme modèle "La Libre Parole", qui lors de l'affaire Dreyfus, en Octobre 1894, a enfoncé le malheureux dans une sorte de sables mouvants, où il a eu bien du mal à sortir la tête pour respirer un peu .
N'oublions pas cependant qu'un simple tout petit détail de rien du tout, dans l'écriture de Dreyfus, aurait pu éviter 5 ans de bagne et de déshonneur à ce malheureux militaire : il écrivait en effet, toujours la préposition "à", avec son accent, tandis que le vrai traitre, le capitaine Charles Ferdinand Walsin Esterházy, ne mettait jamais cet accent. Mais les graphologues, pour couvrir leur réputation, ont préféré imaginer (sans doute sous l'instigation des hauts responsables de l'Armée), que Dreyfus, avait contrefait son écriture pour le cas où il serait découvert. L'adage est bien connu : "Quand on veut noyer son chien, on l'accuse de la rage " :
Voici donc un modèle du journal en question, où seule la haine, d'une catégorie d'humains s'exprime :
Quant aux auteurs des articles, qui vont suivre leurs prestations et leurs verbes, seront vite assimilés un jour, aux déclarations du grand chimiste français du XVIIIe siècle, Antoine Laurent de Lavoisier, que l'on interrogeait à la suite de la chute d'une météorite dans la région, et qui a déclaré ouvertement :
"Il est impossible à des pierres de tomber du ciel, parcequ'il n'y a pas de pierres dans le ciel"...
Donc, il est bien clair, que tout ce qui précède s'applique intégralement, à l'article de Mr Pierre Lagrange (Sociologue anti-ovnis par tradition), publié dans le Science&Vie n° 938 de Novembre 1995, dont voici seulement les 3 premières pages, très explicites quant à la position de ce journal sur l'affaire :
Si nous avons osé, vous montrer ces pages, c'est parcequ'à la troisième, on trouve tout de même une information importante, que nous avons soulignée en rouge :"Y aurait-il eu ailleurs, avant l'affaire Roswell, un autre crash de soupcoupe volante plus tôt ?". Et c'est en effet cela, que nous allons évoquer plus bas.
Mais justement alors, notons déjà, aussi ici, que dans l'excellent ouvrage de 1995 sur l'affaire Roswell de Gildas Bourdais :
, on peut lire en page 212, ceci de très significatif :
D'ailleurs ARTivision, a démontré qu'il y a avait eu aussi bien plus tôt, l'affaire du crash de Missouri, crash, bien moins connu que celui de Roswell, et qui a aussi fait l'objet d'un article surprenant, déjà présenté plus haut, et placé, on le sait à :
Mais soyons plus précis, le 07/12/1995, nous avons eu l'heureuse opportunité, d' enregistrer, l'émission de radio RFO, de 45 mn "Le Monde inconnu", de Roger Raziel, (émission basée à l'époque au 5 Avenue du Recteur Poincarré 75 782 PARIS Cedex 16). qui réalisait justement l'interview de Gildas Bourdais, sur l'affaire Roswell. En fin d'émission, le rédacteur demanda à Mr Bourdais, si le cadavre présenté dans le film si critiqué en question, ne pouvait pas être un terrien malformé génétiquement et ayant des doigts en plus. La réponse fut approximativement, que "si l'on avait trouvé dans les annales médicales un être aussi particulier, on aurait vite montré au monde entier sa photo, pour faire neutraliser et confondre, les auteurs de ce canular".
Cependant pour ARTivision, il n'y a aucun doute que cet être, n'est pas un humain connu, dans nos repères scientifiques et universitaires.
Il a en effet, six doigts parfaitement bien constitués aux mains et aux pieds ( image déjà montrée plus haut):
pas de nombril ( aurait-t-il été obtenu par clonage) :
Il a saigné au moment où sa peau a été incisée, ses organes internes sont tout à fait différents d'un corps normal, les poumons sont plus petits, pas d'intestins, le cœur ( si c'est bien lui) aurait une forme pyramidale, et un gros organe dans le bas ventre est volumineux bien plus que notre foie (si c'est lui). Son appareil génital est très petit et il semble être du sexe féminin. Les globes oculaires sont plus gros que ceux d'un humain et on a pu y soustraire avec facilité une pellicule sombre, comme une lentille de contact noire :
qui n'existe pas chez nous de cette couleur etc...
Vous ne trouvez pas que cela fait déjà beaucoup, pour cet être étrange, dont on est sûr, que l'autopsie montrée est véritable, et remonte à une époque d'environ 68 ans ou plus, en partant de 2016 et que ce n'est pas du tout, un pantin en silicone.
D'ailleurs voici la Conclusion de l'ouvrage incontournable de Gildas Bourdais, qu'il convient de lire complètement avec la plus grande attention, étant donnée son analyse pointue de cette affaire :
Selon nous "l'immense choc culturel ...", évoqué ici par Gildas Bourdais, serait, plutôt une révolution sociale intégrale, et les anarchistes de tout bord, y compris les jihadistes décérébrès actuels, n'existeraient même pas, car personne ne croirait plus, à ce que racontent nos dirigeants, pour sauvegarder tout bêtement
leurs vulgaires stratégies militaires et leur hégémonie politique et économique. Point Barre...
Mais, pendant que nous y sommes, voici aussi, une autre revue, qui a lamentablement été à côté de la plaque, dans cette affaire et qui s'en mordra durement les doigts, quand la Révélation finale qui approche à grands pas, sera effective :
Et, pour les puristes voici, un petit plus de la page 78 et de la couverture :
Et, comme vous le voyez, (selon nous), l'un des événements le plus extraordinaires de l'histoire connue de l' Humanité, enseignée dans nos Universités, (mais il y a une autre histoire encore plus fantastique ignorée pour l'instant), n'a même pas fait l'objet d'une petite mention, dans la couverture de cette revue. À vous de juger.
Mais, pour mieux avancer dans cette affaire, le novice, doit savoir aussi, qu' il y a déjà pas mal de temps, nous avions pris contact avec le collectif Soria, formé (nous l'avons déjà exprimé), de 4520 entités cosmiques, (et collectif en qui nous avons toute confiance), au sujet de l'affaire très ambigüe des Ummites, et la réponse en substance qui nous avait été faite, nous a fait tomber carrément à la renverse : "Pourquoi vous préoccuper, au sujet de cette affaire, puisqu'il y a près d'une cinquantaine d'entités extraterrestres, qui visitent régulièrement cette planète".
Mais, venons en maintenant, à une dernière revue, bien plus diplomate dans cette affaire Roswell, et qui a su ménager ses arrières à toutes fins utiles. Voyez-vous même cette revue dont la couverture a déjà été présentée plus haut.
Comme on le voit, il s'agit là, une fois de plus du périodique VSD, déjà présenté avec honneur plus haut, et cette fois c'est le n° 930 du 22 au 28 Juin 1995, qui a parlé de l'affaire du film en question :
Pour les puristes, voici alors un petit plus :
On note bien ici, qu'il est parfaitement précisé ceci :
Et que celui qui a de bons yeux pour bien voir, tire déjà ici, la manifeste conclusion qui s'impose...
À vous donc, de juger tout cela, documents à l'appui...
Alors, ce 20 Mars 2016, Messieurs les détracteurs zététiques et consorts intellectuels blasés, si tout ce qui précède,
ne vous fait ni chaud ni froid, et que vous continuez à rire sous cape, de cette affaire, voici un petit plus, pour la route tortueuse que vous suivez en ce moment :
Regardez bien, la couverture du n° 82 de la revue Top Secret , de Déc 2015-Jan 2016, de l'ami Roch Saüquere :
, où l'on découvre un dossier tout à fait renversant de 9 pages, dont voici la première (âmes sensibles s'abtenir) :
On y découvre alors, un texte concernant un certain M.X, l'enfant des "Black Program", qui
a décidé, de faire quelques menues révélations, concernant les fripouilles d' humains, de la Force Noire Galactique, qui évolue actuellement secrètement,
hors de la Terre.
Et à la page 32, on peut lire ceci :
Or d'après le communiqué de Soria, (vu juste
au-dessus), et pourtant datant de 2004, donc il y a de cela 12 ans en 2016
, elle prétend aussi, que le nombre d'extraterrestres visitant la Terre, tourne bien autour de la cinquantaine. Curieux n'est-ce pas, que tout cela !!!.
De nombreux médias qui ont pignon sur rue, malgré tout ce qui précède, n'ont pas pourtant hésité une seconde à fourrer la tête sous le sable comme l'autruche, lorsque, on l'a vu plus haut, l'intrépide reporter Jacques Pradel, (cet intarissable chercheur de l'Inconnu), un grand Bravo, à ce dernier pour le courage dont il a fait preuve à l'époque, en présentant, en 1995, le film extraordinaire (examiné plus haut), lors d'une émission de TF1,a eu, on le sait, d'énormes ennuis par la suite.
Pour parfaire notre propos,
sur tout cela, nous pensons qu'il est aussi utile, de reprendre ici, le passage renversant, du livre de la même Soria, (en qui, nous l'avons déjà dit, nous avons toute confiance), page 47, intitulé Voyage, tome III aux Editions Ariane, premier trimestre 2002.
:
"...Votre isolement commence seulement à se lézarder. Les
rayonnements des autres formes de vie pointent leur Lumière
(Ombre ou Lumière : attention, tout n'est pas rose au sein des
Univers !), et certains de vos gouvernements savent déjà à
quoi s'en tenir ! Même s'ils ne vous ont pas révélé ces visites
et essaient de vous ridiculiser dans votre approche des autres
mondes, il est vrai qu'ils considèrent les habitants de cette
Terre comme des retardés mentaux à qui il faut cacher la
vérité, de manière à ne pas les affoler.
La population terrienne ne jouit pas d'une grande réputation aux yeux des dirigeants!
Étrange, votre choix d'être sans cesse rabaissés aux yeux des
autres ! Ce miroir vous apprend-il encore quelque chose
aujourd'hui ? Ne l'avez-vous pas assez exploité ? Ou avez-
vous simplement oublié que vous pouvez exister sans cette
reconnaissance aliénante ?...etc... ".
C'est exactement la confirmation de ce que le site ARTivision, a souvent évoqué dans ses articles au sujet de la
NASA et ses sbires, qui nous prennent assurément pour des débiles mentaux .
Mais ce jour, plaçons encore ici, ce petit plus, des pages 189 et 190 du même ouvrage :
"...Afin de vous aider a intégrer ces mondes intra et extra-planétaires, des rencontres sont prévues à cet effet. Ne vous étonnez pas de la publication éventuelle de livres relatant celles-ci. Les mots, c'est bien ; les actes, c'est encore mieux ! Comme une partie de cette humanité travaillera à construire
une harmonisation entre nos trois mondes, les échanges doivent s'installer non pas officieusement, mais officiellement, la première approche conduisant à la seconde. Cet événement
occasionnera de grands remous dans vos sociétés. Les gouvernements ont bien du mal à cacher leurs relations avec une
humanité extra-terrestre éloignée de son centre d'amour. Ils
seront confrontés à l'explosion de leur silence et aux dialogues avec d'autres formes de vie. Gageons que vos chefs
nationaux passeront des nuits d'insomnie et se feront des
cheveux blancs, leur crédibilité étant détruite ! Une période
très instable s'annonce désormais dans le monde émotionnel.
Si les Etats-Unis ne changent pas d'attitude guerrière et
continuent à imposer leur supériorité, ils vivront des instants
très difficiles. Ils risquent même de se retrouver seuls, sans
aucune oreille attentive pour les écouter. Rassurez-vous, je
n'ai rien contre ce pays ; il se trouve simplement qu'il
cristallise tous les vieux instincts. Et ces réactions risquent
d'être encore amplifiées par un adversaire aussi déterminé et
prêt à recourir aux mêmes armes pour démontrer sa ferme
détermination à vivre sur son propre sol selon ses aspirations.
Votre planète offre une diversité d'expressions qui perdurera
dans le temps. Vous êtes présentement devant la nécessité de
cette reconnaissance. Un état gouvernemental mondial deviendra viable le jour où cette plurialité sera acceptée dans
sa totalité et envisagée comme richesse. Alors, vous verrez
siéger à une table commune tous les représentants de cette
multitude. Le gouvernement mondial, tel que nous l'entendons, pourra alors voir le jour. Quand le respect de la Vie circulera sur toute la surface du globe terrestre, vous pourrez
envisager une monnaie unique. Vos tentatives actuelles de
mondialisation sont basées sur le profit et le servage de
l'humanité accompagné d'une nouvelle forme d'esclavage.
Celui-ci n'est pas physique (bien que...) mais émotionnel et
financier. Avant la fin de ce demi-siècle, tous les travers de
personnalité vont exploser, montrant l'horreur totale de la
perversion humaine ".
Que dire de plus, devant ces propos ahurrissants de Soria, sinon, ce que disent les anglos-saxons, devant une situation embarrassante : No Comment ...
Mais ce 21/03/2016, nous ne terminerons pas ce 7e focus, sans mettre carrément le pied dans le plat, dans l'Histoire passée, qui nous a été voilée délibérément par ceux (dirigeants, pontifes et consorts flagorneurs du système tyranique en vigueur), qui voulaient nous mener par le bout du nez :
ARTivision, a démontré que
l'Ancien Testament d'où sont partis de nombreuses lois de notre
civilisation judéo-chrétienne, parle d'entités ayant six doigts aux mains et six doigts aux pieds, et qui ne pouvaient être que : soit d'une autre race humaine venue d'un autre monde, soit le résultat d'une manipulation génétique des Anunnakis Sumériens.
Pour commencer, voyons à ce sujet, ce que l'on trouve dans l'incontournable ouvrage de Mauro Biglino de 2014:
Et en pages 225-226, on trouve :
Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre, avec l'aide de tout ce qui précède, que, "ces groupes quelque peu particuliers" venaient nous l'avons déjà suggéré :
- soit de l'espace...
- soit d'un trafic génétique des Maîtres sumériens ...
Attention, il s'agit ici, du "ou inclusif", c'est à dire, que les deux propositions peuvent être envisageables simultanément.
Voyons cela, d'une manière plus limpide
, d'abord dans la Bible de 1939, du Chanoine A.Crampon, et en II Samuel ChapXXI vers-20-22, il y est écrit :
Comme on le voit, Jonathan frère de David tua cet être, pourtant très suprenant ce qui prouve qu'à cette époque la vie, d'un être humain n'avait pas non plus une plus grande importance qu'à la nôtre où les massacres sont encore légions..
Voyons maintenant la version de Dhorme, en II Chroniques Chap.20 vers.5-8 il y a aussi:
Mais, pour les puristes anglicistes, qui aimeraient avoir un son de cloche, tiré d' un document d'origine, en voici un, venant d'une bible très connue :
Et en page 173 on trouve, en II Samuel-XXI vers.20-22 :
Comme on le voit, il s'agit bien d'une espèce d'individus très spéciaux, dont on ne nous dit pas hélàs, d'où ils provenaient...
En ce qui concerne le site ARTivision, il opte plutôt pour la première assertion, ( Il s'agit d'aliens de type humain venant d'un autre monde exactement comme l'entité "Orange", déjà présentée plus haut ), et cela va encore faire hurler d'amertume et de dépit, les bien-pensants et les consorts intellectuels très blasés, si fiers du contexte historique enseigné dans les universités. Pour en savoir vraiment plus, sur les interventions des aliens dans notre histoire, voir dèjà, nos articles plutôt avant-gardistes, du Temps des Révélations qui s'appoche à grands pas :
http://www.artivision.fr/UncertainplussurAdamski.html
http://www.artivision.fr/AstronauteEuropeOvnis.html
Donc, il va de soi, le fait que, si des entités sont venues d'ailleurs, pour se mêler à notre population, ( les lois capitulaires de Charlemagne, et de son successeur, le prouvent officiellement) , alors tout notre cursus historique, est à revoir totalement. A bon entendeur salut...
Mais ce 25 Mars 2016, analysons le huitième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse.
Notre modeste traduction donne :
"
Il n'y a jamais eu aucun rapport d'observations d'ouvertures polaires par les astronautes, et en particulier sur les vues montrant une pleine Terre, réalisées par les missions Apollo 8 ; 10 ; 11."
D'où notre Huitiéme focus .
Pour répondre à ce 8 e concept, de l'auteur John M. Prytz, disons déjà ici, qu'il aurait dû écrire, l'expression par les "astronautes", et nous allons expliquer cela plus bas.
De plus, disons aussi que pour Apollo 8, les photos globales de la Terre, qui sont quasi inexistantes, demeurent très partielles, et on ne distingue vraiment rien, d'une zone polaire quelconque :
Disons d'emblée, qu'effectivement à l'époque en 1970, ce Monsieur n'a pas eu en main, les données prouvant que les missions Apollos auxquelles, il fait allusion n'étaient que des mystifications de haut vol, et nous allons ici, le démontrer, de manière incontournable.
Pour commencer disons que nous allons être obligés ici, de monter le niveau de cet article d'un cran.
En effet , il faut savoir d'abord que se sont de simples observateurs, avec de très faibles moyens, comme le webmaster du siteARTivision, qui ont réussi, à mettre en évidence, les bizarreries des photos de la NASA, alors que des journaux qui ont pignon sur rue et des consorts spécialistes de l'espace, n'y ont rien vu.
Disons alors que, c'est dès le 30/04/2000,
que le site ARTivision, a été l'un des premiers sites du Web français, à mettre cette mystification en évidence, dans son article placé tel que :
Puis nous avons progressivement, sorti aussi les articles :
http://www.artivision.fr/Lumieresoit.html
http://www.artivision.fr/mystifications.html
http://www.artivision.fr/lettreouverteTF1.html
http://www.artivision.fr/Ameriquechocretour.html
http://www.artivision.fr/Affairegravslune.html
http://www.artivision.fr/unplusdansespace.html
http://www.artivision.fr/Nasatangible.html
http://www.artivision.fr/Nasatangiblesuite.html
http://artivision.eu/Apollo17chezCieletEspaceDec2002.html
http://www.artivision.fr/France-Antilles27Aout2012.html
http://www.artivision.fr/mondeillusion.html
http://www.artivision.fr/Artivisionaubac2011.html
................................................etc......................................................
Il ne faut surtout pas oublier, l'admirable livre "Lumières sur la Lune" (le grand doute) de Philippe Lheureux, publié aux Editions Carnot en Novembre 2000:
De très nombreux autres sites, ont aussi faits état de cela, comme par exemple le super site qui présente 12 vidéos , qui s'enchaînent successivement :
Il faut remarquer alors, que si, ce sont plusieurs années après 69 que l'on a pu s'apercevoir que les photos produites par les américains de leur escapade sur la Lune, étaient absolument truquées, il ne faut pas l'ignorer, que c'est un américain même, qui le premier, a tout dévoilé dès 1976, de ce grand bluff, et cela, à ses risques et périls.
En effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé Bill Reid Kaysing, dans un ouvrage paru aux USA en cette année, et intitulé "We never went to the Moon", publié par la Société of Metaphisicians LTD
Bill Reid Kaysing, n'est pas le premier venu dans
cette affaire, car c'était un ingénieur à la retraite de la société Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo.
Pour les puristes , qui recherchent plus de détails, disons aussi que cet ouvrage a été écrit en collaboration avec un certain Randy Reid, et voici donc quelques images sur cette affaire :
Cet ouvrage, hélas jusqu'à présent, n'a jamais été traduit en
français, et ses auteurs sont bien cependant, tout simplement, les précurseurs
incontestables, qui avaient déjà à l'époque, flairé
le gigantesque Bluff, à l'égard de l'humanité, que
représente le prétendu débarquement des "astronautes" américains sur la Lune, par les "fusées Apollo, LEM, jeep lunaire etc..."
Cela explique aussi le comportement inadmissible de Neil Armstrong, l'homme le
plus célèbre de la Terre à l'époque (décédé le 25 Août 2012), et nous replaçons volontairement ici, les quelques lignes déjà vues plus haut, extraites d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973:
Donc affaire à méditer ...
Mais, voyons de plus près d'abord, cette affaire d'Apollo 8, décrite en 6 pleines pages (26cm-34cm) du Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969 :
tel que le début se présente ainsi :
Et aux pages 29 et 30, on trouve ce passage significatif :
On se demande vraiment comment quelques éventuelles corrections de trajectoire vont pouvoir réduire la vitesse de la fusée de 1400 pieds /seconde ( 426m/Seconde), à une vitesse très réduite, non mentionnée ici alors que l'on nous dit bien que c'est l'une des opérations les plus délicates de l'expédition. A aucun moment il n'est précisé que l'on devra inverser le Module de Service, pour que la tuyère centrale, puisse jouer son rôle très important du freinage et de satellisation aux abords de la Lune.
Demandons alors au site Wikipédia, de nous éclairer davantage sur cette affaire :
De ce laius plutot ambigu, retenons seulement les paragraphes ;
Entrée en orbite lunaire
"Après environ 55 heures et 40 minutes de vol, l'équipage d'Apollo 8 devint les premiers êtres humains à entrer dans la sphère d'influence gravitationnelle d'un autre corps céleste : l'attraction gravitationnelle de la Lune devenait plus intense que celle de la Terre. Ils étaient alors à 62 377 km de la surface de la Lune, à une vitesse de 1 216 m/s par rapport à celle-ci. L'équipage calculait toujours sa trajectoire à partir du site de lancement, et continua ainsi jusqu'à la correction à mi-parcours qui devait leur permettre de changer de référentiel pour repartir sur Terre. Cette dernière n'était prévue que pour leur treizième heure de vol en orbite lunaire.
Le dernier évènement important avant leur entrée en orbite lunaire consistait à ralentir, pour obtenir une vitesse de 0,6 m/s. À la 61e heure très exactement, alors qu'ils étaient à 39 000 km de la Lune, l'équipage alluma le RCS pendant 11 secondes.
À la 64e heure de vol, ils préparèrent l'insertion en orbite lunaire (Lunar Orbit Insertion-1, LOI-1). Cette manœuvre ne permettait aucune erreur et devait être effectuée de la face cachée de la Lune, sans contact possible avec la Terre. L'ordre positif fut donné à la 68e heure. Après 68 heures et 58 minutes de vol au total, le vaisseau passa derrière la Lune et perdit tout contact radio avec la Terre.
Apollo 8 passe derrière la Lune .
Dernière transmission du vaisseau avant de passer derrière la Lune .
"L'allumage des propulseurs se fit 69 heures 8 minutes et 16 secondes après le lancement, le moteur brûla pendant 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8 en orbite elliptique lunaire. L'équipage décrivit cet instant comme les « quatre plus longues minutes de leur vie ». Si la propulsion n'avait pas duré exactement le temps prévu, le vaisseau aurait eu une trajectoire très excentrique voire aurait été éjecté dans l'espace. Si elle avait trop duré, ils se seraient écrasés à la surface de la Lune. Après s'être assurés que le vaisseau fonctionnait, ils eurent l'occasion de jeter un œil à la Lune, autour de laquelle ils allaient être en orbite pendant 20 heures.
Sur Terre, le centre de contrôle attendait. S'il y avait eu un problème, le vaisseau apparaîtrait trop vite et les corrections devraient être effectuées rapidement. Au moment prévu, un signal fut reçu en provenance du vaisseau, confirmant son orbite (311,1 km par 111,9 km) autour de la Lune."
Fin de citation :
Nous avons demandé à un vrai spécialite, ingénieur aérospatial, dont le site est tel que :
Nous lui avons alors demandé, si les dispositifs RCS et consorts mentionnés ci-dessous, dans la page de Wikipedia, sont vraiment un moyen pouvant freiner le Module de Service de 1216 m /s, à 0,6 m/s,, sans qu'il y est eu, une inversion de ce module ?
Et voici sa réponse en date du 7 Mars 2016 :
----- Original Message -----
From: X..... P..........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Monday, March 07, 2016 6:51 AM
Subject: Re : Apollo 8
Pour répondre plus précisément à la question que vous m'avez posée dans votre mail:
Dans Apollo 8, le module de commande aurait réussi à décroître sa vitesse de 1216m/s à 0,6m/s en allumant son RCS (i.e. les réacteurs latéraux, bien moins puissants que le réacteur principal) pendant 11 secondes; cela fait une décélération de plus de 100m/s²!!! C'est complètement délirant; à titre de comparaison, dans la période de freinage du module lunaire dans la descente motorisée de l'alunissage, celle où il décélère le plus, la décélération était inférieure à 4m/s² (et elle était faite avec le puissant moteur principal, pas avec les réacteurs latéraux).
Cela montre à quel point c'est aberrant.
Ce qui est drôle est que ceux qui écrivent ces pages sur Wikipedia pensent écrire quelque chose de très scientifique, et ne se rendent meme pas compte qu'ils peuvent écrire les plus grandes aberrations, et personne ne s'en rend compte...à part des gens comme moi qui y regardent de plus près.
Fin de citation
Mais pour y voir plus clair, dans cette affaire, présentons aussi ici, cette photo du Paris Match n° 1025 du 25 Déc. 1968, que nous avons sous la main et qui montrait en première page, les 3 "astronautes" d'Apol1o 8 : Frank Borman, James Lovell et William Anders,
Mais en pages 32 et 33, ce Paris-Match 1025, nous présentait un superbe schéma (53cm -34cm), que nous avons eu bien du mal à reconstituer, à cause de notre petit scanner :
Et pas besoin de sortir de Polytechnique pour deviner, la grande complexité de l'entreprise, qui conduirait les protagonistes jusqu'à environ 400 000 km de la Terre, et entreprise menée à l'aide d'ordinateurs, qui à l'époque, avaient à peine la puissance d'une calculette actuelle de lycéen...
Mais pour les puristes, présentons en plus clair, les étapes de l'expédition :
Mais faisons déjà ici, une digression importante, concernant l'étape n° 7 :
Or, on le sait, d'après ce que nous dit le site Wikipédia présenté plus haut, que
la manœuvre en question, ne devait être soumise à aucune erreur, et surtout qu'elle devait être effectuée de la face cachée de la Lune, sans contact possible avec la Terre ....
De plus, on voit que c'est une affaire de seconde en plus ou en moins, autour des cruciales 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8, en orbite elliptique lunaire, car c'était ou, l'échappée vertigineuse dans l'espace cosmique, ou pire l'ecrassement sur la Lune. Quel dilemme n'est-ce pas !, pour avoir à jongler avec un simple petit bouton.
Il va sans dire que avec les ordinateurs primitifs qui existaient à l'époque cette opération était d'une complexité inouïe , et dont le risque était assurément à éviter par tous les moyens.
A vous de juger...
Mais de plus, nous allons voir tout de suite, qu'il manque au super schéma en question, certaines étapes importantes, que l'on a , sans doute volontairement oubliées, pour le simplifier.
En effet, et c'est ici, une exclusivité d'ARTivision, si nous rapprochons les étapes 6 et 7 du superbe schéma :
On découvre alors que la capsule conique de commande, qui contient les 3 voyageurs a un sens inversé de l'étape 6 à l'étape 7. En effet Apollo 8, à la 61e heure très exactement, devait se trouver à 39 000 km de la Lune, et l'équipage alluma le moteur central du module de service pendant quelques secondes bien précieuses, pour passer de la vitesse de 1 216 m/s à celle dit-on de 0,6 m/s. Un sacré freinage n'est-ce pas !!. Mais ce que ne montre pas le schéma, c'est qu'il faut quelque temps avant, inverser le vaisseau dans son sens de circulation, pour que la tuyère principale du Module de Service, soit en avant de la marche. Cette inversion est donc d'une grande délicatesse nécessitant une prise de risque énorme. Or ceci n'est, on va le voir, mentionné nulle part, dans le récit du célèbre Raymond Cartier, très grand reporter à Paris Match, qui a certainement pris, les informations qui précèdent, directement à la NASA. Tout ceci est très curieux, et on se demande, si ce n'est pas la NASA elle-même qui n'a pas jugé bon, de le mettre au courant de cette affaire de retournement, du vaisseau Apollo 8, qui en effet , hypothéquait la réussite de l'opération
Cette affaire de retournement d'Apollo, est mentionnée, certes pour, Apollo 11, par exemple sur le site :
, tel que :
H + 3h17mn05 s : le troisième étage est largué
H + 3h24mn03 s : après une manœuvre de retournement, le véhicule Apollo vient s'amarrer au module lunaire. Les trois modules assemblés sont en route vers la Lune.
Et il y a même mieux en forme de schéma dans un document PDF placé à :
, tel que :
Tout cela pour bien montrer, la complexité de cette affaire d'Apollo 8, comme bien sûr pour les autres missions Apollo.
Remarquons que cette affaire de retournement pourrait être commandée de la Terre ( à près de de 361 000 km de là avec, on le sait des ordinateurs très balbutiants), mais cette opération pourrait aussi être entreprise directement avec beaucoup de risques par l'équipage d'Apollo 8.
Mais il y a encore, une autre étape délicate, qui n'apparaît pas sur le super schéma, en question. Voyez, vous-même ce coin :
On voit très clairement, que les vaisseaux en question sont inversés, ce qui signifie qu'à un moment donné, il y a eu un autre retournement, non également mentionné sur ce beau dessin. Ce retournement pourrait avoir lieu en effet, immédiatement après le premier survol de la face cachée de la Lune, mais il aurait pu avoir lieu, à un autre moment des 10 révolutions effectuées autour de la Lune, d'après le site :
Mais là, ce retournement pourrait devoir être amorcé à partir du survol de la face cachée, et ce sont alors les membres de l' équipage, qui en seraient responsables, avec tous les inconvénients en puissance, car ils ne pourraient communiquer avec la Terre, s'il y avait un pépin.
Voyons maintenant, d'après Paris Match, quelques prouesses techniques utiles ( les phases vraiment dangereuses sont en violet), pour réussir cet exploit:
On voit alors bien, que dans ce texte réduit et ramassé, on parle bien de moteurs de Vie et de Mort et jamais du processus de retournement du Module de Service.
Mais lisons alors ce qui est écrit, au bas de cette photo de Williams Anders ( bien sûr il y aussi celles des autres astronautes et aussi des textes concernant leur curriculum vitae ) :
C'est donc un quidam plutôt rigoureux et cultivé. Alors, pourquoi a t-il déclaré (d'après Paris Match bien sûr), cette phrase tout à fait insolite et inadaptée ;
" Nous avons moins à craindre que Lindbergh lorsqu'il vainquit l'Atlantique . "
Et malgré, l'explication fantaisiste et
opportuniste, de Paris Match, qui nie les justes réserves, du grand astronome anglais Sir Bernard Lowell :
, le site ARTivision, pense que ce propos très insolite d'Anders, est une sorte de bouteille à la mer, bien calibrée, pour les générations futures, et cela signifie en clair :
Et le site ARTivision ajoute, qu'Apollo 8, fut en fait, le premier témoignage de cette fumisterie d'affaire, et toutes les autres missions "Apollo", sont à mettre, dans le même sac.
De très nombreux sites maintenant, démontrent clairement cette imposture, mais de plus,
où le bât blesse, on découvre que les spécialistes soviétiques de l'Espace, eux qui, ont dû découvrir ces truquages dès Juillet 1969, n'ont pourtant, absolument rien dit ....
C'est donc, qu'ils étaient, parfaitement complices de cette mascarade, et le concept de Guerre froide, qui battait son plein à l'époque, n'est qu'un autre bluff, mis au point par les soviétiques et les américains, pour noyer le poisson, et poursuivre en douce leur scélérate collaboration avec "Les Petits Gris", dont nous avons parlé ci-dessus.
De plus, disons aussi que les soviétiques n'auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans une raison d'Etat supérieure, à tout ce qui est économiquement et socialement et surtout militairement valable. S'ils ont laché prise, c'est parce qu'ils ont appris l'existence effective d'un troisième larron, plus puissant que les américains et les soviétiques, et donc que ces deux derniers pays, n'avaient plus aucune raison de se taper dessus...
A bon entendeur Salut...
Mais ce 27/03/2016, jour de Pâques,
avant d'aborder les "épopées d'Apollo 10 et 11", voyons une dernière étape de la mission Apollo 8, qui était, encore plus dangeureuse que les précédentes :
Voyons d'abord, comment le site déjà présenté plus haut, de Wikipédia, nous présente cette étape spéciale :
Vous avez bien noté, que ce passage nous dit, que le retour sur Terre fut
"une période de détente
", alors qu'ARTivision, prétend que la rentrée dans l'atmosphère terrestre, représentait un danger très énorme. (Voir l'affaire de la Navette spatiale Columbia, qui a explosé le 1er Février 2003, en entrant dans l'atmosphère )
A aucun moment, ce texte, ne nous parle de l'important freinage, nécessaire avant l'arrivée sur Terre, et même, il nous apprend, le largage du Module de Service, qui contient la tuyère centrale, pouvant freiner le vaisseau. La décélération, étant faite après ce largage, atteindra pourtant 59 m/s 2 . Rappelons que ce Module de Service , qui était au départ de la Lune, dans cette position :
, devrait obligatoirement subir un retournement de 180°, pour pouvoir exercer le freinage requis.
Mais voyons, aussi comment le Paris Match 1028, nous présente l'étape du retour vers la Terre. (Nous avons bien sûr, supprimé les paragraphes superflus)
On voit là, alors que, que le vaisseau Apollo 8 , est passé de la vitesse de 44 000 km/h (12,22 km/s), à celle de 8029 pieds/s (2,447 Km/s ). Une sacrée décélération, n'est-ce pas !! Mais comment fut-elle réalisée ? C'est là, le silence total, et c'est à vous qu'il appartient de juger, tout cela .
Voyons maintenant, comment sont traitées, les affaires aussi scabreuses d'Apollo 10 et 11, auxquelles fait allusion le sieur John M. PRYTZ :
Voyons alors comment, entre en jeu le caviardage d'une photo quelconque, bien qu'en 1970, Monsieur John M. PRYTZ , ne pouvait pas encore connaître; celle qui suit.
Cette photo est tirée de la couverture de la revue moderne nommée "Diplomatie", dans son n°9 hors série d'Août-Sept 2009 :
Sur la photo de la NASA présentée, on voit clairement de nombreuses anomalies :
Nous parlerons d'abord du super panneau avec le drapeau des USA, et l'inscription United States:
A moins que ce drapeau, soit fait de matière fluorescente très spéciale, on se demande, comment sur le panneau très noir, qui est donc, totalement à contre-jour, ce drapeau peut apparaître, avec tant de netteté. Cette affaire de fluorescence éventuelle du drapeau, est donc à vérifier dans les rapports de la NASA, sinon ce n'est qu'une vulgaire juxtaposition d'une image sur une autre.
Nous sommes ensuite, frappés par la blancheur et les rondeurs du mont en arrière plan et surtout par ceci :
Ensuite, nous voyons, à peine perceptible, à droite et vers le bas de la hampe du drapeau, une trace de roue telle que :
La direction des stries de cette trace est perpendiculaire au bord de la trace, ce qui prouve qu'il ne s'agit pas d'une trace de roue de la jeep LRV d'Apollo 15, mais plutôt de la trace d'une jeep Willys, (si souvent présente dans les films de guerre américains) et dont le fonctionnement, est impossible sur la Lune.
Nous n'avons pas eu la chance de trouver en couleur, la même image sur le site pratiquement officiel suivant :
Cependant, nous y avons retrouvé une photo, qui lui ressemble beaucoup, bien que le champ de vision, soit plus large presque partout. Voici cette photo :
Ajoutons y quelques commentaires :
Tout cela est de plus en plus révélateur, n'est-ce pas ?
Quittons alors cette image, déjà très insolite de
la NASA , pour venir maintenant analyser plutôt, les propos du chapitre intitulé "La conquête de la Lune (1968-1969) : le dénouement " ( Comme ils sont prétentieux ces écrivains en parlant de conquête,, n'est-ce pas ? )
Survolons alors, en page 30 et en Décembre 1968
, l'épopée d'Apollo 8 :
Vous avez bien vu, qu'il n'est pas question dans ce laius, à aucun moment, du retournement, du Module de Service d'Apollo 8, seule manœuvre capable de réaliser le freinage incontournable, pour pouvoir tourner autour de la Lune .
Vous avez bien lu, n'est-ce pas, que la face cachée est grise sans couleur, désolée et lugubre etc... mais chacun a bien voulu lire des versets de la Genèse, et cela à l'intention des terriens bien loin à 400 000 km de là, ( et sans doute aussi, un peu pour les Dieux, qui eux, sont bien présents, sur notre satellite... n'est-ce pas ?) .
Plus loin, en page 32, on nous parle aussi de l'épopée d'Apollo 10, où le module lunaire dans le voisinage de notre satellite, s'est séparé d'Apollo en Mai 1969, pour s'approcher jusqu'à 14 km du sol lunaire. On devine évidemment la complexité supplémentaire de cette manœuvre , qui en plus de celle, vue plus haut pour Apollo 8, en apportait à l'époque, un degrès de dangerosité, jamais connu, ni expérimenté.
Et là, on nous présente, un petit médaillon de la surface de la Lune, photographiée par les astronautes de cet Apollo 10. Hélas, on ne dit pas si cette photo vient de la face cachée. Les spécialistes le découvriront sûrement.
Mais nous avons noté cependant, sur ce médaillon quelques incongruités :
Bien sûr il y beaucoup d'autres anomalies sur cette photo, et un bon logiciel qui ne tardera pas à être commercialisé, nous en dira plus, nous l'espérons vraiment bientôt .
Cependant, ce 27/03/2016, voyons encore à la page 34 de cette revue, ce passage :
Comme le dit le commentateur, il eu été plus beau de planter là, le drapeau de l'ONU, si l'on est venu sur la Lune au nom de toute l'Humanité.
Mais, ce qui retient encore notre attention ici, c'est ce nouveau médaillon, où pour Apollo XI, les "astronautes", Neil Armstrong et Buzz Aldrin, plantent le drapeau américain sur la Lune. Dommage que ce commentateur qui, nous dit-on, est un historien de la conquête spatiale, et de la dissuasion nucléaire, (nous préférons dire, bien sûr, un historien de l'épopée spatiale), n'ait pas jugé bon de nous dire, qui a pu filmer et prendre cette image, si bien agencée , des deux "astronautes", évoluant côte à côte, sur la Lune. On sait, en effet, que le troisième confrère, nommé Collins, était dit-on, très éloigné, en haut dans le ciel lunaire, et dirigeait le Module de Commande. Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre une photo aussi nette !!
Où était fixée la caméra en question ? A-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si précieuse en ce lieu ?
Les spécialites trouveront certainement la réponse un jour...
Mais voyons cette image de plus près, et sous un autre cadre, tiré, on l'a vu déjà, du site quasi officiel :
Et allons d'emblée, à l'image ap11-S69-40308, suivante :
Observons bien alors, les ombres des deux "astronautes". Ces derniers, on le voit, sont proches l'un de l'autre n'est-ce pas et, pas besoin en effet, de sortir de Polytechnique, pour s'apercevoir que l'ombre de "l'astronaute" de droite, est bien plus longue, que celle de son confère. Les rayons du soleil viennent de l'infini, et en plus ce Soleil est assez proche de l'horizon. Les deux ombres doivent être parallèles et surtout pratiquement de même longueur (les individus en question n'ayant que quelques centimètres de différence dans leur taille), et comme on le voit, ce n'est pas ici, le cas pour la longueur de l'ombre. Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste expérience suivante :
Un jour vers 16 h 20 locales, nous avons simplement placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que les ombres étaient parfaitement parallèles et que l'ombre portée mesurait 98 cm pour chacune d'elles .
En conséquence, il s'en suit que :
- Soit que les deux "astronautes" sont éclairés (sur Terre évidemment), par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona...
- soit, pire encore, il s'agit d'une vulgaire manipulation photographique de deux photos différentes, prises pour chaque "astronaute" séparément et cela , bien entendu, sur Terre.
De plus, étant donnée la position de la hampe du drapeau au pied de "l'astronaute" , ce drapeau devrait se projeter grosso modo, ( sans doute avec une couleur plus atténuée) , sur"l'astronaute" de gauche , comme le montre notre modèle grossier :
Pourquoi donc ce drapeau n'a-t-il d'ombre sur l'"astronaute" en question ? Certains, vous diront, vite fait, que c'est le blanc du scaphandre, qui a saturé le flaiblard noir de l'ombre du drapeau. Point barre.
Les photos suivantes, où le blanc ne gêne pas la croix, montrent que cette supposition est fausse :
A vous de juger cette nouvelle affaire saugrenue!!!
Mais ce 29/03/2016, poursuivons l'analyse des épopées des Apollos 10 et 11, et autres missions analogues.
Voyons d'abord en partant du PM 1025, comment pourraient être agencés le Module de Commande et LEM, dans le vaisseau Apollo 10 :
Et pour les puristes, voici certains, détails de ce Module de Service:
Cependant, pour Apollo 10, le site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Apollo_10
,nous explique ceci :
Déroulement de la mission :
Cette mission était avant tout une répétition pour la phase qui précédait l'alunissage. Le module lunaire, surnommé « Snoopy », fut envoyé à 15,6 km de la surface lunaire. En dehors de cela, la mission reproduisait les principales étapes du vol final, à la fois dans l'espace et au sol. Peu après avoir quitté son orbite terrestre basse, le module de commande/service se sépara du troisième étage de Saturn V, S-IVB, effectua une rotation à 180° puis arrima son nez au sommet du module lunaire, lequel était encore attaché à S-IVB. L'ensemble module de commande/service et module lunaire se sépara ensuite du lanceur. Les moteurs du module de commande propulsèrent le vaisseau jusqu'à la Lune. En atteignant l'orbite lunaire, Young prit les commandes du CSM , alors que Stafford et Cernan prenaient le contrôle du module lunaire. Ils vérifièrent notamment son radar et son moteur d'ascension, ainsi que le site d'alunissage final dans la Mer de la Tranquillité. Cependant, ce modèle du module lunaire n'était pas destiné à se poser. Apollo 10 réalisa également la toute première diffusion télévisée en couleurs et en direct depuis l'espace.
Rappelons ici que le Module Lunaire est constitué d'un sous-module atterrisseur qui assure la descente vers la lune (descent stage) et d'un autre sous-module (ascent stage) permettant à l'équipage de retourner en orbite. Pour cette mission, l'atterrisseur s'est écrasé sur la lune. Le module de retour en orbite a été placé en orbite héliocentrique. C'est le seul exemplaire de cette classe de modules à être aujourd'hui encore tout à fait intact.
Mais sur le site: http://max.q.pagesperso-orange.fr/apollo/Missions/presentation.htm,
on découvre ce texte :
: " Le vaisseau est envoyé vers la Lune, grâce à une poussée de quelques minutes du S-IVB. Ensuite, le vaisseau se sépare du S-IVB et effectue une rotation de 180°, de façon à se positionner en face du S-IVB. Les astronautes peuvent enfin enlever leurs combinaisons de vol...Le lancement a eu lieu environ 3 heures auparavant. C'est à ce moment que s'effectue la Transposition, Ejection & Docking Le CMP ou le CDR pilote le module de commande et se rapproche de plus en plus, de façon à s'arrimer avec le Module Lunaire (LM). Le LM est extrait du S-IVB, qui est ensuite largué. Désormais, le LM et le CSM sont solidement arrimés, et l'équipage peut aller et venir dans les deux vaisseaux. (schéma ci-dessous) "
Fin de citation .
On découvre alors, les admirables schémas de cette inversion des vaisseaux :
ou encore :
Autrement dit, le retournement du Module de Service, jamais expliqué pour Apollo 8, après l'étape 6 (qui semble pourtant l'amorcer) est ici en première ligne. Revoyez donc cela encore :
Ce retournement semble là, effectif dès l'étape 5 , ( même si cela parait être réalisé, à un moment plus proche de la Lune)
Mais, on ne nous dit surtout pas, qui a contribué à la réalisation de toutes ces supers manœuvres d'inversion de vaisseaux, qui doivent être réalisées au millimètre près, avec des ordinateurs très primitifs et faiblards de l'époque, et on oublie vite aussi de dire, que le freinage requis pour la satellisation autour de la Lune, doit être initié quand les vaisseaux en question, abordaient sa face cachée, où toute communications avec la Terre, étaient coupées. Et donc, ce sont les excursionnistes eux-mêmes, qui devaient au millimètre et à la seconde près, organiser la plupart de ces manœuvres extrêmement délicates et dangereuses.
Quant à nous faire croire que les deux excursionnistes : Gene Cernan et Thomas Stafford, vont pouvoir partir en ballade avec le LEM, jusqu'à aller contempler la Lune à 15,6 km de sa surface, puis revenir sans aucune anicroche, rejoindre John Young dans le Module de Service, tout cela relève de la pure et insolente fantaisie, comme le prétend le site : http://phil.ae.free.fr/astro/espace/precurseurs4.html,
tel que :
La mission Apollo 10.
"Finalement, Stafford, Young, et Cernan décollèrent le 18 mai 1969 et, après avoir passé quelques heures en orbite terrestre en vérifiant le vaisseau et les systèmes, ils allumèrent le troisième étage du lanceur Saturn 5 pour partir en direction de la Lune. Comme pour Apollo 8, leur trajectoire était "à retour libre", c'est-à-dire qu'elle les emmenait autour de la Lune, et en cas d'échec à l'allumage du moteur principal, elle les ramenait directement sur Terre. Cependant, comme lors de toutes les missions Apollo, ce moteur fonctionna parfaitement.
Contournant la Lune à 110 km au-dessus de la face cachée, l'équipage alluma le moteur pendant quatre minutes pour freiner et entrer en orbite lunaire. Vingt minutes plus tard, le vaisseau émergea du limbe oriental de la Lune, retrouvant le contact radio avec la Terre. L'heure de la réapparition du vaisseau était suffisante pour confirmer qu'il était sur l'orbite prévue.
Pendant les heures suivantes, Stafford et Cernan vérifient le LM. Après un repos nocturne, ils se séparent de Young et, au-dessus de la face cachée, ils allument le moteur de descente pendant trente secondes pour se placer sur une orbite qui les amène à 14 500 m d'altitude au dessus d'un point situé 480 km à l'est du site prévu pour Apollo 11.
En approchant du point bas de leur orbite, ils se trouvent assez près du sol pour tester le radar d'alunissage du LM et procéder à une inspection visuelle de la zone au cas où un site de rechange soit nécessaire lors du premier atterrissage.
Ensuite, au lieu d'allumer le moteur de descente pour freiner leur course et atterrir, ils accélérent et prennent une nouvelle orbite qui, passant à 350 km au-dessus de la face cachée, les amène cette fois juste au dessus du site prévu pour Apollo 11.
Deux heures plus tard, à la fin d'une autre orbite lunaire, Stafford et Cernan sont prêts à répéter la manoeuvre d'ascension et de rendez-vous. Après avoir survolé une nouvelle fois à basse altitude le sud-ouest de la mer de la Tranquilité, ils éjectent l'étage de descente et allument le moteur d'ascension pendant environ 15 secondes. Peu après, ils effectuent un parfait rendez-vous avec Young. .
Presque tout s'était passé parfaitement, à part un moment d'anxiété quand l'étage de remontée, à peine séparé, commença à tourner et rouler follement sur lui-même. Il fallut près de huit secondes à Stafford pour reprendre le contrôle du vaisseau. Un simple interrupteur actionné une fois de trop avait provoqué la remise en route du système de fusée d'attitude.
Deux orbites après cet épisode "à dresser les cheveux" (dixit Stafford), le rendez-vous avec le CSM s'effectue. Une orbite plus tard, Stafford et Cernan rejoignent Young à bord du Module de Commande. Le LM est alors largué et Houston l'envoie sur une orbite solaire par un dernier allumage de son moteur. "
Fin de citation .
Mais ce 29/03/2016, ARTivision, met en évidence une fois de plus, le fait, que donc ni Jonh Young d'Apollo 10,
ni Michael Collins d'Apollo 11, ni Richard Cordon d'Apollo 12, ni Stuart Rossa d'Apollo 14, ni Alfred Worden d'Apolo 15, ni Thomas Mattingly d'Apollo 16, ni Ronald Evans d' Apollo 17 , les 3e "voyageurs" des diverses missions "Apollo", qui ne sont pas descendus sur le sol lunaire, n'ont jamais photographié par les sas d'entrée, leurs collègues de retour de leurs dangeureux périples sur la Lune (ou simplement vers la Lune pour Apollo 10).
Pour bien analyser cette nouvelle énigme, nous nous souvenons d'abord, que c'est en Décembre 1965, que les américains eurent un gros problème avec Gemini 6 ( avec les astronautes
W.Schirra et T Stafford), qui n’a pas pu s’arrimer à un satellite
cible qui devait être un étage de la fusée Agena, spécialement équipée pour que
le nez de la cabine Gemini 6 puisse s’y emboîter. Agena ayant échoué dans son
lancement, la NASA, décide brusquement de modifier ses plans. C’est le vaisseau
Gemini 7 (avec Fank
Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à Gemini 6. L’expérience devient alors peu spectaculaire,
puisque l’arrimage étant impossible, le 15 Sept 1965, les deux cabines ne vont pouvoir que s’approcher à deux pas l’une de l’autre, et
vont effectuer ainsi en tandem plusieurs révolutions
orbitales.
Le véritable rendez-vous avec la fusée Agena
inhabitée n’aura en fait lieu qu’en Mars 1966
avec Gemini 8 (avec N.
Arsmtrong et D. Scott) et encore que le vol fut interrompu à cause d'un court-circuit.
Mais où cela est surprenant, c'est que nous n’avons pas
trouvé d'autres d’exemples, où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo
différents (avant bien sûr la mise en orbite de la
navette spatiale), se sont réunis dans la même cabine, après un
rendez-vous spatial programmé.
Mais, il nous appartient maintenant de noter ici, ce fait important : Le 15 juillet 1975, fut lancé le vaisseau soviétique Soyouz 19 avec les cosmonautes A. léonov et V. kubasov , et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias , si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains : T. Stafford , V.Brand et D.Slayton, ont été largement filmés et retransmis, dans toutes les télés, radios et presses du monde entier. Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer, et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux, pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :
Mais, justement maintenant, il nous vient à l'idée, que la NASA, n'a jamais montré, pour aucune des missions "Apollo", (à notre connaissance bien sûr et les internautes qui en auraient la preuve, nous feraient un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes revenant de la Lune, avec de leur compagnon d'infortune, qui lui fut privé, hélas, du débarquement, et qui est resté sagement dans le Module de commande, à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or ce dernier avait assurément, à sa disposition à l'intérieur de la cabine, une caméra pour filmer, tout ce qui se passait autour de lui...
Aux spécialistes de répondre et de nous dire pourquoi aucune photo des retrouvailles n'a été montrée.
Quelle joie ce serait en effet, pour lui, de filmer le passage, par le sas
d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion, au monde entier ?
Non rien de tout cela ne nous a été présenté par la NASA !!!
On sait d'ailleurs maintenant, qu'en plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales.
De plus, il serait peut-être utile, de présenter ici le passage qui suit du site :
" Lorsqu'en 1961, le président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, fixe comme objectif à l'agence spatiale américaine d'envoyer des hommes sur la Lune avant la fin de la décennie, le programme spatial américain est encore balbutiant. Après avoir étudié plusieurs configurations pour le vaisseau spatial, la NASA choisit en 1962 d'avoir recours au LEM, module destiné au débarquement sur la Lune, malgré les interrogations que suscitent à cette époque le recours au rendez-vous orbital lunaire (LOR) que sous-tendait ce choix. Seule cette solution permettait en effet de tenir l'échéance fixée, en réduisant la masse à satelliser et en limitant les coûts et les risques techniques.
Le LEM comporte deux étages : un étage de descente dont le rôle principal est de faire atterrir verticalement le module lunaire grâce à un moteur à poussée variable et un étage de remontée doté de son propre moteur et dans lequel se situe la cabine pressurisée où séjournent les astronautes. Malgré la complexité de sa mission et une contrainte de masse très sévère (15 tonnes), le LEM a réussi à six reprises à amener sans défaillance grave, et faire séjourner deux hommes dans un environnement lunaire particulièrement hostile et à l'époque mal connu.. "
Fin de citation.
Vous avez bien noté, nous l'espérons, le fait que des spécialistes affirmaient que le rendez-vous lunaire posait déjà, à l'époque en 1962, de notoires interrogations, et que malgré la complexité de la mission, on a tout de même pu, réussir sans embages, 6 jonctions ( et on pourrait aussi ajouter celle d' Apollo 10, donc cela fait 7 en tout ), entre un étage de remontée du LEM avec le Module de Commande, d'Apollo tournant autour de la Lune.
Alors, ARTivision a le droit de s'interroger sur le fait très insolite de savoir comment ces mêmes américains ont pu réussir (comme dans un fauteuil) ces nombreux rendez-vous
lunaires sans aucune anicroche, à environ 400 000 km de la Terre, avec des ordinateurs très primitifs, qui n'avaient
même pas à l'époque la puissance d'une calculette actuelle de lycéens. Et cela en
plus, malgré le terrible cône d'ombre
électromagnétique, que représentait la Lune, vis à vis de la
Terre, en fonction des positions des éléments des vaisseaux à
joindre.
Ces divers rendez-vous lunaires étaient, l'un des moments
les plus cruciaux de la
trajectoire, suivie par ces astronautes revenant de la Lune
et, c'est là, que nous avons le moins d'information et
aucune image de cela.
Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur
la Lune (ou au voisinage de la Lune, pour Apollo 10), qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagnon, sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir ?...Ne trouvez-vous pas cela bien
bizarre ?
Nous attendons alors, vos précieuses conclusions...
Mais ce 30/03/2016, il nous appartient d'en dire un peu plus, concernant Neil Armstrong, l'homme qui dit-on, aurait été grâce à Apollo 11, le premier à poser le pied sur la Lune...
Pour démystifier cette affaire, présentons ici, cette missive surprenante ( Nous en avons reçue beaucoup d'autres):
----- Original Message -----
From: chanal S...
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Thursday, December 15, 2011 8:27 AM
Subject: Les américains n'ont pas été sur la Lune
Bonjour Fred,
Je sais que vous prenez du repos et j'espère que tout se
passe au mieux.
Je suis tombée sur une séquence relativement courte mais étonnante.
Sur le site www.moontruth.com. Je vous la mets par hasard en pièce jointe.
Et encore merci pour tout votre immense travail accompli.
C'est un vrai plaisir sans cesse renouvelé que d'aller sur votre site.
Bonne continuation.
Chanta.......
Nous avons bien sûr, répondu à cette aimable intenaute à l'époque, en disant que nous connaissions le petit film en question, depuis au moins 2005, et cette courte vidéo s'appelait effectivement autrefois "Moontruth". On pouvait la voir à l'époque sur près d'une demie douzaine de sites, et actuellement, il reste encore ce film là, sans doute pas pour longtemps :
On y voit donc un système de projecteurs qui dégringole à côté de "l'astronaute".
Cela surprend évidemment, mais les détracteurs français zététiques et autres debunkers anglosaxons, vous diront que ce film provient effectivement du centre d'entraînement, où l'on était entrain de préparer les gestes précis à faire et que ce film a bien été tourné sur la Terre et probablement ce n'est même pas Armstrong, qui descend l'échelle et qui prononce la phrase clef, qui a pu être enregistrée bien avant. Point Barre.
Mais, ce que ces détracteurs zélés ignorent, c'est que nous avons assisté à l'époque, à la télévision, aux déclarations en direct d'Armstrong lors de l'émission de FR3 "Les Dossiers de l'écran" , le 15 Août 1979, et à un moment donné Armstrong, a affirmé devant des millions de téléspectateurs, groso modo, que sa phrase fut spontanée et non prévue à l'avance, lors de son débarquement sur la Lune. Cette vidéo prouve donc qu'il a berné tout à fait, les journalistes de l'émission,
alors que le premier quidam, rencontré après cette émission, sans être docteur en psychologie, vous dirait d'emblée, que cette phrase ne pouvait pas avoir été, en aucune façon spontanée, pour quelqu'un debarquant sur une autre planète, pour la première fois dans l'histoire de l'Humanité. Chaque mot et chaque pas, devaient assurément, être étudiés à l'avance :
Merci mille fois, à l'internaute qui retrouvera sur Google, l'url où le DVD, de cette emission des "Les Dossiers de l'écran" , pour bien analyser dans le détail, les propos d'Armstrong, correspondant à sa célèbre phrase. Nous avons nous-mêmes écrit , à la revue Nostra, à propos de cette émission . Voici la lettre en question :
La vidéo MoonTruth , ( que l'on a intérêt à enregistrer rapidement, car elle pourrait disparaître comme par enchantement), prouve sans contestation, que la phrase d'Armstrong, prononcée solennellement en posant le pied sur le sol, avait bien été calibrée d'abord, et donc Armstrong, devait savoir cela : Pourquoi a-t-il menti ? Aux spécialistes de répondre...Nous attendrons avec ferveur, leurs conclusions pour les publier joyeusement...
Mais, puisqu'on est certain ici, qu'il a menti, nous pouvons lui appliquer sans réserve, l'aphorisme célèbre :
Et, alors on peut dire que, si Armstrong, a menti une fois, il peut très bien le faire en mieux, une autre fois. On pense même que ce film aurait été tourné en Angleterre sur le plateau de cinéma, où fut réalisé le célèbre film de Stanley Kubrick : " 2001 l'odyssée de l'espace" :
Un documentaire ironique, nous explique tout cela d'une manière très ambigüe :
Si en plus, on étudie le
comportement aberrant de cet "astronaute", on reste sidéré devant une telle
attitude fallacieuse, car cela ne cadre pas du tout avec le stoïcisme et le caractère avenant, que l'on
prête en général à un héros de la nation, et nous invitons maintenant, les internautes curieux, à analyser avec le plus grand soin, les quelques lignes suivantes et lignes extraites d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973, où figure un article courageux, tout à fait hors-normes, et intitulé :
Le langage est donc clair : les astronautes sont devenus "les désaxés" soit, les "misfits" de la NASA.
On voit donc que Neil Armstrong, décédé on le sait, le 25 Août 2012, au lieu d'avoir le souffle coupé , en débarquant sur un autre astre que la Terre, ce dernier, en véritable robot, refuse même de dire devant ses interlocuteurs seulement, que la Lune est belle, et même, il agit comme si la Lune lui avait donné "le dégoût de la Terre" . Mais relisez donc à nouveau, bien ce passage :
On voit donc clairement dans le texte du Paris Match 1242, présenté ci-dessus, que "l'astronaute" Neil Armstrong, est bruquement devenu comme "un ours en cage", et on dit, parait-il, qu'il ne voulait plus entendre du tout parler de la Lune. Le titre même de ce Paris Match 1242 , est déjà à notre avis, en lui même, très explicite: "Ils sont
encore dans la Lune".
Il y a donc bien "anguille sous roche", pour cet "astronaute", qui est devenu après son "voyage", vers la Lune, un obscur professeur d'université, face à des étudiants, ignorant de lui, tout ce qui précède et ce qui va suivre.
Certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute, nos déclarations sur Neil Armstrong, doivent savoir que ce dernier aurait pu amplement tirer, de grands profits par les contrats publicitaires faramineux qui
lui ont été proposés. Connaissez-vous en effet, cher internaute, un américain qui refuse de ramasser
des millions de dollars
qu'on lui offre sur un plateau
d'argent, comme certains footbaleurs français ou étrangers, bien connus, l'ont honnêtement bien fait ?
Et bien oui, il en existe au moins un, c'est Neil
Armstrong, l'homme qui on le sait, fut dit-on, le premier, parait-il, à mettre le pied sur un autre "astre que la Terre"
Voici aussi, d'autre part, quelques phrases tirées de la page 99 de l'ouvrage très documenté de Pietro Banucci , intitulé "La Lune", et publié aux Éditions Bordas 1989 :
"Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même, et évite, dans la mesure d
possible, de parler du passé. Séjournant
dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un
poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A
plusieurs reprises, il émet des opinions
négatives sur la NASA. En Décembre 1972 après
la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre
satellite, il refuse une invitation de la
NASA, à une cérémonie au cours de laquelle il aurait
dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La
photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre
à une party, à laquelle l'a invité le Président Nixon.. Il snobe également
une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du
programme Apollo , dans sa villa du Pacifique en Californie...".
Mais, il y a aussi ceci : Lorsque l'astronaute Armstrong, a soi-disant débarqué sur la Lune
et cela, ( 5 heures avant l'heure prévue,
ce qui a désorganisé tous les programmes des médias qui suivaient l'événement ), il a flanqué la caméra dans une direction et elle n'a plus bougé ...
Jamais, il n'a fait (à notre connaissance bien sûr, et nous aimerions avoir la preuve du contaire), un panorama du paysage, comme le ferait tout alpiniste, qui arrrive au sommet d'une montagne...
C'est inadmissible, au prix où l'on avait soi-disant payé cette caméra... Des spécialistes ont démontré d'ailleurs, que la caméra n'avait aucune
protection contre les dures conditions et radiations, qui régnent sur la Lune, et que par conséquent, les films obtenus auraient été tous "brûlés"...
Arrêtons là, voulez-vous, ces
propos significatifs sur Armstrong, qui justifient parfaitement, à notre
avis, notre expression "un ours en cage" citée ci-dessus...
Voilà donc, quelques éléments très prosaïques et il y en a d'autres, qui nous invitent à croire qu'Armstrong qui, on l'a vu plus haut, a passé l'arme à gauche,le 25 Août 2012, n'a probablement, jamais mis les pieds sur la Lune, et pour cause....
Donc ce n'est pas comme le pense le France-Antilles du 27 Août 2012, présenté ci-dessous, , une affaire d'Humilité,
qui a présidé au comportement aberrant, d'Armstrong, mais, pour nous, la seule façon de comprendre ce comportement, c'est de se dire qu' Armstrong, a eu un sursaut évident, de dignité et de moralité, et il a donc refusé de participer à cette mascarade cosmique, montée par son gouvernement et la NASA, pour de vulgaires questions de prestige politique, économique et militaire de sa nation. Point-Barre...
, où l'on apprend que, le second "voyageur de la Lune", d'Apollo XI, Buzz Aldrin, qui aurait été interné deux fois, a prononcé cette phrase très
insolite :
Il y a donc bien quelque chose d'incroyable, qui s'est passé au sujet de la Lune, également pour Aldrin, n'est-ce pas !!
Mais parlons aussi un peu de, Mikael Collins (le troisième larron qui a seulement tourné en rond autour de la Lune
dans le Module de Commande, quand ses camarades étaient "déscendus", sur le sol lunaire), et qui
parait-il a été si choqué par son "aventure lunaire", si bien qu'il ne participera plus à aucun autre vol spatial. Voir à ce sujet, la revue "Valeurs Actuelles" n° 1725 de Déc. 1969 page 22:
Que celui qui a bien su lire tout qui précède, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout, le désir latent d'en savoir plus, documents à l'appui.
Mais ce 02/04/2016, avant de poursuivre l'étude des clichés des Apollos 8; 10; 11; (et même Apollo 12, qui eu lieu le 14/11 69, et que Monsieur John M. PRYTZ, ne mentionne pas dans son texte, bien qu'il ait pu suivre l'événement à la télé) , nous allons rejoindre tant soit peu, le côté Mystico- Rationaliste du site ARTivision, et nous demandrons alors au novice ingenu de s'accrocher solidement aux murs, s'il ne sait pas du tout, de quoi il s'agit :
En effet, pour avancer plus ésotériquement dans la compréhension de ce qui précède, il serait peut-être judicieux de joindre ici, les paroles sublimes du Grand Maître de Findhorn, du mois de Mars, qui vient de s'évanouir :
Eveille-toi de ta somnolence et contemple la merveille du temps présent
car tu vis une époque vraiment merveilleuse.
Vois le meilleur en tout événement.
Attends-toi à des changements et va dans leur sens,
ne permets à rien en toi de les arrêter.
Ne crains jamais
le nouveau, I'inconnu. .
mais risque-toi sans peur,
sachant que la Source est avec toi, toujours.
et qu'elle ne te laissera jamais, ni ne t'abandonnera.
Reconnais-La en tout, et rends-Lui , Honneur et la Gloire.
Sache que c'est dans I'Âge d'Or que tu es en train de passer,
alors ne t'inquiete pas. et ne lutte pas contre les changements qui apparaissent.
l'heure la plus sombre vient avant I'aurore splendide.
L'aurore est là; elle vient en son heure juste.
et rien ne peut I'empecher d'arriver.
La totalite de I'univers fonctionne dans ce rythme parfait.
alors pourquoi pas toi ?.
Mais voici aussi, un petit plus du même mois :
Donc veille à ce que cette pensée soit
constructive,
positive et aimante,
et alors tu
verras que tu dis
des choses constructives et
agis de façon aimante.
En fait toute ta façon devoir sera
positive et ta vie sera remplie d'amour,
de joie, de bonheur, de santé, de succès et
d'harmonie.
Quand tu es un tant soit peu sensible
et que tu as des pensées négatives et destructrices,
elles sapent ton être entier.
Ton regard s'obscurcit
et tu te sens déprimé et même physiquement, malade.
Essaie de comprendre que tu attires cet état
sur toi-même par ta façon erronée de penser.
Change-la, et tu changeras tout !
Tu peux imaginer que
tu es entouré de nombreuses difficultés
et que le monde tout entier est à blamer pour ton état
d'esprit négatif, mais est-ce vrai ?
Tes pensées ne t'appartiennent-t-elles pas ?
N'es-tu pas libre d'élever ta conscience
et d'avoir des pensées aimantes, positives, constructives !
qui créent ton bien-être ?
Le choix repose toujours entre tes mains."
Nous précisons ici, que la méditation ci-dessus, est une description parfaitement claire du concept de l'égrégore psychique, qui prend naissance lors de la structuration des pensées négatives des humains. Bien sûr, ces révélations cosmiques, ne sont pas encore enseignées dans nos écoles et nos universités, mais l'avènement du Temps des Révélations, saura bientôt mettre les points sur les Is, à ce sujet.
Le site ARTivision a expliqué cela, dans de très nombreux articles tels que :
,dont le plus fantastique, est tel que :
Mais ce 04/04/2016, poursuivons notre analyse pointue, des photos des missions Apollos, déjà présentées plus haut. Nous avons vu qu'en dépit du grand danger que couraient les excusionnistes d'Apollo 8 . Revoyons alors les details techniques en question, tels que :
et que malgré cela, Bill Anders, a osé dire, on le sait,
cette phrase très insolite et totalement inadaptée ;
" Nous avons moins à craindre que Lindbergh lorsqu'il vainquit l'Atlantique . "
Nous allons voir, ce 4 Mars 2016, qu'un autre occupant de la capsule Apollo 8, a lui-aussi, prononcé une phrase très bizarre:
Le Paris Match 1925, du 28 Décembre 1968 , nous donne aussi, sa silhouette habituelle de pasteur d'une église épiscopale :
Voyons maintemant, ce qu'il a déclaré de très bizarre :
Mais pourquoi donc ce pasteur, lui-aussi, a-t-il eu besoin de justifier son excursion spatiale, en la qualifiant d'action moins dangereuse que d'aller au Vietnam ..., où les prémices d'une guerre , avec les USA, se faisaient déjà sentir à l'époque...
Ne trouvez-vous pas, que cela ressemble aussi, aux paroles voilées d'un lanceur d'alerte (même si cette expression n'existait pas encore à l'époque )...
A vous de juger, une fois de plus cette nouvelle incongruité...
Voici donc maintenant, tout de même, quelques éléments, de l'affaire concernant les missions Apollo 11 et consorts :
Voici une photo célèbre de la NASA que l'on peut voir dans l'ouvrage "Des Astres, de la vie et des hommes" de Robert Jastrow aux Editions du Seuil .
Cet ouvrage, pour lequel ARTivision a une grande considération (Voir l'affaire du Crayère Rutherford sue la Lune), fut publié du début de 1971, alors que l'Internet n'était pas encore opérationnel pour le grand public, aux Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e :
:
Mais voyons donc, cette image placée en page 94 :
On y voit l'astronaute Aldrin , lors de la mission Apollo 11, qui déploie un dispositif destiné à mesurer le vent solaire.
En haut à gauche, on aperçoit clairement deux sources lumineuses insolites , que l'on a cru être pendant des années, des ovnis. De plus, hélas, aucune explication, ne nous est apportée par l'auteur du livre, sur la présence de ces "deux disques", pourtant extrêmement brillants sur le fond noir du ciel, ce qui prouve son incapacité à en trouver une explication. Des années après, on en a déduit que c'est tout bêtement des reflets de projecteurs, instalés sur le site bien terrestre du Centre de simulation des USA. Notez aussi la brillance de la partie arrière du cou de l'astronaute qui devrait être dans le noir total , et qui semble être directement sous l'effet d'un projecteur, disposé verticalement juste au-dessus
Faisons alors ici, une courte digression :
En effet, en fouillant dans nos dossiers, pour trouver un document, nous sommes tombés par hasard ( hum, hum ), sur cette photo du n° 293 de la revue Sciences&Avenir de Juillet 1971, qui présentait la jeep lunaire qu'allait emporter sur la Lune, la mission américaine Apollo 15 :
ici avec le Lunar Rover qui mesure environ 3m et peut atteindre 13km à l'heure.
Nous vous invitons, de plus, à bien analyser la puissance du projecteur, placé derrière les astronautes. Il y a aussi certainement, bien d'autres, placés devant la scène, et sur les côtés. Ces projecteurs, ne sont-ils pas à l'origine des reflets parasites, (jamais non plus expliqués par la NASA), que l'on observe aussi sur la photo suivante,
3 soleils d'un coup, pour l'astronaute Conrad, les bras chargés d'appareils formant un laboratoire Lunaire , cela fait beaucoup n'est-ce pas !!! d'autant que l'on voit ici parfaitement la réfraction et la diffusion des rayons lumineux, dans une atmosphère qui ne devrait pas dit-on exister sur la Lune...
Il va sans dire que pour ARTivision il n'y a aucun doute
que les photos montrant le prétendu débarquement des
astronautes (d'Armstrong et des autres)
sur la Lune, sont bel et bien
truquées.
Mais revenons à Apollo 11:
En refeuilletant aussi l' ouvrage luxueux suivant publié par un certain John BARBOUR et intitulé "Quelques pas sur la Lune", éditée en Belgique en Décembre 1969. sous l'instigation de l'agence Associated Press par Desclée de BROUWER.
Mais cet ouvrage est sorti, la même année, d'abord en anglais dans un dossier de l'Associated Press à New York :
On y retrouve, l'image bien connue :
On peut aussi voir d'abord cette photo sur le site de la Nasa:
ou rechercher la photo AS11-40-5874 sur le site quasi officiel :
Pour agrandir la photo, cliquez sur la petite photo centrale.
Là on peut analyser à souhaits tous les petits détails de cette photo.(Bon courage)
Mais pour ceux qui n'y arrivent pas facilement, voici tout de même l'image par capture d'écran, avec cependant le ciel lunaire beaucoup plus restreint:
- Examinons par exemple, si vous le voulez, le rocher X (X pour la suite) en bas à droite de l'image. Il ne semble pas tellement plus grand que le pied de l'astronaute qui sert alors d'échelle. Ce rocher produit une ombre caractéristique d'une bonne largeur, alors que celle produite par Aldrin est ridiculement effilée
Faisons alors, ici une autre digression :
On est franchement étonné par l'effilochage considérable de l'ombre des jambes d'Aldrin et cela fait penser à un ajout sur la photo d'un dessinateur peu expérimenté. Bien sûr, les admirateurs de l'exploit d'Apollo 11, trouveront la parade et diront, par exemple, qu'il s'agit d'une illusion d'optique, que l'ombre est bien plus large, vu que le soleil était très bas sur l'horizon et que... etc...
Nous aimerions alors que ces admirateurs puissent appliquer le même raisonnement à la photo suivante d'Apollo 14, n°AS14-64-9089 du site précédent et que nous vous invitons gentillement à bien décortiquer :
Nous avons alors grosso modo, dessiné par une flèche rouge la direction des rayons du Soleil, en copiant celle de l'ombre des deux petits cailloux encadrant notre flèche. Nous constatons alors que les deux jambes de l'astronaute sont pratiquement juxtaposées, si l'on tient compte de la direction du soleil, et il ne devrait absolument pas y avoir de vide, entre les ombres des deux jambes, comme le montre la photo. Des spécialistes de la photographie, ont bien voulu dessiner les ombres ainsi qu'elles devraient être, et cela donne l'image de droite :
On voit alors que le côté gauche de l'astronaute est aussi nettement dans l'ombre, ce qui n'apparaît presque pas sur la photo d'origine.
C'est donc, une fois de plus, à vous qu'il appartient de juger cette nouvelle incongruité, de cette dernière photo de la NASA.
Fin de la digression.
- Le drapeau lui, a bien quelques ombres correspondant à ses plis, mais aucune ombre n'apparaît de lui sur le sol, comme d'ailleurs aussi pour son mât, à moins que ces ombres soient enfouis dans une mince excavation, (non apparente ici), justement bien dissimulées par les petites crevasses laissées par les empreintes de l'astronaute.
- De même, de quelque manière que ce soit, le câble qui traîne sur le sol, ne présente aucune ombre, à aucun endroit. ne pas confondre ces ombres avec les replis du sol.
De plus ce cable est interrompu brusquement :
et certains diront vite que ce cable a été enfoui sous le sol par les pas des astronautes. Essayez donc d'enfouir un cable allongé sur un sol déjà meuble avec vos chaussures aux pieds et vous verrez la difficulté que cela impose alors que le temps des astronautes était très précieux et ils n'allaient pas le gaspiller pour enfouir sous le sol un vulgaire cable. A vous de discuter de cela... et bon courage .
- D'une part, si l'on sait que sur la Lune, la partie exposée au soleil, peut voir sa température monter jusqu'à 125° C, et la partie dans l'ombre voir sa température descendre jusqu'à - 175° C, sans doute lorsque le soleil est haut placé dans le ciel, on peut alors cependant s'étonner qu'Aldrin se soit mis juste en face pour recevoir les rayons du soleil de plein fouet, même si ce soleil est un peu bas sur l'horizon, car le manque d'atmosphère sur la Lune, n'est pas fait, dans ce cas, pour adoucir le rayonnement reçu, directement en provenance de ce soleil. D'ailleurs, il est aussi surprenant que l'on découvre un soleil éclatant sur la visière d' Aldrin, alors qu'il ne devrait pas briller de la sorte dans le noir du Cosmos.
- Mieux on ne comprend pas que l'équipement respiratoire d'Aldrin, ne soit pas dans le noir parfait, comme l'est la partie droite du rocher X, pourtant pas très haut, et qu'au contraire le haut de cet équipement brille d'une manière incroyable, alors que la tête de l'astronaute devrait en cacher la majeure partie, ainsi d'ailleurs que son dos supérieur qui brille de tous les feux en contradiction avec la hauteur du soleil, qui semble plutôt bas sur l'horizon. (revoir l'ombre du rocher X).
Mais analysons naintenant, justement, les pas des astronautes au bas de l'image. Disons d'emblée que seul le rapport d'un spécialiste en podologie ou en étude de la marche d'un astronaute engoncé dans son lourd scaphandre, peut faire foi. Nous ne proposons ici, que de modestes pistes de recherches :
Considérons d'abord l'écartement des pieds, que l'on pourrait croire convenable dans l'image suivante :
Nous n'avons trouvé que ces deux pas apparemment orthodoxes et assez rapprochés, au bas de la première image.
Mais voyons le reste :
Soit les astronautes ont marché à deux reprises sur une ligne en chevauchent leurs pas, ce qui ne semble pas commode avec leur scaphandre encombrant, soit ces traces de pas ont été ajoutées par juxtaposition à une photo primitive.
Mais, le point le plus surprenant, est bien le pas qui se trouve, tout seul, de travers entre les deux "pistes parallèles". Comment un astronaute, en marchant sur la Lune, dans une direction quelconque, peut-il laisser la trace d'un seul pas ?...A vous de juger...
Mais, on le sait, le site ARTivision, évite toute spéculation et bavardages non basés sur des faits précis concernant cette affaire de débarquement sur la Lune de Neil Armstrong et consorts.
Mais il y a eu un super buzz , lors dit-on, de la restauration du scaphandre d'Armstrong, et buzz, qui révèle un troublant fait, qui met la NASA au pied du mur.
C'est en effet, le 25 Juillet 2015, que nous avons reçu de notre très bonne amie Nicole, le message extraordinaire suivant :
----- Original Message -----
From: Nicole
To: fred IDYLLE
Sent: Saturday, July 25, 2015 3:10 AM
Subject: Armstrong et sa combinaison
Bonjour cher Fred,
Ces imbéciles de la NASA, se sont grillés
eux-mêmes avec la ... :
Juste pour vous faire rigoler un peu, je vous ai envoyé ce lien . L'article original paru dans StopMensonges , est interdit de visionnement, mais j'ai continue à chercher et j'ai trouvé l'article dans un autre site. Vous verrez dans la vidéo une image très claire de la semelle de la combinaison differente ce l'empreinte supposee etre sur la Lune ! C'est à mettre dans ARTivision, C'est une preuve indubitable de l'arnaque !!
Donc comme vous le voyez, on peut toujours contourner la censure, et il suffit de chercher et on trouvera aussi pour Byrd.. Quelqu'un aura bien fini par laisser passer l' info capitale, que vous cherchez à ce sujet.
Fin de citation
Un grand Bravo au site CAGOU.com, qui a su si bien dénicher, cette info hors norme.
Dans la vidéo en question, deux charmantes dames :
, nous exposent en anglais approximativement ce qui suit :
Puis, en cliquant sur l'image, nous découvrons cela :
Et enfin la vidéo, arrive à cette image :
Et en agrandissant la semelle, et en y mettant un peu plus de relief, nous avons obtenu ceci :
Pas besoin donc de sortir de Polytechnique pour s'apercevoir qu'il y a maldonne :
Nous avons beaucoup hésité, pour mettre cette affaire en ligne, à cause du fait que cela pourrait être un canular, monté de toutes pièces par des infographistes timbrés, qui veulent se faire mousser dérisoirement, sur le Web. Mais le fait que l'on ait pas présenté l'image de conclusion en juxtaposant les deux semelles, nous fait croire à l'authenticité du document. Un infographiste pervers n'aurait pas manqué de le faire assurément.
Mais nous ne sommes pas au bout de l'affaire, car la NASA, en cachant les documents de référence, peut toujours dire qu'au moment du départ pour la Lune, on a mis d'autres bottes plus étanches, car nous dit très justement notre amie vigilante Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com
): " Je suis très étonnée par l’allure de cette semelle, lisse et ne correspondant pas du tout à un soulier protégeant du vide spatial (coutures apparentes, et donc étanchéité faible).
Je m’étonne donc, peut-être s’agit-il d’une sorte de "chausson", et les cosmonautes enfilaient-ils des bottes par dessus ? Si ce n’est pas le cas, alors, c’est vraiment bien la preuve que ce type de chaussure a servi plus à marcher sur les plateaux de cinéma, que sur un terrain accidenté. Votre réflexion sur les empreintes jumelles est tout à fait cohérente, à moins que l’on ait voulu absolument montrer le premier pas sur la lune, on se demande bien où peut être le second...
"
En effet, nous nous sommes toujours demandés, pourquoi la NASA , n'avait présenté qu'un côté de l'empreinte d'Armstrong sur la Lune, alors qu'il devrait y en avoir deux, presque côte à côte, que les spécialistes du sol lunaire auraient un vif plaisir à étudier. Qu'est que cette empreinte avait de particulier pour être choisie si impérieusement ? Bien sûr, on vous répondra, que c'était le premier pas, qui comptait avant tout. Point barre.
Mais ce 05/04/2016, nous allons aborder l'histoire la plus fantastique concernant l'épopée d'Apollo 8 , et l'affaire qui défraye en ce moment tous les medias du monde entier, et que nous appellerons par analogie au Watergate des USA, en 1974, le "Panamagate", qui est tel que nous le présente le journal LeMonde du 05/04/2016:
Cette affaire précédente, dont tout un chacun, s'en imaginait en douce l'existence , sera sans aucun doute considérée, comme une anecdote très banale, quand les tenants et les aboutissants l'Affaire du Paris Match 1028, aura eule même retentissement mondial.
Cette affaire totalement inimaginable, a été pourtant déjà un peu révélée, dès le 28/08/1998, par le site ARTivision, dans son article clef suivant :
Puis, en 19 ans de loyaux services, cette affaire inouïe, s'est retrouvée dans les quelques articles qui suivent :
L'avenir dira bientôt qui a camouflé la vérité et pourquoi! , car comme le dit si bien un texte sacré bien connu :"Il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu ".Matthieu. X-26
Étant donné que nous sommes bien arrivés au Temps des Révélations, ce personnage nommé Matthieu, était, selon nous bien sûr, (comme un Edgar Cayce voir notre article :cayce.html ), capable d'explorer, ce que les ésotéristes appellent, les Annales Akashiques, où est enregistré, comme sur un immense disque dur, tout ce qui arrive dans l'Univers.
Mais pour le novice, qui débouche, par cet article, pour la premère fois, sur le site ARTivision, il nous semble ici, utile de rappeler encore, la désormais incontournable et extraordinaire affaire du Paris Match 1028 :
Voici déjà, à titre indicatif, la couverture de ce surprenant document, du PARIS MATCH 1028 :
C'est en 1972, que nous fûmes contactés en Guadeloupe par Mr Michel GIRARD ( il a, hélas, quitté ce monde le 30 Janv 2003) par l'intermédiaire du Cercle Français de Recherche
Ufologiques (CFRU) dont
nous étions à l'époque membre actif. En fin 1973, Mr GIRARD, alors imprimeur de son état, nous montrait une
étrange anomalie, qu'il venait
de découvrir en agrandissant une photographie de la face cachée de la Lune prise, parait-il, par l'équipage d'APOLLO 8 en fin de Décembre
1968 , et publiée, à la page 33 du n°1028 du Paris Match du 18
Jan. 1969. Voyez donc l'image ci-dessous:
Nous avons alors commandé immédiatement ce
n°1028 à Paris Match que nous avons reçu sans problème environ 15 jours plus tard. Nous avons eu eu alors tout le loisir d'examiner à la loupe l'anomalie en question et de nous apercevoir qu'elle présentait l'aspect d'un demi porte-avions de prés de 25 à 30 kilomètres de long, et dont la partie centrale serait constituée de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment (mais cela reste à prouver) surmontées d'une sorte de " flèche gigantesque". Voyez donc les deux images agrandies ci-dessous :
Nous avons alors reçu, le 27/05/2010, du Service de Création d'une entreprise spécialisée dans la 3D, une la structuration imaginée en 3D, qui donne ceci :
C'est alors, dans le courant du 2ème trimestre 1974, la revue OURANOS (alors organe du CFRU) publie grâce à notre initiative, la première photographie très nette de ce
que nous appellerons désormais "la superstructure" du n°1028 :
Voici la couverture de la revue et cette image d'Ouranos d'Avril 1974 :
Et voici le texte de présentation :
Puis c'est le quotidien FRANCE-ANTILLES qui publiera, le 14 Fév. 1975, un article plus détaillé sur la question que nous lui avions
envoyé. Puis deux nouveaux articles seront publiés par
le même journal le 31
mai 1976 et le 22 août 1979 sur le même sujet. Puis ce sera la revue française NOSTRA qui à son tour publiera 2 de nos lettres, le 25 Juillet 1979 dans le n°381 et surtout le 8 sept. 1983 dans
le N°586 avec
la photographie de la "superstructure" en
question.
voici la lettre en question:
Enfin le premier ouvrage qui fera état de cette affaire sera celui d'Alfred NAHON "Les
Extra-Terrestres et les mutations mondiales de l'ère du
verseau." édité par Buchet-Chastel.Jan 1983 p.160.
Nous lui rendons ici hommage en publiant aussi sa photo :
Rappelons qu'Alfred Nahon fut le premier auteur à publier le catalogue des Anomalies lunaires d'après un rapport de la NASA, (près de 570 cas de taches lumineuses brillantes et de changements temporaires sur la Lune, allant de 1725 à 1967), dans un ouvraqe remarquable, déjà mentionnéplus haut, et publié en 1973, aux Editions MONT BLANC en Suisse et intitulé : "La Lune et ses défis à la science".
Quant à savoir si cette "superstructure", est naturelle ou artificielle,
seule l'étude
scientifique du négatif de la NASA, utilisé par Paris Match, pour publier cette partie de la face cachée de la Lune à la page 33 du
n°1028, , pourra
trancher cette question capitale.
Mais voilà où l'affaire prend une tournure insolite ,
ce négatif est introuvable.
Donc dans cette affaire Paris Match n'a été qu'un support intermédiaire, très fortuit...
(Voir les missives en question dans notre article) :
(Voir le cercle rouge de la photo Nasa 1) :
(Voir aussi la photo Nasa 2):
Pas besoin de sortir de l'Ecole Polytechnique, pour s'apercevoir que l'on a installé une superbe pastille de camouflage, juste à l'endroit où nous avons détecté la Superstructure en question :
ou encore :
Mais, pour les puristes qui aiment remonter aux sources d'un évènement disons aussi que la revue d'époque
"l'Officiel du Net" a eu
l'heureuse initiative de présenter cette affaire du Paris Match 1028 en page 57 de son n° 16 de Juillet-Aout
2000. De même c'est la revue "Top Secret" (www.topsecret.fr)
, qui a présenté, dans son n° 12 de Mars/Avril 2004 a
publié, pages 18 à 22, notre article intitulé " Les Enigmes de la conquête spatiale ". Puis il y a eu aussi le n° 7 hors series intitulé "Les anomalies de la conquête spatiale"de Juillet 2009.
Et voici, justement toujours pour les puristes, ce 16/01/2016, comment on avait élaboré, il a pourtant il y a déjà 7 ans (en 2016), la Préface de ce n° 7 Hors-série de Top Secret :
et voici la Préface en question :
A vous de juger tout cela, documents à l'appui, et nous n'avons pas tout montré...
De nombreux sites, ont publié cette affaire, sans jamais citer une seule fois le nom d'ARTivision . Ils s'en mordront le doigts jusqu'à l'os, car la vérité éclatera bientôt au grand jour ...et ceux qui sont des velléitaires de l'info facile, auront désormais à récfléchir à deux fois avant de vampiriser en douce, les données pointues de ce site ARTivision, qui depuis 19 ans (en 2016), fouille bénévolement, dans les incroyables mystères du cosmos, que l'on nous cache, délibérement en très haut lieu.
Mais chers internautes curieux, si ce ne sont pas, selon nous, les cosmonautes d'Apollo 8, Frank Borman, James Lovell et William Anders, qui ont pris ces extraordinaires images du PM 1028 :
Qui donc, selon vous, pourrait en être l'auteur ?
Envoyez-nous donc, SVP, un petit mot, afin que nous puissions produire votre conclusion, sous anonymat bien sûr...
Venons en maintenant à l'épopée d'Apollo 12 (que John M. PRYTZ n'a pas citée, mais on sait, qu'il avait pu suivre à la télévision, cette mission qui a duré du 14 au 24 Nov.1969).
C'est alors dans le n°367 de Déc. 2000 de la revue "Ciel & espace", nous avons eu droit à la présentation, sans aussi aucune explication, d'une des photos les plus surprenantes des missions lunaires, où l'on aperçoit, parait-il, "l'astronaute", Conrad, d'Apollo 12 , circulant sur le sol de l'Océan des Tempêtes, les bras chargés d'appareils formant dit-on, un laboratoire Lunaire de près de 200 kg et coûtant la bagatelle de 25 millions de dollars et qui comprenait un sismomètre, un appareil de mesure de poussière, un magnétomètre, un spectromètre, une analyseur d'ions et un instrument destiné à l'étude des éventuels gaz très raréfiés qui s'échappent encore de la croûte lunaire et qui formerait une atmosphère dont la densité est soit disant bien plus basse, dit-on, que le meilleur vide jamais réalisé sur Terre. Voilà donc cette photo déjà exposée, plus haut :
Comme vous pouvez le remarquer, cette photo présente une superbe diffusion des rayons lumineux du soleil, diffusion qui ne s'explique que par la présence d'une épaisse atmosphère lunaire, et non pas seulement par la diffraction de ces rayons lumineux au travers du verre de l'objectif de l'appareil photographique, comme on l'a si vite dit, pour se débarrasser du problème.
Mais, il y a en plus du Soleil, sur cette photo extraordinaire de la Lune, la présence de deux autres sources lumineuses, totalement inexpliquées, qui ont eu pour effet de plonger dans la plus grande perplexité, tous ceux qui s'interrogent vraiment sur les tenants et les aboutissants de l'épopée lunaire des américains, et sur les "cachotteries de la NASA".
Certains diront vite, que c'est un defaut du développement de la péllicule de l'époque chez les photographes de la revue . Mais il faut savoir que l'on découvre aussi, cette même photo, sur le site quasi officiel, dejà présenté plus haut :
,et cela, sous le n° AS12-46-6806 :
Cette photo esy plus claire du côté de Conrad et on y voit même devant lui tout a fait à droite, un pompom très lumieux inexplicable. Notez bien que cette photo est aussi très colorée, ce qui n'est pas le cas de celle concernant la sonde spatiale Surveyor III (voir plus bas).
Nous l'avons déjà dit plus haut, il y a de cela des années, nous avions cru, que ces disques lumineux, qui accompagnent, "le soleil" , de cette photo, étaient des ovnis espions.
Mais, certains internautes avisés, diront aujourd'hui, que cela prouve simplement que Conrad, n'était pas sur la Lune , et que cette photo a été prise dans un centre de simulation du Névada ou ailleurs aux USA ...Point à la ligne...Et les disques lumineux en question, ne sont que des reflets des projecteurs sur des surfaces brillantes du site. Point Barre...
Mais, le 25/05/2014, (donc en pleine fête des Mères), en cherchant dans nos dossiers, tout autre chose, nous sommes tombés sur ce dossier Spécial Lune, de 18 pages du Paris Match n° 1076 de Déc. 69, dossier que nous avons cru, avoir perdu depuis des années.
Voici le haut du document :
Voyons alors, les pages 66 et 67, de ce document. Nous avons rétréci, la partie centrale des deux pages en question, car elles dépassent de loin les capacités de notre petit scanner:
On voit, alors que les deux sources lumineuses bizarres vues plus haut, en plus du Soleil, ont été gommées page 66, comme par enchantement, sur la même photo en couleur de ce Paris-Match n° 1076. Alors, bravo , tout de même à la revue "Ciel & Espace", d'avoir eu l'audace (sans en donner l'explication)
de montrer ces sources lumineuses très insolites, et pourtant bien gênantes, puisque le "choc des photos", n'a pas été en 1969, assez puissant, pour que Paris Match , veuille bien nous les montrer.
Revoyons encore ces deux images, en les superposant :
Les deux disques inexplicables, ont bien été effacés par leParis Match 1076...dans l'image du dessus. A vous de juger cette manipulation stupéfiante.
Mais, nous savons aussi, que "les astronautes" d'Apollo12, ont visité Surveyor 3, une sonde lunaire américaine lancée le 17 avril 1967, et qui s'est posée sur la Lune le 20 avril 1967, sur la partie Mare Cognitum de l'Oceanus Procellarum .
Apollo12, se serait posé dit-on, à près de 600 pieds ( voisin de 183 m ) de Surveyor 3.
Mais revenons alors au dossier spécial de 18 pages du Paris Match n° 1076 de Déc. 69, intitlé "32 heures sur la Lune : d'Apollo 11 à Apollo 12, un formidable bond en avant"
La sagesse populaire antillaise prétend que "C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes : Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup" . Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi s'appliquer, ici à ce dossier du n° 1076 de Paris Match et on va ici, voir, pourquoi !!
En effet dans ce dossier on présente aussi les retrouvailles entre l'homme la sonde la sonde Surveyor 3 , qui s'était posée en douceur sur la Lune on le sait, en 1967.
En effet, les "astronautes" Charles Conrad et Alan Bean, d'Apollo 12, auraient dit-on, retrouvé le 19 Nov. 1969, cette sonde Surveyor 3, envoyée deux ans plus tôt, sur la Lune. Un des buts supposés de la mission était précisément de visiter ce qui restait de cette sonde-robot et d'y prélever certaines parties métalliques et en particulier la caméra. Il s'agissait de vérifier l'état de conservation de ce matériel, après deux ans et demi d'exposition aux micrométéorites, aux radiations cosmiques, au vent solaire et aux poussées thermiques allant de -180 ° à + 120°.
Surveyor 3, a-t-il vraiment subi un changement de couleur insolite après ses deux années de séjour sur le sol lunaire et pourquoi exactement ? S'agit-il d'une "oxydation", que l'on veut cacher ? .
Mais, voici aussi, à ce sujet la super portion de bande dessinée , que nous présente le Paris Match n° 1073, que nous pensons être du 18 Nov. 1969 (il manque la couverture), réalisée spécialement par le grand dessinateur Hergé, pour Paris Match à l'occasion de l'arrivée d' Apollo 12 sur la Lune :
Vous avez bien noté n'est-ce pas, les termes employés : "Elle est maintenant "Ocre pâle" et aussi : elle a été cuite par le soleil.
Il ne nous reste donc qu'à trouver les jolies photos couleur en question de la NASA ? Décidément les anciens numéros de Paris Match possèdent des perles d'informations très révélatrices, à analyser méticuleusement.
Voyons alors ce qu'on en dit dans notre dossier du Paris-Match 1076 . On y trouve alors le passage suivant :
" La rencontre des explorateurs lunaires et du robot est un instant émouvant . "Pour nous, il est plus précieux que le plus beau diamant", dit Conrad, qui constate que la carapace du Surveyor parait avoir été cuite par les 120 ° du midi lunaire. Ensuite Bean et Conrad, détachent la caméra de Surveyor, des câblages, un panneau de verre et la main du bras articulé du robot. Avant de partir, ils photographient (ci dessous) les trois traces de pieds de Surveyor, le 17 Avril 1969, lorsqu'il rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire. Elles annonçaient l'empreinte historique des pas d'Armstrong en Juillet dernier..."
Vous avez bien noté l'expression "avoir été cuite" et aussi l'expression "annonçaient l'empreinte" , des pas d'Armstrong.
Voici donc ce que le dossier de Paris Match en question nous montre :
Comme vous le voyez, les photos de ce Paris-Match montrant l'astronaute qui touche Surveyor 3, et le pied de ce dernier ont de superbes couleurs, que ne nous montre pas bizarrement, la photo en noir et blanc de la revue "Ciel & Espace" n°367 de Déc. 2000 :
Vous retrouverez également ces photos sur les sites de la NASA, où les couleurs jaunâtres de Surveyor, brillent par leur absence, alors qu'il exciste bien d'autres photos couleur sur le site.
Mais allons aussi voir sur le site quasi officiel :
On pourrait ajouter beaucoup d'autres photos de Surveyor III, et nous n'avons pas trouver une seule autre en couleur. Merci à l'internaute qui en trouvera superbement, une...
Donc, il semblerait que les photos précédentes en couleur de Paris-Match n'existent pas, et c'est pourquoi la revue "Ciel & Espace"en question, qui aurait, (nous l'admettons tout de même), les moyens de retrouver le cliché d'origine en couleur de cette photo, ne l'a pas présenté, et il est ahurissant de constater que c'est Paris-Match, qui a volontairement "colorisé" , son cliché ", pour "faire mieux". Donc comme vous le voyez "le choc des photos", est plutôt bidon ici . Mais cette histoire de Surveyor (qui aurait été cuit par les 120 degrés lunaire) est-elle aussi "bidonnée" ??. Un tel événement mérite tout de même que l'on s'interroge à son sujet, mais la revue "Ciel & Espace", a oublié, hélas, de nous en parler.
Nous avons d'ailleurs, retrouvé cette photo noir et blanc de Surveyor 3, dans une ancienne revue américaine intitulée "People Press UFO Report" dans son n° de Mars 1975: Voici cette photo:
Comme le papier de cette revue avait la même qualité que le papier journal, il est évident que la photo ci-dessus est moins lumineuse que celle de la revue "Ciel & Espace", mais cependant 25 plus tard, cette revue ne nous apprend rien de plus aujourd'hui sur ce "jaunissement notoire", pourtant insolite révélé par le Paris Match en question. Affaire à suivre donc. Aux spécialistes de répondre.
Mais Paris Match, a aussi noté, nous l'avons vu, que "les trois traces de pieds de Surveyor, le 17 Avril 1969, lorsqu'il rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire".
On se souvient en effet que malgré ses 16 tonnes, le Lem (Lunar Excursion Module) n'avait, lors de "l'alunissage", pour Apollo 11 et Apollo 12 aux abords de ses pieds, montré, chose étonnante, aucun glissement ou ripage, sur le sol lunaire, comme on le voit pour Surveyor 3:
Mais, il y a bien mieux dans cette affaire :
On pourrait ajouter beaucoup d'autres photos, où n'apparaissent aucune trace de pas entre le LEM et Surveyor III. Bien sûr les fanas de la NASA , vous diront que les "astronautes", ont fait en grand détour pour aller filmer, par devant à la fois, Surveyor III et le LEM, plutot que d'utiliser la ligne droite. Mais pas besoin de sortir de Polytechnique, pour savoir que ce comportement serait totalement absurde.
A vous de vous faire une opinion, et de poursuivre vos recherches là-dessus.
Mais ce 06/04/2016, nous allons aussi vous présenter des éléments de la page 68, du dossier en question , en deux images à analyser avec une attention soutenue :
7 h 30 de marche nous dit-on, avec un tel écartement des jambes , et écartement que des infographistes qualifiés et curieux démontreront aisément, qu'il est impossible, pour des "astronautes", engoncés dans leurs scaphandres plutôt rigides.
Cela ne vous rappelle-t-il pas aussi cette photo d'Apollo11 ? :
Bref, nous pourrions sortir ici beaucoup d'autres anonalies qui s'attachent aux photos d'Apollo 12, mais cela alourdirait beaucoup trop ce dossier. Mais pour terminer voici un dernier buzz que tout un chacun peut découvrir sur le site quasi officiel connu :
Jetons en effet, un petit coup d'œuil surcette incroyable photo d'Apollo 12 intitulée : AS12-49-7281 :
et en analysant la visière de plus près, on voit alors :
Que font là cette faramineuse lumière, à gauche et aussi, partant d'elle, cette ribambelle de points très lumineux , qui pourraient être des sortes de projecteurs dont, on aurait caché les supports.
Dailleurs, si l'on examine l'image du casque, dont l'individu représente, on le suppose Conrad, prenant la photo en question,:
, on voit alors que ce dernier, semble posséder un objet blanc dans sa main droite, au lieu de tenir la caméra pour bien la diriger vers Bean, et cadrer normalement la photo. On ne voit pas bien hélas, la caméra et surtout ce que fait sa main gauche. Des spécialistes en infographie, pourraient certainement, de nos jours, nous en dire plus sur ce reflet de la visière de Bean.
Et, si ces infographistes démontraient que la main gauche de Bean, pend simplement le long de son corps ou mieux qu'elle tient en main, un autre appareil, sans toucher à la camera,( comment pourrait-il alors prendre la photo en question sans appuyer, au même instant, sur le déclencheur de son appareil ? Certains parleront vite, bien sûr, d'une prise de vue à déclenchement automatique, mais était-elle possible sur la Lune, par un cosmonaute engonsé, dans un scaphandre plutôt encombrant et très peu maniable? ), alors ce serait la preuve presqu'absolue, que dans cette affaire d'Apollo 12, il s'agit de manipulations photographiques, de montages bidons et de projecteurs nombreux, sur le site prétendu de
l'alunissage. Avis aux amateurs.
Mais ce 08/04/2016 , pour
terminer ces "épopées Apolloniennes" , nous ne résistons pas ( bien que le Sieur John M. Prytz, ne pouvait pas en parler) , au grand plaisir de vous tranmettre dans une digression tout a fait hors norme, des faits incontournables , qui sont des découvertes exclusives d'ARTivision, jamais encore commentées (et pour cause), par les médias ayant pignon sur rue et qui nous saturent régulièrement de nouvelles banales et dérisoires.
Cette digression, va nous conduire à analiser quelques photographies de la NASA concernant quelques brefs éléments des missions Apollo 16 et Apollo 17
Nous allons voir d'abord comment la NASA, s'est s'emmêlée les pinceaux, au sujet de la troisième lettre de l'alphabet : C
Cette disgression , est intimement liée, à cette photo concernant la mission Apollo 16, qui eu lieu, nous dit-on en Avril 1972 :
Nous ne parlerons même pas ici, de l'affaire de la flèche rouge, qui montre le gros rocher.
Mais visualisons maintenant ceci :
Cette image est tirée de la page 41, d'un fascicule intitulé "Textes et Documents pour la Classe", TDC 671, daté du 1er au 15 Mars 1994.
Ce document important, qui comprenait, un super poster (47,5 cm sur 40,5cm), a donc été réalisé, près de 22 ans, après "l'exploit", d'Apollo 16, en question.
En effet, nous avons le très grand privilège , de posseder ce super poster, montrant donc l' image précédente d'Apollo 16, où certains détails, sont donc plus visibles et décelables, que sur la photo vue plus haut.
Pour mieux appréhender ce qui va suivre, il importe d'abord de revoir l'excellent documentaire intitulé "l'espace intersidéral", et qui est passé le Dimanche 6 Février 2005,, pendant 30 minutes de la chaîne "Planète Choc" (qui n'existe plus) dans la série d'émissions des "Théories du complot" ( n° 9 de 2001), et le programme de télévision de la semaine à l'époque nous montrait ceci :
Nous ne pourrons évidemment que vous présenter, certains passages de ce film, que nous avons jugé assez significatifs. Les puristes, pourront toujours un jour, si ce n'est pas déjà fait, le visualiser complètement et merci à l'internaute qui nous en retrouvera l'url de la version actuelle en streaming.
Mais que découvre-t-on de surprenant dans ce petit film ?
D'abord le générique nous montre ceci :
La première personne questionnée, ancien membre de la NASA (Nom non mentionné que nous appellerons par commodité Monsieur X ) :
"Apollo, c'est comme le couvercle de la boîte de Pandore. Il y a assez de preuves pour me faire douter qu'un homme est vraiment marché sur la Lune".
La deuxième personne questionnée :. On apprend après, qu'il s'agit du britannique David Percy, photographe professionnel et producteur de films qui démontre que l'éclairage des photographies d'Apollo n'aurait pas pu être obtenu ailleurs que dans un studio sur Terre. Il affirme même connaître un informateur de la NASA qui aurait confirmé ses doutes.
"Tout semble être faux, quand on regarde les enregistrements des premiers pas de l'homme sur la Lune".
La troisième personne questionnée: (nous l'appellerons: Monsieur Y)
"Pourquoi les événements de l'espace sont-ils dissimulés? C'est très simple, les affaires étouffées, c'est la spécialité de la politique officielle."
On voit ensuite Armstrong posant le pied sur la Lune et qui dit "Un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'humanité".
Puis le commentateur reprend:
" Mais une autre version existe, une version de complot, de dissimulation et de culpabilité".
Le même Monsieur Y :" Je regardais ce petit et ce grand pas, je me suis dit que, c'est fantastique, c'est extraordinaire, l'homme a marché sur la Lune, je croyais ce que je voyais. Mais cela s'est-il vraiment passé, comme on nous l'a montré ? La mission Apollo est-elle une farce ?"
Puis le commentateur explique a nouveau : "Selon un complot possible, la NASA n'a pas pu atteindre la Lune et les missions ont donc été truquées. Au lieu de monter dans les fusées les astronautes auraient été emmenés dans un studio de cinéma secret au fin fond du désert du Névada. L'atterrisage sur la Lune, y a été filmé puis les séquences ont été envoyées à Houton ainsi qu'aux télévisions crédules du monde entier."
Commentaire à chaud du Webmaster: Il n'était pas nécessaire que les astronautes quittent la fusée, car les séquences d'alunissage (en zone de simulation au Nevada) pouvaient avoir été filmées et fignolées bien avant le vrai départ pour l'espace. Les astronautes se contentant d'effectuer une simple mission de satellisation autour de la Terre, pour redescendre juste au moment voulu. Ainsi cela restraignait le nombre de gens dans le secret.
Pour en savoir plus, sur ce documentaire, prière de se reporter à notre article :
Venons en maintenant, à cette affaire incroyable de la lettre C, placée sur un rocher :
Alors Mr David Percy complète en présentant la photo célèbre NASA AS16-107-17446, d'Apollo16 , déjà vue plus haut:
C'est l'astronaute Charles M. Duke Jr, le pilote du module lunaire d'Apollo 16, qui se tient debout, le 22 Avril 1972, à côté du Lunar Roving Vehicle.
" Regardez le rocher en bas à gauche de cette photo (flèche rouge).
On y voit écrit dessus, la lettre C. Pourquoi une lettre de l'alphabet devrait-elle être écrite sur roche de la surface lunaire ? Il s'agit certainement d'un rocher utilisé par des studios de cinéma, et cette lettre désigne un emplacement précis"
Commentaire à chaud du webmaster : Certains détracteurs n'ont pas hésité à dire que cette lettre C, comme le + placé à côté et utlisé pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, à des repères sur la pellicule. Mais hélàs, aucun d'eux, n'a été capable de présenter le négatif en question avec le C correspondant. Donc, on en déduit qu'il s'agit bien, d'une erreur de manipulation de cette pierre, (en zone de simulation, au Névada bien sûr), et pierre qui devait être tournée à l'opposée, pour que cette lettre n'apparaisse pas sur le film.
Sur notre poster cette lettre C, est clairement visible :
Mais, pour les puristes, prière de consulter aussi , l'admirable livre "Lumières sur la Lune" (le grand doute) de Philippe Lheureux, publié aux Editions Carnot en Novembre 2000:
On y découvre surtout en page 39 cette image :
Mais, si vous jetez un coup d'oeil, sur la page actuelle suivante en relation avec la NASA:
Sur la droite et en bas de l'image des flèches permettent de l'agrandir très confortablement. On voit alors avec un grand étonnement, que, sur le rocher en question le C , a disparu comme par enchantement. Ne trouvez-vous pas cette disparition plutôt suspecte ?
Meme topo, sur le quasi officiel déjà présenté plus haut:
La lettre C, a aussi là, disparu comme par magie. Pourquoi ? Qui avait intérêt à la faire disparaître ?
Bien sûr, en fouillant encore un peu plus dans cette photo, on découvrirait d'autres anomalies notoires, qui ont été largement mis en évidence, dans de nombreux articles ARTivision
C'est à vous qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents tangibles à l'appui.
Mais, ce 07 /04/2016, voyons ce qui fait le vrai buzz, sur notre poster :
Avec nos commentaires incontournables et significatifs voici ce qu'on y voit : :
Pour en être officiellement convaincu, revoyons cette photo sur site même de la NASA:
Donc, on ne peut ici que constater, que les deux traces de roues sont tout à fait différentes...
Celle de gauche, pourrait s'identifier, à la moitié de la trace d'une jeep Willys, bien connue dans les films de guerre américains :
Cette jeep ne peut rouler sur la Lune, car son carburateur a besoin d'air pour fonctionner.
L'autre trace du bas, vient de la jeep LRV dont la structure nous est donnée sur le site :
Voici les photos des quatre roues juxtaposées de la jeep (LRV) :
Que peut-on alors dire sur cette nouvelle affaire, de deux traces différentes de jeeps, avec celle de la Willys qui n'est, elle, jamais montée sur la Lune.
Notons que pendant que nous parlons du même sujet, que nous avons aussi la photo d'Apollo 15 : AS15-85-11435, où l'on découvre une tentative de camoufflage, de deux traces différentes du soi-disant véhicule lunaire LRV . Tentative très mal réussie ici, (il y en a bien d'autres plus nettes encore) :
Alors Messieux les détracteurs zélés et zététiques Mythbusters et consorts Vikipedia, émules fidèles de la NASA, ARTivision, attend déjà, depuis belle lurette votre réponse, agissez au moins une fois, SVP.
Mais peut-être que ces détracteurs seront plus locaces, en oscultant, ce qui suit qui est très net, sur notre poster, et sur le site :
Analysons alors cette portion :
On découvre alors un flou caractérisé derrière les roues du LRV (Lunar Roving Vehicle). Il semblerait donc que là encore, ce flou inadmissible ici (vu la masse de la jeep LRV qui dépasse de loin celle de l'astronaute dont les pas sont très nets à gauche ), soit une dérisoire tentative de voiler, la trace embarrassante de la jeep Willys par une manipulation photographique ignare .
Mais il y a encore mieux qui dénote une action précipitée et totalement irréfléchie qui saute aux yeux, quand on analyse de près le dessin des roues de cette photo AS16-107-17446 . En effet d'après le site vue plus haut :
, ,on peut lire : " Pour faire face aux restrictions de masse et permettre la mobilité nécessaire sur la Lune, on développa des roues hors du commun. Outre les jantes en titane et les enjoliveurs en aluminium, celles-ci ne sont pas équipées de pneus conventionnels. En effet, l'enveloppe extérieure de celui-ci est fabriquée en treillage métallique."
Ce treillis métallique brillant s'est semble-t-il métamorphosé ici en vulgaire pneu conventionnel à enrobement élastique et très terne. Voyez donc le dessin des sculptures :
Pourquoi la NASA a-t-elle substitué ici pour Apollo 16, les vraies roues par des fausses ? Ces deux roues conventionnelles ne pouvaient en aucune manière fonctionner sur la Lune, à moins être pleines uniquement de matière élastique.
v Et pour terminer avec nos Apollos bidons, voici enfin, une incroyable anomalie (il y en a beaucoup d'autres) , que nous présentons sous la forme de la photo suivante d'Apollo 17 référencée AS17-137-20979 /
Alors que l'on aperçoit clairement, les traces de pas de "l'astronaute" , sur le sol lunaire meuble, et des petits grains de sable dans les interstices de la roue arrière droite, là, on voit que, cette roue arrière droite de la jeep lunaire (dont le garde-boue, nous dit-on, a été bricolé très grossièrement au cours d'une sortie lunaire bien déterminée), n'a laissé aucune trace ni en avant, ni en arrière, prouvant un déplacement quelconque de cette jeep. Autrement dit, la jeep lunaire est arrivée là, comme par magie, sans rouler sur le sol lunaire, après pourtant de grandes ballades ailleurs. Comme il n'existait pas de grue, pour poser à un moment quelconque en douceur, cette jeep sur le sol, à cet endroit, on peut en déduire, les points suisants :
- Soit tout ceci s'est passé "sur Terre" , avec une vraie grue (et dans la précipitation de l'action, les opérateurs ont oublié les traces de roues obligatoires ).
- Soit, et c'est tout aussi lamentable, il s'agit d'une juxtaposition, de deux photos, et alors on a oublié, la trace que devait laisser la roue arrière droite du LRV (lunar rover vehicule).
Donc ici la tromperie est très claire,
et, si vous avez une autre explication, nous serions très heureux de la présenter prochainement. C'est le très petit détail, qui, comme dans le célèbre film d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 : "Le crime était presque parfait", a confondu le coupable...Point barre.
Mais c'est encore plus clair, sur la photo AS17-143-21933, du site quasi officiel précité, et où l'on voit aussi au bas à droite, d'admirables traces de pas :
Pas mal n'est-ce pas, cette jeep qui se déplace sur un sol meuble, magiquement, comme si, elle était en lévitation ...
De plus, si nous analysons la tranche la fameuse roue immobile de la photo AS17-137-20979, d'Apollo 17 vue plus haut :
Nous y distinguons clairement, les petits grains de sable, qui sont restés coincés dans les interstices de la roue, quand elle a roulé ailleurs.
Maintenant scrutez attentivement, la semelle présentée dans la photo AS17-134-20453 :
Mais, voyons cela, en diminuant le contraste:
Pas un grain de poussière, n'est collé
en dessous de la chaussure.
"L'astronaute", est-il passé directement du LEM au LRV sans toucher le sol ? Quelle prouesse ?
Mais soyons plus pointilleux encore : Regardez la photo suivante, où nous avons tracé, grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues de LRV :
On voit alors que les roues de droite du LRV n'ont laissé sur le sol aucune traces visibles dans la direction montrée. Dommage que l'on ne puisse pas voir le sol entre roues ( et on sait, plus haut, que cela a posé un gros problème ). Dommage aussi que l'on ne puisse pas voir un peu du sol qui précède la première roue de droite.
A vous de juger une fois de plus, documents à l'appui.
Mais, voici de plus, une missive très technique, que nous avons reçue, au début de ce mois, d'un ingénieur aérospatial :
----- Original Message -----
From: X... P....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Friday, April 2, 2016 10:12 AM
Subject: Le crash du S-IVB d'Apollo 16
Bonjour Fred
J'ai fait une mise à jour du crash du S-IVB sur la Lune.
.... Je suis parti du manuel de vol de la fusée Saturne valable pour la mission Apollo 16,, mais il y a à nouveau un indice; l'indice est que la dernière maneuvre de préparation de l'impact lunaire a été abandonnée (pour une excuse bidon), et je fais la démonstration que ceci a tellement dévié le S-IVB , qu'il n'avait aucune chance de frapper la Lune; si on suppose que, si la dernière manœuvre
avait été faite, le S-IVB aurait frappé La Lune, alors, sans cette dernière maneuvre, il est logiquement passé à plus de dix lunes de la Lune, lorsqu'il a croisé l'orbite lunaire.
De toute façon, dans les tables des manœuvre
de préparation de l'impact lunaire, il y a toujours plusieurs degrés de différence entre les angles mesurés d'attitude et ceux planifiés par les ingénieurs; quand on sait que, depuis la Terre, la Lune est vue sous un angle d'un demi degré, il est clair que, loin d'être précis, les impacts lunaires n'auraient probablement même pas été sur la Lune ..
Fin de la digression.
Mais ce 10 Avril 2016, nous allons imaginer
qu'en plus de l'affaire des Apollos, soulevée par le sieur John M. PRYTZ ( et nous lui adressons ici, nos vifs remerciements post-mortem, de nous avoir permis de reviser la question), ce dernier aurait pu parfaitement aussi parler, de l'expédition en un aérostat (ballon dirigeable plus léger que l'air de 106m de long et 18500 m3 de volume), qui a été utilisé pour traverser en 1926, de part en part, le bassin polaire nord, et expédition, qui, elle non plus, n'a rien remarqué concernant un trou polaire.
Nous avons, en effet le grand privilège de possèder cet ouvrage :
, qui est paru en 1987 de (36,5 cm de long sur 26,5 cm de large), et qui nous présente, en page 94, le texte qui suit, et qui est de Mai 1926.
"
L'audacieuse entreprise d'Amundsen s'est terminée
par le succès le plus éclatant. Parti le 11 Mai du
Spitzberg à bord du dirigéable Norge (prononcez Norgueu), le célèbre
explorateur est arrivé quatre jours plus tard sur les
bords du détroit de Béring, après avoir traversé le
bassin arctique tout entier en passant par le pôle. Un
trajet à vol d'oiseau de 3 400 kilomètres environ, de
3 900 et même beaucoup plus, d'après le colonel Nobile,
en faisant entrer en ligne de compte la dérive sous la
poussée du vent. 3.400 et 3.900 kilomètres représentent
respectivement les distances de Paris au centre du
Sahara et au Tchad.
Grâce aux radios émis par l'aéronef et aux télégrammes d'une expédition de reportage envoyée à la
baie du Roi par le journal d'Oslo, Aftenposten, il est dès
à présent possible de présenter un récit succinct de ce
voyage extraordinaire.
Auparavant, donnons quelques précisions sur le
Norge , son personnel et son équipement. Le dirigeable
mesure de bout en bout 106 mètres et possède un
volume de 18.500 mètres cubes; sa limite de charge est
10,3 tonnes métriques. Avec ses trois moteurs il atteint
115 kilomètres à l'heure, et avec deux seulement,
70 kilomètres; à cette dernière allure la consommation
horaire d'essence et d'huile s'abaisse à 95 kilos. Etant
donné le trajet à effectuer, près de 7 tonnes de carburant et de lubrifiant furent embarquées.
L'équipage comptait 16 hommes : 9 Norvégiens, un Américain, Lincoln Ellswotth, mécène de l'expédition,
le colonel Nobile, capitaine du dirigeable, et 5 mécaniciens italiens.
Dans une entreprise aussi aventureuse, il faut prévoir
les accidents. Aussi, pour le cas où le dirigeable ferait
naufrage sur la banquise, emportait-on deux mois de
vivres, des traîneaux, des skis, des canots pliants, des
tentes, bref, tout le matériel nécessaire pour opérer la
retraite à travers le grand désert polaire...
Ainsi que nous l'avons déjà annoncé, le 7 mai,
à 6 h. 15, le Norge arrivait à la baie du Roi, au Spitzberg. Cette année comme l'année dernière, lors de son raid en avion, Amundsen avait choisi comme base
d'opérations Ny Aalesund, le charbonnage norvégien
installé sur les bords de ce fjord pittoresque. En conséquence, près de ce village on avait dressé pendant
l'hiver un hangar en charpente recouvert de toile, ainsi
qu'un mât d'amarrage pour le cas où le vent ne permettrait pas d'amener l'aéronef dans ce hall.....
A partir de la fin
de Mai, le bassin arctique est durant
tout l'été presque constamment recouvert d'épaisses brumes ; il importait
donc de se presser pour pouvoir prendre
l'air avant l'établissement de ce régime
éminemment défavorable à la navigation aérienne.
Dans la soirée du 10 mai, les météorologistes chargés de la prévision du temps
ayant annoncé la présence de hautes
pressions dans le bassin arctique, par
suite, selon toute probabilité, un régime
de calme dans cette région, Amundsen
commande de prendre les postes d'appareillage. Mais à peine les préparatifs
sont-ils commencés que la brise "force",
pour employer l'expression maritime.
Dans ces conditions, le départ est contremandé. Les heures s'écoulent tristes
et lentes ; pour tous la déception est
grosse, surtout après le succès de Byrd
deux jours auparavant. Brusquement.
dans la matinée du 11 mai, la brise
mollit, le ciel se dégage et, bientôt, un
soleil radieux luit dans un air cnlme Il
n'y a plus à hésiter. On rappelle aux postes d'appareillage et, à 9 h. 35, la délicate sortie
du hangar est heureusement terminée. Immédiatement,
au bruit des hurrahs, les "couleurs" des trois nations
dont des membres participent à l'expédition - Norvège, Etats-Unis et Italie - sont hissées à la poupe du
dirigeable, puis, à 10 heures, le solennel "Lâchez
tout!" retentit. Le Norge, s'élève alors à une centaine
de mètres, en route vers l'embouchure du fjord ; une
demi-heure plus tard, il a disparu de l'horizon de Ny Aalesund. La grande expédition est commencée, une
des plus hardies qui aient été conçues depuis que
l'homme a conquis le domaine de l'air.
Une fois sorti de la baie du Roi, le dirigeable suit
vers le Nord la côte Ouest du Spitzberg, et, après avoir
survolé l'île des Danois, s'engage au-dessus de la grande
banquise, le cap droit vers le pôle.
A 14 heures on est au 82°30' de latitude par 9° de
longitude Est. Le temps reste clair, la brise faible ; le
Norge, tient admirablement la route. Les dernières terres du Spitzberg ont disparu ; maintenant,
dans toutes les directions, un horizon blanc ; partout,
des crêtes ou des monticules formes par le chevauchement des glaces dans les spasmes qui les agitent sous
la poussée des vents et des courants marins. A chaque
instant, on aperçoit des ours fuyant, effrayés par le
vrombissement des moteurs. L'an dernier, à l'occasion
du raid en avions d'Amundsen, le gouvernement norvégien a émis des timbres représentant un de ces animaux regardant voler un aéroplane. La conception de
l'artiste s'est donc trouvée réalisée cette année, à cela
près que le monoplan était remplacé par un dirigeable.
A 15 h. 30, le Norge atteint le 83°30' par 10° de
longitude Est. Depuis l'observation de 14 heures, il
a donc été déporté dans 1'Est d'une douzaine de
kilomètres. Le ballon continue ensuite sa marche vers
le Nord, le long de ce méridien jusqu'aux approches du
pôle, où il est encore légèrement déporté dans l'Est..
La route suivie par l'expédition entre le Spitzberg et
le pôle est donc presque rectiligne.
A mesure que l'on avance, le froid devient de plus
en plus vif, sans cependant atteindre une rigueur
gênante : 9° sous zéro à 14 heures, puis - 12° pendant
le reste de la journée.
A minuit, le 89° de latitude est franchi. Le moment
solennel approche. Le ciel est légèrement brumeux,
néanmoins la visibilité reste bonne. Enfin, le 12 mai,
à, une heure, le lieutenant Rüser-Larsen, qui remplit, les
fonctions d'officier des montres à bord du Norge ,
annonce l'arrivée au pôle Nord. La victoire est remportée !
Aucune terre ne marque l'emplacement du sommet
boréal de l'axe de rotation du globe, comme Peary
l'avait d'ailleurs précédemment constaté. Rien que la
banquise toujours en lent mouvement de translation.
Aujourd'hui, le gisement de ce point mathématique est
occupé par un glaçon, demain il le sera par un autre
que la dérive des eaux aura poussé à la place du premier.
Que le Norge ait atteint le pôle, l'abondance et la
précision des observations exécutées par le lieutenant
Riiser-Larsen en donnent la preuve certaine ; non seulement cet officier a soigneusement surveillé la marche
du ballon à l'aide du compas ordinaire, d'un compas
solaire, d'un dérivomètre et d'un compteur de vitesse.
mais encore a d'heure en heure déterminé sa position
par des azimuts et des relèvements goniométriques
sur la station de T. S. F. de la baie du Roi.
Une fois au pôle, le Norge décrivit plusieurs circuits
au-dessus de ce point, puis successivement Amundsen,
E1lsworth et Nobile lancèrent par-dessus bord, sur la
banquise, les pavillons de leur pays.
Cette émouvante cérémonie terminée, tous les
membres de l'équipage vinrent successivement présenter leurs félicitations à Ellsworth. Ce jour-là, le
mécène de l'expédition entrait dans sa quarante-septième année. Fêter son anniversaire par la conquête
du pôle constitue un événement que l'on ne saurait
qualifier de banal ; sous ce rapport, le sympathique
Américain détient un record qui ne lui sera pas ravi
de sitôt.
L'expédition n'a point, semble-t-il, aperçu le drapeau
américain que le lieutenant Byrd avait laissé tomber
sur la glace lorsqu'il crut être arrivé au but ; les
radios lancés par Amundsen sont muets sur ce point.
La chose n'a pas en soi une très grande importance. Depuis les controverses auxquelles le voyage
de Peary donna naissance, il est en effet admis que,
pour l'arrivée au pôle Nord, dont le gisement ne
peut être déterminé qu'au prix d'observations précises.
les explorateurs bénéficient d'un battement de plusieurs
kilomètres.
Dans le trajet, entre le Spitzberg et le pôle, le Norge
Z marché à des allures très différentes. Pendant le`
quatre premières heures, sa vitesse horaire a dépas~é
100 kilomètres ; à là h. 30, elle a atteint le maximum
que les moteurs pouvaient donner, soit 114 kilomètres.
puis, à partir de 20 heures, 'elle a été réduite à 67, enfin 60. probablement en vue d'économiqnt l'essence.
D'autre part, durant cette partie du voyage, la hauteur à laquelle le ballon a navigué a été fort variable :
400 â 800 mètres.
Du pôle, le cap fut mis droit au Sud sur la pointe
Barrow, le cap le plus septentrional de l'Alaska. Un,
radio daté du 12 mai, 3 h. 20, annonçait que le ballon
fait bonne route dans cette direction à la vitesse de
80 kilomètres. Depuis, aucun message du Norge , n'avait
été reçu. Cette absence de renseignements commençait à éveiller des craintes, lorsque le 14, à 6 heures
(temps de Greenwich), l'aviateur américain Wilkins
stationné à la pointe Barrow pour prendre son vol lui aussi, vers l'extrême Nord, aperçut
le ballon à 10 milles au large de la
côte de l'Alaska. Le Norge faisait alors
route dans le Sud. Après cela, pendant
deux jours, ce fut de nouveau un
silence complet. Du cap Barrow
Nome, sur les bords du détroit de
Béring, terminus du voyage, la distance
tance à vol d'oiseau est seuiement d'un
millier de kilomètres ; aussi bien
l'anxiété grandissait, quand un télé
gramme annonça l'arrivée rie l'expédition â Teller, au Nord de Nome, le
15 mai à 2 heures du matin (temps
local) , soit à 13 heures (temps de
Greenwich). Au-dessus de l'Alaska, l'expédition avait été mise en péril par
des brumes et par de furieuses tempêtes de neige ; à plusieurs reprises
l'enveloppe du ballon fut crevée par
des glaçons formés sur les apparaux.
La dernière partie du voyage nous promet un émouvant récit d'aventure dramatiques.
Reconnaître la région ignorée comprise entre le pôle et dont d'impénétrables banquises défendent l'accès par voie de mer, tel était le principal
objectif d'Amundsen en entreprenant son raid aéronautique. Ce problème,
l'explorateur norvégien a-t-il pu 1e
résoudre ? Sur ce point, les télégrammes parvenus jusqu'ici manquent de précision.
En tout cas, l'expédition a accompli
un magnifique exploit. Dans ce succès.
à ses trois dirigeants revient une part
de gloire égale. Si l'honneur de la
concention et de l'organisation appartient à Amundsen, par ses libéralités
Ellsworth a permis la réalisation du
programme et Nobile en a assuré l'exécution par une technique admirable.
Ceci est simplement un récit préliminaire. L'Illustration avant acquis le droit de reproduction des photographies prises
au cours de cette randonnée à travers le monde des glaces, nous aurons l'occasion de compléter cet aperçu lorsque,
dans une quinzaine, les premiers documents iconographiques de l'expédition
nous parviendront.
Sur notre carte d'Air France , vue plus haut, où subsiste la trace rouge de la ligne d'Air France, traçons plus et en bleu, l'itinéraire du dirigeable en question :
Et, si nous y juxtaposons, la super carte tirée du site :
on obtient alors, cette représentation :
Faisons de même sur l'tinéraire du Norge.
Nous voyons alors que, comme par hasard, le trajet du Norge, passe juste à côté du "
trou polaire" en question, et vu l'altitude de croisière du dirigeable et le systeme brumeux et nuageux du coin, il est fort possible que l'équipage n'ait absolument rien découvert, si ce n'est une lueur boréale caractéristique de l'endroit survolé. Pour le savoir, il faudrait bien sûr, avoir sous la main, le carnet de bord du commandant de l'expédition. Remarquons surtout que ce trou polaire dessiné par nos soins, n'est absolument pas à l'echelle, car de plus, on l'a vu plus haut, son diamètre varie en fonction "de la respiration", de la planète .
D'ailleurs vous avez bien noté ce paragraphe :" A partir de la fin
de Mai, le bassin arctique est durant
tout l'été presque constamment recouvert d'épaisses brumes ; il importait
donc de se presser pour pouvoir prendre
l'air avant l'établissement de ce régime
éminemment défavorable à la navigation aérienne."
Mais d'où vient ce brouillard latent dans la zone polaire, si une source d'air chaud n'existe pas dans la région, où il pleut plutôt rarement (autour de 5 cm de précipitation annuelle)
Vous avez aussi noté, nous l'espérons, ce paragraphe, pour nous extrêmement important : "
L'expédition n'a point, semble-t-il, aperçu le drapeau
américain que le lieutenant Byrd avait laissé tomber
sur la glace lorsqu'il crut être arrivé au but ; les
radios lancés par Amundsen sont muets sur ce point.
La chose n'a pas en soi une très grande importance. Depuis les controverses auxquelles le voyage
de Peary donna naissance, il est en effet admis que,
pour l'arrivée au pôle Nord, dont le gisement ne
peut être déterminé qu'au prix d'observations précises.
les explorateurs bénéficient d'un battement de plusieurs
kilomètres" .
En clair, cela signifie le fait, que nos scientifiques admettent qu'il existe une grande incertitude,(même avec les appareils sophistiqués de l'époque), attachée à la localisation de ce fameux point mythique correspondant au Pôle Nord Géographique , et à l'existence de la terrible polémique ( opposant le Dr. Frederick Cook, et l'explorateur contre-amiral Robert E. Peary), et polémique, si bien illustrée par cette caricature :
Image tirée, page 133, de la revue New Look, autour de Février 1990, (nous n'avons pas hélas noté le n° exact)
Mais n'oublions pas le fait, que les instruments sont construits, en fonction des lois admises dans le cursus universitaire, et par exemple, faisons ici une petite digression :
En effet, dans un article intitulé "La conquête du Pôle Nord" de Mr Philippe Nessann, du n° 115 d'Avril 1999 de la revue Science&Vie Junior, nous avons eu le bénéfice de découvrir comment en général, on peut s'orienter au Pôle, en considérant évidemment que la Terre est à peu près une sphère soumise aux rayons obliques du Soleil. Nous reproduisons donc ci-dessous, l'admirable schéma très didactique de Mr Jean-Jacques Hatton, qui donne toute la démarche que devrait effectuer un explorateur pour calculer sa position en arrivant au Pôle Nord.
Mais, il va de soi, que s'il existe une courbure de la Terre vers son intérieur au Pôle, (non enseignée dans nos universités), comme le montre cette extraordinaire
photo, déjà vue plus haut, et commentée par nos soins:
alors, les angles Alpha, Bêta, et Gamma, ne correspondront plus à ceux que nous présente, ce schéma du Science&Vie Junior, et donc que la position déterminée par l'explorateur, en sera automatiquement faussée sur le terrain par les instruments utilisés. Il en résulte que c'est en toute bonne foi, que ces explorateurs ont cru être arrivés au Pôle, alors qu'ils n'étaient, en fait, que sur le bord de concavité polaire, que nous évoque notre bien pratique schéma suivant, d'une pomme.
Autrement dit l'instrument utilisé peut ne pas être conforme aux lois de l'environnement et, peut parfois induire en erreur l'expérimentateur.
Fin de la digression
En résumé, voici par exemple, une carte de l'Arctique, tirée de l' Histoire Universelle des Explorations, où l'on constate bien qu'aucune des expéditions au Pôle Nord ne l'a traversé diamétralement, et deux seulement, la bleue faite par Amunsen et Nobile en 1926, et celle en orange faite par les soviétiques Tchkalov et Gromov, en 1937, ont poursuivi leur route en l'incurvant fortement vers la droite.
Mais dans le paragraphe important précédent où l' on site l'expédidion de Byrd de 1926 sans en dire reien d'important sinon une affaire de drapeau laché au passage au dessus du prétendu Pôle Nord.
Mais le sieur, John M. PRYTZ, aurait pu lui aussi, en fouillant dans certaines bibliothèques
de son pays , tomber sur l'entrefilet (déjà présenté plus haut ), du "Miami Daily News", du 25 Juin 1926 :
r
Les phrases soulignées en rouge, auraient pu alors, en effet, lui mettre la puce à l'oreille, concernant cette affaire de Terre creuse , qu'il veut absolument nier.
Reprenons, donc les phrases soulignées en rouge, de Byrd, tel que :
Ces phrases, on le sait, sont pour nous,très importantes, et disent ceci :
"
There is land in a vicinity of the Nord Pole "
, in the belief of Commander
Byrd.
"
There might be land in there
somewhere, and I think there is"
. Byrd said after telling that his search of the icy span below
the machine failed to reveal any sign of life.
Le site ARTivision est là, obligé, pour la clarté de cet exposé, de reprendre ici, les explications suivantes, déjà vues plus haut :
"... En effet, certains linguistes pourraient traduire facilement ainsi :
" Il y a de la terre dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.
" Il pourrait y avoir de la terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".
Mais les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de Terre en pleine zone froide et glacée, nous diront évidemment qu'il fallait traduire plutôt " Il y a de la place, dans le voisinage du Pôle Nord ", etc....
Mais, pour ARTivision, compte-tenu des très nombreuses autres déclarations de Byrd, que nous avons retrouvées, et que nous présenterons plus bas, nous pensons alors, que notre traduction, des phrases en rouge précédentes devrait être plus précisément :
" Il y a une terre dans le voisinage du Pôle Nord ", comme le croit le commandant Byrd.
" Il pourrait y avoir une terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai" "....
Fin de citation...
C'est donc aux spécialistes, de la langue de Shakespeare, qu'il appartient de donner maintenant, leur précieux leur avis...
Mais, ce 11 Avril 2016, faisons une fois de plus, une plongée vertigineuse, dans le contexte Mystico-rationaliste, du site ARTivision, ce qui ne manquera pas de mettre très mal à l'aise, nos éternels détracteurs et autres intellectuels blasés :
Voici donc les propos extraordinaires du du Grand Maître de Findhorn, qui évoque ici, d'une part cette notion de vies multiples de l'être humain, mais aussi, d'autre part, il nous invite à vivre au jour le jour, comme nous le préconisait étonnement, un autre Maître du texte biblique.
I1 est inutile de laisser les façons
d'être du monde t'enfoncer.
Jouis-en mais n'essaye pas de les posséder
et ne leur permets pas de te posséder.
Dans le Nouvel Age, il n'est pas nécessaire
d'être vêtu de hardes et couvert de
cendres,
ou d'aller partout en déclarant que tu
es un misérable pécheur
et n'es pas digne d'être appelé l' enfant bien-aimé du Très Haut.
Cet enseignement appartient aux temps anciens
et il est faux et sans réalité.
Accepte le fait que nous faisons Un
avec Ce Très Haut et qu'Il est en toi .
Sens-toi tiré hors des ténèbres de cet enseignement erroné vers la lumière glorieuse.
Laisse l'ancien derrière et laisse-le mourir d'une mort naturelle.
Entre dans le nouveau, renais en Esprit et en Vérité,
et découvre la signification de la vraie liberté.
Le Très Haut a besoin de toi libre et non pas ligoté par toi-même
et par le souci de ta propre personne.
Sois comme un tout petit enfant, libre et joyeux,
et vis dans l'éternel présent
.
Méditation pour le 11 Avril, après adaptation d'ARTivision.
"Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi. Illusion du temps, il n'y a pas de passé ni de futur; seul existe le moment présent. Cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète."
Nous ajoutons enfin que cette notion révolutionnaire du temps cosmique semblait être connue du Maître Jésus-Christ, puisque qu'il préconisait ouvertement de "ne pas se préoccuper du lendemain et de vivre au jour le jour", sans doute pour mieux s'ancrer dans l'énergie relevant de la quatrième dimension, ce qui lui permettait évidemment de réaliser ce que nous avons appelé "des miracles", et miracles qu'il avouait, lui même, être à la portée de chacun de nous.
Mais, voici pour les puristes, autre chose, qui confirme tout cela :
En effet, analysons maintenant, le paragraphe très surprenant suivant, extrait de l' ouvrage remarquable intitulé "Nos pensées créent le monde" de la journaliste scientifique Martine Castello et du polytechnicien Vahé Zartarian publié en 1994 à Paris, aux Editions R.Laffont dans la collection Nouvelles énigmes :
Et nous lisons alors en page 23 :
" Les Hopis, indiens habitants l'actuel Arizona aux USA, ont du Temps une conception qui diffère radicalement de la nôtre.
Ainsi ils n'ont aucune notion d'un temps s'écoulant de manière linéaire et continue et entraînant dans sa course tous les objets de l'univers, du passé au futur à travers le présent. Leur langage même est dépourvu de tout mot, expression, tournure grammaticale, conjugaison, ou quoi que ce soit d'autre faisant référence explicitement ou implicitement à ce que nous appelons le temps, ni au passé, présent et futur, ni à la durée, ni encore au mouvement (qui serait conçu comme déplacement et pas comme un processus de transformation globale). Pourtant la langue hopi est extrêmement riche et permet de rendre compte de tous les phénomènes observables dans l'Univers... les Hopis ne voient pas le monde en termes d'objets comme nous le faisons, mais en termes d'événements... ces événements appartiennent à deux catégories, "les manisfestés" et les "non-manifestés". "
Curieux ceci, n'est-ce pas ? Si vous voulez en savoir plus sur les Hopis que certains pionniers conquérants qualifiaient autrefois (on le sait déjà), de sauvages , précipitez-vous sur l'ouvrage en question indiqué ci-dessus, et vous y découvrirez , bien d'autres choses intéressantes.
Fin du pararaphe en question.
Le 16/10/02 l'aimable internaute Luc Secret, nous apprenait que ce live est totalement téléchageable à l'adresse:
Merci donc à Luc pour sa participation si efficace à notre site.
Ces Hopis ont-ils pu élaborer un tel système, sans recevoir une initiation venue des dieux ancestraux dont parlent la plupart des mythologies ?
A vous de juger ?
Alors Messieurs les esprits forts, et consorts zélés et zététiques, si le cœur vous en dit, continuer à rire sous cape ... mais un jour, vous tomberez aussi sur les écrits d'un certain Edgar Cayce, et écrits qui vous expliqueront clairement, comment a disparu la super civilisation de l'Atlantide, dont le niveau d'évolution était bien supérieur à celui de votre civilisation occidentale actuelle, et vous aurez alors progressé, dans cette notion de modestie, qui fait défaut à la plupart de prétendus savants et technocrates actuels.
Mais ce 13 Avril 2016, nous ne résistons pas,
une fois de plus, au plaisir de vous présenter le verbe de ce du Grand Maître de Findhorn, verbe qui pourrait nous permettre d'assimiller un principe, apte à nous permettre de comprendre tant soit peu, ce qui préccède :
et tout ce
qu'Elle a, t'appartient.
Son abondance infinie, est
accessible à tous,
mais ta conscience doit être
une conscienced'abondance,
sans aucune pensée de manque ou de restriction.
Sens ta conscience s'étendre et s'étendre,
et laisse-la continuer à s'élargir sans aucune limitation
,
car les limitations causent des blocages dans le flot constant.
Avec les limitations vient la peur, et avec la peur la stagnation;
et quand quelque chose se met à stagner, le flot est coupé
et meurt.
Maintiens un flot continu.
Qu'il y ait un donner et un recevoir constants a tous les niveaux,
et sache ce qu'abondance infinie veut dire.
Sache que tu fais UN avec la Source
,
UN avec toute la richesse du monde
et que rien n'est pris pour soi,
que rien n'est gardé
en reserve.
Tout est là pour être sagement utilisé.
Sois un bon gestionnaire des dons parfaits et bons de la Source.
Recherche Sa "guidance" et Sa direction
pour savoir comment utiliser de façon juste Ses
ressources infinies.
Méditation pour le 13 Avril, après adaptation d'ARTivision.
Mais c'est justement, le jour précédent le 12 Avril 2016 que le Grand Maître expliquait, cette affaire concernant le principe de "un donner et un recevoir constants à tous les
niveaux " :
et pour tout ce que tu vas recevoir.
En fait, ne cesse jamais de remercier,
car c'est une attitude positive envers la vie
et c'est le fait même de remercier qui attire à toi ce qu' il y a de meilleur.
Cela aide à garder ton cœur et ton esprit ouverts;
cela aide à l'expansion constante de ta conscience.
Tu rencontreras toujours quelque chose qui demande remerciements,
et alors que tu commenceras à compter ces bénédictions,
elles se multiplieront.
Tu te rendras compte à quel point tu es puissamment béni,
tu prendras conscience que tout ce qu'a la Source, t'appartient,
que Ses réserves d'abondance sont pleines à
déborder,
et que tu ne manques de rien.
Chacun de tes besoins est comblé d'une manière merveilleuse
.
et dans cet état de conscience tu peux donner,
donner encore et ne jamais compter ce que cela te coûte.
car tu reçois en fonction de ce que tu donnes.
En donnant, tu fais de la place pour recevoir davantage.
Méditation pour le 12 Avril, après adaptation d'ARTivision.
Très curieuse n'est-ce pas, cette affaire de remerciements à jets continus. A vous de juger...
Mais ce 15 Avril 2016, analysons le neuvième
concept élaboré, par l'auteur
John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre Neuvième focus , qui
correspond à cela que donne notre modeste traduction :
" Aucune photo globale de la Terre, issue des satellites de l'espace lointain (et même ceux qui occupent une orbite polaire), n'a jamais montré une quelconque ouverture polaire . "
On pourrait déjà dire, que ce John M. Prytz n'a pas eu e,n 1970 sous la main, ou qu'il n'a pas bien regardé, cette photo prise à environ 37 000 km de haut, par le satellite ATS-3 lancé 5 November 1967:
Bien que l'on sache, que cette photo, a été sans doute manipulée (avant d'être sortie pour le grand public), on y voit tout de même, clairement au Pôle nord (photo de droite), une sorte de luminosité particulière qui s'échappe du Pôle...
Cette assertion saugrenue, fait sourire sous cape, bien sûr, les éternels détracteurs et consorts intellectuels blasés, mais le site ARTivision, a toujours en réserve certains éléments incontournables, qui confirment ses dires. C'est ainsi que nous pouvons affirmer que
la NASA et ses sbires affiliés , n'oseront jamais montrer une photo globale de la Terre
qui ressemble comme deux gouttes d'eau, à celle-ci :
Nous insistons ici sur le fait que la photo de Mars , ci-dessus ne vient pas de la NASA, (qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à los Angeles, en Californie, (et qui existe depuis 1935).
Cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km :
Pour ceux qui voudraient en savoir plus, prière de contacter cet Observatoire Griffith, pour lui demander pourquoi cette superbe image, n'a jamais fait la une des médias qui ont pignon sur rue ... et surtout que l'on nous dise pourquoi le site admirable, qui présentait cette photo à :
a disparu en 2005, comme par magie.
On y voyait entre autres choses à l'époque , alors ceci :
; Une modeste traduction des 7 premières lignes donne alors ceci :
Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX webcam.
C'est la meilleure image de Mars qui se compose de plusieurs dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord est en haut et l'Est est à gauche.
Remarquons que l'Est devrait être à droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord soit en haut.
Mais vous pouvez, grâce au merveilleux site :
, retrouver cependantle site Griffith en question , qui a disparu, désormais à ( 29 Fev 2008) :
Le nom de la photo étant Mars083103.jpg, vous pouvez la trouver directement sur le Web à l'adresse :
, ce qui nous donne alors ce superbe spectacle, déjà vu plus haut, qui en mettant l'Est à droite, donne pour le Pôle Nord de Mars que nous vous présentons à nouveau, étant donnée sa
prodigieuse importance
Nous avons aussi déjà dit plus haut, que la sagesse antillaise utilise parfois cet adage : " Sa ki bon pou zwa, la sé tou bon pou kanna." ( Ce qui est bon pour les oies, l'est aussi pour les canards),
et donc ce qui est valable pour le Pôle nord de Mars l'est
très certainement aussi, pour celui de la Terre. Point barre .
Vous pensez bien qu'en 1970 ( alors que l'Internet n'était pas encore, arrivé sur le marché), Mr John M. Prytz, n'avait aucune chance de découvrir, dans des revues spécialisées, une photo semblable de la Terre.
Quant à évoquer les sattelites polaires de notre planète
, il était, (nous l'avons vu plus
haut), tout à fait à coté de la plaque, car on le sait, que les trajectoires de ces derniers "ne sont pas tout à fait polaires", termes
exacts utilisés :
Et pour la route voici encore quatre photos déjà vues plus haut :
Mais ce 17/04/2016, nous allons poursuivre nos
révélations, concernant les clichés montrant une luminosité extrordinaire, repérée aux pôles de certains astres de notre système solaire, et luminosité surprenant, qui à notre connaissance, n'ai fait l'objet d'aucune discussion sur les plateaux de télévision toujours prêts à nous noyer de banalités...
Faisons d'abord ici une certaine digression très significative quant à l'esprit de certains savants, qui tenaient il n'y a pas si longtemps, le haut du pavé de la connaissance scientifique :
Nous avons en effet, le privilège de possèder, le n° 108 de Février 1956, de la revue Sciences et Avenir, dont voici la couverture :
Cet important n°, a justement publié à l'époque, un article très interressant et encore d'actualité, dont le sujet est, voyez vous même, tel que:
Mais voyons, maintenant, les pages 52 et 53 de notre Sciences et Avenir, en question :
et puis, faisons uin flash, sur ce passage significatif :
Cette image, nous montre d'abord la calotte polaire de Mars qui brille, alors que la zone tout autour, est dans le noir. Nous venons plus haut justement de parler de cela ...
Plus bas, dans le texte qui suit, comme vous le voyez, un astronome bien connu de l'époque, nommé Arthur Eddington, (il est certainement décédé actuellement), n'avait pas hésité à écrire, (hélas on ne dit pas où) :
A l'époque, (dans les années 50), il fallait tout de même, une sacrée dose d'orgueil, pour en arriver à cette conclusion, n'est-ce pas !!! (alors que les sieurs George
Adamski et Howard Menger, très vilipendés, par d' ignares bien-pensants, prouvaient photos à l'appui, le contraire) .
Nous espérons, que maintenant, ce Mr Arthur Eddington évolue dans une autre dimension, où, il appréhende bien plus, directement , la conscience de l'aspect fanstastique
de l'Univers .
Le 20/06/2013, nous avons traité ce sujet très philosophique, dans notre article plutot corsé pour nos détracteurs :
où nous avons abordé, sans rien cacher les sujets suivants :
- Interprète-t-on à défaut de connaître ?
- La raison peut-elle comprendre le réel ?
Et finalement, nous sommes arrivés à la conclusion que :
"La science orthodoxe se limite souvent à constater les faits ...et elle les interprète historiquement, à sa convenance, à défaut de les connaître ".
Nous avons aussi, exprimé le fait que, si l'on pourrait définir assez facilement, ce qu'est la raison, il n'en était pas de même du réel, qui se montre toujours plus complexe et souvent très difficile à saisir. (voir l'article en question)
Et mieux encore, puisque nous sommes alors dans le contexte philosophique du Bac 2013, il ne nous reste ici, qu'à mettre en exergue, une fois de plus, la célèbre phrase d'Hamlet de Shakespeare :
Pour noyer rapidement le poisson et continuer à faire comme l'autruche, en fourrant la tete sous le sable, les détracteurs irréductibles habituels, ont classé assurément tout cela, comme des illusions d'optique. Point Barre...
Fin de la digression.
Mais, pour compléter ce qui précède, nous vous proposons ici encore, deux photos de Mars, où l'on voit bien le pôle qui brille parfaitement, alors que le reste de la planète est dans l'ombre :
ou encore en mieux :
Seuls des rayons provenant directement du soleil intérieur peuvent causer
une telle
luminosité au dessus de la planète, luminosité qui varie en fonction
de l'état de l'atmosphère selon qu'elle est claire ou nuageuse. S'il
ne s'agissait que d'une simple calotte
glaciaire, comme on le dit généralement,
brillerait-elle tout de même, quand Mars est couverte de nuages ?
Mais voyons autre chose. Nous avons l'image suivante tirée d'un fichier PDF ( hélas nous n'avons pas pu déterminer son url. Merci à l'internaute qui le retrouvera) , qu'un aimable internaute nous avait transmis le 18 Juillet 2009 :
On voit parfaitement ici que les calottes polaires sont en relief et débordent même du disque de la planète. Certains n'hésiteront pas à dire qu'il s'agit d'une illusion d'optique. Mais nous, nous disons encore, que c'est bien, la réflexion d'une puissante lumière venant de l'intérieur de la planète, sur les couches extérieures de l'atmosphére, qui est responsable de ce phénomène.
De même, sur le site :
, on découvre ceci :
La quatrième image nommée B semble être le résultat du placement de filtre noir, pour mieux mettre en relief la calotte polaire nord, qui brille alors de tous ses feux.
Mais jetons aussi un coup d'oeil du coté de Mercure, bien les images ne soient pas aussi nettes :
Or donc, nous dit en substance, la revue "Science
& vie" n° 883 de Fév. 92
dans un article de J.R. Germain
intitulé "De la glace
sur Mercure: " Le 8 Août 1991 à la faveur d'une fenêtre particulièrement propice, Mercure qui
passait au plus près de la Terre, présenta son pôle Nord face à
nous. Les Astronomes, Martin
Slade du Jet Propulsion Laboritory
et Duane Muhleman du Californian Institute of Technologie décrochèrent alors un puissant signal radar 500 000 W , au radiotélescope de Goldstone en Californie. Le signal réfléchi est récupéré par les 27
antennes du Very Large Array, un réseau de télescope de 25
m de diamètre chacun
déployé au
Nouveau-Mexique...."
Mais c'est encore plus spectaculaire du côté
de Neptune :
En effet, 12 ans après son lancement
(le 20 Août 1977),
la sonde américaine Voyager -2
après avoir survolé , Jupiter,
Saturne, Uranus arrive le
25 Août 1989 en vue de
Neptune à plus de 4 milliard de km de la Terre et prend parait-il près
de 8000 photos
de la planète et de son satellite Triton. Neptune qui
avec ses 144990 km
de diamètre ( 3,53
fois celui de la Terre ),
ses -200 ° C de température
moyenne, et son atmosphère constituée principalement de méthane
apparaît alors d'un bleu chatoyant, mais surtout, avec ce que personne
n'attendait, et que faute de mieux l'on a qualifié parfois de "petit
nuage blanc", un
gigantesque "Oeil très
lumineux intérieurement"
possédant une "frange
ovale rouge" extérieure,
caractéristique d'une sorte de diffraction
spectrale étonnante. Cet
"œil fantastique" a-t-il pu
correspondre autrefois, à un pôle de la planète qui aurait peut-être basculé sur son axe après un cataclyme? Seul un spécialiste pourrait nous le dire. Toujours est-il, que nous sommes restés
totalement muets, devant cet étrange phénomène qui a dû troubler
plus d'un observateur curieux. (Voir la photo de Neptune suivante:)
Voyons ensuite ce que l'on peut trouver sur Saturne :
L'ami Saüquere Roch que
nous remercions vivement, a réussi aussi, de plus, à mettre la main sur une photo de Saturne que voici :
En Février 2005, plusieurs internautes vigilants, nous ont adressé l'information suivante, tirée des sites:
Mais il y a bien mieux:
Découverte d'un Point chaud inexpliqué sur Saturne :
Ces travaux sont publiés aujourd'hui dans la revue Science.
Sur Terre, ces vortex se forment dans la stratosphère, au-dessus de l’Arctique et de l’Antarctique. La différence de température entre les hautes et les moyennes latitude crée un courant circumpolaire qui isole les masses d’air froides. En Antarctique ce vortex polaire contribue à la destruction de la couche d’ozone pendant l’hiver. Au pôle nord le vortex envoie de l’air froid sur le nord de l’Amérique.
Que ce soit sur Terre, sur Jupiter, Mars ou Vénus, partout où ils ont été observés ces vortex polaires sont plus froids que l’air environnant. Sauf sur Saturne. Le pôle sud y est déjà particulièrement chaud – il est exposé au Soleil depuis 15 ans. Pourtant, à 30° de latitude du pôle les chercheurs ont repéré un point encore plus chaud.
Il pourrait s’agir d’une concentration de particules absorbant la lumière du Soleil "coincée" dans la stratosphère. Cependant l’explication est insuffisante. Pour comprendre la formation de ce vortex les astronomes attendent le passage de Cassini et l’observation de cette zone par son spectromètre à infrarouge (CIRS) en mars et mai prochains.
Fin de citation
Mais ce 17/04/2016, nous pensons que Cassini a eu largement le temps de photographier le pôle sud de Saturne et l'image suivante n'a rien de particulier qui puisse nous émerveiller:
Cassini a-t-il mis, au bon moment, un filtre noir pour ne pas être "aveuglé" par une lumière trop génante venue du pôle sud de la planète? A vous de juger.
Mais, il y a une explication plus ésotérique, qui consiste à dire, que les commanditaires de la sonde Cassini, ont choisi de montrer uniquement les photos du Pôle Sud de Saturne, au moment précis, où le vortex polaire s'était fermé.
Mais jetez aussi cependant, un coup d'oeil attentif sur le site :
que nous a envoyé le 23/09 2014, notre fidèle amie Aurélia, sur les admirables images :
Et à vous de juger désormais; documents à l'appui...
Pour Jupiter, on a aussi :
Cependant, il est aussi judicieux de présenter ici, cette image que l'on peut encore apprécier, sur le site :
Credit: A. Kutyrev (SSAI/GSFC), D. Rapchun(GST/GSFC), J. Norris(NASA/GSFC)
R. Canterna & R. Martin (U Wyoming)
Et avec ce commentaire :
R. Canterna & R. Martin (U Wyoming))
13 mars 2003"
Mais, il y a mieux, concernant Jupiter, que l'on peut découvrir à notre article :
L'image de droite est directement tirée du site officiel :
http://photojournal.jpl.nasa.gov/catalog/PIA07783 , par contre, nous n'avons pas pu retrouver l'Url , donnant l'image de gauche . Merci donc mille fois à l'internaute qui mettra la main dessus, car cette image semble avoir disparu du Web.
Et en agrandissant tout cela, et en ajoutant un peu de contraste :
Pas besoin de sortir de Polytechnique, pour voir ici, que l'on a placé une fois encore, une pastille grise de camouflage, des rayons lumineux qui fusent au Pôle Sud de la planète.
Que dire de plus, devant ces images surprenantes, sinon qu'en Haut Lieu, certains sont vraiment des fervents inconditionnels, d'un drôle de "pastillage"...
Pour ne pas trop allonger, cette lecture du 17/04/2016,
arrêtons ici, cette affaire de lumières polaires, et laissons pour plus tard, le super buzz, découvert par ARTivision, dès 2005, et qui est tel que :
Mais ce 18/04/2016, disons que la photo précédente vient, chose curieuse, de la NASA en début Juillet 2004, et dont l'url du site est placé à :
Précisons d'abord que l'image ci-dessus, représente le satellite de Saturne nommé Titan (5150km) ( plus gros que Pluton ( 2280km ) et même que Mercure (4960 km) ), filmé en début Juillet 04, par la sonde américaine Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride :
On découvre alors ceci en noir et blanc justement :
, puisque nous avons là alors, un semblant d'explication :
En rouge, on comprend : " Un brillant nuage de particules de méthane apparaît au pôle sud des 3 images. .."
Oh là ....un "un nuage de particules de méthane", disons que ce méthane, a dû être chauffé à blanc, et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les rayons d'un Soleil, qui, on le sait, est très éloigné de Titan, de près d' 1,5 milliard de Km...
Et...désormais, c'est à vous de juger en toute connaissance de cause ...
Puis, poursuivons maintenant en couleur, notre analyse, où l'on trouve aussi ceci :
Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu ( Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!) . A vous de juger.
Voyons cela de plus près maintenant, avec des couleurs toujours étonnantes :
Comme vous l'avez sûrement remarqué, ce qui surprend grandement sur ces premières photos de Titan, c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète, et, vu sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque d'environ 300 Km de diamètre .
Isolons alors le globe de couleur bleue, et agrandissons le, quelque peu :
Pas besoin de redire ici, que c'est cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant ci-dessus, qui nous interpelle assurément, et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).
Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA, a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle Sud de Titan.....
Nous avons longtemps cherché, dans de nombreuses revues et de multiples journaux, les tenants et les aboutissants de cette affaire de disque brillant au Pôle sud de Titan. Très peu d'explications logiques, nous ont été fournies. C'est ainsi que sur le site :
, On voit cette image :
Le 3 juillet 2004 : La surface de Titan
"La sonde Cassini a pu prendre une photographie de la surface de Titan. Titan étant recouvert d’une atmosphère opaque (photo ci dessus à gauche) cette image a dû être réalisée par le spectromètre infrarouge de la sonde. Comme tous les spectromètre il lui est impossible de prendre directement une image de la surface, un spectromètre ne photographiant qu’une très étroite bande. Toutefois il est possible de modifier la position de cette bande affin de "scanner" l’objet à observer et donc prendre une image où on voit Titan avec une résolution verticale de 28 pixels (photo de droite). Selon les interprétations actuelles les zones jaunes sont des mers d’hydrocarbures, le vert de la glace, un nuage de méthane blanc est visible en bas."
Mais voyons aussi, ce que nous dit la revue "Science&vie" n° 1043 d'Août 2004, comme tentative d'explication de ce disque brillant de Titan.
Vous constatez donc que l'on qualifie, ici encore, avec une assurance notoire, ce disque superbement brillant de Titan de "champ de nuages de méthane", ce qui diffère peu "du petit nuage blanc", que l'on avait soi-disant repéré, sur Neptune en Août 1989, et qui brillait encore plus. (voir plus haut).
Encore cette affaire de méthane dont la brillance nous interpelle grandement. Décidément ces scientifiques ont de la suite dans les idées, et savent très bien se passer le mot, dès que possible.
Notons cependant l'article d'une scientifique astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, paru dans le journal "Le Monde" du 10/11/04, et article dont nous avons placé intégralement les importants éléments à :
De cet article précédent, nous allons extraire surtout la phrase
suivante, qui a particulièrement retenu notre attention :
" Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs." "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis. "
Voilà au moins le vocable "Vortex", qui apparaît ici. Nous notons donc bien, que Mme Athéna Coustenis, dit qu'elle ne sait pas, comment qualifier cette sorte de nuage ( elle évite cependant de parler de sa superbe brillance), que l'on aperçoit au Pôle Sud de Titan, tel qu'il se présentait à l'époque selon l'image bleu, que nous replaçons volontairement ici, et dont le diamètre ,nous l'on dit plus haut, tourne selon nos modestes calculs, autour de 300 km :
Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte vortex nuageux" tournant au pôle sud de la planète, et vortex, qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. A vous de juger tout cela ...
Mais ce n'est pas tout, d'autres scientifiques avouent aussi, leur incompréhension du phénomène :
Ainsi sur le site suivant, qui hélas a disparu du Web ( merci d'avance à tout internaute qui en retrouvera le nouvel url) :
on trouvait alors en 2004 , cette image :
Et aussi, ces propos surprenants : "Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith et al. (1998) a détecté est en fait un évènement similaire à celui-là.
Tout est ici, très clair : On ne sait pas du tout de quoi il s'agit...
Notez bien cependant, la présence du vocable "Griffith", que nous avons déjà évoqué plus haut ..
Cette luminosité inexplicable d'un disque au Pôle sud de Titan, nous place bien bien ici dans le cas où la science "interprète à la va vite,
un fait à défaut d'en connaître sa structure véritable"
Mais, les zélés détracteurs irréductibles, vous diront, que tout cela est trop particulier ici, et nous devons le classer, dans la catégorie des illusions d'optiques, si chères à leurs habituelles explications...
Ce que ces détracteurs oublient, c'est qu'ARTivision, a toujours d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires :
En effet, le Webmaster, de ce site, a eu l'idée un jour, de se demander, si, au Pôle Nord de Titan, il existe aussi un tel disque lumineux ?
Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du Pôle Nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si l'on tenait à cacher quelque chose ou encore, que cela pourrait recevoir plus tard, une explication toute naturelle.
Mais, le 14 Janvier 2010, Super Hasard, est venu une fois de plus à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :
, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger
l'ascenseur à côté de GO jusqu'à
Titan) , et alors on y découvre dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image :
, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.
On peut retrouver aussi bien sûr cette photo de Titan, sur le site officiel de la NASA :
tel que l'on trouve ce montage :
Vous avez bien lu, nous l'espérons la mention "The cassini spacecraft will look for a glint of sun light reflecting off a methane lake", que nous traduirons grosso modo "la sonde Cassini regardera un reflet d'un rayon du soleil qui s'est réfléchi sur la surface d'un lac de méthane".
Comme vous le voyez, c'est de la NASA elle-même, qu'est sortie cette fumiste explication, que bien d'autres revues ont reproduite, sans même voir qu'elle était nulle et non avenue...
Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :
Puis, voici l'image de cet entrefilet :
Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (Les couleurs sont de nous bien sûr):
TITAN.
Un point lumineux récurrent.
La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.
Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.
Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?
Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...
Fin de l'entrefilet.
Cette explication officielle, ne tient donc pas du tout debout, pour ce disque polaire nord si brillant ..., surtout si l'on sait, d'après les dires des savants officiels. que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit. En effet nous vous invitons alors à découvrir en page 44, ce qui est écrit dans le n° Hors Série de Mars 2008 de la revue Science-Vie que voici :
, et qui confirme ce qui précède :
Vous avez bien noté, le passage souligné en rouge, qui précise que le flux de lumière est 900 fois plus faible qu'au voisinage de la Terre. Et pourtant ce flux de lumière, très affaibli, est arrivé tout de même, à nous faire une superbe réflexion sur un hypothétique lac inconnu de Titan .
On a du mal n'est-ce-pas, à ne pas se tordre de rire... à la lecture de cette aberrante incongruité.
Mais il existe aussi un fait incontournable qui démolit totalement la thèse délirante, des partisans du disque lumineux nord de Titan, venant d'une réflexion parasite sur d'éventuels lacs inconnus de méthane et consorts, miraculeusement bien placés sur la surface de Titan.
En effet, dès le 5/07/10, nous avons eu le bénéfice, de découvrir dans une Grande Surface de notre environnement, la revue de vulgarisation scientifique, Science Magazine n° 26 des mois de Mai-Juin-juillet 2010 :
et, notre attention a été encore bien sûr, très retenue , par l'image inouie en question, du Pôle Nord de Titan :
Extrayons-en alors de cette revue quelques titres et paragraphes significatifs que nous transmet un responsable des programmes d'explorations du Système solaire du CNES:
Et, mettons bien en relief ceci :
Le fait important à souligner ici est que Titan, a une atmosphère environ, 12 fois plus épaisse, que la nôtre (1200 km au lieu de 100 km).
Dans les images précédentes, nous avons souligné en rouge les termes qui nous interpellent directement. Ainsi donc, à près de 1,5 milliard de Km, les rayons faiblards de notre Soleil, arrivent à percer sans problème, une atmosphère environ 12 fois plus épaisse, que la nôtre et ensuite, ces rayons ( dont l'incidence d'arrivée joue un très grand rôle, presque magique) vont aller se refléter sur les zones sombres lisses (où le radar lui-même n'a pas d'écho), et retraverser cette épaisse atmosphère très dense pour donner ensuite cette source ponctuelle très lumineuse au Pôle Nord de Titan. Même si l'on imaginait que les lacs de méthane en question se trouvaient par magie, sous la forme d'un plasma chauffé à blanc, par une énergie inconnue et providentielle, cela ne marcherait pas à cause de l'épaisseur de l'atmosphère de Titan.
Donc toute cette explication officielle, ne tient absolument pas du tout debout, d'autant plus que ce spécialiste des programmes d'exploration du Système solaire du CNES, évite soigneusement de comparer cette situation lumineuse insolite du Pôle Nord de Titan, avec celle vue déjà plus haut, encore plus extraordinaire du Pôle Sud de cet astre.
Que celui qui a bien lu tout cela, en tire le bienfait illuminatoire qui s'impose, et surtout le désir latent d'en savoir plus.
Mais ce 20/04/2016, disons qu'il faut dans cette affaire de disques brillants aux Poles de Titan, et de bien d'autres astres de notre Système Solaire, est une affaire dont
le niveau du secret des gouvernements est au-dessus de tous les autres que l'on pourrait imaginer, et donc tout est fait, pour nous cacher au plus haut niveau, la Vérité sur cette affaire qui concerne, cela va de soi, l'Humanité entière.
En voulez-vous une preuve flagrante ?
Le 21/09/2012, nous avons eu l'heureuse opportunité de découvrir dans une Grande Surface voisine de chez nous, le N° 508, de la revue d'astronomie "Ciel&Espace" de Sept. 2012, donc voici la couverture :
et en feuilletant ce fascicule, nous sommes tombés en arrêt, devant cette image en page 55 :
Mais, nous avons déjà parlé plus haut, de cette ridicule explication,
Cependant à la même page 55 de cette revue, on trouve ceci :
Nous découvrons alors dans cette déclaration concernant la sonde Cassini-Huygens qu'elle est prévue " pour durer 4 ans, et que sa mission devrait se poursuivre jusqu'en Septembre 2017. Et elle aura alors, dit-on effectué 127 survols de Titan, scannant toute la surface en radar et en infrarouge" .
Si nous calculons toute cette affaire en jours de l'année, nous voyons qu'en 2004 à partir du 3 juillet 2004 compris, jusqu'en fin 2004, cela fera 182 jours. Puis en comptant les années bissextiles de 2005 jusqu'en fin 2016, cela fera 4383 jours, et en ajoutant les 253 jours de Janvier 2017 à fin Septembre 2017, on arrive au total de 4818 jours, correspondant à ces 127 vols de Titan. Mais du 3 juillet 2004, à aujourdhui 20 Avril 2017, on trouve 4310 jours . Un calcul élémentaire, tel que (4310 x 127) / 4818, donne environ : 113,609... que nous arrondissons, vite fait à 114 rotations de Cassini autour de Titan, jusqu'à ce jour...
. On s'étonne donc alors franchement, que dans ces 114 survols, déjà effectués, qu'aucune autre photo, du superbe vortex sud de Titan, n'est apparue dans les sites de la NASA, et dans les colonnes de la Presse spécialisée, et il en est de même bien sûr pour la très insolite photo du Pôle Nord, de cet astre, justement vue plus haut...
Que sont donc devenus tous ces autres clichés fantastiques des pôles de Titan, qui, on l'a vu, nous interpellent au plus haut point ?
A vous de juger, une fois de plus, ces anomalies notoires et saugrenues ...
Certains internautes nous disent alors : " Et la planète Vénus, vous semblez l'avoir mise de côté "...
Voici alors ce que nous pouvons en dire :
A la page 129 de son livre en français :
Rappelons pour les puristes, que cet ouvrage (de gauche), est une modeste traduction, de l'ouvrage américain que Raymond Bernard a publié dès 1964, et ouvrage (que nous avons aussi la très grande chance de possèder) :"THE HOLLOW EARTH", the greatest geographical discovery in history, chez l'éditeur FIELDCREST aux USA :
R.Bernard
nous écrit: "Si les pôles
de Mars sont vraiment couverts de glace ou de neige, comment expliquer
qu'il en soit de même pour ceux de Vénus qui est une planète plus
chaude ? De même, pourquoi les prétendues calottes glaciaires de Vénus ne décroissent-elles pas à l'exemple de celles de Mars ?
"Même
aux pôles de Vénus, il se produit des phénomènes que l'on ne peut
expliquer. Richard
Baum, président et
membre de la British Astronomical Association, raconte qu'il a observé des
dépressions et des élévations dans les régions polaires .
C'est un phénomène qui a déjà été observé au cours des siècles
passés. Bien que l'on accepte l'observation de "collines"
dans les régions polaires, on a beaucoup de mal à accepter les dépressions,
car elles font penser aux images des
défenseurs de la théorie de la Terre creuse.
Malgré tout, en 1970,
R. Baum
a insisté pour faire remarquer que des astronomes anglais et américains
avaient bien observé des dépressions à un des pôles de Vénus. Ces
observations laissent à penser que l'atmosphère de Vénus monte et
descend au-dessus des pôles. Il semble que l'atmosphère soit
happée et ensuite rejetée par l'ouverture polaire,
comme conséquence des différences de température par exemple.Jan
Lamprecht pense avoir trouvé pour cette raison une explication à la "super-rotation"
de l'atmosphère vénusienne. Celle-ci tourne en effet plus
vite que la planète,
ce qui ne donne aucun sens, sauf si on part du fait que l'atmosphère
est aspirée vers
l'intérieur de la planète et ensuite rejetée.
Ceci pourrait être une explication plausible. Au cours d'une éruption
solaire, la station orbitale Skylab est sortie de son orbite. Les
scientifiques qui devaient trouver une explication à ce phénomène ont
pensé que l'éruption solaire pourrait avoir dilaté l'atmosphère
terrestre. Ou alors, l'atmosphère a-t-elle été poussée vers le haut,
parce que des masses d'air s'étaient
échappées par une ouverture au pôle ?
Est-il possible que l'atmosphère terrestre "respire" comme
celle de Vénus ou de Mercure ? Sur la face sombre de Vénus, on a
observé à plusieurs reprises des
lumières rondes d'un diamètre de plusieurs centaines de kilomètres.
Ces lumières rayonnent à travers l'atmosphère très dense de la planète
et ne peuvent provenir que d'une source interne à la planète. Nous
avons déjà parlé des soleils qui se trouvent à l'intérieur de
chaque planète. Il semble que ces
lumières sur Vénus viennent de ce soleil intérieur,
qui brille à travers
les ouvertures des pôles
et qui traverse l'épaisse couche de nuages. Parfois la face sombre de Vénus
est complètement éclairée. Des études spectroscopiques ont montré
que la lumière est produite par des atomes d'oxygène qui disparaissent
aussi rapidement qu' ils sont apparus. L'oxygène est-il aspiré à
l'intérieur de Vénus et rejeté par les vents circulaires ? De même,
on a observé de temps en temps une
luminosité inhabituelle dans les régions polaires, que l'on ne peut
expliquer . Comment ces régions pourraient-elles être lumineuses
alors que le soleil y brille à peine
? Des photos de satellite montrent le même phénomène sur Mars,
Jupiter, Mercure et d'autres planètes. Il n'y a qu'une seule
explication logique les régions polaires sont lumineuses à cause du
soleil intérieur qui y transparaît. "
Nous ne ferons aucun commentaire sur ce texte, n'ayant presque pas de photos sur cette affaire des pôles
de Vénus.
Voici cependant une image découvert en fin Février 2001, grâce à la perspicacité de notre ami Saüquere
Roch sur le site :
Nous aimerions bien trouver une explication à cette étrange luminosité centrale et à ces tourbillons en forme de Vortex.
Mais,
c'est encore grâce à l'ingénieuse perspicacité de
l'ami Saüquere Roch, que
nous avons enfin pu mettre la main, le
28 Mars 2001, sur
ces dernières photos ci-dessus représentant les phases de Vénus
et où l'on voit parfaitement, une
luminosité notoire et caractérisée
apparaître aux pôles de la planète.
Il y a
t-il, comme, on le
prétend pour Mars, une calotte
polaire glacée, aux pôles
de Vénus...? Nous attendons vos suggestions avec ferveur...
Mais toujours pour les puristes, qui aiment remonter aux sources d'une information, voici un petit plus, concernant Mars :
Voyons maintenant en page 80 bis, du livre de Gardner :
, le montage mosaïque, réalisé dès la fin de Sept 1902 , par l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :
Traduisons grosso modo, le texte de l'image : " Vues de Mars prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."
Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :
Pour mieux encore illustrer tout cela, voici quelques autres images de Mars, déjà présentées sur notre site :
Pas mal, n'est-ce pas, ces "couvre-chefs lumineux", bien en relief, au dessus de la planète !!!
Mais d'autre part, nous avons reçu, il y a bien longtemps, de notre ami M. Hertzog, si souvent évoqué dans nos articles, cette étrange photo de Mars, qui ressemble plutôt, à un tableau d'artiste, mais qui montre aussi, cependant, une calotte polaire très brillante :
Cette photo provenait à l'époque du site :
Nous avons écrit au site : http://www.astronomyforum.net/sendmessage.php, pour savoir quel télescope avait pris cette photo et si elle avait été retouchée par la suite ? Hélas nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse. Peut-être qu'un intrépide internaute, aura plus de chance que nous ! Courage donc....
Cependant, nous constatons que cette photo, est étrangement ressemblante, à celle qui suit, et qui est placée , elle, dès 1920, en page 68 bis du fameux livre (déjà présenté plus haut), de Marshall B. Gardner. (Nous avons mis en français le texte qui apparaissait sous la photo).
Quant à prendre en considération, les documents de la NASA, où figurent certaines images, des pôles de Mars, comme par exemple, celles-ci :
, c'est du temps totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile actuellement pour la NASA, de trafiquer des photos à sa convenance.
Nous avons même, la preuve que cet organisme, considère le commun des mortels, comme un mouton innocent, à qui on peut faire avaler n'importe quelle couleuvre mal dégrossie.
Faisons justement à ce sujet, une autre digression, qui nous montre que l'on nous cache, par exemple, aussi, la Vérité, au sujet de la Lune :
En effet, voilà Messieurs les puristes, ce que noir
sur blanc, vous trouverez de très significatif, dans notre incontournable article :
Début de citation :
" Reste à fouiller, Messieurs les psychiatres, psychologues, sociologues, philosophes et consorts zélés modernes, ce que Alfred Nahon sous-entend par son "ON SAIT", vu plus haut . Déjà dans le même n° 5 du 28 Mai 1955, dont il est question ici, Alfred Nahon, nous avait subrepticement glissé en page 3, cet entrefilet remarquable :
Pour Alfred Nahon, c'était déjà une grande avancée, qui sous-entend là, que les soucoupes volantes, pouvaient venir de la Lune.
Mais, le site ARTivision, a bien d'autres moyens, qui n'existaient pas à l'époque, pour étayer cette thèse :
En effet, sur une vidéo visible sur le site :
On voit alors parfaitement ces structures insolites, que les détracteurs zélés en question qualifieront vite fait d'illusion d'optique sur un relief tout à fait naturel...
Et il y a aussi ceci, venant du site http://www.Banlin.fr, et photo qui fut projetée lors d'une la conférence à Barcelone par Robert DEAN et alors les médias complices se sont pourtant lamentablement tus
Mais ce qui nous réconforte ici, est de savoir que ce grand chercheur que fut Alfred Nahon, a eu le temps de découvrir, avant son décès en 1990, l'ouvrage paru 19 ans plus tard de l'écrivain Patrice Gaston dans son livre "Disparitions Mystérieuses" paru chez R. Laffont en Janv. 1974 dans la prestigieuse collection "Les énigmes de L'univers" :
Et voici, un bref aperçu de la page 232 :
" Les savants n'ignorent pas que la Lune est habitée, qu'une activité fantastique s'y déroule depuis des lustres, que parmi les milliers de photos qui ont été prises de son sol, il en est qui sont "la" preuve d'une d'une vie sur le satellite. Mais la NASA se tait. Sans doute attend-elle qu'on lui donne le feu vert pour faire - publiquement - des révélations. Ainsi , la conquête spatiale prendra-t-elle sa véritable dimension...."
Ce n'est pas, à notre avis, la conquête spatiale qui aurait pris une autre dimension si la NASA avait parlé, mais c'est toute l'humanité qui aurait pris un autre visage... sans doute plus fraternel et certains conflits à revendications militaires commerciaux et souvent religieux, n'auraient plus de raison d'être.
Bravo donc aussi à l'Editeur R. LAFFONT, d'avoir osé publier en 74, (cela fait déjà 42 ans, en 2016), une déclaration aussi fracassante, qui pourtant aurait dû inspirer davantage les détractreurs psycho-sociaux mentionnés plus haut, qui continuent à fourrer la tête sous le sable, pour ne pas nuire, à leur petit confort intellecturel et social, surtout qu'ils ont toujours la possibilité d'avoir en mains le livre de d'Alfred Nahon présenté déjà plus haut :
Très surprenant tout cela, n'est-ce pas !!! "
Fin de citation .
Allons plus loin en effet, car Monsieur John M. PRYTZ, s'il était un chercheur curieux, aurait pu aussi se demander à l'époque ( avant 1970, bien sûr), pourquoi, la NASA, n' a-t-elle pas envoyé plutôt (dans les missions Apollo 11 et 12, qui ont soi-disant, exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible, des traces de plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ 5m et 25m de large, pesant des centaines de tonnes, et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ?
En effet, en Août 1967, que la sonde américaine "Lunar orbiter V", a photographié (Ref. NASA 67-H-1135), nous l'avons dit, à l'intérieur du cratère Vitello, sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs, et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui-même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes), deux pistes d'inégales longueurs, laissées par deux objets, brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours. Dans l'image de droite, nous avons matérialisé en blanc les deux trajectoires :
Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur, pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m. Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m) alors que la Lune (nous dit-on), n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?
D'ailleurs on constate que le fond à gauche de ce cratère est parfaitement jonché de structures blanchâtres ayant des formes géométriques remarquables surprenantes, qu'un meilleur grossissement fait par des spécialistes (ce que nous ne sommes pas) devrait mettre très bien en évidence.
Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?
Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck très connue, mais qui pèse 6 fois moins sur la Lune), a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale ( environ 25 m), et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?
Notons l'explication pour ce cas de la revue Science et Vie de Mars 1968 n° 606 page 71 : "Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".
Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but , selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "ait glissé", juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière ? Il n'y a pas d'atmosphère dit-on sur la Lune pour le tenir en suspension. Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus que ce bloc avait bougé ? Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé", en même temps, de deux endroits différents...! et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul. Voir l'image 2 ci-dessous:
On est aussi troublé par le fait que les infographistes qualifiés, ne se sont pas du tout bousculés, pour nous mettre cette stucture insolite en 3 D, en dépit des moyens toujours plus modernes qu'ils ont à leur disposition ces temps-ci... A vous de juger, documents à l'appui...
Fin de la digression.
Mais ce 21/04/2016, avant
de plonger dans le concept n° 10 de Monsieur John M. PRYTZ, disons que ce monsieur aurait pu avoir aussi la grande chance de tomber sur l'ouvrage publié en 1969 "The Moon" de l'astronome Mr Zdenek Kopal chez l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, (déjà présenté plus haut) , où l'on découvre la photo très rare suivante :
Cette photo a aussi, été présentée dès 1973, par notre ami (hélas décédé en 1990) Alfred NAHON, dans son remarquable ouvrage "La Lune et ses défis à la Science", paru aux Editions Mont-Blanc.
On y voit clairement dans le cercle indiqué un engin indiscutablement non naturel, entrain de "raboter" la partie droite du cratère Copernic. Il va sans dire que cet engin peut parfaitement être sans roues, et antigravitationnel, c'est-a-dire qu'il utilise des énergies inconnues de nous, pour extraire du sol du cratère, des minéraux utiles aux occupants. La poussière lunaire, peut donc s'y coller progressivement, et surtout s'y détacher en fonction des directions rectilignes empruntées pour le transport de ces minéraux. Cela est à l'origine de la blancheur du cratère, et des fameuses rayures concentriques blanchâtres, que l'on découvre autour de ces cratères d'exploitation minières, comme le cratère Tycho, avec ses 85 km de diamètre
Si vous avez une meilleure explication du phénomène, soyez assez aimable de nous l'envoyer, afin que nous puissions la publier, dès réception....
N'empêche, qu'il faut vraiment, vouloir imiter l'autruche, pour dire, que ceci qui suit (et déjà présenté plus haut) , est tout à fait naturel :
Si l'on sait que ce cratère Copernic mesure environ 93 km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur, près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à : 12 km.
Comment donc, il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues et cela bien avant 1973, date de publication du livre d'Alfred NAHON ?
Bien sûr, aucune autre photo moderne de Copernic, ne nous présente ce super engin excavateur, et nous formulons ici, le grand espoir qu'un courageux infographiste, pourra enfin, nous mettre en 3 D, cette super-structure, tout à fait hors normes.
Pour les puristes, et sur le site :
,voici où se situe, sur la Lune, le cratère Copernic :
Venons en maintenant ce 21 Avril 2016, au dixième concept élaboré, par le sieur John M. PRYTZ pour nier, on le sait, la Théorie de la Terre Creuse, et voici donc, notre Dixième focus , qui correspond à cela :
Notre modeste traduction donne :
" Le pôle Sud et son environnement de 5 300 000 milles carrés ( 13 727 000 km²), à l'inverse de l'Arctique, n'est pas un océan, mais une terre rigide, couverte cependant d'une calotte de glace de plusieurs milliers de pieds, (plusieurs milliers de mètres) d'épaisseur. Cette zone a été explorée, par air et à pied, particulièrement durant l'expédition de la IGY (Année géophysique Internationnale, et pas ICY à cause d'une faute de frappe) de 1957 à 1958. Naturellement, aucune ouverture Polaire n'a été détectée. "
Pour illustrer d'abord, cette affaire de IGY, disons que c'est dans la revue Popular Mecanics de Février 1956, dont voici le haut de la couverture :
, qu'à la page 122, que l'Amiral Byrd, nous explique, ce que sera l'Année Géophysique Internationale en anglais IGY, qui devrait s'étendre de 1957 à 1958 :
Comme on le voit, les savants auront du pain sur la planche, et devront même envisager de lancer un satellite spatial (le premier viendra en effet le 4 Oct 1957 par l'URSS), et aussi d'étudier entre autres choses les aurores polaires...
Pour ensuite, compléter, le propos de ce Monsieur PRYTZ, présentons maintenant, cet admirable croquis du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :
où, l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à la hauteur extraordinaire de 4200 m .
Voici deux autres photos mosaïques, (qu'apprécierait assurément Mr PRYTZ) , des deux pôles que l'on doit à la discrétion de l'agence Planetary visions
La légende peu lisible de cette photo est alors : " Les Zones gelées proviennent ici d'une mosaïque d'images prises par le satellite militaire américain DMSP, au printemps arctique et au printemps antarctique. L'évolution de la banquise (mer gelée), est sans incidence sur le niveau de la mer. Seules les glaces reposant sur la terre ferme en ont une. Aux dernières nouvelles, les glaciers d'Alaska, qu'on aperçoit joueraient actuellement un rôle plus important que le Groenland ou l'Antarctique."
Mais mieux encore, ce Mr PRYTZ, apprécierait certainement (s'il était encore vivant), sur le site
, cette image de l'Antarctique :
Mais, il resterait plutôt muet de stupéfaction, devant ces 4 autres images de l'Antarctique :
Le Mardi 11 Mai 2010, nous avons eu l'avantage de recevoir de l'internaute Didier B...., la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Didier B........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Tuesday, May 11, 2010 5:47 PM
Subject: Envoi d'un message :Une photo satellite du Pôle Sud : n°P-019-0049-5054.jpg
Bonjour Fred ,
Voici une photo satellite du pôle sud qui ne manquera pas d'intéresser tes lecteurs.
En effet, vers le centre du continent antarctique, on distingue nettement une forme circulaire évoquant un cratere ou bien un trou vers le centre de la Terre. Je ne peux helas pas te donner la source, qui est asiatique d'apres les caracteres incrits sur l'image.
Merci pour ton travail et bonne continuation.
Didier B........
Agrandissons donc ce disque insolite :
Pour ARTivision, il ne s'agit pas bien sûr, d'un cratère gigantesque, ou d'un trou tout aussi immense, mais simplement d'une pastille de camouflage, qui cache au commun des mortels, des lumières qui lui seraient inexplicables.
Mais sur le site déjà présenté plus haut :
,on découvre aussi, cette image de l'Arctique, avec un disque noir qui surprend :
Et le 16/08/2009, il y avait aussi sur ce site ceci :
De nombreux internantes se sont évidemment demandés, la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...
Voici une réponse :
Et en voici, une autre, plus académique :
En effet, le 21 Mai 2006, un certain internaute Fabrice C....., nous a interpellés sévèrement pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve : " Eeeeh.. oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de
naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "
Cette assertion péremptoire de l'internaute Fabrice C....., avait été initiée par cette affaire hallucinante, de la photo venant de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046, qui montre sans aucune explication, un superbe disque noir, au centre de l'Antarctique :
Sous le disque noir, on voit cependant parfaitement, fuser clairement tout autour du disque des rayonnements lumineux surprenants".
La légende qui présente cette photo dans le n° en question est simplement: "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"
Il va s'en dire que cette gigantesque pastille noire , n'est pas là, par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le satellite Envisat semble bien avoir, quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit nous (l'avons montré plus haut), des faisceaux très lumineux sous-jacents, tout autour du disque noir.
Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication.
Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), et qu'en plus, on sait aussi qu'aucun satellite déclaré ne passe juste au-dessus des pôles, (le satellite bien connu Spot non plus : voir l'affaire de Jamy Gourmaud, dans notre article: Byrdsuite.html), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)
Mais, cependant, il est à noter que l'internaute Fabrice C......, et le Guihem en question, et bien d'autres inconnus qui se sont gonflés de jubilation, en nous lançant à la figure, cette histoire de la limite de la couverture satellitaire, si évidente pour eux, sont lamentablement restés muets, quand nous avons présenté, dans nos articles, cette photo assurément trafiquée, du pôle nord de Jupiter, extraite du n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992 :
Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle, on voit nettement là encore, fuser des rayonnements lumineux notoires.
Que fait là, cette obscure pastille très géométrique ? Elle n'a rien à voir, ici, bien sûr, avec une limite satellitaire quelconque, n'est-ce pas !!!. Hélas nous n'avons pas reçu, une seule réponse