De la présence d'aéronefs dans
les textes traditionnels indiens
I Introduction
"On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la
suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard." (Paroles de l' ÉCCLÉSIASTE chap.1
vers.11.)
Cette citation semble
parfaitement s'appliquer au contenu des textes
sanscrits de l'Inde décrivant des faits à peine croyables.
II La genèse de l' affaire.
En effet l'Académie internationale de recherche de Sanscrit de
Mysore ville de l'état du karnätaka
en Inde a publié, en huit
chapitres, un rapport intitulé "VYMAANIDASHAASTRA AERONAUTICS" signé Maharishi Bharadwaaja traduit en anglais en 1979 et imprimé par MGR Josyer Mysore directeur de
cette Académie, en Inde et dérivé d'un manuscrit
datant de plusieurs millénaires qui décrivait déjà à cette
époque, l'art de fabriquer divers types
d'aéroplanes destinés à "voyager confortablement
dans le ciel et aussi à établir des liens avec tout l'univers pour le bien-être
de toute l'humanité."
Ces véhicules appelés "vimanas" peuvent se mouvoir par leurs propres moyens
sur l'eau et dans les airs et même de planète à
planète. Ils peuvent faire du
surplace haut dans le ciel et ont des dispositifs de camouflages très perfectionnés. Ils sont
équipés de dispositifs de détection des appareils ennemis et peuvent même aussi les photographier (Vous avez bien lu... De la photo il y a des milliers d'années ?) . Ces vimanas sont des appareils constitués de
trente et une pièces indispensables
et construites de 16 espèces de métaux
différents.
Les pilotes de ces véhicules aériens doivent de plus
utiliser des combinaisons différentes
et ils doivent suivre un régime alimentaire
particulier, tout cela, en fonction
des saisons. La nourriture se présente exclusivement sous cinq formes différentes (grains cuits, gruaux, pate, pain et extraits), aliments sains et reconstituants, et dont la programmation permet d'éviter vingt-cinq sortes de
toxines qui empoisonnent l'organisme. (Note du Webmaster: Un artiste dont nous ignorons hélas le nom, en a élaboré, un modèle remarquable :
qui est sans doute assez proche de la réalité d'alors).
Qui pourra encore dire, devant ce luxe de détails, que nous donne ce vieux manuscrit, qu'il ne s'agit là en fait que d'une œuvre de fiction sans grand intérêt, alors que des chercheurs patentés l'ont trouvé suffisamment passionnant
pour en tirer un rapport remarquable ?
Il y a de plus dans les textes des traditions
indiennes d'autres descriptions étonnantes comme celles du Ramayana et du Mahabharata décrivant les
méfaits époustouflants des Dieux
indiens se disputant la suprématie sur la Terre à coups d'armes
si terrifiantes qu'elles dépassent de loin nos
premières bombes atomiques. Par exemple, on trouve dans le Dronaparva :
" Jarasandha pris de couroux lança sur nous, pour nous détruire, un projectile capable de tuer toutes les créatures de la Terre. Projetant une
lumière éclatante, cette masse de feu partagea le firmament en deux, comme une
raie sépare les cheveux sur la tête. Quand il aperçut l'objet flamboyant, le
fils de Rohimi lança contre lui l'arme appelée Sthunakarma et cette arme détruisit la puissance du projectile adverse, qui
s'abattit sur la terre et la fendit en faisant trembler les montagnes. "
Extraits du livre : Astronautes de l'Ancien Orient
de W.R.DRAKE chez A. Michel dans la collection "les Chemins de l'impossible" 1976.
III Conclusion
Tout cela, nous montre bien, une
fois de plus, que les mythologies des peuples recèlent des trésors inestimables de connaissances sur le passé de
notre planète, qui semble avoir été beaucoup plus extraordinaire que l'on ne se l'imagine
habituellement.
Rappelons à nouveau pour finir, quelques paroles de
l'Ecclésiaste qui
illustrent encore bien notre propos :
" Ce qui a été, c'est ce qui sera et ce qui s'est fait, c'est ce qui
se fera, il n'y rien de nouveau sous le soleil. Chap. I vers.9.
Mais il y a encore mieux:
" S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette
chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. ChapI.vers.10.
Celui qui a élaboré le texte de l'Ecclésiaste faisait-il assaut d'imagination, ou
avait-il eu accès aux "Annales
akashiques", si chères aux "initiés indiens et
tibétains", qui est cette sorte de "mémoire de l'Univers"
et qui enregistre tout ce qui s'y passe ?
Pour ceux qui veulent en savoir plus et
qui lisent l'anglais, prière de se reporter à l'ouvrage du Dr Hatcher Childress "Ancient Indian Aircraft Technology from The
Anti-Gravity Handbook" available from Aventures Unlimited Press Post Office Box 22
Stelle, IL, USA; 60919-9989(815) 253-6390.
IV Prolongement révélateur significatif en date du
17/01/07. L' auteur Peter Kolosimo, est né en 1922, journaliste de
vulgarisation scientifique et a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann
Oberth et Werner Von Braun,
ainsi que des savants soviétiques. Il a reçu l'important prix littéraire italien
"le Premio
Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier
après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes.
C'est dans la prestigieuse collection, hélas
disparue "Les chemins de
l'impossible", que fut publié en 1974 l'ouvrage remarquable :
et où l'on découvre en page 81, ce passage surprenant suivant :
" Quelques médecins établis en Orient, s'inspirant du livre de la
sagesse antique, ont trouvé des remèdes très efficaces contre les troubles
circulatoires et certaines formes de la tuberculose. Le professeur Angelo Viziano, qui a étudié de
très près la médecine indienne, a décrit les pouvoirs surprenants d'une herbe
dite balucchar dont le
suc "calme, donne le
sommeil seulement en le passant sur le cuir chevelu". Il a aussi parlé de "dérivés de végétaux inconnus
" que les docteurs hindous emploient
"contre le diabète à la place
de l'insuline"
.
Si
les Russes cherchent à voir clair sur ce sujet, ils n'ont pas tort. Si nous en
avions la possibilité, nous nous précipiterions nous aussi pour jeter un coup
d'oeil sur ces mystérieux Hindous ; nous aussi nous irions volontiers
"faire un tour sur le
Dhurakhapalam" comme me le disait quelqu'un qui s'occupe
de la question.
Le
Dhurakhapalam était un extraordinaire appareil que les Russes
d'aujourd'hui ont connu grâce aux archives laissées
par le tsar Nicolas II qui s'intéressait passionnément aux
recherches d'un Français nommé Sédir,
expert en sciences occultes. Dans un livre intitulé "Initiations", Sédir a décrit la rencontre de son gourou avec les
inventeurs et les pilotes du mystérieux véhicule. Les archives privées du tsar
Nicolas II sont encore tenues secrètes et cela est fort dommaQe car elles
doivent contenir des détails beaucoup plus précis sur le fabuleux
engin.
Si nous voulons rejoindre le "Cap Kennedy sacré des Indes
", nous devons encore une fois revenir aux légendaires galeries
caril s'élève sur une inaccessible ville morte du Deccan où seuls les initiés
ont le droit de pénétrer en empruntant un tunnel creusé â la base du sommet
d'une montagne.
Les moines de ce singulier
ermitage auraient connu, entre autres choses, un système pour "isoler les métaux du magnétisme
terrestre", leur faisant acquérir d'extraordinaires
propriétés, les rendant transparents et possesseurs d'une charge de mystérieuse
énergie. Pour arriver à ce résultat, ils auraient travaillé sans interruption
avec de petits marteaux spéciaux dont la résonance avait une importance
primordiale dans l'accomplissement de la
transmutation.
C'est de cette manière qu'aurait
été fabriqué le Dhurakhapalam, un cube
transparent aux reflets dorés dont les côtés mesuraient environ un mètre
cinquante. "A l'intérieur, explique Sédir, le pilote est
assis sur une petite caisse pleine de cendre de laurier au pouvoir isolant. II a
devant les yeux un disque d'or bruni à travers lequel il contrôle sa route. Ses
seuls instruments sont deux leviers de cristal reliés par des fils d'argent à un
accumulateur d'énergie sonique."
C'est principalement grâce à cette force
inconnue que le cube se meut, bien que tous les éléments de la mystique hindoue
contribuent à sa montée vers le ciel. C'est dans un bruit formidable de tempête
que le dhurakhapalam disparaît à la vue lorsqu'il s'en
va vers les mondes inconnus. Il voyage dans l'hyperespace, décrit comme "un néant gris traversé par des bandes lumineuses et par des
explosions blanchâtres", il émerge, il se déplace à une vitesse
vertigineuse allant de planète en planète, de soleil en soleil, de galaxie en
galaxie.
Les Soviétiques sont-ils en train de
chercher à s'emparer de ce genre de secrets ? Nous, nous ne croyons pas qu'ils
prêtent vraiment une oreille très attentive aux récits que l'on fait autour du
dhurakhapalâm, mais il serait possible
qu'ils aient envie de savoir si cette légende ne
reposerait pas sur un fond de réalité qui pourrait les amener à une grande
découverte scientifique. "
Fin de citation.
On demeure là, vraiment bouche bée n'est-ce pas ? Et comme l'expriment les anglo-saxons dans une situation embarrassante, disons nous aussi, ici, NO COMMENT.
Article mis en page le
10/03/1997, et revu le 15/07/2001, puis le 30/05/05,
puis le 17/01/07, puis le
17/03/08, puis le 24/03/08 , puis
le 12/09/09, puis
le 06/06/2010.
IDYLLE
Fred
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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