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Enfin M.H. nous apprend aussi qu'il existe en français un autre livre de Charles Fort: Lo ! le nouveau livre des damnés, publié chez Belfond, 1981: (Voici sa couverture :)
Mais voici aussi une illustration significative publiée par la revue planète n° 29 de Juillet-Aout 1966:
Dans le site Casar ( http://perso.wanadoo.fr/casar/ ) , l'auteur Francis Gatti aborde dans le chapitre 8 de
son ouvrage la question du télétransport d'objets. On notera dans ce genre de
phénomènes qu'il y a plus souvent apparition subite que chute provenant du
Village dans les nuages. Un autre indice que l'auteur met en
évidence et qui pourrait peut-être constituer une éventuelle piste de
recherches : le fait que les pluies d'objets, d'êtres ou de matières diverses
apparaissent dans des zones ayant une forme géométrique. Se pourrait-il que
cette caractéristique puisse correspondre à l'ouverture d'une sorte de "
portail dimensionnel " ? Je ne peux m'empêcher d'évoquer un épisode de la
série mythique " The Twilight Zone " où une petite fille s'était égarée dans une
autre dimension suite à l'ouverture inopinée dans le mur d'une fenêtre en
forme de parallélogramme. Un épisode réellement étonnant qui reviendra peut-être
à la mémoire des trentenaires et plus qui ne loupaient pas un épisode de
l'émission "Temps X" au début des années 80. Francis gatti suspecte certains facteurs
psychiques dans le déclenchement de ces phénomènes, comme dans l'affaire J.C.
Pantel, mais en supposant que ce soit bien le cas, cela n'explique toujours
pas la provenance et le caractère sélectif des êtres ou matières concernés. Une
création ou plutôt une matérialisation du psychisme d'un être quelconque ? Pour
les objets ou les matières, pourquoi pas ? Mais les êtres vivants comme les
poissons ou les batraciens ? Mais voici quelques extraits du chapitre : ( ...
) Il semble que la
télékinèse type poltergeist soit parfois responsable de déplacements à grande
distance. Ce qui viendrait confirmer la phase II du transfert de masse qui semble
se situer hors de l'espace. Ce dossier est assez mince, il faut le reconnaître,
mais ce n'est pas une raison pour le minimiser. Tout d'abord, les apparitions
inexpliquées d'objets pourraient être beaucoup plus fréquentes qu'on le pense
mais notre logique nous interdit de les admettre étant donné qu'au départ notre
première explication est de supposer que ces objets ont été déplacés par des
forces conventionnelles. Prenons par exemple l'incroyable quantité
d'objets censés être tombés du ciel dont parle Charles Fort. Parmi ceux-ci
beaucoup d'objets manufacturés. La première réaction c'est de dire qu'une
gigantesque tempête ou tornade a déplacé ces objets. Cette explication est très discutable pour
beaucoup de cas mais il ne viendrait à l'idée de personne de contredire quelque
chose de logique par quelque chose d'illogique quand aucune preuve ne peut être
apportée. Il se pourrait bien que les travaux de
Charles Fort soient beaucoup plus utiles a la science qu'on ne le pense à
première vue. Les pierres sculptées qui tombent du ciel, les
pluies de viande, les objets de grande dimensions qu'on retrouve souvent après
un orage ou une tornade pourraient provenir de transferts de masse naturels de
type psychique. -Extrait du Daily Mirror du
10/12/1968: Ramsgate (Kent) Angleterre: Une quarantaine
de pièces de cinquante pennies tombent d'on ne sait où par petites chutes qui
ont duré une quinzaine de minutes. Les témoins sont formels
: On ne les voyait pas tomber, on les remarquait
uniquement lorsqu'elles tintaient sur la chaussée Extrait du
San-Francisco Chronicle 03/03/1929 Ville de Newton (New
Jersey) Une pluie de chevrotines envahissait par
intermittence un bureau. Ce fut selon les témoins le plus grand mystère dans
toute l'histoire de la ville. On ne releva aucune trace de la manière dont les
projectiles avaient pu s'introduire dans la pièce.Un cas identique est cité en
1876 avec des plombs de chasse qui se manifestèrent en plein jour; ceci pendant
plusieurs heures. Cependant, lorsqu'on voulait les ramasser on ne retrouvait pas
l'énorme quantité tombée au sol ; il n'en restait jamais plus d'une
demi-douzaine. Le reste ayant disparu comme par
enchantement.. -Extrait de l'ouvrage 032/339: 1921,
Pondichery dans un Ashram Pluie de morceaux de briques à l'intérieur
de diverses pièces. On ne trouvait pas la cause. Elles continuèrent de pleuvoir dans la cuisine et
la cage d'escalier. Les hôtes se rendirent compte que les briques
ne devenaient visibles qu'à la hauteur du toit, comme si elles ne
prenaient leur existence qu'à ce niveau. Quarante ans plus tôt le même phénomène avait eu
lieu dans une classe de madras. Il avait duré cinq jours en présence de trente
enquêteurs qui ne trouvèrent pas la cause. Il est à noter ici que la réapparition du
phénomène au même endroit est une constante qui se retrouve pour beaucoup de cas
ovni. Si les chutes d'objets
extérieures aux habitations peuvent être attribuées à des tornades. Il est
difficile d'admettre que le phénomène dure plusieurs dizaines d'années avec
réapparition de temps à autre au même endroit des mêmes objets comme ce fut par
exemple le cas à Bijori en Inde où des perles multicolores tombent régulièrement
du ciel. D'autres endroits de par le monde sont envahis par des perles (en
Italie par exemple) Les pluies d’objets (ou matières diverses) sont
souvent localisées dans une zone ayant une forme géométrique.Si la matérialisation n'était pas prise en compte ces faits
constitueraient une énigme encore plus grande que ce qu'elle est
déjà. (...) Fin de l'extrait. Je précise que le chapitre 8 se termine par des
cas d'apparitions de personnes qui sont tout aussi
surprenants. Article mis en page le 03/01/03 et revu le 6 /03/03 puis le 14/04/05, puis le 27/01/07, puis le 16/06/08 , puis le 15/06/2010.
Pour vous en donner une courte idée, voici un passage du chapitre 7, du livre en question dont nous ne pouvons que vous recommander la lecture en entier en raison de son caractère unique en son genre: ( Les parenthèses en vert renvoient aux ouvrages de références consultés par Charles Fort) "
GRENOUILLES ET POISSONS, TORTUES, LÉZARDS
ET
ESCARGOTS
UNE SUPERMER DES SARGASSES
LA GRANDE ÎLE DE
GENESISTRINE
Des êtres vivants sont
tombés sur la Terre.
Pour préserver le système, on souligne généralement que
crapauds et grenouilles (par exemple) ne sont jamais tombés du ciel,
mais "se trouvaient au sol en premier lieu", ou bien"qu'un
tourbillon les ayant soulevés quelque part, les a lâchés
ailleurs". S'il se trouve en Europe un lieu où les
batraciens abondent tout spécialement, l'explication scientifique s'arrangera
pour que toutes les grenouilles, tombées du ciel sur le continent européen
proviennent en droite ligne de ce grand centre grenouiller.
Au départ,
j'aimerais souligner une étrange anomalie que je suis à ma connaissance, le tout
premier à percevoir, soit parce que je suis encore un primitf, soit parce que je
suis intelligent ou peut-être mal ajusté il n'y a jamais eu un seul
rapport décrivant une chute de têtards.
Un observateur (Leisure Hours 3, 779) affirme
que les crapauds ou grenouilles prétendument tombés du ciel ont dû tomber des
arbres. Mais un nombre effarant de petits crapauds âgés de un à deux mois ont
été vus tombant d'un grand nuage épais en Août 1804, près de Toulouse
((Lettre du professeur Pontus
à M. Arago. Comptes rendus, 3-54. Notes and Queries, 8-6-104 et
8-6-190).
"Se trouvaient-ils au sol en premier
lieu ?" Et les petites grenouilles du plein cœur londonien, le 30 juillet
1838, après un orage violent (Notes and
Queries, 8-7-437) . Et les crapauds découverts en plein
désert après une longue averse (Notes and
Queries, 8-8-493)?
Je ne nie pas positivement, notez-le bien, l'explication conventionnelle de la
"montée et de la descente"
. Je crois au contraire que de tels épisodes se sont produits. Il y a dans le
London Times du 4 juillet 1883, le récit d'une averse de brindilles, de
feuilles et de petits crapauds, au terme d'un orage sur les versants de
l'Apennin. Semblables déchets me paraissent typiquement associés à une trombe.
Tandis que les autres cas me paraissent associés, dirai-je à une migration
?
Encore et toujours dans ces annales des damnés
surgit la donnée de la ségrégation. C'est qu'une trombe est généralement conçue
comme un état de chaos ou de semi-chaos."Un
petit étang qui se trouvait sur le passage du nuage s'est trouvé vidé de son
contenu par une succion puissante, l'eau transportée au-dessus des champs
avoisinants avec une grande quantité de vase molle qui fut éparpillée au sol sur
cent cinquante hectares." Telles sont les circonstances
d'un véritable tourbillon. Mais l'imagination exclusionniste refuse de
considérer la boue, les débris de fond d'étang ou les nénuphars, elle se
concentre sur les tourbillons récolteurs de grenouilles.
Dans tous
les cas de chutes de batraciens attribuées à des trombes, la trombe n'est jamais identifiée ou localisée.
Pourtant, un étang qui s'envole peut être aussi intéressant que des grenouilles
qui pleuvent.Où vont les trombes, de quoi
sont-elles faites ? Il me semble que quiconque a perdu un étang
devrait se manifester. Je sais qu'une chute de grenouille, près de Birmingham,
le 30 juin 1892, a été attribuée à une trombe maléfique mais on ne mentionne pas
qu'un étang y ait contribué. Un seul détail frappe mon attention : les
grenouilles auraient été blanches.
J'ai bien peur qu'il
faille livrer à notre civilisation des mondes nouveaux, où les grenouilles
blanches auront le droit de vivre. En bien des occasions, des choses inconnues
nous sont tombées de quelque part. Mais prenez-y garde : si des êtres vivants
sont tombés sur terre(malgré tout ce que nous
savons sur la vitesse d'accélération des corps en chute) et
se sont propagés, alors l'exotique se fait indigène, et des lieux les plus
bizarres, nous devons attendre le familier. Si des grêles de grenouilles sont
venues ici d'ailleurs, tous les êtres vivants sur terre ont pu venir
ancestralement d'ailleurs.
Après l'un des pires ouragans dans
toute l'histoire de l'Irlande, on a trouvé des poissons à "plus de quinze mètres
du bord d'un lac" (Annals and Mag.of Nat. His.,
1-3-185.) La plus célèbre chute de poissons survint à
Mountain Ash, dans la vallée d'Abedare, Glamorganshire, le 11 février 1859
(Zoologist
2-677-1859-6493). Elle se localisait dans la
propriété d'un Mr Nixon. Le docteur Gray, du British Museum, se hérissant
d'exclusionnisme, conclut à une farce. "L'un des
employés de Mr Nixon a dû jeter un seau sur un de ses camarades, sans se douter
qu'il contenait quelques poissons". Mais un correspondant
relevant cette version, déclarait avoir obtenu la même espèce de poisson à des
distances considérables de ce "seau
espiègle" . En fait, les poissons eux-mêmes, si l'on en
juge par d'autres témoignages, étaient tombés par seaux (Annual Register,1859,14).Certains d'entre
eux, encore vivants furent envoyés au jardin zoologique de Regent's Park, où on les identifia à des vairons et à des épinoches.
Quoi qu'il en
soit, l'hypothèse d'une trombe est mise en échec
sérieux par deux détails. Le premier est que la chute, loin de
présenter la dispersion voulue, eut lieu sur une bande étroite de quatre-vingt
mètres de long sur douze de large. La seconde, incroyable, mais sur laquelle les
témoignages affluent est que dix minutes après la première chute, une seconde se
produisit au même endroit ! Même si une trombe pouvait rester axialement sur
place, elle se déverserait toujours tangentiellement. Un autre témoin précise
que les poissons avaient jusqu'à huit centimètres de long (Lettre de Mr Aaron Roberts, curé de St.-Peters, Carmathon. Cf.
London Times, 2 mars 1859). Certaines personnes, croyant
avoir affaire à des poissons de mer, les placèrent dans l'eau salée, où ils
trouvèrent une mort instantanée. D'autres poissons, placés dans de l'eau
fraîche, s'y comportèrent à merveille. Autre version : Les toits de certaines
maisons en étaient recouverts (Lettre du
vicaire Griffith. London Times, 10 mars 1859). L'évidence
d'une chute de poissons est concluante. Il s'agissait de "gastérosteus leirus " (Rapport de 1'Association Britannique, 1859,
158.).
Gasterosteus est le beau nom de
l'épinoche.
D'où le sens de totale perdition communiqué
par cette explication : quelqu'un a arrosé l'un de ses amis avec un seau d'eau
douce dans lequel nageaient des milliers de poissons de huit centimètres de
long, dont certains recouvrirent le toit des maisons et d'autres restèrent en
l'air dix minutes durant. Je préfère encore ma version, plus contrastée le
fond d'un étang supergéographique a brusquement cédé.
Ce qui est extraordinaire, c'est que ces animaux
vivants tombent sans se blesser. On a parlé d'herbe tendre, mais
Sir James Emerson Tennant, dans son
Histoire de Ceylan parle de
poissons tombés intacts sur du gravier. Dans cette région d'inertie que
nous pouvons concevoir, dans cette zone qui est à la gravitation terrestre ce
que la zone neutre d'un animal est à l'attraction magnétique, j'accepte
volontiers qu'il y ait des pièces d'eau, des espaces creux, des fonds d'étangs,
non entourés de terre, de vastes gouttes d'eau qui flottent dans l'espace, des
déluges d'eau et des chutes de poissons. Mais aussi des zones où les poissons
sèchent et pourrissent, avant de retomber par l'effet d'une dislocation
atmosphérique.
A Rajkote, aux Indes, le 25 juillet 1850, " le sol était recouvert de poissons ", dont
certains furent retrouvés sur le sommet de meules de foin (All the year roud 8-255 ) . une
autre chute à Calcutta le 20 septembre 1839, un témoin déclare
"Le fait le plus extravagant fut que les
poissons ne tombèrent pas pêle-mêle, mais en droite ligne, sur moins d'une
coudée de largeur" (Living age 52-186). Toujours aux Indes, à
Feridpoor, le 19 février 1830, " certains
poissons étaient tout frais, d'autres mutilés et en pleine putréfaction "
(American Journal of
Science). Rappelons que, dans les montagnes de l'Inde, le
climat est très loin d'être torride et ne constitue pas une explication valable.
Rappelons aussi, pour les tenants de la ségrégation en trombe, que les objets lourds sont toujours séparés,
dans un tourbillon, des objets
légers : certains de ces poissons pesaient deux fois moins que
les autres...
Fin d'une partie du chapitre.
Nous n'allons pas évidemment vous transcrire tous les détails de ce chapitre deux fois plus long, pour ne pas évidemment nous attirer les foudres de l'Editeur français de ce livre.
Bien qu'il nous faille encore rechercher des détails de cette affaire de poissons venus d'on ne sait où, il nous appartient maintenant déjà de nous interroger au sujet de "certaines portes" qui pourraient s'ouvrir inopinément dans notre univers immédiat. Les cinéastes, faute de mieux savoir ce que c'est, ne nous font-ils pas rêver parfois en parlant de "La porte des étoiles" ? Nous avons effleuré cette notion d'univers paralléles (qui pourrait être une explication plus logique aux cas évoqués ci-dessus par Charles Fort ) dans notre article placé directement à :
Echos de Forum
Mais pour clore pour l'instant, ce propos, voici une partie de la missive que nous avons reçue récemment de l'ami Joël Baran et concernant un texte qu'il a envoyé au forum du site: On nous cache tout :
----- Original Message -----
From: Joel Baran
Fin du message au forum.
Nous avons noté les propos suivants tirés de ce forum: " Un cas identique est cité en 1876 avec des plombs de chasse qui se manifestèrent en plein jour; ceci pendant
plusieurs heures. Cependant, lorsqu'on voulait les ramasser on ne retrouvait pas
l'énorme quantité tombée au sol ; il n'en restait jamais plus d'une
demi-douzaine. Le reste ayant disparu comme par
enchantement..". En 1971 ou autour de cette année (nous ne sommes pas très sûr) nous avons personnellement assisté pendant plusieurs jours à la chute impressionnante de pierres et de bouteilles sur une maison de la petite commune de Baillif de notre île à la tombée de la nuit vers 19 heures. C'était un vrai spectable et des dizaines de curieux s'asseyaient sur le bord de la rue en face de la maison pour entendre le fracas des pierres et des bouteilles qui tombaient sur le toit et cela pendant près d'une heure. Les autorités avait appelé les gendarmes qui avaient investi tous les environs pour attraper le coupable éventuel. Mais plus il y avait de représentants de la Loi, plus plus pierres et les bouteilles tombaient avec force et quantité. Cependant, il est à noter que très peu d'éléments arrivaient à rouler sur la route pourtant proche. Aucune étude n'a été faite sur ce cas qui a duré plus de 15 jours et l'on n'a jamais su ce qui provoquait ce phénomène.
III Conclusion.
Comme vous le voyez donc, le hasard a encore bien fait les choses en nous mettant sous la main à temps, ce communiqué plutôt étriqué de L'AFP, qui nous donne aujourd'hui l'opportunité de vous présenter cet article, et ARTivision ne peut que s'en réjouir une fois de plus, pour poursuire sa quête inlassable d'une autre vérité se situant sans doute par delà le Temps et l'Espace. Mais le meilleur, ou peut-être le plus étrange, ne sont-ils pas encore pas à venir ? Qui peut le savoir...?
IV prolongement révélateur en date du 27/01/07
Le 24/01/07, nous avons eu le plasir de revevoir la missive suivante du Canada :
Pour ajouter à la
pluie de poissons. Ça doit bien faire 10 ans. La
télévision canadienne a
montré le tarmac de l'aéroport de Melbourne en
Australie, être le théâtre
d'une pluie de poissons que les gens
ramassaient à pleins seaux. Les poissons
avaient un longueur moyenne de
25 cm et leurs mouvements sur le sol montrait
qu'ils étaient bienvivants.
J'ai vu ce reportage au petit écran, provenant
sans doute de la télé australienne.
Je ne me souviens pas quel commentaire
traditionnel
et idiot a alors été évoqué, comme explication. Pour ma part, je
n'en
étais pas surpris, puisque j'avais lu Charle Fort bien des années
avant.
Un autre fait pour mettre dans votre carquois
s'il vous est utile.
À la fin de 1972, quelques mois après la mort de mon ami
Luc, il se
produisit un curieux phénomène chez sa mère. À cette époque, cette
femme
hébergeait sa fille et ses trois enfants. Tous les cinq étaient
attablés
dans la cuisine pour le repas du soir quand résonna un bruit
de
canalisation brisée, comme des gouttes d'eau qui seraient tombées
dans
le hall attenant. Après vérification, les témoins trouvèrent par
terre
de petites billes granuleuses, métalliques et légères comme
de
l'aluminium. Il y en avait quatre ou cinq. Le phénomène se
reproduisit
après, mais de façon plus discrète, une bille par-ci, une bille
par-là.
J'ai même trouvé une bille semblable sur le trottoir. Pour la mère,
il
était clair dès le début qu'il s'agissait d'une manifestation de
son
fils Luc. Mais je pense que cette femme fervente et mystique avait
des
dispositions psychiques capables de concrétiser de tels objets, comme
le
font les enfants prépubères perturbés, surtout les petites filles,
qui
provoquent sans le vouloir des pluies de pierres. Ces derniers cas
sont
maintenant bien documentés. (Voir TOCQUET, Robert, Les Mystères
du
surnaturel, Flammarion, coll. «J'ai lu», Paris,
1974.)
Voici ce que j'en disais dans mon livre "Les
rêves ne mentent pas"
(Robert Laffont, 1983).
«Robert
Toquet, qui a passé sa vie à chercher des explications
rationnelles à des
phénomènes étranges sur lesquels il enquêtait, a
remarqué, par exemple,
qu'une pluie de pierres est souvent causée par la
présence, à l'endroit où
elle se produit, d'une personne,
particulièrement un enfant, émotivement
perturbée . Ma conviction est
faite que certaines personnes servent de
catalyseurs assez puissants
pour créer un précipité physique qui reflète
l'état d'esprit de son
auteur, la plupart du temps inconscient du phénomène
qu'il provoque.
Cause intérieure troublée, effet extérieur
négatif.
L'ampleur de certains phénomènes me porte à croire cependant
que les
individus catalyseurs ne sont pas seuls en cause. Il s'ajoute à
ces
derniers une impulsion psychique collective, et c'est
par
l'intermédiaire de l'individu catalyseur que se produit le phénomène
:
ampleur physique et symbolisme élargi.»
Bonne
suite
amitiés
Laurent----------------------------------------------
V Nouveau prolongement révélateur en date du 15/06/2010.
le 25/05/20, nous avons de nouveau reçu de Laurent du Canada la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Laurent L....
To: Fred Idylle
Sent: Tuesday, May 25, 2010 4:52 PM
Subject: D'un certain intérêt.
Bonjour, Fred,
La régularité du phénomène est intéressante.
On décrit une pluie poissons au Honduras dans le "Le grand livre du mystérieux", Sélection du Reader's Digest, Canada et Paris, 1985.
La régularité du phénomène est intéressante.
Laurent-----------
Nous avons alors commandé ce super ouvrage qui n'était pas dans dans notre bibliothèque, et on y trouve, en effet ceci :
et en page 6 :
En page 184, on découvre cette introduction :
DES CHOSES BIZARRES VENUES D'EN HAUT
Chaque année, au début de 1a saison des pluies, les habitants de Yoro, au Honduras, rassemblent tout ce qu'ils ont de seaux, de tonneaux et de filets dans l'attente des poissons qui vont tomber du ciel. Et chaque année, pour aussi longtemps que l'on s'en souvienne, les sardines sont tombées par tonneaux entiers. "L'averse de poissons", comme disent les Honduriens, commence vers 4 ou 5 heures du matin, et est suivie d'une tempête électrique. Les poissons sont retrouvés, vivants, sur une plaine herbeuse au sud-ouest de Yoro.
En 1833, des paquets d'une substance laineuse ont recouvert des kilomètres de campagne près du village français de Montussan ; ailleurs sont tombées des bandes d'un matériau soyeux, comme d'une vaste mercerie aérienne.
En de nombreux endroits de la planète sont tombées des quantités phénoménales de grenouilles et de crapauds; parfois aussi des escargots, des vers et des serpents. On a également vu du sang dégoutter du ciel, des grains et des haricots en tomber, mais aussi de la viande et de la graisse, comme si d'invisibles greniers et abattoirs naviguaient au-dessus de nos têtes.
Ce sont ces cas et bien d'autres que l'on examinera dans ce chapitre. En termes de vraisemblance, ils vont du plus ou moins acceptable au totalement délirant. Et, à l'autre extrémité du spectre, on trouve des événements qui peuvent en fait appartenir à un autre domaine de l'inexplicable.
On peut par exemple concevoir que des pierres non météoriques tombent du ciel, éjectées par un volcan. Mais que de telles chutes de pierres se produisent de façon répétée sur les deux mêmes toits adjacents sollicite sérieusement notre imagination; et que des grêles de pierres sélectionnent et poursuivent telle ou telle personne (comme ce fut 1e cas pour deux pêcheurs en 1957) dépasse déjà l'entendement. Mais que des pierres tombent d'un plafond intact ou à l'intérieur d'une tente (la victime étant cette fois un garçon de ferme australien, en 1957) fait passer de tels incidents du royaume matériel à celui des poltergeists.
Fin de citation.
Pour en savoir bien plus, prière évidemment, de se reporter à l'ouvrage en question.
Finalement, il ne nous reste alors ici, qu'à
reprendre à notre compte, une fois de plus, la célèbre phrase de Shakespeare,
d'Hamlet à
Horatio: