...Il y a un autre phénomène qui a surpris plus d'un explorateur : subitement, à certains endroits, la neige était colorée, rouge, noire, verte ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à du pollen de fleurs. Du pollen au pôle Nord ? Personne ne s'étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait. D'où venaient les centaines de troncs d'arbres que le commandant Robert McClure avait trouvé sur la Terre de Bank ? McClure était le premier homme blanc à découvrir le passage nord-ouest dans toute sa longueur. Et là où plus rien ne pousse, là où la neige et la glace sont reines, il voit du bois flottant qui se dirige sur lui. Les troncs d'arbres semblaient avoir été charriés par les glaciers venant du nord. Des arbres encore plus au nord ? Nansen a vu du bois flottant à 86° de latitude nord, à 4° du pôle. Est-ce que les arbres tombent du ciel, comme la neige ? Sans doute pas.
Mais en page 118, de l'ouvrage ci-contre de
R. Bernard publié par
Albin Michel en
1971, et ouvrage pratiquement introuvable en librairie, on peut noter aussi, cette expression concernant également, cette affaire
de troncs d'arbres qui flottent, à la dérive dans le bassin polaire :
" Bois flottant, branches d'arbres portant des bourgeons verts, graines tropicales, oui on a trouvé tout cela dans les mers arctiques"
Des
bourgeons sur des branches d'arbres où la temprérature oscille autour de
-40° ?
Voyons cela,
d'une manière plus détaillée, dans un autre document, venant de l'auteur
Marshall B.Gardner, dont nous avons parlé plus haut. Voici d'ailleurs une photo de l'auteur et de la couverture de son livre incomparable :
Donc à la page 253 de cet ouvrage, hélas non encore trduit en français, on découvre ceci :
Et notre modeste traduction est alors :
Bois flottant et graines de plantes.
"Maintenant, nous allons suivre plus en détail les preuves de ces différentes formes de vie dans l'Arctique. Nous avons
déjà parlé de bois flottant se trouvant a des emplacements tels que cela ne
peut provenir que de l'intérieur de la Terre. Ce phénomène est si fréquent que les explorateurs dont nous avons évoqués les exploits, ont presque tous eu, à nous dire des choses à ce sujet. Mais parfois, même, on a vu cette étrange chose dans les mers arctiques, que certains arbres portaient des bourgeons verts . Certaines graines d'espèces inconnues, comme par exemple des espèces tropicales ont été trouvées, à la dérive, en descendant des courants du Nord. Un très intéressant cas de cette nature, fut de trouver la semence de la fève d'Entada, une fève tropicale mesurant 9/4 d'inch (5cm environ). Cette découverte remarquable a été faite par une expédition suédoise sous Otto Torell près Trurenberg Bay, et il est évident que cette semence doit provenir de l'intérieur de la Terre, car elle est tirée d'un arbre qui ne pousse que
dans des conditions tropicales, et elle aurait été désintégrée, si elle avait été trimballée pendant de nombreux mois, depuis de lointaines régions du monde entier, comme ce serait le cas si elle était venue
à partir des régions tropicales connues, de cette planète."
Mais voyons maintenant, toujours dans en pages 100 et 101, du livre de
R. Bernard cette
affaire de poussière noire et
de cendre volcanique de l'Arctique, comme nous le dit plus haut
le livre jaune n°6 et dont évite de nous parler
Jules Gay, qui ne pouvait ignorer ce phénomène, vu les nombreux ouvrages qu'il a consultés :
"La poussière, cette plaie de l'océan Arctique, est produite par des éruptions volcaniques. Légère, facilement portée par le vent, elle s'abat sur les bateaux et gêne considérablement la navigation. Quand elle tombe sur la neige, elle la rend noire. L'analyse montre qu'elle est constituée de carbone et de fer, et on suppose qu'elle provient d'un volcan en activité.
Quel est ce volcan ? On ne trouve fait mention nulle part qu'il y ait un volcan quelconque dans les environs du pôle Nord, et s'il y en a un ailleurs, plus loin, pourquoi la poussière tombe-t-elle seulement dans l'océan Arctique ?"
Pour y voir plus clair, demandons à Reed, auteur en 1906 de l'ouvrage "Phantom of the poles":
En page 126, on trouve alors :
Et grosso modo, notre traduction peut donner :
"Imaginez la poussière comme quelque chose d'ennuyant au milieu de l'océan Arctique! Nansen
dit: " nous avons passé ici des années les annèes, et qu'est-ce que cela nous a apporté ? Rien que de la poussière, la poussière, la poussière, que le premier vent disperse. "
Quelqu'un qui ne croit pas que
la Terre est creuse, pourra-t-il me dire g'où provient cette la poussière ? elle n'est pas un élément ou une marchandise qui s'accumule très vite sur la glace, ou en eau libre, et alors Nansen a dit : " Rentrons chez nous. Pourquoi resterons-nous ici davantage ? Rien que de la poussière, la poussière, la poussière. ".
Si vous maintenez, le fait que la Terre est un solide plein, il n'y a pas de réponse à cette question embarrassante. Mais si l'on conçoit cependant qu'elle est creuse, et que la poussière vient de
l'éruption d'un volcan situé à l'intérieur, le puzzle est facile à expliquer, sans mettre en cause une comète
circulant à des millions de Km, et qui va disperser la poussière sur toutes les régions arctique et antarctique. Si la Terre se trouve être pleine, alors les gens peuvent se féliciter que cette poussière soit confinée
principalement autour des pôles,... "
Vous avez bien lu que Nansen se plaint amèrement de l'envahisement du flot de la cendre qui l'invite à fuir et à regagner son logis.
Mais voyons aussi alors ce que nous en dit l' ouvrage intitulé "Vers le Pôle" de Fridtjof Nansen présenté par Jean-Louis Etienne et publié par les Editions Hoëbeke en 1996 d'après l'ouvrage de 1897, ISBN 2-84230-012-2. C'est ouvrage n'est, en fin de compte, qu'un condensé des deux tomes de l'Édition d'origine.
En page 101, on découvre ceci concernant Nansen, après qu'il soit arrivé autour du 81° 18'de Lat Nord :
Vous constatez que cette image, nous permet de faire d'une pierre deux coups, car en plus de la déclaration de Nansen, on a la position officielle (sans doute celle de Jean-louis Etienne) sur la provenance de cette poussière...et on évite là, de parler de la véritable abondance de cette chute de cendre envahissante, comme nous le dit plus haut Nansen
Mais pour résumer tout cela, jetons voulez-vous un furtif coup d'œil, dans le super ouvrage de 1818 suivant :
Et aux pages 121 et 122 , consacrées aux récits de divers navigateurs :
Notre modeste traduction devient alors :
" Dans toutes mes conversations avec nos commandants, , je n'ai jamais manqué de leur demander quel itinéraire qu'ils prendraient pour atteindre les très hautes altitudes du Nord. Le résultat était alors qu'ils ne cherchaient jamais à l'atteindre en passant par l'ouest du Spitzberg, mais en filant vers le Nord en partant de la côte Ouest de la Nouvelle Zemble; Les raisons de Mr Baske et celles d'autres commandants furent :
1°) Que toutes les côtes Ouest des régions nordiques étaient pour la plupart, libre de glace à cause des vents et des marées venant principalemeent de l'Est, comme le prouve l'expérience.
2°) Que cette glace vient au départ des rivères du Tartare. Pour cela la mer ne gèle jamais, mais là elle est calme, et à la même période la neige tombe abondamment.
3°) Que près des "Seven Islands", les navigateurs ont souvent été confrontés à une houle énorme venant du Nord-Est, ce qui prouve qu'à cette époque, la mer n'est pas gelée à une considerable distance vers le Nord-Est.
4°) Que le bois flottant
(Nous venons justement d'en parler plus haut), ne pourrait pas venir de la région au nord du Spitzberg, car les mers situées entre le Nord de l'Asie et cette île, seraient gélées? Alors qu'une quantité importante de ce bois se dirige sur la côte Nord de l'Islande, et cela démontre que les courants viennent du Nord-Est.
5°) Que sur certains de ces arbres, les dessins axiaux sont très nets et la couleur du bois très vive, si bien qu'ils ne peuvent avoir été
asssurément plus de six mois en mer.
6°) Que certains de arbres ont des bourgeons qui ne pourraient rester aussi frais, si ces arbres avaient séjourné une année dans l'eau salée.
7°) Que l'Est du Groenland a maintenant été exploré jusqu'au 79° de Latitude-Nord et que probablement il s'étend plus loin en direction du Nord Nord-Eest et que l'on présume être la cause du blocage de la glace entre la côte et le Spitzberg et la raison pour laquelle il n'y a jamais de houle de Nord-ouest ou nordique.
8°) Qu' en général tous les navires qui ont été une fois au 82° de latitude nord, ont rencontré très peu ou pas du tout d'obstructions dues à la glace. Et des discusions en plus aboutiraient à la même concusion. Il y a certains cependant qui auraient préféré faire une tentative de circulation entre le Spitzberg et la terre découverte par Mr Gillis. "
Retenons, en fin de compte, de tout ce laius plutôt fastidieux, que chaque navigateur s'attend à découvrir au-dela du 82° de latitude nord, une mer particulièrement libre de glace, et sutout qu'il y flotte souvent de jeunes troncs d'arbres, portant des bourgeons encore frais.
Autrement dit R. Bernard ( vu plus haut en page 118 de son ouvrage ) en parlant de bois flottant avec des bourgeons, et aussi plus haut, de houle fantastique en mer polaire, sait de quoi il parle, puisque ce livre étonnant de 1818, en fait état , tout à fait clairement.
Comme vous le voyez, cette affaire de bois flottés, nous a conduit sur des sentiers bien étranges, et plutôt loin des préoccupations de Jules GAY n'est-ce pas !!! A vous de juger...
Fin de la note n° 5 et continuation du texte de Jules GAY)
D'autre part, les fleuves immenses que nous avons nommés, rompant au printemps leurs barrières de glaces et enflés par la
fontè des neiges, versent dans l'Océan des masses d'eau considérables que l'évaporation presque nulle réduit à peine; si bien qu'un
afflux pareil ne tarde pas à déterminer un trop plein dans le bassin
polaire, et par suite un courant de retour qui entraine chaque année les glaces vers le sud. Pendant l'hiver, les fleuves, emprisonnés par les glaces, ne peuvent plus alimenter ce courant; la mer Polaire
elle-méme, gelée en grande partie, parait immobile; et cependant
les courants ne cessent pas entièrement. Les nombreux exemples de dérive de navires emprisonnés psr les glaces le prouvent suffisamment. Pour n'en citer que deux : en i850, les navires américains du
lieutenant de Haven, pris par les glaces à l'entrée du détroit de Lancastre dérivèrent jusqu'au sud de la mer de Baffin en 1857, le Fox,
capitaine Mac Clintock , pris par la glace à la fin d'ao8t, ne fut délivré que le 26 avril suivant; après une dérive de 1 200 milles, en
deux cent quarante-deux jours. L'année suivante ce méme navire
atteignait. enfin le théatre du désastre de Franklin.
Ainsi, même pendant l'hiver, la mer Polaire est le siège d'une véritable circulation. On se l'expliquerait mal si ses eaux, comme
quelques-uns l'ont prétendu, étaient recouvertes par un manteau de
glace éternellement fixe et immobile.
Chapitre II
Ce ne sont pas là les seules preuves, tant s'en faut, de l'existence
d'une mer libre au pôle: en voici d'autres que nous recueillons dans
les récils mémes des voyageurs polaires, et dont la réunion ne
pourra guère, croyons-nous, laisser de doutes sur le fait que nous
avons avancé.
Les observalions faites en différents points sur les bords du bagsin
polaire, à Bossekop, à Harnrncrfest, à Arkhangel, à Lakutsk montrent que les vents les plus froids sont ceux qui viennent de l'intérieur des terres, tandis que les vents qui soufflent de la mer Polaire sont relativement doux. (voir Ch, Martins: Du Spitzberg au Sahara, p. 145. - Kaetz et Ch Martins Cours de météorologie, p. 149. - Peterman, Geogr. Mittheil.,. 1869).Nous ne pouvons nous empécher de citer également les lignes suivantes écrites par un des vétérans des expéditions polaires, le célèbre Joln Ross, pendant le séjour de quatre hivers consécutifs qu'il fit au nord de l'Amérique. L'idée d'une mer libre, il importe de le remarquer, n'était pas encore admise à cette époque (1830):
" Nous reconnûmes, dit-il, que les températures les plus élevée; étaient arrivées par le vent du nord-ouest et les plus basses par le vent du sud. La seule explication, juste ou fausse, que nous pùmes trouver fut que la mer était libre au nord, et que tout le côté du sud soit mer, soit terre, était une masse de glace. "(Ross, l, 304.)
Avant qu'on eût songé à étudier la température suivant les différentes aires du vent, l'étude de la marche des isothermes avait déjà conduit à des résultats analogues. Les isothrermes de -!0° et-15°, au lieu d'être continus, se relèvent au nord de la Sibérie et de l'Amérique, et paraissent circonscrire deux points qui seraient les pôles du froid. Brewster, Berghaus et Kaemlz s'accordent à les placer
entre 78° cl 80° lat. N (Voir Kaemtz, p. 183, ainsi que les cartes des isothermes dans le Physikalischer Atlas de Berghaus).
En outre, la comparaison des moyennes estivales et hibernales observées par les navigateurs qui ont hiverné dans les régions polaires montre que le climat, tout â fait extrême et continental au nord de l'Amérique, où Back a observé un maximum de + 20° et un minimum de - 56°,7 (la plus basse température relevée jusqu'ici) devient moins extrême à mesure qu'on s'avance vers le nord. Or partout où l'on a obseryé le même résultat sur le reste de la terre, il s'est montré étroitement lié au voisinage ou à l'éloignement des côtes; si bien que les expressions de climat continental on excessif, de climat marin ou constant sont devenues synonymes. II est naturel de supposer que pareil phénomène se produisant au nord de l'Amérique, il est dû â la méme cause, et que le climat devenant moins extrême à mesure qu'on s'élève au nord, cela tient au voisinage d'une mer polaire et d'une mer ouverte, car une mer constamment
solide serait assimilable, quant à son action sur la température, 3 un continent (Voir Back, Voyage dans les régions arctiques, vol II p 300).
La théorie se montre ici d'accord avec l'observation. Plusieurs
physiciens ont étudié directement, en effet, la quantité de chaleur
versée â la surface de la Terre par le Soleil, cc qu'on a appelé les lois
de l'insolation. Ils ont trouvé que le minimum do la quantité de chaleur versée par le soleil ne se trouvait pas au pôle, mais bien vers le
cercle polaire, tandis qu'au delà de ce cercle, la quantité de chaleur
versée et, par suile, la température allaient en croissant. (Voir Plana, Mémoire sur la loi du refroidissement dea corps sphériques et sur l'expression de lachaleur solaire dans les latitudes circumpolaires de !a terre; Mémoires de l'Académie royale de Turin, vol I chap XXIII, année 1866. - G. Lambert, Note sur les lois de l'insolation Comptes rendus de l'Académie des sciences, vol l.chap XL1V,
année 1867.)
Sans entrer ici dans l'exposé des considérations qui conduisent à
ce résullat, nous ferons remarquer seulement que si l'axe de l'équateur coïncidait avec l'axe de l'éclipliyue, les rayons solaires seraient tangents aux pôles, et la température y serait évidemment la
plus basse possible. Mais il n'en est point ainsi; l'axe de l'équateur et
celui de l'écliptique sont inclinés l'un sur l'autre de 23° environ ; il
en résulte que le pôle n'est plus le point où la lempérature est minima. ( Note 6 du Webmaster :Tout ce laïus de Jules Gay, vise seulement à nous démontrer que la température augmente à mesure que l'on monte vers le nord, alors que ce devrait être inverse. Il pense évidemment que c'est pour lui, la preuve de la présence d'une mer libre de glace, autour du pôle qui adoucie la température des environs.
Mais, ce que Jules Gay, ne dit pas ou ignore, c'est que l'on trouve aussi à son époque, des rapports inouïs, concertant cette affaire de tempérarure, et que son exposé, n'est pas suffisant pour expliquer ces faits :
Voyons déjà, ce que nous dit, le célèbre Naturaliste français Buffon (voir alors notre article Buffon.html à son sujet), dont Jules Gay ne parle pas, mais dont, il pouvait à son époque parfaitement consulter son "L’histoire naturelle générale et particulière" , en 36 volumes parus de 1749 à 1789, dont voici un portrait de l'auteur et la couverture du livre en question :
une photo de la couverture :
Aux pages 215 à 220, on découvre, les paragraphes très intéressants suivants (l'orthographe est d'époque, et les couleurs sont de nous évidemment) :
PREUVES DE LA THEORIE DE LA TERRE.
ARTICLE VI.
GEOGRAPHIE.
Page 215 et suivantes:
.....On trouve une grande quantité de ces glaces flottantes (les icebergs) dans la mer du nord, surtout à quelque distance des terres ; elles viennent de la mer de Tartarie dans celle de la nouvelle Zemble & dans les autres endroits de la mer glaciale. J’ai été assuré par des gens dignes de foi, qu’un Capitaine Anglois, nommé Monson, au lieu de chercher un passage entre les terres du nord pour aller à la Chine, avoit dirigé sa route droit au pole & en voit approché jusqu’à deux degrés ; que dans cette route il avoit trouvé une haute mer sans aucune glace, .....
Cependant Guillaume Barents qui avoit échoué, comme bien d’autres, dans son voyage du nord, ne doutoit pas qu’il y eût un passage, & que s’il se fût plus éloigné des terres, il n’eût trouvé une mer libre & sans glaces. Des voyageurs Moscovites envoyés par le Czar pour reconnoître les mers du nord, rapportèrent que la nouvelle Zemble n’est point une isle, mais une terre ferme du continent de la Tartarie, & qu’au nord de la nouvelle Zemble c’est une mer libre & ouverte. Un voyageur
Hollandois nous assure que la mer jette de temps en temps sur la côte de Corée & du Japon, des baleines qui
ont sur le dos des harpons Anglois & Hollandois. Un autre Hollandois a prétendu avoir été jusque sous le pole, & il assuroit qu’il y faisoit aussi chaud qu’il fait à Amsterdam en été.
Un Anglois nommé Goulden, qui avoit
fait plus de trente voyages en Groenland, rapporta au Roi Charles II que deux vaisseaux Hollandois avec
lesquels il faisoit voile, n’ayant point trouvé de baleines à la côte de l’isle d’Edges, résolurent d’aller
plus au nord, & qu’étant de retour au bout de quinze jours, ces Hollandois lui dirent qu’ils avoient été jusqu’au 89e degré de latitude, c’est-à-dire, à un degré du pole, & que là ils n’avoient point trouvé de
glaces, mais une mer libre & ouverte, fort profonde & semblable à celle de la baye de Biscaye, & qu’ils lui
montrèrent quatre journaux des deux vaisseaux, qui attestoient la même chose & s’accordoient à fort peu de chose près.empêcha ces Navigateurs de retourner. Voyez le Recueil des voyages du nord page 200. Mais la Compagnie des Indes de Hollande crut au contraire qu’il étoit de son intérêt de trouver
ce passage ; l’ayant tenté inutilement du côté de l’Europe, elle le fit chercher du côté du Japon, & elle
auroit apparemment réussi, si l’Empereur du Japon n’eût pas interdit aux étrangers toute navigation du côté
des terres de Jesso. Ce passage ne peut donc se trouver qu’en allant droit au pole au-delà de Spitzberg. ...
Fin de citation.
Mais nous avons nous a notre disposition, une autre ouvrage de 1818 que Jules Gay, aurait plus consulter et qui raconte les mêmes faits ...
Cet ouvrage déjà présenté plus haut est bien sûr celui là:
Nous découvrons alors en page 37, ceci :
Une modeste traduction pourrait donner alors :
" Le Capitaine Goulden, qui avait fait plus de trente voyages au Groenland, a rapporté à Sa Majesté, que, étant au Groenland pendant une vingtaine d'années, il fut en compagnie de deux Hollandais à l'est de l'île d'Edge. Comme les baleines fuyaient la côte, les deux Hollandais se déterminèrent à aller plus loin vers le nord, et après une quinzaine de jours, ils furent de retour. Ils dirent alors qu'ils avaient navigué jusqu'au 89 ° de latitude nord , et qu'ils ne rencontrèrent pas de glace, mais une mer libre et ouverte, et qui avait une configuration ressemblant à celle de la baie de Biscaye. M. Goulden n'étant pas satisfait par cette brutale révélation, ils lui ont présenté quatre journaux de bord des deux navires, qui en témoignaient catégoriquement, et cela, en quatre minutes, reçu l'agrément de tout un chacun. "
Comme il serait intéressant n'est-ce pas, de retrouver le nom de ces hollandais et surtout leurs journaux de bords, s'ils ont été conservés dans des bibliothèques !!!
A la page 101 de ce super ouvrage, nous trouvons aussi ce passage :
Et notre traduction pourrait donner, grosso modo :
" Le célèbre Mr. Boyle,, à partir de ces exemples et beaucoup d'autres, a rejeté la notion longtemps admise que le pôle est l'archétype du froid. Le Capitaine Jonas Poole, qui en 1610 a navigué dans un vaisseau de soixante-dix tonneaux pour faire des découvertes vers le Nord, a trouvé un temps chaud au voisinage du 79 ° de latitude, tandis que les étangs et les lacs étaient débloqués, ce qui le mit, dans l'espoir de trouver un été adouci, et qui l'a amené à croire que le passage ( note 8 du Webmaster : passage nordique généralement est-ouest ou ouest-est très recherché) pourrait être trouvé plus rapidement, en passant par le pôle de quelque manière que ce soit; et c'est pour cette raison que le soleil a donné une grande chaleur là, et que la glace était loin d'être aussi épaisse que ce qu'il avait rencontré à la latitude de 73 °. En effet, les Hollandais, qui prétendent avoir avancé à un degré du pôle, ont dit qu' il y faisait aussi chaud là que pendant l'été à Amsterdam. "
Autrement dit, tout se tient, et Buffon, a eu certainement en mains, les mêmes sources que celles de cet ouvrage, car on y retouve les mêmes déclarations.
Mais il y a aussi cette citation du grand explorateur américain Charles Francis Hall (1821– 1871) qu'aurait pu connaitre Jules Gay, et dont Reed (voir plus haut) cite l'ouvrage intitulé : "In capitain Hall's last trip" où il est ecrit en page 166 :
" We find this a much warmer country than we espected... we have found that the country abounds with life, and seals, game, geese, ducks, musk-cattle, rabbits wolves foxes bears pazrtriges lemmings, etc our sealers have shot two seals in the open water while at this encampement... "
que nour traduirons modestement :
" Nous avons découvert une région plus chaude que nous l'espérions... Nous avons découvert une région débordante de vie et les phoques du gibier, des oies, des canards, du bétail musqué, des lapins, loups des renards des ours, des perdrix, des lemmings, etc..Nos chasseurs de phoques en ont abattus deux sur la mer libre alors que nous étions à notre camp".
Nous pourrions bien sûr, poursuivre cette découverte du livre de Jule GAY, mais comme il existe maintenant en PDF (Voir URL plus haut ), arrétons-ci notre exploration, par cet étonnant dernier passage : :
" Enfin, les renseignements que l'on a pu recueillir auprès des rares habilants de ces contrées désolées sont venus confirmer ces indices
d'un climat plus doux vers le nord. "Un vieux prêtre russe que j'ai connu à Iakutsk, dit Mr. de Wrangel, et qui a longtemps vécu chez les Tchoukises ( Note 7 du Webmaster: il s'agit, bien sûr, du nom des esquimaux de la région), m'a assuré que, selon la tradition, , sont arrivés sur leurs côtes."
(Note 8 du
Webmaster : Nous voilà arrivés au passage le plus surprenant de l'opuscule de Jules GAY, et c'est ce passage qui nous a déterminé à mettre en ligne ce texte. Sans peut-être s'en rendre compte Jules Gay, anticipe et amplifie ici la phrase, très audacieuse vue plus haut du livre de Hayes ainsi énoncée : "les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue ..."(On ne dit pas, hélas, du tout ici, quelles étaient leurs tailles : voir plus haut: SmokyGod.html).
Bien sûr ni Hayes, ni Gay ne pouvaient imaginer à l'époque qu'il ne sagissait pas que quelques îles éparses de la région polaire, mais bien d'un continent immense et intérieur à notre Terre.
Etant donnée, l'importance de la déclararation de l'amiral Wrangel, le Webmaster du site ARTivision, serait bien aux anges, s'il pouvait en découvrir l'origine russe, et l'ouvrage qui l'a publiée en premier. Hélas cela fait des lustres, que nous attendons qu'un internaute, parlant le russe, découvre cet ouvrage...
Mais ce 20 Janvier 2020, nous allons alors sortir,
un très lourd marteau, pour enfoncer davantage le clou, de cette affaire occulte de la Mer libre de glace au Pôle Nord de notre planète, en faisant cette fois état, d'un fait extraordinaire contemporain
qui nous a été rapporté dès le mois de Mai 2003, par un très aimable internaute...
Remarque : Le lien présenté à l'époque ci-dessous, dans cette missive ne fonctionne plus, mais nous avons retrouvé, le texte en question, aux urls :
Pour le 19 Mars 2003 à :
Pour le 9 Janvier 2006 :
(et aussi à d'autres dates).
En effet, c'est le 18 Mai 2003, que nous avons eu le privilège de recevoir l'aimable missive suivante (les
couleurs et la police des caractères, sont de nous, évidemment) :
----- Original
Message -----
From : V... T...
To: Fred IDYLLE
Sent:
Tuesday, May 18, 2003 8:43 PM
Subject: plus de glace au Pôle
Nord
Bonjour Fred
J'ai trouvé sur le site : http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N1999.asp cet
article plutôt bizarre. Et vous qu'en pensez-vous ?...
v.........t
|
Pas de glace au Pôle Nord
Une expédition qui s'est rendue au Pôle Nord
cet été n'y a pas vu de glace. Là où
aurait dû se trouver la banquise, il n'y avait que l'océan
Arctique. Une première en... 50 millions
d'années.
États-Unis
21/08/2000 - James McCarthy, un océanographe
américain qui faisait route vers le Pôle Nord dans un brise-glace russe en
compagnie d'un groupe de touristes a eu la surprise
de sa vie. À son arrivée, début août, pas de glace. Il n'y
avait que de l'eau, sur au moins deux kilomètres de largeur. Selon
l'expert, ce serait la première fois depuis 50
millions d'années, que le pôle n'est pas couvert par la
banquise. D'autres spécialistes contestent : le mouvement des glaces crée
parfois des trouées temporaires, même à cette latitude extrême.

Le paléontologue Malcolm C. McKenna, qui était
aussi de l'expédition, croit toutefois que c'était
la première fois, que l'on trouvait les
eaux du pôle libres de glace. Il ajoute que le navire russe n'a
traversé que de la glace très mince pendant tout son voyage. Dans cette
région, l'été, elle fait normalement au moins trois mètres d'épaisseur.
Cette fois-ci, les touristes ont dû s'éloigner à 10
kilomètres du Pôle Nord avant de trouver de la glace assez
solide pour pouvoir y marcher.
Autre détail
troublant : des goélands ont
été vus en train de voler au-dessus du Pôle. Là encore, ce serait une première. Ces oiseaux, qui se
nourrissent de créatures marines, ne vivent
habituellement pas des ces régions en principe couvertes d'une
épaisse banquise.
Les participants de l'expédition voient dans
toutes ces premières une preuve de plus
de la fonte rapide de la calotte polaire. Des observateurs extérieurs
croient plutôt que la banquise s'est temporairement déchirée lorsque la
glace a été emportée par le vent ou les courants marins. Quoi qu'il en
soit, tous les spécialistes s'entendent pour dire que la banquise recule,
au moins à sa limite sud, et que son épaisseur a diminué d'au moins 40 %
depuis 50 ans. À ce rythme, elle pourrait complètement disparaître d'ici
2100.
Philippe
Gauthier
|
Nous avons fait
chou blanc, en tentant de joindre les protagonistes de
ce super-communiqué, et nous gardons les missives en question, à la disposition
des puristes passionnés;
Voilà donc, un fantastique communiqué, qui parle souvent de première fois, et chose surprenante, ce communiqué n'a pas eu, à notre connaissance un écho favorable, dans le contexte des télévisions, ayant pignon sur rue... (voir cependant plus bas, une revue célèbre qui en parle succinctement, mais pas un
seul film, n'a été montré à la télé), alors que "l'expédition touristique", en question avait certainement des caméras à sa disposition n'est-ce pas !!! . Devinez alors pourquoi, une découverte d'une telle importance, est passée carrément à la trappe...
Ce communiqué montre bien, aussi, l'ignorance totale de ses auteurs, en matière de connaissance des récits concernant les explorations polaires, et, il ne dit pas autre chose, sur "La mer libre du Pôle", que ce que raconte justement l'ouvrage du même nom et de l'explorateur americain, Isaac Israël Hayes :
Cet ouvrage extraordinaire, a été publié en 1868, en France par l'éditeur Hachette, sous le titre "LA MER LIBRE DU PôLE" Voyage de découvertes dans les mers arctiques exécuté en 1860-61 Paris, In-8 , 517 pages. Traduit de l'anglais par Ferdinand de Lanoy. Ouvrage illustré de 70 gravures sur bois et de 3 cartes. Vous trouverez ce livre, en PDF à l'url :
Rappelons qu' Isaac Israël Hayes, était un explorateur, né à Chester (Pennsylvanie) le 5 mars 1832, mort à New York le 17 Décembre 1881. Médecin en 1853, il prit part en cette qualité à une expédition de Kane, au Pôle Nord.
Nous avons de lui, et on la vu plus haut, l'ouvrage condensé de 1877 (trouvé dans une vieille malle, à 600 m de chez nous) suivant :
Mais, au sujet du super communiqué de l'océanographe James McCarthy en date 21/08/2000
, vu juste ci-dessus, voici aussi ce jour, ( et pour être aussi tant soit peu fair-play), quelques infos supplémentaires, qui pourraient peut-être satisfaire, la prétendue soif de rigueur culturelle de ces bien-pensants zététiques, qui ne croient, que ce qu'ils voient, avec leurs deux yeux pointus
Lizez donc ce paragraphe significatif de la page 114 de la célèbre revue, "La Recherche", n° 335 d'Octobre 2000, qui nous fut envoyé le 11 Février 2003, par notre ami internaute Michel Hertzog, qui hélas ne doit plus être de ce monde, car nous n'avons plus de nouvelles de lui, depuis des années, et nous lui dédions très respectueusement ce nouvel article....
Et voici ce que disait, sa missive extraordinaire :
Sur une obsession
collective.
" Des touristes en croisière ayant trouvé de l'eau libre de glaces au pôle Nord, ( Il s'agit en effet de l'affaire en date du 21/08/2000 du brise-glace Russe vue plus haut et signée de Mr Philippe Gauthier), l'alarmante nouvelle fit le tour du monde. Du New York Times au Figaro, en passant par la une du magazine Time, retentit le roulement de tambour désormais familier :
"Oyez, braves gens, nous
vilains et représentants technophiles et productumanes, nous sommes en train de
changer de le climat de notre précieuse planète. D'urgence, il faut limiter la
consommation de pétrole, pour limiter les émissions de ces satanés gaz à effets
de serre, d'où nous vient tout le mal. Lester Brown, secrétaire perpétuel du
Worldwatch Institute, produisit son inévitable éditorial, pieusement reproduit
dans les colonnes du Herald Tribune :
"La découverte d'eau libre au Pôle Nord, apporte une nouvelle preuve non seulement que la couverture de glace de la Terre fond, mais quelle fond à un rythme accéléré"
Le très austère
Financial Times, tança vertement les gouvernements occidentaux pour leur peu d'empressement à respecter leurs engagements de réduire les émissions de gaz carbonique.... "
Fin de citation
Merci mille fois, à l'internaute, qui pourrait nous procurer,
au moins un, des articles des médias mentionnés ci-dessus.
Comme vous le voyez,
la Mer libre du pôle, pourtant découverte par certains explorateurs depuis le 19
e siècle,
(voir le livre de 1857 du Dr Elisha Kent Kane; présenté plus haut),
est totalement ignorée par les médias en question, et d'après eux, seul
l'effet de serre, est responsable
de cette mer libre de glace, par la
fonte de la banquise.
Mais comme on le sait,
qu'il faut battre le fer pendant qu'il est chaud, parlons à nouveau de cette revue
"La Recherche", qui en
Octobre 2012, a publié un fascicule
Hors série,
n° 51, intitulé
Les Dossiers de la Recherche, et où apparaît
un article significatif, sous la plume de
Mme Frédérique Rémi :
Ce
n° 51 spécial de cette revue, va nous permettre d'accéder à
un niveau de compréhension très philosophique, concernant la psychologie de la nature humaine.
Mais il nous faut ici tout de même présenté
une troisième digression, au sujet de notre acquisition de la revue en question. Si cette revue était sortie ces temps-ci nous, ne l'aurions certainement pas achetée, car nous n'avons plus d'automobile, pour nous déplacer
à volonté, jusqu'à la "
Grande Surface", à environ 4 km de chez nous.
Voici, ci-dessous
cette automobile, que nous
avons offerte, même pas pour
un franc symbolique, à un garagiste voisin de chez nous, car elle avait un radiateur qui fuyait légerement, malgré toutes nos nombreuses tentatives, pour le réparer, et surtout à cause du fait que "
les ignares technocrates parisiens" de la circulation routière, o
nt jugé bon d'instaurer un
contrôle technique tous le 5 ans ans, pour les voitures de collection, alors que la nôtre,
depuis des lustres, ne passait plus ce contrôle technique.
Voici alors,
quatre images, qui nous l'espérons, vous donneront,
une petite idée, de cette automobile, et, avec notre frimousse, en prime :
La
calandre, de cette auto possédait
un disque ésotérique, de notre fabrication, qui était tel que :
Le rond central de la calandre, possède un motif venant
du Tibet et que les
"initiés" reconnaîtront à vue d'oeil ci-contre. Cela
faisait de cette automobile, un
modèle unique en son genre. Et comme vous vous en doutez, avec cet engin, nous ne roulons qu'à des allures très modérées, qui n'est pas le cas des quidams toujours pressés
de cette civilisation qui part à vau-l'eau.
Fin de la
troisième digression.
Mais revenons à notre revue en question
d'Octobre 2012 :
En effet, dans cette revue, nous avons eu le bénéfice de découvrir un article de 4 pages, sur le célèbre naturaliste
Buffon (1707-1788), et dont le début est tel que :
Et voici aussi, la partie qui nous interpelle grandement :
L'auteur reprend donc les affirmations connues de
Buffon, concernant le
capitaine Anglais Monson qui, en se dirigeant droit vers le Pôle, est arrivé dans
une haute mer sans aucune glace. Il y a aussi, l'histoire
d'un hollandais, qui a prétendu avoir été jusque sous le pôle, et qui affirma qu'il y faisait,
aussi chaud qu'à Amsterdam en été. Mais, elle ne nous parle pas, du nommé
Goulden,
(mentionné en pages 215 et suivantes du super ouvrage de Buffon), qui a recueilli le témoignage
de deux autres Hollandais, et qui lui dirent, qu'ils avaient été jusqu'au 89
e degré de latitude nord, c'est-à-dire, à un degré du pôle, et que
là, ils n'avaient point trouvé de glaces, mais une mer libre et ouverte, fort profonde et semblable à celle de la baye de Biscaye. Ces hollandais lui montrèrent
quatre journaux de deux vaisseaux, qui attestaient la même chose.
Malgré tous ces rapports maritines officiels, cette scientifique continue
à croire que tous ces gens se sont trompés amèrement, et que
la mer libre de glace n'existe pas. (Sans doute, a t-elle lu cette affaire d'effet de serre du n° 335 d'Octobre 2000 de la revue "LA Recherche " affaire vue plus haut, dans la même revue )
Pourtant cette dame, avait certainement plus de moyens qu'
ARTivision, pour aller vérifier tout ce qui précède et que nous affirme
Buffon, et bien d'autres navigateurs. Elle pouvait alors assurément, mettre ainsi la main,
par exemple, sur
les livres de bord , en question
des hollandais, et aussi sur les déclarations osées du fameux
Monson anglais,
car à l'époque, on ne pouvait pas encore évoquer, la contrainte de l'effet de serre, pour expliquer la présence, de cette mer libre de glace, au Pôle Nord. Point à la ligne...
Notons tout de même que si cette scientifique n'a pas
eu la chance, comme le Webmaster d'ARTivision d'analyser, dès la fin 2004 et durant l'année 2005
les photos incroyables de la NASA concernant
TITAN, de nombreux cosmologues et consorts affiliés
(dont un bien connu qui aime parler des Ummites, et qui nous avait contacté au sujet du Dr Joseph Davidovits), ont fait comme elle, et ont loupé le coche, qui placardait pourtant
ces images très insolites telles que :
Cette aimable dame
(qui nous offert un plateau en or concernant ces affaires polaires, si bien cachées au monde entier), aurait pu plus facilement,
selon nous bien sûr, s'interroger sur
les calottes polaires de Mars, tout aussi
énigmatiques que celles de la
Terre et de Titan, et
calottes souvent présentées sur notre
site :
Pas mal, n'est-ce pas, ces
"couvre-chefs lumineux", bien
en relief, au-dessus de la planète !!!
En voici encore d'autres, où l'on voit, que la calotte brille sompteusement, alors que la région environnante est
dans l'ombre...
Poursuivons, si vous le voulez bien, par ce
montage mosaïque, réalisé dès fin de
Sept 1902 , par
l'Observatoire Astronomique de Yerkes, appartenant à
l'Université de Chicago à Williams Bay dans le Wisconsin :
Traduisons grosso modo, le texte de l'image :
" Vues de Mars prise à l'observatoire de Yerkes le 28 Septembre 1902, montrant, la prétendue la calotte neigeuse, se projetant au-delà du globe de la planète, ce qui exclut toute possibilité qu'elle soit faite de neige ou de glace."
Voici d'ailleurs deux photos agrandies de ce panorama :
Ces images sont extraites, page 80 bis, de
l'ouvrage incontournable de
Marshall B. Gardner (1920), et voici donc, une photo de l'auteur, suivie de celle de la couverture de l'ouvrage en question :
Quant à prendre en considération, les documents de la
NASA, où figurent certaines images,
des pôles de Mars, comme par exemple, celles-ci :
,
c'est du temps totalement perdu, car chacun sait,
que rien n'est plus facile actuellement pour la NASA, de trafiquer des photos à sa convenance.
Nous avons même, la preuve que cet organisme, considère
le commun des mortels, comme
un mouton innocent, à qui on peut faire avaler
n'importe quelle couleuvre mal dégrossie.
Il y a aussi,
cette extraordinaire photo de Mars, prise le
31 Août 2003 par le
"Griffith Satellite Observatory", lors de
la fameuse opposition de 2003, où
Mars, était alors au plus près
de la Terre, à environ
56 millions de km :
Nous insistons ici sur le fait que cette photo
ne vient pas de
la NASA,
(qui vérouille et camoufle toutes images venant des sondes spatiales), mais du
Griffith Observatory, à Los Angeles, en Californie,
(et qui existe depuis 1935).
Nous avions découvert à l'époque,
cette sublime photo, sur le site suivant :
,
(et site que nous n'avions pas, oh grosse erreur, enregistré à ce moment là), et
qui a hélas a totalement disparu du Web par la suite .
Dès
le début de 2006, nous avons lancé un appel, à nos amis internautes, afin que l'on fasse tout ce qui est possible, pour contacter le
Griffith Observatory, et retrouver ainsi les
références exactes de
cette incroyable
photo, qui était placée chez nous, à l'envers, telle que :
Il est bien aussi à remarquer qu'une telle photo,
(à notre connaissance, mais un cas pourrait peut-être nous avoir échappé), ne
fut jamais diffusée
dans
les médias qui ont pignon sur rue, et pour cause. Vous pouvez chercher dans
revues spécialisées bien connues,
aucune d'entre elles
n'a osé en parler,
même à titre de curiosité, car leurs
journalistes, n'ont aucune explication
orthodoxe, à présenter sur le cas de
cette incroyable brillance du pôle de Mars en question. Alors il est préférable dans ce cas de se taire et de fourrer la tête sous le sable comme
l'autruche pour ne pas voir l'inexplicable.
 Plus tard, grâce à l'heureuse initiative d'un internaute
béni, nous avons pu très heureusement découvrir que cette extraordinaire image de Mars, et le site en question, étaient visibles à l'adresse :
telle que :
Une modeste traduction, des 7 premières lignes, donne alors ceci :
"Dimanche 31 Août 2003 , par le - Griffith Satellite Observatory, avec un Telescope: 127mm f/12.1 MaksutovAppareil. Appareil photo: Creative Pro EX webcam.
C'est la meilleure image de Mars qui se compose de plusieurs dizaines d'images sélectionnées, alignées et empilées à partir d'une séquence de prises faites à 12h05. Ce fut peu de temps après l'opposition célèbre cette année (2003 rappel), quand Mars est passé à environ 34.6 millions de miles de la Terre. Un dispositif Barlow x 3, a été utilisé pour donner une taille conséquente à l'image. Le Nord est en haut et , l'Est est à gauche
"
Fin de la traduction .
Remarquons que l'Est devrait être à droite, et donc il faut renverser la photo pour que le Pôle Nord soit en haut. Le télescope en effet, inverse les images ...
Nous nous posons alors la question, de savoir, pourquoi, un site aussi bien fait et aussi utile, a pu disparaître aussi souverainement.
Finalement, en mettant l'Est à droite, voyez donc, le superbe spectacle, que l'on obtient, pour le Pôle Nord de Mars :
Comme on le voit, sur ARTivision , chaque chose arrive, en temps voulu, n'est-ce pas !!.
En résumé, nous affirmons, que ce qui est valable pour Titan, Mars, ...etc..., est aussi valable pour la Terre, et cela explique, magistralement, cette incroyable photo, de la NASA, telle que :
Cette surprenante et très rare photo, datée du 14/11/2001, est tirée, du site de la NASA :
Alors, Messieurs les cosmologistes officiels, et consorts journalistes blasés,
que vous puissiez connaître ou pas, cette superbe configuration lumineuse, de notre belle planète la Terre, elle existe bien et c'est la NASA elle-même, qui nous l'a communiquée. Point barre...
Cette scientifique, spécialiste des régions polaires, (déjà présentée plus haut), semble ignorer le fait, qu'en plein système moderne, analysé par toutes sortes de médias prétendus éveillés, on nous a parfaitement et sournoisement mystifiés, dans de nombreux cas, comme par exemple, l'affaire du Crash de Missouri en Mai 1941, l'affaire de Pearl Harbor en Déc. 1941, l'affaire du crash de Roswell en Juillet 1947, l'affaire de l'assassinat du Président Kennedy en Nov. 1963, l'affaire trafiquée du débarquement des américains sur la Lune en Juillet 1969, l'affaire de la destruction des tours jumelles de New-York le 11 Sept. 2001...etc... et il y a en plus, bien d'autres affaires, encore cachées...
Voir quelques unes de ces affaires, dans nos articles :
..................................... etc ....................................
Mais ce 23 Janvier 2020, certains chercheurs puristes très logiques, pourraient avouer être largement satisfaits, par les preuves apportees ci-dessus, concernant l'existence véritable du phénomène des vortex polaires au sein de Titan et de Mars .
Mais les néophytes, qui découvrent à peine ce site ARTivisionr, nous diront par exemple : :
"qu'il serait aussi bien utile, de nous montrer quelques images de vortex, concernant d'autres planètes de notre Système Solaire, comme par exemple, Vénus, dont on sait maintenant, que sa température tourne autour de 400°, et qui ne saurait posséder des calottes polaires couvertes de neige brillante".
En effet, concernant donc Vénus, voici déjà, importante missive, que nous avons reçue le 01/08 2019:
----- Original Message -----
From: Annaëlle
Sent: Thursday, August 1, 2019 5:58 PM
To: IDYLLE Fred
Subject: Vénus
Bonsoir Fred,
J'ai remarqué tout à l'heure une curieuse photo de la planète Vénus
à l'url :
On voit au pôle de la planète une tache claire que l'on ne peut attribuer à une calotte glaciaire, étant donnée la température. Curieux non ?
Fin de la missive .
Et, de plus, nous avions déjà présenté, sur notre site concernant Vénus, ceci :
Il y a déjà des lustres, certains détracteurs pour noyer le poisson, prétendaient que Vénus, aurait pu avoir comme Mars, une calotte
polaire glacée, Mais maintenant que sait que Venus est brulante, cette hypothèse ne tient plus. Alors d'où vient cette luminosité polaire vue ci-dessus ?
Nous attendons, avec ferveur, Messieurs les irréductibles détracteurs, vos brillantes suggestions,
Comme il est utiles parfois de "battre le fer pendant qu'il est chaud", voyons aussi très succinctement, ce que l'on découvre aux pôles Saturne, Neptune, Mercure, Jupiter etc... :
Pour Saturne :
Et pour Neptune c'est encore plus beau :
Comme serait un spectacle éblouissant, si aux antipodes, on pouvait alors voir, ce qui s'y passait, n'est-ce pas !
Nous avons aussi, de la part de notre amie Aurélia (http://www.unepetitelumierepourchacun.com
), ce panorama neptunien, venant de l'observatoire Keck d'Hawaii :
Et pour Mercure, on a aussi ceci :

Et pour Jupiter, on a aussi :

Cependant, il est aussi judicieux de présenter ici, cette image que l'on peut encore apprécier, sur le site :
WIRO at Jupiter
Credit: A. Kutyrev (SSAI/GSFC), D. Rapchun(GST/GSFC), J. Norris(NASA/GSFC)
R. Canterna & R. Martin (U Wyoming)
Mais pour Cérès, un petit astéroïde, de 930 Km de diamètre, on a pourtant, aussi :
Et, cela sera expliqué, une prochaine fois.
Mais, nous voilà ce 25 Janvier 2020 arrivés
à, un tournant très époustouflant, de cet article, et nous attendrons sans doute, encore bien longtemps à ce sujet, les commentaires judicieux et réalistes, des cosmologistes officiels (Astronomes Astrophysiciens Directeurs et journalistes de revues se consacrant à l'étude des choses de l'Espace et du Cosmos ...), et de plus, nous invitons ici, les néophytes, à s'attacher solidement au siège le plus proche, de leur environnement, car à l'altitude où l'on va, ce jour évoluer, il risque d'y avoir, pour eux, de très sérieuses turbulences....
Venons-en maintenant, à l'affaire tout à fait fantastique, de l'astéroide CÉRÈS, et affaire, qui nous est présentée, par les deux entrefilets suivants, très surprenants, à plus d'un titre :
Premier texte :
A une certaine époque, en 2005, on découvrait sur le site :
, alors ceci :
où, chose très surprenante, on ne voit aucune photo de Cérès. Pourtant en 2005, sur un autre site du Nouvel Obs , qui a disparu comme par magie, et que nous avions heureusement capté à l'epoque, on pouvait lire à l'époque, ceci, où figure, alors cette fois, une photo :
© Le Nouvel Observateur
La vraie nature de
Cérès.
Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète
(9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker,
Thomas, McFadden) |
|
L’astéroïde Cérès, le plus
gros représentant connu de la ceinture principale d’astéroïdes située entre Mars
et Jupiter, aurait pu être une planète. Si Jupiter ne s’était pas formée, si du même coup elle n’avait pas empêché nombre d’objets de la cette ceinture de
continuer à grossir en acquérant de la matière, Cérès serait peut-être devenu
une planète. La forme sphérique de l’astéroïde accrédite l’hypothèse d’un objet
homogène, possédant un cœur et un manteau, selon une étude publiée cette semaine
dans la revue Nature.
De nouvelles observations menées en
décembre 2003 et janvier 2004 par le télescope spatial Hubble montrent que Cérès
est un objet sphérique, pas aplati, suggèrant que sa forme est contrôlée par une
force de gravité. De plus sa rotation correspond à une distribution homogène de
la matière, expliquent Peter Thomas (Cornell University) et ses
collègues.
Cérès pourraient donc être composé de deux couches : un cœur
rocheux et un manteau riche en glace d’eau. Une structure comparable à certaines
lunes glacées du système solaire. Pour se faire une idée plus précise et plus
définitive, les chercheurs attendent avec impatience la mission Dawn, conçue
pour rendre visite à Cérès et à Vesta, et qui se mettrait en orbite autour de
Cérès en 2015.
Cécile Dumas
(09/09/05)
Vous constatez de plus, que dans l'entrefilet précédent, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante, qui éclabousse. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroïde ?
Aucune suggestion, ne nous est proposée...
A vous de juger ce mutisme caractérisé.
Deuxième texte :
Il y a aussi cet entrefilet qui est tiré du journal "20 minutes TOULOUSE", qui est offert gratuitement. Il est daté du 13 Septembre 2005 :
Vous voyez que là, au moins, nous apprenons que le diamètre de Cérès mesure 930 km, et surtout que les astronomes disent qu'ils n'ont pour l'instant aucune explication à proposer, au sujet de cette tache blanche très lumineuse, qui apparaît sur les photos....
Nous avons alors en début d'Octobre 2005 pousser l'audace, jusqu'à demander par l'intermediaire de Mme Régine Françoise Fauze, qui channellise Le collectif Soria, formé, on le sait, de 4520 entités cosmiques , de nous en dire plus sur l'affaire, et le 13/10/05, nous avons été comblé par le fait, de recevoir ces fantastiques mots :
" Quand la Science vient confirmer la vision transcendante de certains médiums... Nous vous apprenons très particulièrement que le noyau solaire de Cérès est de 71,300Km, et il y aura d'autres découvertes...Donc affaire à suivre..."
Nous avons évidemment imméditement fait un petit calcul, qui tient compte du diamètre de 930 km de Cérès, et de celui de la Terre de 12760 km. Donc toute proportion gardée, s'il elle existe, le diamètre du soleil intérieur de notre planète Terre, serait donné par l'expression : d = ( 960 x 930) / 12760 km = 947, 69583...km et pour simplifier, nous arrondissons alors à 950 km, ce qui est bizarrement très voisin du nombre de 960 km, avancé en 1920, par Marschall B.Gardner auteur de l'ouvrage (déjà présenté plus haut) :
Avec le schéma surprenant à gauche en anglais, et à droite tiré du livre la Terre creuse en Français, on a :
Mais pour certifier tout cela, il faudrait d'abord pouvoir filmer l'autre hémisphère de Cérès, et voir ainsi si l'on y découvre aussi une lumière éclatante similaire.
Donc, dans cette affaire extraordinaire de Cérès, nous voyons que, dans ces entrefilets la question de la lumière étrange apparaissant à la surface de cet astéroïde, a embarrassé assurément certains observateurs qui ont préfèré comme dans le premier cas cité plus haut , de ne pas montrer l'image de Cérès, pour éviter d'expliquer la présence de ce disque lumineux qui, carrément, nous éblouit et nous subjugue
A vous de juger cette affaire, documents à l'appui..., et affaire qui prouve bien que cette histoire de planètes creuses, avec un soleil central, est très dure, même actuellement, à encaisser, et on fait tout pour éviter d'en parler.
Mais concernant Cérès, il y a eu ces dernier temps, du nouveau,, que nous tirons du site :
Voyez vous-même cela ;
Selon le chercheur Christopher Russell : "Les scientifiques de Dawn peuvent maintenant conclure, que la luminosité intense de ces zones est due à la réflexion de la lumière solaire par un matériau hautement réfléchissant sur la surface, éventuellement de la glace."
"Il reste maintenant à confirmer qu’il s’agit bien de glace", dira ce chercheur...
De la glace, sur ce corps céleste aride sans atmosphère, et ni eau, ni air ? Et bien sûr, on nous dira, que cette glace, viendrait d'une comète...
Mais ARTivision
, se tord de rire à cette explication, car ces lumières possèdent une configuration ayant de nombreux angles droits, qui en aucune façon ne sauraient être, l'effet du hasard...
Mais il y a mieux : On a repéré "une sorte de pyramide", sur le sol, pourtant désertique, de Cérès , et les mêmes scientifiques diront, vite fait, qu'il s'agit d'un monticule tout à fait naturel :
Nous attendrons sans doute longtemps encore, avant que, les cosmologistes et consorts assimilés, nous donnent une seule petite explication orthodoxe des phénomènes étant à l'origine des configurations des structures précédentes bien étranges. N'est-ce-pas !! .
Nous pourrions, (et nous l'avons déjà fait, dans de nombreux autres articles) , présenter ici, beaucoup d'autres structures insolites, découvertes sur d'autres astéroïdes, (Comme les structures très insolites découvertes sur Éros, dont voici une :
qui nous subjugue énormément), et cela prouve de manière incontournable,
l'expression d'une vie assurément intelligente venant des ALIENS qui patrouillenrs depuis des lustres, dans notre Système Solaire , et cette présence d'Aliens a été occultée au commun des mortels (mais les hauts dirigeants eux, sont parfaitement au courant) pour de vulgaires questions de prestige national, et de puissance technologique ou militaire, alors que ces événements portent en eux-mêmes, la raison majeure d'unir cette Humanité, et d'en finir une fois pour toutes avec ces guerres dérisoires et calamiteuses, (toujours au profit des marchands de canons et des cupides profiteurs de cette société), qui la déchirent depuis des siècles. Point à la ligne...
Quant à ces hurluberlus décérébrés, de jihadistes radicalisés ou pas, ou les consorts anarchistes révolutionnaires, qui tuent leurs frères innocents, sur cette planète admirable qu'est la Terre, comme ceux, dont on parle dans les entrefilets, déjà connus, suivants :
leurs disciples ( car souvent, ils sont
eux-mêmes, déjà dans un monde parallèle) n'auront pas bientôt, assez d'yeux et de larmes, pour pleurer leurs dérisoires méfaits, quand ils apprendront sous peu, qu'ils ne sont que des 3 m (minus, minables, misérables), sur cette planète qui va bientôt remettre, les compteurs à zéro :
Les Aliens (qui contiennent aussi des humains, venant de très anciennes civilisations terrestres), et qui vivent dans notre envionnement depuis des siècles regardent ces hurluberlus décérébrés, exactement comme nous regardons les fourmis ou les termites (Rappelons que, par exemple ces termites, ont à l'intérieur de leur mutuel habitat, près de 50 corps de métiers, assurant la survie de cet habitat communautaire).
Peut-être alors aussi, en voyant l'image hors norme, ci-dessus du satellite Miranda de la planète Uranus,
ces éventuels disciples feraient peut-être, leur acte de contrition, en découvrant, cette superbe piste, caractérisant une entreprise nommée sur Terre, de "génie civil", et qui a produit, cette structure en forme de champs de courses de chars romains, à la "BEN HUR".
Jamais les bien-pensants et autres commentateurs spécialistes officiels actuels, toujours prêts, à parader sur les plateaux de télévision, n'ont osé y faire un seul petit débat, sur cette affaire, très insolite de Miranda.
A vous de juger tout cela, en connaissance de cause...
Et, à bon entendeur salut !!.
Mais ce 28 Janvier 2020
, disons que tous les faits irréfutables qui ont été présentés ci-dessus dans cet exposé, auraient pu facilement être considérés comme faisant partie, d'un vrai récit de la littérature fantastique digne de nos meilleurs auteurs de Science-Fiction, si, et ce si est d'une extrême importance l'amiral
Richard Evelyn BYRD, l'un des plus grands amiraux des USA, (au sujet duquel, nous avons eu la très grande chance de découvrir en temps utile des documents historiques irréfragables), n'avait tenu des propos tout à fait ahurissants, au retour de ses diverses expéditions aux deux pôles de notre planète.
Pour être plus significatif, dans cet exposé, il nous appartient de reprendre ici, certaines révélations déjà formulées dans d'autres articles très effarants.
Ainsi par exemple, puisque le Grand Maitre SaLuSA, en personne (inconnu au régiment de nos pontifes académiques voir notre article :
SaLuSa-parle-de-Byrd ), y a parlé, très exceptionnellement de l'amiral Byrd, demandons à ce dernier lui-même, de nous en dire plus sur le vortex polaire, qu'il a dit avoir découvert au Pôle Sud de notre planète en 1956 ( et on sait, qu'il en a trouvé également un, au Pôle Nord et l'on a déjà vu, pourquoi les médias qui ont pignon sur rue, évitent soigneusement de nous parler de cela )...
En effet, nous avons eu la chance inouie, d'être tombés sur une interview historique, de BYRD faite par la chaine américaine NBC après l'opération l'opération Deep Freeze en 1955-56.
Et voici quelques images de ce film remarquable :

C'est effectivement le 27 Juillet 2014, que nous avons reçu de notre ami canadien André, la missive suivante :
----- Original Message -----
From: André J.......
To: Fred Idylle
Sent: Sunday, July 27, 2014 7:35 PM
Subject: Admiral Byrd
Rare interview télé avec ton copain Byrd et espérons que ça pourra être traduit très bientôt.
Fin de citation .
Pour ceux qui veulent en savoir plus, prière de consulter aussi les sites :
Pour les puristes disons que, Richard E. Byrd, est né le 25 Octobre 1888 à Winchester, Virginie, et il est décédé le 11 Mars 1957 (à 68 ans) à Boston...
On, sait aussi déjà, que l'amiral Richard Evelyn BYRD, fut l'un des amiraux, les plus titrés des USA, et d'après un article de Jean Brun de l'hebdomadaire Nostra du n° 425 de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, il fut Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, Secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences...
On sait aussi, qu'il a fait des déclarations inouies concernant les zones polaires, qu'il a explorées à diverses reprises, et déclarations que les bien-pensants actuels ont vite traitées de légendes et d'hallucinations freudiennes.
Nous allons donc ici, démontrer, noir sur blanc,
que les paroles de Byrd doivent être épluchées, avec une très grande minutie.
N'étant pas du tout, familiarisé avec l'américain parlé, nous avons demandé à notre très aimable amie Nicole (qui hélas a quitté ce monde en fin 2017), de nous en dire un peu plus sur cette interview de Byrd, tout à fait rare et sans doute exceptionnelle.
Et voici sa réponse :
----- Original Message -----
From: Nicole
To: fred IDYLLE
Sent: Monday, July 28, 2014 11:48 AM
Subject: Interview Byrd
Bonjour cher Fred,
Même quand on parle et comprend couramment l'anglais, il est très difficile de suivre la vidéo, car Byrd n'articule pas bien, sa tête est tournée donc le micro n'est pas bien orienté - ils auraient au moins pu le cadrer un peu mieux - et avale la moitié des mots. Je trouve qu'il a l'air bien fatigué. J'ai bien réécouté la vidéo et effectivement au début, il dit:
"That there is a secret land mass the size of the United States that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole ."
Vous avez parfaitement compris le début du texte et à part cette phrase d'introduction il n'en dit guère plus, car il enchaine avec des considérations parlant des progrès matériels permettant des explorations plus faciles, grâce à des technologies de pointe et des avions plus puissants etc. Il dit d'autre part qu'il organise en effet une expédition pour établir des bases au Pôle Sud (Little America), et ils reviendront en Avril. Je pense qu'il s'agit de l'Opération Deep Freeze en 1955-56. En effet, les préparations pour l'Année Géophysique 57-58, ont commencé à partir de Novembre 1955 pour se terminer en Avril 1956....
...Cette interview doit venir d'archives d'époque où les Etats n'avaient pas encore complètement essayé d'étouffer l'affaire, ou alors ils ont laissé échapper des documents involontairement (ou pas). Comme on dit: Nobody is perfect, on ne peut pas toujours tout voir, certains détails finissent pas faire surface. Comptons là-dessus.
On peut quand même remarquer, qu'il ne semble pas en très bonne santé puisqu'il disparaît en 1957... Ensuite il enchaine sur le fait que ce continent inaccessible, est un reservoir gigantesque de ressources minières en particulier charbon, uranium et autres minéraux qui suffiraient à approvisionner le monde moderne pendant très longtemps. Il parle aussi de la ruée mondiale vers le Pôle Nord, qui est plus accessible sans autre commentaire, mais ne manque pas de faire remarquer que le Pole Nord (surface liquide) n'a pas le meme intérêt que le Pôle Sud qui est un continent.
A mon avis, il n'a pas voulu s'étendre sur sa vraie mission, probablement par prudence de toute évidence. Mais ses paroles sont bien là et ne prêtent pas à contestation. Donc apparemment il veut donner l'impression que ses expéditions n'ont pour seul but que la recherche de matières premières !!. On ne peut certainement pas lui reprocher sa prudence sachant à quoi il s'expose. Mais un fait est certain: cette vidéo apparaît un peu partout, de + en + de gens cherchent la vérité bien cachée mais un jour ou l'autre, elle sera officiellement dévoilée. Beaucoup de monde s'intéresse à la Terre Creuse, et un jour ou l'autre quelqu'un finira par apporter une preuve indubitable. Actuellement les populations mondiales sont sous pression médiatique pour des tas d'évènements montés en épingle sciemment pour occuper le terrain. Ce sont des manœuvres bassement politiques pour noyer le poisson. Si jamais on arrive à démontrer par a+b que la Terre est creuse, vous rendez-vous compte de la révolution qui s'attachera aux dogmes bien établis, car tout le monde va se demander... comment il peut y avoir un noyau solide dans une sphère creuse ? C'est bien là que le bât blesse, toute révélation contestant l'orthodoxie, révolutionnerait le savoir mondial et toutes les données pseudo-scientifiques qu'on nous a inculquées depuis notre enfance, et c'est pourquoi ils sont prêts à tout et freinent des 4 fers, pour empêcher cette révélation qui sonnerait le glas de leurs carrières et de leur crédibilité, donc une affaire de gros sous, car dans ce cas, ils ne pourraient jamais plus exercer.
Peut-être que votre correspondant pourra vous donner plus de détails. J'apprécie beaucoup la suite de votre article en cours.
Amicalement
Fin de citation.
Remercions donc d'abord ici, mille fois, notre amie Nicole, pour cette magistrale explication, qui s'applique admirablement à un document filmé d'une grande rareté, tout à fait incomparable, et où à l'époque, Byrd, osait encore avouer, l'existence d'une Terre inconnue en plein Pôle Sud :
"That there is a secret land mass the size of the United States that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole .",
, que nous pourrions traduire modestement par :
"C'est qu'il y a une terre secrète, au-delà du Pôle sud, de l'étendue des USA, qui n'a jamais été observée par un humain quelconque" .
Vous avez bien noté, nous l'espérons fortement, le "a", de l'expression :
"That there is a secret land mass the size of the United States that has NEVER been seen by any human being beyond the South Pole ".
C'est donc clair, net, et sans bavure... et, le site ARTivision, s'est efforcé de démontrer cela, dès Septembre 2000. A bon entendeur Salut...
Mais, nous allons aussi, pouvoir montrer ce jour que nous sommes toujours fair-play, en exposant une fois encore quelques bribes, d'un
article très spéculatif, (niant bien sùr les mystères polaires déjà mentionnés ci-dessus.), mais on va le découvrir bientôt, le site ARTivision lui, a toujours en réserve, dans ses chers dossiers, (de quoi mettre au pied du mur, les complaisants détacteurs zététiques), qui ne peuvent que
rester dramatiquement muets devant les faits extraordinaires incontournables que chacun peut vérifier
textuellement parlant.
Voici donc, la thèse d'un quidam (qui se croyait, à l'époque bien informé sur les affaires polaires), et thèse qui s'oppose strictement à notre affaire, de vortex polaires...
Cet article dérisoire fut publié
dans le n° 326 de la revue de vulgarisation des choses de l'espace
Ciel&Espace, de Juillet 1997.
Pour l'auteur de cet article, un certain Serge Jodra, sans doute, un astronome officiel qui, du haut de son statut social, croyait devoir fustiger amérement L'affaire de la Terre creuse, en disant qu'elle n'était qu'un fantasme relevant entièrement du mythe, sortes de propos fantaisistes, que justement notre article actuel, remet ici en cause totalement. Voyez vous-même :
Puis, à la page 68, on
trouve ceci :
Donc, on voit bien que
ce Monsieur Serge Jodra, dans cet
article tristement mémorable, intitulé "Terre creuse voyage au centre
d'un
fantasme", met volontairement entre guillemets (en page 68), l'expression "mystère polaire":
et cela signifie, pour lui, qu'il n'y rien de mystérieux au Pôle, sinon un
fantasme, comme il le dit, si bien, dans son titre. Point Barre...
Mais, voyons maintenant l'article très important du "THE LEADER POST", du 31 Janvier 1947,(comme on le voit, le Webmaster du site ARTivision, a toujours des atouts maîtres en réserve), que l'on pouvait à une certaine époque découvrir sur le site
GoogleOldNews :
Le titre surprend déjà :
" Byrd annonce ses objectifs pour aller investiguer dans le secret polaire "
Ah Ah... comme on le voit bien , il y a tout de même,un secret à découvrir (contrairement à ce que prétendait le sieur Serge Jodra nommé ci-dessus ), dans ces immenses zones glacées extrêmement froides et couvertes de neige à l'infini,
n'est-ce pas ?
Traduisons encore, quelques paragraphes, du "THE LEADER POST", où il y a des phrases soulignées en rouge.
D'abord, tout au début, on trouve " Little America. 31 Jan. Le
Vice Amiral Richard E.Byrd a atterri à
Little America jeudi, et immédiatement
annonça ses objectifs en vue d'un vol à travers le Pôle Sud dans un territoire inexploré, pour déterminer si l'Antarctique est
un continent unique ou une masse de deux grandes iles ...."
Quel
tissu de sous-entendus, Byrd, nous
livre-là ? Il faut savoir lire entre les
lignes, bien sûr.
En effet
d'abord, pour savoir si l'immense
continent (rappelons qu'à certains
endroits, il y a près de 4000m d'épaisseur de glace, d'après le dessin en
perspective suivant tiré du Paris Match
n° 1088 du 14 Mars 1970 :
où l'on voit que l'épaisseur de la glace peut
monter jusqu'à 4200m), capables de le séparer en diverses portions,
il faudrait des centaines d'avions munis de radars puissants, (en 1947, il n'y avait pas encore de satellites artificiels) pouvant sonder sous
la glace et de vastes équipes au sol, pour baliser le terrain. Donc cette affaire
d'îles à déterminer est un énorme bluff pour noyer le poisson, et
détourner l'attention des journalistes.
Puis il y a ceci :"La plus importante découverte géographique qui reste à entreprendre dans ce monde".
Comment à l'époque (le Traité de l'Antarctique interdisant toute mesure de nature militaire et non pacifique qui a pris effet le 23 Juin 1961, n'était donc pas encore en vigueur), l'exploration de quelques veines apparentes de charbon, ou d'autres minerais utiles à l'industrie, pouvait-elle être considérée comme la plus importante découverte géographique ou géologique qu'il soit ?
Voià une expression dont le caractère est tout à fait déboussolant, et phrase, qui a dû, à l'époque faire tomber carrément à la renverse , géographes, géologues et consorts intellectuels affiliés blasés du système académique connu.
Mais, pour pouvoir analyser, plus avant, le document en question, faisons ici une nouvelle digression d'une grande importance :
En effet, nous savons maintenant, que l'explorateur Byrd, a effectué au Pôle Sud, de nombreuses expéditions, entre autres en 1929, 1936, 1947, 1956, à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des déclarations insolites...
Mais lisons avant tout ce super texte de Raymond Bernard, publié en 1971 chez Albin Michel, dans la prestigieuse collection, hélas disparue "Les chemins de l'impossible":
, où tous les événements notoires sont clairement présentés, et où l'on parle aussi d'un autre explorateur australien Sir George Hubert Wilkins qui, comme Byrd aurait découvert au-delà du Pôle, une terre totalement inconnue.
Bien sur nous avons souligné les phrases clefs de cette liste. On y reviendra bien sûr.
Disons cependant pour les authentiques puristes, qui aiment remonter aux sources véritables d'un document, que cette superbe liste de R. Bernard, est tirée entièrement des pages 13 et 14 du livre de 1959 "Mondes au-delà des pôles", d'un certain Amedeo Giannini, qui prétend que des découvertes inouies, auraient été faites par des explorateurs des zones arctique et antarctique de notre planète :
On doit alors savoir d'abord, que Giannini était un scientifique d'origine italienne, né à Cambridge dans le Massachussets, et ayant fait ses classes dans les écoles de Boston. Et voici donc juxtaposées, une partie des pages en question de ce livre :
Notre modeste traduction du premier paragraphe donne :
Février 1947 "J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle (Nord). Cette région qui est le centre du Grand inconnu".
Vice-amiral Richard E Byrd de la Marine de USA, avant ses 7 heures de vol au-delà du pôle Nord.
Hélas, nous n'avons trouvé aucune mention dans un journal américain quelconque, de cette expédition de Byrd, au Pôle Nord de 1947 (Mais un extraordinaire journal français du 6 Avril 1973 en parle).
Si Giannini ne ment pas, cette expédition a dû être Ultra Top-secrète. C'est pour cela, qu'à notre plus grand regret, nous pensons que Giannini, a commis là, une grave erreur, et qu'il aurait dû absolument, mentionner la source de cette si surprenante déclaration de Byrd. Cette déclaration venait assurément de certains membres de la Navy, avec qui Giannini, était lié amicalement, et qui lui ont interdi de citer ses sources, ce qui milite bien sûr, pour leur authenticité.
Voici donc, une des rares photos de ce Giannini :
Notons en passant, que nous avons parlé longuement de cet Amedeo Giannini dans nos articles suivants :
Précisons cependant, avant de poursuivre que nous ne souscrivons pas du tout, à la théorie fantasmagorique de Giannini qui, pour expliquer ses découvertes, a élaboré, à l'époque l'incroyable hypothèse qui voulait que la Terre soit collée par les pôles, à un univers parallèle bien réel, et que cet univers serait lui même en relation avec un autre, et que cela se poursuivrait ainsi à l'infini ...Pour lui tout se passe à l'extérieur par une sorte de continuité physique de l'Univers.
Giannini, n'a à aucun moment imaginé que la Terre pouvait être creuse, et qu'il y avait deux ouvertures aux pôles, permettant d'accéder à son intérieur.
En essayant de décortiquer cet ouvrage très ardu à lire, il va s'en dire que nous n'avons pas pensé, une seule seconde qu' Amedeo Giannini, ait pu inventer tout cela, avec tant de détails précis, surtout à l'époque, où l'on ne plaisentait pas sur la rigueur morale.
Mais, il s'avère cependant que les prémices des recherches de Giannini, qui sont à l'origine de son extravagante théorie, sont les mêmes qui s'articulent au départ de la théorie des "ouvertures polaires", et en particulier les déclarations insolites (.(nous dit Giannini) de Byrd, et aussi et surtout, la découverte extraordinaire faite en 1928 par Sir George Hubert Wilkins, et découverte qui s'attache à l'exploration de l'Antarctique.
Hélas comme vous le voyez Giannini, oublie de citer ses sources. Cela n'avait sans doute pas trop d'importance à l'époque, mais de nos jours c'est indispensable.
Il ne précise pas du tout par exemple, où l'on peut découvrir la relation de cette incroyable découverte d'une terre au-delà du Pôle Sud, précisément ce 12 Décembre 1928, et c'est toujours ainsi dans son livre, où il parle de cette découverte. Donc si un internaute pouvait découvrir au moins l'entrefilet de l'Agence en question où l'on présente cette information, il aurait presque gagné le Gros lot dans cette affaire.
Mais il y a mieux mieux. Voici un autre passage en page 53 :
Laissons aux fervents de la langue de Shakespeare, le soin de trouver une traduction acceptable à ce passage plutôt ardu et contentons nous d'en extraire l'essentiel :
" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la
Terre : Dumbrova explorateur russe."
Mille fois, hélas, encore une fois, ce Giannini, ne nous dit pas dans quel document, il a découvert cette extraordinaire déclaration de l'explorateur russe Dumbrova. En fait, notre grande amie Meriten, le 15 Avril 2009, nous a proposé le fait, qu'il s'agiraît très probablement plutôt, de l'explorateur et médecin romain Constantin DUMBRAVA (1898-1935) qui a monté en 1927, donc bien avant Paul-Emile VICTOR, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et qui passa une année chez les Inuit...Il a étudié avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a finalement épousé une américaine et s’est installé à New-York.
Nous demandons donc, avec une très grande déférence, à tout internaute qui connaît parfaitement le russe et le roumain, de tout faire pour retrouver la trace de la super déclaration précédente, et les écrits de ce Dumbrava. Il n'est pas besoin d'insister ici, sur le caractère très important de cette recherche, car il y va d'une plus grande compréhension de notre planète et même sans doute, de notre système solaire.
Aux yeux égarés de nos éternels détracteurs, cette découverte faite en Antarctique par Sir George Hubert Wilkins, aurait pu passer pour de la très bonne
Science-Fiction, si nous n'avions pas mis la main (aidé par notre bon ami canadien Sébastien), sur l'entrefilet remarquable, qui va suivre et qui confirme tout cela :
Puis surtout:
Disons alors que SARASOTA, est une ville de la Floride, placée comme l'indique la carte suivante :
Et voici donc l'entrefilet en question :
Traduisons, à peu près, le contexte des deux dernières images :
Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7
Wilkins trouve une terre inconnue.
MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)
Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.
A cet effet, le service radio gouvernemental annonça la réception d'un message en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.
Fin de la traduction.
Que c'est curieux n'est-ce pas que tout cela !!!... Et que celui, qui a donc bien lu avec attention, ce qui précède, en tire les éclaircissements qui s'imposent, et surtout le désir latent, d'en savoir plus.
Mais,
ce jour, avant de pénétrer plus avant dans d'autres déclarations
insolites de l'explorateur américain Byrd, parlons donc, un peu plus encore, l'extraordinaire vortex polaire nord, que mentionne si bien cet explorateur, dans le journal très important, "Miami Daily News", en date du 25/06/1926 :
ByrdMiamyDailyNews1926Juin25p7a.jpg
Notez bien ces extrordinaires lignes soulignées en rouge :
Bravo aux spécialistes, qui arriveront à nous traduire, correctement ce passage.
Nous étudierons, une prochaine fois, ce très important document.
Mais, ce 30 Janvier 2020, nous allons vraiment entrer dans le vif du sujet en question, et avant de sortir nos dictionnaires et d'attendre une éventuelle aide linguistique, des spécialistes de la langue de shakespeare, avec nos très faibles moyens demandons d'abord à certains traducteurs automatiques du Web, de nous aider à mettre en français, les incroyables lignes du texte extraordinaire du "Miami Daily News", en date du 25/06/1926 présenté ci-dessus...
Mais, pour bien situer le contexte de l'époque, et pour les internautes, qui n'ont pas beaucoup d'affinités avec la langue anglaise, voici donc en français, deux articles, que nous avons pu découvrir, au sujet de l'expédition polaire de Byrd en 1926
D'abord à l'url :
On note alors d'abord que
cette information vient de l'Agence "International News Service"(INS) qui n'est pas la même que l'agence du texte anglais (...) présenté ci-dessus : l'Associated Press.
Puis voyons aussi l'url suivant :
qui, avec une restructuration des colonnes par ARTivision donne :
Concernant ce texte en français, il ne vient pas, comme on pourrait le croire du Canada. En effet c'est le 22/07/2013, que nous sommes tombés sur ce texte en Français (chose très rare) venant du contexte de http://news.google.ca/newspapers? et imprimé à l'époque dans la ville Woonsocket des USA. il faut savoir alors que Woonsocket, est une ville industrielle de l'Etat du Rhode Island, qui comptait, il y a trente ans (en 1932) 40 000 Français sur 50 000 habitants, en majorité des émigrés canadiens. Ils définissaient leur ville comme "La ville la plus française aux États-Unis". Ce journal fut édité de 1900 à 1934, et fut suivi de 1935 à 1942 par "l'Indépendant", également en français.
Après ce survol du contexte de l'époque, revenons à Byrd, qui a alors exprimé cette incroyable déclaration, que nous avons soulignée en rouge plus haut dans l'article du "Miami Daily News" du 25 Juin 1926, et qui est telle que :
Soit donc :
"
There is land in a vicinity of the Nord Pole "
, in the belief of Commander
Byrd.
"
There might be land in there
somewhere, and I think there is"
. Byrd said after telling that his search of the icy span below
the machine failed to reveal any sign of life.
Pour bien cibler, le problème qui se pose, demandons d'abord au traducteur en ligne SYLTRAN placé à :
de nous traduire ces deux phrases en rouge :
On a alors :
"Il y a terre dans une proximité du Pôle Nord", dans la croyance de commandant Byrd.
"Il pourrait y avoir terre dedans là quelque part, et je pense qu'il y a". Byrd a dit après avoir dit que sa recherche de l'envergure glaciale au-dessous de la machine n'a pas indiqué n'importe quel signe de vie.
Fin de la traduction partielle de Syltran.
Bien que nous sachions que les traductions en ligne, méritent toujours quelques rectifications, nous voyons que ce traducteur Syltran, n'a su traduire le mot land, qui n'est pas ici précédé par un article, ou qui n'est écrit au pluriel (Lands). Ce traducteur, pour la première phrase, aurait dû écrire au moins, "Il y a des terres dans une proximité du Pôle Nord", ou encore "Il y a une terre, dans une proximité du Pôle Nord". Mais quelle est donc la bonne traduction ?
Comment choisir ? C'est ce que l'on pourrait nommer un vrai " Dilemme lexical..."
Notons en passant, que le même problème, se situe dans le texte suivant, concernant l'explorateur australien Sir George Hubert Wilkins, qui comme Byrd aurait découvert au-delà du Pôle Sud, une terre totalement
inconnue :
Comme vous le voyez, on trouve alors dans cet entrefilet, une phrase ambigüe sans, une fois de plus, l' article clef "a" devant "new land" . On a alors "...and he was the first to discover new land, from an airplane".
Ce manque d'article est très génant, et on se demande si ce n'est pas le rédacteur en chef, de l'article qui l'a supprimé pour faire plus académique.
Mais revenons à l'explorateur Byrd, et avançons alors progressivement, vers une solution de cette incroyable énigme.
Nous avons en mains, trois dictionnaires qui disent que l'on peut traduire land par terre (sol), par terrains, par terres (biens propriétés et ici, il semble qu'il ne s'agit pas du tout, de cela), et enfin par pays.
Mais, allons plus loin en digitalisant pour les puristes, d'abord les deux premières colonnes du texte du "Miami Daily News" en question, et laissons aux spécialistes de l'anglais, le soin d'obtenir pour le tout, une bien meilleure traduction que nous pourrions en élaborer.
Voici déjà, la portion digitalisée du texte :
"RICHMOND,-Va, June 25. -
((AP) - Commander Richard
Evelyn Byrd, Virginia's modern hero, first to cross the north pole in
an airplane, came home last night to receive the greatest ovation the old
Dominion has accorded a son in many years.
Several thousand persons jammed the
railway station were the Richmond 1ight Infantry Blues and Richmond Howitzers
formed a military escort for the returning conqueror. Gov. Harry Flood Byrd, a
brother, led the official welcoming delegation.
To thousands who filled the
city auditorium, Commander Byrd recounted his adventures in the frozen north. He
painted a word picture of his flight from Spitzenbergen to the top of the world,
while on a screen, before the home folks' eyes, scenes of his exploits and
labors were flashed.
"There are the ones to whom the credit is due", he said several times as pictures showed, his comrades engaged in the hazardous
task of floating the huge Fokker airplane on a raft through the ice floes. He
also was lavish in his praise of Floyd Bennet
another Virginian, who piloted the airplane on the trip to the North
Pole.
John
Stewart Bryan, publisher of the News-Leader, introduced the
Commander by recalling the exploits of the Byrd family. It was William Byrd who founded the tobacco industry in
Virginia, he said, and William Byrd II,
who chose the sites of Richmond and
Petersburg.
"One
of the greatest miracles of all time was the flight to the pole by this
descendants of the Virginia pioneer heroes," Mr. Bryan
declared.
The story of "America' s polar triumph" was unfolded by
Commander Byrd in a detailed public description of the first f1ight to the north
pole. The Arctic explorer was at home in the land he declared "The most wonderful event,
made", and in the city founded by his ancestor, William
Byrd.
One of the largest crowds ever
gathered under a roof in Richmond cheered the young Virginian. More than 4.500
persons jammed city auditorium, while nearly 2.000 stood outside and heard his
voice carried by loud speaker. His address was under auspices of Richmond News
Leader.
"
There is land in a vicinity of the Nord Pole "
, in the belief of Commander Byrd.
"
There might be land is there
somewhere, and I think there is"
. Byrd said after telling that his search of the icy span below
the machine failed to reveal any sign of
life.
Home among the people he knew Byrd
grew intimate in his description of the flight. It was "we" as the naval officier told of the hardships of the
expedition, the preparation for which he characterised as the worst of the
job".
Fin de
l'extrait anglais.
Voici maintenant la traduction de Google translate.google.fr, arrangée bien sûr par ARTivision du texte en question, en notant bien que Google a traduit "land" par "terres"
"Commandant Richard Evelyn Byrd, héros moderne de la Virginie,le
premier à traverser le pôle Nord dans un avion, est rentré hier soir au bercail
et a reçu la plus grande ovation de la vieille Dominion a accordé un fils depuis
de nombreuses années .
Plusieurs milliers
de personnes s'entassèrent à la gare quand le Richmond
1ight infantry Blues et le Richmond Howitzers formérnt une
escorte militaire pour le vainqueur du Pôle. Le gouverneur Harry Flood Byrd, un frère, a conduit la délégation
officielle de bienvenue .
Pour des milliers
qui ont rempli l'auditorium de la ville , le commandant Byrd a raconté ses
aventures dans le Grand Nord . Il a peint une image de mot de son vol de
Spitzenbergen au sommet du monde , tandis que sur un écran , sous les yeux des
gens de la maison , des scènes de ses exploits et de ses travaux ont été
projetées .
"
Il y a ceux à qui le crédit est dû" ,
a-t-il dit à plusieurs reprises alors que les images étaient montrées, ses
camarades engagés dans la tâche dangereuse de faire flotter l'énorme avion
Fokker sur un radeau à travers la banquise . Il adressa aussi un grand éloge à
Floyd Bennet en autre citoyen de la
Virginie, qui a piloté l' avion lors du voyage au Pôle Nord
.
John Stewart
Bryan, éditeur du " News Ledear" a présenté le commandant en
rappelant les exploits de la famille Byrd . C'était William Byrd qui a fondé l'industrie du tabac en
Virginie, dit-il , et William Byrd II , qui a
choisi les sites de Richmond et de Petersburg
.
"Un des plus grands miracles de tous
les temps a été ce vol au pôle par ce descendant des pionniers héros de la
Virginie ", a déclaré M. Bryan
.
L'histoire du "triomphe polaire de l'Amérique
'' a été présentée de détail publiquement par le commandant Byrd, au
sujet du premier vol au pôle nord . L' explorateur de l'Arctique de reour au
bercail, a déclaré: "L'événement le plus merveilleux, a été réalisé ", et cela a
a été dit dans la ville fondée par son ancêtre, William
Byrd .
Une des plus grandes
foules jamais réunis sous un même toit à Richmond acclamèrent le jeune Virginien
. Plus de 4.500 personnes envahirent l'auditorium , tandis que près de 2.000
étaient dehors et ont entendu sa voix, portée par haut-parleur. Son Adresse
était sous les auspices de Richmond Nouvelles Leader.
" Il y a des terres au voisinage du pôle
Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.
"Il pourrait y avoir des terres là quelque part, et je pense qu'il en est ainsi",
affirma Byrd, après avoir dit que sa traversée de l'étendue de glace en dessous
de la machine, n'a révélé aucun signe de vie.
Au sein des gens qu'il
connaissait, Byrd a poursuivi en détail la description de son vol. C'était à
"nous", en tant qu'officier de la Marine, de décrire les difficultés de
l'expédition, et de sa préparation, qualifiée de la pire, qu'il soit. "
Fin de la traduction de l'extrait.
Vous avez donc bien noté, nous l'espérons, que Google, nous propose pour la traduction de la première phrase en rouge :
" Il y a des terres au voisinage du pôle Nord ", d'après ce que croit le commandant Byrd.
Mais les éternels zélés ou zététiques
détracteurs, embarrassés par cette affaire de Terres en pleine zone froide et
glacée et désertique, nous diront évidemment qu'il fallait traduire
plutôt :" Il y a de la place
dans le voisinage du Pôle Nord", etc....
Mais là, ils ne nous apprennent absolument rien, car chacun sait que la superficie de la zone polaire nord, à l'intérieur du cercle arcticle (latitude 66° 33'N), est immense et fait plusieurs fois la superficie de la France, et donc par conséquent, il existe on le sait effectivement de vastes étendues autour du pôle Nord, et il en résulte que l'explorateur Byrd, n'aurait absolument pas fait allusion ici à cette notoire acception, s'il ne voulait pas passer aux yeux de ses interlocutueurs pour un vrai débile mental.
Non, il y a pour sûr, autre chose, à prendre en considération dans cette affaire.
On doit alors se poser la question de savoir, si Byrd a effectué, une autre
expédition au pôle Nord ?
Nous n'avons encore rien trouvé, sur le super site de Google déjà présenté : translate.google.fr
Mais cependant, nous avons trouvé sur le site :
, ce paragraphe très significatif :
"En 1947, avant d'entamer une nouvelle mission dans l'Arctique, Byrd dira à la presse : "J'aimerais voir ce pays derrière le pôle (Nord). Cet endroit est le centre du Grand Inconnu". Selon les sources officielles, l'expédition fit un vol de sept heures, ce jour du 19 février 1947. Mais, étrangement, lui qui aimait parler de ses exploits à la presse, ne dit mot à quiconque de son voyage, cette fois-là. D'ailleurs, son comportement changea singulièrement à partir de cette date et pratiquement aucune information ne filtra.
C'est chose acquise aujourd'hui, le Pentagone le mit au secret militaire et lui confisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui fut interdit de s'exprimer en public. Le doute plana sur cette histoire pendant près d'un demi-siècle et c'est finalement à la fin des années 1990 que ressurgit le fameux carnet de vol.
"
Hélas, nous ne pouvons pour l'instant confirmer ce paragraphe n'ayant encore pas pu mettre la main sur un document officiel, qui le prouve.
Mais comme nous avons eu l'heureuse opportunité de tomber sur ce superbe entrefillet du "Miami Daily
News" en date du 25/06/1926, nous avons pensé alors, que
d'autres journaux devraient également parler, de cette information de l'Agence
"Associated Press", autour de la même date
.
C'est ainsi que le 13/06/2013, nous sommes
tombés en page 6, à l'url suivant :
,
sur cet entrefilet de l' Evening
Tribune, en date du 24 Juin
1926:
On apprend alors
ici , que l'expédition de Byrd au Pôle Nord, a eu lieu le 9 Mai 1926. On sait d'ailleurs qu'une
polémique a eu lieu plus tard, au sujet de cette expédition (voir notre article :
D'autre
part, et cela est très
regrettable, on voit que, les phrases clefs déjà présentées :
, ne sont plus
du tout mentionnées dans le texte en question. Autrement dit, une
information capitale venant l'Agence "Associated Press", qui intéresse l'humanité
entière, et qui a trait à la composition
interne de notre planète, et même sans doute à la structure de notre système solaire, a
été escamotée par des responsables inconscients
et ignares de la diffusion de l'information dans leur région
(Mais évidemment ces responsables ne pouvaient le savoir
à l'époque). Ceci est bien la preuve que de nombreux textes,
nous venant du Passé, ont été
trafiqués selon l'humeur et la droiture des
transmetteurs, et par exemble, nous l'avons déjà écrit, sur lesquels, on a fondé
toute notre civilisation
judéo-chrétienne, et une grande
partie de nos lois actuelles, ont été manipulés et trafiqués à profusion, et par exemple, le terme ELOHIM, qui se trouve noir sur blanc , dans le
texte hébreu d'origine, a été galvaudé et
traduit de très nombreuses manières, alors que la prudence la
plus élémentaire, aurait été de ne pas le
traduire. Seules alors les traductions récentes, d'abord de CHOURAQUI,(COL.Desclée de
Brouwer 1974), et celle de DHORME (COL. La Pléiade,
Gallimard 1956), satisfont à cette mesure judicieuse :
A
bon entendeur Salut ...
Mais
pour ARTivision, compte-tenu des très
nombreuses autres déclarations qui vont suivre de Byrd, nous pensons alors que
notre traduction, des phrases en rouge précédentes, devrait être très précisément telle que :
" Il y a une terre, dans le voisinage du Pôle Nord
" comme le croit le commandant Byrd.
" Il pourrait y avoir une terre
quelque part, là, et je pense, que c'est vrai".
Ce sera alors aux spécialistes de la langue de
Shakespeare, de donner leur avis...quand ils auront pris connaissance des incroyables documents que nous allons présenter ci-dessous.
Mais quittons donc provisoirement l'environnement du pôle Nord, où il nous manque hélas des journaux qui parlent de l'expédition de Byrd, et passons à l'antipode le Pôle Sud, au sujet duquel nous avons sous la main, de très nombreux documents qui confiment que Byrd, a également trouvé au pôle Sud, la même affaire de terres insolites, et affaire qui défit l'imagination des meilleurs auteurs de Science-Fiction.
Commençons donc, si vous le voulez bien, par ce document que nous a adressé l'ami canadien Sebastien dès le 16 Sept. 2010.
A l'url suivant :
,on trouve le document suivant, daté du 7 Septembre 1933 :
Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons encore en rouge les mots qui nous interpellent:
Traduisons alors grosso modo ce passage :
" Byrd expliqua :
: "Je suis sur le point de tenter d'explorer une terre non répertoriée aussi étendue, que les Etats Unis et le Mexique réunis. "
Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.
Byrd dit : "Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-delà du Pôle, car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque glacière, et chercher un nouveau continent, et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science. "
Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "
Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.
Comme on le voit, ces expressions de Byrd sont déjà très claires, même si l'on doit parfois, savoir lire entre les lignes. L'expression "et chercher un nouveau continent" , nous interpelle, bien sûr grandement, mais nous y reviendrons plus tard.
Mais ce 31 Janvier 2020, il nous appartient de faire y ici à cette date, une très importante digression, et l'on va vite comprendre pourquoi?
En effet, le site ARTIvision, va encore ce jour, mettre très mal à l'aise, de très nombreux intellectuels contemporains, (journalistes et directeurs de chaines de télévision qui ont pignon sur rue, cosmologistes officiels, philosophes, psychologues, psychiatres et consorts assimilés qui, en 10 ans au moins, n'ont pas été capables de trouver une seule petite réponse pragmatique, à la question très technique suivante d'ARTivision) :
"Comment ont-ils pu amener ici, la jeep lunaire, sans qu'elle laisse des traces, sur le sol ? "
Cette question, on le sait bien, concerne la photo d'Apollo 17, suivante largement commentée, et tirée de la revue très connue
Ciel&espace n° 391 de Décembre 2002, qu'il convient d'avoir absolument sous la main, afin que l'on ne dise pas, que nous avons tout inventé, et qu'il s'agit encore d' images manipulées:
Cette photo porte le n° AS17-137-20979, que l'on peut trouver sur le site quasi officiel :
Les quidams dits cultivés, cités ci-dessus, ont brillé par leur silence mortuaire et leur aptitude notoire à plonger la tête sous sable, telle que :
Mais les quidams en question, doivent savoir que cette fois-ci, hélas pour eux, les questions seront d'un niveau, encore plus déstabilisant que celui qui précède.
En effet, ce 31 Janvier, nous allons remettre en exergue,
une fois de plus, la célèbre méditation du Maître de Findhorn, qui est une pure transfiguration pragmatique d'ARTivision, de l'entité, qui s'est exprimée en anglais dés 1986, par l'intermédiaire d Eileen Caddy ( voir le site : Findhorn.html)
Revoyons donc aussi ce jour, cette méditation, très sublime :
Élève ta conscience et découvre que tu es sans
âge.
Tu es aussi jeune que le Temps, aussi vieux
que l'Éternité.
En vivant pleinement et de manière splendide
dans l'éternel présent
tu es toujours aussi jeune
que le présent.
Tu renais constamment dans l'Esprit et la vérité.
Tu ne peux pas demeurer statique dans cette vie spirituelle;
il y a toujours quelque chose de nouveau
et de passionnant à apprendre et à faire.
La vigilance te garde toujours alerte et jeune.
C'est lorsque le mental devient vieux et ennuyeux
que la vie perd toute son étincelle et tout son zeste.
Si tu n'arrives pas à comprendre une nouvelle vérité avec le mental,
reste calme et élève ta conscience, accorde-toi avec,
l'Intelligence universelle infinie
et sois UN avec ELLE et tu pourras
comprendre toute chose.
Garde ton esprit alerte, et jamais tu ne pourras vieillir.
La fontaine de jouvence est ta conscience ;
la joie de vivre est l'élixir de Vie!
La petite voix : Eileen Caddy Le
Souffle d'or (1989).
Méditation pour le 31 Janvier, après adaptation d'ARTivision.
Rappelons qu'Eileen Caddy, était la cheville
ouvrière, de ce que l'on a appelé, les jardins de
Findhorn...
Ce Maitre, nous dit d'abord, que nous devons vivre dans "l'éternel Présént" et, il le répète donc, dans beaucoup d'autres textes, ce qui n'est pas habituellement, la façon de vivre des humains de cette Terre, qui pensent avant tout qu'au lendemain, qui selon eux, devrait être meilleur, que le présent. Mais, d'après ce Maitre,
c'est une grave erreur...
Mais voyez donc, aussi, l' entrefillet suivant :
Tiré du site très récent :
Comme tout cela se ressemble ,
n'est-ce pas !!
Mais il y a mieux encore .
Voyons en effet aussi, pour le novice ingénu, deux photos, de ce très contesté spationaute non officiel, George Adamski manipulant son télescope :
Mais l'orgueuil démesuré des scientifiques et pontifes de l'époque, a joué à fond, pour discréditer cet homme, si avenant et confiant, dans l'authenticité de son expérience spatiale, (Ce ne fut pas le cas on le sait de, Neil Armstrong, et on sait maintenant pourquoi...).
Mais, ce qui nous intéresse ici, se trouve dans l'ouvrage publié en 1955 par Abelard-Schuman tel que :
Le texte de ce livre, peut être désormais trouvé alors sur le site :
Cet ouvrage fut traduit en français seulement 24 ans plus tard, en 1979, chez Michel Moutet
Editeur sous le titre : "A l'intérieur des vaisseaux
de l'espace" :
En page 105, on trouve déjà ceci :
" - l'homme, n'est pas une manifestation temporaire. Il est une manifestation éternelle. Et ceux de nous qui ont appris cette vérité vivent dans un continuel présent, car c'est toujours le présent... "
Dur... dur, n'est-ce pas cette phrase
surprenante pour nos bien-pensants et consorts intellectuels blasés du système et surtout venant d'un gourou de secte, et d'un barman distributeur de hot-dogs et de coca-colas dans sa résidence à Palomar Gardens en Californie... Il est vrai que chacun sait que "quand on veut noyer son chien on l'accuse de la rage".
Ce qui est encore plus surprenant, c'est que ce même discours axé sur ce concept du Temps présent, est repris, plus de 31 ans après, par Le Maître de Findhorn
(le 11 avril), et plus de 46 ans après par l'entité transcendante Soria tel qu' en page 14, de son premier livre de 2001, on trouve ceci :
" Le passé est dans le présent et le futur l'est aussi, Illusion du temp,.il n'y a pas de passé ni de futur; seul existe le moment présent. cette notion va prendre corps et sera assimilée dans les dix ans à venir. D'ici là, les événements futurs viendront du chemin ouvert par vos pensées. La lumière dégagée depuis cinquante ans a aplani beaucoup de difficultés et d'épreuves, et a sauvegardé votre planète."
Nous ajoutons enfin que cette notion révolutionnaire du temps cosmique semblait être connue du Maître Jésus-Christ, puisque qu'il préconisait ouvertement de "ne pas se préoccuper du lendemain et de vivre au jour le jour", sans doute pour mieux s'ancrer dans l'énergie relevant de la quatrième dimension, ce qui lui permettait évidemment de réaliser ce que nous avons appelé "des miracles", et miracles qu'il avouait, lui même, être à la portée de chacun de nous.
Mais si vous savez lire entre les lignes, c'est exactement le même langage que l'on trouve dans ce message très moderne d' ARCTURIUS, venant 62 ans plus tard :
----- Original Message -----
From: Daniel Durieux
To: fred IDYLLE
Sent: Friday, November 03, 2017 5:32 PM
Subject: Dans leur grande majorité, les humains ont oublié leur but dans la vie
Mais analysons plus avant le texte d'Adamski :
Voici ce que l'on y trouve en page 85, et qui confirme ce que disent actuellement de nombreux sites à messages dits transcendants :
D'abord en page 85, on trouve ce vrai cours de philosophie cosmique très surprenant pour l'époque:
D'ailleurs, on se demande, (nous l'avons dit souvent), pourquoi cet Adamski, n'a pas jugé bon, d'écrire plutôt, des romans de S-F, qui lui permettraient à tous les coups, d'obtenir le Prix Jules Verne, de l'époque, (période 1958 à 1963), et surtout de bénéficier d'une plus grande considération, de ses concitoyens, et des autres quidams d'ailleurs...
Mais ce Maître de Findhorn ose aussi nous dire dans d'autres méditations, et là on tombe à renverse, que :
"l'être humain vit en ce
moment sur Terre, mais qu'il vient d'ailleurs"
Comme curieusement deux autres sources ( Adamski et La Fédération Galactique de la Lumière) le confirment, ce que nos scientifiques ne tarderont pas à démontrer avec les progrès faits dans l'exploration des images du Passé. Cela prouve une fois de plus que le site ARTivision avait vu juste, il y a près de 20 ans.
Pour bien montrer notre ignorance à ce sujet, demandons une fois de plus au Maître de Findhorn, de nous en dire plus sur l'affaire, ce qui va sans doute, faire tiquer de dépit, nos
intellectuels blasés, pleins de confiance dans les directives de leurs égos bien assis, culturellement parlant, bien sûr...
Combien de fois as-tu entendu la remarque
" comme le temps file ! " ?
Lorsque tu es plein de joie et de bonheur,
que tu donnes le meilleur de
toi-même,
que tu vis pour les autres,
et que tu as le souci du bien du Tout dans le cœur,
le temps file en effet et tu en apprécies chaque seconde.
Tu vis dans le temps,
mais il n'est pas nécessaire
de le laisser devenir un fardeau et t'enfoncer.
Il y a du temps pour tout,
pour toutes les choses que tu veux faire,
parce que tu leur trouveras du temps
Chaque personne a la même somme de temps.
mais c'est la façon dont tu l'utilises qui importe,
alors ne te plains jamais
de ce que certaines âmes ont plus de temps que d'autres.
Ne sois jamais esclave du temps,
mais fais-en ton serviteur.
Tu dois décider de ce que tu veux faire
et puis t'y mettre et tu verras
que tu en as parfaitement le temps.
La petite voix : Eileen Caddy. Le
Souffle d'or (1994).
Méditation pour le 22 Avril, après adaptation d' ARTivision.
Voilà donc un texte, qui a va certainement mettre très mal à l'aise, les
bien-pensants affairistes et autres philosophes et consorts fervents adeptes de la prospective technologique débridée.
C'est bien sûr, la phrase suivante qui nous interpelle grandement :
Chaque personne a la même somme de temps.
, car apparemment,
les humains ne vivent pas tous le même temps, sur la Terre,
n'est ce pas !!!
Mais, si l'on tient compte du phénomène (non admis dans nos écoles et universités), de la réincarnation, (Ce Grand Maitre en parle souvent ), et au départ, il se pourrait que la bourse
du temps, soit la même pour chaque âme...
À vous de juger. Point à la ligne...
Mais comme il est préférable,"de battre le fer pendant qu'il est chaud", analysons aussi cette méditation du même Maitre de Findhorn, qui montre, que la notion d'âge, s'applique essentiellement, au corps physique, que nos médecins étudient, on le sait, actuellement, très pragmatiquement.
Q ue représente l'âge pour toi ?
As-tu peur de vieillir ?
Ou es-tu quelqu'un qui prend choses comme elles viennent
et qui sait et comprend que la fontaine de jouvence
se trouve dans sa conscience?
Si tu gardes un mental jeune, frais et alerte,
le vieillissement n'existe pas.
Si tu as beaucoup de centres d'intérêts dans la vie
et si tu jouis de la vie pleinement,
comment pourrais-tu jamais devenir vieux ?
Les humains se limitent eux-mêmes,
quand ils pensent qu'à soixante-dix ans,
ils ont atteint la plénitude de la vie.
Pour beaucoup d'âmes, ce peut être seulement le commencement,
l'éveil à la merveille qu'est la vie,
et en s'éveillant, elles commencent à l'aimer.
Bannis toute pensée de vieillesse !
C'est juste une "forme-pensée Universelle"
.
qui est devenue si forte
qu'elle est comme une noix très dure, difficile à casser.
Commence dès maintenant à réajuster ta conception de l'âge.
La petite voix :
Eileen Caddy. Le Souffle
d'or (1994).
Méditation pour le 19 Juin,
après adaptation d'ARTivision.
Dur... Dur, n'est-ce pas à assimiler que ce langage, très atypique.
Là, aucune ambigüité
n'est donc plus possible et dans notre prétendue civilisation actuelle :
"On ne sait pas pourquoi on vieillit..."
Pour en savoir un petit plus sur cette affaire de vortex temporel, prière, de consulter notre article :
Mais ce 2 Février 2020, après ce petit détour fantasmagorique, dans une affaire de vortex temporels, et de notre aptitude à créer inconsciemment un égrégore bien structuré, par nos pensées tordues antinaturelles sur le veillissement, revenons au déclarations très atypiques de l'explorateur polaire américain, Richard Evelyn BYRD.
Mais repartons donc de la date du 7 Septembre 1933, si bien mise en évidence par l'entrefilet du Berkeley Daily Gazette, déjà présenté ci-dessus.
Voici donc de plus, un entrefilet venant de la "seconde Section" du "Spokane Daily Chronicle" , et qui est formulé dans le même style que le précédent, issu de l'Agence Associated Press, et placé à l'url :
On voit aussi que là, on retrouve les mêmes expressions concernant l'affaire du territoire aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, l'affaire du vaste territoire inconnu de l'humain, existant sur la face du globe et nécessitant une investigation, puis encore l'affaire des liens manquants à la science dans le déroulement des faits, et enfin surtout l' affaire clef et très surprenante du
"nouveau continent". C'est donc un entrefilet, qui vient confirmer parfaitement le précédent .
Nous avons trouvé, beaucoup d'autres journaux, racontant la même affaire comme par exemple le "The Reading Eagle", également du 7 Septembre 1933.
Mais, Super Hasard, le 17/05/2013, a mis encore la barre, à un plus haut niveau, puisqu'il nous a placé sous les yeux, ce qui suit, également en date du 7 Septembre 1933, (Nous n'étions même pas encore né ) :
En effet sur le site :
On trouve alors :
Traduisons alors, grosso modo, le début :
"L'expédition de Byrd au Pôle Sud, est prète à partir, par avion, de Boston le 25 Septembre"
L'amiral fait appel aux bons offices du Président.
L'expédition, utilisera deux navires, un personnel élargi, pour partir à la recherche d'un vaste continent et du pôle.
On voit alors que l'on retrouve ici, le vocable surprenant : "continent", mais certains, pour noyer le poisson, auront vite fait, de dire que là, il ne s'agit que du continent Antarctique. Mais allons plus loin, voulez-vous ...
"Comme on lui demandait pourquoi il tenait à retourner dans cet Antarctique lugubre, Byrd a répondu " qu'il y a là, une zone encore inexplorée aussi vaste que
les USA et le Mexique réunis. Aussi longtemps qu'il existera une étendue aussi géante que cela, sur la face de la Terre , dit-il , nous devons nous attacher à la connaître. Il y a aussi le fait que nous devons compléter certains liens manquants relatifs aux problèmes scientifiques en explorant cette contrée qui s'attache à notre ère glacière "
Nous recherchons un nouveau continent.
Byrd dit : " Nous espérons découvrir un nouveau continent, en plus de celui déjà découvert, afin d'affirmer que les montagnes du Pôle Sud sont dans le prolongement de la cordilière des Andes; afin de cartographier ce territoire jusqu'à présent inexploré et afin de déterminer si l'actuel terre gelée a été autrefois une terre tropicale comme l'Inde..."
Là, tout est clair, Byrd parle bien encore d'un nouveau continent, et même, si vous savez lire entre les lignes, ce continent aurait des caractéristiques d'une zone tropicale, car si Byrd parle de cela, dans ces régions ultrafroides et gelées, c'est bien qu'il a trouvé des témoins géologiques et climatiques, qui en attestent la présence.
Et même le Président des USA de l'époque, T. Roosevelt, renchêrit en affirmant qu'il existe bien une immense zone à répertorier
d'un nouveau continent, jusqu'à présent inexploré, et s'il ne sagisait que d'une autre grande étendue extrêmement froide de neige et de glace, il n'aurait jamais utilisé ce langage, n'est-ce pas !!!
Finalement, on en déduit qu'en 1933, les protagonistes de cette exploration polaire, étaient déjà tout prêts d'imaginer la portée gigantesque, de leurs découvertes dans les régions polaires de notre planète. Ce n'est pas encore hélas, le cas, pour nos journalistes actuels.
Mais analysons maintenant plus avant, l'expression déjà connue telle que :
" there is an aera there still unexplored as big as the United investigate States and Mexico combined."
" Il y a là une région encore inexplorée, aussi grande que les Etats unis et le Mexique réunis "
Mais, pour mieux comprendre cette affaire concernant les USA et le Mexique réunis, voyez donc les vignettes suivantes, donnant les superficies des pays en question :
Atlas du Monde chez Hachette 1996 ISBN 2.01.166807.7
Au total, cela fait en tout pour la superficie de ces deux pays : 9 529 063 + 1 958 201 = 11 487 264 Km2
Comme on apprend sur le site :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Antarctique , que l'Antarctique a une superficie de 14 107 637 km2, on voit alors que : 14 107 637 km2 / 11 487 264 Km2 = 1,2228...
Autrement dit, compte tenu du vaste territoire de l'Antarctique déjà connu par Byrd, (et aussi occupé par de nombreuses nations), il n'y a pas la place en Antarctique pour un autre continent inconnu, aussi large, que les USA et le Mexique réunis, comme Byrd le dit, dans de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.
Donc, autrement dit, il ne reste pas grand chose dans ce territoire, pour l'Antarctique déjà connu , et si l'on retire encore en plus, les immenses territoires de l'Antarctique, que dès le
23 Juillet 1923, la Grande-Bretagne s'était permise d'annexer sans demander rien à personne, il ne reste donc plus grand chose pour les nombreux autres pays, qui s'étaient aussi installés sur ce continent austral. Voyez-vous même la carte suivante, où nous avons colorié en vert, les territoires en question :
carte tirée des excellents"Grands dossiers de l'illustration : La conquête des pôles" - Nov. 1969.
Un internaute géographe pourra additionner, les nombreuses surfaces des portions occupées par les diverses nations, et l'on verra vite, que le compte, n'y est pas. Donc pas question d'y découvrir un territoire inconnu aussi vaste que les USA et le Mexique réunis, comme Byrd le dit, dans de nombreux documents semblables, présentés dans d'autres articles.
D'ailleurs, voici une carte que nous présente aussi le volume 92, n°4 d'Octobre 1947 de la revue The National Géographic Magazine :
Donc, sans même y ajouter le Mexique, on voit clairement qu'il ne reste vraiment pas grand-chose pour les portions occupées par les diverses nations.
Mais il y a justement un cas où, en 1955, Byrd, ne parle plus du Mexique, tout en invoquant une surface de 3 millions de milles carrés (soit environ 7 770 000 km²). Voyez donc la fin de l'article suivant :
Mais où donc Byrd a-t-il pu découvrir ces 7 770 000 km², surtout tout à fait inconnus des humains, et ce qui entraîne le fait clair et net, que le territoire occupé par autres nations (voir plus haut), se réduit évidemment comme une peau de chagrin ?
Alors Messieurs les détracteurs zélés irréductibles, vous avez le choix, dans ces deux options :
a) Soit, le vice amiral Byrd de l'époque était tout à fait timbré, et un blagueur fini.
b) Soit, il a bel et bien pénétré dans, le vortex polaire sud, que nous cachent nos gouvernements depuis des lustres, et vortex qui conduit, quand il s'ouvre, à l'intérieur de la Terre creuse, où il y a vraiment un immense continent à découvrir, possédant vies et civilisations, très développées par rapport à nous, et l'on verra plus tard pourquoi !!
Cependant nous invitons déjà ici, les bien-pensants, d'avoir l'extrême gentillesse , de nous expliquer, comment il se fait, que le journal très important, "Miami Daily News", qui, (on l'a vu déjà, plus haut), a publié l'article en date du 25/06/1926 suivant :
ByrdMiamyDailyNews1926Juin25p7a.jpg
a totalement disparu ces temps-ci, du site GoogleOldNews, si utile pour explorer les journaux d'époque. Heureusement, que le Webmaster du site ARTivision, est passé, juste avant, cette disparition...
Mais ce 5 Février 2020, poursuivons d'abord, la suite de notre exploitation du fameux document, qui nous l'espèrons est encore accessible sur la page du site GoogleOldNews :
En effet à la ligne 40, de la premiere colonne, on trouve cette phrase surprenante de Byrd :
"I'd like somebody to get into that vast unknown area on the other side of the pôle" ..
,que nous traduirons grosso modo :
"J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette vaste zone inconnue, située de l'autre côté du Pôle."
Ne trouvez-vous pas que cette dernière déclaration, s'apparente énormément à celle que Byrd, aurait dite, en Février 1947 (le jour hélas, n'étant pas précisé), et concernant le Pôle Nord : "J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord)..."? (Voir plus haut ceci) :
alors qu'ici il s'agit du Pôle Sud, le 31 Janvier 1947...
C'est alors ici, encore le moment de ressortir, la célèbre réplique du grand acteur français que fut Louis Jouvet, qui nous disait si bien, dans le film de 1937, "Drôle de Drame" de Marcel Carné :
Moi, j'ai dit BIZARRE,
BIZARRE ? COMME C'EST ÉTRANGE ...
Aux spécialistes, de résoudre cette énigme saugrenue.
Plus loin, il y a aussi cette affaire d' inaccessibilité
que nous avons particulièrement traitée dans notre article :
Mais voyons alors, un autre son de cloche :
Le 17 Février 2011, nous avons reçu de l'ami Christophe, la missive suivante:
----- Original Message -----
From : Christophe G.......
To : fred Idylle
Sent : Thursday, February 17, 2011 11:39 PM
Subject : Re: NEWS PAPER OF BYRD
Cher Fred,
Voici un petit exemple de documents officels du New-York Times qui parlent de ce qui polarise en ce moment ARTivision.
Pour info je te joins l'url du site et en pj, les docs que j'ai pu télécharger. Bonne chance pour d'autres découvertes...
source :
Sur ce site tu trouveras, prés de 3778 articles de ce journal concernant Byrd !
Bien à toi.
Christophe.
En ouvrant le document : Byrd N 55 1947 87505528.pdf, on trouve alors:
Traduisons approximativement les lignes soulignées en rouge :
" Après avoir quitté le Pôle, l'Amiral Byrd dirigea les avions vers la droite afin d'explorer la région qu'il avait décrite comme "la zone la plus inaccessible à la surface de la terre".
Toujours cette affaire de région inaccessible et évidemment Byrd, ne nous explique pas du tout ce que cela signifie.
De plus, il est clairement précisé, dans cette affaire qui dit que : "Le 13 Janvier 1956, nous apprenons ce qu'il en a été réellement. A cette date, les rapports de l'US Navy parlent de l'atteinte d'un point à 3 700 km au-delà du Pôle Sud. La distance totale fut réalisée sur une zone terrestre. "
Le site ARTivision cherche bien sûr, avec une ardeur très inégalée, comment trouver au moins un, journal qui a publié ce rapport de Giannini concernant la NAVY.
Nous avons écrit, à de très nombreux organismes des pays voisins de l'Antarctique, qui auraient pu posséder, dans un journal ou dans des archives maritimes, cette incroyable information, et par exemple, voici une missive adressée au Service des Archives des iles Falkland (ou en français les iles Malouines), au sud de l'Argentine :
----- Original Message -----
From: IDYLLE Fred
To: info@sec.gov.fk
Sent: Tuesday, March 19, 2019 3:57 PM
Subject: A very important message
Very dear valiant team from the FALKLAND islands
.
A small wink, very pragmatic from Saint-Claude in Guadeloupe in the French West Indies islands
Please, be king with my bad english, because, I do not speak English, but French.
- I am very sorry to come here to disturb you, in your very important occupations, but it is for me of the utmost importance that I find the wording of information concerning an expedition of the American NAVY, at the South Pole in January 1956.
. Did you receive a newspaper from the FALKLAND islands or an american newspaper, or a professional report, that referred to this information, on the 6th of February, 1956, sent by either the United Press Agency or from the Associated Press or the International News Service ?
- If you have the incredible happiness, to find this information, I can assure you, that the World Press will make you bows soon ...
- If you do not find this info, can you please tell me, what is in your environment, the English islands, who could provide it, to me?
- In the case, you pass near my island, it opens to you, its arms :
Very loyal Yours:
Retired professor Fred IDYLLE from Saint-Claude (Guadeloupe)
Hélas, nous n'avons reçu aucune réponse jusqu'à present, et comme nous le disons souvent, la Politesse se perd de plus plus en plus sur cette planète, et on en voit clairement les graves conséquences.
L'incroyable affirmation de Byrd vue ci-dessus :
"J'aimerais que quelqu'un pénètre dans cette vaste zone inconnue, située de l'autre côté du Pôle."
est superbe et très explicite. Et là, on voit une fois de plus que, Byrd, n'a pas hésité à mettre le pied carrément dans le plat.
Que ceux, qui veulent encore le dédouaner concernant sa découverte extraordinaire, et la considérant comme tout à fait banale, continuent à fourrer la tête sous le sable comme l'autruche, jusqu'à ce qu'ils soient bientôt balayés par le souffle puissant qui approche à grands pas, des révélations incontournables...
De plus, nous avertissons déjà, les néophytes, qui s'interrogent, à juste titre, sur le caractère tout à fait fantastique de tout cela (en pensant que le
plus haut gradé de la Marine des USA, ne peut raconter de telles choses),
que le plus incroyable, sera bien pour la prochaine fois, qu'il convient de ne pas louper, pour rien au monde...
Mais, ce 07 Janvier 2020, nous allons vraiment changer de braquet, et mettre ainsi la barre à son plus haut niveau, quitte à faire
les derniers "autruchards" blasés du Système, tomber à la renverse, et sortir ainsi la tête sous le sable, pour enfin voir et analyser méthodiquement, les documents très pragmatiques et irrécusables, que nous allons encore sortir, dans les deux focus ci-dessous :
Premier focus très "digestif" :
Pour les puristes, qui aiment discuter d'une affaire, en ayant des documents basiques, voici alors un autre document très important, où le Vice-amiral Byrd affirme aussi, qu'il a bel bien pénétré, en 1947, dans la région du Pôle Sud, dans une zone totalement inconnue de nos géographes.
Ce document se trouve dans le
Sélection du Reader's Digest
de Janvier 1956, publié pour les USA à Pleasant ville N.Y et
publié aussi pour le Canada, la Grande Bretagne, et l'Australie etc..., et revue
que nous avons eu, la très grande
chance, de trouver ici-même, en
Guadeloupe, à 100 m de chez nous, chez "une tante", qui venait de décéder en 1984. (Les rationalistes blasés, auront encore bien du mal, à expliquer cette nouvelle coïncidence).
Pour les
puristes en question, (qui pourraient avoir la
chance inouïe, de trouver cette revue dans une brocante ou
vide-grenier), voici la photo des deux couvertures :
Faisons ici, en passant, une certaine et bien utile digression :
En effet, certains bien-pensants, et consorts intellectuels complaisants, ayant sans doute vécu en France, comme nous, les événements de Mai 68, vous diront d'emblée :
" Oh là ...cette revue bourgeoise m'indiffère,
grandement".
Le site ARTivision, a déjà stigmatisé sévèrement, ce comportement dans certains de ses
articles et en particulier dans NostraMystere.html, et nous précisons, une
fois encore ici, que notre site, ne se préoccupe nullement, du
prétendu caractère sérieux ou pas d'une
revue, car somme toute, cela est très relatif dans le temps et l'espace, et ce qui est
sérieux aujourd'hui, peut paraître totalement insignifiant plus tard.
Vous avez du mal à croire cela n'est-ce pas !! Eh bien, nous allons faire ici, un exercice de ce que l'on pourra appeler plus tard : "de la prospective culturelle d'avant garde significative".
En effet, nous avons souligné plus haut, que la célèbre revue,"La Recherche", à la page 114 de son n° 335 d'Octobre 2000, avait stipulé ouvertement, le fait "que des touristes en croisière ayant trouvé de l'eau libre de glaces au pôle Nord", comme étant tout bêtement, la preuve indéniable de l'effet de serre et du rechauffement climatique de cette planète.
De plus, cette revue a remis cela à l'honneur, dans son n° 51 spécial Hors série, en Octobre 2012 , intitulé Les Dossiers de la Recherche. Les articles très atypiques d'ARTivision, démontrent que ces données inconscientes de la revue en question, sont fausses, et peuvent être classées tout à fait, dans ce que l'on appelle désormais des "fake news". Point à la ligne...
A bon entendeur salut.
Fin de la digression.
Et voici aussi donc, une image
de la première page, de l'article en question :
Dans cet
article, on découvre que Byrd, nous parle en page 8, de l'opération Deep Freeze de 1955-1956, mais aussi plus
loin, de l'expédition célèbre High Jump,
1947-1948 , et opération qui, on le sait, a suscité d'énormes
controverses, et dont, nous reparlerons une autre fois.
C'est alors, que Byrd, nous fait ici, la
déclaration tout à fait hors norme, suivante :
Relisons bien, avec une attention très soutenue, cet
incroyable texte :
" Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral,
mais il subsistait au-delà du pôle, une région aussi vaste
que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte... "
Bien sûr, Byrd, ne parle pas ici de la découverte
d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà", et non
"autour" du pôle, ou "après le pôle", ou encore
"derrière le
pôle". L'expression "au-delà du Pôle", nous l'avons
souvent dit dans nos articles, nous fait plutôt penser à une contrée bien à part,
et qui n'a pas, les mêmes
particularités, que celles que l'on trouve autour du
Pôle.
Mais, comment
peut-il exister "au-delà du
Pôle", une immense région, surtout "inconnue", alors que chacun s'attend à n'y
trouver, à perte de vue,
que des
étendues glacées et neigeuses très caractérisées
?
Il ne faut jamais
oublier (nous l'avons aussi souvent exprimé dans nos articles)
que Byrd, était un militaire
de haut rang, et qu'il était évidemment
astreint, à une stricte
obligation de réserve, à laquelle, il ne pouvait se soustraire, même à la
retraite.
Bravo donc, à cette revue "Sélection du Reader's Digest", de nous avoir dès le début de 1956, mis aussi, en alerte sur des
événements surprenants, arrivés sur le continent Antarctique...
Mais, dans cet incontournable et stupéfiant passage, du Vice-amiral Byrd, vu ci-dessus du Sélection du Reader's Digest, de Janvier 1956, Byrd, fait aussi allusion à,
l'expédition célèbre "High
Jump", de 1947-1948 :

Ce que Byrd, ne dit pas ici, c'est que cette expédition avait un caractère militaire, et de nombreux
internautes se sont demandés, à juste titre, quelle en était la raison exacte ?
Les éternels détracteurs et consorts intellectuels
blasés, vous diront tout de go, que c'était, pour tester le matériel et le comportement des hommes, à
des températures avoisinant les - 50 ° C . Point à la ligne...
Le site ARTivision, on le sait, a toujours dans ses dossiers, de quoi mettre au pied du mur, les palabreurs de service, fervents occupants des plateaux de radios et de télévisions.
En effet, c'est le 17 Août 2014, que le Webmaster, de ce site, a eu, l'heureuse opportunité de tomber sur un entrefilet, d'un journal canadien, placé sur Google à l'url
:
Cet entrefilet venant
de l'Agence bien connue, "Associated Press", concerne on le voit, une prochaine
expédition dirigée par l'explorateur Richard E. Byrd .
Traduisons avec l'aide de notre regrettée amie Nicole, le debut du texte en question :
" La Marine Américaine s'efforce de calmer les appréhensions des Soviétiques,
concernant ses manœuvres en Antarctique.
Les USA, se rendant compte de
l'inquiétude des Russes, concernant leurs manœuvres militaires dans l'Arctique,
ont donc choisi l'autre Pôle (Note du Webmaster n°1 : donc l'Antarctique) aux conditions
climatiques similaires pour effectuer des entraînements pour les navires et
tester les armements dans des conditions d'extrême rigueur.
Une déclaration donnant des détails sur la
prochaine expédition en Antarctique, la
définit comme étant "de
nature essentiellement militaire", pour "préparer la Marine à affronter des conditions
de froid extrême en vue d'opérations futures ". (Note du Webmaster n°2: Ceci est déjà très bizarre. Pourquoi faut-il, maintenant,
une opération militaire de la Navy en zone glaciale, alors que la guerre est
terminée avec l'Allemagne et le Japon. Les soviétiques pourraient alors se dire
à juste titre : "Ces américains ont-ils l'intention de
s'entraîner au froid sibérien, pour nous y attaquer par la suite ?" )
.................................................................................................................
Fin de ce début de traduction... Courage, le meilleur est pour bientôt.
Mais ce 10 Février 2020 , poursuivons pour nos puristes, la suite de la traduction de notre regrettée amie Nicole, du document canadien du 13 Novembre 1948, ci-dessus ::
"Le choix de la région du Pôle Sud, pour entrainer le personnel de la Marine et tester les navires, avions et tous les matériels de guerre moderne
a été dicté, entre autres choses :
1. Pour dissiper les craintes des Russes
concernant des opérations proches de leur territoire
Pour assurer la
confidentiallité
2. Pour garder secret, ce genre d'opération par le
choix d'un lieu tres éloigné du reste du monde, dans la mesure du possible
(Note du Webmaster n°3 :
Pourquoi faut-il établir un secret sur le test de résistance au froid d'un
matériel tout à fait classique. Test qui est d'ailleurs déjà élaboré dans les
laboratoires et les bureaux d'etudes qui lancent le matériel en question. Ce secret sous-jacent réclamé, cache certainement
une chose très spéciale !
)
Toutefois, sous la direction
technique de l'explorateur polaire confirmé Rear Admiral Richard E. Byrd , on ne peut pas dire
que l'expédition, n'aura pas de témoins. L'Amiral Byrd a déclaré dans une
conférence de presse que "les
Russes avaient annoncé qu'ils allaient entreprendre une expédition polaire, mais
nous n'avons pas beaucoup de détails à ce propos "
(note du Webmaster n°4 : Autrement dit, on fait tout pour menager les
susceptibiltés des Soviétiques, mais eux ne dévoilent pas un yota de leur
manigance polaire. Voilà quelque chose qui nous plonge dans une grande
perplexité. ).
De plus, il reste
peut-être encore des membres d'une expédition
britannique, qui était sur les lieux, il y a 2 ans. Toutefois la
base britannique se trouve a 1.500 miles du QG
probable pour cette expédition navale - à l'endroit où se trouvait l'expédition
Byrd en 1939-41 dans la Mer de Ross
face à la Nouvelle Zélande.
Pas de revendication
territoriale.
Les officiels ont été
très prudents en répondant aux questions touchant à une revendication
territoriale officielle. Le Vice-Amiral Forrest
Sherman, délégué en Chef des opérations navales a déclaré
: "l'objectif premier est
d'entraîner les unités navales, et tout conflit concernant
des attributions de territoire ne serait
qu'accidentel".
Byrd déclara : " Cette nation ne revendique aucun
territoire dans cette zone et ne l'a jamais fait jusqu'alors
".(Note du Webmaster n°5 : Cette déclaration nous surprend grandement, et à la
fin de la traduction de cet entrefilet, nous produirons un texte qui prouve le
contraire, quant aux revendications territoriales des USA sur
l'Antarctique.)
La question de
savoir s'il s'agit de prospecter pour des matières premieres pour l'énergie
atomique - et des bombes - a été quelque peu soulevée pendant la conférence de
presse.
Ce n'est pas une course à
l'Uranium
Byrd a déclare : "que ce n'est en aucun cas une course à l'Uranium"
, mais l'Amiral a ajoutè : "nous ferons des recherches de minéraux, et il s'avère que
l'uranium en fait partie
".
L'expédition comprendra
4000 personnes dont 300 scientifiques
(intéressés par la science pure), y compris
23 scientifiques civils. Les
officiels de la Marine ont déclaré qu'il y aurait aucun savant nucleaire parmi
eux.
Fin de la traduction de l'amie Nicole.
Hum...Hum, des militaires pour aller tester les conditions climatiques rigoureuses en Antarctique, alors
qu'un simple petit contingent, formé de scientifiques bien équipés d'appareils de mesure et de vêtements bien molletonnés, aurait bien suffi.... On nous prend donc ici, ainsi que les soviètiques de l'époque en question, pour des débiles mentaux !!
Rappelons les quelques lignes, de l'ami Jean ANNE ( hélas décédé le 17/01/03 : Que son âme repose en Paix, désormais) .
En effet Jean Anne, qui fut à une certaine époque, inspecteur général maritime pour toute la côte d'Afrique, des navires, cargos de commerce, lesquels dans les années 1960/1962, faisaient escale au Gabon pour y charger du bois vers les ports du Nord de l'Europe. C'était un ancien déporté et évadé, ayant appris la langue de Goethe , pendant ces moments tragiques, a su inspirer confiance aux commandants allemands, de certains de ces navires et recueillir ainsi leurs incroyables confidences.. Dans son article : euxnousail.html, il nous en dit un peu plus, sur l'éxpédition High Jump, dans son remarquable texte intitulé : "Eux, nous & ailleurs".
Voila donc quelques bribes, de ce qu'il nous disait alors :
Début de citation :
"...Dans
la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie se
préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de
prévoir une logistique performante pour la guerre maritime, outre les accords
secrets avec des « alliés du Grand Reich » et amis potentiels dans certains pays
d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de
guerre, il fallait une base solide et inattaquable pour les sous-marins de la
Kriegsmarine. En 1938, un porte-avion le « SCHWABENLAND»
embarqua une expédition vers l’ANTARCTIQUE et, arrivés à l’endroit prévu,
situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle
Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec
lacs et montagnes bordé au nord par l’Océan Atlantique, les allemands
s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent « NEU SCHWABENLAND », appellation
géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.. Des flottes entières de
sous-marins du type U21 et U23 firent route vers ce territoire et des centaines
de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba
Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se
dirigèrent vers ce havre et nul ne les revit. L'image suivante pourrait symboliser tout cela:

Il est raisonnable de penser que ces
sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des
"équipages constitués de nombreux techniciens
spécialisés", fuyant l’occupation alliée en
Allemagne après la défaite, et du matériel sophistiqué y furent débarqués, et
aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous
les plans et documents technologiques permettant de les construire y furent mis
à l’abri... Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que
fin 1946, sous le commandement de
l’amiral Richard, Evelyn BYRD,
ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée
"High
Jump" se composant, en plus du navire amiral
"Mount
Olympus" de deux brise-glace le
"Burton Island" et
le
"North
Wind", les transports de
troupes
"Pine
Island" et
"Curritruck", les destroyers
"Brownson" et
"Henderson", le
porte-avions
"Philippine
Sea" et quatre autres navires,
« Cannistead », « Capacan », « 3Yancey » et le « Merrick
», 4000 marines
et 200 avions embarqués avec
toute une logistique de guerre prévue pour une opération de plusieurs mois,
partit de la base US de Norfolk en Virginie le
2
Décembre 1946 avec pour objectif parfaitement ciblé, la
base de Neu Schwabenland. Après avoir installé un camp de base sur une zone
centrale à Little America, les zones est et ouest étant couvertes par des
patrouilles maritimes et aériennes, le
13
Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif
commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que
les occupants de Neu Schwabenland disposant d’une telle supériorité
technologique inattendue seraient invincibles face à la logistique militaire
dont était dotée les américains et leurs alliés du moment, le
3 Mars 1947, ordre fut donné à toute
l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk..
Ce à quoi cette
expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais...
Le 5 Mars 1947
, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans
les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, " El Mercurio"
une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en
substance: "C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle
guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent
voler d’un pôle à un autre" :
Document très rare que nous a obtenu en Avril 2005, l'ami Renaud L....
Il laissa aussi comprendre:
"Qu’il y avait là
bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure".
Rappelons nous que ces événements se sont passés en
1947.. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires
que sur terre, des hommes de civilisations disparues disposant de
technologies avancées firent voler des engins, tout comme un peu
avant le milieu de notre XX° d’autres furent également capables de
rééditer ces "exploits " technologiques dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement. "
Fin de citation.
Mais
pour compléter les étranges propos concernant l'Amiral Byrd, et de feu l'ami Jean ANNE, vus ci-dessus, ajoutons
les mots renversants, d'un certain
COREY GOODE très grand lanceur d'alerte
(en anglais Whistleblower), et dont
les révélations incroyables, dépassent de loin
le cadre restreint, ayant de faibles moyens, du site
ARTivision,
et dont cependant les révélations, sont elles, plutôt prosaïques:
Photo de Corey Goode
N'ayant aucun document
(Photo, écrit déclassifié ou pas) prouvant les dires de ce Monsieur
COREY GOODE,
nous avons jusqu'à présent, éviter de parler de ses fracassantes déclarations présentées, dans cet article.
" Deuxième partie d'une série de réponses par courriel à des questions et réponses du 14 avril 2015, le dénonciateur du Programme spatial secret, "Corey Goode" (alias GoodETxSG), révèle plus d'informations sur les bases secrètes sur la Lune et les programmes spatiaux militaires classifiés.
Corey décrit la Lune comme un espace neutre utilisé par divers programmes spatiaux secrets et diverses civilisations extraterrestres, qui ont établi des "zones d'ambassade". Il décrit la Lune comme très similaire à l'Antarctique, qui est utilisée par de nombreuses nations, qui respectent les traités internationaux pour son usage pacifique, même si certaines nations peuvent être ennemies.
Fait significatif, la description de Corey de la Lune comme zone diplomatique utilisée par de multiples programmes spatiaux et races extraterrestres correspond à celle d'un autre dénonciateur de programmes spatiaux secrets, Randy Cramer (alias Captain Kaye), qui avait révélé ce qui se passait sur la Lune lors d'une entrevue en avril 2014.
C'est un peu comme à l'Antarctique, il y a ces différentes régions où différents pays et personnes peuvent dire que nous avons obtenu cette région, et nous l'avons obtenue, et tout le monde respecte la revendication ou la région de tout le monde? Que les gens soient amicaux ou hostiles, c'est une sorte de territoire neutre, donc il y a des endroits où ceux qui ne s'entendent pas avec les autres ne peuvent pas être trop éloignés les uns des autres. Mais ils ne s'attaquent pas les uns aux autres... quelle que soit la raison pour laquelle les contrats, les arrangements diplomatiques sont là pour ça"
Fin de citation
Mais, concernant justement
l'Antarctique, et
"comme il faut battre le fer pendant qu'il est chaud", voici, encore une superbe déclaration du sieur
Corey Goode, qui confirme tant soit peu, ce qu'
ARTivision, a déjà dévoilé au sujet
de l'opération High Jump, de l'amiral Byrd des USA.
En effet sur le site :
On découvre ceci :
Q7. Vous avez dit que les nazis ont établi une base sur la Lune, et cela a été construit plus tard sur la création du commandement des opérations lunaires. Quand les nazis ont-ils établi leur base lunaire?
" Ils avaient tenté à plusieurs reprises de créer une base lunaire qui ne s'était pas très bien passée depuis les années 1930. Ils ont trouvé un bâtiment ancien qui a été construit par des êtres beaucoup plus grands (ARTivision, s'est d'ailleurs franchement posé la
question clef, qui est de savoir, si parmi ces géants, il n'y avait pas, ces êtres :
à traits négroïdes si caractérisés, et que l'on attribue faussement à la civilisation des Olmèques), et qu'ils ont pu cimenter et réparer suffisamment pour le pressuriser et l'utiliser comme base temporaire pendant qu'ils construisaient la base souterraine qui avait quelques structures visibles à la surface dont l'une avait la forme d'une croix gammée. (Note du Webmaster : voir les photos suivantes que seuls des spécialistes de la Lune, peuvent authentifier :
Première image dont l'url, est placé tel :
Deuxième image, hélas plutôt floue, est placée à l'url, tel que : :
Des infographistes curieux et audacieux, devraient pouvoir nous mettre vite fait en 3D, si elles sont authentiques, bien sûr, ces extrordinaires images de croix gammées, mais hélas, on ne voit rien venir de plus saillant... Fin de la note sur les croix gammées)
Cette base était encore en construction lorsqu'ils ont conclu avec les Américains, au début des années 1950, les accords qui leur donnaient accès à la Puissance industrielle, ce qui leur avait coûté la guerre d'Europe. Ils ont maintenant utilisé cette puissance industrielle ("connue ensuite en tant que "Complexe Militaro-Industriel") en leur faveur et ont construit une base massive qui a coulé sur plusieurs niveaux dans une "forme en cloche" et les structures de surface construites autour des anciennes structures pour devenir ce que nous appelons aujourd'hui le Commandement des Opérations Lunaires (LOC).
Q8. Quel groupe d'extraterrestres aida les nazis dans leur combat avec l'amiral Byrd en 1946/1947 et développa une présence hors du monde?
Il y a eu l'aide de la Fédération Draco ainsi que d'un groupe que les NAZI ont été amenés à croire qu'ils étaient des ET (appelés "Arianni" ou "Aryens", parfois appelés "Nordics") mais qui étaient en fait une civilisation Humaine Ancienne de type "Civilisation de Rupture" de la Terre, qui avait développé un Programme Spatial (appelé "La Flotte d'Argent") et créé de vastes bases sous les montagnes himalayennes (la plus grande au Tibet).
Le premier vaisseau qu'ils construisirent utilisait des turbines Mercury, et les moteurs électro-gravité furent développés avec l'aide de ce groupe. Encore une fois, les NAZI et à ce jour beaucoup d'humains de la Terre qui sont en contact avec eux et d'autres les croient être des ET (à cause de leurs manipulations) alors qu'ils sont en fait des humains basés sur la Terre issus des anciennes civilisations ayant vécu une "Civilisation de Rupture".
J'ai fortement évité de parler en profondeur des quelques civilisations terrestres anciennes qui ont des programmes spatiaux et des bases massives sur la Terre, la Lune et
ailleurs dans le système Sol et d'autres systèmes Sol. Certains d'entre eux ont été extrêmement trompeurs et ont convaincu certaines personnes qu'ils sont des groupes d'ET qui sont là pour aider l'Humanité....
Ce qui est encore plus troublant, ce sont ses révélations au sujet d'un programme spatial nazi secret qui est devenu opérationnel pendant la Seconde Guerre mondiale malgré la défaite des puissances de l'Axe. Les nazis, selon Corey, se sont échappés dans des bases secrètes en Amérique du Sud et en Antarctique, où ils ont établi une alliance avec un groupe d'extraterrestres appelés les Reptiliens Draco. Les nazis réussissent alors à vaincre une expédition militaire punitive de l'amiral Byrd appelée Opération Highjump en 1947. Corey dit qu'après une démonstration de supériorité technologique nazie lors du passage de l'OVNI de Washington en 1952, l'administration Truman et Eisenhower ont négocié des accords avec la civilisation dissidente nazie. Les nazis ont ensuite infiltré le système de sécurité nationale des États-Unis d'une manière qui a sapé l'indépendance et l'intégrité de divers programmes spatiaux américains et internationaux, tant civils que militaires. Le travail d'esclave était une pratique majeure dans les industries nazies de la Seconde Guerre mondiale, il semble que cela se poursuit avec les organisations que la civilisation nazie séparatiste a infiltré comme ICC opérations sur Mars.
Michael E. Salla, Ph. D.
Comme on le voit, ce Monsieur Corey Goode, n'y va pas avec le dos de la cuillère, mais aucune photo, et aucune preuve tangible, ne viennent appuyer ses déclarations.
Ce que raconte ce Corey Goode, serait vite considéré comme de la Science-Fiction, s'il n'y avait pas, ces autres lanceurs d'alerte, tels que les
nommés, McClelland, Johnston,
Musgrave, aussi d'autres comme les Andrew D. Basiago, Michael Relfe, Arthur Neumann, Henry
Deacon, et surtout Carolyn
Hamlett, qui dit avoir vu
une base de la Lune, où elle a été
emmenée, après avoir été enlevée, et il y a aussi, Niara Terela Isley (et cette dernière a même publié un ouvrage intitulé Facing the Shadow, Embracing the Light
(2013)). Il y a aussi Laura Magdalen Eisenhower (petie fille du Président bien connu), qui parle
de bases installées sur Mars, depuis
belle lurette. (Voir alors le site: basiago-et-eisenhower.html).
Mais, il y a encore
mieux, quand les Corey Goode, et Vladimir
Terziski, parlent de
consortium astronautiques de diverses flottes militaires de
terriens, utilisant des
énergies inconnues ici bas comme l'antigravitation, et
expliquant l'arrivée des allemands sur la
Lune, dès 1942, puis
des russes et des américains dès les années 50.
Dur... Dur, à encaisser
n'est-ce pas !!! Mais en fouillant, un peu, dans les anciens articles d'ARTivison, on pourra trouver, par exemple, notre super article :
qui en confirmera les principaux éléments, et donc, une fois de plus, nous affirmons, que seuls les authentiques chercheurs, pourront s'approcher de
l'incroyable vérité, dans cette affaire, s'ils démontrent d'abord, par exemple, que cette photo :
n'est pas trafiquée, et a bien été prise par une sonde spatiale de la NASA ou un puissant télescope d'un observatoire astronomique officiel.
Alors, ces valeureux chercheurs, pourront affirmer l'authenticité des extraordinaires faits, soulignés ci-dessus. Tout le reste n'est que virtualités en attente de concrétisation.
Rappelons aussi, en passant, que le problème est encore plus crucial, pour expliquer actuellement, qui a tracé cette tranchée, visiblement très ancienne, sur notre Lune :
La piste rectiligne fait près de 29 km de long sur 1,7 km de large. Cette piste est courbée à gauche comme le serait une crosse de Hockey. Voici d'ailleurs, en vert, la forme générale de la structure :
Et, on voit alors que cette piste ne peut en aucune façon, être le résultat obtenu par une météorite qui aurait rasé le sol lumaire entre des montagnes, car de plus on voit, dans cette tranchée, des structures très insolites :
On distingue, en effet très nettement, une figure insolite, en forme de F, qui apparaît sur la gauche du tracé rectiligne :
Donc voilà un document extraordinaire (Vient-il de la NASA, et dans ce cas, quelle en est la référence exacte ? et merci mille fois à l'internaute béni , qui découvrira cela... ), et document qui date d'avant l'An 2000, et qui pourtant n'a jamais fait l'objet d'aucune discussion, dans les revues d'Astronomie, qui ont pignon sur rue, et encore moins de débats télévisuels de prétendus journalistes et consorts, souvent à l'affût du moindre scoop d'actualité.
Ce qu'il nous faut aussi savoir, c'est que cette photo incroyable a eté découverte sur le site admirable :
Et on y retrouve cela :
Mais si vous cliquez, sur l'image de la Lune de Web.archive.org ci-dessus, vous découvrirez son nom : landstrip.jpg
Seulement voilà, chose très surprenante, si nous tapons ce nom d'image, dans le cadre de Google images placé à :
, nous obtenons plus d'une centaine d'images, qui n'ont rien à voir, avec un paysage lunaire.
Même topo, si nous essayons le nom : landstrip.gif.
ou landstrip.bitmap.
Curieux n'est-ce pas !!! D'où vient donc cette photo fantastique ?
Aucune référence à la NASA, ne nous est fournie... Qui a donc pu installer cette incroyable photo sur le WEB ?
Donc, une fois de plus, disons, Bravo à l'internaute béni, qui nous trouvera à la NASA, les références exactes de cette photo, que nous avons appelée :
Lunepistetresinsolitea.jpg
Et si vous tapez cela dans Googleimages, on obtient enfin ceci :
Autrement dit, cette photo n'existerait pas sur Google images, si ARTivision, ne l'avait pas nommée: Lunepistetresinsolitea.jpg.
Mais, peut-être qu'on la trouvera chez un autre Webmaster, qui l'appelera autrement... Merci, à l'internaute qui découvrira cela...
Mais allons plus loin, dans notre investigation. Le texte qui accompage cette photo archive.org, ci-dessus, est datée du 12 Février 2000. Donc, on peut en déduire, que cette image très insolite :
et photo de source inconnue pour l'instant, a donc été mise sur le Web, avant le 12 Février 2000.
Mais allons plus loin, dans notre investigation, de cette image présentée déjà plus haut :

Et, traduisons modestement alors le petit texte de droite :

" Le lecteur notera l'étrange "rayure" de la surface lunaire de la photo attenante. Elle traverse clairement des formations rocheuses, et au bout de la partie rectiligne sur la gauche, il semblerait qu'il y ait une courbure, et l'ensemble donc s'apparente à une canne de hockey . La longueur de la partie rectiligne, est estimée à 29 km ".
Tout cela pour nous bien sûr, est le signe de l'authenticité, de cette extraordinaire photo, mais que de plus, si l'on analyse l'aspect général de l'image, on découvre, que la fameuse tranchée, a une coloration semblable à celle de son environnement, et nos puissants ordinateurs actuels, le constateront aisément.
Mais alors, cela signifie que le temps, a déjà fait ici son œuvre, sur la région pendant des siècles, ou plus, car, (on le sait bien), l'érosion du sol est peu active, sur la Lune à cause de l'atmosphère minime qui y règne.
Ce document extraordinaire est bien, la preuve absolue de l'existence d'entités Aliens, qui agissent sur notre Lune, depuis des millénaires, avant même l'établissement de l'Ancien Testament .
Ces Aliens, pourraient peut-être, nous venir en aide, si nous étions plus fraternels et solidaires, entre nous. Point à la ligne...
La question à 1000 €, est donc de savoir, si à l'époque où les PC du commerce, étaient balbutiants, un internaute spécialiste, pouvait nous truquer une telle représentation de la Lune?
Aux spécialistes informatiques qui possèdent dès lors de puissants logiciels comme Tungstene et consorts, donc, de répondre. !!!
Si cette photo est truquée (ce que nous n'arrivons pas encore à admettre), quelles auraient pu être d'autre part, les motivations de l' hurluberlu, qui aurait passé un temps fou, pour réaliser ce travail, alors qu'à l'époque, les ordinateurs étaient encore, presque primitifs, par rapport à ceux qui existent maintenant.
A vous de juger, tout cela... documents à
l'appui.
Mais, pour éviter, un trop long délai de chargement, plaçons la suite de cet article à :
A suivre... Fred IDYLLE.
Article mis en page le 11/01/2020, et revu le
13/01/2020, et revu le 14/01/2020, et revu le 15/01/2020, et revu le 17/01/2020, et revu le 18/01/2020, et revu le 19/01/2020, et revu le 20/01/2020, et revu le 21/01/2020, et revu le 23/01/2020, et revu le 25/01/2020, et revu le 28/01/2020, et revu le 30/01/2020, et revu le 31/01/2020, et revu le 02/02/2020, et revu le 05/02/2020, et revu le 07/02/2020, et revu le 08/02/2020, et revu le 10/02/2020.
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