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La première photo aurait été prise le 23 Nov. 1968 par le satellite Essa 7 à la verticale du pôle Nord et été publiée la première fois, en juin 1970 par le magazine "Flying Saucers". On y voit un gigantesque trou très insolite, bien circulaire, au bord échancré. Pourquoi a-t-on enlevé, sans explication sur la photo, cette partie discoïdale du Pôle Nord ? Un internaute futé pourrait peut-être, nous trouver une réponse orthodoxe acceptable à ce niveau :
La deuxième photo, est un autre document de la NASA, que nous avons personnellement obtenu en 1975, des mains de l'agence USIS qui siégeait à cette époque au sein même de l'Ambassade Américaine, 2 rue Saint-Florentin à 75042 Paris. Ce document serait une photo mosaïque, réalisée par le Dr David S. Johnson du "National environnement Satellite Center", à partir des prises de vue en Avril 1967 du satellite Essa. On constate alors, une fois de plus, que la zone concernant le Pôle Nord, et qui nous intéresse justement, a été encore ici simplement escamotée sans explication, alors que l'on avait tout intérêt à blanchir tout le bassin polaire. On aimerait bien savoir pourquoi ?
La troisième photo multiple
Le 20 Mai 1972, d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972, eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien, une conférence d'un certain Eugénio Siragusa, représentant à l'époque, du Centre d'Etudes et de Fraternité Cosmique, qui se voulait être une association qui recherchait les contacts avec des extraterrestres. Ce monsieur Siragusa, aussi contesté que le célèbre Adamski, semblait cependant être parfaitement renseigné sur les "manœuvres" de la Nasa. Un spectateur posa à Siragusa la question suivante : Mais, nous dit en plus, Siragusa (qui n'avait pas la langue dans sa poche) dans ce livre, " ces photos démontrent que le Pôle Nord, sous l'effet d'une dilatation de la matière qui est élastique, s'ouvre périodiquement et personne ne s'en rend compte ". Il dit aussi "qu'au centre de la Terre vivent des êtres de deux à cinq mètres de hauteur au teint parfaitement blanc et que leur proportion sont déterminées par l'effet de la force centrifuge contraire à la notre". (Avouons donc ici que ce ne sont pas des déclarations de ce genre qui font la une, même des journaux à sensation.))
Rappelons aussi que la photo ci-dessus, montrant un trou noir inexplicable, fut présentée par Siragusa dès le 20 Mai 1972, (d'après la revue Ondes Vives n° 75 en Juillet 1972) lors d'une conférence qui eu lieu à Paris, salle Marchesseau 26 Rue d'Enghien.
D'ailleurs certaines sources ésotériques, prétendent que la Terre, serait un organisme vivant qui inspire par le Pôle Nord et expire par le Pôle Sud, et dont que les vortex polaires, s'ouvrent et se ferment en fonction de cette respiration terrestre, ignorée des scientifiques.
Tout cela serait considéré comme une vue très imaginative de l'esprit, s'il n'y avait pas eu cet extraordinaire cliché mosaïque :
"Quand
la NASA a remplacé en
1977, au bout de dix
ans de service, le satellite géostationnaire ATS
III par un satellite
plus moderne, le GEOS
8, elle a ordonné la
destruction des 4 500
clichés faits par ATS
III. Les images
n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait
la NASA”.
Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département,
le Dr. Locke-Stuart,
a ramené chez lui plus
de mille clichés et
il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan
Lamprecht, spécialiste
en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la
raison. Depuis des années il est à la recherche de
tous les indices qui
pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des
ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo
prise par l'ATS III,
qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région
du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )
Grâce à ses contacts avec le Goddard
Space Flight Center,
la station de contrôle
des satellites ATS, il a
pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu
à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un
trou dans le globe terrestre.
Après des semaines de longues recherches, un
initié de la NASA a découvert
pour Lamprecht
d'autres clichés qui
montrent une ouverture au pôle ,
il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS
III et qu'ils sont
soigneusement gardés par Locke-Stuart.
Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et
il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite
GEOS 8 ne montrent plus
de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange.
Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les
anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe
pas officiellement. Cette courbure "inexplicable"
a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la
Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les
photos d'ATS III
montrent également des dépressions
atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées
par l'ouverture des pôles.
On ne voit rien de tout
cela sur les images récentes de GEOS 8.
Richard Hoagland,
auteur du best-seller "The
Mars Connection",
pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977,
diffusée dans le Art
Bell Show, il disait
que les photos étaient
censurées avant d'être montrées à l'opinion publique.
Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent
dans un grand
ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la
doctrine officielle.
Après quoi les clichés sont renvoyés
dans l'espace vers un autre satellite
qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les
clichés (falsifiés)
sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux
données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent
pour dire qu'en Europe, les photos des satellites
sont également truquées,
pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique....
"Fin de citation"
Mais, si dans le livre de R Bernard, nous avions découvert plus haut que l'ouverture polaire avait environ 2300 km de diamètre, nous avons aussi découvert sur le site :
De même, dans ce livre
on nous explique que le climat est
sub-tropical. Comment pourrait-il être sub-tropical alors que ce soi-disant soleil
central est au centre (comme son nom l'indique) et
que par conséquent il s'agit plus d'un climat
équatorial que sub-tropical (c'est un cours élémentaire
de géographie ; le soleil étant forcément à la
verticale de chaque point de cette terre centrale,
il va de soit que l'intensité lumineuse et le
rayonnement correspondent à ceux que nous
connaissons à l'équateur). Je pourrais
vous énumérer d'autres incohérences ....."
Et voici notre réponse en date du 2/03/01 :
" Je n'ai aucun moyen de savoir si ce soleil intérieur est structuré comme celui que nous connaissons à l'extérieur et si ses radiations ont les mêmes effets que le notre. Le concept que certains appellent "La Nature" et que d'autres, par" l'architecte de l'univers", et d'autres encore par bien d'autres noms , nous surprendra toujours. Des êtres vivants réussissent à évoluer dans des conditions les plus épouvantables et certains même comme les lucioles par exemple sont capables de fabriquer de la lumière froide avec des cellules que nous n'avons pas réussi encore à faire se reproduire isolément en grand nombre car cela remplacerait avantageusement nos moyens nocturnes d'éclairage ( Voir aussi plus bas l'affaire du Poisson-phare).
Donc seuls les privilégiés comme Olaf Jansen qui ont pénétré dans ce Monde intérieur pourraient nous analyser ce phénomène et tenter de le décrire et encore faudrait-il qu'ils soient des scientifiques munis d'appareils adéquates et non de simples pêcheurs comme Olaf Jansen et son père , qui n'avaient pas les connaissances requises pour cela.
Voici cependant certains passages du " Smoky God ", très difficiles à comprendre, (encore faudrait-il que des spécialistes de la langue anglaise vérifient et rectifient ma modeste traduction d'un texte qui utilise des phrases ampoulées de l'époque, et texte qui tourne autour de 1828 ) et passages qui essayent de traduire sommairement l'inexplicable phénomène de l'alternance des nuits et de jours dans ce monde intérieur :
" Pendant ce temps nous avons perdu de vue les rayons du soleil, mais nous avons trouvé une émanation intérieure provenant du soleil morne-rouge qui avait déjà attiré notre attention, rayonnant maintenant une lumière blanche apparemment issue d'un amas de nuages loin devant nous. Il diffusait une lumière plus intense, je dois l'avouer, que deux pleines lunes dans la nuit la plus claire. Dans douze heures ce nuage de blancheur allait disparaître de la vue comme s'il s'était éclipsé et les douze heures suivantes allaient correspondre à notre nuit. Nous avons appris assez tôt que ces gens étranges étaient les adorateurs de ce grand nuage de nuit. Il était le "Dieu qui fume du Monde Intérieur".
... Le grand nuage lumineux ou la boule de feu-rouge sombre- ardent-rouge le matin et le soir et pendant le jour dégageant une belle lumière blanche, le "Dieu qui fume", - est apparemment suspendu au centre du grand vide "dans" la terre et demeure en cette place selon la loi immuable de gravitation, ou une force atmosphérique centrifuge, selon le cas. Je me réfère au pouvoir connu centrifuge ou centripète qui agit dans toutes les directions.
La base de ce nuage électrique ou de cet astre central, le siège des Dieux, est sombre et non-transparente, excepté pour de petites ouvertures innombrables, apparemment au fond du grand support ou l'autel de la Déité, sur laquelle repose le "Dieu Fumeux" et les feux brillant par la plupart de ces ouvertures scintillent la nuit dans toute leur splendeur et semblent être des étoiles, aussi naturelles comme les étoiles nous avons vu briller quand dans notre maison à Stockholm, sauf qu'elles apparaissent plus grandes.
Le "Dieu qui fume" donc, avec chaque révolution quotidienne de la terre, semble aborder à l'est et descendre à l'ouest comme fait aussi notre soleil sur la surface externe. En réalité, les gens "du dedans" croient que le "Dieu qui fume" est le trône de leur Jéhovah et qu'il est stationnaire. L'effet de nuit et le jour est, donc, produit par la rotation quotidienne de la terre. "
Bref tout cela n'est pas bien clair, N'est ce pas ? Donc je ne suis pas qualifié pour en dire plus à ce sujet et je vous souhaite d'avoir le courage de chercher à en savoir plus "
Fin de missive.
, avec comme explication en dessous : Reflection of Sunlight off Titan Lake.
Mais, en droite ligne de cette incroyable affaire, présentons aussi ici, le super entrefilet, de la revue bien connue de notre ami Roch Sauquere "TOP SECRET" n° 47, publié en Février 2010. Et pour les puristes, qui aiment partir des sources, voici d'abord la photo de couverture de cette revue :