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Quand ARTivision reçoit le 11 Août 2015 , le n° 69, de la revue américaine, Flying Saucers, de Juin 1970 , où se trouve un article d'un certain John M. PRYTZ, qui nie en 18 points, la Théorie de la Terre Creuse.


    

I Introduction.


       Disons pour commencer, que c'est le 11 Août 2015, de nous avons eu le grand et heureux bénéfice, de recevoir par la Poste, les numéros 68 ; 69 et 70 , de la revue américaine "Flying Saucers" de 1970, et dont le Directeur était à l'époque Raymond Arthur Palmer, dont nous parlerons plus bas. Mais c'est dans le n° 69 de Juin 1970, que nous avons découvert un article très significatif d'un certain Mr John M. PRYTZ, que nous allons étudier ci-dessous :

     Voici donc la revue en question de Juin 1970 :


     Disons d'emblée, que la photo présente un immense trou noir, qui n'est pas du tout le trou polaire, mais cette photo n'est qu' une mosaïque de clichés, pris par le satellite ESSA 7, lors de nombreux passages, dans la région polaire Nord, et où la NASA, a supprimé la partie centrale trop génante.

    Et voici, l'article de Mr John M. PRYTZ, d'il y a 46 ans (en 2016):

  


I I Genèse de l'affaire.


       Cet article d' ARTivision, est donc une réponse point par point, à ce Mr John M. PRYTZ, compte tenu des progrès en matière spatiale, réalisés depuis l'époque. Notons en passant la stricte impartialité , dont a fait preuve le Directeur, déjà nommé plus haut, Raymond Arthur Palmer, de la revue en question, car cet article allait tout à fait à l'encontre des affirmations prônées par sa revue, et en particulier dans son célèbre numéro de Décembre 1959, dont voici la couverture :


       Il nous appartient déjà cependant, de rendre un certain hommage à ce Raymond Arthur Palmer, né le 1er Août 1910, et qui a quitté ce monde, le 15 Août 1977, et qui fut ce pionnier , de l'étude des phénomènes polaires, et étude qui fut négligée par les plus grands chercheurs qui étudiaient l'affaire des soucoupes volantes.


     Cette photo provient du site, qui raconte un peu sa vie :

http://saucerblast.blogspot.com/2010/06/talking-with-mr-ufo-timothy-green.html

      Et, pour bien saisir la portée, de ce qui va suivre, demandons, au novice, qui entre pour la première fois dans ce site ARTivision, de consulter les premiers éléments de notre article du 13/01/2011, placé tel que :

http://www.artivision.fr/docs/FlyingSaucersDec59.html

     Et surtout donc bravo mille fois, à l'internaute, qui a en sa possession la revue de Déc. 1969, désormais historique, et qui deviendra selon nous, sans doute encore plus importante, que le journal L'Aurore du 13 Janvier 1898, qui a publié l' article intitulé "J'accuse", du grand écrivain Émile Zola, pendant la terrible affaire Dreyfus. Voici à nouveau vu son importance la photo de la couverture de cette revue accolée aussi à la photo de la page 8, en négatif du début de l'article qui fait 14 pages, sans compter l'Editorial.

  

     Concernant cette revue exceptionnelle, pour le novice ingénu, il convient aussi ici, de rappeler ce passage de notre article : Byrd.html :

     "Cependant le rédacteur en chef, Ray Palmer, du magazine " Flying Saucers " (soucoupes volantes) fit un article en Déc. 59, sur la " théorie de la Terre Creuse " exprimée dans ce livre, et il se passa quelque chose d'extraordinaire qui prouve encore que cette publication dérangeait certains "conjurés". Quand la camionnette venant de l'imprimerie (avec les milliers de magazines à distribuer aux abonnés), arriva chez l'éditeur , on n'y trouva plus le moindre exemplaire. Elle était vide. L'éditeur téléphona à l'imprimeur pour en savoir la raison. L'imprimeur chercha dans ses papiers, mais ne trouva aucun bordereau prouvant que l'expédition avait été faite. Le tirage de ce n° ayant été payé, l'imprimeur fut prié de remettre les presses en route et de refaire un nouveau tirage. c'est alors que ce dernier s'aperçut que les clichés étaient en si mauvais état qu'un réimpression était impossible et ainsi près de 5 000 abonnés ne reçurent pas leur magazine ce mois de Décembre là. De plus un distributeur qui avait tout de même reçu, 750 exemplaires à vendre fut porté disparu et les 750 exemplaires s'évanouirent avec lui...Cependant, plusieurs mois plus tard, ce n° de Déc. 59, était réimprimé avec d'infinies précautions et envoyé aux abonnés... "

     Voyons maintenant, notre très modeste traduction, de l'introduction du texte, que nous présente ce Monsieur John M. PRYTZ, qui semble être un astronome pointilleux de l'époque, et mille fois merci à l'internaute, qui nous présentera une traduction, plus académique.

     " Des fidèles croyants dans l'existence des ovnis, doivent avoir quelques idées concernant leurs structures, le pourquoi de leur présence ici, qui les fabriquent, et d'où ils viennent ...

     En considérant le dernier point, concernant leur provenance, et en admettant qu'ils sont des concepts artificiels, les seules possibilités qui s'offrent à nous sont : soit leur origine est terrestre, soit elle est extraterrestre. Cela revient à dire que l'origine des ovnis est cosmique... C'est dire qu'il y a une sacré quantité d'endroits d'où ils peuvent venir. cependant nous pouvons déjà diminuer légèrement cette liste en affirmant qu'il y a au moins un endroit d'où ils ne parviennent pas, C'est la Terre.

     Si les ovnis viennent de la Terre alors ils sont fabriqués et conduits par des terriens ou une quelconque théorie terrestre pourra être avancée; Il est unanimement admis par tout le monde les fervants, et les sceptiques et les opposants que les ovnis ne sont pas des des armes ou des équipages secrets de cette nation ou de quelque autre nation que ce soit et cela entraîne l'existence de la théorie de la Terre creuse

     Maintenant la croyance en la la théorie de la Terre creuse , s'est orchestrée durant les dernières années mais pas assez vite pour quelque chose qui est évidemment fausse. il est rare qu'un ecrit concernant les ovnis puisse faire l'objet d' une large et positive déclaration, mais il y a une qui pourrait en être et le devenir c'est la théorie de la terre creuse qui n'est pas seulement improbable comme l'acception de ce terme l'autorise en tant que mot fort et bien choisi selon les circonstances quand il est utilisé selon les circonstances et qu' il s'impose effectivement.

     Il ne s'agit pas de spéculation affirmant que la Terre creuse ne pourrait pas exister, il s'agit de la présentation de faits, expliquant pourquoi la Terre creuse ne peut pas exister. Aucune hypothèse ou sens commun ne pourra être utilisé, mais plutôt des observations de faits précis en astronomie, en géologie, en physique, en océanographie en géographie et en plus, d'autres sortes d'observations peuvent être collectées, ensemble, pour disqualifier entièrement la notion de Terre creuse. Il ne s'agit pas d'une suite d'évidences trop spécifiquement technique en elle-même et qui dépasse la compétence d'une quelconque personne non specialisée, mais il s'agit d' éléments basiques pouvant être trouvés dans des textes issus de grandes écoles et même dans les livres de science générale d'écoles élémentaires. Et là toutes les informations peuvent être comprises et facilement triées, pour répondre naturellement à cet objectif . La théorie de la Terre creuse, peut être analysée selon deux critères : - celui de la terre creuse en elle même et celui des ouvertures polaires.
"


     Le reste du texte sont 18 concepts élaborés par l'auteur, pour nier la Théorie de la Terre creuse.

     D'où notre premier focus :

     " La zone du Pôle Nord est couverte d'eau et est communement appelée l'Océan Arctique. C'est une zone voisine de 9 381498 km 2 et est à une profondeur moyenne de 1330 m . L'Océan Arctique, est le nom qui correspond aux eaux nordiques entourannt les masses continentales des terres contenues dans le Cercle Arctique qui est souvent couvert de blocs de glace; Si il y a avait une ouverture polaire quelconque, l'eau sous l'influence de la force gravitationnelle se précipiterait dans le trou comme l'eau dans l'égout d'un évier. Cependant soit le trou de la terre serait inondé au-delà de sa capacité ou l'eau se precipiterait dans le trou en causant non seulement un gigantesque tourbillon , mais aussi en abaissant le niveau de tous les océans du monde et un tel abaissement n'a jamais été constaté. "

     Pas mal le concept, n'est-ce-pas !!! Mais, que pourrait en être, la réplique ? .

      Pour contrer l'argument de Mr John M. PRYTZ, concernant son affaire de tourbillon gigantesque, il suffisait de penser au principe des vases communicants, pour savoir que l'eau à l'intérieur de la Terre, s'équillibrerait vite, avec celle de l'extérieur, comme cela se passe simplement dans un tude à essai en forme de U (voir ci-contre), quand on y verse de l'eau à une extrémité. Au bout d'un certain temps, le niveau devient le même, dans les deux branches du tube à essai, en question.

     Il s'en suit que les masses d'eau sont plaquées sur le sol extérieur, comme sur le sol intérieur, à cause de la pesanteur qui agit des deux côtés.

     Donc, même s'il y a un certain tourbillon autour du trou (qui n'est pas petit du tout, et certains auteurs pensent qu'il peut atteindre 2300 km de diamêtre ) , à cause des marées, l'équilibre se fera assurément à un moment donné .

      Mais cela est bien expliqué ( et chose inouie, dès 1906), par l'auteur de l'ouvrage surprenant , intitulé THE FANTOME OF THE POLES (fantômes des Pôles) de Williams REED publié par Fiedcrest Publishing Co Inc 210 Fith Avenue New York 10, N.Y. Non traduit hélas en français jusqu'à présent.

 


     En effet, dans cet ouvrage à la page 41, l'auteur William Reed , nous a présenté, un croquis remarquable , qui explique le phénomène de la mer autour de l'ouverture polaire, et en plus , il tente d'expliquer le fonctionnement anormal de la boussole dans l'extrême nord.

    Voici le croquis en question :



     On voit alors que quand l'explorateur arrive au point le plus centré de l'ouverture polaire l'aiguille aimentée se met à la verticale indiquant ainsi que la limite de l'ouverture va être franchie, autrement dit elle vient affleurer avec la vitre de protection de la boussole. Au début l'aiguille se met à s'affoler, puis progressivemment se redresse :

"What made that needle so restlesse? So much so that it caused Greely such unpleaseant emotions?" (Qu'est-ce qui cause une si grande agitation de l'aiguille de la boussole ? A tel point que Greely en a été très affecté émotionnellement)

" When one is entering the curve to the interior of the earth, gravity draws the needle down, while the magnet pulls it up, forcing a conflict; the needle must be true to the north, while gravity is pulling down or south. The result is a restless needle. As soon as gravity shows the stronger, the needle must fall; but wend the magnet is strong enough to overcomme gravity, the needle is pulled in a perpendicular position, or point, to the north..." (Quand on penètre dans la courbure conduisant à l'intérieur de la Terre, la pesanteur attire l'aiguille vers le sol, tandis que la force magnétique la tire vers le haut, en créant un conflit. L'aiguille devrait indiquer le nord tandis que la pesanteur l'attire vers le bas ou le sud. La conséquense en est l'agitation de la l'aiguille. Dès que la pesanteur l'emporte,l'aiguille plonge. Mais dès que le magnétisme est assez puissant pour surpasser la pesanteur, l'aiguille se dresse dans une position verticale ou indique le Nord.)

     Comme tout cela est clair pour Reed, nous espérons qu'il puisse en être de même pour vous! En ce qui nous concerne n'étant spécialiste de ces questions de magnétisme et de gravitation, nous resterons très proche d'une certaine neutralité... en disant : "No comment".

     Mais il faut savoir, que l'on trouve aussi cette affaire d' agitation de la boussole dans l'extrême nord, dans l'ouvrage "The smoky God", tel que

    "Nous avions à peine apaisé notre faim, quand une brise a commencé à gonfler nos voiles inertes et, jetant un coup d'œil à la boussole, nous avons constaté que l'extrémité nord de l'aiguille pointait durement contre le verre en s'y appuyant.
    En réponse à ma surprise, mon père me dit : "j'ai entendu parler de cela auparavant; c'est ce qu'on appelle l'élévation de la pointe nord de l'aiguille."( C'est la pointe bleue qui se collait à la vitre de la boussole, tandis que la pointe blanche plongeait vers le sol: note du Webmaster) "


    Voici pour les puristes, comment cet ouvrage est présenté dans ce même n° de Juin 1970 de la revue Flying Saucers , en question :


      Mais, comme on dit "qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud" , voici aussi en passant, pour le novice, qui aura peut-être du mal à trouver sur le marché, l'ouvrage de William Reed de 1906, quelques observations de ce dernier, concernat les phénomènes polaires , dont on ne parle pas beaucoup, dans les médias qui ont pignon sur rue :

     Bien que les interrogations de Reed, concernant les problèmes polaires, remontent à plus d'un siècle, certaines, nous interpellent encore vivement.

  


    Il va de soi, que nous n'allons pas reprendre en détail, chacune de ces interrogations, mais seulement quelques unes, (certaines ont déjà été évoquées dans notre article Byrd.html).

    Il est cependant utile, selon nous, de préciser que Reed se base pour illustrer ses réponses, sur les déclarations de plusieurs explorateurs, dont voici quelques portraits :



    Les internautes qui veulent en savoir plus, peuvent toujours aller vérifier et compléter ce que nous allons déclarer ici, dans les œuvres d'origine des explorateurs en question.

a) Quand Reed présente son ouvrage.

    A la page 15, Reed nous présente l'introduction suivante dont nous vous traduisons approximativement le début :



" Ce volume n'est pas écrit pour détendre, ceux qui lisent pour se divertir, mais pour établir et prouver aussi loin qu'il en est possible, au moins au-delà de la moyenne ou plus, de puissantes vérités qui cependant sont encore incomprises. Ceci semble relever de la vantardise, mais quand il sera compris, j'espère qu'il ne sera pas considéré comme tel. Car une clef donne accès à toutes ces vérités. Si vous jetez cette clef ou si vous refusez de l'utiliser, elles seront assurément confinées dans les archives de l'inconnaissable, comme elles l'ont été depuis que l'homme habite la terre..."

    Comme vous le voyez, on peut dire que ce Monsieur Reed, prenait très au sérieux son devoir de faire éclater la vérité sur les phénomènes polaires et nous découvrons dans son ouvrage, que déjà, il a plus de 100 ans, pour lui la seule explication à tous les mystères évoqués, se résumait au fait que la Terre était creuse suivant le schéma :



    Il est à noter aussi que sur cette gravure, on n'aperçoit pas la forme d'un soleil central, car à l'époque, Reed n'en avait pas encore conçu la présence.

b) Quand Reed explique pourquoi la Terre est aplatie aux pôles.


     Reed lui, ne parle pas, de force centrifuge ou centripète qui lors de la rotation entraîne un renflement de la Terre à l'équateur et d'un rétrécissement du diamètre polaire, mais simplement, il dit qu'une balle ne peut être sphérique si elle a un trou quelque part, car ce dernier amoindri la rotondité en fonction de sa largeur voir le schéma précédent. Mais Reed précise bien que le fait que la Terre est applatie aux pôles n'est pas suffisant pour démontrer qu'elle est creuse.

Il prend aussi l'exemple de Saturne qui est un monde à l'intérieur d'un autre monde (ses anneaux) et qui est aussi aplatie aux pôles et qui avec ses 75000 miles de diamètre pourrait habriter la terre sans problème.

    Nous n'allons pas trancher ici entre les théories modernes et celle simpliste de Reed, car probablement, elles sont complémentaires, mais à titre d'illustration d'un modèle d'applatissement aux pôles, plaçons ici notre amusante pomme artistique, vue dans Byrd.html.



c) Quand Reed tente d'expliquer l'aurore boréale.


     Pour Reed, l'aurore boréale, déjà à l'époque, n'a rien à voir avec un phénomène électrique ou magnétique, mais provient d'une réflexion sur des nuages ou sur la glace ou sur la neige des manifestations ardentes d'un volcan ou d'un feu de prairie ou de forêts situés sur le bord de la courbure polaire selon le dessin suivant réalisé d'après les déclarations de l'explorateur C.F. HALL.



     Si l'on analyse cette gravure, on voit que le rayons lumineux en éventail, partent tous d'un point central enfoui en bas, derrière de l'horizon, et qu'il ne pourrait s'agir d'un feu de forêt ou d'un volcan en éruption dont les manifestations sont plutôt désordonnées. Reed s'est donc là, trompé manifestement.

     Reed cite ainsi les déscriptions au sujet de l'aurore boréale des explorateurs Bernacchi, Nansen, Hall, Siemens, Mauch, Hooper, Greely, Henry, Brainard, Rice, Ralston, Gardiner, qui tous, se sont extasiés devant la magnificence du spectacle et se sont aussi interrogés sur son origine électrique, magnétique ou pas.

    Tous ces explorateurs se sont aussi en conséquence, posés la question de savoir si le phénomène de l'aurore boréale agissait sur l'aiguille de la boussole. Mais ils en ont déduit, qu'il n'en était rien, et donc que phénomène n'avait rien à voir avec l'électricite et le magnétisme.

     Cependant, il y a cette affaire de "soleil" que certains ont vu...

     Voilà ce que nous en dit Reed concernant l'explorateur Nansen, dont il tire les propos de son ouvrage en deux volumes intitulé "Farthest North".

    Étant donné l'importance des mots utilisés, voici d'abord le texte d'origine suivi de notre modeste traduction :

    


     Traduisons donc ceci en utilisant comme d'habitude des couleurs pour les points importants :

    "Nansen, à la page 394, dit : " Aujourd'hui une autre chose remarquable est arrivée, qui était qu'environ midi nous avons vu le soleil, ou pour être plus correct, une image du soleil, car il ne pouvait qu'être qu'un mirage. Une impression particulière a été produite par la vue de ce feu rayonnant qui brillait juste au-dessus du bord le plus éloigné de la glace. Selon les descriptions enthousiastes données par beaucoup de voyageurs arctiques de la première apparition de ce Dieu de vie après la longue nuit d'hiver, cela laisse une impression de radieuse excitation; mais il n'en fut pas ainsi pour moi. Nous ne nous attendions pas à le voir pendant des jours , si bien que mon sentiment fut plutôt teinté d'amertume , et de déception, car nous avons pensé avoir dérivé beaucoup plus vers le sud. Donc ce fut avec plaisir que j'ai bientôt découvert que cela ne pouvait pas être le soleil lui-même. Le mirage était d'abord un rayon aplati rougeoyant de feu sur l'horizon; puis plus tard il y eu deux bandes, l'une au-dessus de l'autre, séparées par un espace sombre; Et du sommet principal je pouvais voir quatre, ou même cinq , lignes si horizontales directement l'une sur l'autre, toutes d'égale longueur, comme si on avait affaire à un soleil carré, d'un rouge pâle, avec des rayons sombres horizontaux en travers. "

    Nansen s'imagina avoir vu le soleil mais plus tard, il déclara que c'était un mirage. Ce qu'il avait vu ne pouvait en être un. Je pense que, c'était le volcan lui-même, et à ce moment, il le vit pendant une succession de trois jours ou pendant deux jours pleins. Ceci prouve que cela ne pouvait être un mirage dans la mesure où un mirage ne peut durer trois jours. Son navire à simplement dérivé assez loin à l'intérieur de la courbure pour apercevoir une lueur du volcan. Notez qu'il le décrit comme étant placé "juste sur le bord de la glace" en direction du Nord. Le soleil s'il pouvait être visible, le serait dans la direction opposée; il n'est jamais carré mais tours rond. Nansen décrit ce qu'il a vu comme étant un feu de forme carrée et plus tard il dit cela s'apparentait presque à une forme ronde. "Aujourdhui et hier nous avons encore vu le mirage du soleil. Aujourd'hui il était placé haut au-dessus de l'horizon et il semblait presque avoir une forme discoïdale" (page 398)

    Je ne puis imaginer, quel était l'état de ce feu ou comment les yeux de Nansen, pouvait l'avoir vu.
"


    Mais puisons voulez-vous à une autre source...

    Ce que nous allons maintenant vous dévoiler est tiré d'un ouvrage intitulé "Vers le Pôle" de Fridtjof Nansen présenté par Jean-Louis Etienne et publié par les Editions Hoëbeke en 1996 d'après l'ouvrage de 1897, ISBN 2-84230-012-2. C'est ouvrage n'est, en fin de compte, qu'un condensé des deux tomes de l'Édition d'origine.



    Que trouve-t-on là donc au sujet de l'aurore boréale ?

Page 51 le 26 Septembre 1893 Température -14° C. Latitude 78°50'N :" Au sud se lève une grande lueur rougeâtre, cerclée de nuages d'or jaune, flottant sur le fond bleu. En même temps, l'aurore boréale étend sa draperie changeante, tantôt argentée, tantôt jaune, verte ou rouge. À chaque moment, sa forme varie ; un instant, le météore s'étale, un autre il se contracte, puis se déchire en cercles d'argent hérissés de rayons flamboyants, et, finalement, s'éteint subitement comme une mystérieuse apparition. Un instant après, des langues de feu flambent au zénith, et, de l'horizon, monte une raie brillante qui vient se confondre dans la clarté lunaire. Pendant des heures le phénomène lumineux s'irradie en clartés étranges au-dessus du grand désert glacé, laissant une impression de vague et d'inexistence, qui vous fait un instant douter de la réalité. Et le silence est profond, impressionnant comme la symphonie de l'espace. Non, jamais je ne pourrai croire que ce monde puisse finir dans la désolation et dans le néant. Pourquoi, alors. toute cette beauté, s'il n'existe plus aucune créature pour en jouir ?

    Je commence maintenant à deviner ce secret: voici la terre promise qui unit la beauté à la mort. Mais dans quel but ? Ah ! quelle est la destinée finale de toutes ces sphères ? Lisez la réponse, si vous le pouvez, dans ce ciel bleu constellé d'étoiles."


    Que de verve poétique, pour décrire ce phénomène surprenant qu'est l'aurore boréale. Reste à savoir si Paul-Emile Victor apprécirait ? On se souvient en effet qu'il avait qualifié la prose de J.J Hayes d'excès de littérature qui devait entacher son nom et que ses épanchements lyriques, lui ont beaucoup nui dans l'esprit des spécialistes arctiques...

    Venons-en maintenant à cette affaire de soleil bizarre vu par Nansen.

" 16 février 1894 . - Après une dérive dans le sud, les jours précédents, nous voici de nouveau au nord, au 80° 1' ; pourtant, depuis le 12, le vent a toujours soufflé du nord.

    À midi, grand émoi! Après une absence de cent douze jours, le soleil, ou du moins son image réfractée, apparaît à l'horizon. Un long trait de feu brille d'abord, puis deux autres superposés et séparés par un intervalle sombre. Du haut de la mature j'aperçois quatre, puis cinq raies horizontales, toutes d'égale longueur. L'ensemble forme un soleil rectangulaire, d'un rouge pâle, traversé de bandes horizontales sombres. À midi, d'après une observation, l'astre se trouvait encore à 2° 22' au-dessous de l'horizon. Le 20 février seulement, Le soleil devait se trouver au-dessus de l'horizon. Cet événement fut, bien entendu, l'occasion d'une fête.


    Comme vous l'avez constaté ce paragraphe décrit, le soleil bizarre, apparu à midi et dont parle Nansen plus haut. Les deux textes, qui ne sont pas identiques décrivent donc le même épisode. D'un côté, on parle de soleil carré, de l'autre d'un soleil rectangulaire. D'un coté de Dieu de vie et de l'autre aucune mention de ce genre. Je vous laisse le soin de juger de la fidélité de la traduction de 1996. De plus nous n'y avons trouvé aucune mention, du fait que Nansen vit le soleil "pendant une succession de trois jours, ou pendant deux jours pleins" comme il est dit plus haut. A vous de juger !

    Mais analysons tout cela, à la lumière du graphique suivant que nous empruntons avec courtoisie au site :
http://olravet.free.fr/telechargement.html




     On voit alors qu'à l'altitude de 80,1°, le 16 Février l'explorateur de la zone polaire nord, est situé dans la zone de la nuit polaire totale et que par conséquent, il ne pouvait apercevoir notre soleil extérieur. Nansen prétend même l'avoir vu "pendant une succession de trois jours ou pendant deux jours pleins". Il ne pouvait donc s'agir bien que du soleil central et cela, Nansen et Reed l'ignoraient royalement...

d) Quand Reed tente d'expliquer la présence de la mer libre.


     Dans son chapitre XI de 45 pages intitulé "Open water at farthest point north and south" Reed nous explique d'abord : "It is Still claimed by many that the Arctic Ocean is frozen body of water. Although it always contains larges bodies of drift-ice and icebergs, it is not frozen over" que l'on peut traduire par " Beaucoup croient que l'océan article est une étendue d'eau gelée. Pourtant, bien qu'il contienne de grandes masses de glaces flottantes et des icebergs, il n'est en réalité pas gelé partout."

     Reed cite à ce sujet les témoignages pertinents de Hall qui à la page 288 de son livre dit:"Le 23 janvier les deux esquimaux accompagnés par deux marins, arrivèrent au Cape Lupton. Ils déclarèrent la découverte d'une mer libre s'étendant aussi loin que peuvent porter les yeux.."

    Reed cite encore les explorateurs, Dr Bessels, Chester, kane, Mc Gary, Morton, Greely, Dr Pavy,et surtout Nansen qui ont constaté la présence de cette mer libre ou des portions de celle-ci au delà d'une certaine altitude.

    Pour Kane il dit : The following are extract from DR Kane's Work pages 378: "As far as I coud discern, the see was open, a swell coming in from the northward and running crossing, as if with a small eastern set".: "Aussi loin que je pouvais le distinguer, la mer était ouverte et une abondante bordée en provenance du nord, courait de travers comme si elle venait faiblement de l'est"

    Citons encore voulez vous, ceci concernant Nansen: Page 196 de son livre: "c'est un phénomène singulier, - cette eau douce. Nous avions à présent une meilleure opportunité pour étudier cela, tel que nous le désirions . Ce phénomène se passe quand une couche superficielle d'eau douce surnage sur l'eau de mer salée et cette eau douce glisse avec le bateau sur la mer plus lourde du dessous comme si cette mer constituait une couche fixe. La différence entre ces deux couches liquides était dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l'eau potable à la surface, l'eau nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines était si salée qu'elle ne pouvait être employée pour la chaudière. "

     Nous ne pouvons hélas vous révéler tous les détails de tout cela, mais souhaitons vivement qu'un Editeur entreprenant puisse faire traduire rapidement cet ouvrage clef.

     Mais voyons cependant ce que l'on en dit dans l'ouvrage condensé de Nansen de 1996 :

Page 138: le 22 Mars 1895 : " Avant de camper, nous traversons un large bassin, pareil à un lac inclus dans la banquise; La glace qui le recouvre est très mince, par la suite de date récente. la formation d'une nappe d'eau en cette saison et cette latitude est absolument extraordinaire"

    Page 149 Le 28 Avril : " Quel n'est pas notre étonnement de rencontrer un large bassin d'eau libre! Pendant que nous le suivons, à la recherche d'un passage, tout à coup les deux bords se rapprochent et se joignent avec un fracas terrible. Sous la violence du choc, la glace se dresse; d'enormes blocs roulent; tout craque et mugit..."

     On note bien sûr, l'étonnement de Nansen à la découverte d'une nappe d'eau insolite.

Page 152: Le 16 Mai par 83°36'de lat Nord et 59°55' E : " Aujourd'hui encore, quatre abominables fissures. La dernière forme un véritable lac, une polynie, suivant l'expression russe passée dans le vocabulaire arctique. La nappe d'eau est couverte de jeune glace, trop faible pour porter, et en même temps trop résistante pour y lancer les kayaks. À perte de vue s'étend dans l'ouest ce large chenal absolument infranchissable. Pour traverser cet obstacle, nous n'avons pas le choix des moyens ; il faut ou suivre la polynie vers l'ouest, jusqu'à ce que nous ayons trouvé un passage - ce qui nous jette hors de notre route -, ou bien revenir en arrière et chercher dans l'est à contourner cette ouverture. Je me décide pour la première alternative. Bientôt, heureusement, nous découvrons en travers du canal une plaque de glace assez solide ; immédiatement nous y poussons les chiens. Finalement ce large fossé, devant lequel nous craignions de perdre plusieurs jours, est rapidement franchi. Notre satisfaction devait être de courte durée. À quelque distance de là une seconde polynie ! Pour aujourd'hui c'est décidément trop et je prends le parti de camper. "

     Page 91: On peut aussi lire "L'augmentation des glaçons pendant l'été me sembla tout d'abord fort extraordinaire. Par suite des diverses ablations que leur tranche superficielle éprouvait chaque jour et dont la somme pouvait être évaluée à plusieurs centimètres, leur volume aurait dû décroître. Des études attentives me révélèrent la cause de cette anomalie. L'eau douce provenant de la fusion de la neige formait, à la surface de la mer, une nappe d'environ 3 mètres, et, au contact de l'eau salée beaucoup plus froide, subissait un abaissement de température et même une congélation. C'est cette couche de glace d'eau douce qui, en s'agglutinant à la partie immergée des floe, augmentait leur épaisseur".

    -Vous avez bien noté que c'est, d'après Nansen, la fonte de la neige qui est responsable d'une nappe d'eau douce de près de 3 métres d'épaiseur. Pas mal comme phénomène n'est-ce pas? De là à ce que Nansen s'imagine que les icebergs viennent aussi de cette nappe d'eau, il n'y a qu'un pas... (Nous savons d'ailleurs que pour Reed, les icebergs sont formés par un fleuve venant de l'intérieur de la Terre et fleuve qui gèle carrément à sa sortie de l'ouverture polaire, pour se disloquer par la suite. C'est d'ailleurs pour cela, nous aussi dit Reed, que ces icebergs sont essentiellement formés d'eau douce.)

     Il y a aussi page 175, : Le 27 Juin: " En vue de notre prochain départ, nous préparons du pemmican avec les phoques que nous avons tués. Près de notre campement, Johansen découvre une petite nappe d'eau douce. Désormais nous n'aurons plus besoin de faire fondre de la glace. C'est la première eau de bonne qualité que nous ayons trouvée."

     Rendons cependant grâce à Nansen, qui est sans doute le premier explorateur, qui a mesuré la profondeur du bassin polaire nord, profondeur dont nous avons parlé à Byrd.html dans notre prolongement révélateur du 21/03/01.

     Voici ce qu'en dit notre ouvrage de 1996 : " Pendant l'été, nous poursuivîmes nos études scientifiques. Durant l'hiver, nous avions fait une ligne de 4000 à 5000 metres ; avec cet engin nous réussîmes à atteindre le fond de l'océan sur lequel nous dérivions. La profondeur varait de 3300 à 3900 mètres : une intéressante découverte qui renversait toutes les idées reçus sur la nature du bassin polaire."

    Peut-être que Nansen s'est posé alors la question : "Mais d'où vient donc toute cette eau ?"

    Terminons cette affaire de mer libre par une autre déclaration de Nansen, que nous extrayons cette fois de l'ouvrage The Smoky God (voir notre article à ce sujet) qui nous dit que l' explorateur Nansen a écrit dans la page 288 de son livre: " Je n'ai jamais vogué de manière si splendide. Vers nord, résolument en direction du nord, avec un bon vent, aussi rapidement que le flot et la voile peuvent nous faire avancer, une mer libre , mille après mille, période d'observation après période d'observation, de ces régions inconnues, toujours plus claires et plus libres de glace, on pourrait presque dire : " combien de temps cela durera-t-il ?" L'œil fixe toujours la direction du nord comme on arpente un pont. Il regarde l'avenir. Mais il y a toujours le même ciel assombri vers l'avant et qui signifie la présence de la mer libre."

    Il va s'en dire donc que les deux tomes de l'ouvrage de Nansen "Farthest North", mériteraient aussi d'être traduits dans leur intégralité sans occulter le moindre détail.

e) Quand Reed tente d'expliquer pourquoi il fait plus chaud près des pôles et que l'on y rencontre tant d'animaux ?


     Dans son chapitre XII de 20 pages intitulé "Why it is warmer near the poles " "Pourquoi fait-il plus chaud près des pôles" : Reed nous explique d'abord : " One of the principal proofs that the earth is hollow, is that it is warmer near the poles. If this be so, to what are we to attribute the heat? Nothing, however has been found to produce heat near the poles to make it warmer", que nous traduisons approximativement par : "Une des principales preuves concernant la terre creuse est qu'il fait plus chaud quand on s'approche des pôles. S'il en est ainsi, à quoi peut-on attribuer cette chaleur ? Rien cependant n'a pu être évoqué pour expliquer ce qui provoque cette augmentation de la chaleur aux abords des pôles."

    Reed nous cite le Capitain Hall : "In capitain Hall's last trip" page 166 is read : " We find this a much warmer country than we espected... we have found that the country abounds with life, and seals, game, geese, ducks, musk-cattle, rabbits wolves foxes bears pazrtriges lemmings, etc our sealers have shot two seals in the open water while at this encampement... " (Nous avons découvert une region plus chaude que nous l'espérions... Nous avons découvert une région débordante de vie et les phoques du gibier, des oies, des canards, du bétail musqué, des lapins, loups des renards des ours, des perdrix, des lemmings, etc..Nos chasseurs de phoques en ont abattus deux sur la mer libre alors que nous étions à notre camp)

    Nous ne pouvons évidemment citer tous les paragrahes que Reed évoque au sujet de Nansen, Peary , Greely , Schwatka, et Kane. Mais voyons pour cloturer ce sujet ce que nous pouvous découvrir dans notre ouvrage de 1996:

Page 94 : Autour du 81° de Lat Nord en Mai 1895 il est écrit: "Au milieu de cette banquise, nous ne nous attendions guère à rencontrer une faune ailée abondante. Aussi, grande fut notre surprise, le 13 mai, le jour de la Pentecôte, à la vue d'une mouette. À partir de cette date, quelques oiseaux viennent tous les jours voler autour de notre radeau de glace. Des pagophiles blanches (Larus ebccrrieccs L.), des mouettes tridactyles (Larcs tridact)rlus L.), des pétrels arctiques (Procillarica glacialis), parfois des mouettes bourgmestres (Larus glacccccs L.), des mouettes argentées (Laracs argentatus), des guillemots (Uria giylle). Une ou deux fois, nous aperçûmes des stercoraires (Lestris parasitica), et, le 31 juillet, un bruant des neiges.

    Le 3 août, nous eûmes la visite de mouettes de Ross (Rhodostethia rosea) et j'eus la bonne fortune de tuer trois jeunes exemplaires de cet oiseau rarissime. Ce mystérieux habitant de l'extrême nord, nul ne sait où il va, ni d'où il vient.

    Depuis que nous sommes dans ces parages, je l'ai toujours guetté ; le voici qui arrive juste au moment où je m'y attendais le moins.

    Le corps des trois mouettes de Ross que j'ai tuées mesurait une longueur de 0,32 m. Elles avaient le dos et les ailes gris, le ventre et les côtés blancs, légèrement teintés d'orange, et autour du cou un collier gris. Un peu plus tard ce plumage change. Le dos devient bleu, le ventre rose et le collier noir.

    Maintenant que ma résolution est prise de pousser une pointe vers l'extrême nord, toutes mes espérances sont concentrées sur les chiens. Je veille toujours sur eux de crainte de quelque accident et de quelque maladie, et non sans raison !

Le 28 Mai - Un doux mois de mai . Dans ces derniers jours à différentes reprises, le température s'est élevée de plusieur degrés au dessus de zéro. On peu se promener avec l'agréable illusion de se croire au pays. Rarement le thermomètre descent au dessus du point de congélation. en revanche , voici les brouillard s d'été. Le ciel couvert de nuages lumineux donne une sensation de pays du sud.

    A bord, l'élévation de la température est très sensible. Il n'est plus nécessaire d'allumer le poële du carré et la glace et le givre qui couvrent les parois du magasin commencent à fondre....


    Notons que finalement le 8 Avril 1895 arrivé à la 86° 2' 8" de Lat Nord long de 95° 47' 15 " E. Nansen et son compagnon Johansen décident d'abandonner la poursuite vers le pôle car la banquise devenait de plus en plus impraticable.

    Mais voyons ce qu'en dit Nansen dans notre ouvrage de 1996:

Page 148: "Le 26 (avril) à mon grand étonnement, je rencontre une piste fraîche de renard venant de L'O.-S-O. et allant vers l'est. Que diable est-il venu faire jusqu'au 85°?"

    Mais le 24 Juin lors du retour autour du 81°4' de Lat nord et 58° 48' long E, Nansen :page 175 "La nuit dernière, la température était si élevée que nous avons dû coucher sans couverture. Au retour de cette expédition cynégétique, je touve johansen profondément endormi ; un de ses pieds, absolument nu, passe en dehors de notre abri, sans qu'il ait la moindre sensation de froid".



f) Quand Reed tente d'expliquer d'où viennent près des pôles, les roches sur les icebergs, la neige colorée, le pollen, la poussière noire et le bois flottant ?


    Reed nous dit page 114 chapitre IX:" Arctic explorers have long wondered why roc, gravel, and sand are often found on and imbebded in berg and floes.... To me they appear of volcanic origin. Volcanic eruptions send into the air rock gravel sand and dust whichdisperse in every direction. Finally they fall upon the bergs at all stage of formation from the time the stream first freezes over until à berg is plunged into the ocean and afterward- if stillin the location werre they land." (Les explorateurs de l'Arctique se sont longtemps demandés pourquoi du gravier et du sable se trouvaient étallés sur la glace flottante et aussi des rochers, encastré dans les icebergs... Pour moi ils ont une origine volcanique. Des éruptions volcaniques projettent dans les airs des rochers, du gravier,du sable, et de la poussiè qui se dispersent dans toutes les directions. Finalement ils tombent sur les icebergs, depuis à tous les stades de formation, de la congélation du courant fluvial jusqu'à ce que l'iceberg plonge dans l'océan et après même jusqu'à l'endroit où ces icebergs se positionnent).

    Voyons la gravure que Reed nous présente au sujet de ces rochers découverts sur les icebergs:



    Page 117 " The dust, so annoying in the Arctic Ocean is also produced by volcanic eruptions. Being light, it is carried far awway by the wind, and when it falls on the ships is very disagreable. Wend it falls with the snow , it produces black snow, and when analysed is found to consist of carbon and iron -supossed to comme from some burning volcano. Were is that burning volcano ? No record or account of any near the Nord Pole is found and if it be any were else, wy does the dust fall in the Arctic Ocean?" (La poussière si dérangeante de l'océan Arctique est produite par des éruptions volcaniques, légère, elle est facilement portée par le vent et s'abat sur les bateaux et gênes considérablement leur navigation. Quand elle tombe sur la neige, cette dernière noircit et après analyse on découvre qu'elle est constituée de carbonne et de fer et on pense qu'elle provient d'un volcan en activité. Ou se trouve donc ce volcan? Il n'est fait mention nulle part de l'existence d'un volcan dans les environs du pôle Nord et s'il en avait un ailleurs plus loin, pourquoi la poussière tomberait-elle seulement en Antactique?)

    Pour Reed évidemment ce volcan ne peut se trouver qu'à l'intérieur de la Terre qui est creuse et ouverte aux deux Pôles, telle que :



    Comme vous le voyez Reed imagine, une concavité au Pôle Nord, bien plus prononcée que celle que montre plus haut, notre amusante pomme artistique.

     Mais poursuivons voulez-vous la naration de Reed :

    Page 125 " Dust, is a source of annoyance in the Arctic, is what one would hardly expect in that region if the earth be not hollow. Imagine dust as a great annoyance in a middle of the arctic ocean! Nasnsen says: "The years are passing here and what do they bring ? Nothing but dust dust dust which the first wind drives away " (Cette poussiére, une vraie plaie dans l'Arctique, à laquelle on ne pourrait échapper dans cette région que si la Terre n'était pas creuse. Vous pourrez imaginer combien cette poussière est perturbante à la déclaration de Nansen suivante:" de toutes les années passés ici, qu'en a-t-on retiré? Rien de plus que de la poussière, de la pousière, et encore de la poussière que l'on reçoit dès que premier vent arrive.)

    De même pour Reed, ce sont des prairies et des forêts immenses qui se trouvent à l'intérieur de la Terre qui sont responsables de la neige colorée, du pollen, et des morceaux de bois morts découverts dans le grand Nord.

    Terminons ce panorama surprenant n'est-ce pas et pourtant très peu diffusé dans médias et surtout pas dans nos écoles, par quelques paragraphes de notre ouvrage de 1996:

    Page 101: Autour du 81° 18'de Lat Nord:



    Vous constatez que cette image, nous permet de faire d'une pierre deux coups, car en plus de la déclaration de Nansen, on a la position officielle (sans doute celle de Jean-louis Etienne) sur la provenance de cette poussière...A vous de juger.

    Continuons voulez-vous:

Page 148 autour du 85° de latitude Nord:"Pendant longtemps cette glace a dû être en mouvement et soumise à de terribles pressions. Sur plusieurs points, les monticules atteignent une hauteur de huit mètres et contiennent des strates de matière minérale. Un floe notamment est entièrement noirci par une substance inorganique ou organique.Le temps me manque pour examiner la chose."

.... Après de longues recherches, je parviens à découvrir un passage à travers ce labyrinthe de glace. Au-delà quel n'est pas mon étonnement d'apercevoir un énorme tronc de mélèze de Sibérie dressé au milieu de la banquise . Nous le marquons des initiales : F.N.H.J.85°80'.

    Un tronc d'arbre à 85°80' de latitude Nord ? Nansen pense qu'il vient de la Sibérie!!! A vous de juger...

    Nous avons mentionné que "ces anomalies" constatées dans le Grand Nord, étaient soigneusement occultées dans nos écoles, mais aussi comme vous allez le voir dans la littérature s'y rapportant.

      Mais ce 20 Février 2016, analysons le deuxième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse.

      Notre modeste traduction donne :

     " Aucune terre inconnu n'existe, dans la zone polaire où pourrait se situer théoriquement, l'ouverture polaire Nord "

      Pour répondre à ce 2ème concept, de l'auteur, nous abordons ici, notre deuxième focus .

      Disons d'emblée que l'auteur fait ici allusion à la déclaration de Raymond Palmer, dans son fameux n° de Décemdre 1959, déjà présenté plus haut, où l'on trouve ceci :

     "Mais concernant ces soucoupes volantes, il y a une zone d'incertitude qu'il convient d'étudier et qui pourrait être considérée comme le secret le mieux gardé de notre Histoire. Pour comprendre cela, nous devons remonter à 1947. En Février de cette année, l'amiral Richard E. Byrd, le seul homme à qui nous devons le plus dans le fait que le pôle Nord soit une zone connue, a fait la déclaration suivante : "J'aimerais voir cette terre au delà du Pôle, cette zone au-delà qui est le centre du Grand Inconnu".

     Des millions de personnes ont lu sa déclaration dans les journaux quotidiens. Et des millions ont été exhaltés par le récit du vol de l'amiral au pôle et jusqu'à un point au-delà de 1700 miles (voisin de 2 700 kilomètres). Des millions ont entendu la description radiodiffusée de ce vol, qui a également été publié dans les journaux. (Note importante du Webmaster : Comme c'est bien dit tout cela, mais ARTivision, étant un site très pragmatique, nous nous étonnons grandement qu'aucun internaute intrépide anglosaxon ou pas, n'ait pas pu encore mettre la main sur un seul de ces journaux ayant publié l'extraordinaire déclaration précédente de Byrd, d'autant que l'on connaît parfaitement le mois de cette déclaration : Février 1947. A bon entendeur salut !!!).

    En bref, pour le bénéfice de nos lecteurs, racontons ce qui arriva à mesure que le vol avançait. Quand l'avion a décollé de sa base arctique, on raconte il a filé directement vers le nord, en direction du pôle. De ce point, il a volé sur un total de 1700 miles (2735 km), au-delà du pôle, puis il revint sur sa route vers sa base. Comme il progressait au-delà du Pole, des terres sans glaces et les lacs, les montagnes couvertes d'arbres, et même un animal monstrueux se déplaçant à travers les broussailles, ont été observés et rapportés par la radio par les occupants de l'avion. Pour la quasi-totalité des 1700 miles (2735 km), l'avion a volé au dessus de terres montagneuses, d'arbres, de lacs, et de rivières .

    De quelle terre était-il question ? Regardez une carte. Calculez les distances de tous les points connus : Sibérie, Spitzberg, Alaska, Canada, Finlande, Norvège, Groenland, Islande... Ils sont à peu près tous à moins de 2 700 kilomètres du pôle. Et pourtant Byrd n'a survolé aucune terre connue. Ce qu'il a découvert, il l'a nommé lui-même "le Grand Inconnu". Et combien grand, en effet ! Car après 1700 miles (2735 km) de vol, il fut contraint de faire demi-tour par manque d'essence, et à ce moment il était loin d'avoir atteint les limites de ce territoire. II n'aurait dû voir au-dessous de lui qu'un océan en partie bloqué par les glaces. Au lieu de cela, il survola des montagnes couvertes de forêts.

    Des forêts!

    Incroyable! L'extrême limite des régions boisées se situe assez bas dans l'Alaska, le Canada et la Sibérie. Au nord de cette ligne, aucun arbre ne pousse! Ce qui veut dire que, logiquement, tout autour du pôle Nord, on ne doit pas apercevoir le plus petit arbre dans un rayon de 1700 miles (2735 km) !

    Alors ?

    Alors il faut croire que l'amiral Byrd a bien pénétré dans cette terre au-delà du pôle, cette terre qu'il désirait tant voir parce qu'elle était le centre du mystère.

    Pourtant, aujourd'hui, on ne trouve fait mention nulle part de cette terre mystérieuse. Pourquoi ? Le raid accompli par Byrd en 1947 était-il une fiction ? Les journaux ont-ils tous menti ? Menti aussi l'opérateur radio qui émettait de l'avion de Byrd ?

    Non, l'amiral Byrd a bien volé au-delà du pôle.

    Au-delà ?

    Que voulait dire l'amiral quand il a employé ce mot ? Comment est-il possible d'aller "au-delà" du pôle ? ...
"

    Mais ce que Raymond Palmer ne dit pas dans les assertions précédentes, (il le dira explicitement dans le n° de Février 1960, que nous sommes justement entrain d' étudier actuellement), c'est qu'il a tiré toutes les informations ahurrissantes, concernant les expéditions de l'Amiral Byrd, dans l'ouvrage très surprenant d'Amadeo Giannini, publié en 1959, et intitulé : "Mondes au-delà des pôles", et ouvrage, qui prétend que des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones arctique et antarctique de notre planète :

  

     Mais qui était donc ce Giannini si souvent mentionné sur le Web, (sans que l'on présente aucune preuve appuyant ses dires), par les médias avides de scoops hors normes.

     Et voici en pages 13 et 14, le texte de Giannini, en question repris par de très nombreux écrivains :


     Et au chapitre 1, page 17, Giannini précise encore mieux, tout cela :


     Et notre modeste traduction du seul début du premier texte donne :

Février 1947 "J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle(Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu".Vice-amiral Richard E. Byrd de la Marine de USA, avant ses 7 heures de vol au-delà du pôle Nord.

     Comme vous le voyez, à notre plus grand regret, il n'est nullement mentionné, où l'on peut trouver cette surprenante déclaration de Byrd.

     De plus, on voit que, Giannini ne connaît pas du tout, la date exacte de cette expédition de 1947 au Pôle Nord . Reste à démontrer, qu'elle a bien eu lieu...et le site ARTivision va s'y atteler désormais.

     Hélas, nous n'avons trouvé aucune mention dans un journal quelconque, de cette expédition de Byrd, au Pôle Nord de 1947.. Si Giannini ne ment pas, cette expédition a dû être Ultra Top-secrète. C'est pour cela qu'à notre plus grand regret, nous pensons que Giannini, a commis , une grave erreur, et qu'il aurait dû absolument, mentionner la source de cette si surprenante déclaration de Byrd.

     Mais certains détracteurs diront que Gianinni pourrait alors inventer tout cela !!.

      Au contraire, nous ne croyons pas du tout que Giannini, ait pu inventer une telle histoire. Il avait très probablement des amis militaires, qui lui ont refilé en douce, ces infos fantastiques en lui spécifiant expressément de ne pas en révéler la source militaire. On doit alors savoir d'abord, que Giannini était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Voici une silhouette plutôt très rare de lui :


     Voulez-vous; une autre preuve que Giannini, a reçu des infos utra-secrètes de l'Armée. Lisez donc alors ceci en page 53:



     Et notre modeste traduction pourrait être :

" par l'aspiration du mouvement de la Terre."....

Plus bas on trouve : " Sir Hubert fut visiblement intéressé par les perpectives présentées et il donna l'assurance qu'il poursuivrait son avancée au-delà du pôle géographique classique quand il affirma : " Giannini si vous me montrez l'itinéraire à suivre vers cette terre qui existe, selon vous, au-delà du Pôle Sud, je surmonterai tous les obstacles pour réussir. " l'Internationnal News Service de Los Angeles a reçu une copie de cet itinéraire réclamé par Sir Hubert. Et l'histoire enregistra sa mémorable découverte d'une terre au-delà du Pôle Sud, le 12 Décembre 1928."

     Pensez-vous vraiment que Giannini aurait pu inventer tout cela..?

     Hélas, comme vous le voyez Giannini oublie une fois encore de citer ses sources. Cela n'avait sans doute pas trop d'importance à l'époque, mais de nos jours c'est indispensable. Par exemple, il ne nous dit pas où il a tiré cette phrase si importante de Sir Hubert Wilking, réclamant l'itiniraire en question, ni à quelle date exacte l'Agence Internationnal News Service a publié ce fameux itinéraire. Plus grave encore il ne précise pas du tout où l'on peut découvrir la relation de cette incroyable découverte d'une terre au-delà du Pôle Sud précisément ce 12 Décembre 1928, et c'est toujours ainsi dans son livre où il parle de cette découverte. Donc si un internaute pouvait découvrir au moins l'entrefilet de l'Agence en question où l'on présente cet itinéraire, il ferait évidemment avancer grandement cette affaire.

      Mais il y a encore bien mieux. Voici un autre passage en page 53 :



      Laissons aux fervents de la langue de Shakespeare, le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu et contentons nous d'en extraire l'essentiel :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

      Mille fois, hélas, encore une fois, ce Giannini, ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cette extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova. En fait, notre grande amie Meriten, le 15 Avril 2009, nous a proposé le fait, qu'il s'agiraît très probablement plutôt, de l'explorateur et médecin romain Constantin DUMBRAVA (1898-1935) qui a monté en 1927, donc bien avant Paul-Emile VICTOR, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et qui passa une année chez les Inuit...Il a étudié avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a finalement épousé une américaine et s’est installé à New-York.

     Nous demandons donc, avec une très grande déférence, à tout internaute qui connaît parfaitement le russe et le roumain, de tout faire pour retrouver la trace de la super déclaration précédente, et les écrits de ce Dumbrava. Il n'est pas besoin d'insister ici, sur le caractère très important de cette recherche, car il y va d'une plus grande compréhension de notre planète et même sans doute, de notre système solaire.

     Mais bien avant ce voyage contesté de Byrd de 1947 ( nous prouverons plus tard qu'il a certainement eu lieu) , revenons en 1926, où Byrd dit-on a effectué son premier vol historique vers le Pôle Nord. Voyez trois entrefilets parmi des dizaines qui en parlent :


et choisisons aussi :


     Mais, si vous allez à suite indiquée, à la page 13, vous pourriez trouver ce paragaphe, hélas très mal imprimé :


    Et, sans vouloir tout traduire, on voit que Byrd fait ici allusion à une éventuelle terre inconnue, qu'il doit chercher...

    Mais il y a aussi cet article, concernant également l'épopée de Byrd au Pôle Nord le 9 Mai 1926, voici alors, un entrefillet du Miami Daily News du 10 Mai 1926, à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=71XFh8zZwT8C&dat=19260510&printsec=frontpage&hl=fr

, et entrefilet, restructuré par nos soins, en d'autres colonnes, que celles présentées sur deux pages par journal en question :



     Bien sûr, nous laissons aux spécialistes de la langue de Shakespeare, le soin de sortir une traduction convenable en partant de l'url (car les caractères de notre image sont trop petits), de ce long texte dédié à l'exploit de Byrd, et contentons nous, modestement de ces paragraphes dont certains passages sont soulignés en rouge :



     Où, l'on pourrait lire : " Vijhalmar Stefansson, explorateur vétéran de l'Arctique a ici déclaré, que le compte-rendu du commandant Byrd, relatif à son vol, sera très fructueux.

     L'exploit de Byrd est considéré par Stefansson, comme ouvrant la voie à son plus important et ambitieux vol vers le nord-ouest de la "Peary Land", dans le but de rechercher une terre inconnue .

      Deux expéditions polaires russes sont sur le point de s'élancer là, une autre française avec des avions et des traîneaux à chiens, se mettra en route bientôt, tandis que le lieutenant Leigh Wade, un globe-trotter mondial aviateur américain conduira une expédition des Universités américaines au dessus du pôle, dans le but de découvrir une route courte entre Londres et Tokio.

      Le Capitaine George H. Wilkins de l'expédition polaire de Detroit qui est à la rechrerche de terres nouvelles, s'envolera au dessus des dangereuses montagnes Endicott, à 300 milles de Port Barow en Alaska.

      Le Lieutenant Flaissen, un norvégien envisage un vol polaire et le Dr Hugo Eckener, un allemand pense à un vol en dirigeable.
"

     Oh La, la..., il semble qu'en douce, on se bousculait à l'époque, au portillon de la zone polaire Nord.

     Vous avez bien lu, nous l'espérons que l'explorateur Stefansson, parle ouvertement d'une terre inconnue , qui subsiste dans la région, et plus bas, nous découvrons aussi que le fameux Capitaine George H. Wilkins, déjà largement présenté plus haut, est encore ici crédité du fait, qu'il est bien à la recherche de terres nouvelles, (notez bien le pluriel), en pleine zone polaire nord, alors que nous verrons plus bas, qu'en Nov 1926, il fut, concernant l'Antarctique : "the first to discover new land, from an airplane", et donc qu'il fut "le premier à découvrir par avion une terre nouvelle" .

     Si cette affaire de Terres nouvelles à découvrir, ne fait ni chaud, ni froid à certains détracteurs, c'est leur problème, mais le site ARTivision, lui, poursuivra inlassablement sa quête sur cette affaire, jusqu'à ce que la vérité se fasse jour d'une manière tout à fait éclatante.

     Mais, si, nous n'avons encore rien trouvé, concernant l'expédition de Byrd au pôle Nord de 1947, Super Hasard, a pourtant fait pour ARTivision, un sacré coup de magie, en nous aiguillant, le 06/06/2013, sur l'entrefilet (le seul que nous avons découvert jusqu'à présent), du "Miami Daily News", du 25 Juin 1926, à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=71XFh8zZwT8C&dat=19260625&printsec=frontpage&hl=fr

, et entrefilet, (restructuré en d'autres colonnes par nos soins) :


    On pourrait, déjà traduire le titre grosso modo, par :

"Ovation rendue à Byrd par la foule, à son retour au bercail ".

     Avant de sortir nos dictionnaires et de demander à certains traduteurs automatiques du Web, de nous aider à mettre en français, au moins les deux premières colonnes, de l'image précédente, jetons, pour bien situer le contexte de l'époque, et pour les internautes qui n'ont pas beaucoup d'affinités avec la langue anglaise, voici donc en français, deux articles, que nous avons pu découvrir au sujet de Byrd :

     D'abord à l'url :

http://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19260510&printsec=frontpage&hl=fr


      On note alors d'abord que cette information vient de l'Agence "International News Service"(INS) qui n'est pas la même que l'agence du texte anglais l'Associated Press.

     Puis voyons aussi l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=qStMeLs7OP8C&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

qui, avec une restructuration des colonnes par ARTivision donne :


     Concernant ce texte en français, il ne vient pas, comme on pourrait le croire du Canada. En effet c'est le 22/07/2013, que nous sommes tombés sur ce texte en Français (chose très rare) venant du contexte de http://news.google.ca/newspapers? et imprimé à l'époque dans la ville Woonsocket des USA.

     Il faut savoir alors que Woonsocket, est une ville industrielle de l'Etat du Rhode Island, qui comptait, (en 1932) 40 000 Français sur 50 000 habitants, en majorité des émigrés canadiens. Ils définissaient leur ville comme "La ville la plus française aux États-Unis". Ce journal fut édité de 1900 à 1934, et fut suivi de 1935 à 1942 par "l'Indépendant", également en français.

    Bien qu'il ne s'agisse pas de la même Agence de Presse, nous aurions été très satisfait de trouver un texte du journal La Tribune , concernant Byrd ce 25 Juin 1926. Mais hélas ce journal a oublié totalement ce jour là, de paler de Byrd :


    Donc on ne peut savoir, si ce journal, aurait fait état ce jour-là, des mots suivants de Byrd, que nous allons étudier plus bas :


    Ces phrases, on le sait, ont été soulignées en rouge , étant donnée leur importance, dans l'article désormais incontournable du "Miami Daily News", du 25 Juin 1926, déjà placé plus haut .

     Tel que :

     " There is land in a vicinity of the Nord Pole " , in the belief of Commander Byrd.

     " There might be land in there somewhere, and I think there is" . Byrd said after telling that his search of the icy span below the machine failed to reveal any sign of life.

     Pour bien cibler, le problème qui se pose, demandons d'abord au traducteur en ligne SYLTRAN placé à :

http://www.systranet.com/fr/traduction/

de nous traduire ces deux phrases en rouge :

     On a alors :

     "Il y a terre dans une proximité du Pôle Nord", dans la croyance de commandant Byrd.

     "Il pourrait y avoir terre dedans là quelque part, et je pense qu'il y a". Byrd a dit après avoir dit que sa recherche de l'envergure glaciale au-dessous de la machine n'a pas indiqué n'importe quel signe de vie.

     Bien que nous sachions que les traductions en ligne, méritent toujours quelques rectifications, nous voyons que ce traducteur Syltran, n'a pas su traduire le mot land, qui n'est pas ici précédé par un article, ou qui n'est écrit au pluriel (Lands). Ce traducteur, pour la première phrase, aurait dû écrire au moins, "Il y a des terres dans une proximité du Pôle Nord", ou encore "Il y a une terre, dans une proximité du Pôle Nord". Mais quelle est donc la bonne traduction ?

     Avançons alors progressivement, vers une solution de cette incroyable énigme lexicale.

     Nous avons en mains, trois dictionnaires qui disent que l'on peut traduire land par terre (sol), par terrains, par terres (biens propriétés et ici, il semble qu'il ne s'agit pas du tout, de cela), et enfin par pays.

     Mais, allons plus loin en digitalisant pour les puristes, d'abord les deux premières colonnes du texte du "Miami Daily News" en question, et laissons aux spécialistes de l'anglais, le soin d'obtenir pour le tout, une bien meilleure traduction que nous pourrions en élaborer.

     Voici déjà, la portion digitalisée du texte :

"RICHMOND,-Va, June 25. -      ((AP) - Commander Richard Evelyn Byrd, Virginia's modern hero, first to cross the north pole in an airplane, came home last night to receive the greatest ovation the old Dominion has accorded a son in many years.

     Several thousand persons jammed the railway station were the Richmond 1ight Infantry Blues and Richmond Howitzers formed a military escort for the returning conqueror. Gov. Harry Flood Byrd, a brother, led the official welcoming delegation.

     To thousands who filled the city auditorium, Commander Byrd recounted his adventures in the frozen north. He painted a word picture of his flight from Spitzenbergen to the top of the world, while on a screen, before the home folks' eyes, scenes of his exploits and labors were flashed.

     "There are the ones to whom the credit is due", he said several times as pictures showed, his comrades engaged in the hazardous task of floating the huge Fokker airplane on a raft through the ice floes. He also was lavish in his praise of Floyd Bennet another Virginian, who piloted the airplane on the trip to the North Pole.

     John Stewart Bryan, publisher of the News-Leader, introduced the Commander by recalling the exploits of the Byrd family. It was William Byrd who founded the tobacco industry in Virginia, he said, and William Byrd II, who chose the sites of Richmond and Petersburg.

     "One of the greatest miracles of all time was the flight to the pole by this descendants of the Virginia pioneer heroes," Mr. Bryan declared.

     The story of "America' s polar triumph" was unfolded by Commander Byrd in a detailed public description of the first f1ight to the north pole. The Arctic explorer was at home in the land he declared "The most wonderful event, made", and in the city founded by his ancestor, William Byrd.

     One of the largest crowds ever gathered under a roof in Richmond cheered the young Virginian. More than 4.500 persons jammed city auditorium, while nearly 2.000 stood outside and heard his voice carried by loud speaker. His address was under auspices of Richmond News Leader.

     " There is land in a vicinity of the Nord Pole " , in the belief of Commander Byrd.

     " There might be land is there somewhere, and I think there is" . Byrd said after telling that his search of the icy span below the machine failed to reveal any sign of life.

     Home among the people he knew Byrd grew intimate in his description of the flight. It was "we" as the naval officier told of the hardships of the expedition, the preparation for which he characterised as the worst of the job
".

    Fin de l'extrait anglais.

Voici maintenant la traduction de Google translate.google.fr, arrangée bien sûr par ARTivision du texte en question, en notant bien que Google a traduit "land" par "terres"

     "Commandant Richard Evelyn Byrd, héros moderne de la Virginie,le premier à traverser le pôle Nord dans un avion, est rentré hier soir au bercail et a reçu la plus grande ovation que la vieille Dominion a accordé à un fils depuis de nombreuses années .

     Plusieurs milliers de personnes s'entassèrent à la gare quand le Richmond 1ight infantry Blues et le Richmond Howitzers formérnt une escorte militaire pour le vainqueur du Pôle. Le gouverneur Harry Flood Byrd, un frère, a conduit la délégation officielle de bienvenue .

     Pour des milliers qui ont rempli l'auditorium de la ville, le commandant Byrd a raconté ses aventures dans le Grand Nord . Il a peint en mots imagés, son vol de Spitzenbergen au sommet du monde , tandis que sur un écran , sous les yeux des gens de la maison , des scènes de ses exploits et de ses travaux ont été projetées .

      " Il y a ceux à qui le crédit est dû" , a-t-il dit à plusieurs reprises alors que les images étaient montrées, avec ses camarades engagés dans la tâche dangereuse de faire flotter l'énorme avion Fokker sur un radeau à travers la banquise . Il adressa aussi un grand éloge à Floyd Bennet en autre citoyen de la Virginie, qui a piloté l' avion lors du voyage au Pôle Nord .

      John Stewart Bryan, éditeur du " News Ledear" a présenté le commandant en rappelant les exploits de la famille Byrd . C'était William Byrd qui a fondé l'industrie du tabac en Virginie, dit-il , et William Byrd II , qui a choisi les sites de Richmond et de Petersburg .

      "Un des plus grands miracles de tous les temps a été ce vol au pôle par ce descendant des pionniers héros de la Virginie ", a déclaré M. Bryan .

      L'histoire du "triomphe polaire de l'Amérique '' a été présentée de détail publiquement par le commandant Byrd, au sujet du premier vol au pôle nord . L' explorateur de l'Arctique de retour au bercail, a déclaré: "L'événement le plus merveilleux, a été réalisé ", et cela a a été dit dans la ville fondée par son ancêtre, William Byrd .

      Une des plus grandes foules jamais réunis sous un même toit à Richmond acclamèrent le jeune Virginien . Plus de 4.500 personnes envahirent l'auditorium, tandis que près de 2.000 étaient dehors et ont entendu sa voix, portée par haut-parleur. Son Adresse était sous les auspices de Richmond Nouvelles Leader.

     " Il y a des terres au voisinage du pôle Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.

     "Il pourrait y avoir des terres là quelque part, et je pense qu'il en est ainsi", affirma Byrd, après avoir dit que sa traversée de l'étendue de glace en dessous de la machine, n'a révélé aucun signe de vie.

     Au sein des gens qu'il connaissait, Byrd a poursuivi en détail la description de son vol. C'était à "nous", en tant qu'officier de la Marine, de décrire les difficultés de l'expédition, et de sa préparation, qualifiée de la pire, qu'il soit ".


     Fin de la traduction de l'extrait.

     Vous avez donc bien noté, nous l'espérons, que Google, nous propose pour la traduction de la première phrase en rouge :

     " Il y a des terres au voisinage du pôle Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.

    Mais les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de Terres en pleine zone froide et glacée et surtout désertique, nous diront évidemment qu'il fallait traduire plutôt " Il y a de la place dans le voisinage du Pôle Nord", etc....

    Mais là, ils ne nous apprennent absolument rien car chacun sait que la superficie de la zone polaire nord, à l'intérieur du cercle arctique (latitude 66° 33'N), est immense et fait plusieurs fois la France, et donc par conséquent, il existe on le sait, effectivement de vastes étendues autour du pôle Nord, et il en résulte que l'explorateur Byrd, n'aurait absolument pas fait allusion ici à cette notoire acception, s'il ne voulait pas passer aux yeux de ses interlocutueurs pour un vrai débile mental.

    Non, il y a pour sûr, autre chose, à prendre en considération dans cette affaire.

    On doit alors se poser la question de savoir, si Byrd a effectué, une autre expedition au pôle nord ?

    Nous n'avons encore rien trouvé, sur le super site de Google déjà présenté : https://news.google.ca/newspapers?hl=fr

    Mais cependant, nous avons trouvé sur le site :

http://www.ascensionplanetaire.com/terre%20creuse/tcRichardEByrd.htm


, ce paragraphe très significatif :

"En 1947, avant d'entamer une nouvelle mission dans l'Arctique, Byrd dira à la presse : "J'aimerais voir ce pays derrière le pôle (Nord). Cet endroit est le centre du Grand Inconnu". Selon les sources officielles, l'expédition fit un vol de sept heures, ce jour du 19 février 1947. Mais, étrangement, lui qui aimait parler de ses exploits à la presse, ne dit mot à quiconque de son voyage, cette fois-là. D'ailleurs, son comportement changea singulièrement à partir de cette date et pratiquement aucune information ne filtra.
    C'est chose acquise aujourd'hui, le Pentagone le mit au secret militaire et lui confisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui fut interdit de s'exprimer en public. Le doute plana sur cette histoire pendant près d'un demi-siècle et c'est finalement à la fin des années 1990 que ressurgit le fameux carnet de vol.
"

    Hélas, nous ne pouvons pour l'instant confirmer ce paragraphe, n'ayant encore pas pu mettre la main sur un seul document officiel, qui le prouve.

     Mais, on le sait, comme nous avons eu l'heureuse opportunité de tomber sur ce superbe entrefilet du "Miami Daily News" en date du 25/06/1926, nous avons pensé alors, que d'autres journaux devraient également parler, de cette information de l'Agence "Associated Press", autour de la même date .

    C'est ainsi que le 13/06/2013, nous sommes tombés en page 6, à l'url suivant :

http://news.google.ca/newspapers?nid=vf0YIhSwahgC&dat=19260624&printsec=frontpage&hl=fr

, sur cet entrefilet de l' Evening Tribune, en date du 24 Juin 1926, donc juste la veille du 25 :


     On apprend alors ici , que l'expédition de Byrd au Pôle Nord, a eu lieu le 9 Mai 1926. On sait d'ailleurs qu'une polémique a eu lieu plus tard, au sujet de cette expédition.(voir notre article :

http://www.artivision.fr/Byrdpolemique.html)

     D'autre part, et cela est très regrettable, on voit que, les phrases clefs déjà présentées :


, ne sont plus du tout, mentionnées dans le texte en question, bien qu'il s'agisse de la même Agence, et évidemment le 25 Juin, l'Evening Tribune, ne parle plus du tout de Byrd :


      Autrement dit, une information capitale venant la même Agence "Associated Press", qui intéresse l'humanité entière, et qui a trait à la composition interne de notre planète, et même sans doute à la structure de notre système solaire , a été escamotée par des responsables inconscients et ignares de la diffusion de l'information dans leur région ( mais évidemment, ces responsables ne pouvaient le savoir à l'époque). Ceci est bien la preuve, que de nombreux textes, nous venant du Passé, ont été trafiqués, selon l'humeur et la droiture des transmetteurs, et par exemble, (nous l'avons déjà écrit dans de nombreux articles), il en est de même des textes sur lesquels , on a fondé toute notre civilisation judéo-chrétienne...

     Finalement en reprenant les fameuses phrases de Byrd, en question :


, que certains linguistes pourraient traduire facilement ainsi :

" Il y a de la terre dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir de la terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

    Mais les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de Terre en pleine zone froide et glacée, nous diront évidemment qu'il fallait traduire plutôt " Il y a de la place, dans le voisinage du Pôle Nord ", etc....

    Mais pour ARTivision, compte-tenu des très nombreuses autres déclarations de Byrd, que nous avons retrouvées, et que nous présenterons plus bas, nous pensons alors, que notre traduction, des phrases en rouge précédentes devrait être plus précisément :

" Il y a une terre dans le voisinage du Pôle Nord ", comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir une terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

     Aux spécialistes de la langue de Shakespeare, de donner leur avis...


  Mais, avant de poursuivre ce 21/02/2016, notre étude des déclarations de Byrd concernant son

survol du pôle Nord, faisons ici une certaine digression :
    En effet, dans ce même n° 69 de la revue en cause, Flying Saucers de Juin 1970, on trouve 4 photos des pôles de la Terre, dont celle de la couverture déjà montrée plus haut, et ci-contre, et dont Ray Palmer , avait cru à l'époque que c'était une photo montrant, le trou polaire Nord , alors que, nous l'avons dit plus haut, ce n'est qu'une photo mosaique, où la NASA a justement trafiquée en noir, la zone polaire Nord, afin que l'on ne puisse pas voir justement l'ouverture polaire qui s'y trouve.

    Ces mêmes photos du Flying Saucers de Juin 1970 , nous les avons trouvées, aussi, dans l'ouvrage incontournable de 1974 de Brinsley le Poer Trench : "Secret of the Ages" :

  


Mais il y a mieux, tel que :


    Toutes ces photos sont donc des photos mosaïques de la NASA, trafiquées à souhaits, et destinées à cacher assurément l'ouverture polaire.

    Vous avez du mal à le croire, alors regardez aussi ceci :


    C'est un document de la NASA, que nous avons personnellement obtenu en 1975, des mains de l'agence USIS, qui siégeait à cette époque au sein même de l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin à 75042 Paris. Ce document serait aussi bien sûr, une photo mosaïque, qui fut réalisée par le Dr David S. Johnson du "National environnement Satellite Center", à partir des prises de vue en Avril 1967 du satellite Essa III. On constate alors, une fois de plus, que la zone concernant le Pôle Nord, et qui nous intéresse justement, a été encore ici simplement escamotée sans explication, alors que l'on avait tout intérêt à blanchir tout le bassin polaire. On aimerait bien savoir pourquoi ?

    La parole est donc désormais, aux spécialistes...

    Fin de la digression .

    Pour mieux cerner cette affaire de Byrd et de ses voyages au Pôle Nord, il est bon pour ARTivision de présenter ici l'affaire du très mystérieux n° 52 , de la revue Nostradamus. de l'époque

      Il faut d'abord savoir que la revue "Nostradamus""L'hebdomadaire de l'actualité mystérieuse", (comme elle était présentée à l'époque) , avait le format(29 ; 43), et dont le n° 1 (que nous possédons toujours) est du 13 Avril 1972, et ce périodique a duré environ 10 ans jusqu'en Juillet 82. Il s'est appelé Nostra à partir du n° 147 du 30 janvier 1975 format (20 ; 28) .

     Mais après le n° 51, il s'est passé une chose bizarre, que nous n'avons jamais pu expliquer. Si n° 51 et 53 étaient tout à fait normaux (format 29 ; 43), nous n'avons jamais reçu le n°52,, mais il est arrivé à l'époque une sorte d'ersatz du journal, de format plus petit (27 ; 39), sans n° et sans date. Comme-ci la rédaction ou l'imprimeur avait eu un empêchement quelconque pour produire la revue normale. (Grève, rupture de stock etc..)

       Nous en avons déduit plus tard que cet ersatz représentait bien le n° 52 manquant, et que la date de sortie devait être le 6 avril 1973. Donc si quelqu'un veut aller à la Bibliothèque Nationale, pour consulter ce n° 52 (pourtant très important, vous allez voir plus bas pourquoi), il se pourrait qu'on ne le retrouve pas.

      Mais d'une part, le format étant trop grand pour notre scanner, nous avons dû couper le document de couverture, et d'autre part, étant donnée l'humidité qui règne au pied du volcan où nous habitons, les convertures de ce n° 52 fictifont été détériorées. Veuillez donc excuser, le manque de netteté des images :

 


      Mais ce qui nous a amené à parler de cette histoire, c'est que justement, ce n° fictif 52, possède un article unique en son genre, pour l'époque et article qui nous interpelle quant aux sources qui ont servi à son élaboration.

      Mais voyez donc vous même :





       Nous avons évidemment coupé la publicité de l'époque dans la deuxième partie de la feuille.

      Bien que les caractères soient encore lisibles sur ses deux images, pour ne pas vous fatiguer la vue, voici la digitalisation de ce document.

      " Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences, n'avait jamais été aussi stupéfait. Le flegme légentaire des officiers de l'American Navy faisait place sur son visage à son étonnement qu'il n'avait pu contenir.

      Dieu sait pourtant qu'au cours d'une longue carrière d'explorateur polaire il avait subi de dures épreuves : il avait vu trop de ses plus fidèles compagnons, morts de froid et d'épuisement, immergés dans l'océan sauvage, une gueuse de fonte lestant leurs corps cousus dans une toile à voile, selon la séculaire coutume des matelots.

     Il avait supporté lui-même, jusqu'à l'inanition, la dure loi des expéditions en terres inhumaines loin des bases où la fraternité des amis aguerris réchauffait le cœur dans ce climat mortel.

     Mais là, avec deux quartiers- maîtres et un capitaine de vaisseau, il parvenait au bout de la surprise.

      - Je n'aurais jamais cru ça possible, Damned ! lança-t-il en jurant comme un vulgaire canonnier.

     De fait, même pour un marin américain que rien ne devrait étonner, il y avait de quoi être surpris.

     Richard Byrd venait de découvrir, au sein des glaces perdues au Pôle Nord, un véritable paradis terrestre !

     Depuis huit heures, il marchait sur la banquise, avec son équipe, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical.

     Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'équipe de pointe de l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, le spectacle était inoubliable. Sous les yeux de Byrd médusé et de ses compagnons ahuris, s'étendait une longue vallée étroite et profonde, couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. Une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace...

    D'un geste machinal, l'amiral consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra lentement dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth, placide et lourd comme ceux que l'on a rencontré en 1921 en sibérie centrale. Autour d'eux les gazouillis d'oiseaux et la stridence des cigales démontraient à l'evidence l'existence d'un climat subtropical.

    Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    repartis sur la banquise, les explorateurs, un moment émerveillés, retrouvaient le grand silence blanc et la desolation du froid éternel. A leur retour, ils racontèrent leur découverte à leurs camarades restés au camp.

     Après une journée de repos tous voulaient retourner voir ce que l'amiral Byrd appela désormais le " paradis inconnu ".

    Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, dans la région même du pôle magnétique, il avait été impossible à l'ordonnance de l'amiral d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques.

    En effet dans cette region du globe terrestre , les boussoles deviennent folles et leurs aiguilles aimentées virevoltent sans jamais se fixer !

     Pendant des années dans son laboratoire de Boston, Richard Byrd chercha à délimiter la position géographique de la vallée heureuse cachée au fond des glaces. Noatalgique du paradis perdu, il réalisa de nombreuses autres expéditions après s'étre entouré de toutes les précautions et de tous les détails qu'il jugeait indispensables.

    En 1929, il repartait de l'île Wrangel à l'estuaire nord de la Sibérie, avec la plupart de ses premiers accompagnateurs. Ce fut en vain.

    En 1936, accompagaé d'Amundsen, il survolait sans résultat toute la banquise arctique avec les tout premiers hélicoptères. En 1947 encore, n'ayant pas perdu l'espoir de refouler â nouveau le merveilleux gazon du paradis polaire, il repartait avec un matériel ultra-moderne. Ce fut un voyage pour rien.

    Jusqu'en 1957, où il mourut brutalement d'un transport au oerveau, l'amiral américain n'a jamais retrouvé le paradis du fond des glaces...

    Et pourtant, sa découverte a été confirinée par un médecin de Los Angelès, le docteur Nephi Cotton. Celui-ci recueillit de l'un de ses patients un étrange récit. Le malade, habitant l'extrême nord de la Norvège, avait, avec un ami, entrepris une croisière en direction du pôle.

    Après un mois de navigation hasardeuse, entre les écueils et Ies icebergs, ils avaient atteint un pays où, selon leurs aifirmations, "la température était extraordinairement élevée" et "la flore était d'une richesse comparable à celle des pays tropicaux les plus fertiles".

    A plusieurs reprises, des expéditions quasi-clandestines furent organisées par des explorateurs norvégiens et anglais. Ce furent des tentatives stériles, car dans le voisinage du Pôle, les boussoles ne servent plus à rien et le hasard qui avait si bien servi Byrd n'a jamais consenti à aider ceux qui suivirent ses traces. Plus récemment et à trois reprises, les services spéciaux des grandes puissances du monde ont monté des explorations aussi couteuses que secrètes. Rien n'y fit. Au , désespoir des organisateurs, les barbouzes de l'ouest et de l'est sont revenues bredouilles.

    Le Paradis polaire garde jalousement son extraordinaire secret.

    Les survivants de l'expédition de 1926 rêvent encore de leur journée du 14 juin. Avec l'amiral Byrd, ils affirment qu'ils ne furent pas victimes d'un mirage ou d'une hallucination. Ils se bornent, devant l'incrédulité générale, à répéter qu'un jour on saura bien retrouver la vaIlée perdue...
"


    Fin de citation.

     Comme vous l'avez sans doute remarqué ce document est bourré de détails pointus que l'on pourrait vérifier (comme par exemple, le nom de l'ordonnance de l'amiral Byrd : le capitaine Peter Fitin). Ce document précise aussi clairement que Byrd, a bien effectué une expédition au Pôle Nord en 1947 et expédition qui a été vaine.. Mais chose très surprenante, ce document n'est pas signé, et il n'indique pas hélas les sources utilisées, pour faire l'article.

    Ce document précise clairement, que Byrd et ses compagnons ont bel et bien monté des expéditions sans doute très secrètes au Pôle Nord, en 1929, 1936, et surtout 1947, et expéditions, dont on ne retrouve aucune trace dans les médias de l'époque.

    Comme on y parle de Services spéciaux de grandes puissance et de barbouzes, nous soupçonnons le fait, que ce texte, proviendrait du savant atomiste Jacques Bergier, qui, on le sait, faisait partie des Services Secrets Alliés de la dernière guerre. Il a d'ailleurs écrit entre autres choses : Un Mémoire sur la détection électromagnétique des avions autour de 1939 et Le Manuel du parfait saboteur en 1943 .

     Mais, à part l'histoire du Docteur Nephi Cotton, et la photo de la Terre, qui sont directement tirées du livre de R. Bernard "La Terre creuse" (A. Michel 1971):


, où donc Bergier (ou l'auteur inconnu), a-t-il pu trouver ces extraordinaires informations (qui ne courent pas les rues), concernant les diverses expéditions de Byrd au Pôle Nord, dont certaines sont totalement occultées .

     Aurait-il pu par exemple, mettre la main sur l'introuvable brochure de Byrd, dont on ne connaît même pas le titre et dont nous parle Charles Berlitz aux pages 164 et 165 de son livre "Sans Trace" :

  

, publié chez Flammarion en 1978 ?, alors que plusieurs personnes affirment avoir eu connaissance de cette brochure de Byrd, comprenant moins de 100 pages dans laquelle il narrait son aventure, cet important document a disparu bizarrement des bibliothèques et des collections nationnales.

     Mais, Il faut aussi savoir que certains paragraphes ce Nostradamus n° 52 fictif, ont été repris 7 ans plus tard, par Mr Jean Brun, dans le Nostra n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980.



     En conclusion, une fois de plus, nous voyons qu'ici s'applique parfaitement l'adage : " L'habit ne fait pas le moine ", car en effet, ce n'est absolumemt pas dans les revues bien assises et qui ont pignon sur rue, comme "La Recherche" , "Science&Vie" etc... que l'on aurait découvert à l'époque, un tel document, que nous avons la chance inouïe, de posséder, depuis 43 ans (en 2016) . A vous donc de juger, tout cela, documents à l'appui...


     Mais ce 22/02/2016, pour les puristes qui aiment avoir les informations en direct, et concernant ce n° 425 aussi fameux de NOSTRA, et bien que cela utilise, des mots déjà employés plus haut, voici ce que nous avons écrit dès le 17/09/2000, dans notre premier article sur le sujet - (voir alors Byrd.html) - :

    L'amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences , (d'après un article de Jean Brun de l'hebdomadaire Nostra du n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980) aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord.

    Voici donc quelques lignes de cet article:

    "Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
    Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
    Hélas ! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
    Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
    Fin de citation.


     Notons, qu'avec grand regret, nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas qu'il puisse s'agir du philosophe Jean Brun (1919-1994), qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc, avec la plus grande déférence, tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé, les éléments étranges de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire. Merci d'avance...

    On pourrait donc croire que nous avons là, affaire à un début d'un roman inédit de Jules Verne, si l'on ignore que l'amiral Byrd a participé par la suite à de nombreuses autres expéditions polaires, et on le sait, en 1929, 1936, 1947, 1956, à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des déclarations insolites...

    Mais ce jour, donnons une dernière preuve, concernant le vol de Byrd au Pôle Nord en 1929...

      C'est en effet, dans l'ouvrage, déjà cité plus haut, de 1974 du Lord Anglais Brinsley le Poer Trench que nous avons découvert en pages 96 et 97 ceci :


     Et notre modeste traduction donne :

" Présentons maintenant le mystère numéro n° 2, concernant Byrd .

     Palmer vit à Amherst, Wisconsin, États-Unis. Il a écrit que Nelsonville se situait à environ 3 miles (4,8 Km) de chez lui, et là se situait maison de Lloyd K. Grenlie. . Ce monsieur a vécu plus récemment à Green Bay,et il travaillait à l'Agence fédérale de l'aviation, avant sa mort, le 7 Juin 1970.

.     Cependant, les membres de famille de Grenlie était les voisins de Palmer. Selon Palmer, ce qui est important de savoir, c'est que Lloyd K.Grenlie était l'homme-radio de l'expédition de l'amiral Byrd au Pôle Nord en 1926, et il le fut aussi aux deux pôles en 1929.

     " On a catégoriquement nié que Byrd ait été aux deux pôles en 1929. Cette année-là un film d' actualités a pu être vu dans les salles de cinéma d'Amérique, qui décrivaient les deux vols, et on y voyait des photographies d'époque de la " terre au-delà du Pôle (nord) avec ses montagnes, arbres , rivières, et un grand animal identifiés comme un mammouth " .

      "Aujourd'hui, ce film d'actualités n' existe apparemment pas, bien que des centaines de mes lecteurs se souviennent, comme moi, de ce court film. Ainsi, j'ai mon avis personnel au sujet ce court-métrage et aussi l'avis de l'homme radio qui alla avec Byrd dans cette terre au-delà du pôle, et qui a vu les enregistrements de ce film, concernant cette terre inconnue, inexplorée, dont actuellement on nie l'existence"(4 : Raymond A. PALMER reply to a reader 's letter Flying saucers Septembre 1970 )"


     "Palmer a déclaré que des centaines de ses lecteurs du magazine se rappelaient avoir vu les actualités."


      Fin de citation.

     Pour ARTivision, donc la double expédition Byrd en 1929, a pu très bien se reproduire en 1947. Point Barre

     Alors Messieurs les journalistes, éditorialistes et consorts écrivains intrépides, si vous retrouvez des lettres écrites, de ce Lloyd K. Grenlie, quelque part, et qu'il y mentionne cela, vous aurez assurément touché le Gros Lot. A bon entendeur salut...

     A vous de juger tous ces faits extraordinaires, documents à l'appui.

      Mais ce 24 Février 2016, analysons le troisième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre Troisième focus , qui correspond à cela :

      Notre modeste traduction donne :

     " En considérant, les sous-marins atomiques US qui ont voyagé sous la glace de l'océan arctique, et qui sont passés sous le pôle, tout cela ne pourrait pas se faire. "

      Bravo pour la confiance, que Mr John M. Prytz, apporte aux dires de la Marine américaine. Analysons alors, cette affaire en détail :

      Dans notre article en date du 02/12/2012 : VoyageNautilusetSkateauPN.html, nous avions déjà écrit cela :

    "C'est d'une façon aussi explosive que s'est imposé l'intérêt des régions arctiques pour les liaisons entre continents. C'est presque simultanément, il est curieux de le constater, que ces régions ont intéressé l'aviation commerciale, la navigation de surface et la navigation sous-marine. Ceci est d'autant plus remarquable que les problèmes à résoudre dans des domaines aussi différents, n'avaient absolument rien de commun.

    II n'y avait de commun que le désir de raccourcir les routes entre les rives européennes de l'Atlantique et les côtes du Pacifique. Cet intérêt des liaisons polaires a été développé assez souvent au cours des derniers mois à propos des lignes aériennes. Paris-Tokio "par le Pôle" est un trajet de 13 500 km contre 15 250 par la voie classique. ( Note du Webmaster : Comme vous le voyez l'auteur Mr George Lacoste de cet article a utilisé les guillemets dans l'expression "par le Pôle". Cela prouve indiscutablement que cet auteur (qui est probablement décédé actuellement car s'il avait écrit ce remarquable article à 50 ans mininum, il aurait 104 en 2012), n'ignorait sans doute pas, en effet, que les boussoles se dérèglent totalement au Pôle, et que les avions ne pourraient plus contrôler leur direction. Mais ce défaut de la boussole peut être contourné (Voir l'entrefilet qui précède)...Il savait aussi certainement que les autorités gouvernementales interdisaient aux pilotes des avions millitaires ou pas, le survol du Pôle Nord."


      Fin de citation .

      Venons en maintenant à l'affaire des sous-marins : Nautilus et Stake qui auraient fait des plongées sous le Pole Nord. Il y a déjà un hic , puisque le Lord anglais Brinsley le Poer Trench dans l'ouvrage déjà cité plus haut, mais que nous reprenons volontairement ici, en réduction :

  

affirme que le Nautilus après avoir "frôlé", le Pôle Nord, géographique , a battu en retraite et s'en est retourné au Spitzberg.

      Aux historiens de répondre, car ce n'est pas du tout le schéma que nous propose le n° 140 de la revue Science et Avenir, d'Octobre 1958, où il est fait état, dans un remarquable article, du passage sous le Pôle Nord, au travers de la banquise arctique de ces sous-marins atomiques américains tel que le Nautilus (en 3 Aout 1958), et le Skate en (17 mars 1959).

      Voyez vous même, ce que l'on nous propose dans cette revue :



    Et voici donc, le début de l'article en question :



    Et, pour débuter voici un montage d'une portion du sommaire de l'article de ce ScienceetAvenir d'octobre 1958:



     Vous avez bien noté, que ce sommaire, nous apprend que le Nautilus et le skate "ont montré que la meilleure route maritime passait sous le Pôle", et que cela pourrait mettre en branle les "sous-marins cargos"...

     Voyez d'ailleurs aussi, en passant, cette représentation du trajet du Nautilus paru dans la revue "Jours de France" N°197 du 23/08/1958.



    Bien sûr, le site ARTivision, sait que ces sous-marins sont passés sous l'eau, tangentiellement au vortex polaire comme l'ont fait à la surface certains explorateurs, qui ont cru être arrivés au Pôle Nord, ou ont aussi cru traverser la calote polaire de part et part:



    Autrement ces sous-marins, auraient plongé dans le vortex polaire, et auraient peut-être disparu, corps et biens, dans la région.

    Dessinons alors grossièrement, un disque mauve pour représenter l'entrée de ce vortex, qu'ils ont frôlé assurément. Quant à dire que les commandants de très haut grade de ces sous-marins atomiques, ignoraient l'existence de ce vortex, c'est justement ce que nous allons évoquer plus bas



     Mais voyons de plus près, quelques paragraphes bien sélectionnés de cet article,..

    " ...Aux dernières nouvelles les U.S.A. qui ont huit sous-marins atomiques à flot et treize en construction, en ont au surplus douze de commandé. Si bien que, sans même escompter un relèvement très probable des programmes, la marine américaine disposera d'au moins trente trois sous-marins atomiques en 1961.

UN BRISE-GLACE AU POLE


    C'est d'une façon aussi explosive que s'est imposé l'intérêt des régions arctiques pour les liaisons entre continents. C'est presque simultanément, il est curieux de le constater, que ces régions ont intéressé l'aviation commerciale, la navigation de surface et la navigation sous-marine. Ceci est d'autant plus remarquable que les problèmes à résoudre dans des domaines aussi différents, n'avaient absolument rien de commun...

    ...Ce franchissement du fameux "passage du Nord-Ouest", tellement recherché au cours des siècles passés, n'a pas, aujourd'hui, qu'un intérêt sportif ou de prestige. En effet, les U.S.A. ont installé tout le long de la façade de l'Océan Glacial Arctique une série de radars d'alerte, de stations météorologiques et même d'aérodromes qui ont pour eux un intérêt stratégique de premier plan. ( Note du Webmaster : Il ne devrait pas être question de stratégie, mais de coopération et d'entraide entre les nations installées dans ces régions archi-froides et désertiques et ou règnent souvent des tempêtes glaciales. Il y a autre chose que l'on l'on cache au monde entier et les hauts responsables de ces gouvernements qui patrouillent dans l'Arctique sont parfaitement au courant des circulations d'Ovnis qui y circulent par l'ouverture polaire quand elle est opérationnelle.

    Mais ce raccourcissement est encore beaucoup plus sensible pour la route maritime. Sur son trajet classique Paris-Tokio, l'avion volait à peu près en ligne droite de Paris à Karachi, puis à Bangkok, à Hong-kong; à Tokio; il n'avait à contourner ni la péninsule d'Arabie, ni l'Inde, ni la longue péninsule de Malaisie.

    Le cargo et le paquebot, eux, accomplissaient un périble de 22 680 km pour rejoindre l'archipel nippon. Ainsi, alors que la route arctique fait gagner à l'avion un peu plus de 10 % sur Paris-Tokio, elle peut faire gagner plus de 40 %, au navire.

    La publicité faite dans la grande presse par les diverses compagnies aériennes lors de l'ouverture de leur "ligne polaire" (Voyez encore ici les guillemets) a familiarisé le public avec l'intérêt de ces nouvelles liaisons. Les exploits tout récents du Nautilus et du Skate, sont encore suffisamment présents à l'esprit pour qu'il ne soit pas nécessaire de rappeler ici l'importance de leur périple; par contre, les progrès de la navigation de surface dans les régions polaires sont passés beaucoup plus inaperçus.

    Et pourtant, au cours de ces dernières années le problème a beaucoup évolué. Du côté des U.S.A., plusieurs tentatives ont été récemment faites pour relier l'Atlantique au Pacifique en passant par l'extrême-nord du continent américain. C'est ainsi que, en 1954, le bateau canadien Labrador mit 27 jours pour relier Halifax à Esquimaulc en empruntant le "passage du Nord-Ouest". Les renseignements météorologiques et géographiques rapportés par le Labrador permettent de supposer que l'état des glaces rendra ce passage praticable pendant plusieurs mois par an...

    ...Le matériel nécessaire à ces installations a été soit parachuté, soit amené avec des frais et des pertes incroyables par des trains de traîneaux motorisés. Pour leur ravitaillement, ces bases continuent à dépendre de la voie aérienne ou terrestre. Tant pour étendre fortement cette infrastructure polaire que pour assurer un abaissement de son coût d'entretien. Le transport maritime par le passage du Nord-Ouest s'avère d'un puissant intérêt.

     Les Russes ont naturellement, de leur côté, les mêmes problèmes. II s'y ajoute pour eux un intéret économique de liaison entre Vladivostok et le nord de l'Atlantique ainsi que pour l'évacuation de certaines productions sibériennes. Aussi ne doit on pas s'étonner de ce que, la Nature aidant, (le passage du Nord-Est semble plus libre de glace que celui du Nord-Ouest), le problème de la navigation polaire est très avancé de l'autre côté du Rideau de Fer.

    Une escadre de brise-glace s'efforce de maintenir libre un chenal tout le long de la côte sibérienne, et, la plupart des étés, depuis quelques années, l'Océan Glacial Arctique est le siège d'une navigation de cargos portant sur des tonnages nullement négligeables.

    C'est pour moderniser et renforcer cette flotte de brise-glace que fut mis en chantier à Leningrad, le brise-glace atomique Lenine. L'intérêt de la propulsion atomique pour un brise-glace est évident. Ce navire a besoin, pour rompre la banquise, de disposer de puissance considérable; de plus, il évolue dans des zones où son ravitaillement est difficile et coûteux. I1 était donc logique que les Russes lancent comme premier navire atomique un tel bâtiment. C'est le seul, ont-ils dit à Genève, dont l'intérêt économique soit dès maintenant certain.

    I1 semble, d'autre part, qu'une fois la décision prise de lancer ce brise-glace géant (son tonnage est de 16 000 tonnes contre 11 à 12 000 tonnes pour les plus gros brise-glace classiques actuellement en service), un projet audacieux soit né dans l'esprit des dirigeants soviétiques : lui faire conquérir le Pôle.

    La chose a été préparée d'assez longue date. II s'agissait de trouver une voie d'accès vers le Pôle où l'épaisseur des glaces ne fût pas excessive. C'est le professeur Lapoff, de l'Académie des Sciences de Moscou, et le Colonel Ratentrine qui ont, au préalable, entrepris l'indispensable expédition pour reconnaître un trajet polaire combinant des moyens aériens et sous-marins....

    ...Une exploration aérienne permettait tout d'abord de repérer une zone où la banquise était suffisamment fracturée pour que l'on puisse espérer y faire émerger un sous-marin. ( Note du Webmaster : Avec un peu de chance ces hélicos auraient pu découvrir un passage, conduidsant à la mer libre tel que :


    Comme on le voit sur cette photo satellite (nous en dirons plus, une autre fois, sur cette extraordinaire photo), il existe bien une zone libre de glace dont la flèche rouge, nous montre, un passage y accédant (des dizaines d'articles d'ARTivision le démontrent) :


    Cette mer libre est donc immense et est reliée au vortex polaire, que nous cachent nos gouvernements pour de vulgaires questions de prestige national, et militaire, et surtout pour assurer et pérenniser leur devise scélérate "Diviser pour mieux régner", et pour nous mener par le bout du nez. De plus des scientifiques pour ne pas salir leur réputation, cautionnent cette mystification, et nous le démontrerons plus bas...


     ...Mais cette fois les U.S.A. ont pris leurs dispositions pour ne pas se laisser distancer. Cela nous a valu les téméraires exploits du Nautilus et du Skate qui se sont déroulés dans des conditions assez peu classiques pour la nation américaine : d'une part, le secret a dominé l'opération, d'autre part l'excès de prudence habituel qui oblige les U.S.A. à procéder par lentes étapes successives a été ici violé. Après une courte incursion sous la banquise en octobre dernier, le Nautilus s'est lancé dans l'inconnu au sein d'un océan dont les fonds étaient presque totalement ignorés. ( Note du Webmaster : Ça c'est l'auteur George Lacoste, qui s'imagine que les fonds étaient ignorés. S'il s'était renseigné sur les découvertes du contre Amiral Byrd, il aurait mis aussi là des guillemets à son expression. En effet d'abord il aurait dû savoir que, ces fonds polaires, n'étaient pas si ignorés que cela, puisque nous l'avons vu plus haut, l'explorateur Nansen en avait mesuré la profondeur à certains endroits, et elle atteignait près de 4000 m, puis il y avait aussi détecté un courant puissant allant du détroit de Bering à l'Atlantique, et même il en avait déduit qu'il existait un courant d'eau chaude à quelques centaines de mètres de la surface etc...

     Mais de plus, ce Monsieur George Lacoste aurait pu en 1958 savoir, que le Gouvernement américain, était parfaitement au courant, depuis belle lurette, du fait que le vice Amiral Richard E. Byrd, avait découvert une région inconnue, au-delà du Pôle Nord. Puis, ce fut une affaire analogue au-delà du Pôle Sud, et , nous avons beaucoup plus de documents qui le prouvent, pour le Pôle Nord.


    Maintenant que la preuve éclatante a été faite des possibilités de la flotte sous-marine atomique les U.S.A. vont entreprendre une politique systématique d'amélioration du rendement des propulseurs, quitte à prendre le risque d'avoir des réacteurs un peu moins robustes. Le réacteur du Nautilus est un véritable gouffre sur le plan économique. Sa première charge qui lui a permis de parcourir 42 500. milles a coûté 4 millions de dollars. Même si l'on admet que l'uranium résiduel pollué garde 50 % de sa valeur financière le prix du CV heure ressort à 10 fois celui du CV/heure fourni par un moteur classique.

    Fort heureusement les choses évoluent rapidement. Déjà, on commence à publier quelques chiffres sur les nouveaux réacteurs qui vont équiper les prochains submersibles: or, ces chiffres sont très encourageants. Le capitaine Anderson, commandant- le Nautilus, et qui est lui-même ug spécialiste des questions nucléaires, a déclaré ré cemment à New York que les nouveaux réacteur produiraient de l'énergie qui serait à peine deux) fois plus chère que celle que produisent les pro pulseurs d'un sous-marin classique.

    Certes, il faut bien se dire que le calcul du prix) de l'énergie atomique outre-atlantique est faussi par le tarif artificiel de l'uranium enrichi. Toutefois, si nous nous en tenons aux déclarations du capitaine Anderson, nous devons remarquer que le prix du CV/heure auquel il fait allusion semble bien être celui des moteurs diesel actionnant les sous-marins en surface.

    Pour les plongées profondes, le problème changi du tout au tout. En effet, les accumulateurs soni des engins à très mauvais rendement; les pertes dues à leur charge et à leur décharge atteignet pratiquement 50 % dans les conditions d'exploitation d'un sous-marin. Ainsi, le prix de l'énergie en plongée est-il doublé par rapport à celui de l'énergie fournie directement par les diesels au), arbres d'hélices. Dans ces conditions, la propulsior nucléaire en plongée n'apparaоtrait pas comme plus coыteuse que celle des sous-marins classiques

    Ces conditions, valables pour les militaires résignés à payer plus cher la propulsion sous-marine, restent-elles valables pour le cargo ?... Dans le cas assez particulier des routes polaires, la réponse est positive puisque, nous l'avons vu, la solution sous-marine permet précisément de raccourcir de moitié environ la longueur classique des itinéraires. La dépense énergétique resterait donc identique à celle d'un navire classique transportant les marchandises entre Paris et Los Angeles par exemple, tandis que les autres frais comme ceux de l'équipage et l'immobilisation du navire se trouveraient toujours divisés par deux du fait de la réduction du parcours.

LE GLAS A SONNÉ POUR LES NAVIRES DE SURFACE.


    Où en est la France, dans le domaine de la navigation sous-marine atomique ? La Marine Nationale a mis en chantier un premier sous-marin atomique de 5 450 tonnes. Malheureusement, la date d'achèvement de ce bâtiment ne peut être fixée pour le moment. En effet, pour équiper son réacteur, si nous ne voulons pas mettre à flot un navire totalement dépassé sur le plan technique, il nous faut de l'uranium enrichi, car les U.S.A., seuls fournisseurs possibles à l'heure actuelle, ont une règle absolue : pas un gramme de ce produit ne peut être cédé pour un usage militaire. On sait que la France a présenté à Genève, le mois dernier, ses projets pour la réalisation d'une usine franзaise de séparation isotopique. Même si la construction de cette usine, démarrait avant l'an prochain, il faudrait compter un délai assez important pour son achèvement et sa mise au point, puis pour que sa production cummulée fournisse le tonnage nécessaire à un réacteur de sous-marin. En admettant, bien entendu, que le sous-marin dispose en matière de combustible enrichi, d'une priorité absolue.

    En attendant, la France dispose toutefois d'un biais intéressant pour se familiariser avec les moteurs atomiques marins. Celui d'entreprendre la construction d'un navire de commerce atomique, d'un pétrolier, par exemple. Dans ce cas alors, les U.S.A., qui nous ont déjà fourni de l'U 235 à diverses concentrations pour nos réacteurs de recherche, ne refuseront pas la livraison du combustible nécessaire. La France pourra alors se familiariser avec la construction de réacteurs à hautes performances. Au moment où; notre propre production de combustible enrichi sera suffisante, nous pourrons aborder sans tвtonnement l'équipement de notre premier sous-marin atomique.

    A moins que d'ici là, l'idée du cargo sous-marin fasse de tels progrès, qu'il devienne possible, sans invraisemblance, de solliciter des U.S.A. la fourniture d'uranium enrichi pour l'équipement d'un navire sous-marin qui n'aurait pas une destination militaire...

    L'amiral Monsen n'a-t-il pas déclaré récemment aux États-Unis : "Le glas a sonné pour les navires de surface. La transformation des navires sera évidemment progressive, mais elle sera totale et s'accomplira aussi bien dans les flottes marchandes que polir les navires de combat." Dès que la technique le permet, l'homme a, en effet, tout intérêt à quitter la limite perturbée de l'air et de la mer pour naviguer dans le grand calme qui règne sous le miroir de la surface.

Georges LACOSTE             


Fin de citation


    En conclusion, on a bien lu plus haut que : LE GLAS A SONNÉ POUR LES NAVIRES DE SURFACE.. Donc L'homme propose, et cependant c'est le Maître du Temps qui lui, dispose. Pas un seul de ces cargos sous-marins, si bien décrits plus haut, n'a vu le jour alors que le monde du commerce est très puissant, et n'hésite pas une seconde pour faire valoir ses droits. Certains diront vite fait, que la technologie n'était pas encore au point dans le temps qui a suivi cet exposé du sieur Georges Lacoste, ou que cela n'a pu se réaliser pour d'autres raisons économiques non connues etc...

     Le site ARTivision, pense que nos progrès en Informatique et consorts,, nous auraient vite permis de surmonter les difficultés inhérentes à la construction de ces cargos sous-marins. Mais ARTivision affirme aussi, que le passage sous le Pôle de nombreux sous-marins"était bien trop dangeureux ", pour que l'on s'y risque, à cause bien sûr du vortex polaire, qui s'y manifeste à certains moments.

      Enfin rappelons que Brinsley Le Poer Trench avait écrit en 1974, ( comme croyait W. Reed), dans son livre cité plus haut :

     "le pôle Nord n' est pas un point reel, mais il est virtuellement localisé au cœur de la grande entrée polaire".

      Le siteARTivision, a démontré que cette assertion n'est pas correcte, car on sait maintenant, que le disque représentant le vortex polaire en question, ne se juxtapose pas juste au-dessus du Pôle Nord.



et (on l'a déjà vu plus haut), qu'il existe bien un Pole Nord géographique, tel que d'après le site ( http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm), on a appris que l'axe polaire de rotation, n'est pas confondu avec l'axe passant par le centre des trous polaires, comme l'indiquerait le schéma :



     Une fois de plus, à vous de juger, toute cette affaire de sous-marins en ballade sous la banquise, documents à l'appui.

      Mais ce 26 Février 2016, analysons le quatrième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre Quatrième focus correspondant :

      Notre modeste traduction donne :

      " Le plancher de l'océan arctique a été passablement répertorié et cartographié.- aucune trace d'une quelconque ouverture polaire n'a été trouvée. "

      Encore bravo, pour cette confiance absolue que ce Mr John M. Prytz accorde aux dirigeants de son pays. S'il s'était aussi intéressé à la Lune, il verrait assurément, que l'on nous ment au plus haut niveau, et par exemple, il découvrirait cette photo extraordinaire et très rare, du cratère Copernic, tirée de l'ouvrage publié en 1969 (donc avant son laius, que nous étudions actuellement) , "The Moon" de Mr Zdenek Kopal publié chez l'Editeur D. Reidel à Dordrecht:


     On y voit clairement dans le cercle indiqué un engin indiscutablement non naturel, entrain de raboter la partie droite de Copernic. Il va sans dire, que cet engin peut parfaitement être sans roues et antigravitationnel, c'est-a-dire qu'il utilise des énergies inconnues de nous, pour extraire du sol du cratère, des minéraux utiles aux occupants.


     Si l'on sait que ce cratère Copernic mesure environ 93km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur, près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à : 12 km. Comment donc il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues ...

      Mais pour le puriste, extrayons du site :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Océan_Arctique

      , quelques éléments académiques, concernant les fonds de ce bassin Arctique :

     "L’océan Arctique, ou océan glacial Arctique, s'étend sur une surface d'environ 14 millions de km2, ce qui en fait le plus petit océan. Il recouvre l'ensemble des mers situées entre le pôle Nord et le nord de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique. Il communique avec le nord de l'océan Atlantique, recevant de grandes masses d'eau à travers la mer de Barents et le détroit de Fram. Il se trouve aussi en contact avec l'océan Pacifique à travers le détroit de Béring

.      La banquise le recouvre en grande partie avec des variations saisonnières. En son centre, la banquise mesure jusqu'à 4 mètres d'épaisseur. Cette épaisseur est atteinte par le glissement de plaques de glace les unes sur les autres. Sa surface et son albédo tendent à se réduire en raison du réchauffement climatique et d'un réchauffement régional (deux à trois fois plus rapide que dans le reste du monde pour la période 2010-2014) qui cause aussi une hausse de l'absorption du rayonnement solaire par cette région du monde, ce qui pourrait accélérer le réchauffement de l'eau et la libération d'hydrates de méthane
"



Et pour les specialistes en géographie bien connue :


      Nous ne sommes pas compétant pour discuter les détails mentionnés ci-dessus . Par contre, voila un autre carte qui ne coure pas les rues, et qui vient du site, on le devine bien, ARTivision.


     On voit là parfaitement, où est situé le trou polaire et dont le diamétre varie ( On verra cela plus bas)

       Mais pour être plus clair dans cette affaire, présentons ici cette photo très surprenante, que l'on trouve dans de très nombreux articles de notre site, et qui fut déjà esquissée plus haut:



     Après quelques recherches, nous avons appris, il y a quelque temps déjà, que cette photo aurait été captée par un radio-amateur d'Allemagne, qui a travaillé, à l'époque, au Centre Spatial de Garchlingen ( Bayern ) et qui connaissait la fréquence du satellite qui survolait la région. Cette photo a été copiée plusieurs fois et on la trouve aussi sur un site au graphisme admirable, et dont l'url est :

http://virtuellife.centerblog.net/20608-la-porte-interdimensionnelle-universelle
.

      Nous ne savons toujours pas si cette photo est un habile montage ou pas, mais pour nous, les gouvernements n'avaient aucun intérêt à diffuser, même pour faire de la désinformation, une telle photo. Nous avons, tout de même, osé placer cette photo dans certains de nos articles, et en particulier dès le 21/04/2004 à l'article:

http://www.artivision.fr/lettreouverteauPrinceAlbertII.html

     Donc le site ARTivision, a aussi été le premier sur le Net Français, à présenter, une analyse pointue, de cette image, faite gratuitement par un infographiste qualifié :

    "Hors dans ce cas, le film atmosphérique a une forme parfaitement régulière ne dépendant pas des irrégularités de la surface terrestre et son intensité ne dépend que de l'éclairage global du globe, et pas des points immédiatement en dessous, ce qui est normal pour une lumière réfléchie.

  Seule une image extrêmement complexe utilisant du Lancer De Rayon avec un module de calcul de diffraction associé à un nuage de particules fines peut donner ce résultat en synthèse.

    Mais vu la finesse des détails, il faudrait vraiment posséder une sacrée machine et d'excellents infographistes. De plus je persiste à dire que les outils d'imagerie ont la facheuse habitude à créer des dégradés parfaits,(la bande de dominante rouge aura toujours la même épaisseur que la bande de dominante bleu, et suivra parfaitement la courbure de la surface terrestre), et légèrement sursaturés en couleurs, à l'opposé d'un dégradé naturel où les couleurs sont beaucoup plus mêlées et diffuses...
"

      Si cela s'averrait exact, nous serions , en présence d'un document exceptionnel et inestimable.

      Maintenant, il suffit pour comprendre que les choses bougent en ce moment, de jeter un bref coup d'œil dans une librairie moderne, pour y découvrir cette incroyable ouverture polaire, dans les opuscules qui fleurisent en ce moment, sur la thèse de la Terre creuse que le site ARTivision, fut l'un des premiers à présenter sur le Net français dès Septembre 2000.

     Voyez vous-même ceci : :

   

     Donc cette photo très surprenante se retrouve, sans explication aucune, dans les trois opuscules présentés ci-dessus. Les deux premiers de gauche présentent la photo en noir et blanc (respectivement page 16 et 52) et le 3e, bien plus agréable à voir en couleur, (page 23).

     Pour nous, les protagonistes des opuscules précédents , ont dû prendre en compte l' analyse pointue de notre très aimable infographiste (sans, nommer une seule fois, notre site), pour oser présenter à nu, cette photo hors norme, dans leur fascicule.

     A vous de juger, une fois encore, documents à l'appui...

    Mais ce 27/02/2016, poursuivons notre étude du bassin polaire Arctique, et nous allons voir encore, qu'il s'y passe des choses très significatives, que l'on nous cache absolument en haut lieu.

    Mais reprenons le texte de Wikipedia tel que :

     " La banquise le recouvre en grande partie avec des variations saisonnières. En son centre, la banquise mesure jusqu'à 4 mètres d'épaisseur. Cette épaisseur est atteinte par le glissement de plaques de glace les unes sur les autres."

    A aucun moment il n'est fait état, dans cette banquise, de cette mer polaire libre de glace, que de multiples explorateurs affirment y avoir rencontrée.

     D'ailleurs voici une image très officielle et cartographique, qui figure dans un livre, qui était réservé aux élèves de 6 éme, et publié en 1977 par Fernand Nathan :




     Vous avez bien noté, dans la légende, que cette carte, place le Pôle Nord, en plein dans la zone dite, de la "banquise permanente", alors que le site ARTivision, prétend démontrer que ce Pôle Nord, se trouve dans une "Mer libre de glace". Reste à savoir, pourquoi nos gouvernements, nous cachent cette mer libre du Pôle Nord, dont il est question dans de très nombreux articles de notre site.

    Or, sur les photos de la NASA, montrant la zone polaire nord, pas une, ne montre cette mer libre autour du pôle, dont parlent pourtant de très nombreux explorateurs, qui ne peuvent en aucun cas être des affabulateurs.

     Mais, c'est dans l'exceptionnel ouvrage "The Smoky God" de 1908 (voir notre article : SmokyGod.html), que l'on découvre un extraordinaire voyage au Pôle Nord :

  

     Pour voir ce qu'il y avait là, le navigateur norvégien, Olaf Jansen, et son pêre, se sont dirigés vers le Grand Nord, avec leur sloop de pêche, à une certaine période de 1829.

    Alors Olaf, nous dit ceci, à un moment particulier du voyage :

"Devant nous et directement au nord, s'étendait une mer libre."...

     Et, nous voilà donc, en plein milieu de cette affaire de mer libre du Pôle, niée actuellement par nos universités, mais longuement évoquée, par de très nombreux explorateurs polaires comme Greely, Nansen, Hall, Wrangell, Edward Parry, Ingleflied, Kane, Hayes ...etc...

    Ce dernier, Isaac Israël Hayes, était un explorateur, né à Chester (Pennsylvanie) le 5 mars 1832, mort à New York le 17 décembre 1881. Médecin en 1853, il prit part en cette qualité à une expédition de Kane au pôle Nord.

      Nous avons de lui l'ouvrage suivant :


, ouvrage de 1877, qu'en 1984, par une chance inouie (Merci à Super Hasard, car cette chance est sans doute mieux que celle de gagner le gros lot au Loto) , nous avons trouvé, en Guadeloupe, dans une vieille malle à 600 m de chez nous. Il y manquait 18 pages, de la Préface, que nous avons pu heureusement faire photocopier à la Bibliothèque Nationale de Paris. Pour en savoir plus sur cette affaire prière de consulter notre page :

http://www.artivision.fr/Byrdsuite.html

    On trouve alors ceci, aux pages 188 à 189 :

" Tout le démontrait: j'avais atteint les rivages du bassin polaire. L'océan dormait à mes pieds.... il m'était donc impossible d'aller plus loin. La crevasse dont j'ai parlé eût déjà suffit pour nous empêcher d'atteindre le nord de la baie; mais, au large, les glaces paraissaient encore en pire état. Plusieurs flaques d'eau s'ouvraient près du littoral, et sur l'une d'elles venait de s'abattre une bandes de "dovekies" ou de guillemots à miroir blanc. En remontant le canal kenedy, j'avais reconnu nombre de leurs stations d'été; cependant j'étais assez surpris de voir les oiseaux eux-mêmes à une époque si peu avancée de la saison. Les mouettes bourgmestres volaient au dessus de nous, se dirigeant vers le nord où elles cherchaient les eaux libres pour leur nourriture et leur demeure... "

    et le 19 Mai 1861:

" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une fascination puissante, et c'est avec des sensations inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue: telles sont les considérations qui semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions... "

      Fin de citation

    Tout ce qui est raconté ci-dessus, est superbement rassemblé dans une gravure montrant ce fantastique paysage, qui à juste titre a suscité beaucoup d'émotion chez Hayes et son compagnon. Voici donc cette gravure sublime, représentant en page 190 bis, cette surprenante Mer libre du Pôle :



    Il nous reste cependant, à bien analyser cette gravure dans ses détails les plus fins, et surtout en ce qui concerne les oiseaux , dont nous parlerons plus bas.

    Et en couleur c'est mieux, grâce à la une petite contribution de notre ami Christian C....... qui réalise d'amirables aquarelles (Aquarelle et voyage):



    Mais voici aussi ce que nous dit au sujet de cette mer libre, le grand explorateur, le Dr Elisha Kent Kane, qui fut un officier médecin (28 Février 1820 – 16 Février 1857) de la Marine des USA, et fut un très grand explorateur polaire du 19 e siècle.

    On sait qu'il publia en 1857, cet ouvrage connu que l'on peut trouver sur le site :

http://www.archive.org/stream/arcticexplorati02kanegoog#page/n0/mode/2up


     Et pour les puristes, voici en anglais, le paragraphe surprenant qui nous intéresse :


      Et voici une traduction de cet étrange paragraphe :

" Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "

   
Que dire de plus, si ce n'est que l'on découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de la mer libre du pôle.

     Alors chers détracteurs zélés, sauf de dire que Dr Elisha Kent Kane et Isaac Israël Hayes étaient plutôt timbrés, nous attendons votre réponse...

     Il y a aussi des chercheurs qui, tout en n'étant pas des explorateurs, ont largement évoqué cette mer libre, dans leurs investigations, comme Buffon, Boiteau, Jules Gay, J-p Bellot, Daines Barrington etc...

     Tous ces gens ne peuvent avoir menti, surtout à l'époque, où l'on ne plaisantait pas avec la rigueur morale.

     Mais pour les puristes, qui aiment remonter aux sources, voici aussi un document très significatif à cet égard :



      Donc, juste au début on découvre que : " le 20 Octobre .- Des rapports complets de la dernière expédition allemande vers le Pôle Nord ont été publiés. Il y est fait état que l'expédition fut un succès. Une mer polaire fut découverte libre de glace et grouillant de baleines...".

      Nous devons maintenant ici, fustiger , l'explorateur Français Paul Émile Victor, qui a critiqué très sévèrement l'explorateur américain Israel Isaac Hayes, au sujet de cette mer libre. Voir alors cette triste affaire, à notre article :

http://www.artivision.fr/Recherchemerlibre.html

     Ce Paul Emile Victor, est décédé le 7 Mars 1995 à Bora Bora, et il aurait sans doute changé d'avis ( à moins qu'il ait été parfaitement au courant, mais qu'il ait eu, des Secrets d'État, à camoufler), s'il avait eu, le privilège comme nous, d'avoir sous la main, la missive extraordinaire en date du 18 Mai 2003 (mais hélas il n'était plus de ce monde), qui suit. Remarque : le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais on peut retrouver le texte en question, aux urls :

Pour le 19 Mars 2003 à :
http://web.archive.org/web/20030319171628/http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp

Pour le 9 Janvier 2006 :
http://web.archive.org/web/20060109200414/http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp
et aussi à d'autres dates).

     En effet, le 18 Mai 2003, nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les couleurs sont de nous, évidemment) :

----- Original Message -----
From : W.... T.....
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle Nord

Bonjour Fred

     J'ai trouvé sur le site :http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...

v.........t

 
  Pas de glace au Pôle Nord  

Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord cet été n'y a pas vu de glace. Là où aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan Arctique. Une première en... 50 millions d'années. 

États-Unis 

21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon l'expert, ce serait la première fois depuis 50 millions d'années que le pôle n'est pas couvert par la banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.



Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était la première fois que l'on trouvait les eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur. Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10 kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez solide pour pouvoir y marcher.

Autre détail troublant : des goélands ont été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se nourrissent de créatures marines, ne vivent habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une épaisse banquise.

Les participants de l'expédition voient dans toutes ces premières une preuve de plus de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule, au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 % depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici 2100

Philippe Gauthier


     Fin de citation

     Voilà donc un fantastique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante qui n'a eu aucun écho dans la Presse, ayant pignon sur rue.... Devinez alors pourquoi une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe. Ce communiqué montre ainsi bien, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, ne dit pas autre chose, sur la mer libre du pôle, que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom (vu plus haut et dont voici encore une présentation, étant donnée son importance :


    Parlons maintenant d'une émission de I Télévision en Décembre 2002 (nous n'avons pas hélas noté le jour exact), où le Dr Jean-Louis Etienne a déclaré que, au dessus de son abri déposé au soi-disant Pôle Nord, il avait vu passer à son grand étonnement , au dessus de sa tête, trois sortes d'oiseaux qui circulaient dans le coin.

    Notre question est la suivante : "Que faisaient ces oiseaux, si loin dans le nord, où l'on ne trouve que des étendues glacées et neigeuses, et où en principe, il n'y a rien à manger, et de plus on aimerait savoir, où ils se dirigeaient ? ".

    Voilà les questions qu'un téléspectateur avisé, aurait dû poser à l'explorateur, plutôt que de lui parler de banalités.

    Le problème qui s'attache aux expéditions de J.L. Etienne, et à tous ceux qui prétendent être allés au pôle, est qu'ils font le calcul en considérant la Terre comme une vraie sphère un peu aplatie aux Pôles et donc, il suffit de mesurer par des procédés géographiques, la distance parcourue, pour dire après, que l'on a atteint le point clef, que l'on croit être le sommet de la Terre.

    Reprenons les indications se trouvant sur la carte Nathan de 1977, déjà vue plus haut ;



   Imaginons donc que l'on veuille faire la distance la plus courte présentée ici, pour relier le Pôle Nord. En partant de la côte soviétique, et en faisant à vol d'oiseau 1600 km, bien mesurés avec nos appareils et nos calculs de position, on croira être arrivé au Pôle, soit très facilement par avion comme Byrd le pensait, soit beaucoup plus difficilement avec des traîneaux de chiens, comme ont cru l'avoir fait tant d'explorateurs polaires, dont beaucoup ont laissé leur vie à cause du froid intense qui règne sur la banquise, soit même en passant sous la banquise comme prétend l'avoir fait le sous-marin américain le Nautilus le 3 Août 1958.

   Puis, il suffit de planter un drapeau au bout de ces 1600 km et de sauter de joie en disant que l'on était enfin arrivé à ce point mythique. Ensuite, il ne reste qu'à faire demi-tour, ou même à longer le bord supérieur de la concavité, pour ressortir de l'autre côté ( pour ceux qui prétendent avoir traversé de part en part toute la banquise) sans s'apercevoir pour cela qu'il y a une inclinaison notoire du sol dans ces régions immenses qui font plusieurs fois la superficie de la France.

   Evidemment, on ne peut avoir tenu compte dans les calculs d'approche de ce point mythique de la concavité polaire, dont on ignore jusqu'à l'existence.

     Mais pour clore ce 4ème focus, présentons ici une disgression, très significative , pour ceux qui trouvent comme P-E Victor et consorts, que les épanchements lyriques de Hayes, ne devaient pas être de mise devant le spectacle fabuleux que lui offrait cette mer libre du pôle au sommet du monde. Voici, à contrario, ces quelques lignes extraites d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973:


     Là, comme on le voit, nous passons d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine s'exprime avantageusement, selon nous, pour Hayes, voici que pour Neil Armstrong, dans une situation encore plus extraordinaire, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre, (et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet, le souffle coupé devant un tel paysage d'outre-Terre), ce dernier, en véritable robot, refuse même de dire devant ces interlocuteurs seulement que la Lune est belle.

      Voilà, Messieurs les journalistes intrépides, un sujet d'article passionnant que représente ce parallèle à faire, entre deux explorateurs, si opposés dans leur conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants en Psychiatrie, Psychologie ou autre Philosophie, une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance, sur une étude comparative de ces deux modes d'expression, des explorateurs précités...

Fin de la digression.

      A vous de juger tout cela, une fois de plus, documents à l'appui... .

      Mais ce 29 Février 2016, analysons le cinquième concept élaboré
, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre cinquième focus correspondant :

      Notre modeste traduction donne :

      " S'il existe une ouverture polaire, la circulation des courants océaniques mondiaux, en serait affectée."

      Pour illustrer cette affaire de courants marins adressons nous par exemple (il y a d'autres sites de même nature), au site très académique de Jean-louis Étienne tel que:

http://www.jeanlouisetienne.com/images/encyclo/imprimer/18.htm 

On y découvre alors les paragraphes partiels suivants :

Un océan caché sous la banquise

     L’océan Arctique, centré sur le pôle Nord géographique, couvre environ 13 000 000 km2. Ses fonds ne sont connus que depuis quelques dizaines d’années. Sorte de Méditerranée boréale quasi fermée par le détroit de Béring, il est enserré par les grands continents de l’hémisphère nord et ne s’ouvre largement que vers l’océan Atlantique, entre le Groenland et la Scandinavie.

Des bassins abyssaux…

     Le centre de l’océan Arctique est occupé par des cuvettes profondes de 3 000 à 5 000 m, séparées par des chaînes sous-marines dont les sommets culminent à près de 1000 m sous la surface. Cette morphologie complexe reflète une histoire géologique longue et tumultueuse.

Une géographie, mère de notre climat :

     L’océan Arctique est une sorte de cul-de-sac de l’océan Atlantique dont il est le prolongement naturel. La large ouverture entre Groenland et Spitzberg permet de vastes circulations de masses d’eau, tant en surface qu’en profondeur. Ce brassage génère d’importants échanges de chaleur, clefs du climat de l’hémisphère Nord.

L'Océan Arctique : Le cul-de-sac de l'océan Mondial:

     Le fond de l'immense cuvette océanique boréale communique par un étroit sillon sous-marin (fosse de la Léna, dont la profondeur maximale dépasse 4 000 m) avec un deuxième domaine, le bassin scandinave, trois fois plus petit, qui s'étend entre le Svalbard, la Norvège, l'Islande et le Groenland. Ce bassin scandinave est, lui, largement ouvert sur l'Atlantique de part et d'autre de l'Islande.

     L'eau qui pénètre dans l'océan Arctique par le détroit de Béring, poussée par le courant giratoire de la mer de Béring, est réduite à une couche superficielle (seuil d'une quarantaine de mètres de profondeur) ; côté Atlantique en revanche, la branche du puissant courant nord atlantique, qui rentre le long de la Norvège, est large généreuse (seuils vers -200 m et -500 m, soit une "ouverture" 200 fois plus importante qu'au détroit de Béring). Ainsi, si l'océan Antarctique est le rond-point des eaux océaniques mondiales, l'océan Arctique, au contraire, en est en quelque sorte le cul-de-sac, le point de rebroussement.

     Les sorties d'eau se font essentiellement de deux façons : en profondeur, de la mer de Norvège vers l'Atlantique, et en surface par les courants du Groenland et du Labrador. Pratiquement rien ne ressort par le seuil de Béring vers le Pacifique.

Eaux de fond et eaux de surface :

     En profondeur, la circulation océanique arctique est très différente de celle de la surface. Toutes les eaux venues de l'Atlantique Nord y retournent, car la sortie vers le Pacifique est condamnée. Au niveau du Svalbard, les eaux atlantiques, plus salées et plus denses quoique moins froides, plongent sous les eaux polaires formées en surface dans le vaste bassin arctique ; cette plongée est nettement marquée par une frontière hydrologique sinueuse : le front polaire. Là, ces eaux pénètrent en profondeur dans le vaste bassin boréal, où on les reconnaît à leur température toujours positive et leur salinité supérieure à 35 %. Cette masse d'eau intermédiaire longe tout d'abord le talus eurasiatique, puis, piégée dans les bassins sous-marins successifs, s'en retourne et ressort par le profond sillon de la Léna vers le bassin Scandinave et la mer du Groenland.

     Tout au fond du bassin eurasiatique - le plus profond - une couche d'eau de température négative, formée au niveau du plateau continental, demeure piégée, ne pouvant franchir la chaîne de Lomonossov.


Le bassin boréal : 3 masses d'eau superposées...

     En général, une couche superficielle d'environ 150 m d'épaisseur, relativement douce (à cause des apports environnants) et dont la température demeure toujours négative, recouvre une couche intermédiaire qui descend jusque vers 900 m, plus chaude (> 0° C) et plus salée (>35%°); puis jusqu'au fond, circule une couche profonde à peine moins salée, mais de température à nouveau légèrement négative.

     D'autres subdivisions, parfois saisonnières, apparaissent dans les mers nordiques.


     Le fond des seuils sous-marins nordiques sont marqués par les courants (à gauche), alors que les plaines, calmes, ne le sont pas (à droite).


     Au fond de l'océan Arctique, l'eau peut s'en échapper vers le sud en débordant au-dessus des seuils sous-marins du détroit du Danemark et des îles Féroé. Ainsi naît le courant de fond de l'Atlantique Nord, qui s'écoule en véritables "cataractes géantes" sous-marines.

     Au sud du seuil groenlando-islandais, l'eau forme une cataracte de 2 000 mètres de dénivelé et de 200 km de large ; vers 3 500 m de profondeur, elle constitue l'eau profonde de l'Atlantique Nord. Pendant sa descente, l'eau de la cataracte se mélange probablement avec de l'eau plus chaude (venue en particulier de la Méditerranée occidentale), de sorte que l'eau profonde de l'Atlantique Nord est un peu plus chaude que l'eau de fond antarctique, qui arrive, elle, du sud, et forme une couche distincte au-dessus.

     Ces cataractes ont un débit au moins 25 fois, plus que celui de l'Amazone !


Les courants marins : des distributeurs de chaleur :

     Les océans ne sont pas immobiles. Au contraire, courants de surface et courants profonds les animent en permanence.
     Les courants de surface (0,1 à 0,5 m/s) sont entraînés par l'action des vents ; les courants profonds, beaucoup plus lents, sont dus aux différences de densité de l'eau de mer, réglées par les températures et les salinités. Tous ces courants sont, lors de leurs déplacements, déviés par la rotation du globe (force de Coriolis).

      L'océan reçoit beaucoup de chaleur sous les tropiques. De là, les courant de surface transportent les eaux chaudes vers les hautes latitudes, où la chaleur est restituée à l'atmosphère. Ensuite, l'eau, refroidie et donc plus lourde, plonge en profondeur et repart vers les tropiques, emportée par la circulation profonde (eau profonde nord atlantique par exemple).
Les masses d'eau océaniques tempèrent ainsi les rigueurs des régions froides et modèrent la température des régions chaudes. Comprendre la circulation océanique mondiale c'est donc mieux comprendre les climats de la Terre ; et toute variation océanique altère les climats.

Quelques débits des grands courants océaniques :

Courant circumpolaire Antarctique : 130 Sv*
Gulf Stream : 90 Sv
Cataracte sous-marine du détroit du Danemark : 2,5 à 5 Sv
Courant de Béring : environ 1 Sv
Tous les fleuves du monde : 1 Sv
* 1 Sv (Sverdrup) = 1 million de m3/s

Le jeu des marées, perturbé par le relief côtier :

      Les marées sont dues à l'attraction qu'exercent la Lune et le Soleil sur la masse d'eau des océans. Mais cette explication - même en tenant compte de l'inertie, des frottements. - ne suffit pas à retrouver par le calcul les rythmes et les marnages peu croyables que l'on observe, par exemple, en Nouvelle - Écosse canadienne (jusqu'à 16 mètres en baie de Fundy !).

      En effet, l'attraction lunaire seule "soulève" les eaux d'environ 50 cm ; le Soleil - bien plus massif mais tellement plus lointain - rajoute sa contribution : une vingtaine de cm. Mais le reste ? C'est essentiellement le résultat d'une amplification locale, due à la forme des côtes et la remontée des fonds : une résonance. Au fond d'un golfe, ou d'un entonnoir côtier en pente douce, le balancement de la marée se réfléchit sur les parois et "résonne" donc (oscillations forcées), ce qui peut décupler l'amplitude du phénomène initial.

      Les oscillations des marées génèrent bien sûr des courants, parfois très puissants ; par exemple, entre les îles de Barents et d'Edge. En frappant les pentes des talus continentaux du nord de l'Eurasie, les marées créent également des tourbillons - sortes de mini cyclones aquatiques - qui s'enfoncent profondément dans toute la hauteur d'eau (vortex).

Les scientifiques dressent des cartes de marées :

      Au milieu des océans, les marées existent aussi, mais en l'absence d'île, rien ne permet de s'en rendre compte (les bateaux montent avec le niveau de la mer...). Les scientifiques mesurent ce battement du niveau océanique en immergeant sur le fond des appareils enregistreurs (marégraphes) sensible à la pression de la colonne d'eau qui les écrase : une méthode qui donne la marée au centimètre près.
      Sous l'effet de l'ensemble de ces phénomènes, le niveau des océans semble chaque jour se balancer et tourner autour de points fixes : ces points de marée nulle sont dits amphidromiques (du grec amphi et dromos, qui court autour) et les lignes qui permettent de suivre les amplitudes au fil des heures, des lignes cotidales, c'est-à-dire d'égale marée (de l'anglais tide, marée). Les océanographes représentent leurs résultats sous formes de cartes où ces points et lignes apparaissent, exprimées en "heure cotidale" ou degrés de longitude à partir du méridien de Greenwich (Temps Universel).

LE COIN DES PHYSICIENS

- Un litre d'eau froide est plus lourd qu'1 litre d'eau chaude; un litre d'eau très salée, est plus lourd qu'1 litre d'eau moins salée. Les différences de densité - liées aussi à la pression c'est-à-dire à la profondeur - semblent infimes : quelques dizaines de kilos par tonne (1m3). Mais cela suffit pour faire plonger ou surnager les diverses masses d'eau océaniques... que les physiciens repèrent et suivent, précisément, grâce à leurs "signes particuliers" : température et salinité.

- Une diminution de température de 10 °C fait croître la densité de l'eau de mer autant qu'une augmentation de salinité de 2 g/l, ou qu'un enfoncement de 2 ou 300 m dans les profondeurs. Ainsi, une eau polaire superficielle de densité de 1,027 par exemple, passerait à une densité de 1,022 à l'équateur, mais à 1,050 vers 5 000 m de profondeur.

- En Arctique, c'est la salinité de l'eau de mer qui conditionne les plongées d'eau à très grande profondeur, plus encore que la température. En effet, si la salinité de surface de l'océan est faible - en raison par exemple d'un excès de précipitations ou d'apports d'eau douce par les fleuves - la glace va pouvoir se former sur la mer avant que la densité de l'eau n'ait atteint une valeur suffisamment élevée pour lui permettre de plonger à grande profondeur. Or, une fois formée, la glace de mer bloque les échanges océan atmosphère, ce qui arrête alors la formation d'eau profonde...


Fin de la citation partielle


     Comme tout cela est magistralement bien dit , mais laisse perpléxe notre petit cerveau qui demeure dans une indéniable ambigüité. Voici une missive reçue le 28/02/2016, de notre bonne amie Nicole :

---- Original Message -----
From: Nicole
To: fredidylle
Sent: Sunday, February 28, 2016 1:28 PM
Subject: Océan Arctique - presence d'eau douce


            Bien cher Fred,


      Comme dit J.L. Etienne : "En effet, si la salinité de surface de l'océan est faible - en raison par exemple d'un excès de précipitations ou d'apports d'eau douce par les fleuves - la glace va pouvoir se former sur la mer avant que la densité de l'eau n'ait atteint une valeur suffisamment élevée pour lui permettre de plonger à grande profondeur."

      Votre question: Selon J.L. Etienne L'eau douce surnagerait l'eau salée à certains endroits de l'ocean Arctique. Est-ce correct ?

      L'eau salée gèle à une température inférieure à 0°C, et l'abaissement de température de congélation dépend de la concentration en sel. Ainsi, l'eau de mer gèle à -1,9°C pour une salinité de 35g/l. Lorsque de l'eau salée gèle, la glace ne contient pas de sel. Les ions du sel n'arrivent pas à se placer dans la structure de la glace.

      C'est parfaitement clair qu'étant donné que l'eau salée une fois gelée ne contient pas de sel il serait normal qu'elle se nomme "eau douce" plus ou moins douce selon le degré de salinité local prévalant au moment de la baisse de temperature et qu'elle forme la banquise. Ainsi que le dit Olaf Jansen je cite ARTivision ...

      Ce phénomène se passe quand une couche superficielle d'eau douce surnage sur l'eau de mer salée et cette eau douce glisse avec le bateau sur la mer plus lourde du dessous comme si cette mer constituait une couche fixe.

      Ce manteau d'eau douce congelée peut eventuellement se transformer en eau douce liquide lorsque la masse se trouve proche des massifs continentaux - effet des vents, réchauffement de l'air, débit des fleuves accru par une hausse de temperature faisant fondre la neige des sommets etc..

      Dans des conditions polaires courantes cette eau douce n'est pas sous forme liquide, mais solide.

      "En hiver, lors de la formation de la banquise, la glace une fois formée expulse le sel qui alourdit encore davantage l'eau non gelée qui devient « tellement » dense qu'elle plonge vers les profondeurs."

      Ces plateformes d'eau douce se deplacent de maniere aléatoire avec les vents et les courants.Mais plus on va vers le Nord plus ce manteau de glace fond et se transforme en eau douce liquide ainsi que de nombreux navigateurs ont pu le constater au cours des siècles.

Pourquoi ?

      Si on fait abstraction des nombreuses iles qui se trouvent le long du passage Nord-Ouest qui eventuellement peuvent contribuer a rechauffer l'atmosphere et faire fondre certaines plaques de glace gelee passant à proximité et permettre de trouver une Mer Libre, la seule explication est que ces marins se sont rapprochés, sans le savoir, de l'ouverture polaire qui, grace à une température + clémente a fait fondre la glace.

      Il me semble que c'est la seule explication car quand l'eau salée gèle la glace ne contient pas de sel donc on peut en conclure que l'eau douce surnageait l'eau salee - J.L. Etienne n'est pas suffisamment précis quant a la qualification de l'eau douce: à l'état liquide ou solide ?

      Plusieurs facteurs influent probablement sur le volume et la puissance du courant polaire : les marees, les courants de surface: les vents, la force de Coriolis, tourbillons, vortex etc.

      Il y a bien trop d'inconnues dans ces theories: probablement que certains Océanographes en savent beaucoup plus long: J.L. Etienne a fait des observations d'ordre général mais il dit bien " La circulation des eaux, processus d'englacement et de dégel sont encore très hypothetiques et la modélisation de l'océan Arctique sur ordinateur pose de graves problèmes".

      En realité, il n'en sait trop rien ou ne veut rien dire : je suppose qu'il est parfaitement au courant de ce phenomène de présence d'eau douce en surface dans certaines régions polaires, mais ne veut probablement pas se compromettre avec des theories qui le mettraient au ban de ses pairs.

      Amitiés

                  Nicole


      Remercions donc l'amie Nicole d'avoir bien voulu, nous en dire plus, sur cette affaire d'eau douce, au cœur de cette zone arctique.

      Nous nous pensons encore, à ce que nous disait (voir plus haut ) Olaf Jansen, au sujet de la Mer libre de glace, qu'il a dévouverte avec son pére en pleine zone arctique ... Mais, il a aussi écrit ceci dans son ouvrage fantastique, présenté plus haut -The Smoky God -

"J'ai essayé d'oublier ma soif en m'évertuant à transbahuter de la cale quelques provisions et un récipient vide. Me penchant par dessus la rampe latérale, j'ai rempli le récipient d'eau dans le but de me laver les mains et le visage. À ma stupéfaction, lorsque mes lèvres sont entrées en contact avec l'eau, elle n'était pas salée. La découverte me fit sursauter. "Père !" Ai-je haleté le souffle proprement coupé , " l'eau, l'eau, elle est douce "; "Que dis tu là, Olaf ?" a hurlé mon père, jetant un coup d'œil hâtivement autour. "Tu te trompes sûrement. Il n'y a aucune terre dans les environs. Tu débloques voyons." "Mais goûte-moi cela !" ai-je crié.

    Et ainsi nous avons fait la découverte
que l'eau était en effet douce, tout à fait douce, sans le moindre le goût salé, ni même un soupçon de saveur salée.

   
 Nous avons immédiatement rempli, nos deux derniers tonneaux d'eau et mon père a déclaré que c'était une faveur céleste venant des dieux Odin et Thor.
Nous débordions de joie, mais la faim nous a vite ramenés à la réalité. Maintenant que nous avions trouvé de l'eau douce dans la haute mer, à quoi devrions-nous nous attendre encore, à cette latitude étrange où aucun bateau n'a jamais auparavant navigué et où l'on n'avait jamais entendu le plouf d'un aviron ? (In vol.1, la page 196, Nansen écrit : "c'est un phénomène singulier, - cette eau douce. Nous avions à présent une meilleure opportunité pour étudier cela, tel que nous le désirions . Ce phénomène se passe quand une couche superficielle d'eau douce surnage sur l'eau de mer salée et cette eau douce glisse avec le bateau sur la mer plus lourde du dessous comme si cette mer constituait une couche fixe. La différence entre ces deux couches liquides était dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l'eau potable à la surface, l'eau nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines était si salée qu'elle ne pouvait être employée pour la chaudière. ) "

     Mais pour être plus précis, reprenons quelques paragraphes de notre article, concernant le Contre Amiral-Amiral Lepotier, sorti dès le 17/05/2012 :

http://www.artivision.fr/articleLepotierde1952.html

      Début de citation :

Floes et pack.

    L'Océan secoue et brise en permanence ce manteau de glace qui l'écrase. Les courants et les effroyables tempêtes qui s'y succèdent pro voquent des crevasses et partagent cette croûte de glace en morceaux de dimensions variées appelés floes dont l'assemblage, genre puzzle, s'appelle le pack.

    Dérivant au gré des courants et des tempêtes, ces floes, dont certains ont plusieurs kilomètres de diamètre, s'abordent en soulevant sur leurs bords des amoncellements de blocs brisés appelés hummocks ou toroses, autour desquels vient s'accumuler la neige fouettée par les blizzards quotidiens.


    Cette neige tantôt poussiéreuse, tantôt molle, tantôt gelée, dissimule les ruptures. L'ensemble dérive de façon irrégulière en ouvrant ou en fermant tour à tour les crevasses. On se rend compte, à ces détails, de la difficulté de se déplacer sur un tel chaos.

De Nansen à Peary.

    Ayant constaté que la dérive générale du pack semble porter de la mer des Laptevs vers la mer du Groenland, Nansen, en 1893, engage son bateau le Fram dans la Banquise, au nord de la mer des Laptevs, et, pendant trois ans, se confie à la dérive, espérant qu'elle le fera passer près du pôle, si celui-ci est en mer, ou près du continent Arctide s'il y en a un.

     ( note du Webmaster : Nous avons souligné en gras, juste plus haut, les termes : les courants, la dérive, la dérive générale et plus bas des dérives constatées,... et encore plus bas on trouve : " et ils purent constater la dérive. Elle se produisit d'abord, assez lentement et irrégulièrement, vers le sud, autour du méridien zéro," et encore plus bas il dit aussi que l'on a découvert "un énorme iceberg mesurant environ 25 km sur 30 et atteignant 60 m d'altitude au-dessus de l'eau, ce qui représente un "tirant d'eau" de 300 à 400 m!". ...Mais à aucun moment le Contre Amiral-Amiral Lepotier, n'explique la raison de cette puissante dérive du pack polaire...

     Voyons de plus près ce que l'on peut trouver pour expliquer ce phénomène.

     Auparavant, il nous semble judicieux de transcrire ici, ce passage important du livre de 1897 de Fridjord Nansen, intitilé "Farthest Nord" :


    Puis, on trouve à l'url :


, et en page 174, il y a ceci :


, que nous traduirons modestement :

     "C'est un phénomène singulier, - cette eau douce. Nous avions à présent une meilleure opportunité pour étudier cela, tel que nous le désirions . Ce phénomène se passe quand une couche superficielle d'eau douce surnage sur l'eau de mer salée et cette eau douce glisse avec le bateau sur la mer plus lourde du dessous comme si cette mer constituait une couche fixe. La différence entre ces deux couches liquides était dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l'eau potable à la surface, l'eau nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines était si salée qu'elle ne pouvait être employée pour la chaudière. "

    Nous ne savons pas hélas, si le Contre Amiral-Amiral Lepotier, a eu en main cet ouvrage de Nansen, mais on est en droit de se demander, d'où peut venir cette couche d'eau douce que Nansen a rencontrée, à une latitude supérieure et proche du pôle. Ce n'était certainement pas la fonte des neiges ou des icebergs, qui en serait responsable.


      Fin de citation ...

     Tout cela s'explique clairement si comme le dit Gardner,
des fleuves intérieurs débouchent dans l'Arctique, par l'ouverture polaire Nord. Ceci est exposé dans son ouvrage inouï  :
A JOURNEY TO THE EARTH'S INTERIOR : Have the poles really been discovered ? (VOYAGE À L'INTÉRIEUR DE LA TERRE ou les pôles ont-ils vraiment été découverts) de Marschall B.Gardner. Publié à compte d'auteur en 1920, puis imprimé par Eugène Smith Company, Aurora Illinois, 456 p. Non traduit en français.

  


    Montrons aussi la première page telle qu'elle apparaît dans l'original de 1920 publié par les Editions Eugene Smith Company à Aurora en Illinois et plaçons par la même occasion, la dédicace qui la suit:

  


    Traduisons modestement cette dédicace: "Dédicacé au progrès continu de la Science et au service qu'elle pourrait rendre à l'humanité".

     Comme vous le voyez, Gardner, (et aussi Reed dès 1906), avait en 1920, une entière confiance, dans le dévéloppement de la Science, pour confirmer son hypothèse. Hélas, il ne soupsonnait pas les agissements des Forces de l'Ombre , qui occultent au plus Haut Niveau, les informations qui pourraient prouver qu'il avait raison. Nous en reparlerons.

     Vous avez bien lu, plus haut, que Jean-louis Étienne affirme que :

    " Ces cataractes ont un débit au moins 25 fois, plus que celui de l'Amazone !"

    Quand on apprend, sur le site Wikipédia que le débit moyen à l'estuaire de 209 000 m3/s, est de loin le plus élevé de tous les fleuves de la planète, et équivaut au volume cumulé des six fleuves qui le suivent immédiatement dans l'ordre des débits, on s'étonne alors qu'une simple force de coriolis (voir plus bas) et l'action combinée non permanente de la Lune ou du Soleil, arrivent tous, à produire un tel effet sur les courants marins de la planète, courants qui pendant des siécles, ont résisté aux forces de frottement et de friction du sol de notre planète, et forces qui ne manquent pas d'être colossales. Donc ces courants marins poursuivent leur petit bonhomme de chemin, sans faiblesse notoire.

      Une fois de plus, présentons, le schéma précédent des courants marins, à la mode d' ARTivision, et on découvrira plus tard pourquoi !


      Mais, pour aller encore plus loin, dans cette affaire, il nous appartient maintenant, d'examiner ici, le très remarquable fascicule, de la revue de la revue "Sciences et Avenir"142 Hors série d'Avril- Mai 2005 :


      Ce remarquable ouvrage, nous presente on le voit, 10 brèves histoires de faits scientifiques connus, mais hélas ( pour le rédacteur de la revue), dans ces dix faits scientifiques, on a oublié carrément de présenter, (et cela a été montré par la NASA, au moins un an avant la sortie de ce n° 142 Hors série en question), la découverte du fameux disque brillant de Titan à son Pôle sud:



      Pas besoin de redire ici, que c'est cet œil surprenant de Titan, extrêmement brillant ci-dessus, qui nous interpelle assurément, et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA, a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle Sud de Titan.....

      Des calculs élémentaires donnent, un diamètre de près de 300 km, pour ce disque .

     Nous avons vainement cherché, dans les revues spécialisées dans les choses de l'espace , un débat conséquent, sur la nature de ce disque surprenant de Titan et les périodiques qui ont osé en parler, ont tous passé sous silence son extrême brillance.

      Si nous vous avons parlé de ce remarquable numéro spécial, de Sciences et Avenir, c'est surtout parce qu'il y a aussi en 7 e , position, un super article, où Mme Marie Noelle Houssais fait état de la théorie de la force de Coriolis, déjà évoquée plus haut.

      Cette théorie prétenduement bien structurée, explique que "la dérive de la glace polaire", mise en évidence par Fridtjof Nansen en 1896, après une dérive de son navire le Fram durant 35 mois sur la banquise, est due, d'une part, au vent qui souffle dans le coin, et d'autre part à la force, appelée de Coriolis, bien connue et, nous dit-on, expliquée scientifiquement.


     Et pour les fortiches en Science, voici quelques éléments de cette théorie concernant la "force de Coriolis"

 


, et en couleurs, on découvre ceci :



     Tout cela serait super, si, les chercheurs hors normes, (déjà présentés plus haut) Williams REED , et Marschall B.Gardner (voir le titre et la photo de leur ouvrage dans notre article : audelaGrandNord.html ), eux, ne nous disaient pas (il y a plus de 100 ans pour Reed), que cette énorme dérive de la banquise, ne peut venir que de puissants fleuves sous-marins issus de l'intérieur de la Terre, et de plus, ces fleuves sont à l'origine de la création des icebergs, quand ils gêlent à la sortie des ouvertures polaires, où régne un froid terrible. Et c'est pour cela en plus que l'on constate que ces icebergs....sont uniquement faits d'eau douce ...

     Si cela est vrai, il est donc déjà, de la plus haute importance, pour tout chercheur intéressé par cette théorie, qu'il puisse avoir sous la main, une étude officielle, démontrant que les icebergs sont bien constitués uniquement d'eau douce. Avis aux amateurs....

     Finalement, pour ARTivision, cette revue et aussi ses coéquipiers et bien d'autres revues de même nature, ont cela va sans le dire, loupé le coche, alors qu'il est passé tout près d'eux.

      Mais, comme on le sait, "il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", alors ce 2/03/2016, voyons plus en détails, cette affaire d'icebergs faits d'eau douce...

     Si vous tapez les mots Banquise Arctique sur Google , vous obtenez alors sur le site :

http://www.univers-nature.com/actualite/climat/l%C2%92arctique-fond-et-ses-habitants-paient-l%C2%92addition-53847.html

      Cette vue :


      Comme on le voit, c'est une mer où flottent des blocs rigides éparpillés.

      Plus significative, est cette vue, tirée du site :

http://www.echosciences-grenoble.fr/agenda/sombre-avenir-pour-la-banquise


     En effet, on y voit un énorme iceberg, dont on a du mal à expliquer la présence, car en effet, ce ne sont pas les maigres précipications du coin, qui pourraient engendrer de tels monstres, et il n'y a pas à l'intérieur de la banquise nord, de continent solide, ( comme par exemple le Groenland ), d'où pourraient se détacher ces surprenants icebergs.

       Mais c'est " Le Livre Jaune n°6 " (début 2000) publié par les Editions Félix :(leseditionsfelix.com), qui va nous en dire un peu plus, et ouvrage, qui a mis très mal à l'aise, de très nombreux bien-pensants :



    Voyons alors, ce que l'on trouve en page 246 de ce livre :

     " Mais qui peut dire d'où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l'eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l'eau douce, sans exception. La pluie ? "Comment cinq centimètres de précipitation annuelle, peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l'océan Arctique ?", se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n'y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres (!) de long, un iceberg qui va de Paris à Toulouse, qui s'est formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles ? Si on part du fait qu'il existe bien un pôle Nord et qu'il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d'innombrables explorateurs ont dû être pris d'hallucinations à partir de 80° de latitude nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus....

    Fin de citation .


      Mais voyons maintenant cette nouvelle affaire surprenante concernant, la dérive des blocs de glaces de GlobIce au Pôle Nord :

      En effet, le 8 Février 2013, nous avons reçu d'un aimable internaute nommé Thierry l..., l'invitation à visualiser les données du site suivant :

http://www.esa.int/Our_Activities/Observing_the_Earth/GlobIce_mapping_the_movement_of_sea_ice

     Mieux vaut enregistrer cette video au cas où, cet url ne fontionnerait plus comme par magie :

      On y trouve alors en premier lieu ceci :



       Puis, un écran développant une importante vidéo, que nous ne savons pas hélas reproduire ici ( toute aide serait alors très appréciée) , et en dessous de la vidéo, apparaît ce texte :



    Texte que nous traduissons grosso modo :

"GlobIce: cartographier le mouvement de la glace de mer.

    14 Mars 2012.


    Un projet financé par l'ESA pour modéliser la dynamique de la glace de mer (banquise arctique) à l'aide de données radar archivées de la mission Envisat et ERS, a publié un premiers jeu de données, applicable pour les hivers arctiques de 2004 à 2011. La cartographie du déplacement des glaces de mer est un élément clé pour la recherche sur le climat.

    La glace de mer influe profondément sur les échanges de chaleur, d'eau et la vitesse acquise des fluides entre l'océan et l'atmosphère, et joue un rôle important dans la convection océanique et la formation des eaux profondes

    Le projet GlobIce qui coûte 1.000.000 €, et qui a débuté en 2005, avec un consortium de huit partenaires dirigés par l'University College London (UCL), mesure le mouvement des glaces de mer pour une utilisation dans la modélisation du climat et de la recherche.

    A l'appui du projet sur le Climat et la cryosphère du Programme Mondial de Recherche, GlobIce valide le flux de la glace de mer et sa la déformation

.     Les images radar, du déplacement de la glace, captées à des intervalles de quelques jours, sont utilisées pour générer un grand nombre d'articles en haute résolution, utiles pour la recherche sur le climat, tels que les cartes marines donnant la vitesse de déplacement de la glace.     Les produits de GlobIce fournissent de larges données sur la dynamique des glaces de mer de l'Arctique à une echelle de résolution dix fois plus haute que toutes les autres configutations actuellement disponibles, obtenues par satellites.

Sous l'image du glole , on peut lire : La dérive des glaces de mer en l'Arctique.
"

Fin de notre brève traduction.

    Ce qui nous interpelle ici, c'est d'abord, le fait que l'on oublie de parler des icebergs. Il faut croire qu'il n'y en a pas dans le coin. Affaire à suivre...

    Cependant le 28/03/2013, nous sommes tombés sur la page de la revue Le Point, placée à :

http://www.lepoint.fr/science/les-icebergs-une-menace-eternelle-11-04-2012-1450320_25.

    On y voit alors d'abord ceci :


    Puis cela, de très important :



     Ah...ah, tout de même, il y a des icebergs qui se détachent du Pôle Nord, et qui diffèrent de ceux venant du Groenland . Mais certains rationalistes endurcis, pour noyer le poisson, diront vite fait : icebergs et blocs de glace de mer, c'est Kif-Kif... c'est blanc bonnet et bonnet blanc. Sauf qu'ils oublient que les icebergs sont faits uniquement d'eau douce...A vous de juger.

    En deuxième lieu, nous voyons avec un très grand étonnement que dans cette dérive de blocs de glace de la mer de la zone arctique en question, ces blocs se déplacent en évitant soigneusement une zone centrale très caractérisée . Voyez cela vous-même, sur les photos suivantes extraites de la vidéo :





    Il est donc très curieux de voir que ces très nombreux blocs de glace, pendant une si longue période, se balladent en évitant d'entrer dans le disque rouge suivant dessiné par nos soins :


et cela se passe en dépit de la dérive habituelle de la banquise , dont nous avons fait état ci-dessus. Quelle explication, peut-on trouver à ce phénomène bizarre ?

      Voici l'explication surprenante d' ARTivision, de cette affaire inouïe :

      C'est en effet, en 1992, que nous avons eu le privilège de visiter "la Cité des Sciences et l'Industrie", à la Porte de la Villette à Paris, et nous avons été surpris de constater à la section réservée aux moyens concernant l' étude de la Terre par satellites, que ces derniers ne passaient jamais par les Pôles, mais circulaient tous à la limite d'un disque précis entourant chaque Pôle.

      De plus le Samedi 7 Octobre 2000 en recherchant un ouvrage égaré, nous avons découvert une cassette vidéo contenant une information remarquable à ce sujet, que nous vous transmettons ci-dessous:

      En effet en 1993, nous avions enregistré une émission de RFO, produite par Jean Yves Casgha et intitulé "Science Frontière" et où Cathy Nivez a fait l'interview dans le cadre du magazine "C'est à dire" d'Ichtiaque RASOOL, alors Directeur de programmes concernant la géosphère et la biosphère à la NASA, professeur à l'époque à Paris, à l'Ecole Normale Supérieure et au Collège de France. Le programme "Global Change", qui revient par an, à environ un milliard de dollars aux USA, et dont s'occupe encore sans doute ce savant, a pour mission la surveillance de la planète Terre et même des autres planètes par des satellites géostationnaires, ou des satellites à défilement, comme par exemple SPOT et NOAA, qui sont capables de repérer des détails de 10 à 20 m, satellites qui nous intéressent tout particulièrement dans cet article... Le film montré à cette occasion, nous présente les trajets de ces satellites à défilement, et nous précise que les trajectoires de ces derniers "ne sont pas tout à fait polaires", termes exacts utilisés, alors qu'on aimerait bien savoir si "si ces trajectoires ne sont jamais polaires". Toujours est-il que le film nous présente la Terre entrain de tourner et le faisceau des trajectoires qui reste "étrangement tangent" au bord d'un "disque polaire d'un diamètre remarquable" .(Voir ci-dessous, deux images du film:)

  

   La question qui reste pour l'instant sans réponse, serait de savoir pourquoi, pas un seul de ces satellites, ne traverse diamétralement ce disque polaire, alors qu'il aurait tout intérêt à le faire et que de plus, sa trajectoire n'est pas soumise, elle, comme pour un avion, aux évaluations d'un altimètre ?

A vous juger, une fois de plus, tout cela !


      En effet le 14 Nov. 2000, nous avons enregistré sur la chaîne Tempo (qui n'existe plus actuellement) , la rediffusion de l'émission bien connue des sympathiques Frédéric Courant, Jamy Gourmaud et Bernard Gonner, "C'est pas sorcier", consacrée justement aux satellites de la Terre. Mais écoutons textuellement ce que nous dit Jamy au sujet du satellite SPOT, qui orbite à 830 Km de la Terre:

  "Comment le satellite SPOT, peut-il observer toute la Terre, d'autant que lorsqu'il passe au dessus de nos têtes, il ne couvre qu'une bande d'une centaine de Km ? Eh bien d'abord, il faut savoir que SPOT a une orbite polaire, autrement dit, il fait le tour de la Terre en passant par les deux Pôles, et il boucle un tour complet en un peu plus d'une heure et quarante minutes. Seulement comme la Terre tourne, elle aussi autour d'un axe, hé bien d'un tour à l'autre SPOT ne passe pas au même endroit et peut ainsi couvrir toute la Terre en un peu plus de 26 jours..."

  Nous avons évidemment souligné en rouge, les mots clés de cette déclaration, qui montrent comment on nous induit petit à petit en erreur en prétendant que les satellites connus passent par les pôles, et qu'ils balayent ainsi toute la Terre, bien que l'on sache que ce genre d'émission est destiné à la jeunesse et qu'il ne faut pas lui demander une grande précision. Reste à savoir, cependant, si les protagonistes, eux mêmes, de cette émission, ont été "initiés" à "cette affaire polaire" , vue plus haut.

  Nous attendons vos suggestions avec ferveur.....

        Allez, voici trois petits plus pour la route, et placés respectivement à :

http://www.theshiftofconsciousness.info/hollowearth.html


    Et puis sur le site :

http://www.satmagazine.com/cgi-bin/display_image.cgi?1619247806



     Ou encore, sur le site :

http://www.newmediastudio.org/DataDiscovery/Hurr_ED_Center/Satellites_and_Sensors/Polar_Orbits/Polar_Orbits_fig3


    Pas mal, n'est-ce pas, cette étrange zone polaire, qui fait fuir les satellites."

C'est à vous qu'il appartient de juger maintenant, en connaissance de causes.

    Mais cela nous fait aussi nous souvenir de ces images de l' Arctique, où des disques noirs, sinon très colorés, y apparaissent comme par magie, et ne sont jamais expliqués positivement. Pour le novice ou le profane, qui découvre le site ARTivision, par cet article, voici alors quelques échantillons tirés de notre article :

http://www.artivision.frarticleARTEtc.html

    " Puis, sans explication, apparaît la carte du bassin polaire telle que :


     Mais, chose étonnante, une seconde image est présentée, comme si le caméraman voulait nous dire en douce : "Regardez cela un peu mieux" , mais le narrateur est resté lui, muet comme une carte, à ce sujet :


      Et bien sûr, aucun des climatologues en question, n'a donné la moindre explication sur ce disque insolite, placé au cœur de la zone arctique.

     A vous de juger, ces surprenantes contingences.

     Cette situation, nous rappelle celle d'un journal télévisé, d'Octobre 2006. Voilà de quoi il s'agit :

     En effet, le Mercredi 04/10/06, nous avons eu l'opportunité de regarder le journal télévisé de 19/20 de France 3 retransmis par RFO Guadeloupe de l'époque.

    Dans un volet relatif au déréglement climatique de la planète, un interlocuteur patenté a présenté sur un écran vidéo la calotte polaire nord. Mais ce qui nous a frappé d'emblée, c'est qu'il y figurait un super disque noir à peine plus petit que celui que nous a présenté le Science&Vie de Nov 2004, dont voici à droite l'image réduite ( et que nous reverrons plus bas en étudiant le pôle Sud) :

    Voici donc les images en question :

    


    Que peut-on dire sur ces photos surprenantes ? Nous avions toujours cru que le pôle géographique était symbolisé par un point et non un disque. Sur la photo de gauche relative à l'année 2005, il aurait suffit de placer un petit point noir et tout à côté l'inscription bien visible, (en jaune par exemple), "Pôle Nord". Passons, on nous dira que le disque noir, c'était pour mettre en relief l'inscription. Mais pour 2006, on a carrément oublié de l'inscrire ce qui est plus étonnant. Vite, appelons à notre secours, l'internaute Fabrice C...., et qui nous affirmait sans sourciller: " Eeeet oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire..."

    Eh oui bien sûr, comme c'est évident pour tout un chacun, et surtout, on attendait cette fois que l'interlocuteur scientifique de l'émission, nous en dise quelques mots de plus que le Science&Vie de Nov 2004 qui est resté tout aussi muet à ce sujet. Mais non...rien de plus...C'est l'éclipse totale. Revoyez le disque des images 2 et 3, justement c'est très ressemblant à une éclipse... n'est-ce pas ?

A vous de juger, une fois de plus, tout cela...

      Rappelons aussi au novice, que l'après midi du 10/10/08, en recherchant une information dans nos dossiers, nous sommes tombés sur un entrefilet de la revue TOP SECRET n° 33 d'Oct-Nov 2007:

  


      Mais reprenons ici, étant donnée leur importance, les paroles en question:

      D'abord, félicitons vivement notre ami Roch Saüquere, Directeur de la revue Top Secret, pour la belle formule littéraire de la couverture de sa revue, et formule qui s'applique parfaitement au contexte de notre article sur l'illusion (voirmondeillusion.html), n'est-ce pas ? :

" Ils décident de ce que nous devons croire et penser"

      
Il nous reste maintenant à nous demander, (concernant, à la page 5 de la revue, l'entrefilet présenté ici sur la droite de la couverture), comment il se fait, que sur l'énorme étendue glacée et toute éclatante de blancheur de l'Arctique , on aperçoive cette insolite pastille noire et qui évidemment n'a jamais été expliquée par les commentateurs du journal télévisé de LCI.

      Mais, si nous agrandissons un peu, ce dique noir, cela nous donne grosso modo ceci :



      On découvre alors qu'au bout de le flèche rouge, mise par nos soins, il y a une faible luminosité qui semble fuser à deux endroits, en-dessous du disque en question. N'y aurait-il pas alors au centre de ce disque, quelque chose de bien plus lumineux que l'on cherche à cacher.

      A vous de juger tout cela, une fois de plus, documents à l'appui... .

      Mais ce 03/03/2016, pour compléter ce qui précède, nous allons aussi évoquer ici ceci :

      Le 10 Février 2009, les Services de Presse , nous ont appris que deux satellites, étaient entrés en collision à 800 km d’altitude, au-dessus de la Sibérie. le premier fut lancé en 1997 etait la proprièté de la société américaine de télécommunication Iridium. le second , nommé Cosmos-2251, fut mis en orbite en 1993 pour le compte de l’armée russe mais est devenu inactif en 1995, à la suite d'une panne .

       Voyons en détail tout cela, sur le site :

http://www.eteignezvotreordinateur.com/collision-entre-deux-satellites-les-debris-constituent-une-menace/

       " La collision cette semaine entre deux gros satellites, une première dans l’espace, a créé des nuages de débris qui se déplacent très rapidement et menacent d’autres engins spatiaux situés sur des orbites proches, ont annoncé jeudi des experts et des responsables russes.
       Le crash a eu lieu à 800km au-dessus de la Sibérie mardi entre un satellite russe destiné aux communications militaires et un satellite Iridium américain utilisé par des clients commerciaux mais aussi par le département de la Défense. Il s’agissait de la première collision à une très grande vitesse entre deux engins spatiaux intacts, selon la NASA.

       L’impact a éparpillé des fragments de satellites dans différentes orbites se trouvant entre 500 et 1.300 kilomètres de la Terre, a précisé le responsable des Forces spatiales militaires de Russie, le général Alexandre Iakoutchine. Le satellite Iridium pesait 560 kilos et le Kosmos-2251 presque une tonne. Lancé en 1993, ce dernier est tombé en panne en 1995, a-t-il précisé.

       Dans un communiqué publié jeudi, la société Iridium a nié la responsabilité de l’accident.

       Igor Lisov, un expert russe de l’espace, a affirmé jeudi qu’il ne comprenait pas pourquoi les experts de la NASA et d’Iridium n’avait pas réussi à éviter cette collision: le satellite américain étant toujours actif, sa trajectoire pouvait être modifiée.

       Cela pourrait être un problème informatique ou une erreur humaine, a-t-il supposé. Cela pourrait aussi être dû au fait qu’ils prêtent attention seulement aux petits débris, et pas aux satellites défunts.”

       Igor Lisov a souligné que les débris pouvaient menacer un grand nombre de satellites situés dans des orbites proches, mais aussi une série de vieux engins spatiaux à propulsion nucléaire datant de l’ère soviétique, dans des orbites plus éloignées.

       Si une collision se produit avec l’un de ces satellites délabrés, l’émission radioactive ne menacerait pas la Terre, a-t-il assuré, mais les décombres en accélération pourraient démultiplier les risques pour les autres satellites.

       La NASA a expliqué qu’il faudrait des semaines pour mesurer l’ampleur de la collision, mais elle a affirmé, comme l’Agence spatiale fédérale russe, qu’il y avait peu de risques pour la station spatiale internationale et ses trois membres d’équipage.

       Il n’y a pas de danger immédiat, mais nous allons suivre avec attention la situation, a déclaré à l’AP le porte-parole du centre de contrôle de mission russe, Valéri Lyndine, soulignant que l’orbite de l’ISS avait été ajustée par le passé pour éviter les débris encombrant l’espace.

       Cet accident spatial ne constitue pas non plus une menace pour la navette spatiale qui doit être lancée le 22 février avec sept astronautes à bord, ont affirmé les autorités américaines.

       Le Réseau de surveillance de l’espace américain et les Forces spatiales russes suivent avec attention la trajectoire des débris, qui se déplacent, semble-t-il, à la vitesse d’environ 200 mètres par seconde.

       Au début de l’année 2009, environ 17.000 déchets générés par l’homme tournaient en orbite autour de la Terre, selon une estimation de la NASA.

       Les satellites Iridium sont très particuliers parce que leur orbite est basse et qu’ils sont très rapides. La plupart des satellites de communications tournent à des distances beaucoup plus éloignées de la Terre et sont distants l’un de l’autre, ce qui explique la rareté des collisions. AP


Fin de citation.

       Ce qui nous intéresse particulièrement dans cette affaire, c'est la trajectoire suivie par les débris issus de cette collision : Nous notons déjà avec soin que ; "L'impact a éparpillé des fragments de satellites dans différentes orbites se trouvant entre 500 et 1.300 kilomètres de la Terre".

       Il se trouve justement que récemment nous sommes tombés à la renverse, ( merci encore à Super Hasard ), et découvrant dans la revue Science&Vie n° 893 de Février 1992, un article évoquant le même sujet, et dont voici le début en page 80 :


       Mais voyons un paragraphe particulier de cet article à la page 49 :

" Quelle est donc l'origine de ces débris? Plus de la moitié proviennent de fusées ou de satellites qui ont explosé accidentellement ou que l'on a délibérément fait exploser à cause d'un mauvais fonctionnement. Le reste est constitué de 102 étages supérieurs de fusée, séparés du satellite après mise en orbite de celui-cl, et de 150 satellites abandonnés. Dans l'espace, on trouve ainsi des objets de tout volume, de- puis des capots entiers de fusée jusqu'à des particules de peinture. Selon des données de 1987, 9096 de ces débris évoluent entre 200 et 2 OOO km d'alti- tude, dans les zones de grande circulation, avec des pointes à 600. 1000 et 1500 km.

       La première explosion en orbite fut celle de la fusée américaine Ablestar, le 29 juin 1961, deux heures après son lancement On en a dénombré 1 716 fragments supérieurs au millimètre et 271 supérieurs à 10 cm. La fusée Titan 3C-4, détruite le 15 octobre 1965, semble détenir le record pour les débris de plus de 10 cm, avec le chiffre de 477. Pour les débris supérieurs au millimètre, le record reviendrait à Ariane V16, le 11 novembre 1986, avec 2 330, dont 2 104 seraient encore en orbite à l'heure actuelle.
"

      C'est alors que la revue nous présente une simulation informatique de l'évolution, 4 ans après en 1989 , des orbites des fragments de l'explosion d'un étage supérieur de d'Ariane :


      Nous serions curieux de découvrir cette simulation pour 2016 ! Mais ce qui frappe en priorité dans cette figure, c'est que toutes les trajectoires semblent passer tangentiellement à un disque ou à un cylindre dont le centre serait sur l'axe des pôles de la Terre. Pas un débris ne traverse diamétralement ce disque. C'est très bizarre tout cela. Les rationalistes endurcis trouveront bien sûr une explication vaseuse à cela.

    Pour resumer, le site ARTivision, sait donc parfaitement ce qui s'est passé dans l'histoire de GlobIce, vue plus haut, telle que l'on ait l'image :


       Ce n'est donc pas une affaire de blocs de glace en vadrouille qui fuient la zone rouge, mais bien l'affaire des satellites qui ne survolent pas une certaine zone polaire, et donc ils ne peuvent pas photographier les blocs de glaces de ce coin. Point Barre.

      De plus, la sagesse antillaise utilise parfois cet adage : " Sa ki bon pou zwa, la sé tou bon pou kanna." ( Ce qui est bon pour les oies, l'est aussi pour les canards), et donc ce qui se passe au Pôle Nord,, concernant les satellites, est aussi valable pour le Pôle Sud . Voici donc, un petit avant-goût, dont nous reparlerons plus bas :


      Mais ce 3 Mars 2016, rappelons aussi au néophyte que ce site ARTivision, prétend être un site Mystico- Rationaliste, ( expression que vous ne trouverez dans aucun dictionnaire), et que pour cela, il intégre pleinement ces affaires transcendantes surprenantes, qui nous viennent d'entités évoluant dans d'autres dimensions, et exprimons alors aussi ici, quelques propos du 3 Mars, du Grand Maître de Findhorn, et propos qui sont extraits, on le sait, de l'ouvrage "Opening Doors Within", publié en 1986, par Eileen Caddy, décédée en Mars 2007 :

    
Tu dois te préparer à de merveilleux changements
dans Le Nouvel Âge !

Si tu peux les accepter et les absorber simplement, comme un buvard,
ils se réaliseront en toi et autour de toi
dans une grande Paix et une grande Harmonie
.

Tu verras que tu te transformeras avec ces changements
sans en être excessivement affecté
et que tu vivras bougeras et respireras en eux,
aussi naturellement qu'un poisson dans l'eau .

Tu seras capable d'accepter ton nouvel environnement
et de t'y ajuster parfaitement sans aucun effort .


Un enfant passe du jardin d'efants à l'école primaire
et de l'école primaire à l'école secondaire sans aucune difficulté,
parce qu'il le fait dans la foulée et avance pas à pas,
acceptant chaque nouveau sujet et nouvel ajustement comme il vient
.

Il ne pourrait pas passer directement du jardin d'enfant au secondaire,
car il serait complètement perdu.

Ne t'inquiète pas ; La Source ne te fera pas bouger trop rapidement.

Ses Plans se réalisent au moment juste.


***********************

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 3 Mars, après adaptation d'ARTivision.

      Mais ce 05/03/2016, avant de poursuivre notre exposé, il nous appartient de transcrire ici, cette histoire vraiment extraordinaire :

      En effet, disons encore bravo à Super Hasard, qui a fait surgir, juste au bon moment, un texte en latin, qui nous a fait tomber carrément, à la renverse .

      C'est le 03/01/2013, que nous avons reçu la remarquable missive suivante :

From: Pierre
Sent: Thursday, January 03, 2013 5:22 PM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: cartes "oubliées", mais pas par tout le monde...

     Bonjour Fred,

          Je vous présente tous mes voeux de bonne santé et de merveilleuses découvertes pour les jours à venir...

     Je pense que vous avez déjà lu le texte ci-dessous, qui est la traduction du latin d'un "cartouche" sur une carte de Oronce Finae(Relevé sur le site "Top Secrêt")

http://dossiers.secrets.free.fr/enquetes/terre.creuse.htm#02

, où l'on parle du n°27 de la revue "Top Secret d'Oct-Nov. 2006".

     Ce qui m'interpelle le plus, dans le texte ainsi que sur la carte en question ci-jointe, est la présentation du "trou polaire" à une époque à définir où la mer extérieure se serait engouffrée dans l'orifice polaire par quatre grands "fleuves marin" en tourbillonnant vers l'intérieur. et provoquant probablement de formidable vortex d'air entre l'intérieur et l'extérieur en forme de gigantesque sablier rempli d'air tourbillonnant.

     La zone d'exclusion aérienne des pôles doit également trouver une de ses causes ici: De gigantesques turbulences cycloniques!!!

     Les intra-terrestres eux-mêmes, ne peuvent probablement pas dans ces contextes là "sortir" ou "entrer" n'importe quand !

     Même eux, puisque la "respiration", dont vous parlez souvent, change sans cesse les conditions extrêmes de cet endroit si particulier...Il devrait donc y avoir ici aussi des "accalmies" au centre, pendant des transitions d'inversions qui doivent fatalement s'y produire.

     Des cartes très anciennes comme celles-ci seraient toujours utilisées par "l'armée" (laquelle? ou lesquelles?) ainsi que d'autres avec beaucoup plus de détails encore, mais elles, encore "classifiées" très probablement. (Du classifié Préhistorique, c'est pas courant!).

     La carte est très connue des chercheurs, mais je n'en connaissais pas la traduction de la légende en Latin qui n'apparait pas toujours visible sur les reproductions...

     Mais le Temps des Révélations, s'accélère de jour en jour si l'on sait observer...n'est-ce pas vrai?

     Amicalement,

     Pierre.


     Nous avons bien sûr, déjà remercié Pierre, pour sa si efficace contribution, aux recherches pointues d'ARTivision,.

     Nous avons vite retrouvé, le n° 27 de la revue "Top Secret" d'Oct-Nov 2006, de notre ami Roch Saüquere, (et nous avions totalement oublié ce qui suit de ce n°), et dont la couverture est ci-dessous, à gauche :

  


     L'image de droite correspond à la page 17 de la revue, où figure un texte extraordinaire d'un lecteur de la revue, placé justement dans la rubrique "Le rendez-vous des lecteurs".

     Mettons aussi en évidence, le texte en latin en cartouche, afin que tout spécialiste, puisse en dire plus, si cela lui plait :


      Et voici, le texte surprenant de l'internaute Pierre C, de l'image de droite ci-dessus et qui comprend:

"Cher Monsieur, en complément de votre numéro Hors Série sur la Terre Creuse,

(note du Webmaster)

     Voici quelques commentaires et réflexions... La carte de Mercator, créée en 1569:

     Il y a trois ans environ, après avoir lu le chapitre I du livre "L'empreinte des Dieux", j'ai recherché d'anciennes cartes où l'on pouvait peut-être voir le trou au pôle. Nous sommes allés, ma compagne Lara et moi-même, à la bibliothèque de Bordeaux et, dans un ancien livre rempli de grandes cartes remontant au Moyen-âge, nous avons trouvé une carte de Mercator présentant le trou avec une montagne au centre et quatre fleuves se déversant dans l'Océan Arctique : (Note du Webmaster : sans doute une carte analogue à celle-ci :)


     J'ai voulu savoir sur Internet avec un ami, si nous pouvions trouver autre chose d'important. Sur un site nous avons pu voir que l'armée utilise d'anciennes cartes du XVIe siècle d'Orance Fine représentant le pôle avec des terres entourant le trou, très détaillées, libres de glace avec montagnes, fleuves, etc...

     Après avoir lu que l'armée utilisait ces anciennes cartes détaillées pour compléter ce que les satellites ne lisent pas sous 1500 mètres de glaces, j'ai découvert que ces cartes se trouvaient à la Bibliothèque Nationale de Paris. Lorsque j'ai voulu les voir, "top secret" s'est affiché sur l'écran.

     Il faut savoir tout de même que le célèbre géographe du XVIe siècle Mercator était le disciple d'Orance Fine.

     Voici la traduction du texte latin de la carte : Sur la description ci-jointe du pôle Nord :

     Comme notre tableau ne pouvait être étendu jusqu'au pôle et les degrés de latitude se prolongeant indéfiniment, nous avons jugé nécessaire de reprendre ici la fin de notre description et de rattacher tout le reste au pôle. Nous avons choisi la figure qui convenait le mieux avec cette partie du monde et qui était capable de reproduire la situation et l'aspect de ces contrées comme sur une sphère. Pour ce qui est de la description, nous l'avons trouvée dans l'Itinéraire de Jacob Croyen d'Hertogenbosch (Nederland) qui cite certains des hauts faits d'Arthur de Bretagne ; mais pour l'essentiel, il la tient d'un certain prêtre qui vivait chez le roi de Norvège en 1364. Il était descendant, au 4e degré, de ceux qu'Arthur avait envoyés habiter ces îles et rapportait qu'en l'an 1360, un certain mathématicien anglais d'Oxford était venu dans ces îles ; les ayant quittées et étant parti vers des terres plus lointaines, il avait tout décrit et pris les mesures au moyen d'un astrolabe comme nous l'avons trouvé dans Jacob. Il disait que l'eau de 4 détroits était entraînée avec une telle violence vers un tourbillon intérieur que des vaisseaux, une fois engagés, ne pouvaient rebrousser chemin, sous l'effet d'aucun vent ; et que d'autre part, jamais à cet endroit le vent n'était assez fort pour suffire au transport de quantités de blé (?). Giraud de Cambrai donne des indications semblables dans son livre sur les merveilles de l'Irlande. Il écrit en effet : Non loin des îles du côté du Nord, il y a dans la mer une sorte de tourbillon prodigieux vers lequel affluent et se rassemblent de toutes parts, venant de lieux reculés, tous les flots de la mer. Se déversant dans les recoins secrets de la nature, ils sont là comme engloutis dans un abîme ; et si d'aventure un navire vient à passer devant ce gouffre, il est frappé, entraîné avec une si grande violence qu'aussitôt sa puissante voracité l'aspire irrévocablement.


          Pierre C.



     Il nous reste donc à retrouver, les écrits des personnages cités en couleur Navy, dans la traduction précédente, car un petit détail important, aurait pu échapper à l'auteur du texte en latin.

     Et dire qu'avant 1972, le Webmaster d'ARTivision, n'avait jamais entendu parler d'aucun tourbillon de cette nature au Pôle Nord. Il n'avait même pas eu vent de cette affaire de mer libre de glace autour du Pôle Nord , telle qu'elle apparaît sur cette extraordinaire photo, déjà présentée plus haut :



     Bravo donc, à ces courageux Mr Pierre C. et sa compagne Lara, d'avoir eu la sompteuse idée, de faire traduire ce texte latin sans doute écrit bien avant 1569...

     N'empêche nous pouvons déjà constater que le message de ce texte latin a dû attendre des siècles, avant que nous puissons en comprendre la portée, et de plus, il a fallu attendre que l'on invente les satellites, pour en confirmer l'exactitude que nous cache nos gouvernements depuis des lustres. Chaque chose arrive donc à point dans ce monde que certains intellectuels blasés croient être livré à un hasard purement aléatoire.
     Mais ce 7/03/2016, nous allons devoir nous étendre un peu sur le vocable "respiration", utilisé plus haut, par l'internaute Pierre, dans sa missive en date du 03/01/2013, et le néophyte, se rendra compte, vite fait, que cette affaire dépasse de très loin les imaginations les plus délirantes des meilleurs auteurs de Science-fiction.

       Pour avancer dans cette affaire ahurissante, il convient ici de placer les propos suivants tirés de notre article en date du 15/06/2011 : AtlantideGodard.html

     On y trouve un article inouï d'un certain Mr Jacques Faure, qui nous conduit à ce passage du chercheur M.Godard, dont ignorons toujours le prenom, commançant par la lettre M .:

" On se sent saisi d'épouvante, conclut M. Godard, en songeant à la fragilité de notre "support", mince et flexible, vaste poitrine qui respire le rythme planétaire et balance ses océans, qui s'écoulent par dénivellation alternative... "

     Certes en s'exprimant de la sorte, M.Godard , pensait assurément à des événements se déroulant à des temps géologiques lointains et imperceptibles à l'échelle humaine, mais le site ARTivision, pense que rien ne se fait par hasard dans cet univers, et que ces mots étranges, viennent sans doute, d'une autre dimension et que ce sont peut-être, ceux qu'on appelle les Maîtres, qui les lui ont fait prononcer à l'époque, pour préparer déjà, Temps des Révélations, qui se déroule en ce moment même. En effet vous avons exposé dans plus de 90 articles, le fait que cette planète, est bien creuse , et en plus qu'elle est un organisme vivant qui inspire à sa mesure, par le pôle Nord, expire, par le Pôle Sud, et donc qu'elle a bien comme le dit M. Godard "une vaste poitrine qui respire le rythme planétaire..."...

     Fin de citation d'un passage de l'article AtlantideGodard.html.


     Le Webmaster d'ARTivision, a donc ici, le devoir d'expliquer cette affaire sidérante, de dilatation et de contraction des ouvertures polaires.

     C'est alors que le 29 Février 2004, nous avons contacté Mme Régine-Françoise Fauze, qui est le channel de l'entité transcendante Soria, qui est formée, on doit le savoir de 4520 entités cosmiques, afin de soumettre à son analyse les deux photos suivantes:

   


      Le premier schéma de gauche, est tiré de l'ouvrage " La Terre creuse ", ouvrage presque introuvable en France, de l'américain dont le pseudo estRaymond Bernard, et publié en 1971 par l'Editeur Albin Michel dans la prestigieuse collection, hélas disparue les Chemins de l'impossible. où l'ouverture polaire nord et sud est évaluée sur ce schéma à près de 2300Km, ce qui nous paraissait plutôt excessif.

     C'est pourquoi nous avons cru à une évaluation plus modérée comme celle présentée sur le deuxième schéma à droite, tiré du site : http://www.ourhollowearth.com/PolarOpn.htm.

     Nous constatons là, ( les côtes étant en miles), que l'ouverture polaire nord (comme celle du sud d'ailleurs) ne fait plus que 90 miles (145 Km environ) à son niveau le plus centré, ce qui fait une sérieuse différence avec la côte présentée sur le schéma de gauche de R. Bernard.

      Voulez-vous connaître la réponse de Soria au sujet de cette différence de largeur dans les ouvertures polaires présentées ?

     Voici la réponse de Soria :

Lettre personnelle adressée au Webmaster d' ARTivision :

     " Ami de la Terre"

     L'ouverture des Pôles utilise la respiration de votre Terre. De ce fait son diamètre évolue au rythme des mouvements.
     L'ouverture se dilate et se rétracte constamment. Aussi les deux mesures ne sont pas fausses. La Terre dans son ensemble use du mouvement dilatation, rétractation, mais en réalité cette planète est en expansion. Dans quelques décénies, son diamètre ne sera plus celui de cet instant.

     Au plaisir de l'échange .

       Scientifique Soria.


     Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques? Sinon ce que disent souvent les anglosaxons embarrassés: No Comment.

la phrase inouïe, parue dès Mars 2002 du collectif Soria, et phrase que nous reprenons ici, étant donnée son importance, et qui est tirée de l' ouvrage ci-contre:

     "...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu constater la dilatation des pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes ".

     Et on trouve aussi cette phrase surprenante :
     " ...Voilà pourquoi vous prenez peu à peu conscience que cette sphère est un être vivant ayant ses lois interactives. Tout désordre entraîne des conséquences sur l'ensemble planétaire interne et externe. Nous insisterons encore sur l'interpénétration de ces trois modes de vie par la zone intermédiaire, en l'occurrence vous. Votre responsabilité est grande. Seule cette prise de conscience évolue, car, pour le reste, rien n'a changé dans l'immédiat."

     Nous vous demandons alors, ici, de bien lire et relire cette expression fantastique, de Soria, et d'en tirer toutes des gigantesques conséquences, qui s'imposent et qui sont relatives à la connaissance intime de notre planète, et même, nous le pensons assurément, à celle de notre système solaire. Reprenons donc ci-dessous quelques bribles des mots sidérants de Soria , et à bon entendeur Salut... :

     "...Plusieurs portes d'accès sont disséminées à la surface de cette Terre. Dernièrement, vos satellites et vos astronomes ont pu constater la dilatation des pôles, qui sont parmi les entrées des mondes internes ".



      Mais rendons d'abord, "à César, ce qui lui appartient" : C'est en effet, déjà en 1979 que Mr Siragusa (si critiqué par les journalistes ignares ) a présenté page 193, dans le livre de Victorino Del Pozo, publié par COSMICA BP 31 13190 Allauch 1979, l'image surprenante suivante :


, l'image surprenante suivante :


    Comme vous le découvrez dans la légende des photos ci-dessus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) affirme dès au moins 1979, que " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ".

    Mais ou donc ce Mr Siragusa a-t-il été cherché cela dès 1979, car on ne peut pas le voir, sur les photos présentées. A vous de juger... ?     Il dit aussi dans le livre en question "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur, au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.)

     Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée par Siragusa, dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une de ses conférences, qui eu lieu à Paris,, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien.

    Et Mr Siragusa, dira alors : "Voici une photo prise par un satellite américain. Vous voyez l'ouverture du Pôle Nord qui permet d'accéder au centre de la Terre. Cette photo fait partie d'une série de 29 000 clichés pris, par le satellite. Je l'aie eue par la NASA. Ces photos ne sont pas diffusées dans le Grand Public".

     Tout cela serait encore considéré, comme de la pure Science-Fiction, s'il n'y avait pas cet extraordinaire cliché :


     Des nuages tourbillonnent autour du trou noir. Il est à noter que les clichés ci-dessus ont été pris en période de nuit polaire, et on y voit sans contestation aucune, que le diamètre du trou noir, n'est pas le même pour chaque photo. Mais peut-on affirmer que ce trou noir, correspond vraiment à l'ouverture polaire ? Rien, n'est moins sûr, quand on connaît les manipulations photographiques coutumières de la NASA .

     Mais, concernant ce cliché, reprenons ici, le petit historique que nous fait aussi le Livre Jaune n°6 ( déjà présenté plus haut), des Editions Félix :

  "Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de dix ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4 500 clichés faits par ATS III. Les images n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait la NASA”. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr. Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de mille clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo prise par l'ATS III, qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )

  Grâce à ses contacts avec le Goddard Space Flight Center, la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre. Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle , il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure "inexplicable" a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8. Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connection", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le Art Bell Show, il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique. Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe, les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique.... 

"Fin de citation"

     Une fois de plus, le site ARTivision, peut dire ici, que "la réalité surclasse souvent de très loin, la fiction".

     Mais, il se passe en plus, ces temps-ci, des choses très étranges. Jetez par exemple, un coup d'oeil à la photo qui suit, et qui est tirée pourtant, d'une revue d'informatique très connue. Il s'agit du Micro Hebdo n°568 du Samedi 11 Mars 2009 :



      Cette image, nous rappelle étrangement, celle-ci n'est-ce pas, déja vue plus haut :



     Comme ARTivision, ne croit pas du tout au hasard, nous nous demandons, si ce n'est pas encore un coup des "Maîtres" qui préparent le Temps des Révélations, et qui agissent télépathiquement, dans les milieux les plus divers, et cette fois encore, les bien-pensants vont là, se tordre de rire, bien inutilement.

     De plus, il faut savoir que ces êtres de l'intérieur, vivent très longtemps, et rien n'empêche que le même Maître, qui aurait rendu une visite au 17e siècle, à Euler (Le premier savant qui a parlé d'un Soleil au centre de la Terre), ou même à Jules Verne, avant 1866, récidive avec un Williams REED, et aussi avec un Marschall B.Gardner, autour du début du 20e siècle.

     C'est exactement, ce que nous raconte le célèbre film suivant :



     Ceux qui ont eu le privilège de visualiser ce film, se souviennent alors que l'équipage de l'Enterprise, un vaisseau spatial du XXIIIe siècle, remonte le temps et débarque sur Terre en plein milieu du XXe siècle, pour sauver deux baleines.

     Une fois de plus, le site ARTivision peut dire ici, que "la réalité surclasse souvent de très loin, la fiction".

      Mais ce 9 Mars 2016, analysons le sixième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier en Juin 1970, la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre sixième focus correspondant :

      Notre modeste traduction donne :

      " En considérant tous les vols commerciaux qui sont effectuées, via le Pôle Nord, entre l'Amerique du Nord et l'Europe, pas un, n'a décrit une ouverture polaire quelconque, malgré le fait, que la zone entière a été survolée. "

    Pour démentir cette affirmation de l'époque, de Mr John M. Prytz, voici un passage significatif de notre article, daté du 17/05/2012:

http://www.artivision.fr/articleLepotierde1952.html

      A la note 7, du Webmaster, on trouve alors :

     " Comme vous le voyez, le Contre-Amiral Lepotier, n'a pas écrit "et passent au dessus du pôle", mais bien ,"près du pôle". Il n'ignore pas en effet, que les boussoles se dérèglent totalement au Pôle, et que les avions ne pourraient plus contrôler leur direction. Mais ce défaut de la boussole peut être contourné (Voir l'entrefilet qui suit)...Il sait aussi que les autorités gouvernementales interdisent aux pilotes des avions militaires ou pas, le survol du Pôle Nord.

    Voyez donc cet entefillet d'un journal du Petit Parisien du 25 Avril 1958 :



    ou, avec un peu plus de détails :



    Ainsi en examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons, que ce trajet contourne toujours le pôle ou passe à côté, mais ne le survole jamais (Voir aussi une ancienne carte Air France ci-dessous).


    N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si l'on annonçait un vol passant directement au dessus du Pôle, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensation nouvelle. Or chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol. Tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique, car il y a aussi le gros risque de pénétrer dans le vortex polaire, et cela le Contre-Amiral Lepotier, le savait certainement déjà en 1952
.

      Fin de citation .


      Dans notre article en date du 02/12/2012 : VoyageNautilusetSkateauPN.html, nous avions aussi écrit cela :

    "C'est d'une façon aussi explosive que s'est imposé l'intérêt des régions arctiques pour les liaisons entre continents. C'est presque simultanément, il est curieux de le constater, que ces régions ont intéressé l'aviation commerciale, la navigation de surface et la navigation sous-marine. Ceci est d'autant plus remarquable que les problèmes à résoudre dans des domaines aussi différents, n'avaient absolument rien de commun.

    II n'y avait de commun que le désir de raccourcir les routes entre les rives européennes de l'Atlantique et les côtes du Pacifique. Cet intérêt des liaisons polaires a été développé assez souvent au cours des derniers mois à propos des lignes aériennes. Paris-Tokio "par le Pôle" est un trajet de 13 500 km contre 15 250 par la voie classique. ( Note du Webmaster : Comme vous le voyez l'auteur Mr George Lacoste de cet article a utilisé les guillemets dans l'expression "par le Pôle". Cela prouve indiscutablement que cet auteur (qui est probablement décédé actuellement car s'il avait écrit ce remarquable article à 50 ans mininum, il aurait 108 en 2016), n'ignorait sans doute pas, en effet, que les boussoles se dérèglent totalement au Pôle, et que les avions ne pourraient plus contrôler leur direction. Mais ce défaut de la boussole peut être contourné (Voir l'entrefilet qui précède)...Il savait aussi certainement que les autorités gouvernementales interdisaient aux pilotes des avions millitaires ou pas, le survol du Pôle Nord."
,

      Fin de citation .

      Et un grand merci, à l'internaute qui pourra nous retrouver, le cursus officiel de cette interdiction.

       Mais demandons à Ray Palmer, lui-même, ce qu'il pensait de cette affaire. Nous avons en effet, le n° de Septembre 1970 de la revue américaine "Flying Saucers" :


, où à la page 39, un lecteur pose à Ray Palmer, à peu près la même interrogation, parmi 5 erreurs, qu'il attribut amèrement à l'auteur :



Et voici donc, la réponse de Palmer, à cette 3e prétendue erreur :


       Et notre modeste traduction, donne cette fois :

      " Troisième erreur : nommez un pilote qui a pile-poil, volé au-dessus du Pôle ! Ils ont seulement volé, au-dessus d'une zone que leurs instruments ont cataloguée, comme le Pôle, qui selon mon estimation se situait autour de 400 miles (voisin de 644 km), de l'actuel "pôle" , car il est en réalité sur le bord du trou.

       Les Russes, il y a déjà bien longtemps, ont déclaré que le Pôle, était un cercle, ayant un diamètre de près de 800 miles ( voisin de 1287 km ), plutôt qu'un point sur ce cercle, en parlant de magnétisme bien sûr. Mais ces pilotes seraient idiots de vouloir l'atteindre, car à cet endroit, ils ne manqueraient pas, assurément de se perdre .
"

       Au sujet de la déclaration des russes, mentionnée ci-dessus par Palmer, on trouve ce schéma très significatif :


       Ce shéma est tiré de l'ouvrage en anglais, de 1964 de Raymond Bernard, intituté "The Hollow Earth", tel que :

  

     Cet ouvrage de R Bernard, ( qui en réalité s'appelait Walter Seigmeister, et qui est décédé le 10 Septembre 1965, fut traduit en Français seulement en 1971, chez Albin Michel. :


      Allez savoir pourquoi, cet ouvrage est devenu pratiquement introuvable, même dans les libraires spécialisées .

     Voici donc la traduction, du schéma précédent, concernant la déclaration des russes :


      A vous donc de juger encore tout cela, documents à l'appui.

      Mais ce 10/03/2016, pour aller plus à fond dans les tenants et les aboutissants sous-jacents du site ARTivision que certains irréductibles détracteurs et consorts intellectuels blasés traiteront à la volée, de site hautement spéculatif et basé sur la présentation de faits invérifiables, nous dirons que tout ce qu'affirme ce site est tiré d'ouvrages souvent anciens, qu'il convient d'avoir sous la main, avant de faire une critique facile et déplacée. Reprenons donc alors volontairement le passage précédent, plutôt dur à encaisser:

     " De plus, il faut savoir que ces êtres de l'intérieur, vivent très longtemps, et rien n'empêche que le même Maître, qui aurait rendu une visite au 17e siècle, à Euler (Le premier savant qui a parlé d'un Soleil au centre de la Terre), ou même à Jules Verne, avant 1866, récidive avec un Williams REED, et aussi avec un Marschall B.Gardner, autour du début du 20e siècle. "

       Examinons d'abord, le fait que ci-dessus, nous ayons mentionné le nom du célèbre Jules Verne, et surtout la date de 1866. On le sait déjà, rien ne se passe par hasard, sur ARTivision, et disons donc alors, que c'est au début de Juillet 2005, que nous sommes tombés, en cherchant dans nos dossiers tout autre chose, sur cette revue d'Ouranos n° 21 de 1978 :

  

    Mais, il serait aussi peut-être plus utile, pour les puristes, d' expliquer ici que la revue "Ouranos" était une Revue d'information et d'études sur les phénomènes Spatio-temporels et connexes. Le texte on le voit, est intitulé "Le Grand Mystère des Pôles ". On était donc bien, comme vous le voyez , déjà à l'époque dans le vif du sujet. (Voici donc l'intégralité du texte en question. Les couleurs et les mots en gras, sont de nous évidemment) :

Le grand mystère des pôles.


     Il est de notoriété publique et officielle que le Pôle-Nord fut conquis par Peary, le 6 avril 1909 et le Pôle-Sud par Amundsen, le 14 décembre 1911, précédant son malheureux rival anglais Scott qui a péri à 15 km, d'un dépôt de vivres avec son équipe, sauf Atkinson qui retrouva les cadavres gelés de ses compagnons, le 8 novembre 1912.

     Les nombreuses expéditions de l'Amiral Byrd et celles des années géophysiques internationales, en 1958-1961, semblent ne laisser aucun mystère sur l'Antarctique qui serait, selon les vues officielles, un continent de 14 millions de km2 , avec une calotte glacière de 4200 mètres maximum, le plus haut sommet atteignant 5140 mètres. L'Erebus et le Terror, volcans importants en activité, terminent où commencent la grande ceinture volcanique du Pacifique.

     Pour la majorité des gens, la Terre possède cinq continents et ils ont raison. L'Antarctique n'est, en fait, pas un continent au sens propre du terme, mais un amas de grandes et de petites îles potentielles qui seraient séparées par des détroits qui se rempliraient d'eau si la glace fondait. Les points 0, au niveau de la mer, coupent en deux ce soi-disant continent de basses terres de 150 à 200 mètres, de fortes dépressions au-dessous du niveau de la mer apparaissent sur les radio-sondages. L'Antartique bordée par des zones terrestres élevées dans la région de la chaîne Transantartique baignée par la mer de Ross, comprenant à l'intérieur de grandes chaînes de montagnes, au vu de faibles hauteurs topographiques relevées en son centre droit, cartographié depuis le sud de l'Australie, nous donne l'impression d'être un immense cratère effondré à l'instar du Groenland dont l'affaissement topographique, au centre et au NordOuest, est indéniable.

     Sur le plan géologique, il est impossible que l'Antarctique soit un continent unifié à moins que les couches se rencontrent au fond de la grande coupure sismique qui partage l'Antarctique en deux, au fond de l'éventuelle future mer, produite par la fonte des glaces. L'Antarctique, de la Mer de Weddell à la Terre Georges V, au sud de l'Afrique et de l'Australie, à part quelques poussées jurassiques, est principalement pré-cambrienne, cambrienne. La nette cassure se remarque de la Terre de Graham à la Terre Georges IV, qui est nettement jurassique-crétacée-tertiaire, rejoignant la Terre de Feu et les Andes sous-marines dont les sommets émergent par les Sehtland-Sud, les Orcades du Sud, les Iles Sandwich, la Géorgie du Sud et les Maloines. Dans cette zone de poussée Cénozoïque et du Mésozoïque supérieur, les faibles couches précambriennes et cambriennes se trouvent comme encerclées. Ce qui prouverait que cette forte poussée jurassique a fait s'effondrer l'Antartique en son centre droit.

     Toute nouvelle terre non découverte auparavant a suscité, au cours des âges, un aspect mythologique bien défini de reconnaissance de la part de ceux qui, au travers de la Tradition, en ont conservé un souvenir déformé, en se réclamant d'une façon floue de certaines terres ou continents et de civilisations disparues, telles l'Atlantide, Hyperborée et la Lémurie. Ces hypothétiques "régions disparues" auraient-elles un lien commun avec l'Antarctique ?

     L'Amiral Byrd qui a vu certaines choses, qui n'ont pas été reconnues officiellement, aurait pu nous appporter des éclaircissements si, là comme ailleurs, une sorte de conspiration du silence n'était pas intervenue. De certains éléments, on est en droit de se demander si les vëstiges d'une grande civilisation n'existeraient pas sous la glace en Antarctique ? Dans cette expédition, un dénommé Thomas R. Henry ne tente-t-il pas de nous dévoiler "les dessous d'un gros iceberg", en déclarant dans l'un de ses écrits, que l'Antarctique est une Terre pas comme les autres. On parle d'oasis de glace, de démons de glace, de lacs étrangement émeraudes, d' "obscurité blanche", où l'on perdrait son compagnon à deux mètres de soi. L'Armée chilienne aurait photographié des "véhicules inconnus" et des OVNI dans l'Antarctique.

     Au regard de tous ces phénomènes, nous ne sommes pas loin des "blancs linceuls qui s'entrouvent", décrits par S. Coleridge et G. Dore, dans la "Ballade du vieux marin", des aventures d'Arthur Gordon Pym, d'Edgar Poe et du "Sphinx des glaces" de Jules Verne. Arthur Gordon Pym, après avoir passé une période terrible sur un bateau dans les Bermudes, naufragé à la hauteur de l'Afrique Occidentale est recueilli par une goélette faisant route vers les zones polaires très au Sud. Cette goélette avance en de hautes latitudes Sud, dans une région chaude et exceptionnelle avec des animaux et de la végétation étrange. Des indigènes détruisent le navire..J. Verne recommence et continue l'histoire de Poe dans le "Sphinx des glaces", œuvre très mal accuellie et comprise à l'époque, car elle laisse certainement un message pour notre décennie, et les quelques décennies à venir, avant notre pénétration dans le Verseau. Jules Verne voit ses héros entrer à 2° 45' sur le plan longitudinal à l'Est de la position Poe, et dans le couloir Ouest antarctique en se rétablissant sur la ligne de Poe. Ce qui forme un "V" du mouvement polaire, et, à quelques décimales près, nous trouvons tous les grands mouvements entre le pôle géographique et le pôle géographique moyen, entre le point vernal et le point vernal moyen et le grand axe céleste. Nous trouverions à la place, pour la précession luni-solaire de 50'37 ", la précession terrestre propre de 50'M", avec la non-compensation de 12", se rétablissant sur le cercle de précession centré sur le Pôle de l'écliptique tous les 25700 à 25900 ans, représentant également un bouclement sur le cercle zodiacal de 12 x 2160 ans.(Note du Web master :voir "La Lune clé de la Bible" de Jean Sendy )

     Tous les mouvements terrestres propres, longitudinaux, latitudinaux, polaires, laissent un vide qui signifierait un allongement de l'écartement des longitudes entre les positions "poennes" et "verniennes". Dans son roman, Jules Verne, avec ses "dons de double-vue", voit l'île Tsalal anéantie, le voyage vers le pôle-Sud continue et son passage s'effectue d'une façon déviée, sur un iceberg. En consultant la carte de radio-sondage, on s'aperçoit, en effet, que le Pôle Sud serait à l'eau si la glace fondait, mais avec de faibles profondeurs, capables de faire échouer un navire. II y aurait une mer intérieure sous la glace et des détroits navigables. Dans leurs aventures, les rescapés de Jules Verne passent devant ce qui pourrait être "un sphinx qui attire le fer". Cette Terre Carte de l'Antartique "imaginée" par Jules Verne passent devant ce qui pourrait être "un sphinx qui attire le fer " . Cette terre du Sphinx est ronde. Elle est aussi repérable sur les cartes de radio-sondage actuelles. En calculant les longitudes qui dérivent de 1 ° par cent ans à l'Est et, en ajoutant la précession terrestre non compensée de 12" depuis 1839, date de départ imaginée pour cette fantastique aventure, il serait alors possible de retrouver la Terre du Sphinx à l'endroit recherché. Notons encore que cette "chose", d'après Jules Verne, serait à l'origine des aurores boréales qui ne s'expliqueraient que par l'ouverture des Pôles (?). De "blancs linceuls qui s'entrouvrent" existent aussi dans l'Arctique, mais c'est dans l'Antarctique que le bruit court sur certaines "expériences".

     A ce blanc mystère des Pôles s'ajoutent encore ceux des photographies prises par le satellite "ESSA 7" de la NASA, dans une série de 39953 clichés. Les Pôles seraient-ils des "fantômes" ? Que sont devenus les équipages des sous-marins atomiques qui ont disparu ? Qu'est devenu "L'U-Boot 33" qui, en 1916, a disparu dans l'Atlantique Sud avec une charge d'aniline ? Quel rempart cet explosif avait-il à vaincre ? Isis se recouvre d'un voile supplémentaire, rendant ainsi difficile la réponse à toutes ces questions. Pourtant une chose nous apparaît clairement, c'est que ni Peary ni Amundsen, n'ont trouvé les Pôles. En effet, les cartes de 1909 ou de 1911 ne comportaient pas cet écartement de longitude pressenti par Verne en 1839, écartement anormal qui touche l'axe terrestre et un ralentissement qui expliquerait les jours de 23 heures que l'on veut nous fabriquer actuellement. De même une possible et rapide période glacière que P.E. Victor, lui-même, a reconnu à la télévision suisse, en janvier 1977.

     Mais, cet article ne se désirait aborder que quelques points de réflexion, posés par Verne, comme tant d'autres. II y a parfois, dans de tels romans, certaines vérités qui se cachent, seulement accessibles à "l'initié" en la matière. Nous n'avons fait que poser un nouveau point d'interrogation sur ces "blancs linceuls". Nous attendons beaucoup de nos lecteurs avertis à ce sujet.

Groupe de réflexion "Antarticus"   


     Comme vous l'avez remarqué, ce texte, qui fourmille de détails littéraires et de chiffres sur les pôles, nous parle bien déjà dès 1978, des nombreux ovnis circulant en direction de l'Antarctique, et qui auraient même été photographiés par l'armée chillienne.

    Mais, ce qui nous interpelle vraiment dans ce texte, c'est que son auteur ( Antarticus) , affirme que Jules Verne, aurait parlé quelque part, pour expliquer les aurores boréales de " l'ouverture des pôles". L'auteur de ce texte est, lui-même, semble-t-il très surpris de cela,, puisqu'il pose un gros point d'interrogation à ce sujet. Ce point d'interrogation notoire, prouve, au moins, que cet auteur n'avait certainement pas pris encore connaissance de l'ouvrage de R. Bernard "la Terre creuse" paru pourtant dès 1971 chez ALbin Michel et pratiquement introuvable en librairie actuellement que nous représentons volontairement ici, étant donnée son importance.


     Mais nous avons des internautes qui savent aussi, fouiller le sujet en question, dans des coins très reculés. En effet le 08/09/05, notre ami M. Hertzog, nous a envoyé ce texte, qui est très instructif. Il est tiré de la page 61 de l'ouvrage intitulé "Jules Verne, le poète de la science", sous la direction de Jean-Paul Dekiss, Timée-Editions, 2005. Voici par exemple, ceci de très significatif :


     Fin de la digression

     Puis ensuite, pour notre Grand Bonheur, le 24/08/05, nous avons reçu aussi, de notre ami M. Heztzog (voir ses supers interventions dans : merlibre.html), la missive suivante :

----- Original Message -----
From: M. Hertzog
To: fred.idylle
Sent: Wednesday, August 24, 2005 11:03 AM.
Subject: Re: Une affaire concernant Jules Verne... de la plus haute importance.

     Cher Fred,

     Je trouve votre courrier à mon retour de vacances.

     A première vue, il peut s'agir d'une info tirée de la lecture des "Voyages et aventures du capitaine Hatteras", ouvrage publié en 1866, et dont voici deux scannérisations modernes :

  

     Voir les dernières lignes surlignées en jaune fluo (par moi) du chapitre XXIV intitulé : "Cours de cosmographie polaire" , que je vous joins.

     Amicalement,

     Michel Hertzog.


où il est précisé ceci, au tome 2 : Le désert de glace :

" Enfin, de nos jours, on a prétendu qu’il existait aux pôles une immense ouverture, d’où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l’intérieur du globe ;
"

     Comme on le voit donc, c'est clair et net, sans bavure, ni spéculation psychologique imaginaire, et le groupe Antarticus, avait bien mis le doigt sur une information hors normes, concernant Jules Verne, qui justifiait parfaitement notre vive interpellation, à ce sujet.

      Il ne vous reste, Messieurs les détracteurs zélés et consorts zététiques affiliés, qu'à aller fouiller dans les notes écrites (concervées certainement dans une de nos bibliothèques), de Jules Verne, pour trouver qui lui a "soufflé", cette incroyable révélation ? Point Barre...

      Merci donc encore une fois à l'ami M.Hertzog, pour sa prodigieuse participation aux recherches d'ARTivision.

     Rappelons que nous avons découvert, plus tard, que tout cela, était déjà parfaitement mentionné, dès 1976, page 45, dans l'ouvrage remarquable du très grand ésotériste français Serge Hutin, paru chez Albin Michel, et intitullé : "Des mondes souterrains au Roi du Monde".

     Présentons alors les couvertures de ce livre, pour le novice, qui rentre, par cet article, la première fois dans ARTivision :

  


    Mais l'on doit aussi savoir, que si l'auteur Antarticus , mentionné ci-dessus, ne semble pas avoir eu en main en 1978, l'incontournable ouvrage de Raymon Bernard, publié en 1971 chez Albin Michel, le grand ésotériste français, que fut ce Serge Hutin, dans son petit livre de poche intitulé "Hommes et civilisations fantastiques" , paru en 1970 chez l'Editeur J'ai Lu , dans la remarquable collection hélas disparue " L'Aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues", n° A 238, que voici :

  

, nous dit, à la fin de la page 44 ceci :


    On voit que, Serge Hutin, était particulièrement informé sur ces mystères polaires, car il connaissait déjà en 1970, le livre en anglais de R. Bernard, non encore publié en français, (il le sera, on le sait, l'année suivante en 1971).

      Mais ce 11/03/2016, nous allons analyser, de plus près la superbe déclaration de Jules Verne, vue plus haut, et qui se présente, on le sait, ainsi :


" Enfin, de nos jours, on a prétendu qu’il existait aux pôles une immense ouverture, d’où se dégageait la lumière des aurores boréales, et par laquelle on pourrait pénétrer dans l’intérieur du globe ; "
       Mais, Jules Verne n'ayant jamais parlé du soleil central, qui existe à l'intérieur de la planète,(Comme le signale si bien Olaf Jansen dans l'ouvrage The Smoky God) , le problème est donc, que l'on ne comprend pas quelle lumière interne de la Terre, peut sortir des trous polaires pour réaliser ces suberbes aurores polaires comme celles qui suivent :


       Autre exemple :



     Quelle suberbe luminosité n'est-ce pas ? Et cela stationne au pôle !!! C'est une aurore boréale que nous devons à la courtoisie du Dr Hallinan, et l' astronaute Overmeyer de la NASA .

Sur le site :

http://www.arcticlightphoto.no/

, on découvre aussi :

  

  

      Voyons donc comment Jules Verne parle de la lumière spéciale (assurément pour lui, d'origine électrique), qu'il a découverte au centre de la Terre, qu'il décrit au chapitre XXIII dans son célèbre ouvrage : VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE (1864) de Jule VERNE publié à Paris par le prestigieux Editeur Pierre-Jules Hetzel & Cie

donc il est clair, qu'il ne pourrait s'agir de cet effet du phénomène "triste et souverainement mélancolique", qu'il signale ci-dessus.

      Pour mieux cerner cette affaire d'aurores polaires, faisons appel d'abord à un message transcendant, dont le texte extraordinaire qui suit, est tiré des pages 193 et 194 de l' ouvrage remarquable intitulé : "LE VOYAGE A SHAMBHALLA" par Anne et Daniel Meurois-Givaudan publié en 1986 par les Editions Arista. On y trouve alors, ce passage à la fois, très significatif, et poétique en plus :

     " Votre terre est creuse, vous le savez, creuse comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux .
     Là également, vous attendent les prémices d'un avenir fabuleux ou plutôt d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhension. La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers les cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles. C'est aussi une source vitale éthérique dont vous ne pouvez avoir idée. L'heure ne se présente pas encore d'éluder pour l'homme la totalité des mystères de l'Agartha et du continent central. Nous refusons de précipiter ce temps pour la sauvegarde de la majorité des consciences immatures. Vos gouvernements s'y refusent aussi, bien que partiellement informés, pour la sauvegarde de leur pouvoir
. "


      Bien sûr, ce n'est pas la thèse officielle, qui est avancée pour expliquer ces aurores polaires, et pour être encore fair play, voici d'ailleurs, à ce sujet, ce que nous dit, la revue Science&vie1095 de Décembre 2008 :

  

       On voit alors que selon cet article, qu'il n'y a que deux théories qui ont l'agrément des scientifiques et surtout que les mots manquent aux scientifiques pour "expliquer cette spectaculaire violence venue du ciel". Pas question que cette aurore spectaculaire, vienne de quelque partie que soit de la Terre. Point barre.

       Pourtant l'illustration présentée par cette revue, montre bien que l'intensité de la lumière se manifeste vers le bas donc tout près de la Terre et non du haut du ciel, comme cet article le précise :


     Mais présentons aussi ici, le beau schéma d'explication des scientifiques concernant le vent solaire, qui vient chatouiller, la magnétosphère terrestre, pour produire les superbes aurores boréales et australes :


      Nous supposons alors que la mission Themis, lancée par la NASA en Février 2007, avait d'autres objectifs plus secrets, qu'une ballade de satellites dans le flux solaire. Bref, chacun est libre de croire ce qu'il veut en fonction de la nature des informations qu'il détient.

     Mais voici dans ce débat un niveau bien plus haut, et qui nous vient du Collectif Soria, formé on le sait, de 4520 entités cosmiques, et qui est donc pour nous, une deuxième source transcendante , qui soulèverait déjà beaucoup d'émotion, même chez ceux qui auraient des affinités dites mystiques :

     "La thèse retenue par vos scientifiques n'est pas conforme à la réalité. Le centre de la Terre est la demeure d'Êtres hautement évolués qui sont les gardiens des fonctions vitales de la planète, et le siège du grand Être qui gère la maintenance de l'assemblage des particules selon le schéma du Grand Constructeur.

   Votre centre de la Terre est creux et possède son propre Soleil générateur de Vie. Une flore y pousse également et reçoit la vie de milliers d'insectes, d'animaux. Désolée de lever ce voile, mais il faut regarder la vérité dans sa théorie pour la découvrir dans la matière.
  Vous regardez vers les étoiles mais ne connaissez pas la composition de votre Terre. Des portes donnent accès au sous-sol de votre planète. Naturellement, elles s'ouvriront dès votre allégeance au Soleil Central. L'intérieur de votre sphère est aussi beau que son extérieur, on y trouve des vallées, des monts, des lacs, des rivières comme dans votre géophysique externe. Les gardiens de ces portes sont très efficaces et le passage ne sera accordé qu'avec un décret du Soleil Central
.... " .

      Fin de citation
        Tiré de la page 112 du livre de Soria "Les grandes Voies du Soleil", paru au Editions ARIANE en Avril 2001

     Allez, voici un petit plus pour la route, pourtant le top du top, qui est un texte qui ferait assurément sans doute rêver, les meilleurs auteurs de Science-fiction :

     "L'intérieur de votre Terre est creux ; un Soleil y réside, permettant la vie comme sur la croûte extérieure de cette planète. Chaque humanité vit dans une des réalités physiques d'Urantia Gaïa. Suivant le cercle d'influence atomique, certaines peuvent avoir des relations directes et physiques avec le peuple extérieur, vous. Ainsi, parmi les survols d'ovnis, quelques-uns sont imputables aux intraterrestres. L'harmonie interne de votre sphère d'accueil subirait des interférences si ces êtres n'intervenaient pas dans votre évolution. Il n'est pas rare que les scientifiques internes surveillent les travaux des vôtres, les aidant même en laissant des formules dans la matrice des ordinateurs ou en envoyant l'un des leurs se fondre au sein de votre multitude. Certains occupent des postes importants dans votre société, contrôlant ainsi les progrès, en favorisant certains ou en écartant d'autres, mais en tenant toujours compte de votre degré d' ouverture d' esprit, de vos faiblesses, de vos points forts et du maintien de l'équilibre du centre de la Terre. Parfois, des documents disparaissent, étant jugés sortis trop tôt, pour réapparaître dans une séquence plus appropriée. Il est temps de trouver un point de rencontre conscient entre eux et vous. Seule votre volonté de développer un échange sain, fraternel et respectueux entre chaque ethnie concrétisera cette rencontre. Pourtant, les habitants de l'intérieur de la Terre n'ont jamais été aussi ouverts à une telle éventualité. Votre conscience sera touchée par des informations révélant autant la vie stellaire que la vie intraterrestre. Il est même possible que certaines portes d'accès du centre de la Terre s'ouvrent à quelques-uns d'entre vous afin qu'ils puissent témoigner de la réalité de leur existence. Votre grand visionnaire et prophète Jules Verne vous a préparés aux ouvertures de ces temps nouveaux. Rapidement et étrangement, vous pourriez éprouver comme une surdose d'informations, déstabilisant ainsi vos croyances établies et fragilisant vos tendances à vous accrocher aux lois actuelles".

     Extrait pages 172 et 173 de "Voyage" tome III de Soria Edition Ariane Mars 2002.

      On voit alors que, l 'extrordinaire texte précédent, fait allusion, à juste titre, au grand précurseur visionnaire, que fut notre célèbre écrivain Jules Verne, qui connaissait bizarrement cette affaire d'ouvertures polaires :

     Remarquons donc que la configuration de la Terre serait comme le montre ce schéma déjà surprenant, pour l'année de parrution :

      Cet ouvrage précurseur, qui est hélas non traduit en français jusqu'alors et dont le titre français, est intitulé "Le Secret des Pôles", est paru en 1898, et est une brochure de 48 pages, dont l'auteur est un certain Henry Campion. Son traité fut publié à Birmingham, Angleterre. Donc précédant, les écrivains américains, William Reed (1906) et Marshall B. Gardner (1920), cet Henry Campion écrivait déjà à son époque, que la Terre était trouée aux deux pôles sud et nord. Citons Campion : " L'axe de la Terre est complètement vide, et entièrement dépourvu de matière du nord au sud. Il a deux ouvertures complètes, une au Pôle nord , l'autre exactement à son opposé, au pôle sud . Cette terre littéralement complément vide intérieurement d'un pôle à l'autre.."

     Bien qu'il ne fasse pas allusion, au Soleil central, c'est tout de même pas mal n'est-ce pas, d'apprendre que l'auteur connaissait déjà à l'époque, en 1898, cette affaire des ouvertures polaires, alors que nous, nous avons appris ce fait incroyable, uniquement en 1972, quand une amie de la Métropole a eu la géniale idée, de nous envoyer le livre de R. Bernard "La Terre creuse" , publié chez Albin Michel en 1971, et ouvrage pratiquement introuvable en librairie :


Et, voici pour les puristes gràce à l'aimable internaute Fabrice ... , on peut lire cet ouvrage à :



     Mais, Jules Verne aurait aussi pu, s'inspirer de cet ouvrage très surprenant, pour l'epoque (1921) qui est d'un certain Sir Hormidas Peath (pseudonyme de Jacques-Auguste-Simon Collin de Plancy) traduit de l'anglais par M. Jacques de Saint-Albin :



     Nous en reparlerons plus bas ....

    Il est à noter que l'auteur cité plus haut William Reed, n'avait certaiment, hélas pour lui, pas lu (en anglais bien sûr) l'ouvrage précédent, car il n'a pas eu l'idée (comme cela le fut pour Jules Verne), de l'existence d'un soleil en réduction, au centre de la Terre, car à ce moment là, il aurait parfaitement damer le pion à Marshall B.Gardner, qui semble t-il n'a pas connu son livre " of the poles", de 1906. Rappelons que dès 1913, un habitant d'AURORA dans l'Illinois, Marshall B.Gardner (déjà présenté plus haut), publia, à ses frais, un petit livre intitulé "Voyage à l'intérieur de la Terre", où il fait déjà état de ce soleil central. Sept ans plus tard, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu'à ce qu'il atteigne 456 pages, et en l'agrémentant d'une bibliographie d'une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l'exploration polaire.

     A vous de juger une fois de plus, tous ces faits extraordinaires, documents à l'appui.

     Mais ce 12/03/2016, nous affirmons que si Jules Verne ( qui est décédé le 24 Mars 1905), avait des amis anglais, ces derniers n'auraient pas manqué de lui signaler la sortie en Angleterre en 1892 de l'extraordinaire ouvrage :

  


Ou l'on découvre ce schéma inouï :


    Hélas cet ouvrage de 1892, William R. Bradshaw, et dont le titre commence par : "The Gooddest of Atvatabar : Being the history of Discovery of the interior Words and Conquest of Atvatabar ", ne fut jamais traduit en français, mais on peut le découvrir sur Internet sur l'excellent site du projet Gutemberg où l'on peut découvrir beaucoup d'anciens ouvrages:


      Donc ce Monsieur, avait déjà une idée bien avancée de la Terre creuse, surclassant de loin, les autres écrivains précurseurs audacieux de son époque.

     Il est aussi, très regrettable donc que, l'auteur américainWilliams REED , déjà cité au début de cet exposé :

 


n'ait pas eu en main, l'ouvrage avant-gardiste de William R. Bradshaw, vu ci-dessus car son "The Phantom of the poles" en aurait pris un sacré et bénéfique coup de fouet.

     Donc, en perspective, de nombreuses autres pages de traductions à effectuer, et tout au moins, jusqu'à la découverte de cette affaire inouïe pour l'époque, des de trous polaires, et surtout de Soleil central... ,voici donc une très modeste tradution du début de ce texte, jusqu'à l'apparition du soleil central , et nous pensons que cette œuvre est un excellent roman de fiction, bien que le début de l'histoire, semble partir d'éléments vraissemblables, et par exemple au chapitre 2 - page 20, on trouve :

CHAPTER II.

THE CAUSE OF THE EXPEDITION.

     The Polar King, in lat. 84', long. 151' 14", had entered an ocean covered with enormous ice-floes. What surprised us most was the fact that we could make any headway whatever, and that the ice wasn't frozen into one solid mass as every one expected. On the contrary, leads of open water reached in all directions, and up those leading nearest due north we joyfully sailed.

     May the 10th was a memorable day in our voyage. On that day we celebrated the double event of having reached the furthest north and of having discovered an open polar sea.

     Seated in the luxurious cabin of the ship, I mused on the origin of this extraordinary expedition. It was certain, if my father were alive he would fully approve of the use I was making of the wealth he had left me. He was a man utterly without romance, a hard-headed man of facts, which quality doubtless was the cause of his amassing so many millions of dollars.

Une très modeste traductions donne alors :

      Le Roi polaire ( The Polar king) étant le nom du navire affrété par un certain Lexington White (donc ce n'est déjà le nom de l'auteur), qui semble raconter cette incroyable aventure. Voici donc notre très modeste traduction :

L'origine de l'expédition

     "Le Roi polaire à la latitude de 84° et à la Longitude de 151°14' est entré dans un océan parsemé d'énormes blocs de glaces et ce qui nous a surpris le plus fut le fait que nous pouvions progresser entres ces blocs car la banquise n'était pas gelée en une seule masse solide comme on s'y attendait à le voir. Au contraire, des filets d'eau libre , partaient dans toutes les directions autour des blocs, et même vers le nord, où nous nous dirigions joyeusement.

     Le 10 Mai, fut une journée mémorable pour notre voyage, Ce jour là, nous avons célébré le double événement d'avoir d'une part atteint le point le plus septentrional connu, et d'autre part le fait d'avoir découvert une mer libre au pôle Nord .

     Assis dans la cabine de luxe du navire, je m'interrogeais, sur l'origine de cette expédition hors normes. Il était évident que si mon père étaient encore vivant, il aurait totalement approuver, l'utilisation, que j'en avais faite, de la fortune qu'il m'avait laissée. C'était un homme très peu romantique, à cheval sur les faits bruts, et ces spécifications, lui avaient permis d'amasser des quantités de millions de dollars.
"

     Jusque là, le récit semble cohérent avec celui d'Olaf Jansen dans SmokyGod.html

     Mais c'est quand l'auteur aborde la notion de soleil central, que les différences sont notoires :

     Au chapitre VII, on trouve par exemple, page 40 :

     "We continued our voyage in the semi-darkness, the prow of the vessel still pointed to the centre of the earth, while the polar star shone in the outer heavens on the horizon directly over the rail of the vessel's stern.

     It did not appear to us that we were dropping straight down into the interior of the earth; on the contrary, we always seemed to float on a horizontal sea, and the earth seemed to turn up toward us and the polar cavern to gradually engulf us. The sight we beheld that day was inexpressibly magnificent. Five hundred miles above us rose the crest of the circular polar sea. Its upper hemisphere glowed with the light of the unseen sun. We were surrounded by fifteen hundred miles of perpendicular ocean, crowned with a diadem of icebergs!

     Glorious as was the sight, the sailors were terribly apprehensive of nameless disasters in such monstrous surroundings. It was impossible for them to understand how the ocean roof could remain [43] suspended above us like the vault of heaven. The idea of being able to sail down a tubular ocean, the antechamber of some infernal world, was incomprehensible. We were traversing sea-built corridors, whose oscillating floors and roof remained providentially apart to permit us to explore the mystery beyond.

     Mid-day on the 13th of May brought no sight of the sun, but only a deepening twilight, the dim reflection of the bright sky we had left behind. The further we sailed into the gulf the less its diameter grew. When we had penetrated the vast aperture some two hundred and fifty miles, we found the aërial diameter was reduced to about fifty miles, thus forming a conical abyss. We were clearly sailing down a gigantic vortex or gulf of water, and we began to feel a diminishing gravity the further we approached the central abyss.

     The cavernous sea was subject to enormous undulations, or tidal waves, either the result of storms in the interior of the earth or mighty adjustments of gravity between the interior and exterior oceans. As we were lifted up upon the crest of an immense tidal wave several of the sailors, as well as the lookout, declared they had seen a flash of light, in the direction of the centre of the earth!

     We were all terribly excited at the news, and as the ship was lifted on the crest of the next wave, we saw clearly an orb of flame that lighted up the circling undulations of water with the flush of dawn! We were now between two spectral lights—the faint twilight of the outer sun and the intermittent dawn of some strange source of light in the interior of the earth.

The sailors crowded to the top of both masts and stood upon cross-trees and rigging, wildly anxious to discover the meaning of the strange light and whatever the view from the next crest of waters would reveal.      "What do you think is the source of this strange illumination," I inquired of the captain, "unless it is the radiance of fires in the centre of the earth?"

     "It comes from some definite element of fire," said the professor, "the nature of which we will soon discover. It certainly does not belong to the sun, nor can I attribute it to an aurora dependent on solar agency."

     "Possibly," said Professor Rackiron, "we are on the threshold of if not the infernal regions at least a supplementary edition[44] of the same. We may be yet presented at court—the court of Mephistopheles."

     "You speak idle words, professor," said I. "On the eve of confronting unknown and perhaps terrible consequences you walk blindfold into the desperate chances of our journey with a jest on your lips."

     "Pardon me, commander," said he, "I do not jest. Have not the ablest theologians concurred in the statement that hell lies in the centre of the earth, and that the lake of fire and brimstone there sends up its smoke of torment? For aught we know this lurid light is the reflection of the infernal fires."

     At this moment a wild cry arose from the sailors. With one voice they shouted:


"The sun! The sun! The sun!"

     The Polar King had gained at last the highest horizon or vortex of water, and there, before us, a splendid orb of light hung in the centre of the earth, the source of the rosy flame that welcomed us through the sublime portal of the pole!

     As soon as the astonishment consequent on discovering a sun in the interior of the earth had somewhat subsided, we further discovered that the earth was indeed a hollow sphere. It was now as far to the interior as to the exterior surface, thus showing the shell of the earth to be at the pole at least 500 miles in thickness. We were half way to the interior sphere.

     Professor Starbottle, who had been investigating the new world with his glass, cried out: "Commander, we are to be particularly congratulated; the whole interior planet is covered with continents and oceans just like the outer sphere!"

     "We have discovered an El Dorado," said the captain, with enthusiasm; "if we discover nothing else I will die happy."

     "The heaviest elements fall to the centre of all spheres," said Professor Goldrock. "I am certain we shall discover mountains of gold ere we return."

     "I think we ought to salute our glorious discovery," said Professor Rackiron. "You see the infernal world isn't nearly so bad a place as we thought it was.""


     Et, voici alors notre très modeste traduction :

     "Nous avons continué notre voyage dans la semi-obscurité, la proue du navire encore pointée vers le centre de la Terre, tandis que l'étoile polaire brillait dans les cieux extérieurs à l'horizon directement au-dessus de la flèche de la poupe du navire.

     Il ne nous paraîssait que nous étions entrain de glisser vers le bas à l'intérieur de la Terre, au contraire, nous avons toujours sembler flotter sur une mer horizontale, et la Terre semblait nous entourer et la caverne polaire, nous engloutissait progressivement. Le spectacle que nous avons contemplé ce jour-là, était indiciblement magnifique. Cinq cents miles au-dessus de nous, s'élevait le tunnel de la mer polaire. Son hémisphère supérieur brillait avec la lumière d'un soleil invisible. Nous étions entourés au dessus de nous de quinze cents miles de l'océan, couronné d'un diadème d'icebergs!

     Bien que le spectacle fut glorieux, les marins étaient terriblement inquiets des catastrophes sans nom qui pourraient arriver dans un tel environnement monstrueux. Il était impossible pour eux de comprendre comment l'océan pouvait rester en forme de toit, suspendu au-dessus de nous comme la voûte du ciel. L'idée d'être en mesure de descendre dans un océan tubulaire, antichambre de certains monde infernal, échappait à leur compréhension. Nous suivions des couloirs marins, dont le plancher et le toit oscillaient en demeurant providentiellement de notre progression pour nous permettre d'explorer le mystère au-delà.

     le 13 Mai à la mi-journée, on ne vit pas le soleil, mais seulement un crépuscule lointain, comme la réflexion du ciel brillant, nous avions laissé par derrière notre marche. Plus nous avons avancé dans le tunnel, moins son diamètre a augmenté. Quand nous avons pénétré dans l'ouverture vaste quelque deux cent fifty miles, nous avons trouvé le diamètre aérienne a été réduite à une cinquantaine de miles, formant ainsi un cône abîme. Nous avons été clairement navigue sur un vortex géant ou un golfe de l'eau, et nous avons commencé à ressentir une gravité décroissante plus on approchait de l'abîme central.

     La mer caverneuse a été soumis à d'énormes ondulations, ou raz de marée, soit le résultat des tempêtes à l'intérieur de la terre ou des ajustements puissants de la gravité entre l'intérieur et l'extérieur des océans. Comme nous avons été élevé sur la crête d'une vague immense marée plusieurs des marins, ainsi que la recherche, a déclaré qu'ils avaient vu un flash de lumière, dans la direction du centre de la terre!

     Nous avons tous été terriblement excité à la nouvelles, et que le navire a été porté sur la crête de la vague suivante, nous avons vu clairement une boule de feu qui éclairait les ondulations l'aube! Nous étions maintenant entre deux luminaires, le crépuscule pâle spectral du soleil externe et l'apparition d'une source intermittente étrange de la lumière dans l'intérieur de la Terre.

     Les marins entassés au sommet de deux mâts et sur le gréement, follement désireux de découvrir le sens de la lumière étrange et quel que soit ce que le point de vue de la crête suivante, allait révéler.

     "Que pensez-vous que puisse être la source de cette illumination étrange," demandai-je au capitaine, "N'est-il est l'éclat du feu régnant au le centre de la Terre?"

     "Il vient de quelques éléments précis de feu, dont nous en découvrirons bientôt la nature", dit le professeur ". Cela certainement n'appartient pas au soleil, et je ne peux pas l'attribuer non plus à un contexte venant d'une aurore solaire."

     "Peut-être," a déclaré le professeur Rackiron, "Nous sommes sur le point de voir les régions infernales, ou ce qui leur est assimillé. Nous pouvons alors être présenté à la cour de Méphistophélès."

     "Vous utilisez des mots vides, professeur»,dis-je. "A la veille d'affronter l' inconnu et vous avancer les yeux bandés en plaisantant, alors que cela peut avoir des conséquences terribles, concernant les chances inespérés de notre voyage. ."

     "Pardonnez-moi, commandant," dit-il, "je ne plaisante pas. N'avez-vous pas les déclaration des plus habiles théologiens qui ont pu souscrire au concept que l'enfer se trouve dans le centre de la Terre, et que c'est là que l'étang de feu et de soufre diffuse sa fumée de tourments ? Pour autant que nous puission le savoir, cette lumière sinistre, pourrait être le reflet des feux infernaux. "


     En ce moment, un cri sauvage est né des marins et d'une seule voix, on entendit :

"Le soleil! Le soleil! Le soleil!"


     Le roi polaire, avait avancé vers l'horizon supérieur du vortex d'eau, et là, devant nous, un astre splendide de lumière était supendu au centre de la Terre, la source de la flamme rose, nous accueillait au travers du portail sublime du pôle !

     Dès que l'étonnement dû à la découverte d'un soleil à l'intérieur de la Terre, se fut un peu atténué, nous avons alors découvert que la Terre était en effet une sphère creuse. Ce soleil était maintenant, équidistant des surfaces externes et internes, montrant ainsi que la coque terrestre faisait au niveau du pôle, au moins 500 miles d'épaisseur. Nous étions à mi-chemin dans la sphère intérieure.

     Le Professeur Starbottle, qui avait enquêté sur le nouveau monde avec son monocle, s'écria : «Commandant, nous devont d'être particulièrement félicités ; la planète intérieure est couverte avec des continents et des océans, tout comme la sphère extérieure !"

     "Nous avons découvert un El Dorado", a déclaré le capitaine, avec enthousiasme, «si nous découvrons rien d'autre, je mourrai heureux."

     "Les éléments les plus lourds tombent au centre de toutes les sphères », a déclaré le professeur Goldrock. «Je suis certain que nous allons découvrir des montagnes d'or avant notre retour."

     "Je pense que nous devons saluer notre glorieuse découverte," a déclaré le professeur Rackiron. "Vous voyez le monde infernal est loin d'être un endroit aussi négatif, que nous l'avions imaginé."
"

     Comme vous le voyez ce passage, est empreint de nombreuses considérations religieuses qui avaient cours à l'époque, et qui se poursuivent encore de nos jours chez certains penseurs. N'empèche que ce récit, paru en 1892, est le premier, que nous connaissons actuellement, à présenter un admirable schéma, montrant l'existence d'un Soleil au centre de la Terre. Chapeau donc pour le schéma, à l'auteur de cet ouvrage .

     Au chapitre XIII, on trouve aussi par exemple, page 66 :

     "The ever-shining sun lent a brilliant effect to the pageant. Our complexions were lighter than those of the Atvatabarese, who were universally of a golden-yellow tint, and it was surprising to see how fair the people appeared, considering that they lived in a land where the sun never sets. None had a complexion darker than a rich chocolate-brown color. This was accounted for by the fact that the light of Swang was not half as intense as that of the outer sun in the tropics. The diminutive size of the luminary counterbalanced its proximity to the surrounding planet. The light that fell upon Atvatabar was warm, genial, glowing, and rosy, imparting to life a delightful sensation...."

     Et, voici alors notre très modeste traduction :

     "Le soleil a toujours accordé un effet brillant à la reconstitution historique. Nos teints étaient plus légers que celui des habitants d'Atvatabar, qui étaient universellement d'une teinte jaune d'or, et il est surprenant de voir comment les gens semblaient beau, compte tenu du fait qu'ils vivaient dans un pays où le soleil ne se couche jamais. Aucun d'eux n'avait un teint plus foncé que celui d'un véritable brun chocolat. la raison de cela provient du fait que la lumière de Swang n'atteignait pas la moitié de l' intensité que celle du soleil externe dans nos tropiques. La petite taille de l'astre contrebalançait sa proximité à terre environnante. La lumière qui tombait sur Atvatabar était chaleureuse, cordiale, incandescente, et rose, ce qui confère à la vie une sensation délicieuse..."

     Et, il appartient donc, bien sûr, aux spécialistes des textes anglais, de poursuivre cette analyse, et de nous en dire, aimablement bien plus, ou qu'enfin un éditeur curieux, veuille bien nous sortir une traduction professionelle de cet extraordinaire roman...

     Mais ce 13 Mars 2016, nous allons encore monter le niveau de notre exposé, car on l'a vu plus haut, le site ARTivision en présentant cette photo :



et en disant que les Maîtres, qui vivaient très longtemps, intervenaient depuis des lustres dans les affaires humaines, comme l'illustre le célèbre film "Retour sur Terre"de Star Trek 4, de 1987, et tout cela est confirmé dans le tome 3 de Mars 2002, de l'ouvrage de Soria "Voyage", et qui mentionne bien le nom de Jules Verne...

      Nous allons donc ce jour, apporter ici, un témoignage irréfutable, de la longévité de la vie, des gens de l'intérieur de la Terre, et même nous affirmerons que nos recheches scientifiques actuelles, convergent vers cette notion.

      Et ceci, nous amème tout naturellement à plonger dans l'Antiquité grecque, où l'on parle du Dieu Apollon.

     Sortons alors, de nos dossiers, cette affaire de l'Hyperborée de la mythologie grecque, qui nous interpelle aussi, grandement.

      En effet, nous avons sous la main, en ce moment, ce petit fascicule :



       Et, voyons tout de suite, ce qui pouvait être lu, ( on appelle cela des légendes), sur les grecs dans leur glorieuse tradition .

    Pour être loyal, disons déjà, que pour faire plus condensé, nous avons recomposé les colonnes de ce texte :



    Nous avons bien lu, et même bien relu, les mots soulignés en rouge, de ce texte inouï.

     Mais, nous avons aussi reçu, il y a quelque temps, de Paris, de notre ancien élève Jean-François, le document suivant, tiré de cet admirable fascicule, qu'il est bien sûr, très préférable, d'avoir aussi en mains.


      Et justement en page 39, voilà ce que l'on peut y découvrir :


    Il ne nous reste, maintenant, qu'à nous poser la question cruciale :

" Pourquoi donc ces grecs situaient leur "Paradis ", justement au Pôle Nord, qui est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et désertique ?" .

    De plus, on apprend que le dieu "Apollon rencontra les hyperboréens, peuple vénérable qui ne connaît ni la maladie, ni la vieillesse".

    Curieux n'est-ce pas !!!...Bien sûr, les psycho-sociaux, vous diront, vite fait, que cela n'est qu'un mythe, qui est à relier à l'imagination fertile de l'humain. Point à la ligne...

   En effet, cette affaire des hyperboréens, qui ne connaîssent ni la maladie, ni la vieillesse, est aussi, explicitement présenté, dans l'ouvrage surprenant, intitulé "Bêtes Hommes et Dieux", du Dr Ferdinand Ossendowski, voyageur polonais illustre, homme de science et écrivain, dont le manuscrit original a été publié dès 1924 chez Plon, et dont nous ne possèdons que l'édition de poche publiée au 2e trim 1970 chez l'éditeur "J'ai Lu"A 202, dans la prestigieuse collection hélas disparue, "L'aventure mystérieuse du Cosmos et des civilisations disparues" :

  

     Voici quelques bribes, des pages en question :

     " Le lama Turgut qui fit le voyage d'Ourga à Pékin avec moi, me donna d'autres détails :

     "La Capitale d'Agarthi est entourée de villes où habitent des grands prêtres et des savants. Elle rappelle Lhassa où le palais du Dalaï lama, le Potala, se trouve au sommet d'une montagne recouverte de temples et de monastères. le trône du Roi du Monde est entouré de deux millions de dieux incarnés Ce sont les Saints panditas...

     ...Ils peuvent dessécher les mers, changer les continents en océans et répendre les montagnes parmi les sables du désert. A leur commandement, les arbres, les herbes et les buissons se mettent à pousser; des hommes vieux et faibles deviennent jeunes et vigoureux et les morts ressussitent. Dans d'étranges chariots, inconnus de nous, ils franchissent à toute vitesse les étroits couloirs à l'intérieur de notre planète
""
.


Fin de citation.

      Avouons, que ces propos du Dr F. Ossendowski, surclassent de très loin, les meilleurs auteurs de Science-Fiction, et à l'époque, même un tabloid très réputé, et avide de scoops journalistiques sensationnels, n'aurait pas eu le courage de publier ce qui précède...

     Ceci prouve de plus que le peuple de l'intérieur a des millénaires d'avance sur nous dans la compréhension du Cosmos, et de sa manifestation sur la Terre que nous appelons La Nature. Voir à ce sujet, notre article très écologiste :


    Le site ARTivision va démontrer ici noir sur blanc, que ces zélés détracteurs qui nient tout cela, se fourrent le doigt dans l'œil, jusqu'au coude, sans de plus, s'en rendre compte.

      Mais le plus extraordinaire est déjà à notre portée, car voilà une autre information, tout à fait fantastique, et qui a eu peu d'échos, dans les grands médias qui ont pignon sur rue :

      Regardez en effet bien, le petit garçon de cette photo :

  

      Puis lisez SVP, ce que l'on nous en dit les urls suivants :




...etc...voir Google à Brooke Greenberg.

           Un bébé qui a actuellement, près de 18 ans, et qui ne vieillit pas. C'est inoui n'est-ce pas ?

      Beaucoup d'internautes diront qu'une telle information ne peut qu'être qu'un Hoax . Nous ne sommes pas qualifiés pour le démontrer, mais par contre, nous avons aussi à votre disposition, cette autre affaire plus crédible :

      En effet le 08 Décembre 2011, nous avons reçu de notre ami belge de longue date, le missive ci-dessous :

----- Original Message -----
From: Pierre L.....
To: Fred
Sent: Thursday, December 08, 2011 12:16 PM
Subject: Méduse...

     Mais,...Une nouvelle suprenante sur le site :


      Amitiés

      Pierre.


      Comme cette info, peut disparaître du jour au lendemain, en voici l'essentiel :

Une méduse immortelle sème la panique dans le monde scientifique.

     La méduse Turritopsis nutricula, découverte pour la première fois par des chercheurs en biologie de l’Université de Lecce, serait originaire de la mer des Caraïbes, et se répandrait à présent dans toutes les mers du globe.


     D’après des recherches scientifiques, elle serait le seul être vivant immortel. Ainsi, cette méduse serait capable de remonter le temps, passant d’une phase de vie avancée à une phase de vie plus jeune, par des mécanismes d’apoptose bloqués et de trans-différenciation, reconfigurant ainsi ses cellules défaillantes en cellules neuves et parfaites. Inconnues durant fort longtemps, ces méduses singulières furent difficiles à trouver puisqu’elles évoluent uniquement dans les eaux profondes, et, comme elles ne peuvent pas mourir, ces méduses se sont multipliées à travers les océans du monde entier, provoquant une panique presque surnaturelle dans la communauté scientifique internationale au point que le Docteur Maria Miglietta de l’Institut Marin Tropical de Smithsonien, a déclaré aux journalistes : "Nous nous préparons à une invasion silencieuse mondiale".

     Une menace ou une alliée ?

     De par ses caractéristiques exceptionnelles, cette méduse fait l’objet d’études par les biologistes et les généticiens puisqu’elle est le seul organisme complexe vivant connu à ce jour, capable d'inverser complètement son processus de vieillissement.

     Mais cette immortalité potentielle inquiète cependant les scientifiques, car elle serait responsable de l’accroissement démesuré de son espèce dans les eaux du globe. Des légendes entourent cette méduse, beaucoup de témoignages à travers le monde, lui prêtent des phénomènes psychiques en tous genres. Est-ce son immortalité qui provoque une véritable colonisation de toutes les mers par cette méduse ? Difficile de répondre à cette question pour le moment. En revanche, il est certain que la méduse Turritopsis nutricula, se répand dans toutes les eaux du globe de manière considérable chaque année.

     Une clé pour devenir immortel.

     Les études menées sur la méduse Turritopsis nutricula ont poussé les scientifiques a trouver un moyen de reproduire le processus de renouvellement des tissus chez les êtres humains, voir même à redonner la vie… Par ailleurs, cette méduse immortelle possède la réponse qui permettrait de guérir l’homme de toute maladie en créant des médicaments anti-vieillissement.

     Le monde des immortels, bientôt une réalité ?

     Deux écoles scientifiques s’affrontent, l’une nous dit que l’homme est indépassable et que sa mutation doit être le biocyborg, c'est-à-dire l’ajout de technologies qui dopent ses capacités ; l’autre enseigne que tout est déjà dans nos gènes, comme endormi, qu’il suffit de retrouver en nous les moyens pour mettre en œuvre nos capacités qui seraient immenses, comme la capacité de se rajeunir, via un processus cellulaire particulier. Quelle école l’emportera, l’avenir apportera la réponse.

     Cependant les journalistes de WikiStrike pensent que ce sera la première, car l’école scientifique qui voit le dépassement de l’homme par le biocyborg permettra de donner la puissance aux multinationales qui posséderont les nanotechnologies et autres puces de ce nouveau marché du surhomme sous code-barre, pseudo-dieu qui ne sera qu’un esclave passionné de body-tuning.

     L’autre école scientifique donnerait la liberté absolue à tous et gratuitement, alors imaginez la tête de vos banquiers et de vos patrons ! Ayez pitié, pensez à eux, et prosternez-vous par compassion !...Ou pas !

William McAtbash for WikiStrike.

     De plus, le 12/10/2013, nous avons découvert dans notre boîte aux lettres, le numéro 69 de la revue Top Secret, d'Octobre- Novembre 2013, et on peut y lire en page 7, ceci de très étonnant :

  

     A vous donc, de tirer de ces affaires précédentes, les conclusions qui s'imposent...

     Décidément, comme ARTivision, s'évertue à le répéter souvent, le "Temps des Révélations", est bien arrivé, et comme nous le dit si bien l'ésotériste Jean Sendy :

     " Les descriptions de l'Age d'Or des idolâtres et celles des Temps messianiques des Hébreux, concordent sur un point fondamental :
          Quand on en sera là, nous rabâchent-ils depuis des siècles et des siècles, l'homme saura accomplir les actes attribués par les Mythes aux divers "dieux" , et aux Elohim par la Genèse.
" .

     Extrait de "Les temps messianiques", J'ai Lu A 381 page 33.

     Affaire à suivre donc absolument....et toute aide permettant de retrouver les acceptions ci-dessous, serait évidemment la bienvenue.

      Mais ce 14/03/2016, poursuivons notre exploration de la vie à l'intérieur de notre planète, telle qu'elle nous a été contée par les privilégiés, qui ont eu le grand bonheur d'y pénétrer.

      Commençons donc, par le tout début du message du Grand Maître SaLuSa, en qui nous avons toute confiance :


      Pour en savoir plus, prière de se reporter au site :


      On vient de le voir, en date du 16/09/2011, l'entité transcendante SaLuSa, a évoqué le nom de l'amiral Byrd, et aussi celui du Colonel Billie Faye Woodard, comme étant deux principales personnalités qui ont pu pénétrer dans la Terre intérieure.

     Nous allons donc ici, présenter simplement, quelques propos hors normes du de notre page :


      Et nous demandons alors, au novice ingénu , de bien vouloir attacher solidement sa ceinture, car à l'altitude où nous allons évoluer il risque d'y avoir quelques sérieuses turbulences :

Début de citation :

      Voici d'abord une photo en civil du Colonel Billie Faye Woodard:


Extrait d'une Biographie
écrite après des interwiews par Rodney M. Cluff
en 2008

      Nous reproduisons seulement les informations, qui se trouvent à partir, du paragraphe h) :

h) Intégration dans l'Air Force, en zone 51.

      Deux ans, après que Billie ait obtenu son diplôme d'études secondaires, son beau-père a signé un nouvel accord afin que Billie puisse rejoindre la Force Aérienne. Ainsi, après la formation de base de 8 semaines, puis une autre formation avancée pour les 6 semaines suivantes, Billie a signé un accord pour être basé à Hawaï, mais a été dirgigé plutôt vers le Pentagone , et Billie a dit que sa mission suivante fut un centre top secret, dans le désert du Nevada, connue sous le nom Zone 51, et il s'est avéré que son grade actuel de lieutenant n'était pas suffisant pour son affectation dans cette zone, et ainsi, il a été promu au grade de colonel.

     En route pour la Zone 51, les transférés sont montés d'un avion quadrimoteur à hélice à la Nellis Air Force Base près de Las Vegas, Nevada. C'était le matin quand ils sont montés à bord de l'avion et Billie a remarqué que tous les hublos étaient noircis de telle sorte qu'ils ne pouvaient pas voir à l'extérieur. Un peu plus tard, ils ont débarqué de l'avion à la Zone 51. Pour Billie, c'est à la nuit. Billie put remarquer pour expliquer qu'il faisait si sombre car il n'y avait aucune étoile. Billie fut instruit du fait, qu'on se trouvait alors à l'intérieur d'une montagne. Les transférés embarquent une voiture du personnel et bientôt on a commencé à descendre sur une pente ayant un anglede 45 degré d'inclinaison, ce qui était plutôt alarmant. Bientôt la voiture atteint un autre niveau et Billie fut invité à sortir et à aller dans un bâtiment pour enlever tous les vêtements. Bientôt une brume rose rempli la salle dans une sorte de routine de décontamination.

     Avec un nouvel ensemble de vêtements, ils ont pris le véhicule sur une autre pente raide à un autre niveau bien en dessous du niveau précédent et a dit d'aller dans un autre bâtiment où une brume bleue cette fois rempli la salle pour un autre type de décontamination. Billie a reçu un nouvel uniforme qui avait un logo triangulaire avec le numéro 51 sur lui. En dehors du patch a été un autre cercle avec les mots, "Projet Black" et sur le fond du cercle des mots, "Top Secret". ( Note n° 2 du Webmaster : Cela nous rappelle exactement ceci :

  

     L'auteur de ces articles, semblait donc très bien informé...et cela rejoint les affirmations déja mises exergue sur ARTivision, du Dr Michael Wolf, de Thomas Edwin Castello, de John Maynard, de John Lear, de Phil Schneider, de Bob Dean, de Bob Lazar, d' Alex Collier, etc...)


     Ils sont ensuite montés dans un ascenseur puis ils sont descendus à un autre niveau. L'ascenseur descendait si rapidement qu'ils se sont sentis presque en apesanteur. puis l'ascenceur a ralenti rapidement et puis s'est arrêté. Quand les portes se sont ouvertes, on a pu voir une jolie petite ville souterraine peu où des gens allaient et venaient. Elle est située sur le niveau 10. Elle était aussi lumineuse qu'en plein jour, tout comme une petite ville sur le monde de la surface, sauf qu'on ne pouvait etendre le regard très loin. Il y avait un disque solaire dans le ciel, et plus haut tout était noir. Quartiers d'habitation de Billie se trouvaient sur ce niveau 10. (Note n°3 du Webmaster: à titre d'exemple, et tiré du site : http://area51blog.wordpress.com/2008/08/24/bases-et-tunnels-souterrains/ , voici certains niveaux de la base de Dulce :


...et encore là, on s'arrête au niveau 7)
.

i) Billie découvre des archives sur l'Amiral Byrd .

     Billie a ensuite été emmené dans un bureau affecté aux archives au 6e niveau , pour remplacer l'officier précédent qui lui fit fait remarquer qu'il était heureux de quitter ce lieu. Billie lui a demandé, "Pourquoi?". Mais il a juste haussé les épaules et dit qu'il en avait assez. Il dit: "Vous le saurez bien assez tôt". Billie s'est assis à son bureau et jetat un coup d'oeil sur les fichiers et les dossiers qui s'y trouvait. Ces documrents concernaient ce que l'Armée avait rassemblé, au fil des années, sur le sujet de notre Terre creuse. Parmi eux, Billie a pu étudier un volet de 35 pages sur les voyages de l'amiral Richard E. Byrd dans notre Terre Creuse, à travers les ouvertures polaires nord et sud. (Note n°4 du Webmaster: le site ARTivision a plublié des dizaines d'article sur le sujet, dont le premier et le plus important est placé tel que : http://www.artivision.fr/Byrd.html ).

     Billie se souvient distinctement d'avoir lu les coordonnées exactes de l'ouverture du pôle Nord, qui mène à Notre Terre Creuse. Un jour plus tard, un officier supérieur est venu dire à Billie que sa présence était personnellement requise à un niveau inférieur.

j) Des géants emmmènent Billie visiter une ville lémurienne intérieure.

     Billie a ensuite été transporté à niveau inférieur, dans un tunnel où un train-navette l'attendait. Les nouveaux agents, qui ont salué Billie étaient très grands, l'un etait un homme et l'autre une femme. et l'autre était une femme. Ils semblaient être des géants par rapport à la hauteur propres Billie de 5'11" (1,80m) . Ils étaient semblables à ceux que Billie avait vus dans la soucoupe volante à l'âge de 12 ans. Ils ont salué Billie agréablement en anglais et ils l'ont invité à monter à bord du train navette et ils lui ont demandé d'attacher sa ceinture. Lorsque Billie demandé où ils se rendaient, ils ont dit, "Telos", une ville sacrée Lémurienne, sous le Mont Shasta, en Californie. Billie y rencontra le Grand Prêtre Chef, Adama et sa femme, Raia , et a pu ainsi visiter leur ville souterraine. (Note n°5 du Webmaster : pour en savoir plus prière de consulter les ouvrages :

    

     On y fait un extraordinaire voyage au cœur de notre Terre creuse).


     Pendant 11 années et demie, Billie a voyagé trois fois pour notre Terre creuse dans des navettes à travers des tunnels souterrains, et par la suite il a aussi visité de nombreuses autres villes souterraines situées dans la croûte terrestre. Deux voyages à notre Terre creuse avec l'equipage d'une navette furent des missions officielles de nos militaires vers les peuples de la Terre intérieure. Le troisième voyage ne fut pas une mission officielle, mais ce fut un voyage spécial visant à inviter les peuples de la Terre creuse à croire qu'il était totalement inutile d'essayer d'influencer nos militaires à produire une action pacifique. A cette époque, Billie a demandé la permission de rester dans la Terre creuse, mais on ne lui accorda pas cette l'autorisation. les Maîtres de l'intérieur ont dit à Billie, qu'il avait une mission à effectuer sur la surface du monde. Cette mission est de faire connaitre aux peuples de la Terre extérieure connaître l'existence de du Monde intérieur, et aussi que les peuples de la Terre creuse, doivent être reconnus comme étant un peuple pacifique et qu'ils espèrent être considérés comme tel, quand ils décideront d'apparaître publiquement à l'extérieur.

     Billie dit que l'Agharta , est une ville caverne et qu'il y a deux Shambhala - l'une dans une ville caverne, et une autre dans l'intérieur creux. La mission de Billie était d'interagir avec les peuples de la Terre creuse et de rapporter tout ce qu'il avait appris à ses supérieurs de la Force Aérienne. Billie a pris de nombreuses photos et s'est méticuleusement documenté sur tout ce qu'il avait vu et entendu. Cependant après chaque voyage, il fut complétement débriefé.

      Billie a appris ainsi, que le peuple de la Terre creuse a essayé de convaincre nos militaires d' arrêter leur comportement agressif, ainsi que leurs essais atomiques qui empoisonnait l'atmosphère extérieure , mais qui pourraient aussi nuire à des personnes à l'intérieur. Enfin, Billie réussit à convaincre le peuple de la Terre creuse qu'il était inutile d'essayer d'obtenir de l'Armée de notre gouvernement qu'elle veuille modifier son comportement agressif et que cela était une perte de temps notoire. Billie a suggéré aux gens de la Terre creuse qu'il serait préférable d'entreprendre des contacts étroits avec la population civile de la terre externe, si elles voulaient voir un vrai changement sur la Terre.

     Ayant agrée les déclarations de Billie les responsables du peuple interieur ont déclaré qu'ils amplifieraient à l'avenir la prise de contact avec des civils. . Ils ont depuis déclaré à Billie qu'après la présente expédition polaire au nord vers l'intérieure de la Terre, les peuples de la Terre extérieure vont commencer à avoir plus de contacts dans un proche avenir.(Note n°6 du Webmaster : Mais de quelle donc, expédition polaire réalisée au Nord pourrait-il s'agir...?) .

k) Quand Billie nous parle, des tunnels construits par nos gouvernements.

     Billie dit que dans d'autres voyages dans les systèmes de tunnels, il a visité les villes de nombreux caverne et de nombreuses villes de la Terre intérieure. Billie dit qu'il y a des tunnels creusés par les machines assomantes de la Rand Corporation , et qui ne sont pas aussi bien faits que ceux du peuple de la terre creuse. Il y a des tunnels faits par le peuple de la Terre creuse, des tunnels réalisés pour les villes cavernes d'autres races qui vivent sous terre, et il ya encore d'autres tunnels antiques faits par les anciennes civilisations de l'Atlantide, qui étaient situées dans l'océan Atlantique, et de la Lémurie, qui a été un continent pacifique appelée Mu qui est maintenant submergé.

     Concernant ces tunnels creusés par les gouvernements de la surface, ils rejoignent toutes les capitales du monde, où les chefs des gouvernements peuvent trouver asile en cas de guerre ou de catastrophe naturelle. De très nombreux complexes de cette nature, existent dans toutes les grandes villes des États-Unis, dans le même but, mais ils ont été préparés uniquement pour la survie des membres du gouvernement, et non pas la population civile, en préparation pour le passage à proximité d'une comète qui causera des vents très élevés, des séismes et des tsunamis.(Note n°7 du Webmaster: Bien que nous ne soyons pas compétant pour juger cette affaire de comète, pour ceux qui maîtrise l'anglais, voir cependant le site :

l) Où Billie nous parle, des caractéristiques de la croute terrestre et du Soleil central.

     Billie dit que la coque de la Terre est de 800 miles à 850 miles d'épaisseur (environ 1300 km à 1370 km), et que le centre de gravité est à mi-chemin entre les surfaces extérieures et intérieures de la coquille de la terre,( Note 8 du Webmaster : il y a pas de différence avec l'évaluation de Raymond Bernard dans son ouvrage clef "la Terre creuse" :


     Mais comme vous le voyez, Billie ne parle pas du diamètre de l'ouverture. Il y a surement une raison à cela ...)
, et que la gravité de surface intérieure est un peu moins d'un tiers de celle de la surface externe. ( Note 9 du Webmaster : voilà une information remarquable que les spécialistes en géo-mathématique devraient pouvoir confirmer ou non) . Cette gravité moindre, permet une plus grande stature du peuple de la Terre creuse, ou de toute personne de la surface exterieure, qui va y séjourner pour une période de temps.

     Billie a dit que la Terre creuse a un soleil intérieur, qui éclaire et permet la photosynthèse de la vie qui existe dans la Terre creuse, pour les animaux et les plantes géantes, et que le pays de la Terre creuse est plus beau et plus harmonieux qu'à l'extérieur. C'est, un endroit paisible, et même les animaux sont conviviaux et capables de communiquer avec les humains par télépathie, et ne sont pas agressifs. Il n'y a pas d'animaux mangeurs de viande dans la terre creuse. Tous mangent la végétation du lieu. L'atmosphère intérieure, Billie dit, est si saine que la maladie ne peut y exister. Si une personne malade venant de la surface, venait à y pénétrer, elle serait guérie simplement en respirant l'air. À 12 ans ,avant son enlèvement en SV, Billie avait une enfance empreinte de maladies enfantines comme des rhumes, des angines..., mais lorsqu'il fut emporté dans la terre creuse, son système immunitaire a été sainement fortifié. Depuis lors, la santé de Billie s'est quelque peu détériorée en raison de en raison de la pollution qui règne ici en surface, mais il sait qu'une fois qu'il retournera au sein de la Terre creuse, son système immunitaire va revenir complètement sain.

     Lorsque Billie est arrivé à la surface intérieure de la Terre creuse, il a émergé de la navette dans la capitale Eden, de la Terre creuse. Cette capitale est construite autour du Jardin d'Eden originel, sur le plateau de la plus haute montagne du continent intérieur. Bille estime qu'elle se trouve sous l'Etat de l'Arkansas, ou à proximité. Billie dit que le monde intérieur de notre terre n'a qu'un seul continent et un seul océan. Il précise qu'il y a plus de terres à l'intérieur qu'il n'y en a sur la surface extérieure.

     Billie est entièrement d'accord avec l'histoire d'Olaf Jansen et de son père, qui étaient des pêcheurs norvégiens ayant navigué à travers l' ouverture polaire nord, à l'est de Terre Franz Josef, en 1829. Billie dit que la Terre est creuse exactement comme Olaf, le décrit dans son livre, "The Smoky God" - parce lui Billie y a été, et a vu ce que c'est.

l) Où Billie nomme d'autres militaires, qui l'ont accompagné dans la Terre intérieure.

     A Eden,, Billie a été conduit devant le Roi du Monde, qui est aussi le grand prêtre sur toute la Terre, et il fut introduit dans son beau palais qui de type pyramidal, et où le roi était assis sur son grand trône de marbre. Billie était accompagné du Colonel Mc Cloud de l'Air Force, (et il y eut aussi une autre visite ultérieure avec le colonel Stevenson) et ils ont été interviewés par le roi du monde intérieur. Ce dernier a posé de nombreuses questions concernant notre monde extérieur, notre gouvernement et l'Armée américaine et de ce qu'ils devenaient actuellement. ( Note 10 du Webmaster : A propos de ce Roi du Monde, il serait peut-être utile de découvrir l'ouvrage surprenant déjà présenté plus haut de Ferdinand Ossendowski suivant :

  

     À son retour à la Zone 51, Billie a été minutieusement débriefé sur tout ce qu'il avait appris dans notre Terre creuse.

m) Où Billie conduit une soucoupe volante .

     Billie a raconté une fois qu'au cours des années militaires, on lui a été ordonné de conduire une soucoupe américaine militaire dans la zone 51, connue sous le nom Sport Craft, de la même catégorie que celle que Bob Lazar avait vue à la Zone 51. Un co-pilote alien , instruisit Billie sur la façon de piloter le craft et il accompagna Billie pour des vols d'essai de nuit. On avait dit à Billie que pendant son affectation en zone 51, qu'il ne verrait pas la lumière du jour, pendant tout son service. L'alien et lui ont volé au-dessus de Las Vegas, et d'autres villes et ont joué à chat perché, avec des jets militaires qui ont été lancés afin de poursuivre leur soucoupe volante qui opérait des cercles autour des jets. Billie dit que l'engin se déplaçait posant les mains sur des emplacements réservés sur le panneau de contrôle. Immédiatement après avoir déposé les mains, Billie prenait le contrôle total de l'embarcation par des commandes venant de sa pensée. Si Billie voulait aller dans n'importe quelle direction, il avait juste à y penser et le craft réagissait immédiatement. L'engin pourrait faire des virages à angle droit à des vitesses très élevées, et effectuer n'importe quelle pirouette - le tout sans subir l' effet de la pesanteur. Ce Craft a été construit par des militaires, sous la direction des extraterrestres, pendant d'un certain temps. Billie dit que les militaires avaient construits environ 67 soucoupes grâce aux Black Projets, logés à ce moment à la zone 51.

n) Où Billie raconte ce que deviennent les enfants disparus aux USA .

     Billie a également raconté comment de nombreux enfants disparus (comme ceux présentés sur les briques de lait) chaque année à travers les États-Unis, sont en fait conduits dans la zone 51 où les Black Projets, sont échauffaudés pour les transformer en entités biologiques, afin qu'ils ressemblent à des hybrides aliens. Leur plan est d'utiliser les soucoupes volantes, et les entités aliens hybrides génétiquement modifiées qu'ils ont obtenues en partant de nos enfants, pour contrer une invasion extraterrestre de notre espace, et soumettre à un gouvernement mondial l'obligation de la défense des aliens qu'ils ont créés. Lorsqu'on lui a montré cela, Billie a été tellement dégoûté par les Black Projets, qu'il a décidé de ne plus rien avoir à faire avec ces projets, et de quitter l'armée.

Ajout d'une certaine digression tirée de notre article :


      " J'ai quitté l'armée de l'air en raison de leurs manières autoritaires par ceux qui cherchaient à se comporter comme des maniaques du contrôle, qui ont générer la stagnation de ma capacité à penser et à agir d'une manière créative. En acceptant leurs ordres, de ne pas parler de ces informations, ils considèrent comme acquis le fait que l'on va automatiquement obéir.

      En raison de mon pressant désir de partager des informations et d'informer le grand public ma pension de retraite, et de tous mes droits et avantages tels que l'utilisation de l'économat, de soins dentaires et médicaux, ont été supprimés.

      J'ai été dans l'armée pendant 13,5 ans, allant du basique Pentagone et à la zone 51. Le génie génétique qui se déroule dans la Zone 51 est organisé avec notre jeune génération. Les enfants cartons de lait dont les photos ont été fréquemment observées dans les marchés, dans le passé, ont été enlevés et emmenés à la zone 51. (Note du Webmaster : Nous sommes arrivés , au fond du gouffre de l'horreur, car pour faire leurs sinistres expériences génétiques sur des jeunes sujets, ces scélérats du Gouvernement Secret, enlèvent des enfants isolés, et on ne les retrouvent jamais plus. Vous vous imaginez l'amère angoisse des parents marqués à vie, par ces raps et qui font tout pour retrouver leurs progénitures. Ils décident alors de faire imprimer la photo de leurs enfants disparus sur des briques de lait, en pensant toucher ainsi le maximun de personnes pouvant les aider dans leur désarroi. Voyez vous-mêmes cette triste image, très angoissante :



     Vraiment il est grand temps, que les Forces de la Lumière, interviennent et neutralisent définitivement ces criminels de l'Ombre...

     Pour en savoir plus, prière de consulter le site :


     Notre profond souhait de l'intervention des Forces de Lumière n'est pas un vœu pieux, lancé en l'air pour faire du zèle, car lisez plutôt ce que nous avons écrit dans notre article :


     Dur.. dur n'est pas !!!"

Fin de la digression .

o) Où Billie est rayé des cadres de l'Armée.

     Après que la carrière militaire Billie soit terminée, il a été rayé des cadres de la Force aérienne à la base Air Force Sewart, maintenant Smyrne aéroport, dans le Tennessee. Il a subit alors une déprogrammation dans des installations souterraine requises à cet effet et sur les ordres des supérieurs, des dossiers militaires de Billie ont été scellés sans possibilités d'accès à quiconque . Billie a essayé plusieurs fois d'obtenir un document prouvant son service militaire, mais on lui a dit ces enregistrements sont scellés, que personne ne peut les voir. Billie a été invité par les supérieurs militaires à ne parler à quiconque de son passage dans l'armée. Cependant, Billie leur dit : "Je ne travaille plus pour vous, je vais agir à ma guise." A cause de cela, sa pension militaire lui a été retirée et ils vit aujourd'hui à Pahrump sur subsides des handicapés de la sécurité sociale.

     Au fil des ans Billie s'est marié et est devenu père trois enfants qui sont maintenant adultes. Les deux premiers enfants étaient des garçons nés de la première épouse, une femme policier militaire armée, stationnée à la Zone 51. Ils ont vécu cinq années ensemble. Plus tard cette femme est allée travailler pour le FBI et ainsi elle fut donc en mesure de vérifier les dossiers militaires de Billie. Billie a été marié trois fois, mais il est maintenant divorcée. La seconde épouse Billie fut épousée après qui ait été libéré de l'Armée. Elle était une Indienne Cherokee, la fille du chef et ils se sont mariés dans la réserve Cherokee. Billie a eu une fille par cette femme. Le dernier mariage était à Seattle avec une femme qui enquêtait pour le MUFON UFO, et ce mariage a duré de 1990-1996.

     En août 1986, Billie est allé vivre en Alaska à la recherche d'un moyen de retourner dans la Terre creuse et de rentrer somme toute chez lui. Là, Billie a incité plusieurs personnes à faire une tentative d'atteindre la Terre creuse par embaucher d'un pilote de campagne, de voler ainsi que pourrait le faire une équipe d'expédition, à travers l'ouverture polaire nord. Au départ de Fairbanks, Billie affréta un Marine Albatros désaffecté, qui est un hydravion bimoteur avec un canot au fond.

o) Où Billie donne les coordonnées de l'ouverture polaire nord, et tente de s'y rendre.

     Billie a demandé au pilote de se diriger vers certaines coordonnées dans l'Arctique, telles que 87,7 de latitude nord et 142,2 Longitude Est, que Billie avait retenues des fichiers de l'amiral Byrd au secteur 51.

     Le pilote était préoccupé par la façon dont il pourrait atterrir sur la glace, mais Billie lui a assuré qu'il y aurait une mer libre de l' Arctique, quand l'équipe atteindrait les coordonnées citées. Le pilote a décidé donc d'y aller et de déposer l'équipe sur l'eau, et qu'il serait de retour vers eux dans les trois semaines à venir. L'équipe avait emporté quelques bateaux gonflables, pour continuer leur voyage à partir de ce moment, à travers l'ouverture polaire.

     Malheureusement, avant que l'equipe ait décollé de Point Barrow, en Alaska, l'un des membres de l'expédition qui était le correspondant du New York Times, a fait un appel téléphonique à son bureau à domicile et Billy croit que cela a alors alerté les militaires sur leur vol vers le nord.

     Quand ils sont arrivés assez près de l'ouverture polaire et pouvait voir les faisceaux de lumière du soleil central, le pilote a été surpris et eut très peur et il se demandait ce qui se passait, car il pouvaient voir aussi le soleil briller derrière son avion. Billie lui a assuré qu'il n'y avait rien à craindre, et qu'au cœur de la terre un soleil brille à travers une ouverture polaire dans la terre. Mais avant de pouvoir descendre à terre dans l'eau et partir dans leurs bateaux pneumatiques, ils ont été interceptés par deux chasseurs à réaction de la base aérienne d'alerte, sur la rive nord de l'île d'Ellesmere, au Canada.

     La radio de l'avion a grésillé et une voix au travers a déclaré: "C'est le lieutenant-colonel Travis de la base américaine Air Force Alerte qui intercepte votre equipe, et demande de virer de bord immediatement avec votre avion et de rallier la Air Force Base à Eielson en Alaska, ou VOUS SEREZ DESCENDU! Vous avez 5 minutes pour s'y conformer. "

     À contrecœur, l'équipe a commencé à faire virer de bord. Dans le même temps, en regardant à travers la vue de face de l'avion, ils ont soudainement vu apparaître trois disques lumineux - des soucoupes volantes - en avance sur eux.

     La radio grésillé de nouveau, et une autre voix se fit entendre à la radio disant, " Billie, nous sommes là pour vous accueillir dans notre domaine, comme vous avez tenté d'entrer. Nous sommes désolés. Vous ne ferez pas cette fois. Cependant, votre prochaine voyage sera réussi ! Auf Wiedersehen!"

     Et puis les trois soucoupes volantes se sont évanouies.

     Plutôt que de désobéir aux ordres et être descendu, les membres de l'équipe ont décidé d'obtempérer et de faire comme les pilotes des forces américaines de l'air l'ont proposé. Ils revinrent vers l'Alaska, où ils ont reçu l'instruction d'atterrir à la Base aérienne d'Eielson, juste au sud de Fairbanks. Là, ils ont été mis sous les lumières vives et interrogé d'une manière pointue par plusieurs agents du FBI, et de la National Security Agency. Ils voulaient s'assurer qu'ils n'étaient pas des terroristes ou affilié à aucun gouvernement étranger. Mais après ils ont réalisé qu'ils étaient inoffensifs, ils ont libérés tout le monde et on leur a intimé un avertissement sévère afin ne pas révéler à quiconque ce qu'ils ont vu lors de ce voyage, et que si l'équipe voulait essayer à nouveau d'entreprendre ce voyage, il n'y aurait aucun avertissement, la prochaine fois, et elle serait carrément éliminés .

     Billie dit que beaucoup, sinon la plupart des gens en Alaska, sont allés là-bas avec l'espoir d'entrer dans la Terre Creuse. Parmi les personnes intéressantes rencontrées par Billie en Alaska se trouvait un retraité colonel de L'Air Force, Jackson de Talkeetna, qui a dit a Billie que dans nombre de ses vols vers l'Arctique à partir de la Base aérienne d'Eielson, près de Fairbanks, en Alaska, il a vu l'ouverture polaire, et a observé beaucoup de soucoupes volantes, qui entrent et sortent de là, comme des abeilles d' une ruche. Billie dit aussi qu'il a un autre contact, à Talkeetna avec un radio amateur, qui a essayé à plusieurs reprises de capter un faisceau radio issu d'un satellite de la terre creuse, qui ressemble à un rocher géant et qui est suspendue au-dessus de l'ouverture polaire, afin de voir s'il pouvait entrer en contact avec les peuples de la Terre creuse de cette façon. Billie dit qu'un soir, après que son ami soit allé au lit, il a enfin réussi à établir un contact radio, avec le peuple de la Terre creuse par l'intermédiare de son matériel de radio amateur.

     Billie dit que quand sa sœur jumelle, Zuria à l'âge de 10 ans, a été conduite dans des souterrains, par les membres l'Air Force, afin de tester ses capacités, elle a découvert qu'ils étaient désireux de disséquer son corps , pour en comprendre le fonctionnement et la raison de ses capacités étonnantes. Elle a ensuite lancé un appel télépathique à la Terre creuse, pour obtenir de l'aide et les Maîtres de l'intérieur, sont venus dans un de leurs soucoupes volantes pour la récupérer. Puisqu'une des rares occasions où elle avait été autorisée à venir à la surface, a échoué, alors la soucoupe volante est apparue, et elle a été téléportée, avant que ses ravisseurs ne puissent encore l'attraper. Elle, est retounée donc au sein de la Terre creuse originelle, et elle y attend maintenant le retour de Billie.

     Billie est également soucieux de retourner, bientôt dans la Terre Creuse.


Conclusion de l'article sur Billie.

     Que dire de plus de ce récit fantastique, si ce n'est que les preuves manquent, puisque le dossier millitaire de Billie est classé Ultra Top Secret. Mais puisqu'il a subi une importante opération pour lui enlever des ovaires, il doit y rester des traces médicales.

Aux spécialistes de répondre ...

     D'autre part sur le site de Billie Faye Woodard :
, figurait en Sept 2011 cette photo super connue, qui prétend montrer le trou polaire nord et qui bien sûr, n'est toujours pas admise par les détracteurs, de la théorie de la Terre creuse :


     Un certain infographiste, nous en a dit plus haut de surprenantes caractéristiques, et donc puisque Billie a osé placer cette image sur son site, il a dû avoir certaines confirmations ésotériques, à son sujet.

     Mais ce 15/03/2016, ajoutons un petit plus à notre exposé qui va assurément faire certains irréductibles détracteurs et consorts intellectuels blasés zélés tomber carrément à la renverse :

En effet, tiré aussi de notre article : BillieFayeWoodardtelephone.html
     " Je ne suis pas l'enfant biologique de mon père, mais un enfant adopté, ainsi que l'était ma sœur. Le "gouvernement secret" a voulu tuer ma sœur. Mais moi, j'ai été, en mesure de combattre en raison de mon esprit, qui est plus aguerri que le leur, et cela m'a permis de survivre à leurs attaques.

      Mon guide Zora, un scientifique de la Terre Intérieure, qui est vieux de 150 000 ans, m'a révélé le fait que ma sœur et moi-même sont à l'origine, de la Terre Intérieure, où vivent nos vrais parents. Quand notre Père de la surface, nous a récupérés chez l'organisme s'occupant d' enfants adoptés nous ne parlions aucune langue connue de toute Terre extérieure.
"

      On reste bien sûr bouche bée devant une telle révélation, Mais on le sait aussi que le chapitre VI de la Genèse, nous dit que l'homme devra vivre 120 ans,, alors que le chapitre 5 de la même Genèse prête à Mathusalem, une longévité de 969 années. Nous ne rentrerons pas dans le débat qui vise à savoir comment cela fut possible, mais nous pensons surtout que ceci prouve une fois de plus que le texte biblique en question, a été constitué d'éléments disparates glanés, de ci et de là, sans parfois que l'on puisse établir une liaison logique quelconque entre eux.

      Cependant, pour Mathusalem, on pourrait admrettre le fait que la rotation de la Terre, étant plus rapide à cette epoque , les jours étaient plus courts, et cela pourrait être sans doute une explication. Mais 150 000 ans, là on ne comprend plus.

      En Sept 2002 est sorti l'ouvrage extraordinaire de Aurélia Louise Jones et de Dianne Robbins, publié aux Editions Ariane 2002 et intitulé : "Telos : Révélations de la nouvelle Lémurie"

  

     Cet ouvrage surprenant nous parle longuement, de la longévité des Telosiens... mais lisez plutôt :

     Notre existence physique.

     Nous vous ressemblons trait pour trait, bien que nous soyons plus grands et plus larges que vous. Nous sommes costauds et vigoureux, car notre régime alimentaire est strictement végétarien. Ce type d'alimentation s'est avéré apte à ralentir le processus de déclin physique à un point tel que nous ne vieillissons plus. Par notre alimentation et le contrôle de notre esprit, notre jeunesse est à jamais préservée; c'est ce que nous appelons « immortalité ».

     Et, dans un futur proche, vous aussi en serez capables, car dès notre venue parmi vous, nous vous apporterons la connaissance que nous avons préservée depuis des éons. Celle-ci est toujours intacte et en sûreté à Telos, dans des réceptacles et des pièces assurant sa bonne garde. Ces caches spéciales seront révélées au moment de notre émergence.

     Sachez que nous avons tous donné notre assentiment à ce plan avant notre incarnation sur Terre; il est temps de le mettre à exécution. C'est le moment que nous avions tant attendu chez nous, ici-bas, et chez vous, là-haut. Car nous œuvrons à l'unisson; chaque nuit, nous nous retrouvons dans les plans intérieurs. C'est ce qui explique que vous lisiez ces lignes sans vous étonner et que vous acceptiez l'information contenue ici en anticipant ce qui vient.

     De colossales vagues d'énergie s'apprêtent à vous submerger. Tenez bon et soyez assurés que ces énergies, porteuses des prodiges de l'univers à votre intention, provoqueront notre apparition à la surface.


Fin de citation

     Dur dur n'est-ce pas ?... et que de grâce, le contact se fasse alors bientôt...

    A vous de juger tout cela...

     Le 2 Mai 2008, le jeune Jean François de la banlieue parisienne, nous a fait savoir, qu'il avait découvert un ouvrage époustouflant très dense, et où sont abordées presque toutes les questions que l'on se pose sur les planètes, la Terre creuse, la Terre symétrique cachée derrière le Soleil, les pyramides , les fées, les elfes , les guerres cosmiques des Dieux etc...



     Ce livre obtenu par channelling d'une entité transcendante nommé Ramtha est intitulé : "Une réflexion du Maître sur l'histoire de l'humanité" : Deuxième partie publiée en 2007 et intitulé : "La redécouverte de la perle de la sagesse ancienne" aux Editions AdA. ISBN: 978-2-89565 -207-6 .

     Mais voyons en passant page 256, quelques propos que nous dit Ramtha sur le fameux "Jéhovah":

     " Qui donc est Jéhovah ? Un parmi un panthéon de Dieux. Que sont les Dieux ? Ce sont des êtres exactement comme vous. Considérez celui que vous êtes maintenant, mais imaginez avoir vécu 2000 ans de plus sans mourir avec toute la connaissance que vous auriez accumulée. C'est ce qu'ils sont. Ce sont des êtres supérieurs. Ils avaient la compréhension de tout ce dont nous parlons. Vous avez peine à y croire. Vous avez honte de vous-mêmes. Vous avez peine à y croire, mais ils comprenaient comment segmenter les gènes. Ils comprenaient comment procéder à une insémination artificielle. Ils comprenaient comment créer la race supérieure..."

     Autrement dit, si nous savons lire entre les lignes, ces Dieux étaient des manipulateurs de gênes et d'ADN (exactement comme nous arrivons à le faire petit à petit en ce moment). Ils avaient cependant une grosse avance sur nous et ils savaient comment générer le contexte qui les rendait immortels, ou tout au moins ce qui leur permettait de vivre des milliers d'années.

     A la page 260, on peut lire aussi :

     " Les Dieux s'enfuirent donc; ils partirent. Ils abandonnèrent leurs bases sur Mars , sur les lunes et ici , ils établirent le standard d'une société et d'une civilisation cohésives et intelligentes. Qui devait régner devait suivre un codex , une loi, loi que l'on appelle Pharaon. un Pharaon n'est pas une personne ; un pharaon est une loi et ceux qui étaient initiés à cette loi devenaient l'incarnation de cette loi..."

     Mais, concernant la construction des pyramides, terminons par ce passage en page 138 :

      " La pierre était en vérité taillée avec une extrême précision en utilisant la lumière du laser ; c'est le seul outil en vérité qui puisse tailler selon ce qu'on appelle une ligne droite. Elle était en vérité taillée grâce à la lumière et désactivée au travers de ce qu'on appelle en vérité des champs gravitationnels grâce à ce qu'on appelle la pensée. C'est la pensée qui, en créant un champ antigravitationnel, soulevait en vérité les blocs, à précisément 188 centimètres de sa base entière.

.. le champ antigravitationnel qui était utilisé pour façonner les pierres était très facile à établir. Il s'agissait de créer un vide qui créait la température de zéro degré à l'intérieur ; ( Note du Webmaster : c'est exactement comme cela que fonctionne la machine de John Searl ) ceci, permettait à ce qu'on appelle l'antigravité d'exister. Ceci était quelque chose de très facile à faire,.... en utilisant la lumière comme propulseur
".

     Fin de citation

     Que dire de plus sur ces propos vraiment hors-normes de Ramtha sinon qu'une fois de plus, on nous rappelle que le pouvoir de la pensée, peut faire des "miracles", et que ce pouvoir pourrait fort bien nous conduire un jour sur la trace des Dieux, et sur la découverte de la nature de leur longévité.

     Pour être encore plus clair, reprenons voulez-vous, en terminant notre méditation présentée dès le 10/05/03 à notre conte ésotérico-philosophique rencontreinso.html :

     Début de citation :

     Question de Mr Lecandide : " Une question me tracasse cependant : Si Dieu reste en contact permanent avec nous, pourquoi la vie nous abandonne-t-elle à un moment donné et pourquoi doit-on mourir ? Dieu lui, on le sait, ne meurt pas, et il est éternel. Pourquoi pas nous ? "

     Réponse de Mr le Sage : "Votre question est cruciale et de nombreux philosophes et écrivains ont examiné ce sujet dans de multiples ouvrages.

    D'une part, même si votre corps disparaît physiquement, votre esprit est lui, éternel et il saura vous trouver un autre corps en temps voulu, ne vous inquiétez pas. Nous ne pouvons aborder ici aujourd'hui cette notion de re-structuration moléculaire et psychique dans le Temps, du corps physique.

     D'autre part, il est écrit dans l'un de vos textes sacrés : Au Commencement était le Verbe". Mais que signifie "le Verbe"? Tout ce qui existe dans l'univers est parti de la pensée de Dieu, de son verbe qui est la vibration première à la base de toute chose. Vos savants ont bien montré par exemple que le son est formé d'un ensemble de vibrations que l'on peut décomposer aisément. Ils ne vont tarder à découvrir que la pensée est aussi formée d'un ensemble de systèmes vibratoires très subtils qui agit directement sur son environnement matériel et matière qui est, somme toute, une condensation énergétique donc aussi vibratoire. Autrement dit tout vibre à différents niveaux dans L'univers. Si donc vous prononcez les mots de mort, de décrépitude, de déliquescence,.. etc... , vous allez créer un vortex vibratoire où ces concepts seront efficients et vous participerez à son évolution. C'est exactement ce qui se passe quand vous allez habiter dans un pays étranger et vivre au cœur même de ses ressortissants (et non pour y vivre à l'écart avec votre communauté habituelle) vous ne vous apercevrez même pas que vous prenez l'accent des autochtones et c'est quelqu'un d'autre qui vous le fera remarquer. Ce qui s'est passé c'est que votre corps tout entier et surtout vos cordes vocales, sont entrés en résonance parfaite, avec niveau vibratoire du système dans lequel vous êtes plongés.

    Il en résulte que vous subissez inéluctablement et tout ce qui est vivant également (les plantes, les animaux) les contraintes vibratoires du milieu dans lequel vous évoluez et si le concept de mort y a été construit et admis comme infaillible, vous l'assimiler et vous mourrez. C'est aussi simple que cela. Mais rien n'est plus difficile que d'éradiquer de votre langage et de votre civilisation des concepts et des images qui ont été érigés et galvaudés depuis des lustres surtout maintenant que les moyens de diffusion de l'information sont très multiples. Vous pensez bien que ce n'est pas demain la veille, que vos radios, télés, journaux, etc.. supprimeront de leurs expressions verbales et iconographiques les notions de mort, de décrépitude etc...

    De même tant que vous n'aurez pas compris qu'il faut fuir toute information vous apportant des images montrant la Peur, la Haine, les crimes, les massacres, etc ..en somme tout ce qui est négatif, vis à vis de l'Esprit d'Amour, vous pataugerez dans la violence jusqu'au cou et ce sera vous même, qui en serez responsable en créant ce qu'on appelle un égrégore vibratoire de basse énergie ( Note du webmaster : certains l'appellent le Diable) qui vous réclamera toujours plus de sang. Dieu vous a donné votre libre arbitre, il ne saurait vous l'enlever en vous promettant une punition quelconque. Votre seule punition, est celle que vous avez vous même choisie. Mais rassurez-vous, vous avez encore le moyen d'agir sur cette situation ( Et il faut faire cependant très vite car le temps presse) en refusant d'accepter de regarder des films noirs et d'épouvante, de lire des romans noirs où règnent violence, crimes et exactions de toute nature, d'écouter de la musique qui déprime déjà les plantes, etc...alors et alors seulement, il vous sera peut-être possible de retrouver assez tôt, Paix et Sérénité, au sein d'un Âge d'Or retrouvé.."

      
Disons aussi cependant, pour compléter ce qui précède, qu' il serait sans doute utile de présenter encore ici, les paroles d'un très Grand Maître, exprimées dans l'ouvrage : "Nouvelles Révélations" de Neale Donald Walsch publié aux Editions Ariane au premier trimestre 2003 :

     - Les pensées enracinées dans la Peur produisent une énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.
     - Les pensées enracinées dans l'Amour produisent une énergie qui s'étend, s'ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit..

     et aussi que :

     Le secret de la Vie n'est pas d'avoir tout ce que la société actuelle par sa nature, nous porte à désirer, mais plutôt de désirer tout ce que l'on a en Soi et dont on ignore souvent la nature.

    Par exemple, si vous arrivez à projeter votre corps astral (celui qui, dans votre sommeil pendant que vous rêvez , voyage hors de votre corps physique) vous n'aurez plus besoin d'un poste de télévision pour aller visiter n'importe quel lieu sur cette Terre, mais aussi, et cela est plus merveilleux, n'importe quel lieu en dehors de la Terre.."

     Fin de citation.

      Mais ce 15/03/2016, nous allons faire un stupéfiant voyage dans le Temps, qui fera une fois encore grincer les dents de stupéfaction des zélés et zététiques éternels intellectels détracteurs du site ARTivision, qui est nous le rappelons à dessein, est un site Mystico-rationaliste, mot on le sait, introuvable dans aucun dictionnaire.

       Ce voyage dans le flux du Temps, va nous permettre une fois de plus d'apprécier, le verbe transcendant du Grand Maître de Findhorn, verbe souvent honoré par ARTivision :

    

Q ue représente l'âge pour toi ?

As-tu peur de vieillir ?

Ou es-tu quelqu'un qui prend choses comme elles viennent

et qui sait et comprend que la fontaine de jouvence

se trouve dans sa conscience?

Si tu gardes un mental jeune, frais et alerte,

le vieillissement n'existe pas.

Si tu as beaucoup de centres d'intérêts dans la vie

et si tu jouis de la vie pleinement,

comment pourrais-tu jamais devenir vieux ?

Les humains se limitent eux-mêmes quand ils pensent qu'à soixante-dix ans,

ils ont atteint la plénitude de la vie.

Pour beaucoup d'âmes, ce peut être seulement le commencement,

l'éveil à la merveille qu'est la vie,

et en s'éveillant, elles commencent à l'aimer.

Bannis toute pensée de vieillesse !

C'est juste une "forme-pensée Universelle" .

qui est devenue si forte

qu'elle est comme une noix très dure, difficile à casser.

Commence dès maintenant à réajuster ta conception de l'âge
.

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 19 Juin, après adaptation d'ARTivision.


      Mais ce 17 Mars 2016, analysons le Septième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse.

      Notre modeste traduction donne :

     " Puisque l'on dit, qu'une ouverture polaire Nord existe, et que des Ovnis y entrent et en sortent, pourquoi n'ont-ils pas été repérés par notre systeme DEW Line (Système de repérage radar de l'hémisphère Nord) ?"

     Notons que The Distant Early Warning Line, also known as the DEW Line, or Early Warning Line, d'après ce que nous en dit, nos amies Nicole et Chantal , c'est un système de stations radar de la région nord de l'Arctique canadien, ajouté à des stations de la côte nord et des îles Aléoutiennes de l'Alaska, avec en plus les îles Féroé, du Groenland et l'Islande :

     Voici donc une représentation cartographique de la Ligne DME, suivi de la représentation sommaire des trois lignes de défense en Amérique du Nord en 1960.



      Pour répondre à ce 7ème concept, de l'auteur, nous abordons ici, notre Septiéme focus .

      Disons d'emblée, que ce Monsieur John M. Prytz, qui doit être décédé actuellement ( car en admettant qu'il avait 60 ans au moins, en 1970, donc en 2016, il frôlerait les 106 ans), a une haute opinion des Services Secrets américains ou autres, et il croit fermement à la transparence, de leurs déclarations au sujet des ovnis ou autres. Ces Services DME, sont parfaitement au courant, ( Billie Faye Woodard nous l'a prouvé ci-dessus ), de tous les mouvements d'ovnis du secteur nord de la Terre, mais ils doivent absolument le cacher, sinon le dollar s'effondrerait d'un seul coup et avec, toutes les conséquences annexes, en guise de panique générale dans les institutions bancaires ou autres.

      C'est, on le sait très bien, les mêmes raisons qui ont présidé au camouflage des ovnis, récupérés dans divers crashs, comme ceux de l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, de l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, ...etc...:

      Voir alors nos articles :


     Mais, le novive ingénu, qui débarque dans notre site par cet article, nous dira à juste titre ; " Je ne vois pas clairement, la raision pour laquelle on cache ces affaires d'ovnis au grand public, et quels sont les documents incontournables, qui prouvent que ces ovnis existent vraiment ? " :

     Disons d'abord, que l'une des raisons pricipales (il y en a beaucoup d'autres), est que les ovnis , ont une avance technologique très supérieure à la nôtre , et si l'on arrivait à déterminer leur fonctionnement, cela permettrait au pays qui a récupéré des épaves d'ovnis, de faire un bond considérable dans la connaissance du cosmos, et porterait surtout la puissance de ce pays, à un niveau inimaginable par rapport aux autres nations de la Terre.

     L'affaire des ovnis est donc le sujet le plus haut classifié des Services Secrets en général, c'est à dire le sujet tout à fait Top Secret du pays.

      Imaginez alors que vous viviez aux USA, ou au Canada, et que vous tombez sur cet entrefilet en date du 5 Juillet 1947 :


ou encore sur ces 2 entrefilets d'un même autre journal :



      Comme on le voit, à l'époque, l'affaire Ovnis, ou des disques volants encore appelés, on le sait, soucoupes volantes, était très préoccupante, au moins dans le contexte social du moment.

      C 'est alors, qu'au Canada, le 9 Juillet 1947, est sorti l'incroyable communiqué suivant :


      Compte-tenu de tout ce qui précède, il y a, en effet de quoi rester pantois, devant une telle information.. Mais cette information, a aussi été confortée par celle-ci aux USA :


      Aussitôt après, bien sûr, les autorités ont dementi l'information, et pire, elles ont déclaré qu'il ne s'agissait que de la chute libre d'un ballon météo, mais on n'est pas tenu d'y croire... . .

     Bien sûr, les irréductibles détracteurs zélés et zététiques , vont nous mettre vite fait, en exergue, ce démenti. Mais, voici tiré, des pages 80-81 du livre incontournable sur cette affaire : "Ultra Top-Secret : Ces ovnis qui font peur" , la combine de la conférence de presse, de l'époque :


      Le livre qui en parle, est du grand ufologiste Jean SIDER , et qui est paru chez Axis Mundi en 1990 :

  

      Et, en page 30, on découvre aussi ceci, qui fut la combine des autorités, pour nier cette affaire de récupération d'ovni :


     Pas mal, n'est-ce pas l'astuce à l'époque du ballon météo, tombé juste providentiellement, pour bluffer les journalistes et les gogos de l'époque, qui n'ont pas cherché à voir les dessous de l'affaire.

     C'est aussi, dans cet ouvrage de Jean Sider que l'on trouve, en page 54, ce document important :


, dont il est question des années plus tard, dans la missive suivante en date du 9 Avril 2011, venant de notre bonne amie Cassiopée:

----- Original Message -----
From: Cassiopee
Sent: Saturday, April 09, 2011 6:43 PM
Subject: Le FBI confirme le crash de Roswell, et a trouvé des corps d'ETs

     Ah enfin ils le reconnaissent, c'est dingue quand même !!


     Fin de missive.


     Explicitons alors les princaux éléments de ce document important :

Date : March 22, 1950.

Photo non présentée, du document vu juste au-dessus...

     The following information was furnished to SA XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX .

     An investigator for the Air Force stated that three so-called flying saucers had been recovered in New Mexico. They were described as being circular in shape with raised centers, approximately 50 feet in diameter. Each one was occupied by three bodies of human shape but only three feet tall, dressed in metallic cloth of a very fine texture. Each body was bandaged in a manner similar to the blackout suits used by speed flyers and test pilots.

According to Mr. XXXXXXXXXX informant, the saucers were found in New Mexico due to the fact that the Government has a very high-powered radar set-up in that area and it is believed the radar interferes with the controlling mechanism of the saucers. No further evaluation was attempted by SA XXXXXXXXX concerning the above.


     Fin de citation.


     
Modestement, on pourrait traduire cela ainsi :

Le 22 Mars 1950.

      " L'information suivante a été fournie à SA XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX .

     Un enquêteur de la Force Aérienne a déclaré que trois prétendues soucoupes volantes avaient été récupérés au Nouveau-Mexique. Elles ont été décrites comme étant de forme discoïdale, d'environ 50 pieds de diamètre (autour de 15 m), et comportant un renflement au centre. Chacune d'elles était occupée par trois corps de forme humaine, mais ayant seulement trois pieds de haut (environ 90 cm), vêtus de toile métallique d'une texture très fine. Chaque corps était enveloppé d'une combinaison fermant hermétiquement ainsi que pourraient l'être celle des pilotes d'avions ultra-rapides et ou comme celle des pilotes d'essai.

     Selon l'informateur M XXXXXXXXXXXXXXXXX, les soucoupes ont été trouvées au Nouveau-Mexique en raison du fait que le gouvernement y dispose d'un radar à très haute fréquence mis en place dans cette zone, et on croit que le radar a interfèré avec le mécanisme de contrôle des soucoupes. SA XXXXXXXXXXXXXXXX n'a pas tenté d'obtenir d'autre renseignement, au sujet de ce qui précède. "


     Comme, depuis Avril 2011 jusqu'à ce jour du 10 Février 2016, aucun démenti du document en question, n'a été avancé, ni par le gouvernement américain, ni par un quelconque perfide infographiste, qui aurait monté ce coup, pour se faire stupidement mousser dans les médias, nous pouvons alors croire que ce document, (qui paraît d'ailleurs bien être d'époque), a de très grandes chances d'être authentique..

     Mais découvrons aussi justement, un des ouvrages incontournables (il y en a des dizaines) , publié sur cette affaire, cette affaire Roswell et qui est sorti aux Editions France-Empire en 1981 :

  

      En abordant l'introduction de cet ouvrage, on tombe déjà sur les propos très significatifs suivants , (les couleurs sont de nous, bien sûr):

      "...Il n'empêche que trop d'intérêt manifesté aux OVNI est toujours considéré comme une aberration. Cela tient peut-être au fait qu'aucune preuve concrète n'a été trouvée, ou reconnue telle. II manque le corpus delicti.

     Si une telle preuve avait été trouvée en territoire contrôlé par l'une des grandes puissances, ou même quelque puissance mineure, elle aurait été - on le comprend bien -, couverte par le secret jusqu'à ce que les autorités nationales aient décidé de faire en sorte que la chose puisse servir leurs desseins et leurs intérêts.

     Telle est peut-être l'explication du cas Roswell. Cependant, loin d'être seulement un intéressant mystère, ayant connu son heure de succès dans la presse, puis ayant été emporté par le temps, le cas Roswell est toujours d'actualité. Selon les rapports, les restes du véhicule sont toujours étudiés, peut-être même dans un but de reproduction. La composition de parties d'un métal inconnu est toujours l'objet de recherches. Les signes hiéroglyphiques découverts sur les appareils de contrôle sont soumis au déchiffrement par ordinateur. Les cellules et la structure interne des membres de l'équipage - humanoïdes quoique d'une espèce étrangère- sont livrées à l'analyse médicale. Du point de vue de l'intérêt public, de nouveaux comptes rendus de témoins ou de familles de témoins, peu désireux antérieurement de laisser un témoignage écrit, et aussi les "réflexions après coup" de militaires impliqués dans le secret, apportent matière à conviction : il n'est pas possible que ce naufrage de vaisseau aérien n'ait été qu'une vaste illusion populaire ; ce fut un événement réel.

     Depuis notre entrée dans l'Âge de l'Espace, il a été souvent suggéré que nous, race humaine de cette terre, pourrions être à la veille d'entrer en contact avec certains de nos voisins du cosmos et d'avoir ainsi la démonstration définitive de ce que dans notre galaxie, nous ne représentons pas la seule forme de vie possible. Peut-être est-ce arrivé déjà en 1947, dans le Nouveau Mexique. Et peut-être est-ce seulement maintenant qu'en apparaissent les conséquences à travers la découverte d'une nouvelle information et grâce à l'Acte sur la Liberté de l'Information
".

     Mais ce 17 Mars 2016, nous allons aussi ici, faire état d'une importante missive, reçue en Juin 2011, de notre grand ami Claude... (Les couleurs et la forme sont d'ARTivision, bien sûr)

----- Original Message -----
From: Claude.
To: Fred IDYLLE
Sent: Monday, June 27, 2011 6:43 PM
Subject: Roswell...

           Cher Fred,

      Voici une info, venant de la page :


• Roswell révélation.


     Le témoignage récent d’un ancien soldat américain lève un coin du voile sur la légendaire affaire "Roswell". Se sachant mourant, Paul Epley (80 ans) a décidé de libérer sa conscience en racontant à plusieurs journalistes ce dont il avait été le témoin 60 ans plus tôt.

     Durant l’été 50, alors qu’il se trouvait sur la base militaire de camp Perry en Virginie, il avait insisté pour connaître le contenu d’un Bunker gardé par un de ses amis. Celui-ci avait finalement accepté de lui laisser jeter un coup d’œil à l’intérieur. Paul avait alors pu voir clairement, à 5 ou 6 mètres de lui, un être hors du commun enfermé dans une cage minuscule. Cet être de +/- 1,30 m , avait une couleur de peau orangé-grisâtre qui évoquait celle d’un cadavre. Hormis sa couleur et ses doigts très effilés, il était très semblable aux humains. Son ami lui avait expliqué que c’était le 5e de "Roswell".

     Il comprit alors qu’il devait garder le secret le plus absolu sur ce qu’il venait de voir, et choisit de garder le silence jusqu’à la veille de son décès en août dernier.

Source : Agenda Plus n° 224 – Fév. 2011

traduction de : http://allnewsweb.com/page1199999414.php
     Fin de citation du communiqué.


     Hélas cet url : http://allnewsweb.com/page1199999414.php , n'est plus fonctionnel, mais nous avons pu le trouver sur le merveilleux site d'Archives placé à :




Tel que l'on découvre ceci :


     Nous n'avons pas hélas les moyens, comme ces journalistes et consorts éditorialistes des médias européens ayant pignon sur rue , pour aller vérifier l'authenticité d'une telle information.       C'est, en effet qu'il convenait de faire une enquête pointue et ces grands medias pouvaient facilement, alerter à ce moment là, leurs correspondants journalistes outre-atlantique, et aller ainsi à la source de l'info, pour connaitre vraiment les tenants et les aboutissants de cette reversante information venue du sieur Paul Epley. Mais, nous le savons aussi, il est bien plus aisé et surtout moins risqué, de discourir et d'enquêter sur des sujets d'une médiocrité inexprimable, telle que cette affaire mise en exgergue, il n'y a pas si longtemps, et qui raconte les méfaits d'un habile escroc, (et ce n'est qu'un exemple parmi des dizaines d'autres), qui a grugé de nombreuses personnalités importantes du Show Business, comme s'il n'y a avait rien de mieux à faire que d'encourager d'autres escros, à agir davantage, encore dans le même sens.



et, nous demandons donc avec déférence, à tout internaute pouvant faire cette vérification de l'affaire Paul Epley , d'être assez aimable de nous en toucher deux mots.

     Néanmoins, ainsi que dans l'affaire Dreyfus, si, les journalistes et leurs consorts rédacteurs en chef, en question, avaient fait comme Emile Zola, une action historique en dénonçant les contrevérités des autorités, sur cette affaire Roswell qui est exceptionnelle et qui intéresse l'humanité entière, ils se seraient alors dans un jour historique (qui ne tardera pas à arriver), félicités assurément d'être partis aux Usa, pour étudier l'affaire en question, plutôt que d'aller s'exposer à des dangers redoutables dans des zones de non-droit, dont voici quelques caractéristiques actuelles :


     Mais, pour satisfaire à un intêret passager, très médiatique et tout à fait conventionnel, voilà ce que l'on peut lire dans l'entrefilet suivant :


     On nous dit donc en substance dans cet entefilet didactique, que la mission d'informer, ainsi que la Liberté de la Presse, ne sont pas des acquis...et que ce métier de journaliste a des exigences telle que l'investigation, le terrain ... . On s'en doutait un peu, n'est-ce pas !!, vu le large éventail des conflits qui émaillent la vie des sociétés de cette planète, à la dérive . Et finalement on nous dit, qu'il y a un risque à prendre pour informer, le grand public en toute indépendance.

     Mais, pour ARTivision, il reste à définir ce qui est avant tout important de dire, pour soi-disant informer le citoyen lambda, et, on le sait, chacun est libre de choisir ses préocupations immédiates, jusqu'au moment où elles s'avérèrent avoir étés inutiles voire dérisoires..

      Mais, ce 17/03/2016, nous pourrions parfaitement dire déjà, que les documents précédents (concernant l'effective existence sur cette Terre et nous l'avons aussi démontré dans de très nombreux articles, sur la Lune, d'entités extraterrestres non humaines, en chair et en os), sont assez époustouflants , pour convaincre de cela bien sûr, le novice ingénu, mais aussi pour mettre au pied du mur, ces détracteurs zélés et consorts intellectuels blasés, lèche-bottes des médias actuels, qui nous inondent de balivernes modernes insignifiantes, alors que ce qui est très important, est souvent et manifestement évincé, pour soutenir le piedestal branlant, des sournois Gouvernants.

      A bon entendeur Salut...

     Mais ce 18/03/2016, il nous appartient d'en dire un peu plus sur ces affaires d'ovnis, et pour les puristes qui désirent remonter aux sources voici des documents plutôt rares, qui ne courent pas les rues, et qu'il convient cependant d'analyser avec soin, car, tout cela pourrait passer pour des élucubrations, s'il y n'avait pas eu un mémorandum, désormais célèbre, qui en parle :

     En effet, c'est à la suite d'une action en justice, sous le couvert de la loi sur la liberté de l'information en date du 4 Juillet 1974 (F.O.I.P.A Freedom of Information and Privacy Act), qu'un chercheur canadien, Mr Arthur Bray d'Ottawa, a obtenu, ces derniers temps, dans un lot de documents sans grand intêret, la copie d'un mémorandum rédigé par l'ingénieur Wilbert.B.Smith qui était responsable des télécommunications du Ministère des Transports du Canada, daté du 21 Novembre 1950, et adressé au ministre concerné portant à l'origine la mention "Très Secret" et donnant les informations qu'il avait obtenues lors de conférences et de contacts à Washington avec ses collègues américains. Mais que raconte donc, ce mémorandum ? :

     " J'ai fait de discrètes approches par l'intermédiaire du personnel en poste à l'ambassade du Canada à Washington, lequel réussit à obtenir pour moi les renseignements suivants :

a) L'affaire (des disques volants ou soucoupes volantes comme on disait à l'époque) est le sujet le plus hautement classifié (c'est à dire tout à fait Top-secret) au sein du gouvernement américain des Etats-Unis, à un niveau plus élevé que la bombe H.
b) Les soucoupes volantes existent.
c) Leur modus operanti est inconnu mais un effort très intensif est fait actuellement là-dessus par un petit groupe dirigé par le Dr Vannevar Bush. ( Groupe appelé par la suite, Majestic 12)
d) L'affaire entière est considérée par les autorités des Etats-Unis comme étant d'une immense importance.
"


     Voir la copie de ce mémorandum pages 97 et 98 du livre déjà cité de notre ami Jean Sider:"ULTRA TOP-SECRET": Ces Ovnis qui font peur. Ed. AXIS MUNDI 8, Galerie Montmartre 75 002 Paris. deja présenté plus haut, mais dont nous vous donnons à nouveau, les deux couvertures étant donné l' importance de cet ouvrage :

  

     Notons que par la suite, on a appris que c'était le Dr Robert I. Sarbacher, qui fut le Président du Washington Institute of Technologie jusqu'en 1983, qui avait donné les renseignements à l'ingénieur canadien B. Smith . De plus, on découvrit par la suite , dans le carnet de notes de ce canadien, qu'il avait interrogé ce Dr Sarbacher sur le livre de Franck Scully: "Behind the flying Saucers", premier livre américain sur les soucoupes volantes, écrit par un écrivain spécialisé dans les ouvrages scientifiques, et qui par conséquent n'avait pas l'habitude de raconter des balivernes :


     Voici quelques mots retrouvés dans ce carnet de notes :

" W.B. SMITH: j'ai lu le livre de Franck Scully sur les soucoupes volantes, et j'aimerais savoir qu'est-ce qu'il y a de vrai dans cette histoire ?
R.I.SARBACHER: Les faits cités dans ce livre sont corrects en substance.
W.B. SMITH: Alors les soucoupes existent ?
R.I.SARBACHER: Oui; elles existent.
W.B. SMITH: Se déplacent-elles comme le suggère Scully sur des principes basés sur le magnétisme ?
R.I.SARBACHER: Nous n'avons pas pu reproduire leurs performances.
W.B. SMITH: Viennent-elles d'une autre planète ?
R.I.SARBACHER: Tout ce que nous savons, c'est que nous n'avons pas pu les construire et il est à peu près certain qu'elles ne sont pas originaires de la Terre.
W.B. SMITH: Je comprends pourquoi toute cette affaire de soucoupes est classifiée.
R.I.SARBACHER: Oui. Elles est même classifiée à deux niveaux plus élevés que la bombe H. En Fait, c'est le sujet le plus haut classifié au sein du Gouvernement à l'heure actuelle
W.B. SMITH: Puis-je connaître la raison de cette classification ?
R.I.SARBACHER: Je regrette, mais je ne puis vous le dire...
"

     Que dire de plus, si ce n'est que l'on comprend désormais très bien, le pourquoi de la promulgation aux Etats-Unis de l'ordonnance AFR 200-2 (qui indiquait comment réduire banalement les cas d' objets volants non identifiés ) et surtout de l'ordonnance JANAP 146 (qui punissait de dix ans de prison et de 10000 dollars d'amende tout pilote militaire révélant au public l'observation d'un"incident aérien" sans autorisation de ses supérieurs.)

     A l'abolition de cette dernière, les pilotes rendirent immédiatement publiques quelques 24000 observations et les 500 employés du Centre de recherches ufologiques (concernant les ovnis) de la "Northwestern University" appelé désormais la "Heineck Foundation" enregistèrent plus de 300 000 rapports sur les évolutions d'ovnis.

     Donc, cette affaire d'ovnis récupérés, comme le voyez désormais, est tout à fait claire.

     Nous avons le privilège de posséder la traduction française du livre de Frank Scully " Le Mystère des soucoupes Volantes " paru chez DEL Duca Paris dans la collection Galaxie en Janvier 1951 premier livre paru en France sur les S.V. , et sans doute difficile à trouver sur le marché.


     Si nous vous parlons ici, de ce livre, c'est surtout parce qu'il a fait couler beaucoup d'encre, et il affirme aussi que, de très nombreux crashs d'ovnis, ont eu lieu autour de 1950, et nous possédons même aussi des copies tous les articles de France-soir du 27 Oct 1950 au 6 Nov 1950 qui présentent les éléments surprenants de ce livre, paru d'abord aux USA plus tôt. En voici un, daté du 30 Octobre 1950 :


     Mais avançons voulez-vous davantage dans les faits incroyables que nous raconte ce live de F. Scully en résumant un peu tout cela :

      " Le 8 MARS 1950 à Denver (COLORADO) 350 étudiants de l'Université ont laissé passer l'heure du déjeuner pour de préférence, assister à midi et demie à un exposé d'un scientifique d'âge moyen et dont le nom n'avait pas été mentionné par celui qui l'a présenté à l'auditoire, lui bien connu puisqu'il s'agissait de Mr George T. KOEHLER rédacteur d'une station de radio indépendante dont l'indicatif était K.M.Y.R..

     Cette conférence qui a été enregistrée sur disque, a suscité à l'époque de vives controverses parmi les privilégiés qui l'avaient suivie. Donc durant près de cinquante minutes, le conférencier affirma qu'il existait effectivement des engins aériens nommés "soucoupes volantes" malgré les affirmations de l'Armée de l' Air, qui prétendait avoir abandonné ses investigations dans ce domaine mais qui les poursuivait en secret sous une autre appellation. Le conférencier révéla alors que 4 soucoupes volantes avaient réellement atterri sur notre Terre, en Amérique et que 3 d'entre elles furent retrouvées et examinées par des spécialistes de Géophysique (lui- même paraissait avoir fait partie du groupe ).

     Mais il déclara surtout cette sensationnelle information, que 34 êtres mesurant de 80 cm à 1 mètre furent trouvés morts dans les 3 soucoupes découvertes et étudiées par les savants. La 1ére soucoupe avait atterri près de 2 ans avant la conférence en un lieu situé à moins de huit cents kilomètres de Denvers et l'examen des matériaux de l'engin, révéla l'existence de 2 métaux jusqu'ici inconnus. Les soucoupes se composaient d'un anneau métallique tournant autour d'une cabine centrale. Un système d'engrenages unissait la cabine au disque qui lui tournait tandis que la cabine restait immobile. Il n'y avait aucun lubrifiant et le rapport de multiplication de ces engrenages était totalement nouveau pour les ingénieurs. Le conférencier pensait que les soucoupes se déplaçaient en utilisant les lignes de forces magnétiques qui on le sait, entourent les planètes de notre système solaire et qui sont disait-il au nombre de 1257 lignes par centimètre carrés. Il affirma aussi que 1700 savants au moins se livraient à des travaux ultra-secrets depuis 1942 pour le Gouvernement afin de découvrir les lois de ce magnétisme terrestre.

     De la première soucoupe, on retira 16 passagers morts et leurs cadavres étaient carbonisés et de couleur brun foncé. 16 autres êtres furent égale ment trouvés dans le second appareil, mais ceux-là ne portaient aucune trace de brûlures et avaient tous la peau claire. Ils étaient aussi de petite taille, tous sans barbe, mais certains avaient des poils très fins ressemblant à un duvet d'un fruit comme la pêche. Le 3ème engin découvert avait aussi un équipage de seulement deux hommes, vivants au moment de l'atterrissage, mais qui sont morts en essayant de sortir de leur cabine. En ce qui concerne la construction des appareils, ils étaient totalement différents de ce que nous faisons sur la Terre. On n'y trouva pas un rivet, pas un boulon, et pas une seule vis. Les tableaux de direction se composaient de plusieurs boutons et les parties extérieures étaient faîtes d'un métal léger ressemblant à de l'aluminium, mais d'une dureté à toute épreuve. Aucun chalumeau n'a pu l'attaquer : (Note du webmaster: c'est exactement ce qui nous est révélé dans le célèbre film culte " Le jour où la Terre s'arrêta " réalisé en 1951 par Robert Wise Voir ci-dessous la jaquette ):


, aucune arme dans les cabines, et dans l'une d'elles, il y avait des lits-placarts qui pouvaient disparaître complètement dans la paroi et étaient automatiquement dissimulés par un système ingénieux de rideaux quand on les mettait en place. Vers la fin de sa conférence l'inconnu cita la découverte d'une quatrième soucoupe aperçue non loin d'un terrain d'essais officiel. Elle était vide quand on s'en approcha, mais les savants voulurent aller prendre du matériel et appareils photographiques restés dans leur voiture et lorsqu'ils retournèrent à la soucoupe, ils virent de petits êtres s'y précipiter, et l'appareil disparu en un clin d'oeil .

     A aucun moment le conférencier n'indiqua ce qu'étaient devenues les soucoupes et leurs occupants, (donc les 34 cadavres découverts), ni la suite que l'on avait réservée aux recherches faites après leurs différentes récupérations. Mr F.SCULLY rencontra plus tard personnellement le conférencier, et apprit qu'il s'appelait Mr E.B.DAVIS ".


      Mais chacun connaît l'adage : " Si l'on veut noyer son chien, on l'acuse de la rage " . voyez comment une revue moderne parle de cette affaire pour mieux la ridiculiser :

      Pour comprendre ce que l'on reproche au livre de Frank Scully, voir le bas de la page 81, de la revue "Le Point", n° 1200 du 16 Septembre 1995, tel que :


      Faut-il donc croire, le Gouvernement américain et ses sbires ( peut-être que le reporter du magazine TRUE , en serait), ou le Dr Sarbacher, qui a pris d'énormes risques, en dévoilant tout cela...?

      Plus tard, ce sera le n° de Septembre 1954 de Paris Match, qui allait aussi nous entretenir de cette affaire d'ovnis.

     Le n° 34 de la revue Top Secret, nous présente admirablement, ce n° 287 de Paris Match de Septembre 1954:


     Peut-être est-il ici, aussi utile de présenter, le célèbre ufologue américain Leonard Stringfield qui racontre des choses assez renversantes :


, sorti en Mai 1977 et qui a eu par la suite, plusieurs éditions :

  


     Cependant en 1978, ce livre fut traduit en français aux Editions France-Empire.

  


     C'est ainsi que l'on découvre que Leonard Stringfield, fut pilote d'avion et en relation avec de nombreux organismes qui s'occupent d'Ovnis. Son livre est d'ailleurs préfacé par le Major Donald E. Keyhoe (voir plus bas) qui a travaillé à USAF (United States Air Force : Force aérienne des Etats Unis) et qui a dirigé pendant 13 ans le NICAP: (Comité National Américain d'enquêtes sur les phénomènes aériens) et qui est l'un des chercheurs les plus documentés et dont l'autorité est mondialement reconnue. Il a publié, entre autres choses, en 1973, "Aliens from space the real story of UFOs", qui fut traduit en 75 en français sous le titre " Les étrangers de l'espace ", également aux Editions France Empire .

      A la page 118, Leonard Stringfield nous décrit l'aventure d'un certain Dr Botta. Il était ingénieur en construction, en Argentine et en pleine campagne en 1950, il a eu, dit-il, le privilège de pénétrer, par le plus grand des hasards, dans un objet métallique discoïdal, placé sur le bord de la route. Une sorte de lumière rouge pulsait dans le dôme. Par une sorte d'ouverture sur le côté, il osa pénétrer à l'intérieur de l'engin. Sur une sorte de divan arrondi, il y avait 4 sièges dont trois étaient occupés par de petits êtres (de 1,20 m environ), vétus de survêtements collants gris. Leurs visages semblaient noircis au charbon ou c'était leur couleur naturelle. Devant eux, se trouvait un écran allumé, où se mouvaient des sortes de rayons, et au dessus pivotait un globe transparent. Le Br Botta ne put s'empêcher de toucher un de ces petits êtres. Sa chair était rigide.

     Le Dr Botta s'enfuit ensuite à toutes jambes dans sa voiture et gagna à fond de train, son hotel... etc..etc...Et, comme nous ne voulons pas subir, les foudres de l'Editeur, prière svp, de voir la suite dans l'ouvrage en question...

      Lorsque Leonard Stringfield, eu connaissannce de ce cas, il essaya d'en savoir plus et voici un petit extrait de ce le Dr Botta lui répondit le 25 Octobre 1955 :

      " ... J'ai eu une longue discussion scientifique avec un
membre de votre CRIFO, Horacio Gonzalès G., et à partir
de mon expérience professionnelle et des particularités de
l'incident argentin, j'ai repris l'étude des OVNI.
Personne plus que moi ne croit à leur existence....
"

     Terminons justement par la déclaration du Major Donald E. KEYHOE ( déjà présenté plus haut), tirée de son livre paru également chez France-Empire, dès 1975 :


     Et pages 193 et 194, on découvre alors :


     Donc une fois de plus, c'est à vous qu'il appartient désormais de juger tout cela, documents à l'appui...

     Ce livre nous démontre noir sur blanc que tout est camouflé en Haut Lieu, et c'est la désinformation qui est partout de rigueur. Mais les choses changent en effet, et selon nous, les autorités semblent vouloir lâcher justement du lest dans ce domaine des ovnis, (Par exemple France 2, le 16 Mai 2008, a déclaré que les anglais viennent, à leur tour, après le CNES français, de lever le secret sur 8 000 dossiers d'enquêtes sur les ovnis), sans doute, parce qu'ils sentent l'orage qui approche ".

     Bien que l'on sache, que nous sommes arrivés au Temps des Révélations, où il ne sera plus possible de cacher grand-chose à l'humanité, restons tout de même prudent car les irréductibles détracteurs, font tout pour se faire mousser vulgairement sur le Web, en trafiquant des documents avec leurs puissants ordinateurs...

     Un exemple flagrant, concernant le cratère Tycho de la Lune :

    Voilà, un cratère soi-disant, venant de la face cachée de la Lune :



    Le 14/12/2011, nous avons reçu de l'aimable internaute Fabien L....la preuve absolue que cette image est truquée. En effet Fabien, nous a envoyé la photo du cratère Tycho de la Lune et les nombreuses correspondances avec le pseudo cratère ci-dessus montrent sans l'ombre d'un doute qu'il s'agit d'un montage bidon :


    Bravo donc à Fabien, pour son heureuse et efficace contribution aux recherches d'ARTivision

     Il est clair que, ce que cet hurluberlu, a élaboré pour la Lune, il peut en faire pire, pour des images quotidiennes.

     Mais c'est vraiment lamentable que des infographistes gâchent leur temps, pour monter des canulars aussi inutiles, afin de se faire mousser dérisoirement sur le Web, alors qu'il y a tant de choses véritables à mettre en relief, comme par exemple mettre en 3D la super structure du Paris Match 1028, que chaque ami d'ARTivision , connaît bien, et que nous allons voir en détail plus bas, ou encore cette structure inouie découverte sur Mars par les sondes "Viking" en 1976 :



     Mais revenons à nos moutons ( d'ovnis bien sûr)

       Voici de plus la trouvaille, que nous avons faite, il n'y a pas si lontemps, sur une revue du 6 Février 1975, hélas disparue :


      Après enquête, nous avons découvert cet ouvrage de 1974:

  

    Nous savons maintenant, que cet auteur Brinsley Le Poer Trench , était un Lord anglais, qui ne se serait pas permis d'avancer des déclarations tonitruantes, s'il n'en avait pas sérieusement, vérifié les sources. D'ailleurs, on nous dit aussi, qu'il avait pris contact avec le pilote de la Royal Air Force Desmond Leslie, qui a écrit on le sait, un livre surprenant avec le nommé George Adamski, si décrié par des ignares de journalistes et autres consorts éditorialistes Voir nos articles :

:
    Finalement, disons Bravo à Nostra, car le surprenant entrefilet, qui est du Nostra n° 148: "Des Ovnis venant de l'intérieur de la Terre ", n'avait aucune chance, de sortir, il y a quarante et un ans (en 2016), dans des revues qui ont pignon sur rue, comme "La Recherche", "Science&Vie" ..etc. , alors que ces revues, en étaient seulement encore, à se poser la question de l'existence réelle de ces Ovnis ?

    Voici par exemple à ce sujet, la conclusion tirée d'un article de 19 pages du n° 245 de Mars 1968, de la revue très officielle : "Forces Aériennes Françaises" :

  

      Ou encore, voyons l'introduction du n° 403 de la revue "Science et Vie" d'Avril 1951 :

  

      Comme vous le voyez, certains savants américains et suédois, en étaient, encore en 1951, à mettre une fois pour toutes, ces affaires de soucoupes volantes (ou de disques volants comme on disait aussi à l'époque) , dans la catégorie des ballons atmosphériques, ou autres illusions d'optique. Point Barre...

     Et que celui qui veut en savoir plus, aille fouiller toujours plus avant, dans les arcanes "exotériques" du site ARTivision, et encore une fois... à bon entendeur, salut...

     Mais ce 19/03/2016, avant de quitter cette affaire d'ovnis toujours secrète, en haut lieu, il nous appartient de révéler ici au novice ingénu, le plus affreux de l'affaire, qui est le fait scélérat, que les gouvernements, américain, russe et consorts dissimulés, ont été contactés par des extra-terrestres nommés, Grands Blancs, Petits Gris, Dracos,..etc... , et ont fait des alliances ultra-secrètes, avec certains d'entre eux. Voir l'extraordinaire affaire Barboto, déjà présentée dans de très nombreux articles d'ARTivision, mais que nous ne pouvons pas représenter encore ici, pour ne pas trop alourdir ce dossier :


     Il y a quelque temps nous avons reçu la missive suivante, et finalement nous espèrons que le propos, de cet internaute, n'est qu'une boutade, et qu'il ne cautionne pas du tout, son contenu belliqueux.

     En effet, le mythe de la supériorité technologique d'un peuple pour imposer sa culture sur un autre est toujours présent insidieusement de nos jours :

    Voyez donc cette missive que nous avons reçue le 24 Nov 2012 d'un internaute qui ne croit pas du tout à l'existence des Petits Gris:

From: J-C................
Sent: Saturday, November 24, 2012 7:03 AM
To: fred.idylle@orange.fr
Subject: Petits Gris

    Bonjour M. IDYLLE

    Puisque vous affirmez que les "petits gris", ont un niveau technologique très supérieur au nôtre, ainsi que des intentions peu charitables, comment expliquez-vous qu'ils n'aient pas depuis longtemps envahi notre planète et exterminé l'humanité ?

    Je vous souhaite une excellente journée.
J-C. .......


     Le propos très allarmiste de cet internaute, nous fait penser d'emblée à celui d'un partisan (à une époque pas si éloignée) de la thèse de la Terre plate, qui affirmait ceci : "La Terre ne peut être ronde car les gens des antipodes tomberaient dans le vide ". Bien sûr, il ignorait que, la loi de gravitation autrement dit la pesanteur collerait, ces gens des antipodes, comme lui, à la terre ferme. Donc on peut dire ici "Aux innocents les mains pleines"

    On pourrait en effet croire, que ces Petits Gris, s'ils existent, et détenant une Force puissante et une Technologie supérieure, à la nôtre, auraient vite fait, comme les allemands de la dernière guerre, de massacrer, ce que ces derniers appelaient "les races inférieures" ...

    Ici donc la pesanteur, peut être assimilée par le fait qu'il existe d'autres entités, bien supérieures à ces Petits Gris, qu'ARTivision nomme les Maîtres :( SaLuSa, Dratzo, Soria, Dorian, etc...) et ces Maîtres affirment qu'il existe désormais une loi de non-intervention, qui empêchent les êtres avancés d'une civilisation, d'intervenir dans celle d'une autre moins avancée. Cette loi est sur le point de changer grâce à une autorisation spéciale.

    Mais pour le novice qui n'a jamais entendu parler de cette affaire, il faut savoir en effet, que la race d'extraterrestres, (déjà mentionnée plus haut) et nommée les Petits Gris ( Short Greys), est représentée sur Google, par les configurations suivantes :



     Et, nous aurions considéré tout ce qui précède comme venant d'une imagination débridée d'un auteur de science-fiction, si nous n'avions pas reçu récemment, de notre ami Jean B..... (http://www.banlin.fr.), l'url d'un site archéologique concernant les Mayas :


et, exposant des découvertes faites dans le centre du Mexique, il y environ 55 ans, et montrant des entités analogues, ayant aussi des yeux ovales très inclinés :

    


    


      Pensez-vous que les Mayas, auraient représenté, d'une manière si expressive, ces silhouettes, s'ils ne les avaient pas vues en chair et en os ?

      Mais de plus, nous dit aimablement, le 13/03/2013, l 'internaute Monique G...; " Avez vous remarqué que chaque fois que leurs mains sont visibles , elles ne comptent que 4 doigts ? "

  


     Mais, dans les images suivantes, il ne sagit plus du tout de masques rituels (comme on l'a si souvent évoqué pour noyer le poisson), mais bien d'astronautes manipulant des instruments dans une cabine :



     Cependant, pour mieux saisir les tenants et les aboutissants, de ce qui va suivre, allons d'abord visiter brièvement le site :


    Le maïs (Zea mays), ou blé d’Inde au Canada, est une plante herbacée tropicale vivace de la famille des Poacées (graminées), largement cultivée comme céréale pour ses grains riches en amidon, mais aussi comme plante fourragère. Le terme désigne aussi le grain de maïs lui-même, de la taille d’un petit pois.

    Cette espèce, originaire du Mexique, constituait l'aliment de base des Amérindiens avant l'arrivée en Amérique de Christophe Colomb. La plante fut divinisée dans les anciennes civilisations d’Amérique centrale .


    Fin de citation .

    C'est alors que l'on découvre aussi, cette gravure surprenante :


     Que fait donc cet épi de maïs, sur le coté gauche de cet artefact très ancien ? Pour ARTivision, cela ne peut signifier que le fait, que ce maïs, a été effectivement apporté par les aliens aux yeux ovales et inclinés, de leur planète sur la Terre, au moment de leur arrivée. Merci donc mille fois à l'internaute qui retrouvera dans les légendes du pays, le fait que ce sont bien les dieux ( nom ancestral des extraterrestres), qui ont apporté, ce maïs, au peuple amérindien.

    Mais, comme il convient souvent de battre le fer, quand il est chaud, rappelons ici , une fois encore, cette très étrange affaire (vite qualifiée de canular par les esprits dits forts, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez ...). Il s'agit de l'extraordinaire petit film, d'une incroyable autopsie, réalisée dit-on en 1947, après l'affaire Roswell, et où l'on voit clairement que l'extraterrestre en question, a 6 doigts parfaitement constitués, aux mains et aux pieds :


    Pour en savoir plus, voir plus bas, et prière aussi de consulter notre article :


     Ce film est désormais présenté par de nombreuse vidéos sur Google, dont celle concernant le reporter Jacques Pradel, à qui nous rendons ici hommage, pour le courage dont il a fait preuve à l'époque, et cela lui a causé d'énormes ennuis par la suite :



    Et voici une autre vidéo :


    Voici aussi, la photo de la cassette vidéo, que nous avions pu nous procurer à l'époque :


     Il y a eu aussi le périodique VSD n° 930 du 22 au 28 Juin 1995, qui a parlé de l'affaire :


     En ce qui concerne, le film en question, (malgré les contredits grotesques du Science&Vie cité ci-dessous), on ne peut nier qu'il est d'époque, car les instruments utilisés et même le téléphone accroché au mur, sont d'époque. Le cameraman semble être en effet, un amateur pris sur vif, pour remplir cette tâche, d'où les nombreux flous constatés. Quant au cadavre, des chirugiens expérimentés attestent qu'il s'agit bien d'un corps "humain", et non d'un pantin en silicone. Le fait qu'il ne possède pas de nombril, et surtout 6 doigts parfaitement constitués aux pieds et mains, prouve que cet être n'existe pas sur Terre, car si l'on avait trouvé, un seul cas comme celui là , dans les annales médicales des monstres humains nés sur Terre, les nombreux contradicteurs, l'auraient vite sorti et monté en épingle, ( et, en faire un bouquin qu'ils brandiraient sur les plateaux de Télévision et consorts), pour railler amplement cette affaire "très embarrassante pour eux", ...

     Mais tout cela serait considéré, comme de la vaste fumisterie, s'il n'y avait pas eu le terrible texte, paru dès Octobre 2000, du Dr Michael Wolf-Kruvant (en qui nous avons toute confiance):


et texte présenté sous le titre "The UFO cover up and ET Reality ", que vous pouvez trouver sur le site :


     Nous n'allons pas nous étendre longuement sur les révélations hors normes, de ce Dr Michael Wolf, car il suffit de se reporter à l'url en français du site, qui est tel que :


     Cependant, mettons tout de même en exergue, les points suivants :

. Les premiers constats américains de l'écrasement d'un engin ET remontent à 1941. L'engin s'est écrasé dans l'océan Pacifique près de San Diego et il fut récupéré par la Marine américaine. À l'intérieur gisaient les corps de Zétas réticuliens, alias les Gris. Les dépouilles et le vaisseau furent transportés à la Section de la technologie étrangère de la base aérienne Wright-Patterson, à Dayton, Ohio, et étudiées par le groupe de recherche Retfours (Retfours Special Studies Group).
     Suite au démantèlement de l'appareil, des composantes furent expédiées aux installations S4 et Indian Springs au Nevada. L'engin s'était écrasé sous l'influence du nouveau radar à impulsions que l'on venait d'inventer. Au moment du drame, la Marine procédait à des essais sur l'île Tinian, située à 5 kilomètres au sud/sud-ouest de Saipan. La Marine américaine occupe depuis une position dirigeante en matière d'ovnis.

. L'écrasement à Roswell en juillet 1947 est un fait et le récit dont fait état le Colonel Corso dans son livre The Day After Roswell est véridique. Le Dr Wolf avait en sa possession la liste officielle du gouvernement satellite américain de tous les écrasements/récupérations d'ovnis répertoriés, y compris d'autres incidents survenus entre 1941 et 1947, mais il n'était pas disposé à en livrer les détails.

. Deux engins se sont écrasés à Roswell suite à une collision aérienne survenue au cours d'un orage électrique. L'un des engins contenait des "Gris", l'autre des "Oranges"; les deux espèces furent ainsi nommées en raison de la couleur de leur peau. Les extraterrestres de type "Orange" proviennent du système stellaire Andromède. Le documentaire de Santilli montrant une autopsie est authentique. Il s'agit d'une autopsie pratiquée sur le corps d'un ET orange. Le Dr Wolf en a vu d'autres. La confusion résulte d'une seconde autopsie exercée à l'époque sur un extraterrestre de type différent.

. L'autopsie pratiquée sur la dépouille du ET orange a produit les constats suivants : une grosse tête; de grands yeux foncés dépourvus d'iris ou de blancs; six doigts, six orteils; un cerveau composé de quatre lobes, et plus développé mais non connecté au corpus callosum; des nerfs optiques et orbiculaires de type différent; un système digestif spongieux. Le docteur Wolf affirme avoir rencontré un Orange de son vivant.

. Il existe différents types de "Gris". Il a en côtoyé de très évolués qui contrairement à l'opinion courante, possédaient des personnalités et même un sens d'humour. Le Dr Wolf n'a jamais rencontré de Gris qu'il n'aimait pas. À son avis, ils faisaient tous partie d'une grande famille et aimaient câliner les humains. Mais cette marque d'affection ne faisait pas l'unanimité chez ses pairs. L'un de ses collègues les appellait des baise-joux (kissey facey). Leurs corps sont doux au touché, telle la peau d'un dauphin. Il communiquait avec eux par télépathie et s'était tout particulièrement lié d'amitié avec une entité nommée Kolta. La photo de ce Gris apparaît sur la couverture de son livre. Elle fut prise par un ami occupant les fonctions d'amiral dans la Marine.


       Fin de citation.


       Mais, ce 19/03/2016, pendant que nous y sommes, c'est donc le moment de sigmatiser à nouveau les rédacteurs et journalistes des revues, qui ont tiré à boulets rouges sur l' autopsie, montrée à la télévision en 1995, d'un ET orange, dont parle ci-dessus, le Dr Wolf .

     Les revues dont il s'agit, (et il y en a sans doute de nombreuses autres), vilipendées par ARTivision, (et dont les numéros discrédités vont apparaître plus bas), ne resteront certainement pas longtemps dans les mémoires, sinon comme le type de revue d'époque ayant comme modèle "La Libre Parole", qui lors de l'affaire Dreyfus, en Octobre 1894, a enfoncé le malheureux dans une sorte de sables mouvants, où il a eu bien du mal à sortir la tête pour respirer un peu .

      N'oublions pas cependant qu'un simple tout petit détail de rien du tout, dans l'écriture de Dreyfus, aurait pu éviter 5 ans de bagne et de déshonneur à ce malheureux militaire : il écrivait en effet, toujours la préposition "à", avec son accent, tandis que le vrai traitre, le capitaine Charles Ferdinand Walsin Esterházy, ne mettait jamais cet accent. Mais les graphologues, pour couvrir leur réputation, ont préféré imaginer (sans doute sous l'instigation des hauts responsables de l'Armée), que Dreyfus, avait contrefait son écriture pour le cas où il serait découvert. L'adage est bien connu : "Quand on veut noyer son chien, on l'accuse de la rage " :

      Voici donc un modèle du journal en question, où seule la haine, d'une catégorie d'humains s'exprime :


      Quant aux auteurs des articles, qui vont suivre leurs prestations et leurs verbes, seront vite assimilés un jour, aux déclarations du grand chimiste français du XVIIIe siècle, Antoine Laurent de Lavoisier, que l'on interrogeait à la suite de la chute d'une météorite dans la région, et qui a déclaré ouvertement : "Il est impossible à des pierres de tomber du ciel, parcequ'il n'y a pas de pierres dans le ciel"...

     Donc, il est bien clair, que tout ce qui précède s'applique intégralement, à l'article de Mr Pierre Lagrange (Sociologue anti-ovnis par tradition), publié dans le Science&Vie n° 938 de Novembre 1995, dont voici seulement les 3 premières pages, très explicites quant à la position de ce journal sur l'affaire :




      Si nous avons osé, vous montrer ces pages, c'est parcequ'à la troisième, on trouve tout de même une information importante, que nous avons soulignée en rouge :"Y aurait-il eu ailleurs, avant l'affaire Roswell, un autre crash de soupcoupe volante plus tôt ?". Et c'est en effet cela, que nous allons évoquer plus bas.

     Mais justement alors, notons déjà, aussi ici, que dans l'excellent ouvrage de 1995 sur l'affaire Roswell de Gildas Bourdais :

  

, on peut lire en page 212, ceci de très significatif :


     D'ailleurs ARTivision, a démontré qu'il y a avait eu aussi bien plus tôt, l'affaire du crash de Missouri, crash, bien moins connu que celui de Roswell, et qui a aussi fait l'objet d'un article surprenant, déjà présenté plus haut, et placé, on le sait à :


     Mais soyons plus précis, le 07/12/1995, nous avons eu l'heureuse opportunité, d' enregistrer, l'émission de radio RFO, de 45 mn "Le Monde inconnu", de Roger Raziel, (émission basée à l'époque au 5 Avenue du Recteur Poincarré 75 782 PARIS Cedex 16). qui réalisait justement l'interview de Gildas Bourdais, sur l'affaire Roswell. En fin d'émission, le rédacteur demanda à Mr Bourdais, si le cadavre présenté dans le film si critiqué en question, ne pouvait pas être un terrien malformé génétiquement et ayant des doigts en plus. La réponse fut approximativement, que "si l'on avait trouvé dans les annales médicales un être aussi particulier, on aurait vite montré au monde entier sa photo, pour faire neutraliser et confondre, les auteurs de ce canular".

      Cependant pour ARTivision, il n'y a aucun doute que cet être, n'est pas un humain connu, dans nos repères scientifiques et universitaires.

      Il a en effet, six doigts parfaitement bien constitués aux mains et aux pieds ( image déjà montrée plus haut):


pas de nombril ( aurait-t-il été obtenu par clonage) :


     Il a saigné au moment où sa peau a été incisée, ses organes internes sont tout à fait différents d'un corps normal, les poumons sont plus petits, pas d'intestins, le cœur ( si c'est bien lui) aurait une forme pyramidale, et un gros organe dans le bas ventre est volumineux bien plus que notre foie (si c'est lui). Son appareil génital est très petit et il semble être du sexe féminin. Les globes oculaires sont plus gros que ceux d'un humain et on a pu y soustraire avec facilité une pellicule sombre, comme une lentille de contact noire :


qui n'existe pas chez nous de cette couleur etc...

    Vous ne trouvez pas que cela fait déjà beaucoup, pour cet être étrange, dont on est sûr, que l'autopsie montrée est véritable, et remonte à une époque d'environ 68 ans ou plus, en partant de 2016 et que ce n'est pas du tout, un pantin en silicone.

     D'ailleurs voici la Conclusion de l'ouvrage incontournable de Gildas Bourdais, qu'il convient de lire complètement avec la plus grande attention, étant donnée son analyse pointue de cette affaire :


     Selon nous "l'immense choc culturel ...", évoqué ici par Gildas Bourdais, serait, plutôt une révolution sociale intégrale, et les anarchistes de tout bord, y compris les jihadistes décérébrès actuels, n'existeraient même pas, car personne ne croirait plus, à ce que racontent nos dirigeants, pour sauvegarder tout bêtement leurs vulgaires stratégies militaires et leur hégémonie politique et économique. Point Barre...

    Mais, pendant que nous y sommes, voici aussi, une autre revue, qui a lamentablement été à côté de la plaque, dans cette affaire et qui s'en mordra durement les doigts, quand la Révélation finale qui approche à grands pas, sera effective :


     Et, pour les puristes voici, un petit plus de la page 78 et de la couverture :



    Et, comme vous le voyez, (selon nous), l'un des événements le plus extraordinaires de l'histoire connue de l' Humanité, enseignée dans nos Universités, (mais il y a une autre histoire encore plus fantastique ignorée pour l'instant), n'a même pas fait l'objet d'une petite mention, dans la couverture de cette revue. À vous de juger.

    Mais, pour mieux avancer dans cette affaire, le novice, doit savoir aussi, qu' il y a déjà pas mal de temps, nous avions pris contact avec le collectif Soria, formé (nous l'avons déjà exprimé), de 4520 entités cosmiques, (et collectif en qui nous avons toute confiance), au sujet de l'affaire très ambigüe des Ummites, et la réponse en substance qui nous avait été faite, nous a fait tomber carrément à la renverse : "Pourquoi vous préoccuper, au sujet de cette affaire, puisqu'il y a près d'une cinquantaine d'entités extraterrestres, qui visitent régulièrement cette planète".

    Mais, venons en maintenant, à une dernière revue, bien plus diplomate dans cette affaire Roswell, et qui a su ménager ses arrières à toutes fins utiles. Voyez-vous même cette revue dont la couverture a déjà été présentée plus haut.


     Comme on le voit, il s'agit, une fois de plus du périodique VSD, déjà présenté avec honneur plus haut, et cette fois c'est le n° 930 du 22 au 28 Juin 1995, qui a parlé de l'affaire du film en question :

    Pour les puristes, voici alors un petit plus :


    On note bien ici, qu'il est parfaitement précisé ceci :


     Et que celui qui a de bons yeux pour bien voir, tire déjà ici, la manifeste conclusion qui s'impose...

À vous donc, de juger tout cela, documents à l'appui...

      Alors, ce 20 Mars 2016, Messieurs les détracteurs zététiques et consorts intellectuels blasés, si tout ce qui précède, ne vous fait ni chaud ni froid, et que vous continuez à rire sous cape, de cette affaire, voici un petit plus, pour la route tortueuse que vous suivez en ce moment :

     Regardez bien, la couverture du n° 82 de la revue Top Secret , de Déc 2015-Jan 2016, de l'ami Roch Saüquere :


, où l'on découvre un dossier tout à fait renversant de 9 pages, dont voici la première (âmes sensibles s'abtenir) :


      On y découvre alors, un texte concernant un certain M.X, l'enfant des "Black Program", qui a décidé, de faire quelques menues révélations, concernant les fripouilles d' humains, de la Force Noire Galactique, qui évolue actuellement secrètement, hors de la Terre.

     Et à la page 32, on peut lire ceci :


      Or d'après le communiqué de Soria, (vu juste au-dessus), et pourtant datant de 2004, donc il y a de cela 12 ans en 2016 , elle prétend aussi, que le nombre d'extraterrestres visitant la Terre, tourne bien autour de la cinquantaine. Curieux n'est-ce pas, que tout cela !!!.

      De nombreux médias qui ont pignon sur rue, malgré tout ce qui précède, n'ont pas pourtant hésité une seconde à fourrer la tête sous le sable comme l'autruche, lorsque, on l'a vu plus haut, l'intrépide reporter Jacques Pradel, (cet intarissable chercheur de l'Inconnu), un grand Bravo, à ce dernier pour le courage dont il a fait preuve à l'époque, en présentant, en 1995, le film extraordinaire (examiné plus haut), lors d'une émission de TF1,a eu, on le sait, d'énormes ennuis par la suite.

     Pour parfaire notre propos, sur tout cela, nous pensons qu'il est aussi utile, de reprendre ici, le passage renversant, du livre de la même Soria, (en qui, nous l'avons déjà dit, nous avons toute confiance), page 47, intitulé Voyage, tome III aux Editions Ariane, premier trimestre 2002.

:
   

      "...Votre isolement commence seulement à se lézarder. Les rayonnements des autres formes de vie pointent leur Lumière (Ombre ou Lumière : attention, tout n'est pas rose au sein des Univers !), et certains de vos gouvernements savent déjà à quoi s'en tenir ! Même s'ils ne vous ont pas révélé ces visites et essaient de vous ridiculiser dans votre approche des autres mondes, il est vrai qu'ils considèrent les habitants de cette Terre comme des retardés mentaux à qui il faut cacher la vérité, de manière à ne pas les affoler. La population terrienne ne jouit pas d'une grande réputation aux yeux des dirigeants! Étrange, votre choix d'être sans cesse rabaissés aux yeux des autres ! Ce miroir vous apprend-il encore quelque chose aujourd'hui ? Ne l'avez-vous pas assez exploité ? Ou avez- vous simplement oublié que vous pouvez exister sans cette reconnaissance aliénante ?...etc... ".

    C'est exactement la confirmation de ce que le site ARTivision, a souvent évoqué dans ses articles au sujet de la NASA et ses sbires, qui nous prennent assurément pour des débiles mentaux .

    Mais ce jour, plaçons encore ici, ce petit plus, des pages 189 et 190 du même ouvrage :

      "...Afin de vous aider a intégrer ces mondes intra et extra-planétaires, des rencontres sont prévues à cet effet. Ne vous étonnez pas de la publication éventuelle de livres relatant celles-ci. Les mots, c'est bien ; les actes, c'est encore mieux ! Comme une partie de cette humanité travaillera à construire une harmonisation entre nos trois mondes, les échanges doivent s'installer non pas officieusement, mais officiellement, la première approche conduisant à la seconde. Cet événement occasionnera de grands remous dans vos sociétés. Les gouvernements ont bien du mal à cacher leurs relations avec une humanité extra-terrestre éloignée de son centre d'amour. Ils seront confrontés à l'explosion de leur silence et aux dialogues avec d'autres formes de vie. Gageons que vos chefs nationaux passeront des nuits d'insomnie et se feront des cheveux blancs, leur crédibilité étant détruite ! Une période très instable s'annonce désormais dans le monde émotionnel.

    Si les Etats-Unis ne changent pas d'attitude guerrière et continuent à imposer leur supériorité, ils vivront des instants très difficiles. Ils risquent même de se retrouver seuls, sans aucune oreille attentive pour les écouter. Rassurez-vous, je n'ai rien contre ce pays ; il se trouve simplement qu'il cristallise tous les vieux instincts. Et ces réactions risquent d'être encore amplifiées par un adversaire aussi déterminé et prêt à recourir aux mêmes armes pour démontrer sa ferme détermination à vivre sur son propre sol selon ses aspirations. Votre planète offre une diversité d'expressions qui perdurera dans le temps. Vous êtes présentement devant la nécessité de cette reconnaissance. Un état gouvernemental mondial deviendra viable le jour où cette plurialité sera acceptée dans sa totalité et envisagée comme richesse. Alors, vous verrez siéger à une table commune tous les représentants de cette multitude. Le gouvernement mondial, tel que nous l'entendons, pourra alors voir le jour. Quand le respect de la Vie circulera sur toute la surface du globe terrestre, vous pourrez envisager une monnaie unique. Vos tentatives actuelles de mondialisation sont basées sur le profit et le servage de l'humanité accompagné d'une nouvelle forme d'esclavage. Celui-ci n'est pas physique (bien que...) mais émotionnel et financier. Avant la fin de ce demi-siècle, tous les travers de personnalité vont exploser, montrant l'horreur totale de la perversion humaine "
.


      Que dire de plus, devant ces propos ahurrissants de Soria, sinon, ce que disent les anglos-saxons, devant une situation embarrassante : No Comment ...

       Mais ce 21/03/2016, nous ne terminerons pas ce 7e focus, sans mettre carrément le pied dans le plat, dans l'Histoire passée, qui nous a été voilée délibérément par ceux (dirigeants, pontifes et consorts flagorneurs du système tyranique en vigueur), qui voulaient nous mener par le bout du nez :

ARTivision, a démontré que l'Ancien Testament d'où sont partis de nombreuses lois de notre civilisation judéo-chrétienne, parle d'entités ayant six doigts aux mains et six doigts aux pieds, et qui ne pouvaient être que : soit d'une autre race humaine venue d'un autre monde, soit le résultat d'une manipulation génétique des Anunnakis Sumériens.

     Pour commencer, voyons à ce sujet, ce que l'on trouve dans l'incontournable ouvrage de Mauro Biglino de 2014:


     Et en pages 225-226, on trouve :



     Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre, avec l'aide de tout ce qui précède, que, "ces groupes quelque peu particuliers" venaient nous l'avons déjà suggéré :

- soit de l'espace...

- soit d'un trafic génétique des Maîtres sumériens ...

     Attention, il s'agit ici, du "ou inclusif", c'est à dire, que les deux propositions peuvent être envisageables simultanément.

     Voyons cela, d'une manière plus limpide , d'abord dans la Bible de 1939, du Chanoine A.Crampon, et en II Samuel ChapXXI vers-20-22, il y est écrit :


     Comme on le voit, Jonathan frère de David tua cet être, pourtant très suprenant ce qui prouve qu'à cette époque la vie, d'un être humain n'avait pas non plus une plus grande importance qu'à la nôtre où les massacres sont encore légions..

     Voyons maintenant la version de Dhorme, en II Chroniques Chap.20 vers.5-8 il y a aussi:


     Mais, pour les puristes anglicistes, qui aimeraient avoir un son de cloche, tiré d' un document d'origine, en voici un, venant d'une bible très connue :


     Et en page 173 on trouve, en II Samuel-XXI vers.20-22 :


     Comme on le voit, il s'agit bien d'une espèce d'individus très spéciaux, dont on ne nous dit pas hélàs, d'où ils provenaient...

      En ce qui concerne le site ARTivision, il opte plutôt pour la première assertion, ( Il s'agit d'aliens de type humain venant d'un autre monde exactement comme l'entité "Orange", déjà présentée plus haut ), et cela va encore faire hurler d'amertume et de dépit, les bien-pensants et les consorts intellectuels très blasés, si fiers du contexte historique enseigné dans les universités. Pour en savoir vraiment plus, sur les interventions des aliens dans notre histoire, voir dèjà, nos articles plutôt avant-gardistes, du Temps des Révélations qui s'appoche à grands pas :


       Donc, il va de soi, le fait que, si des entités sont venues d'ailleurs, pour se mêler à notre population, ( les lois capitulaires de Charlemagne, et de son successeur, le prouvent officiellement) , alors tout notre cursus historique, est à revoir totalement. A bon entendeur salut...

      Mais ce 25 Mars 2016, analysons le huitième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse.

      Notre modeste traduction donne :

     " Il n'y a jamais eu aucun rapport d'observations d'ouvertures polaires par les astronautes, et en particulier sur les vues montrant une pleine Terre, réalisées par les missions Apollo 8 ; 10 ; 11."

      D'où notre Huitiéme focus .

      Pour répondre à ce 8 e concept, de l'auteur John M. Prytz, disons déjà ici, qu'il aurait dû écrire, l'expression par les "astronautes", et nous allons expliquer cela plus bas.

      De plus, disons aussi que pour Apollo 8, les photos globales de la Terre, qui sont quasi inexistantes, demeurent très partielles, et on ne distingue vraiment rien, d'une zone polaire quelconque :



      Disons d'emblée, qu'effectivement à l'époque en 1970, ce Monsieur n'a pas eu en main, les données prouvant que les missions Apollos auxquelles, il fait allusion n'étaient que des mystifications de haut vol, et nous allons ici, le démontrer, de manière incontournable.

       Pour commencer disons que nous allons être obligés ici, de monter le niveau de cet article d'un cran.

      En effet , il faut savoir d'abord que se sont de simples observateurs, avec de très faibles moyens, comme le webmaster du siteARTivision, qui ont réussi, à mettre en évidence, les bizarreries des photos de la NASA, alors que des journaux qui ont pignon sur rue et des consorts spécialistes de l'espace, n'y ont rien vu.

     Disons alors que, c'est dès le 30/04/2000, que le site ARTivision, a été l'un des premiers sites du Web français, à mettre cette mystification en évidence, dans son article placé tel que :


Puis nous avons progressivement, sorti aussi les articles :


       Il ne faut surtout pas oublier, l'admirable livre "Lumières sur la Lune" (le grand doute) de Philippe Lheureux, publié aux Editions Carnot en Novembre 2000:

  
Voir la nouvelle édition sur le site : http://lheureux.free.fr/


      De très nombreux autres sites, ont aussi faits état de cela, comme par exemple le super site qui présente 12 vidéos , qui s'enchaînent successivement :


      Il faut remarquer alors, que si, ce sont plusieurs années après 69 que l'on a pu s'apercevoir que les photos produites par les américains de leur escapade sur la Lune, étaient absolument truquées, il ne faut pas l'ignorer, que c'est un américain même, qui le premier, a tout dévoilé dès 1976, de ce grand bluff, et cela, à ses risques et périls.

      En effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé Bill Reid Kaysing, dans un ouvrage paru aux USA en cette année, et intitulé "We never went to the Moon", publié par la Société of Metaphisicians LTD

     Bill Reid Kaysing, n'est pas le premier venu dans cette affaire, car c'était un ingénieur à la retraite de la société Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo.

       Pour les puristes , qui recherchent plus de détails, disons aussi que cet ouvrage a été écrit en collaboration avec un certain Randy Reid, et voici donc quelques images sur cette affaire :

  


  


      Cet ouvrage, hélas jusqu'à présent, n'a jamais été traduit en français, et ses auteurs sont bien cependant, tout simplement, les précurseurs incontestables, qui avaient déjà à l'époque, flairé le gigantesque Bluff, à l'égard de l'humanité, que représente le prétendu débarquement des "astronautes" américains sur la Lune, par les "fusées Apollo, LEM, jeep lunaire etc..."

      Cela explique aussi le comportement inadmissible de Neil Armstrong, l'homme le plus célèbre de la Terre à l'époque (décédé le 25 Août 2012), et nous replaçons volontairement ici, les quelques lignes déjà vues plus haut, extraites d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973:


Donc affaire à méditer ...

      Mais, voyons de plus près d'abord, cette affaire d'Apollo 8, décrite en 6 pleines pages (26cm-34cm) du Paris Match 1028 du 18 Janvier 1969 :


tel que le début se présente ainsi :


       Et aux pages 29 et 30, on trouve ce passage significatif :


      On se demande vraiment comment quelques éventuelles corrections de trajectoire vont pouvoir réduire la vitesse de la fusée de 1400 pieds /seconde ( 426m/Seconde), à une vitesse très réduite, non mentionnée ici alors que l'on nous dit bien que c'est l'une des opérations les plus délicates de l'expédition. A aucun moment il n'est précisé que l'on devra inverser le Module de Service, pour que la tuyère centrale, puisse jouer son rôle très important du freinage et de satellisation aux abords de la Lune.

      Demandons alors au site Wikipédia, de nous éclairer davantage sur cette affaire :


De ce laius plutot ambigu, retenons seulement les paragraphes ;

Entrée en orbite lunaire

       "Après environ 55 heures et 40 minutes de vol, l'équipage d'Apollo 8 devint les premiers êtres humains à entrer dans la sphère d'influence gravitationnelle d'un autre corps céleste : l'attraction gravitationnelle de la Lune devenait plus intense que celle de la Terre. Ils étaient alors à 62 377 km de la surface de la Lune, à une vitesse de 1 216 m/s par rapport à celle-ci. L'équipage calculait toujours sa trajectoire à partir du site de lancement, et continua ainsi jusqu'à la correction à mi-parcours qui devait leur permettre de changer de référentiel pour repartir sur Terre. Cette dernière n'était prévue que pour leur treizième heure de vol en orbite lunaire.

      Le dernier évènement important avant leur entrée en orbite lunaire consistait à ralentir, pour obtenir une vitesse de 0,6 m/s. À la 61e heure très exactement, alors qu'ils étaient à 39 000 km de la Lune, l'équipage alluma le RCS pendant 11 secondes.

      À la 64e heure de vol, ils préparèrent l'insertion en orbite lunaire (Lunar Orbit Insertion-1, LOI-1). Cette manœuvre ne permettait aucune erreur et devait être effectuée de la face cachée de la Lune, sans contact possible avec la Terre. L'ordre positif fut donné à la 68e heure. Après 68 heures et 58 minutes de vol au total, le vaisseau passa derrière la Lune et perdit tout contact radio avec la Terre.


Apollo 8 passe derrière la Lune .

      Dernière transmission du vaisseau avant de passer derrière la Lune .

       "L'allumage des propulseurs se fit 69 heures 8 minutes et 16 secondes après le lancement, le moteur brûla pendant 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8 en orbite elliptique lunaire. L'équipage décrivit cet instant comme les « quatre plus longues minutes de leur vie ». Si la propulsion n'avait pas duré exactement le temps prévu, le vaisseau aurait eu une trajectoire très excentrique voire aurait été éjecté dans l'espace. Si elle avait trop duré, ils se seraient écrasés à la surface de la Lune. Après s'être assurés que le vaisseau fonctionnait, ils eurent l'occasion de jeter un œil à la Lune, autour de laquelle ils allaient être en orbite pendant 20 heures.

      Sur Terre, le centre de contrôle attendait. S'il y avait eu un problème, le vaisseau apparaîtrait trop vite et les corrections devraient être effectuées rapidement. Au moment prévu, un signal fut reçu en provenance du vaisseau, confirmant son orbite (311,1 km par 111,9 km) autour de la Lune.
"

      Fin de citation :

      Nous avons demandé à un vrai spécialite, ingénieur aérospatial, dont le site est tel que :


      Nous lui avons alors demandé, si les dispositifs RCS et consorts mentionnés ci-dessous, dans la page de Wikipedia, sont vraiment un moyen pouvant freiner le Module de Service de 1216 m /s, à 0,6 m/s,, sans qu'il y est eu, une inversion de ce module ?

Et voici sa réponse en date du 7 Mars 2016 :

----- Original Message -----
From: X..... P..........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Monday, March 07, 2016 6:51 AM
Subject: Re : Apollo 8

      Pour répondre plus précisément à la question que vous m'avez posée dans votre mail:
      Dans Apollo 8, le module de commande aurait réussi à décroître sa vitesse de 1216m/s à 0,6m/s en allumant son RCS (i.e. les réacteurs latéraux, bien moins puissants que le réacteur principal) pendant 11 secondes; cela fait une décélération de plus de 100m/s²!!! C'est complètement délirant; à titre de comparaison, dans la période de freinage du module lunaire dans la descente motorisée de l'alunissage, celle où il décélère le plus, la décélération était inférieure à 4m/s² (et elle était faite avec le puissant moteur principal, pas avec les réacteurs latéraux).
      Cela montre à quel point c'est aberrant.
      Ce qui est drôle est que ceux qui écrivent ces pages sur Wikipedia pensent écrire quelque chose de très scientifique, et ne se rendent meme pas compte qu'ils peuvent écrire les plus grandes aberrations, et personne ne s'en rend compte...à part des gens comme moi qui y regardent de plus près.

Fin de citation

       Mais pour y voir plus clair, dans cette affaire, présentons aussi ici, cette photo du Paris Match n° 1025 du 25 Déc. 1968, que nous avons sous la main et qui montrait en première page, les 3 "astronautes" d'Apol1o 8 : Frank Borman, James Lovell et William Anders,


    Mais en pages 32 et 33, ce Paris-Match 1025, nous présentait un superbe schéma (53cm -34cm), que nous avons eu bien du mal à reconstituer, à cause de notre petit scanner :


    Et pas besoin de sortir de Polytechnique pour deviner, la grande complexité de l'entreprise, qui conduirait les protagonistes jusqu'à environ 400 000 km de la Terre, et entreprise menée à l'aide d'ordinateurs, qui à l'époque, avaient à peine la puissance d'une calculette actuelle de lycéen...

    Mais pour les puristes, présentons en plus clair, les étapes de l'expédition :


    Mais faisons déjà ici, une digression importante, concernant l'étape n° 7 :

      Or, on le sait, d'après ce que nous dit le site Wikipédia présenté plus haut, que la manœuvre en question, ne devait être soumise à aucune erreur, et surtout qu'elle devait être effectuée de la face cachée de la Lune, sans contact possible avec la Terre ....

     De plus, on voit que c'est une affaire de seconde en plus ou en moins, autour des cruciales 4 minutes et 13 secondes, plaçant Apollo 8, en orbite elliptique lunaire, car c'était ou, l'échappée vertigineuse dans l'espace cosmique, ou pire l'ecrassement sur la Lune. Quel dilemme n'est-ce pas !, pour avoir à jongler avec un simple petit bouton.

     Il va sans dire que avec les ordinateurs primitifs qui existaient à l'époque cette opération était d'une complexité inouïe , et dont le risque était assurément à éviter par tous les moyens.

     A vous de juger...

     Mais de plus, nous allons voir tout de suite, qu'il manque au super schéma en question, certaines étapes importantes, que l'on a , sans doute volontairement oubliées, pour le simplifier.

     En effet, et c'est ici, une exclusivité d'ARTivision, si nous rapprochons les étapes 6 et 7 du superbe schéma :


     On découvre alors que la capsule conique de commande, qui contient les 3 voyageurs a un sens inversé de l'étape 6 à l'étape 7. En effet Apollo 8, à la 61e heure très exactement, devait se trouver à 39 000 km de la Lune, et l'équipage alluma le moteur central du module de service pendant quelques secondes bien précieuses, pour passer de la vitesse de 1 216 m/s à celle dit-on de 0,6 m/s. Un sacré freinage n'est-ce pas !!. Mais ce que ne montre pas le schéma, c'est qu'il faut quelque temps avant, inverser le vaisseau dans son sens de circulation, pour que la tuyère principale du Module de Service, soit en avant de la marche. Cette inversion est donc d'une grande délicatesse nécessitant une prise de risque énorme. Or ceci n'est, on va le voir, mentionné nulle part, dans le récit du célèbre Raymond Cartier, très grand reporter à Paris Match, qui a certainement pris, les informations qui précèdent, directement à la NASA. Tout ceci est très curieux, et on se demande, si ce n'est pas la NASA elle-même qui n'a pas jugé bon, de le mettre au courant de cette affaire de retournement, du vaisseau Apollo 8, qui en effet , hypothéquait la réussite de l'opération

     Cette affaire de retournement d'Apollo, est mentionnée, certes pour, Apollo 11, par exemple sur le site :


, tel que :

     H + 3h17mn05 s : le troisième étage est largué

     H + 3h24mn03 s : après une manœuvre de retournement, le véhicule Apollo vient s'amarrer au module lunaire. Les trois modules assemblés sont en route vers la Lune.


     Et il y a même mieux en forme de schéma dans un document PDF placé à :


, tel que :


     Tout cela pour bien montrer, la complexité de cette affaire d'Apollo 8, comme bien sûr pour les autres missions Apollo.

     Remarquons que cette affaire de retournement pourrait être commandée de la Terre ( à près de de 361 000 km de là avec, on le sait des ordinateurs très balbutiants), mais cette opération pourrait aussi être entreprise directement avec beaucoup de risques par l'équipage d'Apollo 8.

     Mais il y a encore, une autre étape délicate, qui n'apparaît pas sur le super schéma, en question. Voyez, vous-même ce coin :


     On voit très clairement, que les vaisseaux en question sont inversés, ce qui signifie qu'à un moment donné, il y a eu un autre retournement, non également mentionné sur ce beau dessin. Ce retournement pourrait avoir lieu en effet, immédiatement après le premier survol de la face cachée de la Lune, mais il aurait pu avoir lieu, à un autre moment des 10 révolutions effectuées autour de la Lune, d'après le site :


     Mais , ce retournement pourrait devoir être amorcé à partir du survol de la face cachée, et ce sont alors les membres de l' équipage, qui en seraient responsables, avec tous les inconvénients en puissance, car ils ne pourraient communiquer avec la Terre, s'il y avait un pépin.

     Voyons maintenant, d'après Paris Match, quelques prouesses techniques utiles ( les phases vraiment dangereuses sont en violet), pour réussir cet exploit:


     On voit alors bien, que dans ce texte réduit et ramassé, on parle bien de moteurs de Vie et de Mort et jamais du processus de retournement du Module de Service.

     Mais lisons alors ce qui est écrit, au bas de cette photo de Williams Anders ( bien sûr il y aussi celles des autres astronautes et aussi des textes concernant leur curriculum vitae ) :


     C'est donc un quidam plutôt rigoureux et cultivé. Alors, pourquoi a t-il déclaré (d'après Paris Match bien sûr), cette phrase tout à fait insolite et inadaptée ;

     " Nous avons moins à craindre que Lindbergh lorsqu'il vainquit l'Atlantique . "

     Et malgré, l'explication fantaisiste et opportuniste, de Paris Match, qui nie les justes réserves, du grand astronome anglais Sir Bernard Lowell :


, le site ARTivision, pense que ce propos très insolite d'Anders, est une sorte de bouteille à la mer, bien calibrée, pour les générations futures, et cela signifie en clair :

" Soyez logique voyons, tout cela n'est, qu'un grand bluff... "


      Et le site ARTivision ajoute, qu'Apollo 8, fut en fait, le premier témoignage de cette fumisterie d'affaire, et toutes les autres missions "Apollo", sont à mettre, dans le même sac.

     De très nombreux sites maintenant, démontrent clairement cette imposture, mais de plus, où le bât blesse, on découvre que les spécialistes soviétiques de l'Espace, eux qui, ont dû découvrir ces truquages dès Juillet 1969, n'ont pourtant, absolument rien dit ....

     C'est donc, qu'ils étaient, parfaitement complices de cette mascarade, et le concept de Guerre froide, qui battait son plein à l'époque, n'est qu'un autre bluff, mis au point par les soviétiques et les américains, pour noyer le poisson, et poursuivre en douce leur scélérate collaboration avec "Les Petits Gris", dont nous avons parlé ci-dessus.

     De plus, disons aussi que les soviétiques n'auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans une raison d'Etat supérieure, à tout ce qui est économiquement et socialement et surtout militairement valable. S'ils ont laché prise, c'est parce qu'ils ont appris l'existence effective d'un troisième larron, plus puissant que les américains et les soviétiques, et donc que ces deux derniers pays, n'avaient plus aucune raison de se taper dessus...

     A bon entendeur Salut...

      Mais ce 27/03/2016, jour de Pâques, avant d'aborder les "épopées d'Apollo 10 et 11", voyons une dernière étape de la mission Apollo 8, qui était, encore plus dangeureuse que les précédentes :

      Voyons d'abord, comment le site déjà présenté plus haut, de Wikipédia, nous présente cette étape spéciale :


      Vous avez bien noté, que ce passage nous dit, que le retour sur Terre fut "une période de détente ", alors qu'ARTivision, prétend que la rentrée dans l'atmosphère terrestre, représentait un danger très énorme. (Voir l'affaire de la Navette spatiale Columbia, qui a explosé le 1er Février 2003, en entrant dans l'atmosphère )

      A aucun moment, ce texte, ne nous parle de l'important freinage, nécessaire avant l'arrivée sur Terre, et même, il nous apprend, le largage du Module de Service, qui contient la tuyère centrale, pouvant freiner le vaisseau. La décélération, étant faite après ce largage, atteindra pourtant 59 m/s 2 . Rappelons que ce Module de Service , qui était au départ de la Lune, dans cette position :


, devrait obligatoirement subir un retournement de 180°, pour pouvoir exercer le freinage requis.
      Mais voyons, aussi comment le Paris Match 1028, nous présente l'étape du retour vers la Terre. (Nous avons bien sûr, supprimé les paragraphes superflus)

  


      On voit là, alors que, que le vaisseau Apollo 8 , est passé de la vitesse de 44 000 km/h (12,22 km/s), à celle de 8029 pieds/s (2,447 Km/s ). Une sacrée décélération, n'est-ce pas !! Mais comment fut-elle réalisée ? C'est , le silence total, et c'est à vous qu'il appartient de juger, tout cela .

      Voyons maintenant, comment sont traitées, les affaires aussi scabreuses d'Apollo 10 et 11, auxquelles fait allusion le sieur John M. PRYTZ :

      Voyons alors comment, entre en jeu le caviardage d'une photo quelconque, bien qu'en 1970, Monsieur John M. PRYTZ , ne pouvait pas encore connaître; celle qui suit.

      Cette photo est tirée de la couverture de la revue moderne nommée "Diplomatie", dans son n°9 hors série d'Août-Sept 2009 :


      Sur la photo de la NASA présentée, on voit clairement de nombreuses anomalies :

      Nous parlerons d'abord du super panneau avec le drapeau des USA, et l'inscription United States:


       A moins que ce drapeau, soit fait de matière fluorescente très spéciale, on se demande, comment sur le panneau très noir, qui est donc, totalement à contre-jour, ce drapeau peut apparaître, avec tant de netteté. Cette affaire de fluorescence éventuelle du drapeau, est donc à vérifier dans les rapports de la NASA, sinon ce n'est qu'une vulgaire juxtaposition d'une image sur une autre.

      Nous sommes ensuite, frappés par la blancheur et les rondeurs du mont en arrière plan et surtout par ceci :


      Ensuite, nous voyons, à peine perceptible, à droite et vers le bas de la hampe du drapeau, une trace de roue telle que :


      La direction des stries de cette trace est perpendiculaire au bord de la trace, ce qui prouve qu'il ne s'agit pas d'une trace de roue de la jeep LRV d'Apollo 15, mais plutôt de la trace d'une jeep Willys, (si souvent présente dans les films de guerre américains) et dont le fonctionnement, est impossible sur la Lune.

      Nous n'avons pas eu la chance de trouver en couleur, la même image sur le site pratiquement officiel suivant :


      Cependant, nous y avons retrouvé une photo, qui lui ressemble beaucoup, bien que le champ de vision, soit plus large presque partout. Voici cette photo :


      Ajoutons y quelques commentaires :


      Tout cela est de plus en plus révélateur, n'est-ce pas ?

      Quittons alors cette image, déjà très insolite de la NASA , pour venir maintenant analyser plutôt, les propos du chapitre intitulé "La conquête de la Lune (1968-1969) : le dénouement " ( Comme ils sont prétentieux ces écrivains en parlant de conquête,, n'est-ce pas ? )

      Survolons alors, en page 30 et en Décembre 1968 , l'épopée d'Apollo 8 :


      Vous avez bien vu, qu'il n'est pas question dans ce laius, à aucun moment, du retournement, du Module de Service d'Apollo 8, seule manœuvre capable de réaliser le freinage incontournable, pour pouvoir tourner autour de la Lune .

      Vous avez bien lu, n'est-ce pas, que la face cachée est grise sans couleur, désolée et lugubre etc... mais chacun a bien voulu lire des versets de la Genèse, et cela à l'intention des terriens bien loin à 400 000 km de là, ( et sans doute aussi, un peu pour les Dieux, qui eux, sont bien présents, sur notre satellite... n'est-ce pas ?) .

      Plus loin, en page 32, on nous parle aussi de l'épopée d'Apollo 10, où le module lunaire dans le voisinage de notre satellite, s'est séparé d'Apollo en Mai 1969, pour s'approcher jusqu'à 14 km du sol lunaire. On devine évidemment la complexité supplémentaire de cette manœuvre , qui en plus de celle, vue plus haut pour Apollo 8, en apportait à l'époque, un degrès de dangerosité, jamais connu, ni expérimenté.

      Et là, on nous présente, un petit médaillon de la surface de la Lune, photographiée par les astronautes de cet Apollo 10. Hélas, on ne dit pas si cette photo vient de la face cachée. Les spécialistes le découvriront sûrement.

      Mais nous avons noté cependant, sur ce médaillon quelques incongruités :


      Bien sûr il y beaucoup d'autres anomalies sur cette photo, et un bon logiciel qui ne tardera pas à être commercialisé, nous en dira plus, nous l'espérons vraiment bientôt .

      Cependant, ce 27/03/2016, voyons encore à la page 34 de cette revue, ce passage :


      Comme le dit le commentateur, il eu été plus beau de planter, le drapeau de l'ONU, si l'on est venu sur la Lune au nom de toute l'Humanité.

      Mais, ce qui retient encore notre attention ici, c'est ce nouveau médaillon, où pour Apollo XI, les "astronautes", Neil Armstrong et Buzz Aldrin, plantent le drapeau américain sur la Lune. Dommage que ce commentateur qui, nous dit-on, est un historien de la conquête spatiale, et de la dissuasion nucléaire, (nous préférons dire, bien sûr, un historien de l'épopée spatiale), n'ait pas jugé bon de nous dire, qui a pu filmer et prendre cette image, si bien agencée , des deux "astronautes", évoluant côte à côte, sur la Lune. On sait, en effet, que le troisième confrère, nommé Collins, était dit-on, très éloigné, en haut dans le ciel lunaire, et dirigeait le Module de Commande. Il ne pouvait donc, en aucune manière, prendre une photo aussi nette !!

      Où était fixée la caméra en question ? A-t-elle été commandée automatiquement à distance, ou a-t-elle filmé en continu, quitte à gaspiller de la pellicule, pourtant si précieuse en ce lieu ?

       Les spécialites trouveront certainement la réponse un jour...

      Mais voyons cette image de plus près, et sous un autre cadre, tiré, on l'a vu déjà, du site quasi officiel :


      Et allons d'emblée, à l'image ap11-S69-40308, suivante :


      Observons bien alors, les ombres des deux "astronautes". Ces derniers, on le voit, sont proches l'un de l'autre n'est-ce pas et, pas besoin en effet, de sortir de Polytechnique, pour s'apercevoir que l'ombre de "l'astronaute" de droite, est bien plus longue, que celle de son confère. Les rayons du soleil viennent de l'infini, et en plus ce Soleil est assez proche de l'horizon. Les deux ombres doivent être parallèles et surtout pratiquement de même longueur (les individus en question n'ayant que quelques centimètres de différence dans leur taille), et comme on le voit, ce n'est pas ici, le cas pour la longueur de l'ombre. Pour vérifier cette affirmation, nous avons réalisé la modeste expérience suivante :

      Un jour vers 16 h 20 locales, nous avons simplement placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que les ombres étaient parfaitement parallèles et que l'ombre portée mesurait 98 cm pour chacune d'elles .


       En conséquence, il s'en suit que :

- Soit que les deux "astronautes" sont éclairés (sur Terre évidemment), par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona...

- soit, pire encore, il s'agit d'une vulgaire manipulation photographique de deux photos différentes, prises pour chaque "astronaute" séparément et cela , bien entendu, sur Terre.

       De plus, étant donnée la position de la hampe du drapeau au pied de "l'astronaute" , ce drapeau devrait se projeter grosso modo, ( sans doute avec une couleur plus atténuée) , sur"l'astronaute" de gauche , comme le montre notre modèle grossier :


     Pourquoi donc ce drapeau n'a-t-il d'ombre sur l'"astronaute" en question ? Certains, vous diront, vite fait, que c'est le blanc du scaphandre, qui a saturé le flaiblard noir de l'ombre du drapeau. Point barre.

      Les photos suivantes, où le blanc ne gêne pas la croix, montrent que cette supposition est fausse :

   

      A vous de juger cette nouvelle affaire saugrenue!!!

     Mais ce 29/03/2016, poursuivons l'analyse des épopées des Apollos 10 et 11, et autres missions analogues.

      Voyons d'abord en partant du PM 1025, comment pourraient être agencés le Module de Commande et LEM, dans le vaisseau Apollo 10 :


     Et pour les puristes, voici certains, détails de ce Module de Service:


      Cependant, pour Apollo 10, le site : https://fr.wikipedia.org/wiki/Apollo_10 ,nous explique ceci :

Déroulement de la mission :

      Cette mission était avant tout une répétition pour la phase qui précédait l'alunissage. Le module lunaire, surnommé « Snoopy », fut envoyé à 15,6 km de la surface lunaire. En dehors de cela, la mission reproduisait les principales étapes du vol final, à la fois dans l'espace et au sol. Peu après avoir quitté son orbite terrestre basse, le module de commande/service se sépara du troisième étage de Saturn V, S-IVB, effectua une rotation à 180° puis arrima son nez au sommet du module lunaire, lequel était encore attaché à S-IVB. L'ensemble module de commande/service et module lunaire se sépara ensuite du lanceur. Les moteurs du module de commande propulsèrent le vaisseau jusqu'à la Lune. En atteignant l'orbite lunaire, Young prit les commandes du CSM , alors que Stafford et Cernan prenaient le contrôle du module lunaire. Ils vérifièrent notamment son radar et son moteur d'ascension, ainsi que le site d'alunissage final dans la Mer de la Tranquillité. Cependant, ce modèle du module lunaire n'était pas destiné à se poser. Apollo 10 réalisa également la toute première diffusion télévisée en couleurs et en direct depuis l'espace.
      Rappelons ici que le Module Lunaire est constitué d'un sous-module atterrisseur qui assure la descente vers la lune (descent stage) et d'un autre sous-module (ascent stage) permettant à l'équipage de retourner en orbite. Pour cette mission, l'atterrisseur s'est écrasé sur la lune. Le module de retour en orbite a été placé en orbite héliocentrique. C'est le seul exemplaire de cette classe de modules à être aujourd'hui encore tout à fait intact.


      Mais sur le site: http://max.q.pagesperso-orange.fr/apollo/Missions/presentation.htm,
on découvre ce texte :

:      " Le vaisseau est envoyé vers la Lune, grâce à une poussée de quelques minutes du S-IVB. Ensuite, le vaisseau se sépare du S-IVB et effectue une rotation de 180°, de façon à se positionner en face du S-IVB. Les astronautes peuvent enfin enlever leurs combinaisons de vol...Le lancement a eu lieu environ 3 heures auparavant. C'est à ce moment que s'effectue la Transposition, Ejection & Docking Le CMP ou le CDR pilote le module de commande et se rapproche de plus en plus, de façon à s'arrimer avec le Module Lunaire (LM). Le LM est extrait du S-IVB, qui est ensuite largué. Désormais, le LM et le CSM sont solidement arrimés, et l'équipage peut aller et venir dans les deux vaisseaux. (schéma ci-dessous) "

Fin de citation .

      On découvre alors, les admirables schémas de cette inversion des vaisseaux :


ou encore :


      Autrement dit, le retournement du Module de Service, jamais expliqué pour Apollo 8, après l'étape 6 (qui semble pourtant l'amorcer) est ici en première ligne. Revoyez donc cela encore :


      Ce retournement semble là, effectif dès l'étape 5 , ( même si cela parait être réalisé, à un moment plus proche de la Lune)

      Mais, on ne nous dit surtout pas, qui a contribué à la réalisation de toutes ces supers manœuvres d'inversion de vaisseaux, qui doivent être réalisées au millimètre près, avec des ordinateurs très primitifs et faiblards de l'époque, et on oublie vite aussi de dire, que le freinage requis pour la satellisation autour de la Lune, doit être initié quand les vaisseaux en question, abordaient sa face cachée, où toute communications avec la Terre, étaient coupées. Et donc, ce sont les excursionnistes eux-mêmes, qui devaient au millimètre et à la seconde près, organiser la plupart de ces manœuvres extrêmement délicates et dangereuses.

     Quant à nous faire croire que les deux excursionnistes : Gene Cernan et Thomas Stafford, vont pouvoir partir en ballade avec le LEM, jusqu'à aller contempler la Lune à 15,6 km de sa surface, puis revenir sans aucune anicroche, rejoindre John Young dans le Module de Service, tout cela relève de la pure et insolente fantaisie, comme le prétend le site : http://phil.ae.free.fr/astro/espace/precurseurs4.html, tel que :

La mission Apollo 10.

     "Finalement, Stafford, Young, et Cernan décollèrent le 18 mai 1969 et, après avoir passé quelques heures en orbite terrestre en vérifiant le vaisseau et les systèmes, ils allumèrent le troisième étage du lanceur Saturn 5 pour partir en direction de la Lune. Comme pour Apollo 8, leur trajectoire était "à retour libre", c'est-à-dire qu'elle les emmenait autour de la Lune, et en cas d'échec à l'allumage du moteur principal, elle les ramenait directement sur Terre. Cependant, comme lors de toutes les missions Apollo, ce moteur fonctionna parfaitement.

     Contournant la Lune à 110 km au-dessus de la face cachée, l'équipage alluma le moteur pendant quatre minutes pour freiner et entrer en orbite lunaire. Vingt minutes plus tard, le vaisseau émergea du limbe oriental de la Lune, retrouvant le contact radio avec la Terre. L'heure de la réapparition du vaisseau était suffisante pour confirmer qu'il était sur l'orbite prévue. Pendant les heures suivantes, Stafford et Cernan vérifient le LM. Après un repos nocturne, ils se séparent de Young et, au-dessus de la face cachée, ils allument le moteur de descente pendant trente secondes pour se placer sur une orbite qui les amène à 14 500 m d'altitude au dessus d'un point situé 480 km à l'est du site prévu pour Apollo 11.

     En approchant du point bas de leur orbite, ils se trouvent assez près du sol pour tester le radar d'alunissage du LM et procéder à une inspection visuelle de la zone au cas où un site de rechange soit nécessaire lors du premier atterrissage.

     Ensuite, au lieu d'allumer le moteur de descente pour freiner leur course et atterrir, ils accélérent et prennent une nouvelle orbite qui, passant à 350 km au-dessus de la face cachée, les amène cette fois juste au dessus du site prévu pour Apollo 11.

     Deux heures plus tard, à la fin d'une autre orbite lunaire, Stafford et Cernan sont prêts à répéter la manoeuvre d'ascension et de rendez-vous. Après avoir survolé une nouvelle fois à basse altitude le sud-ouest de la mer de la Tranquilité, ils éjectent l'étage de descente et allument le moteur d'ascension pendant environ 15 secondes. Peu après, ils effectuent un parfait rendez-vous avec Young. .

     Presque tout s'était passé parfaitement, à part un moment d'anxiété quand l'étage de remontée, à peine séparé, commença à tourner et rouler follement sur lui-même. Il fallut près de huit secondes à Stafford pour reprendre le contrôle du vaisseau. Un simple interrupteur actionné une fois de trop avait provoqué la remise en route du système de fusée d'attitude.

      Deux orbites après cet épisode "à dresser les cheveux" (dixit Stafford), le rendez-vous avec le CSM s'effectue. Une orbite plus tard, Stafford et Cernan rejoignent Young à bord du Module de Commande. Le LM est alors largué et Houston l'envoie sur une orbite solaire par un dernier allumage de son moteur.
"

     Fin de citation .

     Mais ce 29/03/2016, ARTivision, met en évidence une fois de plus, le fait, que donc ni Jonh Young d'Apollo 10, ni Michael Collins d'Apollo 11, ni Richard Cordon d'Apollo 12, ni Stuart Rossa d'Apollo 14, ni Alfred Worden d'Apolo 15, ni Thomas Mattingly d'Apollo 16, ni Ronald Evans d' Apollo 17 , les 3e "voyageurs" des diverses missions "Apollo", qui ne sont pas descendus sur le sol lunaire, n'ont jamais photographié par les sas d'entrée, leurs collègues de retour de leurs dangeureux périples sur la Lune (ou simplement vers la Lune pour Apollo 10).

     Pour bien analyser cette nouvelle énigme, nous nous souvenons d'abord, que c'est en Décembre 1965, que les américains eurent un gros problème avec Gemini 6 ( avec les astronautes W.Schirra et T Stafford), qui n’a pas pu s’arrimer à un satellite cible qui devait être un étage de la fusée Agena, spécialement équipée pour que le nez de la cabine Gemini 6 puisse s’y emboîter. Agena ayant échoué dans son lancement, la NASA, décide brusquement de modifier ses plans. C’est le vaisseau Gemini 7 (avec Fank Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à Gemini 6. L’expérience devient alors peu spectaculaire, puisque l’arrimage étant impossible, le 15 Sept 1965, les deux cabines ne vont pouvoir que s’approcher à deux pas l’une de l’autre, et vont effectuer ainsi en tandem plusieurs révolutions orbitales.

   Le véritable rendez-vous avec la fusée Agena inhabitée n’aura en fait lieu qu’en Mars 1966 avec Gemini 8 (avec N. Arsmtrong et D. Scott) et encore que le vol fut interrompu à cause d'un court-circuit.

    Mais où cela est surprenant, c'est que nous n’avons pas trouvé d'autres d’exemples, où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo différents (avant bien sûr la mise en orbite de la navette spatiale), se sont réunis dans la même cabine, après un rendez-vous spatial programmé.

    Mais, il nous appartient maintenant de noter ici, ce fait important : Le 15 juillet 1975, fut lancé le vaisseau soviétique Soyouz 19 avec les cosmonautes A. léonov et V. kubasov , et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias , si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains : T. Stafford , V.Brand et D.Slayton, ont été largement filmés et retransmis, dans toutes les télés, radios et presses du monde entier. Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer, et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux, pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :



    Mais, justement maintenant, il nous vient à l'idée, que la NASA, n'a jamais montré, pour aucune des missions "Apollo", (à notre connaissance bien sûr et les internautes qui en auraient la preuve, nous feraient un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes revenant de la Lune, avec de leur compagnon d'infortune, qui lui fut privé, hélas, du débarquement, et qui est resté sagement dans le Module de commande, à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or ce dernier avait assurément, à sa disposition à l'intérieur de la cabine, une caméra pour filmer, tout ce qui se passait autour de lui...

Aux spécialistes de répondre et de nous dire pourquoi aucune photo des retrouvailles n'a été montrée.

    Quelle joie ce serait en effet, pour lui, de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos d'intense émotion, au monde entier ?

    Non rien de tout cela ne nous a été présenté par la NASA !!!

    On sait d'ailleurs maintenant, qu'en plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales.

    De plus, il serait peut-être utile, de présenter ici le passage qui suit du site :


     " Lorsqu'en 1961, le président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, fixe comme objectif à l'agence spatiale américaine d'envoyer des hommes sur la Lune avant la fin de la décennie, le programme spatial américain est encore balbutiant. Après avoir étudié plusieurs configurations pour le vaisseau spatial, la NASA choisit en 1962 d'avoir recours au LEM, module destiné au débarquement sur la Lune, malgré les interrogations que suscitent à cette époque le recours au rendez-vous orbital lunaire (LOR) que sous-tendait ce choix. Seule cette solution permettait en effet de tenir l'échéance fixée, en réduisant la masse à satelliser et en limitant les coûts et les risques techniques.

     Le LEM comporte deux étages : un étage de descente dont le rôle principal est de faire atterrir verticalement le module lunaire grâce à un moteur à poussée variable et un étage de remontée doté de son propre moteur et dans lequel se situe la cabine pressurisée où séjournent les astronautes. Malgré la complexité de sa mission et une contrainte de masse très sévère (15 tonnes), le LEM a réussi à six reprises à amener sans défaillance grave, et faire séjourner deux hommes dans un environnement lunaire particulièrement hostile et à l'époque mal connu..
"

     Fin de citation.

     Vous avez bien noté, nous l'espérons, le fait que des spécialistes affirmaient que le rendez-vous lunaire posait déjà, à l'époque en 1962, de notoires interrogations, et que malgré la complexité de la mission, on a tout de même pu, réussir sans embages, 6 jonctions ( et on pourrait aussi ajouter celle d' Apollo 10, donc cela fait 7 en tout ), entre un étage de remontée du LEM avec le Module de Commande, d'Apollo tournant autour de la Lune.

   Alors, ARTivision a le droit de s'interroger sur le fait très insolite de savoir comment ces mêmes américains ont pu réussir (comme dans un fauteuil) ces nombreux rendez-vous lunaires sans aucune anicroche, à environ 400 000 km de la Terre, avec des ordinateurs très primitifs, qui n'avaient même pas à l'époque la puissance d'une calculette actuelle de lycéens. Et cela en plus, malgré le terrible cône d'ombre électromagnétique, que représentait la Lune, vis à vis de la Terre, en fonction des positions des éléments des vaisseaux à joindre.

    Ces divers rendez-vous lunaires étaient, l'un des moments les plus cruciaux de la trajectoire, suivie par ces astronautes revenant de la Lune et, c'est là, que nous avons le moins d'information et aucune image de cela.

      Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur la Lune (ou au voisinage de la Lune, pour Apollo 10), qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagnon, sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir ?...Ne trouvez-vous pas cela bien bizarre ?

      Nous attendons alors, vos précieuses conclusions...

       Mais ce 30/03/2016, il nous appartient d'en dire un peu plus, concernant Neil Armstrong, l'homme qui dit-on, aurait été grâce à Apollo 11, le premier à poser le pied sur la Lune...

       Pour démystifier cette affaire, présentons ici, cette missive surprenante ( Nous en avons reçue beaucoup d'autres):

----- Original Message -----
From: chanal S...
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Thursday, December 15, 2011 8:27 AM
Subject: Les américains n'ont pas été sur la Lune

      Bonjour Fred,

     Je sais que vous prenez du repos et j'espère que tout se passe au mieux.

    Je suis tombée sur une séquence relativement courte mais étonnante.
Sur le site www.moontruth.com. Je vous la mets par hasard en pièce jointe.
Et encore merci pour tout votre immense travail accompli.
C'est un vrai plaisir sans cesse renouvelé que d'aller sur votre site.
     Bonne continuation.

Chanta.......


    Nous avons bien sûr, répondu à cette aimable intenaute à l'époque, en disant que nous connaissions le petit film en question, depuis au moins 2005, et cette courte vidéo s'appelait effectivement autrefois "Moontruth". On pouvait la voir à l'époque sur près d'une demie douzaine de sites, et actuellement, il reste encore ce film là, sans doute pas pour longtemps :



    On y voit donc un système de projecteurs qui dégringole à côté de "l'astronaute".

    

    Cela surprend évidemment, mais les détracteurs français zététiques et autres debunkers anglosaxons, vous diront que ce film provient effectivement du centre d'entraînement, où l'on était entrain de préparer les gestes précis à faire et que ce film a bien été tourné sur la Terre et probablement ce n'est même pas Armstrong, qui descend l'échelle et qui prononce la phrase clef, qui a pu être enregistrée bien avant. Point Barre.

    Mais, ce que ces détracteurs zélés ignorent, c'est que nous avons assisté à l'époque, à la télévision, aux déclarations en direct d'Armstrong lors de l'émission de FR3 "Les Dossiers de l'écran" , le 15 Août 1979, et à un moment donné Armstrong, a affirmé devant des millions de téléspectateurs, groso modo, que sa phrase fut spontanée et non prévue à l'avance, lors de son débarquement sur la Lune. Cette vidéo prouve donc qu'il a berné tout à fait, les journalistes de l'émission, alors que le premier quidam, rencontré après cette émission, sans être docteur en psychologie, vous dirait d'emblée, que cette phrase ne pouvait pas avoir été, en aucune façon spontanée, pour quelqu'un debarquant sur une autre planète, pour la première fois dans l'histoire de l'Humanité. Chaque mot et chaque pas, devaient assurément, être étudiés à l'avance :

    Merci mille fois, à l'internaute qui retrouvera sur Google, l'url où le DVD, de cette emission des "Les Dossiers de l'écran" , pour bien analyser dans le détail, les propos d'Armstrong, correspondant à sa célèbre phrase. Nous avons nous-mêmes écrit , à la revue Nostra, à propos de cette émission . Voici la lettre en question :


    La vidéo MoonTruth , ( que l'on a intérêt à enregistrer rapidement, car elle pourrait disparaître comme par enchantement), prouve sans contestation, que la phrase d'Armstrong, prononcée solennellement en posant le pied sur le sol, avait bien été calibrée d'abord, et donc Armstrong, devait savoir cela : Pourquoi a-t-il menti ? Aux spécialistes de répondre...Nous attendrons avec ferveur, leurs conclusions pour les publier joyeusement...

    Mais, puisqu'on est certain ici, qu'il a menti, nous pouvons lui appliquer sans réserve, l'aphorisme célèbre :

"Qui vole un œuf, peut voler aussi un autre jour, un bœuf".

    Et, alors on peut dire que, si Armstrong, a menti une fois, il peut très bien le faire en mieux, une autre fois. On pense même que ce film aurait été tourné en Angleterre sur le plateau de cinéma, où fut réalisé le célèbre film de Stanley Kubrick : " 2001 l'odyssée de l'espace" :

      Un documentaire ironique, nous explique tout cela d'une manière très ambigüe :


      Si en plus, on étudie le comportement aberrant de cet "astronaute", on reste sidéré devant une telle attitude fallacieuse, car cela ne cadre pas du tout avec le stoïcisme et le caractère avenant, que l'on prête en général à un héros de la nation, et nous invitons maintenant, les internautes curieux, à analyser avec le plus grand soin, les quelques lignes suivantes et lignes extraites d'un vieux Paris Match n°1242 du 24 Février 1973, où figure un article courageux, tout à fait hors-normes, et intitulé :



     Le langage est donc clair : les astronautes sont devenus "les désaxés" soit, les "misfits" de la NASA.

  


      On voit donc que Neil Armstrong, décédé on le sait, le 25 Août 2012, au lieu d'avoir le souffle coupé , en débarquant sur un autre astre que la Terre, ce dernier, en véritable robot, refuse même de dire devant ses interlocuteurs seulement, que la Lune est belle, et même, il agit comme si la Lune lui avait donné "le dégoût de la Terre" . Mais relisez donc à nouveau, bien ce passage :


     On voit donc clairement dans le texte du Paris Match 1242, présenté ci-dessus, que "l'astronaute" Neil Armstrong, est bruquement devenu comme "un ours en cage", et on dit, parait-il, qu'il ne voulait plus entendre du tout parler de la Lune. Le titre même de ce Paris Match 1242 , est déjà à notre avis, en lui même, très explicite: "Ils sont encore dans la Lune".

     Il y a donc bien "anguille sous roche", pour cet "astronaute", qui est devenu après son "voyage", vers la Lune, un obscur professeur d'université, face à des étudiants, ignorant de lui, tout ce qui précède et ce qui va suivre.

      Certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute, nos déclarations sur Neil Armstrong, doivent savoir que ce dernier aurait pu amplement tirer, de grands profits par les contrats publicitaires faramineux qui lui ont été proposés. Connaissez-vous en effet, cher internaute, un américain qui refuse de ramasser des millions de dollars qu'on lui offre sur un plateau d'argent, comme certains footbaleurs français ou étrangers, bien connus, l'ont honnêtement bien fait ?

      Et bien oui, il en existe au moins un, c'est Neil Armstrong, l'homme qui on le sait, fut dit-on, le premier, parait-il, à mettre le pied sur un autre "astre que la Terre"

     Voici aussi, d'autre part, quelques phrases tirées de la page 99 de l'ouvrage très documenté de Pietro Banucci , intitulé "La Lune", et publié aux Éditions Bordas 1989 :

      "Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même, et évite, dans la mesure d possible, de parler du passé. Séjournant dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A plusieurs reprises, il émet des opinions négatives sur la NASA. En Décembre 1972 après la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre satellite, il refuse une invitation de la NASA, à une cérémonie au cours de laquelle il aurait dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre à une party, à laquelle l'a invité le Président Nixon.. Il snobe également une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du programme Apollo , dans sa villa du Pacifique en Californie...
".

     Mais, il y a aussi ceci : Lorsque l'astronaute Armstrong, a soi-disant débarqué sur la Lune et cela, ( 5 heures avant l'heure prévue, ce qui a désorganisé tous les programmes des médias qui suivaient l'événement ), il a flanqué la caméra dans une direction et elle n'a plus bougé ...

     Jamais, il n'a fait (à notre connaissance bien sûr, et nous aimerions avoir la preuve du contaire), un panorama du paysage, comme le ferait tout alpiniste, qui arrrive au sommet d'une montagne...

     C'est inadmissible, au prix où l'on avait soi-disant payé cette caméra... Des spécialistes ont démontré d'ailleurs, que la caméra n'avait aucune protection contre les dures conditions et radiations, qui régnent sur la Lune, et que par conséquent, les films obtenus auraient été tous "brûlés"...

    Arrêtons là, voulez-vous, ces propos significatifs sur Armstrong, qui justifient parfaitement, à notre avis, notre expression "un ours en cage" citée ci-dessus...

      Voilà donc, quelques éléments très prosaïques et il y en a d'autres, qui nous invitent à croire qu'Armstrong qui, on l'a vu plus haut, a passé l'arme à gauche,le 25 Août 2012, n'a probablement, jamais mis les pieds sur la Lune, et pour cause....

      Donc ce n'est pas comme le pense le France-Antilles du 27 Août 2012, présenté ci-dessous, , une affaire d'Humilité,



qui a présidé au comportement aberrant, d'Armstrong, mais, pour nous, la seule façon de comprendre ce comportement, c'est de se dire qu' Armstrong, a eu un sursaut évident, de dignité et de moralité, et il a donc refusé de participer à cette mascarade cosmique, montée par son gouvernement et la NASA, pour de vulgaires questions de prestige politique, économique et militaire de sa nation. Point-Barre...

     Mais, dans ce même numéro 1242 de Paris Match, il y a aussi cette incroyable page 79 :



, où l'on apprend que, le second "voyageur de la Lune", d'Apollo XI, Buzz Aldrin, qui aurait été interné deux fois, a prononcé cette phrase très insolite :

"On nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés."

     Il y a donc bien quelque chose d'incroyable, qui s'est passé au sujet de la Lune, également pour Aldrin, n'est-ce pas !!

     Mais parlons aussi un peu de, Mikael Collins (le troisième larron qui a seulement tourné en rond autour de la Lune dans le Module de Commande, quand ses camarades étaient "déscendus", sur le sol lunaire), et qui parait-il a été si choqué par son "aventure lunaire", si bien qu'il ne participera plus à aucun autre vol spatial. Voir à ce sujet, la revue "Valeurs Actuelles" n° 1725 de Déc. 1969 page 22:




     Que celui qui a bien su lire tout qui précède, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout, le désir latent d'en savoir plus, documents à l'appui.

     Mais ce 02/04/2016, avant de poursuivre l'étude des clichés des Apollos 8; 10; 11; (et même Apollo 12, qui eu lieu le 14/11 69, et que Monsieur John M. PRYTZ, ne mentionne pas dans son texte, bien qu'il ait pu suivre l'événement à la télé) , nous allons rejoindre tant soit peu, le côté Mystico- Rationaliste du site ARTivision, et nous demandrons alors au novice ingenu de s'accrocher solidement aux murs, s'il ne sait pas du tout, de quoi il s'agit :

     En effet, pour avancer plus ésotériquement dans la compréhension de ce qui précède, il serait peut-être judicieux de joindre ici, les paroles sublimes du Grand Maître de Findhorn, du mois de Mars, qui vient de s'évanouir :

Le printemps est la! Le nouvel Âge est là !

Eveille-toi de ta somnolence et contemple la merveille du temps présent
car tu vis une époque vraiment merveilleuse.

Vois le meilleur en tout événement.

Attends-toi à des changements et va dans leur sens,
ne permets à rien en toi de les arrêter.

Ne crains jamais le nouveau, I'inconnu. .
mais risque-toi sans peur,
sachant que la Source est avec toi, toujours.

et qu'elle ne te laissera jamais, ni ne t'abandonnera.

Reconnais-La en tout, et rends-Lui , Honneur et la Gloire.

Sache que c'est dans I'Âge d'Or que tu es en train de passer, alors ne t'inquiete pas. et ne lutte pas contre les changements qui apparaissent.

l'heure la plus sombre vient avant I'aurore splendide. L'aurore est là; elle vient en son heure juste. et rien ne peut I'empecher d'arriver.

La totalite de I'univers fonctionne dans ce rythme parfait.
alors pourquoi pas toi ?.

La petite voix : EileenCaddy. Le Souffle d'or (1994). Méditation pour le 21 Mars.

Mais voici aussi, un petit plus du même mois :

Tu ne peux penser qu'une seule chose à la fois.
Donc veille à ce que cette pensée soit
constructive, positive et aimante,
et alors tu verras que tu dis
des choses constructives et agis de façon aimante.

En fait toute ta façon devoir sera
positive et ta vie sera remplie d'amour,
de joie, de bonheur, de santé, de succès et d'harmonie.

Quand tu es un tant soit peu sensible
et que tu as des pensées négatives et destructrices,
elles sapent ton être entier.

Ton regard s'obscurcit
et tu te sens déprimé et même physiquement, malade.

     Essaie de comprendre que tu attires cet état
sur toi-même par ta façon erronée de penser.
Change-la, et tu changeras tout !

Tu peux imaginer que
tu es entouré de nombreuses difficultés
et que le monde tout entier est à blamer pour ton état
d'esprit négatif, mais est-ce vrai ?

     Tes pensées ne t'appartiennent-t-elles pas ?
N'es-tu pas libre d'élever ta conscience
et d'avoir des pensées aimantes, positives, constructives !
qui créent ton bien-être ?

     Le choix repose toujours entre tes mains.
"

La petite voix : EileenCaddy. Le Souffle d'or (1994). Méditation pour le 6 Mars.

      Nous précisons ici, que la méditation ci-dessus, est une description parfaitement claire du concept de l'égrégore psychique, qui prend naissance lors de la structuration des pensées négatives des humains. Bien sûr, ces révélations cosmiques, ne sont pas encore enseignées dans nos écoles et nos universités, mais l'avènement du Temps des Révélations, saura bientôt mettre les points sur les Is, à ce sujet.

      Le site ARTivision a expliqué cela, dans de très nombreux articles tels que :


,dont le plus fantastique, est tel que :

http://www.artivision.fr/rencontreinso.html

      Et, il nous faut aussi rappeler ici qu' Eileen Caddy, (décédée en Mars 2007), était la cheville ouvrière,, de ce que l'on a appelé par la suite, les jardins de Findhorn. Pour en savoir plus, prière de consulter nos articles :


      Mais ce 04/04/2016, poursuivons notre analyse pointue, des photos des missions Apollos, déjà présentées plus haut. Nous avons vu qu'en dépit du grand danger que couraient les excusionnistes d'Apollo 8 . Revoyons alors les details techniques en question, tels que :


et que malgré cela, Bill Anders, a osé dire, on le sait, cette phrase très insolite et totalement inadaptée ;

     " Nous avons moins à craindre que Lindbergh lorsqu'il vainquit l'Atlantique . "

      Nous allons voir, ce 4 Mars 2016, qu'un autre occupant de la capsule Apollo 8, a lui-aussi, prononcé une phrase très bizarre:

       Le Paris Match 1925, du 28 Décembre 1968 , nous donne aussi, sa silhouette habituelle de pasteur d'une église épiscopale :


       Voyons maintemant, ce qu'il a déclaré de très bizarre :


      Mais pourquoi donc ce pasteur, lui-aussi, a-t-il eu besoin de justifier son excursion spatiale, en la qualifiant d'action moins dangereuse que d'aller au Vietnam ..., où les prémices d'une guerre , avec les USA, se faisaient déjà sentir à l'époque...

      Ne trouvez-vous pas, que cela ressemble aussi, aux paroles voilées d'un lanceur d'alerte (même si cette expression n'existait pas encore à l'époque )...

       A vous de juger, une fois de plus cette nouvelle incongruité...

     Voici donc maintenant, tout de même, quelques éléments, de l'affaire concernant les missions Apollo 11 et consorts :

Voici une photo célèbre de la NASA que l'on peut voir dans l'ouvrage "Des Astres, de la vie et des hommes" de Robert Jastrow aux Editions du Seuil .

      Cet ouvrage, pour lequel ARTivision a une grande considération (Voir l'affaire du Crayère Rutherford sue la Lune), fut publié du début de 1971, alors que l'Internet n'était pas encore opérationnel pour le grand public, aux Editions du Seuil à Paris, sises à l'époque au 27, rue Jacob, Paris 6e :

:


      Mais voyons donc, cette image placée en page 94 :


      On y voit l'astronaute Aldrin , lors de la mission Apollo 11, qui déploie un dispositif destiné à mesurer le vent solaire.

     En haut à gauche, on aperçoit clairement deux sources lumineuses insolites , que l'on a cru être pendant des années, des ovnis. De plus, hélas, aucune explication, ne nous est apportée par l'auteur du livre, sur la présence de ces "deux disques", pourtant extrêmement brillants sur le fond noir du ciel, ce qui prouve son incapacité à en trouver une explication. Des années après, on en a déduit que c'est tout bêtement des reflets de projecteurs, instalés sur le site bien terrestre du Centre de simulation des USA. Notez aussi la brillance de la partie arrière du cou de l'astronaute qui devrait être dans le noir total , et qui semble être directement sous l'effet d'un projecteur, disposé verticalement juste au-dessus

      Faisons alors ici, une courte digression :

      En effet, en fouillant dans nos dossiers, pour trouver un document, nous sommes tombés par hasard ( hum, hum ), sur cette photo du n° 293 de la revue Sciences&Avenir de Juillet 1971, qui présentait la jeep lunaire qu'allait emporter sur la Lune, la mission américaine Apollo 15 :


James Irvin, David Scott, et Alfred Worden sont photographiés
ici avec le Lunar Rover qui mesure environ 3m et peut atteindre 13km à l'heure.


     Nous vous invitons, de plus, à bien analyser la puissance du projecteur, placé derrière les astronautes. Il y a aussi certainement, bien d'autres, placés devant la scène, et sur les côtés. Ces projecteurs, ne sont-ils pas à l'origine des reflets parasites, (jamais non plus expliqués par la NASA), que l'on observe aussi sur la photo suivante,


     3 soleils d'un coup, pour l'astronaute Conrad, les bras chargés d'appareils formant un laboratoire Lunaire , cela fait beaucoup n'est-ce pas !!! d'autant que l'on voit ici parfaitement la réfraction et la diffusion des rayons lumineux, dans une atmosphère qui ne devrait pas dit-on exister sur la Lune...

    Il va sans dire que pour ARTivision il n'y a aucun doute que les photos montrant le prétendu débarquement des astronautes (d'Armstrong et des autres)  sur la Lune, sont bel et bien truquées.

    Fin de de la digression....

     Mais revenons à Apollo 11:

    En refeuilletant aussi l' ouvrage luxueux suivant publié par un certain John BARBOUR et intitulé "Quelques pas sur la Lune", éditée en Belgique en Décembre 1969. sous l'instigation de l'agence Associated Press par Desclée de BROUWER.



    Mais cet ouvrage est sorti, la même année, d'abord en anglais dans un dossier de l'Associated Press à New York :



    On y retrouve, l'image bien connue :



    On peut aussi voir d'abord cette photo sur le site de la Nasa:


ou rechercher la photo AS11-40-5874 sur le site quasi officiel :


    Pour agrandir la photo, cliquez sur la petite photo centrale.

    Là on peut analyser à souhaits tous les petits détails de cette photo.(Bon courage)

     Mais pour ceux qui n'y arrivent pas facilement, voici tout de même l'image par capture d'écran, avec cependant le ciel lunaire beaucoup plus restreint:



- Examinons par exemple, si vous le voulez, le rocher X (X pour la suite) en bas à droite de l'image. Il ne semble pas tellement plus grand que le pied de l'astronaute qui sert alors d'échelle. Ce rocher produit une ombre caractéristique d'une bonne largeur, alors que celle produite par Aldrin est ridiculement effilée

      Faisons alors, ici une autre digression :

       On est franchement étonné par l'effilochage considérable de l'ombre des jambes d'Aldrin et cela fait penser à un ajout sur la photo d'un dessinateur peu expérimenté. Bien sûr, les admirateurs de l'exploit d'Apollo 11, trouveront la parade et diront, par exemple, qu'il s'agit d'une illusion d'optique, que l'ombre est bien plus large, vu que le soleil était très bas sur l'horizon et que... etc...

      Nous aimerions alors que ces admirateurs puissent appliquer le même raisonnement à la photo suivante d'Apollo 14, n°AS14-64-9089 du site précédent et que nous vous invitons gentillement à bien décortiquer :


       Nous avons alors grosso modo, dessiné par une flèche rouge la direction des rayons du Soleil, en copiant celle de l'ombre des deux petits cailloux encadrant notre flèche. Nous constatons alors que les deux jambes de l'astronaute sont pratiquement juxtaposées, si l'on tient compte de la direction du soleil, et il ne devrait absolument pas y avoir de vide, entre les ombres des deux jambes, comme le montre la photo. Des spécialistes de la photographie, ont bien voulu dessiner les ombres ainsi qu'elles devraient être, et cela donne l'image de droite :

  

     On voit alors que le côté gauche de l'astronaute est aussi nettement dans l'ombre, ce qui n'apparaît presque pas sur la photo d'origine.

     C'est donc, une fois de plus, à vous qu'il appartient de juger cette nouvelle incongruité, de cette dernière photo de la NASA.

      Fin de la digression.

- Le drapeau lui, a bien quelques ombres correspondant à ses plis, mais aucune ombre n'apparaît de lui sur le sol, comme d'ailleurs aussi pour son mât, à moins que ces ombres soient enfouis dans une mince excavation, (non apparente ici), justement bien dissimulées par les petites crevasses laissées par les empreintes de l'astronaute.

- De même, de quelque manière que ce soit, le câble qui traîne sur le sol, ne présente aucune ombre, à aucun endroit. ne pas confondre ces ombres avec les replis du sol.

De plus ce cable est interrompu brusquement :


et certains diront vite que ce cable a été enfoui sous le sol par les pas des astronautes. Essayez donc d'enfouir un cable allongé sur un sol déjà meuble avec vos chaussures aux pieds et vous verrez la difficulté que cela impose alors que le temps des astronautes était très précieux et ils n'allaient pas le gaspiller pour enfouir sous le sol un vulgaire cable. A vous de discuter de cela... et bon courage .

- D'une part, si l'on sait que sur la Lune, la partie exposée au soleil, peut voir sa température monter jusqu'à 125° C, et la partie dans l'ombre voir sa température descendre jusqu'à - 175° C, sans doute lorsque le soleil est haut placé dans le ciel, on peut alors cependant s'étonner qu'Aldrin se soit mis juste en face pour recevoir les rayons du soleil de plein fouet, même si ce soleil est un peu bas sur l'horizon, car le manque d'atmosphère sur la Lune, n'est pas fait, dans ce cas, pour adoucir le rayonnement reçu, directement en provenance de ce soleil. D'ailleurs, il est aussi surprenant que l'on découvre un soleil éclatant sur la visière d' Aldrin, alors qu'il ne devrait pas briller de la sorte dans le noir du Cosmos.

- Mieux on ne comprend pas que l'équipement respiratoire d'Aldrin, ne soit pas dans le noir parfait, comme l'est la partie droite du rocher X, pourtant pas très haut, et qu'au contraire le haut de cet équipement brille d'une manière incroyable, alors que la tête de l'astronaute devrait en cacher la majeure partie, ainsi d'ailleurs que son dos supérieur qui brille de tous les feux en contradiction avec la hauteur du soleil, qui semble plutôt bas sur l'horizon. (revoir l'ombre du rocher X).




    Mais analysons naintenant, justement, les pas des astronautes au bas de l'image. Disons d'emblée que seul le rapport d'un spécialiste en podologie ou en étude de la marche d'un astronaute engoncé dans son lourd scaphandre, peut faire foi. Nous ne proposons ici, que de modestes pistes de recherches :

    Considérons d'abord l'écartement des pieds, que l'on pourrait croire convenable dans l'image suivante :



    Nous n'avons trouvé que ces deux pas apparemment orthodoxes et assez rapprochés, au bas de la première image.

    Mais voyons le reste :



    Soit les astronautes ont marché à deux reprises sur une ligne en chevauchent leurs pas, ce qui ne semble pas commode avec leur scaphandre encombrant, soit ces traces de pas ont été ajoutées par juxtaposition à une photo primitive.

    Mais, le point le plus surprenant, est bien le pas qui se trouve, tout seul, de travers entre les deux "pistes parallèles". Comment un astronaute, en marchant sur la Lune, dans une direction quelconque, peut-il laisser la trace d'un seul pas ?...A vous de juger...

      Mais, on le sait, le site ARTivision, évite toute spéculation et bavardages non basés sur des faits précis concernant cette affaire de débarquement sur la Lune de Neil Armstrong et consorts.

      Mais il y a eu un super buzz , lors dit-on, de la restauration du scaphandre d'Armstrong, et buzz, qui révèle un troublant fait, qui met la NASA au pied du mur.

      C'est en effet, le 25 Juillet 2015, que nous avons reçu de notre très bonne amie Nicole, le message extraordinaire suivant :

----- Original Message -----
From: Nicole
To: fred IDYLLE
Sent: Saturday, July 25, 2015 3:10 AM
Subject: Armstrong et sa combinaison

      Bonjour cher Fred,

      Ces imbéciles de la NASA, se sont grillés eux-mêmes avec la ... :



      Juste pour vous faire rigoler un peu, je vous ai envoyé ce lien . L'article original paru dans StopMensonges , est interdit de visionnement, mais j'ai continue à chercher et j'ai trouvé l'article dans un autre site. Vous verrez dans la vidéo une image très claire de la semelle de la combinaison differente ce l'empreinte supposee etre sur la Lune ! C'est à mettre dans ARTivision, C'est une preuve indubitable de l'arnaque !!

      Donc comme vous le voyez, on peut toujours contourner la censure, et il suffit de chercher et on trouvera aussi pour Byrd.. Quelqu'un aura bien fini par laisser passer l' info capitale, que vous cherchez à ce sujet.


      Fin de citation

      Un grand Bravo au site CAGOU.com, qui a su si bien dénicher, cette info hors norme.

     Dans la vidéo en question, deux charmantes dames :

  

, nous exposent en anglais approximativement ce qui suit :


      Puis, en cliquant sur l'image, nous découvrons cela :


      Et enfin la vidéo, arrive à cette image :


Et en agrandissant la semelle, et en y mettant un peu plus de relief, nous avons obtenu ceci :


     Pas besoin donc de sortir de Polytechnique pour s'apercevoir qu'il y a maldonne :

     Nous avons beaucoup hésité, pour mettre cette affaire en ligne, à cause du fait que cela pourrait être un canular, monté de toutes pièces par des infographistes timbrés, qui veulent se faire mousser dérisoirement, sur le Web. Mais le fait que l'on ait pas présenté l'image de conclusion en juxtaposant les deux semelles, nous fait croire à l'authenticité du document. Un infographiste pervers n'aurait pas manqué de le faire assurément.

       Mais nous ne sommes pas au bout de l'affaire, car la NASA, en cachant les documents de référence, peut toujours dire qu'au moment du départ pour la Lune, on a mis d'autres bottes plus étanches, car nous dit très justement notre amie vigilante Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com ): " Je suis très étonnée par l’allure de cette semelle, lisse et ne correspondant pas du tout à un soulier protégeant du vide spatial (coutures apparentes, et donc étanchéité faible). Je m’étonne donc, peut-être s’agit-il d’une sorte de "chausson", et les cosmonautes enfilaient-ils des bottes par dessus ? Si ce n’est pas le cas, alors, c’est vraiment bien la preuve que ce type de chaussure a servi plus à marcher sur les plateaux de cinéma, que sur un terrain accidenté. Votre réflexion sur les empreintes jumelles est tout à fait cohérente, à moins que l’on ait voulu absolument montrer le premier pas sur la lune, on se demande bien où peut être le second... "

      En effet, nous nous sommes toujours demandés, pourquoi la NASA , n'avait présenté qu'un côté de l'empreinte d'Armstrong sur la Lune, alors qu'il devrait y en avoir deux, presque côte à côte, que les spécialistes du sol lunaire auraient un vif plaisir à étudier. Qu'est que cette empreinte avait de particulier pour être choisie si impérieusement ? Bien sûr, on vous répondra, que c'était le premier pas, qui comptait avant tout. Point barre.

      Mais ce 05/04/2016, nous allons aborder l'histoire la plus fantastique concernant l'épopée d'Apollo 8 , et l'affaire qui défraye en ce moment tous les medias du monde entier, et que nous appellerons par analogie au Watergate des USA, en 1974, le "Panamagate", qui est tel que nous le présente le journal LeMonde du 05/04/2016:


      Cette affaire précédente, dont tout un chacun, s'en imaginait en douce l'existence , sera sans aucun doute considérée, comme une anecdote très banale, quand les tenants et les aboutissants l'Affaire du Paris Match 1028, aura eule même retentissement mondial.

      Cette affaire totalement inimaginable, a été pourtant déjà un peu révélée, dès le 28/08/1998, par le site ARTivision, dans son article clef suivant :


      Puis, en 19 ans de loyaux services, cette affaire inouïe, s'est retrouvée dans les quelques articles qui suivent :


     L'avenir dira bientôt qui a camouflé la vérité et pourquoi! , car comme le dit si bien un texte sacré bien connu :"Il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu ".Matthieu. X-26

      Étant donné que nous sommes bien arrivés au Temps des Révélations, ce personnage nommé Matthieu, était, selon nous bien sûr, (comme un Edgar Cayce voir notre article :cayce.html ), capable d'explorer, ce que les ésotéristes appellent, les Annales Akashiques, où est enregistré, comme sur un immense disque dur, tout ce qui arrive dans l'Univers.

    Mais pour le novice, qui débouche, par cet article, pour la premère fois, sur le site ARTivision, il nous semble ici, utile de rappeler encore, la désormais incontournable et extraordinaire affaire du Paris Match 1028 :

    Voici déjà, à titre indicatif, la couverture de ce surprenant document, du PARIS MATCH 1028 :


    C'est en 1972, que nous fûmes contactés en Guadeloupe par Mr Michel GIRARD ( il a, hélas, quitté ce monde le 30 Janv 2003) par l'intermédiaire du Cercle Français de Recherche Ufologiques (CFRU) dont nous étions à l'époque membre actif. En fin 1973, Mr GIRARD, alors imprimeur de son état, nous montrait une étrange anomalie, qu'il venait de découvrir en agrandissant une photographie de la face cachée de la Lune prise, parait-il, par l'équipage d'APOLLO 8 en fin de Décembre 1968 , et publiée, à la page 33 du n°1028 du Paris Match du 18 Jan. 1969. Voyez donc l'image ci-dessous:


   Nous avons alors commandé immédiatement ce n°1028 à Paris Match que nous avons reçu sans problème environ 15 jours plus tard. Nous avons eu eu alors tout le loisir d'examiner à la loupe l'anomalie en question et de nous apercevoir qu'elle présentait l'aspect d'un demi porte-avions de prés de 25 à 30 kilomètres de long, et dont la partie centrale serait constituée de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment (mais cela reste à prouver) surmontées d'une sorte de " flèche gigantesque". Voyez donc les deux images agrandies ci-dessous :


     Nous avons alors reçu, le 27/05/2010, du Service de Création d'une entreprise spécialisée dans la 3D, une la structuration imaginée en 3D, qui donne ceci :


      C'est alors, dans le courant du 2ème trimestre 1974, la revue OURANOS (alors organe du CFRU) publie grâce à notre initiative, la première photographie très nette de ce que nous appellerons désormais "la superstructure" du n°1028 :

     Voici la couverture de la revue et cette image d'Ouranos d'Avril 1974 :

  

     Et voici le texte de présentation :

  

     Puis c'est le quotidien FRANCE-ANTILLES qui publiera, le 14 Fév. 1975, un article plus détaillé sur la question que nous lui avions envoyé. Puis deux nouveaux articles seront publiés par le même journal le 31 mai 1976 et le 22 août 1979 sur le même sujet. Puis ce sera la revue française NOSTRA qui à son tour publiera 2 de nos lettres, le 25 Juillet 1979 dans le n°381 et surtout le 8 sept. 1983 dans le N°586 avec la photographie de la "superstructure" en question.

voici la lettre en question:


     Enfin le premier ouvrage qui fera état de cette affaire sera celui d'Alfred NAHON "Les Extra-Terrestres et les mutations mondiales de l'ère du verseau." édité par Buchet-Chastel.Jan 1983 p.160.

Nous lui rendons ici hommage en publiant aussi sa photo :

  

     Rappelons qu'Alfred Nahon fut le premier auteur à publier le catalogue des Anomalies lunaires d'après un rapport de la NASA, (près de 570 cas de taches lumineuses brillantes et de changements temporaires sur la Lune, allant de 1725 à 1967), dans un ouvraqe remarquable, déjà mentionnéplus haut, et publié en 1973, aux Editions MONT BLANC en Suisse et intitulé : "La Lune et ses défis à la science".

     Quant à savoir si cette "superstructure", est naturelle ou artificielle, seule l'étude scientifique du négatif de la NASA, utilisé par Paris Match, pour publier cette partie de la face cachée de la Lune à la page 33 du n°1028, , pourra trancher cette question capitale.

     Mais voilà où l'affaire prend une tournure insolite , ce négatif est introuvable.

    Notre ami Jean SIDER, auteur de plusieurs ouvrages très documentés sur les ovnis (et en particulier "ULTRA TOP-SECRET: ces ovnis qui font peur" préfacé par le Pr Rémy CHAUVIN aux Editions AXIS MUNDI 1990), a fait des pieds et des mains pour retrouver ce négatif à Paris et à la NASA et a, finalement dû abandonner ses recherches.

    En janvier 1987, le Chef des Archives Photos de Paris Match, que Jean Sider a interrogé à ce sujet, n'a pas su donner des détails sur les références codées de ce négatif, ni même sur la destination précise, qui lui a été octroyée après son utilisation par sa revue et Mr Sider a été aiguillé vers l'Agence Scoop (Service de diffusion d'articles) qui ignorait également ce qu'est devenu cet important négatif, qui aurait été la propriété de l'Agence World Book Science Service, qui hélas n'existe plus. Voici la preuve que cette agence est bien mentionnée, au bas de l' image de droite, présentant un autre article du Paris Match 1025 du 28/12/1968 p 29:

 

    Donc dans cette affaire Paris Match n'a été qu'un support intermédiaire, très fortuit...

    (Voir les missives en question dans notre article) :


    Précisons bien que tous les clichés d'Apollo 8 expédiés par la NASA, à Mr Jean Sider, ne présentaient plus rien, au même emplacement, où était supposée être cette " superstructure" sur le Paris Match 1028.

(Voir le cercle rouge de la photo Nasa 1) :


(Voir aussi la photo Nasa 2):


    Mais il est à noter qu'à l'intérieur de ce cercle rouge, dessiné par nos soins, apparaît une auréole caractérisée qui pourrait être le résultat de l'application d'une "pastille de camouflage" .

    Pas besoin de sortir de l'Ecole Polytechnique, pour s'apercevoir que l'on a installé une superbe pastille de camouflage, juste à l'endroit où nous avons détecté la Superstructure en question :

   

ou encore :

   

    Mais, pour les puristes qui aiment remonter aux sources d'un évènement disons aussi que la revue d'époque "l'Officiel du Net" a eu l'heureuse initiative de présenter cette affaire du Paris Match 1028 en page 57 de son n° 16 de Juillet-Aout 2000. De même c'est la revue "Top Secret" (www.topsecret.fr) , qui a présenté, dans son n° 12 de Mars/Avril 2004 a publié, pages 18 à 22, notre article intitulé " Les Enigmes de la conquête spatiale ". Puis il y a eu aussi le n° 7 hors series intitulé "Les anomalies de la conquête spatiale"de Juillet 2009.

      Et voici, justement toujours pour les puristes, ce 16/01/2016, comment on avait élaboré, il a pourtant il y a déjà 7 ans (en 2016), la Préface de ce n° 7 Hors-série de Top Secret :



et voici la Préface en question :

 


A vous de juger tout cela, documents à l'appui, et nous n'avons pas tout montré...

     De nombreux sites, ont publié cette affaire, sans jamais citer une seule fois le nom d'ARTivision . Ils s'en mordront le doigts jusqu'à l'os, car la vérité éclatera bientôt au grand jour ...et ceux qui sont des velléitaires de l'info facile, auront désormais à récfléchir à deux fois avant de vampiriser en douce, les données pointues de ce site ARTivision, qui depuis 19 ans (en 2016), fouille bénévolement, dans les incroyables mystères du cosmos, que l'on nous cache, délibérement en très haut lieu.

    Mais chers internautes curieux, si ce ne sont pas, selon nous, les cosmonautes d'Apollo 8, Frank Borman, James Lovell et William Anders, qui ont pris ces extraordinaires images du PM 1028 :

       

Qui donc, selon vous, pourrait en être l'auteur ?

    Envoyez-nous donc, SVP, un petit mot, afin que nous puissions produire votre conclusion, sous anonymat bien sûr...

     Venons en maintenant à l'épopée d'Apollo 12 (que John M. PRYTZ n'a pas citée, mais on sait, qu'il avait pu suivre à la télévision, cette mission qui a duré du 14 au 24 Nov.1969).

     C'est alors dans le n°367 de Déc. 2000 de la revue "Ciel & espace", nous avons eu droit à la présentation, sans aussi aucune explication, d'une des photos les plus surprenantes des missions lunaires, où l'on aperçoit, parait-il, "l'astronaute", Conrad, d'Apollo 12 , circulant sur le sol de l'Océan des Tempêtes, les bras chargés d'appareils formant dit-on, un laboratoire Lunaire de près de 200 kg et coûtant la bagatelle de 25 millions de dollars et qui comprenait un sismomètre, un appareil de mesure de poussière, un magnétomètre, un spectromètre, une analyseur d'ions et un instrument destiné à l'étude des éventuels gaz très raréfiés qui s'échappent encore de la croûte lunaire et qui formerait une atmosphère dont la densité est soit disant bien plus basse, dit-on, que le meilleur vide jamais réalisé sur Terre. Voilà donc cette photo déjà exposée, plus haut :


     Comme vous pouvez le remarquer, cette photo présente une superbe diffusion des rayons lumineux du soleil, diffusion qui ne s'explique que par la présence d'une épaisse atmosphère lunaire, et non pas seulement par la diffraction de ces rayons lumineux au travers du verre de l'objectif de l'appareil photographique, comme on l'a si vite dit, pour se débarrasser du problème.

     Mais, il y a en plus du Soleil, sur cette photo extraordinaire de la Lune, la présence de deux autres sources lumineuses, totalement inexpliquées, qui ont eu pour effet de plonger dans la plus grande perplexité, tous ceux qui s'interrogent vraiment sur les tenants et les aboutissants de l'épopée lunaire des américains, et sur les "cachotteries de la NASA".

     Certains diront vite, que c'est un defaut du développement de la péllicule de l'époque chez les photographes de la revue . Mais il faut savoir que l'on découvre aussi, cette même photo, sur le site quasi officiel, dejà présenté plus haut :


,et cela, sous le n° AS12-46-6806 :

     

      Cette photo esy plus claire du côté de Conrad et on y voit même devant lui tout a fait à droite, un pompom très lumieux inexplicable. Notez bien que cette photo est aussi très colorée, ce qui n'est pas le cas de celle concernant la sonde spatiale Surveyor III (voir plus bas).

      Nous l'avons déjà dit plus haut, il y a de cela des années, nous avions cru, que ces disques lumineux, qui accompagnent, "le soleil" , de cette photo, étaient des ovnis espions.

     Mais, certains internautes avisés, diront aujourd'hui, que cela prouve simplement que Conrad, n'était pas sur la Lune , et que cette photo a été prise dans un centre de simulation du Névada ou ailleurs aux USA ...Point à la ligne...Et les disques lumineux en question, ne sont que des reflets des projecteurs sur des surfaces brillantes du site. Point Barre...

     Mais, le 25/05/2014, (donc en pleine fête des Mères), en cherchant dans nos dossiers, tout autre chose, nous sommes tombés sur ce dossier Spécial Lune, de 18 pages du Paris Match n° 1076 de Déc. 69, dossier que nous avons cru, avoir perdu depuis des années.

     Voici le haut du document :

     

     Voyons alors, les pages 66 et 67, de ce document. Nous avons rétréci, la partie centrale des deux pages en question, car elles dépassent de loin les capacités de notre petit scanner:


     On voit, alors que les deux sources lumineuses bizarres vues plus haut, en plus du Soleil, ont été gommées page 66, comme par enchantement, sur la même photo en couleur de ce Paris-Match n° 1076. Alors, bravo , tout de même à la revue "Ciel & Espace", d'avoir eu l'audace (sans en donner l'explication) de montrer ces sources lumineuses très insolites, et pourtant bien gênantes, puisque le "choc des photos", n'a pas été en 1969, assez puissant, pour que Paris Match , veuille bien nous les montrer.

     Revoyons encore ces deux images, en les superposant :



Les deux disques inexplicables, ont bien été effacés par leParis Match 1076...dans l'image du dessus. A vous de juger cette manipulation stupéfiante.

     Mais, nous savons aussi, que "les astronautes" d'Apollo12, ont visité Surveyor 3, une sonde lunaire américaine lancée le 17 avril 1967, et qui s'est posée sur la Lune le 20 avril 1967, sur la partie Mare Cognitum de l'Oceanus Procellarum .

     Apollo12, se serait posé dit-on, à près de 600 pieds ( voisin de 183 m ) de Surveyor 3.

     Mais revenons alors au dossier spécial de 18 pages du Paris Match n° 1076 de Déc. 69, intitlé "32 heures sur la Lune : d'Apollo 11 à Apollo 12, un formidable bond en avant"

     La sagesse populaire antillaise prétend que "C'est dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleures soupes : Sé vyé Cana-nari ki ka fè bon soup" .      Il semblerait donc que ce dicton, puisse aussi s'appliquer, ici à ce dossier du n° 1076 de Paris Match et on va ici, voir, pourquoi !!

    En effet dans ce dossier on présente aussi les retrouvailles entre l'homme la sonde la sonde Surveyor 3 , qui s'était posée en douceur sur la Lune on le sait, en 1967.

    En effet, les "astronautes" Charles Conrad et Alan Bean, d'Apollo 12, auraient dit-on, retrouvé le 19 Nov. 1969, cette sonde Surveyor 3, envoyée deux ans plus tôt, sur la Lune. Un des buts supposés de la mission était précisément de visiter ce qui restait de cette sonde-robot et d'y prélever certaines parties métalliques et en particulier la caméra. Il s'agissait de vérifier l'état de conservation de ce matériel, après deux ans et demi d'exposition aux micrométéorites, aux radiations cosmiques, au vent solaire et aux poussées thermiques allant de -180 ° à + 120°.

Surveyor 3, a-t-il vraiment subi un changement de couleur insolite après ses deux années de séjour sur le sol lunaire et pourquoi exactement ? S'agit-il d'une "oxydation", que l'on veut cacher ? .

    Mais, voici aussi, à ce sujet la super portion de bande dessinée , que nous présente le Paris Match n° 1073, que nous pensons être du 18 Nov. 1969 (il manque la couverture), réalisée spécialement par le grand dessinateur Hergé, pour Paris Match à l'occasion de l'arrivée d' Apollo 12 sur la Lune :


    Vous avez bien noté n'est-ce pas, les termes employés : "Elle est maintenant "Ocre pâle" et aussi : elle a été cuite par le soleil.

     Il ne nous reste donc qu'à trouver les jolies photos couleur en question de la NASA ? Décidément les anciens numéros de Paris Match possèdent des perles d'informations très révélatrices, à analyser méticuleusement.

    Voyons alors ce qu'on en dit dans notre dossier du Paris-Match 1076 . On y trouve alors le passage suivant :

    " La rencontre des explorateurs lunaires et du robot est un instant émouvant . "Pour nous, il est plus précieux que le plus beau diamant", dit Conrad, qui constate que la carapace du Surveyor parait avoir été cuite par les 120 ° du midi lunaire. Ensuite Bean et Conrad, détachent la caméra de Surveyor, des câblages, un panneau de verre et la main du bras articulé du robot. Avant de partir, ils photographient (ci dessous) les trois traces de pieds de Surveyor, le 17 Avril 1969, lorsqu'il rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire. Elles annonçaient l'empreinte historique des pas d'Armstrong en Juillet dernier..."

    Vous avez bien noté l'expression "avoir été cuite" et aussi l'expression "annonçaient l'empreinte" , des pas d'Armstrong.

Voici donc ce que le dossier de Paris Match en question nous montre :

  

    Comme vous le voyez, les photos de ce Paris-Match montrant l'astronaute qui touche Surveyor 3, et le pied de ce dernier ont de superbes couleurs, que ne nous montre pas bizarrement, la photo en noir et blanc de la revue "Ciel & Espace" n°367 de Déc. 2000 :


    Vous retrouverez également ces photos sur les sites de la NASA, où les couleurs jaunâtres de Surveyor, brillent par leur absence, alors qu'il exciste bien d'autres photos couleur sur le site.



Mais allons aussi voir sur le site quasi officiel :


  

     On pourrait ajouter beaucoup d'autres photos de Surveyor III, et nous n'avons pas trouver une seule autre en couleur. Merci à l'internaute qui en trouvera superbement, une...

    Donc, il semblerait que les photos précédentes en couleur de Paris-Match n'existent pas, et c'est pourquoi la revue "Ciel & Espace"en question, qui aurait, (nous l'admettons tout de même), les moyens de retrouver le cliché d'origine en couleur de cette photo, ne l'a pas présenté, et il est ahurissant de constater que c'est Paris-Match, qui a volontairement "colorisé" , son cliché ", pour "faire mieux". Donc comme vous le voyez "le choc des photos", est plutôt bidon ici . Mais cette histoire de Surveyor (qui aurait été cuit par les 120 degrés lunaire) est-elle aussi "bidonnée" ??. Un tel événement mérite tout de même que l'on s'interroge à son sujet, mais la revue "Ciel & Espace", a oublié, hélas, de nous en parler.

    Nous avons d'ailleurs, retrouvé cette photo noir et blanc de Surveyor 3, dans une ancienne revue américaine intitulée "People Press UFO Report" dans son n° de Mars 1975: Voici cette photo:


    Comme le papier de cette revue avait la même qualité que le papier journal, il est évident que la photo ci-dessus est moins lumineuse que celle de la revue "Ciel & Espace", mais cependant 25 plus tard, cette revue ne nous apprend rien de plus aujourd'hui sur ce "jaunissement notoire", pourtant insolite révélé par le Paris Match en question. Affaire à suivre donc. Aux spécialistes de répondre.

     Mais Paris Match, a aussi noté, nous l'avons vu, que "les trois traces de pieds de Surveyor, le 17 Avril 1969, lorsqu'il rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire".

  

     On se souvient en effet que malgré ses 16 tonnes, le Lem (Lunar Excursion Module) n'avait, lors de "l'alunissage", pour Apollo 11 et Apollo 12 aux abords de ses pieds, montré, chose étonnante, aucun glissement ou ripage, sur le sol lunaire, comme on le voit pour Surveyor 3:

  


     Mais, il y a bien mieux dans cette affaire :

  


     On pourrait ajouter beaucoup d'autres photos, où n'apparaissent aucune trace de pas entre le LEM et Surveyor III. Bien sûr les fanas de la NASA , vous diront que les "astronautes", ont fait en grand détour pour aller filmer, par devant à la fois, Surveyor III et le LEM, plutot que d'utiliser la ligne droite. Mais pas besoin de sortir de Polytechnique, pour savoir que ce comportement serait totalement absurde.

     A vous de vous faire une opinion, et de poursuivre vos recherches là-dessus.

     Mais ce 06/04/2016, nous allons aussi vous présenter des éléments de la page 68, du dossier en question , en deux images à analyser avec une attention soutenue :

  


     7 h 30 de marche nous dit-on, avec un tel écartement des jambes , et écartement que des infographistes qualifiés et curieux démontreront aisément, qu'il est impossible, pour des "astronautes", engoncés dans leurs scaphandres plutôt rigides.

    Cela ne vous rappelle-t-il pas aussi cette photo d'Apollo11 ? :


     Bref, nous pourrions sortir ici beaucoup d'autres anonalies qui s'attachent aux photos d'Apollo 12, mais cela alourdirait beaucoup trop ce dossier. Mais pour terminer voici un dernier buzz que tout un chacun peut découvrir sur le site quasi officiel connu :


     Jetons en effet, un petit coup d'œuil surcette incroyable photo d'Apollo 12 intitulée : AS12-49-7281 :


et en analysant la visière de plus près, on voit alors :


     Que font là cette faramineuse lumière, à gauche et aussi, partant d'elle, cette ribambelle de points très lumineux , qui pourraient être des sortes de projecteurs dont, on aurait caché les supports.

     Dailleurs, si l'on examine l'image du casque, dont l'individu représente, on le suppose Conrad, prenant la photo en question,:


      , on voit alors que ce dernier, semble posséder un objet blanc dans sa main droite, au lieu de tenir la caméra pour bien la diriger vers Bean, et cadrer normalement la photo. On ne voit pas bien hélas, la caméra et surtout ce que fait sa main gauche. Des spécialistes en infographie, pourraient certainement, de nos jours, nous en dire plus sur ce reflet de la visière de Bean.

     Et, si ces infographistes démontraient que la main gauche de Bean, pend simplement le long de son corps ou mieux qu'elle tient en main, un autre appareil, sans toucher à la camera,( comment pourrait-il alors prendre la photo en question sans appuyer, au même instant, sur le déclencheur de son appareil ? Certains parleront vite, bien sûr, d'une prise de vue à déclenchement automatique, mais était-elle possible sur la Lune, par un cosmonaute engonsé, dans un scaphandre plutôt encombrant et très peu maniable? ), alors ce serait la preuve presqu'absolue, que dans cette affaire d'Apollo 12, il s'agit de manipulations photographiques, de montages bidons et de projecteurs nombreux, sur le site prétendu de l'alunissage. Avis aux amateurs.

     Mais ce 08/04/2016 , pour terminer ces "épopées Apolloniennes" , nous ne résistons pas ( bien que le Sieur John M. Prytz, ne pouvait pas en parler) , au grand plaisir de vous tranmettre dans une digression tout a fait hors norme, des faits incontournables , qui sont des découvertes exclusives d'ARTivision, jamais encore commentées (et pour cause), par les médias ayant pignon sur rue et qui nous saturent régulièrement de nouvelles banales et dérisoires.

     Cette digression, va nous conduire à analiser quelques photographies de la NASA concernant quelques brefs éléments des missions Apollo 16 et Apollo 17 Nous allons voir d'abord comment la NASA, s'est s'emmêlée les pinceaux, au sujet de la troisième lettre de l'alphabet : C

    Cette disgression , est intimement liée, à cette photo concernant la mission Apollo 16, qui eu lieu, nous dit-on en Avril 1972 :



    Nous ne parlerons même pas ici, de l'affaire de la flèche rouge, qui montre le gros rocher.

    Mais visualisons maintenant ceci :


    Cette image est tirée de la page 41, d'un fascicule intitulé "Textes et Documents pour la Classe", TDC 671, daté du 1er au 15 Mars 1994.


     Ce document important, qui comprenait, un super poster (47,5 cm sur 40,5cm), a donc été réalisé, près de 22 ans, après "l'exploit", d'Apollo 16, en question.

     En effet, nous avons le très grand privilège , de posseder ce super poster, montrant donc l' image précédente d'Apollo 16, où certains détails, sont donc plus visibles et décelables, que sur la photo vue plus haut.

    Pour mieux appréhender ce qui va suivre, il importe d'abord de revoir l'excellent documentaire intitulé "l'espace intersidéral", et qui est passé le Dimanche 6 Février 2005,, pendant 30 minutes de la chaîne "Planète Choc" (qui n'existe plus) dans la série d'émissions des "Théories du complot" ( n° 9 de 2001), et le programme de télévision de la semaine à l'époque nous montrait ceci :



    Nous ne pourrons évidemment que vous présenter, certains passages de ce film, que nous avons jugé assez significatifs. Les puristes, pourront toujours un jour, si ce n'est pas déjà fait, le visualiser complètement et merci à l'internaute qui nous en retrouvera l'url de la version actuelle en streaming.

    Mais que découvre-t-on de surprenant dans ce petit film ?

    D'abord le générique nous montre ceci :



    La première personne questionnée, ancien membre de la NASA (Nom non mentionné que nous appellerons par commodité Monsieur X ) :



     "Apollo, c'est comme le couvercle de la boîte de Pandore. Il y a assez de preuves pour me faire douter qu'un homme est vraiment marché sur la Lune".

   La deuxième personne questionnée :. On apprend après, qu'il s'agit du britannique David Percy, photographe professionnel et producteur de films qui démontre que l'éclairage des photographies d'Apollo n'aurait pas pu être obtenu ailleurs que dans un studio sur Terre. Il affirme même connaître un informateur de la NASA qui aurait confirmé ses doutes.



    "Tout semble être faux, quand on regarde les enregistrements des premiers pas de l'homme sur la Lune".

    La troisième personne questionnée: (nous l'appellerons: Monsieur Y)



   "Pourquoi les événements de l'espace sont-ils dissimulés? C'est très simple, les affaires étouffées, c'est la spécialité de la politique officielle."

    On voit ensuite Armstrong posant le pied sur la Lune et qui dit "Un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'humanité".



    Puis le commentateur reprend:

" Mais une autre version existe, une version de complot, de dissimulation et de culpabilité".



    Le même Monsieur Y :" Je regardais ce petit et ce grand pas, je me suis dit que, c'est fantastique, c'est extraordinaire, l'homme a marché sur la Lune, je croyais ce que je voyais. Mais cela s'est-il vraiment passé, comme on nous l'a montré ? La mission Apollo est-elle une farce ?"

    Puis le commentateur explique a nouveau : "Selon un complot possible, la NASA n'a pas pu atteindre la Lune et les missions ont donc été truquées. Au lieu de monter dans les fusées les astronautes auraient été emmenés dans un studio de cinéma secret au fin fond du désert du Névada. L'atterrisage sur la Lune, y a été filmé puis les séquences ont été envoyées à Houton ainsi qu'aux télévisions crédules du monde entier."


     Commentaire à chaud du Webmaster: Il n'était pas nécessaire que les astronautes quittent la fusée, car les séquences d'alunissage (en zone de simulation au Nevada) pouvaient avoir été filmées et fignolées bien avant le vrai départ pour l'espace. Les astronautes se contentant d'effectuer une simple mission de satellisation autour de la Terre, pour redescendre juste au moment voulu. Ainsi cela restraignait le nombre de gens dans le secret.

    Pour en savoir plus, sur ce documentaire, prière de se reporter à notre article :


    Venons en maintenant, à cette affaire incroyable de la lettre C, placée sur un rocher :

    Alors Mr David Percy complète en présentant la photo célèbre NASA AS16-107-17446, d'Apollo16 , déjà vue plus haut:



    C'est l'astronaute Charles M. Duke Jr, le pilote du module lunaire d'Apollo 16, qui se tient debout, le 22 Avril 1972, à côté du Lunar Roving Vehicle.

     " Regardez le rocher en bas à gauche de cette photo (flèche rouge).

   


    On y voit écrit dessus, la lettre C. Pourquoi une lettre de l'alphabet devrait-elle être écrite sur roche de la surface lunaire ? Il s'agit certainement d'un rocher utilisé par des studios de cinéma, et cette lettre désigne un emplacement précis"


Commentaire à chaud du webmaster : Certains détracteurs n'ont pas hésité à dire que cette lettre C, comme le + placé à côté et utlisé pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, à des repères sur la pellicule. Mais hélàs, aucun d'eux, n'a été capable de présenter le négatif en question avec le C correspondant. Donc, on en déduit qu'il s'agit bien, d'une erreur de manipulation de cette pierre, (en zone de simulation, au Névada bien sûr), et pierre qui devait être tournée à l'opposée, pour que cette lettre n'apparaisse pas sur le film.

     Sur notre poster cette lettre C, est clairement visible :


     Mais, pour les puristes, prière de consulter aussi , l'admirable livre "Lumières sur la Lune" (le grand doute) de Philippe Lheureux, publié aux Editions Carnot en Novembre 2000:

  
Voir la nouvelle édition sur le site : http://lheureux.free.fr/


On y découvre surtout en page 39 cette image :



     Mais, si vous jetez un coup d'oeil, sur la page actuelle suivante en relation avec la NASA:


    Sur la droite et en bas de l'image des flèches permettent de l'agrandir très confortablement. On voit alors avec un grand étonnement, que, sur le rocher en question le C , a disparu comme par enchantement. Ne trouvez-vous pas cette disparition plutôt suspecte ?

   

    Meme topo, sur le quasi officiel déjà présenté plus haut:



     La lettre C, a aussi , disparu comme par magie. Pourquoi ? Qui avait intérêt à la faire disparaître ?

    Bien sûr, en fouillant encore un peu plus dans cette photo, on découvrirait d'autres anomalies notoires, qui ont été largement mis en évidence, dans de nombreux articles ARTivision

      C'est à vous qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents tangibles à l'appui.


     Mais, ce 07 /04/2016, voyons ce qui fait le vrai buzz, sur notre poster :

      Avec nos commentaires incontournables et significatifs voici ce qu'on y voit : :


     Pour en être officiellement convaincu, revoyons cette photo sur site même de la NASA:



      Donc, on ne peut ici que constater, que les deux traces de roues sont tout à fait différentes...

     Celle de gauche, pourrait s'identifier, à la moitié de la trace d'une jeep Willys, bien connue dans les films de guerre américains :

  

    Cette jeep ne peut rouler sur la Lune, car son carburateur a besoin d'air pour fonctionner.

    L'autre trace du bas, vient de la jeep LRV dont la structure nous est donnée sur le site :

     Voici les photos des quatre roues juxtaposées de la jeep (LRV) :

  

       Que peut-on alors dire sur cette nouvelle affaire, de deux traces différentes de jeeps, avec celle de la Willys qui n'est, elle, jamais montée sur la Lune.

    Notons que pendant que nous parlons du même sujet, que nous avons aussi la photo d'Apollo 15 : AS15-85-11435, où l'on découvre une tentative de camoufflage, de deux traces différentes du soi-disant véhicule lunaire LRV . Tentative très mal réussie ici, (il y en a bien d'autres plus nettes encore) :

    

    Alors Messieux les détracteurs zélés et zététiques Mythbusters et consorts Vikipedia, émules fidèles de la NASA, ARTivision, attend déjà, depuis belle lurette votre réponse, agissez au moins une fois, SVP.

    Mais peut-être que ces détracteurs seront plus locaces, en oscultant, ce qui suit qui est très net, sur notre poster, et sur le site :


      Analysons alors cette portion :


       On découvre alors un flou caractérisé derrière les roues du LRV (Lunar Roving Vehicle). Il semblerait donc que là encore, ce flou inadmissible ici (vu la masse de la jeep LRV qui dépasse de loin celle de l'astronaute dont les pas sont très nets à gauche ), soit une dérisoire tentative de voiler, la trace embarrassante de la jeep Willys par une manipulation photographique ignare .

       Mais il y a encore mieux qui dénote une action précipitée et totalement irréfléchie qui saute aux yeux, quand on analyse de près le dessin des roues de cette photo AS16-107-17446 . En effet d'après le site vue plus haut :


, ,on peut lire : " Pour faire face aux restrictions de masse et permettre la mobilité nécessaire sur la Lune, on développa des roues hors du commun. Outre les jantes en titane et les enjoliveurs en aluminium, celles-ci ne sont pas équipées de pneus conventionnels. En effet, l'enveloppe extérieure de celui-ci est fabriquée en treillage métallique."

       Ce treillis métallique brillant s'est semble-t-il métamorphosé ici en vulgaire pneu conventionnel à enrobement élastique et très terne. Voyez donc le dessin des sculptures :



       Pourquoi la NASA a-t-elle substitué ici pour Apollo 16, les vraies roues par des fausses ? Ces deux roues conventionnelles ne pouvaient en aucune manière fonctionner sur la Lune, à moins être pleines uniquement de matière élastique.

v        Et pour terminer avec nos Apollos bidons, voici enfin, une incroyable anomalie (il y en a beaucoup d'autres) , que nous présentons sous la forme de la photo suivante d'Apollo 17 référencée AS17-137-20979 /


     Alors que l'on aperçoit clairement, les traces de pas de "l'astronaute" , sur le sol lunaire meuble, et des petits grains de sable dans les interstices de la roue arrière droite, là, on voit que, cette roue arrière droite de la jeep lunaire (dont le garde-boue, nous dit-on, a été bricolé très grossièrement au cours d'une sortie lunaire bien déterminée), n'a laissé aucune trace ni en avant, ni en arrière, prouvant un déplacement quelconque de cette jeep. Autrement dit, la jeep lunaire est arrivée , comme par magie, sans rouler sur le sol lunaire, après pourtant de grandes ballades ailleurs. Comme il n'existait pas de grue, pour poser à un moment quelconque en douceur, cette jeep sur le sol, à cet endroit, on peut en déduire, les points suisants :

- Soit tout ceci s'est passé "sur Terre" , avec une vraie grue (et dans la précipitation de l'action, les opérateurs ont oublié les traces de roues obligatoires ).

- Soit, et c'est tout aussi lamentable, il s'agit d'une juxtaposition, de deux photos, et alors on a oublié, la trace que devait laisser la roue arrière droite du LRV (lunar rover vehicule).

     Donc ici la tromperie est très claire, et, si vous avez une autre explication, nous serions très heureux de la présenter prochainement. C'est le très petit détail, qui, comme dans le célèbre film d'Alfred Hitchcock, sorti en 1954 : "Le crime était presque parfait", a confondu le coupable...Point barre.

    Mais c'est encore plus clair, sur la photo AS17-143-21933, du site quasi officiel précité, et où l'on voit aussi au bas à droite, d'admirables traces de pas :


    Pas mal n'est-ce pas, cette jeep qui se déplace sur un sol meuble, magiquement, comme si, elle était en lévitation ...

    De plus, si nous analysons la tranche la fameuse roue immobile de la photo AS17-137-20979, d'Apollo 17 vue plus haut :


    Nous y distinguons clairement, les petits grains de sable, qui sont restés coincés dans les interstices de la roue, quand elle a roulé ailleurs.

         Maintenant scrutez attentivement, la semelle présentée dans la photo AS17-134-20453 :


     Mais, voyons cela, en diminuant le contraste:


      Pas un grain de poussière, n'est collé en dessous de la chaussure.

"L'astronaute", est-il passé directement du LEM au LRV sans toucher le sol ? Quelle prouesse ?

     Mais soyons plus pointilleux encore : Regardez la photo suivante, où nous avons tracé, grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues de LRV :


      On voit alors que les roues de droite du LRV n'ont laissé sur le sol aucune traces visibles dans la direction montrée. Dommage que l'on ne puisse pas voir le sol entre roues ( et on sait, plus haut, que cela a posé un gros problème ). Dommage aussi que l'on ne puisse pas voir un peu du sol qui précède la première roue de droite.

       A vous de juger une fois de plus, documents à l'appui.

      Mais, voici de plus, une missive très technique, que nous avons reçue, au début de ce mois, d'un ingénieur aérospatial :

----- Original Message -----
From: X... P....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Friday, April 2, 2016 10:12 AM
Subject: Le crash du S-IVB d'Apollo 16
              Bonjour Fred

      J'ai fait une mise à jour du crash du S-IVB sur la Lune.

      .... Je suis parti du manuel de vol de la fusée Saturne valable pour la mission Apollo 16,, mais il y a à nouveau un indice; l'indice est que la dernière maneuvre de préparation de l'impact lunaire a été abandonnée (pour une excuse bidon), et je fais la démonstration que ceci a tellement dévié le S-IVB , qu'il n'avait aucune chance de frapper la Lune; si on suppose que, si la dernière manœuvre avait été faite, le S-IVB aurait frappé La Lune, alors, sans cette dernière maneuvre, il est logiquement passé à plus de dix lunes de la Lune, lorsqu'il a croisé l'orbite lunaire.

        De toute façon, dans les tables des manœuvre de préparation de l'impact lunaire, il y a toujours plusieurs degrés de différence entre les angles mesurés d'attitude et ceux planifiés par les ingénieurs; quand on sait que, depuis la Terre, la Lune est vue sous un angle d'un demi degré, il est clair que, loin d'être précis, les impacts lunaires n'auraient probablement même pas été sur la Lune ..



      Fin de la digression.

      Mais ce 10 Avril 2016, nous allons imaginer qu'en plus de l'affaire des Apollos, soulevée par le sieur John M. PRYTZ ( et nous lui adressons ici, nos vifs remerciements post-mortem, de nous avoir permis de reviser la question), ce dernier aurait pu parfaitement aussi parler, de l'expédition en un aérostat (ballon dirigeable plus léger que l'air de 106m de long et 18500 m3 de volume), qui a été utilisé pour traverser en 1926, de part en part, le bassin polaire nord, et expédition, qui, elle non plus, n'a rien remarqué concernant un trou polaire.

      Nous avons, en effet le grand privilège de possèder cet ouvrage :



, qui est paru en 1987 de (36,5 cm de long sur 26,5 cm de large), et qui nous présente, en page 94, le texte qui suit, et qui est de Mai 1926.


DU SPITZBERG A L'ALASKA PAR LE PÔLE : LE VOYAGE DU "NORGE"

22 MAI 1926

     " L'audacieuse entreprise d'Amundsen s'est terminée par le succès le plus éclatant. Parti le 11 Mai du Spitzberg à bord du dirigéable Norge (prononcez Norgueu), le célèbre explorateur est arrivé quatre jours plus tard sur les bords du détroit de Béring, après avoir traversé le bassin arctique tout entier en passant par le pôle. Un trajet à vol d'oiseau de 3 400 kilomètres environ, de 3 900 et même beaucoup plus, d'après le colonel Nobile, en faisant entrer en ligne de compte la dérive sous la poussée du vent. 3.400 et 3.900 kilomètres représentent respectivement les distances de Paris au centre du Sahara et au Tchad.

     Grâce aux radios émis par l'aéronef et aux télégrammes d'une expédition de reportage envoyée à la baie du Roi par le journal d'Oslo, Aftenposten, il est dès à présent possible de présenter un récit succinct de ce voyage extraordinaire.

     Auparavant, donnons quelques précisions sur le Norge , son personnel et son équipement. Le dirigeable mesure de bout en bout 106 mètres et possède un volume de 18.500 mètres cubes; sa limite de charge est 10,3 tonnes métriques. Avec ses trois moteurs il atteint 115 kilomètres à l'heure, et avec deux seulement, 70 kilomètres; à cette dernière allure la consommation horaire d'essence et d'huile s'abaisse à 95 kilos. Etant donné le trajet à effectuer, près de 7 tonnes de carburant et de lubrifiant furent embarquées.

     L'équipage comptait 16 hommes : 9 Norvégiens, un Américain, Lincoln Ellswotth, mécène de l'expédition, le colonel Nobile, capitaine du dirigeable, et 5 mécaniciens italiens.

     Dans une entreprise aussi aventureuse, il faut prévoir les accidents. Aussi, pour le cas où le dirigeable ferait naufrage sur la banquise, emportait-on deux mois de vivres, des traîneaux, des skis, des canots pliants, des tentes, bref, tout le matériel nécessaire pour opérer la retraite à travers le grand désert polaire...

     Ainsi que nous l'avons déjà annoncé, le 7 mai, à 6 h. 15, le Norge arrivait à la baie du Roi, au Spitzberg. Cette année comme l'année dernière, lors de son raid en avion, Amundsen avait choisi comme base d'opérations Ny Aalesund, le charbonnage norvégien installé sur les bords de ce fjord pittoresque. En conséquence, près de ce village on avait dressé pendant l'hiver un hangar en charpente recouvert de toile, ainsi qu'un mât d'amarrage pour le cas où le vent ne permettrait pas d'amener l'aéronef dans ce hall.....

      A partir de la fin de Mai, le bassin arctique est durant tout l'été presque constamment recouvert d'épaisses brumes ; il importait donc de se presser pour pouvoir prendre l'air avant l'établissement de ce régime éminemment défavorable à la navigation aérienne.

     Dans la soirée du 10 mai, les météorologistes chargés de la prévision du temps ayant annoncé la présence de hautes pressions dans le bassin arctique, par suite, selon toute probabilité, un régime de calme dans cette région, Amundsen commande de prendre les postes d'appareillage. Mais à peine les préparatifs sont-ils commencés que la brise "force", pour employer l'expression maritime. Dans ces conditions, le départ est contremandé. Les heures s'écoulent tristes et lentes ; pour tous la déception est grosse, surtout après le succès de Byrd deux jours auparavant. Brusquement. dans la matinée du 11 mai, la brise mollit, le ciel se dégage et, bientôt, un soleil radieux luit dans un air cnlme Il n'y a plus à hésiter. On rappelle aux postes d'appareillage et, à 9 h. 35, la délicate sortie du hangar est heureusement terminée. Immédiatement, au bruit des hurrahs, les "couleurs" des trois nations dont des membres participent à l'expédition - Norvège, Etats-Unis et Italie - sont hissées à la poupe du dirigeable, puis, à 10 heures, le solennel "Lâchez tout!" retentit. Le Norge, s'élève alors à une centaine de mètres, en route vers l'embouchure du fjord ; une demi-heure plus tard, il a disparu de l'horizon de Ny Aalesund. La grande expédition est commencée, une des plus hardies qui aient été conçues depuis que l'homme a conquis le domaine de l'air.

     Une fois sorti de la baie du Roi, le dirigeable suit vers le Nord la côte Ouest du Spitzberg, et, après avoir survolé l'île des Danois, s'engage au-dessus de la grande banquise, le cap droit vers le pôle.

     A 14 heures on est au 82°30' de latitude par 9° de longitude Est. Le temps reste clair, la brise faible ; le Norge, tient admirablement la route. Les dernières terres du Spitzberg ont disparu ; maintenant, dans toutes les directions, un horizon blanc ; partout, des crêtes ou des monticules formes par le chevauchement des glaces dans les spasmes qui les agitent sous la poussée des vents et des courants marins. A chaque instant, on aperçoit des ours fuyant, effrayés par le vrombissement des moteurs. L'an dernier, à l'occasion du raid en avions d'Amundsen, le gouvernement norvégien a émis des timbres représentant un de ces animaux regardant voler un aéroplane. La conception de l'artiste s'est donc trouvée réalisée cette année, à cela près que le monoplan était remplacé par un dirigeable.

     A 15 h. 30, le Norge atteint le 83°30' par 10° de longitude Est. Depuis l'observation de 14 heures, il a donc été déporté dans 1'Est d'une douzaine de kilomètres. Le ballon continue ensuite sa marche vers le Nord, le long de ce méridien jusqu'aux approches du pôle, où il est encore légèrement déporté dans l'Est.. La route suivie par l'expédition entre le Spitzberg et le pôle est donc presque rectiligne.

     A mesure que l'on avance, le froid devient de plus en plus vif, sans cependant atteindre une rigueur gênante : 9° sous zéro à 14 heures, puis - 12° pendant le reste de la journée.

     A minuit, le 89° de latitude est franchi. Le moment solennel approche. Le ciel est légèrement brumeux, néanmoins la visibilité reste bonne. Enfin, le 12 mai, à, une heure, le lieutenant Rüser-Larsen, qui remplit, les fonctions d'officier des montres à bord du Norge , annonce l'arrivée au pôle Nord. La victoire est remportée !

     Aucune terre ne marque l'emplacement du sommet boréal de l'axe de rotation du globe, comme Peary l'avait d'ailleurs précédemment constaté. Rien que la banquise toujours en lent mouvement de translation. Aujourd'hui, le gisement de ce point mathématique est occupé par un glaçon, demain il le sera par un autre que la dérive des eaux aura poussé à la place du premier. Que le Norge ait atteint le pôle, l'abondance et la précision des observations exécutées par le lieutenant Riiser-Larsen en donnent la preuve certaine ; non seulement cet officier a soigneusement surveillé la marche du ballon à l'aide du compas ordinaire, d'un compas solaire, d'un dérivomètre et d'un compteur de vitesse. mais encore a d'heure en heure déterminé sa position par des azimuts et des relèvements goniométriques sur la station de T. S. F. de la baie du Roi.

     Une fois au pôle, le Norge décrivit plusieurs circuits au-dessus de ce point, puis successivement Amundsen, E1lsworth et Nobile lancèrent par-dessus bord, sur la banquise, les pavillons de leur pays.

     Cette émouvante cérémonie terminée, tous les membres de l'équipage vinrent successivement présenter leurs félicitations à Ellsworth. Ce jour-là, le mécène de l'expédition entrait dans sa quarante-septième année. Fêter son anniversaire par la conquête du pôle constitue un événement que l'on ne saurait qualifier de banal ; sous ce rapport, le sympathique Américain détient un record qui ne lui sera pas ravi de sitôt.

     L'expédition n'a point, semble-t-il, aperçu le drapeau américain que le lieutenant Byrd avait laissé tomber sur la glace lorsqu'il crut être arrivé au but ; les radios lancés par Amundsen sont muets sur ce point. La chose n'a pas en soi une très grande importance. Depuis les controverses auxquelles le voyage de Peary donna naissance, il est en effet admis que, pour l'arrivée au pôle Nord, dont le gisement ne peut être déterminé qu'au prix d'observations précises. les explorateurs bénéficient d'un battement de plusieurs kilomètres.

     Dans le trajet, entre le Spitzberg et le pôle, le Norge Z marché à des allures très différentes. Pendant le` quatre premières heures, sa vitesse horaire a dépas~é 100 kilomètres ; à là h. 30, elle a atteint le maximum que les moteurs pouvaient donner, soit 114 kilomètres. puis, à partir de 20 heures, 'elle a été réduite à 67, enfin 60. probablement en vue d'économiqnt l'essence. D'autre part, durant cette partie du voyage, la hauteur à laquelle le ballon a navigué a été fort variable : 400 â 800 mètres.

     Du pôle, le cap fut mis droit au Sud sur la pointe Barrow, le cap le plus septentrional de l'Alaska. Un, radio daté du 12 mai, 3 h. 20, annonçait que le ballon fait bonne route dans cette direction à la vitesse de 80 kilomètres. Depuis, aucun message du Norge , n'avait été reçu. Cette absence de renseignements commençait à éveiller des craintes, lorsque le 14, à 6 heures (temps de Greenwich), l'aviateur américain Wilkins stationné à la pointe Barrow pour prendre son vol lui aussi, vers l'extrême Nord, aperçut le ballon à 10 milles au large de la côte de l'Alaska. Le Norge faisait alors route dans le Sud. Après cela, pendant deux jours, ce fut de nouveau un silence complet. Du cap Barrow Nome, sur les bords du détroit de Béring, terminus du voyage, la distance tance à vol d'oiseau est seuiement d'un millier de kilomètres ; aussi bien l'anxiété grandissait, quand un télé gramme annonça l'arrivée rie l'expédition â Teller, au Nord de Nome, le 15 mai à 2 heures du matin (temps local) , soit à 13 heures (temps de Greenwich). Au-dessus de l'Alaska, l'expédition avait été mise en péril par des brumes et par de furieuses tempêtes de neige ; à plusieurs reprises l'enveloppe du ballon fut crevée par des glaçons formés sur les apparaux. La dernière partie du voyage nous promet un émouvant récit d'aventure dramatiques.

     Reconnaître la région ignorée comprise entre le pôle et dont d'impénétrables banquises défendent l'accès par voie de mer, tel était le principal objectif d'Amundsen en entreprenant son raid aéronautique. Ce problème, l'explorateur norvégien a-t-il pu 1e résoudre ? Sur ce point, les télégrammes parvenus jusqu'ici manquent de précision.

     En tout cas, l'expédition a accompli un magnifique exploit. Dans ce succès. à ses trois dirigeants revient une part de gloire égale. Si l'honneur de la concention et de l'organisation appartient à Amundsen, par ses libéralités Ellsworth a permis la réalisation du programme et Nobile en a assuré l'exécution par une technique admirable.


     Ceci est simplement un récit préliminaire. L'Illustration avant acquis le droit de reproduction des photographies prises au cours de cette randonnée à travers le monde des glaces, nous aurons l'occasion de compléter cet aperçu lorsque, dans une quinzaine, les premiers documents iconographiques de l'expédition nous parviendront.

Charles Rabot."     
     Fin de citation.

     Sur notre carte d'Air France , vue plus haut, où subsiste la trace rouge de la ligne d'Air France, traçons plus et en bleu, l'itinéraire du dirigeable en question :



Et, si nous y juxtaposons, la super carte tirée du site :




on obtient alors, cette représentation :



Faisons de même sur l'tinéraire du Norge.



     Nous voyons alors que, comme par hasard, le trajet du Norge, passe juste à côté du " trou polaire" en question, et vu l'altitude de croisière du dirigeable et le systeme brumeux et nuageux du coin, il est fort possible que l'équipage n'ait absolument rien découvert, si ce n'est une lueur boréale caractéristique de l'endroit survolé. Pour le savoir, il faudrait bien sûr, avoir sous la main, le carnet de bord du commandant de l'expédition. Remarquons surtout que ce trou polaire dessiné par nos soins, n'est absolument pas à l'echelle, car de plus, on l'a vu plus haut, son diamètre varie en fonction "de la respiration", de la planète .

    D'ailleurs vous avez bien noté ce paragraphe :" A partir de la fin de Mai, le bassin arctique est durant tout l'été presque constamment recouvert d'épaisses brumes ; il importait donc de se presser pour pouvoir prendre l'air avant l'établissement de ce régime éminemment défavorable à la navigation aérienne."

     Mais d'où vient ce brouillard latent dans la zone polaire, si une source d'air chaud n'existe pas dans la région, où il pleut plutôt rarement (autour de 5 cm de précipitation annuelle)

     Vous avez aussi noté, nous l'espérons, ce paragraphe, pour nous extrêmement important :     " L'expédition n'a point, semble-t-il, aperçu le drapeau américain que le lieutenant Byrd avait laissé tomber sur la glace lorsqu'il crut être arrivé au but ; les radios lancés par Amundsen sont muets sur ce point. La chose n'a pas en soi une très grande importance. Depuis les controverses auxquelles le voyage de Peary donna naissance, il est en effet admis que, pour l'arrivée au pôle Nord, dont le gisement ne peut être déterminé qu'au prix d'observations précises. les explorateurs bénéficient d'un battement de plusieurs kilomètres" .

      En clair, cela signifie le fait, que nos scientifiques admettent qu'il existe une grande incertitude,(même avec les appareils sophistiqués de l'époque), attachée à la localisation de ce fameux point mythique correspondant au Pôle Nord Géographique , et à l'existence de la terrible polémique ( opposant le Dr. Frederick Cook, et l'explorateur contre-amiral Robert E. Peary), et polémique, si bien illustrée par cette caricature :


     Image tirée, page 133, de la revue New Look, autour de Février 1990, (nous n'avons pas hélas noté le n° exact)

     Mais n'oublions pas le fait, que les instruments sont construits, en fonction des lois admises dans le cursus universitaire, et par exemple, faisons ici une petite digression :

     En effet, dans un article intitulé "La conquête du Pôle Nord" de Mr Philippe Nessann, du n° 115 d'Avril 1999 de la revue Science&Vie Junior, nous avons eu le bénéfice de découvrir comment en général, on peut s'orienter au Pôle, en considérant évidemment que la Terre est à peu près une sphère soumise aux rayons obliques du Soleil. Nous reproduisons donc ci-dessous, l'admirable schéma très didactique de Mr Jean-Jacques Hatton, qui donne toute la démarche que devrait effectuer un explorateur pour calculer sa position en arrivant au Pôle Nord.


    Mais, il va de soi, que s'il existe une courbure de la Terre vers son intérieur au Pôle, (non enseignée dans nos universités), comme le montre cette extraordinaire photo, déjà vue plus haut, et commentée par nos soins:


alors, les angles Alpha, Bêta, et Gamma, ne correspondront plus à ceux que nous présente, ce schéma du Science&Vie Junior, et donc que la position déterminée par l'explorateur, en sera automatiquement faussée sur le terrain par les instruments utilisés. Il en résulte que c'est en toute bonne foi, que ces explorateurs ont cru être arrivés au Pôle, alors qu'ils n'étaient, en fait, que sur le bord de concavité polaire, que nous évoque notre bien pratique schéma suivant, d'une pomme.

  


  Autrement dit l'instrument utilisé peut ne pas être conforme aux lois de l'environnement et, peut parfois induire en erreur l'expérimentateur.

           Fin de la digression

     En résumé, voici par exemple, une carte de l'Arctique, tirée de l' Histoire Universelle des Explorations, où l'on constate bien qu'aucune des expéditions au Pôle Nord ne l'a traversé diamétralement, et deux seulement, la bleue faite par Amunsen et Nobile en 1926, et celle en orange faite par les soviétiques Tchkalov et Gromov, en 1937, ont poursuivi leur route en l'incurvant fortement vers la droite.


     Mais dans le paragraphe important précédent où l' on site l'expédidion de Byrd de 1926 sans en dire reien d'important sinon une affaire de drapeau laché au passage au dessus du prétendu Pôle Nord.

     Mais le sieur, John M. PRYTZ, aurait pu lui aussi, en fouillant dans certaines bibliothèques de son pays , tomber sur l'entrefilet (déjà présenté plus haut ), du "Miami Daily News", du 25 Juin 1926 :


r Les phrases soulignées en rouge, auraient pu alors, en effet, lui mettre la puce à l'oreille, concernant cette affaire de Terre creuse , qu'il veut absolument nier.

    Reprenons, donc les phrases soulignées en rouge, de Byrd, tel que :


    Ces phrases, on le sait, sont pour nous,très importantes, et disent ceci :

     " There is land in a vicinity of the Nord Pole " , in the belief of Commander Byrd.

     " There might be land in there somewhere, and I think there is" . Byrd said after telling that his search of the icy span below the machine failed to reveal any sign of life.

     Le site ARTivision est là, obligé, pour la clarté de cet exposé, de reprendre ici, les explications suivantes, déjà vues plus haut :

"... En effet, certains linguistes pourraient traduire facilement ainsi :

" Il y a de la terre dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir de la terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".

    Mais les éternels zélés ou zététiques détracteurs, embarrassés par cette affaire de Terre en pleine zone froide et glacée, nous diront évidemment qu'il fallait traduire plutôt " Il y a de la place, dans le voisinage du Pôle Nord ", etc....

    Mais, pour ARTivision, compte-tenu des très nombreuses autres déclarations de Byrd, que nous avons retrouvées, et que nous présenterons plus bas, nous pensons alors, que notre traduction, des phrases en rouge précédentes devrait être plus précisément :

" Il y a une terre dans le voisinage du Pôle Nord ", comme le croit le commandant Byrd.

" Il pourrait y avoir une terre quelque part, là, et je pense, que c'est vrai" "....

      Fin de citation...

     C'est donc aux spécialistes, de la langue de Shakespeare, qu'il appartient de donner maintenant, leur précieux leur avis...


     Mais, ce 11 Avril 2016, faisons une fois de plus, une plongée vertigineuse, dans le contexte Mystico-rationaliste, du site ARTivision, ce qui ne manquera pas de mettre très mal à l'aise, nos éternels détracteurs et autres intellectuels blasés :

     Voici donc les propos extraordinaires du du Grand Maître de Findhorn, qui évoque ici, d'une part cette notion de vies multiples de l'être humain, mais aussi, d'autre part, il nous invite à vivre au jour le jour, comme nous le préconisait étonnement, un autre Maître du texte biblique.

    
Tu es dans le monde mais tu n'es pas de ce monde.

I1 est inutile de laisser les façons
d'être du monde t'enfoncer
.

Jouis-en mais n'essaye pas de les posséder

et ne leur permets pas de te posséder.

Dans le Nouvel Age, il n'est pas nécessaire
d'être vêtu de hardes et couvert de cendres,

ou d'aller partout en déclarant que tu es un misérable pécheur

et n'es pas digne d'être appelé l' enfant bien-aimé du Très Haut.

Cet enseignement appartient aux temps anciens
et il est faux et sans réalité.

Accepte le fait que nous faisons Un
avec Ce Très Haut et qu'Il est en toi .

Sens-toi tiré hors des ténèbres de cet enseignement erroné vers la lumière glorieuse.

Laisse l'ancien derrière et laisse-le mourir d'une mort naturelle.

Entre dans le nouveau, renais en Esprit et en Vérité,

et découvre la signification de la vraie liberté.

Le Très Haut a besoin de toi libre et non pas ligoté par toi-même

et par le souci de ta propre personne.
Sois comme un tout petit enfant, libre et joyeux,

et vis dans l'éternel présent
.


***********************

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 11 Avril, après adaptation d'ARTivision.

    Il est surprenant de s'apercevoir que de très nombreuses sources ésotériques, que nous ne pouvons détailler ici, nous redéfinissent, ces temps-ci, ce concept du Temps, et d'ailleurs, voici ce qu'en dit encore Soria en page 14, de son premier livre :

 

    "Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi. Illusion du temps, il n'y a pas de passé ni de futur; seul existe le moment présent. Cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète."

    Nous ajoutons enfin que cette notion révolutionnaire du temps cosmique semblait être connue du Maître Jésus-Christ, puisque qu'il préconisait ouvertement de "ne pas se préoccuper du lendemain et de vivre au jour le jour", sans doute pour mieux s'ancrer dans l'énergie relevant de la quatrième dimension, ce qui lui permettait évidemment de réaliser ce que nous avons appelé "des miracles", et miracles qu'il avouait, lui même, être à la portée de chacun de nous.

    Mais, voici pour les puristes, autre chose, qui confirme tout cela :

    En effet, analysons maintenant, le paragraphe très surprenant suivant, extrait de l' ouvrage remarquable intitulé "Nos pensées créent le monde" de la journaliste scientifique Martine Castello et du polytechnicien Vahé Zartarian publié en 1994 à Paris, aux Editions R.Laffont dans la collection Nouvelles énigmes :

 

    Et nous lisons alors en page 23 :

" Les Hopis, indiens habitants l'actuel Arizona aux USA, ont du Temps une conception qui diffère radicalement de la nôtre.

    Ainsi ils n'ont aucune notion d'un temps s'écoulant de manière linéaire et continue et entraînant dans sa course tous les objets de l'univers, du passé au futur à travers le présent. Leur langage même est dépourvu de tout mot, expression, tournure grammaticale, conjugaison, ou quoi que ce soit d'autre faisant référence explicitement ou implicitement à ce que nous appelons le temps, ni au passé, présent et futur, ni à la durée, ni encore au mouvement (qui serait conçu comme déplacement et pas comme un processus de transformation globale). Pourtant la langue hopi est extrêmement riche et permet de rendre compte de tous les phénomènes observables dans l'Univers... les Hopis ne voient pas le monde en termes d'objets comme nous le faisons, mais en termes d'événements... ces événements appartiennent à deux catégories, "les manisfestés" et les "non-manifestés".
"

    Curieux ceci, n'est-ce pas ? Si vous voulez en savoir plus sur les Hopis que certains pionniers conquérants qualifiaient autrefois (on le sait déjà), de sauvages , précipitez-vous sur l'ouvrage en question indiqué ci-dessus, et vous y découvrirez , bien d'autres choses intéressantes.

Fin du pararaphe en question.

    Le 16/10/02 l'aimable internaute Luc Secret, nous apprenait que ce live est totalement téléchageable à l'adresse:


    Merci donc à Luc pour sa participation si efficace à notre site.

     Ces Hopis ont-ils pu élaborer un tel système, sans recevoir une initiation venue des dieux ancestraux dont parlent la plupart des mythologies ?

     A vous de juger ?

     Alors Messieurs les esprits forts, et consorts zélés et zététiques, si le cœur vous en dit, continuer à rire sous cape ... mais un jour, vous tomberez aussi sur les écrits d'un certain Edgar Cayce, et écrits qui vous expliqueront clairement, comment a disparu la super civilisation de l'Atlantide, dont le niveau d'évolution était bien supérieur à celui de votre civilisation occidentale actuelle, et vous aurez alors progressé, dans cette notion de modestie, qui fait défaut à la plupart de prétendus savants et technocrates actuels.

      Mais ce 13 Avril 2016, nous ne résistons pas, une fois de plus, au plaisir de vous présenter le verbe de ce du Grand Maître de Findhorn, verbe qui pourrait nous permettre d'assimiller un principe, apte à nous permettre de comprendre tant soit peu, ce qui préccède :

    
De La Source vient tout ce que tu reçois
et tout ce qu'Elle a, t'appartient.

Son abondance infinie, est accessible à tous,
mais ta conscience doit être une conscienced'abondance,
sans aucune pensée de manque ou de restriction.

Sens ta conscience s'étendre et s'étendre,
et laisse-la continuer à s'élargir sans aucune limitation ,

car les limitations causent des blocages dans le flot constant.

Avec les limitations vient la peur, et avec la peur la stagnation;

et quand quelque chose se met à stagner, le flot est coupé et meurt.

Maintiens un flot continu.

Qu'il y ait un donner et un recevoir constants a tous les niveaux,
et sache ce qu'abondance infinie veut dire.

Sache que tu fais UN avec la Source ,

UN avec toute la richesse du monde
et que rien n'est pris pour soi,
que rien n'est gardé en reserve.

Tout est là pour être sagement utilisé.

Sois un bon gestionnaire des dons parfaits et bons de la Source.
Recherche Sa "guidance" et Sa direction
pour savoir comment utiliser de façon juste Ses ressources infinies.


***********************

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 13 Avril, après adaptation d'ARTivision.

      Mais c'est justement, le jour précédent le 12 Avril 2016 que le Grand Maître expliquait, cette affaire concernant le principe de "un donner et un recevoir constants à tous les niveaux " :

    
R emercie pour tout ce que tu as. pour tout ce que tu reçois ,
et pour tout ce que tu vas recevoir.

En fait, ne cesse jamais de remercier,
car c'est une attitude positive envers la vie
et c'est le fait même de remercier qui attire à toi ce qu' il y a de meilleur.

Cela aide à garder ton cœur et ton esprit ouverts;

cela aide à l'expansion constante de ta conscience.

Tu rencontreras toujours quelque chose qui demande remerciements,
et alors que tu commenceras à compter ces bénédictions, elles se multiplieront.



Tu te rendras compte à quel point tu es puissamment béni,
tu prendras conscience que tout ce qu'a la Source, t'appartient,
que Ses réserves d'abondance sont pleines à déborder,

et que tu ne manques de rien.

Chacun de tes besoins est comblé d'une manière merveilleuse .

et dans cet état de conscience tu peux donner,
donner encore
et ne jamais compter ce que cela te coûte.

car tu reçois en fonction de ce que tu donnes.

En donnant, tu fais de la place pour recevoir davantage.


***********************

La petite voix : Eileen Caddy. Le Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 12 Avril, après adaptation d'ARTivision.


Très curieuse n'est-ce pas, cette affaire de remerciements à jets continus. A vous de juger...


      Mais ce 15 Avril 2016, analysons le neuvième concept élaboré, par l'auteur John M. Prytz, pour nier la Théorie de la Terre creuse, et voici donc notre Neuvième focus , qui correspond à cela que donne notre modeste traduction :

     " Aucune photo globale de la Terre, issue des satellites de l'espace lointain (et même ceux qui occupent une orbite polaire), n'a jamais montré une quelconque ouverture polaire . "

     On pourrait déjà dire, que ce John M. Prytz n'a pas eu e,n 1970 sous la main, ou qu'il n'a pas bien regardé, cette photo prise à environ 37 000 km de haut, par le satellite ATS-3 lancé 5 November 1967:

  


      Bien que l'on sache, que cette photo, a été sans doute manipulée (avant d'être sortie pour le grand public), on y voit tout de même, clairement au Pôle nord (photo de droite), une sorte de luminosité particulière qui s'échappe du Pôle...

      Cette assertion saugrenue, fait sourire sous cape, bien sûr, les éternels détracteurs et consorts intellectuels blasés, mais le site ARTivision, a toujours en réserve certains éléments incontournables, qui confirment ses dires. C'est ainsi que nous pouvons affirmer que la NASA et ses sbires affiliés , n'oseront jamais montrer une photo globale de la Terre qui ressemble comme deux gouttes d'eau, à celle-ci :


    Nous insistons ici sur le fait que la photo de Mars , ci-dessus ne vient pas de la NASA, (qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à los Angeles, en Californie, (et qui existe depuis 1935).

    Cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Août 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars, était alors au plus près de la Terre, à environ 56 millions de km :

    Pour ceux qui voudraient en savoir plus, prière de contacter cet Observatoire Griffith, pour lui demander pourquoi cette superbe image, n'a jamais fait la une des médias qui ont pignon sur rue ... et surtout que l'on nous dise pourquoi le site admirable, qui présentait cette photo à :


a disparu en 2005, comme par magie.

     On y voyait entre autres choses à l'époque , alors ceci :


;    Une modeste traduction des 7 premières lignes donne alors ceci :

Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX webcam.

     C'est la meilleure image de Mars qui se compose de plusieurs dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord est en haut et l'Est est à gauche.


      Remarquons que l'Est devrait être à droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord soit en haut.

     Mais vous pouvez, grâce au merveilleux site :


, retrouver cependantle site Griffith en question , qui a disparu, désormais à ( 29 Fev 2008) :


     Le nom de la photo étant Mars083103.jpg, vous pouvez la trouver directement sur le Web à l'adresse :


, ce qui nous donne alors ce superbe spectacle, déjà vu plus haut, qui en mettant l'Est à droite, donne pour le Pôle Nord de Mars que nous vous présentons à nouveau, étant donnée sa prodigieuse importance


      Nous avons aussi déjà dit plus haut, que la sagesse antillaise utilise parfois cet adage : " Sa ki bon pou zwa, la sé tou bon pou kanna." ( Ce qui est bon pour les oies, l'est aussi pour les canards), et donc ce qui est valable pour le Pôle nord de Mars l'est très certainement aussi, pour celui de la Terre. Point barre .

      Vous pensez bien qu'en 1970 ( alors que l'Internet n'était pas encore, arrivé sur le marché), Mr John M. Prytz, n'avait aucune chance de découvrir, dans des revues spécialisées, une photo semblable de la Terre.

      Quant à évoquer les sattelites polaires de notre planète , il était, (nous l'avons vu plus haut), tout à fait à coté de la plaque, car on le sait, que les trajectoires de ces derniers "ne sont pas tout à fait polaires", termes exacts utilisés :

  

      Et pour la route voici encore quatre photos déjà vues plus haut :

  


  


       Mais ce 17/04/2016, nous allons poursuivre nos révélations, concernant les clichés montrant une luminosité extrordinaire, repérée aux pôles de certains astres de notre système solaire, et luminosité surprenant, qui à notre connaissance, n'ai fait l'objet d'aucune discussion sur les plateaux de télévision toujours prêts à nous noyer de banalités...

      Faisons d'abord ici une certaine digression très significative quant à l'esprit de certains savants, qui tenaient il n'y a pas si longtemps, le haut du pavé de la connaissance scientifique :

      Nous avons en effet, le privilège de possèder, le n° 108 de Février 1956, de la revue Sciences et Avenir, dont voici la couverture :



      Cet important n°, a justement publié à l'époque, un article très interressant et encore d'actualité, dont le sujet est, voyez vous même, tel que:



      Mais voyons, maintenant, les pages 52 et 53 de notre Sciences et Avenir, en question :



    et puis, faisons uin flash, sur ce passage significatif :



    Cette image, nous montre d'abord la calotte polaire de Mars qui brille, alors que la zone tout autour, est dans le noir. Nous venons plus haut justement de parler de cela ...

    Plus bas, dans le texte qui suit, comme vous le voyez, un astronome bien connu de l'époque, nommé Arthur Eddington, (il est certainement décédé actuellement), n'avait pas hésité à écrire, (hélas on ne dit pas où) :

" qu'il croyait assez volontier que notre humanité pouvait être la seule à contempler les beautés de l'Univers".


    
A l'époque, (dans les années 50), il fallait tout de même, une sacrée dose d'orgueil, pour en arriver à cette conclusion, n'est-ce pas !!! (alors que les sieurs George Adamski et Howard Menger, très vilipendés, par d' ignares bien-pensants, prouvaient photos à l'appui, le contraire) .

    Nous espérons, que maintenant, ce Mr Arthur Eddington évolue dans une autre dimension, où, il appréhende bien plus, directement , la conscience de l'aspect fanstastique de l'Univers .

     Le 20/06/2013, nous avons traité ce sujet très philosophique, dans notre article plutot corsé pour nos détracteurs :


où nous avons abordé, sans rien cacher les sujets suivants :

- La science se limite-t-elle à constater les faits ?
- Interprète-t-on à défaut de connaître ?
- La raison peut-elle comprendre le réel ?


     Et finalement, nous sommes arrivés à la conclusion que :

     "La science orthodoxe se limite souvent à constater les faits ...et elle les interprète historiquement, à sa convenance, à défaut de les connaître ".

     Nous avons aussi, exprimé le fait que, si l'on pourrait définir assez facilement, ce qu'est la raison, il n'en était pas de même du réel, qui se montre toujours plus complexe et souvent très difficile à saisir. (voir l'article en question)

     Et mieux encore, puisque nous sommes alors dans le contexte philosophique du Bac 2013, il ne nous reste ici, qu'à mettre en exergue, une fois de plus, la célèbre phrase d'Hamlet de Shakespeare :

"Il y a plus de choses au Ciel et sur Terre, Horatio, que n'en rêve votre philosophie."

     Pour noyer rapidement le poisson et continuer à faire comme l'autruche, en fourrant la tete sous le sable, les détracteurs irréductibles habituels, ont classé assurément tout cela, comme des illusions d'optique. Point Barre...

    Fin de la digression.

    Mais, pour compléter ce qui précède, nous vous proposons ici encore, deux photos de Mars, où l'on voit bien le pôle qui brille parfaitement, alors que le reste de la planète est dans l'ombre :


ou encore en mieux :


     Seuls des rayons provenant directement du soleil intérieur peuvent causer une telle luminosité au dessus de la planète, luminosité qui varie en fonction de l'état de l'atmosphère selon qu'elle est claire ou nuageuse. S'il ne s'agissait que d'une simple calotte glaciaire, comme on le dit généralement, brillerait-elle tout de même, quand Mars est couverte de nuages ?

     Mais voyons autre chose. Nous avons l'image suivante tirée d'un fichier PDF ( hélas nous n'avons pas pu déterminer son url. Merci à l'internaute qui le retrouvera) , qu'un aimable internaute nous avait transmis le 18 Juillet 2009 :


     On voit parfaitement ici que les calottes polaires sont en relief et débordent même du disque de la planète. Certains n'hésiteront pas à dire qu'il s'agit d'une illusion d'optique. Mais nous, nous disons encore, que c'est bien, la réflexion d'une puissante lumière venant de l'intérieur de la planète, sur les couches extérieures de l'atmosphére, qui est responsable de ce phénomène.

     De même, sur le site :


, on découvre ceci :


     La quatrième image nommée B semble être le résultat du placement de filtre noir, pour mieux mettre en relief la calotte polaire nord, qui brille alors de tous ses feux.

Mais jetons aussi un coup d'oeil du coté de Mercure, bien les images ne soient pas aussi nettes :

    Tout ce qui précède aurait pu être vite oublié, si le même phénomène ne se présentait pas aussi encore sur Mercure, qui en principe ne devrait pas avoir de calotte polaire, vu sa proximité avec le Soleil. D'ailleurs, ce n'est qu'en 1965, qu'on a découvert que Mercure est animé d'un très lent mouvement de rotation sur lui-même et de ce fait ne présente pas toujours la même face au soleil, contrairement à ce que l'on pensait auparavant, ce qui permettait d'admettre l'existence de régions totalement plongées dans l'obscurité (Le livre d'Albert Ducrocq "l'humanité devant la navigation interplanétaire " chez Calmmann-Levy de 1947, nous est, et sera encore bientôt, très utile à ce sujet).

     Or donc, nous dit en substance, la revue "Science & vie" n° 883 de Fév. 92 dans un article de J.R. Germain intitulé "De la glace sur Mercure: " Le 8 Août 1991 à la faveur d'une fenêtre particulièrement propice, Mercure qui passait au plus près de la Terre, présenta son pôle Nord face à nous. Les Astronomes, Martin Slade du Jet Propulsion Laboritory et Duane Muhleman du Californian Institute of Technologie décrochèrent alors un puissant signal radar 500 000 W , au radiotélescope de Goldstone en Californie. Le signal réfléchi est récupéré par les 27 antennes du Very Large Array, un réseau de télescope de 25 m de diamètre chacun déployé au Nouveau-Mexique...."

   L'article nous dit que l'on distingua alors nettement une zone ovale brillante de 640 x 300m inexplicable, que l'on devrait attribuer à une calotte glaciaire. (voir la photo pôle Mercure ci-dessous:)



   On trouve aussi dans cet article: " Mais voilà, Mercure n'a pas de saisons, possède de forts écarts de température entre la nuit et le jour et des températures qui peuvent atteindre les 430°C. Autant dire que ces conditions ne sont pas réellement propices à la formation de la glace."

   Mais l'auteur ajoute une phrase très révélatrice. "Sans compter que Mariner 10, la seule sonde à avoir jamais frôlé Mercure, n'a détecté aucune anomalie de ce type lorsqu'elle a survolé une partie du pôle en 1974 ". Nous en reparlerons.

   Nous avons appris par la suite, qu'en 1993, il allait y avoir une nouvelle fenêtre d'observation pour ce même pôle Nord et en 1994 une autre pour le pôle Sud, qui est pourtant parait-il très difficile à observer.

   Nous avons en vain attendu, que la "Presse spécialisée", nous transmette les résultats de ces observations, de 93 et 94, mais hélas jusqu'à ce jour, ce fut le mutisme le plus complet. Pourquoi ?

      Mais c'est encore plus spectaculaire du côté de Neptune :

      En effet, 12 ans après son lancement (le 20 Août 1977), la sonde américaine Voyager -2 après avoir survolé , Jupiter, Saturne, Uranus arrive le 25 Août 1989 en vue de Neptune à plus de 4 milliard de km de la Terre et prend parait-il près de 8000 photos de la planète et de son satellite Triton.    Neptune qui avec ses 144990 km de diamètre ( 3,53 fois celui de la Terre ), ses -200 ° C de température moyenne, et son atmosphère constituée principalement de méthane apparaît alors d'un bleu chatoyant, mais surtout, avec ce que personne n'attendait, et que faute de mieux l'on a qualifié parfois de "petit nuage blanc", un gigantesque "Oeil très lumineux intérieurement" possédant une "frange ovale rouge" extérieure, caractéristique d'une sorte de diffraction spectrale étonnante. Cet "œil fantastique" a-t-il pu correspondre autrefois, à un pôle de la planète qui aurait peut-être basculé sur son axe après un cataclyme? Seul un spécialiste pourrait nous le dire. Toujours est-il, que nous sommes restés totalement muets, devant cet étrange phénomène qui a dû troubler plus d'un observateur curieux. (Voir la photo de Neptune suivante:)


     Voyons ensuite ce que l'on peut trouver sur Saturne :

     L'ami Saüquere Roch que nous remercions vivement, a réussi aussi, de plus, à mettre la main sur une photo de Saturne que voici :

   Nous notons cependant la présence aux pôles de Saturne deux cercles   lumineux proéminents, attribués ici  aux aurores boréales et australes.


    En Février 2005, plusieurs internautes vigilants, nous ont adressé l'information suivante, tirée des sites:     Mais il y a bien mieux:

Découverte d'un Point chaud inexpliqué sur Saturne :


    Des astronomes ont découvert sur Saturne un phénomène climatique encore inconnu dans le système solaire : il s’agit d’un vortex polaire chaud situé au pôle sud de la planète aux anneaux. Glenn Orton (JPL) et ses collègues ont repéré ce point chaud grâce au télescope terrestre Keck(du Mont Mauna Kea, à Hawaii) et attendent désormais les observations de la sonde Cassini pour mieux comprendre cette curiosité.

    Ces travaux sont publiés aujourd'hui dans la revue Science.

    Sur Terre, ces vortex se forment dans la stratosphère, au-dessus de l’Arctique et de l’Antarctique. La différence de température entre les hautes et les moyennes latitude crée un courant circumpolaire qui isole les masses d’air froides. En Antarctique ce vortex polaire contribue à la destruction de la couche d’ozone pendant l’hiver. Au pôle nord le vortex envoie de l’air froid sur le nord de l’Amérique.
    Que ce soit sur Terre, sur Jupiter, Mars ou Vénus, partout où ils ont été observés ces vortex polaires sont plus froids que l’air environnant. Sauf sur Saturne. Le pôle sud y est déjà particulièrement chaud – il est exposé au Soleil depuis 15 ans. Pourtant, à 30° de latitude du pôle les chercheurs ont repéré un point encore plus chaud.
    Il pourrait s’agir d’une concentration de particules absorbant la lumière du Soleil "coincée" dans la stratosphère. Cependant l’explication est insuffisante. Pour comprendre la formation de ce vortex les astronomes attendent le passage de Cassini et l’observation de cette zone par son spectromètre à infrarouge (CIRS) en mars et mai prochains.


Fin de citation

    Mais ce 17/04/2016, nous pensons que Cassini a eu largement le temps de photographier le pôle sud de Saturne et l'image suivante n'a rien de particulier qui puisse nous émerveiller:


    Cassini a-t-il mis, au bon moment, un filtre noir pour ne pas être "aveuglé" par une lumière trop génante venue du pôle sud de la planète? A vous de juger.

    Mais, il y a une explication plus ésotérique, qui consiste à dire, que les commanditaires de la sonde Cassini, ont choisi de montrer uniquement les photos du Pôle Sud de Saturne, au moment précis, où le vortex polaire s'était fermé.

Mais jetez aussi cependant, un coup d'oeil attentif sur le site :


que nous a envoyé le 23/09 2014, notre fidèle amie Aurélia, sur les admirables images :


Et à vous de juger désormais; documents à l'appui...

     Pour Jupiter, on a aussi :

  


     Cependant, il est aussi judicieux de présenter ici, cette image que l'on peut encore apprécier, sur le site :


"
 
WIRO at Jupiter
Credit: A. Kutyrev (SSAI/GSFC), D. Rapchun(GST/GSFC), J. Norris(NASA/GSFC)
R. Canterna & R. Martin (U Wyoming)


      Et avec ce commentaire :

L'observatoire WIRO (Wyoming Infrared Observatory) est situé au sommet du mont Jelm. Les astronomes de cet observatoire ont récemment publié cette image étrange de la plus grosse planète du système solaire, Jupiter. Évidemment, cette image est en fausses couleurs. Elle provient d'un appareil photo numérique de haute technologie qui est sensible aux infrarouges d'environ 2,1 micromètres. Pour pouvoir capter ces radiations, l'appareil est refroidi en utilisant de l'hélium liquide. L'hydrogène moléculaire (H2) et le méthane (CH4) absorbent fortement les infrarouges de 2,1 microns. Les bandes que l'on voit habituellement brillantes sur les photos en lumière visible sont donc ici sombres. Ce n'est pas le cas des brumes situées au-dessus du pôle Nord (en haut), du pôle Sud et de l'équateur, elles réfléchissent la lumière solaire de cette longueur d'onde et elles sont donc brillantes. La très célèbre grande tache rouge est aussi visible à droite. (Credit: A. Kutyrev (SSAI/GSFC), D. Rapchun(GST/GSFC), J. Norris(NASA/GSFC)
R. Canterna & R. Martin (U Wyoming))

13 mars 2003
"


     Mais, il y a mieux, concernant Jupiter, que l'on peut découvrir à notre article :



  

     L'image de droite est directement tirée du site officiel : http://photojournal.jpl.nasa.gov/catalog/PIA07783 , par contre, nous n'avons pas pu retrouver l'Url , donnant l'image de gauche . Merci donc mille fois à l'internaute qui mettra la main dessus, car cette image semble avoir disparu du Web.

     Et en agrandissant tout cela, et en ajoutant un peu de contraste :


     Pas besoin de sortir de Polytechnique, pour voir ici, que l'on a placé une fois encore, une pastille grise de camouflage, des rayons lumineux qui fusent au Pôle Sud de la planète.

     Que dire de plus, devant ces images surprenantes, sinon qu'en Haut Lieu, certains sont vraiment des fervents inconditionnels, d'un drôle de "pastillage"...

     Pour ne pas trop allonger, cette lecture du 17/04/2016, arrêtons ici, cette affaire de lumières polaires, et laissons pour plus tard, le super buzz, découvert par ARTivision, dès 2005, et qui est tel que :


     Mais ce 18/04/2016, disons que la photo précédente vient, chose curieuse, de la NASA en début Juillet 2004, et dont l'url du site est placé à :


     Précisons d'abord que l'image ci-dessus, représente le satellite de Saturne nommé Titan (5150km) ( plus gros que Pluton ( 2280km ) et même que Mercure (4960 km) ), filmé en début Juillet 04, par la sonde américaine Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride :

     On découvre alors ceci en noir et blanc justement :


, puisque nous avons là alors, un semblant d'explication :


     En rouge, on comprend : " Un brillant nuage de particules de méthane apparaît au pôle sud des 3 images. .."

     Oh là ....un "un nuage de particules de méthane", disons que ce méthane, a dû être chauffé à blanc, et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les rayons d'un Soleil, qui, on le sait, est très éloigné de Titan, de près d' 1,5 milliard de Km...

      Et...désormais, c'est à vous de juger en toute connaissance de cause ...

     Puis, poursuivons maintenant en couleur, notre analyse, où l'on trouve aussi ceci :



     Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu ( Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!) . A vous de juger.

     Voyons cela de plus près maintenant, avec des couleurs toujours étonnantes :


     Comme vous l'avez sûrement remarqué, ce qui surprend grandement sur ces premières photos de Titan, c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète, et, vu sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque d'environ 300 Km de diamètre .

     Isolons alors le globe de couleur bleue, et agrandissons le, quelque peu :



      Pas besoin de redire ici, que c'est cet œil surprenant de Titan , extrêmement brillant ci-dessus, qui nous interpelle assurément, et où l'on voit nettement juste en-dessous une sorte réverbération sur les couches de l'atmosphère de la planète prouvant que cette luminosité vient de l'intérieur . (voir le bout de la flèche rouge).

      Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel aux informations de la sonde. Donc la NASA, a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher ce disque extrêmement lumineux, qui est apparu au Pôle Sud de Titan.....

      Nous avons longtemps cherché, dans de nombreuses revues et de multiples journaux, les tenants et les aboutissants de cette affaire de disque brillant au Pôle sud de Titan. Très peu d'explications logiques, nous ont été fournies. C'est ainsi que sur le site :



, On voit cette image :

     On découvre aussi alors, ces propos :

Le 3 juillet 2004 : La surface de Titan

"La sonde Cassini a pu prendre une photographie de la surface de Titan. Titan étant recouvert d’une atmosphère opaque (photo ci dessus à gauche) cette image a dû être réalisée par le spectromètre infrarouge de la sonde. Comme tous les spectromètre il lui est impossible de prendre directement une image de la surface, un spectromètre ne photographiant qu’une très étroite bande. Toutefois il est possible de modifier la position de cette bande affin de "scanner" l’objet à observer et donc prendre une image où on voit Titan avec une résolution verticale de 28 pixels (photo de droite). Selon les interprétations actuelles les zones jaunes sont des mers d’hydrocarbures, le vert de la glace, un nuage de méthane blanc est visible en bas."

     Mais voyons aussi, ce que nous dit la revue "Science&vie" n° 1043 d'Août 2004, comme tentative d'explication de ce disque brillant de Titan.


     Vous constatez donc que l'on qualifie, ici encore, avec une assurance notoire, ce disque superbement brillant de Titan de "champ de nuages de méthane", ce qui diffère peu "du petit nuage blanc", que l'on avait soi-disant repéré, sur Neptune en Août 1989, et qui brillait encore plus. (voir plus haut).

     Encore cette affaire de méthane dont la brillance nous interpelle grandement. Décidément ces scientifiques ont de la suite dans les idées, et savent très bien se passer le mot, dès que possible.

     Notons cependant l'article d'une scientifique astronome à l'Observatoire de Paris et spécialiste de Titan, paru dans le journal "Le Monde" du 10/11/04, et article dont nous avons placé intégralement les importants éléments à :


     De cet article précédent, nous allons extraire surtout la phrase suivante, qui a particulièrement retenu notre attention :

    " Les détails de l'atmosphère font également l'objet de toute l'attention des chercheurs." "Notamment une sorte de nuage" - que l'on appelle ainsi faute de pouvoir mieux le qualifier - qui ressemble à un système météorologique complexe, un vortex tournant autour du pôle Sud de la planète ", raconte Mme Coustenis. "

     Voilà au moins le vocable "Vortex", qui apparaît ici. Nous notons donc bien, que Mme Athéna Coustenis, dit qu'elle ne sait pas, comment qualifier cette sorte de nuage ( elle évite cependant de parler de sa superbe brillance), que l'on aperçoit au Pôle Sud de Titan, tel qu'il se présentait à l'époque selon l'image bleu, que nous replaçons volontairement ici, et dont le diamètre ,nous l'on dit plus haut, tourne selon nos modestes calculs, autour de 300 km :


     Voilà donc, enfin une astronome qui avoue que sur Titan, il y a "une sorte vortex nuageux" tournant au pôle sud de la planète, et vortex, qu'elle qualifie cependant de complexe météorologique. A vous de juger tout cela ...

     Mais ce n'est pas tout, d'autres scientifiques avouent aussi, leur incompréhension du phénomène :

     Ainsi sur le site suivant, qui hélas a disparu du Web ( merci d'avance à tout internaute qui en retrouvera le nouvel url) :
on trouvait alors en 2004 , cette image :



     Et aussi, ces propos surprenants : "Un évènement particulier a été observé en octobre 2004. Le nuage du pôle sud est devenu extrêmement actif (Schaller et al., 2005) et a recouvert toute la région polaire. L'origine du phénomène et sa caractérisation physique sont encore largement inconnus. Il est probable que le "sursaut" de l'albédo de Titan que Griffith et al. (1998) a détecté est en fait un évènement similaire à celui-là.

     Tout est ici, très clair : On ne sait pas du tout de quoi il s'agit...

     Notez bien cependant, la présence du vocable "Griffith", que nous avons déjà évoqué plus haut ..

     Cette luminosité inexplicable d'un disque au Pôle sud de Titan, nous place bien bien ici dans le cas où la science "interprète à la va vite, un fait à défaut d'en connaître sa structure véritable"

     Mais, les zélés détracteurs irréductibles, vous diront, que tout cela est trop particulier ici, et nous devons le classer, dans la catégorie des illusions d'optiques, si chères à leurs habituelles explications...

     Ce que ces détracteurs oublient, c'est qu'ARTivision, a toujours d'autres ressources sous-jacentes, pour appuyer ses dires :

     En effet, le Webmaster, de ce site, a eu l'idée un jour, de se demander, si, au Pôle Nord de Titan, il existe aussi un tel disque lumineux ?

     Hélas nous sommes d'abord tombés sur cette image du Pôle Nord de cet astre, où subsiste une ombre notoire très génante, comme si l'on tenait à cacher quelque chose ou encore, que cela pourrait recevoir plus tard, une explication toute naturelle.



     Mais, le 14 Janvier 2010, Super Hasard, est venu une fois de plus à notre secours, car en pénétrant occasionnellement, dans le site :


, à la rubrique concernant Titan ( faire bouger l'ascenseur à côté de GO jusqu'à Titan) , et alors on y découvre dans le tableau n°1 de 12 clichés, cette extraordinaire image :


, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.

     On peut retrouver aussi bien sûr cette photo de Titan, sur le site officiel de la NASA :


tel que l'on trouve ce montage :


     Vous avez bien lu, nous l'espérons la mention "The cassini spacecraft will look for a glint of sun light reflecting off a methane lake", que nous traduirons grosso modo "la sonde Cassini regardera un reflet d'un rayon du soleil qui s'est réfléchi sur la surface d'un lac de méthane".

      Comme vous le voyez, c'est de la NASA elle-même, qu'est sortie cette fumiste explication, que bien d'autres revues ont reproduite, sans même voir qu'elle était nulle et non avenue...

     Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :


     Puis, voici l'image de cet entrefilet :


     Et voici maintenant le texte important de cet entrefilet (Les couleurs sont de nous bien sûr):

TITAN.

Un point lumineux récurrent.

      La NASA a dévoilé, samedi 18 Décembre 2009, une incroyable photographie de Titan. On y découvre une forte lueur jaune qui serait selon l'agence le reflet du soleil sur un lac de méthane.

     Ce "reflet spectaculaire" au pôle nord a été photographié par la mission Cassini depuis l'hémisphère nord de cette lune.

     Curieusement, par le passé, la NASA, nous a déjà montré plusieurs photos de Titan montrant déjà la même lumière au pôle Sud. Une première fois la NASA avait parlé de nuages et une autre fois de "tempête tropicale"... Nous vous parlions déjà de cette anomalie dans les news de TOP SECRET N°20, N°30, et aussi dans le Hors Série N°1 page 55-56. Sur certaines images la lumière semblait même jaillir de la planète. Alors ?

     Après nous avoir parlé de nuages de méthane, ou de tempête tropicale, et maintenant de lac de méthane, la question que nous avons envie de poser à la NASA, c'est comment expliquer qu'il y ait toujours ce même "reflet", très brillant, à la même place et d'un même diamètre ? Cette lumière n'est-elle pas plutôt issue de l'intérieur de Titan ? Ce qui nous ramène une nouvelle fois à l'hypothèse des "Planètes creuses"...


     Fin de l'entrefilet.

      Cette explication officielle, ne tient donc pas du tout debout, pour ce disque polaire nord si brillant ..., surtout si l'on sait, d'après les dires des savants officiels. que le Soleil est très loin de là, et que sa lumière devrait arriver à bout de souffle à cet endroit. En effet nous vous invitons alors à découvrir en page 44, ce qui est écrit dans le n° Hors Série de Mars 2008 de la revue Science-Vie que voici :



, et qui confirme ce qui précède :



     Vous avez bien noté, le passage souligné en rouge, qui précise que le flux de lumière est 900 fois plus faible qu'au voisinage de la Terre. Et pourtant ce flux de lumière, très affaibli, est arrivé tout de même, à nous faire une superbe réflexion sur un hypothétique lac inconnu de Titan .

     On a du mal n'est-ce-pas, à ne pas se tordre de rire... à la lecture de cette aberrante incongruité.

     Mais il existe aussi un fait incontournable qui démolit totalement la thèse délirante, des partisans du disque lumineux nord de Titan, venant d'une réflexion parasite sur d'éventuels lacs inconnus de méthane et consorts, miraculeusement bien placés sur la surface de Titan.

      En effet, dès le 5/07/10, nous avons eu le bénéfice, de découvrir dans une Grande Surface de notre environnement, la revue de vulgarisation scientifique, Science Magazine26 des mois de Mai-Juin-juillet 2010 :


et, notre attention a été encore bien sûr, très retenue , par l'image inouie en question, du Pôle Nord de Titan :


      Extrayons-en alors de cette revue quelques titres et paragraphes significatifs que nous transmet un responsable des programmes d'explorations du Système solaire du CNES:


     Et, mettons bien en relief ceci :


     Le fait important à souligner ici est que Titan, a une atmosphère environ, 12 fois plus épaisse, que la nôtre (1200 km au lieu de 100 km).

      Dans les images précédentes, nous avons souligné en rouge les termes qui nous interpellent directement. Ainsi donc, à près de 1,5 milliard de Km, les rayons faiblards de notre Soleil, arrivent à percer sans problème, une atmosphère environ 12 fois plus épaisse, que la nôtre et ensuite, ces rayons ( dont l'incidence d'arrivée joue un très grand rôle, presque magique) vont aller se refléter sur les zones sombres lisses (où le radar lui-même n'a pas d'écho), et retraverser cette épaisse atmosphère très dense pour donner ensuite cette source ponctuelle très lumineuse au Pôle Nord de Titan. Même si l'on imaginait que les lacs de méthane en question se trouvaient par magie, sous la forme d'un plasma chauffé à blanc, par une énergie inconnue et providentielle, cela ne marcherait pas à cause de l'épaisseur de l'atmosphère de Titan.

      Donc toute cette explication officielle, ne tient absolument pas du tout debout, d'autant plus que ce spécialiste des programmes d'exploration du Système solaire du CNES, évite soigneusement de comparer cette situation lumineuse insolite du Pôle Nord de Titan, avec celle vue déjà plus haut, encore plus extraordinaire du Pôle Sud de cet astre.

     Que celui qui a bien lu tout cela, en tire le bienfait illuminatoire qui s'impose, et surtout le désir latent d'en savoir plus.

     Mais ce 20/04/2016, disons qu'il faut dans cette affaire de disques brillants aux Poles de Titan, et de bien d'autres astres de notre Système Solaire, est une affaire dont le niveau du secret des gouvernements est au-dessus de tous les autres que l'on pourrait imaginer, et donc tout est fait, pour nous cacher au plus haut niveau, la Vérité sur cette affaire qui concerne, cela va de soi, l'Humanité entière.

     En voulez-vous une preuve flagrante ?

      Le 21/09/2012, nous avons eu l'heureuse opportunité de découvrir dans une Grande Surface voisine de chez nous, le N° 508, de la revue d'astronomie "Ciel&Espace" de Sept. 2012, donc voici la couverture :


et en feuilletant ce fascicule, nous sommes tombés en arrêt, devant cette image en page 55 :



     Mais, nous avons déjà parlé plus haut, de cette ridicule explication,

     Cependant à la même page 55 de cette revue, on trouve ceci :



     Nous découvrons alors dans cette déclaration concernant la sonde Cassini-Huygens qu'elle est prévue " pour durer 4 ans, et que sa mission devrait se poursuivre jusqu'en Septembre 2017. Et elle aura alors, dit-on effectué 127 survols de Titan, scannant toute la surface en radar et en infrarouge" .

     Si nous calculons toute cette affaire en jours de l'année, nous voyons qu'en 2004 à partir du 3 juillet 2004 compris, jusqu'en fin 2004, cela fera 182 jours. Puis en comptant les années bissextiles de 2005 jusqu'en fin 2016, cela fera 4383 jours, et en ajoutant les 253 jours de Janvier 2017 à fin Septembre 2017, on arrive au total de 4818 jours, correspondant à ces 127 vols de Titan. Mais du 3 juillet 2004, à aujourdhui 20 Avril 2017, on trouve 4310 jours . Un calcul élémentaire, tel que (4310 x 127) / 4818, donne environ : 113,609... que nous arrondissons, vite fait à 114 rotations de Cassini autour de Titan, jusqu'à ce jour...

      . On s'étonne donc alors franchement, que dans ces 114 survols, déjà effectués, qu'aucune autre photo, du superbe vortex sud de Titan, n'est apparue dans les sites de la NASA, et dans les colonnes de la Presse spécialisée, et il en est de même bien sûr pour la très insolite photo du Pôle Nord, de cet astre, justement vue plus haut...

     Que sont donc devenus tous ces autres clichés fantastiques des pôles de Titan, qui, on l'a vu, nous interpellent au plus haut point ?

     A vous de juger, une fois de plus, ces anomalies notoires et saugrenues ...

      Certains internautes nous disent alors : " Et la planète Vénus, vous semblez l'avoir mise de côté "...

     Voici alors ce que nous pouvons en dire :

     A la page 129 de son livre en français :

  

     Rappelons pour les puristes, que cet ouvrage (de gauche), est une modeste traduction, de l'ouvrage américain que Raymond Bernard a publié dès 1964, et ouvrage (que nous avons aussi la très grande chance de possèder) :"THE HOLLOW EARTH", the greatest geographical discovery in history, chez l'éditeur FIELDCREST aux USA :

  

R.Bernard nous écrit: "Si les pôles de Mars sont vraiment couverts de glace ou de neige, comment expliquer qu'il en soit de même pour ceux de Vénus qui est une planète plus chaude ? De même, pourquoi les prétendues calottes glaciaires de Vénus ne décroissent-elles pas à l'exemple de celles de Mars ?

  Nous voyons donc que l'auteur était très documenté pour l'époque sur les manifestations planétaires, car nous personnellement, nous n'avons pas eu la chance de tomber sur les documents ou revues montrant ces bizarreries des pôles de Vénus.

     Mais voyons ce que le livre très récent déjà cité, des Editions Félix ( Livre Jaune n°6) nous dit au sujet de la mystérieuse Vénus.

     "Même aux pôles de Vénus, il se produit des phénomènes que l'on ne peut expliquer. Richard Baum, président et membre de la British Astronomical Association, raconte qu'il a observé des dépressions et des élévations dans les régions polaires . C'est un phénomène qui a déjà été observé au cours des siècles passés. Bien que l'on accepte l'observation de "collines" dans les régions polaires, on a beaucoup de mal à accepter les dépressions, car elles font penser aux images des défenseurs de la théorie de la Terre creuse. Malgré tout, en 1970, R. Baum a insisté pour faire remarquer que des astronomes anglais et américains avaient bien observé des dépressions à un des pôles de Vénus. Ces observations laissent à penser que l'atmosphère de Vénus monte et descend au-dessus des pôles. Il semble que l'atmosphère soit happée et ensuite rejetée par l'ouverture polaire, comme conséquence des différences de température par exemple.Jan Lamprecht pense avoir trouvé pour cette raison une explication à la "super-rotation" de l'atmosphère vénusienne. Celle-ci tourne en effet plus vite que la planète, ce qui ne donne aucun sens, sauf si on part du fait que l'atmosphère est aspirée vers l'intérieur de la planète et ensuite rejetée. Ceci pourrait être une explication plausible. Au cours d'une éruption solaire, la station orbitale Skylab est sortie de son orbite. Les scientifiques qui devaient trouver une explication à ce phénomène ont pensé que l'éruption solaire pourrait avoir dilaté l'atmosphère terrestre. Ou alors, l'atmosphère a-t-elle été poussée vers le haut, parce que des masses d'air s'étaient échappées par une ouverture au pôle ? Est-il possible que l'atmosphère terrestre "respire" comme celle de Vénus ou de Mercure ? Sur la face sombre de Vénus, on a observé à plusieurs reprises des lumières rondes d'un diamètre de plusieurs centaines de kilomètres. Ces lumières rayonnent à travers l'atmosphère très dense de la planète et ne peuvent provenir que d'une source interne à la planète. Nous avons déjà parlé des soleils qui se trouvent à l'intérieur de chaque planète. Il semble que ces lumières sur Vénus viennent de ce soleil intérieur, qui brille à travers les ouvertures des pôles et qui traverse l'épaisse couche de nuages. Parfois la face sombre de Vénus est complètement éclairée. Des études spectroscopiques ont montré que la lumière est produite par des atomes d'oxygène qui disparaissent aussi rapidement qu' ils sont apparus. L'oxygène est-il aspiré à l'intérieur de Vénus et rejeté par les vents circulaires ? De même, on a observé de temps en temps une luminosité inhabituelle dans les régions polaires, que l'on ne peut expliquer . Comment ces régions pourraient-elles être lumineuses alors que le soleil y brille à peine ? Des photos de satellite montrent le même phénomène sur Mars, Jupiter, Mercure et d'autres planètes. Il n'y a qu'une seule explication logique les régions polaires sont lumineuses à cause du soleil intérieur qui y transparaît. "

     Nous ne ferons aucun commentaire sur ce texte, n'ayant presque pas de photos sur cette affaire des pôles de Vénus.

     Voici cependant une image découvert en fin Février 2001, grâce à la perspicacité de notre ami Saüquere Roch sur le site :



     Nous aimerions bien trouver une explication à cette étrange luminosité centrale et à ces tourbillons en forme de Vortex. 

     Mais, c'est encore grâce à l'ingénieuse perspicacité de l'ami Saüquere Roch, que nous avons enfin pu mettre la main, le  28 Mars 2001, sur  ces dernières photos ci-dessus représentant les phases de Vénus et où l'on voit parfaitement, une luminosité notoire et caractérisée apparaître aux pôles de la planète.


     Il y a t-il, comme, on le prétend pour Mars, une calotte polaire glacée, aux pôles de Vénus...?  Nous attendons vos suggestions avec ferveur...


     Mais toujours pour les puristes, qui aiment remonter aux sources d'une information, voici un petit plus, concernant Mars :

    Voyons maintenant en page 80 bis, du livre de Gardner :

  


, le montage mosaïque, réalisé dès la fin de Sept 1902 , par l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :



     Traduisons grosso modo, le texte de l'image : " Vues de Mars prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."

    Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :

  


    Pour mieux encore illustrer tout cela, voici quelques autres images de Mars, déjà présentées sur notre site :

  


    Pas mal, n'est-ce pas, ces "couvre-chefs lumineux", bien en relief, au dessus de la planète !!!

     Mais d'autre part, nous avons reçu, il y a bien longtemps, de notre ami M. Hertzog, si souvent évoqué dans nos articles, cette étrange photo de Mars, qui ressemble plutôt, à un tableau d'artiste, mais qui montre aussi, cependant, une calotte polaire très brillante :



     Cette photo provenait à l'époque du site :

    Nous avons écrit au site : http://www.astronomyforum.net/sendmessage.php, pour savoir quel télescope avait pris cette photo et si elle avait été retouchée par la suite ? Hélas nous n'avons jusqu'à présent reçu aucune réponse. Peut-être qu'un intrépide internaute, aura plus de chance que nous ! Courage donc....

     Cependant, nous constatons que cette photo, est étrangement ressemblante, à celle qui suit, et qui est placée , elle, dès 1920, en page 68 bis du fameux livre (déjà présenté plus haut), de Marshall B. Gardner. (Nous avons mis en français le texte qui apparaissait sous la photo).



    Quant à prendre en considération, les documents de la NASA, où figurent certaines images, des pôles de Mars, comme par exemple, celles-ci :

  


, c'est du temps totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile actuellement pour la NASA, de trafiquer des photos à sa convenance.

     Nous avons même, la preuve que cet organisme, considère le commun des mortels, comme un mouton innocent, à qui on peut faire avaler n'importe quelle couleuvre mal dégrossie.

     Faisons justement à ce sujet, une autre digression, qui nous montre que l'on nous cache, par exemple, aussi, la Vérité, au sujet de la Lune :

     En effet, voilà Messieurs les puristes, ce que noir sur blanc, vous trouverez de très significatif, dans notre incontournable article :


Début de citation :

      " Reste à fouiller, Messieurs les psychiatres, psychologues, sociologues, philosophes et consorts zélés modernes, ce que Alfred Nahon sous-entend par son "ON SAIT", vu plus haut . Déjà dans le même n° 5 du 28 Mai 1955, dont il est question ici, Alfred Nahon, nous avait subrepticement glissé en page 3, cet entrefilet remarquable :


     Pour Alfred Nahon, c'était déjà une grande avancée, qui sous-entend , que les soucoupes volantes, pouvaient venir de la Lune.

     Mais, le site ARTivision, a bien d'autres moyens, qui n'existaient pas à l'époque, pour étayer cette thèse :

     En effet, sur une vidéo visible sur le site :


     On voit alors parfaitement ces structures insolites, que les détracteurs zélés en question qualifieront vite fait d'illusion d'optique sur un relief tout à fait naturel...



  

      Et il y a aussi ceci, venant du site http://www.Banlin.fr, et photo qui fut projetée lors d'une la conférence à Barcelone par Robert DEAN et alors les médias complices se sont pourtant lamentablement tus


     Mais ce qui nous réconforte ici, est de savoir que ce grand chercheur que fut Alfred Nahon, a eu le temps de découvrir, avant son décès en 1990, l'ouvrage paru 19 ans plus tard de l'écrivain Patrice Gaston dans son livre "Disparitions Mystérieuses" paru chez R. Laffont en Janv. 1974 dans la prestigieuse collection "Les énigmes de L'univers" :

    

     Et voici, un bref aperçu de la page 232 :

     " Les savants n'ignorent pas que la Lune est habitée, qu'une activité fantastique s'y déroule depuis des lustres, que parmi les milliers de photos qui ont été prises de son sol, il en est qui sont "la" preuve d'une d'une vie sur le satellite. Mais la NASA se tait. Sans doute attend-elle qu'on lui donne le feu vert pour faire - publiquement - des révélations. Ainsi , la conquête spatiale prendra-t-elle sa véritable dimension...."

     Ce n'est pas, à notre avis, la conquête spatiale qui aurait pris une autre dimension si la NASA avait parlé, mais c'est toute l'humanité qui aurait pris un autre visage... sans doute plus fraternel et certains conflits à revendications militaires commerciaux et souvent religieux, n'auraient plus de raison d'être.

     Bravo donc aussi à l'Editeur R. LAFFONT, d'avoir osé publier en 74, (cela fait déjà 42 ans, en 2016), une déclaration aussi fracassante, qui pourtant aurait dû inspirer davantage les détractreurs psycho-sociaux mentionnés plus haut, qui continuent à fourrer la tête sous le sable, pour ne pas nuire, à leur petit confort intellecturel et social, surtout qu'ils ont toujours la possibilité d'avoir en mains le livre de d'Alfred Nahon présenté déjà plus haut :

et qui fut, nous l'avons dit, le premier livre en France à faire état de cette super structure gigantesque, placée sur la face cachée de la Lune, et visible dans le Paris Match 1028. D'où, l'image déjà vue plus haut :


Très surprenant tout cela, n'est-ce pas !!! "

      Fin de citation .

     Allons plus loin en effet, car Monsieur John M. PRYTZ, s'il était un chercheur curieux, aurait pu aussi se demander à l'époque ( avant 1970, bien sûr), pourquoi, la NASA, n' a-t-elle pas envoyé plutôt (dans les missions Apollo 11 et 12, qui ont soi-disant, exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible, des traces de plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ 5m et 25m de large, pesant des centaines de tonnes, et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ?

    En effet, en Août 1967, que la sonde américaine "Lunar orbiter V", a photographié (Ref. NASA 67-H-1135), nous l'avons dit, à l'intérieur du cratère Vitello, sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs, et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui-même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes), deux pistes d'inégales longueurs, laissées par deux objets, brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours. Dans l'image de droite, nous avons matérialisé en blanc les deux trajectoires :

  


    Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur, pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m. Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m) alors que la Lune (nous dit-on), n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?

    D'ailleurs on constate que le fond à gauche de ce cratère est parfaitement jonché de structures blanchâtres ayant des formes géométriques remarquables surprenantes, qu'un meilleur grossissement fait par des spécialistes (ce que nous ne sommes pas) devrait mettre très bien en évidence.

    Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?

    Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck très connue, mais qui pèse 6 fois moins sur la Lune), a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale ( environ 25 m), et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?

    Notons l'explication pour ce cas de la revue Science et Vie de Mars 1968 n° 606 page 71 : "Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".

    Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but , selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "ait glissé", juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière ? Il n'y a pas d'atmosphère dit-on sur la Lune pour le tenir en suspension. Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus que ce bloc avait bougé ? Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé", en même temps, de deux endroits différents...! et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul. Voir l'image 2 ci-dessous:


      On est aussi troublé par le fait que les infographistes qualifiés, ne se sont pas du tout bousculés, pour nous mettre cette stucture insolite en 3 D, en dépit des moyens toujours plus modernes qu'ils ont à leur disposition ces temps-ci... A vous de juger, documents à l'appui...

       Fin de la digression.

      Mais ce 21/04/2016, avant de plonger dans le concept n° 10 de Monsieur John M. PRYTZ, disons que ce monsieur aurait pu avoir aussi la grande chance de tomber sur l'ouvrage publié en 1969 "The Moon" de l'astronome Mr Zdenek Kopal chez l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, (déjà présenté plus haut) , où l'on découvre la photo très rare suivante :


     Cette photo a aussi, été présentée dès 1973, par notre ami (hélas décédé en 1990) Alfred NAHON, dans son remarquable ouvrage "La Lune et ses défis à la Science", paru aux Editions Mont-Blanc.

  

     On y voit clairement dans le cercle indiqué un engin indiscutablement non naturel, entrain de "raboter" la partie droite du cratère Copernic. Il va sans dire que cet engin peut parfaitement être sans roues, et antigravitationnel, c'est-a-dire qu'il utilise des énergies inconnues de nous, pour extraire du sol du cratère, des minéraux utiles aux occupants. La poussière lunaire, peut donc s'y coller progressivement, et surtout s'y détacher en fonction des directions rectilignes empruntées pour le transport de ces minéraux. Cela est à l'origine de la blancheur du cratère, et des fameuses rayures concentriques blanchâtres, que l'on découvre autour de ces cratères d'exploitation minières, comme le cratère Tycho, avec ses 85 km de diamètre

  
Cratère Tycho , et ses rainures centrales, bien insolites

     Si vous avez une meilleure explication du phénomène, soyez assez aimable de nous l'envoyer, afin que nous puissions la publier, dès réception....

    N'empêche, qu'il faut vraiment, vouloir imiter l'autruche, pour dire, que ceci qui suit (et déjà présenté plus haut) , est tout à fait naturel :


     Si l'on sait que ce cratère Copernic mesure environ 93 km, un calcul élémentaire donne pour la largeur de l'engin excavateur, près de 12,4 km, que nous arrondissons volontier, à cause de l'imprécision de nos mesures à : 12 km.

     Comment donc, il se fait, qu' un engin de près de 12 km, est passé totalement inaperçu dans les colonnes des revues d'astronomie et consorts analogues et cela bien avant 1973, date de publication du livre d'Alfred NAHON ?

     Bien sûr, aucune autre photo moderne de Copernic, ne nous présente ce super engin excavateur, et nous formulons ici, le grand espoir qu'un courageux infographiste, pourra enfin, nous mettre en 3 D, cette super-structure, tout à fait hors normes.

     Pour les puristes, et sur le site :


,voici où se situe, sur la Lune, le cratère Copernic :


      Venons en maintenant ce 21 Avril 2016, au dixième concept élaboré, par le sieur John M. PRYTZ pour nier, on le sait, la Théorie de la Terre Creuse, et voici donc, notre Dixième focus , qui correspond à cela :

      Notre modeste traduction donne :

     " Le pôle Sud et son environnement de 5 300 000 milles carrés ( 13 727 000 km²), à l'inverse de l'Arctique, n'est pas un océan, mais une terre rigide, couverte cependant d'une calotte de glace de plusieurs milliers de pieds, (plusieurs milliers de mètres) d'épaisseur. Cette zone a été explorée, par air et à pied, particulièrement durant l'expédition de la IGY (Année géophysique Internationnale, et pas ICY à cause d'une faute de frappe) de 1957 à 1958. Naturellement, aucune ouverture Polaire n'a été détectée. "

        Pour illustrer d'abord, cette affaire de IGY, disons que c'est dans la revue Popular Mecanics de Février 1956, dont voici le haut de la couverture :


, qu'à la page 122, que l'Amiral Byrd, nous explique, ce que sera l'Année Géophysique Internationale en anglais IGY, qui devrait s'étendre de 1957 à 1958 :


    Comme on le voit, les savants auront du pain sur la planche, et devront même envisager de lancer un satellite spatial (le premier viendra en effet le 4 Oct 1957 par l'URSS), et aussi d'étudier entre autres choses les aurores polaires...

        Pour ensuite, compléter, le propos de ce Monsieur PRYTZ, présentons maintenant, cet admirable croquis du Paris Match n° 1088 du 14 Mars 1970 :



où, l'on voit que l'épaisseur de la glace peut monter jusqu'à la hauteur extraordinaire de 4200 m .

     Voici deux autres photos mosaïques, (qu'apprécierait assurément Mr PRYTZ) , des deux pôles que l'on doit à la discrétion de l'agence Planetary visions



    La légende peu lisible de cette photo est alors : " Les Zones gelées proviennent ici d'une mosaïque d'images prises par le satellite militaire américain DMSP, au printemps arctique et au printemps antarctique. L'évolution de la banquise (mer gelée), est sans incidence sur le niveau de la mer. Seules les glaces reposant sur la terre ferme en ont une. Aux dernières nouvelles, les glaciers d'Alaska, qu'on aperçoit joueraient actuellement un rôle plus important que le Groenland ou l'Antarctique."

       Mais mieux encore, ce Mr PRYTZ, apprécierait certainement (s'il était encore vivant), sur le site
, cette image de l'Antarctique :


     Mais, il resterait plutôt muet de stupéfaction, devant ces 4 autres images de l'Antarctique :

  

  

      Le Mardi 11 Mai 2010, nous avons eu l'avantage de recevoir de l'internaute Didier B...., la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Didier B........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Tuesday, May 11, 2010 5:47 PM
Subject: Envoi d'un message :Une photo satellite du Pôle Sud : n°P-019-0049-5054.jpg


      Bonjour Fred ,

    Voici une photo satellite du pôle sud qui ne manquera pas d'intéresser tes lecteurs.
     En effet, vers le centre du continent antarctique, on distingue nettement une forme circulaire évoquant un cratere ou bien un trou vers le centre de la Terre. Je ne peux helas pas te donner la source, qui est asiatique d'apres les caracteres incrits sur l'image.

    Merci pour ton travail et bonne continuation.

        Didier B........

     Agrandissons donc ce disque insolite :


    Pour ARTivision, il ne s'agit pas bien sûr, d'un cratère gigantesque, ou d'un trou tout aussi immense, mais simplement d'une pastille de camouflage, qui cache au commun des mortels, des lumières qui lui seraient inexplicables.

     Mais sur le site déjà présenté plus haut :


,on découvre aussi, cette image de l'Arctique, avec un disque noir qui surprend :


    Et le 16/08/2009, il y avait aussi sur ce site ceci :



    De nombreux internantes se sont évidemment demandés, la raison de ce curieux disque noir, placé au-dessus du Pôle Nord...

    Voici une réponse :


     Et en voici, une autre, plus académique :

     En effet, le 21 Mai 2006, un certain internaute Fabrice C....., nous a interpellés sévèrement pour nous dire, avec une assurance à toute épreuve : " Eeeeh.. oui, il ne faut pas d'explications, quand il est EVIDENT qu'il s'agit de la limite de la couverture satellitaire... Mais bon, tant de naïveté offensée est rafraichissante. Vraiment. "

     Cette assertion péremptoire de l'internaute Fabrice C....., avait été initiée par cette affaire hallucinante, de la photo venant de la revue bien connue Science&vie de Novembre 2004, numéro 1046, qui montre sans aucune explication, un superbe disque noir, au centre de l'Antarctique :



     Sous le disque noir, on voit cependant parfaitement, fuser clairement tout autour du disque des rayonnements lumineux surprenants".



    La légende qui présente cette photo dans le n° en question est simplement: "L'Antarctique est surveillé de prés par Envisat"

    Il va s'en dire que cette gigantesque pastille noire , n'est pas , par hasard, et une fois encore, elle vise à masquer une chose incroyable qui s'impose à nous, et donc le satellite Envisat semble bien avoir, quelques trous dans ses mémoires électroniques, d'autant plus que l'on aperçoit nous (l'avons montré plus haut), des faisceaux très lumineux sous-jacents, tout autour du disque noir.

    Ce qui est plus extraordinaire, c'est qu'une revue, qui a pignon sur rue, dans le monde des médias, se permet de présenter une photo de l'Antarctique avec un disque noir gigantesque, sans aucune explication.

    Bien que l'on sache que cette photo est une photo mosaïque (il a fallu de très nombreux passages du satellite pour l'obtenir), et qu'en plus, on sait aussi qu'aucun satellite déclaré ne passe juste au-dessus des pôles, (le satellite bien connu Spot non plus : voir l'affaire de Jamy Gourmaud, dans notre article: Byrdsuite.html), on demeure confondu devant tant d'insouciance et de désinvolture, vis à vis des lecteurs de cette revue. ( A vous de juger...)

    Mais, cependant, il est à noter que l'internaute Fabrice C......, et le Guihem en question, et bien d'autres inconnus qui se sont gonflés de jubilation, en nous lançant à la figure, cette histoire de la limite de la couverture satellitaire, si évidente pour eux, sont lamentablement restés muets, quand nous avons présenté, dans nos articles, cette photo assurément trafiquée, du pôle nord de Jupiter, extraite du n° 266 de la revue Ciel&Espace de Février 1992 :


     Evidemment, ce qui saute aux yeux, encore une fois, c'est cette pastille noire, mais en plus quasiment rectangulaire, placée juste au pôle, et sous laquelle, on voit nettement là encore, fuser des rayonnements lumineux notoires.

     Que fait , cette obscure pastille très géométrique ? Elle n'a rien à voir, ici, bien sûr, avec une limite satellitaire quelconque, n'est-ce pas !!!. Hélas nous n'avons pas reçu, une seule réponse