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Au cours des âges, nous avons amplifié et amélioré le réseau de galeries menant aux cités souterraines et à la surface, afin de faciliter les déplacements de nos concitoyens et des vôtres. Bien que les tunnels n'aient été que rarement employés par des voyageurs de chez vous, ils serviront prochainement, lorsqu'un nombre croissant d'entre nous se mêlera à vous et que nous nous rendrons mutuellement visite. La face externe de votre planète est donc parsemée d'entrées de tunnels conduisant à nos cités et à leurs agglomérations".
L’astéroïde Cérès, le plus gros représentant connu de la ceinture principale
d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du
même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de
continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu une planète. La forme
sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet homogène, possédant un
cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine dans la revue Nature.
De nouvelles observations menées en décembre 2003 et janvier 2004 par le
télescope spatial Hubble montrent que Cérès est un objet sphérique, pas aplati,
suggèrant que sa forme est contrôlée par une force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de la
matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University), et ses
collègues.
Cérès
pourraient donc être composé de deux couches : un cœur rocheux et un manteau
riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines lunes glacées du
système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus définitive, les
chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue pour rendre visite
à Cérès et à Vesta, et qui
se mettrait en orbite autour de Cérès en 2015.
Cécile Dumas
(09/09/05)
;Fin de
citation.
Vous constatez effectivement, comme le souligne
l'internaute Claude, que dans cet
entrefilet, il n'est question nulle part, de
cette lumière éclatante , qui
éclabousse Cérès, et que montre la toute petite photo présentée plus haut si admirablement, par Mme Cecile
Dumas. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de
notre Soleil sur de la glace de l'astéroide? Aucune suggestion, ne
nous est proposée. A vous de juger ce mutisme
notoire...
Mais, le même jour
on découvrait aussi sur le site :
,
alors ceci :
où, chose très
surprenante, on ne voit aucune photo de
Cérès, cette fois-ci. Il était donc préférable en effet de ne pas montrer la photo
troublante, dont on avait aucune explication
connue, à présenter, concernant le disque lumineux
éblouissant, et surtout très embarrassant...
A vous donc de juger cette distortion
stupefiante.
Mais, à la même époque, il y a eu
aussi, cet entrefilet qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE",
qui est offert gratuitement. Il est daté du 13 Septembre
2005 :
Vous voyez que là, au moins, nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km, et
surtout que les astronomes disent qu'ils n'ont
pour l'instant aucune explication à
proposer, au sujet de cette tache blanche très
lumineuse, qui apparaît sur les
photos....
Plus tard, le 22/11/05, nous avons eu le privilège de rentrer en
possession du "Ciel&espace" n°426 de Novembre 2005, où, nous y avons trouvé
l'entrefilet suivant :
Donc, nous découvrons ici, que
contrairement à l'entrefilet du "Nouvel Observateur"
en date du 09/09/05, sous le plume de Cécile Dumas, où nulle part, il n'est fait état de cette éclatante lumière, visible sur chacune des 4 photos
présentées,(sans doute ces
gens-là portaient-ils des lunettes ayant un fort pouvoir obscurcissant),
ici, on reconnaît même, que cette tache claire (notez bien l'adjectif "claire", qui banalise l'affaire et s'oppose à notre
expression "éclatante lumière"), est si nette,
qu'elle a permis de mesurer la période de rotation de Céres sur lui-même, soit de 9
heures.
On nous suggerre là, dans
l'entrefilet ci-dessus, que la tache "claire",
serait peut-être due à un cratère d'impact, sans
toute dans une couche de terrain fait de matériaux calcaires (style albâtre gypseux), qui justifierait cette blancheur notoire. Pourquoi pas ! A moins que l'on
découvre aux antipodes de ce cratère, un frère jumeau
d'une blancheur analogue. Dans ce cas, cette hypothèse relative à un cratère
d'impact, serait plutôt sujette à caution, n'est-ce
pas ? Hubble détient, sans doute, la clef de ce
mystère.
En conclusion, dans ces deux entrefilets
cités, voilà deux poids variables et deux mesures bien différentes, pour le même
phénomène, qu'Hubble a eu la grande ingéniosité de nous
dévoiler, au grand désarroi (on le sent bien), des spécialistes de l'espace,
dont il est question plus haut, et qui ont souhaité s'exprimer sur cette
affaire.
A vous de juger tout
cela ...
Nous avons alors, en début d'Octobre 2005
pousser l'audace, jusqu'à demander par l'intermediaire de Mme Régine Françoise Fauze, qui channellise Le collectif Soria, formé, on le sait,
de 4520 entités cosmiques
, de nous en dire plus sur l'affaire, et le 13/10/05, nous avons été comblé par le fait, de recevoir
ces fantastiques mots :
Nous avons évidemment
imméditement fait un petit calcul, qui tient compte
du diamètre de 930 km de
Cérès, et de celui de la Terre de 12760 km. Donc toute proportion gardée, s'il elle existe,
le diamètre du soleil
intérieur de notre planète Terre, serait donné par l'expression :
d = ( 960 x 930) / 12760 km = 947, 69583...km et pour
simplifier, nous arrondissons alors à 950 km, ce qui
est bizarrement très voisin du nombre de 960 km, avancé en 1920, par
Marschall B.Gardner auteur de l'ouvrage
(très souvent présenté dans de
nombreux articles) :
D'abord en anglais et en
milles :
Puis en français tiré du
livre, quasiment introuvable, et très cher :
Et en km, on alors :
Mais pour certifier tout cela, il
faudrait d'abord pouvoir filmer l'autre hémisphère de
Cérès, et voir ainsi si l'on y découvre aussi une
lumière éclatante similaire.
Donc, dans
cette affaire extraordinaire de Cérès, nous voyons que, dans ces entrefilets,
la question de la lumière
étrange, apparaissant à la surface de cet astéroïde telle que
:
, a embarrassé assurément certains observateurs, qui ont préfèré, (comme dans le premier cas cité, plus haut), pour éviter d'expliquer tant soit peu, la présence de ce disque
lumineux qui, carrément,
nous éblouit et nous subjugue...
A vous de juger cette affaire, documents à l'appui..., et affaire qui prouve bien que
cette histoire de planètes creuses, avec un soleil
central, est très dure, même actuellement, à
encaisser, et on fait tout pour éviter d'en
parler.
Mais concernant
Cérès, (nous avons déjà évoqué cette affaire plus haut), nous tirons du
site :
Voyez vous-même cela ;
Selon le chercheur Christopher Russell : "Les scientifiques de Dawn peuvent maintenant conclure, que la
luminosité intense de ces zones est due à la réflexion de la lumière solaire par
un matériau hautement réfléchissant sur la surface, éventuellement de la
glace."
"Il reste maintenant à confirmer qu’il s’agit bien de
glace", dira ce chercheur...
De
la glace, sur ce corps
céleste aride sans atmosphère, et ni eau, ni air ? Et bien sûr, on nous
dira, que cette glace, viendrait d'une
comète...
Mais, ARTivision.fr, se tord de rire, à cette explication, car ces
lumières possèdent une configuration ayant de nombreux
angles droits, qui en aucune façon ne sauraient être, l'effet du hasard...
Mais, (on
l'a vu aussi plus haut), il y a sur Cérès, "cette sorte de
pyramide", aussi haute que les
Alpes, et très exceptionnelle :
Nous attendrons
sans doute longtemps encore, avant que,
les cosmologistes et consorts astronomes assimilés,
nous donnent une seule petite explication orthodoxe, des phénomènes étant à l'origine des
configurations des structures précédentes bien
étranges sur Cérès . N'est-ce-pas !! .
Nous pourrions, (et nous l'avons déjà fait, dans de nombreux autres
articles), présenter ici, beaucoup d'autres structures insolites, Comme les structures très insolites
découvertes sur Éros, dont voici une :
qui nous subjugue
énormément), et cela prouve de manière
incontournable, l'expression d'une vie assurément
intelligente, qui se manifeste péremptoirement dans notre
Système Solaire, (et ce
qui pourrait peut-être calmer les ardeurs culturelles désuettes des jihadistes
décérébrés et autres Talibans attardés) , et cette
évidence a été occultée systématiquenent, au commun
des mortels, (mais rassurez-vous, les hauts
dirigeants eux, sont parfaitement au courant)
.
Mais
nous voilà arrivés dès lors, au 14 Septembre 2021, et compte-tenus des bidouillages qui
précèdent (Voir
plus haut : suppression des images de Cérès,
dans l'entrefilet du Nouvel Observateur en
date du 9/09/05 à 9h28, et
surtout l'absence totale de la
même image:
dans le soi-disant documentaire
sur Cérès de la chaine Discovery Science), alors deux conclusions péremptoires s'imposent :
a) - Soit ces éditorialistes et consorts journalistes en question,
n'ont pas trouvé, la moindre hypothése de
leur cursus culturel scientifique
universitaire, pour expliquer le phénomène en question et il étaient
donc préférable de le camoufler sans aucune
réticence.
b) - Soit en conséquence, ces
propagonistes de l'information tronquée, se
sont dits, que nous étions des ignares notoires, que
l'on peut berner à souhait, sans
que l'on puisse s'en apercevoir...Hélas
pour eux, le Webmaster d'ARTivision.fr, est plus fûté, qu'il en a l'air.
c) - Ces protagonistes auraient pu
éviter, de se faire prendre la main dans le sac de
la magouille, s'ils avaient eu en main,
comme ARTivision.fr, les
fantastiques déclarations du très
célèbre explorateur des régions polaires : l'amiral Byrd des USA, qui dès
1926, s'est exprimé dans l'entrefilet du "Miami Daily News", du
25 Juin 1926, tel que :
et où, on le sait, Byrd a prononcé, les phrases inouïes suivantes :
, dont la
traduction, pour ARTivision.fr, compte-tenus des très nombreuses autres déclarations de Byrd, devrait être très
précisément :
"
Il y a une terre,
dans le voisinage du Pôle Nord " comme le croit le commandant
Byrd.
" Il pourrait y avoir une terre quelque part,
là, et je pense, que c'est
vrai".
Ce sera alors aux spécialistes de la langue de Shakespeare, de donner leur
avis...quand ils auront bien sûr, pris
connaissance des incroyables documents,
que nous avons si souvent présentés sur le
Web.
Disons
aussi en passant, que ce document exceptionnel
qui se trouvait fut un temps sur le très commode
site, que nous appelons : GoogleOldNews, a disparu comme
par magie, et personne, n'a
su jusqu'à présent, nous
expliquer pourquoi
!!!.
Mais,il nous faut maintenant aller bien plus loin,
en invitant les protagonistes en question, de
découvrir aussi, avec grand
soin, le début d'un document, encore plus
fantasmagorique tel que :
Disons alors tout de suite, un très grand bravo, à l'internaute bien heureux qui
retrouvera à la Bibliothèque du Congrès
américain, ou dans une autre bibliothèque
mondiale, ce document ou un autre du même calibre, sorti à la même époque, car il n'y a pas si longtemps l'on
pouvait encore aussi, trouver sur le site déjà présenté ci-dessus :GoogleOldNews, et à la page placée à l'url : Byrd-sur-le-Palm-Beach-de-1947, et entrefilet
qui a lui aussi disparu, comme par enchantement.
Nous
avons bien sûr, souligné en
rouge,, les termes qui, ici, nous interpellent
grandement :
Traduisons, à peu près, le titre et quelques lignes, des paragraphes en
question :
Byrd prédit qu'un huitième
Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques
"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition,
puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte géographique primordiale
du 20 siècle "- soit : un huitième
continent."
Donc ici, seule la croyance
affirmée du Vice amiral Byrd, de
l'époque, nous intéresse ici, en premier lieu,
car, en substance, ce dernier stipule , clairement,
à ce moment, l'existence "d'un huitième
continent", qui pourra être ajouté à la cartographie
mondiale, après son expédition.
Mais que
signifie donc tout cela ?...
Précisons d'abord, ce que l'on découvre au sujet des
continents sur le site :
Comme on le voit, il a
bien 7 continents, et l'Antarctique est déjà un
des 7. Alors comment se fait-il que le très grand
explorateur polaire Byrd, parle
d'un "huitième
continent" qui existerait encore en Antarctique ?
La seule façon , de
comprendre ce langage tout à fait énigmatique, (voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à
l'utiliser),est d'admettre, une fois pour toutes que, Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises
pu pénétrer dans, (en
quelques milliers de km),"l'ouverture polaire sud" (les guillemets ont ici une très grande importance).
Rappelons aussi, que Byrd, l'a fait également
pour celle du Pôle Nord en 1926. De plus cette fois, il croit
avoir l'appui, de la puissante armada,
de l'opération dite "High
Jump", afin de pouvoir démontrer définitivement l'existence de
ce continent, qui s'étend à l'intérieur de la Terre,
comme l'avait si bien
conçu le sieur Marschall B. Gardner, dans son
extraordinaire ouvrage, de 1920 déjà
présenté plus haut).
Nous
n'avons reproduit qu'une partie de cet
article, et aussi nous avons souligné en
rouge, les termes qui, ici, nous interpellent
grandement .
Traduisons, à peu
près, le titre et les
paragraphes en question :
Byrd prédit qu'un huitième
Continent, sera trouvé dans les régions
Antarctiques
"L'amiral
Richard E Byrd a exprimé l'intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte
géographique primordiale du 20 siècle "- soit : un huitième continent"
Il
nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en
sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était
astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce
qui ne pouvait être considéré que comme un Secret
d'Etat de la plus haute importance qui soit.
Ce journal était accessible fut un temps, à l'url suivant,
qui a disparu comme par magie sur le Web :
Heureusement, qu'une fois de
plus, SuperHasard, avait guidé,
le Webmaster d'ARTivision.fr, sur cette page avant sa
brutale disparition. A vous de juger désormais, tout
cela...
Terminons alors la causerie de ce jour en souhaitant que
les les cosmologistes et consorts astronomes
assimilés, (et
en particulier,un certain astrophysicien qui s'intéresse vivement à l'affaire des Ummites, et que nous avions si normalement contacté le 16/09/2004, et dont nous attendons toujours une brève
réponse), veuillent bien analyser avec une certaine
curiosité ce qui précède et qui interpelle
l'humanité entière au lieu de jouer les zélés
autruchards, tels que le montre notre si pitorresque
image, déjà vue plus haut :
Que celui, qui a pu
bien lire, tout ce qui précède, en tire le
bienfait, plein d'éclaircissements, qui s'impose, et surtout le
désir latent, d'en savoir plus.
Mais, il nous
vient maintenant, à
l'idée, pour clore notre causerie de ce jour,
de présenter une fois de plus le super film
d'époque, qui décrit tant soit
peu, la situation actuelle, de la planète Terre, à
savoir le célèbre film culte de Robert WISE de 1951
intitulé : "Le jour où la Terre s'arrêta" dont voici, ci-dessous la version totalement refaite et masterisée :
Et, nous le savons déjà, il est grand temps que nos "zélés autruchards", de tout
bord puissent répondre, plus
promptement, à l'injonction finale du Maître Klaatu :
juste à la fin du film :
Mais ce 17 Septembre 2021, avant de poursuivre nos révélations, tout à fait hors
nornes, relatives au grand amiral US
Richard-E-BYRD, appliquons une fois encore
ici, le si pratique adage des
anglo-saxons, (L'affaire des sous-marins français évincés
brutalement avant hier, dans un méga-contract, ne va
pas du tout, améliorer nos bonnes relations, avec
leurs gouvernements) , "Let us make hay, while the sun shines" (faisons du foin, quand le Soleil
brille), en présentant quelques entrefilets
médiatiques actuels , concernant l'affaire de la peine de mort, remise sur le tapis ces jours-ci-, par de
nombreux éditorialistes tels que, par exemple
:
Qu'il nous soit alors
permis de souligner en passant, une fois de plus, ici,
le fait que, l'histoire
des civilisations, nous apprend depuis des
lustres, qu'il n'existe pas, de notions
religieuses ou pas, ni de lois politiques ou autres, qui valent la peine que l'on tue pour elle, un être humain. (sous-entendu qui ne menace
physiquement personne, avec une
arme).
En effet,
combien de gens sont morts pour la Royauté, pour l'Empire, pour la République, pour la
Papauté, pour chaque dictateur de tout
bord, ... etc..., et que reste-t-il, de tout cela maintenant ?
De plus, relisons cet entrefilet significatif du 29 Novembre 2008 :
Imaginez alors ce qui se
serait passé, si Alfred Dreyfus, avait été jugé à l'époque en Chine...
Rappelons brièvement,
que le capitaine Alfred Dreyfus (1859-1935), (totalement innocent, on le sait
maintenant), a été le 22 Décembre
1894, condamné pour haute trahison, par un tribunal militaire, à l'unanimité
des sept juges, à la destitution de son
grade, à la dégradation militaire, et à la déportation perpétuelle dans une enceinte
fortifiée. Il sera envoyé alors, nous le savons, à l'île du Diable au bagne de Guyane, où il restera,
près de 5 ans. En Juillet
1906, le capitaine Alfred Dreyfus, sera
réintégré timidement, dans l'Armée et ses 5 années de
bagne, ne seront même pas prises en considération pour son avancement ultérieur.
Pour en savoir plus, voir notre page très significative:
Il
est à noter cependant qu'Alfred Dreyfus a
échappé assurément, à
la peine de mort, car la constitution de
1848, avait aboli, la peine capitale,
pour tout crime politique. Evidemment tous
ceux qui étaient certains de la culpabilité de Dreyfus, et entre autres, les autorités et les politiciens
de tous bords et la populace ignorante, ne manquaient
pas de regretter (et
de le crier vivement sur les toits), l'abolition de la peine de mort, pour crime de haute trahison.
Mais, ce qui nous interpelle aussi dans
cet exposé, c'est le fait que certaines revues
d'époque totalement contre Dreyfus, ayant par exemple, comme modèle, "La Libre Parole", en Octobre 1894, ont enfoncé, le
malheureux dans une sorte de sables mouvants,
où il a eu, bien du mal , à sortir la tête pour
respirer un peu.
N'oublions pas
cependant, qu'un simple tout
petit détail, de rien du tout, dans l'écriture de Dreyfus, aurait pu éviter, les 5
ans de bagne et de déshonneur, à ce malheureux militaire. Il écrivait en
effet, toujours la préposition "à", avec son accent, tandis que le vrai traitre,
le capitaine Charles Ferdinand Walsin
Esterházy, ne mettait jamais cet accent. Mais certains graphologues,
pour couvrir sournoisement leur réputation,
ont préféré imaginer (sans doute sous l'instigation
des hauts responsables de l'Armée), que Dreyfus, avait contrefait volontairement, son écriture, pour le cas où il serait
découvert.
Voici, donc un modèle du
journal "la Libre parole", en question, où seule
la haine, d'une catégorie d'humains
s'exprime très ostensiblement, et journal ignare qui
a condamné sans aucune preuve, cet innocent
Dreyfus :
De plus, nous avons souvent
entendu, le fait, qu'un prisonnier, après étre resté des dizaines d'années dans une geole, a
été innocenté, grâce à son
ADN :
Sur le site :
nous
avons trouvé ceci :
Et sur le site :
nous
avons trouvé aussi, ceci :
Mais un entrefilet comme celui qui suit, est beaucoup plus rare, et tout cela, nous invite à être totalement contre la peine de
mort d'un humain, qui surtout, affirme son
innocence...
Tout ce qui précède, ne nous
donne qu'un très modeste aperçu du caractère
très peu fiable de nos certitudes culturelles,
qui varient épisodiquement, en fonction du temps et de l'espace.
Ainsi par exemple de nombeux bien-pensants et consorts intellectuels affirmés, ont dû
bondir de satisfaction, en lisant cet entrefilet pseudo-technico-scientifique de 1992 :
Mais nous savons que les très
nombreux articles, d'ARTivision.fr, concernant les phénomènes
polaires, rendent désormais désuettes les
prétendues explications, de cet entrefilet, qui nous est tombé un
jour, tout à fait bizarrement sous la main,
(Rappelons encore ici
que le Webmaster, d'ARTvision, n'accorde aucun crédit, au concept du Hasard, soumis aux tribulations
d'une fonction aléatoire d'évènements dits
synchrones), et fonction que l'on nous enseigne
si fièrement dans nos
universités.
Nous disons ici,
une fois encore, que cette planète est bien soumise à des
cycles réguliers, et en particulier, à celui qui arrive tous les 25920 ans (bien sûr
nous avons dans nos dossiers, d'autres pertinentes
informations, qui donnent un nombre très
voisin de celui-là), et
constante, qui nous vient des travaux de l'Einstein de l'ésotérisme
humoristique français, le nommé, Jean Sendy :
On sait aussi,
qu'il existe, d'autres cycles plus longs, connus par
exemple des Mayas et des habitants de
l'Inde).
Que les rationalistes endurcis,
le croient ou pas, nous avons souvent aussi exprimé
ici, le fait que, leur sournoise
hilarité, se transformera vite en
stupéfaction, quand ils découvriront, (si ce n'est pas encore le cas...
notre article : http://www.artivision.fr/dimcos.htm).
Pour
ceux, qui ne croient toujours pas que les
plantes peuvent avoir des émotions, ayez alors
svp, le loisir de consulter l'ouvrage, de Mr Didier Van Cauwelaert, publié chez
PLON en Nov. 2018 :
Mais ce 22 Septembre 2021,(rapellez-vous, cependant que le
22, est un nombre fétiche, pour ARTivision.fr) ,
nous voilà sur le point de montrer à nouveau, quelques faits, très pragmatiques, arrivés sur la Lune, et faits qui n'ont
jamais fait l'objet du moindre débat médiatique, par exemple chez les
télévisions qui ont pignon sur rue, et qui nous
inondent d'informations dérisoires vite oubliées, alors que ce qui va suivre,
devrait être analysé par chaque quidam du monde entier Point à la
ligne...
Commençons donc, si vous le voulez bien, par ces
images incroyables suivantes de la NASA, et assurément non trafiquées,
et pour
cause...
Pour découvrir cela, il
aurait suffi, en effet, de lire, fut un temps, l'ouvrage remarquable de notre ami Alfred Nahon, (hélas décédé en 1990 et voici alors, pour les
puristes, une photo personnelle, que nous avait envoyée l'auteur, le
21/06/79 :
petite photo peu nette, mais bien sûr, très précieuse
pour nous) , et, ouvrage
intitulé : "La Lune et ses défis
à la science", paru aux Editions Mont-Blanc
1973, en Suisse, et livre que tout chercheur sur les
affaires lunaires, devrait absolument avoir en main, pour suivre ce
débat:
La figure 29, nous montre
cette image suivante très surprenante, tirée
pourtant de l'ouvrage très scientifique, intitulé
The Moon, et publié chez
l'Editeur D. Reidel Publication à Dordrecht, en 1969, du grand astronome et mathématicien tchèque Zdenek KOPAL, qui vivait alors en Angleterre
:
Et voici alors la fameuse image en question :
Mais, analysons maintenant,
la structure bizarre, placée à l'intérieur du cercle
de l'image.
On y voit clairement un engin excavateur qui triture
le sol lunaire (voir la structure très insolite
au centre du cercle), sur un contrefort du cratète Copernic, déjà bien
raboté, n'est-ce pas, sur sa droite.
Selon
nous, cet engin excavateur
gigantesque, ne se déplace certainement avec des roues et un moteur
thermique utilisant des énergies fossiles, déjà démodées sur
Terre.
Il est donc bien
plus certain, que l'engin en question, utilise un
moyen antigravitationnel, non
connu de nous, pour extraire du sol du cratère, des minéraux, utiles aux occupants de la
Lune.
N'empêche, qu'il faut vraiment,
vouloir imiter l'autruche, pour dire, que
l'engin en question, est tout à
fait naturel :
Si l'on sait
que ce cratère Copernic, mesure environ 93 km
Comment donc, il
se fait, qu' un engin de près de 12
km, est passé totalement inaperçu,
dans les colonnes des revues
d'astronomie et consorts analogues
?
Bien sûr, aucune autre photo moderne de
Copernic, ne nous présente ce super engin
excavateur, et par exemple, voici une comparaison avec une photo de Copernic (à
gauche), tirée du site moderne :
Le rabotage latéral blanchâtre de droite, est dès lors, très clairsemé, et bien sûr, le bidule
excavateur, a totalement
disparu..
Mais, parmi
les surprenantes images de cet ouvrage de A NAHON; extrayons aussi celle-ci :
Mais, dans ce même
livre, l'ami Alfred Nahon, nous avait aussi présenté
une structure très
bizarre, découverte par Monsieur
Delcorps à l'époque Directeur du Laboratoire LAET de
Liège. Cette structure apparaît sur une photographie prise par le Planétarium de la Haye :
Il faudrait vraiment être
de mauvaise foi, pour affirmer que cette structure
est tout à fait naturelle, et qu'il ne s'agit encore que, d'une illusion
d'optique.
Mais voilà
le bouquet de ce débat :
En effet, c'est
en Août 1967, que la sonde américaine "Lunar orbiter V" a photographié (Ref. NASA 67-H-1135), à
l'intérieur du cratère Vitello sur la Lune, situé à
l'extrémité sud de la Mer des Humeurs et
diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi
(ce dernier lui-même étant
criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes)deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ 5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil,
ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours. Dans l'image de
droite, nous avons matérialisé en blanc les deux trajectoires :
Mais voici aussi les images
en question, montrées cette fois dans l'ouvrage
incontournable, publié en premier lieu en 1981, (notre édition est la 8e, publiée en 1997), que tout
chercheur aussi pour suivre le débat en question, devrait avoir en sa possession :
Et voici, en pages 54 et 55,
les traces très nettes des deux mobiles :
Mais, il est cependant aisé de
constater que le petit mobile, qui a tracé la piste
la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son
versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près
de 700 m .
Comment une
masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter
l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les
25 degrés, se promener sur une si longue distance en
laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m), alors que la Lune n'a aucune activité
volcanique reconnue susceptible de provoquer une
telle expulsion ?
Voici d'ailleurs comment
Fred Steckling imagine admirablement la structure
mécanique de ce petit mobile :
Il ne reste qu'à un courageux
infographiste, de faire de même, en fabriquant une image en 3 D, pour le second
mobile.
Et que dire alors de l'autre mobile bien
plus colossal qui est d'une blancheur éblouissante, et en
forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice
triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère
ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler
naturellement ?
Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher
de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de
Baalbeck très connue, mais qui pèse cependant 6 fois moins sur la lune),
a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la
largeur d'une route nationale (environ 25 m), et qui présente des structures ressemblant
parfaitement à des empreintes de chenilles?
Alors on devrait déjà se
poser la question, de savoir pourquoi, la NASA n' a-t-elle pas envoyé plutôt(dans les 6 missions qui ont
soi-disant exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du
cratère Vitello, où l'on voit sans discussion
possible les traces ci-dessus, de plus de 600 mètres de long, laissées par deux
"véhicules" d'environ 5m
et 25m de large pesant des centaines de tonnes et
qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ?
Et que dire alors, de l'autre mobile bien plus colossal qui est d'une
blancheur éblouissante, et ayant des formes très
géometriques, et flanqué a gauche d'un appendice central surprenant , et qui lui confère ainsi, une notoire impossibilité de rouler naturellement ?
Notons l'explication, pour ce cas, de la revue
Science et vie de Mars 1968, n°
606 page 71, et dont voici l'image de la couverture pour le puriste, qui pourrait, le trouver dans une brocante
:
Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but, selon
nous bien sûr, de "noyer le poisson", car
comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "a
glissé", juste au moment où la sonde passait (les
mots "vient de débouler" sont bien écrits) ?
A-t-on surpris un nuage de poussière en suspension dans l'air ? Il y avait
certainement des dizaines d'années ou plus, que ce bloc avait bougé... Et
pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre
mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère ? Évidemment les
deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé",
en même temps de deux endroits différents...!, et
il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un
seul, d 'autant plus que si nous analysons de plus près, ce rocher
<ayant déboulé très opportunément, on découvre ceci :
Pas mal,
n'est ce pas !!! ce gros caillou, très architectement structuré, pour rouler à l'aise, sur près de 500 m sur le sol lunaire. On nous
prend ici, pour des débiles
mentaux...
Mais, l'ouvrage
exceptionnel, de A.NAHON, présente aussi en annexe, un édifiant
rapport de la NASA, dévoilant près de 570 cas de taches lumineuses brillantes et de
changements temporaires (nommées pudiquement des
phénomènes transitoires, par les spécialistes des
TLP :Transient lunar
phenomena), observés sur la Lune de 1725 à
1967.
Voici,
donc au sujet de ces TLP, pour couronner ce débat,
un extrait du super
article venant de la revue Science et Vie d'Avril
1964, (déjà
résenté plus hant) et dont voici à
nouveau, la couverture, pour les puristes qui pourraient l'aperçevoir
dans une brocante ou un vide-grenier, et revue qui très
bientôt, selon nous bien sûr, , vaudra bien plus que son poids en or, et on va ci-dessous
vite voir pourquoi !!!
Cet article est issu de la
rubrique L'UNIVERS, et est intitulé : " Des lueurs étranges sur la
Lune". Voici donc comment se présente le début de cet important
article :
Et voici le début du texte en
question, hélas non signé , ce qui est déja très
significatif : (les couleurs sont de nous évidemment)
"Flagstaff (Arizona) le soir du 29
octobre 1963, peu avant la tombée de la
nuit.
Deux astronomes de l'Observatoire Lowell, James A.
Greenacre et Edward Barr, dont le travail de
routine consiste à prendre des séries de photographies de la Lune en vue de
l'établissement de la grande carte lunaire au 1 millionième de l'U.S. Air Force, venaient de pointer vers notre satellite
la célèbre lunette de 60 cm d'ouverture au moyen de laquelle P. Lowell, puis E. C. Slipher,
tentèrent autrefois de percer les secrets de Mars. Ils examinaient, l'oeil à
l'oculaire, la région tourmentée des cratères Hérodote et
Aristarque et de la grande crevasse sinueuse au fond large et plat
appelée vallée de Schroter. Leur intention était de
comparer certains détails de cette région à ceux qui sont portés sur la carte.
L'atmosphère au-dessus du désert de l'Arizona était assez agitée, rendant les
images bouillonnantes, mais elle devint progressivement plus calme et un
oculaire grossissant 500 fois fut adapté à la
lunette.
C'est alors - il était 18 h 50 -
que l'attention de Greenacre fut attirée par deux taches lumineuses de couleur rouge orangé tout à fait insolites, situées à 45 km l'une de l'autre,
sur les sommets de deux monticules voisins de l'extrémité méridionale de la
vallée de Schroter. La tache la plus petite mesurait 2,7
km de diamètre, et la plus grande, de forme ovale, 2,7 km sur 9 km environ. Au cours des deux minutes
suivantes, les deux taches devinrent ensemble extrêmement
brillantes, et Greenacre, stupéfait, appela
son collègue afin qu'il puisse à son tour observer et confirmer le phénomène.
Les taches étaient toujours visibles trois minutes plus tard (c'est-à-dire à 18 h 53) lorsque Greenacre, qui avait
repris l'oculaire, découvrit une troisième tache
brillante, de couleur rose, recouvrant sur une
vingtaine de kilomètres l'arête méridionale du
rempart d'Aristarque. A 19 heures, les deux premières taches avaient
perdu leur éclat initiale et leur couleur était devenue rouge rubis sombre. Dix minutes plus tard, elles avaient
disparu, tandis qu'on distinguait encore faiblement la troisième tache, laquelle
cessa à son tour d'être visible à 19 h 15. Aucune caméra photographique n'étant
fixée à la lunette, il fut impossible d'obtenir des clichés.
UN MOIS A
L'AFFUT
Vingt-huit jours plus
tard, le 27 Novembre 1963, la région d'Aristarque se présentait dans des
conditions d'éclairage similaires et nos deux astronomes, qui n'avaient pas
cessé de surveiller la Lune depuis l'observation précédente, mirent une fois de
plus l'oeil à l'oculaire. Leur espoir ne fut pas déçu. A 17 h 30, une tache allongée rou&e rubis apparaissait, cette fois
encore, sur l'arête du rempart d'Aristarque,
mesurant 22 km de long. Greenacre et Barr n'étaient
plus seuls : ils s'étaient fait accompagner sous la coupole par Fred Duggan et par le Dr John S. Hall, Directeur de
l'Observatoire Lowell. Ce dernier, ayant constaté le phénomène, téléphona
immédiatement à son collègue Peter Boyce qui
disposait, à quelque distance de là, du grand télescope Perkins de 1,75 m
d'ouverture, et lui signala qu'un phénomène coloré
insolite était visible sur la Lune dans la région d'Aristarque, sans lui
donner d'autre précision. Boyce découvrit immédiatement la tache rouge allongée
et en confirma la position. Les minutes passaient et la tache était toujours
visible. Des clichés en noir et blanc furent obtenus.
Ce n'est qu'à 18 h 50 que la tache disparut : le phénomène avait duré 1 h 1/4
.
"I1 n'y a pas de changement sur la
Lune". Cette vieille assertion, professée jusqu'à ces dernières
années par l'immense majorité des astronomes professionnels, se révèle quelque peu erronée et il apparait au contraire
que notre satellite pourrait bien être le siège de
phénomènes lumineux passagers assez fréquents. Quelle est l'origine de
ces lumières? Nul ne le sait. Est-ce le sol qui, en
certains endroits, est recouvert de cristaux réfléchissant sélectivement les
rayons solaires par le jeu des lois de la réfraction ? S'il en était ainsi, les
taches observées auraient dû passer par les différentes couleurs de
l'arc-en-ciel, et tel n'est pas le cas. S'agirait-il alors d'émissions de gaz,
rendus luminescents par le rayonnement ultra-violet solaire ? Un argument de
poids en faveur de cette hypothèse est apporté par la
célèbre observation spectrographique de Kozyrev, dont nous parlerons en
détail plus loin. Mais quelle pourrait être l'origine de ces émissions ? On a
supposé qu'il s'agirait de la mise au jour de poches gazeuses occluses dans la
roche lunaire, sous l'effet d'impacts météoritiques, ou encore de la
volatilisation de la matière des météorites elles-mêmes. Mais par quel miracle
alors le cirque d'Aristarque aurait-il été, à deux reprises, le siège de tels
impacts, répartis d'ailleurs sur une bande de 20 km de
longueur épousant très exactement l'arête même de ses remparts ? Ajoutons
que, dans le vide (la Lune, ne l'oublions pas, ne possède
aucune atmosphère), le libre parcours moyen des atomes et des molécules
est infini : si une bouffée gazeuse était émise au voisinage du sol lunaire,
elle se dissiperait très rapidement dans l'espace et cesserait bientôt d'être
visible. Dans le cas présent, il faudrait donc admettre un renouvellement
continu de l'émission des gaz pendant une durée assez longue (plusieurs dizaines de minutes) ; il faudrait admettre
également que chacune des taches lumineuses était produite par plusieurs sources
d'émission assez rapprochées, de façon à expliquer en particulier la forme extrêmement allongée et la grande dimension des
deux lueurs observées sur Aristarque ; enfin, il faudrait supposer que ces
émissions de gaz furent déclenchées, au méme moment, par un même processus,
puisque les trois taches lumineuses du 29 Octobre 1963
présentèrent des variations d'éclat
concomitantes.
Tout cela fait
penser, soit à une activité interne (tectonique ou
volcanique), soit encore à une action calorifique du rayonnement solaire
sur le sol de la Lune, produisant un dégazage des roches après la longue nuit
lunaire (il est peut-être significatif à cet égard que les
quatre lueurs observées prirent naissance, aussi bien le 29 octobre que le 4
novembre, un peu moins de deux jours après le lever du Soleil sur la région
d'Aristarque).
Rien enfin
n'empêche, d'imaginer - mais ici nous tombons quelque peu dans la science-fiction que les taches brillantes
apparues aient eu une origine artificielle,
témoignant de l'activité d'êtres intelligents à la
surface de la Lune.
La vie n'a
certainement pas pu se dévélopper sur notre satellite, mais si une expédition
d'astronautes extraterrestres venus des espaces intersidéraux explorait le
système solaire , on peut supposer que ces
astronautes établieraient une base sur la Lune, ne serait-ce que dans le
but d'étudier la Terre à faible distance sans être repérés. Dans un récent
article sur les voyages intersidéraux publié dans la revue Planetary and Space Science, le très serieux astrophysicien
américain Carl Sagan a froidement
envisagé une telle possibilité, qui soulève cependant encore les plus
grandes réserves chez la plupart des
astronomes...
Comme on le voit,
l'exploration de la Lune, nous réservera sans
doute bien des surprises..."
Fin de
l'extrait.
Comme on le
découvre ici, ce dernier passage,
mis en gras bleu marine, de l'article en question,
(qui ose parler de
Science-Fiction), est pourtant exactement, la
conclusion à laquelle est arrivée, le Webmaster d'
ARTivision.fr, qui
l'avait déjà fait savoir, dans une lettre envoyée au journal
France-Antilles, qui fut publiée, dès le 14 Février 1975, (il y a donc 46 ans déjà, de
cela, en 2021) , et dont voici quelques éléments significatifs ...restructurés par nos soins :
Rappelons que le journaL
France-Antilles, n'a pas osé à
l'époque, publier la photo de la super-structure
en question, et c'est le Webmaster, qui l'a
ajoutée sur la photocopie pour ses
amis.
Cependant la
revue Nostra, des années plus tard, a bien
publié cette photo :
A vous de juger, tout cela
documents tangibles à
l'appui.
Mais ce 24
Septembre 2021,, alors que la médiasphère, dans sa quasi généralité ne
fait que commenter les ressorts du méga débat qui a eu lieu, hier soir, entre deux tumultueux
chroniqueurs (Jean-louis Mélenchon et Eric Zemmour), de la sphère
politique française actuelle, et sortes de
catéchumènes, qui gagneraient à vite, être baptisés, au renversant flux cosmique, d'ARTivision.fr, si bien mis évidence, par le très grand explorateur des régions polaires, le vice-amiral ( bien sûr, à l'époque des
découvertes), Richard Evelyn BYRD,
qui fut Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, Secrétaire perpétuel de
l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences ...etc.. :
Ce dernier, a fait des
déclarations inouies concernant les zones polaires, qu'il a explorées à
diverses reprises, et déclarations que les bien-pensants actuels ont vite
traitées de légendes et d'hallucinations freudiennes.
Mais ce jour, si
des novices ingénus (nos brillants
catéchumènes, cités plus haut, en font bien
sûr partie) veulent bien faire l'effort de relire notre article clef : Quand-vient-le-temps-de-la-remise-a-zero-des-compteurs-Suite2.html,
ils y découvriront, le fait ahurissant, que nous y
avions posé, la question suivante, qui est restée évidemment, jusqu'à présent, sans réponse)
:
" Pourquoi donc ces grecs situaient leur
"Paradis ", justement au Pôle Nord, qui
est pour nos savants actuels, situé dans une zone extrêmement froide et
désertique ?" .
Il semblerait donc, que la
réponse nous est venue, de Byrd, dès 1926, (Voir plus haut).
Cet amiral est né le 25
Octobre 1888 à Winchester, Virginie et il est
décédé le 11 Mars 1957 (à 68 ans)
à Boston, a fait des
déclarations inouies souvent présentées par ARTivision.fr, mais voici, de plus, un
petit aperçu , de cette
incontournable ancienne interview de l'Amiral Byrd par la
Chaîne NBC, en date du 24 Juin 1955.
(Nous avions 16 ans à l'époque) :
Pour gagner un temps
fou, voici ce que nous écrivions dès le dès le
01/08/2014, au paragraphe IV de notre super article :
Début de citation. (Nous n'avons pas vérifié si les Urls
cités, fonctionnent toujours et disons aussi que notre amie Nicole, n'est plus de ce monde, et nous lui
dédions cet article en entier) .
Debut
de citation :
IV Quand Byrd s'exprime
vocalement dans une interview
télévisée.
C'est effectivement le 27 Juillet 2014, que
nous avons reçu de notre ami canadien André, la
missive suivante :
-----
Original Message -----
From: André J.......
To: Fred Idylle
Sent:
Sunday, July 27, 2014 7:35 PM
Subject: Admiral
Byrd
Rare interview télé avec ton copain Byrd
et espérons que ça pourra être traduit très bientôt.
Fin de
missive .
Pour ceux qui veulent en
savoir plus, prière de consulter aussi les sites :
Et
voici quelques images de ce film remarquable :
N'étant pas du tout familiarisé
avec l'américain parlé, nous avons demandé à notre très aimable amie Nicole, de nous en dire un peu plus
sur cette interview de Byrd, tout
à fait rare et sans doute exceptionnelle.
Et voici sa réponse :
----- Original Message -----
From: Nicole
To: fred IDYLLE
Sent: Monday, July 28, 2014 11:48 AM
Subject: Interview
Byrd
Bonjour cher
Fred,
Même quand on parle et comprend
couramment l'anglais, il est très difficile de suivre la video car Byrd n'articule pas bien, sa tête est tournée donc le
micro n'est pas bien orienté - ils auraient au moins pu le cadrer un peu mieux -
et avale la moitié des mots. Je trouve qu'il a l'air bien
fatigué. J'ai bien réécouté la vidéo et effectivement au début, il
dit:
"That there is a secret land mass the size of the United States
that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole
."
Vous avez
parfaitement compris le début du texte et à part cette phrase d'introduction
il n'en dit guère plus, car il enchaine avec
des considérations parlant des progrès matériels permettant des explorations
plus faciles, grâce à des technologies de pointe et des avions plus puissants
etc. Il dit d'autre part qu'il organise en effet une expédition pour établir des
bases au Pôle Sud (Little America), et ils
reviendront en Avril. Je pense que l'interview doit dater de l'Operation Deep Freeze en 1955-56. En effet, les préparations pour l'Année Géophysique 57-58, ont commencé à
partir de Novembre 1955 pour se terminer en
Avril 1956....
...Cette interview
doit venir d'archives d'époque où les Etats n'avaient pas encore complètement
essayé d'étouffer l'affaire, ou alors ils ont laissé échapper des documents
involontairement (ou pas). Comme on dit: Nobody is perfect, on ne peut pas toujours tout
voir, certains détails finissent pas faire surface. Comptons là-dessus.
On peut quand même remarquer, qu'il
ne semble pas en très bonne santé puisqu'il disparaît en 1957. La technique d'interview aussi semble pointer vers
ces années-là. Ensuite il enchaine sur le fait que ce continent inaccessible, est un reservoir
gigantesque de ressources minières en particulier charbon, uranium et autres
minéraux qui suffiraient à approvisionner le monde moderne pendant très
longtemps. Il parle aussi de la
ruée mondiale vers le Pole Nord , qui est plus accessible sans autre
commentaire, mais ne manque pas de faire remarquer que le Pole Nord (surface liquide) n'a pas le meme intérêt que le Pôle Sud
qui est un continent.
A mon avis il
n'a pas voulu s'étendre sur sa vraie mission, probablement par prudence de toute
évidence. Mais ses paroles sont
bien là et ne prêtent pas à contestation. Donc apparemment il veut donner
l'impression que ses expéditions n'ont pour seul but
que la recherche de matières premières !!. On ne peut certainement pas lui reprocher sa prudence sachant à quoi il
s'expose. Mais un fait est certain: cette vidéo apparaît un peu
partout, de + en + de gens cherchent la vérité bien cachée mais un jour ou
l'autre, elle sera officiellement
dévoilée. Beaucoup de monde
s'intéresse à la Terre Creuse , et un jour ou l'autre quelqu'un finira par apporter une preuve
indubitable. Actuellement les populations mondiales sont sous pression
médiatique pour des tas d'évènements montés en épingle sciemment pour occuper le
terrain. Ce sont des manœuvres
bassement politiques pour noyer le poisson. Si jamais on arrive à
démontrer par a+b que la Terre est creuse, vous rendez-vous compte de la révolution qui s'attachera aux dogmes
bien établis, car tout le monde va se demander... comment il peut y avoir
un noyau solide dans une sphère creuse ? C'est bien là que le bât blesse, toute
révélation contestant l'orthodoxie, révolutionnerait le savoir mondial et toutes les données
pseudo-scientifiques qu'on nous a inculquées depuis notre enfance, et
c'est pourquoi ils sont prêts à tout et freinent des 4 fers, pour empêcher cette révélation qui sonnerait le glas de leurs carrières
et de leur crédibilité, donc une affaire de gros sous, car dans ce cas, ils ne pourraient
jamais plus exercer.
Peut-être que
votre correspondant pourra vous donner plus de détails. J'apprécie beaucoup la
suite de votre article en cours.
Amicalement
Fin de
citation.
Remercions donc d'abord ici, mille fois, notre amie feue Nicole, pour cette magistrale explication, qui s'applique
admirablement à un document filmé d'une grande rareté, tout à fait incomparable, et où à
l'époque, Byrd , osait encore avouer, l'existence d'une Terre inconnue en
plein Pôle Sud :
C'est donc clair, net, et sans bavure... et, le site ARTivision.fr, s'est
efforcé de démontrer cela, dès Septembre
2000. A bon entendeur
Salut...
Mais, pour
les éventuels mécréants et autres détracteurs zélés
du moment, voici donc en plus, l'incontournable et stupéfiant article de
Byrd publié dans le Sélection du Reader's Digest de
Janvier 1956, revue sortie pour les USA à
Pleasant ville N.Y et publié aussi pour le Canada, la Grande Bretagne, et
l'Australie...etc..., et fascicule que nous avons eu
la très grande chance, de trouver ici-même, en Guadeloupe, par le plus grand des hasards. Hum...Hum,
la réalité est parfois très trompeuse, on le
sait...
Faisons déjà ici, une petite adéquate digression : En premier lieu disons
qu'en effet, certains internautes qui s'affirment
bien-pensants, (ayant vécu, sans doute, comme nous en métropole, les événements de Mai 68), diront d'emblée chacun :
Le site ARTivision.fr, a déjà déploré sévèrement, ce comportement dans certains de
ses articles et en particulier dans NostraMystere.html, et nous précisons, une fois encore ici,
que notre site, ne se préoccupe nullement du prétendu
caractère sérieux ou pas, d'une revue, car somme toute, cela est très relatif dans le temps et
l'espace, et ce qui est sérieux aujourd'hui,
peut paraître totalement insignifiant plus tard.
Point
barre..., et fin de la
digression.
Il
y a en effet, pas mal d'années, en cherchant dans nos
dossiers tout autre chose, nous sommes tombés, avec un vrai ahurissement, sur cette revue en
français, dont voici aussi, (qui pourraient avoir la chance inouïe, de la
trouver dans un vide-grenier ou une brocante), la photo de la couverture
:
Et voici, une image de
la première page de l'article incroyable en question :
Précisons aussi que, cette
revue est arrivée dans notre bibliothèque, tout simplement après le décès d'une
parente qui habitait à 100 m de chez
nous.
Et, dans cet article, il y a un passage
hors-norme, de Byrd, qui s'exprimait avec des sous-entendus notoires.
Reprenons alors
volontairement cet incroyable texte :
"Pour la
première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du
continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement
inconnue, et dont il n'existait aucune
carte...".
Bien sûr, Byrd ne parle pas ici de la découverte d'une
quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà", et non "autour" du pôle, ou "après le pôle", ou encore
"derrière le pôle".
L'expression "au-delà du
Pôle", nous l'avons souvent dit dans nos articles, nous fait
plutôt penser à une contrée bien à
part, et qui n'a pas, le
mêmes particularités, que celles que l'on trouve autour du
Pôle.
Mais, comment peut-il
exister, "au-delà du
Pôle", une immense région, surtout "inconnue", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées
?
De plus, nous le savons
bien, Byrd, était un militaire de haut rang, et donc il était évidemment astreint, à une stricte obligation de réserve
dans les mots qu'il prononçait à tout un chacun.
Bravo donc, à cette revue "Sélection du Reader's Digest", de nous avoir dès début de 1956, mis
aussi en alerte sur des événements
surprenants, arrivés sur le continent
Antarctique...
Mais, nous voilà
arrivés au 27 Septembre 2021, alors que la Médiasphère, s'en donne à cœur joie sur
l'affaire des prénoms, mis en relief, par le très médiatique et bouillant
polémiste Eric Zemmour, au grand
désarroi de certains cadors politiques, tel que sur le site : https://www.challenges.fr/politique/obsession-des-prenoms-bayrou-compare-zemmour-au-marechal-mobutu_782235.amp
on découvre ceci :
Mais il se trouve justement, que nous avons une annecdote
significative à verser à ce dossier . Voilà de quoi il s'agit
:
C'est autour
de l'année 1986, que nous avons reçu d'un
un aimable métropolitain --
disons Mr X -- ( nous n'avons pas encore recherché la missive en
question , dans nos vieux dossiers) , qui nous avait
écrit (il a écrit
aussi à d'autres personnes de Guadeloupe qui portait le nom de famille IDYLLE),
, pour nous demander, si nous connaissions une personne, qui
avait comme prénom "Idylle", prémom qu'il voulait
donner à sa récente fille, et la Mairie de sa
naissance, s'y refusait obstinément, sauf s'il pouvait fournir la preuve qu'en
France, une personne portait déjà le même prénom. Après quelques recherches,
nous avons trouvé qu'un habitant de la ville de Basse-Terre, de sexe masculin,
portait bien le prénom idylle ou idyl (à repréciser ultérieurement). Eh bien la Mairie, a tout de même refusé, que la fille en
question, porte le prénom Idylle. Mais Mr X, a tout
de même décidé d'appeler communément, sa fille idylle, et il nous a même envoyé plus
tard, une de ses photos, que nous avons eu la grande
chance, de retrouver hier soir, hélas toute
trouée par les mites :
Nous espérons alors
donc que cet épisode élémentaire , va tant soit peu
éclairer cette affaire de prénoms, si vivace en ce moment. (Peut-être même , que cette
fillette, qui a maintenant autour de 35 ans,
reconnaitra sa frimousse d'époque, et qu'elle nous
écrira, pour nous en dire plus, sur cette si fabuleuse
histoire.
Mais,
revenons maintenant à notre causerie à batons
rompus, ayant trait aux ratés et frasques
lunaires, de la chaine Discovery Science, mais
revoyons d'abord, cette fanstastique image déjà présentée plus haiut , et tirée et l'incontournble ouvrage de notre ami Alfred Nahon :"La Lune et ses défis à la science", paru aux
Editions Mont-Blanc 1973, en Suisse :
où l'on découvre clairement avec
stupéfaction, une sorte de cratère, traversé diamétralement par une énorme
structure : (il
semblerait plutôt, qu'il s'agit d'un gigantesque bassin
circulaire, surmonté d'un immense pont)
Et comme légende, de cette photo, on découvre ceci :
En haut à gauche, on aperçoit
la juxtaposition surprenante de deux structures cylindriques
notoires :
Où sont donc tous ces
infographistes chevronnés qui ont des moyens puissants pour faire de la 3D et qui n'ont jamais osé présenter cela sur les
plateaux qu'ils affectionnent particulièrement ? c'est tout simplement
sidérant...
il s'agirait donc nous dit-on
du cratère Maruis, et que cette photo vient de
la NASA, et serait donc datée d'avant 1973.. Hélas la référence
exacte de cette photo de la NASA est amèrement
absente...
Et, dans ce même
livre, de plus l'ami Alfred Nahon, nous a aussi
présenté (voir plus haut), cette structure
demi-cylindrique très bizarre,
découverte par Monsieur Delcorps à l'époque Directeur
du Laboratoire LAET de Liège. Cette structure
apparaît sur une photographie prise par le Planétarium de la
Haye:
On en demeure bouche bée, n'est ce pas, et pourtant les astronomes et consorts officiels, font toujours
la politique de l'autruche, et restent muets comme une
carpe...
Mais, où donc,
se trouve ce cratère Marius sur la Lune
?
Sur le site de Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Marius_(crat%C3%A8re),
on découvre :
Donc apparenment, ce n'est pas le même cratère Marius dont il s'agit, mais d'un autre sans
doute plus petit, car aussi d'après Wikipedia, il existe beaucoup d'autres
cratères qui portent le même nom Marius :
Il ne nous reste qu'à
trouver, celui qui est traversé diamétralement par une structure en forme de
pont. Si vous le trouvez, vous aurez assurément gagné
le super Gros lot.
Mais,
notre amie Aurélia, déjà présentée plus haut (http://www.unepetitelumierepourchacun.com ), qui
est vraiment une bénie des
Dieux, nous a envoyé le 7/01/2015, l'url, de la photo suivante:
, où l'on découvre , oh
grand miracle, la même image, plus agrandie,
de la page 41 du livre d'Alfred
Nahon en question, et cela avec toutes ses importantes caractéristiques
:
Le cratère (de forme cylindrique
surprenante.Voir le bout de la flèche rouge), avec son espèce de
pont, est bien là, en-dessous du grand cratère. Il ne doit pas être très
difficile, de déterminer son nom :
Des ruines avec de nombreux angles droits, sont également présentes juste à gauche :
Et même, les deux structures cylindriques très caractérisées, vues plus haut :
Ah, si l'on pouvait
mettre tout cela, en 3D ... ce serait très édifiant ...n'est-ce pas
!!!!
Mais
poursuivons, notre investigation à :
En attendant, voyez que
sur le site :
On ne voit aucun
cratère traversé par un pont...
De
même sur le site :
On ne voit pas, non plus, un cratère traversé par un
pont...
De même sur le site ,
en PDF
On ne voit, aucun pont quelconque, sur un éventuel cratère de
l'image ...
C'est à l'intrépide puriste, qu'il appartient désormais de tirer cela au clair. Bonne
chance à lui , dans ses souvereines investigations et braves
initiatives, dans cette affaire...
Mais, nous voilà arrivés, ce 01 Octobre 2021, à un point crucial de la grande révélation cosmique cachée au monde entier par " les cosmologistes autruchards de service", car nous apprenons justement aujourd'hui en effet, (sans doute pour imiter la chaine "franceinfo" , qui n'arrête pas de débattre de cette affaire de "fake news", et chaine qui pourtant a été incapable de répondre à la moindre information , que nous avions élalorée pour elle, à ce sujet), voilà que la revue Ciel&espace, dans son numéro Hors-série Juillet-Août-Sept. 2021, entre aussi dans la danse des "fakes News" :
Le Webmaster du site ART.fr, est d'abord >plutôt choqué, par le fait qu'une revue de cette envergure, aille perdre son temps et son encre, à présenter entre autre chose, la thèse moyennageuse et stupide, des partisans de la Terre plate , alors que ses journalistes et autres éditorialistes de haut rang scientifique, auraient dû avoir, la puce à l'oreille, en scrutant attentivement la page 64 du n° 6 spécial, de leur propre revue, nommée à l'époque CIEL et ESPACE, de 1993, où un certain Mr L. M. G, nous a présenté, cette image extraordinaire de la planète Mars , où le pôle montré, brille majestueusement, sans que cela, à l'époque, n'émeuve personne :
On reste muet de
stupéfaction, devant cette casquette très
brillante, et en relief de
Mars, que ces spécialistes d'astronomie, ont vite qualifiée, de
calotte polaire glaciaire, qui brille sous l'effet
lumineux, disent-ils, de notre Soleil...
Ces spécialistes, si bien avisés au sujet des "fake news", sont pourtant restés lamentablement muets, devant ces incontournables faits, montrant que la lumière des pôles des astres suivants ne peut venir que de l'intérieur du globe en question. Point à la ligne... et un élève de 6e, bien vigilant, s'en apercevrait, vite fait :
Si cette affaire, ne vous
fait, ni chaud ni froid...Alors, regardez aussi, ce qui suit :
Pas mal, n'est-ce pas, ces
"couvre-chefs lumineux", bien en relief, au dessus de la planète
!!!
Et en plus, voici encore d'autres images de Mars, où
l'on voit, que la calotte brille
majesteusement, alors que la région
environnante est dans l'ombre...
Quant à prendre en
considération, les documents de la NASA, où
figurent certaines images, des pôles de
Mars, comme par exemple, celles-ci :
, C'est alors du temps
totalement perdu, car chacun sait, que rien n'est plus facile
actuellement pour la NASA, de trafiquer des
photos à sa convenance personnelle et de nous nous mener carrément en
bâteau...
Voyons aussi ces vues superbes de la planète Saturne elle-même :
Il est très clair qu'ici, on voit, sans discusion possible, un vortex très lumineux, rarement montré, au Pôle Sud de la planète.
Mais bien sûr, on n'a jamais disculé à la télé, de ce vortex lumineux apparu au pôle sud de Saturne, et aucun documentaire, n'a jamais parlé de cela ...
Mais, voici le bouquet incontournable, qui se présente pour les
images suivantes de Neptune, à
gauche, et de Mars à droite
:
Hallucinant... n'est ce pas
!!!
Nous insistons ici sur le
fait, que la photo de Mars, à droite ci-dessus ne vient pas de la NASA, (qui
vérouille et camoufle toutes images troublantes, venant des sondes spatiales), mais du Griffith Observatory, à los Angeles, en
Californie, (et qui existe depuis
1935).
Cette
extraordinaire photo de Mars, fut prise le 31
Août 2003, par le "Griffith Satellite Observatory", lors de
la fameuse opposition de 2003, où
Mars, était alors au plus près, de la
Terre, à environ 56 millions de km :
Pour ceux qui voudraient en savoir plus, prière
de contacter cet Observatoire
Griffith pour lui demander pourquoi cette superbe image,
n'a jamais fait la une des médias qui ont
pignon sur rue ... et surtout que l'on nous dise pourquoi
le site admirable, qui présentait cette photo
à :
a disparu en 2005, comme par
magie.
On y voyait
alors entre autres choses, ceci :
Une modeste
traduction des 7 premières lignes, donne alors ceci :
Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un
Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX
webcam.
C'est la meilleure image de
Mars qui se compose de plusieurs
dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de
prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette
année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif
Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord
est en haut et l'Est est à gauche.
Remarquons que l'Est devrait être à
droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord
soit en haut. Le télescope en effet, inverse les images ...
Mais il fut un temps où l'on pouvait , avec beaucoup de chance ,
grâce au merveilleux site :
, retrouver, le site Griffith qui a disparu, mais il semblerait que désormais la page du
( 29 Fev 2008) :
, a elle aussi disparue, et la photo en question nommée Mars083103.jpg, était fut un temps visible à :
>
, ce qui nous donne alors ce superbe spectacle qui en mettant l'Est à droite, en inversant l'image
Bien sûr, nous pourrions parfaitement montrer, que d'autres planètes, ont aussi, des vortex à leurs pôles et un petit Soleil central
A vous de juger en connaissance de cause, une fois de plus ... et documents tangibles à l'appui
Mais de plus, on doit aussi savoir, que c'est en effet, autour de, Janvier 2005, que le Webmaster d'ARTivision.fr, en exclusivité mondiale, l'affaire de Titan, le plus gros satellite de Saturne, (et affaire bien ignorée actuellement par nos astronomes, astrophysiciens et consorts béni-oui-oui de la NASA, qui ont parlé alors de petit nuage blanc, en suspension) :
par le Webmaster du site ARTivision.fr dès Janvier 2005.
La NASA, et les
astronomes prétendent, que le disque brillant en
question,
n'est qu'un un petit nuage blanc de
méthane.
Il est clair alors, que pour notre Terre,
c'est Kif-kif. C'est exactement cela que
démontre notre site depuis le 17/09/2000.
(voir notre modeste article d'époque :Byrd.html)
Cette image donc, confirme admirablement l'extraordinaire révélation, faite par Madame Anne Givaudan, (voir alors notre article clef : Quand-vient-le-temps-de-la-remise-a-zero-des-compteurs.html), et on revoit ici, très nettement (bout de la flèche rouge), la sorte de superbe réverbération, prouvant que la luminosité du disque, vient bien de l'intérieur de l'astre.
C'est donc ici pour ARTivision.fr, l'occasion, une fois de plus , d'inverser mgisatralement, le sage proverbe antillais, bien connu, tel que :
Autrement dit :
l'est aussi pour notre Terre".
Rappelons aux novices, (qui lisent souvent en diagonales les articles du site), qu'il n'est pas besoin de sortir de Polytechnique, pour découvrir ici, que cet œil surprenant de Titan, extrêmement brillant, de près de 300 km de diamètre, qui nous interpelle ci-dessus, possède clairement, en desous de lui, de faibles traces cependant bien visibles, soulignant la présence une sorte réverbération, sur les couches de l'atmosphère de la planète,
prouvant ainsi absolument, que cette extrême luminosité, vient bien de l'intérieur de l'astre. (voir le bout de la flèche rouge).
Mais, comme on le voit sur l'image de droite, le Pôle Nord de Titan est aussi entré dans la danse...
Il faut aussi remarquer surtout que c'est parce que la sonde Cassini Huygens (qui a fait ces photos et beaucoup d'autres qui n'ont pas été montrées), avait été mise au point par plusieurs nations, dont l'Allemagne, la France, l'Italie..., que ces pays et d'autres, ont eu un accès direct en temps réel, aux informations de la sonde. Donc la NASA a été prise de court, et n'a pas eu le temps de nous cacher, ce disque extrêmement lumineux qui est apparu au Pôle Sud de Titan. Point à la ligne...
Mais il y a mieux dans cette affaire de vortex polaires planétaires, ce qui ne va pas manquer de faire hurler d'amertume les détracteurs zététiques et leurs consorts intellectuels archi-déphasés.
En effet l'on note aussi, que ces Messieurs les scientifiques, vont à perpette (près de 50 millions d'années-Lumière), chercher l'image d'un obscur vortex, nommé Trou Noir, mais, qu'ils sont incapables de voir, celui bien plus voisin d'eux, très lumineux de l'astre nommé Titan, tiré du site tel que :
On découvre alors
ceci d'abord justement en noir et blanc :
TitanJLPsiteNASAPolesudennoiretblanc.jpg
Et voici alors, un semblant
d'explication de la NASA :
En rouge,
on comprend : " Un brillant nuage de particules de méthane apparait au pôle sud des 3
images. .."
Oh là
...."un nuage de particules de
méthane", disons que ce méthane, a dû être chauffé à blanc, et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène
naturel inconnu, pour nous fournir une
luminosité d'une telle intensité, amplifiée magnifiquement par les
rayons d'un Soleil, qui, on le sait, est très éloigné de Titan, de près d' 1,5 milliard de
Km...
On le voit, ici la
NASA, parle "d' un brillant nuage de particules de méthane qui
apparait au pôle sud de Titan" , ce qui nous montre une fois
de plus que les mots
employés nous éloignent, tout aussi assurément,
de la
réalité.
Et en couleur, c'est bien mieux sur le même site de la NASA, on trouve aussi ceci :
Pas besoin d'être fortiche en anglais, pour découvrir que le laïus en dessous de l'image, ne mentionne plus du tout, le disque blanc apparu (Bien sûr, on en a déjà parlé ci-dessus, et pour la NASA, pas de bavardage inutile n'est-ce pas !!). A vous de juger.
Mais ajoutons une image en couleur, de plus :
Le point lumineux au bas de la planète, est toujours là, et, étant donnéé sa grosseur, ce point correspond en fait, à un disque superbement lumineux gigantesque d'environ 300 Km de diamètre.
Tout cela serait de la sciencefiction de haut vol s'il n'y avait pas aussi à ajouter le message du Grand Maître SaLuSa, reçu en Mars 2011, et paru à l'époque sur le site :
et texte que vous pouvez aussi trouver à notre article clef :
Dans ce super message, il y avait alors ce passage inouï :
Voilà des propos, qui vont encore faire hurler de dépit et d'amertume nos scientifiques bien blasés , mais le Webmaster du site ARTivision.fr , lui, reste de marbre, devant ces
gesticulations désuettes et attardées, et met tout ce beau monde, carrément au pied du mur.... tant qu'il ne se prononcera pas officiellement, sur la véritable la nature du fait cosmique qui suit, que ces scientifiques ont volontairement oublié de citer dans leur audacieux fascicule, de la revue "Sciences et Avenir" n° 142 Hors série d'Avril-Mai 2005, et fascicule qui se présente tel que :
Ce super fascicule hélas, dans les 10 faits présentés a cependant loupé lamentablement le coche (que la NASA, dès Décembre 2004, avait placé, juste devant leur porte),
en la qualité de cette image, pourtant surprenante, de Titan, et ils ont été incapables de voir, ce vortex, très lumineux au pôle sud, de l'astre nommé Titan, satellite de Saturne, tel que :
A vous de juger donc, tout ce qui précède, documents incontournables, à l'appui...
Mais pour les puristes curieux, qui aiment aller aux sources d'un événement, voilà maintenant ce qui va faire encore grincer les molaires des bien-pensants zélées et zététiques, et qui se rapporte directement à ce qui précède, et que l'on trouve page 114 et 115, dans l'ouvrage très surprenant, d' Aurélia Louise Jones et de Dianne Robbins nommé "Télos: Révélations sur la Nouvelle Lémurie", publié aux Editions Ariane en 2002 :
"Toutes les planètes possèdent des ouvertures aux pôles nord et sud. Nous avons migré par celles-ci et découvert notre petit "nid" à l'intérieur. Le cœur de la planète est si propre, si pur et si paisible, que depuis cette époque nous n'en sommes jamais sortis.
Dur... Dur
n'est-ce pas , ces paroles surprenantes qui confirment parfaitement tout ce que dit ARTivision.fr, sur les vortex polaires, et cela, le célèbre explorateur polaire Byrd, l'a confirmé dès 1926...
Alors Messieurs, les intrépides chasseurs de "fake news", vous qui
voyez très vite, la minuscule paille
qui sort de l'œil du voisin, retirez d'abord SVP, l'imposante poutre, qui obstrue le vôtre, et ... point barre.
Mais ce matin du 3 Octobre 2021, nous avons appris le départ vers un monde parallèle, de Mr Bernard TAPIE :
Citoyen français très médiatique et charismatique, très autodidacte (un peu bien sûr, comme le webmaster d'ARTivision.fr), qui a eu des activités très diverses, chanteur, acteur, député, ministre, chef de nombreuses entreprises, et qui a toujours gardé son franc-parler et sa lucidité très pragmatique.
Que
donc Paix, et lumière accompagnent cette très active entité, qui de son vivant, fut un infatigable entrepreneur , dans la recherche du cursus économique, de cette planète en grande mutation...
Dommage, qu'il n'ait pas trop plongé dans les couloirs de l'espace et des planètes de notre environnement cosmique, car il aurait vite découvert, que les photos prises par télescopes modernes et les sondes spatiales de la NASA et de ESA, sont la preuve absolue, que notre petite planète, est très surveillée, et il aurait lui, vite fait, de faire mettre, par ses amis spécialistes, en 3 D, par exemple, les photos de la Lune (déjà montrées plus haut), telles que :
ou mieux encore :
Vous avez du mal à croire cela, mais voyez alors ce qui suit :
En effet, voici encore,
la preuve incontornable du passage de voyageurs inconnus dans l'environnement terrestre, et preuve qui est apparue très étonnament sur l'astéroïde Eros, un rocher en forme d'haricot, d'environ 33 km de long visité on le sait, le 14 Février 2000, par la sonde américaine Near, qui s'est satellisée à environ 355 km, de cet l'astéroïde, Cette sonde Near, a finalement réussi sur Eros, un atterrissage inouï, le 12 Février 2001 .
Voyez donc d'abord cette photo très claire de la NASA, prise le 03/05/2000, sur l'astéroïde Eros, par la sonde Near, en question :
On pouvait voir cette photo, à l'époque sur les sites :
où l'on voit nettement, au fond, d'une petite excavation, une forme très bizarre et très structurée, que les sceptiques auront bien du mal à justifier, par l'explication habituelle d'une érosion naturelle, issue de phénomènes, dont l'existence dans la région, reste problématique.
Un modeste agrandissement, nous donne ceci :
De plus, nous avons en effet, eu le grand bénéfice de découvrir ( Merci, une fois de plus à Super-Hasard, pour cette grande faveur ),, que l'on parle d'Eros , dans la revue destinée aux adolescents et merveilleusement illustrée Science&VieJuniorn°139 d'Avril 2001, que voici :
On découvre alors dans cette revue, ce super schéma, qui montre bien, la complexité de l'exploit qui a présidé à la descente finale de la sonde NEAR, sur EROS :
Cet atterrissage inouï et inespéré, eu lieu , on le sait le 12 Février 2001. et, chose très bizarre, cette descente de Near sur Eros, a été anoncée par la NASA, au tout dernier moment, comme si cette manœuvre n'avait pas été préparée de longue date, alors que cela doit être prévu, de très nombreux mois avant le lancement.
Que signifie donc ces cachotteries notoires de la NASA ? Avait-on, déjà les photos d'Eros, avant l'arrivée de la sonde Near ? A vous de juger...
Une structuration en 3D, nous donne alors ceci :
Puis aussi les autres vues suivantes :
Et en tenant compte du relief et du bassin dans lequel est placée la structure, on a aussi :
Merci donc, mille fois, au Webmaster de l' entreprise, qui a accepté, de nous structurer en 3D, cette surprenante image d'Eros.
A vous de juger tout cela, documents irrécusables à l'appui.
Que celui,
qui a pu bien lire, tout ce qui précède, en
tire le bienfait, plein
d'éclaircissements, qui s'impose, et surtout le désir latent, d'en savoir
plus.
À suivre...
Fred IDYLLE.
Article, mis en page le 23/08/2021, et revu le 24/08/2021, et revu le
25/08/2021, et revu le 28/08/2021, et revu
le 01/09/2021, et revu le
10/09/2021, et revu le 10/09/2021, et revu
le 12/09/2021, et revu le
14/09/2021, et revu le 17/09/2021, et revu
le 22/09/2021, et revu le
24/09/2021, et revu le 24/09/2021, et revu
le 27/09/2021, et revu le 01/10/2021, et revu le 03/10/2021, et revu le 24/12/2023 ...