Voila très chers internautes quelques
reflexions que nous suggèrent certaines expressions de l'ouvrage peu ordinaire La Terre creuse de R.Bernard. Dans cette incroyable affaire qu'il révèle,
chaque petit détail compte, car il y
va de la compréhension plus
large de notre belle
Terre et même de notre Système Solaire. Comme vous le voyez, il y a encore bien du pain sur la planche.
Souhaitons alors que les interrogations qui précèdent, puissent susciter encore quelques velléités de recherches chez nos amis internautes passionnés par le sujet.
IV Prolongement révélateur en date du 17/04/09.
Le 15/04/09, nous avons eu le grand plaisir de recevoir de notre amie Meriten , la missive vraiment importante suivante :
----- Original Message -----
From: Meriten
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, April 15, 2009 7:08 PM
Subject: R. Bernard et la Terre creuse
Bonjour cher Fred,
J'écris suite à votre dernier article "Raymond Bernard et la Terre creuse".
J'avais fait des recherches en son temps lors de l'affaire Wilkins, et je n'avais rien trouvé sur cet explorateur russe Dumbrova.
Pas étonnant : il semble que non seulement il n'ait pas été russe, mais roumain, et que son nom ne fut pas Dumbrova mais Dumbrava.
Voyez donc ce qui suit et que j'ai réussi à trouver sur lui. Rien ne nous dit qu'il s'agisse du même homme ; cependant, au vu de ce qui est dit dans l'article, il serait bien extraordinaire qu'il s'agisse d'un autre. j'ai poussé un peu plus loin mes investigations et j'ai découvert que Dumbrava avait écrit un livre apparemment difficilement trouvable maintenant, paru en 1929 qui s'appelle : Une année parmi les esquimaux.
Si un jour vous vous rendez à Paris, vous pourrez ainsi très certainement le consulter. A moins que vous n'ayez quelqu'un sur place qui pourrait le faire à votre place ? Si je n'habitais pas si loin en province, c'aurait été avec plaisir.
Portez-vous bien.
Meriten
Constantin DUMBRAVA (1898-1935)
Moldave d’origine modeste, Constantin DUMBRAVÄ passe son bac à Botosani mais réussit à décrocher une bourse pour continuer ses études de médecine à Paris et Bruxelles. Une fois établi médecin, il monte en 1927, bien avant Paul-Emile VICTOR donc, une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland, et passe une année chez les Inuit, tournant un film que la télévision roumaine diffusa en 2000. Il étudie avec soin la géologie, la flore, la faune, et écrit plusieurs articles qui paraissent en Roumanie, en France et aux Etats-Unis ( il a épousé une américaine et s’est installé à New-York).
Les Sociétés de Géographie des Etats-Unis et de Paris l’aident à monter en 1934 une seconde expédition au Groenland, cette fois en ballon. Mais celui-ci se crashe en mer près d’Angmassalik et Constantin DUMBRAVÄ , blessé et ayant contracté une pneumonie suite à son séjour dans l’eau glacée, décède l’année suivante à Cannes en France, à 37 ans, presque le même âge que Iuliu POPPER. ( Explorateur également roumain. Voir le site :
Et voici donc quelques extraits de notre réponse :
----- Original Message -----
From : Fred IDYLLE
To : Meriten
Sent : Wednesday, April 15, 2009 6:31 PM
Subject : L'affaire Dumbrova-DUMBRAVA
   Très chère amie.
Bonsoir de l'Archipel de
la Guadeloupe,
C'est toujours avec un vif plaisir
que je retrouve les lignes d'amis fidèles qui m'écrivent de temps en temps
.
Je
pense que vous avez raison . En 1959 et
avant, les journalistes de l'époque d' Amedeo Giannini ne se précipitaient pas
pour aller retrouver les sources d'une information, et il n'y
avait pas Google.
Votre
missive sera donc mise en ligne pour mieux éclaicir cette affaire et
peut-être qu'un internaute roumain retrouvera dans langue
d'origine l'extrordinaire passage en question.
Merci mille fois pour votre
sollicitude envers les recherches d'ARTivision. Grâce à vous, nous venons sans
doute de faire un grand pas dans une direction nouvelle très prometteuse. D'ailleurs l'article en question :
avait vraiment pour but d'inviter les
internautes qui ont les moyens ( Editeurs, grands
journalistes ,etc..) de tout faire pour
retrouver les documents qui prouvent que l'on cache au monde entier
une incroyable
vérité.
Sur ce je
vous dis mille fois merci pour
tout, et je vous souhaite donc
de bonnes découvertes sur
ARTivision, puis je vous dis à un de ces jours prochains si
le Maître du
Temps, nous en laisse le
loisir.
Vives amitiés tropicales.
Fred Idylle.
V Autre prolongement très révélateur en date du 02/09/2010.
Mais revenons à l'ouvrage de Raymond Bernard en question.
En page 19, on découvre alors :
POINTS MARQUANTS DE L'HISTOIRE DE LA
DÉCOUVERTE DE L'AMIRAL BYRD.
DÉCEMBRE 1929 : " La découverte mémorable du 12 Décembre d'une terre jusque-là inconnue au-delà du pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science révise la conception qu'elle s'était faite du profil sud de la terre. "
Et en page 42 :
La théorie de Giannini.
"Depuis le 12 Décembre 1929, les expéditions polaires de la Marine U.S. ont constaté l'existence d'une terre indéterminée au-delà des pôles."
Il faut alors aussi savoir que 1929 est une année clef pour Byrd, si l'on en juge l'extraordinaire reportage, que l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), nous transmet aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978, et qui relate l'aventure inouïe de l'amiral Byrd en 1929 lors de son survol du Pôle Sud :
Mais voyons donc ce récit incroyable:
" Une curieuse légende s'est instaurée à la suite du survol du pôle sud par l'amiral Richard E. Byrd en 1929 . Elle a trait à un
rapport radio qu'aurait lancé l'amiral Richard E. Byrd depuis son avion -
rapport tellement incroyable qu'on préféra le taire officiellement
- sur l'observation à laquelle il se serait livré dans les parages
du pôle. Au cours de son vol, qui simultanément faisait l'objet
d'un reportage radio, il émergea soudain d'un banc de brume et
se retrouva en train de survoler une terre sans glace où il fut à
même de distinguer de la végétation, des lacs, des animaux ressemblant à des mammouths ou à d'énormes buffles ainsi que des humains qui semblaient les garder. D'après certains chercheurs, spécialisés dans les domaines de la zoologie et de
l'exploration. qui s'efforcèrent d'élucider ce rapport, la transmission fut interrompue et les parties de ce reportage qui avaient
trait à ce phénomène insolite furent par la suite supprimées. Cependant, la croyance populaire en ce curieux rapport se
trouva ultérieurement renforcée par les phrases bizarres de l'amiral Byrd quant à "cette terre au-delà du pôle... centre du
grand inconnu... ", et une remarque encore plus étrange, proférée
en 1957, ayant trait à ce "continent enchanté dans le ciel, terre
d'éternel mystère"...
Le fait que bien des gens semblent se rappeler, ou croient se
rappeler, l'émission tronquée apporte un mystère au cœur du
mystère, non seulement sur la question de savoir ce que l'amiral
Byrd a vu ou était censé avoir vu, mais aussi sur ce qu'il est
advenu de son rapport initial ainsi que de la brochurc écrite par lui, comprenant moins de cent pages. dans laquelle il narrait son aventure et qui disparut des bibliothèques et des collections en dépit du fait que, comme dans le cas de l'émission, nombre de personnes prétendent avoir eu connaissance de cet opuscule.
La recherche de témoins auditeurs concernant cette émission controversée et presque légendaire est évidemment très difficile puisque tant de gens se la rappellent mais que si peu en ont un souvenir précis. A l'occasion de cette enquête, nous avons été particulièrement heureux d'enregistrer le témoignage d' Emily Ingram de Miami, journaliste judiciaire dont la profession a
exercé la mémoire, a qui lui permet de se montrer très précise
en évoquant les événements passés. Emily Ingram est une femme
vive, à la nature enjouée, douée du sens de l'humour, qui
poursuit avec brio sa carrière de journaliste. Le souvenir qu'elle
garde du reportage de Byrd lors de son survol du pôle sud
remonte à 1929, mais elle ne se rappelle pas moins l'incident de
façon fort détaillée :
"Nous habitions Boston à cette époque et mon père avait
récemment acheté, un nouveau poste de T.S.F, qui comportait un
haut-parleur en plus du casque d'écoute. L'amplificateur était
encastré dans le mur et tout l'appareillage nécessitait une grande
antenne. Je m'en souviens très bien parce que mon père tomba
du toit en l'installant, mais il n'en réunit pas moins à faire
fonctionner le poste.
Ma mère s'intéressait particulièrement au reportage de l'amiral Byrd. On avait annoncé qu'il devait suivre le 70e parallèle
jusqu'au-dessus du pôle et qu'il émettrait pendant le vol. Une
fois le poste branché sur la station (un relais dc Boston) le haut-parleur commença à nous distiller l'émission. Il y eut beaucoup
de parasites, puis la voix de l'amiral Byrd nous parvint. Au
début, ce fut un récit classique, décrivant le survol des champs de
neige et de glace. Puis, les parasites revinrent; ils s'intensifièrent
et cessèrent subitement. Tout devint plus calme et la voix de Byrd
nous parvint très nettement. Tout à coup, il dit :
" Regardez! Vous voyez? 11 y a de l'herbe, là en bas.- une herbe drue... comme elle est verte!... il y a des fleurs partout...
elles sont superbes... et regardez ces animaux... on dirait des élans... l'herbe leur arrive au ventre... et regardez!... il y a aussi
des gens. Ils paraissent surpris de voir un avion." .
Je me souviens qu'à ce moment, ma mère a lancé une
boutade : « Je parie qu'ils ont aussi de longues oreilles! » Puis il
y eut beaucoup de bruit et de parasites, et ce fut tout ce qu'on
entendit jamais du programme. Impossible de le retrouver sur les
ondes où de la musique succédait à la voix de l'amiral Byrd sans
qu'on n'ait fait la moindre annonce.
Jamais on ne nous expliqua ce qui s'était passé. Plusieurs de
nos voisins avaient aussi écouté l'émission, mais ils n'en savaient
pas plus que nous. On avait coupé la parole à l'amiral Byrd au
beau milieu de son reportage. Je souhaitais vivement apprendre
ce qui était arrivé et j'écrivis à la famille Byrd, en Virginie -
vous savez, le sénateur - mais je ne reçus jamais de réponse."
Cette évocation d'une étrange émission, remontant à près de
cinquante ans, souligne à quel point ce rapport radiodiffusé
parut incroyable (ainsi qu'en atteste la réaction initiale de la
mère d'Emily Ingram); il est donc possible que la station de
Boston, sur un ordre officiel quelconque, ait préféré interrompre
le reportage qui paraissait dénué de sens, en partie peut-être
pour sauvegarder la réputation de l'amiral Byrd, et peut-être
aussi parce que l'information était si insolite que la censure, ou
tout au moins une diffusion différée, semblait s'imposer.
"
Fin de citation.
Que dire de plus, sinon qu'il est préférable de lire plus avant, le reste de tout cela dans l'ouvrage en question de Berlitz, qui a quitté ce monde le 18 Décembre 2003 à Tamarac, en Floride. Que Paix, et Lumière accompagnent (celui qui de son vivant fut un infatigable chercheur), dans la Haute Dimension, où il évolue en ce moment, et que sa joie , rejaillisse tant soit peu sur les terriens qui sont épris de la découverte d'une connaissance transcendante, pour que l'on puisse enfin, mieux vivre sur cette planète.
Mais il est aussi arrivé à Byrd en 1926, une aventure très peu connue, dont hélas nous n'avons qu'une seule source, en admettant qu'elle soit vérifiable un jour. Même si le livre de R. Bernard "La Terre creuse", ne mentionne rien à ce sujet, reprenons alors ici, les quelques phrases qui en parlent, dans notre article Byrd.html
Début de citation :
L'amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences , (d'après un article de Jean Brun de l'hebdomadaire Nostra du n° 425 de la semaine du 29
Mai au 4 Juin 1980) aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord.
Voici donc quelques lignes de cet article:
"Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14 Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.
Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manques de vivres, l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.
Fin de citation
Notons, qu'avec regret, nous n'avons pas trouvé les sources importantes relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun. Nous implorons avec déférence donc, tout internaute qui connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore vivant), de lui demander la nature des documents, où il a puisé les éléments de ce qui précède. Il y va de notre plus grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre système solaire. Merci d'avance...
On pourrait donc croire que nous avons là, affaire à un début d'un roman inédit de Jules Verne, si l'on ignore que l'amiral Byrd a participé par la suite à de nombreuses autres expéditions polaires, entre autre en 1929, 1936, 1947, 1956 à la suite desquelles, il a fait, chaque fois, des déclarations insolites que nous extrayons du livre de R. Bernard cité plus haut :
" Février 1947: " J'aimerais voir cette terre au-delà du Pôle (Nord). Cette terre qui est le centre du grand Inconnu".Vice-amiral Byrd avant son vol de 2700 km au delà du Pôle Nord (visité en 1926:voir ci-dessus et il y a eu aussi l'expédition de 1929 au Pôle Sud voir ci-dessous)
Novembre 1955: " C'est la plus importante expédition de l'histoire du monde." Vice-amiral Byrd avant son départ pour explorer la terre au-delà du Pôle Sud.
Janvier 1956: " Le 13 Janvier, des membres de l'expédition des Etats-Unis ont accompli un vol de 4300 km à partir de la base de McMurdo Sound, située à 640 km à l'ouest du pole Sud et pénétré dans une terre sur une distance de 3700 km au-delà du pôle".Message radio en provenance de l'expédition antarctique de Byrd, confirmé par la presse américaine du 5 février 1956.
Mars 1956 :"La présente expédition a ouvert un nouveau et vaste territoire ". Vice-amiral Byrd le 13 Mars 1956 à son retour du Pôle Sud."
Notons avec soin le terme "Au-delà " et
non "au-dessus" utilisé par l'amiral Byrd. Si Byrd avait volé au-dessus des pôles Nord et Sud, en direction des immensités glacées qui s'étendent d'après la géographie classique de l'autre côté du pôle, il serait incompréhensible que cet amiral ait qualifié ce territoire en 1947, de "Grand Inconnu". Il n'aurait pas non plus, aucune raison d'utiliser l'expression étrange prononcée, parait-il, avant sa mort: " ce continent enchanté dans le ciel, terre de l'éternel mystère!"
Fin de citation de notre article sur Byrd.
Il nous faut alors bien sûr, retrouver absolument les journaux américains ou autres, qui ont publié à l'époque ces incroyables citations, concernant l'amiral Byrd. Merci d'avance à tout chercheur enthousiasmé par cette tâche.
VI L'affaire de l'Amiral George J.Dufek : Quand traduire, c'est souvent trahir (paragaphe en date du 08/03/2011).
C'est encore par un coup de
super Hasard, que nous venons de nous apercevoir d'une anomalie qui se trouve dans l'ouvrage français :
la Terre creuse de
R. Bernard, dont il est question justement dans cet article. En effet le traducteur a ommis de mentionner le nom d'un très respectable amiral des USA, qui comme Byrd a du être
subjugué par les phénomènes étranges, qu'il a découverts au Pôle Sud. En effet, voyez vous-mêmes ces deux textes ; Le premier est tiré de l'ouvrage en anglais de
R. Bernard, que nous avons sous la main:
En page 26, on trouve :
"In January, 1956, Admiral Byrd led another expedition to the Antarctic and there penetrated for 2,300 miles *beyond* the South Pole. The radio announcement at this time (January 13, 1956) said: "On January 13, members of the United States expedition penetrated a land extent of 2,300 miles "beyond" the Pole. The flight was made by Rear Admiral George Dufek of the United States Navy Air Unit."
The word "beyond" is very significant and will be puzzling to those who believe in the old conception of a solid earth. It would then mean the region on the other side of the Antarctic continent and the ocean beyond, and would not be "a vast new territory" (not on any map), nor would his expedition that found this territory be "the most important expedition in the history of the world". The geography of Antarctica is fairly well known, and Admiral Byrd has not added anything significant to our knowledge of the Antarctic continent. If this is the case, then why should he make such apparently wild and unsupported statements - especially in view of his high standing as a rear admiral of the U.S. Navy and his reputation as a great explorer? "
Et en français en page 30, on trouve la traduction :
" En janvier 1956, l'amiral Byrd entreprenait une autre exploration, cette fois dans l'Antarctique, et parcourait 3 700 kilomètres au-delà au pôle Sud.
Le terme "au-delà", comme nous l'avons déjà souligné, est très significatif et embarrassera ceux qui s'en tiennent à l'ancienne conception d'une Terre compacte. Il concernerait alors la région située de l'autre côté du continent antarctique, et, plus loin, de l'Océan, mais dans ce sens ce ne serait plus "un nouveau et vaste territoire", et l'expédition qui l'a découverte ne saurait être non plus qualifiée de "la plus importante de l'histoire du monde". La géographie de l'Antarctique est parfaitement connue, et l'amiral Byrd n'y a rien apporté de bien nouveau. Alors pourquoi aurait-il fait des déclarations apparemment vagues et sans fondement ? Pourquoi aurait-il pris le risque de ternir sa réputation de grand explorateur et de perdre la face devant le monde en lançant des affirmations gratuites ? "
Fin de citation.
Comme vous le voyez, tout le passage :
" The radio announcement at this time (January 13, 1956) said: "On January 13, members of the United States expedition penetrated a land extent of 2,300 miles "beyond" the Pole. The flight was made by Rear Admiral George Dufek of the United States Navy Air Unit.", s'est
volatilisé totalement, et l'éminente mention du
Vice Admiral George Dufek, a
disparu carrément. Une telle bévue ne peut, à notre avis, être mise sous le coup de
l'étourderie, ou de la
négligence. C'est bien
un coup monté délibéré, sans doute pour ne pas mettre cet amiral au pied du mur. Cet Amiral est né le
10 Février 1903, et est décédé le
10 Février 1977, donc il était bien vivant en
1971 .
(Byrd lui était déjà décédé le 11 Mars 1957), lors de la sortie du livre
La Terre creuse en Français.
L'éditeur ou
l'auteur, ont préféré ne pas mettre
une fois encore cet amiral mal à l'aise.
En effet, dans un autre ouvrage de
Raymond Bernard, intitulé
Nuclear Age Savior Flying saucers and the Subterranean Word paru en
1960 chez Health research, Mokelunne Hill, USA, et dont, nous avons une copie moderne faite par
kessiger Publishing's ISBN 9781162556628 :
on peut alors lire ceci :
Traduisons seulement les trois dernières lignes :
" L' Amiral Dufek , dans le magazine "National Géographic" l'appelle, une "impressionnante étendue" . Les deux hommes l'avaient survolée! Aussi ils savaient de quoi, il s'agit. Cette étendue ne peut être répertoriée sur aucune carte du monde actuel. Cependant elle dépasse de loin la surface du continent Nord Américain".
Une fois de plus nous déplorons le fait que
R. Bernard, ose citer la revue
"National Géographic", sans en indiquer l'année, ni le mois de sortie, comme pour l'affaire du
Globe and Mail, où au moins l'année nous était donnée.
Ici c'est donc pire. Comment retrouver cette revue importante. Toute aide, serait évidemment
la bienvenue.
Merci d'avance...
Pour terminer, il serait aisé de relever bien d'autres passages du livre en anglais de
R.Bernard, qui ne sont pas traduits en français, et dans le seul Chapitre I, nous trouvons déjà page 24 :
ou encore, pages 25 et 26 :
Donc, avis aux amateurs, et
aux puristes, qui
aiment remonter aux sources.
VII Quand Byrd lui-même, mentionne le nom du contre-amiral George Dufek, dans un long texte du Popular Mecanics Magazine, en Février 1956 (paragaphe en date du 28/08/2011).
Nous avons déjà mentionné, au paragraphe précédent, le tour de passe-passe que l'on nous a joué au sujet du haut gradé américain
George Dufek. Nous allons aujourd'hui apporter la preuve que
Raymond Bernard, a bien mentionné ce nom dans son ouvrage en anglais, et nom, qui on le sait,
a disparu de l'ouvrage en Francais...
Le
26/08/2011, nous avons eu le privilège de découvrir sur
Google, la page :
Et voici le haut de la couverture :
Et voici pour les puristes le début de cet important article de plus de 12 pages, qui est daté rappelons-le de
Février 1956.Voir plus haut, les
déclarations extraordinaires, qui eurent lieu le
5 Février 1956.
Mais allons plutôt à la page 123, en question :
Comme on le voit,
Byrd mentionne bien que le
contre-amiral George Dufek, a bien participé en sa compagnie, à deux précédentes expéditions.
Ce n'est dans une revue, comme le
Popular Mécanics Magazine, que
Byrd, va faire des révélations
hors normes, bien que si l'on sait lire entre les lignes, on peut y trouver des choses sous-jacentes.
N'empêche, que nous devons trouver aussi, ce numéro du
National Géographic, où ce contre-amiral
George Dufek, a osé parler d'une
"impressionnante étendue", et peut-être y a-t-il en plus, ajouté un petit mot, assez significatif.
Voyons cela de plus près, ce
2 Sept 2011 :
A la page 122,
Byrd nous explique ce que sera
l'Année Géophysique Internationale en anglais
IGY, qui devrait s'étendre de
1957 à 1958 :
Comme vous voyez, les savants auront
du pain sur la planche, et devront même envisager de lancer
un satellite spatial (le premier viendra en effet le 4 Oct 1957 par l'URSS), et aussi d'étudier entre autres choses
les aurores polaires...
Mais voyons plutôt, la page 286 :
Byrd, nous parle là, de
zones inexplorées. Rien de surprenant à cela, car il s'agit de régions immenses, très glacées, couvertes de neige à profusion, et où la température avoisine souvent les
-50 degrés Celsius. L'être humain a en effet très peu osé, s'aventurer dans
ce désert très hostile.
Mais, où le discours de
Byrd surprend, c'est quand il écrit
"In many respect Antarctica will be one of the most exciting and important phases of the entire IGY program." que nous traduirons modestement ainsi :
" A bien des égards, l'Antarctique sera l'une des plus enthousiasmantes et importantes étapes de l'Année Géophysique Internationale ". Cette phrase nous rappelle aussi n'est-ce pas, ceci lu dans le célèbre livre de
Raymond Bernard "la Terre creuse" :
Novembre 1955:
" C'est la plus importante expédition de l'histoire du monde." Vice-amiral Byrd avant son départ pour explorer la terre au-delà du Pôle Sud.
(Rappelons, qu'il nous faut absolument trouver une des revues qui auraient publié cette phrase surprenante).
Plus bas, dans la même page,
Byrd écrit aussi :
" This Amazing part of the word ..."...
"Cette étrange région du monde..."... Comment peut-il parler
de zone étrange, où l'on ne découvre que
neige et glace et tempêtes réfrigérantes à foison.
Bien sûr, pour les
détracteurs habituels, ce ne sont que des phrases coutumières sans sous-entendus.
A vous de juger une fois de plus, tout cela...
VIII Quand ARTivision , imagine grosso modo, comment pourraient se positionner les ouvertures polaires sur le globe terrestre. (paragraphe en date du 16/09/2011).
Ces temps-ci, il nous est venue l'idée,
(compte tenu de nos faibles moyens artistiques et autres), d'essayer de réaliser cela, en passant par les images connues, dont d'abord celle ci :
C'est
une photo mosaïque surprenante, qui est bien sûr encore rejetée par
les détracteurs de
la Théorie de la Terre creuse, mais dont un infographiste qualifié, nous en a dit
de très bons attributs.
D'ailleurs
ces détracteurs et autres debunkers anglo-saxons, tomberaient carrément à la renverse, ou nous qualifieraient vite fait de
"cinglés", en apprenant que
ce trou s'ouvre et se ferme régulièrement (Il en est de même, sans doute, à une moindre envergure du trou polaire sud), mais hélas
ARTivision, n'en connaît pas la périodicité...
La NASA, elle, le sait certainement, si l'on en juge par cette
incroyable photo mosaïque :
Tous les détails sur la provenance de cette image, sont mentionnés dans
notre article de synthèse :
Puis, il y aura aussi ce schéma extraordinaire au sujet duquel n'avons pas
la compétence requise, pour en discuter les éléments, et schéma que l'on peut trouver sur le site :
Enfin, sur le site précédent, on trouve aussi cette carte étonnante :
Si donc nous compilons toutes
ces données hors normes, nous pouvons alors dresser le document suivant qui gagnerait, bien sûr à être structuré en
3D :
Plaçons maintenant ce trou polaire sur une carte de la zone Nord.
Comme on le voit, les diverses expéditions polaires au Nord, sont bien passés
hors du trou en question,
(quand en plus, on suppose qu'il était ouvert).
Voyons maintenant du côté du
Pôle Sud, bien que là les images manquent sérieusement.
En
Juillet 1989 la célèbre revue
GEO, publiait dans son
n° 125, un article intitulé :
ANTARCTIQUE SANS FRONTIÈRES tel que :
Il y avait surtout en pages 22 et 23, cette superbe carte de l'expédition antarctique proche :
Là encore, on voit que l'expédition devrait frôler le trou, et encore faudrait-il savoir si ce trou aurait été ouvert à l'époque, et comment le phénomène se réalise, puisque
là, aucune photo n'est arrivée jusqu'à nous.
Tout cela
n'a pas de précision scientifique, et n'est qu'un montage approximatif résumant, un phénomène on le voit,
tout à fait hors normes.
A vous de juger!!
Article mis en page en le 10/04/09, et revu le 11/04/09, puis le 13/04/09, puis le 15/04/09, puis le 17/04/09, puis le 18/04/09, puis le 07/05/09, puis le 18/06/09, puis le 12/07/09, puis le 15/07/09
, puis le 18/07/09, puis le 26/07/09, puis le 06/09/09, puis le 06/08/2010, puis le 07/08/2010, puis le 08/08/2010, puis le 01/09/2010, puis le 02/09/2010, puis le 04/09/2010, puis le 05/09/2010, puis le 11/09/2010, puis le 08/03/2011, puis le 09/03/2011, puis le 10/03/2011, puis le 28/08/2011, puis le 02/09/2011, puis le 16/09/2011, puis le 08/05/2013, puis le 11/06/2014.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
Retour à la page d'accueil