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Quelques éléments de plus
sur l'aventure mystérieuse d'Adamski .


      Cet article est la suite directe et logique de l'article :

http://www.artivision.fr/docs/RetourauCosmos.html

, qu'il convient d'aborder en priorité, avant de commencer à lire ce qui suit :

I Bref historique sur l'aventure d' Adamski.


    Pour les internautes qui ne sont pas au courant des arcanes de l'aventure d'Adamski, nous allons vous en dire quelques mots.

    En premier lieu, disons que les photos d'ovnis réalisées par Adamski et aussi les textes écrits, sont sous copyright, et que pour les reproduire, il faut en demander l'autorisation de la Fondation Adamski : G.A.F Internationnal/Adamski Fondation. P.O.Box 1722-Vista, CA 920085 USA dont le site est à :

http://www.gafintl-adamski.com

et que l'on peut joindre à l'adresse : Gafintl@aol.com.

     Mais auparavant, il serait utile sans doute, de vous présentrer un document dactylographié vieux de plus de trente ans, que nous venons de découvrir dans nos archives, en vous priant d'en excuser le manque de netteté, dû à l'âge, (vous avons même dû retracer certaines lettres complétement effacées). Voici donc seulement la première page du document, qui en a trois.


     Malheureusement, nous avions oublié à l'époque, de noter la source de ce document. Merci à l'internaute qui pourra nous permettre de la retrouver.

     Ce qui a retenu avant tout notre attention dans cette page, c'est surtout le paragraphe suivant :

"GEORGE ADAMSKI qui se moquait éperdument de l'argent, abandonna tous ses droits d'auteur à Desmond LESLIE. C'est une première raison de croire que le récit n'était pas un canular destiné à remplir les poches d'un prétendu " marchand de hamburgers"...(une légende propagée par les adversaires de G. Adamski !) Au fil des ans, d'ailleurs, la vérité se fit jour : ADAMSKi N'AVAIT PU MENTIR."

     Vu le souci de pragmatisme, que nous recherchons sur ce site, nous pensons que cette information est capitale et qu'il convient absolument de la confirmer. Le 28/11/07, nous avons donc contacté la Fondation Adamski afin de voir, si elle pouvait confirmer ce fait qui ferait évidemment grandement avancer cette affaire. Voir, plus bas, la réponse au paragraphe II

     Maintenant nous allons vous présenter quelques pages de la revue hélas disparue "Ondes Vives", qui avait à l'époque une rubrique réservée au problème des soucoupes volantes.


     Le texte présenté est de J.C. Salémi, administrateur principal de la revue en question et avec qui nous avons échangé en 1983 quelques courriers par la poste. S'il n'est pas décédé il devrait être âgé de 102 ans en 2007. De plus nous allons rendre un certain hommage au dessinateur Robert Gigi, qui a quitté ce monde le 6 Février 2007 à 79 ans.

Revue "Ondes Vives" n° 96 Avril 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI
par J.-C. SALÉMI



     George ADAMSKI naquit en Pologne le 17 Avril 1891. I1 avait deux ans lorsque ses parents émigrèrent aux U.S.A. et s'installèrent à Dunkirk, Etat de New-York. C'est là que George grandit dans un milieu très religieux et en contact étroit avec la Nature qu'il aimait. Il aimait aussi les hommes, était très compatissant, serviable et sociable. En 1913 i1 s'engagea dans l'Armée et y passa 5 ans, puis sa nature indépendante fit qu'il voyagea constamment un peu partout, gagnant sa vie en acceptant tous les travaux qui lui étaient proposés, toujours patient, toujours gai et jovial, ce qui lui valait la confiance et l'affection de ses camarades. Vers la quarantaine il se fixa en Californie et se mit à enseigner 1a philosophie, à faire , des conférences, à parler à la radio. Un de ses élèves lui ayant offert un télescope de 6", il se mit à étudier le ciel avec passion et à prendre d'innombrables photos. I1 finit par installer un ranch au Mont Pa1omar, près du fameux observatoire Hale où se trouve le plus grand télescope du monde.(A l'epoque bien sur) Toujours féru d'astronomie, George acheta un télescope de qu'il installa sous abri, réservant l'autre à ses observations dans la nature. Au cours de la pluie de météorites du 9/10/46, il remarqua une sorte de ballon dirigeable gigantesque, tout noir, immobile, très haut. Subitement cet objet bascula et monta rapidement laissant une traînée lumineuse. Le soir même il fut surpris d'entendre à la radio qu'une sorte de cigare volant avait été vu par des centaines de personnes, planant au-dessus de San Diégo, pendant la pluie d'étoiles filantes. Quelques jours plus tard, dans un café, il entendit des gens discuter de ce fameux cigare volant qui venait sans doute d'autres planètes Georges intervint et démontra que c'était impossible, 1e corps humain ne pouvant supporter un voyage interplanétaire. Des officiers, assis à 1a table voisine, écoutaient avec intérêt cette discussion. L'un d'eux dit d'un air entendu : "Ce n'est pas impossible, nous sommes bien renseignés". George voulut en savoir-davantage et posa des questions. L'officier refusa de répondre, se contentant d'affirmer que cet engin n'était pas de notre monde:

     Or, à partir de cette date, on parla beaucoup de soucoupes volantes et ADAMSKI multipliait les heures d'observation pour essayer d'en apercevoir. Enfin au mois d'Août, un soir, il vit avec surprise une formation d'OVNI filant rapidement. Et soudain, l'un d'eux s'arrêta et repartit dans la direction opposée. Ce ne pouvait donc être ni des phares, ni des météorites. George appela quatre oersonnes qui étaient dans la maison et tous se mirent à compter. Ils dénombrèrent 184 objets qui passaient en file indienne, par escadrilles de 32, se livrant à diverses manoeuvres. Le dernier s'arrêta pile dans le ciel et lança deux puissants faisceaux de phares vers San Diego, puis vers le Mont Palomar, et reprit sa course. Le lendemain ADAMSKi rencontra diverses personnes qui avaient assisté à ce phénomène, et l'une avait compté 204 objets.

     En, 1949 George fut contacté par quatre officiers de Marine qui lui proposèrent de collaborer avec eux pour essayer de prendre des photos de ces OVNI mystérieux, puisqu'il possédait un télescope portatif conjugué avec un appareil photographique. ADAMSKi accepta et on lui conseilla de de surveiller de préférence la Lune, où devait se trouver une base de ces vaisseaux volants.

     La chasse commença, décevante. Au début cependant, George eut la joie de prendre deux photos d'un OVNI. Le même jour, la radio annonçait qu'une S.V. avait atterri à Mexico. Un des Officiers de la Marine qui sem blait être très bien informé, lui apprit que la radio n'avait pas tout dit, qu'il y avait autre chose de plus important, mais ne voulut pas préciser. L'incident fut vite étouffé ; deux ans plus tard, ADAMSKi apprit qu'effectivement un OVNI avait bien atterri près de Mexico, mais que les Mexicains superstitieux s'étaient affolés, persuadés que la fin du monde était arrivée et des troubles avaient éclaté. Pour calmer les esprits et faire cesser la panique, le gouvernement avait déclaré aux populations qu'il s'agissait d'un missile téléguidé américain qui s'était écrasé au sol.

     Ce ne fut qu'au printemps 1950 qu'ADAMSKi put photographier deux points blancs dans l'espace, où on ne distingue rien. On voyait bien, autour de la Lune, des taches lumineuses mouvantes, mais c'était trop lointain et trop flou.
(Note du Webmaster : Voici justement cependant une image rare faite par Adamski en Juin 1950, où apparaît une forme bizarre située en avant de notre Lune :


     Le cliché est évidemment un peu flou et les détracteurs habituels n'hésiteront pas à déclarer qu'il est sans doute truqué, bien qu'il soit obtenu avec les moyens précaires de l'époque. Mais voyez aussi cela, à titre de comparaison :

  

     C'est un cliché obtenu en 1986 par notre ami feu Michel Girard, qui a quitté ce monde le 30 Janvier 2003, et qui, par une intuition extraordinaire, a photographié l'écran de la télé quand, on y passait un reportage sur la Comète de Halley alors qu'elle recevait la visite de la sonde européenne Giotto dans la nuit du 13 au 14 Mars 1986 en passant à 596 km de l'astre.

     Evidemment, seule l'étude du film d'origine, pourrait nous dire, si cette forme est une illusion d'optique ou pas. Avis aux spécialistes....Fin de la note du Webmaster)
.

     En fin 1951 et 1952, les manifestations des OVNI semblèrent plus nombreuses et plus rapprochées, mais les 500 photos prises n'étaient pas nettes. Cependant, dans le monde entier, les observations se multipliaient.

 

Cigare interplanétaire et scouts, photographiés par Adamski
le 5 Mars 1951, à 10h30 avec un télescope de 6 pouces, à Palomar Gardens en Californie (couleur ajoutée)
.

LE 20 NOVEMBRE 1952


     ADAMSKi avait projeté avec des amis : le couple A.C. BAiLEY, le docteur George H. WILLIAMSON et sa femme, de faire ce jour-là une expédition dans les déserts qui entourent le Mont Palomar. George partit à 1 h. du matin dans sa vieille voiture pétaradante, avec sa secrétaire Lucy Mac Ginnis et une voisine Alice K. Wells. Ils arrivèrent à Blythe où les attendaient les 4 amis précités et les deux voitures partirent au petit bonheur, guidées par l'intuition d'ADAMSKI. Après avoir erré et hésité, ils s'arrêtèrent vers 11 h à Désert Center, dans la rocaille parsemée de buissons rabougris. Ne sachant trop que faire, ils pique-niquèrent, puis prirent quelques photos. Un avion passa, émergeant des montagnes, traversa le ciel et disparut à l'horizon. A ce moment les 7 personnes se retournèrent simultanément, regardant vers les montagnes d'où était sorti l'avion et aperçurent à très haute altitude, un cigare argenté qui glissait lentement vers eux sans aucun bruit et qui s'immobilisa dans le ciel.



Extrait de l'album de Jacques Lob et Robert GIGI "Le dossier des Soucoupes volantes" Dargaud Editeur, fin 1972.

     (Note du Webmaster: Voici d'ailleurs en hommage à Robert GIGI, la couverture de l'ouvrage en question :


Fin de la note)

     La surexcitation était à son comble. Tous les gens parlaient à la fois, étonnés, faisant mille suppositions. Alice dit à George d'aller chercher dans la voiture le petit télescope pour prendre une photo. A1. BAILF,Y houspillait sa femme pour qu'elle prenne un film avec sa caméra, mais dans son énervement, elle n'arrivait pas à la mettre au point. Quand elle y parvint, le cigare qui avait pris une teinte orangée, avait disparu. On s'arrachait les deux paires de jumelles qui passaient de mains en mains et on discutait sur la marque noire qui était visible sur le côté de l'engin. G. WILLIAMSON qui avait été pilote de guerre et qui connaissait tous les insignes de l'aviation, ne put identifier cette marque.

     Dans toute cette fébrile agitation, ADAMSKI restait persuadé que cet incident n'était qu'un hors d'œuvre et qu'il allait se passer des événements bien plus excitants. D'abord on était trop près de la route, où passaient des voitures, de temps en temps. I1 fallait s'en éloigner. I1 "savait" avec certitude qu'on était venu le chercher, lui, et qu'on attendait qu'il s'isole. Il ne comprenait pas d'où lui venait cette certitude, mais il en était sûr. Vite, il dit à Lucy de prendre le volant, A1 s'installa d'office près d'elle et ADAMSKI monta sur le siège arrière en disant aux 4 autres de rester là et d'observer attentivement. Lucy s'étant engagée sur la route, A1 s'aperçut que le cigare était revenu et les suivait. Après avoir franchi environ 800 m, ADAMSKI aperçut une piste sur la droite et dit à Lucy de la prendre. Ils parcoururent près d'un km et s'arrêtèrent au pied d'une colline rocheuse, près d'un endroit propice pour installer le télescope. Le grand cigare s'arrêta aussi, juste au-dessus de la voiture. ADAMSKI savait qu'il fallait faire vite. Précipitamment il se mit à décharger le matériel avec l'aide d'Al; à installer le trépied du télescope, malgré les rafales de vent. Puis il ordonna à A1 et Lucy de le laisser seul, de rejoindre avec la voiture le groupe resté au bord de la route et de bien observer ce qui allait se passer. I1 fut convenu qu'ils ne reviendraient pas avant une heure, à moins qu'il ne leur fasse signe avec son chapeau. La voiture fit demi-tour et s'éloigna. Le cigare en fit autant, mais à ce moment une escadrille d'avions de chasse survint,cherchant à atteindre l'objet étranger. Celui-ci se dressa soudain et fila à la verticale à une vitesse extraordinaire. ADAMSKI s'affaira autour de ses appareils, procédant méticuleusement à leur mise au point. Mille pensées tourbillonnaient dans sa tête, supputant toutes les éventualités possibles. I1 se voyait prendre des photos si nettes qu'elles rendraient muets ses détracteurs. Et qui sait... monterait-il dans ces S.V. ? et dans ce grand cigare ?

     Un éclair. George leva le nez et vit se poser, entre deux sommets, à 800 mètres, une S.V. Sa coupole demeurait visible pour le groupe qui observait à 1500 mètres de là. ADAMSKI braqua son télescope et prit une série de clichés. Un scintilleemnt, et la S.V. recula, disparaissant de sa vue. Au même moment des avions vrombirent, décrivirent plusieurs cercles au-dessus de l'endroit où était le groupe, et repartirent. ADAMSKI était désolé. Il pensait que la S.V. était repartie et qu'il avait raté la plus belle occasion de sa vie. Soudain il aperçut un homme, à 400 mètres de lui, entre deux monticules, qui lui faisait signe d'approcher. Qui pouvait-il être ? Un prospecteur ? Un minéralogiste ? Pourquoi appelait-il ? Avait-il besoin de secours ? Méfiant, il avança et à ce moment il fut pris d'une étrange sensation impossible à définir. L'inconnu avait l'air d'un homme normal, un peu plus petit mais beaucoup plus jeune qu'ADAMSKI. Cependant il portait une sorte de combinaison chocolat serrée aux chevilles et aux poignets comme un complet de ski, et ses cheveux très longs flottaient sur ses épaules. Ils étaient maintenant à un mètre l'un de l'autre et George comprit avec stupeur qu'il s'agissait d'un Extra-Terrestre. Son visage était radieux, d'une beauté surnaturelle qui vous rendait muet et vous donnait une impression d'être tout petit devant lui.


     L'étranger tendit la main. George voulut la prendre pour la serrer, mais l'autre l'arrêta, plaça simplement sa paume contre celle du Terrien et la retira aussitôt. Sa peau était aussi fine et délicate que celle d'un bébé, mais ferme et tiède. Les doigts étaient fuselés comme ceux des femmes artistes ; taille 1 m 70 poids environ 70 kgs. Age approximatif 28 ans. Visage rond, front élevé, yeux gris en amande, net droit et fin, sourire gracieux, dents éclatantes de blancheur, teint doré, joues imberbes, cheveux blond cendré. Une large ceinture (15 cm) entourait sa taille et tranchait sur la combinaison qui était faite d'un tissu lumineux assez semblable à du satin, d'une seule pièce, sans couture, sans poches, sans boutons ni agrafes ni fermeture quelconque. Les chaussures montantes, de couleur rouge vif, étaient d'un tissu élastique ayant l'apparence du cuir. L'ouverture était du côté externe, le talon plat, le bout arrondi.

     ADAMSKI posa quelques questions mais l'autre ne répondit pas, hochant simplement la tête comme s'il ne comprenait pas. Alors George essaya la télépathie. I1 pensa fortement à l'image d'une planète, montra du doigt le Soleil, traça un cercle dans l'air, indiquant l'orbite de la planète la plus proche du Soleil, et dit : « Mercure ». Puis il traça une autre orbite concentrique plus grande, et dit : « Vénus ». Il en traça une troisième et dit : « Terre », en montrant simultanément le sol pour marquer qu'il s'agissait bien de la planète Terre.

     L'homme avait compris. I1 sourit, montra le Soleil, traça une orbite autour, puis une deuxième et en même temps il plaçait sa main gauche sur son cœur.

     "Vous voulez dire que vous venez de Vénus ?"

     Il hocha affirmativement la tête et prononça : "Vénus", d'une voix aiguë comme celle d'un garçon avant la mue.

     "Pourquoi venez-vous sur la Terre ?" Question accompagnée d'images mentales et de mimiques. Le Vénusien fit comprendre, de la même manière, que ces visites étaient amicales et aussi que les E.T. s'inquiétaient des radiations émises par la Terre, surtout les explosions atomiques et les retombées radio-actives.

     "Y a-t-il du danger ?" dit George en visualisant une image de destruction. La réponse fut affirmative avec une expression de compassion. "Ces explosions sont-elles dangereuses pour les espaces sidéraux ?"

     Hochement de tête affirmatif et peiné. Pour accentuer, il toucha George, puis toucha un buisson et montra le sol, puis il écarta les bras en disant "Boum", exprimant ainsi que les explosions détruiraient tout cela.

     "Etes-vous venu directement de Vénus ?". II se retourna et montra au bas de la colline, la S.V. qu'ADAMSKI n'avait pas encore remarquée, tellement il était intéressé par l'homme. I1 fit comprendre que cette ma chine avait été transportée par le cigare volant qui joue pour ainsi dire le rôle de porte-avion.

     "Nos avions, tout-à-l'heure, vous ont-ils gêné ?" . Réponse affirmative.

     "Croyez-vous en Dieu ?"Réponse affirmative.

     "Aurons-nous d'autres visites ?" Réponse : il y en avait eu déjà beaucoup, et il y en aurait encore beaucoup d'autres.

     "Venez-vous seulement de Vénus, ou d'autres planètes aussi ?" Réponse : d'autres planètes du système solaire, et d'autres systèmes.

     "Certains de vos hommes ont-ils été tués en venant sur Terre ?" Réponse : Oui, il arrive des accidents ou des difficultés aux OVNI.

"Sommes-nous responsables de certaines de ces morts ?" Réponse affirmative.

     Le Vénusien refusa de se faire photographier. Peut-être ne voulait-il pas que sa photo fut publiée de peur qu'il soit reconnu dans ses missions futures sur la Terre?

     "Est-ce que vous avez enlevé des Terriens dans vos vaisseaux ?" I1 fit un geste vague comme s'il voulait éluder la question, mais son expression était affirmative.

     "Combien de planètes sort-elles habitées?" Réponse : beaucoup.

     "Tous les hommes sont-ils semblables dans l'Univers ?" Réponse: Oui.

     "Est-ce qu'ils meurent comme nous ?"Le Vénusien sourit avec indulgence. Il montra son corps et hocha la tête : Oui ; puis il se toucha la tête et fit signe : non, voulant dire par là que si le corps mourait, l'âme ne meurt pas et continue à vivre. Puis il fit signe qu'il avait vécu sur la Terre et, désignant l'espace, il manifestait qu'il vivait maintenant là-bas. Ensuite il montra ses pieds avec insistance, en parlant une langue étrangère qui se rapprochait du Chinois. I1 fit un pas de côté et pointa le doigt vers les empreintes que ces chaussures avaient laissées et qui étaient tres nettes- voulant faire remarquer que cela était très important. Puis il se 'firigea vers la soucoupe qui ressemblait plutôt à une cloche de verre translucide d'une belle couleur. Elle était un peu au-dessus du sol en pente à cet endroit-là. Le train d'atterrissage formé de 3 boules était abaissé. Le soleil se réfléchissait sur la surface polie en reflets colorés d'un superbe effet. George éprouvait une intense émotion et ne savait plus s'il rêvait. Par un des hublots, un visage d'une rare beauté se montra, regarda dehors et disparut. George, intrigué, voulut s'approcher plus près mais le Vénusien lui fit signe de reculer. Le Terrien se retourna pour lui parler et ce faisant, effleura le bord de la soucoupe. Aussitôt son bras fut repoussé violemment avec une telle force qu'il en resta paralysé et insensible. L'étranger s'en montra navré, mais fit comprendre que ce n'était pas grave. En effet quelque temps après il n'y paraissait plus. Puis l'homme monta sur le bord de l'engin et disparut on ne sait comment. L'appareil s'éleva sans bruit et fut bientôt hors de vue.


     Lorsque les 2 voitures et leurs six passagers arrivèrent, il y eut effervescence. Tout le monde questionnait à la fois, anxieux de savoir ce qui s'était passé. On s'affairait autour des empreintes des chaussures du Vénuzien qui montraient de forts curieux dessins. Sur le pied droit on distinguait nettement deux swastikas entourés de signes bizarres.


     On en prit des photos. Alice qui dessinait bien en fit un croquis et WILLIAMSON qui était anthropologue en prit un moulage car il avait prit la précaution d'emporter du plâtre comme d'habitude, lorsqu'il faisait des recherches. Au-dessus d'eux, des avions sans doute alertés par ceux qui avaient vu le cigare et la soucoupe, tournoyaient sans cesse, dans le fracas des moteurs. WILLIAMSON demanda et obtint l'autorisation de parler de cette aventure à un journal. ADAMSKI lui confia deux des 7 pellicules qu'il avait tirées et donna diverses indications dont le diamètre de la S.V. soit 7 mètres.

     Le journal PHOENIX-GAZETTE du 24/11 publia tous ces événements ainsi que les photos des 4 témoins qui avaient apporté la nouvelle à la rédaction, une photo des empreintes, et une autre, très floue de la soucoupe, la meilleure des 2 bobines confiées au Dr. WILLIAMSON. Ces pellicules, sans doute touchées par les radiations de la soucoupe, étaient toutes noires, ainsi que les 4 autres pellicules développées ultérieurement. La 7° avait été don- née au Vénuzien qui l'avait demandée, promettant de la rendre.

     LA BLADE TRIBUNE d'Océanside raconta l'entrevue et eut un succès considérable auprès du public.

DEUXIÈME RENCONTRE


     Le matin du 13/12/52, ADAMSKI qui était à son poste d'observation à Palomar Gardens, aperçut un éclair dans le ciel et braqua son télescope. II vit une soucoupe descendre, toute scintillante. La joie lui serrait la gorge et il pensait : " C'est mon ami. Il viendra... peut-être...". Désillusion. L'appareil descendit à 100-150 m d'altitude, mais parut s'arrêter à 1 km d'Adamski. Ce dernier en profita pour prendre 4 clichés excellents. L'appareil s'approcha enfin à 30 mètres, un hublot s'ouvrit, une main apparut qui fit un signe amical, laissa tomber un objet et repartit. George se précipita pour ramasser l'objet. C'était la pellicule confiée au Vénusien. I1 l'apporta à son photographe. Surprise. La pellicule portait un message symbolique que personne ne put déchiffrer. Des agents des bureaux officiels vinrent l'examiner sans plus de succès. Ils écoutèrent attentivement les détails de l'affaire et ne parurent pas surpris ni incrédules. Ils semblaient connaître tout cela.

     Telle est l'incroyable aventure de George ADAMSKI qui fit tant de bruit. Nous n'en avons relaté que les traits essentiels. Les lecteurs que la chose intéresse pourront en trouver tous les détails dans l'excellent livre : "Les Soucoupes Volantes ont atterri" de Desmond LESLIE et George ADAMSKI, réédité dans les livres de poche "J'ai lu". Nous conseillons fortement la lecture de cet ouvrage très documenté et très explicite. II contient aussi un croquis du Vénusien dessiné par Alice WELLS, qui l'avait observé à la jumelle, et deux dessins des empreintes des chaussures.

     Chose curieuse, Marcel HOMET, le célèbre archéologue français, a relevé les mêmes dessins dans la fameuse "Pedra Pintada" au Mexique.Cette énorme pierre dont nous avons des diapositives, contient des inscriptions diverses datant de 15.000 ans. Que faut-il en conclure ? Marcel HOMET, dans son livre : "Sur la Piste des dieux solaires", ne craint pas de dire que l'origine est la même, donc que les Extra-Terrestres avaient déjà apporté leur science aux Terriens, il y a 15 000 ans AU MOINS. Ce n'est donc pas la première fois qu'ils nous rendent visite :


Une affaire de symbloles d'après J.G. DOHMEN: "A identifier: Le cas Adamski"


     D'autres observations nous le confirment, dont nous parlerons plus tard.

     On a beaucoup polémiqué sur les déclarations d'ADAMSKI qu'on a accusé d'imposture. Or nous avons publié : « Notes en passant » de notre ami Ian NORRIE (Cf. O.V., numéros 84, 85, 86), qui a connu personnellement ADAMSKI et aussi les 6 autres témoins de cette aventure, et qui se porte garant de la véracité de ces faits. D'autre part, dans le livre : "Les Soucoupes Volantes ont atterri", Leslie DESMOND, co-auteur, s'est livré à une enquête très poussée sur ADAMSKI, sa vie, ses photos, son matériel. I1 a interrogé longuement les témoins: Alice WELLS, Lucy MAC GINNIS, George Hunt WILLIAMSON (Le Dr. G.H. WILLIAMSON a écrit plusieurs livres dont nous parlerons plus tard et dont l'un : "Les Gîtes Secrets du Lion" est publié dans « J'ai lu » (n° A289)) et ADAMSKI lui-même, pendant des mois. Il confronta les photos d'ADAMSKi avec celles prises un peu partout dans le monde. I1 conclut à la parfaite sincérité d'ADAMSKI et à l'absence de tout truquage dans ses photos et ses films. I1 dresse d'ailleurs un portrait très vivant de l'étrange mais attachante personnalité d'ADAMSKI qui, par moment, emballait ses auditeurs, mais d'autres fois les décevait profondément, selon son humeur ou son inspiration. I1 est vrai qu'il parlait l'Américain avec un accent polonais prononcé, difficile à comprendre. Nous avons pu nous procurer la bande magnétique d'une de ses conférences ; c'est un vrai cauchemar que d'essayer de traduire. Nous en ferons tout de même un compte rendu à l'occasion, dans O.V.

     Nous allons maintenant aborder la 2e partie des aventures d'ADAMSKI, d'après son livre : "Dans les Vaisseaux de l'Espace".

          (A suivre) J.C.S.


Revue "Ondes Vives" n° 97 Mai 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite II)
"DANS LES VAISSEAUX DE L'ESPACE"
par Georges ADAMSKI (Edit. Neville Spearman )



     Dans l'avant-propos de cet ouvrage, Desmond LESLIE qui avait écrit «Les soucoupes Volantes ont atterri» en collaboration avec ADAMSKI, raconte qu'en Novembre 1953, un OVNI presque identique à celui qui avait été photographié par ADAMSKI, lors de la mémorable rencontre du 20/11/52, fut observé par sept membres de la British Astronomical Association et de la Norwich Astronomical Society. L'un d'entre ces membres : Mr POTTER, en avait fait un dessin dont la ressemblance avec les photos d'ADAMSKI était frappante.( Note du Webmaster : Il convient absolument de confirmer cette assertion. Donc si un internaute parlant et écrivant parfaitement l'anglais, pouvait contacter la Norwich Astronomical Society à drbalcombe@tiscali.co.uk, nous lui en serions profondément reconnaissant)

     Le 15/2/54, deux enfants âgés de 13 et 8 ans prirent à Coniston (Lancashire) la photo d'une S.V. qui présente les mêmes caractéristiques que celle d'ADAMSKI. Cette photo fut reconnue comme authentique.

     Par conséquent, conclut D. LESLIE, la preuve est faite qu'ADAMSKI n'a pas photographié un abat-jour de lampe, comme le prétendent ses détracteurs. I1 ne s'est pas arrêté là et il a interrogé les 6 témoins qui avaient accompagné ADAMSKI lors de la fameuse équipée du 20/11/52. Tous confirmèrent les faits et affirmèrent avoir vu non seulement le cigare volant, mais aussi ADAMSKI s'entretenant avec un Extra-Terrestre et les empreintes de chaussures laissées par ce dernier. D. LESLIE décrit méticuleusement tous les contrôles auxquels il s'est lui-même livré ; ils prouvent la véracité des dires d'ADAMSKI. I1 est allé voir Truman BETHURUM, mécanicien qui était monté à bord d'une S.V., fait confirmé par son employeur qui avait vu de loin, l'appareil et 2 membres de l'équipage. (Note du webmaster : Voir aussi notre article :http://www.artivision.fr/docs/Terresym.html )

     LESLIE a aussi longuement interrogé un ingénieur : Daniel FRY (Note du Webmaster: Voir aussi notre article :http://www.artivision.fr/docs/DRFRY.html) qui, lui aussi, a visité une soucoupe volante et en a donné une description détaillée. I1 cite quantités d'autres témoignages, en divers points du monde.

     Il en déduit que l'expérience d'ADAMSKI est authentique et qu'au lieu de les rejeter, on ferait mieux d'étudier de très pr~s les descriptions que fait ADAMSKI d'une civilisation bien plus évoluée que la nôtre et dont nous avons beaucoup à apprendre.

     Nous allons maintenant faire un résumé succinct du livre d'ADAMSKI qui, à notre connaissance, n'a pas encore été traduit en Français.(Note du webmaster Il fut traduit 5 ans plus, en 1979 par l'editeur Michel Moutet sous le titre : "A l'intérieur des vaisseaux de l'espace"). I1 en vaut pourtant la peine, malgré ce qu'en disent ses détracteurs. Evidemment nous n'en dirons que l'essentiel et c'est regrettable .

RETOUR DU VÉNUSIEN

     Mû par la même étrange impulsion qui l'avait poussé à aller à Désert Center où il devait rencontrer un Extra-Terrestre, ADAMSKI descendit de son perchoir du Mont Palomar, pour se rendre à Los Angeles. C'était le 18/2/1953.

     Ne sachant pas où aller, il s'installa dans un petit hôtel qu'il connaissait, et attendit, il ne savait qui ou quoi, mais avec la nette certitude que quelque chose allait se passer. Vers 22 h 30, alors qu'il commençait à douter de lui-même, il vit entrer deux hommes qui l'appelèrent par son nom. Le plus grand (plus de 1 m 80) avait la trentaine, rougeaud, yeux marron, cheveux noirs ondulés, complet sombre, sans chapeau ; il respirait la joie de vivre. Son regard était extraordinairement pénétrant. L'autre semblait plus jeune, avec une figure ronde et poupine, teint clair, yeux gris, cheveux ondulés couleur sable. Ils lui serrèrent la main et le plus jeune dit : "Nous devions vous rencontrer. Avez-vous le temps de venir avec nous ? "

     Tous trois montèrent dans une voiture qui attendait. Le plus jeune prit le volant et ils sortirent de la ville en silence. ADAMSKI ne disait mot, saisi de respect devant des gens d'une civilisation supérieure, mais il se sentait en sécurité. Enfin le plus grand dit : "Vous avez été très patient. Vous devez vous demander qui nous sommes et où nous allons. Mon camarade vient de la planète que vous appelez MARS et moi je suis de SATURNE". Il s'exprimait d'une voix douce, en un Anglais parfait. Et comme ADAMSKI se demandait où ils avaient appris à parler si bien, le Martien, lisant dans sa pensée, répondit :

     " Nous sommes ce que vous appelez des Hommes-contact. Nous vivons ici depuis plusieurs années et nous travaillons car sur terre il faut travailler pour gagner de l'argent et acheter ce qui est nécessaire. Au début nous avions un petit accent étranger mais maintenant, comme vous le constatez, rien ne nous distingue des Terriens. Nous nous mêlons à eux sans jamais trahir le secret de notre origine. C'est dangereux, vous le savez bien. Nous vous connaissons mieux que vous ne vous connaissez vous-mê- mes et nous voyons nettemeint les raisons des conditions déplorables dans lesquelles vous vivez. Vous êtes ridicules de nier la vie humaine sur les autres planètes. Si nous disions que nous venons du Cosmos et que nous sommes ici pour travailler et pour apprendre, on nous prendrait pour des fous".

     ADAMSKI ne disait rien, se sentant bien petit, mais il se demandait pourquoi il avait été désigné pour recevoir l'amitié et l'instruction de tels êtres. Le Saturnien sourit et lui répondit qu'il n'était pas le premier ni le seul homme qui soit dans ce cas. Ils avaient déjà contacté d'autres hommes en différents points de la Terre. Certains de ceux-ci avaient osé parler de leurs expériences et avaient été persécutés même jusqu'à ce que les Terriens appellent : la mort. C'est pourquoi la plupart gardent le silence.

     Ils roulaient depuis 90 minutes sur l'auto-route lorsque, brusquement, le conducteur vira pour s'engager dans une route étroite, malaisée et déserte. I1 stoppa bientôt près d'un OVNI lumineux de 5 à 6 m de hauteur, semblable à celui que George avait vu 3 mois auparavant. Un homme s'affairait autour de l'engin ; c'était le Vénusien qu'Adamski avait déjà contacté ( ORTHON) . I1 était vêtu du même costume de ski qu'à la première rencontre, mais de couleur brune, avec des bandes oranges en haut et en bas de la ceinture. I1 fut tout heureux de revoir George et dit :

     "une petite pièce mécanique s'est cassée à l'atterrissage et j'en ai fabriqué une autre en vous attendant".

     Le Terrien contempla curieusement un petit creuset posé sur le sable et un petit morceau de métal fondu qui avait été jeté. I1 le ramassa, encore chaud, et le mit dans sa poche. Puis il s'avisa soudain qu'Orthon parlait l'Anglais couramment, avec un petit accent, alors que 3 mois avant il ne le parlait pas du tout. Les autres se mirent à rire.

" Pourquoi avez-vous pris cela ? " dit le venusien .

"Je pense qu'il pourra me fournir la preuve que mon expérience actuelle est bien réelle".

     "Oui, et vous êtes du type des chasseurs de souvenirs, n'est-ce pas ? Mais vous verrez que cet alliage contient les mêmes métaux qu'on trouve sur la terre, étant donné qu'ils sont les mêmes sur toute les pla- nètes".

DANS LA SOUCOUPE VOLANTE.

     ORTHON (Le Vénusien) entra dans la S.V. et fit signe à George de le suivre. FIRKON (Le Martien) et RAMU (Le Saturnien) (ce sont des noms fictifs, car il y a des raisons de ne pas donner les noms réels ) montèrent aussi, en gravissant l'unique marche. La porte étroite se referma silencieusement. On entendait un léger bourdonnement qui semblait provenir du parquet et du gros bobinage, en haut du mur circulaire ; il avait commencé lorsque la porte s'était fermée et, à ce moment, le bobinage était devenu rouge sans toutefois émettre de chaleur. On ne pouvait plus voir l'emplacement de la porte tellement la jointure était bien assemblée ; le mur était parfaitement continu, comme d'une seule pièce. George concentrait son attention pour retenir tous les détails possibles. Au centre de la pièce circulaire (5,5 mètres environ de diamètre), un gros pilier de 60 cm de diamètre allait du parquet jusqu'au sommet du dôme. C'était la colonne magnétique qui utilise les forces naturelles pour la propulsion de l'appareil. Le haut de la colonne est positif et le bas qui traverse le parquet est négatif, mais on peut inverser la polarité en poussant un simple bouton. Le centre du parquet était occupé par une énorme lentille circulaire de 1 m 80 de diamètre, traversée par la colonne. Deux petites banquettes confortables, incurvées, étant près du bord de la lentille, de part et d'autre George s'y assit et Firkon se plaça à côté de lui pour lui donner des explications. Ramu se mit sur la banquette opposée et Orthon alla aux commandes placées sur le panneau en face de la porte d'entrée, entre les 2 banquettes. A peine assis, une barre flexible recouverte de caoutchouc se plaça à mi-hauteur.

     "Simple mesure de sécurité en cas de rebond", dit Firkon. "Ce type d'appareil est prévu pour un équipage de 2 ou 3 personnes, mais on peut en mettre beaucoup plus en cas de nécessité".

     Des graphiques et tableaux couvraient le mur sur un mètre de chaque côté de la porte (toujours invisible), depuis le bas jusqu'en haut de la paroi. George essayait d'en deviner l'usage sans y parvenir car il n'y avait ni aiguilles, ni cadrans, mais des voyants qui changeaient de couleur et d'intensité. Certains étaient comme des lignes colorées qui couraient à travers un diagramme particulier. Quelques-unes allaient en haut ou en bas et d'autres en travers, tandis que d'autres formaient des figures géométriques. Les trois E.T. surveillaient attentivement les mouvements de ces lignes. Le mur circulaire, à 3 mètres derrière les banquettes était nu, mais le panneau opposé à la porte était couvert de diagrammes. Le tableau de bord du pilote ressemblait à un orgue, mais au lieu de touches il y avait des rangées de boutons. Des petites lumières brillaient au-dessus, de manière que chacune éclaire cinq boutons à la fois. I1 y avait 6 rangées de boutons, chaque rangée étant de 1 m 80 de longueur.

     En face du tableau de bord, il y avait le siège du pilote, semblable aux banquettes. Près du siège, bien à la portée du pilote, un instrument bizarre était relié au pilier magnétique central. Firkon se contentait de répondre aux questions non exprimées de George ; "Oui, c'est un périscope, semblable à peu de chose prés à ceux que vous utilisez dans vos sous-marins".

     Tout l'intérieur était éclairé sans aucune tache sombre, mais il était impossible de déterminer d'où venait la lumière. Impossible aussi de déterminer sa couleur : ni blanche, ni bleue, ni autre, mais un mélange moelleux.

     George était tellement absorbé à essayer de résoudre ces multitudes de problèmes qu'il ne s'aperçut même pas que l'appareil avait décollé depuis un moment déjà. I1 n'avait absolument rien ressenti : aucun déséquilibre ni choc, aucune sensation de l'énorme accélération, ni de changement de pression ou d'altitude, rien, absolument rien, mais une impression rassurante de sécurité, de stabilité, d'immobilité. II regarda la grosse len- tille, à ses pieds. Quel émerveillement ! Il lui semblait effleurer les toits d'une petite ville et il identifiait les objets comme s'ils étaient à 30 mètres au-dessus, alors qu'ils étaient à 3.300 mètres d'altitude et qu'ils grimpaient encore. Le pouvoir magnifiant de la lentille est tel qu'on peut distinguer une personne sur terre alors que l'appareil est hors de vue, dans les hauteurs.

     Firkon dit que le pilier magnétique sert non seulement à fournir la majeure partie de l'énergie pour voler, mais aussi de puissant télescope par son extrémité qui traverse la coupole de l'appareil et observe le-ciel, l'autre extrémité observant le sol. Les images sont projetées sur les deux grosses lentilles du plancher et du plafond. Mais il ne dit pas si cela se faisait électroniquement ou par un autre moyen. L'agrandissement peut varier à volonté. De même, en regardant la lentille supérieure, les étoiles semblaient toutes proches, à les toucher.

     Quatre câbles disposés en croix, passaient sous la lentille inférieure, partant du pilier central. Le Martien dit que 3 de ces câbles transportaient l'énergie du pilier aux 3 boules sous l'appareil qui servent de train d'atter rissage, mais aussi de condensateurs d'électricité statique. Ces boules sont abaissées au moment d'atterrir. Le 4e câble va aux deux périscopes qui permettent au pilote de voir à l'extérieur sans bouger de son siège. Ils peuvent être branchés et réglés à volonté et chaque homme d'équipage peut s'en servir sans gêner les autres.

     Toute la machinerie de ce SCOUT (éclaireur) est sous le parquet et sous la flasque extérieure.

     "Préparez-vous à atterrir. Nous sommes près du Vaisseau-mère", dit le pilote. George était sidéré. Déjà !... Il n'y avait que quelques minutes qu'il était entré dans 1e Scout. Et voici qu'au mur, un trou rond apparaît et grandit comme le diaphragme d'une caméra. Bientôt c'est un hublot de 45 cm. II y en a 8, qui s'ouvrent en appuyant sur un bouton. Lorsqu'ils sont fermés, les joints sont si parfaits qu'il est impossible de les déceler.(Note du Webmaster: C'est bizarrement, exactement ce qui est révélé, dans le film culte de Robert Wise de 1951 : "Le jour où la Terre s'arrêta " : Voir ci-dessous la jaquette :


fin de la note du Webmaster.)


"Regardez bien, dit Orthon. Nous allons entrer dans le vaisseau-mère que vous avez vu à notre première rencontre. Il nous attendait. Nous sommes à 12000 mètres de la Terre".

     George regarda par un hublot et vit une immense ombre noire immobile au-dessous (Ce cigare volant avait 600m de long et 45 m de diamètre). Le Scout s'approcha très lentement de cette gigantesque baleine aérienne.


(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 98 Juin 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite III)
"DANS LES VAISSEAUX DE L'ESPACE"
par Georges ADAMSKI (Edit. Neville Spearman )

Le Vaisseau-Mère Vénusien .


     Un trou circulaire s'ouvrit en haut, près du nez du vaisseau-mère, dans lequel le Scout entra. George éprouva pour la première fois dans le creux de l'estomac, une sensation de chute. Le Scout glissa, guidé par deux rails, et finit par s'arrêter ; la porte s'ouvrit aussitôt. Un homme était là, avec un crampon attaché à un câble qu'il accrocha à l'appareil pour l'immobiliser. Il n'était pas grand (1 m 57) et son teint était brun, cheveux noirs coiffés d'un béret sombre. Tout le monde sortit du Scout. George aperçut un grand hangar où plusieurs S.V. identiques au Scout étaient alignées sur des rails. Le Martien expliqua que les Scouts ne produisent pas l'énergie qu'ils utilisent et ne peuvent voyager bien loin sans se recharger au vaisseau-mère. Durant les voyages interplanétaires, ils sont portés par les "cigares volants" .

     Ils entrèrent dans la chambre de contrôle, grande pièce rectangulaire de 14 X 10 X 4 mètres, aux angles arrondis. Les murs étaient entièrement couverts de graphiques et d'abaques identiques à ceux du Scout, mais plus grands et plus nombreux. Tout autour des murs, des étagéres avec quantités d'instruments, dont deux grands télescopes, en haut et en bas, avec des connexions multiples permettant d'utiliser ces télescopes de n'importe quel point du navire. Il y avait aussi un appareil robot qu'on recommanda à George de ne pas décrire. Beaucoup de machines, mais aucune n'avait de pièces mobiles. Ils passèrent par une porte et George vit le plus beau salon qu'il eût l'occasion d'admirer. Devant tant de simplicité et de splendeurs, il en avait le souffle coupé. Jamais il n'avait contemplé tant de richesse et d'harmonie. La pièce était un carré de 12 m de côté, éclairé d'une douce lumière bleutée, mais aucun appareil d'éclairage n'était visible. Deux jeunes femmes incroyablement belles se levèrent.

     La plus petite serra la main du nouveau venu et s'en alla. L'autre toucha légèrement de ses lèvres la joue de George. La première revenait déjà portant un petit verre de liquide cncolore qu'elle tendit à l'étranger. C'était une eau très pure, mais avec une consistance d'huile très fluide. Cette femme avait environ 1 m 60. Ses cheveux d'or ondulés descendaient jusqu'au dessous des épaules en une magnifique symétrie. Les yeux couleur plutôt dorée avaient une expression aimable et joyeuse. George eut l'impression qu'elle lisait dans sa pensée. Sa peau presque transparente était d'une exquise délicatesse et d'elle émanait une chaude radiation. Les dents splendides, les traits finement ciselés, les oreilles petites, les mains menues aux doigts fuselés, ajoutaient à son charme prenant. Elle semblait avoir 20 ans bien qu'elle n'eût aucun maquillage ni joyau qui n'auraient fait d'ailleurs que gâter sa beauté naturelle. Elle était Vénusienne, et George l'a surnommée Kalna. Ilmuth, l'autre femme, était plus grande, avec un teint éclatant de brune. Elle aussi portait en cascade ses magnifiques cheveux noirs ondulés aux reflets roux. Elle venait de Mars.

     George était tellement frappé par tant de beauté et de charme, qu'il ne remarqua pas tout de suite un extraordinaire portrait suspendu au mur, en face de la porte. I1 devait certainement représenter un dieu, tant il y avait de beauté, de sagesse et de bonté dans ce visage de jouvenceau où la force mâle et la féminité gracile s'équilibraient étrangement.

     Kalna dit : "C'est notre symbole de la VIE SANS AGE (éternelle jeunesse). Vous verrez ce portrait dans tous nos navires et dans toutes nos maisons. Et c'est à cause de ce symbole que chez nous, il n'y a pas d'âge."

     Pris par sa vieille habitude, George tira machinalement un paquet de cigarettes de sa poche et chercha des yeux un cendrier. La Vénusienne sourit et dit : "Fumez si vous le désirez, je vais vous chercher de quoi mettre vos cendres". I1 n'osa pas et remit le paquet dans sa poche. Les E. T. ne fument jamais. (Note du Webmaster: Il n'est pas besoin de dire ici qu'à l'époque, il était de bon ton de fumer en société et donc Adamski anticipe ici, des années avant, la sortie des rigoureuses lois anti-tabac)


     Un grand tableau attira le regard de George. Il représentait une ville de la planète Vénus. Elle n'était guère différente d'une cité terrestre sauf qu'au lieu des rectangles durs de nos villes, tout était circulaire. L'architec ture était marquée par la recherche du style et de la grâce des lignes. C'était très agréable à voir.

     De l'autre côté, une autre peinture : une scène pastorale, collines, montagnes, un cours d'eau traversant une ferme. Les bâtiments n'étaient pas dispersés dans la campagne mais réunis dans un ensemble circulaire parce que plus commode pour une COMMUNAUTÉ qui doit se suffire à elle-même et qui doit posséder tout ce qu'il lui faut. Dans Vénus, règne L'ÉGALITÉ POUR TOUS, dans tous les domaines, y compris l'allocation des marchandises, avantages et commodités (C'est la même vie communautaire que vivra l'humanité dans le prochain millénaire. Et un des buts de l'Ashram O.v. est de nous préparer à ce genre de vie. La Communauté de Findhorn poursuit le même objectif. O.V.). Ainsi les voyages en ville sont entrepris pour le plaisir ou pour des raisons personnelles.

     Un autre tableau montrait un vaisseau-mère. George se demandait s'il s'agissait de celui sur lequel il se trouvait. "Non, répondit la Vénusienne, le nôtre est très petit en comparaison du vaisseau du tableau qui est plutôt une ville ambulante qu'un vaisseau car elle a plusieurs kilomètres de lon- gueur alors que le nôtre n'a que 600 mètres". Evidemment des dimensions pareilles, c'est incroyable. Et pourtant... (D'autres observateurs déclarent la même chose. Un pilote de ligne a vu un cigare qui avait 16 km de long, soit le diamètre de la ville de Paris. O.V.) Kalna dit que ces monstres sont construits pour l'éducation et le plaisir des citoyens de toute la Fraternité de l'Univers, pour faire des tournées inter-stellaires. Tous les trois mois, le quart des habitants d'une planète embarque sur ces navires géants et commence une croisière, s'arrêtant sur diverses planètes. Ce sont des voyages collectifs d'études expérimentales. I1 y a des flottes entières de ces géants. de l'espace. Chacun contient tout ce qu'il faut pour l'approvisionnement, le bien être et la distraction de milliers et de milliers de voyageurs pour une période de trois mois.

     Répondant à une question mentale, Orthon dit : "Oui, nous avons visité quantité de planètes habitées et nous avons toujours reçu un accueil amical, SAUF SUR LA TERRE. C'est pourquoi les vaisseaux géants de l'espace évitent de venir sur cette planète. Ils y viendront lorsque vos peuples auront acquis une meilleure compréhension de l'amitié. Grâce à ces voyages collectifs, les peuples des diverses planètes font des échanges de connaissances. Ils ne sont pas étrangers les uns les autres, mais des amis qui sont toujours les bienvenus, où qu'ils aillent."

     "-A quelle vitesse allez-vous ?"

     "-La vitesse pour nous n'est pas ce qu'elle signifie pour vous. Lorsqu'un vaisseau est lancé dans l'espace, sa vitesse est celle de l'activité de cet espace. Au lieu d'être propulsé artificiellement comme vos avions, nos en gins voyagent SUR LES COURANTS DE L'ESPACE. La gravitation est le premier principe à dominer en ce qui concerne les voyages spatiaux."


PREMIÈRE VISION DANS L'ESPACE


     Ilmuth la Martienne s'étant absentée, revint au bout d'un moment. Elle avait troqué sa belle robe contre une combinaison de pilote identique à celle d'Orthon. Elle dit à George que le vaisseau spatial allait partir et qu'il veuille bien l'accompagner au poste de pilotage. Bien entendu le Terrien était ravi. Firkon se joignit à eux et tous trois montèrent au pont supérieur, parcoururent une suite de corridors éclairés par cette mystérieuse lumière douce et arrivèrent à la salle de contrôle. Firkon expliqua que ce navire transportait douze S.V. du type Scout. A bord il y avait beaucoup de pilotes qui travaillaient par équipes de quatre : deux hommes et deux femmes. Kalna et Ilmuth étaient pilotes. L'intérieur du vaisseau n'est pas aussi large qu'on pourrait le croire, par rapport à la dimension extérieure parce qu'il y a quatre coques l'une dans l'autre. Autrement dit il y a quatre parois successives et parallèles, entre lesquels se trouvent les machineries. Certains modèles en ont plus, d'autres moins, selon l'usage auquel le navire est destiné. La partie avant est réservée au hangar des S.V. à l'atelier, car cer- taines pièces cassent ou s'usent. Les systèmes de pressurisation et de réglage de température se trouvent entre les parois.

     Un pilote appuya sur un bouton et aussitôt des hublots s'ouvrirent. Les pilotes s'assirent à leur place et le nez du navire sembla se soulever, puis il s'immobilisa. Ilmuth sourit et dit : "Nous sommes à 50.000 milles de la Terre (80.000 km)". George, sidéré d'être déjà si haut, regarda par un hublot et fut émerveillé. L'espace était noir mais il y avait des billions et des billions de lucioles de toutes couleurs qui tremblottaient partout, se mouvant dans toutes les directions. Spectacle magnifique au point d'en être effrayant. (Note du Webmaster: spectacle surprenant qui fut, nous l'avons déjà vu, observé aussi par les astronautes Glenn et Carpenter des années plus tard. A vous de juger...) Puis il découvrit la Terre enrobée d'une lumière blanche, assez semblable à la Lune, mais pas si pure qu'on voit celle-ci par nuit claire. Son blanc était brumeux et sa taille comparable à celle du Soleil vu de la Terre, à l'aurore.

     A 80.000 km d'altitude, les pilotes avaient branché le pilote-robot qui peut remplacer le pilote humain et avertir en cas de danger. Chaque pilote a son robot. Le parquet, en cet endroit, était entièrement occupé par une glace grossissante, comme dans le Scout. George remarqua de gros objets lumineux qui rayaient l'espace. C'étaient des météorites. Ils ne sont pas dangereux car le navire émet des ondes électromagnétiques qui refoulent les "débris de l'espace" comme le ferait un bouclier. La zone de protection peut atteindre plusieurs kilomètres. En effet tous ces corps sont de polarité négative, et une radiation négative les repousse automatiquement.

     Le vaisseau revint à l'altitude de 12.000 m sans que les passagers éprouvent l'impression de plongée, ni de virage, ni maux de tête, ni difficulté à respirer, ni perte d'équilibre. La stabilité était absolue et le seul bruit audible était un faible ronronnement comme celui d'un ventilateur électrique en marche.

     Il n'y avait aucune arme ni moyen de destruction à bord, mais George pensa que les radiations électromagnétiques qui repoussaient les météorites, puavaient fort bien rejeter aussi des agresseurs éventuels. Firkon répondit à cette pensée : « oui, c'est bien ainsi. Mais cela ne nous est jamais arrivé encore. Cependant s'il nous fallait tuer nos frères pour sauver notre vie même si ces agresseurs étaient des Terriens, nous préférerions être détruits plutôt que de tuer d'autres êtres ».(Note du Webmaster: Quel altruisme !!! Il ne doit pas y avoir beaucoup de romans de Science-Fiction qui parlent de cela, à un tel niveau...Si vous en découvrez un, nous serions heureux de le citer ici).

     George ne put s'empêcher de faire un parallèle entre ces êtres si paci- fiques et les hommes de la Terre qui construisent des armes de destruction de plus en plus effroyables, apportant la mort, la maladie et la misère à des millions d'êtres. Pourquoi donc apprendre aux enfants la haine de "l'ennemi" ?


     Firkon montra un instrument muni d'un écran du volume d'un de nos postes radio. Cet appareil enregistre l'image et le son de tout ce qui se passe sur une planète survolée par un OVNI. Il peut aussi traduire une conversation dans le langage des E.T. Firkon expliqua que les mots sont faits de vibrations similaires à l'octave musical. Connaissant cette loi, on peut apprendre très vite un langage étranger. Lorsqu'on se trouve en présence d'une vibration inconnue, on la transpose en un dessin qu'on analyse et on saisit ainsi sa signification. Le ruban enregistreur que Firkon montra est bien différent de ceux que nous utilisons sur Terre.

     Ilmuth qui s'amusait beaucoup de l'étonnement d'ADAMSKI lui dit : "Vous serez surpris d'apprendre que les anciens peuples qui vivaient sur Terre connaissaient et utilisaient ces lois des sons et des vibrations, mais vous avez perdu ce savoir. Sur les autres planètes ces lois font partie de l'enseignement fondamental, et les élèves apprennent très rapidement tout ce qu'ils désirent savoir."( Note du Webmaster : donc en 1955, concernant la puissance du son, Adamski disait déjà ce que nous dit actuellement Soria avec beaucoup plus de détails... A vous de juger...)

(A suivre J.C.S.)



Revue "Ondes Vives" n° 99 Juillet 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite IV)
"DANS LES VAISSEAUX DE L'ESPACE"
par Georges ADAMSKI.

Rencontre avec un Maître .


     Retournant au salon, George aperçut un homme que tous écoutaient avec respect et qui, à première vue, semblait très évolué (Par la suite Adamski apprit que cet homme avait dépassé l'âge de 1000 ans dans la présente incarnation. O.V). Cet homme lui dit : " Mon fils, vous venez, de faire un petit voyage qui vous a tout de même permis d'apprendre beaucoup de choses à transmettre à vos compatriotes. Vous avez vu que l'espace est en constante activité, rempli de particules mobiles à partir desquelles toutes les formes viennent finalement à être. Il n'y a ni commencement ni fin. Les corps innombrables que vous appelez planètes sont semblables à votre monde et beaucoup sont peuplées et gouvernées par des formes comme vous-mêmes et comme nous. Certaines sont à votre niveau, mais d'autres n'ont pas encore atteint ce degré de développement. Comprenez que les mondes sont des Formes qui doivent progresser depuis la plus petite jusqu'à la plus grande.

     Chaque planète se meut en coordination avec d'autres planètes autour du Soleil, en équlibre parfait, formant un tout que vous appelez SYSTÈME. II y a 12 planètes dans un système. Douze systèmes tournent autour d'un SOLEIL CENTRAL que certains nomment ILE-UNIVERS. Douze îles-univers forment une vaste unité et ainsi de suite, sans fin.
(Note du Webmaster : Sans doute tout cela cela devrait être aussi rapproché des 12 signes zodiacaux, des 12 méridiens du corps humain, et parait-il aussi des 12 spirales de l'ADN à découvrir)

     Dans notre planète (Vénus) et sur d'autres de notre système, la forme que vous appelez HOMME a avancé intellectuellement et socialement, à travers divers stages, jusqu'à un niveau inconcevable pour les Terriens.

     Ce développement s'est opéré seulement en suivant les LOIS DE LA NATURE. Chez nous, nous disons que cette croissance se tait en suivant lesLois de la Toute Suprême Intelligence qui gouverne le Temps et l'Espace.

     Comme vous l'avez vu, nous voyageons dans l'espace aussi facilement que vous traversez une salle. La traversée d e l'espace n'offre aucune difficulté à ceux qui ont maîtrisé les lois dans lesquelles vivent et se meuvent tous les corps : planètes et hommes pareillement. Vous avez une conception erronée de la distance. Plus votre connaissance grandit, plus la distance raccourcit. Il vous faut bien moins de temps aujourd'hui pour aller d'Europe en Amérique qu'il n'en fallait il y a un siècle, et pourtant la distance est la même. Il en sera de même lorsque vous aurez appris les lois de l'Espace. De même, sachez que tout être humain peut être aussi à l'aise dans une planète que dans une autre, malgré les conditions différentes d'atmosphère, d'altitude, de température etc... C'est une question d'acclimatation et de temps. Concernant la situation de votre monde, non mon fils, votre planète n'est pas la moins développée de 1'Univers. Elle est la moins développée de notre système, mais dans d'autres systèmes, il y a des mondes qui n'ont pas atteint votre niveau d'évolution. Il y en a aussi qui sont allés très loin dans le domaine de la science, mais demeurés arriérés dans la compréhension personnelle et sociale, même si l'espace a été conquis. Dans notre système, les peuples des planètes, sauf ceux de la Terre, voyagent librement dans l'espace, plus ou moins loin selon leur niveau, et certains peuvent aller dans d'autres systèmes que le nôtre. Du fait que votre savoir de la vie et de l'univers est très limité., vous avez de fausses conceptions et par conséquent peu de savoir sur vous-mêmes. Il est vrai que beaucoup d'entre vous ont le désir sincère de s'instruire, et nous sommes dispos-es à aider dans ce sens ceux qui veulent bien nous accepter.

     La première chose à réaliser est que les Extra-Terrestres ne sont pas fondamentalement différents des Terriens car le but de la vie est basique ment le même partout : L'EFFORT, LE DÉSIR DE S'ÉLEVER VERS QUELQUE CHOSE DE PLUS HAUT. De même que dans vos écoles vous progressez de classe en classe, d'école en école, vers une éducation plus complète, de même l'homme progresse de planète en planète, de système en système, vers une plus haute compréhension et d'évolution dans la progression universelle de service.

     Vous, Terriens, êtes ligotés parce que vous appelez "TEMPS". A mesure que vous avancerez dans les voyages spatiaux, vous verrez combien cette notion se retrécira. Mais il vous faudra trouver de nouveaux mots. Ainsi vous appelez nos Scouts : SOUCOUPES VOLANTES. Mais nos Scouts ne VOLENT PAS. Nous annulons l'atmosphère par un procédé mécanique. Vous exprimez cela par : suppression de LA GRAVITÉ. Or nous supprimons la résistance de l'air. C'est pourquoi nos vaisseaux sont capables de virer à angle aigu et de se mouvoir à des vitesses qui vous étonnent. Nous pourrions vous dire beaucoup sur le contrôle de la gravité, connaissance qu'il est nécessaire de posséder pour la sécurité en quittant une planète ou en approchant d'elle
( Voir à ce sujet Ondes Vives n°s 90 à 94 concenant Kraspedon ).

     C'est avec joie que nous vous communiquerions ces données si vous aviez appris à vivre dans la paix et la fraternité et pour le bien-être de tous, comme dans d'autres mondes. Si nous vous donnions nos secrets, vous construiriez des nefs spatiales armées pour aller conquérir les autres mondes. Déjà certains groupes de Terriens font valoir leurs droits de propriété sur la lune pour en faire une base militaire. C'est pourquoi nos plus gros vaisseaux de l'espace ne viennent pas dans votre atmosphère. Nous ne pouvons pas risquer la vie de milliers d'hommes qui voyagent dans ces nefs ; tant que vous n'aurez pas une meilleure mentalité, il y aurait danger pour nous.

     Mon fils, notre but principal en venant à vous, est de vous avertir du grand danger qui menace les Terriens aujourd'hui. Vos semblables accepteront les connaissances que nous leur transmettons par notre canal et par d'autres et ils seront sauvés, ou bien ils feront la sourde oreille et se détruiront eux-mêmes. Le choix vous appartient. Nous ne pouvons pas vous l'imposer.

     Au cours de votre première rencontre avec notre frère ici présent (Orthon), il vous a dit que l'explosion des bombes atomiques terrestres nous intéressait. Voici pourquoi : Bien que la puissance et la radiation des explosions n'aient pas encore dépassé la sphère d'influence de la Terre, ces retombées mettent en danger la vie des hommes terrestres. Une décomposition s'amorce qui, avec le temps, remplira votre atmosphère d'éléments mortels. Si vous vous lancez dans une guerre totale, une grande partie de la population de la terre sera anéantie, vos sols deviendront stériles, vos eaux empoisonnées et vides. Il est possible que le corps de votre planète soit mutilé au point de détruire son équilibre dans notre galaxie. Votre monde en subirait les effets directs. Quant à nous, il nous serait difficile et dangereux de voyager dans l'espace pendant longtemps, du fait que les multiples explosions auront traversé votre atmosphère et pénétré dans l'espace extérieur. Vous le savez, nous avons la possibilité d'annuler vos efforts, mais comme nous l'avons déjà dit, nous ne tuons pas les hommes, même pour nous défendre. Nous essayons d'empêcher une guerre en apportant des connaissances , car AUCUN HOMME NE FAIT LA GUERRE, SAUF PAR IGNORANCE . Aucun homme terrestre n'a jamais rêvé de ce que vous appelez UTOPIE, ou monde presque parfait. Or tout ce que l'homme peut imaginer est une réalité, quelque part. Donc c'est réalisable. Pour vous aussi, Terriens, c'est possible. Pour nous, c'est chose déjà faite. Et la perfection est loin d'être monotone comme vous le pensez, car il y a des degrés dans la perfection comme en toute chose. Dans notre monde nous sommes heureux, mais nous ne stagnons pas. C'est comme quelqu'un qui a atteint le sommet d'une colline, en aperçoit une autre. La vallée qui sépare les deux collines doit être franchie pour pouvoir escalader la deuxième. Et ainsi de suite.

     Lorsque vous aurez compris les lois Universelles, il vous sera impossible d'user de violence envers vos frères. De même qu'il y a plusieurs chemins qui font descendre et qui éloignent du vrai progrès, il y en a beaucoup qui font monter. Un homme choisira une voie, et un autre choisira une voie différente, mais cela ne nécessite pas qu'ils ne soient plus frères. LA VOIE DU BONHEUR est une réalité car le progrès EST bonheur et il se situe dans les voies montantes, depuis le commencement. Et le bonheur rend tolérant envers les autres hommes, même s'ils sont différents par nature. Il n'y a rien de mal dans votre Terre ni dans ses habitants sauf que, par leur manque de compréhension, ils sont encore des enfants dans la Vie Universelle de l'Être Suprême Unique. Dans notre monde, NOUS VIVONS les lois du Créateur, tandis que sur la Terre, on en parle seulement, sinon vous ne vous massacreriez pas les uns les autres. Les Terriens seraient étonnés de voir avec quelle rapidité les changements surviendraient sur votre planète si vous utilisiez la radio pour lancer des messages d'amour et de tolérance pour tout, au lieu de messages de suspicion et de censure. Ces messages trouveraient des cœurs réceptifs car la majeure partie des populations est lasse des luttes et des malheurs. Elle aspire à un mode de vie qui l'en délivrerait. Nous savons qu'elle est dans la peur et la confusion parce qu'elle a subi deux grandes guerres qui n'ont servi à autre chose qu'à semer les graines d'une troisième. Il y a des cœurs et des esprits réceptifs partout sur votre planète, donc il n'est pas trop tard. Mais il y a urgence, mon fils !

     Ainsi, allez avec la bénédiction du Père Infini, accomplissez votre mission et ajoutez votre voix à celle des autres qui transmettent ce message d'espoir.
"

     I1 resta un, moment dans le silence total, puis il se leva. Toute l'assistance fit de même. I1 plongea profondément ses yeux sur ceux d'ADAMSKI qui se sentit pénétré d'une grande énergie. Puis il fit un geste d'adieu, tourna les talons et sortit.

     RAMU, le Saturnien fit diversion : " Nous allons maintenant vous ramener à Terre, mais vous pouvez poser des questions. "

QUESTIONS ET RÉPONSES


QUESTION. Les changements survenus dans les conditions atmosphériques de la Terre, sont-ils dûs aux explosions atomiques ?

RÉPONSE. Bien sûr, nos instruments ont enregistré ces résultats. Nous SAVONS.

QUESTION Si une guerre sur la Terre mettait en danger des millions de vies sur d'autres planètes, ne vaudrait-il pas mieux frapper quelques Terriens, au bénéfice de multitudes ?

RÉPONSE. Depuis le berceau nous avons appris à ne pas désobéir aux Lois Universelles qui n'ont pas été faites par l'homme et qui sont éternelles. D'après cette loi, chaque homme, chaque groupe, chaque nation, doit décider d e sa propre destinée sans aucune interférence d e la part des autres. Nous pouvons donc conseiller, enseigner, mais pas d'interférence ou d'ingérence dans vos affaires au sujet de la destruction, jamais. Vos peuples doivent eux-mêmes se rendre compte du désastre qu'ils sont en train de provoquer. Nous savons que les pensées que nous projetons continuellement sur les frères de la Terre, ont changé les cceurs de plusieurs. Vos gouvernements SAVENT que nos nefs viennent de l'espace, pilotées par des êtres intelligents venus d'autres planètes. Des hommes haut placés de vos gouvernements ont été contactés par nous. Quelques-uns sont de braves gens qui ne veulent pas la guerre, mais ils ne sont pas entièrement libérés de la peur installée par l'homme lui-même depuis des siècles. Il en est de même de vos pilotes qui ont l'occasion d'observer nos OVNI ; ils ont été muselés et très peu osent en parler. Il en est de même de vos savants.

QUESTION Avant de me contacter télépathiquement, est-ce que vous m'avez testé ?

RÉPONSE. Bien sûr. Nous vous tenions en observation depuis des années. Tous vous avons vu photographier nos appareils et nous avons senti la sincérité de l'intérêt que vous nous portiez. A votre premier contact ORTHON fit semblant de ne pas connaître votre langage, pour s'assurer que vous compreniez les messages télépathiques.

QUESTION Je suis capable d'utiliser la télépathie, mais je ne comprends pas comment cela fonctionne.

RÉPONSE. Bien sûr. Deux personnes peuvent converser à distance par radio, en utilisant la même longueur d'onde. Les pensées sont transmises de la même façon, sur certaines longueurs d'ondes. Nous opérons ainsi, directement de cerveau à cerveau et la distance n'est pas une barrière. Cependant, pour que l'opération réussisse, il faut un esprit réceptif. Pendant des années, les pensées que vous nous avez envoyées ont reçu leurs réponses. Cela a établi une connexion entre nous, aussi réelle qu'un câble. Dès que votre esprit est ouvert, nous pouvons vous envoyer l'information que vous désirez, exactement comme si vous receviez un message par téléphone. Vous avez été choisi pour rencontrer ORTHON en présence de témoins qui puissent confirmer le fait, car nous désirions que cette expérience soit connue par le plus de monde possible, et nous avons contacté un de vos journaux qui eut assez de courage pour publier le premier rapport. Ce que nous voulons exprimer bien clairement à tous, c'est que les contacts mentaux que nous avons avec vous ne sont pas ce que vous appelez "psychiques" ou "spiritualistes", mais ce sont des messages directs d'un esprit à un autre. Nous vous donnerons une autre fois l'explication de ce que vous appelez "psychique". La télépathie mentale que nous utilisons avec vous est UN ÉTAT UNIFIÉ DE CONSCIENCE entre deux êtres : l'expéditeur et le receveur. C'est la méthode de communication la plus courante sur nos planètes, spécialement sur Vénus. Des messages peuvent être transmis entre individus d'une même planète, de planète à un navire de l'espace, le cas échéant, ou même de planète à planète. Rappelez-vous que l'espace ou la DISTANCE, comme vous l'appelez, n'est jamais une barrière.

(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 100 Aout 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite V)
"DANS LES VAISSEAUX DE L'ESPACE"
par Georges ADAMSKI.

Rencontre avec un Maître (suite) .


QUESTION Y a-t-il longtemps que certains de vos hommes se mêlent à nous, sur la Terre ?

RÉPONSE. Depuis toujours. Ou tout au moins depuis les deux derniers millénaires. Après la crucifixion de jésus qui a été incarné dans votre monde pour aider vos peuples, comme tant d'autres l'avaient fait avant lui, nous avons décidé de poursuivre notre mission d'une façon moins dangereuse que de nous incarner sur votre planète (II faut en déduire que jésus était un Extra-Terrestre, comme l'affirme aussi Ashtar Sheran. O.V.). Grâce à nos vaisseaux spatiaux, nous pouvons déposer sur Terre des VOLONTAIRES DANS LEUR CORPS PHYSIQUE. Ces hommes sont spécialement entraînés pour cette mission de façon à assurer leur sauvegarde. Leur identité n'est jamais révélée, saut cas exceptionnel, comme avec vous par exemple. Ils se mêlent aux frères Terriens pour apprendre leurs langues et leurs coutumes puis retournent dans leurs planètes respectives et rapportent ce qu'ils ont pu apprendre sur votre monde. Nous avons une histoire de la Terre et de ses événements datant de 78 millions d'années. Des histoires similaires établies par des Terriens ont été perdues avec les civilisations qui se sont détruites elles-mêmes le même processus de destruction dont vous êtes menacés aujourd'hui. Cette horrible chose que vous appelez La GUERRE n'existe plus dans notre système, sauf sur la Terre, depuis des millions d'années. Naturellement, les habitants de ces planètes passent par les diverses étapes d'évolution, depuis le bas vers le haut. Mais chez vous ce n'est pas l'ordre naturel du progrès qui se déroule, mais plutôt une répétition sans fin de progrès et destruction, progrès et destruction.....

     Il y a des hommes terriens qui ont quitté leur planète avec notre aide, afin de venir s'instruire chez nous puis de retourner sur Terre pour transmettre leur savoir. Mais les conditions qui existent aujourd'hui chez vous ne le permettent plus, car personne ne pourrait retourner sans être considéré comme fou et interné. D'ailleurs, avec la multiplication des papiers d'identification qui existe chez vous, le soudain retour d e quelqu'un qui a mystérieusement disparu depuis longtemps, ne serait pas accepté par les autorités. Or, nous ne pouvons pas soumettre des êtres à des persécutions qui dépassent leur endurance. Cela vous fait comprendre pourquoi nous nous trouvons si souvent bloqués par ceux-là mêmes que nous sommes si désireux d'aider. C'est grande pitié que de parler de choses si tristes, et encore plus triste que tant de malheurs puissent exister chez vous. Chez nous et dans les autres planètes, nous ne sommes pas tristes. Nous sommes des peuples très gais, nous rions beaucoup.


     ADAMSKi était très ému d'entendre cette petite apologie. Ces gens vivaient heureux et gais sur leurs planètes et cependant ils voulaient partager la tristesse de la Terre et luttaient sans cesse depuis des siècles pour nous apporter la lumière que nous ne voulons pas accepter.

"Il nous reste un espoir : venir sur Terre et prendre contact avec des gens comme vous. Lorsque les Terriens seront habitués à nos visites, ils accepteront l'idée que des êtres vivent sur d'autres planètes et il s'ensuivra des rencontres fructueuses. "

QUESTION Dansez-vous et chantez-vous ? Faites- vous des « parties » comme chez nous ?

RÉPONSE. Oui Nous dansons tous et beaucoup, car nous considérons que l'entraînement du corps en coordination avec le rythme du mouvement, est une partie essentielle de notre éducation. De plus ce mode d'expression par la danse fait partie de ce que vous appelleriez notre RITUEL RELIGIEUX. De même que la poésie suggère des sentiments profonds que la prose ne pourrait exprimer, de même le rythme parfait exprimé par des mouvements du corps au cours de la danse, manifeste une sorte de culte et d'adoration. Nous dansons aussi gaiement, pour le plaisir, comme vous le faites, mais pas exactement de la même manière que dans vos dancings actuels. Nous ne trouvons aucun plaisir à vos KicK, WIGGLE et Hop au cours desquels un homme et une femme s'attrapent férocement pour se rejeter brutalement l'instant d'après. Nos danses sociales sont habituellement des danses de groupes, bien qu'il y ait aussi des danses d'une ou de plusieurs personnes qui, inspirées par le moment ou par la musique, dansent pour tout le reste de l'assistance. Vous avez, vous aussi, de bons danseurs et vous savez le plaisir que procure le spectacle de beaux mouvements du corps, sous l'inspiration de l'esprit qui l'habite.

     Nous avons aussi des « parties », mais pas comme chez vous. Ce sont de simples invitations entre amis, dans nos maisons, au cours desquelles nous pouvons parler, nous distraire et nous reposer ensem- ble. Cela se passe souvent dehors, sur nos plages ou dans nos jardins. Beaucoup de nos maisons sont pourvues, comme chez vous, de terrains de jeux, de piscines, de terrasses .


      Adamski était ravi et aurait voulu ne jamais quitter ces gens, mais juste à ce moment RAMU se leva et dit : "Mauvaise nouvelle, mais je crains qu'il faille retourner sur Terre".

      Ils échangèrent des adieux cordiaux, dans une atmosphère de chaleur, de beauté, d'amitié pure et de joie sincère. Avant de quitter la salle, George eut un dernier regard pour le radieux portrait de la "Vie sans Age".

     GEORGE, RAMU et FIRKON rejoignirent le Scout. RAMU mit au poste de pilotage. Les crampons enlevés 30 l'engin gfissa sur les rails lentement, vers le bas du vaisseau-mère, et la pente devait être assez forte car GEORGE ressentit à nouveau l'impression de chute, au creux de l'estomac. Le scout sortit par une ouverture située sous le rentre de la nef et fut bientôt près de la voiture, au sol, mais ne s'y posa pas, planant, immobile, à 15 cm au-dessus.

     Le retour à l'hôtel se passa dans le silence, GEORGE étant absorbé par tout ce qu'il venait de voir et FIRKON respectant cette méditation. Ils se serrèrent simplement la main en se quittant et FIRKON dit : "Nous nous retrouverons bientôt vous serez prévenu en temps voulu ". I1 était 5 h 10 du matin, mais GEORGE ne ressentait aucune fatigue ni sommeil. I1 s'assit sur le bord du lit, perplexe, se demandant s'il avait bien vécu tous événements ou s'il venait de rêver.


LE SCOUT SATURNIEN


     Deux mois plus tard, le 21 avril, GEORGE éprouva soudainement le besoin d'aller en ville. Le lendemain il était de nouveau au même hôtel, à Los Angeles, impatient de revoir ses amis. I1 lisait un journal dans le hall quand, levant les yeux, il aperçut FIRKON debout devant lui. Tout heureux, il se leva précipitamment. Après les congratulations d'usage, FIRKON prononça un mot en appuyant sur les syllabes, comme pour leur donner une signification spéciale. Puis il expliqua que c'était un mot de reconnais- sance qu'il fallait retenir. I1 lui permettrait d'identifier les inconnus qui le contacteraient, comme étant des E.T. Comme il était 19 h 15, GEORGE invita son ami à prendre quelque chose dans un café proche. Ils s'y rendirent et FIRKON commanda un sandwich de pain complet au beurre de cacahuètes, un café noir et une tarte aux pommes. ADAMSKI prit la même chose. FIRKON commença :

     "Il est curieux de constater l'antagonisme et la haine qui dressent les hommes contre les hommes. Peu d'entre eux se rendent compte de la nocivité de ces émotions destrudrices, et prennent la détermination de rester calmes. Cet état d'esprit survolté est la cause qu'au moindre incident l'homme perd son contrôle et éclate sans rime ni raison, au point de devenir agressif et de frapper "pour se protéger" dit-il. Il s'ensuit : peur, confusion, égoisme, violence, injustice, incompréhension etc... Certains désirent sortir de ce cercle vicieux et cherchent à approfondir les lois universelles. D'autres choisissent les voies de la métaphysique, de l'occultisme et similaires, mais souvent dans des buts égoïstes de domination personnelle plutôt que pour le service et le bien-être mutuel. Nous, les étrangers, qui vivons notre vie, nous voyons bien que tout cela vous arrive parce que VOUS AVEZ PERDU LE SENS DE VOTRE ORIGINE DIVINE. Vous vous êtes SÉPARÉS DE DIEU, et VOUS N'ÊTES PLUS VRAIMENT DES HUMAINS, tels que ceux-ci étaient ait commencement. Vous êtes devenus les ESCLAVES DE VOS HABITUDES, et votre âme, emprisonnée par ces habitudes, aspire à se libérer., à retrouver son héritage divin. C'est ce besoin étouffant qui amène les troubles profonds de l'homme enchaîné au fond de l'ornière de ses habitudes. C'est pourquoi vous êtes agités et mal à l'aise. Mais l'habitude accumulée tait que vous n'écoutez pas cette voix de la sagesse car vous avez peur, ne sachant pas où elle vous mènera. Si vous prenez la ferme résolution de rejeter les menottes de votre orgueil personnel, cette voix vous guidera et vous sortirez de l'ornière. Mais si vous ne DÉSIREZ PAS vous-mêmes changer votre mode de vie, personne ne pourra vous aider. Seuls les rares individus qui, sur terre, désirent sincèrement apprendre les Lois de l'Unique Infini, DOIVENT essayer de conduire leurs frères. Et nous, des autres mondes, nous les aiderons".

     Par cette nuit orageuse, la même voiture une Pontiac les transporta au même endroit que la fois précédente. Le Scout qui les y attendait n'était pas le même. I1 était bien plus grand (30 m de diamètre) avec des hublots plus larges et le dôme plus aplati. Le pilote était un bel homme de 1 m 80, avenant et amical. Nous l'appellerons ZUHL. I1 dit que cette énorme S.V. était de Saturne et qu'elle aussi était transportée par un vaisseau-mère. Tous trois entrèrent et s'installèrent. Un petit ronronnement, un léger soubresaut et ils filèrent dans les airs. En vol, ZUHL fit visiter l'appareil. Quatre corridors disposés en croix conduisaient à la chambre centrale dont les murs étaient couverts de diagrammes aux couleurs changeantes. Une échelle conduisait à un balcon circulaire et le dôme translucide couvrait le tout, surmonté par l'énorme lentille télescopique. Le centre du parquet était occupé par une lentille deux fois plus grande que celle du Scout Vénusien, entourée de 4 banquettes incurvées. Au centre, le pilier magnétique traversait les deux lentilles. Les 4 corridors axiaux plus le corridor circulaire éclairé par les 16 hublots, divisaient l'intérieur en 4 chambres : Chambre de contrôle, salon, cuisine et magasin, chambre à coucher. Cette dernière était divisée en 12 logements individuels aménagés d'admirable façon ; il y avait au-dessus une chambre commune de repos, avec de confortables fauteuils, très agréablement disposés, dont le toit translucide permettait de voir les étoiles et l'espace extérieur, d'un magnifique effet. Ce type de Scout peut faire de longs trajets et peut rester une semaine sans se recharger au vaisseau-mère. Mais en cas de nécessité, une recharge peut être envoyée à distance par rayonnement, à partir du vaisseau-mère. Cependant il n'est pas construit pour voyager d'une planète à l'autre. L'équipage normal est de 12 hommes, mais 2 ou 3 hommes suffisent pour des courts trajets. L'engin est fabriqué dans Saturne, mais les autres planètes peuvent en avoir et les pilotes ne sont pas nécessairement des Saturniens.


     ZUHL fit remarquer, dans un compartiment, des "disques enregistreurs" dirigés à distance, qui sont envoyés hors du scout. Ce sont des instruments de très haute sensibilité qui transmettent leurs observations au Scout et aussi, simultanément, au vaisseau-mère. Ces disques sont très employés pour connaître les conditions de la Terre, des autres planètes et même des autres systèmes. Les parois des chambres sont épaisses et résistantes, faites d'un matériau translucide, et forment une armature robuste, comme les rayons d'une roue.

     La cuisine n'avait aucune ressemblance avec une cuisine. C'était une simple pièce avec des murs nus ; aucune cuisinière, ni instrument de chauf- fage, ni évier, ni plomberie, ni tables, ni chaises, ni bancs, n'étaient visibles. ZUHL expliqua : "Nous ne cuisinons pas comme vous, mais par des rayons à haute fréquence, méthode que vous expérimentez seulement sur Terre. Mais nous préférons les aliments "nature", non cuits, et notre nourriture consiste principalement en fruits délicieux et légumes. Nous sommes ce que vous appelez : végétariens, mais en cas de nécessité nous mangeons de la viande. A l'intérieur des murs sont des placards où nous rangeons toutes les marchandises, instruments de cuisine, vaisselle etc... Cette porte vitrée, est l'entrée d'un tour".

     Le salon était très luxueux et confortable avec ses fauteuils, ses divans, ses sièges de divers types, ses petites tables transparentes et ses ornements de toute beauté. Les membres de l'équipage s'y délassent, étudient, ou jouent à divers jeux. I1 n'y avait ni livres, ni Journaux d'aucune sorte.

     Le tapis épais et souple était de couleur jaune-gris, et ne montrait aucun dessin particulier.

     ADAMSKI remarqua qu'on ne lui permit pas autre chose qu'un rapide coup d'oeil dans la chambre de contrôle et qu'on ne lui donna aucune explication sur l'énergie qui actionnait l'équipement mécanique. Avec un sourire d'excuse, ZUHL lui dit qu'il n'était pas autorisé à révéler certaines choses car les terriens n'inspiraient pas confiance du fait qu'ils ne savent pas contrôler leurs émotions. C'est pourquoi ils parlent souvent avant de penser et il n'est pas sage de leur donner des informations qu'ils utiliseraient dans le mauvais sens.

     Le Scout arrivait au vaisseau-mère et tout se passa comme précédemment.

(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 101 Septembre 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite VI)


     Le Scout s'était arrêté près de l'élévateur magnétique (surface 5m2) qui desservait toute la hauteur de la nef soit 60 mètres environ. A son centre était le pilier magnétique également de 60 m, qui fournissait l'énergie. Par le puits de l'élévateur, George put voir qu'il y avait 7 niveaux (étages) dans la nef. La jonction entre la plateforme de l'élévateur et cha- que niveau, se faisait par une sorte de pont Ievis qui, une fois abaissé, venait juste contre le bord de la plateforme de l'élévateur, permettant d'y accéder et d'en sortir. Et comme la longueur de ce pont levis était de la hauteur exacte qui séparait deux niveaux, lorsqu'il était relevé il bouchait et isolait complètement l'entrée du niveau, formant ainsi la paroi du puits de l'élévateur.

     Les arrivants entrèrent dans un magnifique salon, meublé dans le genre de la nef vénusienne, brillamment illuminé par la mystérieuse lumière, où les attendaient 6 hommes et 6 femmes qui se levèrent en souriant. Un couple s'approcha de George et le congratula aimablement. La femme était vêtue d'une jolie robe en tissu léger fait d'une matière radiante et comme vivante. Tous deux portaient une large ceinture garnie de gemmes qui brillaient avec une douceur et une vitalité inconnues sur la Terre. Cela faisait l'étonnement de George car les femmes ne portaient pas d'autre ornement que cette ceinture sertie de pierres précieuses, et il se demandait si l'éclat extraordinaire de celles-ci n'était pas le résultat du rayonnement propre des personnes qui les portaient. Firkon le lui confirma par la suite.

     Les femmes portaient des robes longues à manches entiéres, serrées au poignet, échancrure du cou ronde, couleurs diverses mais généralement, teintes pastel très douces, assorties à la couleur générale du groupe entier, ce qui donnait un ensemble harmonieux et charmant.

     La taille des femmes variait de 1,50 à 1,70 m. Elles étaient minces, magnifiquement formées, visages délicats au contour gracieux, teint varié depuis la belle carnation rosée jusqu'au teint olive léger, oreille petite, yeux grands et très expressifs sous des sourcils d'un beau dessin. Bouche de grandeur moyenne, aux lèvres naturellement rouge plus ou moins foncé, selon le ton de la carnation. Toutes avaient les cheveux longs, descendant librement sur les épaules mais arrangés d'une façon charmante. Hommes et femmes portaient des sandales. Aucune femme ne semblait avoir dépassé la vingtaine, mais Firkon déclara qu'elles avaient entre 30 et 200 ans. Les robes, assez amples et flottantes, laissaient deviner la perfection des formes, mais celles-ci devenaient plus apparentes lorsqu'elles revêtaient leurs uniformes ajustés qui soulignaient nettement leur beauté et leur grâce. Les hommes portaient des blouses blanches brillantes, très ouvertes à la gorge, manches longues serrées au poignet qui rappelaient ce qu'on portait sur Terre au XVIIIe siècle. Pantalons assez larges, comme les nôtres. Mais le tissu était d'une douceur et d'une nature que George n'avait jamais vues. Ces hommes dont la taille allait de 1,50 à 1,80 m étaient splendidement charpentés. Les teints étaient divers, mais la majorité étaient cuivrés. Les cheveux coupés à diverses longueurs, comme sur Terre, mais toujours coiffés avec netteté. Aucun ne portait les cheveux longs comme Othon le Vénusien, l'ami de la première rencontre. Mais il avait une raison particulière pour adopter ce genre de coiffure. Ces hommes, très beaux, ne différaient pas beaucoup des Terriens et pourraient vivre parmi nous sans qu'on reconnaisse leur origine. Aucun ne paraissait avoir plus de 30 ans bien qu'ils eussent entre 40 et plusieurs centaines d'années de notre calendrier terrestre.

     Les nouveaux venus furent invités à s'asseoir à une grande table ovale dont le dessus était transparent, mais différent du verre ou du plastic. Pas de napperon ni de gravure ni de décoration d'aucune sorte. L'indescriptible beauté du matériau pouvait se passer d'ornementation. Les chaises étaient du même style que celles de nos salles à manger. Adamski s'assit entre Zuhl et Firkon et on leur servit des gobelets remplis de liquide clair comme de l'eau pure, mais dont le goût rappelait le jus d'abricot, doux, à peine épais, délicieux. La femme qui avait accueilli George engagea la conversation :

     " Ce navire est un laboratoire scientifique. Nous édudions les changements continuels qui se produisent dans l'espace. Nous observons la vie et les conditions des planètes que nous remcontrons. C'est grâce à des recherches de ce genre que nos déplacements peuvent être effectués avec le maximum de sécurité. Vous verrez ici les instruments que nous employons et qui nous ont permis d'utiliser les forces naturelles. Cette nef est universelle dans ce sens qu'elle n'appartient en propre à aucune planète, et son personnel vient de partout ; elle est au service du bien-être et de l'information de tous. Parmi les femmes ici présentes, trois sont de Mars et trois de Vénus. D'habitudes il y a aussi trois Saturniennes, mais elles ont dû remettre leur voyage, de sorte que Saturne n'est représentée que par des hommes. Quelquefois des habitants d'autres systèmes, hommes et femmes, se joignent à nous et participent à nos travaux, car les membres de notre équipage sont tous hautement entraînés par les plus éminents savants" .

     Adamski remarqua une fois de plus que ces gens ne jugeaient pas sévèrement l'attitude des Terriens et ne leur reprochaient rien, mais au contraire, compatissaient à leur souffrances :" Les cruautés que les hommes de la Terre exercent les uns sur les autres, résultent de leur ignorance qui les rend aveugles vis-à-vis des lois de l'Univers dont nous faisons tous partie. Dans vos familles l'amour règne généralement ; pourquoi cet amour ne l'étendez-vous pas à tous les hommes, puisque l'humanité est une immense famille ? Rien ne devrait s'opposer à l'amour à l'état libre. Le véritable amour implique : respect, confiance réciproque et compréhension. L'Amour, tel qu'il est connu et pratiqué dans les autres mondes, exclut cette fausse possessivité qui le pervertit sur votre Terre. Nous comprenons l'amour comme une émanation du Cœur de Dieu, émanation qui remplit toute la Création en général et l'homme en particulier, et qui imprègne toutes les formes, sans exception d'aucune sorte. En fait il n'est pas possible de trouver une vertu dans une forme, et aucune dans une autre.

     Remarquez la distorsion qui existe chez vous du seul fait que l'homme ne comprend ni lui-même, ni son Père Divin. A cause de cette ignorance, vous allez "FAIRE LA GUERRE" et massacrer sauvagement des hommes d'une autre nationalité, d'une autre couleur, d'une autre religion. C'est à notre tour de ne pas comprendre ce comportement qui amène la destruction mutuelle sans résoudre vos problèmes et dont le seul résultat est d'amener de nouveaux malheurs. Vous en avez fait l'expérience mille et une fois et vous recommencez toujours. Mais maintenant que vos connaissances scientifiques ont dépassé vos progrès sociaux, IL EST URGENT de combler l'espace qui les sépare et de mettre vos progrès sociaux au ni- veau de vos progrès scientifiques.

     Hommes terriens, SACHEZ la terrible puissance scellée dans les bombes que vous êtes en train d'accumuler aveuglément pour vous en servir les uns contre les autres. Vous allez tout simplement transformer votre monde en un immense abattoir. Est-ce logique ?

     Nous, en tant que frères de tous les hommes, nous voulons aider ceux qui se trouvent dans une mauvaise situation, mais nous ne les forcerons jamais, s'il ne le veulent pas. Si la Terre est devenue un ENFER, selon une de vos expressions courantes, vous en êtes les seuls responsables. Votre planète comme toutes les autres, a été créée par le Divin Unique et elle est un lieu saint, comme toutes Ses créations. Si votre humanité venait à être effacée de la face de la Terre, et qu'avec elle disparaissent la lutte et le malheur, cette planète deviendrait merveilleuse, mais jamais aussi belle qu'un monde où les hommes vivent comme des frères avec tous ceux de l'Univers.

     Nous entendons vos prières, venant des temples, des chefs de gouvernements, de vos demeures, de vos champs de bataille. Vous rendez-vous compte que vous demandez au Père de faire ce que vous-même ne feriez pas pour vos enfants ? Ne voyez-vous pas combien vous êtes hypocrites ? Si vous aviez deux enfants et que l'un d'eux vous prie de le bénir et de lui donner la victoire sur son frère, accepteriez-vous que votre autre fils soit tué, et par son propre frère encore? Non, bien sur.

     Tant que vous vivrez ainsi dans la haine et la division, vos malheurs se multiplieront, car si vous voulez la mort de votre frère, quelqu'un d'autre veut la vôtre. C'est ce que disait Jésus : " Celui qui se sert de l'épée, périra par l'épée"( Note du Webmaster : voir à ce sujet notre article:http://www.artivision.fr/docs/enversmiroirplus.html ). Toute l'histoire de la Terre le prouve
" .

(Note du WebMaster : Voila des mots sublimes qui nous indiquent clairement comment instaurer une véritable Paix sur la Terre. Quand on pense que ces propos d'Adamski datent de 1955. Mais justement en 1955 et en 1956, le Prix Nobel de la Paix n'avait pas été attribué. Si donc ces Messieurs les quêteurs de Stockholm avaient su lire où il faut, ils auraient pu, tout de même trouver, de 1955 à 1965 (année du décès d'Adamski) un petit moment pour l'honorer. )

     Les quinze personnes présentes au salon se levèrent et s'engouffrèrent rent dans l'ascenseur pour se rendre au laboratoire Zuhl appuya sur le contact au pied et la plateforme commença à descendre nlentement, dans un silence absolu. A l'étage au-dessus, George aperçu un immense hall qui s'étendait vers l'extrémité du vaisseau part par une paire de rails sur lesquels reposaient 4 scouts identiques à celui qui avait amené le Terrien. C'était apparemment le garage où les scouts étaient stockés. L'ascenseur stoppa doucement au troisième étage au-dessous de celui du salon. C'était l'étage le plus bas. George remarqua 1e tunnel où passaient les rails d'acheminement des scouts. Ce tunnel amenait les scouts en plan incliné vers l'arrière depuis l'entrée, en haut du vaisseau, jusqu'au centre de l'étage médian (le 4e) qui servait de parking Puis il repartait en sens inverse c'est-à-dire vers l'avant, jusqu'à l'orifice de sortie, situé en bas. Ainsi ce tunnel formait un V horizontal dont la pointe était au centre du vaisseau, au 4e étage. A l'entrée et à la sortie, il y avait un sas pour bloquer l'air.

(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 102 Octobre 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite VII)


Le laboratoire.


     Jamais Adamski n'avait vu un tel étalage d'instruments bizarres. I1 y avait des rangées et des rangées superposées de panneaux de contrôle et de graphiques. Chaque appareil avait son support particulier. Six des hommes qui accompagnaient George s'installèrent aussitôt devant six instruments. Quatre des hommes portaient un insigne à l'épaule gauche. La femme-pilote qui était près du Terrien lui dit : " Cet insigne indique que ces hommes sont des Saturniens. Tous ces opérateurs sont des savants très avancés. Ici, nous mesurons ta densité de l'air autour de la Terre, ou de toute planète proche. Nous étudions soigneusement les conibiriaisons d'élénlents qui lu constituent, ainsi que les éléments de l'espace extérieur. Les composantes changent continuellement, mais il existe toujours un type de base, selon les lois universelles. C'est pourquoi certaines combinaisons subsistent plus longtemps que d'autres. Par l'observation des activités de l'espace, nous sommes en mesure, parmi d'autres choses, de détecter la formation de tout corps nouveau dans l'espace, et de déterminer sa vitesse de croissance. Et maintenant nous allons voir autre chose qui vous a déjà intrigué ".

     Suivis de Firkon, de Zuhl et des femmes, ils montèrent une rampe qui traversait toute la largeur du vaisseau et arrivèrent à une grande chambre. De nouvelles surprises y attendaient George qui, fasciné, se demandait s'il allait pouvoir se rappeler toutes ces merveilles. Mais ses amis lui dirent de ne pas s'inquiéter, ils lui rappelleraient télépathiquement tous les détails lorsque le moment serait venu d'écrire tout cela.

     I1 tomba en arrêt devant 12 petits disques alignés sur deux rangs contre les deux parois opposées du vaisseau. Il devina que c'étaient lesdisques enregistreurs commandés à distance qu'il avait entrevus. dans le Scout. Ils avaient 90 cm de diamètre et ils étaient constitués d'une matière luisante, douce, en forme d'assiettes ou de couvercles de roues, retournés et assemblés deux à deux par le bord, de sorte que le centre , était plus épais que la jante. Ces disques varient en forme et en taille depuis 25 cm jusqu'à 3 m 60 de diamètre, selon l'importance de l'équipement transporté. Ils contiennent des instruments extrêmement sensibles, capables de diriger les Scouts parfaitement dans la ligne de vol désirée, et de transmettre au vaisseau-mère toutes sortes d'informations sur les vibrations qu'ils captent dans leur aire d'observation. Ces vibrations couvrent un large éventail d'ondes : son, radio, lumière, et même les ondes de la pensée. Toutes sont transmises pour enregistrement et analyse. Ces disques sont détruits automatiquement soit par explosion, soit par un processus de désintégration, dès qu'ils sont hors de contrôle ou lorsqu'ils risquent de tomber sur Terre.


     Dans la salle il n'y avait aucun siège apparent. Mais lorsque les six femmes eurent pris place devant leur tableau de contrôle, de petits tabourets s'érigèrent silencieusement du sol, sans doute commandés par une pédale au plancher. Les tableaux de contrôle étaient un peu différents de ceux qu'Adamski avait déjà vus et il se demandait si les commandes se faisaient par petits boutons encastrés, ou par des touches, comme sur un clavier d'orgue. Toujours est-il que les opératrices travaillaient très rapidement, les doigts agiles volants au-dessus des instruments, donnant des instructions de vol aux disques qui attendaient. C'était un curieux spectacle que de voir ces six filles s'agiter ainsi en silence, comme si elles jouaient une pantomine ou un concerto muet. Lorsqu'un disque avait enregistré les instructions données, une trappe s'ouvrait derrière lui et il glissait doucement vers l'orifice, traversait un sas et filait dans l'espace pour accomplir sa mission.

     Zuhl dit : " Retournons au laboratoire, nous allons suivre leur vol sur les instruments ". I1 ajouta que la nef était en route, mais il n'indiqua pas où elle allait. Pourtant rien n'indiquait qu'elle marchait, car il n'y avait ni bruit, ni secousse, ni sensation de mouvement quelconque. Au laboratoire George s'arrêta derrière un des opérateurs. Sur un écran des lignes apparaissaient et disparaissaient, couraient de ci de là sous diverses formes, étaient remplacées par des points ronds ou par des tirets qui formaient des figures géométriques changeantes. En même temps d'autres écrans montraient des couleurs différentes et d'intensité variable, en éclairs ou en vagues, de dessin et de taille qui se modifiaient rapidement.

     "Ces hommes enregistrent avec leurs instruments tout ce qui apparaît sur les écrans, et ces enregistrements seront analysés plus tard tour en tirer des enseignements ", dit le Saturnien.

     " Que sont devenus les deux disques qui ont quitté le navire ?", demanda Adamski.

     "Ils planent en un lieu habité de la terre et transmettent tous les sons et autres ondes qui s'y produisent. Ce sont ces ondes que vous voyez reproduites visiblement sur ces écrans. Les autres appareils trient et assemblent ces informations, afin de les interpréter par des dessins ou des signaux. Tout, dans l'Univers, appartient à un type particulier. Par exemple, si quelqu'un prononce le mot : MAISON, il fait l'image mentale d'une maison d'un genre ou d'un autre, image qu'il projette en même temps que le son. Beaucoup de choses, y compris les émotions humaines, sont enregistrées de la même façon. A l'aide de ces instruments, nous savons tout ce que les gens pensent et s'ils ont de l'hostilité envers nous. Car s'ils prononcent des mots agressifs ou effrayants, ou s'ils pensent seulement à faire du mal, ces dessins les traduisent immédiatement.( Note du Webmaster : Cela a-t-il un rapport, comme le dit Lobsang Rampa, avec la vision des couleurs de l'aura qui permettrait à un juge de savoir si son interlocuteur ment ou pas ? Notre Justice deviendrait alors ainsi, presqu'une science exacte...En écrivant n'est-ce pas, tout cela, plutôt dans un roman de science-fiction, Adamski aurait reçu assurément, le Prix Jules Verne. A vous de juger... ).

     Ce même système nous permet de reconnaître les hommes qui sont amicaux et réceptifs. Tout, dans l'Univers, est vibration et fréquence. Et c'est grâce à ces vibrations et à ces fréquences que nous apprenons les langages des autres mondes. Nos instruments ne sont pas tellement différents de vos magnétophones ; ils sont basés sur les mêmes principes, niais nous sommes allés plus loin en les traduisant en formes visibles. Vous le faites aussi par la T.V., mais là encore, vous êtes limités par votre manque de connaissances. Allons maintenant dans la chambre des disques pour observer le retour de nos petits messagers
."

     Effectivement, dès qu'ils furent dans la chambre des disques, les deux trappes s'ouvrirent, livrant passage aux deux appareils qui reprirent leur place, comme posés par des mains invisibles. Zuhl dit: " Regardez bien, nous allons envoyer deux autres disques, un de chaque côté du navire, pour une recherche différente. Nous sommes encore dans l'atmosphère terrestre ; quand nous l'aurons quittée, nous retournerons au laboratoire pour voir les résultats."

     Deux nouvelles trappes s'ouvrirent, une sur chaque côté opposé du vaisseau, pendant que les femmes continuaient de pianoter un scherzo silencieux, et une nouvelle paire de disques fut lancée.

     Revenu au labo, George remarqua deux autres écrans en fonctionnement. Zuhl expliqua qu'ils indiquaient les conditions atmosphériques. Une section donnait le mouvement de l'air, d'autres sa vitesse et sa consistance, sa charge magnétique, sa composition gazeuse et ses combinaisons changeantes, les diverses pressions, etc. Pendant que ces informations défilaient visuellement, d'autres instruments les enregistraient pour de futures études et les archives.

     Au bout d'un temps qui ne sembla pas excéder quelques minutes, Adamski vit les deux disques revenir. On lui dit qu'ils contenaient des échantillons d'atmosphère de la Terre, qui seraient retirés plus tard aux fins d'analyse. "C'est grâce à des disques identiques, dit Zuhl, que nous avons été alertés par des anornalies dans votre atmosphère, dues à l'explosion de bombes à hydrogène. Grâce à eux , nous savons ce qui nous attend lorsque nous voyageons dans l'espace. Regardez dans cet écran, ces images sont celles de la poussière que vous nommez : "DEBRIS DE L'ESPACE". Ils tourbillonnent sans cesse et parfois cette fine matière selnble se condenser en un corps solide, pour disparaître ensuite, devenant pratiquement invisible. A 1'occasion, ces formations semblent se transmuter en gaz. Ce cycle se poursuit sans cesse : énergie tourbillonnante, solidification, désintégration. Perpétuel mouvement de l'énergie et de la matière ténue cherchant à se combiner à d'autres particules de l'espace ou à réagir ".

     Adamski pensa qu'il était l'effet de la force qui pénètre l'espace et qui forme les planètes, soleils et galaxies. Cette même force génère et soutient toute activité et toute vie dans l'Univers ( Note du Webmater: nous l'avons déjà dit, Adamski a donc parlé ainsi de la Force près de 21 ans plus tôt, bien avant que le film culte "La Guerre des étoiles", nous lance la phrase magique : "Que la Force soit avec toi".. A vous de juger )

     Zuhl qui lisait en lui, sourit et dit : « Oui. Et c'est la même force qui propulse nos vaisseaux dans l'espace. Mais parlons maintenant des disques. On en voit souvent sur Terre, à basse altitude, surtout la nuit, car ils sont lumineux. Ils enregistrent toutes les gammes d'ondes avec leurs changements de longueur et d'intensité. Il arrive parfois que leur connexion avec le vaisseau-mère est coupée, ou qu'ils s'écrasent au sol. Alors du vaisseau- mère part un rayon magnétique qui fait exploser le disque. C'est la raison des mystérieuses explosions ou éclatements que vous détectez parfois dans le ciel. Si le disque est au sol, ou si l'explosion pouvait occasionner des dommages, le rayon magnétique envoyé est moins intense et, au lieu d'une explosion, il provoque une désintégration en plusieurs phases. D'abord le métal se ramollit, se transforme en gelée, puis en liquide, puis il devient gazeux et disparaît sans laisser de trace. Ce procédé n'offre aucun danger même si on touche l'appareil pendant sa désintégration, sauf cependant si on le touche au moment où le rayon magnétique opère.(Note du Webmaster : Comme c'est super, et , les auteurs de science-fiction chevronnés, devraient bien tirer leur chapeau à l'auteur ) "

     Captant la pensée de George qui se demandait si ce rayon ne pouvait pas être un moyen de défense, Zuhl reprit : Oui, il est possible d'utiliser ce dispositif contre les hommes ou contre toute sorte de forme, y compris les planètes, mais nous ne l'avons jamais fait etne le ferons jamais, sinon nous ne serions pas meilleurs que les lzom ntes de la Terre. Notre protection, comme nous l'avons, démontré à plusieurs reprisés alors que nous étions pourchassés par vos avions, c'est notre vitesse qui nous permet de nous échapper très facilement. De plus nous pouvons augmenter- la fréquence de la zone activée du ;~aisseatc au point de devenir invisibles."

     " Vous arrive-t-il d'avoir des pannes ? " demande Adamski.

     " Oui, et en certains cas, nous abandonnons le navire s'il n'est pas réparable; alors nous le désintégrons et il retourne aux éléments de l'espace. Tous nos vaisseaux sont équipés de Scouts qui ont des approvisionnements suffisants et les instruments nécessaires pour communiquer avec d'autres vaisseaux ou des planètes. Bien entendu si un accident se produisait près d'une planète, nous nous écraserions sur le sol comme vos avions."

     " Vos hommes seraient-ils tués ?"

      " Oui, mais à cause de nos connaissances, la mort n'a pas le même sens chez nous que chez vous.(Note du Webmaster: voir notre article enversmiroirplus.html ) Nous savons que nous sommes une intelligence et non un corps et que par la renaissance, nous recevrons un nouveau corps; Pour cette même raison nous ne tuons jamais délibérément un autre corps par lequel une intelligence s'exprime. Cependant, lorsqu'il nous arrive de tuer accidentellement, nous n'en assurons pas la responsabilité puisque telle n'était pas notre intention."

      " Nous sommes actuellement tout près de la Lune, mais nous ne nous arrêterons pas cette fois-ci. Comme vous le voyez sur nos instruments, il y a de l'air sur ce satellite, contrairement à ce que votes pensez. Le côté de la Lune que vous voyez de la Terre, n'a que des nuages légers et difficillement visibles, mais la face cachée a des nuages plus lourds. La face visible est assez semblable à vos déserts terrestres et la température y est chaude, mais pas aussi pénible que vous le supposez, tandis que la face cachée est plus fraîche, mais aussi froide que vous pensez. Au centre il y a des parcelles où prospèrent arbres, vêgétation, animaux et hommes. Vous Terriens, vous pourriez vivre sur la Lune car le corps hurnatn est la machine la plus adaptable de l'Univers et rien ne lui est impossible. Tout corps de l'espace, chaud ou froid, doit avoir une atmosphère ou des gaz. La Lune n'en a pas beaucoup, car c'est un corps petit, mais elle en a. De même vous pensez que la Lune est un corps mort. S'il en était ainsi, il y a longtemps qu'elle serait désintégrée. Non, elle est vivante et elle entretient la vie, y compris des peuples. Nous même avons installé un grand laboratoire au delà du bord de la Lune, hors de vue de la Terre, dans une région fraîche et tempérée (Note du Webmaster: nous avons déjà, dans l'article précédent, donné notre impression sur ces incroyables révélations).

     " Pourriez-vous vous approcher davantage de la Lune pour que je puisse voir son sol ?"

      " Inutile. Venez et voyez. Nos instruments peuvent vous ta montrer comme si vous y marchiez. "

      " A quelle distance sommes-nous de la Lune ? J'aimerais bien qu'on en fasse le tour pour voir sa face cachée."

     " Nous sommes à 64 000 km de la Lune. Pour le moment, nous vous faisons passer une sorte de test, mais il y a des choses que nous ne pouvons pas révéler car nous connaissons les faiblesses des Terriens.(Note du webmaster: Le fait que la Terre soit trouée aux deux pôles ne pourrait-il pas faire partie de ces secrets non révélés ? A vous de juger... "

     Les instruments réglés, George put voir avec étonnement tous les détails du sol lunaire. Plusieurs cratères sont des vallées entourées de montagnes tourmentées, créées par d'effrayants bouleversements. I1 constata qu'au temps passé, 1a Lune devait avoir beaucoup d'eau. Zuhl dit : " II y en a encore de l'autre côté de la Lune. Ici, sur cette face, il y aussi de l'eau, dans la montagne, à grande profondeur. Voyez sur les flancs de ces monts, des traces d'anciens cours d'eau. Certains de ces cratères ont été formés par la chute de météorites, mais en ce cas le fond est en forme d'entonnoir. Or plusieurs cratères montrent de profondes ornières creusées dans le roc, qui n'ont pu être formées que par de forts courants d'eau, au temps passé. Et en certains endroits quelques traces de végétation sont perceptibles. "

     George remarqua que de grandes étendues étaient recouvertes d'une fine poussière alors que d'autres endroits étaient composés de gros sable et de gravier. I1 aperçut un animal qui courait rapidement. C'était un quadrupède à fourrure qu'il ne put identifier.

(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 103 Novembre 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite VIII)


Un autre Maître.


     De retour au salon, les quinze personnes y trouvèrent un homme qui se leva à leur arrivée. I1 était grand, bien bâti, 35 à 40 ans, figure d'une beauté frappante avec son front haut, ses cheveux noirs ondulés rejetés en arrière, son regard vif et pénétrant. Son accueil fut simple et cordial. D'un geste il invita les gens à s'asseoir. George avait l'impression de connaître cet homme depuis longtemps et il éprouva instantanément pour lui, une vive affection. Tous semblaient attendre que cet homme parle. II s'adressa directement à Adamski et dit :

      " Nous avons été heureux de vous montrer une petite portion de l'Univers du Père. Nous savons tout l'intérêt que vous portez à ces questions qui ont absorbé une grande partie de votre existence terrestre. Vous venez de voir, avec vos yeux physiques, l'enregistrement par nos instruments de choses dont vous aviez conscience depuis longtemps. Ces expériences vous aideront beaucoup à expliquer les lois universelles aux gens de votre monde. Rappelez-vous sans cesse qu'ils sont tous frères et sœurs, quel que soit le lieu où ils sont nés et celui où ils ont choisi de vivre. La nationalité et la couleur de peau sont choses incidentelles puisque le corps n'est qu'une demeure temporaire qui change dans l'éternité du temps. Dans le progrès sans fin de toute vie, chaque être doit expérimenter tous les états.

      Dans l'étendue de l'Infini, il y a une infinité de formes depuis les particules de poussière de l'infiniment petit, invisibles aux yeux humains, jusqu'aux planètes et aux soleils sans nombre de l'infiniment grand. Toutes sont plongées dans l'océan de la Puissance Unique et supportées par la Vie Une. Dans votre monde on a nommé les multiples formes que vous avez vues: homme, animal, plante etc... Les noms ne sont que des perceptions humaines qui ne signifient rien dans l'Océan Infini. L'Intelligence Infinie ne peut pas se nommer car Elle est le TOUT COMPLET. Et toutes les formes ont été et seront toujours au sein du COMPLET.( Note du Webmater: voir à ce sujet nos articles : dimcos.html et rencontreinso.html)

      Parmi toutes les formes, celle que vous appelez L'HOMME croit posséder la seule véritable intelligence sur votre Terre. Cela n'est pas. Il n'existe pas de manifestation dans votre monde ou ailleurs, qui n'exprime l'intelligence à quelque degré car toutes sont des expressions, à travers ta Création, du Divin Créateur de toutes formes. Et Ses manifestations sont l'expression-pensée de Son Intelligence. En tant qu'homme, vous n'êtes ni plus ni moins qu'une de ces manifestations, car la vie même qui supporte toute forme et qui est l'intelligence s'exprimant par la forme, est une expression de Dieu. L'homme terrestre qui ne sait pas cela, trouve qu'il y a beaucoup d'erreurs en dehors de son moi personnel, du fait qu'il ne réalise pas que chaque forme exprime son but et accomplit le rôle pour lequel elle est faite. C'est pourquoi AUCUNE FORME N'EST CAPABLE DE JUGER UNE AUTRE FORME et toutes ces formes sont les SERVANTES du UN SUPRÊME. Aucune ne connaît tout puisqu'elle n'est pas tout. Seul le DIVIN connaît tout puisqu'Il est Tout. Cependant toutes les formes qui tont leur travail avec bonne volonté, grandissent dans la compréhension de la SOURCE dont ils reçoivent leur sagesse, la même qui leur donne la force vitale et leur permet d'exister. Dans l'ensemble, toutes les manifestations des Formes sont comme des fleurs magnifiques dans un grand jardin où les diverses couleurs et formes s'harmonisent ensemble, chaque floraison prenant conscience d'elle-même à travers la manifestation des autres. Le bas regarde le haut, le haut regarde le bas. Et la variété des couleurs font les délices de tous. La croissance attire leur intérêt et intensifie le désir d'accomplissement. En observant la beauté qui est dedans, le dessein se manifeste graduellement, en un jour ou en un siècle, avec une couleur, avec un parfum, qui réjouissent tout l'entourage. Chacun se glorifie par la joie qu'il apporte à tous les autres et réciproquement il reçoit la joie que lui donnent tous les autres. Tous, dans ce grand jardin de Beautés, sont les donneurs et les receveurs. Tous sont des vases d'où coule une mélodie du Très-Haut. Certains servent au pied du trône, d'autres servent au-dessus ou autour du trône. Chacun se mêle aux autres en exprimant sa joie d'avoir le privilège de servir et de contribuer à la grande Symphonie. ( Note du Webmater: Quel hymne à la Joie et à la beauté de la Nature!!! Cela ne valait-il pas vraiment à l'époque un prix Nobel ? Bravo...tout de même à ce prétendu "vendeur de Hamburgers" et cela dès 1955...Albert Arnold Gore, Prix Nobel 2007, n'avait que 7 ans )

     C'est dans cet esprit que i'expression que vous appelez : L'HOMME, aurait dû apprendre à vivre, au commencement de son arrivée en ce monde. Mais il a échoué, sinon votre Terre serait un Jardin de Joie, le Jardin du désir éternel de SERVIR (Note de la revue ONDES VIVES : C'est un des buts de la future Communauté Ondes Vives que d'expérimenter et de pratiquer le principe de SERVIR, conséquence de l'AMOUR et générateur de la JOIE DE VIVRE si bien exposé ici.).

     L'homme ne l'a pas compris et a démoli l'harmonie de son existence sur la terre. Il y vit en ennemi de son voisin, et son esprit est divisé par la confusion. Il ne connaît pas la Paix et il n'a jamais vu la vraie Beauté. Sans se préoccuper d'autre chose, il ne cherche que l'orgueil de ses œuvres matérielles et il vit encore comme une âme perdue.

     Qui est cet homme qui vit dans de telles ténèbres ? C'est le mortel qui a échoué dans le Service de l'Immortel. C'est celui qui parle du "Sentier", mais qui ne cherche pas à y entrer. C'est celui qui a peur de tout ce qui est au-delà de l'étroitesse de sa petite compréhension. C'est celui qui a renié l'aspiration de son esprit. Et la peur qui s'est installée en l'homme, le maintient dressé contre toute vie et contre toute chose, le garde prisonnier jusqu'à la mort de son corps physique.

     En vérité l'homme habite, en cette terre désolée, sous l'empire de la peur et de la terreur de ce qu'il appelle LA MORT,- la fin de sa vie mortelle seul, dans le désert de ses ténèbres personnelles. Et c'est pourtant lui qui est responsable de cette désolation qu'il déplore si amèrement, parce qu'il ne rend pas les services qu'il devrait assumer naturellement aux formes plus humbles qui l'entourent. Il continue de détruire les autres manifestations de vie afin de survivre lui-même. II a ainsi manqué de réaliser la richesse que les êtres pourraient lui apporter s'il les laissait servir comme Dieu avait prévu qu'ils servent. Hélas, les graines qu'il sème produisent des fruits amers, mais il ne comprend rien et il reste ligoté dans son ignorance répétant ses erreurs siècle après siècle, espérant encore trouver ce que son cœur désire et que son âme appelle. Il a une peur affreuse de perdre les biens terrestres qu'il a construits pour lui-même. Il a peur qu'il ne lui reste rien et il garde jalousement ce qui n'est pas éternel. Du même coup il entre dans le cycle de changement et de dégradation, sans même voir ce qui va en résulter. Il a emprisonné en lui-même la lumière qui l'aurait guidé sur la Voie de l'Eternelle Unité, et il se prive d'un bonheur que tant d'autres possèdent, qui ont pris cette Voie: les serviteurs, les fils et les filles du Père Unique, dans tous les mondes. Le Père qui a créé ce splendide Jardin de formes diverses, de couleurs variées, de teintes multiples, de hauteurs et de profondeurs différentes, de délices sans nombre, qui jouent et expriment jour et nuit le chant de Céleste Harmonie auquel tous peuvent participer
".

     A mesure que le Maître parlait, les représentations visuelles des mots passaient d'une manière vivante devant les yeux d'Adamski qui sentait s'ouvrir et s'accélérer son entendement. Lorsque la voix se tut, un long silence s'ensuivit que nul n'osait rompre. Le Maître se leva et vint vers l'homme de 1a Terre dont il toucha la main. George sentit monter en lui une vague d'humilité et de gratitude qui lui étreignit la gorge. I1 aurait voulu demeurer là, avec ces gens, pour l'éternité.

     "Mon fils, reprit le Maître, ne vous découragez pas. Vous comprendrez plus tard qu'il ne peut en être autrement. Dites à vos trères et sceurs ce que vous avez appris avec nous. Beaucoup d'entre eux ont le cceur et l'esprit ouverts, et ils deviendront de plus en plus nombreux. Le Scout vous attend pour vous ramener sur la terre. Vous savez maintenant que vous pouvez prendre contact avec nous en tout temps. Rappelez-vous que l'espace n'est pas une barrière ".

     Il lui souhaita bon voyage, fit demi-tour et quitta la salle. Adamski fit ses adieux à ses nouveaux amis puis sortit à la suite de Firkon et Zuhl pour regagner le scout. Avant d'y monter, il jeta un dernier regard dans l'immense hall, essayant d'en évaluer les dimensions. Zuhl dit : "la largeur du vaisseau est de 90 mètres et la longueur 1050 mètres à peu près ".

     Lorsque la voiture stoppa devant l'hôtel, c'était le matin et les premiers rayons du soleil apparaissaient. Firkon serra la main de George en lui disant simplement : "Nous nous reverrons".

     Dans sa chambre, Adamski ne put dormir. Il lui semblait qu'il s'éveillait d'un long sommeil et que son âme venait subitement de fleurir comme les fleurs du Jardin que le Maître avait décrites. Dans son coeur chantait la mélodie de l'Infini, mêlée aux autres voix, sans séparation ni division. Et l'espoir le pénétrait qu'il allait pouvoir partager avec ses frères de la Terre tout ce qui lui avait été révélé au cours de cette nuit extraordinaire. Il se sentait tellement renforcé et revigoré qu'il avait l'impression d'être un nouvel homme à l'esprit alerte, aux pensées plus agiles et plus rapides que précédemment. Son coeur sautait de joie et tout son corps était frais et dispos comme après un repos prolongé. Dorénavant il vivait chaque moment dans toute sa plénitude en servant l'Intelligence Unique, de manière à remplir le mieux possible le rôle pour lequel il avait été créé.


(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 104 Décembre 1974. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite IX)


     La fin du printemps et l'été s'écoulèrent sans incidents particuliers. Ce n'est qu'au début de Septembre 1953 qu'Adamski commença à sentir qu'il allait reprendre contact avec ses amis de l'espace. Jour après jour, il ressentait de plus en plus le besoin d'aller à la ville. Le 8 Septembre une amie l'invita à l'accompagner à Los Angelès. Il profita de l'occasion et arriva en ville vers 16 heures. I1 alla à l'hôtel habituel, se rafraîchit dans sa chambre et descendit dans la salle d'attente. A sa grande joie, Firkon et Ramu, tout souriants, étaient là, qui l'attendaient. Après les sa- lutations, Adamski qui avait mille questions à poser, demanda : "Etes-vous pressés ? "

     - Pas du tout - répondit Ramu qui voyait fort bien ce que le Terrien pensait "- et nous sommes là pour répondre à toutes les questions que vous avez dans la tête, au mieux de nos possibilités " ajouta-t-il en souriant. Ils se rendirent au même restaurant où ils avaient dîné lors de la précédente entrevue. A cette heure, il était vide de clients et ils purent causer à l'aise. Adamski commença :

      " Je suppose que vous savez ce qui me tourmente ? ".

     Firkon répondit : "Peut-être vous demandez-vous si les réponses aux questions mentales que vous avez projetées dans l'espace cet été, vers sont parvenues sans erreur ?"

      "Exactement. Que s'est-il passé au sujet du chef Scout, en Floride, et de la S.V. qui l'a brûlé par un jet de flamme ?
"(Note de la revue Ondes Vives : Un chef scout, ancien Marine, en Août 1952, allait de nuit à Everglade (Floride) en voiture avec 3 jeunes scouts lorsqu'il aperçut des lumières intermittentes dans la brousse, non loin. Il arrêta, dit aux jeunes gens de l'attendre et il partit à travers les buissons, avec une machète et une lampe électrique. Il aperçut bientôt un appareil de 3 m de hauteur et 10 m de diamètre, en forme de demi-ballon. Il était à 3 m au-dessus du sol et émettait un sifflement comme un pneu qui se dégonfle. Et subitement une flamme jaillit de l'appareil, frappant à la face l'homme qui s'effondra évanoui. On le retrouva cheveux brûlés, chapeau percé de 3 gros trous, bras brûlés, hébété, tout fripé.).

      "Cet homme s'était approché trop près de l'engin et il a été roussi par l'énergie qui anime l'appareil. Vous avez eu la même aventure lors de votre première rencontre avec Orthon. S'il ne vous avait pas poussé et que vous soyez tombé sous la jupe de la soucoupe, vous auriez été brûlé aussi."

      " Que faut-il penser de l'incident de Brush Creek ? " (Note de la revue ONDES VIVES : Le 24 Juin 1953, deux mineurs de Brush Creek (Californie) déclarèrent au shériff Fred Preston que par deux fois, le 20 Mai et le 20 Juin, une Soucoupe Volante avait atterri dans une petite mine d'or. Les deux fois, un petit homme avait rempli un seau d'eau et l'avait tendu à quelqu'un d'autre resté dans la Soucoupe Volante. Ils dirent au shériff : "Ils reviendront sûrement le 20 Juillet, donnez-nous l'autorisation de tirer dessus". Preston leur recommanda de ne tirer sur personne, mais qu'ils feraient mieux d'appréhender les Extra-Terrestres afin de les faire parler. La presse ayant publié cette information, une foule de gens armés de caméras se trouvait le 20 Juillet à Brush Creek pour assister à l'arrivée de la Soucoupe Volante et des petits hommes, mais ceux-ci ne vinrent pas. Les deux mineurs étaient furieux. Mais persuadés que les petits hommes reviendraient. Ils déclarèrent que l'engin avait un diamètre de 2 m et une hauteur de 1 m 20, posé sur 3 pieds escamotables qui laissèrent des empreintes aussi grosses que celles de pattes d'éléphants. Le petit homme était haut de 1 m 20, épaules larges, et portait une sorte de Parka verte à col de fourrure qui descendait jusqu'aux genoux. Bras et jambes étaient couverts d'un gros lainage.)

      " Le fait est réel, mais l'OVNI et ses occupants ne sont pas de notre groupe. Il y a eu beaucoup de manifestations de ce genre et de rencontres personnelles en dehors des vôtres, quelques-unes avant notre premier contact, d'autres après. Elles se sont produites presque partout dans votre monde. Cependant l'expérience faite avec vous est la première qui ait été portée à la connaissance d'un grand nombre de personnes. Il y a eu pourtant quantité de rencontres de ce genre mais peu d'hommes osent relater leurs expériences dans ce domaine, du fait de l'incrédulité humaine. Nous n'aimons pas le secret dont nous entourons ces rencontres ; nous préfèrerions venir et aller ouvertement, comme nous le faisons dans les autres mondes que nous visitons, si nous étions reçus aimablement par vous, comme nous le sommes ailleurs. Mais nos visites sur la terre sont dangereuses pour nous et pour nos appareils, ce qui nous oblige à prendre des précautions."

      "Mais alors, pourquoi le capitaine Mantell a-t-il été tué ? "

     "C'est un accident que nous regrettons beaucoup. Les occupants de l'OVNI poursuivi, savaient que Mantell qui fonçait sur eux n'avait pas d'intentions agressives. Ils ralentirent pour prendre contact avec lui par leurs instruments, sachant bien que la radiation de leur appareil arrêterait l'avion s'il s'approchait trop près. Mais l'aile de l'avion toucha le champ de force et lut attirée par succion dans le flux qui la désintégra par l'effet d'une radiation magnétique qui sépare les molécules. Si l'avion avait été de forme ronde cela ne serait pas arrivé. C'est l'aile qui a provoqué l'accident, car le fuselage aurait échappe à l'effet d e succion. Cela ne peut pas se produire avec nos appareils, grâce à leurs formes équilibrées. "

      "Pourquoi l'humanité terrestre est-elle retardataire ? "

     "Comme nous vous l'avons déjà dit, les planètes et les systèmes suivent invariablement le processus : formation - évolution - désintégration. Il faut un certain temps pour atteindre un sommet d'expression, puis commence le déclin et la mort. Bien avant que notre système solaire soit commencé, il y avait d'innombrables systèmes de planètes habitées par des humains qui circulaient de système en système afin d'étudier les activités de l'espace, et suivre toutes les phases de création et de destruction. Ainsi, lorsqu'une nouvelle planète arrive au stade où la vie devient possible pour l'homme des pionniers des autres planètes viennent volontairement s'y installer afin de développer ce nouveau monde. D'énormes vaisseaux viennent les déposer avec tout l'équipement et les approvisionnements nécessaires qui sont renouvelés périodiquement selon les besoins. Les nouveaux-venus restent donc en rapport avec leur planètes d'origine et y retournent occasionnellement pour des visites.

     La Terre a été la plus lente de notre système à atteindre cé stade de l'homme. Ses premiers habitants vinrent de diverses autres planètes. Mais bientôt des anomalies imprévues firent que la vie devint impossible pendant plusieurs siècles. Il s'ensuivit que les premiers habitants s'embarquèrent dans les vaisseaux et partirent dans d'autres mondes. Certains cependant voulurent rester et finirent par dégénérer et vivre dans des cavernes. Rien n'est resté de cette époque, sauf les récits mythologiques d'une de vos races qui a gardé le souvenir du dieu Triton, nom dérivé de la race originelle de Tritéria.

     Peu après le départ des pionniers, des changements importants sur- vinrent à la sui-face de la Terre. Des terres sombrèrent dans les profondeurs marines et d'autres émergèrent (Sans doute les disparitions du continent Mu et de l'Atlantide. O.V.) ce qui amenait un déséquilibre, à moins qu'une autre Lune ne se torme par la suite. Puis de nouveau la Terre redevint habitable, mais cette fois, on ne fit pas appel aux volontaires des autres planètes à cause des conditions atmosphériques. Autre fait qui avait attiré l'attention des E.T. , c'était que la Terre n'avait qu'une seule Lune ce qui aménerait un deséquilibre , à moins qu'une autre lune ne se forme par la suite.

     Or, l'homme est une étrange créature. Bien que l'ensemble de l'humanité préfère vivre en paix et en harmonie avec la création, il arrive que certains hommes voient leur égo personnel se développer dans l'agressivité, l'avidité, le désir de dominer. Cela arrive aussi dans nos mondes, malgré les enseignements et les règles qui les t ont vivre en accord avec les lois de Dieu. Oui, le MAL EXISTE AUSSI CHEZ NOUS, et nous n'avons pas le droit d'empêcher nos frères qui s'y livrent, d'évoluer dans ce sens. C'est ainsi que, il y a de nombreux siècles, un Conseil des Sages de plusieurs planètes décida d'exiler ces égoïstes vers les nouvelles planètes de faible développement. Et c'est la Terre qui fut choisie pour les recevoir, afin qu'ils puissent faire leur expérience et assouvir leur arrogante nature, librement (Note du Webmaster :Cette affaire de bagnards a été évoquée dans notre article précédent et à RoseC.html). Ce fut l'origine des 12 tribus de la Terre où ces êtres furent déportés sans équipement ni outillage. Ils devaient utiliser leurs connaissances et les éléments de la Nature qu'ils trouveraient sur place, afin de les obliger à travailler, à développer leurs talents et revenir dans la voie du Créateur. C'est ce que votre Bible appelle: LES ANGES DÉCHUS. Ce sont eux qui ont créé les conditions actuelles de votre humanité. Pendant longtemps, nous sommes venus souvent pour les aider et les guider, pour autant qu'ils nous le permettaient, du fait de leur hostilité et de leur méfiance. Néanmoins ils finirent par vivre en bon accord, et ce fut cette période qu'on appelle : "Le Jardin de I'Eden", où les hommes mangèrent du fruit de "l'arbre du bien et du mal". L'avidité, l'égoïsme, le désir de posséder et de dominer, les fit ensuite se dresser les uns contre les autres. Puis vint la séparation des races, autre pomme de discorde, chacune voulant dominer. Des nations se fondèrent qui se jalousèrent et les hommes cessèrent d'obéir à la Loi Divine. Il en résulta divers modes d'adoration. Malgré cela, les E.T. continuèrent d'envoyer des messagers pour aider leurs trères terriens à se redresser. Ce sont ces messagers que vous nommez : MESSIES., chargés de ramener les Terriens à la compréhension originelle. Chaque fois, les disciples rassemblés autour de ces sages turent tués par ceux-là mêmes qu'ils voulaient servir. Vous savez maintenant pourquoi la Terre est la planète la plus arriérée de notre système. Dans les autres mondes, les peuples ont évolué régulièrement en exécutant la volonté du Père et lorsqu'ils vont volontairement dans une nouvelle planète rendue habitable par la main du Père, ils entrent dans une nouvelle école d'expérience où ils acquerront une plus grande compréhension de lVnivers entier, ce qui leur permettra un avancement continu vers des états de service de plus en plus élevés. Le travail tel qu'il existe sur terre est chose inconnue chez nous, car si les hommes ceuvrent selon la volonté du Créateur, les éléments eux-mêmes se mettent à les servir, au dieu de leur opposer une résistance comme sur votre terre, parce que la perversion est votre loi naturelle. Et cela est normal car, constatez-le vous-mêmes, tous vos progrès sont utilises à entrer dans de nouveaux stages de destruction, par la mauvaise utilisation des éléments. Lorsque vous aurez enfin reconnu vos fautes et compris que ce que vous appelez votre FORCE est en réalité votre faiblesse, alors vous serez prêts à revenir dans la vraie Voie. En attendant, nous sommes toujours disposes à vous aider, car malgré tout, vous êtes encore nos frères.


      " N'éprouvez-vous pas de découragement à nous voir si obtus et entêtés ? "

     "Nous ne connaissons pas le découragement. C'est un mot négatif. Depuis longtemps nous avons appris le pouvoir de la foi et de l'espoir, et nous n'abandonnons jamais. Les points perdus hier, pourront être regagnés demain. Ce n'est pas que nous nous considérons comme arrivés au dernier stade du développement, loin de là. Nous avons l'Eternité pour y arriver. Mais dans nos mondes nous sommes libérés de la maladie et de ia pauvreté qui vous accablent. Car nous savons que si nous faisions du mal aux autres formes, ce mal se retournerait contre nous pour nous frapper.

     Vous parlez de Satan comme s'il était une entité séparée sans vous rendre compte que, du seul fait que vous vous opposez au principe de Dieu, vous créez les conditions d'inharmonie dont vous accusez Satan et qu'il vous taut corriger. Alors vous trouverez que Satan est "un ange de lumière" comme disent les Ecritures, car toute déviation doit être corrigée par celui-là même qui dévie.

     Le Soleil ne dirige pas la Terre, pas plus que celle-ci ne dirige le Soleil. Aucune étoile n'en dirige une autre, mais toutes sont dirigées par le Père. C'est là que, par sa nature même, l'homme commence à apprendre.
"

(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 105 Janvier 1975. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite X)


"Concernant la mort et la renaissance, est-il possible de se rappeler des vies antérieures ? "

     "C'est possible selon le degré de conscience atteint. L'homme éternel n'oublie jamais rien mais la mémoire des choses apprises dans un corps antérieur ne se manifeste le plus souvent que par un savoir instinctif de certaines choses familières que l'homme terrestre ne s'explique pas et qu'il appelle : talent, ou dons. Lorsque ce phénomène se présente d'une façon marquée chez les enfants, alors vous dites que ces êtres sont des prodiges.

     Votre planète fonctionne, pourrait-on dire, A BASSE FRÉQUENCE et c'est pourquoi les formes de vie particulièrement pour les hommes évoluent lentement et demandent bien plus de temps que dans les au- tres planètes. De plus, quel que soit le souvenir des expériences antérieures que vous avez à votre naissance, ce souvenir se trouve enterré et effacé sous le poids des erreurs dans lesquelles vous vous trouvez plongés durant les premières années de votre vie. Vous êtes bourrés de traditions et de conventions accumulées au cours des siècles et votre mémoire des vies passées en déborde. Quelquefois la mémoire originelle jaillit comme un éclair de ce que vous appelez le SUBCONSCIENT et pénètre dans votre CONSCIENT par une voie soudain ouverte. Cela peut résulter de la visite d'un lieu, ou de la rencontre avec une personne que vous voyez pour la première fois, mais que vous avez la sensation de connaître. Ce sont des choses mystérieuses pour vous, dont l'explication est pourtant simple, si vous admettiez la réincarnation. Chez nous, nous n'imposons pas de tels principes à nos enfants. Au contraire, nous les laissons libres car l'expres- sion humaine est variable d'un individu à l'autre, et les expériences des vies antérieures de chacun servent de fondation pour l'accomplissement de ta destinée personnelle.

     La fréquence de fonctionnement de chaque planète dépend de ses habitants. Du fait de la fréquence plus élevée de nos peuples, les âmes qui s'incarnent sur nos planètes acquièrent leur maturité de développement psychique bien plus vite que sur la Terre. La moyenne est de deux ans chez nous, alors qu'elle est de 18 ans et plus chez vous, de la naissance à l'adolescence. Lorsqu'un individu terrestre a réussi à s'élever au-dessus de l'ignorance de ses frères et à avoir une meilleure conception de la vie, il lui est permis de renaître dans une autre planète. Alors il se rappelle nettement ses expériences passées sur la planète Terre et il s'aperçoit qu'il n'y a pas de maillon manquant entre les deux étages de vie, mais UN DÉVELOPPEMENT CONTINU, chose difficile à discerner sur Terre ù cause du fouillis des noms et des divisions nombreux et variés qui amènent la confusion.

     De plus, cette période très longue sur la terre, de l'enfance à la maturité, entraîne la détérioration, à cause de vieilles traditions qui freinent tout, des charges et des malheurs incessants qui se répètent toujours et qui pèsent sur l'esprit humain d'une façon insupportable.

     Vous avez remarqué que notre apparence reste toujours jeune. Ceci est dû au fait qu'à chaque nouveau jour, nous apportons le bénéfice des leçons précédentes bien apprises, et nous écartons toutes les expériences qui ont été stériles. C'est cet apport journalier toujours frais, qui s'exprime par nous et qui nous conserve la jeunesse (Note de Webmaster : Voir à ce sujet notre article rencontreinso.html ) . Lorsque le sculpteur travaille l'argile, il a déjà décidé la forme qu'elle prendra. II en est de même pour l'homme qui est son propre sculpteur de la matière fournie par le Créateur ; son corps sera ce qu'il veut exprimer et ce qu'il pense : beau ou laid, jeune ou vieux, bon ou mauvais etc...

     Dans votre monde vous représentez Dieu sous les traits d'un vieillard. C'est faux, car l'Eternité n'a pas d'âge.

     Remarquez que les eaux stagnantes perdent leur limpidité du fait de l'accumulation des corps étrangers qui ne sont pas éliminés. Il en est de même de votre corps qui a besoin de mouvement, de vie, de renouvelle ment, sans cela la maladie et la mort s'installent à demeure en lui. Renouvelez-vous comme l'enseigne la Loi de la Nature. Si vous ne voulez pas vieillir, gardez les qualités de l'activité mentale, l'intérêt et l'enthousiasme, bien au-delà de la moyenne.


     Il nous arrive, bien sûr, de commettre des erreurs, mais elles nous servent de leçons pour notre comportement futur ; nous ne les considérons pas comme des choses honteuses qu'il faut cacher ou tenter de justifier, mais DES EXPÉRIENCES QU'IL FAUT FAIRE, ET FAIRE CONNAITRE. Dans nos recherches, nous faisons la part de l'erreur comme une chose naturelle et inévitable, et non comme une chose honteuse ou ridicule. Au contraire, il faut essayer de nouvelles voies avec courage. C'est la base du progrès et du s'avoir. Que ce soit une faillite ou une réussite, une nouvelle expérience apprend toujours quelque chose, non seulement à l'intéressé, mais aussi aux autres
".


     Après cette instructive conversation, Firkon et Ramu partirent, et George revint à son hôtel.


TROISIÈME VOYAGE EN OVNI


     Les communications télépathiques d'Adamski avec les Extra-terrestres s'amélioraient en netteté. Sur la route de Los Angeles, il était joyeux comme lorsqu'il était enfant, au temps de Noël, car il savait qu'il allait rencontrer ses amis de l'espace et qu'il irait dans un de leurs vaisseaux. Il admirait le paysage montagneux et se sentait envahi d'amour pour toutes ces beautés de la Nature. Si tous les hommes pouvaient les regarder avec les mêmes yeux que lui, il ne resterait pas de place dans leur cœur pour l'amertume ni pour la lutte.

     Cette fois-ci Ramu était venu seul, il attendait George avec sa Pontiac et ils partirent vers 18 heures au rendez-vous habituel où ils trouvèrent Zuhl et son Scout saturnien. Le voyage jusqu'au vaisseau-laboratoire fut rapide. Lorsqu'ils entrèrent dans le salon, Zuhl dit : "C'est le Maître qui vous a fait venir pour vous parler".

     Adamski revit avec plaisir toutes les personnes dont il avait fait la connaissance à sa précédente visite. Il y avait en plus deux jeunes femmes ravissantes qui se ressemblaient comme des jumelles. L'insigne qu'elles portaient à l'épaule droite indiquait qu'elles étaient des Saturniennes. Leurs cheveux et leurs yeux étaient très noirs, le teint d'une blancheur saisissante avec des joues roses, lèvres pleines et rouges. Elles semblaient plus vives que les autres femmes. Elles portaient des blouses bleu clair à manches longues serrées aux poignets, avec un col roulé et des sandales couleur faon chaussaient leurs petits pieds.

     Ramu plaça George à la droite du Maître et une des deux Saturniennes s'assit de l'autre côté, près du Terrien. Celui-ci en profita pour lui demander ce que signifiait son insigne qui consistait en une sphère entourée d'un anneau et portant une paire d'échelles en équilibre : "Ce symbole indique que Saturne est le Tribunal de notre système".

     Adamski ne comprit pas cette explication, mais comme elle n'ajoutait rien, i1 remercia et s'assit. Il ne put s'empêcher de remarquer que rien n'était aussi confortable que ces sièges, même nos coussins à air.

     Le Maître lui adressa la parole en ces termes : "Mon fils, si dans ce que je vais vous dire ce soir vous trouverez des choses dont je vous ai déjà parlé la dernière fois, c'est que ces choses sont importantes pour vous et nécessitent de plus amples explications afin de les mieux, comprendre et retenir. Une des grandes erreurs des Terriens est l'habitude de diviser ce qui ne doit jamais être divisé. Vous avez de multiples divisions dans les formes et les enseignements, trop de sympathie et d'antipathies qui ne servent à rien d'autre qu'à ajouter encore à la confusion de votre planète. Nous, par contre, nous réalisons les liens existant entre les choses et leur interdépendance entre elles. Vous avez profondément ressenti le pouvoir de radiation du tableau sur le mur devant nous, qui représente notre conception du Divin. Nous maintenons constamment cette image visuelle devant nos yeux, nous la maintenons dans nos cceurs et nous n'oublions jamais qu'en Lui, toutes les formes ont leur être, car Il dispense la vie aux hommes comme Il dispense la vie, à travers nous, à toutes nos créations par lesquelles Il nous instruit sur ce qui est à créer. C'est Lui qui sait comment les minéraux et les éléments se combinent non seulement pour notre service, mais aussi bien pour le service de l'Univers, et cela de mieux en mieux, à mesure que l'expérience d'une forme est portée à une forme plus perfectionnée. Nous arrivons, en observant les divers degrés d'évolution, à comprendre que les minéraux et les éléments sont l'essence de l'éternelle activité de l'expression du Divin et de son éternelle nouveauté. C'est pourquoi la monotonie que vous connaissez sur Terre ne pourra jamais exister chez nous. Ainsi, de même que nous respectons la Création du Divin Créateur de l'Univers tout entier, nous respectons aussi et honorons les créations de l'homme qui dirige les éléments dans les diverses voies du service. En retour, les éléments deviennent désireux de servir mieux chaque jour, en atteignant un standard de service plus élevé... un Service qui ne cessera jamais puisqu'il est éternel.

     Un petit exemple va vous faire comprendre plus clairement. Le fer vous sert dans une voie particulière, mais si vous l'imprégnez d'électricité, ce même fer pourra servir dans une autre branche que vous appelez : MAGNÉTISME, parce qu'il a été doué du pouvoir d'attraction qu'il n'avait pas précédemment. Il a donc évolué vers un meilleur service en acquérant de nouvelles possibilités. Et petit à petit, il évoluera encore vers un service de plus en plus important pour son Créateur. Ces métaux et éléments, dans leur continuelle ascension au service de l'homme et de l'Intelligence Totale, acquièrent certains pouvoirs de compréhension qui leur permettent d'évoluer dans d'autres voies.

(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 106 Fevrier 1975 et n° 107 Mars 1975. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite XI et XII)


     " Vous connaissez cela, sur Terre , et vous l'appelez : Loi de Transmutation ou d'Evolution. Ainsi votre corps, comme le mien, est composé de minéraux et d'éléments qui obéissent à des impressions placées au-dessus d'eux. Si ces impressions sont d'une nature joyeuse, l'être qu'on appelle L'homme est joyeux. Si elles sont haineuses, le corps exprime cet état, ce qui prouve que les minéraux et les éléments inférieurs sont au service de l'Intelligence. Sans elle, ils ne pourraient pas atteindre un état supérieur d'expression.

     Vous, hommes de la Terre, vous appelez continuellement le désastre en créant des combinaisons oui s'opposent les unes les autres au lieu de travailler ensemble. Vous avait fait de vous-mêmes quelque chose d'autre que votre divine origine. Vous avez ajouté des conceptions fausses à votre être, au lieu de rester dans le naturel ; vous êtes comme un bel homme qui s'af f uble de colicbets, lesquels font disparaître sa beauté naturelle.

     Ainsi vous avez cinq sens, et vous y ajoutez le 6e, le 7e, etc... que vous cherchez à développer arbitrairement, afin d'obtenir la clairvoyance, la clairaudience, la télépathie mentale et les perceptions extra-sensorielles ( ESP ) . Résultat : votre véritable identité est déséquilibrée, perdue. Expliquons-nous: vous êtes d'abord un produit de minéraux et d'éléments naturels. Ensuite, en tant qu'expression intelligente de cette forme, vous êtes un produit du Créateur Divin. Votre partie matérielle a été pourvue de QUATRE VOIES OU SENS qui expriment la manifestation physique. L'Intelligence Divine s'exprime à travers chacune des cellules du corps physique. Les quatre sens sont : VUE - OUÏE - GOÛT - ODORAT. Je n'ai pas mentionné le TOUCHER parce qu'il est I'INTELLIGENCE qui a précédé tous les autres sens.

     Or, personne, en aucun monde , ne peut construire une forme comme la vôtre et lui donner la vie, sauf le Créateur de l'Univers. Lorsqu'une femme conçoit, elle ne sait rien de ce qu'il faut faire pour construire un nouveau corps parfait. Et pourtant celui-ci prend forme et naît complet, avec ses yeux, son nez, sa bouche et ses oreilles. Et tout cela fonctionne pour la première fois, et la mère ne sait pas comment tout cela a été formé . Mais le sens du TOUCHER le sait. Car lorsqu'on exerce une pression sur le corps d'une femme enceinte, le fœtus ressent cette pression. Notez qu'au moment de la naissance, lorsque le bébé est prêt à quitter le sein maternel, la mère ne contrôle pas ni ne dirige l'opération, et la sensation est distincte, pour la mère et pour l'enfant, ce qui prouve l'indépendance des sensations de chacun d'eux. Donc le TOUCHER agit dans le champ de l'Intelligence, sachant ce qu'il faut faire et quand il faut agir. Il semble être le CONNAISSANT. Si on analyse bien ce phénomène, on voit que le TOUCHER est le sens principal, et en réalité il est l'mm de ce corps, une part d e l'I ntelligence Totale. L'AME EST SENSATION et vous savez que la sensation est un ÉTAT D'ALERTE, ou de CONSCIENCE CONSCIENTE. Lorsque cette conscience quitte le corps matériel, les sens ne fonctionnent plus. Par contre, si un homme perd les quatre sens, mais garde celui du toucher qui est la conscience, il garde plus ou moins la vie et l'intelligence, et son sens du toucher s'affine. Donc le corps est construit par les services que peuvent assumer les minéraux et les éléments, par l'intermédiaire des canaux des quatre sens ou voies principales, tandis que le 5e le toucher, est universel et donne la sensation aux quatre autres sens qui seraient inopérants sans lui.

      Si vous réalisez cela, vous trouverez l'homme derrière le masque, et la prison matérielle qui vous limite disparaîtra. Vous deviendrez alors un habitant de l'Univers et vous verrez les lois en action dans toutes les formes quelles qu'elles soient, y compris les planètes. Alors l'homme SE CONNAÎTRA LUI-MÊME, et du même coup il connaîtra le Créateur comme jamais il ne L'avait connu avant cela. C'est grâce à cette connaissance ou compréhension que le minéral s'élève jusqu'à être UN avec le Père. Comme le Père et le Fils deviennent UN. Lorsque l'homme de la Terre aura appris et réalisé cela, non avec son esprit seulement, mais en VIVANT cela comme nous l'avons fait, il éprouvera la même joie de vivre que nous-mêmes. La Bible vous dit que l'enfant prodigue est retourné chez son Père en abandonnant ses vanités physiques minérales qu'il mit au service de son Père, alors que jusque-là il les avait servies comme des maîtres.

     Naturellement, mon fils, ce que je vous apprends n'est pas nouveau ni original. Ce sont des lois universelles que tout homme doit connaître et doit vivre, s'il veut jouir de son droit de naissance en tant que fils du Père Divin. Faites de votre mieux pour inculquer à vos frères terrestres que la première des choses est de SE CONNAiTRE SOI-MÊME et qu'ils se posent ces questions : « Qui suis-je ? Par quelles voies puis-je m'exprimer pour retourner à l'Unité d'où je suis tombé ? ».

     Souvenez-vous que l'homme n'a rien à faire d'autre que d'exprimer ce qu'il est déjà. Pour cela, il lui faut apprendre à comprendre ce qu'il est, ce qu'il a, et qu'il VIVE cette compréhension. C'est cela qui est important : la Loi, et aussitôt tous les malheurs disparaitront. Car les quatre sens deviendront alors des instruments beaucoup plus sensibles et serviront non seulement le monde physique, mais aussi l'Univerversel. N'oubliez pas en effet que l'Universel inclut le plan physique qui est en lui et non à l'extérieur de lui. Car tout ce qui est contenu dans est contenu DANS l'Universel esr contenu DANS le Divin ou Suprême Intelligence. C'est pourquoi nous sommes concernés par votre monde et par votre vie, autant que les nôtres, car nous faisons tous partie de la Suprême Intelligence.

     Nous connaissons cela et nous le vivons des centaines et des milliers d'années. Et il nous est impossible de faire du mal comme vous le faites sur terre, même si c'était motivé, car nous savons qu'il faudrait vivre alors avec le mal que nous aurions fait, puisque que TOUT EST DANS LA MAISON.

     Il n'y a rien de laid ou de désagréable si vous voyez que tout évolue vers la sainteté, la beauté et l'exaltation. Tout va du bas vers le haut, et non du haut vers le bas. Cependant le pouvoir s'exprime du haut vers le bas, afin que le bas acquière la force de monter vers le haut. C'est là l'éternel mélange, mais jamais de séparation
".

     A ce moment George pensa subitement au problème de la surpopulation qui inquiète tant de dirigeants de la Terre. Le Sage capta cette idée et répondit aussitôt :

     "Non, mon fils, nous ne sommes pas surpeuplés et ne le serons jamais, car il y a un équilibre naturel, et les individus qui ont acquis un grand savoir sur une planète, peuvent à volonté aller dans une autre. Ils ont le choix entre deux voies : celle de renaître dans la planète en question, ou bien y aller directement dans le même corps, grâce à nos vaisseaux de l'espace. Cela se produit aussi sur la Terre. La plupart des Terriens avancés émigrent vers d'autres planètes par la renaissance ( Note du Webmaster : voir au sujet de la réincarnation notre article: enversmiroirplus.html ) : d'autres très peu en réalité, sont venus directement comme le dit votre Bible.

      La mort existe sur les autres planètes comme sur la Terre, mais nous ne la craignons pas et n'en portons pas le deuil car ce n'est qu'une, sorte de déménagement d'une maison à une autre : le corps physique étant la maison de l'âme. La planète où vous êtes, vous à prêté les éléments constitutifs de votre corps et il faut les lui restituer : Si vous changer de planète, la nouvelle vous prêtera le matériel nécessaire pour construire votre nouveau corps qui sera ainsi parfaitement adapté à son nouvel environnement et aux nouvelles conditions de vie.


(suite n° 107 Mars 1975).

      L'homme n'est pas une manifestation de vie temporaire, mais une manifestation ÉTERNELLE. Et ceux de nous qui ont appris cette vérité vivent dans un constant Présent. Nous, habitants de Vénus, nous nous habillons comme vous et avons une vie à peu près similaire à la vôtre. La grande différence consiste dans le fait que nous savons qui nous sommes. Puisque nous savons que la vie est Une, qu'elle englobe tout et que NOUS SOMMES CETTE VIE, nous savons aussi que si nous frappons quelqu'un, c'est nous-mêmes que nous frappons. Et nous savons aussi que la vie, pour demeurer éternelle, doit rester dans son premier état, tout en se renouvelant. C'est pourquoi nous ignorons l'ennui et chaque moment qui passe est une joie nouvelle. Nous ne nous tracassons pas pour notre travail car nous accomplissons nos tâches quotidiennes dans la pleine joie de l'amour, en respectant toutes les formes et tous les hommes pour les services qu'ils rendent. Personne n'est jugé pour insuffisance, et on ne fait pas de différence pour les divers services, qu'ils soient effectués par des domestiques ou par d'autres êtres. La parabole de Jésus concernant les ouvriers de la onzième heure nous en donne un exemple : à la fin de la journée, ceux qui n'ont travaillé qu'une heure touchent le même salaire que ceux qui ont œuvré toute la journée.

     Nous avons développé notre PERCEPTION CONSCIENTE à un degré tel que nous ne pouvons pas nous asseoir parmi un groupe de personnes sans une pensée de bénédiction. Car la présence même de ces gens, EST une bénédiction parce qu'il ne s'agit pas simplement de personnes, mais de la DIVINE INTELLIGENCE qui VIT en ces formes humaines. Nous VOYONS la Conscience Divine s'exprimer dans la croissance de TOUTE forme depuis la plus intime jusqu'à la plus grande, car aucune ne pourrait être sans la VIE qui l'imprègne et la porte. Et cette VIE est, nous le savons, la SUPRÊME INTELLIGENCE DIVINE. Il n'est pas un seul moment, même pendant notre sommeil, où ne soyons pas conscients de cette Présence Divine. Et c'est celà le vrai but de la FORME HUMAINE, c'est dans ce dessein qu'elle a été créée. Les autres formes s'expriment dans leur champ particulier de service, mais la forme humaine est le résultat de l'évolution des minéraux et des éléments, et elle peut arriver à l'expression du plus haut grade de la Divine Intelligence.

     Nous ne sommes pas dressés les uns contre les autres et nous ne convoitons pas ce que possèdent les autres car nous sommes tous également participants des biens que nos planètes mettent d notre disposition.
".

     Georges écoutait ce discours comme en état d'extase, dans l'immobilité absolue. Tout lui semblait clair, évident, lumineux. Une idée cependant lui traversa l'esprit : Ces gens-là qui professaient de tels principes, tuaient-ils pour manger ? Car s'ils consommaient des végétaux, ceux-ci étaient vivants aussi, dans leur forme d'expression. La réponse vint immédiatement :

     "Il n'y a rien d'illogique en cela, mon fils. Lorsque vous mangez une feuille de laitue, elle devient une partie de vous-même, n'est-ce pas ? Elle ne meurt pas, mais vit en vous, et commence une nouvelle expérience avec vous. Vous ne l'avez pas tuée, mais avez transformé sa forme en forme humaine. Si vous ne l'aviez pas mangée, elle aurait tait des semences qui auraient généré d'autres laitues, et aurait recommencé indéfiniment ce cycle de laitue. Vous l'avez élevée à un service plus élevé à travers vous. Il faut aussi considérer la motivation de vos actes. Si vous agissez pour détruire, pour nuire ou pour exploiter, c'est mal, c'est une erreur. Mais si le but est de rendre service, c'est bien. En fait, c'est l'homme qui transmute le minéral et l'amène à une forme plus haute de service. Et en cela, il ceuvre en accord avec la loi d'évolution qui est la Loi du Créateur.


     Les peuples de la Terre ne voient pas au-delà de la forme et pensent que seule la forme existe, alors qu'elle n'est qu'un canal par lequel passe la vie ou l'intelligence. Toute l'Intelligence du monde ne peut pas s'exprimer dans une feuille de laitue. Celle-ci doit donc, par transmutations successives, gravir quantités de niveaux et passer par des formes de plus en plus développées. Lorsque vous aurez COMPRIS et VÉCU cela, les conditions atmosphériques de la Terre seront adoucies car TOUTES les formes émettront des radiations de joie, d'amour et de bonne volonté qui effaceront l'ambiance d'hostilité qui sévit actuellement. Lorsque vous aurez appris que vous n'êtes pas la maison que vous habitez mais son occupant temporaire, alors vous pourrez construire votre maison (votre corps) là où vous voudrez, car vous deviendrez les MAITRES DES ÉLÉMENTS au lieu d'être leurs serviteurs.

     Vous croyez, par votre savoir, avoir dominé certains éléments, mais le mauvais usage généralisé que vous faites de ce savoir en détruisant tout, fait que les éléments eux-mêmes se retournent contre vous et vont vous détruire, comme beaucoup d'autres civilisations terrestres ont été anéanties dans le passé. Or vous en êtes à ce même point actuellement et vous frôlez la catastrophe. Nous faisons ce que nous pouvons pour l'éviter mais il est difficile de faire entendre raison à des êtres aussi peu développés que les Terriens.

     Ce n'est pas la première fois que vous venez ici, et ce ne sera pas la dernière. Nous continuerons, de temps à autre, à vous apprendre des vérités que vous pourrez transmettre à vos frères de la Terre. Nous vous parlerons de la vie physique des autres mondes. Nous évoquerons aussi les vérités religieuses que nous nous gardons bien de séparer des autres vérités car tout est lié ensemble, tout est la VIE UNE. Tant que vous admettrez qu'il y a deux vies, vous les opposerez l'une à l'autre. C'est la vérité majeure qu'il vous faudra apprendre aux Terriens s'ils veulent arriver au niveau de vie des autres planètes.


     Il est temps, mon fils que vous partiez. Ce que je viens de vous dire est très important pour les Terriens. Transmettez leur ces connaissances par la parole et par l'écriture.

     Ne craignez pas d'en oublier une partie, car tout vous sera inspiré et remémoré au moment voulu, soit que vous parliez, soit que vous écriviez.
".

     Adamski éprouva de nouveau le désir de rester avec ces êtres si savants et si charmants..

     "Non mon fils, dit le Maître il y a beaucoup à faire sur votre planète, les hommes ont faim et doivent être nourris. Partagez avec eux la nourriture spirituelle qui vous a été donnée, afin qu'ils ne périssent pas dans les ténèbres de l'ignorance".

(A suivre J.C.S.)

Revue "Ondes Vives" n° 108 Avril 1975. Rubrique : Soucoupes volantes.


L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite XIII)


VOYAGE SUR LA LUNE

     Par la suite, Adamski eut plusieurs fois l'occasion de rencontrer ses amis de l'espace, soit à terre, soit dans leurs vaisseaux. La dernière entrevue se passa le 23 Août 1954. Firkon et Ramu étaient venus le prendre comme d'habitude. Lorsqu'ils furent installés dans le Scout vénusien, Firkon dit :

     " Cette nuit, ce sera une entrevue d'adieux, car notre mission ici est terminée et nous allons rentrer chez nous ".

     George fut envahi d'une grande tristesse. Ramu reprit aussitôt :

     " Si nous ne nous verrons plus physiquement, rappelez-vous que nous pouvons communiquer télépathiquement quel que soit le lieu où nous sommes. Nous sommes amis et la distance ne changera rien à cela".

     Adamski surmonta son émotion. Lorsqu'il entra dans le grand salon du vaisseau vénusien, George remarqua aussitôt un air de fête. I1 y avait là beaucoup de personnes dont plusieurs qu'il n'avait jamais vues précédemment. Ilmuth et Kalna, plus charmantes que jamais, l'accueillirent :

     "Vous a-t-on dit que nous vous réservons une surprise ? Une certaine promesse qui va être tenue . dit Kalna, tandis qu'Ilmuth lui offrait un verre de ce délicieux jus de fruit. Toutes deux portaient leur tenue de pilote, ce qui indiquait sûrement qu'on allait appareiller. Tout le monde s'empressait aimablement auprès du Terrien et le congratulait. Lorsque les salutations furent terminées, George s'aperçut d'une musique en sourdine qui rappelait les airs orientaux. Ilmuth et Kalna s'excusèrent : il leur fallait rejoindre leur poste : "Ramu restera avec vous dit Kalna".

     Tout en sirotant son breuvage, Adamski se sentait pénétré de cette joyeuse et chaude atmosphère ; elle contrebalançait la sensation de tristesse qui lui pinçait le coeur, au sujet du départ de ses amis. Plusieurs groupes jouaient avec des cartes à peu près pareilles aux nôtres, qui portaient des marques et des signes auxquels George ne comprit rien. D'autres jouaient avec des petites balles colorées qui semblaient chargés d'une sorte de magnétisme car elles ne se déplaçaient pas librement, et certainement semblaient attirer les autres. D'autres groupes jouaient à une sorte de ping-pong, mais avec deux balles à la fois au lieu d'une, ce qui exigeait beaucoup d'adresse. Les femmes semblaient y exceller. Tous donnaient l'impression de s'amuser beaucoup, mais personne ne parlait haut, ni ne riait aux éclats, et tout se passait silencieusement, contrairement aux réunions terrestres de ce genre. Aussi l'atmosphère était-elle gaie, reposante, détendue. Après un moment Ramu dit : "Allons au poste de contrôle ".

     I1 s'y rendirent, et ils s'assirent sur de petits tabourets surgis du sol comme par magie. Sur un écran, en face d'eux, apparut la Lune se détachant en relief sur les splendeurs de l'espace. C'était un spectacle grandiose. Ils voyaient le côté du satellite visible de la Terre (Note de la revue "Ondes Vives" : Rappelons que la Lune présente toujours la même face à la Terre, sans doute du fait que son centre de gravité n'est pas exactement au centre géométrique de la sphère. Il s'ensuit que l'autre face n'est jamais visible de la Terre, et est totalement inconnues de nos astronomes). Ramu dit : "Nous approchons. Regardez bien, vous allez voir à la surface une activité considérable. Dans plusieurs cratères, nous avons construit de grands hangars que vous ne voyez pas encore. Notez que le sol ressemble à vos déserts. Ces hangars sont capables d'abriter des vaisseaux bien plus grands que celui-ci, et il y a des quartiers construits par nos travailleurs et leurs familles, pourvus de tout le confort. L'eau est amenée des montagnes par des conduites. Lorsqu'un vaisseau entre dans un hangar, on commence par dépressuriser les passagers pendant 24 heures, chose que les Terriens ne peuvent pas concevoir car ils ne savent que peu de choses sur les fonctions du corps et leur contrôle. Les poumons humains sont capables de s'adapter à des pressions très basses ou très hautes, à condition que le changement s'opère très lentement, sinon c'est la mort. Observez bien, nous arrivons au bord de la face lunaire. Voyez ces nuages en train de se former. Ils sont légers et semblent venir de rien. La plupart ne se densifient pas et disparaissew presque aussitôt. Maintenant nous approchons du côté caché. Voyez ces montagnes, quelques sommets sont blancs de neige et sur les pentes il y a d'épaisses forêts. De ce côté-ci de la Lune il y a beaucoup de lacs et de rivières. Et voici des communautés, dans les vallées et aussi à flanc de montagne ".

     Effectivement, Adamski pouvait voir dans une cité, les gens circuler dans les rues étroites, mais sans aucune voiture. Cependant il y avait des véhicules sans roues qui se déplaçaient au-dessus des rues, de la taille de nos autobus. Hors de la ville il y avait une immense construction. Ramu expliqua que c'était un hangar où étaient stockées les fournitures apportées par les vaisseaux de l'espace et destinées aux autochtones qui, en échange, leur cédaient des minéraux lunaires. Soudain, la ville sembla se rétrécir en s'éloignant tellement vite qu'elle semblait escamotée. Ramu expliqua que le navire filait vers la Terre.

     Tous deux retournèrent au salon où on allait fêter le retour au foyer de Firkon et de Ramu. La table était magnifiquement dressée. La nappe était tressée de fibres jaunes et or, ornée de dessins divers. Les femmes avaient revêtu leurs ravissantes robes flottantes. Un fauteuil était au bout de la table et 14 autres de chaque côté. George compta 8 femmes et 21 hommes, lui compris. Ramu s'assit à droite du Maître et Firkon à gauche, Ilmuth entre Ramu et George, et Kalna de l'autre côté entre Firkon et Orthon. Le Maître se leva et, après un moment de silence total, commença :

     "Nous remercions l'Infini de nous donner ce repas. Puisse chacun, dans Ton immense domaine, être pourvu de même. Que cette nourriture renforce nos corps afin qu'ils servent l'Esprit Divin qui habite en eux dans la voie que Tu désires, Créateur de toute vie". Après un silence il reprit : "Nous sommes réunis pour fêter le succès de la mission sur Terre confiée à nos deux frères ici présents. Firkon et Ramu ont bien mérité leur réussite et nous partageons leur joie de retourner chez eux. Buvons à leur prospérité et à celle de tous les hommes de partout."

     Tous levèrent leurs verres et, très lentement, burent ce nectar d'or pâle, afin de ne rien perdre de son rare bouquet, pendant qu'une musique douce, venue de nulle part, remplissait la salle. C'était une mélodie étrange et émouvante qui faisait vibrer tout l'être, avec quelques passages sembla- bles à nos symphonies.

     Aux deux bouts et au centre de la table, il y avait de magnifiques coupes remplies de fruits. Un de ces fruits avait l'apparence d'une grosse pomme rosée, mais sa chair avait la consistance d'une pêche mûre et son goût était un mélange de cerise et de pomme. Un autre fruit ressemblait à une énorme framboise. Des pichets contenaient divers jus de fruits et autres boissons. Les plats étaient servis par deux femmes qui étaient assises au bout de 1a longue table. Elles apportèrent d'abord des plats fumants de légumes : des carottes, des pommes de terre à chair jaune, un genre de persil à parfum de citron doux, et d'autres inconnus. George qui n'avait pas faim du fait du départ de ses amis, accepta un petit morceau de pain très grossier et noir et une tranche de quelque chose qu'il prit pour de la viande, mais qui était la racine séchée d'une plante de Vénus, lui apprit ILalna. Elle a le goût de bveuf très cuit et elle contient toutes les vitamines de la viande. Une tranche de cette racine équivaut à une livre de viande. Pour finir, on servit un énorme gâteau. II était à peine sucré, de grain très fin et semblait fondre dans la bouche. Son parfum, de nature indéfinissable, était délicieux.

     George observait ses voisins et remarqua qu'aucun d'eux ne mangeait goulûment ou exagérément comme il arrive souvent dans les banquets terrestres.

     A la fin du repas, les femmes et plusieurs hommes se levèrent et débarrassèrent la table pendant que de larges portes s'ouvraient miraculeusement dans le mur, derrière la table, découvrant la cuisine où la vaisselle fut déposée en un instant et tout le monde reprit sa place. Les portes se refermèrent silencieusement, ne laissant aucune trace visible de leur présence. Le fond musical se tut, un homme se leva et chanta sans accompagnement dans sa langue, d'une voix magnifique et parfaitement maîtrisée. Lorsqu'il eut terminé, Ilmuth dit :

     "C'est un chant d'adieu et de bénédiction pour les Frères qui retournent chez eux ".

     Puis la musique reprit, plus forte et d'un mouvement plus vif. Deux femmes se levèrent et se mirent à danser. On dit plus tard à George que cette danse représentait la puissance de l'Univers. I1 fallait des articulations extrêmement souples pour exécuter cette merveilleuse danse dont les diverses figures imitaient les multiples aspects de la Nature, depuis les eaux calmes et reposantes jusqu'aux tempêtes les plus terrifiantes de l'espace. I1 est impossible de décrire un tel rythme ; George était littéralement fasciné et profondément remué par ce spectacle. Les jeunes danseuses étaient d'ailleurs exquises ; leurs vêtements semblaient changer de couleur selon les figures qu'elles exécutaient, mais par dessus tout la grâce de leurs mouvements était telle qu'il est impossible de traduire en paroles.

(A suivre J.C.S.)

H3>Revue "Ondes Vives" n° 109 Mai 1975. Rubrique : Soucoupes volantes.

L'AVENTURE D'ADAMSKI (Suite XIV et Fin)


Scènes sur Vénus

     La danse terminée, le Maître dit : " Nous allons vous montrer maintenant des scènes de notre planète Vénus en direct".

     Adamski chercha dans la salle l'écran où les images allaient apparaître, mais il n'y avait pas d'écran. A sa grande surprise, la lumière diminua et les images apparurent au centre même de la salle, comme suspendues dans l'espace. Orthon qui s'amusait de son étonnement lui dit : "Nous avons des projecteurs dont le faisceau lumineux peut être arrêté à la distance voulue. Ce point d'arrêt sert d'écran et les images en relief se forment avec leurs dimensions et leurs couleurs fidèlement reproduites ".(Note du Webmaster: c'est un peu comme cet ovni, dont les rayons lumineux en dessous sont tronqués.


fin de la note du webmaster)


     En fait, la scène était tellement réelle qu'on avait l'impression d'être dans un autre lieu et non sur ce vaisseau. Un panorama splendide et changeant s'étalait devant Adamski : des montagnes aux crêtes enneigées, d'autres rocheuses et nues comme on en voit sur la Terre, d'autres encore, recouvertes d'épaisses forêts, des torrents, des cascades. Orthon lui dit à l'oreille : "Nous avons des lacs et sept Océans interconnectés par des canaux naturels ou artificiels".

     Puis apparurent des villes, grandes et petites, bellement structurées en cercles ou en ovales, avec beaucoup de dômes qui irradiaient des couleurs prismatiques donnant l'impression de force revitalisante. La nuit, les couleurs sont remplacées par une luminescence jaune, très douce. Les gens circulaient dans les rues, sans hâte et sans problèmes. Des véhicules style vaisseau-mère en miniature, glissaient au-dessus du sol comme ces « autobus » vus sur la Lune. I1 y en avait de différentes tailles et certains avaient le toit ouvert. Ils sont propulsés par la même énergie qu'utilisent les vaisseaux de l'espace. Les rues étaient bien dessinées et bordées de fleurs variées. Puis George vit une plage, au bord d'un lac, couverte de sable blanc et fin. De longues vagues roulaient lentement et beaucoup de gens se baignaient. halna expliqua qu'ils portaient des vêtements étanches à l'eau qui protègent aussi de l'action des rayons solaires lesquels sont plus pernicieux lorsque réflétés par l'eau. En somme, il n'y avait pas grande différence avec les scènes terrestres. Adamski aperçut des saules pleureurs dont la couleur et le feuillage ne sont pas exactement pareils que chez nous, des chiens petits à poil ras, des oiseaux de tailles et de couleurs variées, des chevaux et des boeufs un peu plus petits que chez nous. Vénus est très humide et le ciel est presque toujours couvert de nuages. La dernière scène montra une très belle femme et son mari, avec leurs 18 enfants, tous adultes sauf un. Les parents avaient l'air jeune, la trentaine à peine George demanda à Orthon : "Quel est l'effet de ce ciel nuageux sur la population ? ".

     "C'est un des facteurs de longévité, en dehors de notre vie accordée au Lois Universelles. La moyenne de vie est de 1 000 ans. Si vous aviez la même atmosphère sur la Terre, vous vivriez plus longtemps qu'à présent. Ces nuages forment un filtre et affaiblissent les rayons destructeurs qui pénètrent dans l'atmosphère. Remarquez, dans votre Bible, que la longévité humaine baissa lorsque les formations nuageuses diminuèrent et qu'on vit pour la première fois les étoiles (cf. Gen. 6/3 : O.V). Sachez que l'axe de votre Terre s'incline de plus en plus. Il pourrait arriver qu'il bascule et alors des fonds marins vont émerger. Ces terres imbibées d'eau vont sècher et augmenter les formations nuageuses. Si, à ce moment., vos peuples vivront en harmonie avec les Lois du Créateur, vous atteindrez vous aussi l'âge de 1 OOO ans. Ce basculement de votre Terre est une des raisons qui nous amènent à vous observer constamment car cela influerait sur les autres planètes de notre galaxie. Le basculement subit d'une planète affecterait les orbites des autres corps du système solaire.

     "Cela serait une catastrophe pour la Terre, ne croyez-vous pas ? "

      Nous n'en sommes pas loin. Et la raison de cette instabilité de la Terre est dans votre ignorance des lois de Dieu, ce qui vous a fait prendre la mauvaise direction. Pourtant vous avez eu des signes et des présages, dont certains sont dans vos Ecritures sous forme de prophéties. Beaucoup de celles-ci se sont réalisées, mais vous n'avez pas appris la leçon. Il n'est pas sage de se séparer du Créateur. L'humanité doit être guidée par la main qui lui a donné la vie. Si l'homme veut éviter la catastrophe, IL FAUT ABSOLUMENT QU'IL CONSIDÈRENT SON PROCHAIN COMME LUI-MÊME, L'UN ÉTANT LE REFLET DE L'AUTRE. Le Créateur ne veut pas que l'homme devienne cruel, débauché et meurtrier.

     "Je sais que nous entrons dans un nouveau cycle, l'AGE D'OR ou l'AGE DU VERSEAU. Qu'en pensez--vous ? "

     "Chez nous, on ne nomme pas ainsi les changements qui se re produisent car tout est en progression normale et continue. Cependant, pour répondre à votre question je vous dirai que vous approchez de l'AGE Du COSMIQUE. Vous avez déjà traversé l'AGE D'OR, au cours duquel vous avez aussi passé l'AGE DU VERSEAU qui vous a affligés par les grandes eaux. Les Terriens doivent apprendre à progresser selon le rythme de ces chan- gements naturels et non pas leur être soumis."

     "Voulez-vous définir cet AGE DU COSMOS ? "

     "Pour le moment il vaudrait mieux l'appeler: COMPRÉHENSION DU COSMOS. En effet, c'est la première fois que votre civilisation actuelle se rend compte que les autres planètes peuvent être habitées, du fait de l'apparition dans votre ciel, de nos vaisseaux spatiaux. Pour la première fois vous comprenez que la vie n'est pas née sur la Terre par simple accident comme l'avaient déclaré vos savants, mais qu'elle est une Création consciente et ordonnée de l'UN INFINI, et que tout est soumis à Ses Divines Lois. Nos appareils réalisent des performances que vous êtes incapables d'imiter. Vos savants le savent. Vos gouvernements le savent. Les pilotes de vos avions le savent et en sont émerveillés. Des milliers de Terriens l'ont vu et en sont étonnés. Des milliers et des milliers. aujourd'hui, observent le ciel dans l'espoir de nous apercevoir, Or tout cela a été prédit par les Anciens. Vos Ecritures ont prophétisé que le monde entier connaitrait des troubles et que les FILS DE DIEU VIENDRONT DES CIEUX SUR LA TERRE POUR SAUVER LES PEUPLES. Or, aujourd'hui les conditions sont telles que l'ombre de la Mort plane sur vous tous. Votre monde tout entier est désé- quilibré. Les phophéties se réalisent et nous venons de l'Espace que vous appelez CIEUX et nous sommes aussi DES FILS DE DIEU.

     Il a été aussi prédit qu'à la fin des temps, les races de couleur se dresseraient pour demander l'égalité et la liberté. Cela aussi se réalise actuellement. Vous voyez que nous connaissons bien votre histoire. La parole : « Nous sommes les gardiens de nos frères » (cf. Gen 4/9 : O.V) s'applique à toute l'humanité et partout. C'est dans ce but de vous « garder » que nous venons vous dire : Laissez l'Etre Suprême de l'Univers vous guider afin que vos difficultés disparaissent comme les ténèbres devant la lumière. Que pourrait donc faire l'homme sans le souffle de la vie ? Cette vie ne se trouve-t-elle pas partout, au profit de tous ? Que les Terriens sachent une bonne tois que Dieu n'est pas quelque part dans l'infini, bien loin, trop loin... mais qu'Il est présent dans toutes les manifestations car Il est au-dedans même de l'Homme
".

     Orthon se tut. Adamski demeurait pensif et silencieux, la tête basse, écrasé par un sentiment de honte et de culpabilité qu'il éprouvait en tant que Terrien. Alors il sentit monter en lui une sorte de chaleur bienfaisante qui le pénétrait et le réconfortait. Il leva les yeux et vit que tout le monde le regardait avec bienveillance et il comprit que c'était leur bénédiction silencieuse qui le revigorait.

     Le Maître se leva et s'approcha de lui. George se mit debout et tous les autres firent de même.

     "Mon tils, dit le Maître en le regardant profondément dans les yeux, beaucoup des choses que notre frère Orthon vient de vous dire sont contraires aux idées de vos peuples, mais c'est sans importance car ce que nous avons appris hier, doit nous servir de marche d'escalier pour atteindre une vérité plus grande demain. C'est la loi du progrès. Lorsqu'on est entré dans la bonne voie, il ne peut en être autrement. Il est nécessaire que les hommes travaillent et luttent ENSEMBLE avec l'ESPRIT OUVERT et qu'ils sachent bien qu'il Y A TOUJOURS A APPRENDRE. Et voici le signe infaillible qu'on est dans le bon chemin. C'est très simple : Si les résultats de vos pensées et de vos actes sont mauvais, c'est que la voie que vous avez prise vous éloigne de la Lumière de Dieu. S'il vous arrive de bonnes choses, alors vos vies, et les vies de vos entants, et celles de leurs entants, seront joyeuses. Les bénédictions seront votre héritage éternel, et vous ne connaitrez ni la maladie, ni la lutte
"

.      Lorsque Ramu déposa George devant l'hôtel, il lui dit tout simplement: "Que la bénédiction de l'UN INFINI aille avec vous"

.
*******************************


ADDITIF PAR J.-C. SALÉMI

     Adamski, conscient de l'importance des révélations du Maître, s'occupa aussitôt de les divulguer dans le monde. Il se lança dans cette entreprise avec toute sa fougue et son enthousiasme. Il avait la parole facile et abondante et, quoique d'un physique quelconque, il était très sympathique et savait, convaincre. II parla à la radio, à la télévision, et se mit à parcourir le monde, faisant des conférences, présentant les photos et les films d'OVNI qu'il avait tirés. II ne s'adressait pas seulement au grand public, mais contactait aussi les Gouvernements pour les prévenir des dangers que courait la Terre. Les journaux de l'époque ont longuement commenté ses longues entrevues avec la reine Juliana de Hollande qui fut fortement impressionnée. Cependant, les autres personnages officiels qu'il rencontra se montrèrent plus réticents, effrayés sans doute de ce que cet homme proclamait, et inquiets de voir propager dans la masse humaine, ces révélations sur les OVNI qu'ils connaissaient bien mais qu'ils s'étaient efforcés de tenir secrètes et détouffer, sans doute dans le but louable peut-être, de ne pas affoler ou paniquer le public.

(Note du Webmaster : Rendons ici un dernier hommage au dessinateur GIGI :


Fin de la note du Webmaster)


     Toujours est-il qu'après les succès marqués du début, Adamski se trouva contré par une sorte de cabale occulte. On contestait l'authenticité de ses films, on doutait qu'il ait eu des contacts avec les E.T. Peu à peu on alla plus loin, on l'accusa de mensonge, d'imposture. Bref on lui fit une telle réputation que le monde lui tourna le dos. Adamski en était ulcéré ; il se souvint alors que le Maître lui avait prédit que sa croisade ne serait pas facile.

     Telle est la puissance de la calomnie que moi-même qui pourtant m'occupe des OVNI depuis leurs premières apparitions, j'étais persuadé qu'Adamski était un "sauteur" qui avait inventé de toutes pièces ces faits étonnants pour faire passer ses propres idées philosophiques.

     Cependant, lorsque je lus le livre de Marcel Homet, j'étais perplexe. Ce n'est qu'au congrès du Groupe Contact à Londres, que je fus fixé. En effet j'y rencontrai YAN NORRIE, ingénieur à Mexico, et son épouse, qui avaient été amis intimes d'Adamski et qui avaient suivi de très près ses aventures. Ils avaient bien connu aussi les six autres témoins de la première rencontre avec Orthon à Désert Center, et ceux-ci lui avaient confirmé tout ce qu'Adamski avait dit et écrit sur cette équipée (Cf : "Les Soucoupes Volantes ont atterri" par Leslie Desmond et G. Adamski. Ed. J'ai Lu - Série l'Aventure Mystérieuse, n° A 260. O.V.). Yan Norrie se portait garant de la sincérité d'Adamski qu'il aimait et anpréciait beaucoup. A ma demande, il a eu l'amabilité de nous faire un article que nous avons publié dans O.V, sous le titre : Notes en passant (Cf. Ondes Vives, numéros 84 à 86, Avril-Mai Juin 1973.) où il donne des détails inédits sur la vie de cet homme qui, dit-il, incarnait l'Amour.

     George Adamski mourut peu après et repose au cimetière d'Arlington. Des bruits étranges entourent sa mort. Certains prétendent qu'il a été exécuté. Si la chose est exacte, par qui a-t-il été exécuté ? Là encore le mystère plane.

     Est-ce le fait des Autorités américaines qui employent tous les moyens pour étouffer ces faits ? Ou bien, comme disent certains, ce sont les Extra-Terrestres, parce qu'Adamski auraient divulgué des informations qui devaient demeurer secrètes ?

     Il y a eu d'ailleurs d'autres morts bizarres de personnes qui s'occupaient du problème OVNI : le Dr James MacDonald, tué en plein désert d'une balle dans la tête ; il avait publié des documents édifiants provenant de l'AIR TECHNICAL INTELLIGENCE. Le Professeur René Hardy qui avait fait des recherches sur la propulsion des OVNI et qui était ami de Mac Donald. James Forestal et tant d'autres.

     Rappelons aussi les vicissitudes d'Howard Menger qui fut menacé par les pouvoirs publics, ruiné, emprisonné etc... (Cf: Ondes Vives: numéros 37-38).

     Rappelons aussi que le livre d'Adamski : "Dans des vaisseaux de d'espace" a paru aux environs de 1956 aux U.S.A. Mais peu de temps après il était introuvable - épuisé paraît-il. Ce n'est que récemment qu'une nnouvelle édition a paru EN ANGLETERRE. Si ce livre avait été épuisé si rapidement, pourquoi a-t-on mis plus de 15 ans pour le rééditer, et hors d'Amérique encore ? (Ondes Vives : Nous apprenons à l'instant en Mai 1975 que cette nouvelle édition est de nouveau épuisée. A-t-on intéret en haut lieu à faire disparaître ce livre afin que le grand public n'en prenne pas connaissance ? )

(Note du Webmaster : Pour terminer voyons ce que l'on nous dit d'Adamski dans l'ouvrage remarquable : "Le dossier des soucoupes volantes" déjà présenté dans cet article :


Fin de la note du Webmaster)


     Tout cela est fort troublant, mais comme l'a dit Jésus : "TOUT CE QUI EST CACHÉ SERA MIS AU JOUR" .

(FIN J.C.S.)

II Flash back sur le cimetière d'Arlington.


      Dans l'ouvrage de Juin 1976 ci-après:


, nous lisons les propos suivants concernant Adamski : "En 1959, fut organisée à Rome une conférence à son intention. Trois cents personnes y assistaient donc trente journalistes. Et pourtant pas un seul des organes de presse n'y fit jamais allusion. Au cours, de ce débat Adamsky avait rapporté tous les détails de ses voyages, et expliqué le fonctionnement précis des Soucoupes volantes, précisant que le seul but des extra-terrestres était celui de notre sauvegarde. Mais il semble que personne ne l'ait pris au sérieux ou plutôt - c'est ce qu'affirment les ufologues - il semblerait que les autorités aient interdit toute diffusion de ses récits.

      Alors, que doit-on penser de cet homme à la fois pacifique et révolutionnaire (je veux dire, qui révolutionne l'astronautique), bafoué et humilié, à qui le gouvernement américain a offert une des plus belles sépultures du cimetière d'Arlington ? C'est sur cette même colline d'Arlington d'où l'on découvre toute la capitale des Etats-Unis, la Maison Blanche, la coupole du Capitole et le monument de Lincoln, que reposent les frères Kennedy.

      On l'appelle aussi la "colline des héros" ... Héros qui furent honorés de leur vivant, mais aussi humbles héros méconnus. Ce fait troublant ne manque pas de nous étonner. De quel fait, de quels services, de quelles révélations au regard de Geor&e Adamski, l'Etat américain était-il débiteur? Est-il vrai que la CIA qui exerçait désormais son contrôle sur la Commission Condon, avait persuadé Adamsky de ne plus tenir de conférence, de ne plus accepter d'interviews, de ne plus "révéler" ses rencontres avec les extra-terrestres ?

      Est-il vrai que les savants de l'armée se liguèrent pour ridiculiser cet homme et en ébranler ainsi la personnalité ? Qui pourra jamais répondre à cette série de questions ? La seule vraie réponse est sans doute, dans cette tombe, sur la "Colline des héros".
"


Fin de citation

      On a en effet beaucoup palabré sur le fait qu'Adamski ait été enterré au cimetière d'Arlington à Washington et les nombreux détracteurs irréductibles nous disent qu'il n'y a , aucun mystère, car cela résulte du simple fait qu'Adamski était un vétéran de la deuxième guerre mondiale, et qu'il avait donc parfaitement le droit de reposer dans ce cimetière. Mais il suffirait pourtant pour faire vérifier cette assertion qu'un intrépide journaliste américain ou pas, découvre la liste des militaires qui appartenaient à la même cellule du Corps d'Armée d'Adamski (officiers compris) et de voir, par la suite, combien de ces derniers ont été enterrés à Arlington à côté de leur frère de combat : George Adamski. On pourrait aussi avec un peu de chance trouver un document donnant les critères d'admision à ce cimetière et voir sur le livret militaire d'Adamski, s'il répondait à au moins un de ces critères. Bon courage aux chercheurs passionnés...

      Mais le 27/11/07 en cherchant sur Google des informations sur Arlington, nous sommes alors tombés sur le site-forum :

http://nousnesommespasseuls.xooit.com/t887-Sujet:-Qui-est-qui-et-qui-fait-quoi-%3F.htm?start=15

, où il y avait l'information ciblée suivante en date du 13/06/07 d'un internaute nommé BIOFIDUS :

"Sauf qu'à Arlington, il n'y a QUE des personnages connus et que l'on ne peut y être enterré que si l'on a rendu des "services" à la Nation ; ici, les Etats-Unis d'Amérique. De plus, le petit père Adamski est inhumé dans le même carré que J-F. Kennedy, carré où ne se trouvent que des défunts importants. Voili-voilà."

      Nous sommes évidemment preneur pour toute information, comme celle-ci, concernant les critères d'admission à ce cimetière d'Arlington. Merci d'avance...

      Cependant concernant l'affaire du cimetière d'Arlington, le 26/11/07, nous avons eu l'idée de contacter La Fondation Adamski (Gafintl@aol.com) pour l'interroger au sujet de ce qui précède et le 28/11/07 nous avons reçu en substance la réponse suivante: ...." Adamski is buried in Arlington because Mrs. Wells petitioned the Military to do so due to his service in the U.S Calvary along the Mexican and U.S Border around the time of World War ONE ... We have his official discharge papers from the U.S Army as well. This has nothing to do with any of his UFO connections or materials presented to the Government." " qui pourrait signifier à peu près , "...Adamski est enterré à Arlington parce que Mme Wells organisa une pétition afin que l'Armée le fasse, en raison de sa participation au corps de la Cavalerie U.S, le long de la frontière américano-Mexicaine, lors de la première Guerre Mondiale et nous avons ainsi les papiers officiels qui le confirment. Cela n'a rien à voir avec aucune affaire et équippement d'UFOs, qu'il présenta au Gouvernement."

      A la question : - Do you have got a photograph of the Adamski's tomb ? la réponse fut : " Yes, it is also published in several books ..." - Oui, elle a été aussi publiée dans de nombreux livres.

      Nous avons aussi posé, à la Fondation, la question : "I got, a French document, where there is the assertion that "GEORGE ADAMSKI was not a money-grubber, because he left all his royalties to Desmond LESLIE ". Can you confirm this affirmation ? Have you a page of a document that proves it ? (voir plus haut) .

      Et la réponse du même jour fut : " This has been known and published for years ...George Adamski, our personal friend and coworker, NEVER grabbed any money ... He offered his books to many countries and translations with NO ROYALTIES ..... The copyrights for his books DID NOT pass to Desmond Leslie, but rather to Alice K. Wells, his one time student and coworker with him from the 1930s, and ourselves. Naturally, we all have all the legal documentation to affirm this ...", que l'on pourrait traduire modestement : "Ceci est bien connu et a été diffusé largement pendant des années. George Adamski notre ami et collègue n'a jamais couru après l'argent. Il ne réclamait jamais de droits d'auteurs pour la traduction de ses livres et les droits de son livre n'ont pas été dévolus à Desmond Leslie, mais plutôt à Alice K. Wells son étudiante et collaboratrice de la première heure dès 1930 et à nous même. Naturellement nous avons les documents officiels qui le prouvent..."

      Merci donc à la Fondation Adamski, pour tous ces éclaircissements...

III Un certain plus en provenance de l'ingénieur Ian NORRIE.


      En Mai 1972 le Directeur de la revue Ondes Vives a eu le plasir de rencontrer Ian NORRIE à Londres, lors du congrès du Groupe Contact dirigé par Brinsley Le Poer Trench, intitulé " The sky people" publié dès 1960 aux USA ( voir notre article: http://www.artivision.fr/docs/peupleciel.html). C'était un ingénieur très érudit, très ouvert, très positif, vivant au Mexique et a qui on n'en contait pas. Lui et sa charmante épouse ont connu intimement George ADAMSKI, et c'est pour cela que la revue Ondes Vives a présenté d'Avril à Juin 1973, 3 volets concernant les déclarations de Ian NORRIE, au sujet de ses rencontres avec ADAMSKI. Le premier volet étant des généralités sur l'ufologie, passons directement au deuxième volet, présenté dans le n° 85 :


      De la page 5 à la page 12 , on trouve alors :

Rubrique: Soucoupes volantes.

NOTES EN PASSANT (Suite II)

GEORGE ADAMSKI
par IAN NORRIE


      .....Comment camper un homme comme George ADAMSKI ? Façon de parler, d'ailleurs, car il n'existe justement aucun homme comparable à G.A. Il était unique, et le demeure... Nul autre individu n'a fourni, avec documents complets et photos à l'appui, une épopée personnelle analogue. I1 venait de publier à l'époque (1955) "A l'intérieur des Vaisseaux Spatiaux", cette saga fantastique dans laquelle il s'est trouvé entraîné à la suite de son contact initial, relaté dans "Les Soucoupes Volantes ont atterri.." . Le second livre est un gros morceau à avaler et il n'y a rien d'étonnant au fait qu'il ait été accueilli par un grand nombre de gens com- me un gigantesque canular. Jusqu'à ce jour, pour la majorité d'entre eux, la question cruciale est sans aucun doute : "L'a-t-il fait ou ne l'a-t-il pas fait ?".

      Comme il ressort de mes notes précédentes, l'impact de ma rencontre avec ADAMSKI a eu des implications très différentes. Quelle mouche l'avait piqué ? Je brûlais de curiosité de savoir ce qu'il avait dans le "tube". Pour moi, la question cruciale était : "En est-il un ou n'en est-il pas un? " . (Un surhomme probablement :Note de la trad.). Ce fut notre chance (de ma femme et moi-même) d'avoir pu construire notre association avec lui entièrement sur la base d'une relation personnelle intime. Jamais nous ne l'avons vu devant une foule ou sur un podium. Et sans doute avons-nous eu le privilège déloyal, dans une société parlant en majorité l'espagnol, de le mettre au pied du mur avec son anglais, surtout parce que son anglais californien, teinté d'accent polonais, était une chose au charme bizarre probablement aux trois-quarts incompréhensible pour des Mexicains!

      J'ai toujours constaté que certains types de personnes "passent la rampe" de manière plus convaincante dans leurs écrits tandis que d'autres n'y parviennent qu'en se présentant eux-mêmes. Adamski appartenait in contestablement à ce second type. En fait, c'était un orateur complètement fascinant et aucun de ses écrits malgré leur sincérité et leur portée ne mettait pleinement en relief l'énergie et la profondeur qui le caractérisaient, en laissant par moments paraître l'image d'une personnalité supérieure. Sa voix grave et sonore, sa foi totale dans ce qu'il faisait, son infatigable consécration à chacun et à tous (y compris â une aussi inexistante entité que Ian Norrie), tout cela laissait des impressions de ta plus haute envolée.

      Mais un orateur "fascinant" ? Voilà un mot qui sonne parfois mal. On pense toujours à ceux qui associent la fascination au phénomène Adolf HITLER ! Et d'autres, à l'extrémité opposée, se hérissent quand on leur rappelle du même coup qu'un charpentier Nazaréen ne devait pas avoir été dépourvu de ce genre de pouvoirs. Pour mémoire, je dirai qu'après une petite réunion dans une autre demeure privée de Mexico City au cours de laquelle Adamski avait discouru jusque fort tard dans la nuit, une élégante dame française que nous raccompagnâmes chez elle après la soirée, nous fit cette remarque qui venait du coeur : "Yo quiéro a ese hombre" (J'aime cet homme). Certes, nous avions tous éprouvé un peu de cette ferveur contagieuse qu'ont dû ressentir les premiers chrétiens lorsqu'ils émergeaient de leurs réunions dans les catacombes de Rome.

      Et maintenant, une image a dû se former dans l'esprit du lecteur concernant Adamski le "cultiste" (Note de Ian Norrie : sorte de contacté, ayant une aura semi-religieuse recevant des messages télépathiques d'outre-espace, où il est question de systèmes théologiques centrés autour d'un Père Céleste et de ses délégués appelés "les frères"). En bien, pas question de le nier : il l'était ! Et sur une grande échelle ! Mais ce qui était particulièrement frappant chez lui, c'est qu'il était aussi un homme tout à fait "logique" et tout d'une pièce ! Il possédait TOUT au bout de ses doigts, le charabia scientifique comme le bien-être de l'Homme et de sa planète. Quelque chose comme ceci : "le guide de l'homme vrai dans la société, la technologie et la religion cosmiques".

      Juger les "cultistes" est une affaire fort délicate. Nous risquons de nous embarquer dès le départ dans une étude pour laquelle nous n'avons pas réellement les éléments nécessaires, un peu comme des géologues qui partiraient en mission de prospection sans appareils de detection des minerais. La seule indication visible qui guiderait les géologues serait fournie par les affleurements de minerais sur le sol. L'un des traits essentiels qui caractérisent TOUTES les enquêtes relevant de la science "marginale", c'est que les enquêteurs paradoxalement essaient d'estimer quelque chose qui PEUT ne pas être susceptible d'évaluation. Nous n'avons tout simplement pas tous les pouvoirs requis. Certains d'entre nous les possèdent : il y a des "sensitifs" parmi nous. Mais que de fois, dans les cas de contact, l'approche et le comportement à notre égard des êtres de l'espace nous semblait complètement illogiques, sans rime ni raison. Personnellement, je serais disposé à croire que leur logique est probablement et souvent, totalement différente de la nôtre et qu'il est par conséquent peu utile de se creuser la cervelle pour se demander quelles raisons leur font contacter certains types de personnes invraisemblables. Et si certains de ces contacts se manifestent à nous comme "cultistes", en toute honnêteté, quel appareil de détection possédons-nous pour les jauger ? Des détecteurs de mensonge ? Des détecteurs de divinité ? Des analyseurs de sainteté ?

      Le point noir de l'histoire, c'est, bien entendu, que de si nombreux "cultistes" aient été reconnus pour des farfelus s'abusant eux-mêmes, ou travaillant à partir de bases très douteuses ; aussi n'est-il que trop na turel que le public d'intelligence moyenne réagisse à leurs dires avec une réserve marquée. Nous savons tous que nous avons besoin d'âmes bien-intentionnées dans le monde, mais leurs références sont trop souvent suspectes. Celles d'Adamski étaient incendiaires et le résultat a été une tendance marquée à le rejeter comme un rêveur sans importance qui s'abusait lui-même. Aimé MICHEL, ce grand Ufologue, donne par exemple, à la page 51 de "La Vérité sur les Soucoupes Volantes", un compte-rendu superficiel d'une "sombre histoire" racontée par G.A., etc... en concluant par un verdict de cynisme à peine déguisé. J'ignore ce que sont ces opinions à l'heure actuelle, mais je pense que de tels verdicts ont été malencontreusement confondus avec la méthode scientifique. Et cela renvoie à la question que je posais dans mes précédentes notes : "quand on approche des frontières de la science, où la méthode scientifique s'arrëte-t-elle dans sa capacité de vérification ?" Et peut-elle aller au-delà de ce point ? La réponse est : oui. Toute la science d'avant-garde n'est pas que fantaisie â la gomme, comme le sait tout chercheur contemporain. Et parfois elle en- traîne le savant "terre-à-terre" dans ces sphères religio-moralisantes qu'il exècre tant ! Je signalerai en passant les travaux extraordiaires réalisés par les laboratoires Delaware, à Oxford, Angleterre (dont certains aspects sont d'une telle importance que j'espère en discuter dans des notes ultérieures). La recherche de Delaware était scientifique par excellence et centrée sur les manifestations presque inconnues des radiations émanant de la MATIÈRE ORGANIQUE opposées à celles de la matière INORGANIQUE, particulièrement en ce qui touche les phénomènes très significatifs de résonance entre un être humain et son groupe sanguin, MÊME EN CAS DE SÉPARATION DE PLUSIEURS MILLIERS DE KILOMÈTRES. Un trait extraordinaire de cette étude était que la manipulation effective de l'appareillage électronique dépendait, quant à ses résultats, des "qualités" de l'opérateur lui-même ! Et dans l'une des premières publications du Laboratoire Delaware, il est dit que "l'influence de l'esprit sur la matière physique devient de plus en plus apparente dans ces travaux, de sorte que le caractère vraiment fondamental des forces en jeu devrait intéresser au même titre le PHYSICIEN, le PHILOSOPHE et le THÉOLOGIEN". (C'est moi qui souligne).

      Quelqu'un saisit-il le message ? Se pourrait-il que le travail de I'Ufologue dépende de plus en plus des "qualités" de I'Ufologue lui-même ? Nous pourrions peut-être être conduits à adopter un mot nouveau assez effrayant : "Ufosophie" et la "Méthode Ulosophique". Une fois arrivés là, arrêtons-nous pour porter sur Adamski un second regard plus appuyé. Il se pourrait que pas mal d'Ufologues découvrent qu'ils ont trouvé leur Gunga Din ! (personnage de Kipling, note de la trad.).

      Le Mexique est un pays fascinant pour les étrangers. Et Adamski n'était pas immunisé contre cette fascination. Il a souvent parlé du Mexique comme devant avoir un rôle important dans l'avenir. A cette époque, en 1957, il envisageait toutes les possibilités de venir s'y établir. Palomar ne semblait pas offrir toutes garanties pour l'avenir. Et ce fut ma destinée inattendue de me meWe en quatre pendant un an ou deux pour l'aider à trouver un lieu convenable. Une correspondance volumineuse se développa. Cette correspondance couvrit également un bon nombre de traductions que je fis pour lui d'un cas très significatif qui était alors en cours de publication dans le journal mexicain "Novedades", et qui, plusieurs années après, devint une affaire extraordinaire mêlée à l'"Histoire du Chauffeur de Taxi Mexicain" (Salvador Villanueva Medina) de 1953. (J'espère parler de cela à une date ultérieure)
(Note du Webmaster: voir la page : http://pagesperso-orange.fr/gnosis-samael/text/NC02.html).

       I1 y a eu aussi de charmantes lettres d'Alice Wells et Lucy Mac Guinness. De délicieuses élégies prénatales pour l'enfant que ma femme attendait incessamment. Mais par dessus tout - tandis que je relis ces lettres aujourd'hui - je me souviens du charme ingénu d'un homme fort, mais simple, non affecté par l'appel du destin à jouer un rôle turbulent et théâtral, d'un homme réduit â s'occuper des choses de la vie quotidienne, soupesant les détails des différents projets possibles d'établissement au Mexique; de la vente de Palomar ; de mobiliser ses finances loin d'être brillantes, pour pouvoir se déplacer... (quelques conférences supplémentaires seraient probablement nécessaires)... recevait un courrier massif du monde entier et l'attention qu'il portait au notre n'en était que plus touchant. Tout cela était profondément intéressant et excitant.

       était très attiré par les rives du Lac Chapala. Il y avait passé les fêtes de Noël et Nouvel-An en 1956 dans une charmante maison louée juste en dehors du village de Chapala. Et ma femme et moi avons passé une journée mémorable en ce lieu avec lui et son petit entourage, Alice Wells et Lucy McGuinness. Bien des choses ont été dites là. Quand on vous signale que quelques jours avant seulement, le principal contact de l'espace "Orthon" se tenait sur le tapis que vous êtes en train de fouler, votre pouls s'accélère un tantinet ! Il avait soudainement apparu sans ouvrir les portes fermées avec un compagnon. (Ce type de phénomène a été rapporté dans un certain nombre de cas).

      Une partie essentielle des plans d'Adamski était de créer une sorte "d'université cosmique" au Mexique, ainsi qu'un projet parallèle d'établir une communauté de personnes décidées à vivre ses enseignements et adopter son mode de vie. Mais le temps passa et Adamski se remit à voyager, en Europe et en Australie, je crois. En plus de cela, se produisit une intervention malveillante mystérieuse venant d'une tierce personne, et c'est sur nous que ricocha le coup de poignard dans le dos. Nous sûmes instinctivement de qui il s'agissait. Mais le résultat fut que nous perdîmes le contact avec Adamski pendant six longues années. Tout le projet d'établissement au Mexique, selon toutes apparences, s'évapora.

      Puis, à la fin de 1964, à notre grande et joyeuse surprise, arriva une carte de Noël, signée par G. Adamski et Alice Wells, cherchant une reprise de contact positive durant leur imminente visite au Mexique au moment de Noël. Ils passèrent un après-midi de janvier dans notre mouchoir de poche d'appartement - inoubliable comme toujours - en compagnie d'un autre couple associé à son travail. Mr. et Mrs Hanson. Ce qui est demeuré gravé dans ma mémoire, c'est la tranquille et franche reconnaissance par Adamski d'avoir misé sur quelques mauvais chevaux six ans auparavant au Mexique, et qu'en vue de son oeuvre future, il était très désireux de remettre les choses au point avec nous, afin que nous puissions continuer à collaborer pleinement. Par quelques commentaires concis il nous fit savoir ce qui s'était passé tout juste comme nous l'avions subodoré! Un cas typique d'égoïsme humain assaisonné de méchanceté.

      C'est au cours de cette même petite réunion autour d'une table de déjeuner qu'il parla beaucoup de son projet de colonie mexicaine et me donna pour la première fois le nom et l'adresse du Major Hans PETERSEN, au Danemark, qui avait déjà CINQUANTE familles prêtes à traverser l'Atlantique pour se joindre à cette communauté. Ce fut la bévue monumentale que nous commîmes, ma femme et moi, en nous lançant dans ce projet avec toute l'aide bilingue que nous pouvions apporter (Note Ondes Vives Ian Norrie et son epouse parlent couramment l'espagnol et l'Anglais ). Je dois confesser que j'avais déjà à cette époque des préjugés défavorables à l'égard de toute forme de "travail de groupe" par des êtres humains. OUSPENSKY avait insisté sur la nécessité du travail "d'école" et je n'étais pas d'accord avec lui. L'être humain est trop fragile. Combien de groupes fervents ont été lancés avec du champagne spirituel, pour se retrouver par la suite échaudés ! L'histoire de la plupart des mouvements religieux du monde est parsemée de dissensions et de schismes. Il a été dit : "Donnez un statut à un mouvement, et c'est le commencement de sa dégénérescence". Un modus operandi prudent, à mon avis, consiste à limiter son ambition à une association souple de personnes se sentant des affinités communes vers quelque idéal, avec des réunions facultatives et pas de hiérarchie. Un exemple assez proche de cette formule est celui du STAR FELLOWSHIP d'Angleterre.

      II était donc inévitable que ce soit avec quelque appréhension que j'aborde le seuil du projet mexicain d'Adamski. Je savais que ce projet dépendrait presque entièrement du chef. Il existe bien peu de personnes auxquelles je ferais confiance pour diriger un groupe d'êtres humains en vue d'un projet aussi ambitieux Mais je sentais qu'Adamski était l'une d'elles. Hans PETERSEN m'avait expliqué dans une longue lettre que ses familles européennes ne feraient la traversée que pour entrer en contact avec ADAMSKI en personne. Il n'y avait pas de remplaçant possible ! Cela me remit en mémoire un autre groupe que j'avais pu observer, plusieurs années auparavant, au Mexique, et qui m'avait laissé avec un pénible sen- timent de vide. Louis PAUWELLS a commenté cette singulière absence d'un seul mot vital dans l'ensemble du système proposé par OUSPENSxY : le mot "amour". Adamski n'avait vraiment pas besoin d'employer ce mot : il l'incarnait lui-même.

      Mais quatre mois plus tard, G.A. était mort (pour ce monde-ci) et enterré dans le cimetière d'ARLINGTON.

      Et cela mit évidemment un point final au projet mexicain.

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      Quel est, après toutes ces années, mon bilan sur Adamski ? Tout d'abord, je suis certain de n'être pas qualifié pour faire le "bilan" d'une semblable personnalité. Des plumes plus talentueuses que la mienne lui ont déjà payé tribut. Desmond LESLIE a écrit une belle notice biographique dans le "Cosmic Bulletin" de Septembre 1965 de la Fondation Georges ADAMSKI (qui, je crois, a paru également dans la "FLYIIVG SAUCER REVIEW").

      Tout ce que je pourrais dire concerne l'influence qu'il a eue sur moi, qui suis un morceau d'argile humaine tout-à-fait tri-dimensionnelle, ainsi que ce que j'ai été amené à croire rétrospectivement. En outre, ce sont essentiellement les découvertes d'un géologue dépourvu d'appareils de détection des minerais. Je peux simplement offrir le point de vue limité qu'on peut tirer des résultats obtenus par Adamski lui-même tels qu'ils furent présentés.

      Au cours des premières années de nos relations, postérieurement à 1957, il y eut évidemment des moments où je me suis repris en mains, me disant : "allons, retournons à la méthode scientifique : examinons toutes les preuves en les passant au peigne fin, mais n'avalons pas tout sans nécessité!". Une petite affaire épineuse surgit lorsque fut publié le livre de Dino KRASPEDON; KRASPEDON avait affirmé que Saturne n'était pas habité. Or, les principaux "maîtres" d'Adamski venaient de Saturne. Lequel avait raison ? (D'après une récente note publiée par la Flying Saucer Review, je comprends que KRASPEDON a été complètement discrédité).

      On avait déjà de nombreuses preuves de phénomènes étranges, difficilement explicables par notre science (tels que la matérialisation et la dématérialisation des soucoupes). Quelquefois, Adamski donnait des explications, mais il a toujours résolument refusé d'admettre la moindre E.S.P. (perception extra-sensorielle. Note trad.) ou des explications mystiques qui sont facilement admises aujourd'hui. Les soucoupes étaient réelles et tangibles et leurs occupants idem. Pas de trucs bizarres chez Adamski. Dans un domaine d'étude aussi peu conventionnel, il pouvait paraître curieusement prosaïque.

      Et puis, naturellement, il était californien, de ce pays où il est dit que n'importe qui pourrait commencer un nouveau culte et qu'il y aurait toujours un millionnaire au coin de la rue pour le financer ! Pour de nom breux Européens, c'était la damnation ultime. Mais minute ! Un autre californien (par adoption) a très fortement retenu mon attention plus tard, pour des raisons que j'exposerai ultérieurement, et c'est l'auteur anglais Aldous HUXLEY. Aussi suis-je d'avis de laisser à la Californie le bénéfice du doute... Nous autres pauvres bougres de britanniques, nous avons pas mal à apprendre !

      Peut-être l'aspect rétrospectivement le plus paradoxal de toute l'affaire d'Adamski dans le vaisseau spatial est le suivant : dans une génération nourrie par les écrits de John KEEL, Ivan SANDERSON et B. LE POER TRENCH, habituée à toutes sortes de phénomènes hors du commun, d'explications insolites (pas toujours plaisantes) et bien souvent une complète absence de logique dans les contacts extra-terrestres, on s'étonne que l'histoire d'Adamski demeure si orthodoxe, si rationnelle dans sa forme, si pure de lignes, si (mille excuses ! ) californienne !... Un critique diabolique pourrait y voir des affinités avec la petite satire scabreuse d'Evelyn WAUGH sur les rites funéraires californiens : "Celui Qu'on aime". On se trouve entraîné par moments un peu trop généreusement dans des groupes de femmes élégamment vêtues qui sirotent de rares jus de fruits de l'espace, et régalés par des joyaux de sagesse spatiale... On n'a jamais entendu dire qu'Adamski ait eu maille à partir avec des êtres velus aux oreilles faunesques, privés de bouches et aux yeux d'un rouge de braise, qui s'évanouiraient en laissant une odeur de soufre... tandis qu'Adamski s'exclamerait : "Bonté divine ! Qu'est-ce que c'était que ça ?" On ne peut tout de même pas nier que sur les centaines de cas de contact qui couvrent grosso modo les dernières décades, il y en a très peu qu'on puisse qualifier d' "étranges". Ivan SANDERSON, dans ses "Visiteurs sans invitation" nous a donné quelques points de vue nouveaux et surprenants mais d'une importance vitale, brillamment commentés et interprétés aussi par Brinsley LE POER TRENCH dans son livre : "OPERATiON EARTH". Avant tout, un grand nombre de nos visiteurs extra-terrestres pourraient être des entités "téléguidées" (je suppose qu'il est difficile d'éviter le vilain mot de « robots »). De telles entités ne manifesteraient pas l'ombre d'une émotion et prêtent le flanc aux interprétations les plus erronées de notre part.

      C'est avec toutes ces chicaneries au fond de l'esprit qu'il fallait faire entrer Adamski dans notre imagerie mentale. On le voit se rendre à des réunions très dignes dans des vaisseaux spatiaux pour s'entretenir avec des personnages splendides, de type humain.

( A suivre: Ian Norrie )

     De la page 3 à la page 10 , dans le n° 86 ONDES VIVES de Juin 1973, on trouve alors :

Rubrique: Soucoupes volantes.

NOTES EN PASSANT (Suite III et fin )

GEORGE ADAMSKI
par IAN NORRIE


      ....Adamski raconte comment il va dans des vaisseaux spatiaux pour s'entretenir avec des personnages splendides de type humain Qui vivent et respirent apparemment sans difficultés dans toutes les atmosphères planétaires... et le "bizarre" ne semble jamais, de loin, entrer dans son expérience. C'est sans vergogne qu'il présente son entière expérience et l'enseignement qu'il y associe comme un système glorieux comprenant un père cosmique utilisant des "Frères" qui exécutent ses volontés. Quiconque se trouvant dans un état d'esprit outrageusement désinvolte pourrait imaginer un personnage de ce drame s'écriant : "Ne regardez pas davantage ! Il y a un "loup" qui s'est introduit dans la pièce! Modifiez le cours de l'intrigue pour éviter des ennuis". En outre, tout cela est conté avec une clarté consciencieuse et ordonnée, en termes réfléchis, mesurés... Il n'est jamais question du genre d'expériences dont on ne se souvient qu'à moitié parce que similaires au rêve, comme c'est si souvent le cas dans les récits des autres contactés. Mais comme l'ont déclaré beaucoup des critiques d'Adamski, toute tentative de l'obliger à s'en tenir à des réponses claires et concises pour des questions également claires et concises au sujet de ses voyages, a fréquemment abouti à une évasion dans la philosophie au lieu d'une concession raisonnable à la "méthode scientifique".

      La pittoresque description de la face cachée de la lune, aux pages 227 et 228 de "A l'intérieur des Vaisseaux Spatiaux", agrémentée par des pentes boisées, des lacs et des villes, n'a pas exactement été confirmée jusqu'à présent ! Toutefois, aucune des photos prises sur la lune même, de tout ce que les cosmonautes ont vu sur cette face n'a été publiée! On attend également la corroboration des scènes télévisées de la vie rustique et citadine sur Vénus décrites aux pages 235 et 236. Les données récentes obtenues par les sondes spatiales américaines et russes indiquent des conditions bien différentes - pour le moment ! (Notes du Webmaster: Le site ARTivision s'est fait aussi un devoir de démontrer que toutes les planètes sont creuses et que même si la surface externe est très défavorable à la vie, celle-ci pourrait se dévélopper à l'intérieur de la planète sous l'impulsion du soleil central ).

      Autre bizarrerie turlupinante : comment Adamski et son escorte purent-ils "sortir de la soucoupe et traverser l'avant du vaisseau-mère" (simplement comme ça, dans les profondeurs de l'espace !) comme il est dit à 1a page 247 ?

      Ses meilleurs amis peuvent difficilement nier que son histoire soulève quelques points d'interrogation assez réfrigérants !

      Mais notons seulement en passant que le Dr H. PERCY WILKINS, F.R.A.S., a écrit dans la F.S.R, d'Octobre 1957 : "L'idée que les deux faces de la Lune sont totalement dissemblables et qu'il y a une atmosphère sur la partie cachée, ainsi que de l'eau sous forme de mers et nuages n'est en rien nouvelle. Cette idée a été émise pour la première tois dans la première moitié du xue siècle par le Professeur HANSEN" .

      De sorte que le beau chahut que nous étions prêts à faire tourne court !

      Mais essayons vraiment de serrer de près George ADAMSKI. Si nous sommes visités par des extra-terrestres, il est évident qu'ils proviennent d'une grande variété d'origines cosmiques, et même de galaxies différentes. (Oubliez toute cette affaire de vitesse de la lumière, j'aurai mon mot à dire là-dessus plus tard ! ) En outre, il existe maintenant des indices non négligeables que certains d'entre eux pourraient provenir de la Terre ou ses environs immediats. ( voir même effectivement de l'intérieur de la Terre) . Par conséquent on peut s'attendre à une grande diversités d'objectifs, de types de comportement et d'aspects physiques chez nos visiteurs.(Certaines sources ésotériques prétendraient qu'environ une cinquantaine d'extraterrestres visiteraient régulièrement la planète)

      Perdrions-nous la face de façon fracassante en supposant qu'Adamski ÉTAIT une personne choisie, d'une espèce différente de la nôtre, et parconséquent favorisée par des contacts restreints, provenant d'un secteur sélectionné de l'espace, qui serait très probablement capable d'offrir une aide à notre Terre ? Les faunes poilus à odeur de soufre pourraient-ils avoir été invités à prendre le large devant Adamski ? Cela étant admis, il serait pervers de notre part de continuer à rechigner devant la sérénité du continuum immaculé dans lequel s'est déroulée son expérience.

      Après tout, si nous supposions que notre objectif est de faire connaitre â un aborigène terrestre d'intelligence sélectionnée les principales œuvres de notre prétendue civilisation, il est probable que nous le dirigerions sans délai sur les parangons de l'humanité que nous connaissons, nous efforçant ainsi de notre mieux de lui éviter le gaspillage de son temps avec les cinglés et les escrocs.

      Même s'il s'agit-là d'une juste perspective pour jauger ADAMSKi, elle laisse cependant tout une chaîne de questions troublantes sans réponses. Etant donné notre tendance à nous référer aux extra-terrestres en parlant d'"eux" ou de "leurs" intentions, etc... nous "les" considérons, de notre propre chef, comme offrant tout une gamme d'êtres de toutes espèces, depuis ORTHON jusqu'à la plus insolite des étrangetés. Mais qui contrôle tout cela ? Qui coordonne les visites ? Qui donne les ordres d'atterrissage ? Où la politique de visitation terrestre s'élabore-t-elle ? D'après ADAMSKI, son rôle dans le drame, pour ainsi dire, était dirigé de Saturne. On imagine une sorte de Directoire du Système Solaire. Mais qu'est-ce que ce Directoire peut avoir à dire à propos des visiteurs en provenance d'autres systèmes ? ADAMSKI a déclaré avoir reçu la visite d'Hommes en Noir ; mais, cela mis à part, je ne me rappelle aucun rapport de sa part faisant état d'expériences bizarres du type de celle de Mrs APPELTON, ou des BARNEY HILLS ni même, en fait, aucune allusion à un contact personnel avec des EXTRA-GALACTIQUES ou d'autres visiteurs hors-série. De toute évidence, quelque chose ou quelque pouvoir éloignait de lui ce genre d'expériences.

      C'est ce qui constitue une réponse indirecte à cette question "banco" (de 64 000 dollars) : "Où la vie cosmique intelligente se termine-t-elle et où commence l'intelligence divine ?" La ligne de démarcation devient de plus en plus difficile à situer. De mon point de vue, je vois la solution la plus probable dans la conception du Dr Rollf ALEXANDER d'un vaste corps cosmique d'énergie primordiale, considéré en gros comme Dieu, englobant toutes les entités vivantes dans le cosmos, exactement de la même manière que le corps humain englobe la masse des cellules vivantes, sous nos yeux mêmes, toutes vivant activement leurs existences indépendantes. Toutefois, elles échappent totalement à notre contrôle, lequel consisterait à dire à l'une d'entre elle : "déplace-toi vers la droite", ou bien "déplace-toi vers la gauche". Cependant, en un instant, vous pouvez lever votre main et la masse totale de millards de cellules se déplacera vers le haut de quinze centimètres à VOTRE commandement. L'univers est peut-être régi par quelque "Grosse Légume", selon son vaste programme politique, et nous, en tant que cellules individuelles, pendant que nous préparons notre café de notre façon favorite, embrassons les filles que nous décidons d'embrasser, etc... nous sommes tout le temps en train de nous conformer à quelques maître-plan plus vaste qui nous a été destiné. Cela pourrait rendre compte des "extra-galactiques" et autres "étrangetés" n'appartenant pas au plan particulier d'Adamski.

      Cependant, cela n'explique pas tout. Regardez de nouveau votre main. Vous pouvez lever de quinze centimètres cette main, parfaitement, avec ses milliards de cellules. Mais est-il RÉELLEMENT exact que vous ne puissiez pas contraindre ces cellules à vous obéir dans leur propre existence microscopique ? N'est-ce pas là l'essence même des "pouvoirs mystiques" ou simple phénomène de télékinésie le pouvoir mental de diriger la matière à son propre niveau ? je viens de voir »n film en couleur d'opération pratiguée sur la jambe d'une dame par l'un des plus extraordinaire médecin de topus les temps ; IL N'UTILISE AUCUN SCALPEL mais ouvre les chairs avec le "pouvoir" de ses mains, enlève les tumeurs malignes ou autres ulcères (avec beaucoup de sang en évidence) et finalement referme la plaie avec ses mains en ne laisant aucune cicatrice!En outre, tout cela est pratiqué sans la moindre précaution d'hygiène, dans n'importe quelle cabane remplie de mouches... Il était non seulement visible que les cellules de la chair obéissaient à la volonté de cet homme, mais aussi que les bactéries malveillantes ne pouvaient guère lui résister davantage. (On trouve des idées extrêmement intéressantes sur les bâctéries dans le roman de Michael CRICHTON : "Le chant d'Andromède"). On se souvient aussi de nombreux cas de contact où les contactés ont signalé des portes s'ouvrant et se fermant dans les véhicules de l'espace sans aucune articulation visible au sein de la matière (Note du webmaster : Nous avons parlé plus haut de cela, au sujet du film : "le jour où la Terre s'arrêta").

      Plus on y réfléchit, plus la question "banco" s'emberlificote dans des spéculations complexes. Pourquoi, par exemple, le Contrôleur cosmique Dieu n'actionne-t-il pas un levier pour conférer instantanément la sainteté à tous les habitants de l'univers ? De toute évidence I1 ne le fait pas ! Il semble parfaitement clair que la principale Règle du Club de l'univers consiste à constamment "surmonter" l'infériorité, la négativité, et les obstacles. Nous devons tous y apporter notre quote-part, tenir ou sombrer dans nos propres essais de sagesse ou de folie. Sur la planète Terre, nous entamons le processus à partir d'un niveau lamentablement bas. ADAMSKI nous déclara, dans l'un de ses moments les plus pessimistes : "nous sommes de petits poissons d'eau profonde, nés et élevés dans les sombres abîmes, soumis à la pression de l'océan, et nous éprouvons une difficulté insurmontable à nous frayer un chemin vers le haut, vers les ni- veaux de pression plus légère". Malgré cela, il a dit aussi : " Je ne peux rien vous enseigner. Je peux seulement éveiller en vous ce qui est déjà présent Nous sommes tous nés avec l'équipement complet. Mais, dans notre ignorance de l'âge de pierre, cet équipement s'atrophie très vite. Et l'on se rend derechef compte que la solution peut seulement être trouvée dans une MUTATION de nous-mêmes. Un homme nommé Nicodème a reçu exactement la même recommandation il y a deux mille ans " (Jean 3/1-13).

      J'ai brossé ce qui me parait être une esquisse sensible et ouverte d'ADAMSKI. Il y avait beaucoup de trop de choses en lui pour simplement l'escamoter comme un personnage sans importance. D'autre part, un principe essentiel qu'exprime FULLER dans "Des étrangers dans le ciel" veut que "dans l'examen scientifique des phénomènes inhabituels", tout ce qui est nécessaire est de découvrir "un corbeau blanc" pour prouver que tous les corbeaux ne sont pas noirs. ADAMSKI avait au moins un ou deux corbeaux gris ! A la fois par ce qu'il était et par ce qu'il faisait, sa personnalité pouvait inciter cinquante familles à quitter leur domicile en Europe pour se joindre à sa colonie au Mexique (combien de personnes de votre connaissance pourraient en faire autant ? ) ; et cependant, il pouvait témoigner d'un manque de jugement ahurissant à l'égard des personnes humaines. Quant au plan des choses pratiques, concernant les FAITS, quelques hommes de science, comme je l'ai déjà dit, l'ont trouvé évasif de façon gênante, adoptant une sorte d'attitude "à prendre ou à laisser". J'ai été moi-même dans les services secrets de l'ingénierie militaire pendant une partie de la guerre. Je faisais partie de l'équipe chargée de préparer les études d'ingénierie en vue de l'invasion des ports français (St- Nazaire et Lorient furent les deux qui m'ont échu). J'en connais donc un bout sur la sélection draconienne et le rejet des données. Il n'y a absolument rien de repréhensible à traiter de n'importe quel phénomène UFO, Adamskien ou autre, avec la froide analyse du savant ou de l'homme de loi. Personne n'a mieux exprimé la chose que feu Waveney GIRVAN, dans son éditorial du numéro d'Octobre 1963 de la F.S.R. dans lequel il résume le développement de l'Ufologie selon les deux lignes parallèles de la Foi et de la Science, représentées respectivement par ADAMSK1 et Aimé MICHEL. Il souligne comment ces deux écoles de pensée ont toujours été en bisbille. Je dois admettre que j'ai été traversé d'un éclair de regret quand ADAMSKI m'a dit un jour, sur un ton qui évoquait trois nuances combinées d'impatience, de lassitude et de mépris : "Ils veulent toujours des preuves". Rétrospectivement, je dis maintenant : Qui sommes-nous, pauvres mottes d'argile humaine, pour établir une différence entre un Kraspedon ( Onde Vives: Nous publierons bientôt un résumé des contacts de Kraspédon avec les Extra-Terrestres) et un Adamski ? Ne sommes-nous pas des réprouvés pour chercher à prouver des faits, si insipide ou désagréable que l'opération puisse paraitre à un homme sincère et bon ?

      Là où je pense que Waveney GIRVAN se casse la figure en beauté, c'est dans son bref jugement critique de la philosophie cosmique d'ADAMSKI: "Elle n'est pas sans valeur, mais comparée aux pensées des grands philosophes connus de nous, c'est de la petite bière". I1 y a tant à dire à ce sujet que je ne l'essaierai pas ici autrement qu'en disant que ce jugement prouve que Girvan n'était par un " Ufosophe " ! J'ai le sentiment que les philosophes extra-terrestres appartenant à certaines cultures hors de notre portée, doivent joliment rire de nos philosophes minables! Ce que GIRVAN voulait dire, naturellement, c'est que, selon les normes de la planète Terre, ADAMSKI n'était pas un "intellectuel" . Comme écrivain, il ne valait certainement pas grand'chose. Mais c'est précisément pour cela que le délicat chemin intermédiaire de l' "Ufosophie" doit élaborer un nouveau et remarquable système de valeurs. Je rappellerai seulement en passant l'un des plus remarquables exemple des temps modernes d'une sorte de "mutation" d'un homme dont le nom compte parmi les "lions intellectuels" de l'Angleterre mais qui, dans ses dernières années, rejetant tout cela comme un passé sans importance, DÉCOUVRIT l'idéal du "Sur-homme" - en Californie - et y consacra le restant de ses jours. C'était, bien sûr, Aldous HUXLEY. On a dit de lui : "L'idéal du saint a remplacé lentement l'idéal de l'artiste". Il en vint à considérer même les meilleures pièces, ou romans, comme de SIMPLES RÊVES ÉVEILLÉS ORDONNÉS. Le brio intellectuel a cessé d'être l'argument le plus subtil et convaincant de ses écrits sur le mysticisme actuel ; quant à sa vocation "artistique", elle s'est effacée. Son dernier roman "Islande" a été un désastre.

      Mais dans la "Philosophie Eternelle" et "l'Eminence Grise ", il nous entraîne au cœur du sujet. I1 fait précisément remarquer que beaucoup de philosophes et métaphysiciens du monde n'auraient pas nécessairement la vedette selon les normes cosmiques, si brillants qu'aient pu être leurs écrits, PARCEQU'EUX-MÊMES, N'AVAIENT PAS LES CARACTÉRISTIQUES D'HOMMES BONS !.

      Dans cette perspective, le commentaire de Waveney GIRVAN aurait besoin d'être sérieusement reconsidéré.

      II est curieux qu'HUXLEY et ADAMSKI aient vécu si près l'un de l'autre. A ma connaissance, ils ne se sont jamais rencontrés. Je n'ai pas davantage souvenance de la moindre allusion par HUXLEY aux UFOs ou aux questions spatiales. Cependant, la vision des deux hommes les a poussés vers une condition humaine beaucoup plus noble que celle que nous connaissons aujourd'hui. Chacun d'eux a eu une mission différente à remplir d'une manière différente. En dépit de 1'indubitable changement d'HUXLEY en un homme meilleur qu'il n'avait été, il est resté essentiellement un intellectuel, capable de belles tournures de phrases qu'ADAMSKI n'a jamais pu égaler. Il est stimulant de spéculer sur la manière dont ils se seraient mutuellement appréciés.

      Peut-être le lecteur a-t-il maintenant plus ou moins saisi le point de vue de l'auteur sur ADAMSKI ? Il s'agit essentiellement d'un point de vue "ufosophique". Je reconnais volontiers que pour l'Ufologue rigoureusement orthodoxe, il y a bien des facteurs gênants. Je me souviens d'un épisode, à Chapala, qui m'a éclairé sur l'étrange versatilité du caractère d'ADAMSKI, attestée par beaucoup de gens qui l'ont rencontré en personne. Son charme enjôleur pouvait assez soudainement céder la place à une irritabilité vociférante qui ne cadrait pas toujours avec l'homme "cosmique" ! En cette occasion, il m'a presque arraché les yeux ! Je venais de montrer des photos en couleur d'Ufos en déplacement dans le ciel. Je crois qu'une scène montrait une sorte de luminosité de forme circulaire derrière un nuage. Mes sept ans passés dans l'armée m'avaient donné l'habitude d' "apprécier la situation" à la manière classique des militaires. Ce qui revient à supputer : "Selon toutes probabilités, quelle va être l'action de l'ennemi ?" Mon esprit évoquant un public hostile et critique -l'ennemi- je pouvais m'imaginer entendre à l'avance quelque tête dure à cuire disant : "Cette grande lumière sur la gauche, ça pourrait bien être la réflexion d'un phare dans la caméra". Témérairement, j'en fis la suggestion à ADAMSKI. Et l'instant suivant, mon corps astral rampait sous la table ! C'est moi qui était l'ennemi ! Mais tout cela s'évapora - plus rapidement qu'un UfO et pendant le souper où l'on mangea du poulet Maryland, avec le vin, l'euphorie cosmique fut vite restaurée.

      Seule une personne avant été témoin de toutes ses batailles contre l'humanité incrédule (et en grande partie stupide) pourrait apprécier les épreuves auxquelles ADAMSKI a été soumis. Si ses réactions étaient à l'occasion un peu vives, j'ai compris que ce serait user d'un critère bien chétif que de négliger à cause de cela la grandeur qui résidait en lui.

      A Londres, en 1963, j'ai dit cela à votre Président International. J'étais réellement parvenu à la conclusion qu'ADAMSKI était un homme d'une autre espèce que la nôtre. Bien qu'il ait fait preuve d'erreurs de jugement sur la personnalité humaine et bien que sa longueur d'onde télépathique ne semblât pas coïncider avec la nôtre, il était, après tout, doué de facultés très humaines associées à l'argile humaine avec ses failles occasionnelles. Shrî AUROBINDO dit:

       " Le contact de la Terre est toujours revivifiant pour le fils de la Terre, même lorsqu'il recherche une connaissance supraphysique. On pourrait même dire que le supraphysique ne peut être réellement maîtrisé dans sa totalité - à ses hauteurs nous pouvons toujours parvenir que lorsque nous laissons nos pieds adhérer fermement au physique. "La Terre est son marchepied" dit l'Upanishad lorsqu'elle met en scène le Soi qui Se manifeste dans l'Univers ".

      II est difficile de prendre à la légère une déclaration remarquable que fit Desmond LESLIE, peu de temps après la mort d'ADAMSKI : "Il me montra un jour la plus extraordinaire des marques de naissances. Son nombril ne ressemblait pas du tout à un nombril humain. C'était un large disque en forme de soleil d'où partaient des rayons profondément marqués s'étendant concentriquement sur une distance d'environ quinze centimètres, depuis la taille jusqu'à l'aine. Ce que cela signifie, je n'en ai pas la moindre idée... à moins qu'il ne s'agisse effectivement du signe d'un ENFANT DU SOLEIL ".

      Mais je me demande combien de personne connaissent cet épisode qui se produisit dans la ville de Mexico :

      Au cours d'un certain dîner privé, auquel la mère de l'hôtesse ne put assister en raison d'une grave crise de calculs biliaires, on s'aperçut, lorsque les convives prirent place, que par suite d'un oubli, le siège inoccupé n'avait pas été retiré. Et du vin avait été versé dans un verre de trop. L'on demanda à ADAMSKI de suggérer quelque chose. I1 répliqua, avec sa bonne humeur communicative, que le siège vacant devait être offert à Notre Seigneur, le toujours présent. Puis il demanda que le verre de vin fut immédiatement porté à la mère de l'hôtesse, dans la maison où elle résidait. Il y fut assitôt porté en voiture. La dame but le vin. Elle fut instantanément guérie de sa grave maladie.

      Parapsychologie courante ? Peut-être. D'autres en ont fait autant. Mais la parapsychologie, après tout, n'est que la science connue de demain, inexplicable par la science d'aujourd'hui. Lorsqu'elle se manifeste d'une manière contrôlée chez certains individus, on peut à juste titre se demander qui sont ces personnes !

-o-


      Et maintenant, c'est à VOUS de me dire qui était ADAMSKI !

(FIN : Ian Norrie )            


IV Encore un plus, en provenance de l'ufologue Carol.A.Honey .


        Il nous semble maintenant utile de donner aussi la parole à un autre ufologue C.A. HONEY, qui a bien connu Adamski , et qui a même écrit l'introduction de son dernier ouvrage " Flying saucers Farwell ", de 1961, et dont on a déjà parlé dans l'article : RetourauCosmos.html.
          C.A. HONEY est l'auteur de l'ouvrage "Flying Saucers - 50 Years Later", non traduit à notre connaissance en français.

Introduction

C.A. HONEY


        Depuis 13 ans, j'ai poursuivi les Soucoupes Volantes observant tout fait valable, en assayant de résoudre les nombreuses questions poséés par leur présence.

        Maintenant, beaucoup de leurs énigmes ont été résolues sur la base de preuves scientifiques et je suis fermement convaincu que les hommes des sntrIs planètes sont arrivés sur la Terre :

        Dans cette conviction, je ne suis pas seul. Beaucoup de savants et d'officiels gouvernementaux, admettent maintenant que des hommes des autres planètes du système solaire sont venus sur la Terre, et que les soucoupes volantes sont des vaisseaux de l'air, d'origine extra-terrestre.

        En 1957, Je rencontrai pour la première fois George ADAMSKI, conférencier-philosophe sur les quetions de l'espace, avec l'écrivain anglais Desmond LESLIE qui coopéra à "flying saucers have landed" un des documents les mieux informés, publiés sur les vaisseaux de l'espace et leur origine. Le récit étincelant de sa rencontre avec un homme de Vénus provoca de terribles réponses des lecteurs, à travers le monde. Depuis ma première rencontre avec George ADAMSKI, nous avons travaillé ensemble à une vaste étude sur ce que les officiels préfèrent appeler des "Objets non identifiés°(O.V.N.I.)

         Mon intérêt dans la réalité des S.V. commença il y a quelques années, à BOISE (Idaho) où je vivais au moment du premier récit de Kennet ARNOLD en 1947.

        A cette époque je travaillais comme réparateur dans un magasin d'électricité d'automobile et je servais de radio pour l'avion privé et l'auto d'ARNOLD. Il visita le magasin, peu de temps après l'incident du Mont-Rainier, Où il aperçut une formation de SV, et je fus très impressionné par son histoire. Je savais que Kenneth ARNOLD était un homme calme, et n'avais aucune raison de douter de son experience.

        Je maintins mon interêt pendant plusieurs années. Dans l'été 1951, j'allais à SEATTLE dans l'Est de Washington, ou je lus des récits occasionnels sur les S.V. dans les journaux , dont la plupart "tongue-incheek" (littérallement: langue dans la joue) faisaient allusion à des hallucinations ou à la faiblesse d'esprit qui pouvait être derrière les histoires de S.V.

        Alors j'achetai un petit livre de poche intitulé "Flying Saucers are real" par Donald E.KEYHOE. Ce livre me convainquit que les S.V. étaient bien réelles et d'origine interplanétaire. Je commençai à me procurer tous les livres de S.V. qui me tombaient sous la main, aussi vite qu'ils étaient livrées au public.

        Tous étaient des récits de contacts, que je rejetai comme pure fantaisie, écrits par les farceurs, ou par des hommes sincères mais un peu faibles d'esprit.

        Un matin, je lus dans "Post Intelligencer" un avertissement disant que les personnes intéressées aux S.V. entrent en contact avec Robert J. GRIBBLE de "L'Intelligence Civile des S.V.". (Ce groupe changea plus tard son nom pour celui de " Aerial phenomena Rasearch Group " ). Je rencontrai GRIBBLE et me joignis à son organisation. Quelques moi plus tard, Gribble m'invita devenir un directeur-associé du Groupe et à participer plus activement au programme de la recherche sur les S.V. Je le fis et entrai ainsi dans "le bain" pour ainsi dire, et dans ce que je considérais comme l'agence la meilleure et la plus scientifique concernant le domaine des S.V.

        Chaque mois apportait des masses des principaux journaux du monde ; Gribble marquait sur les cartes, avec des épingles , les principaux passages et atterrissages dans le monde. Des cartes séparées marquaient d'autres incidents, en rapport avec les S.V.

        En Juillet 1957, J'allai dans la Californie du Sud. A ce moment, une nouvelle opportunité s'offrit à moi. J'étais dans la Californie du Sud. A ce moment une nouvelle opportunité s'offrit à moi. J'étais très près de la majorité des prétendus contactés.

        Quelques mois avant, j'avais réalisé que des contacts de quelque genre devaient avois été faits. Si la situation étaient renversée, et que nos vaisseaux puissent voler autour d'une autre planète , pendant plusieurs années, ils voudraient certainement , à la fin essayer d'atterrir et de rencontrer quelqu'indigène. Si nous atterrissions, et qu'accidentellement, nous rencontrions un habitant, peu importerait sa situation; nous essayerions certainement quelque sorte de communication. Les gens de l'espace ne seraient pas différents de nous, à ce point de vue.

        Le résultat de tout cela tut que je décidai qu'il valait mieu "tirer ma tête hors du sable", et enquêter auprès des contactés eux-mêmes. j'occupai mes week-ends à parcourir des centaines de milles et je visitai bien des gens. Tous étaient des personnes amicales, mais je fus très désappointé : aucun n'avait de preuves d'aucune sorte. Beaucoup organisaient des cultes ; une même, en Californie, l'incorporait dans une sorte de "religion" . Aucune de ces personnes n'était sincère.Quelques-unes affirmaient librement que leurs expériences n'étaient pas physique , mais qu'elles avaient eu des contacts "psychiques" ou "astraux"         P1usieurs proclamaient des contacts par l'intermédiaire des tablettes du OUIJA, par l'écriture automatique, pas des transes, ou des méthodes également ridicules. Aucune ne semblait réaliser que ces incidents étaient le produit de leur propre désir et ne signifiaient rien pour tout autre qu'eux mêmes.

         A ce moment , je fus si dégouté de l'affaire des S.V. que je ne voulu même pas voir George Adamski . Je pensais qu'il était exactement comme le reste...

         Que1ques mois plus tard, ma famille et moi nous a1lâmes au Mont-Rainier pour voir le télescope de 200 pouces de Hale. Après avoir passé agréablement aune journée au sommet, Je remarquaile nom d'Adamski sur une boîte aux lettres, quand nous redescendions de la montagne. Je decidai de m' arrêter, comme je préparais une série da conférences sur les SV, et que je ne voulais pas parler contre quelqu'un que je n' avais jamais rencontré. J'etais déterminé à présenter tous les contactés comme des bluffeurs.

        Imaginez alors ma surprise quand je rencontrai un homme aussi distingué qu'un professeur de collège , et qui parlait de choses scientifiques comme un expert, qui proclamait que ses contacts étaient réels et physiques, et qui affirmait que les contacts n'avaient rien de commun avec les "phénomènes Mystiques", le "pychisme" et le "spiritualisme".

        George me montra des photographies claires et visées par plusieurs témoins qui étaient présents quand les photos furent prises, et le contact établi. Personne d'autre ne l'avait jamais fait. A la fin je fus conquis, par ce procédé sain et logique .         Dans 1e film en couleurs de 16 mm de George Adamski,( Note du web master: Il s'agit certainement du fameux film RODEFERRE, dont on a déjà parlé dans l'article : RetourauCosmos.html ) le large dôme métallique d' un vaisseau de 1'espace était nettement visible. Des photographes experts avaient examiné ses images et affirmé qu'elles n'avaient pu être fabriquées, même avec un équipement de "studio de cinéma" . Les projections photographiques comparant le film de George ADAMSKI avec d'autres vues prises au dessus de la mer prouvaient que des modèles n'avaient pas été utilisés. Chaque fait en prouvait l'authenticité un peu plus étroitement.

        Je fus assez intrigué pour revoir George ADAMSKI, et dans quelques occasion je rencontrai des savants et des techniciens militaires qui étaient venus prendre des informations pouvant leur servir dans leurs laboratoires de recherches. Ces hommes attachaient beaucoup de valeur à la personne d' ADAMSKI et je commençai à avoir pour lui un respect croissant.

        Je compilai toutes las imformations que je recevais sur Goerge ADAMSKI et sur la matériel qu'il f'ourniasait aux laboratoires de recherche. Plus Tard je lus des journaux racontant comment la reprise du brulant problème des missiles avaient été résolue. La méthode était la même que celle qu'avait indiqué George Adamski plusieurs mois auparavant. (Note du Webmaster: Nous ne savons rien au sujet de cette affaire de missiles et nous implorons tout internaute ayant une connaissance à ce sujet d'être assez aimable pournous en toucher deux mots)

        Je lus des lettres de savants remerciant George ADAMSKI pour son information et affirmant çu'11s avaient travaillé avec les méthodes qu'il avait décrites.(Note du Webmaster: comme cela aurait été utile de découvrir où sont conservées ses lettres)

      Quand la maintenant celèbre "lettre personnelle", arriva den provenance du Département d'Etat de ÉTATS-UNIS je participai à l'enquête pendant les deux mois qui suivirent. La plupart des informations concernait 1a lettre personnelle, "STRAITH" qui n'avait jamais été rendu publique. (Note du Webmaster : Nous supposons qu'il s'agit de la missive suivante puliée dans le bulletin COMOS n° 27 de Juin 1980 :


      Notons que l'encadré en bas à droite provient de la rédaction de la revue).

        Ainsi, je laissai à George ADAMSKI le soin de la montrer ou de la garder comme il le jugerait bon. Les faits aboutirent pourtant à une chose : La lettre personnelle ne fut jamais réfutée. La même manœuvre fut essayée avec les S.V. Depuis longtemps je travaillais activement avec George ADAMSKI dans son effort pour dire au " public américaln ce qu'il savait " comme le lui avait demandé la lettre personnelle.

        Durant la deuzième partie de 1958 je voyageai avec George ADAMSKI pour une tournée de conférences de 4000 miles qui alla dans le Nord jusqu'à Bellingham Washington. Dans 1'intervalle de nos conférence dans Everett Washington un officier d'information publique de la base d'aviation de Paine vint complimenter George ADAMSKI pour la façon scientifique, pratique et physique dont il traitait le sujet. Il affirima que lorsque les esprits "psychiques" seraient chassés de l'affaire des S.V. , l'aviation pourrait donner ses informations. Il dit que les mystiques avaient rendu l'affaire si confuse, avec leurs fausses déclarations de contacts, que le public en général considerait l'affaire comme ridicule, et refusait de l'accepter.

        Après tout quelle personne normale intelligente assisterait feune séance organisée par des personnes qui déclarent qu'elles quittent leur corps pour une nuit, et s'élancent au-delà " bleu sauvage " pour voyager aur un vaisseau de l'espace ?

        Les personnes âgées n'accepteraient jamais la déclaration fantastique que des "entités astrales" et des esprits volaient tout autour, dans des vaisseaux invisibles se matérialisant et se dématérislisant à volonté.

        Notez cependant que la nuit finie les médiums abandonnaient leurs guides indiens et leur substituaient des "hommes de l'espace" .

        Comme résultat de mon investigation, je revins de tout cœur à George ADAMSKI et aux autres légitimes contactés ,(quoique moins connus). Jusqu'à maintenant George ADAMSKI est le seul contacté bien connu faisant des déclarations aux USA et ayant prouvé sa légitimité.

        Ses photographies sont les seules images connues publiquement , pour être citées comme authentiques par les agences-services de beaucoup de gouvernements mondiaux. Dans les listes de certains gouvernements, son nom est le premier de la liste des contactés véritables. Ses photographies sont universellement employées pour illustrer le véritable aspect des soucoupes volantes.

         A un moment, on lui demanda d'entreprendre, avec l'assentiment du Gouvernement, une tournée de conférences dans les installations militaires, autour du monde. Il refusa car un tel arrangement l'aurait contraint au secret, fermant ses informations au public.

        Durant la tournée mondialle de George ADAMSKI, en 1959, certains chefs de gouvernements l'informèrent qu'ils étaient aussi contactés. Il est évident que les visiteurs de l'espace n'ont pas visité seulement les USA.

        Pour ce gui est de la connaissance des hommes de l'espace et de leurs raisons de venir, les USA viennent tristement derrière la majorité des autres nations.

        Peut être les américains réaliseront-ils bientôt qu'un vaste horizon s'est ouvert devant nous, une destinée sans limite dont seuls hériteront les esprits alertes et ouverts. (Note du Webmaster: sublimes paroles quand on pense que Carol A. Honey ignorait la théorie de la Terre creuse) .

        Maintenant... Écoutons ce que dit de cette destinée, George Adamski qui, je le crois sincèrement, fut un des premiers américains à rencontrer les gens des autres planètes.

C. A. Honey                 
Anaheim Californie              
(Juillet 1960)
                

       Comme on le voit, C.A.Honey refusait de prendre en considération, les révélations ufologiques des médiums et des channels de toute nature. Notons aussi cependant que vu le fait que les propos de ce C.A.Honey, ont par la suite été empreints d'un anticléricalisme catholique notoire, Adamski a préféré couper les ponts avec lui.



V Quand ARTivision s'interroge sur d'autres modèles de la soucoupe d'Adamski.


a) En Californie le 23 Novembre 1951 :

      Ce jour là, un certain Guy B. Marquand Jr aurait pris cette photo depuis une route de montagne, accompagné de deux témoins amis:

  

      Mais le 24 Mars 1952, interrogé par l'US Air Force, il aurait avoué (ou on aurait pu le faire avouer ) que c'était un canular. Cette affaire aurait-elle un rapport avec celle d'Adamski de quelques mois plus tôt ? (En ce qui concerne la forme de la soucoupe, le 5 mars 1951 près du cigare, mais le 13 Déc. 1952 en ce qui concerne ses détails précis). A vous de juger.

b) En Australie en 1954 :

       Au milieu de son ranch en Australie, un certain W.C. Hall pris en 1954, cette photo d'un ovni (voir le bout de la flèche rouge) surplombant un troupeau de moutons.


      Ce Monsieur avait-il déjà eu une idée de la soucoupe d' Adamski ? Qu'est devenu le négatif de l'époque ? On aimerait bien le savoir. A vous de juger.

c) En Espagne en 1990 :

Dans notre article : http://www.artivision.fr/docs/RetourauCosmos.html , nous avons fait état des photos prises avec un telescope Minolta X300, par un mécanicien d'aviation Joaquim Fernándes, en 1990 :

  


      N'ayant pas pu encore contacter ce monsieur pour visualiser les rapports d'expertises de ces photos, nous restons dans l'expectative d'en savoir plus.

d) En France, dans le Pas de Calais en 2007.

      Le 26 mai 2007, dans la campagne les Hesdin, du Pas de Calaisn, à 11h31, et à l'aide d'un appareil numérique de 5,6 mégapixels, l'internaute, qui préfère garder le pseudonyme nommé Ufolog62, a photographié ceci :

  


      L'internaute Ufolog62 , nous certifie que sa photo "n'a subit aucune modification informatique de sa part, ou d'une autre personne, à sa connaissance". Et pour tout contact, voir : free62@voila.fr

VI Quand la revue Top Secret , casse le moule, concernant l'aventure d'Adamski (le 15/12/07) .


       Le 14/12/07 , nous avons eu la grande satisfaction de recevoir par la poste le n° 34 de la remarquable revue Top Secret de Nov 2007 qui présente justement comme par hasard un article de José Frendelvel , confirmant certains faits de notre propos, concernant Adamski :



      L'article en question, de 9 pages (de 17 à 25), s'intitule "La planète Vénus et l'âge d'or des vénusiens" , et voici par exemple, une photo de la page 23 :



  Il va de soi que, pour en savoir plus sur les huit autres pages, et sur cette fantastique histoire "vénusienne" , il convient de se procurer, la revue en question pendant quelle est encore dans les kiosques, ou alors prière de consulter le site :

http://www.TOPSECRET.FR


VII Quand le célèbre ufologue Leonard Stringfield parle d'Adamski (le 03/04/09) .


  Ce paragraphe concerne l'ouvrage ufologique très important de Leonard Stringfield ( 1929 - 1994):


, sorti en Mai 1977 et qui a eu par la suite, plusieurs éditions :

  


     Cependant en 1978, ce livre fut traduit en français aux Editions France-Empire, et c'est de ce dernier que nous allons tirer quelques commentaires concernant George Adamski.

  


     C'est ainsi que l'on découvre que Leonard Stringfield, fut pilote d'avion et en relation avec de nombreux organismes qui s'occupent d'Ovnis. Son livre est d'ailleurs préfacé par le Major Donald E. Keyhoe qui a travaillé à USAF (United States Air Force : Force aérienne des Etats Unis) et qui a dirigé pendant 13 ans le NICAP: (Comité National Américain d'enquêtes sur les phénomènes aériens) et qui est l'un des chercheurs les plus documentés et dont l'autorité est mondialement reconnue. Il a publié, entre autres choses, en 1973, "Aliens from space the real story of UFOs", qui fut traduit en 75 en français sous le titre " Les étrangers de l'espace ", également aux Editions France Empire .

     Mais voyons donc ce qui est mentionné sur Adamski dans le livre de Stringfield :

1°) A la page 118, un certain Dr Botta parle. Il était ingénieur en construction, en Argentine et en pleine campagne en 1950, il a eu, dit-il, le privilège de pénétrer, par le plus grand des hasards, dans un objet métallique discoïdal, placé sur le bord de la route. Une sorte de lumière rouge pulsait dans le dôme. Par une sorte d'ouverture sur le côté, il osa pénétrer à l'intérieur de l'engin. Sur une sorte de divan arrondi, il y avait 4 sièges dont trois étaient occupés par de petits êtres (de 1,20 m environ), vétus de survêtements collants gris. Leurs visages semblaient noircis au charbon ou c'était leur couleur naturelle. Devant eux, se trouvait un écran allumé, où se mouvaient des sortes de rayons, et au dessus pivotait un globe transparent. Le Br Botta ne put s'empêcher de toucher un de ces petits êtres. Sa chair était rigide.

     Le Dr Botta s'enfuit ensuite à toutes jambes dans sa voiture et gagna à fond de train, son hotel... etc..etc...Et, comme nous ne voulons pas subir, les foudres de l'Editeur, prière svp, de voir la suite dans l'ouvrage en question...

      Lorsque Leonard Stringfield, eu connaissannce de ce cas, il essaya d'en savoir plus et voici un petit extrait de ce le Dr Botta lui répondit le 25 Octobre 1955 :

      " ... J'ai eu une longue discussion scientifique avec un
membre de votre CRIFO, Horacio Gonzalès G., et à partir
de mon expérience professionnelle et des particularités de
l'incident argentin, j'ai repris l'étude des OVNI.
Personne plus que moi ne croit à leur existence.

... Je suis en désaccord avec George Adamski.
Mais personne ne peut traiter Adamski de fou.
Les soucoupes volantes peuvent venir de planètes de taille et gravité différentes,
ce qui peut expliquer l'existence de personnages aux longs cheveux blonds!
(le Dr Botta se réfère aux contacts d'Adamski avec des humanoïdes venus de Vénus).
Mais pour le moment je ne suis pas d'accord avec Adamski.
Nous saurons la vérité en temps voulu! ...
"

      Rappelons ici, bien que cela ne soit pas admis par la Science, que Vénus, a des chances d'être vide à l'intérieur et là, pourraient vivre, les fameux blonds d'Adamski.

2°) Il certain, comme l'ufologue français Aimé Michel l'a montré, Adamski, n'était pas en odeur de sainteté auprès de Stringfiel . C'est alors qu'il a voulu mettre cet Adamski, au pied du mur , et le traînant en justice, pour la raison bien précise, qui suit :

      Extraits des pages 227-228-229.

      " L'année suivante, il y eut davantage d'observations
et de rapports sur des contacts personnels. Livres, revues, circulaires
postées sur les soucoupes, se multipliaient. Comment
pouvait-il se faire que les a charlatans n continuent à gruger
des gens peu avertis, et ceci avec la complaisance des postes
américaines? A tout hasard, j'achetai un de ces livres ainsi
vendus par correspondance, "Inside the Space Ship"(A l'intérieur des vaisseaux de l'espace), écrit par George Adamski.
Avant de l'acheter, je l'avais examiné. 1l était légalement
très vulnérable, ne serait-ce que pour le passage suivant :
« Il se trouve que j'ai des témoins d'un de mes voyages
dans un engin spatial. Tous deux sont des savants qui occupent des positions importantes.
Quand il leur sera possible de faire une déclaration, l'affaire prendra un autre aspect.
Mais, dans l'état actuel des choses, où tout est classifié secret sécurité,
ils doivent rester dans l'ombre. Ils ont dit que lorsqu'ils
croiront pouvoir le faire, sans se compromettre, ou mettre en
péril la Défense Nationale, ils donneront leur témoignage à la presse. »


      Par cette manière d'invoquer une caution scientifique,
le livre cesse d'être le simple produit d'une "opinion personnelle".
11 devient une déclaration sur les faits, dont la
légitimité peut être juridiquement contestée.

      Irrité par la faiblesse du gouvernement à l'égard de "charlatans",
je décidai de faire aboutir l'affaire moi-même.
Je pensais que George Adamski devait être convoqué en Cour fédérale,
où il pourrait prouver par le témoignage de ses deux savants,
qu'il avait vraiment pris place sur un vaisseau spatial venu d'une autre planète.
A défaut de pouvoir produire ce témoignage, il aurait pu être traduit en justice
par le gouvernement pour acte frauduleux et usage illégal des postes américaines.

      Je téléphonai à un juriste ami, et lui expliquai la situation.
Il me répondit que, de son point de vue, la cause se tenait.
Par déférence pour divers organismes impliqués, il fit appel à
un représentant fédéral qui devait jouer un rôle de médiateur.
Tout d'abord, celui-ci crut que nous plaisantions, mais mon
juriste parvint à le convaincre du sérieux de l'affaire. Nous
lui avons alors expliqué notre plan d'action.
II nous recontmanda de ne rien faire avant qu'il ait étudié la question.
Nous avons attendu. Finalement, il nous suggéra d'écrire à un certain organisme à Washington.
Ce fut fait. La réponse reçue était si évasive
que mon placide juriste lui-même en devint furieux.
« Ils ne peuvent pas nous faire cela, dit-il. Nous irons jusqu'au bout. »
Mais quand il appela le représentant fédéral, celui-ci lui conseilla
d'attendre jusqu'à ce qu'il ait été à Washington.
Dans la semaine, mon juriste me convoquait à son bureau.
1l avait reçu une réponse. On recommandait à toutes les parties concernées
de nier toute responsabilité dans la déclaration jointe.
Cette déclaration émanait d'Allen Dulles, directeur de la CIA.

      Dulles avait dit : « Je tiens
là en effet une bonne cause à soumettre à la Cour fédérale,
mais je ne laisserai personne témoigner en justice au sujet de ce livre,
et ferai - si nécessaire - opposition, la sécurité étant préservée au maximum
pour ce qui concerne les OVNI. »


      Mon juriste, après m'avoir bien fait remarquer que, s'il y avait opposition,
je resterais sans argument, et menacé d'action en procédure abusive, proposa que nous laissions tomber l'affaire.
"

Conclusion : Les Services Secrets américains , étaient parfaitement au courant de l'aventure d'Adamski , et ont couvert ses agissements. Et on se demande, en plus, si ce dernier n'avait pas une fonction très spéciale, auprès des hauts gradés, de ces services.

A vous donc de juger désormais, une fois de plus, tout cela !!!.

VIII Quand un pilote professionnel Fred Steckling et son fils , parlent de leur ami G. Adamski (Paragraphe en date du 04/08/09) .


      Le 31/07/09, nous avons eu le plaisir de recevoir par la Poste, l'ouvrage suivant :


      Fred Steckling aimait l'aviation et fut un pilote professionnel comme son père qui l'avait été pendant la seconde guerre mondiale. Vers le milieu des années 50, Fred fut même brievement enrolé dans l'Armée de l'Air Allemande. Il mourru en 1991, après avoir publié en 1981 " We discovered Alien Bases On The Moon " qui eu un enorme succes. Son fils Glenn a poursuivi son œuvre et, pour la huitième édition, il agrémenta l'ouvrage de 100 nouvelles photos de la NASA, et c'est, cet ouvrage que nous venons de recevoir.

      Nous ne résistons pas au plaisir de vous traduire modestement les pages 7 à 10, où il est beaucoup question d' Adamski :

   " Plusieurs semaines avant le décès  de M. Adamski, en Avril de 1965, il a spécifiquement dirigé et chargé mes parents sur la manière dont il voulait qu'ils poursuivent le programme concernant les instructions  ayant trait à ce travail. Après Avril, mes parents ont accru leurs efforts pour apporter  ces informations au devant de tous les intéressés. En September de 1966, nous avons accompagné mon père à une  série de conférences organisées par les associés, et co-equipiers d'Adamski à l'étranger. Alors qu'il volait vers l'Allemagne, mon père  a filmé avec sa caméra 8mm, toujours à portée de main , au travers d'un hublot d'un  Boeing 707, un vaisseau spatial en forme de cigare qui lachait  de petites embarcations en forme de soucoupe-dessus de l'Atlantique Nord. Plusieurs jours plus tard, lors d'un voyage ferroviaire de Schifferstadt à Mannheim, alors qu'il y avait beaucoup de témoins ,  mon père, une fois de plus, a filmé, une flotte  du même cigare en formation, à côté du train. Ces deux  événements ont fait sensation  dans les médias locaux, et ont été inserrés dans un documentaire montré à travers l'Europe l'année suivante.

     Après un accueil enthousiaste outre-mer, nous sommes retournés à Washington DC, où mon père a contacté les deux organismes NASA et  Pentagone, en invitant tous les deux a revoir ses films et  ceux d'Adamski. Au printemps de 1967,  notre famille  a accepté des invitations du colonel Freeman et de son personnel au Pentagone. Nous avons  conversé avec 22 scientifiques  au Goddard Space Flight Center à Greenbelt Maryland, et plus tard  nous avons parlé sur les ondes de Radio Free Europe. Chaque assemblée  a reçu avec  une grande courtoisie,  respect et  acquiescement cette documentation sur les  OVNI , et a également reconnu le travail de M. Adamski, ses photographies et ses films. Ils ont exprimé une connaissance avancée au sujet de  ces equipages extraterrestres , de leurs systèmes de propulsion et de l'origine de leurs occupants humains. Plutôt que de dissimuler leur connaissance au sujet des manifestations de ces visiteurs de l'espace, ils en étaient parfaitement conscients, et intéressés par l'obtention de plus amples informations relatives  aux divers contacts existant entre ces visiteurs et  notre société. Ici, je tiens à souligner que lors de ces réunions, ces fonctionnaires ont admis  le fait que ces extraterrestres apparaissent comme des gens de la Terre, ayant comme nous différentes taille, couleurs , et qu'ils se sont  mêlés  à nous  depuis des lustres. Ensuite, plusieurs sympathisants de scientifiques ont aiguillé  mon père sur leurs propres sentiers, afin d'obtenir de la NASA des informations supplémentaires en vue de poursuivre la recherche, dont le résultat direct a été partiellement inserré dans ce livre.

    Jusqu'à l'époque de la première édition de Alien Bases on the Moon, qui a été publiée en 1981, mon père a poursuivi les efforts . Il fit une apparition à la télévision  Art Linkletter en 1970, de nombreuses émissions de radios, des conférences à  l'université, plusieurs tournées en Europe, ainsi qu'un passage à la télévision nationale et des conférences au Japon. Afin de corréler nos propres observations lunaires détaillées avec certaines des photographies étonnantes obtenues à partir de catalogues de la NASA, nous nous sommes  également procurer un télescope réflecteur de douze pouces et demi, et plus tard, un dix-huit pouce et demi. Cette activité, combinée avec des rapports tirés d'un réseau d'autres astronomes amateurs, a permis de confirmer, de nombreuses observations d'OVNI en activité, des constructions lunaires, et d'autres anomalies de l'atmosphère autour de la Lune.

    Pendant des années, mon père et moi avons minutieusement examiné des milliers de photos de la NASA, et passé de nombreuses soirées tardives à l'affût avec notre télescope, et on a travaillé à rassembler quelques-unes des informations figurant dans les chapitres suivants. Ensuite, nous avons été très heureux et excités par la réponse faite à nos recherches et nos efforts. En 1984, Lord Clancarty (NDT : Brinley Le poer Trench )  a invité mes parents et mon père à prendre des dispositions pour faire une présentation devant un comité de la Grande-Bretagne de la Chambre des Lords. Une fois de plus, cela fut accompagné d'un  grand étonnement et d'un profond respect, lors de la transmission de ces informations de qualité "si raisonnables et présentées d'une manière rationnelle". Ensuite, Lord Clancarty rendu une copie d'Alien Bases on the moon pour les personnes intéressées à Balmoral Castle. Plusieurs mois après son retour d'Angleterre, mon père fut ravi de recevoir un accusé de réception signé personnellement par un membre de la famille royale qui reconnaissait  son excellente publication. Au cours des quelques  années suivants, notre famille a continué à voyager afin de répondre à la demande du public. Voyages en l'Australie, en Allemagne et aux Etats-Unis, en offrant nos découvertes  et nos informations où on nous les demandait et en fonction du temps dont nous disposions et de l'exigence de nos professions. Nous avons consenti à plusieurs  interviews dans notre maison, avec l'intention de donner au public une perspective plus large de l'information circulant sur ce sujet en cours.

  Depuis la première version du livre, Alien Bases sur la Lune  il y eu huit éditions, y compris des traductions à l'etranger . Et  nous avons avec bonheur reçu des milliers de lettres venant de personnes soutenant notre recherche. Nous avons eu la chance de converser avec d'innombrables personnes qui ont assisté à des observations semblables d'OVNI, de scientifiques, pilotes, militaires, fonctionnaires, enseignants, et beaucoup de gens, qui ont contribué et soutenu le fait que cette information devienne publique. Il y a peu de temps, notre échange de correspondance avec un Premier ministre d'un pays des Caraïbes, dont la voix avocate fut la plus ouverte  et la meilleure forme  de soutien  pour la cause OVNI aux Nations Unies. La contribution de ce pays à la cause OVNI, a été l'émission de timbres commémoratifs exceptionnels .

   Mon père avait ni le temps pour la fanfare ,  ni le besoin de rechercher la  notoriété. Il était très conscient des pressions et des restrictions imposées aux agents de la fonction publique, et donc il appréciait  leurs efforts honnêtes sans accusation, ni préjudice. Toutefois, il sentait qu' aujourd'hui que dans les cercles ufologiques beaucoup trop de temps et de mouvements  ont été gaspillé en accusations concernant ce qui est bon ou mauvais, savoir qui a les réponses et qui essaie de tirer à lui la couverture médiatique. Et il avait peu d'estime pour ceux qui veulent exploiter ou pratiquer des jeux au sujet de cette information vitale. En fin de compte, il pense que chaque individu a pour lui même,  le droit et la possibilité d'examiner, et de déchiffrer rationnellement son accès à l'information . Nous espérons que ce livre, et nos autres publications, permettront aux lecteurs, le respect et le privilège de faire ce choix librement.

    Steckling Fred est une personne qui a bénéficié de la poursuite de la vérité, des informations, des éléments de preuve, et les raisons derrière les faits, d'idées et de rapports tels qu'ils apparaissaient. Il a connu non seulement la découverte des réponses, mais les questions liées à la saisie des données. À de nombreux égards, il se considère comme un rationaliste qui a besoin d'une preuve tangible, afin de le convaincre. Il a, comme Mr. Adamski, estimé les raisons des visites extraterrestres, et les avantages pour l'humanité, ont largement dépassé la simple connaissance de leur existence. Ils ont tous deux profondément ressenti qu'ensemble, nous avons le besoin de faire beaucoup mieux, en tant que peuple humain d'une planète, si nous voulons survivre et reconnaître nos potentialités. Et ils ont généreusement  contribué à ce potentiel.

   Avant tout, je me souviens qu'ils avaient tous les deux  un super sens de l'humour, et qu'ils pouvaiant s'octoyer d'eux même, un bon rire. Il étaient à la fois très  sérieux en face des questions concernant la vie, mais ils avaient tout de même une grande  compassion et une profonde  tolérance en face des différentes manifestations de la compréhension humaine. Tout au long de ces 35 ans, notre famille a obtenu toutes les preuves  que nous n'aurions  jamais espérés, et nous sommes reconnaissants de l'occasion qui nous ait offerte de  relayer ces preuves à ceux qui sont disposés à écouter avec  l'ouverture requise de l'esprit et du cœur. "

      Glenn Steckling Webmaster du site :http://www.gafintl-adamski.com/.
      Fin de citation.

      En fin de compte, on apprend que G. Adamski et Fred Steckling, ont bien eu des contacts suivis avec de hauts responsables du Gouvernement américain, et sans doute avec beaucoup autres gouvernements.

      Pour en savoir plus sur cette affaire d'ovnis, il serait peut-être aussi judicieux de lire l'interwiew avec photos de Glenn Steckling, publiée le 30 Juin 2007 par l'ufologue Jean-Christophe Grelet à :
http://www.paperblog.fr:80/139645/ovni-interview-de-glenn-steckling-responsable-de-la-fondation-george-adamski-vista-californie-usa/


      Article mis en page par IDYLLE fred le 03/10/07, et modifié le 05/10/07, puis le 07/10/07, puis le 10/10/07, puis le 11/10/07, puis le 17/10/07, puis le 22/10/07, puis le 24/10/07, puis le 29/10/07, puis le 05/11/07, puis le 09/11/07, puis le 10/11/07, puis le 14/11/07, puis le 17/11/07, puis le 22/11/07, puis le 26/11/07, puis le 27/11/07, puis le 29/11/07, puis le 02/12/07, puis le 06/12/07, puis le 09/12/07, puis le 13/12/07, puis le 15/12/07, puis le 18/12/07, puis le 13/12/07, puis le 15/12/07, puis le 02/02/08, puis le 23/06/08, puis le 3/04/09, puis le 04/08/09, puis le 05/08/09.

IDYLLE Fred

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