Un
surprenant voyage
dans
le Temps
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Introduction.
D’après ce que
certains spécialistes qualifiés en langues anciennes nous ont
communiqué, le préfixe AKA serait la survivance d’une très
ancienne langue, vraisemblablement pré indo-européenne, le
Dravidien.
AKA signifierait tout lieu, site ou agglomération pouvant ou ne
pouvant pas être enclos entre murs ou toutes autres formes de clôtures
plus ou moins élaborées où, bien évidemment, se rassemblait ou
vivait une population, une tribu, une famille ou tout groupe
humain organisé.
Il existe encore, sur notre planète, 42 sites nominativement répertoriés
comportant le préfixe AKA, plus une dizaine d’autres attribués
à des cités légendaires, disparues ou oubliées de nos
contemporains, mais dont les noms se sont transmis par tradition
orale depuis des temps immémoriaux chez plusieurs groupes
ethniques différents répartis dans le Monde.
En ce qui concerne AKALAL, ce nom est celui du site d’un groupe
humain parfaitement organisé ayant vécu il y a environ 40.000
ans et implanté sur un point précis de notre globe terrestre ,
là où actuellement un désert aride recouvre par une épaisseur
de sable de plusieurs dizaines de mètres, lequel, à cette époque,
était un vaste territoire luxuriant, à la végétation abondante
et généreusement arrosé par des cours d’eau et des fleuves.
Nous ne tentons pas de convaincre quiconque de la réalité de ce
qui se passait là il y a 400 siècles, mais tout un chacun peut
être septique et
considérer cette ‘histoire’ comme totalement farfelue.. cette
attitude a d’ailleurs été notre réaction et durant de très
longs mois nous avons soigneusement laissé dormir au fond d’un
tiroir, notes, cartes et cassettes audio enregistrées.. en
attendant qu’un jour le hasard puisse venir confirmer cette époustouflante
révélation, prenant garde de n’en parler à quiconque évitant
ainsi toute appréciation sur notre crédulité infantile à
divulguer de telles absurdités..
Le hasard étant non seulement le meilleur allié des policiers..
il est aussi un atout pour les chercheurs de toutes disciplines,
d’aucuns ne nous contrediront sur ce point !
Quelques mois plus tard, début Mars 1983, le hasard, sous la
forme de photos-radar (Photos Nos. S-83-25010 et S-83-25919)
prises par la navette Columbia en Novembre 1981, reçues du
‘Lyndon B. Johnson Space
Center’ de la NASA à Houston (Texas), est venu nous mettre sous
le nez les preuves irréfutables de la présence des restes d’un
site ayant bien existé avant que le désert de sable n’en
prenne la place.. reste à en démontrer la justesse de la
datation mais il doit bien exister d’éminents géologues
pouvant déterminer en combien de centaines de siècles tout un
territoire tempéré s’est transformé en un très vaste désert
aride et inhospitalier..
C’est alors que nous avons décidé de transcrire sur papier
cette ‘histoire’ ne risquant plus les quolibets
de nos semblables et n’écoutant que les critiques
constructives, laissant à chacun le soin de disposer à sa guise
de la faculté que chaque homme possède avec son libre arbitre :
Croire ou ne pas croire !
Avant la création de l’IRC à Nice le 24 Juin
1982, en l’année 1980 , avec une petite équipe de
‘complices’ nous assistions régulièrement et chaque fois
dans un endroit différent en région Provence-Alpes-Côte d’Azur
à des réunions d’informations, déjeuners-débats, organisées
par l’IMSA, (Institut Mondial des Sciences Avancées) menée par
un autre ami de Marseille, Jimmy Guieu , Ecrivain de
science-fiction bien connu.
Tous les sujets y étaient abordés dans un esprit de Raison et
d’ouverture sur le concret évitant de plonger dans les eaux
troubles de la sotte béatitude. Triant sur le volet les différents
orateurs, éloignant tous les farfelus et autres farceurs. Parmi
les sujets traités il fût question un beau jour, lors d’un déjeuner-débat
dans un établissement du Massif de la Ste-Baume, dans les Bouches
du Rhône, de la psychométrie.
Et parmi les orateurs présents, une jeune femme, Barbara, aux réels
talents de psychomètre comme l’on n’en rencontre que trop
rarement.
D’abord une précision , La psychométrie c’est quoi ?
C’est tout simplement l’Art, à travers un ‘témoin’, la
plupart du temps un objet fort ancien, parfois un ‘mobilier’
archéologique, de remonter le temps et décrire ce qui se passait
dans l’environnement, de dresser le tableau du site et restituer
les activités des
personnages dans le lointain passé de l’époque où cet objet
avait, à son origine, sa place normale.
Stefan
Ossowiecki
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Des
hommes connus ou moins connus, tel Stefan
Ossowiecki né en 1877 à Moscou et mort le 1°
Août 1944, abattu par les nazis à Varsovie,
lequel avait travaillé avec de nombreux savants
de son époque:
Le directeur du Muséem de Varsovie,
Stanislas Poniatowski,, Mickael Kamienski,
professeur d’astronomie et directeur de
l’observatoire de l’Université de Varsovie,
Jan Lukasiewicz, mathématicien et logicien,
Stefan Manczarski, géophysicien, Witold Henser,
l’un des plus éminents archéologues
polonais, sans oublier le professeur Richet,
prix Nobel de Médecine en 1913, le professeur
Gustave Geley et bien d’autres tout aussi célèbres,
ayant tous attesté l’authenticité
scientifique de cette pratique d’une des
branches de la parapsychologie, ayant permis à
la science de l’archéologie de faire de
notables progrès dans les méandres de l’Histoire
humaine
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Cet
homme a apporté les preuves scientifiques que la psychométrie
est loin d’être une pratique discutable, n’ayant
aucun rapport avec des séances spirites ou occultes assez
douteuses pouvant être prétextes à duperie à l’intention
de gogos avides de merveilleux à bon marché, criant au miracle
devant des tours de prestidigitation habilement pratiqués par des
‘magiciens’ de pacotille.
Cette science, pratiquée par cet homme, a fait l’objet de
rapports sérieux, les expériences et les données rapportées
furent ultérieurement toutes
vérifiées ‘in-situ’
Sans tenter de chercher à en
démonter le ‘mécanisme subtil’ ni savoir comment
l’on peut parvenir à remonter dans le passé et à y retrouver
des traces palpables, en particulier par l’archéologie, tous
les scientifiques ayant été confrontés avec le talent de ce
psychomètre, ont unanimement conclu à la réalité du ‘phénomène’
et à son importance en matière de preuve scientifique.
Il n’y a pas de bons ou mauvais psychomètres : Il y a ceux
qui le sont devenus par leurs travaux personnels, en pénétrant
le plus avant qu’il soit humainement possible de le faire dans
les replis les plus inconnus du superconscient, et il y a les
autres, ceux qui n’y sont pas parvenus, ne pouvant atteindre ce
stade et pouvoir ainsi se livrer avec succès à cet ‘Art’ qui
paraît si simple et pourtant d’une incroyable complexité à
utiliser.
Quelques-uns ont recours à un objet ‘témoin ‘dont
souvent la datation est imprécise et, grâce à cet objet,
souvent façonné par l’homme, retracent tout un environnement
et parviennent à reconstituer un ensemble autour de l’objet
considéré à l’époque de son utilisation. Cet objet n’est
alors qu’un focalisateur duquel part un fil invisible que le
praticien n’a qu’à suivre pour remonter le temps ..
D’autres n’utilisent pas de supports physiques mais, placés
en présence d’une personne quelconque, remontent l’écheveau
du passé en visionnant les époques et tout ce qui entourait le
sujet, ses activités et les lieux où il avait vécu lors d’une
ou plusieurs vies antérieures. (Croire
ou ne pas croire à la réincarnation ? Quelle importance, là
n’est pas le sujet ! Que chacun se débrouille avec son
‘Je crois ou je ne crois pas ‘)
Je renvoie les chercheurs de noms de psychomètres opérant ainsi
à celui d’Edgar Cayce, ce ‘visionnaire’ américain, décédé
en 1945 près de Virginia-Beach ayant fait des milliers de
‘lectures de vies’, (l’on désigne sous le terme ‘Lecture
de Vie, un diagnostic ou une ‘révélation faite en état
d’auto hypnose) dont certaines ont été décrites dans des
ouvrages parus en France. Evidemment c’est aux USA qu’une très
abondante littérature consacrée à la vie extraordinaire de cet
homme est disponible
Les mois passent et quelques jours avant la fin décembre 1980,
Barbara et son ami sont invités un soir autour d’une table, à
Nice. Nous étions six ou sept convives et évidemment les sujets
de conversation ne manquaient pas avec, comme futur objectif, l’éventuelle
création d’une antenne de l’IMSA (Institut Mondial des
Sciences Avancées) dans les Alpes-Maritimes.
Soudain, la fourchette en l’air Barbara, regarde
fixement l’un d’entre nous et dit : « Ne bouge pas
et faites silence !... Je
‘vois’ quelque chose d’incroyable ! ».
Passées quelques minutes de recueillement et de concentration
mentale, rompant le silence que tous avions respecté, durant prés
de trois heures
Barbara parle et raconte devant nous , médusés, une histoire étonnante.
Nous nous déplaçons tous vers le salon attenant, plus
confortable et plus intime où un magnétophone branché
rapidement a ensuite enregistré
durant un peu plus de deux heures
lors de cette première séance un récit des plus
incroyables qui soit à tel point que, le lendemain matin, au
petit déjeuner il fut décidé qu’une deuxième séance serait
nécessaire pour achever le
récit, se procurer une carte des lieux décrits, y annoter tout
ce qui devait y figurer, répondre aux questions et peaufiner tous
les détails manquant encore...
Le 21 février 1981 la seconde et dernière séance nous a ramené
à nouveau dans un passé vieux de quarante mille ans....
Notre ami, ayant
servi de support à la ‘vision’ de Barbara, malgré plusieurs
questions dans ce sens, ne sut jamais ce qu’il avait été, ce
qu’il faisait là-bas il y a quarante mille dans une existence
lointaine.. mais s’agissait-il réellement de lui, ou
n’avait-il été qu’un objet, témoin-véhicule nécessaire à
cette expérience.. Il ne le sut jamais.. ni les autres assistants
non plus
Après avoir mis de l’ordre dans toutes les parties du récit,
enregistrées en vrac
au fur et à mesure que Barbara parlait, voici la synthèse de
cette ‘Histoire’.
A
k a l a l :
Ce
n’était pas encore le désert !
Sur
cette partie du globe, dont il sera donné ultérieurement
l’emplacement exact, où se situe actuellement un vaste désert
de rocailles et de sable, s’étendait à l’époque un immense
territoire fertile, couvert d’une végétation luxuriante au
milieu de laquelle serpentaient des cours d’eau. Du haut de
falaises, devenues aujourd’hui des collines de pierrailles brûlées
par le soleil, tombaient de nombreuses cascades d’eau fraîche.
Des populations groupées,
en ce que nous pourrions nommer des villages dont les cases, ou
plutôt les maisons, étaient dépouillées de mobiliers
superflus, aux intérieurs simples mais très confortables et, prés
de la porte de chacune, des ruches.. Une ou plusieurs ruches en
activité et placées là où nous serions maintenant plus habitués
à y voir une ou des niches à chiens !
Partout régnait une paix simple et naturelle impossible à
concevoir avec l’état d’esprit des hommes du XXI° siècle.
Tout dans ces ‘villages’ respirait la sérénité, la vie
harmonieuse et sans problèmes, enfin tels que nous pouvons
actuellement les imaginer, découlant d’une vie communautaire.
Sur une question précise, Barbara a mentionné à plusieurs
reprises et en insistant sur ce fait,
que ces habitants
du pays d’Akalal,
ainsi que ceux des autres
peuples évoluant eux aussi à cette époque, étaient
les descendants de civilisations plus anciennes, antérieures et
contemporaines de celle des Atlantes.
Il y avait à cette époque des matériels et des produits élaborés
avec des matériaux que nous ne pourrions plus ni créer, ni
utiliser à l’heure actuelle. Ils étaient à base de matières
premières que nous ne saurions plus transformer à partir de ce
que nous possédons car, d’une part, nous en avons perdu et
oublié les techniques et, c’est le plus important, nous
n’avons plus la même morphologie biologique et surtout mentale
et psychique que possédaient ces très lointains ancêtres,
contemporains de ces époques reculées.
Si nous retrouvions intact un individu de cette période, les différences
morphologiques constatables nous apparaîtraient très infimes,
mais en réalité très importantes sur le comportement physique,
totalement différent du fait du large fossé séparant nos facultés
psychiques et mentales actuelles de celles autrement développées
dont étaient dotés ces
hommes du passé...
Et, conséquence fondamentale de ces différences, un autre
facteur intervient dans le comportement, l’état du mental, du
psychisme et donc des activités de ces temps : Sur le plan
cosmique notre Terre ne recevait pas les mêmes influx ionisants,
le magnétisme terrestre et le sens de rotation du Globe n’étaient
pas non plus les mêmes que maintenant. A notre bien compréhensible
surprise en entendant cette ‘révélation’ l’un de nous posa
une question « Mais comment conçois-tu ce dont tu parles ? »
« C’est ce que suggère ce que je vois. Il me vient
l’image d’une voiture.. Oui d’une voiture .. Je
comprend : C’est la réponse à ta question ! »
- Un silence, puis « Imagine, tu prends ta voiture pour
aller de Marseille à Lille. Tu vas traverser toute la France et,
suivant la météo, tu rouleras successivement dans une zone de
soleil, puis de pluie et peut-être aussi de brouillard, pour
passer sous un orage. Sur mille kilomètres tu rencontreras des
différences de temps, alors tu as compris. Notre Terre fait
partie de notre système solaire, lequel est inclus dans une
galaxie, une parmi des milliards.
Notre système
solaire se déplace à une vitesse incroyable, entraîné par
‘notre’ galaxie et tous ces ensembles traversent, eux aussi,
des zones de ‘climats’ intergalactiques différents et comme
le vide est une notion fausse, il y a ce que beaucoup nomment l’Ether,
dont nous ne connaissons d’ici, de notre petite tête d’épingle
qu’est la Terre, encore pratiquement rien sur la diversité de
la composition éthérique du soit-disant vide sidéral, nous
devons admettre qu’au cours des âges, nous subissons des influx
différents dont les fréquences et les durées nous sont
inconnues.»
Notre
Planète n’était pas la même..
La pesanteur sur
Terre alors était également différente, tous ces phénomènes
paraissant aberrant actuellement, était dus au fait que notre
Galaxie toute entière traversait une certaine ‘Zone Cosmique’
qui n’était pas celle dans laquelle nous évoluons depuis déjà
des milliers d’années.. Barbara ajouta : « La qualité
de l’air et de l’atmosphère était hétérogène et que
‘quelque chose’ vibrait différemment dans l’air ! »
Donc, si l’homme était en apparence
physiquement semblable à ce que nous sommes, à quelques infimes
différences près, mais très importantes sur son comportement,
il ne vibrait pas lui-même sur la même partition de fréquences
tel que nous ‘vibrons’ actuellement. Les fréquences
potentielles n’étaient pas comparables sur le plan énergétique
physique et, à cette époque, il utilisait davantage ses facultés
mentales et psychiques, la Force de la Pensée était chez lui une
complémentarité physique, technologique, pourrions-nous même
affirmer..
Considérant ces concepts, il serait donc vain et ridicule de
tenter une comparaison car, si l’environnement était similaire,
même si nous ne trouvions guère de dissemblance en comparant
notre environnement actuel , nos facultés mentales et
psychiques n’auraient plus les mêmes fonctions et nous serions
étonnés de la somme de puissance énergétique
que nous pourrions déployer si, dans tout cet
environnement vibratoire, nous y étions placés durant le temps nécessaire
à une accoutumance laquelle, sans nul doute, malgré cet aspect
positif, serait infiniment pénible, sinon dangereux à tous les
niveaux de nos facultés.
Cela peut nous aider à comprendre le
danger pour certains
inconscients non ou mal préparés, à tenter des ‘expériences’
dites spirites ou encore de certaines formes de yoga mental
particulier, desquelles ils sortent complètement ‘déphasés’
si toutefois, et cela est hélas déjà arrivé à certains plus
souvent qu’on le croit, une issue fatale physique ou psychique
les envoie ‘ad-patres’ ou.. dans le meilleur des cas,
deviennent pensionnaires à vie dans un établissement spécialisé
des affections psychiatriques....
Sans le savoir et même sans en avoir conscience, ils
quittent une fréquence vibratoire habituelle pour entrer, même
durant peu de temps, dans un autre niveau fréquentiel
auquel le corps humain et le tissus neuronique de notre
cerveau ne sont
pas accoutumés.
La Tradition Orale, transmise à travers de longues périodes du
temps de notre Terre, qu’entretenait au long des siècles la
lignée des Grands
Initiés, s’étant succédés au delà des bouleversements planétaires,
des cataclysmes naturels et ceux provoqués par les hommes,
apportait et transmettait le souvenir de générations d’hommes
différents (Géants, dieux, etc..)
Toutefois cette transmission orale de l’enseignement de
connaissances originales avait un grave défaut : Il se
modifiait imperceptiblement, par déformation progressive
des langues et des dialectes et aussi par l’interprétation
de toute une symbolique, qui tout en restant identique dans les
tracés (un carré reste toujours un carré, un cercle, un cercle,
etc), changeait imperceptiblement de sens au fur et à mesure que
les structures mentales évoluaient.. Les dizaines de siècles
passant, la connaissance originale ne pouvait plus avoir la même
signification révélée ‘en fin de course’..
Il est alors facile de comprendre pourquoi, il y a encore quelques
siècles et même actuellement encore chez certains groupes
humains, les Maîtres tentaient de ‘ressembler’ à leurs ancêtres
et conserver ainsi les mêmes pouvoirs, facultés et
connaissances..
Les seuls pouvoirs qu’ils détenaient encore résidaient dans la
pratique d’exercices psychiques et les bribes de connaissance
leur restant, pouvaient encore leur donner l’apparence d’une
supériorité sur la masse profane ignorante et superstitieuse.
Il n’est pas non plus étonnant de constater que les prêtres égyptiens
et ceux des civilisations précolombiennes en Amérique Centrale
sont presque toujours représentés avec le crâne allongé. Pour
ce faire les hommes destinés à être initiés, donc recevoir
certaines connaissances et à
devenir des chefs spirituels, étaient choisis dés la plus jeune
enfance suivant des critères nous restant encore obscurs mais
qui, vraisemblablement à la suite de positions planétaires à
leurs naissances, déterminant ainsi leur devenir, comme
membres officiants d’une
certaine élite , celle des prêtres, dans cette société.
Cette sélection faite, le jeune crâne était emprisonné entre
des planchettes de bois, fermement maintenues en place par des
bandelettes de toile que l’on serrait progressivement durant
toute la prime croissance, lui donnant cette forme allongée
particulière :
Cette déformation anatomique devait permettre à l’individu
soumis à ce traitement, d’atteindre et d’utiliser des facultés
‘psy’ que bien évidemment la masse du peuple ne pouvait acquérir..
sans cette ‘préparation’.
Il reste toutefois à se convaincre que ces déformations apportées
au cerveau, de par la forme que lui conférait la boîte crânienne,
puissent avoir une réelle influence déterminante sur des
possibilités psychiques et mentales, plus fécondes pour les
exercices particuliers qu’auraient à pratiquer des prêtres et
des maîtres initiés..
A notre avis, et nous penchons davantage pour cette théorie
valant tout autant que la précédente,
c’est plus par ‘mimétisme’ que cette déformation
anatomique était pratiquée.
En effet, il faut comprendre que lors de la description faite des
individus nous ayant
précédés et, en particulier
ceux que les deux séances de psychomètrie lui avait fait
‘visionner’, qu’ils avaient effectivement le crâne plus
allongé vers l’occiput, forme que l’on retrouve parfois lors
de trouvailles sur ces sites archéologiques.
C’est peut-être cette légère différence anatomique qui,
entr’autres, procurait à nos lointains ascendants certains
avantages dont ils tiraient naturellement profit, sans que cette
particularité leur semble extraordinaire car ils en étaient tous
dotés. Ce n’est
pas exclus, mais n’en constitue pas une preuve absolue, tout au
plus cette disposition de la boîte crânienne peut prétendre
suggérer cette hypothèse.
Une
harmonique physique et psychique..
De par toutes les
conditions réunies venant d’être citées, bien différentes de
celles qui nous sont connues actuellement, les hommes de cette époque
disposaient donc de la
maîtrise de l’ Esprit sur la Matière..
Ces
possibilités peuvent sembler aberrantes à nos sens actuels mais,
n’oublions pas que nous sommes placés dans un contexte tout
autre que celui dans lequel évoluaient ces hommes ‘préhistoriques’
d’il y a quatre cents siècles !
Il
y a deux aspects nettement opposés pouvant se faire jour à la
lecture de la synthèse de ce que nous avons entendu nous être énoncée :
Ou bien nous admettons que tout ceci a très bien pu être ou
alors, en vertu du droit fondamental que possède chacun d’entre
nous, de rejeter tout ce qui est révélé ici, et en doutant
aussi du procédé nous ayant permis d’être en possession de
ces étonnantes informations..
Nous
rapportons des faits que, par
recoupement, nous
considérons comme exacts car nous sommes absolument certains que
les disciplines de sciences dites ‘parallèles’ sont à
prendre au sérieux, telle la psychométrie, une science exacte
dont nous ne pouvons plus
douter.
Trop
de sommités savantes de par le monde, au rationalisme indélébile,
ont eu la preuve du sérieux de cette pratique, ayant eu les
moyens de vérifier matériellement sur sites les informations reçues
par ce procédé paradoxal par des praticiens de valeur dans
l’art de la psychométrie.
Une
autre coïncidence étonnante : Il est extraordinaire qu’un
homme comme Pierre Guilder, dont nous avons exposé par ailleurs
les travaux ‘inconscients’ nous ait apporté, au travers des
traductions et interprétations de
ses ‘codex’, des confirmations troublantes
cadrant avec ce que notre amie Barbara nous a révélé de
son côté.
Tout
au long de notre queste permanente de la Connaissance, en
chercheurs pragmatiques nous interdisant toute incursion dans les
méandres aléatoires de la subjectivité, nous avons été amenés
à comprendre que des méthodes différentes d’investigation
nous apportaient des éléments identiques quant aux utilisations
extraordinaires des Energies de plus en plus variées découvertes
(ou plus exactement redécouvertes) ayant un point commun dans
leurs applications, en particulier celles de l’Harmonique bien
connue des illustres chercheurs mathématiciens-physiciens
des XV° au XVIII° siècles.
Plus
les fréquences vibratoires de la Pensée sont sensibles à celle
de l’environnement immédiat ou lointain, plus il est aisé pour
l’Homme de maîtriser les énergies qui l’entourent
et celle dont il est le porteur potentiel
Ne
soyons donc plus étonnés que des individus ayant vécu en des
temps reculés, possédant des facultés qui ne sont plus les nôtres
- ou tout au moins dont il ne nous reste que quelques
lambeaux épars et incontrôlables -
aient été capable d’activités physiques qui nous échappent..
et qu’il est bien difficile d’admettre : Nous sommes désormais
devenus psychiquement
différents. Notre structure mentale est toute autre.. Des
centaines de siècles nous en séparent et si nous prétendons que
l’espèce humaine a évolué, l’on peut se poser froidement la
question : Dans quel sens ?..
Ces
hommes d’un autre âge, tellement éloignés de nous qu’ils
peuvent sembler appartenir à un autre Monde, n’utilisaient pas
la pensée telle que nous pouvons le supposer .
Il
ne leur suffisait pas de formuler un ordre mental pour, par
exemple, soulever de terre des objets dont le poids dépassait
celui de leurs possibilités musculaires.. Ceci est une vue
simpliste !
Ils
utilisaient des ‘supports’ jouant le rôle d’accélérateurs
psychiques, ou d’amplificateurs. Ces ‘supports’
étaient des minerais d’une pureté telle que leur matière
en devenait vivante.. ainsi d’ailleurs qu’ils le sont toujours
restés.
Ces
supports étaient des cristaux
-toujours présents parmi nous- que nos physiciens
utilisent de plus en plus. Leurs applications en sont
infinies.. mais, nous ne disposons plus de certaines facultés
psychiques permettant, pour certains, de les ‘activer en
‘accordant’ nos propres fréquences avec celle de leur
vibration moléculaire.. chacun suivant sa destination !
Chaque
cristal, ayant sa structure particulière, pour pouvoir ainsi
devenir ‘actif’ sous le contrôle fréquentiel du psychisme de
l’Homme, doit être lui-même placé dans des conditions que ces
gens-là maîtrisaient parfaitement, afin que sa structure moléculaire
soit en parfait accord avec
la fréquence vibratoire pouvant être émise par le cerveau
humain.
Malgré
tous les efforts de Barbara, pour tenter de décrire avec des mots
précis ce qu’elle ‘voyait’, il lui était impossible de
traduire des procédés technologiques dont elle visionnait les
applications que, même un physicien hautement qualifié, s’il
avait eu la possibilité de les voir lui-même fonctionner, serait
incapable d’en décrire et d’en expliquer les techniques.
Il
n ‘aurait pas les moyens matériels de mesures fréquentielles
déterminant les effets produits. Nous ne disposons pas
d’appareils étalonnés ou étalonnables le permettant
car, s’agissant de notions nous échappant totalement,
nous ne pouvons les imaginer !
A
l’écoute, ou la réécoute des propos de Barbara, nous avons le
très désagréable sentiment d’être placés face à des
inconnues dont les structures sont insaisissables à nos sens et
à nos paramètres habituels..
Nous
nous retrouvons, dans un autre domaine, confrontés aux mêmes
dilemmes technologiques que les plus éminents spécialistes
devant les conséquences du phénomène ufologique, dont on a
constaté les effets ou même dans certaines unités de centres de
recherches aux USA, ayant tenté d’analyser des ‘métaux’
composant les structures d’engins ‘crashés’ récupérés au
sol, sont dans l’impossibilité de comprendre et d’émettre la
moindre théorie (officiellement tout au moins) sur
l’utilisation d’alliages de divers métaux.. intimement associés
à des particules cristallines (encore -et
pas par hasard- le cristal !)
Il
est certain que lorsque nous aurons avancé de quelques pas dans
ce domaine, qui réservera à la science quelques surprises bien
plus grandes que la re- découverte des applications de
l’électricité, nous serons étonnés des révolutions
technologiques qui pourront en découler...
Le
pays d’ A
k a l a l ....
C’était
un pays que l’on pourrait qualifier de merveilleux..
A
l’endroit précis qu’avait ‘visionné’ Barbara, la petite
bourgade était composée d’environ quarante familles environ.
La population était disséminée par petits groupes, lesquels se
consacraient à l’agriculture tout en étant, et c’est un
paradoxe impensable de nos jours, capables de réalisations
technologiques dépassant notre entendement ‘moderne’.
Ce
qui a étonné notre amie psychomètre laquelle, devant les
‘visions’ sur l’extraordinaire écran de son superconscient,
s’exclamant en découvrant ces images d’un autre temps, c’étaient
les superficies démesurées des surfaces cultivées par rapport
à la très faible démographie.
Ainsi
qu’elle le décrivait elle-même : « Des champs !
Des champs immenses, magnifiques et à perte de vue » ..
« Toutes ces récoltes étaient destinées à d’autres
contrées, mais très éloignées ailleurs sur notre Globe ! »
Ce
qui est paradoxal, ainsi qu’elle continuait à le dépeindre,
c’était le fait que les rendements colossaux de céréales et
d’autres produits du sol ne posaient pas de problèmes de récoltes..
comparé à la quantité de main-d’œuvre qui serait à
l’heure actuelle nécessaire, même avec nos moyens mécanisés
les plus importants .
Malgré
tous nos efforts de compréhension de ce qui était exposé
concernant la technologie, les techniques utilisées par ces ancêtres
oubliés, il a été pratiquement impossible à Barbara de
traduire avec des termes usuels comment ces généreuses récoltes
, ces vastes étendues cultivées pouvaient être fauchées,
ramassées et stockées par un si petit nombre d’hommes
lesquels, d’après
ce que nous comprenions ne prenaient aucune part active et
physique à ces travaux !
Toute
référence avec nos moyens modernes, même les plus sophistiqués,
ne trouvent aucune valeur comparative !
Elle
insistait surtout sur une utilisation très développée de cette mystérieuse
‘énergie’ largement amplifiée et domestiquée, ‘dirigée’
à l’aide du ‘cristal’...Il s’agit de connaissances nous
échappant totalement : Nous n’appartenons plus au même
‘monde’ .. C’est aussi simple que ça !
Si
par un miraculeux procédé nous avions la faculté de nous déplacer
dans le temps et à l’aide d’une ‘machine’ (Telle que
celle imaginée
par Wells) et que, grâce à ce chronogyre nous avions
la curiosité de nous rendre chez des ancêtres de seulement un
millénaire en arrière, avec quels mots compréhensibles à leur
entendement pourrions nous leur expliquer ce qu’est une
automobile, un avion ou même une faucheuse-batteuse. De quels
mots pourraient-ils se faire une image de l’essence .. ou même
tout bêtement d’une ampoule électrique..
Face
aux révélations sur la
civilisation à laquelle appartenaient
les habitants d’Akalal, nous sommes placés dans la même
situation irritante : Ne pas pouvoir traduire ce qui nous a
été transmis.
Tout
ce qui nous est seulement possible de tenter, c’est de
transcrire le moins
approximativement possible, rapporter avec le maximum de fidélité
les images défilant sur l’écran d’une ‘superconscience’..
que nous ne pouvions pas voir, mais décrites par notre amie avec
des mots de notre temps...
Ainsi
par exemple, nous apprenions que ces monceaux de récoltes étaient
stockées dans des containers cubiques sortes de petits de silos,
lesquels n’étaient ni en bois, ni en métal.. mais
constitués de ‘fétus de pailles concassés, pressés et agglomérés
par ‘collage’ : Ils étaient d’une solidité et d’une
résistance incroyables !
Et que ces ‘containers’ reposaient sur de très grandes
aires constituées d’immenses ‘tapis’ de la même matière.
« Imaginez
de très vastes tapis constitués
de la paille des longs fétus de blé, collés et pressés :
Cela peut faire de très beaux tapis et très solides ! »
ajoutait notre amie.
Ensuite
que, par une technique ‘miraculeuse’ pour nos concepts
actuels, ces containers cubiques
étaient déplacés et chargés par des procédés ‘de lévitation
ou autres’ - comme on pourra le comprendre !- car, ni les
hommes n’intervenaient directement ou indirectement « Aucun
appareil ou engin de levage ou de transport n’était visible à
proximité immédiate ».
Edgar Cayce
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Parvenus
à ce point de l’exposé de cette
‘Histoire’, nous ne pouvons passer sous
silence certaines révélations faites par Edgar
Cayce, (‘The sleeping Prophet’). Plusieurs
‘Lectures de Vies’ concernant l’Atlantide,
dont les enregistrements sténographiés,
transcrits et classés par ordre thématique et
chronologique, sont à la disposition de tout un
chacun à la Fondation Cayce, en écrivant à
l’adresse suivante : ‘Individual
Référence File.Dept. - Membership Services -
A.R.E. Box 595, Virginia Beach, VA 23451 -USA-
En
substance, résumant l’essentiel de plusieurs
longues ‘lectures de vies’ dictées par
Edgar Cayce durant des phases de sommeil
paradoxal, nous citons les principales révélations
sur l’Atlantide lesquelles ont été révélées
par bribes
de 1923
jusqu’en 1932, certaines révélations
de cet homme sur ce soit-disant ‘légendaire
continent’, concernent en effet une époque de
moins 50.000 ans !
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Ce
qui nous intéresse sont les révélations, pouvant aider à
comprendre une partie de notre ‘histoire’ d’Akalal sur, en
particulier , une forme d’énergie solaire captée par un
cristal pouvant expliquer le ‘fonctionnement’ d’une forme de
technologie utilisée pour, entr’autres, ‘enlever et
transporter’ les silos des récoltes...
Il
ne s’agit rien moins que d’une
‘technique’ suffisamment avancée pour qu’à cette époque,
des hommes aient su capter les rayons éthérés
ou cosmiques du soleil
et s’en servir comme principale source d’énergie
(pourquoi pas car, soyons modestes, à l’aube du III° millénaire
nous n’avons encore
pas tout re-découvert : Nous n’en sommes qu’à
l’énergie atomique !)
Dans
un grand édifice en coupole dont le toit s’escamotait, y était
placé un large
cristal cylindrique, taillé en facettes de telle manière que la
facette supérieure de couverture centralisait toute la puissance
qui se concentrait depuis l’extrémité du cylindre jusqu'à la
facette de couverture.
Ses
puissants rayons pouvaient pénétrer partout.
Ces
radiations demeuraient invisibles à l’œil nu, mais leur force
d’impulsion était capable de soulever des pierres.
Cette
énergie propulsait des avions mus par des gaz (Cayce emploie
les mots de son époque) ou
guidait des véhicules de plaisance qui glissaient à la surface
du sol, ou des bateaux sous-marins.
Des
stations distribuant cette énergie étaient installées sur tout
le continent atlante et ailleurs.
Cayce
décrivit aussi un autre rayon à l’aide de ‘la Pierre de
Feu’ (il parlait du rubis) dont « la force de
radiation est obtenue en accumulant de l’énergie sur un
petit cristal isolé , doué de propriétés magnétiques spéciales,
qui permettent au cristal d’émettre davantage d’énergie
qu’il n’en reçoit »
ajoutant même que ce
rayon serait découvert par ses contemporains dans les vingt-cinq
années prochaines, il décrivait donc déjà en 1932, la
future découverte du Laser..
Barbara
ajouta alors : « A
cette époque reculée, il y avait sur notre Terre d’immenses
zones complètement vides d’habitants. C’étaient des
territoires que l’on pourrait comparer aux forêts tropicales
que nous connaissons et, sur d’autres parties du globe,
sur des parties plus accueillantes, moins hostiles et tempérées,
les cultures étaient intensives. Il n’y avait pas de grandes métropoles.
Les populations, infiniment moins nombreuses que nous le sommes
actuellement. Il y avait très peu de femmes et très peu
d’enfants. Ils vivaient dans de modestes cités
ou dans d’infimes bourgades comme celle d’Akalal.
« Faisant
ensuite la synthèse de nombreuses descriptions ( Ces deux séances
de psychométrie ont représenté presque six heures de récits
-entrecoupés de nos multiples questions- des ‘visions’ de
Barbara), il nous faut comprendre que l’aspect de notre Planète
ne correspondait pas à celui qu’elle présente actuellement. »
« Sur
certains continents des fleuves, tel que le Nil pour ne citer que
celui-là, ne coulaient pas dans le même lit. A Akalal, il ne
pleuvait que trois mois par année et, le reste du temps, sur les
zones cultivées l’eau montait par capillarité (Par
un procédé non décrit !) des nappes phréatiques
souterraines qui se trouvaient à faible profondeur.. qui existent
toujours actuellement mais à des centaines et des centaines
de mètres sous le sol !
L’Atlantide
-qui n’est pas une fiction quoique l’on puisse en dire-
occupait sa place au milieu de l’océan et était le ‘phare’
de la civilisation et des connaissances,
plus exactement le ‘cerveau’ du monde de cette époque ».
Imaginons
le soleil se levant à l’Ouest, sur une autre longitude que
celle propre à l’inclinaison de l’axe de la Terre que nous
connaissons : Les pôles étaient déplacés par rapport à
leurs positions actuelles.
Il
existe de nombreux ouvrages de références, rédigés par d’éminents
spécialistes scientifiques, apportant les preuves géophysiques
des ‘fantaisies’ de notre Planète..
Un
livre très sérieux de John White édité en 1980
par les éditions Doubleday & Co, Inc., Garden City à
New-York, sous le titre ‘Pole Shift’..
Malgré nos efforts nous n’avons rien trouvé en France
sur ce sujet ( !)
De
surprenantes révélations..
La
contrée ou se situait Akalal était une zone de culture intense
- une zone rurale dirions-nous maintenant -
mais dont les limites cultivables étaient déterminées à
l’avance et, comme la forêt était partout présente dans cette
contrée, les superficies à cultiver étaient préalablement déboisées
avec des ‘moyens matériels, qu’un faible nombre d’hommes
mettaient en action’, un peu maintenant comme dans nos usines,
des robots automatisés surveillés par trois ou quatre hommes
font le travail de centaines d’ouvriers. C’est à peu près la
comparaison qui nous en a été faite !
La
culture du blé représentait l’activité principale des gens de
cette petite localité, il présentait d’ailleurs,
comme toutes les cultures, la particularité d’être
‘monstrueux ! Nous
comprendrons mieux
pourquoi et comment quelques pages plus avant.
L’écoute
des enregistrements de ces surprenantes révélations intrigue au
plus haut point ! Il est question d’épis de blé gros
comme ceux du maïs et dont les
tiges mesuraient près de deux mètres de haut ! !
Le
vignes, qui étaient en place un peu plus loin hors des limites
d’Akalal, présentaient la même étonnante disproportion :
Des grappes énormes dont les grains étaient aussi volumineux que
des prunes ! !
(Il existe en Israël un symbole graphique représentant deux
hommes marchant l’un derrière l’autre, portant ensemble un bâton
posé sur les épaules servant de support à une gigantesque
grappe de raisin.. Est-ce une rémanence d’un certain passé ?)
L’étonnement
des témoins des récits entendus ne fut pas moins grand
d’apprendre que le transport de ces récoltes pléthoriques n’était
pas très orthodoxe !
Celui
du transport des ‘champs’ aux aires de stockage se faisait par
câbles soutenus par des poteaux, un peu la même technologie que
celle de nos téléphériques, systèmes eux aussi largement
automatisés. (Comment ?
Barbara décrivait ce qu’elle ‘voyait’ mais quant à savoir
comment cela fonctionnait, elle ne parvenait pas à le décrire
avec les mots de notre vocabulaire du XX° siècle !)
Si
nous savions déjà que les zones de cultures étaient fortement
disproportionnées en comparaison de la faible densité de
population - qu’il y avait donc surproduction - il a été
demandé à notre amie de répéter plusieurs fois vers quelle
destination ces récoltes pouvaient bien être acheminées et au
profit de qui.
Nous
avons hésité à passer les moyens de transport sous silence tant
ils échappent à nos critères rationnels ! Nous livrons ces
"révélations" telles qu’elle sont conservées sur la
bande magnétique de la cassette d’enregistrement :
« Lorsque
le moment était venu d’enlever ces récoltes de blé, arrivait
par voie aérienne un engin, dont l’apparence pourrait nous
faire penser à un ‘overcraft’ se déplaçant sur coussin
d’air, mais d’un tonnage bien plus important et de bien plus
grande capacité., comme un de
nos navires
cargos ou de nos ferry-boats.
Sur la rampe d’accès inclinée de cet appareil les
containers glissaient vers l’intérieur. »
Malgré
nos nombreuses questions, il fut impossible de faire décrire
comment, ni par quels procédés techniques cette opération était
réalisée.
« Le
chargement terminé -sans aucune intervention humaine visible- le
déplacement (le vol) de cet engin s’effectuait sans aucun
bruit. A bord se trouvait un cristal, dans un ‘logement approprié,
qui captait une ‘énergie’ en provenance d’une ‘source
centrale’ bien loin d’ici et qui servait à la sustentation et
à la propulsion ».
Nous
voici à nouveau confrontés à ce ‘minerai intelligent’ aux
fonctions multiples : Condenseur, accélérateur et
amplificateur synergique.
Il
serait évidemment très passionnant de comprendre comment obtenir
une telle maîtrise des énergies cosmiques et solaires, puisque
ces Forces captées par une ‘centrale’ savamment domestiquées
étaient utilisées pour la propulsion de véhicules.
Imaginons
qu’une onde radio serait
énergétique et qu’à bord d’une voiture ou d’un avion se
trouve un ‘récepteur adapté à cette fonction’ et.. cette
onde radio deviendrait carburant ! !
(Nicolas
Tesla, ce fameux physicien, nous y a mis sur la voie mais -comme
par hasard- ses découvertes et inventions les plus importantes
dans ce domaine ont été occultées et dorment dans certains
coffres et, avant lui, un autre,
un russe, inventeur d’un tel procédé, mais capable
d’envoyer l’explosion d’une cartouche de dynamite à très
grande distance par une onde radio, ayant eu la lumineuse idée de
révéler son invention aux
autorités.. on le trouva mort quelques jours plus tard assassiné
par les sbires de la police du tzar, son laboratoire détruit par
le feu et tous ses écrits ont mystérieusement disparu ! )
Un
étonnant support...
Pendant
un assez long moment, qui fut un de ces intenses laps de temps qui
émerveillent et tiennent en haleine le chercheur dont les pensées
tournent à des milliers de tours-minute et dont les neurones sont
soudainement suractivés, Barbara nous révélait la description,
la composition et l’utilisation d’une autre de ces merveilles
minérales que possédaient les hommes de cette époque..
«
C’était un cristal particulier que ‘fabriquaient’ ces étonnant
ancêtres, avec la même facilité que nous pouvons modeler un
morceau de terre glaise.. Ce produit extraordinaire avait pour
‘base interne’ un plasma semi-solide, une sorte de gelée très
consistante d’une belle nuance légèrement bleutée, un peu
celle d’un diamant blanc-bleu.. Ce ‘plasma était de la même
matière composante de l’Univers entier » ( ?) (Un
plasma quantique ?)
Barbara,
après une petite pose, reprend : « La fabrication de
ce plasma avait une source énergétique psychique, c’est à
dire que l’homme, de par ses ‘dispositions bio-physiques’
(dont il était doté
à Akalal) bien différentes de celles qui sont les nôtres,
avait la faculté de ‘condenser son énergie mentale’ en un
produit subtil : Ce fameux cristal-plasma. »
Pour
une meilleure et plus abordable compréhension de la matérialisation
de ce phénomène, nous ouvrons
une parenthèse permettant au lecteur non averti de ces
‘techniques particulières’ relevant de données
scientifiques récentes, ou tout au moins récemment synthétisées
et plus largement diffusées au public, de
comprendre un des aspects de cette application physique
synergétique à partir d’éléments subtils encore inconnus il
y a quelques années.
Il
n’y a pas si longtemps , il était encore admis que le vide
intersidéral dans lequel nous évoluons était absolu
et, puisqu’il fallait bien
le désigner par un mot, ce vide était baptisé éther
dans le langage des hommes.
Le
physicien Maxwell, célèbre par ses travaux sur le magnétisme et
l’électricité, n’énonçait-il pas « L’Ether n’est
qu’un prête nom du vide ». Il a d’ailleurs à cette époque
et par la suite été suivi par des sommités scientifiques,
telles que Walter Nernst, prix Nobel de Chimie en 1920, le
physicien français Fabry, connu pour ses travaux sur les interférences
et bien d’autres.
Ceci
jusqu’au moment où un dénommé Einstein apporte une certaine
perturbation, bousculant les idées reçues et les théories
admises, en établissant dés 1905 la théorie synergétique, découlant
de l’idée de base de la relation énergétique essentielle
entre les photons et les électrons : La Relativité.
Une
théorie générale de l’Univers naissait, de laquelle découlait
alors de nombreux travaux, dont il est ressorti une notion
fondamentale : L’on fut amené à considérer tout phénomène
physique comme étant le résultat de l’interaction de milieux
énergétiques localisés dans l’Espace.
La
porte était à nouveau ouverte vers les redécouvertes des
physiques, découlant des Lois de l’Univers que possédaient nos
lointains ancêtres, dont les applications étaient fonction de
technologies adaptées à leur fonctions bio-physiologiques qui
n’étaient pas celles que nous possédons à l’heure actuelle.
Il
nous est nécessaire dans nos laboratoires de tenter de recréer
artificiellement ces facultés, afin de pouvoir approcher certains
résultats qui étaient obtenus tout naturellement sans le support
technologique qui nous est devenu indispensable.
Au
début était le Verbe ! De cette notion, de cette révélation
fondamentale faite aux hommes, ou plus exactement léguée aux
hommes par des Ecrits Sacrés, afin qu’ils en comprennent le
sens caché, il découle que tout est vibration, que tout baigne
dans un flot de fréquences harmoniques, assurant l’équilibre
de tout l’Univers. Ceci
est un constat d’ensemble. Une base de compréhension générale,
indispensable et nécessaire à toute étude de phénomène
inconnu : Un préliminaire sans lequel toute recherche serait
vaine...
Mais
cette notion de vibration se trouve liée à d’autres paramètres
plus subtils, dont il n’est pas aussi évident qu’on le pense
d’en apporter la preuve physique ou mesurable de leur réalité
et de leur présence dans tout l’Univers.
Si
la Vibration est un élément moteur primordial devant être
obligatoirement mis en action pour obtenir un résultat, il n’en
demeure pas moins évident que si ce ‘moteur’ tourne dans le
vide, ou vibre sans accord, il ne produira rien.. ou encore
pouvant vibrer sur une autre fréquence particulière, sans
savoir trop bien à quel paramètre elle peut correspondre,
une catastrophe, même miniaturisée, peut se produire !
C’est
exactement comme si un enfant, souhaitant faire une surprise à sa
maman en voulant faire une mayonnaise, place un jaune d’œuf
dans un bol et met le batteur en action sans ajouter d’huile. Il
n’obtiendra rien d’autre qu’un jaune d’œuf battu.. ou
encore, sachant vaguement que du vinaigre doît y être ajouté,
mais sans avoir appris qu’un petit filet de vinaigre lorsque le
mayonnaise est déjà prise s’ajoute
pour lui donner un certain goût, il remplace l’huile par
le vinaigre le résultat sera une mini-catastrophe et l’effet de
surprise se terminera en larmes
Et
c’est ainsi, parfois en toute bonne foi, que l’homme joue à
l’apprenti sorcier, sans appréhender par ignorance patente,
tous les paramètres des forces potentielles qu’il manipule.
Wolfgang
Pauli, prix Nobel de physique en 1945, célèbre pour ses travaux
sur la théorie quantique des champs magnétiques, a découvert en
1930 qu’il existe dans l’Espace -donc partout dans l’Univers-
une Energie sans commune mesure avec tout ce que l’homme
peut imaginer : Une Energie cosmique diffuse
incommensurable.. Que sont devenus ses travaux ? D’autres
physiciens se sont-il lancés sur cette ‘piste’ ?
Compte
tenu des enjeux économiques et financiers colossaux de
l’industrie pétrolière.. la réaction officielle a-t-elle été
la même que pour certains travaux de Nikola Tesla?
Un
silence officiel s’étend sur toutes ces recherches : Les
conséquences révolutionnaires de leurs applications potentielles
sont imprévisibles : Trop d’intérêts économiques
mondiaux sont en jeu, d’une part, et d’autre part la remise en
cause des fondement de la science traditionnelle laquelle, risque
fort de vaciller.. en faisant trembler les confortables et
douillets fauteuils des Académies !
Le
neutrino inconnu...
Cette
parenthèse refermée, reportons-nous vers ces ancêtres ayant détenu
ce legs de combien de générations antérieures : Une
puissante source énergétique, domestiquée avec intelligence..
tout au moins durant cette époque où Akalal a été ‘visionnée’
par notre amis psychomètre.. car après ?... l’on ignore
tout du sort de ces hommes et comment leur civilisation a ,
elle aussi, disparu !
Lors
des deux séances, pendant lesquels Barbara a fait une incursion
dans le passé,
il a été pratiquement impossible de déterminer comment
ce fameux cristal pouvait être élaboré..
Les
témoins de ces étonnantes révélations avaient donné un nom -bien
impropre d’ailleurs, mais aucun autre
n’en avait été révélé-
à cette ‘gelée très consistance mais inerte
pouvant servir à tout’ : Le Neutrino.. par lequel la Pensée
pouvait devenir Créatrice de matière ( !).
Notre
amie avait précisé : «Pour être utilisable, ce
‘cristal’ devait être enfermé dans des ‘boîtes en métal
blanc’, volumes à plusieurs faces se composant de ‘70%
d’aluminium, de 3% d’argent pur et le reste un alliage dont je
ne comprend pas la composition car y entrait ‘des éléments
n’appartenant plus à une dénomination actuelle » -
« Une
seule des face de ces boîtes était constituée par cet alliage,
mais dans lequel entrait en plus un complément de 0.05% de cuivre
natif ! »
« Les
volumes de ces boîtes n’étaient pas tous semblables. C’était
fonction de l’utilisation du ’neutrino’ qu’elles
contenaient.. » - « Elles avaient toutes la même
dimension : ‘Elles pouvaient être contenues dans un
cube théorique de 80 cm. d’arête »
- « Ainsi
logé, le ‘neutrino’ dégageait une ‘lueur’ -sorte de
‘halo’- d’une teinte bleu cobalt ! Ce ‘Cristal’
devenait alors actif et pouvait alors être utilisé !.. »
Ainsi
qu’elle l’a décrit abondammant, cette matière extraordinaire
avait de multiples usages : « Ceux ‘visionnés’ le
long du fil du temps étaient ‘activés’ par la force (ou
l’énergie) mentale des hommes et par les ‘vibrations
cosmiques et les forces telluriques’... »
« Il
en existait partout et dont l’apparence en était différente.
Ils n’étaient pas tous enfermés dans des boîtes »
« Ceux,
dont il reste encore quelques exemplaires actuellement encore disséminés
à travers le Monde, ne sont pas contenus dans des boîtes métalliques :
Ils se présentent sous la forme d’un gros cristal bleuté, dur
à l’extérieur mais d’une consistance ‘plus molle’ à
l’intérieur.. Comme si la boîte avait été remplacée par une
‘enveloppe minérale durcie’. Ils étaient plus petits.. Je ne
sais pas à quoi ils pouvaient et pourraient encore maintenant
servir » -
« Certains
peuvent être retrouvés par hasard. En ce moment même ils ont
toujours le même aspect.. mais entre nos mains qu’en
ferions-nous ? »
Il
semblerait que ces hommes nous ayant précédé dans un autre
temps, avaient à leur disposition une énergie domestiquée,
comme si, maintenant, l’électricité ou le magnétisme que nous
connaissons et utilisons en permanence, pouvait se trouver aussi
autrement que diffuse, mais que nous ayions trouvé la possibilité
de les condenser dans une matière-support -un peu à la façon
des piles et batteries- et que ce fluide obéirait à notre volonté
psychique et agir à notre gré, suivant nos besoins.
C’est
la seule comparaison que nous ayons trouvée , car de par nos
connaissances actuelles, insuffisantes dans ce domaine, nous ne
pouvons imaginer comment utiliser notre propre énergie humaine et
les fréquences vibratoires de notre mental à travers un support
neutre, condenseur et amplificateur synergétique pouvant produire
un effet matériel et physique environnant... C’est de la
fiction pure.. mais nous n’avons pas tout redécouvert des
‘Forces de la Nature’ encore inconnues et sans doute
potentiellement présente autour de nous.. dans cet Ether bien mal
connu...
Mathématiques
insolites...
Il
est aussi étonnant de constater avec quelles facilités un
praticien de la psychométrie peut réunir d’éléments inconnus
lors qu’il pénètre dans l’époque où il se trouve projeté,
et telle une caméra, visionner sur l’écran de son
infraconscient tout ce qui se trouve à sa portée !
Par
quels procédés ou quel moyens peut-il faire comprendre des
notions abstraites et, sans toujours pouvoir les traduire avec les
données du langage humain lui étant familières , mais seulement
en transmettre la phonétique ainsi que les paramètres aberrants
pour notre compréhension..
Force
nous est alors d’admettre que -peut-être- une certaine mémoire
génétique ‘imprégnée’
dans des objets, des pierres (la
fameuse Mémoire des Pierres), peut nous apporter des éléments
de connaissances, effacés aux sens habituels humains au fil des
siècles ou des millénaires, à condition de posséder la faculté
d’entrer en en contact, exactement comme nous choisissons une
certaine fréquence pour obtenir sur nos appareils T.V. des images
sur l’écran-moniteur et le son sur les haut-parleurs. (Mais
cela ne s’appelle plus la ‘télé’ mais la psychométrie)
Mais
si j’ai bonne mémoire scolaire j’ai appris une fois qu’un
homme aurait dit : « Objets inanimés avez-vous donc
une Âme ? »
C’est
toujours ainsi, par ce dernier procédé que nous savons
maintenant, que du temps d’Akalal, cette bourgade ou
Barbara, avait été transportée dans le Temps, les hommes
de cette époque utilisaient des systèmes de calculs nous
paraissant totalement aberrants !
Les
bases de calculs, de mathématiques dirions-nous, nous ont été
communiqué phonétiquement, telles qu’elle les ‘entendaient’.
Apparemment les notions géométriques étaient prépondérantes,
car concrètement plus utiles pour les réalisations de leurs
travaux..
Les
trois éléments de ‘proportions’ (tout paraissant ne reposer
que sur des fonctions proportionnelles) ont été verbalement
transcrites : le ‘Dinos’, l’ ‘Onis’ et le ‘Kanios’..
« Le Dinos avait pour base 3, l’Onis la base 4 et
le Kanios la base 1 » et elle continua à dicter :
« les proportions initiales étaient les suivantes : Un
rapport constant de 5/10 Dinos, de 10/5 Onis et de ¼ Kanios. »
- « Comprenne qui peut, c’est tout ce que je puis dire »
ajouta Barbara.
Pour
un mathématicien, ce que notre amie a perçu comme terme
‘base’ , peut très bien être défini par un autre terme mathématique
plus approprié.
Mais
pour un chercheur éclairé, un mathématicien averti, trouvera
certainement matière à réflexion et qui sait, une ouverture
nouvelle sur un système essentiel simplifié aidant à la compréhension
des mystères des proportions, des énigmes posées par les
constructions érigées ça et là sur notre Globe par des
‘Architectes inconnus d’un autre Âge’
Barbara
a bien spécifié et insisté sur cette information, reçue comme
toutes les autres sur son ‘canal superconscient’ : « Il
est important que vous sachiez que beaucoup de pyramides, en
particulier aussi celles d’Egypte,
plus spécialement celles
du plateau de Giseh, et le Sphynx, ont été érigées sur les
emplacements d’autre ‘constructions’ existant déjà depuis
plusieurs millénaires auparavant
aux mêmes endroits.. J’insiste là dessus, j’ai la
nette impression que ‘L’on désire clairement me faire savoir
que ceci soit connu, car pour ‘eux’ c’est d’une importance
capitale » Ce sont les paroles de notre amie
enregistrées sur la cassette, reproduite ici in-extenso !
Pas
de commentaires : Quoi ajouter ?
Les pyramides seraient donc des ‘monuments’ dont les
hommes ont toujours eu besoin depuis la nuit des Temps :
Vecteurs de Connaissances, Centrales d’Energies dont nos générations
présentes ont ‘oublié’ ou perdu les fonctions essentielles..
et peut-être indispensables à la maîtrise de certaines Forces
de l’Unvers et de la Terre elle-même...
Calculer,
mesurer a toujours été indispensable à l’Homme.. Quelque soit
son degré d’évolution, sa culture, il lui a fallu utiliser les
chiffres, les nombres, tout au moins nous le supposons !
Il
semblerait, à la lumière de ce qui nous a été révélé que le
mode de calcul fractionnel ait été la première utilisation mathématique
et que cette base ait été très longtemps utilisée. Tout devait
reposer sur des fonctions de fraction. Avec une fraction point
n’est besoin de complication : Un quelconque étalon peut
être additionné, multiplié ou divisé en utilisant par exemple,
pour la construction, ce que pourquoi ces connaissances primaires
étaient utiles aux bâtisseurs; ils n’avaient alors besoin
que d’un simple morceau de ficelle ! Compte tenu de
leur sens de l’observation et des contingences de la Nature ils
restaient dans une simplicité étonnante.. à nous qui cherchons
tout au contraire à compliquer ce doit rester simple..
Voilà pourquoi ces systèmes de calculs nous semblent
aberrants .
Dans
ce système fractionnel il y a une logique fondamentale, basée
tout simplement sur des unités de mesures qui nous semblent ne
pas avoir de rapports entr’elles mais orientées sur
l’observation logique des rapports espace-temps , reportées en
étalons de longueurs, dont se servaient ces hommes pour bâtir en
respectant une ‘harmonie’ de proportions volumétriques
L’observation
des apparitions cyclique de certains astres, Sirius par exemple.
De leurs rapports dans le temps, combinés avec d’autres
manifestations solaires, lunaires et des constellations que nos
modernes astrologues ont nommé les signes du Zodiaque, ont toutes
été à la base d’étalons-mesures..
Le
regretté Albert Slosman, dans ses trois ouvrages parus dans la
collection ‘Les Portes de l’Etrange’ des Editions Laffont,
‘Le Grand Cataclysme’(1976), ‘Les Survivants de l’Atlantide’
(1978) et ‘Dieu ressussita à Dendérah’ (1980), grâce à
une analyse que seul un génie des mathématiques doublé d’un
linguiste étonnant possédant toute la science des hiéroglyphes,
de l’écriture démotique de l’ancienne Egypte, décrit toute
la relation extraordinaire des ‘Combinaisons Mathématiques
Divines
Nos
mathématiques ont dévié de ces concepts et il nous est très
difficile de faire un retour en arrière. A la limite un cerveau
non encombré de nos systèmes acquis sur les bancs de nos Ecoles,
aurait certainement autant de chance de retrouver cette Clé
perdue.. que le génial mathématicien qui serait obligé
d’oublier volontairement toutes les règles, les théorèmes et
les lois que des années d’études ont emmagasiné dans sa mémoire..
et attaquer avec l’humilité du simple une nouvelle étude puisée
à l’origine du savoir de l’Homme !
Au-delà
de quarante mille ans, nous retrouvons le médium, Pierre Guilder !
Lorsque
nous avons transcrit quelques pages en arrière, les informations
communiquées sur les immenses champs cultivés autour d’Akalal,
nous avons négligé volontairement la description d’une «’technique’
permettant aux récoltes d’avoir cet aspect monstrueux.
Il
avait été question d’épis de blé gros comme des épis de maïs,
ce qui est proprement impensable mais, qui en utilisant une
‘technologie’ mettant en jeu des ‘amplificateurs d’0nde de
Formes, devient plausible.
Certains
chercheurs, sont parvenus, plus modestement il est vrai, à des résultats
étonnants en redécouvrant des méthodes similaires après de
longs tâtonnements : Ils ont mis au point des ‘générateurs
d’Orgone’ dont les descriptions ont été fournies par Wilhem
Reich, (célébre par ses travaux sur les ondes de formes,
poursuivi par les nazis et récupéré par les américains) Le
fonctionnement est encore mal maîtrisé, car pour cette ‘énergie’
farouchement niée par la science officielle, il n’a pas encore
été inventé d’appareil de mesure.. mais dont les résultats
d’expériences sont pourtant reproductibles
Sur
les champs d’Akalal, des hommes avaient implantés des
‘volumes pyramidaux très allongés’ que notre psychomètre décrivait
comme de ‘grandes épines de pierre’ rappelant de par leurs
formes les obélisques que nous connaissons. (Au
fait, mais à quoi pouvaient donc bien servir au égyptiens ces
‘monolithes savamment travaillés’ ?)
Barbara
avait ensuite dicté : « Ces ‘épines’ avaient généralement
quatre faces et leur hauteur était de douze fois la longueur
d’un côté de la base. Le rapport était donc de 12/1 ;
Ils servaient à ‘activer’ et à ‘accélérer’ le
germinaison et la croissance des récoltes, entr’autres et leurs
dimensions variaient ‘avec les mêmes proportions 12/1’ ce en
fonction du résultat que l’on attendait » -« Leurs
bases étaient creuses et recélait chacune une de ces fameuses
‘boites contenant le ‘neutrino’ dont j’ai parlé tout à
l’heure »
Pour
mieux comprendre par la suite, car ces
révélations sur Akalal par notre amie Barbara étaient
bien antérieures (en 1981) avec notre entrée en possession en
1983/1984, des
‘travaux médiumniques’ de Pierre Guilder, nous avons détaillé
le codex de Pierre Guilder auquel nous avions donné le No.10
La
seule différence entre la ‘Planche’ de Guilder et la
description des ‘épines’ réside dans les proportions. Nous
ne pensons pas qu’il faille s’arrêter à ce détail.
Il
est vraisemblable que les emplacements de ces ‘épines’ n’étaient
pas déterminées par le seul hasard, tout comme les surfaces et
les emplacements n’étaient pas choisies n’importe comment.
Outre que la qualité du sol jouait un rôle, mais les
implantations de ces ‘volumes’ particuliers sur des points précis
devaient sans doute aussi correspondre à des points d’émergence
de courants telluriques -le Géon- Intersections ou points
d’acupuncture terrestre qui,
n’agissant pas vers le bas, se trouvaient ainsi ‘activés’
pour rayonner verticalement et en faisceaux tout alentour.
Le
cristal, enfermé dans le socle, dans un volume à facettes
agissant comme un ‘capteur récepteur amplificateur’ de l’énergie
tellurique, l’ ‘épine’ jouait alors le rôle d’émetteur
antenne !
La
planche et la partie de l’ ‘Epine’ sont détaillées
page suivante :
Pierre Guilder
détail
de la
planche
No. 10
l’Epi
Un
détail : Pour bien comprendre la représentation exacte
ayant été ‘transmise’ à Pierre Guilder, comme d’ailleurs
pour la plupart des ‘planches’, il a souvent expliqué qu’il
ne savait les représenter comme il les ‘voyait’ en trois
dimensions : « C’était
comme des dessins en volume qui se dessinaient devant mes yeux et
je ne pouvais les reproduire que sur une feuille de papier plane ! »
C’est pourquoi cette épine, qui dans le volume se
dressait pointe en l’air devant les yeux de Guilder, a été
extraite du dessin plat, mais positionnée pointe en l’air !
En
Février 1981, nous ne connaissions pas encore l’existence de
Pierre Guilder et, bien évidemment, en aucune façon Barbara
n’aurait pu être ‘influencée’ par une quelconque allusion
de l’un d’entre nous aux ‘documents’ de ce médium que
nous n’avons rencontré que deux ans plus tard .
Il
est hors de doute que les hommes contemporains d’une telle
civilisation, possédant cette technologie, connaissaient
certainement -grâce à des méthodes qu’il serait vain de
vouloir comparer aux nôtres- toutes les fréquences vibratoires
devant être accordées, pour ‘produire une certaine
harmonique’, afin d’obtenir ce résultat : Celles des
diverses émissions courants telluriques, (voir
à ce sujet nos travaux de recherches sur les mégalithes: Le Mystère
et le Secret des Pierres), celles de ce fameux cristal (le
Neutrino) enfermé dans sa boîte (un volume aux certaines
proportions) de la partie constituant des épines, dont nous
donnerons davantage de détails plus avant- et sans oublier les
propriétés énergétiques des céréales, ou autres végétaux,
à activer, depuis les semences jusqu’aux grains, fruits ou
tubercules à mener à maturité, bref tout un cycle à considérer
de bout en bout.
D’après
Barbara, ils ne disposaient d’aucun appareils de mesures :
Elle a été formelle sur ce point, précisant même « Que
c’étaient les habitants eux-mêmes qui choisissaient les terres
à cultiver, qui ‘fabriquaient le neutrino’ érigeaient les
aiguilles de pierre reconstituées après les avoir ’moulées’
et façonnées. Ils disposaient d’une sorte de ‘connaissance
mentale’ grâce à leurs dispositions bio-physiologiques dont
ils étaient tout naturellement dotés à cette époque »
Elle ajouta : « Ils avaient le pouvoir de ‘sentir’,
exactement tout comme
certains ‘sens’ ou facultés sont développés chez les
animaux, facultés qui nous étonnent et dont nous cherchons à
percer les secrets, mais dont nous sommes incapables d’en
reproduire les effets par n’importe quelle technique !
Après
avoir écouté (et réécouté des dizaines de fois) les
enregistrements des descriptions de Barbara sur nos très
lointains ascendants d’ il y a environ 40.000 ans, nous allons
d’étonnements en surprises au fur et à mesure des
transcriptions sur le papier de ces ‘révélations ‘! !
Ces
bien curieux ancêtres n’ont pas fini de nous étonner !
Le
travail de la pierre :
Nous
avons hésité longtemps (nous sommes maintenant en 2001 !)
avant de porter cet extraordinaire ‘message’ du Passé à la
connaissance des amis ‘chercheurs
de l’impossible’. Mais, puisque nous avons entrepris ce
travail de compilation.. poursuivons.. (sans état d’âme) ce
qui est commencé.
Les
habitants de ce village (comme
d’ailleurs tous leurs contemporains de cette civilisation ayant
évolué dans cette
ère humaine dont nous ne savons plus rien) faisaient tout..
Exactement comme ces étonnants hyménoptères, vivant en société
organisée, produisant
du miel et dont les ruches avaient ‘droit
de cité’ aux portes de leurs habitations (Car Barbara a été
formelle aussi à ce sujet : Les abeilles étaient à cette
époque rigoureusement semblables à celle que nous connaissons
maintenant). Ces hommes n’utilisaient pratiquement pas
d’outillage : « Les ‘Energies’ qu’ils puisaient
en eux-même, que transformaient à volonté les ‘cristaux’
qu’il élaboraient suivant leurs besoins, suffisaient à
exécuter tous les travaux.. sans dépenses physiques excessives ! ».
Comme
dans toute société organisée, et celle-ci paraissait l’être
assez harmonieusement, il fallait bien construire, utiliser la
pierre, la roche et tous les matériaux nécessaire à cet art.
Les
falaises à proximité aux alentours contenaient ce qui était
indispensable.. Mais, « Les habitants d’Akalal ne possédaient
pas d’outillage.. tout au moins tel que nous concevons ce terme
actuellement » Le message enregistré le précise bien !
L’on
est en droit de se poser une question : Comment extraire de
la pierre, de la roche ? Comment la dégrossir et
la tailler pour l’ajuster ensuite suivant ce à quoi on
la destine ? Sans
outils, c’est impensable, aucun être humain n’en serait
capable ! Les plus apparentes des pierres extraites à la
main.. tout au plus les placer l’une sur l’autre, à condition
que ces cailloux ne soient pas trop volumineux ni trop lourds pour
pouvoir être manipulés sans effort physique excessif.
Alors
comment ? Comparés à nous, placés devant une telle nécessité
nous serions désarmés. devant un tel ouvrage.. Mais ces hommes
étaient ce que nous pourrions définir comme des ‘Génies’.
Le plus élémentaire des dictionnaires donne comme définition du
terme Génie : « Tous les êtres fantastiques tels que
fées, gnomes, lutins (cela sent la légende à plein nez !)
et ensuite : « Talent particulier pour une chose,
aptitude ‘extraordinaire’ de création.. »
Mais qu’est-ce donc « une aptitude extraordinaire
de création ? »
Sinon
des dispositions, généralement mentales et psychiques se
traduisant pas des actes physiques.. que ne possèdent pas en général
les individus, : Le commun des mortels, il va de soi
contemporains, puisque
ces définitions s’adressent à l’humanité contemporaine.
Généralement
nous entendons par génies des hommes (ou femmes) souvent des
artistes lesquels, tel Mozart par exemple, à l’âge où leurs
camarades jouent aux billes, font les délices des salons en déployant
des talents que l’on découvre habituellement chez des adultes
particulièrement doués, ayant fourni durant plusieurs années,
un effort exceptionnel pour parvenir au sommet de leur art, et que
ce soit dans toute matière (Musique, peinture, mathématiques,
etc..).
Il
n’entre pas dans nos propos de faire un exposé sur des talents
exceptionnels, maintes fois décrits depuis longtemps, mais pour
simplement dire que ces individus d’exception ont en eux ‘une
petite lucarne’ de leur superconscient, infraconscient (ou toute
autre définition que l’on voudra bien donner à cette étrange
disposition) leur donnant inconsciemment accès à des ‘facultés
extraordinaires’, cette petite fenêtre permettant une pénétration
incontrôlable dans un plan spatio-temporel, ouvrant un très
large éventail de connaissances, -Science Infuse’ dirions nous,
tout à leur disposition..
Ceci
exposé et pour revenir à nos ‘merveilleux habitants d’Akalal’
qui avaient à leur disposition de
façon toute naturelle
ce ‘pouvoir génial’. qu’il nous est aussi difficile
d’imaginer (et d’admettre) que celui des ‘bonnes Fées’ de
nos Légendes enfantines’.
Barbara
nous a bien spécifié « Que ce fabuleux cristal était un
support, plus exactement un condenseur
synergétique à tout
faire.. Grâce à ce ‘cristal’.. « Les habitants
d’Akalal faisaient ‘ fondre la roche’ et en tiraient une
sorte d’argile ou de glaise,
sans que la composition originelle de la roche en soit changée,
à laquelle il suffisait de donner la forme et l’aspect souhaité
et, toujours à l’aide de ce même cristal, mais utilisé
d’une autre façon, assurait le transport à toute distance et
l’homme effectuait la mise en place définitive par ajustement
précis. par un procédé de ‘lévitation’, l’action de la
pesanteur avait ainsi été neutralisée !.
La
masse rocheuse ayant repris entre-temps son aspect solide
originel, pouvait être ainsi ‘manipulée sans aucun effort
physique’ »
Evidemment
tout ceci semble sorti tout droit d’un roman de science fiction
acheté sur un quai de gare.. mais jusqu’à présent personne
n’a pu expliquer de façon rationnelle comment toutes les
gigantesques pierres de plusieurs dizaines de tonnes, parfois
aussi de centaines de tonnes, ont été transportées et sont
encore assemblées les unes sur les autres, sans que l’un puisse
glisser entre elles le moindre objet
de l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarettes..
Les lieux ne manquent pas à travers le Monde où tout un chacun
peut venir les contempler et rester songeur devant le prodige.
Tous ces haut-lieux
du Mystère sont connus, au Pérou, en Egypte, sur certaines îles
du Pacifique, en Europe du Nord etc... oui mais que conclure ?
Cela reste une énigme .. malgré toutes les hypothèses
formulées par beaucoup et certaines sommités restent très
prudentes quant à leur conclusions.. face au ‘dogmatisme
rationnel’ dont font preuve les irréductibles gardiens des
Ecoles du Savoir !
Encore
une fois l’on fait appel aux planches de Guilder, en voici une ‘Le
vade-mecum du Bâtisseur’
Sur cette illustration, nous avons toute la
technologie des Bâtisseurs...Lesquels et de quelle Epoque ? Un
peu comme s'il existai actuellement un poster distribué
dans les écoles du Bâtiment destiné aux élèves. Il est
clairement montré ci-dessous le procédé permettant la
fusion de la roche 1,
pour la modeler 2
et la
former, la transporter 3
et la
lever.. quelque soit son poids ou son volume .. cela sans
aucun effort musculaire. Nous
avons peut-être là, la
clé du mystère de pierres gigantesque formant des
ensembles cyclopéens elles les pierres de Baalbeck, les
pyramides, les murs de Cuzco, etc..(Mais
qui donc étaient ces étranges créatures-
de légende- les Cyclopes,?) Et
en haut la présence du cristal et tout le reste
! Il
y a matière à travail pour la matière grise! |
A
k a l a l
est
actuellement sous nos pieds !
Nous avons un début
de preuves formelles que la région d’Akalal n’a pas été un
récit merveilleux, né d’un esprit inventif et rêveur.. Ces
deux séances de psychométrie ont été effectuées avec le plus
grande sérieux. Nous sommes des chercheurs pragmatiques, doués
de Raison nous ne perdrions pas notre temps avec des fadaises !
Pourtant, de
soi-disant ‘contactés’, recevant de mystérieux messages
venus d’ailleurs nous approchent et nous soumettent des quantités
de pages d’écritures et de dessins ou de tableaux qui, d’après
eux ont été tracés sous une impulsion médiumnique.. Nous ne
rejetons rien systématiquement, mais nous laissons tous les rêveurs,
poètes de l’au-delà plus ou moins illuminés à leurs
amusements et ne conservons que ceux nous semblant mériter un
examen approfondi et très sérieux et soumettant leurs auteurs à
des tests ayant vite fait de décourager les farfelus.. Il n’en
reste que très peu : Leur nombre est infime ! En dix
ans nous n’en avons trouvé qu’un seul : Pierre Guilder.
La psychométrie
fait de ce que nous considérons comme une science exacte et les véritables
médiums comme des ‘messagers’ d’un ailleurs, pouvant aider
dans leurs recherches -cela s’est vérifié à de nombreuses
reprises- certains scientifiques à l’esprit ouvert et acceptant
de vérifier et de contrôler la véracité des messages.
La deuxième et
dernière séance avec Barbara date du 21 février 1981, nous
revenons sur cette date car elle a son importance dans la
chronologie des faits ayant apporté des preuves matérielles.
Durant cette séance, Barbara avait localisé avec précision sur
une carte les points et les profondeurs où se situent des restes
-selon elle, parfaitement conservés- de la civilisation
contemporaine d’Akalal, dont nous allons décrire certains un
peu plus loin.
En Novembre 1981,
un article de quatre lignes paru dans ‘Nice-Matin’ informait
les lecteurs que des photos radar prises par la navette spatiale
américaine de la NASA, ‘Columbia’ , révélait sur des
surfaces sèches (les déserts en particulier) à quelques mètres
sous les sables des images mettant
en évidence des contours rocheux et des vallées enfouies,
inconnus auparavant et des structures géologiques, des traces de
constructions et de travaux et de lits de rivières datant de
temps anciens
Il était cité
qu’un certain John Mac Cauley, dirigeant une équipe de
chercheurs américains, était surpris de ces révélations
photographiques.
Après quelques
rapides recherches pour retrouver la source de cette information,
le Centre de la NASA à Houston (Texas) été contacté en leur
communiquant les latitude et longitude encadrant largement l’
emplacements de site d’Akala et leur demandant si la navette
avait pris des clichés de ces positions précises. Cinq jous plus
tard deux photos nous parvenaient, une en couleurs et l’autre en
noir.. confirmant ce que Barabara nous avait décrit ! !
Akalal s’était
bien trouvé dans cette partie du désert au sud-ouest de l’Egypte,
près de la Lybie, entre le 24° et 32° Est et le 20° et 28°
Nord.
La cité d’Akalal,
est elle-même exactement située
sur le Tropique du Cancer (23°30’N)
Cette zone est
pratiquement inaccessible par des moyens de locomotion classiques
et seule, la mise en place d’une logistique conséquente et
adaptée au terrain.. et au manque total de points d’eau,
pourrait éventuellement permettre d’aller sur site.. mais dans
quelles conditions ?. Un mise en chantier de plusieurs mois
est impensable..
Comment creuser
une couche de sable de plusieurs dizaines de mètres de
profondeur.. sans oublier l’aspect politique, car ce site est sur une
zone d’un territoire à la limite de l’Egypte et de la Lybie à
l’Ouest et au Sud près de la frontière du Soudan !
En
page suivante, un peu de
documentation...
Chron
ologie
Décembre
1981 - 1°
séance de psychométrie
21 Février 1981
- 2° séance
de psychométrie
25 Juillet
1982 -
1° rencontre avec Guilder
28 Novembre 82
- Article
Nice-Matin
27 Février
1983 - réception
Photos-Radar NASA
Le
Sanctuaire..
Sous
quelques dizaines de mètres de sable, enfouie dans ce gigantesque
écrin, attend une grotte extraordinaire dont la découverte -le
jour où elle aura lieu- remettra en cause de nombreuses données
de la préhistoire des hommes et causera un séisme dans la gnose
orthodoxe des écoles traditionnelles..
Du temps où cette
région n’était pas encore ensablée, , entretenue et
soigneusement irriguée par les pluies tombant durant une saison
de trois mois de l’année, par un système mis en œuvre par les
hommes, les eaux des nappes phréatiques peu profonds prenaient le
relais, au milieu d’une végétation luxuriante, se dressait un
bâtiment assez curieux lequel, si nous pouvions le voir désensablé
vu de l’extérieur , apparaîtrait à nos yeux un peu comme une
de nos modernes piscines.
Cette
construction est en pierres de roches ‘reconstituées’, dont
le toit en forme de dôme, également édifié avec la même
technique, constitué du même matériau d’une résistance
incroyable, semblant avoir été construite par des hommes ayant
peut-être eu la connaissance des multiples changements géologiques
futurs de la planète conséquences des profondes modifications
climatiques à survenir dans les prochains millénaires succédant
à leur civilisation. Voulant peut-être laisser ainsi aux générations
à venir un témoignage de leur présence et de leurs
connaissances des choses de leur passé.. et de l’histoire de la
Terre.
En
effet, des millénaires de sécheresse, de vents ont
progressivement transformé ces zones en un désert aride lequel,
tel un linceul de sables recouvre maintenant toute cette région
dont, depuis, l’on ne s’est jamais préoccupé...
Toutes
les merveilles de la Vallée du Nil, de ses multiples Temples et
vestiges des cité pharaoniques, de la Vallée de Rois retiennent
depuis presque deux siècles les armées de chercheurs de tous
pays, succédant aux hordes de pillards qui, ne trouvant qu’un désert
de sables s’étendant à perte du vue vers l’Ouest, sans que
rien en surface ne puisse laisser soupçonner la moindre trace de
l’histoire des hommes, personne ne fatigue à creuser un sol
aride et ne cherche à y retrouver quoique ce soit ! Quelques
légendes de montagnes d’où provenaient en quantité énormes
l’or ayant permis aux pharaons d’accumuler les richesses
constituées de milliers d’objets de ce métal contenus dans les
tombeaux, se transmettaient de bouche à oreille parmi les
peuplades du désert
Survenu
il y a environ 12.000,
ans un grand cataclysme aurait provoqué la disparition des Iles
de l’Atlantide et, peut-être aussi, datant de cette époque, le
déluge dont tous les livres sacrés et les légendes nous content
les ravages, et que, précédant ces bouleversements à une période
encore antérieure à la suite de l’on ne sait quel fantastique
phénomène, se produisit un
basculement des Pôles, là où ils se situent actuellement avec,
entr’autres conséquences, le détournement des cours de
certains fleuves, tel le Nil qui, avant, coulait d’Est en Ouest, les terres irriguées sont devenues
incultes et tel le Sael actuellement, ont cédé plus ou moins
rapidement la place
aux sables du désert..
Seules,
certaines constructions conçues par des hommes disposant d’une
‘science’ leur ayant permis de connaître à l’avance le
sort de notre Planète, auraient pu mettre à l’abri dans
certains édifices (tels le Sphinx et les Pyramides) capables de résister
aux changement climatiques, des sortes de ‘capsules du Temps’
contenant les témoignages et les preuves de l’existence de leur
civilisation et de celles des Temps lointains dont nous ne soupçonnons
même pas l’existence passée..
Ces
traces des hommes du
passé attendant que les descendants
de leur très lointain futur soient capables de les exhumer
et d’en faire profiter leurs contemporains.. si toutefois
ceux-ci disposent de la sagesse et de l’humilité suffisantes
pour savoir utiliser ces révélations au profit de l’Humanité...
Les
manuels scolaires ‘officiels’ décrivent nos très lointains
ancêtres autrement : Ils. ne savaient que cogner
des morceaux de silex pour allumer du feu et le tailler
pour en faire des armes et des outils,
faisaient aussi parfois des dessins dans des grottes..
courant simiesques, échevelés et hirsutes avec au poing des
gourdins derrière du gibier... Enfin, c’est ce que l’on nous
apprend à l’école.. mais..
ne s’agirait-il
peut-être plutôt de
descendants de survivants à d’épouvantables cataclysmes dont
nous avons aussi perdu le souvenir, lesquels, passés plusieurs siècles
d’ignorance et de misères physiques étaient retombés dans la
sauvagerie ?
Si
une catastrophe planétaire se produisait maintenant, ne laissant
qu’une centaine de milliers d’individus
survivants, livrés entièrement à eux-mêmes, éparpillés
sur la surface du globe.. privés de toute technologie, armés de
leurs seules mains pour survivre et nantis de leurs seules
jambes pour se déplacer, comment les retrouverait-on deux
cents ans plus tard ?
Sans
doute aussi hirsutes et abêtis que nos soi-disant ancêtres de
l’âge de pierre ! Rien que cette ‘image’ devrait nous
faire comprendre, avec une très forte dose d’humilité, que la
réflexion sur les ‘Inconnues’ du lointain passé, aide
beaucoup plus la recherche que la sotte suffisance du savoir
actuel de l’humanité ! !
Regarder,
essayer de comprendre.. mais ne pas toucher !
Barbara a révélé davantage de précisions concernant ces
‘sanctuaires du passé’ :
« A l’intérieur
de ce qui est devenu une grotte artificielle extraordinaire, se
trouvent des trésors fabuleux mais qui, tout en représentant une
valeur intrinsèque colossale, en offre une bien plus grande
encore pour la Connaissance de l’Humanité » .. «
Attention ! Que les
hommes prennent garde de ne pas profaner ce sanctuaire.. qui
n’est pas unique ! Il y en a d’autres ailleurs dans ce
pays.. » Elle insista : « Oui.. il faut faire
attention à ne rien profaner et surtout aborder toute recherche
avec le plus profond respect pour ces ‘choses’ admirables » Il y eut un long silence.
Barbara contemplait son ‘écran’ et restait, avec sur
le visage, une expression de profonde stupéfaction devant ce
qu’elle ‘voyait !
Ce
n’est qu’après de longues minutes qu’elle se remit à
parler : « Tout d’abord un grand bassin empli d’une
eau incroyablement pure !.. Tout autour de ce bassin un accès.
Une large margelle faisant le tour. Sur cette margelle, quatre
statues ! Oh ! Mais quelles statues ! Des Chérubins
ailés en or massif, semblables à ceux que l’on représente aux
angles de l’Arche d’Alliance.. mais bien plus grands »
.. « En retrait, le long des murs latéraux il y a aussi
d’autres statues de formes humaines, de morphologie totalement
différente.. n’existant pas ou n’existant plus sur Terre déjà
à cette époque. Une race probablement disparue ou bien n’ayant
fait qu’une apparition ponctuelle ou temporaire, ayant
certainement apporté quelque chose de remarquable aux indigènes
ayant précédé de plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines
de siècles, la civilisation des contemporains des hommes d’Akalal, »
« Cette
représentation statuaire est celle d’une tradition perpétuée
à travers les âges et placée dans ce ‘sanctuaire’. C’est
une figuration ‘votive’ honorant des ‘initiateurs’ ayant
apporté la Connaissance originelle ! »
«Ce
sont des ‘êtres’ que l’on pourrait faire ressembler aux
Olméques,
en plus grand, en plus ‘ovale’ et en plus ‘fin’( ?)
avec de grosses lèvres, le teint blanc, des yeux très globuleux,
le squelette était presque inexistant : Ils n’étaient
morphologiquement pas semblables à l’homme.. »
« Dans
le fond de ce ‘bassin’, de cette ‘grotte’, enfin de ce
sanctuaire, repose un très gros cristal. Toujours ce même
cristal bleuté.. Il est posé sur un socle. Ce cristal est
toujours ‘actif’.. même maintenant.. et placé là il a son
importance et sa raison d’être !.. »
« A
la limite, nous sommes dans un lieu Sacré »
Barbara ajouta :
« J’insiste.. Mais c’est très important ;
Je dois simplement dire : Regarder, essayer de comprendre..
mais ne pas toucher.. »
L’un
d’entre nous posa une question : « Ce fameux cristal
ne sera jamais accessible ? »
Barbara
resta silencieuse, elle devait mentalement ‘poser’ cette
question, un moment plus tard elle reprit : « C’est
une raison très évidente.. l’on ferait les apprentis sorciers
avec ça. Il est là
pour être un jour retrouvé par des gens.. plus tard.. ou alors ?..
Il serait très dangereux de faire joujou avec ce ‘truc-là’
parce que nous ne sommes plus les mêmes qu’à cette époque là..
Donc on ne pourrait pas le réutiliser.. L’utilisation des
Forces à cette époque n’était pas négative au sens où on
l’entend aujourd’hui.. mais elle était
nécessaire.. C’est le mixage entre les forces négatives
et positives.. Car à cette époque la notion du négatif existait
déjà.. mais personne n’aurait songé à utiliser les forces négatives
pour faire du mal.. mais la combinaison des deux forces est nécessaire
pour activer le cristal.. Si tu prends des gens comme toi ou moi
.. de notre époque, comment veux-tu que l’on apprenne à s’en
servir correctement et encore l’on est pas sûr de ne pas faire
de bêtises avec. »
« C’est
un peu comme si tu mettais des réserves de bombes à neutrons
dans les mains de gens qui ne savent pas ce que c’est.. C’est
pareil ! »
« Oh : Attends il m’apparaît une chose
maintenant.. C’est que pour l’instant le site d’Akalal
n’est pas surveillé parce que personne n’y va et n’y est
allé, personne ne soupçonne son existence sous les sables du désert,
mais si quelqu’un commençait à y mettre le bout du nez..
j’ai peur qu’alors tout se ligue et soit tellement devenu
difficile.. et je
vois un tas de signes qui nous en empêcherait alors.
Si l’on avait suffisamment d’argent, l’on devrait y
aller, sans moyens si tu veux.. techniques juste pour aller sur
place ‘sentir’ avant de faire quoique ce soit et l’on aurait
même la faculté dans ce premier temps de faire des découvertes
tout à fait étonnantes.. » Oh ! J’arrête maintenant je ne vois plus rien.. tout
s’est effacé.. C’e n’est pas la peine de continuer
aujourd’hui... »
Cette
dernière transcription de la deuxième séance de psychométrie
est citée ici ‘in-extenso’ telle qu’elle est enregistrée
sur la bande magnétique de la dernière cassette...
Auparavant,
avant d’en arriver au bout de cette séance, Barbara avait
encore dicté d’autres informations sur les traces pouvant être
retrouvées de ce pays d’Akalal : « Mise à part
cette ‘caverne du Temps’ il existe encore de nombreuses traces
de l’existence de ces civilisations. Au Nord-Est de ce
sanctuaire à environ 240 km à vol d’oiseau, se trouve un
massif rocheux au flanc duquel il y a une entrée. Depuis tout ce
temps passé, des bouleversements géologiques ont provoqué des
éboulements, mais en dégageant se trouvent les restes d’une
ancienne cité semblable à Akalal... »
« Ensuite,
plus près du sanctuaire, à 80 km au Nord-Ouest une petite
caverne, sur un massif, une petite caverne.. je la vois obstruée
par un rocher (ou un petit amas de roches) recèle un cristal
similaire à celui encore enfoui dans le ‘sanctuaire’ mais
inactivé, ‘mort’ et ne pouvant plus servir.. Je vois l’accès
en est très facile »
« Un
autre de ces cristaux également inactivé peut-être découvert
à 100 km au Sud, exactement à l’aplomb du point prévédent..
près d’un pic rocheux, à quelques centaines de mètres des
reste enfouis d’une autre petite cité.. » « Il y a encore bien d’autres choses encore..
plus modestes et d’autres plus importantes qui ne manqueraient
d’exciter l’avidité des hommes.. hélas ! »
C’est
tout : C’est ici que
prend fin ce surprenant voyage dans le Temps.. à Akalal.
Le
moyen de locomotion a été inhabituel, mais un seul voyageur nous
a raconté son voyage et nous avons mis sur le papier une partie
de ces six heures de descriptions, de développements de concepts
d’un autre temps.. de dispositions biologiques et psychiques de
ces très lointains ascendants.. Sur leurs comportements, leurs façons
de penser et sur ceux qui avaient déjà été auparavant leurs
propres ascendants appartenant à d’autres civilisations où
plongent de vieilles légendes dont l’on ne connaît plus que
quelques bribes.. enfin une suite de récits à donner le
vertige.. dont les preuves viendront par petits morceaux au fur et
à mesure de découvertes..
il
reste encore d’innombrables enfouis ou dissimulés, car les
haut-lieux de l’humanité restent bien en place et ne peuvent ni
s’effacer ni
disparaître du sol de notre Globe...
Conclusion...
Pour
conclure, nous avons repris ce que
déclarait notre amie psychomètre à l’issue de la
première séance ::
« ..
Akala était comme de nombreux autres.. des endroits ‘privilégiés’,
comme situés sur des ‘points d’acupuncture’ de la Terre..
car, même quand notre actuelle ‘civilisation’ sera aussi
balayée, cela recommencera comme à cette époque, car les points
privilégiés ont toujours existé et existeront toujours, même
si nous sommes incapables de les percevoir : L’Inde ,
l’Egypte, le Moyen-Orient et d’autres.. sur d’autre
continent.. ce sont les points de résurgence du Géon qui, avec
le Plan Cosmique, permettent d’établir un équilibre
harmonieux.. C’est tout ! ! »
«C’est
curieux, alors que certains pays seront complètement dévastés,
il y a d’autres ‘socles’, des plateaux qui datent de l’Ere
Primaire qui ne bougeront pas.. qui resteront en place.. en dehors
des eaux.. jusqu’au bout ! »
Prolongement révélateur surprenant, en date du 25/06/2010.
Le 24 Juin 2010, nous avons reçu, l'étrange missive suivante :
----- Original Message -----
From: Cyril G...........
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Thursday, June 24, 2010 8:09 AM
Subject: Artivision - Sujet Akalal
Bonjour,
Je vous adresse ce message, car j'ai trouvé très intéressant l'article sur Akalal, et je voulais vous remercier d'avoir publié les travaux de Jean Anne.
J'en profite pour vous signaler qu'il serait intéressant d'ajouter deux choses :
- Une superposition de Google Map avec la carte dessinée en pschométrie, montre que les Egyptiens ont récupéré le site, et qu'il sont en train de faire, probablement, des tests de plantation, vu le haut niveau vibratoire du lieu.
- Deuxièmement, la carte des années 80 étant trop haute et se limitant à l'Egypte, il manque un point qui me semble assez intéressant :
qui contient un crystal actif à 52 mètres de profondeur.
Autrement, j'aurais aimé savoir si vous aviez connaissance de personnes ayant repris les travaux de Jean Anne et avec qui il serait possible de prendre contact? Ou un site plus spécifique ?
En vous remerciant par avance et vous souhaitant une excellente journée.
Cyril G...........
Article mis en page par IDYLLE Fred, le 19/12/01, et revu le 14/04/05, et revu le 17/06/08, et revu le 25/06/2010 .
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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