a truqué
absolument ces photos, pour occulter l'incroyable aux humains.
Jetez en effet un coup d'oeil sur la trace de
la roue de la jeep, qui arrivent au rocher que montre la flèche
rouge.
, a supposé page 40, que l'astronaute qui a conduit la jeep, où elle s'est
arrêtée, est vraiment un piètre chauffeur pour l'avoir fait grimper sur un
énorme rocher
, et qu'il a aussitôt après, en plus, braqué brusquement
à 90°.
a une toute autre optique de cette
affaire. Ceci s'adresse d'ailleurs
.
aient pu fouler le sol lunaire à la même époque. Voyez d'ailleurs sur le site :
.
qui est sans doute faux, et je suis prêt à donner raison aux déclarations
du médium qui dit, dans mon article :
En effet, ce texte extraordinaire en anglais, nous vient en premier lieu, d'un texte anglais transmis à l'adresse :
, je n'ai jamais reçu de réponse. Peut-être aurez-vous,
. Puis comme cela n'a
pas trop marché, on a inventé
Vives amitiés tropicales.
Fred
Idylle.
Fin de citation.
Hélas l'e-mail de cet internaute
Dominique n'est
plus opérationel, et c'est pour cela que nous lui adressons cette lettre ouverte.
IV Prolongement révélateur en guise de vérification .
Certains internautes vont sans doute vouloir vérifier par
eux même ,
cette incroyable affaire de traces de roues de la jeep lunaire dans l'image
d'Apollo XVI.
Voici un moyen d'y arriver, si l'on ne veut pas tomber sur une image très floue.
Il faut partir
par exemple, du site :
Puis placer la pastille contenant un
+ sur l'image et cliquer dessus pour l'agrandir et puis visualiser le coin presqu'en bas à droite. Après capture d'écran, et aidé d'un logiciel requis pour cela, vous pouvez obtenir la portion d'image suivante :
Aucun doute n'est possible, les deux traces visibles des roues de la jeep,
sont parfaitement différentes. Point final.
IV Prolongement très prometteur en guise de vérification précise.
Le
6 juin 2009, un nouvel internaute, nous envoyait la missive intéressante suivante :
----- Original Message -----
From: Olivier M....
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Saturday, June 06, 2009 5:23 PM
Subject: traces de pneus differentes.
  Bonjour Mr Idylle ,
Fidèle lecteur de votre site, je tiens à apporter ma modeste contribution au problèmes des traces de pneus différentes sur la photo de la mission Apollo 16 .
La deuxième trace de pneu a une signature bien particulière, qui m'a immédiatement fait penser celle d'une jeep Willys.( voir photos ci-jointes )
La jeep Willys a parcouru tous les conflits et tous les continents mais est elle allée sur la lune ?
Il est plus raisonnable de penser qu'une de ces willys a traversé le plateau de tournage.
C'était à l'époque un véhicule très répandu dans l'armée Américaine .
Cordialement.
Olivier
Bravo à
Olivier, pour cette découverte. Il y a certainement d'autres traces de cette jeep sur d'autres photos
d'Apollo XVI, et un internaute qui aurait collectionné une telle jeep, pourrait confirmer le détail des roues.
V Tentative de comparaison des traces de roues.
Le
11/06/09, nous avons eu le privilège de recevoir la missive suivante de
l'ami François :
----- Original Message -----
From: François de.............
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Thursday, June 11, 2009 9:04 AM
Subject: TRACES PNEUS JEEP.
Bonjour Fred,
C'est encore François, de métropole.
Merci pour votre message. En retour, je vous adresse le seul document que je possède représentant les empreintes laissées au sol par une Jeep militaire chaussée de pneus neufs de 6.00 x 16 conformes à la monte préconisée. Ces traces sont laissées dans un sol recouvert de neige, qui avait le mérite de révéler des empreintes nettes et bien définies.
Les traces laissées par ces pneumatiques bien connus ont par ailleurs été bien observées et bien rendues par le dessinateur Hergé, qui en a reproduit le détail dans son album "Tintin au pays de l'Or Noir", quand les frères Dupondt sont persuadés trouver une piste dans le désert alors qu'ils ne trouvent que leurs propres traces après qu' ils se soient perdus...
Espérant répondre à votre attente.
Toutes mes amitiés.
François
Fin de citation.
Nous avons tenté, avec nos faibles moyens, un rapprochement des traces, et voila ce que cela a donné :
Cela n'est certes pas très convaincant, mais un jour, sans doute, nous pourrons avoir des traces de jeep Willys, plus nettes....
VI Nouvelles confrontations. ( en date du 15/06/09)
a) Le
12/06/09, nous avons reçu de
l'ami Olivier, la photo suivante
d'Apollo XVII, où nous avons placé certaines inscriptions :
Mais voyons cela de plus près :
En résumé, les traces supérieures
(bien que difficilement visibles à l'oeil nu) sont,
(on le voit après agrandissement) totalement différentes, de celles de la
jeep lunaire LRV visibles en bas de la photo. Celles du haut, ressemblent en effet aux traces de
la jeep Willys bien connue et déjà évoquée plus haut. Comme on ne pouvait pas amener une jeep Willys sur la Lune, on en déduit, une fois de plus, que cette photo
est bien truquée, et qu'elle
a été faite sur Terre, dans un centre de simulation de
la NASA.
b) L'ami
Olivier, nous a aussi envoyé cette photo
d'Apollo XV, qui a été la première mission à utiliser
la Jeep lunaire LRV:
et voyons aussi cela de plus près :
Sur la photo de gauche, on voit que les segments du dessin de la roue, ont une direction perpendiculaire au bord visible de la trace, et il n'en est pas du tout de même, pour les segments que montre le bout de la flèche rouge de la photo de droite.
Il y a aussi cette photo d'
Apollo 15 n°
AS15-87-11818 visible sur le site :
où l'on découvre ceci :
Mais sur le même site, pour la photo d'
Apollo 16 :
AS16-107-17437, on voit alors :
Vers le bas de la photo, on voit aussi que l'on a fait une manipulation, soit photographique, soit de terrain sur la trace de la jeep Willys.
Mais il y a mieux, sur le même site, on trouve a nouveau clairement cette
tentative de camoufflage très mal réussie, de la trace de la jeep Willys sur la photo
AS15-85-11435 :
Hélas pour la NASA, cette mauvaise tentative de camoufflage, nous permet de comparer à loisir, les deux traces qui sont bien différentes n'est-ce pas!!!
Mais revenons encore à l'image agrandie :
Analysons alors cette portion :
Il semblerait donc que là encore, ce flou inadmissible ici
(vu la masse de la jeep LRV (Lunar Roving Vehicle) qui dépasse de loin celle de l'astronaute), c'est une tentative de voiler, la trace embarrassante de la
jeep Willys par
une manipulation photographique dérisoire.
D'ailleurs, une autre anomalie saute aux yeux, quand on analyse de près le dessin des roues de cette photo
AS16-107-17446 . En effet d'après le site :
, on peut lire :
" Pour faire face aux restrictions de masse et permettre la mobilité nécessaire sur la Lune, on développa des roues hors du commun. Outre les jantes en titane et les enjoliveurs en aluminium, celles-ci ne sont pas équipées de pneus conventionnels. En effet, l'enveloppe extérieure de celui-ci est fabriquée en treillage métallique."
Ce treillis métallique brillant s'est semble-t-il métamorphosé ici en vulgaire
pneu conventionnel à enrobement élastique et très terne. Voyez donc le dessin des sculptures :
Pourquoi la NASA a-t-elle substitué ici pour Apollo 16,
les vraies roues par des fausses ? Ces deux roues conventionnelles ne pouvaient en aucune manière fonctionner sur la Lune.
Mais jetons aussi
ce 12/08/09 , un petit coup d'œil sur cette superbe photo d'Apollo 16, placée à
Quel beau panorama n'est-ce pas ?
Mais, voyons cela de plus près :
Bien que la roue semble métallique cette fois, elle a laissé une trace
totalement incompatible avec les sculptures très obliques qu'elle porte. D'ailleurs la plupart des traces sur sol, découvertes dans les photos des Apollos, sont presques toutes des moitiés de traces de jeep Willys, sur lesquelles on a juxtaposé maladroitement, une moitié de traces de jeep LRV, comme le montre bien cette image placée à :
et que voici, avec nos commentaires :
Donc, à vous de juger, une fois de plus cette affaire de débarquement lunaire.
VII Un certain plus concernant un timbre inaugurant le débarquement sur la Lune (en date du 22/06/09).
Comme
ARTivision pense que
le moindre petit détail, peut avoir son importance dans ces affaires traitant de l'espace, il nous vient aujourd'hui l'idée, de vous transmettre, la réponse que nous avions faite à un très aimable internaute canadien, qui nous avait parlé de sa découverte chez un antiquaire ami décédé, d'une magnifique collection de timbres et surtout d'une statuette aux traits négroïdes, mais aux yeux particulièrement bridés.
Voici donc cette missive très importante :
----- Original Message -----
From: Fred Idylle
To: Marshaal...
Sent: Saturday, November 12, 2005 10:37 PM
Subject: Re: Envoi d'un message : statue-inconnue-nov-2005 .
Cher Ami du Grand Canada.
Je suis très impressionné par la suite des événements, qui vous ont ammené à devenir un antiquaire très côté et un collectionneur de timbres d'une grande envergure.
J'ai moi même une petite collection de timbres ( environ 500 ) uniquement attachés au domaine spatial. Ce qui est surprenant, c'est que je n'ai qu'un seul timbre des USA, émis lors du prétendu débarquement sur la Lune d'Apollo 11, alors que d'autres pays (surtout les pays arabes) s'en sont donnés à coeur joie pour se faire du fric en vendant des timbres sur l'espace de toute beauté alors que le pays le plus impliqué dans cette aventure spatiale, les USA, ont eu l'air de traiter cela par dessus la jambe, comme si cette aventure lunaire était sans importance... Affaire à méditer donc.
Vous m'avez proposé de m'offir certains timbres pouvant m'intéresser. Merci infiniment, mais je crains de vous décevoir beaucoup en vous disant que je ne m'intéresse plus depuis belle lurette à cette affaire de timbres, que j'avais constituée pour plaire à mes enfants, il y a 20 ans. Mais comme ce n'était pas leur tasse de thé et qu'ils pensaient plutôt aux jeux vidéo et consort, j'ai tout abandonné, d'autant plus que j'ai vu que certains pays avaient trouvé, là, un moyen de se faire du fric à bon compte en sortant à chaque événement spatial mineur des timbres pour le sanctifier. Je n'ai jamais cherché à connaître les côtes de timbres sur l'espace que je possède et quand j'ai lancé ARTivision, j'ai eu d'autres recherches bien plus passionnantes à faire que de courir après des timbres.
Voici donc quelques timbres choisis parmi tant d'autres, notons celui de la Pologne qui présente le Spoutnik 1 du 4 octobre 1957 , le premier satelliste lancé par les Russes, il y a déjà 48 ans.
 En ce qui concerne votre superbe statue aux traits négroïdes, mais aux yeux très bridés lui donnant un bon petit air extraterrestre,
, évidemment n'étant pas archéologue, je ne puis me prononcer sur sa provenance. La première chose à faire c'est de contacter un spécialiste des statues anciennes à son sujet, et puis obligatoirement, un laboratoire pour la soumettre à un procédé de datation moderne pour en déterminer l'ancienneté, ce qui en confirmera la côte sur le marché. C'est tout, ce qu' hélas, je puis dire au sujet de cette superbe statue
.............................reste coupé pour raisons personnelles..............................
Fin de missive.
Que celui qui sait lire entre les lignes de cette missive, en tire les conclusions qui s'imposent !
VIII Quand un aimable internaute nous interpelle au sujet d'une photo lunaire ( en date du 03/07/09)
Le
30/06/09, nous avons reçu la très intéressante missive suivante :
----- Original Message
-----
From: P L
To: Fred
IDYLLE
Sent: Tuesday, June 30, 2009 1:02
AM
Subject: Phootolune SP 362
Bonjour Fred
Placée sur le site :http://www.hq.nasa.gov/office/pao/History/SP-362/contents.htm, vous avez présenté et commenté la photo SP-362 de la Lune dans votre article : AstroArcheologie.html :
La première réflexion qui me vient à l'esprit, est que, les "triangles noirs" ne
sont en fait que du caviardage de couleur noire pour maquiller
très certainement "des structures gênantes".
Ces triangles ne peuvent
eux-même être des structures, car l'on verrait leur ombre, ce qui ne semble pas
être le cas. D'autres parties de la photo en haute résolution ont été traitées
de la même façon.
Mais, il me vient une
autre réflexion à ce sujet auquel, je n'ai pas de réponse : Pourquoi les sbires de la NASA
diffusent-ils ce genre de photos "vraies", mais truquées et prises réellement
en satellisation (pas comme celles prétendument "prises au sol"), alors
qu'ils pouvaient ne montrer que celles qui sont totalement "convenables", et qui seraient, elles, sans
truquages ? En effet de nombreuses autres photos non
compromettantes pouvaient être choisies...Ce fait là, me parait très étrange !
Cela est-il dû à l'euphorie des années 70,
où le public n'avait pas accès à la haute résolution ? Peut-être, mais encore une
fois, avec les nombreuses autres photo "naturelles", en réserve pourquoi donner
des bâtons pour se faire battre ? Le public de l'époque aurait quand même été comblé. A
moins que se soit une provocation savamment orchestrée, ou un clin-d'œil de
"collaborateurs" pas très d'accord avec leurs
"mentors"...
Amitiés
PL
Voici alors notre réponse à l'ami PL :
Très cher ami.
Bonjour de l'Archipel de la Guadeloupe
.
Je me suis bien sûr posé les mêmes questions que vous et j'en suis arrivé à la même
conclusion que ces photos qui nous tombent dessus
très opportunément sont l'œuvre
d'ingénieurs rebelles de la
NASA , qui s'amusent à nous tester.
Ce
camouflage de
structures lunaires est connu. En voici un autre tout à fait notoire:
...et que vous trouverez sur ma page :
http://www.artivision.fr/unplusconcernantlalune.html
Ce qui me ferait
bondir de satisfaction, c'est qu'un de
ces
ingénieurs rebelles de
la NASA, nous parle
enfin , de l'
Anti-Terre photographié sans doute par une
sonde qui, en circulant en direction des planètes lointaines, a jeté
furtivement un petit coup
d'oeil de l'autre côté
du
Soleil par rapport à la
Terre. Je viens à l'instant, en parlant de
Jacques Bergier , de mettre
cette affaire dans mon article
http://www.artivision.fr/AstroArcheologie.html
Votre missive est donc très importante et
sera mise en ligne dès que possible.
Sur ce, je vous souhaite donc encore
de bonnes découvertes sur
ARTivision (qui bouge beaucoup ces temps-ci), et je vous dis à un de ces jours prochains si
le Maître du
Temps, n'y voit pas
d'inconvénients.
Vives amitités tropicales.
Fred Idylle.
IX Partons sur les "traces" de la jeep lunaire d'Apollo 15 ( en date du 04/07/09).
Selon la rumeur
Apollo 15 (26 Juillet 1971 - 7 Août 1971), fut une mission lunaire qui pour la première fois, a permis à deux astronautes d'utiliser
la Jeep lunaire (LRV), et de parcourir dit-on
27,9 km sur le sol de notre satellite.
Mais voyons cela de plus près :
Sur les sites et bien d'autres :
, on peut découvrir cette photo d'
Apollo15 AS15-82-11120 :
Mais hélas, dans cette photo, on ne découvre
aucune trace des roues de la
jeep LRV, sur le sol, alors que des traces de pas
sont nettement visibles, juste à coté du véhicule.
La jeep était-elle si peu massive et donc bien moins lourde que l'astronaute, pour ne laisser aucune ligne sur le sol ?
Dans la photo précédente, on ne peut pas voir hélas, la trace de la roue arrière gauche. La photo
AS15-82-11129 du site
hqnasa.gouv précédent, nous en montre plus :
Il y a aussi cette photo d'
Apollo 15 n°
AS15-82-11062, visible sur le site déjà vu :
où l'on découvre aussi ceci :
A vous de juger cette
nouvelle incongruité !! .
Pour expliquer comment cette jeep a pu se positionner dans ce paysage,
selon nous, deux possibilités s'imposent ici :
- 1°) Cette jeep ne peut être arrivée là, que grâce à
un dispositf de levage en forme de grue et cela évidemment ne peut se faire
que sur Terre.
- 2°) Cette jeep a été ajoutée au paysage, purement et simplement par
un montage photographique adéquat.
Une fois de plus, que celui qui a des yeux, pour voir
l'évidence, en tire la conclusion qui s'impose !!!
Mais il y a encore mieux, car sur le même site, on trouve la photo
AS15-82-11056 qui suit avec nos commentaires spécifiques :
A notre connaissance
la NASA n'a jamais bien expliqué, cette boule lumineuse
(ici structurée en forme de toupie) qui
brille parfois étrangement dans le ciel lunaire des photos qu'elle nous présente.
A vous, une fois de plus, de juger tout cela, sur piece.
On pourrait parfaitement s'arrêter là, mais, il y a encore bien mieux, qui va faire tomber à la renverse
le novice, qui découvre ces photos pour la première fois, car
Philippe Lheureux, en a déjà parlé
dès la fin 2000, dans son ouvrage
"Lumières sur la Lune" (le grand doute), paru aux Editions Carnot.
En effet, voyons maintenant l'image
AS15-82-11082 du même site :
Quelle belle crevasse n'est-ce pas, juste au devant de cette photo ?
Réduisons maintenant cette photo à ceci, en coupant sur les bords :
Mais y juxtaposant le haut de la photo
AS15-82-11056, sans la fameuse
"toupie", on s'aperçoit que
les montagnes de l'arrière plan, forment
un contexte totalement identique sur les deux photos :
Or il faut savoir que lorsque le
LEM s'est posé
(photo du haut), il n'est plus question, qu'il se déplace. Où donc est-il passé sur la photo du bas, car il n'apparaît pas entre la crevasse et les montagnes ?
A vous donc de juger cette nouvelle devinette !!!
Mais, pour plus de clarté, ajoutons très empiriquement le LEM à la photo ci-dessus. On obtient grosso modo, l'image suivante :
, qui nous montre que le LEM est bien placé entre la crevasse et l'arrière plan montagneux. Pourquoi donc a-t-il disparu ? Encore
une illusion d'optique, diront, n'est-ce pas, assurément
les irréductibles détracteurs !!!
A vous de juger...
X Quand la NASA avoue son incapacité actuelle d'atteindre la Lune ( en date du 30/08/09).
le
28/08/09, nous avons reçu de notre ami
Julien du Canada, l'url suivant :
Comme l'information peut disparaitre un jour comme par enchantement, nous vous en transcrivons les termmes qui concernent
apparemment Mars :
Ciberpresse.ca
Publié le 19 août 2009 à 10h45 | Mis à jour le 19 août 2009 à 10h49
Pourquoi la Nasa n'ira pas sur Mars
Pascal Lapointe
Agence Science Presse
«Nous n'abandonnons pas Mars», s'est senti obligé de dire le président du comité chargé de faire le ménage dans les options qui s'offrent à la NASA. Mais le fait qu'il sente le besoin de le dire, signifie que les Martiens vont attendre : à court et à moyen terme, une mission vers Mars est irréaliste.
À moins, bien sûr, que la NASA n'ait droit à une hausse spectaculaire de son budget, comparable à ce qui s'était produit dans les années 1960. Mais c'est là un scénario au moins aussi irréaliste que la mission vers Mars...
Au lieu de cela, a déclaré le comité la semaine dernière, lors d'une dernière audience publique qui semblait annoncer à l'avance les conclusions de son futur rapport, les Américains devraient mettre en branle une stratégie étapiste : des missions présentant des défis de plus en plus grands, en vue de se préparer, un jour incertain, à - très hypothétique - séjour sur la planète rouge.
Ces déclarations prudentes contrastent avec l'atmosphère qu'avaient tenté de créer les plus optimistes le mois dernier, à l'occasion du 40e anniversaire du débarquement sur la Lune. Oubliez la Lune, allez directement vers Mars, avait notamment enjoint «Buzz» Aldrin, le deuxième homme à avoir mis le pied sur la Lune.
Idée d'emblée rejetée : «nous pensons qu'une mission directe vers Mars est une mission que nous ne sommes pas préparés à entreprendre, techniquement ou financièrement», a déclaré le président du comité, Norman Augustine, un ancien PDG de la multinationale Lockeed Martin, un partenaire privé de longue date de la NASA.
Ce comité de 10 personnes a pour mission de remettre au président Obama, à la fin du mois, un rapport sur les priorités de la NASA. Parmi les interrogations : est-ce que survivra, intact, le projet de l'ex-président Bush, pour lequel les Américains ont dépensé 9 milliards depuis cinq ans, dans le but de préparer un véhicule susceptible de les ramener sur la Lune en 2020?
Un retour sur la Lune, c'est aussi le coeur d'un nouveau livre. Intitulé The Seventh Landing (Le Septième alunissage, puisque six ont eu lieu entre 1969 et 1972), il passe en revue les obstacles, et ils sont plus nombreux qu'on ne l'imagine, de la conception d'un engin Terre-Lune jusqu'à la création d'un véhicule d'alunissage plus polyvalent que jadis, en passant par les bâtiments d'une éventuelle base lunaire. Or, le calendrier est de plus en plus serré :
- une fusée Arès, similaire aux fusées Apollo de jadis, transporterait le successeur des navettes spatiales, appelé Orion, à partir de 2013;
- quelques années plus tard, une version améliorée d'Arès enverrait en orbite l'engin Altair; celui-ci rejoindrait la station spatiale, où amarré ensuite à Orion, il transporterait les astronautes vers la Lune.
Déjà, le New Scientist s'attend à ce que le comité invoque les contraintes budgétaires pour plutôt viser 2018 pour le premier vol d'une capsule Orion vers la station spatiale, et 2028 pour le premier voyage vers la Lune. Léger problème : dans certaines projections, la NASA prévoit cesser de maintenir en vie la station spatiale dès 2016!
Curieusement, dans tous ces scénarios invoqués depuis un mois, la perspective d'une collaboration internationale ne semble jamais émerger sur les écrans radars. Le nouveau directeur de la NASA, Charles Bolden, l'a évoqué pour des satellites d'observation de la Terre, alors qu'il témoignait devant le Sénat; le directeur scientifique de la NASA, Edward Weiler, a évoqué une collaboration avec l'agence spatiale européenne pour un robot martien. Mais sans plus.
Détail inattendu : Defying Gravity, une série télé américaine lancée au début du mois, où la science-fiction sert de décor aux déboires sentimentaux typiques des téléséries américaines, met en scène une première mission habitée interplanétaire... et internationale. La fiction devance la réalité?
Vous avez bien noté qu'avec nos supers ordinateurs actuels, nos carburtants et notre technologie toujours plus efficaces, les spécialistes de
la science spatiale comme
le New Scientist, préfèrent
tabler sur 2028 pour
le fameux Septième Alunissage .
On se demande alors vraiment comment les américains
avec des ordinateurs balbutiants, des fusées et des Lems primitifs, ont pu réussir
6 supers alunissages comme dans un fauteuil, il y a déjà plus de 35 ans.
Certains ont l'habitude de dire :
" On n'arrête pas le progrès n'est-ce pas ?" Mais, il semblerait que ce vieil adage, ait vraiment du mal à s'appliquer dans cette affaire de prochain débarquement lunaire.
.
A vous de juger, une fois de plus, ces incongruités...
XI Quand on s'aperçoit qu'une pierre dite "lunaire" est fausse. ( en date du 3/09/09).
Le
30/08/09 nous avons reçu de l'ami
Claude,
l'url suivant :
La précieuse roche de la lune du Musée National de Hollande est un faux. Les "théoriciens de la conspiration" , vont se rejouir : On nous apprend après expertise que la pierre en provenance de la Lune n'est en fait qu'une roche de bois pétrifié. Certains spécialistes ont dit : "Ce serait formidable si elle provenait vraiment de la Lune, car il y aurait eu des arbres il y a un milion d'années". Le plus curieux est que le musée, en dépit du fait que c'est un faux, a décidé de la conserver quand même en tant que "curiosité" pour ne pas que les gens oublient combien héroiques furent ceux qui risquèrent leurs vies pour atteindre la lune. Un peu comme les documentaires la BBC de la 2e guerre mondiale. Les images sont vraies, mais les textes sont façonnés ou franc-maçonnés.
Le musée avait acquis la roche après la mort de l'ancien Premier ministre Willem Drees en 1988 qui l'avait lui même reçue comme un don privé, le 9 octobre 1969 à partir de puis-États-Unis Ambassadeur J. William Middendorf lors d'une visite par les trois astronautes d'Apollo 11 .
Middendorf, qui vit dans le Rhode Island, d'après les nouvelles néerlandaises NOS, aurait dit qu'il avait obtenu cette objet du Département d'Etat américain, mais ne pouvait se rappeler les détails exacts.
Des chercheurs de l'Université libre d'Amsterdam ont déclaré qu'ils pouvaient voir en un coup d'œil la roche n'était pas de la lune.
"C'est une indéfinissable, très jolie de pierres , mais sans valeur, et ne vaut pas plus que 70 $", affirma le géologue Frank Beunk, dans un article publié par le musée.
D'autre part, nous nous souvenons bien d'un article publié par la
revue Science&Vie, quelques mois avant 1969 et où il était précisé qu'on avait sous la main
une certaine catégorie de roche, qui s'apparentait fort bien aux caractéristiques supposées de
la roche lunaire. Hélas nous avons égaré l'exemplaire en question de cette revue qui en parlait. Nous serions évidemment très heureux de retrouver cet article.
XII Quand les jambes des astronautes s'effillochent étrangement sur les photos de la NASA (en date du 5/10/09).
Si nous allons sur les sites :
ou sur la photo
d'Apollo 11 n° AS11-4D-5874 du site :
On découvre alors l'ombre des jambes
d'Aldrin sur le sol, telle que :
On est franchement étonné par
l'effilochage considérable de l'ombre des jambes d'Aldrin et cela fait penser à un ajout sur la photo d'un dessinateur peu expérimenté. Bien sûr, les admirateurs de
l'exploit d'Apollo 11, trouveront la parade et diront, par exemple, qu'il s'agit
d'une illusion d'optique, que l'ombre est bien plus large, vu que le soleil était très bas sur l'horizon et que etc...
Nous aimerions alors que ces admirateurs puissent appliquer le même raisonnement à la photo suivante d'
Apollo 14 n°AS14-64-9089 du site précédent et que nous vous invitons gentillement à bien décortiquer :
Nous avons alors
grosso modo, dessiné par une flèche rouge
la direction des rayons du Soleil, en copiant celle de l'ombre des
deux petits cailloux encadrant notre flèche. Nous constatons alors que les deux jambes de l'astronaute
sont pratiquement juxtaposées, si l'on tient compte de la direction du soleil, et il ne devrait
absolument pas y avoir de vide, entre les ombres des deux jambes, comme le montre la photo. Des
spécialistes de la photographie, ont bien voulu dessiner les ombres ainsi qu'elles devraient être, et cela donne l'image de droite :
On voit alors que le côté gauche de l'astronaute est aussi nettement dans l'ombre, ce qui n'apparaît presque pas sur la photo d'origine.
C'est donc, une fois de plus, à vous qu'il appartient de juger cette nouvelle incongruité, de cette dernière photo de la NASA.
XIII Quand des câbles insolites, jonchent le sol "lunaire" d'Apollo XIV ( paragraphe en date du 7/10/09).
Nous avons déjà parlé, plus haut, de
cette affaire d'un câble enfoui sous le
"sable lunaire", et que nous avions à l'epoque découvert sur une photo d'Apollo 14, présentée par le
Paris Match n°1138 du 27 Fév. 1971. Nous avons retrouvé la photo en question, bizarremeent inversée, sous le
n° AS14-66-934 sur le site :
De nombreux internautes, et nous-mêmes, nous nous étions posés la question de savoir, si ce câble avait été enfoui accidentellement à certains endroits, ou si l'on avait déterré, à la suite d'une mauvaise manœuvre. En effet dans la deuxième hypothèse, cela signifierait sans l'ombre d'un doute que tout cela a été préparé à l'avance car l'on voit mal dès lors, un astronaute passer son temps précieux à enfouir un câble sous le sol lunaire, alors qu'il est plutôt gêné aux entournures par son scaphandre, et qu'il ne peut pas se plier pour réaliser une telle opération, sans intérêt sur la Lune. Donc déjà ce câble posait problème. Mais le
05/10/09, nous avons détecté sur cette photo
un deuxième câble, également enfoui à certains endroits du sol. C'est donc, encore une fois,
une manipulation supplémentaire délicate, à attribuer à ces astronautes devenant alors de
véritables câbleurs aguerris :
Jetons maintenant, un nouveau coup d'oeil, à la photo ci-dessus
AS11-40-5874A, où
Aldrin, est au garde-à-vous devant le drapeau américain. On y voit alors, sur la gauche, un cable
tout à fait hors sol, à tout moment,
ce qui est très logique :
Il en est de même, pour la photo
A17-136-20 704, tirée du site :
où l'on découvre
d'admirables voluptes d'un câble, reliant deux appareils, et câble qui d'ailleurs ne projette, chose bizarre,
aucune ombre sur le sol :
Alors, si on peut donc, admettre qu'une fois le câble ait été,
pour Apollo 14,, enfoui accidentellement sous le sol , il est beaucoup plus difficile de croire, que cela soit arrivé deux fois de suite, pour le même équipage.
A vous de juger, une fois de plus, tout cela...
XIV Quand la "Diplomatie", entre en jeu (paragraphe en date du 29/10/09).
Ces derniers temps, nous sommes entrés en possession du
n°9 hors série d'Août-Sept 2009, de la Revue
DIPLOMATIE dont voici la couverture :
Sur la photo de la NASA présentée, il y a de nombreuses anomalies.
Nous parlerons d'abord du
super panneau avec le drapeau des USA et l'inscription
United States. Comment donc ce panneau, qui est
totalement à contre jour (voir la zone d'ombre qui l'entoure) puisse révéler son contenu avec tant de netteté. C'est sans doute un panneau auto-luminescent.
Nous sommes ensuite frappés par
la blancheur et les rondeurs du mont en arrière plan et surtout par ceci :
Ensuite, nous voyons, à peine perceptible, à droite et vers le bas de la hampe du drapeau, une trace de roue telle que :
La direction
des stries de cette trace est perpendiculaire au bord de la trace, ce qui prouve qu'il ne s'agit pas d'une trace de roue de
la jeep LRV, mais plutôt de la trace d'une
jeep Willys,
impossible sur la Lune.
Ensuite en cherchant plus loin, nous n'avons pas eu la chance de trouver
en couleur, la même image sur le site pratiquement officiel déjà cité :
Cependant, nous y avons retrouvé une photo, qui lui ressemble beaucoup, bien que le champ de vision, soit plus large presque partout. Voici cette photo :
Ajoutons y quelques commentaires :
Tout cela est
de plus en plus révélateur, n'est-ce pas ?
Mais analysons maintenant plutôt, les propos du chapitre intitulé
"La conquête de la Lune (1968-1969) : le dénouement " ( Comme ils sont prétentieux ces écrivains en parlant de conquête, n'est-ce pas ? )
Survolons alors en page 30 et en
Décembre 1968 l'épopée
d'Apollo 8 :
Vous avez bien lu, n'est-ce pas, que la face cachée est grise sans couleur.. désolée et lugubre etc... mais chacun a bien voulu lire
des versets de la Genèse, et cela à l'intention des terriens bien loin à 400 000 km de là,
( et sans doute aussi, un peu pour les Dieux, eux, bien présent, sur notre satellite, n'est-ce pas ?) .
Plus loin, en page 32, on nous parle aussi de l'épopée
d'Apollo 10 , où le module lunaire dans le voisinage de notre satellite, s'est séparé d'Apollo en Mai 1969, pour s'approcher jusqu'à
14 km du sol lunaire. Et là, on nous présente un petit médaillon de la surface de la Lune, photographiée par les astronautes de cet
Apollo 10. Hélas, on ne dit pas si cette photo vient de la face cachée. Les spécialistes le découvriront sûrement.
Mais nous avons noté cependant sur ce médaillon quelques incongruités :
Bien sûr il y beaucoup
d'autres anomalies sur cette photo, et un bon logiciel qui ne tardera pas à être commercialisé, nous en dira plus, nous l'espérons vraiment bientôt .
Cependant, ce
30/10/09, arrivés à la page 34 de cette revue, nous avons apprécié ce passage :
Comme le dit le commentateur, il eu été plus beau de planter
là, le
drapeau de l'ONU , si l'on est venu sur la Lune au nom de toute l'Humanité.
Mais ce qui retient encore notre attention ici, c'est ce nouveau médaillon, où pour
Apollo XI, les astronautes
Neil Armstrong et
Buzz Aldrin, plantent le drapeau américain sur la Lune. Dommage que ce commentateur qui, nous dit-on, est un historien de
la conquête spatiale et de la dissuasion nucléaire,
(nous préférons dire, bien sûr, un historien de l'épopée spatiale), n'ait pas jugé bon de nous dire,
qui a pris cette photo ? Et où était placée la caméra en question? A-t-elle été commandée de la Terre ? Ou plus rare encore les astronautes avaient-ils
une sorte télécommande avant-gardiste, à leur disposition ? Les spécialites trouveront certainement la réponse.
Mais voyons l'image de plus près sous un autre cadre :
Observons bien les ombres des astronautes sur le sol lunaire. Ces derniers
sont proches l'un de l'autre n'est-ce pas,
(ils tiennent en effet le drapeau tous les deux), et on sait de plus que
le Soleil est à la même hauteur pour tous les deux. On remarque alors que
l'ombre de l'un, sur le sol lunaire, est
pratiquement le double de l'autre.
Mais à
16h20, ce jour, nous avons placé dehors, deux bouteilles identiques d'eau minérale, et nous avons constaté de visu, que l'ombre portée mesurait
98cm, pour chacune des bouteilles :
En conclusion, l'explication que nous pourrions fournir à
ce phénomène des ombres différentes est que, soit les deux astronautes sont éclairés
(sur Terre évidemment, par de puissants et différents projecteurs dans la zone de simulation du Névada ou de l'Arizona), soit pire encore, qu'il s'agit d'un montage de deux photos différentes prises pour chaque astronaute séparément.
A vous de juger cette nouvelle affaire saugrenue!!!
Mais ce
31/10/09, il nous vient à l'idée de vous transcrire ici, la missive suivante de l'ami
Olivier :
-
---- Original Message -----
From: Olivier
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Friday, July 24, 2009 8:03 PM
Subject: Anniversaire du premier pas sur la lune
Cher Fred,
Extrait du dossier de l'Express concernant les 40 ans d'Apollo 11.
Clichés de voyage.
" En plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales . Au total , 18 663 photos ont été prises manuellement et près de 15 000 par des caméras automatiques".
Le temps total passé sur la Lune toutes missions confondues est de 4834 minutes .
Donc, officiellement ,, en dépit de toutes les taches qui leurs incombaient, les astronautes ont eut le loisir de prendre 3,86 clichés par minute, soit presque une photo toutes les 15 secondes .....
Hallucinant !
Dans ce même dossier on peut aussi lire ceci :
" Pour beaucoup , il n'y a aucune ambiguïté : le projet Apollo était politique , et n'a jamais eu de réelle ambition scientifique".
On peut donc conclure que le programme Apollo avait principalement une ambition photographique...
Cordialement .
Olivier
Fin de citation
Mais revenons à notre texte
"Diplomatique". Nous en extrayons cette fois deux autres images :
La première de gauche nous présente le minois bien souriant d'Armstrong de retour dans le module lunaire et donc on suppose que ce module lunaire était toujours sur la Lune. Il serait intéressant de savoir si c'est
Adrin qui a pris cette photo ou si l'appareil a été posé tout seul dans un coin du module en question. Logiquement il devrait exister une photo souvenir semblable d' Aldrin, n'est-ce pas ? Les spécialistes sont certainement au courant.
Donc voilà une photo souvenir bien calibrée, mais il y en d'autres qui seraient bien
plus historiques (voir plus bas).
Sur la photo de droite, nous avons souligné en rouge les passages importants qui prouvent que le débarquement lunaire a eu quelques difficultés
à s'opérer et a failli même échouer car
l' ordinateur primitif de l'époque a vite été saturé
 Voyons maintenant le trajet inverse pour quitter la lune et rejoindre le module de commande
Columbia avec l'astronaute
Collins :
On voit alors que la jonction s'est faite
(non plus en 2 heures comme la descente vers la lune) mais en
3h 39' 59" . Donc il fallait être bien patient avant les retrouvailles n'est-ce pas ?
On découvre aussi que le commentateur a été très maladroitement inspiré en écrivant que
Columbia attend, à environ 100km d'altitude, alors que ce vaisseau
se déplace à (au moins la vitesse de satellisation néccessaire por la Lune) 1,67 km/s, soit
6012 km à l'heure .
  Donc
l'étage supérieur du LEM, doit au moins quitter la Lune avec
une extrême précision et atteindre à un moment donnée une vitesse
légèrement supérieure ces 6012 km à l'heure, pour rattraper
Colombia. Donc il faut de la poussée en réserve, n'est-ce pas !!! Et ce petit engin avec ses deux occupants, aura du bon boulot à fournir...
  Mais pour clore cette affaire, voici alors un autre passage qui vient de notre article :
Début de citation
" Notons en effet aussi, ce fait important : Le
15 juillet 1975 fut lancé le vaisseau soviétique
Soyouz 19 avec les cosmonautes
A. léonov et V. kubasov et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains :
T. Stafford , V.Brand et D.Slayton ont été largement filmés et retransmis dans tous les télés, radios et presses du monde entier.Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :
Mais justement maintenant, il nous vient à l'idée que la Nasa n'a jamais montré pour
Apollo 11 ( ni d'ailleurs, chose bizarre, pour aucun autre vol d'Apollo),
(à notre connaissance bien sûr: les internautes qui en auraient la preuve nous ferait un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes
Armstrong et Aldrin, revenant de la Lune et de leur compagnon d'infortune
Michael Collins, lui privé, hélas, du débarquement et qui est resté sagement dans le
module de commande à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or
Michael Collins n'avait-il à sa disposition à l'intérieur de la cabine une caméra pour filmer tout ce qu'il se passait à l'extérieur sur la Lune.
Aux spécialistes de répondre ".
Quelle joie ce serait pour lui de filmer le passage, par le sas
d'entrée, après un retour si périlleux de
ses deux compagnons et de montrer ensuite ces
photos d'intense émotion au monde entier ?
Non
rien de tout cela ne nous a été présenté par
la Nasa.
Or d'après la lettre précédente de d'Olivier, on sait désormais que :
" En plus des caméras placées sur les vaisseaux Apollo , les astronautes possédaient chacun un appareil photo - un Hasselblad muni d'un objectif Carl Zeis - adapté à leurs combinaisons spatiales.
Tout est donc clair, et selon nous bien sûr, si Michael Collins n'a pris aucune photo du retour de ses privilégiés de copains après leur escapade très risquée sur la Lune, c'est qu'il n'y a jamais eu de rendez-vous lunaire et cela pour les 6 Apollos connus (On peut aussi ajouter Apollo 10), car cette opération était effroyablement risquée avec un materiel très primitif et pour un équipage qui n'en avait jamais fait l'expérimentation sérieuse à l'avance.
Seule la photo suivante déjà jaunie
par le temps demeure dans nos archives. Elle est
tirée d'un calendrier publié en 1971 par
les Editions LYS (B -8500) Kortrijk imprimé en
Belgique:
Cette
photo est accompagnée au verso de la légende : " Eagle
de nouveau en orbite lunaire le 21 juillet 1969,
vers 2 heures de l'après midi. Retournant au Module de
Commande d' Apollo
11, Armstrong et Aldrin se trouvent
dans le module de décollage, juste après leur
lancement de la Lune.. Ils commencent ainsi la
première partie de leur voyage de retour à la
Terre. En haut sur la photo, notre planète à
demi plongée dans la nuit, au desuus de la
courbe de l'horizon lunaire."
Fin de citation
Cette photo agrandie apparaît aussi sur deux pages dans le n° hors série de
la revue Ciel&espace de 1999
page 42 et 43 avec la légende: "Fin de la première aventure lunaire...ce 21 juillet 1969,
l'étage supérieure du module Eagle se propulse vers son rendez-en orbite avec
Colombia sur fond de lever de Terre" (C'est dommage
que cette revue n'ait pas, elle non plus, pu nous montrer une photo du
rendez-vous à l'intérieur de la cabine...)
Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur
la Lune, qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et
qui sont accueillis, par un troisième compagnon, sans tambours ni trompettes, ni
même une petite photo de souvenir ?...
Ne trouvez-vous pas cela bien
bizarre? Nous attendons vos
appréciations...
A propos de cette photo ci-dessus, pendant que
nous y sommes, nous remarquons sur la Lune, à droite du vaisseau, une zone rougeâtre très caractérisée, qui
n'apparaît plus ensuite, sur les autres photos ultérieures de notre satellite.
Aux spécialistes de nous dire pourquoi ?.
Mais voyons maintenant autre chose sur cette affaire de rendez-vous spatial :
En effet nous nous souvenons, que ces mêmes
américains avaient eu, en Décembre 1965, un gros problème avec Gemini 6 (avec les astronautes
W.Schirra et T Stafford) qui n’a pas pu s’arrimer à un satellite
cible qui devait être un étage de la fusée Agena spécialement équipée pour que
le nez de la cabine Gemini 6 puisse s’y emboîter. Agena ayant échoué dans son
lancement, la Nasa décide brusquement de modifier ses plans. C’est le vaisseau
Gemini 7 (avec Fank
Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à Gemini 6. L’expérience devient alors peu spectaculaire,
puisque l’arrimage étant impossible, le 15 Sept 1965,
les deux cabines ne vont pouvoir que s’approcher à deux pas l’une de l’autre, et
vont effectuer ainsi en tandem plusieurs révolutions
orbitales.
Le véritable rendez-vous avec la fusée Agena
inhabitée n’aura en fait lieu qu’en Mars 1976
avec Gemini 8 (avec N.
Arsmtrong et D. Scott).
Nous n’avons pas
trouvé d’exemple où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo
différents (avant bien sûr la mise en orbite de la
navette spatiale) se sont réunis dans la même cabine après un
rendez-vous spatial programmé.
Alors, on se demande
comment ces mêmes américains ont pu réussir (comme dans
un fauteuil) 6 rendez-vous
lunaires sans aucune anicroche, à environ 400 000 km de la Terre, avec des ordinateurs très primitifs qui n'avaient
même pas à l'époque la puissance d'une calculette actuelle d'écolier. Et cela en
plus, malgré le terrible cône d'ombre
électromagnétique que représentait la Lune, vis à vis de la
Terre, en fonction des positions des éléments des vaisseaux à
joindre.
C'était donc là, l'un des moments
les plus cruciaux de la
trajectoire suivie par ces astronautes revenant de la Lune
et, c'est là que nous avons le moins d'information et
aucune image de cela.
Si vous étudiez,
en plus, le
comportement aberrant de certains astronautes, on reste sidéré devant une telle
attitude, car cela ne cadre pas du tout avec
le
stoïcisme et le caractère avenant que l'on prête en général
à un héros de la nation et nous avons même proposé dans
merlibre aux étudiants
en psychiatrie
ou psychologie de lancer une thèse à ce sujet.
En effet, il y a de plus, dans toute cette affaire,
au moins une vérité
indiscutable : C'est le fait que certains astronautes sont
revenus de la Lune,
totalement déboussolés
et en particulier le premier d'entre eux
Neil Armstrong qui est "comme un ours en cage"
et ne veut, parait-il, plus entendre du
tout parler de la Lune, et
surtout le second
Buzz Aldrin qui aurait été
interné
deux fois et qui de plus
, aurait prononcé cette phrase très insolite
lors d'une interview: "On nous croit des héros,
mais la Lune nous a brisés". Voir à ce sujet l'exceptionnel
Paris-Match n° 1242 du 24 Fév. 1973
:
D'ailleurs le titre de l'article en question est à notre
avis déjà, en lui même, très explicite : " Ils
sont encore dans la Lune".
Donc ces astronautes seraient devenus des "misfits" donc des déxaxés par allusion à un film célèbre.
Et il y a donc bien, "anguille sous
roche".
Pour certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute,
par exemple nos déclarations sur Armstrong l'homme qui, le premier, parait-il mis le pied
sur un autre "astre que la Terre", et qui aurait pu amplement en tirer
profit par les contrats publicitaires faramineux qui
lui ont été proposés, voici quelques phrases tirées de la page 99 de l'ouvrage très documenté de Pietro Banucci intitulé "La Lune" publié aux Éditions Bordas 1989 :
"Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se
replie sur lui-même et évite, dans la mesure du
possible, de parler du passé. Séjournant
dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un
poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A
plusieurs reprises, il émet des opinions
négatives sur la NASA. En Décembre 1972 après
la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre
satellite, il refuse une invitation de la
NASA à une cérémonie au cours de laquelle il aurait
dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La
photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre
à une "party" à laquelle l'a invité le Président Nixon... Il snobe également
une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du
programme Apollo dans sa villa du Pacifique en Californie...".
Lorsque l'astronaute Armstrong a soi-disant débarqué sur la Lune
(et cela 5 heures avant l'heure prévue
et pour cause), il a flanqué la caméra dans une direction et
elle n'a plus bougé.
Jamais il n'a fait (à notre connaissance bien sûr, et
nous aimerions avoir la preuve du contaire) un panorama du paysage
comme le fait tout alpiniste qui arrrive au sommet d'une montagne.
C'est inadmissible, au prix
où l'on avait soi-disant payé cette caméra. Des spécialistes ont démontré
d'ailleurs que la caméra n'avait aucune protection
contre les dures conditions qui régnent sur la Lune et que par
conséquent, les films obtenus auraient été tous "brûlés"...
Mais il y a le témoignage encore plus direct de David Adair, un ingénieur de réputation internationale
spécialisé dans l'aéronautique, et ayant travaillé pour l'Air Force et la Navy des
USA.
Le 12 Mars 2006
l'internaute Jean B.... a eu la
gentilesse de nous envoyer l'adresse du site suivant :
,où nous lisons la phrase importante de David Adair :
" Je
connaissais Von Braun quand j'étais gosse
parce que je travaillais déjà très jeune sur des fusées au début des années 70
au moment où des hommes marchaient sur la lune. A une heure et demi de voiture
de chez moi vivait Neil Armstrong qui habitait
à Wapakenneta. Sa mère - Viola elle s'appelait - et moi, nous nous sommes liés
d'amitié. Elle était une sorte de seconde mère pour moi, on se voyait tout le
temps et je pouvais donc voir Neil également. Souvent d'ailleurs, je me rendais
chez eux, je passais devant Neil sans y prêter attention parce que c'est Viola
que je venais voir. Et Neil appréciait cela, le fait que je ne sois pas
intéressé par sa célébrité et que j'aimais tout simplement sa mère. Neil était un homme très renfermé qui vivait comme un ermite...
car lorsqu' il est revenu de sa mission sur la lune, il avait d'une certaine
façon littéralement disparu."
Arrêtons là ces propos
significatifs, qui justifient parfaitement,
à notre
avis, l' expression "Ours en cage", citée
ci-dessus .
On n'a jamais vu un américain cracher sur des montagnes de dollars qu'on lui apporte sur un plateau d'argent, et il suffisait qu' Armstrong boive devant les
caméras, par exemple un
coca-cola, et il toucherait des milliers de
dollars pour ce simple geste.
Alors la seule façon de comprendre ce comportement très aberrant d'Armstrong, c'est de se dire qu'il a eu un sursaut
évident, de dignité
et de moralité, et a refusé de participer à cette
mascarade cosmique montée
par son gouvernement et la NASA, pour de vulgaires questions de
prestige politique, économique et
militaire de sa nation.
Alors on peut penser objectivement que :
1°) Soit
Armtrong a mis le pied sur la
lune, grâce à un
appareil ultra-secret sorti d'Apollo, en orbite autour de
la Lune, mais on lui a interdit de dire ce qu'il y a vu sous peine de
représailles implacables sur sa famille et lui même (si
l'on a pu descendre le Président Kennedy ce n'est pas un petit astronaute qui
pourrait échapper à son sort quelque soit l'endroit où il irait se
cacher).
Mais il est clair que les photos
montées à la Presse, sont manifestement truquées, nous l'avons vu plus haut.
2°) Soit Armtrong n'a jamais mis le
pied sur la lune (d'où son refus
très compréhensible de participer à cette mascarade de
commémoration), et il s'est contenté de tourner quelques jours en
orbite de la Terre, comme il l'avait déjà fait, et alors les roches
lunaires avaient déjà été ramassées bien avant
69 par d'autres sbires du
gouvernement américain avec les soucoupes des
aliens.
A bon entendeur salut !!!
XV Quand la "Diplomatie", dame le pion à une photo officielle. (paragraphe en date du 03/10/09).
En poursuivant notre découverte de cette revue DIPLOMATIE HS d'Août-sept 2009, nous découvrons en page 56, les images :
Bien sûr, que cette affaire du statut juridique de la Lune est importante, et nous renvoyons les lecteurs, à la revue en question pour en savoir plus. Mais nous préférons, ici, analyser plutôt la photo d' Apollo 17 présentée .
Il est d'abord facile de constater que les deux roues de droite du véhicule n'ont laissé sur le sol, aucune trace visible, ni à l'avant, ni à l'arrière du véhicule. Seule une trace entre ces deux roues apparaît nettement sur le sol. Agrandissons donc cette trace pour y voir plus clair :
On voit alors que cette trace ne correspond pas du tout, au dessin que devrait laisser la roue de la jeep LRV. Voyez vous-même :
Mais retrouvons la même photo référencée AS17-147-22526, sur le site presque officiel déjà vu :
, où l'on découvre ceci :
On voit alors que :
Les stries entre les deux roues ne sont presque plus visibles, comme si elles avaient été dénaturées, par une manipulation photographique quelconque.
C'est à vous qu'il appartient désormais de juger, cette nouvelle incongruité !!!
XVI Quand l'ancien cliché d'Apollo XVI, s'oppose au moderne. (paragraphe en date du 11/11/09).
Nous avons déjà, dans divers articles fait allusion , au fait que nous avons eu le privilège de posséder, dès 1973 , un poster de 47,5 cm sur
40,5cm, de la célèbre photo NASA AS16-107-17446, d'Apollo XVI
, déjà vue plus haut en long et en large :
Rappelons que c'est l'astronaute Charles M. Duke Jr, le pilote du module lunaire d' Apollo XVI, qui, nous dit-on, se tient debout, le 22 Avril 1972, à côté du Lunar Roving Vehicle.
Le Dimanche 6 Février 2005, nous avons pu enregistrer le volet de 30 minutes de la Chaîne d'alors, nommée "Planète Choc", intitulé "L'espace intersidéral" de la série d'émission " théories du complot".(Voir l'image ci-dessus):
Voici maintenant une photo du britannique David Percy, photographe professionnel et producteur de films et qui, dans ce documentaire, se montre très sceptique sur la mission d'Apollo en question :
Ce chercheur nous dit aussi alors :
" Regardez le rocher en bas à gauche de cette photo (flèche rouge).
" On y voit écrit dessus la lettre C.
(Note du webmaster: ce C apparaît aussi clairement sur notre poster ):
"Pourquoi une lettre de l'alphabet devrait-elle être écrite sur un rocher de la surface lunaire ? Il s'agit certainement d'un rocher utilisé par des studios de cinéma et cette lettre désigne un emplacement précis. ".
Donc, selon nous, l'opérateur a simplement oublié de faire pivoter ce rocher pour cacher ce C, à la vue du photographe, et tout cela se passe évidemment alors, dans zone de simulation de la Nasa, et pas du tout sur la Lune.
Certains détracteurs n'ont pas hésité à dire que cette lettre C, comme la croix + placée à côté et utlisée pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, à des repères sur la pellicule. Mais hélàs, aucun d'eux n'a été capable de présenter le négatif en question avec le C correspondant.
Mais, ce qui est plus surprenant, c'est que, de très nombreux sites présentant dés lors des photos de cette "épopée lunaire", d'Apollo XVI, nous exposent le même rocher, toujours avec la croix + à droite , mais le
C de gauche, s'est
volatilisé comme par magie. Voyez vous même, pour le site déjà connu :
Et comparez bien cela, avec ce que nous montre notre poster :
Quelle est alors
l'autorité, qui a décidé de faire en douce le ménage ?
C'est à vous qu'il appartient alors, de trouver désormais, la réponse à cette scabreuse énigme.
XVII Une simple confirmation de plus, concernant la jeep Willys (paragraphe en date du 18/11/09).
Le
13/11/09, nous avons reçu de l'ami
Xavier T.......la copie de la vignette de l'album d'Hergé
"Tintin au pays de l'or noir", où l'on aperçoit des traces sur le sol de la
jeep Willys. Nous vous laissons apprécier, le souci du détail que montre le dessinateur.
Quelques jours avant
Xavier nous faisait remarquer qu'il y avait un décallage entre les structures de droite et de gauche de la roue d'une jeep Willys. Voyez donc vous même :
Bien que nous ayons découvert que la plupart des traces de la jeep Willys sont coupées à moitié
( et l'autre moitié n'étant qu'une dérisoire magouille photographique), il nous reste cependant ces deux cas :
Pour la photo
AS15-87-11818 vue plus haut, on découvre en bas à gauche ceci :
Mais pour la photo hélas plus floue,
AS15-85-11435, vue aussi plus haut, on découvre en bas à droite ceci :
En conclusion, malgré toutes les manipulations faites autour des traces laissées sur le sol, il semble bien que l'on retrouve, par ci et par là, des structures qui ont bien l'air d'appartenir à une
jeep Willys, et
structures qui n'ont rien à faire sur la Lune.
Fin de la deuxième digression .
Voyez donc mainetant la photo n°6 :
A vous donc de juger, une fois de plus, tout cela !!!.
XVIII Quand Paris-Match commémore ostensiblement, la prétendue conquête de la Lune, d'il y a 40 ans (paragraphe en date du 20/11/09).
Le
18/11/09, par un
heureux hasard (humm..humm) , nous sommes entrés en possession du
Paris Match n° 3136 du
25 Juin au 1er Juillet 2009 qui titre,
à la une :
Sur
35 pages centrales, cette revue nous récapitule les
tenants et les aboutissants du
soi-disant débarquement lunaire des américains,
avec les engins primitifs de l'époque. Nous avons cependant bien apprécié la page 89
(digne d'être conservée dans les annales) , et qui nous expose le titre :
Pour en savoir plus prière de plonger dans la revue en question...
Mais, si vous le voulez-bien, analysons alors quelques photos présentées dans cette revue :
A la page 99, on nous présente cette photo, qui serait dit-on celle de
Gene Cernan astraunaute d'
Apollo 17 photographié par
Harrison Smitt dans
le Lem, après leur dernière sortie sur la Lune :
Et, on nous précise bien alors
, (et cela se voit parfaitement) que la combinaison de l'astronaute est
couverte de poussière lunaire.
Voyons maintenant la photo qui occupe la page entière 98 :
D'une part, on voit que la chaussure droite de l'astronaute est propre comme un sou neuf, et n'a pas un grain de poussière sur son contour.
(Il en est de même de la jambe droite visible de l'astronaute) Mais voyons donc cela de plus près :
Pas un grain de poussière n'est collé en dessous de la chaussure. Ne trouvez-vous pas cela bizarre? L'astronaute est-il passé directement du LEM au LRV
sans toucher le sol ? Quelle prouesse ? Aux spécialistes de répondre si une telle chose est possible !!!
Mais soyons plus pointilleux : regardez la photo suivante, où nous avons tracé grosso modo deux lignes qui correspondent au bord droit des roues de LRV :
On voit alors que les roues de droite du LRV n'ont laissé sur le sol
aucune traces visibles dans la direction montrée. Dommage que l'on ne puisse pas voir le sol entre roues
( et on sait, plus haut, que cela a posé un gros problème ). Dommage aussi que l'on ne puisse pas voir un peu du sol qui précède la première roue de droite.
Nous avons cependant, heureusement retrouvé ce detail, sur une autre photo
AS17-137-20979 d'
Apollo 17 :
Là, tout est clair, comme de l'eau de roche, et l'anguille
est aussi bien sous roche, ici.
Point barre.
Mais
un fervent inconditionnel du débarquement lunaire avec le Lem, nous dira avec assurance, que le LRV en question venait d'être posé sur le sol lunaire, et donc qu'il n'avait pas encore roulé, d'où l'abscence de traces.
Cette photo porte sur le site bien connu,
http://www.apolloarchive.com/apollo_gallery.html, pour
Apollo 17, le n°
AS17-137-20979. Si l'on veut bien démarrer à la photo
AS17-134-20378, où l'on voit l'astronaute
Gene Cernan qui salut le drapeau américain, et où aussi, disons le en passant, l'on aperçoit en bas d'incontestables traces
(à moitié trafiquées) de
jeep Willys, sur le sol, on a ceci :
Il existe alors
des dizaines d'autres photos avant d'arriver à celle
qui pose problème AS17-137-20979, et qui ne saurait donc être,
selon nous, la première faite, quand on a déposé le LRV sur le sol. D'ailleurs même en utillisant une grue pour déposer ce LRV, on ne pourrait échapper
au ripage autour des roues, et pourtant ici,
il n'y en a pas du tout. En plus, cette photo montre une vulgaire réparation faite sur un garde-boue après maints déplacements, qu'aurait effectué ce LRV et donc il avait déjà bien roulé.
Pour ternimer cette affaire, voici un petit dernier pour la route, à l'image
AS17-134-20421 :
Alors que des traces pullulent partout,
le LRV lui, ne montre aucune trace de roues sur le sol.
Mais le 21/02/2010, nous avons reçu d'un aimable internaute
F.C., la missive suivante :
----- Original Message -----
From: F.C.
To: Fred IDYLLE
Sent: Sunday, February 21, 2010 5:46 PM
Subject: Compléments - quand les roues parlent
Cher Fred,
Un complément concernant vos travaux placés sur :
A l'url :
On découvre cette image :
Qu'un certain agrandissement, montre sous la forme :
Comme chacun pourra le constater, il n'y a aucune trace sur le sol des roues arrière (ou avant) alors que, en simple logique de conducteur, il devrait y en avoir derrière si le véhicule avançait. Et si ce véhicule était poussé en arrière par le cosmonaute, il devrait y en avoir en avant.
Voici une dernière image montrant l'ombre atténuée de la roue arriére droite , où l'on ne voit aucune trace au sol de cette roue :
Quand à ceux qui objecteraient que le sable a pu tout recouvrir, c'est clairement illogique, puisque de nombreuses traces de pas sont visibles un peu partout. Pourquoi donc n'y en a-t-il pas pour le LRV ?
Meilleures Salutations de Suisse,
F.C
Mille fois,
merci à F.C pour
sa si aimable sollicitude .
Et à bon entendeur et vrai observateur salut!!!
Mais ce 21/11/09, pendant que nous y sommes, au sujet de
la revue Paris Match, et cela,
bien sûr, pour
le novice, qui aborde le site
ARTivision, la première fois en entrant dans cet article, disons alors que,
pour nous,
Paris Match, en parlant plus haut de
"conquérants" , a oublié
hélas,
les précurseurs que furent
les astronautes d' Apollo 8,
Franck Borman,
Jim Lovell et
William Anders, qui ont réussi,
dit-on, le premier voyage habité de la Terre à la Lune, mais aussi, qui ont fait
l'une des plus extraordinaire photo de sa face cachée. Le
n° 1025 du 25 Déc. 1968, les présentait en effet en première page tel que :
Cependant c'est, dans le
n° 1027 du 11 janvier 1969, dont voici une portion de la couverture :
, que l'on nous présente cette intéressante image montrant le cheminement des
8 révolutions du vaisseau spatial d
'Apollo 8 :
Notre scanner ne pouvant pas prendre l'image en totalité, nous vous en avons présenté presque les 4/5 èmes.
Le commentaire de la revue est alors :
" Le trait indique les huit révolutions d'Apollo VIII à 112 km d'altitude. Ce parcours a permis le survol des sites convenant à un alunissage. Les nunéros désignent les cratères reproduits dans nos pages : 1: Cauchy ; 2: Gocleninus ; 3: Magelhaens ; 4: Colombo ; 5: Lagrenius. "
Nous aurions, bien sûr, aimé avoir la même image correspondant à la face cachée de la Lune, car sur deux pages du
Paris Match 1028 du 18 janvier 1969, qui vient juste après celui qui précède,
on découvre
une superbe photo globale de la Lune, où apparaît une petite partie de la face cachée. Mais hélas toujours à cause de notre scanner, nous ne pouvons ici, vous en présenter qu'un petit quart environ :
Des spécialistes détermineront
à quelle hauteur cette photo a pu être prise par Apollo 8, car elle est
vraiment sensationnelle. En effet au bout de la flèche rouge, on aperçoit
une étrange anomalie ayant l'aspect d'un demi
porte-avions de prés de
30 kilomètres de long, et dont la partie centrale serait constituée
de sphères de près de 4 km de diamètre apparemment surmontées d'une sorte de
" flèche gigantesque".
Voyez donc les deux images ci-dessous :
Hélas, tous les efforts d'
ARTivision, ont
étés vains pour retrouver
le négatif du cliché, utilisé à l'époque par
Paris Match, qui l'aurait emprunté parait-il à
l'Agence
World Book Science Service qui
hélas n'existe plus.
(Voir les missives en question dans
notre article) :
Ce qu'il faut aussi savoir, c'est que
toutes les photos d'Apollo 8 commandées à l'époque à la NASA,
ne présentaient plus rien, au même emplacement où était supposée être cette
" superstructure" sur le
Paris Match 1028 . Voyez vous même :
Photos commandées à l'époque à la NASA
.
Mais il est à noter qu'à l'intérieur du
cercle rouge, dessiné par nos soins, apparaît une auréole caractérisée, qui pourrait être le résultat
de l'application d'une "pastille de camouflage"
.
Le risque
Zéro dit-on, n'existe pas , mais on demeure, n'est-ce pas,
interloqué par le fait que, les (SFNO)
(les Sbires des Forces Négatives de l'Ombre), spécialistes du caviardage
des photos de l'Espace, aient pu
laisser passer un tel document ...A moins que, déjà en 1969, ils
préparaient la désinformation
actuelle...
À vous de
juger...et nous attendons vos suggestions.
XVIII Quand la NASA, nous inonde, de tonitruantes déclarations sur la Lune (paragraphe en date du 06/02/2010).
On le sait bien, les articles du site
ARTivision essayent de démontrer, que le
Passé de la Terre est
beaucoup plus fabuleux que l'on
ne saurait l'imaginer, et que d'autre part aussi que
cette
planète est bien arrivée à un tournant décisif de son
destin et cela avec des moyens
très primitifs et sans utiliser de
publicité.
;Tout cela est pour
ARTivision parfaitement vérifiable dans l'environnement
terrestre : la
Lune ,
Mars , Mercure etc...
Par exemple sur le
journal
France-Antilles du
Samedi 14 Nov 2009, la NASA
à déclaré à grand fracas qu'elle avait découvert de l'eau
en quantité significative
dans un cratère du Pôle Sud de la Lune.
De même elle avait annoncé il n' y a pas si longtemps, et cela a été relayé par TF1 :
Puis le 31/01/2010, on a découvert aussi :
Mais, selon nous,
il ne faut pas se laisser berner par
ces manipulations mentales de l'opinon
publique, car il y
a belle
lurette que
la NASA, nous trompe au sujet de
la Lune, et de
bien autres
choses.
Par exemple, dans un de nos paragraphes de l'article
Mercure.html, nous mettons
au pied du mur les
détracteurs irréductibles
qui parfois aiment à nier certains
faits
inexplicables sur les photos de la NASA , en parlant souvent
d'illusion
d'otique, ce qui ici ne peut absolument pas être
évoqué au sujet
des rayures
inexplicables et blancheurs notables visibles à certains endroits de la planète
:
, d'autant plus que
pour les rayures, la même configuration se retrouve sur
la Lune comme cette surprenante photo découverte par la sonde lunaire chinoise
Ange I, en fin 2007 :
Ou encore, cette
une surprenante photo de Callisto , ce satellite,
bien loin de nous, de Jupiter :
Si certains cratères donc se ressemblent sur
la Lune et
Mercure ,
(et ce fait n'est pas du tout étonnant pour ARTivision ), c'est que, selon nous, ces cratères ne sont pas du tout
des cratères météoritiques comme le croit la science officielle ,
(voir aussi à ce sujet notre récent article : http://www.artivision.fr/cratereTsiolkvosky.html) , mais
bien d'énormes cirques rabotés par des engins automatiques pour en
extraire des minerais, comme cela se passe dans nos carrières terrestres. Voyez vous-mêmes un de ces engins en
forme de X ou
de E en action dans les cratères suivants de
la Lune :
A bon entendeur salut!!! Et, à la revoyure si le Maître du Temps, nous en laisse l'opportunité.
Fred Idylle.
Article mis en page le 31/05/09, et revu le 01/06/09, puis le 02/06/09, puis le 03/06/09 , puis le 05/06/09, puis le 06/06/09, puis le 09/06/09, puis le 12/06/09, puis le 13/06/09, puis le 15/06/09, puis le 20/06/09, puis le 22/06/09, puis le 23/06/09, puis le 03/07/09, puis le 04/07/09, puis le 08/07/09, puis le 11/07/09, puis le 14/07/09 , puis le 03/08/09, puis le 12/08/09 , puis le 30/08/09 , puis le 3/09/09, puis le 5/10/09, puis le 06/10/09 , puis le 07/10/09, puis le 10/10/09, puis le 29/10/09, puis le 30/10/09, puis le 31/10/09, puis le 01/11/09, puis le 03/11/09, puis le 05/11/09, puis le 09/11/09, puis le 11/11/09, puis le 12/11/09, puis le 18/11/09, puis le 20/11/09, puis le 21/11/09, puis le 25/11/09, puis le 28/11/09, puis le 06/02/2010, puis le 01/03/2010, puis le 23/07/2010, puis le 27/09/2010, puis le 07/11/2010, puis le 24/06/2011.
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