EUX
, NOUS & AILLEURS…
par
Jean ANNE
I
Les Ufos... Quid?
Il semblerait étonnant que ne soit pas abordé un chapitre
consacré aux recherches effectuées sur un phénomène
ayant depuis 1947 fait couler des flots d’encre, provoqué
les plus acharnées polémiques et, surtout, le plus
irritant pour les hommes de toutes opinions les plaçant
face à un mystère.. et toujours plus de questions que de réponses
! Le mystère de l’ufologie encore davantage épaissi par
le secret imposé par les hauts responsables des nations...
Inutile de reprendre une énième fois l’énumération des
principales manifestations des OVNI dont la Presse abonde de
détails, de suppositions : Un remake n’apportant que bien
peu d’éléments nouveaux, laissant les lecteurs sur leur
faim, avec toujours une lancinante et même question.. d’où
viennent ces objets.. Il existe pourtant des réponses… Vraisemblablement
ces engins n’ont pas tous la même origine ce qui, évidemment,
ne fait que brouiller un peu plus les pistes… Avant de présenter
une synthèse concluante, de laquelle une très sérieuse
hypothèse sera formulée, il nous apparaît évident
d’exposer les différentes bases de recherches ayant nécessité
des années de compilation et de travaux de toutes natures.
Nous n’avons pas la certitude absolue que les équipages
de ces engins soient originaires de planètes ou de corps célestes
lointains.. quant bien même si, à bord de certains s’étant
« crashés » , il pouvait y avoir des êtres assez peu
conformes aux critères humanoïdes classiques. Qu’il y
ait eu des êtres étranges à bord de certains véhicules,
c’est une certitude que certains pays en ayant la preuve,
n’ont pas cru bon d’en révéler l’existence, en
brouillant assez malhabilement les pistes ou en pratiquant
une désinformation quelque peu maladroite, voire
infantile.. ou tout simplement en apposant sur les dossiers
occultés au fond de placards une étiquette « Ultra Top
Secret ». Nous n’affirmons rien, mais comme toutes nos
recherches contiennent chacune une parcelle de vérité..
que tous les passionnés y trouvent matière à réflexion !
Les plus anciennes présences d’objets volants sont décrites
dans de nombreux récits et écrits sacrés, religieux ou légendaires.
Ces fameuses légendes faisant sourire les rationalistes de
tous poils.. lesquelles ne sont que symboles de faits réels
du passé, soigneusement occultés pour ne les perpétuer
qu’à destination des initiés, offrant sous un aspect
enfantin des récits merveilleux destinés au vulgaire…
qu’il
suffit de savoir lire entre les lignes… Il y a les
visionnaires modernes, les plus « fiables » sont peu
nombreux et parmi ceux-ci nous n’en citerons que deux : Edgar
CAYCE et ses étranges
facultés de visionnaire. Pierre
GUILDER étonnant
médium. Et, aussi, il est impossible de négliger le
contenu de certains documents mis à jour par les services
spéciaux alliés après la seconde guerre mondiale
concernant les activités de l’‘Ordre Noir’ véritable
ordre occulte et sectaire avec une structure hiérarchique,
la SS, ce brutal parti nazi, véritable ordre sacré aux
‘activités‘ les plus sanguinaires et sordides. (Nombreux
dans le passé de l’histoire des hommes sont les ordres
sacrés responsables des pires atrocités) Ainsi qu’en
parallèle... la pratique la plus poussée de l’ésotérisme
!
II EDGAR
CAYCE
Parmi les plus troublantes révélations sur la réalité de
vols d’engins à des dizaines de siècles précédent
notre temps présent, il y a celles des étonnantes «
lectures de vie » (Life Readings) de cet américain
né en Mars 1877 à CHRISTIAN COUNTY dans le KENTUCKY et décédé
le 5 Janvier 1945 à ROANOKE, près de VIRGINIA BEACH, état
de VIRGINIE. Cet homme dont les livres traitant de sa
biographie et de ses « expériences » ont fait le tour du
monde et tous les chercheurs, médecins, savants, géologues,
passionnés d’histoire ancienne connaissent ces fameuses «lectures
» et l’extraordinaire pouvoir de cet homme ayant été
surnommé le Prophète Endormi! Il a beaucoup parlé de l’Atlantide,
cette civilisation inconnue ayant, suivant ses récits,
existé sur une très longue période de plusieurs milliers
d’années, sur un continent plus vaste que l’Europe au
milieu de l’Atlantique, qui se serait morcelé en cinq îles,
dont la dernière aurait disparu il y a environ 12.000 ans,
après qu’une partie importante de ses habitants aient émigré
un peu partout, principalement vers l’Afrique du Nord pour
aboutir en Egypte, dans le sud de l’Europe et vers l’Ouest:
Une partie de l’Amérique Centrale et du Sud. (Voir
ci-dessous une photographie d'Edgar Cayce:)

III
LA CARTE DE PIRI-REIS
Pour
un peu plus accréditer la ‘croyance’ en de très
anciennes civilisations, une preuve matérielle indéniable
vint jeter le trouble parmi les farouches fanatiques de la
science exacte humaine, qu’ils élèvent au rang de
dogmatisme: Une carte -celle que l’on nommait au XVI° siècle
un Portulan- fut découverte en 1929 dans l’ancien Palace
Impérial de Constantinople portant la date 919 de l’année
islamique, soit l’an 1573 du calendrier chrétien et signée
d’un amiral turc de l’époque, Piri ibn-Haji Mehmed,
plus connu sous le nom de Piri Reis. Cette carte n’aurait
été qu’une curiosité historique..
si elle avait naïvement
représenté.. tout autre partie du monde connu à
l’époque.. que l’Amérique du Nord et du Sud..
ce
qui était étonnant pour une carte du seizième siècle !
(Voir ci-dessous la
carte en question :)

Un autre détail intriguait les spécialistes : une
inscription indiquait que cette carte avait été dressée
par Christophe Colomb, lequel était parti à la recherche
de la route des Indes par l’Ouest le 3 Août 1492 du port
portugais de PALOS. Cette carte devenait une énigme car
depuis plusieurs siècles l’on cherchait désespérément
à retrouver « la carte perdue de Christophe Colomb « Puis
plus personne n’entendit parler de cette carte jusqu’en
1953.. lorsqu’il fut découvert que celle-ci montrait
le détail des terres actuellement recouvertes par les
glaces polaires, telles le Groenland et le continent
antarctique. Des recherches sismologiques furent confiées
à différentes missions scientifiques dont une française.
Après de longs mois de travaux, ceux-ci achevés, en
comparant les relevés sismologiques des terres invisibles
sous les calottes glaciaires, quelle ne fut pas la
surprise de constater que cette carte ancienne représentait
ces terres actuellement enfouies sous des glaces millénaires..
Ce Portulan avait donc une origine beaucoup plus ancienne et
ne pouvait être que la copie de très anciens documents
datant au plus tôt de plusieurs millénaires.. d’une époque
où les glaces ne recouvraient pas encore ces terres ! Nos
écoles traditionnelles nous apprennent que les
connaissances technologiques de nos très lointains ancêtres
inconnus se limitaient à la taille de silex pour chasser…
Il est maintenant légitime de se poser de pertinentes
questions ! ! D’autant plus que pour dresser de telles
cartes avec une telle précision géographique.. une
couverture de centaines de clichés satellites ou des
milliers de photos aériennes seraient actuellement nécessaires..
Alors ? Aurions nous eu des lointains ancêtres
contemporains d’une civilisation technologiquement évoluée..
possédant des moyens aériens permettant de dresser de
telles cartes.. dont une aurait été retrouvée par
hasard quelque part, dans une ruine oubliée, remise à un
navigateur musulman, cartographe du seizième siècle
lequel, ne la comprenant pas très bien, l’aurait copiée
avec les méthodes et la cryptographie de son époque... Sinon,
quelles techniques les contemporains d’une civilisation disparue, dont seule subsiste une légende
(mais quel
infantile croit encore aux légendes),
auraient permis de
dresser de tels documents ?
IV
TROIS DÉCOUVERTES INSOLITES
S’il est encore nécessaire d’apporter quelques preuves
matérielles de très lointains humains civilisés ayant
laissé des traces de leurs existence voici, à
l’intention des septiques, parmi beaucoup d’autres,
trois énigmes parmi des centaines d’autres répertoriées
à travers le monde: En juin 1851, un vase métallique était
extrait d’une immense masse rocheuse qu’un ouvrier avait
dynamité a Meeting House Hill à DORCHESTER dans le
Massachussetts. Ce vase métallique habilement exécuté, en
forme de cloche renversée de 11 cm sur 16,5 cm a été décrite
ainsi: « Ce vase ressemble par sa couleur et sa composition
à du zinc, dans lequel entre une considérable proportion
d’argent. Sur la face externe sont six représentation de
fleurs en bouquets, en argent pur joliment incrusté et,
tout autour de la base du vase est une tige torsadée ou une
torsade en argent également incrustée. La ciselure, la
sculpture et l’incrustation ont été réalisés par un très
habile ouvrier. Ce mystérieux vase a été découvert après
l’explosion d’un énorme et solide bloc de poudingue,
enfoui à environ 3 mètres de la surface du sol. En Juin
1891, une femme casse un bloc de charbon de chauffage afin
d’en mettre les morceaux dans un seau et, après l’avoir
préalablement séparé en deux, découvre une chaîne en métal
dont une des deux extrémité est resté enchâssé dans
l’autre moitié encore intacte du bloc de charbon. Lorsque
l’on sait que -théoriquement- le charbon s’est formé
durant l’ère carbonifère il y a quelques centaines de
millions d’années...qui donc à cette époque a bien pu
fabriquer une telle chaîne pour la perdre ensuite dans la
nature? En 1961, en Californie, un étrange objet a été
trouvé à l’intérieur d’une géode de pierre. La
pierre, après avoir été sciée en deux, a révélé dans
son vide un objet ressemblant à une commune bougie
d’allumage de voiture ! Sa section transversale montre une
partie hexagonale en porcelaine ou en céramique servant
d’isolateur avec une partie centrale métallique en forme
de pointe de lance - Classique composition d’une bougie.
La radiographie aux rayons X montre que le reste de la
partie supérieurs est un métal corrodé d’où sort un
fil. Un géologue a inspecté la géode laquelle portait
l’incrustation d’une coquille fossile, ce qui laisse à
penser que cette géode et son contenu.. daterait
d’environ 500.000 ans ! Même question que ci-dessus..
Quelqu’un peut-il répondre ou émettre une hypothèse
valable ?
V
PIERRE GUILDER
Cet étrange médium,
un de nos contemporains.. recevant ses « messages « en écriture
automatique, ayant fidèlement transcrit ce que ses «
correspondants « dictaient, a écrit des centaines de pages
dans une langue inconnue, tracé quantité d’esquisses, de
dessins et d’épures où les engins volants sont décrits
avec précision, ainsi que des schémas d’installations
souterraines ou autres captant une forme d’énergie pour
la restituer vers ce que nous nommons des ovnis. (Voir
ci-dessous une photographie de Pierre GUIDER:)

Des années
de recherches ont permis de comprendre certains termes,
d’associer des mots à des lieux, à des fonctions et
surtout une connaissance de certains symboles similaires à
ceux mentionnés et utilisés par les peuples préincaïques,
les Olmètes, les Toltèques et les Incas dans leur
iconographie et leur bestiaire que l’on retrouve dans les
temples, pyramides et hauts-lieux sacrés du Mexique, du
Yucatan et chez certains peuples indiens d’Amérique du
Sud. De longues heures de travail en compagnie d’éminents
spécialistes de l’archéologie, des langues anciennes
dont la plupart sont en voie d’être oubliées, celles des
peuples migrant indo-européens. Mettant a rude épreuve la
mémoire d’anciens missionnaires ayant passé des années
chez les autochtones des pays d’Amérique Centrale, du Brésil,
de Colombie, du Pérou, du Chili, etc.. pour arriver à
s’entendre dire par un de ces plus éminents archéologues,
un religieux, véritable puits de Sciences pratiquant
plusieurs langues anciennes, élamite, dravidien, sumérien,
hébreu ancien, araméen, essènien et autres. Lisant les écrits
cunéiformes.. aussi simplement que vous lisez votre journal
! Fouillant les mastabas et ayant traîné ses sandales dans
tous les pays où il valait la peine de trouver quelque
chose faisant avancer les connaissances ethnologiques et
scientifiques des peuples anciens: "Cette langue vient
d’Ailleurs.. quoique l’on y trouve des mots et des
racines de dialectes de langues mortes, telle le dravidien
et celles de certains peuples dont anciens indo-européens."..
" C’était la langue des
Atlantes.." et il ajouta : "Cela peut vous paraître étrange, mais je n’ai pas
pour habitude d’affirmer ce dont à quoi je ne puis
croire." En écrivant je me permets d’ajouter :
"Moi non plus!" C’était la langue des Atlantes.. Oui,
mais nous n’avons pas de dictionnaire : Seule une solide
et généreuse intuition et une bonne connaissance des
symboles et du sacré.. Alors...
VI SYMBOLES
TECHNIQUES...
N’aimant pas
particulièrement perdre du temps et a fortiori en faire
perdre à nos semblables, nous poursuivons notre travail
pour tenter ainsi de mieux vous informer...
Sur
la planche no. 1 le symbole se mélange
étroitement avec des définitions technologiques : Il en est
ainsi de tous les écrits reçus par GUILDER ! (Voir
ci-dessous la planche n°1 en question :)

( Cette planche devrait être vue
en 3D, et l'avis de spécialistes à ce sujet serait le bienvenu.
D'ailleurs cette planche et toutes les autres, gagneraient évidemment
à être agrandies pour en analyser plus finement les détails )
Dans la
partie gauche face au coté du triangle, se trouve un
personnage stylisé tenant à la main une barre, un levier
de commande et, à sa gauche, verticalement l’on lit
ATHUALPA.. Tous ceux s’étant intéressés a l’histoire
de la conquête de l’Amérique Centrale et du Sud par les
espagnols, ont gardé en mémoire qu’ATHUALPA était le
chef inca « L’INCA « . Fait prisonnier et malgré le
versement d’une rançon astronomique en or, bijoux,
argent, Francisco Pizarro, le conquistador, reniant sa
parole de le faire libérer contre rançon, le fit mettre à
mort le 29 Août 1532.. Ce ne fut pas qu’un homme que
de façon absurde il fit disparaître, mais tout un symbole
vivant et, plus grave encore, perdre à jamais la clé
d’une Science qui aurait été fort utile a l’Humanité
toute entière... Car, contrairement à la définition généralement
admise dans nos écoles contemporaines, ATHUALPA n’était
pas le nom de ce chef Inca, mais reste la désignation sacrée
de Grand Initié, de Grand Maître de toute une nation, le détenteur
d’un pouvoir et d’une science et, c’est la raison pour
laquelle ce nom se trouve toujours associé dans les écrits
reçus par GUILDER, à certaines planches les plus «
parlantes « . ATHUALPA était le représentant au plus haut
niveau des descendants des Atlantes ayant émigré et s’étant
installés dans cette partie de l’Amérique. Un des
ultimes descendants d’une civilisation dispersée dont il
détenait encore de nombreux secrets... Quant au serpent à
grosse tête : QUETZA COATL, c’est le fameux Serpent à
Plumes, représenté partout sur de nombreux temples, gravé
sur des murs et des pyramides. Il est le symbole légendaire
ayant donné par extension une idée du concept de la
puissance énergétique, la rapidité de transmission de
l’énergie et des ondes pouvant la transporter et la
diriger. Le Serpent ondule pour se déplacer : toute énergie
a sa propre vibration.. Sa propre longueur d’Onde. En
clair c’est le symbole de l’onde porteuse d’énergie :
C’est ainsi qu’il faut comprendre sa signification dans
ces textes. Ensuite il y a deux mots prés de la ligne
verticale pleine a l’extrême droite : Ante Cosmi
signifiant l’énergie captée « domestiquée « , stockée
ou mise en place, prête à toute utilisation. Plus à
droite encore Suho Cosmi : C’est l’énergie libérée,
envoyée par train d’onde, utilisée et conditionnée pour
assurer par sa libération la propulsion, la sustentation
ou/et à la manoeuvre de l’engin ou de la machine à
laquelle elle est destinée. Déjà dans son ensemble, cette
esquisse laisse comprendre que le « Maître « manoeuvre
une centrale énergétique dont le faisceau d’onde (Quetza
Coatl) est le support virtuel permettant la propulsion et le
pilotage de l’engin.. ressemblant étrangement à un
ovni.. Le reste des figures, points, noms et symboles sont
les repères stellaires et géographiques, sorte de plan de
vol utile à la mission de l’engin. C’est un schéma
ayant pour objet de permettre la compréhension d’une
technologie dans l’ensemble d’une utilisation générale.
Un peu comme si un ingénieur décrivait le fonctionnement
d’une centrale EDF, ce qui se passe à l’extrémité des
fils, une fois l’électricité parvenue à destination des
usagers, n’est plus de son ressort mais d’applications
diverses des plus simples aux plus complexes requérant l’énergie
électrique. Cet important élément de base assimilé, il
restait à déterminer d’autres significations pour
dresser une première liste de mots, de symboles et y
attacher une traduction idéographique pouvant, par le
suffixe, donner un sens virtuel et par les autres mots immédiatement
précédents ou succédant et déterminer un sens un peu
plus précis. Il est à noter que, dés 1947, GUILDER
recevait des messages qu’il transcrivait en caractères hiéroglyphique
et mélangée ou associée avec de l’écriture démotique,
caractères au premier abord intraduisibles! Ce n’est
qu’à dater de 1981, que ses écrits furent transcrits en
phonétique.. un peu moins hermétique en compréhension..
mais dont la masse (des centaines de pages) aurait découragé
des chercheurs moins obstinés !
Sur
la planche n°. 2 : un nom de lieu
parfaitement connu: HUASCARAN. Un ancien volcan du PEROU
culminant à 6768 m. latitude 9.07 Sud et longitude 77.37
Ouest sur la Cordillère des Andes -face occidentale- au
N.O. de la cité de Huaras. Ce mont est cité sous
l’appellation de SOTOHI HEHOMI et il faut un peu regarder
ce qui se passe en dessous et dans la petite guérite en bas
à droite, à flanc de montagne : Il y règne pour le moins
des « activités bizarres « Un missionnaire ayant vécu
dans ces contrées nous a rapporté : « Dans tous ces
coins-là, les paysans travaillant dans leurs champs ne lèvent
même plus la tête pour regarder ces engins : Ils en voient
si souvent ! !(Voir
ci-dessous la planche n°2 en question :)

VII
LES « PLANCHES » DE GUILDER PARLENT!
Il est techniquement
impossible de joindre en annexe plusieurs dizaines de
planches « reçues « par Guilder. Il en est de plus
‘parlantes’ que d’autres..
Sur
une planche n°3 il est décrit le
lieu où le « Maître « (ATHUALPA) siège parmi ses hommes
(Prêtres, techniciens ou autres) et, de là, commandant et
dirigeant les opérations (arrivées ou départ d’engins
volants) (Voir
ci-dessous la planche n°3 en question :)

et sur la suivante , la planche
No. 4 : la Centrale énergétique en
activité… (Voir
ci-dessous la planche n°4 en question :)

Sur d’autres diverses planches
n° 5, 6 et 7, des détails
techniques et technologiques.
(Voir
ci-dessous la planche n°5 en question :)

(Voir
ci-dessous les planches n°6
et 6a en question :)


La planche n°6 est
exceptionnelle car, une ligne est en caractères hiéroglyphique,
deux lignes en démotique et à nouveau deux ensembles hiéroglyphiques
(une sorte de ‘Pierre de Rosette atlante !).
Voici maintenant la planche
extraordinaire n°7 et 7 a,
où règne une complexité "hiérogliphique"
remarquable:


Voici à nouveau cette planche
7 avec quelques explications:

Et plus bas
des symboles d’énergies, dont certains sont bien connus,
car universels.. que l’on retrouve sur les « engins «
stylisés en sustentation au dessus d’un « coussin «
d’ondes porteuses.. et portant des symboles que l’on
retrouvera plus loin au chapitre de l’ORDRE NOIR !
!
Rien dans l’Univers n’est dû au seul hasard ! ! ......
Enfin, et pour faire réfléchir
sur les utilisations de cette énergie cosmique (ou
solaire), la
planche n°8 confirme également ce que
le ‘Prophète endormi’, Edgar CAYCE et, décrivait également
bien avant la seconde guerre mondiale dans ses « lectures
« .. que cette énergie pouvait servir (aux Atlantes) à
lever des pierres... reste à prouver que sur l’Ile de Pâques
certains descendants d’émigrés atlantes n’aient pas
mis pied et dans quel but.. sinon celui d’y implanter un
« relai ».
(Voir
ci-dessous la planche n°8 en question :)

Enfin sur la
planche n°9 que GUILDER a reçu,
quelle pourrait être cette île vue d’en haut et en
perspective aves des installations inconnues au très
curieux symbolisme technologique... pas si étonnant que
cela… si certaines statues sont symbolisées par des
piliers...Voir
ci-dessous la planche n°9 en question :)
(Voir
ci-dessous la planche n°9 en question :)

Jetons enfin, en dernier lieu,
un regard sur la planche 10:

Notre structure mentale actuelle n’est
certainement plus capable de « saisir » une forme de
symbolisme datant de plusieurs millénaires. En matière de
recherche l’humilité est de règle : Le pédantisme et la
suffisance n’y ont pas leur place : Aucun homme ne peut
affirmer posséder la connaissance infuse… Ne sachant même
pas qui il est… d’où il vient… quel est le mystère
de la Vie qui l’anime... Comment a-t-il la prétention
d’affirmer qu’il n’y a rien après sa mort … Il
l’ignore… alors… Affirmer sans savoir est aussi
ridicule que dénier ! Nous venons de parler du passé,
celui des ancêtres de l’Homme, contemporains de
civilisations technologiquement très avancées, dont il ne
reste que récits étranges, traditions obscures et légendes
hermétiques car déformées au fil des âges par l’oubli
et la superstition. Superstition, apanage de
l’ignorance ! Nous avons acquis la certitude que ces
hommes ont disposé dans leurs temps, de moyen de transports
mus par la maîtrise d’une énergie cosmique que nous ne
faisons qu’entrevoir. Mais notre XX° siècle nous réserve
des surprises car, il ne s’agit plus de suppositions, mais
de certitudes absolues, depuis 1934, l’homme a bien fait
évoluer des engins.. tels que ces lointains ancêtres âgés
de plusieurs dizaines de siècles en faisaient eux-mêmes évoluer...
VIII
LES OVNIS DU XX° SIECLE
Ce sont des
hommes, lesquels au nom d’une idéologie ont mis en place
un ordre nouveau, ont fait plonger le monde entier dans le
chaos d’une guerre mondiale dont l’atrocité et l’étendue
n’ont pas d’égal dans le passé. Cette idéologie est
depuis un peu plus de 50 ans mise au ban de l’Humanité :
Il s’agit du nazisme... Mais pour en arriver à nos engins
volant.. il est indispensable de remonter le cours du temps
afin de mieux comprendre l’évolution de cette idéologie
hors du commun.. ayant généré des applications
technologiques dont bon nombre de nos contemporains ignorent
l’existence.. en haussant les épaules sans chercher à
approfondir ! ! Les Ordres et Sociétés secrètes ont
depuis longtemps été des activités ésotériques développées
et savamment utilisées plus généralement par les
anglo-saxons, surtout par les anglais et les peuples
teutons. Inspirés par les concepts de « l’Ordre Hermétique
de l’Aube Dorée « (The Hermetic Order of the Golden
Dawn) d’obédience britannique, différents membres de
sociétés secrètes et ordres mystiques germains, dés 1917
se réunirent à VIENNE (Autriche) afin de confronter leurs
connaissances et tenter de percer les mystères des textes
templiers, ce pour préparer l’avènement d’une ère
nouvelle : Le passage de l’ère des Poissons à l’ère
du Verseau, soit d’après les calculs templiers.. à
l’issue d’une année cosmique de 25.860 années
terrestres.. quittant l’époque indo-aryenne du «
Kali-Yuga « (l’ère du pêché) pour entrer dans
un nouvel âge.. Parmi les participants à cette réunion il
y avait un puissant occultiste, le Baron Rudolf von
SEBOTTENDORF qui devint en 1918 Grand Maître de l’Ordre
de la SOCIETE THULE, rencontra fin Septembre 1917, au mont
Untersberg les membres de la Société « LES MAÎTRES DE LA
PIERRE NOIRE » , société issue en 1221 de la Société
des Templiers marcionnistes, ayant pour but de combattre le
mal dans le monde et participer à la construction du
royaume de la Lumière du Christ. Sebottendorf revint de
cette rencontre avec un concept nouveau : El Shaddai (le
Satan) était le corrupteur, l’ennemi de Dieu et ses fidèles
(les Juifs) participaient donc à la destruction de la
Terre, de la Nature et des Hommes..
IX
LA SOCIETE DE THULÉ
En 1918 à Bad Aibling,
le Baron von Sebottendorf mît sur pied la SOCIETE THULÉ,
qui pratiquait le tantrisme, le yoga et les méditations
orientales, s’adonnait à la magie, à l’astrologie, à
l’occultisme et essayait de mettre en place un lien entre
ces pratiques et la politique : La Société Thulé interprétant
les prédictions d’Isaïe, croyait à la venue d’un
Messie qui aurait apporté la gloire et une culture aryenne
à l’Allemagne.... Allemagne qui était à cette époque
en pleine débâcle politique et économique consécutive à
sa défaite de la guerre 1914-1918, offrait le terrain idéal
où pouvaient lever les ferments idéalistes.. et
visionnaires les plus pernicieux.. Parmi les membres de la
Société Thulé et en quatrième position dans la hiérarchie
figurait un dénommé Adolf Hitler .. Plus tard, la Société
Thulé essaima en deux branches, l’une ésotérique et
l’autre exotérique.. dont Hitler prit plus tard la destinée
! Parmi les doctrines principales de Thulé était la
religion germano-aryenne « WIHINAI « et une aurait eu une
idéologie : Thulé aurait été la capitale du continent
des Aryens « Hyperborée « . Continent plus ancien que
l’Atlantide et la Lémurie, qui aurait été recouvert par
les eaux lors d’une ère glaciaire. Le signe distinctif de
Thulé aurait été la svastika aux 4 branches tournées
vers la gauche... La légende prétend qu’ils étaient
originaires d’une planète du système solaire d’Aldébaran
: C’étaient des géants blonds, à la peau blanche et aux
yeux bleus qui utilisaient des engins volants, fonctionnant
avec comme « carburant « la « force VRIL « , en prélevant
de l’énergie au champ magnétique terrestre, exactement
comme le font les convertisseurs à tachyon du commandant
Hans Coler ou encore le moteur à « espace quanta « de
Oliver Crane. Grâce la création de deux champs magnétiques
inversement rotatifs, ces engins ayant la forme d’un
disque, étaient capable de s’affranchir de la pesanteur,
de voler à des vitesses incroyables en effectuant
d’habiles manoeuvres en vol (performances souvent décrites
par les témoins d’apparitions d’ovnis) En plus de
ces technologies, les hyperboréens, afin d’émigrer avant
que leur continent ne disparaisse sous les glaces, creusèrent
de gigantesques tunnels avec des engins, créant ainsi des
royaumes souterrains dont un sous l’Himalaya, l’AGARTHA,
dont les habitants, aux dires des lamas thibétains et du
Dalaï Lama, existent encore à notre époque.. La légende
de la Terre Creuse est encore bien tenace chez beaucoup de
peuples. Un général en retraite, Karl HAUSDORFER fonda un
ordre « Les Frères de la Lumière « lequel, en 1919
devint la SOCIETE VRIL, dans laquelle se joignirent « Les
Maîtres de la Pierre Noire « (DHvSS) et les « Chevaliers
Noirs du SOLEIL NOIR « , élites de la Société Thulé et
des SS, de sinistre mémoire. L’on peut difficilement
imaginer que le parti nazi ait été un ordre sacré.. et
pourtant l’histoire du monde regorge de forfaits sordides
et barbares à l’actif de nombres d’ordres sacrés... En
comparant les deux Sociétés THULE et VRIL, leur différence
réside dans le fait que THULE s’occupait des choses matérielles
et politiques et que VRIL avait pour but l’Aù-Dela, avec
en commun l’étude de l’Atlantide, de l’Hyperborée,
des rapports originels entre les germains et les mésopotamiens,
des lieux sacrés et du mystère des Pierres Levées. La
deuxième guerre mondiale n’interrompît pas leurs activités
occultes et les recherches sur sites (entr’autres à Montségur
!) occupaient des centaines de SS loin des théâtres d’opérations
militaires ! !
X
LA SOCIETE VRIL
En décembre 1919, près de
Berchtesgaden, se réunirent quelques membres des Sociétés
Thulé, DHvSS et Vril. Parmi ces personnes il y avait les médiums
Maria Orsitsch et Sigrun. Maria avait reçu, en écriture
automatique, des informations sur l’écriture secrète des
Templiers, langue inconnue pour elle, avec des précisions
techniques pour fabriquer un engin volant... D’après les
écrits ces « messages « avaient été émis du système
solaire d’Aldébaran, de la constellation du Taureau. Ces
premiers messages furent pendant des années suivis de
beaucoup d’autres. Le procédé était le même que pour
GUILDER, mais dans une autre langue et certainement d’un
autre « émetteur ». Et aussi des informations sur les
habitants de ce système solaire éloigné de 68 années-lumière
de notre Terre. Mais, tout en ayant un intérêt certain, dépassant
ici le cadre direct de notre sujet : Les engins volants. Les
informations reçues par ce procédé, plans, descriptions,
etc.. étaient d’une telle précision que les plus hautes
instances hiérarchiques de ces sociétés décidèrent de
passer au stade de la construction de la « machine à évoluer
vers l’au-delà « et le concept d’une « autre science
« germât dans les esprits et le Dr.W.O.Schumann, membre
des Sociétés Thulé et Vril, lequel fît un exposé à la
Faculté des Sciences de Munich, exposant, entr’autres,
que les principes opposés déterminant les événements
(le bien, le mal - l’ombre et la lumière - le plus et le
moins) détermineront les moyens techniques à mettre en œuvre
pour nos travaux dans cette voie.. HITLER et tous les
membres des sociétés en cause, savaient que le principe
divin est toujours créateur, donc constructif et une
technologie qui repose sur l’explosion est de ce fait
destructeur, donc opposé au principe divin. Alors pour réussir
il fallait créer une technologie reposant sur l’implosion
! Ce suivant l’enseignement de Johannes Kepler, lequel était
en possession de la doctrine des pythagoriciens, conservée
secrète par les Templiers : Au moyen des trajectoires de
l’énergie du monocorde (harmonique des monocordes) et de
la technique de l’implosion.. on entre dans le domaine de
l’antimatière et la pesanteur se trouve annihilée ! Basé
sur la technique de l’implosion de Viktor Shauberger
devant en assurer la propulsion, le premier engin en forme
de soucoupe fût construit durant l’été 1922. Il
comprenait un systéme de trois disques parallèles superposés,
le premier en haut de 6,50 m. de diamètre, avec en dessous
un disque de 8 m. lequel surmontait le troisième disque de
6 m. Ces trois disques étaient percés d’orifice de 1,80
en leur centre où fût installé le propulseur, Ce cylindre
se terminait en bas par un cône dans lequel se trouvait une
sorte de pendule ou de gyroscope ayant pour objet de
stabiliser l’engin. Les disques supérieur et inférieur
tournaient en sens inverse pour créer un champ de rotation
électromagnétique, alors que le disque central restait
immobile. L’on ne sait rien d’autre sur cet engin, mais
il fût expérimenté durant deux ans, puis démonté et les
pièces entreposées dans les ateliers de l’usine de
l’avionneur Messerschmidt à Augsburg. En 1934, Hitler
convoqua Viktor Schauberger avec les membres les plus
importants des société Thulé et Vril afin de travailler
ensemble à ce projet et en Juin 1934, sous la direction du
Dr.W.O.Schumann, fut construit le premier avion circulaire
expérimental baptisé RFZ1 lequel fit son premier vol avec
aux commandes le pilote Lothar Waiz. Ce premier essai failli
mal se terminer mais, fin 1934, un autre appareil, le VRIL2,
d’un diamètre de 5 m. à « propulsion vril » et un
pilotage « à impulsion magnétique » vola enfin. Voici
comment le vol fut décrit: « Les contours de l’appareil
s’estompaient quand il prenait de la vitesse. Il
s’illuminait de différentes couleurs. Suivant la force de
propulsion, il passait successivement du rouge à l’orange
puis jaune, vert blanc, bleu ou violet « . Cette
description ressemble étrangement aux témoignages des témoins
visuels des apparitions d’ovnis après guerre ! Ce modèle
d’un diamètre de 11,56 m, fut construit en 17
exemplaires,. effectua 84 vols d’essai, il pouvait emmener
un équipage de 1 à 3 hommes. (Voir
l'image ci-dessous :)

De cette date à fin 1944,
d’autres modèles furent construits: Le ‘HAUNEBU 1’
d’un diamètre de 25m. Construit en 2 exemplaires effectua
52 vols avec un équipage de 8 hommes, à une vitesse de
4800 à 11000 km/h. Le ‘HAUNEBU 2’ d’un diamètre de
26,30 m. construit en 7 exemplaires, effectua 106 vols avec
un équipage de 9 hommes et pouvant emmener 20 passagers à
la vitesse de 6000 à 21000 km/h. Enfin le ‘HAUNEBU 3’
de 71 m. de diamètre, un seul exemplaire, 19 vols avec un
équipage de 32 hommes et pouvant transporter 70 personnes
à une vitesse de 7.000 à 40.000 km/h., ce fut le dernier
construit, Tout ceci, d’après les archives secrètes
portant en en-tête l’inscription : «
SS-GeheimsKommandosache » Estampille de tous les
documents confidentiels des services secrets de la SS, dont
une partie a été retrouvée par les Services Spéciaux
alliés, classés ensuite « Ultra Top Secret « et dont
certains dossiers furent auparavant soustraits et mis en
lieu sûr par des personnes dignes de confiance et de haute
qualité morale. D’autres appareils furent construits
jusqu’à la fin de la guerre, car il est évident que les
disques volants, malgré leur vitesse étonnante de déplacement
pour l’époque, ne pouvaient être utilisés
comme arme de guerre car, malgré ces performances et
des décollages foudroyants à la verticale, ils ne
pouvaient effectuer des changements de direction que
de 90°,45° ou 22,5°, à n’importe quelle
vitesse, sans dommage pour l’équipage grâce à ce système
de pilotage à impulsion magnétique. Cette supériorité
technologique ne remplaçait pas la maniabilité des avions
de chasse, Messerschmidt et Fockewulf de la Luftwaffe, face
aux forteresses volantes B17 et B52 des alliés puissamment
armées. Au fur et à mesure que ces engins étaient mis au
point, d’autres appareils hybrides (propulseurs à réaction
et pilotage avec stabilisateurs magnétiques) furent fabriqués
jusqu’à la fin de la guerre mais, plus ‘baclés’
faute de temps furent expérimentés avec des fortunes assez
diverses.. plutôt mauvaises ! Cette conception ne pouvant
allier deux technologies différentes pour une même machine
amenèrent de nombreux échecs. Mis à part des vols
sporadiques parmi les formations Alliées que leurs
aviateurs qualifiaient « d’armes miracles « , ces engins
ne furent jamais engagés comme armes aériennes.. Toutefois
et en parallèle, les disques volants du type VRIL étaient
encore perfectionnés et un dernier grand modèle baptisé
ODIN, ou VRIL 7, serait devenu opérationnel juste avant la
fin de la guerre. Fin 1943 à Kolberg, station balnéaire de
la Mer du Nord s’est tenue une réunion de la société
VRIL à laquelle participaient les médiums Maria et Sigrun
qui avaient « reçu des informations précises sur les planètes
du système d’Aldébaran... « Les participants décidèrent
qu’un « voyage » devait être programmé vers Aldébaran..
Le 2 janvier 1944, HITLER, HIMMLER, KÜNKEL et SCHUMANN
(tous de la société VRIL) se rencontrèrent pour mettre en
place ce projet : Ils voulaient avec un gros engin VRIL7
faire effectuer un vol expérimental vers ALDEBARAN par un
"canal dimensionnel" ( ?) Ce voyage aurait eu lieu
l’hiver 1944.( ?).. Ensuite en Avril 1945, ce VRIL 7
aurait décollé du terrain de Brandebourg vers Aldébaran,
emmenant des scientifiques et des membres de la société
VRIL... Les effets du décollage furent désastreuses pour
les installations du terrain d’essais... ayant été détruites
par les vibrations magnétiques La finalité de notre
travail étant de formuler une conclusion sérieuse sur les
irritantes questions sans réponses sur les OVNIs, une
ultime information est à noter car, sans celle-ci, toute
hypothèse serait maladroite.. et passerait bien à côté
de la réalité !!
XI
LES OVNIS DU III° REICH...
Que se passa-t-il donc après la guerre
et qu’advint-il de ces engins. Un retour en arrière est
indispensable : Dans la prévision d’un inévitable second
conflit mondial, l’Allemagne nazie se préparait méthodiquement.
Entr’autres préparatifs il était indispensable de prévoir
une logistique performante pour la guerre maritime, outre
les accords secrets avec des « alliés du Grand Reich » et
amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour
le ravitaillement et l’avitaillement des navires de
guerre, il fallait une base solide et inattaquable pour les
sous-marins de la Kriegsmarine. En 1938, un porte-avion le «
SCHWABENLAND»
embarqua une expédition vers
l’ANTARCTIQUE et, arrivés à
l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et
le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10°
sous le cercle polaire antarctique), une région libre de
glace avec lacs et montagnes bordé au nord par l’Océan
Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés
de terrains qu’ils baptisèrent « NEU
SCHWABENLAND », appellation géographique
figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de
NEW SCHWABENLAND.. Des flottes entières de sous-marins du
type U21 et U23 firent route vers ce territoire et des
centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel,
connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de
naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent
vers ce havre et nul ne les revit. L'image
suivante pourrait symboliser tout cela:

Il est raisonnable de
penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais
outre des « équipages constitués de nombreux techniciens
spécialisés « , fuyant l’occupation alliée en
Allemagne après la défaite, et du matériel sophistiqué y
furent débarqués, et aussi certainement des disques
volants en pièces détachées ou tout au moins tous les
plans et documents technologiques permettant de les
construire y furent mis à l’abri... Ce n’est pas sans
une bonne raison évidente que fin 1946 sous le commandement
de l’amiral Richard, Evelyn
BYRD, ayant un passé d’explorateur de
l’Antarctique, une expédition baptisée « High Jump «
se composant, en plus du navire amiral « Mount Olympus «
de deux brise-glace le « Burton Island » et le « North
Wind », les transports de troupes « Pine Island » et «
Curritruck », les destroyers « Brownson « et « Henderson
», le porte-avions « Philippine Sea » et quatre autres
navires, « Cannistead », « Capacan », « 3Yancey » et
le « Merrick », 4000 marines et 200 avions embarqués avec
toute une logistique de guerre prévue pour une opération
de plusieurs mois , partit de la base US de Norfolk en
Virginie le 2 Décembre 1946 avec
pour objectif parfaitement ciblé, la base de Neu
Schwabenland. Après avoir installé un camp de base sur une
zone centrale à Little America, les zones est et ouest étant
couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13
Février 1947 les vols de reconnaissance sur
l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et
aussi surtout après avoir constaté que les occupants de
Neu Schwabenland disposant d’une telle supériorité
technologique inattendue seraient invincibles face à la
logistique militaire dont était dotée les américains et
leurs alliés du moment, le 3
Mars 1947, ordre fut donné à toute
l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner
Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste
encore un mystère bien épais..
Le 5
mars 1947, le journaliste Lee
van Atta, accrédité lors de cette expédition,
publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain,
le « Mercurio»,
une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara
en substance: « C’est
dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre,
il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui
peuvent voler d’un pôle à un autre »
Il laissa aussi comprendre: « Qu’il
y avait « là
bas»
une civilisation avancée qui se servait d’une technologie
supérieure ». Rappelons nous que ces
événements se sont passés en 1947.. En résumé que
conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que
sur terre, des hommes de civilisations disparues disposant
de technologies avancées firent voler des engins, tout
comme un peu avant le milieu de notre XX° d’autres furent
également capables de rééditer ces « exploits »
technologiques dont l’homme de la rue n’a jamais entendu
parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être
la source d’énergie en permettant le fonctionnement.
D’après les « lectures » d’Edgar CAYCE et les «
planches » et « codex » de GUILDER force est d’admettre
que seules des Intelligences supérieures évoluant hors de
portée physique des terriens avaient la connaissance et la
maîtrise de la manipulation de ces énergies cosmiques ou
solaires que les sciences humaines sont encore maintenant
loin d’appréhender. De là, il ne peut être nié que les
membres les plus éminents de Sociétés hautement secrètes
(VRIL, THULE et l’Ordre Noir de la SS) ayant eu accès à
ces informations par contacts initiatiques médiumniques,
lesquels ne disposant pas plus que les autres humains
d’une science infuse, furent alors en mesure de mettre en
place les techniques permettant de construire des engins et
de produire des matériaux aux performances bien supérieures
à ce que les industries classiques mettaient au point et
d’autres encore plus récentes utilisées actuellement. Il
y a pour tous un mystère.. qui n’en est plus un si l’on
accepte avec humilité et sagesse, d’admettre que certains
humains ont la faculté de « recevoir des messages et des
informations « insaisissables par nos sens communs en
provenance de sources inconnues. Il faudrait être complètement
obtus pour ne pas comprendre que de nombreuses lois
physiques universelles sont encore inconnues de l’homme
(tout comme l’électricité l’était au Moyen-Age) et
que des « médiums », dotés de sens perdus par l’homme
après des millénaires d’oubli et d’adaptations génétiques
à d’autres milieux successifs, soient encore capables de
transmettre par ce « canal » des informations.. rejetées
par la masse ignorante.. mais pouvant très bien être
exploitées par des esprits spirituellement ouverts, sans
qu’il soit prouvé que ces esprits soient les mieux
intentionnés du monde.. pouvant mettre ces technologies au
profit de causes parfois plus que douteuses.. Des ouvrages
entiers ont été écrits, apportant les preuves matérielles
que des médiums permirent un peu partout dans le monde de
faire des découvertes étonnantes.. entr’autres archéologiques.
Il n’entre pas dans notre intention d’en faire état
ici. Il n’est donc pas étonnant à ce que, grâce à des
médiums ayant eu la faculté d’entrer en contact avec des
« entités « du système solaire d’Aldébaran, des
savants aidés de techniciens aient mis au point des engins
d’une technologie incroyable pour notre époque.. Que les
septiques viennent donc nous expliquer comment ces engins
purent être fabriqués et évoluer ainsi alors que les
avions de chasse les plus performants de l’époque de la
Seconde Guerre Mondiale, de la Luftwaffe, de la Royal Air
Force, de l’US-Air Force et de l’aviation japonaise,
n’atteignaient pas les 800 km-heure ! Des vétérans de
l’US-Air Force s’en souviennent encore ! Il est curieux
de constater que ce n’est que depuis l’année 1947 que
les OVNIS commencèrent à poser de sérieux problèmes aux
« Hommes du Secret »: Personnalités diverses, militaires
et scientifiques, la plupart desquels ayant été témoins
d’atterrissages, de crashes ou simplement d’évolutions..
réduits au secret sur ordres supérieurs, contraints de démentir
officiellement ce qu’ils avaient vu, ayant été
soit-disant abusés par des phénomènes naturels, atmosphériques
ou autres explications aussi absurdes.. auxquelles les spécialistes
ne croyaient pas.. mais « vraies « .. puisqu’officielles
! Après la coûteuse expédition de l’Amiral BYRD menée
contre un adversaire non officiellement connu et de cette
cuisante mise en cause de la supériorité technologique
militaire humaine de l’époque, certaines suppositions
peuvent être avancées : Un succés de l’US Navy en
Antarctique et, le 24 JUIN 1947, Arnold KENNETH pilotant près
du mont Rainier au N.O des Etas-Unis un monomoteur de
tourisme Call-Air A2, aurait tranquillement recherché l’épave
d’un Curtiss Commando C-46 qui s’était écrasé
quelques semaines auparavant dans ce secteur.. sans avoir
observé neuf disques volants d’environ 15 m. de diamètre
évoluant à une vitesse ayant été estimée par la suite
par des spécialistes de l’aviation à 1900/2000 kmH.,
vitesse qu’aucun appareil volant construit ne pouvait
atteindre à cette époque ! Le 509° groupe de bombardiers
US basé dans le Nouveau-Mexique à ROSWELL aurait continué
une carrière paisible jusqu’à sa dissolution.. sans
autre histoire et sans faire parler de lui dans le monde
entier. Le malheureux major Jesse MARCEL, n’aurait pas été
placé devant la pénible obligation de renier son premier témoignage
en présentant ses excuses à la Presse au cours d’une
conférence, où cet officier supérieur dut reconnaître
avoir
confondu les débris d’un objet volant non identifié s’étant
écrasé début juillet 1947 dans les environs.. avec ceux
d’un ballon sonde complaisamment étalés aux pieds des
journalistes convoqués à la hâte.. Une telle
« version officielle » ne peut souffrir de doute, ni la
moindre critique malgré le tragi-comique et l’absurdité
de la cocasse mise en scène organisée par le général
RAMEY.. Mais pendant des années le major Jesse MARCEL
et sa
famille endurèrent un véritable calvaire moral, lui à la
recherche d’une vérité qu’il ne put jamais découvrir,
mené de fausses pistes en impasses par des autorités peu
soucieuses de révélations ! Les vagues d’observations de
juin à juillet 1947 s’étant multipliées en Amérique du
Nord, semblèrent venir narguer et faire toute une série de
pied-de-nez aux observateurs officiels, scientifiques, et
militaires du Pentagone et de la CIA.. placés pour
longtemps devant le problème que posait ces manifestations,
sans réponse possible quant à la technologie spécifique
utilisée par les constructeurs et utilisateurs de ces mystérieux
objets volants.. à identifier officiellement ! Rien de plus
irritant pour un militaire que ne pouvoir trouver la parade
à l’arme de l’ennemi (si toutefois dans le cas des
ovnis, il s’agisse d’adversaire) et de relever le
challenge ! Le double crash de ROSWELL ne permit pas de répondre
car, quand bien même les fragments d’un très étrange métal
aux surprenantes propriétés, des pièces diverses et à
usage inconnu que plusieurs témoins ont effectivement eu en
mains et ainsi que la presque totalité du second engin tombé
un peu plus loin près d’une falaise, devant les
connaissances forcément limitées des sciences humaines, ne
permirent de comprendre le fonctionnement, la propulsion de
cet engin.. pas plus que pouvoir identifier le fameux « métal
» dont il était en grande partie composé. Seules quelques
‘plagiats’ électroniques et chimiques de composants ne
permirent certainement pas de reconstituer un tel appareil..
et de l’utiliser ! Les quelques archives, documents,
dessins et épures récupérés après la Guerre par les
Alliés, ne constituaient que des informations certes
convaincantes détenues par les Services Secrets de l’Ordre
Noir de la SS.. mais techniquement inexploitables. Les plans
et les documents technologiques, permettant la construction
en usine de ces engins étaient entre les mains des spécialistes
chargés de l’élaboration, de superviser les assemblages
et de faire procéder aux essais en vol et, compte tenu du
caractère ultra-secret de leurs contenus, ont été évacués
à temps avant l’arrivée des forces Alliées soit sous la
forme classique de papiers, soit plus vraisemblablement sous
forme de microfilms, procédé systématiquement utilisé
par les technologies de pointe de la production allemande du
III° Reich. Un simple témoignage personnel donné par
l’auteur convaincra le plus septique : Une technologie très
avancée en matière de production optique était, jusqu’aù
Samedi 17 et le Lundi 19 mars 1945, (dates de deux très
destructeurs bombardement par la US-Air Force) en pleine
activité à Jena, dans le Thüringe, chez Carl ZEISS. Deux
usines étaient en place à Jena dont une en pleine ville,
grandes bâtisses de briques rouges, nommée « Hauptwerke
» abritait des ateliers, des bureaux d’études et
l’administration centrale. A l’étage il y avait un
bureau de dessin, le Kobo Pulz, Bureau de Construction Pulz,
du nom d’un illustre inconnu et, au fond de ce long bureau
un palier avec, en face un très discret atelier de
photographie, ayant pour objet de microphotographier tous
les plans de ce que Carl Zeiss produisait en optique: De la
simple jumelle au planétarium le plus sophistiqué, en
passant par toute la gamme des télémètres, périscopes,
appareils de visées, de photo, de caméras et d’objectifs
les plus élaborés. Les centaines de plans de chaque
appareil étaient enregistrés chacun sur un petit film
tenant dans le creux de la main et placé, telle une poupée
russe, dans une succession de boites le mettant à l’abri
du feu, des radiations, des rayons X et autres ! Ces films
étaient stockés dans des abris bétonnés au fin fond de
profondes caves sous terre. N’ayant pas le caractère «
top secret « des engins volants, les films de Carl Zeiss
furent facilement « saisis « par les troupes US sous les
ordres du major général Anderson, parvenues les premières
à Jena le 21 Avril 1945.. lesquelles, le jeu de la
politique faisant, se sont retirés un peu plus tard, pour
laisser une place « nettoyée ».. à leurs alliés soviétiques
! Or, ce procédé était utilisé dans toutes les
industries de l’Allemagne nazie pour mettre en lieux sûrs
un ensemble de technologies pouvant être facilement
reconstituées en cas de destruction locale ou même faire
face à une issue désastreuse de la guerre pour le III°
Reich.. que beaucoup avaient envisagé des mois avant la
chute de Berlin.. ou encore aussi -pourquoi pas- pour des
technologies très avancées pour l’époque- servir plus
tard pour la « bonne cause » à une survivante et future
organisation nazie répartie dans quelques bases secrètes
prévues, organisées installées de longue date dans
certaines contrées par des milliers d’ hommes bien entraînés
et bien sélectionnés, sans attaches familiales pouvant
faire preuve de zèle pour les rechercher après guerre, rayés
officiellement du monde des vivants et évacués longtemps
avant le 8 Juin 1945 et pour certains « grands pontes « ..
durant les tous derniers jours de la guerre!! Il était donc
facile, sous une forme extrêmement réduite, de transporter
tous les plans, cahiers et autres protocoles de fabrication
de ces engins volants déjà utilisés auparavant, sans
oublier les projets non encore mis en chantier, tel le stupéfiant
ANDROMEDE de 139 mètres de long prévu pour emporter
environ 130 personnes pour des vols au-delà de la stratosphère,
voire intergalactiques...
XII LES
BASES DU DERNIER BATAILLON
Ces
hommes embarqués à bord de sous-marins, bénéficiant également
de techniques de propulsion très en avance sur celle de
l’époque et équipés d’un système de récupération
d’oxygène pouvant naviguer sous la surface durant
plusieurs mois sans se faire repérer vers, entr’autres,
la base du NEU SCHWABENLAND en Antarctique.. précaution
supplémentaire doublant ainsi l’envoi en pièces détachées
des engins ayant fait leurs preuves. Il est donc loisible
d’imaginer sans trop de risques d’erreurs que, de mai
1945 à fin 1946, les techniciens et spécialistes de la
base de NEU SCHWABENLAND et également les occupants
d’autres bases, pouvaient travailler activement au
remontage des engins et aussi, à en élaborer d’autres.
Personne ne sait tout ce qui avait pu être stocké et
emmagasiné auparavant comme matériel, machines outils et
infrastructures, en bref toute une activité dans l’ordre
et la discipline, la méthode, le calme et la sécurité :
L’attention des Alliés du conflit terminé se portait
vers d’autres préoccupations politiques et économiques
prépondérantes plutôt que continuer, après cette «
aventure », à chercher à investir des bases fantômes,
pour la plupart très mal localisées ... Outre le
territoire antarctique du Neu Swchabenland il existe
d’autres territoires à travers la monde où des colonies
perpétuent la survie du régime nazi, avec d’anciens SS
et leur descendance, dans des camps parfaitement organisés
dont le plus important est situé en Argentine sur un
territoire de 16.000 km carrés acheté avant la fin de la
seconde guerre mondiale, sur les bords du fleuve Limay à
2.500 km au sud de l’équateur. Dans un secteur géographique
de l’Amérique du Sud, il y a au moins une base d’engins
volants quelque part dans la Cordillère (la localisation se
lit sur certaines planches de Guilder). Une autre encore et
non la moindre, se situerait dans le labyrinthe des hautes
vallées perdues de l’Himalaya. Là essayons de comprendre
pourquoi les forces chinoises ont tenu à occuper à tout
prix le Tibet.. malgré le peu d’importance stratégique
de ce territoire sacré!.. Une très importante raison
occulte. Là ce n’est encore qu’une hypothèse non vérifiable..
Puis encore sous les glaces du Groënland et en d’autres
points invisibles car soigneusement et profondément enterrées
dans certaines zones souterraines de notre planète.. où séjournent
toujours les membres du dernier bataillon. Ce fameux dernier
bataillon que Hitler citait dans son discours du 24 février
1945: «Je vous prédit aujourd’hui, comme toujours
empreint de la foi en notre peuple, la victoire finale du
troisième Reich où dans cette guerre il n’y aura ni
vainqueur ni vaincu, que des morts et des survivants, mais
le dernier bataillon sera allemand ! » Et la ronde des
OVNIS se poursuit. Ces étranges engins viennent toujours
narguer les peuples en poursuivant une activité insoupçonnable,
surgissant apparemment de nulle part et disparaissant mystérieusement,
mettant depuis des décennies des milliers d’ufologues en
émoi.. lesquels cherchant très loin ce qui se trouve tout
simplement, pour la plus grande majorité, basé dans
quelques discrets recoins de notre planète.. Ceci n’est
plus de la fiction : Ces engins volants existent bien, conçus
et pilotés par des hommes, aidés psychiquement et
physiquement par d’autres intelligences. Mais quels sont
ces équipages ? Certains ont été aperçus lors de
rencontre dites du deuxième type : De grands blonds,
parfois de très grands de plus de 2 mètres, d’autres
plus petits, des nains ou des nabots à drôles de têtes,
les avis divergent car il y a une diversité entre les
occupants de certains engins avec d’autres. Leurs missions
restent pour nous du domaine du mystère.. Cette question
reste encore sans solution.. Beaucoup de témoins affirment
avoir eu contact avec des hommes blonds, parlant anglais ou
la langue du témoin.. mais avec une pointe d’accent
allemand voire, en présence du témoin, s’exprimant
entr’eux en allemand.. pour ceux-là pas de problème :
Inutile de chercher loin, nous savons à qui nous avons à
faire ! Ensuite certains « géants » blonds également, ne
s’exprimant pas directement avec les témoins : Il y a de
fortes chances pour que ce soient des individus en
provenance (peut-être) d’Aldébaran. Ceux-là même
partageant les communautés humaines des bases du dernier
bataillon, venus avec soit leurs propres engins ou ayant été
ramenés par des appareils construits sur notre planète grâce
à leurs informations technologiques reçues par leurs
correspondants télépathes, tel que décrit plus avant.
Enfin en ce qui concerne les petits êtres, nabots et nains,
faudrait-il comprendre que, pour certaines missions
particulières, de tels « hmanoïdes » aient été génétiquement
fabriqués par, soit des hommes, soit par des ressortissants
d’Aldébaran ? Cette hypothèse n’est pas si absurde: Ne
venons nous pas de redécouvrir la méthode du clonage
(pudiquement expérimentée sur une brave brebis), déontologiquement
contrôlée par les instances médicales les mieux
intentionnées du monde.. mais pouvant très bien, en de
discrets laboratoires sous la férule de doctes savants à
la conscience assez élastique, « produire » bien
d’autres choses.. que d’innocentes brebis ! ! C’est
intentionellement que nous écrions re-découvrir car, nous
avons tous appris dans les mythologies de nos manuels
scolaires que des êtres mi-hommes mi-animaux évoluaient au
milieu des humains, le Minotaure, le dieu Pan, le Centaure,
Anubis (l’homme à tête de chacal),le Sphynx, les
Tritons, les Sirènes ce qui laisse à penser que, toute légende
ayant un fondement de vérité, dans les civilisations antédiluviennes
il était courant, probablement pour aider les humains dans
leurs tâches, de « produire » des êtres hybrides.. Nous
ne faisons que reprendre à notre compte une « technique »
génétique ayant été déjà pratiquée par les hommes de
civilisations oubliées.. Alors rien n’empêche de penser
que certaines équipes de médecins de la mort, ayant exercé
leur « art » dans les camps nazis, se soient alors, dans
le plus grand secret, consacré à « travailler » sur les
mutations génétiques humaines! Au procès de Nüremberg il
n’a pas été question de ce genre de torture.. Mais
a-t-on réellement tout « déballé » et devant l’énormité
de la découverte, la chape de plomb du « grand secret «
n’a-t-elle pas été mise en place, car combien d’expérimentations
in-vivo sur des centaines de malheureux déportés
horriblement sacrifiés n’ont-elles pas servi, après
guerre, à la mise au point de techniques médicales,
chirurgicales ou autres ? Un voile autant hypocrite qu’épais
a bien été jeté sur beaucoup de ces « révélations »
Ne soyons donc pas étonnés que des humanoïdes pourraient
avoir été « mis au point » pour remplacer les hommes ou
leurs collègues d’Aldébaran à l’intérieur des
vaisseaux. Restons malgré tout vigilants: Ne tombons pas
dans le piège de certaines désinformations, telle la
fameuse autopsie d’une sorte d’humanoïde.. mise en scène
pour la production d’une video particulièrement douteuse
quant à sa qualité et à ses conditions de prises de vues
bizarres.. et parvenues dans certains studios de TV après
de rocambolesques aventures. Tout un ensemble volontairement
produit par certains services spéciaux afin de masquer une
autre vérité.. certainement plus étonnante ! L’INCROYABLE
EST MALGRE TOUT POSSIBLE ! Mais pour réussir dans leurs
missions actuelles et futures, ce que le 24 février 1945,
Hitler n’avait pas imaginé en faisant son fameux
discours, ces hommes du dernier bataillon, vivant sur ces
bases secrètes, sont liés par un tacite contrat moral à
ces Intelligences avec, pour Règle Unique et
inconditionnelle de survie, une stricte allégeance à une
Loi Universelle fondée sur le respect de la Vie sous toutes
ses formes… Les engins volants et les armes d’une
puissance inouïe dont ils disposent devant rester un système
exclusivement défensif par leur capacité à dissuader également
tout adversaire en le privant de ses moyens offensifs.. Sous
peine de se voir immédiatement détruire et anéantir intégralement
par ces intelligences… Le père Noël n’est pas si
loin que ça ! ...Dommage pour les rêveurs… Mais
comme dans toute science exacte.. la Physique de l’Avenir,
mettant en jeu des paramètres encore inconnus des Sciences
des Lois de l’Univers et du Cosmos, n’est pas du domaine
du rêve, mais de celui du pragmatisme, de la Sagesse et de
l’Humilité… Pour parfaire cette conclusion, il est bon
de se reporter aux centaines de pages adressées depuis 1947
par une de ces Intelligences à Guilder, ce médium ayant
fidèlement recopié ce qui lui était dicté : Textes,
dessins, épures, plans, l’ensemble décrivant avec une
foule de détails étonnants ce qui vient d’être très
schématiquement décrit plus avant… Rien n’est à
traiter avec dédain ni condescendance.. même ce qui
peut sembler être le plus aberrant des facteurs exposés
n’est à mépriser.. ni encore moins à rejeter si l’on
veut humblement comprendre tout l’ensemble d’un problème.
En la matière, le Berger, méditant sous les constellations
de la voûte du Ciel, dispose lui d’autres sciences que
celles emplissant la tête la plus pleine de l’homme le
plus savant d’entre les hommes n’ayant pour frontières
que celles des murs de son laboratoire... et pour limites
celles de sa connaissance.. Mais qu’un jour ce Savant
rencontre et écoute le Berger… et alors le monde des
Hommes s’étonne... « Visita Interiora Terrae
Rectificando Invenies Occultem Lapidem » Mystérieux
VITRIOL alchimique, tu contiens plus de secrets... que tu
n’en dévoiles à l’Homme !
Article mis en page par Idylle Fred, le 07/09/2001, et revu le 18/09/2001, puis le 14/04/05, puis le 16/06/08.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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