de la NASA.
Mais dans ce même numéro de Paris Match, il y a aussi
cette incroyable page 79 :
, où l'on apprend que, le second
"voyageur de la Lune",
Buzz Aldrin, qui aurait été
interné deux fois, a prononcé cette phrase
très
insolite :
"On
nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés".
Il y a donc bien
anguille sous roche.
Et nous ne vous parlerons même pas
Mikael Collins, qui
parait-il a été
si choqué par son
"aventure
lunaire", qu'il ne participera plus à aucun autre vol
spatial. Voir à ce sujet, la revue
"Valeurs Actuelles" n° 1725 de Déc. 1969 page 22:
Pour
certains sceptiques endurcis, qui voudraient encore mettre en doute, toutes ces déclarations sur
Armstrong et compagnie, voici quelques phrases tirées de la
page 99 de l'ouvrage très documenté de
Pietro Banucci ,
intitulé "
La
Lune" publié aux
Éditions Bordas
1989 :
" ...Après son débarquement légendaire, sur la
mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même et évite, dans
la mesure du possible, de parler du passé. Séjournant
dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un
poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A
plusieurs reprises, il émet des opinions négatives sur la NASA. En Décembre 1972 après
la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre
satellite, il refuse une invitation de la NASA, à une cérémonie au cours de laquelle il aurait dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La
photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre à une "party" à laquelle l'a invité le Président Nixon Il snobe également
une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du
programme Apollo dans sa villa du Pacifique en Californie...".
fin de citation.
Mais, il y a aussi le témoignage encore
plus direct de
David Adair, un ingénieur de
réputation internationale, spécialisé dans l'aéronautique, et ayant travaillé
pour
l'Air Force et la Navy des
USA.
Le
12 Mars 2006
l'internaute
Jean B.... a eu la
gentilesse de nous envoyer l'adresse du site suivant :
, où nous lisons la phrase importante de
David Adair :
" Je
connaissais Von Braun quand j'étais gosse
parce que je travaillais déjà très jeune sur des fusées au début des années 70
au moment où des hommes marchaient sur la lune. A une heure et demi de voiture
de chez moi vivait Neil Armstrong qui habitait
à Wapakenneta. Sa mère - Viola elle s'appelait - et moi, nous nous sommes liés
d'amitié. Elle était une sorte de seconde mère pour moi, on se voyait tout le
temps et je pouvais donc voir Neil également. Souvent d'ailleurs, je me rendais
chez eux, je passais devant Neil sans y prêter attention parce que c'est Viola
que je venais voir. Et Neil appréciait cela, le fait que je ne sois pas
intéressé par sa célébrité et que j'aimais tout simplement sa mère. Neil était un homme très renfermé qui vivait comme un ermite...
car lorsqu' il est revenu de sa mission sur la lune, il avait d'une certaine
façon littéralement disparu.
Nous arrêtons là
ces propos significatifs, qui justifient parfaitement, à notre avis l' expression utilisée plus, d' "
Ours en cage".
Il suffisait qu'
Armstrong boive devant les
cameras, par exemple
un
coca-cola , et il toucherait des milliers de
dollars
pour ce simple geste.
Alors
la seule façon de comprendre ce comportement très aberrant d'Armstrong, c'est de se dire, qu'il a eu
un sursaut
évident de dignité et de moralité, et a refusé de participer à cette
mascarade cosmique montée
par
son gouvernement et
la NASA, pour de
vulgaires questions de
prestige politique,
économique et surtout militaire de la nation.
Voilà ce que nous pouvons ajouter sur cette affaire
et même d'autres sites américains se joignent au
flot de sites, qui ont emboîté le pas
à
ARTivision au
site de
Philippe
Lheureux placé à http://lheureux.free.fr
ou encore au site
http://rzr.online.fr/nasamoon.htm
Poussons voulez-vous, le bouchon de
l'ironie encore plus :
Dans l'ouvrage
La mer libre du pôle de
1877 du grand explorateur aéricain le
Dr J.J. HAYES que nous posédons :
Et, nous lisons en page 190 et 191, où après avoir hissé des drapeaux,
Hayes déchira une feuille de son carnet de notes pour y inscrire les lignes suivantes :
19 Mai 1861
" Cette note placée dans une petite fiole apportée tout exprès, fut soigneusement déposée sous le cairn, puis nous poursuivîmes notre route en nous tournant vers le sud; mais je quittais avec répugnance ce lieu qui exerçait sur moi une facination puissante, et c'est avec des sensations
inaccoutumées que je me voyais seul avec mon jeune camarade, dans ces déserts polaires que nul homme civilisé n'avait foulé avant nous. Notre proximité de l'axe du globe, la certitude que de nos pieds, nous touchions une terre placée bien au delà des limites des découvertes précédentes, les pensées qui me traversaient l'esprit en contemplant cette vaste mer ouverte devant nous, l'idée que peut-être ces eaux ceintes de glaces baignent des rivages d'îles lointaines où vivent des êtres humains d'une race inconnue : telles sont les considérations qui
semblaient donner je ne sais quoi de mystérieux à l'air que nous respirions..."
fin de citation
Tout ce qui est raconté ci-dessus est superbement rassemblé, dans une gravure montrant ce fanstatique paysage qui à juste titre,
a suscité beaucoup d'émotion chez
Hayes et son compagnon. Voici cette gravure :
Et en couleur, c'est encore mieux :
Cette émotion toute naturelle n'a pourtant pas plu aux biens pensants explorateurs modernes des pôles. Dans l'
Histoire Universelle des
Explorations (
4e
volume) et voici ce que nous avons trouvé sous la plume de
Paul-Emile Victor :
CHAPITRE
II
LES ROUTES POLAIRES
(1852-19I5)
I PAR LE
DÉTROIT DE SMITH (1852-1884)
Entre autres choses ceci :
"Un excès de littérature devaît entacher le renom
de Hayes;
ses épanchements lyriques lui ont beaucoup nui dans l'esprit des
spécialistes arctiques. Il eut de plus le tort de considérer comme acquise - et
acquise par lui - l'existence de la
"mer libre
du Pôle" :
The open polar Sea, dont il donna le nom pour titre à son ouvrage.
"
Comme vous le voyez ces passages s'opposent formellement à ce que que nous révèle
Hayes et que son émotion profonde devant la mer libre est devenue d'après
P.E Victor et consorts :
"Un excès de littérature et.... ses épanchements lyriques lui ont beaucoup nui dans l'esprit des spécialistes arctiques" . A vous de juger, mais vous avez désormais en mains, les éléments tangibles pour savoir qui a camouflé la vérité.
Donc au sujet de ceux qui trouvent comme
P-E Victor et consorts , que les épanchements lyriques de
Hayes ne devaient pas être de mise devant le
spectacle fabuleux que lui offrait
cette mer libre du Pôle au sommet du monde, nous leurs dédions,
a contrario, ces quelques lignes vues plus haut du vieux
Paris Match n°1242 du 24 Février 1973 :
comme on le voit ici, nous passons
là, d'une extrémité à l'autre. Où l'émotion bien humaine s'exprime avantageusement,
selon nous, pour
Hayes, voici que pour
Armstrong, dans une situation encore plus extraordinaire, puisqu'il s'agissait de débarquer sur un autre astre,
(et là, il serait tout naturel, à notre avis, d'avoir à cet effet, le souffle coupé devant un tel paysage
d'outre-Terre), ce dernier,
en véritable robot, refuse même de dire devant ces interlocuteurs seulement
que la Lune est belle. Voilà, Messieurs les journalistes intrépides,
un sujet d'article passionnant, que représente ce parallèle à faire entre deux explorateurs si opposés dans
la conception de la Vie. Il y a là, même pour des étudiants
en Psychiatrie, Psychologie ou autre Philosophie,
une thèse toute trouvée et surtout jamais réalisée à notre connaissance,, sur une étude comparative de ces deux modes d'expression, des explorateurs précités...
A bon entendeur salut...
Article mis en page par Fred Idylle le 18/04/2011 , et revu le 19/04/2011, et revu le 20/04/2011, et puis revu le 22/04/2011.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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