Je suis moi aussi très heureux d'avoir de tes nouvelles. Voici une
autre citation tirée de la page 191 de Récits d'un voyageur de
l'astral du livre d'Anne Givaudan et Daniel Meurois qui devrait aussi t'intéresser :
« Au
Mexique, sur la pyramide de Xochicalco, on peut encore trouver des
hiéroglyphes qui racontent l’histoire d’une « terre située au centre de l’océan et détruite » et dont les habitants furent «tués et réduits en poussière ». À Villahermosa, d’énormes têtes de pierre, dites d’« Olmèque »,
rapportent aussi le souvenir de cette époque. Les savants se posent beaucoup
de questions à leur sujet. En fait, elles furent sculptées en l’honneur des
hommes de la terre d’Olma ou du royaume d’Olman, ultimes rescapés du Déluge au
même titre que certains Atlantes. Quelques-uns des habitants de la terre
d’Olma ne s’enfuirent pas vers le Mexique actuel ni vers tout autre endroit du
continent américain. Ils allèrent vers l’Europe, en particulier vers le bassin
méditerranéen, et s’établirent du côté de la Chaldée et de la Crête. Voilà
pourquoi on trouve encore aujourd’hui, dans ces deux « pays », des
mosaïques qui rappellent beaucoup celles de la « Venta » dans le Sud
mexicain. Cela doit nous faire comprendre également que les survivants
atlantes ne partirent pas tous non plus vers le continent américain mais que
beaucoup se retrouvèrent en Europe, essentiellement dans les Pyrénées, en
Afrique du Nord et en Égypte. Ce n’est pas un hasard si le flambeau de la
Connaissance atlante fut tendu à l’Égypte. Rien n’est, crois-moi, le fait du
hasard ! Ce pays était devenu, en quelque sorte, une colonie de
l’Atlantide et ses penchants spirituels étaient très marqués. Les autres
colonies atlantes d’Amérique ne disposaient pas, en ces temps reculés, de la
puissance égyptienne. Lorsque l’Atlantide fut engloutie, le sceptre de la
puissance temporelle alla à la race noire laquelle s’est étendue jusqu’en
Asie. Les premiers pharaons furent donc des
Noirs... »
Philippe.
Fin de citation.
Que dire de plus, sinon
"bravo" à notre grand ami
Philippe,
l'artiste inspiré, qui ainsi, a su retrouver,
au bon moment, ce texte admirable qui, illustre bien, les
recherches astro-achéologiques, d'
ARTivision.
VIII Encore du nouveau spécifique en date du 11/12/06.
Le
07/12/06, nous avons reçu de l'ami
Roland M...., la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Roland M.........
To: idylle
Sent: Thursday, December 07, 2006 3:50 PM
Subject: A propos des atlantes
Bonjour Fred,
Suite à votre article "jouetdeMexico.html", où vous émettez une théorienconcernant les origines atlantes des Olmèques, je voudrai apporter de
l'eau à votre moulin.
Il y a en Europe une énigme: l'origine des Basques. Les Basques parlent une langue qui n'a aucune parenté avec les langues européennes. Par
contre elle s'apparente, semble-t-il, aux langues sud-américaines. On
peut, sans être linguiste, s'apercevoir de la similitude des sonorités.
Par exemple le mot "Quetchua" (le nom des indiens du Pérou) me rappelle le nom d'un camarade de classe basque: "Cotchéa". Bon, je ne suis pas du
tout un spécialiste de la question, mais on peut s'apercevoir de
l'utilisation fréquentes des mêmes sonorités dans les 2 langues. Les
noms de lieux par exemple: Au Pérou : Nazca, Cuzco, Koricancha... Au pays Basque: Guipùzcoa, Vizcaya... Même Biarritz...
Franchement, je vous aurai dit que Guipùzcoa était au Pérou, hein, ça, passait !
A ce sujet j'ai trouvé un article intéressant, d'un dénommé William
d'Abartiague, qui soutient la théorie de l'origine commune des langues sud-américaines et basque:
Je n'en citerai que ce court passage:
"Il est intéressant de rapprocher de ce fait la tradition qui veut que
les Incas, qui apportèrent la langue quichua au Pérou et qui (comme
probablement les Basques primitifs) étaient blonds, venaient du pays du
Soleil, c'est-à-dire de l'Est, du rivage de l'océan Atlantique. Nous
verrons plus tard comment cette tradition concorde parfaitement avec
l'hypothèse que je désire présenter sur l'origine des Basques."
Si on arrivait à prouver que les Olmèques, les Mayas, les Incas et les
Basques ont des origines communes, voilà qui apporterait, à mon avis, une
pierre importante à l'énigme de l'Atlantide !
Cordialement,
Roland M.......
Merci donc à
Roland pour sa contribution concernant
l'origine des basques, ce qui nous interpelle vivement.
Dans l'ouvrage du regretté
Charles Berlitz :
"L'Atlandide retrouvée : le 8éme continent ", publié aux
Editions de Rocher en
1984, nous lisons en effet ceci :
"il existe, outre les relations linguistiques, d'autres souvenirs communs. Citons les formes artistiques, les pyramides, les
légendes parlant d'un grand déluge, les calculs de calendriers,
les jours de fête. (Le Jour des Morts, la Toussaint, le Halloween
anglo-saxon était célébré dans le Mexique pré-colombien ainsi
que par les druides celtes des iles britanniques et de l'Europe
occidentale.) Les similitudes se rencontrent jusque dans les
jeux. Le parcheesi était joué dans l'ancien Mexique sous le
nom de patolli. Les Basques, souvent considérés comme des descendants des Atlantes, partageaient avec les Aztèques et les
Mayas le goût des jeux de balle - à cette différence près que le
perdant en Amérique risquait de perdre la vie en même temps
que la partie. Les Basques, les Mayas et les Ossètes du Caucase
présentent une caractéristique commune : la rareté du facteur
sanguin Rh négatif. I1 est vrai que ces similitudes pourraient
être le résultat de visites transatlantiques ou d'intégrations
passées. La version selon laquelle ces traits communs se
seraient répandus vers l'est et vers l'ouest à partir d'un point
central situé dans l'Atlantique, ainsi que le suggère la légende,
parait tout aussi logique. "
Sur le site :
, on découvre aussi ceci :
"L'apparition de l'homme de Cro-Magnon dans le sud ouest de la France est énigmatique. Jusqu'alors, les hominiens (comme l'homme de Neandertal) ne brillaient guère par leur intelligence ou par leurs aptitudes physiques. Alors que l'homme de Cro-Magnon, avait une boîte crânienne bien plus développée, il avait une connaissance et une maîtrise de l'art et des outils. Il usait également de rites funéraires sophistiqués. Pour ces raisons, il est difficile d'admettre que l'homme de Cro-Magnon soit issu des espèces préhistoriques qui le précédèrent sur Terre. Il appartient visiblement à un autre règne venu d'ailleurs. Mais d'où ? On retrouve des traces de cet homme dans un périmètre très précis incluant le sud ouest de la France, le nord de l'Espagne et la côte basque. D'autres traces ont été retrouvées mais semblent visiblement plus anciennes, issues de migrations plus tardives. On a également relevé des analogies frappantes entre l'homme de Cro-Magnon et les Indiens d'Amérique. Une île géante située au milieu de l'Atlantique est peut être à le point d'origine de ces deux communautés.
Lewis Spence pense que l'Atlantide n'a pas disparue d'un seul coup mais plutôt à cause de nombreuses catastrophes naturelles. Chacun de ces cataclysmes ayant entraîné des mouvements migratoires d'hommes vers différentes parties du monde et à différentes époques, notamment dans le sud ouest de la France ou en Amérique. On a ainsi retrouvé en 1969 le squelette d'un homme de Cro-Magnon en Terre de feu (Amérique) qui datait de 10000 ans. Lewis Spence affirme que l'homme de Cro-Magnon provient d'une première vague d'immigration qui se dirigea vers l'Europe lorsque le grand continent situé au milieu de l'Atlantique connu ces cataclysmes. Un autres vague de migration provenant du continent perdu aurait eu lieu il y a 16000 ans. Enfin, Spence parle d'une 3ème et dernière invasion atlante survenue il y a 12000 ans, à l'époque à laquelle Platon situe la fin de l'Atlantide. Cette 3ème génération colonisa notamment l'Afrique du nord (l'Atlas). C'est donc à eux que les grecs et les romains font référence. En colonisant peu à peu l'Europe, les Cro-Magnons atlantes ont donc apporté les germes de toutes les civilisations ultérieures.
On peut aujourd'hui penser que les Basques sont des descendants des Cro-Magnons et donc des Atlantes. Le peuple basque s'est toujours considéré comme « à part », cultivant sa lange et sa culture. De plus, on retrouve des cultures similaires entre Basques et Amérindiens. Leurs méthodes agricoles s'inspirent du même principe. Les Basques ne labourent pas. Au lieu d'utiliser des charrues, ils retournent la terre à l'aide de fourches à 2 dents, tout comme les indiens d'Amérique centrale. Dans l'Antiquité déjà, le géographe romain Strabon faisait une description de costume des Basques en tout points semblable à celle qu'on laissé au 16ème siècle les conquistadores espagnols de certaines tribus d'Amérique centrale. Enfin, le jeu de la pelote basque ressemble trait pour trait à un jeu pratiqué par l'ancienne noblesse qu Mexique précolombien et du Yucatan.
Comment expliquer ces analogies, sinon par une origine commune qui aurait donné naissance aux Cro-Magnons, aux Indiens et aux Basques ? L'Atlantide. "
Un autre peuple trouvé aux
îles Canaries,
"Les Guanches", pose tout autant d'énigmes que les basques.
Dans l'ouvrage de
1980 de
Jean-Louis Bernard :
, on peut lire deux chapitres sur
ces Guanches, et en particulier ceci :
"
Mais c'est en Grande Canarie (Terror) que se groupait en couvent les harimaguadas, confrérie féminine de recluses, tout à fait comparable aux célèbres " vierges du soleil" du Pérou....
Les Guanches - superbes barbares blancs - , vivaient
une idéologie qui se place aux antipodes de la nôtre.
S'ils momifiaient leurs morts avec tant de soin, c'était
par manière de culte des ancêtres. Ils désiraient ardemment se souder à ceux-ci et, par-delà la vie terrestre, se
souder eux-mêmes, psychiquement, à leurs corps non
décomposés et mis à l'abri, en grotte, de toute profanation. N'était-ce pas pour la raison que ces Guanches
voyaient en l'hérédité le facteur essentiel de la spiritualité ? S'ils avaient cru en des ancêtres inférieurs, leur momification, parfaitement anonyme (les cadavres sont
sans identité) donc de signification collective, aurait été
absurde. Dans leur pensée, les ancêtres avaient eu au
contraire une envergure supérieure à la leur, sur les plans
spirituel, psychique et peut-être biologique. Aux îles
Canaries, flottaient deux obsessions insolites : celle des
momies cachées en grotte et celle des géants... Comme le Tutsi d'Afrique orientale, le Guanche, homme de CroMagnon, a été d'une taille exceptionnelle autour de
2 mètres. Peut-on en déduire qu'il descendait, mais par
évolution régressive, d'ancêtres géants et plus spécialement des légendaires Atlantes géants ? Cette hypothèse
qui va à l'encontre des thèses scientifiques, ne doit pas
être rejetée a priori. En tout cas, quelle que soit l'explication de la momification chez les Guanches, elle est la preuve d'un degré avancé de civilisation, confirmé par les croyances religieuses.
Autre contradiction : la langue complexe, parfaitement
évoluée. Et, pour mieux asseoir encore ce paradoxe du
sauvage policé, le Dr Verneau réussit à établir que les Guanches de l'île de Fer possédaient une écriture. Devant leurs momies on se demande bien sûr si Mme Weissen-Szumlanska n'aurait pas eu raison. Le courant qui
engendra la civilisation du Nil provenait-il de l'Occident
canarien ? Aux îles mêmes, les érudits espagnols penchent pour une explication opposée : une influence de l'Egypte sur les Guanches.
Pour conclure provisoirement, malgré l'impasse où
nous aura menés ce premier tour d'horizon à propos des
Guanches, disons que les critères tirés de la stricte
paléontologie (l'examen du squelette) et concernant le
degré d'évolution d'une ethnie demeurent valables, mais
relativement. Des sciences plus récentes, telle la parapsychologie anglo-saxonne et russe, et telle la science qui
se relie au yoga, montrent qu'il existe d'autres critères,
en particulier l'état des glandes endocrines. Certaines
entrent aujourd'hui en sommeil dès l'après-puberté et le
corps médical estime que cela est normal. Pas sûr !
L'expérimentation en cercles privés a démontré que nombre d'individus isolés jouissent d'une activité en somme
anormale de l'une ou l'autre de ces glandes mystérieuses
et que le champ de leur conscience s'en trouve modifié,
élargi. Le cas des médiums. Et l'on sait maintenant que
le yoga stimule indirectement les glandes endocrines, par
le relais de centres psychiques (les chakram des Hindous). Alors, se posera autrement le problème de l'homme. Si, chez l'homme actuel, les neuf dixièmes du
cerveau dorment, si ses chakram sont engourdis, si les
glandes de son crâne et de sa gorge ne fonctionnent à
plein que durant un temps, il n'en fut peut-être pas toujours ainsi. L'évolution a pu être régressive et l'homme
glisserait peu à peu d'une supra-conscience à l'inconscience. Mais l'évolution a pu se dérouler, encore, en
oscillation, tantôt involutive et tantôt évolutive... "
Oh là... dès que la parapsychologie entre en scène, restons donc
zen, voulez vous, et disons vite, comme les anglo-saxons embarrassés :
No Comment.
VIII Encore du nouveau en date du 19/12/06 sur les Guanches.
Le
18/12/06, nous avons reçu de l'internaute
Roland B...,la missive superbe suivante
( Les couleurs sont de nous évidemment) :
----- Original Message -----
From: Roland B.......
To: Fred Idylle
Sent: Monday, December 18, 2006 9:11 AM
Subject: citation + Guanches
Bonjour Fred,
Lorsque vous m'avez dit dans votre réponse à mon mail ne pas connaître cette phrase,
un doute m'est venu quant à son origine. J'ai cherché sur votre site et sur d'autres après mais sans succès.
Je ne sais plus de quel site cette citation provient, mais entre-temps, je l'ai retrouvée dans un livre de Jean Sendy :
"Les temps messianiques"; Editions Robert Laffont 1975 page 44 : "Humboldt, ce maître sage, l'a dit il y a longtemps : au début, les gens nient la chose; puis ils la disent dépourvue d'importance; ils finiront ainsi par décider qu'elle est connue depuis longtemps, rappelle Santillana, dans sa préface à Hamlet's Mill.
Au sujet des Guanches, Robert Charroux en parle dans "Le livre des Mondes Oubliés".
Il y a un chapitre sur l'Atlantide et particulièrement les Canaries et les Açores.
Il y a même photographié (photo dans le livre) des inscriptions alphabétiforme des Guanches de la Caleta à Hierro.(à comparer avec ce qu'on trouverait comme inscriptions à Bimini)
On y apprend que les Guanches descendent du roi Uranus, premier souverain des Atlantes.
En dernier lieu, avez-vous des informations au sujet de Maître Philippe de Lyon ? Un Grand Thaumaturge du 19ème siècle décédé en 1905 ?
Je viens de lire un livre à son sujet et c'est assez impressionnant.
Merci pour Tout et bonne journée,
Roland.
Fin de citation.
Merci donc mille fois à Roland pour ses si utiles découvertes.
Nous avons vite sorti de notre bibliothèque, le livre de Charroux en question, qui est de
Mars 1971. Il y a donc près de trente ans que nous avions lu cet ouvrage. Bravo donc à
l'Internet qui nous permet, grâce à des internautes aussi aimables que Roland, de retrouver chez nous des informations capitales que le temps efface de notre mémoire progressivement.
Voici donc un extrait de ce que l'on peut découvrir dans cet ouvrage :
LES DERNIERS DES ATLANTES
Les îles Canaries, ou Champs Elysées, ou Jardin des
Hespérides, ou isles Fortunées, ou Atlantides, furent
connues de toute l'Antiquité et, après les Arabes, les
Carthaginois et Juba II, roi des deux Mauritanies. Pline
en parla dans son Histoire Naturelle.
Leur conquête par les Espagnols, en 1478, vit l'extermination de tous ses habitants, les Guanches, qui se suicidèrent plutôt que de subir la loi d'un vainqueur.
Isolées dans l'Atlantique, un peu au-dessus du tropique du Cancer, les Canaries, dans la tradition, constituent, avec Madère et les Açores, les vestiges encore
existants de l'Atlantide.
« Les Guanches, disait dom Inigo, un naturel du pays, descendent du roi Uranus. premier souverain des Atlantes. »
Le roi du Mexique Montézuma II aurait dit au
conquistador espagnol Fernand Cortez :
" Nos pères ne sont pas nés ici. Ils sont venus d'une terre lointaine nommée Aztlan, où s'élevait une
haute montagne avec un jardin habité par les dieux."
Cette haute montagne était petit être le pic de Téyde à Ténérife qui s'élève à 3 718m d'altitude ce qui laisserait supposer
qu'avant l'effondrement l'Atlantide, compte tenu des fonds à cet endroit, ce pic s'élevait à quelque 7 000 mètres au-dessus de l'océan.
Avant leur disparition au XV siècle, les Guanches, se
référant à leurs traditions, se croyaient le dernier peuple du monde, tous les autres ayant péri par engloutissement.( Marcel N. Schveitzer : Guide Bleu d'Espagne. hachette 1963)
En cas, on pourrait penser que leur écriture dérive
directement de celle des Atlantes mais, par un phénomèneinexplicable , elle est à peu près inconnue en Europe, et même dans les illes canariennes.
Il nous a l'allu deux jours pleins de recherches, à
Gran Canarie pour persuader nos guides qu'il existait une écriture guanche et ensuite pour en trouver des vestiges.
Après avoir sillonné les monts et les barrancos de l'ile sur plus de cent kilomètres, c'est Yvette Charroux qui
la première, découvrit des rochers gravés, non pas au
Lobo de los letreros , comme nous le pensions, mais sur
une sorte d'éruption basaltique basaltique, dans un barranco isolé
du centre de la Gran Canaria.
Nous avons reconnu et photographié des dessins analogues à ceux des Celtes de Bretagne : spirales , cercles, serpents, des personnages stylisés et un remarquable « sorcier », qui est la réplique exacte de celui de la grotte de Villar en Dordogne.
Plus important encore, nous avons relevé une véritable écriture (voir reproduction ci-dessous),
que nous avons donnée à expertiser à l'abbé Robert Hirigoyen et
à la revue Découvertes.
II s'agit bien de lettres, dont certaines ressemblent à
des V, N, S, T , I.
Sur les tables rocheuses, des bergers, ou des découvreurs vandales, ont tracé leurs noms et parfois des dates, si bien qu'il est devenu difficile de discriminer ce qui est guanche de ce qui est postérieur.
A notre connaissance, cette écriture, connue de quelques archéologues allemands, est ignorée des Français et des Espagnols, et nous la reproduisons sans doute pour la première fois en France.
Son intérêt est exceptionnel, car ces tracés, s'ils étaient
corroborés par d'autres identiques, trouvés sur les murs des constructions immergées de Birnini, donneraient alors la certitude qu'ils sont bien de l'écriture des Atlantes.
Fin de citation
IX Prolongement révélateur en date du 10/04/08.
le
3/04/08, nous avons reçu par la poste du jeune
Jean-François (dont nous avons à plusieurs reprises évoqué le prénom dans nos articles), et qui vit maintenant dans la banlieu parisienne , quelques pages significatives de l'ouvrage ci-dessous indiqué :
L'auteur raconte
un voyage astral qu'il a fait à une certaine période, et sa visite dans
un vaiseau spatial, sorte de ville volante, très étrange :
"Tout l'intérieur de la ville flottante était d'un blanc impeccable; il n'y avait aucune autre couleur. Les murs de chaque partie du navire étaient
parfaitement lisses, sans aucun joint apparent. Les planchers, comme les
murs et les plafonds, étaient équipés d'objets aux formes étranges (on
aurait même pu dire que c'était des objets d'art, des formes semblables
à des sculptures très futuristes ) . Peu importe où j'allais, on aurait dit que
nous étions dans une galerie d'art, et c'était cela, leur technologie. Il ne
semblait y avoir aucune partie mobile à bord ; il n'y avait rien d'autre
que ces formes. Toute leur technologie se réduisait à des formes et à des
proportions. Ils se mettaient mentalement en lien avec elles, aussi bien
qu'avec leur cœur, et pouvaient faire n'importe quoi.
Si vous avez déjà visité le Pérou,, vous aurez certainement observé
qu'au milieu des vieux temples incas, il y a souvent un grand morceau
de roche ayant, à sa surface, beaucoup d'angles et de formes empruntés
à la géométrie sacrée. Ce ne sont pas là simplement de beaux morceaux
de roc - ces « pierres taillées » sont de véritables bibliothèques à l'intérieur desquelles on peut trouver l'histoire complète de la civilisation
inca. Si vous savez comment entrer en rapport avec un tel morceau de
roc, vous pourrez alors "lire" les moindres détails de ce qui s'est passé pendant la période inca. Les Siriens( note du Webmater : venant probablement de l'étoile Sirius), eux, avaient développé cet art bien
au-delà de l'archivage dans la pierre. Ils pouvaient tout faire grâce à cette
technologie simple et belle à voir, et même vivre dans l'espace intersidéral. Aujourd'hui, sur Terre, nous ne faisons que commencer à comprendre cette technologie. Nous l'appelons la psychotronie (en
anglais, psychotronics). Elle exige un contact humain (ou même, plus
qu'humain) pour bien fonctionner.
Lorsque je revins dans mon corps, les anges m'expliquèrent la raison pour laquelle ils m'avaient emmené là. Ils ne me parlaient pas verbalement, mais seulement par télépathie, en projetant des images dans mon esprit. J'étais très excité : "Wow, c'est incroyable ? Leur technologie est fantastique !". Je n'arrêtais pas de m'épancher sur ces Siriens et leurs
exploits scientifiques, tant j'avais été impressionné par ma visite à bord,
de leur vaisseau mère. Les deux anges m'observèrent silencieusement, pendant quelque temps, puis ajoutèrent : "Non, tu ne comprends pas.
Ce n'est pas ce genre de conclusion que nous souhaitons entendre !"
"Qu'est-ce qui ne va pas ?" demandai-je.
Un examen plus approfondi de la technologie
Les anges me dirent alors ceci : "Supposons que tu aies froid et que
tu décides d'inventer un appareil pour chauffer ta maison. Tu bricoles
alors un très bon chauffage, que tu amènes chez toi et que tu branches
sur une source d'énergie quelconque. Puis, chaque fois qu'il fait froid,
tu n'as plus qu'à appuyer sur un bouton et ta maison tout entière est
confortablement chauffée en quelques minutes. Eh bien, depuis notre
point de vue, si tu fais cela, tu deviens immédiatement plus faible spirituellement. Pourquoi donc ? Parce que chaque fois que tu utilises le
chauffage, qui est un objet extérieur à toi-même, tu oublies un peu plus
que tu es toujours directement relié à Dieu. Tu aurais pu chauffer toute ta maison avec ta lumière intérieure et ton Mer-Ka-Ba, mais au lieu de
cela, tu subordonnes ton pouvoir intérieur à un objet extérieur ! "
Les anges projetèrent ensuite en moi l'idée que quand des civilisations développent une technologie toujours plus avancée, si tel a été leur choix, elles se séparent de plus en plus de la source de toute vie et deviennent encore plus faibles puisqu'elles sont complètement intoxiquées. Elles en ont besoin pour pouvoir survivre. Autrement dit, les individus à bord de ce vaisseau étaient très faibles spirituellement. Il ne
fallait pas que je les considère comme une race très avancée mais plutôt
comme des êtres qui avaient besoin d'une aide spirituelle.
La conclusion finale de cette expérience fut celle-ci : les anges
voulaient que j'abandonne complètement la technologie et que je me
concentre sur la conscience pure comme moyen de me souvenir de Dieu. C'était net et clair. Je pensais vraiment saisir leur leçon. Et puis, le temps passa et je finis par tout oublier. Telle est la nature
humaine."
Que dire de plus devant une telle leçon de
transcendance. Peut-être est-ce là, une raison pour laquelle
les précolombiens et les
anciens égyptiens refusaient d'utiliser
la roue , pour mieux appliquer,
par exemple, la
lévitation des objets lourds ?
A vous de juger tout cela !.
Merci donc, encore une fois à
Jean-François pour sa si aimable participation au contexte plutôt
hors-normes (on vient de le voir) du site
ARTivision.
Pour en savoir plus, il convient évidemment de consulter le livre en question et nous demandons avec
déférence encore à l'auteur et l'Éditeur du livre ci-dessus,
leur grande indulgence pour ces emprunts littéraires, illustrant si souverainement les propos d'
ARTivision.
Article mis en page le 08/08/06 et revu le 13/06/08 , puis le 14/08/06, puis le 1/09/06, puis le 23/09/06 , puis le 15/11/06, puis le 07/12/06, puis le 11/12/06, puis le 19/12/06 , puis le 10/04/08, puis le 12/04/08, puis le 23/06/08, puis le 19/07/20.
IDYLLE Fred
fred.idylle@orange.fr
Retour à la page d'accueil