Le MYSTÈRE
et le SECRET
des
PIERRES
Si l’on considère tout ce que la
surface de notre Planète révèle d’étrange et
d’irrationnel, l’on reste confondu devant l’impuissance de
la science face à d’innombrables points d’interrogation..
Si, délaissant les voies des écoles
traditionnelles, l’on tente une approche sur le sentier de
recherches bien moins conventionnelles, des éléments de réponses
apparaissent progressivement.
C’est par de telles démarches,
de longues et patientes analyses qu’il a été possible de réunir
certaines hypothèses et aussi, le plus passionnant, quelques
certitudes ..
Nous pouvons mieux comprendre pourquoi
les mégalithes et aussi certaines constructions mégalithiques
cyclopéennes ont été implantés ou érigées un peu
partout sur la presque totalité de la surface de notre globe et,
semble-t-il répartis un peu au hasard. Pour nous, maintenant, les
mégalithes ont livré une partie de leurs secrets..
Il faut tout d’abord comprendre que
les emplacements de ces mystérieuses pierres doivent être considérés
comme de « Hauts Lieux ».
Leur caractère sacré est l’héritage
occulte, fantastique, insolite et particulièrement impressionnant
de tout un « Passé Inconnu »..
Epars à travers le monde, ces
Lieux sont des jalons et des repères chargés d’un Sens
venu d’un Ailleurs inconnu : Des hiérophanies,
manifestations du Sacré matérialisé et paré de légendes et de
mythes. Au fil du temps, la perte progressive des Connaissances
Originelles, ayant fait place à une ignorance superstitieuse,
diverses pratiques plus ou moins barbares, des rituels païens ou
profanes se sont succédés sur ces lieux..
Face à ces pierres, l’homme éprouve
un confus sentiment de fusion de lui-même avec la Nature et,
s’il prend la peine de méditer quelques instants, il est
inconsciemment absorbé par le Cosmos : Il s’abîme au plus
profond de son moi pour s’intégrer dans un Infini
immense, transformé en une fraction infinitésimale de Temps..
semblant lui durer une Eternité, projeté en une boucle revenant
sans cesse à son point de départ, telle une minuscule particule
contenant en elle seule l’Univers tout entier, sans limites, car
infini..
Les mégalithes ont toujours fasciné
les hommes
Face à ces géants, ces blocs de
dizaines de tonnes, masses minérales profondément plongés dans
le sol, émergeant de la Nuit des Temps, l’individu, avec
humilité, prend conscience de la faiblesse de son espèce..
Il doute que des ancêtres inconnus,
malgré une vigueur légendaire, aient pu lever, transporter et
assembler de tels monstres.. Mais rationnel, rejetant l’étrange
et le surnaturel.. ne comprend pas mieux comment des ancêtres
inconnus, guère plus forts que lui aient pu, en leur temps,
effectuer un tel travail herculéen..
Comment ces pierres gigantesques
sont-elles arrivées là.. et plantées très souvent fort loin de
leurs lieux d’extraction..
De savantes hypothèses ont été
scientifiquement formulées, mais, à la réflexion, beaucoup
semblent bien fragiles !
Alors, derrière et en deçà des
Légendes et Contes de notre enfance, ne se cacherait-il pas
l’ombre d’une Vérité originelle.. et très pertinente
?
Toute une mythologie confuse est
toujours associée à la présence de ces pierres.. Un mythologie
de tradition orale, souvent superstitieuse, de mythes transmis à
travers les âges par des récits légendaires..
Les landes désertes et sauvages, les
rivières et les lacs perdus dans la brume des petits matins,
encore frémissant de leurs séjours dans la nuit mystérieuse
et magique, ne sont-ils pas les Lieux de prédilection
où se retrouve et s’ébat tout un petit peuple étrange et
puissant.. invisible au commun des mortels.
Les forêts profondes, serrées aux
flancs de montagnes sévères, souvent inaccessibles et d’où émergent
les ruines d’un château d’un autre Temps, ne sont-elles pas,
elles aussi, le territoire de mystérieux nains et farfadets aux
pouvoirs sans limites..
Ne sourions pas : De nos jours, sont
encore nombreux les coins du terroir où se murmure encore à voix
basse que l’on peut y rencontrer certaines nuits, au détour
d’un chemin creux, sous la futaie ou près d’une source, au
confins de la lande sauvage, l’un de ces êtres mystérieux et,
pour les éviter, qu’il est préférable de faire un large détour
!
Beaucoup de menhirs, dolmens, allées
couvertes, cromlechs ou ensembles de pierres plantées, sont
associés à la présence occulte de ces êtres invisibles aux
dons surnaturels.. sans oublier certains assemblés ou érigés
par Messire le Diable en personne.. La tradition populaire
affirmant que ses travaux ne pouvaient être menés à bien
qu’en une nuit sans lune.. oeuvres devant être impérativement
achevées avant le premier chant du coq..
De leur coté, les Fées avaient tous
pouvoirs sur les destinées des humains.. Elles occupent une place
prépondérante dans nombre de tenaces Légendes.. De là à ce
qu’elles soient associées à l’érection de nombreuses
pierres, rien de bien extraordinaire ! Il y a toujours une
Pierre de la Fée dans quelque coin de la plupart des cantons de
nos campagnes..
D’ailleurs chacun sait que ces doctes
Dames ont toujours eu le coup de baguette.. magique ! !
Pour elles ce n’était que jeu
d’enfant que de déplacer sur des dizaines de lieues ces énormes
blocs de pierre.. et de les assembler d’un coup de leurs
quenouilles, d’où fusaient des flots d’étincelles magiques..
Il n’est que de parcourir les terres
de France, d’Irlande, de Germanie, de Grande-Bretagne et des
Pays Nordiques.. et de bien d’autres contrées, pour y dénombrer
les mégalithes associés aux Fées, Nains ou Géants de toutes
origines..
Parfois le Loup se trouve attribué le
parrainage de certaines de ces Pierres, généralement plus
petites et assemblées sur un même emplacement, surtout dans le
Nord de la France..
Un point est très remarquable : La naïveté
populaire, prompte à interpréter le rôle d’êtres surnaturels
à travers les récits, est susceptible de fournir au chercheur
d’intéressantes et fort précieuses informations, très
pragmatiques et bien rationnelles..
Si ces êtres de Légendes
avaient eu, à l’origine des faits réels, une autre apparence
et que, si les quenouilles de ces braves dames mythiques
avaient eu une autre dénomination que celle que la tradition
orale contemporaine a pu attribuer à un instrument nous étant
inconnu.. nous n’en serions que fort peu surpris !
A ces Pierres de nombreuses et diverses
superstitions sont attachées. Beaucoup procureraient guérisons
et autres divers bienfaits.
Prés d’autres se dérouleraient, de
nos jours encore, quelques pratiques moins innocentes et pas très
avouables !
Il est vrai que partout, la
superstition a remplacé la connaissance de faits bien réels..
basées sur des applications des Lois Universelles de Sciences
bien connues d'hommes d'il y a oh combien de millénaires..
mais devenues incompréhensibles aux générations contemporaines
ayant succédé à celles de très anciennes civilisations
disparues et oubliées..
Ajoutons pour la beauté du récit,
quelques menhirs fantasques qui auraient la faculté de se
promener à la mi-nuit de la Saint-Jean ou la nuit de Noël. Au
pays de Galles,en Grande-Bretagne, un menhir aurait la fantaisie
une fois l’an d’aller boire à la rivière toute proche. Mais
malheur au curieux qui voudrait surprendre cette « promenade »
!!
Sans oublier une pierre, que tout un
chacun peut voir sur la place de la Mairie du village de
Gauchain-le-Gal, dans le Pas de Calais, village que traverse la
Route Départementale 341, à env.20 km d’Arras,voie menant à
Houdain et Bruay-en-Artois (Carte Topographique IGN
No.2).Cette pierre, que les habitants du lieu ont enchaînée à
un bloc de béton, enterré dans le sol, entourée d’une
grille.. venait très souvent, bien après le coucher du soleil,
cogner violemment à la porte des maris infidèles ! Depuis que
cette pierre de grès sphérique d’une quarantaine de centimètres
de diamètre est ainsi attachée.. les volages autochtones mâles
du village dorment en paix.. et leurs épouses aussi !
Nombreux sont les sites mégalithiques
qui, de nos jours, sont l’objet ou le support de dévotions, de
pratiques cultuelles, surtout druidiques, rattachées à la
Culture celte et à l’adoration du soleil.
Les ancien initiés celtes, ayant
conservé grâce à une parcelle de très anciennes traditions
orales, perpétuant ainsi une petie partie des connaissances
ancestrales de certaines Lois Universelles, bien que pouvant ne
pas être systématiquement les planteurs de menhirs, les bâtisseurs
des dolmens ou d’autres assemblages de pierres, tels les
cromlechs, en connaissaient les propriétés énergétiques
vibratoires : Ils les utilisaient à leur profit et à celui des
populations locales..
Certaines « dévotions superstitieuses
», mêlées à une crainte salutaire du lieu, ayant pris le
relais des Connaissances originelles oubliées ou perdues, ont
parfois évité les destructions de ces merveilleux témoins du
passé, ordonnées par d’aveugles fanatiques religieux du début
du christianisme.
Des recherches récentes prouvent que
ces ensembles gigantesques ont été érigés par des ancêtres
inconnus, probablement contemporains de Civilisations oubliées et
ayant agi en ces temps reculés dans des buts bien précis :
Mettre au service des Hommes les bienfaits d’une Science, très
éloignée des connaissance et technologies actuelles.
Car, n’oublions pas que les Légendes
et Contes merveilleux de notre enfance sont la transcription de très
anciennes traditions orales, déformées au fil des âges, mais
ayant puisé à une Source bien rationnelle.. restant à redécouvrir..
A part les mégalithes, sont éparses
à travers le Monde des constructions monumentales, dont les bâtisseurs
se sont inspirés des mêmes critères qui avaient guidé leurs prédécesseurs
ayant érigé ou assemblé les Pierres levées.
Ces assemblages sont plus complexes,
plus sophistiqués dirions-nous à présent : Ce sont les
Pyramides, les Temples et les Murs cyclopéens..
Outre l’affectation de tombeaux ayant
généralement été attribuée systématiquement à tout
l’ensemble de ces constructions, certaines n’ayant jamais eu
une destination funéraire, les Pyramides sont des Instruments géants
: Des capteurs de radiations cosmiques, des condenseurs et des
diffuseurs d’Energies...Dont les buts et finalités nous échappent
encore ..
Nous sommes encore loin d’en soupçonner
toutes les applications : Celles utilisées par nos très
lointains Ancêtres.. Les chercheurs avertis ont été fort
surpris que certaines fresques des Temples des époques
pharaoniques les plus reculées, révèlent la Connaissance
qu’avaient les Grands Initiés égyptiens de la génétique, de
la science de la médecine, de la chirurgie la plus fine, de l'astro-physique
et des mathématiques cosmiques.
Ils ne disposaient pas plus que nous de
la science infuse.. Mais il est plus rationnel de penser qu’ils
aient bénéficié d’une longue chaîne de Connaissances leur
venant d’un certain passé..
Parmi les constructions mégalithiques,
l’on ne peut pas ne pas citer les murs cyclopéens lesquels,
tout en présentant un caractère de protection physique, ont eu
avant tout la faculté de provoquer une concentration d’Energies,
renforçant les Forces Telluriques.. dont bénéficiaient les
occupants des lieux, abrités derrière leurs enceintes.
Car, tout comme les Pyramides et les
Temples, les Murs, outre leurs positions cosmiques, ont également
été assemblés sur des emplacements bien précis : Des points
d’émergence du Géon, ces faisceaux d’Energies venant des
profondeurs de notre Terre.
Par le suite, bien plus tard et plus
proches de nous dans le Temps des hommes, la plupart des
Temples ont été érigés à des fins religieuses ou votives,
pour honorer telle divinité dont on voulait s’attirer les
bonnes grâces et la protection. Les participants aux cérémonies
s’y déroulant étaient persuadés que plus le Temple était
beau et harmonieux de Formes et de Proportions,
que si le rituel était somptueux .. plus larges seraient les
bienfaits dispensés !
Il se dégage de chacune de ces
Pierres, solitaires ou assemblées, de ces constructions plus ou
moins élaborées, tout un rayonnement, permettant aux officiants
réunis sur ces emplacements, d’obtenir la formation d’Egrégores,
de Vortex énergétiques, engendrant différant phénomènes
naturels.. agissant sur le psychisme, le mental, l’Esprit et,
aussi, sur le physique des fidèles assemblés là à certaines époques
soigneusement déterminées..
Sur certains de ces emplacements des «
miracles » pouvaient s’y produire : Hallucinations collectives,
apparitions d’êtres étranges mythiques ou aussi guérisons «
miraculeuses ».. Conjonction logique et bien rationnelle des
Forces manipulées ou savamment maîtrisées.. que l’ignorante
superstition populaire attribuait à la Déité ou au Saint Patron
du lieu.. auquel la Pierre, l’Assemblage, le Temple, l’Eglise
ou plus modestement la Chapelle Votive était consacré.
Pourquoi cet amalgame entre les Pierres
levées et les assemblages mégalithiques et toute la gamme des
Cathédrales, des vieilles Eglises et Chapelles de campagne, ayant
été toujours construites sur des emplacements d’anciens
Temples païens ou de dolmens parfois encore enfouis dans le sous
sol ou sous leurs cryptes ?
Car, tout simplement, le but en était
le même : CAPTER et UTILISER les RADIATIONS TELLURIQUES,
MAGNETIQUES, RADIO-ACTIVES et d’autres non encore recensées,
S’ECHAPPANT A LA VERTICALE DE CES "HAUTS-LIEUX SACRES", par
ces sortes de « cheminées » invisibles...
Mais, pour capter et
pouvoir utiliser ces radiations, certains autres Paramètres
doivent y être harmonieusement et très judicieusement
réunis, afin d’engendrer une Symbiose énergétique particulièrement
active..
Pour les Pierres et Ensembles Mégalithiques,
trois facteurs doivent s’associer :
1. La FORME DE RADIATION,
se dégageant sur le lieu ou dans un proche périmètre.
2. L’EPOQUE ou la DATE
déterminant
le Flux vertical de tel ou tel Rayonnement et,
3. PRODUIRE UN VORTEX
VIBRATOIRE SONORE : La Voix humaine, modulée : Chants
oraisons psalmodiées, toutes formes de Prières,
Incantations ou Mantras ou, encore, à l’aide de
vibrations sonores produites par des instruments à vent, à
cordes ou à percussion.
.A l’intérieur des enceintes bâties
et érigées sur de Hauts-Lieux Sacrés : Temples, Cathédrales, Églises, Chapelles et autres
Édifices consacrés, les Maîtres
Batisseurs -Grands Initiés dans l’Art du Trait - ont toujours prévu
une Architecture rigoureusement Harmonieuse si parfaite, que les
PROPORTIONS DES VOLUMES ACTIVENT des ONDES DE FORMES,
Énergies
Statiques agissant sur les molécules constituantes de certaines
Pierres granitiques, judicieusement réparties dans l’Ensemble,
venant amplifier et focaliser les Radiations verticales naturelles
telluriques du Lieu..
Dans le 1° cas - les
Pierres et Ensembles Mégalithiques : Le but est de produire une
« Vibration unique » en mettant en parfaite symbiose, par une
seule émission harmonique, un flux de radiation et une vibration
sonore humaine et/ou instrumentale.
Dans le 2° cas : A
l’intérieur des enceintes bâties et érigées sur de
Hauts-Lieux Sacrés : La symbiose d’une « Vibration Unique »
est plus subtile à générer :
Les mêmes flux telluriques émis épisodiquement
sous l’édifice considéré, se combinent avec des
rayonnements d’ONDES DE FORMES. Impossibles à étalonner
scientifiquement faute de disposer d’appareils de mesures..
restant à inventer, car générées entr’autres par les
proportions des volumes, dont les énergies peuvent être tout
autant bénéfiques que nocives, ces deux paramètres faisant agir
les vibrations moléculaires spécifiques du granit. A l’heure
actuelle, seul étalonnage aléatoire possible et efficace.. mais
non reconnu par la science de nos écoles, reste la radiesthésie
pendulaire.
Quelles Connaissances devaient posséder
les « Officiants Initiés » pour mettre en jeu une telle
symbiose énergétique, savoir comment l’utiliser.. avec
infiniment de Sagesse.. et ne pas jouer aux apprentis sorciers..
Notre structure mentale, imprégnée
et entièrement conditionnée par un enseignement basé
exclusivement sur les sciences humaines, ne permet que très
difficilement d’assimiler certains aspects de Lois Universelles,
déterminant les Ondes de Formes, les Ondes Nocives et encore bien
d’autres " rayonnements" pour lesquels les instruments de
mesures n’existent pas encore ( Au Moyen-Âge un Ohmètre, un
Voltmètre et même un vulgaire Métrix que l’on trouve dans les
rayons de chaque supermarché.. n’aurait servi à rien : La Fée
électricité était encore inconnue.. Alors ?)
Maintenant il s’agit
de répondre à une très pertinente question :
Sur quels éléments
peut-on fonder de telles affirmations ?
Ces réponses ne sont pas le fruit
d’une imagination particulièrement fertile !! Non, il ne
s’agit que du résultat de longues et patientes recherches, au
demeurant très passionnantes :
Un certain jour, au hasard d’une
promenade, je me suis trouvé face à un menhir, planté là au
beau milieu d’une lande bretonne. C’était ma première
rencontre avec un mégalithe.. Depuis je n’ai eu cesse de
comprendre pourquoi cette énorme pierre se trouvait ainsi, fichée
en terre, dans un coin aussi éloigné de toute présence et
habitation humaine.. Depuis ce jour d’été, durant plusieurs
années j’ai effectué de nombreuses recherches sur les pierres
levées et les ensembles mégalithiques, ce afin de comprendre
POURQUOI ces pierres étaient là.. A quoi elles avaient
bien pu servir dans le lointain passé des hommes.. Puisque
personne, parmi mes contemporains, n’avait été - à mes sens -
capable de proposer une explication ou une hypothèse qui tienne
debout, encore moins la lecture de toutes les sornettes étalées
dans les revues, dites scientifiques ou trouvées dans les livres
écrits par des esprits forts et, ainsi qu’on le prétend,
faisant autorité en la matière :
Cela allait de sites funéraires, aux
rituels de sacrifices humains les plus grand-guignolesques où se
trouvaient parfois aussi mêlées de bien curieuses - et pour
certains lecteurs - de très alléchantes et croustillantes cérémonies
à caractère sexuellement dépravées...
Sans me préoccuper de savoir par qui
et comment ces pierres avaient été implantées, laissant de côté
cette question, laquelle sans doute trouverait plus tard sa réponse,
peut-être après avoir trouvé celle à ce que je pensais être
primordial dans la chronologie de ma recherche.. je commençais un
long périple au hasard de déplacements professionnels et de congés
mis ainsi utilement à profit..
Ces recherches n’avaient pas pour
objet de dresser un inventaire géographique des lieux mégalithiques.
Ceux-ci sont disponibles un peu partout dans chaque région de
France édités à la très louable initiative de quelques passionnés
ou par des promoteurs du tourisme local.
Par contre, en Grande-Bretagne, il
existe de très sérieux ouvrages , chacun étant un inventaire
complet et thématique, rigoureux et fort bien documenté sur tous
les sites, y compris un de ceux-ci y ajoutant la description des
ruines et traces de l’occupation de la fière Albion par les
romains..
De mon menhir solitaire en Bretagne
pour, plusieurs années plus tard, avoir terminé mon périple
européen sur le site de la très curieuse pierre plantée de
SOUILLAC, dans le Lot, prés de la Dordogne.. de patientes
recherches sur le terrain, épluchant pas mal de vieux écrits, de
savoureuses traditions locales, d’anciennes cartes et
d’archives paroissiales, m’ont amenés par épisodes
successifs à visiter de nombreuses implantations mégalithiques répertoriées..
ou aussi à en chercher intuitivement d’autres, hors des chemins
habituels.
Au début, en marquant les différents
sites de même dénomination sur les cartes IGN, de curieuses
formations géométriques apparaissaient en reliant certains
emplacements à d’autres, particulièrement ceux ayant la même
relation toponymique, par exemple, le Loup, telle ou telle Fée,
le Diable et d’autres..
C’était soit une longue ligne de
plusieurs centaines de kilomètres, ailleurs un triangle
parfaitement isocèle, ou encore deux points.. dont un troisième
encore inconnu, révélait en utilisant le compas par la bonne
vieille et tellement efficace méthode de la triangulation, révélait
l’emplacement d’une pierre parfois bien cachée dans les
broussailles ou une autre perdue au milieux d’un vieux marais..
dont on avait depuis fort longtemps oublié l’existence..
Cela confortait l’hypothèse d’une
intelligente relation dans l’implantation de ces mégalithes..
mais il manquait encore un maillon essentiel pour obtenir le
premier élément de réponse exploitable...
En Octobre 1982, dans le quotidien
Nice-Matin, paraissait sur quelques lignes une information par
laquelle, sous le nom de «Projet Dragon», une équipe de
scientifiques avait découvert que des émissions anormales
d’ultrasons et de radiations d’intensités irrégulières et
épisodiques en provenance du sous-sol étaient enregistrées à
proximité et sur des sites mégalithiques en Grande-Bretagne !
Mais pourquoi "Projet Dragon
" ? : Pour
ceux ayant abordé le problème des radiations et autres
manifestations telluriques, il n’est un mystère pour
personne que le Dragon est la Bête Mythique par excellence, adoptée
depuis des millénaires par certains peuples d’Extrême-Orient,
comme le Symbole allégorique du tellurisme, en tout ce qu’il
comporte d’aspects visibles et invisibles.. et transposées par
certaines croyances religieuses durablement et solidement enracinées
: N’en citons qu’une (et pas par hasard) celle de l’Archange
Saint-Michel terrassant le Dragon !
Les chinois, par exemple, depuis des
millénaires, ne construisent rien, ne prévoient aucune
implantation de quelque nature que ce soit sans, en tout
premier chef, se préoccuper de l’environnement du sous-sol et
de la qualité des radiations émises afin de déterminer au préalable
la propriété bénéfique ou nocive de ces manifestations très
subtiles.. que nous, occidentaux, négligeons dans la plus
totale indifférence et avec tout le mépris que nos structures
mentales formulent à l’égard de ce qui n’est pas
scientifiquement et positivement révélé..
Il ne fallait donc pas plus que
quelques lignes lues dans la Presse pour repartir en quête
d’autres morceaux du puzzle, après avoir localisé certains
participants à ce programme de recherches..
J’ai obtenu assez rapidement
d’avoir accès aux résultats matérialisés par des bandes de
papier d’ enregistrement d’appareils de mesures "bidouillés" par des ingénieurs électroniciens de cette équipe.
Pour gagner un temps précieux - Ces
recherches étant effectuées en dehors de leurs activités
professionnelles propres durant les week-end et y sacrifiant tous
leurs congés et quelque soient les conditions météo - ils
se faisaient ‘aider’ par un dénommé Tom
Grave, radiesthésiste
notoire, lequel leur indiquait à l’avance, sur cartes, les
lieux où, suivant les époques, ils devaient aller enregistrer
tel ou tel type de radiation !
Étaient utilisés des compteurs Geiger,
des détecteurs d’ultrasons et des magnétomètres couramment
utilisés en géologie. Tous ces appareils bricolés et modifiés
pour pouvoir, sur place et dans toutes conditions, enregistrer sur
bandes papier les détections relevées..
En résumant le plus brièvement
possible la synthèse de toutes ces investigations de
plusieurs années d’un patient travail de fourmi , il a été
constaté, à la lecture de tous les enregistrements systématiques
effectués à différentes époques de l’année, que les
impulsions d’ultrasons atteignaient un maximum
d’intensité et de durée lors des ÉQUINOXES, et, ce à proximité
de très nombreuses pierres plantées.. et pratiquement nulles aux
SOLSTICES !
· Sur les mêmes lieux, par
contre les émissions du magnétisme montant du sous-sol décuplaient
d’intensité durant les SOLSTICES.
· En parallèle, à des
distances variables des pierres, et suivant les sites, autour de
nombreux mégalithes et à certaines périodes irrégulières de
l’année, s’élevant en une sorte de couronne invisible,
cylindre vertical de radiations actives, le compteur Geiger
enregistrait UN MAXIMUM D’INTENSITÉ et par contre, en même
temps, au centre du cercle formé par le menhir, le dolmen
ou l’assemblage mégalithique, les radiations étaient
pratiquement nulles .. et que, durant ce même temps , le CENTRE
DU CERCLE ÉMETTAIT DAVANTAGE D’ULTRASONS,
que pendant les
‘périodes de repos’ !
Pour la petite histoire, il est
assez curieux de savoir que le "Projet Dragon"
est né d’un
rapport, exhumé par hasard par un des scientifiques du futur
projet Dragon des Archives du Ministère de l’Agriculture
britannique, rédigé au siècle dernier par un inspecteur
agricole régional, informant les fonctionnaires du Gouvernement
de sa Très Gracieuse Majesté que des bergers se plaignaient que
les vaches et les moutons refusaient systématiquement d’aller
brouter l’herbe qui constituait - à cette époque bénie des
consommateurs - leur seule et unique nourriture, à certaines période
de l’année, autour des sites où ‘étaient plantées des
pierres’ et exigeaient de savoir pourquoi et ce qu’il fallait
faire... (A comprendre que, vu où ce ‘document’ a été trouvé..
les descendants des bergers attendent toujours la réponse !!)
Tous ces phénomènes, en
apparence inexplicables, renforcent la théorie suivant laquelle
nos très lointains ancêtres inconnus - que nos livres
d’histoire décrivent toujours comme des êtres simiesques et
hirsutes, galopant derrière du gibier en brandissant
d’impressionnants gourdins - étaient capables, non seulement de
détecter une Force que l’on peut nommer ‘Energie Terrestre’
et d’ériger en ces points des pierres isolées ou assemblées..
ce suivant une finalité ou un usage dont eux seuls connaissaient
le mode d’emploi...
Ceci exposé, d’autres questions précises
restent encore sans réponse : Qui étaient ces lointains
ancêtres ? Ils étaient assurément contemporains d’une
civilisation géographiquement très étendue.. dont évidemment
ne subsiste aucun souvenir dans la mémoire de nos contemporains.
Des hommes ayant érigé un peu partout dans le Monde des mégalithes
sous formes de menhirs, cromlechs, dolmens, allées couvertes, et
autres cairns..
Comment beaucoup de ces mégalithes,
pierres de plusieurs tonnes, certaines de dizaines de tonnes,
ont-elles été acheminées de leurs sites d’extraction, parfois
sur de grandes distances vers leurs sites d’érection ?
Transportées à travers monts et vallées
escarpées, passant des cours d’eau, des marécages et, même
pour quelques-unes, sur mer ou océan telles, par exemple le site
de Nan-Madol de l’île de
Ponape (Pohn-ah-pay), à 6°.58
Nord et 158°.13 Est, en plein pacifique, archipel des Carolines,
mégalithes assemblés en forme d’énormes murs de plus de 12 m.
de haut et de 5 m.50 d’épaisseur et tirés au cordeau, constitués
de gigantesques pierres d’un peu plus de 10 m. de long..
n’existant pas à l’origine sur cette île de Ponape !
Elles proviendraient d’un îlot situé
à une cinquantaine de miles à l’Ouest. Mais ceci reste un mystère
pour tous les chercheurs.. Quelles finalités primordiales
d’utilisation pouvaient justifier de telles entreprises,
exigeant une aussi colossale dépense d’énergie humaine, sur
une île minuscule perdue en plein Pacifique.. ( Nous
pensons toujours que les hommes de ces époques utilisaient des
foules de travailleurs ou d'esclaves se tuant à la tâche..) mais
rassurez-vous ! Ils n'étaient pas idiots.. mais savaient utiliser
utiliser d'autres technologies..
Qui peut répondre ? Les dossiers
restent ouverts aux hommes de bonne volonté.. et particulièrement
à ceux osant défier la raison, en n’hésitant pas parfois à
utiliser d’autres méthodes et moyens d’investigation que la
science traditionnelle s’entête à ignorer.. Les
"messages" que certains médiums dignes de foi ont
"reçus" le confirment.. mais bien évidemment si vous
pensez que tout ceci n'est que de l'affabulation née d'un esprit
fertile.. tout juste bon à écrire des romans de fiction..
n'allez pas plus loin dans cette lecture.. allez à la pêche.. ou
faire tout autre chose et laissez les véritables chercheurs, dont
certains sont ou ont été des sommités scientifiques, continuer
un travail pragmatique et rigoureusement rationnel
Jean A n n e
et maintenant
pour information, ci-après deux synthèse de fiches de travail...
1. Synthèse #
1. Fiche de Travail Septembre 1986
Recherche : Sur Ligne de Force partant
du S.W. de l’Angleterre
Point sur le terrain : situé en latit.
51.1 N. - long.4.55 W vers Nord de la France (Pont
d’intersection côtier en 50.35 N. et 1.38 E, se prolongeant
au-delà suivant une inclinaison régulière et constante de 25°
sud, vers l’Est.
Coïncidences :
Mégalithes - Lieux-dits associés ‘au Diable’ et ‘au
Loup’
Références
topographiques : Cartes topographiques IGN au
100.000° série verte
No. 1 = Abbeville-Calais,
No.2 = Lille-Dunkerque. No. 4 = Laon-Arras
Carte Michelin - France 999 - au
1.000.000°
Ouvrages de références
: Prehistorics leys in England & Wales -
The secret country (More mysterious Britain) de J.& C.Bord
-Ed.Granada GB - Leys Lines (their nature & porperties) de
J.H. Fidler -Ed..Turnstone Press Ltd.-
Exposé
La ligne se trace en partant d’un
point situé à 8 miles au N.E. de Pembroke, localité de l’extrème
S.W. de la Nlle Galles du Sud (Grande Bretagne) au lieu-dit ‘the
Devil’Quoit’ se traduisant par le ‘Palet du Diable’ (une
pierre plate), pour aboutir au ‘Devil’s Dyke’ (la muraille
du Diable) un assemblage de pierres mégalithiques situé à env.
5 miles au N. de Brighton, ville balnéaire du Sussex, ligne
passant au dessus du site de la fameuse bataille de Hasting à
l’extrème S-E. du conté de Kent, avant de franchir la côte de
la Manche en ligne droite vers un point un peu au N. d’Etaples,
sur la baie de la Canche et au S. de Boulogne sur Mer,
passant à la verticale du Mont de l’Epine et à quelques kilomètres
de là, toujours en ligne droite vers l’Est, à l’intersection
de RN 1, au lieu dit ‘La Malmaison’ (Maison du Mal ou du
Malin) se trouve le ‘Cabaret à Leu’ (Le cabaret au
Loup). Toujours sur la même ligne et dans la même direction
(suivant toujours l’angle de 25° S.E.) et à 27 km. les deux
menhirs d’Asq, lesquels sont en alignement parfait latéral
N.E., et, sur une perpendiculaire à 90° et à 3 km. se
situent les ruines de l’Abbaye du Mont-St-Eloi. Haut lieu chargé
de magnétisme et aux émissions telluriques
puissantes et sporadiques. Placé au milieu des ruines, tout
individu normal ayant la chance de pouvoir s’en faire ouvrir
l’enclos y ressent ‘un agréable confort’ et une détente
physique et mentale.
Puis, plus loin toujours en descendant
la ligne suivie depuis la côte et à 6 km, l’on rencontre le
dolmen de Frénicourt et à 2 km au S.O., sur la place du
village de Gauchain-le-Gal une pierre sphérique d’env. 40 cm de
diamètre, pierre enchaînée par les habitants du lieu : Elle ne
laissait pas dormir en paix les maris infidèles. Et plus loin, à
23 km du couple de menhirs d’Asq, au lieu-dit ‘Le Trou aux
Loups’ se trouvent, formant un cercle parfait de 7 m. de diamètre,
5 bonnettes de pierres taillées de 1 m.60 de hauteur, semblant
attendre le plateau qui devait se trouver posé sur des encoches
taillées de 30 cm. de haut et de 20 cm d’évidement, sur la
face interne supérieure de chaque bonnette. D’après la
disposition des 5 pierres fichées en terre, à l’origine il
devait y avoir 7 pierres. Une sixième est déterrée, posée sur
le sol, à moitié recouverte par les herbes à quelques mètres
de là. La 7° est introuvable. Ce site se localise près
du village de Camblain-l’Abbé.. à trois cents mètres au N. de
l’autoroute A1.
A 3 km.5 toujours sur cette ligne, le
dolmen du village de L’Ecluse. Ce mégalithe
est situé à la pointe N. d’un triangle
isocèle de 3 km. d’apothème. A l’angle
Est, se trouve le menhir du village de Hamel et, à la
pointe Ouest, nous avons retrouvé par triangulation
sur carte et par rapport aux deux
premiers, en plein dans le marais d’Ecourt-Saint-Quentin, sur
une petite langue de terre et au milieu des broussailles, un 3°
menhir sans nom, d’environ 2 m. de haut, hors du sol.
Et, continuant d’avancer vers le
S.E., à 28 km.5 la ‘Fontaine au Tertre’, dont
l’emplacement n’est mentionné que sur d’anciennes
cartes, à l’emplacement d’une carrière, était fort
connue dans le passé pour ses ‘bienfaits’. Ce lieu est
localisé à 2 km. au S.O. de la célèbre Abbaye de Solesmes..
Ensuite cette ligne que nous avons suivie depuis la pierre plate
‘Le Palet du Diable’ à Pembroke, en Grande-Bretagne, se
prolonge au travers de la forêt de Mortmal (une toponymie
à souligner) pour aller continuer vers la Belgique et sans doute
bien plus loin, mais nos investigations se sont arrêtées là.
Jean
A n n e
Septembre
1986
Synthèse # 2. Fiche
de Travail Août 1994
Etude Géologique :
Associée à la présence des mégalithes et des Lieux légendaires
ou mythiques, matérialisés sur une Ligne de Forces partant de
l’extrême S.E de la Cornouaille britannique, jusqu'à la
Forêt de Mortmal et au-delà, passant la Manche séparant
le Iles Britanniques du continent Nord-Européen.
La Manche ou le Channel (le canal), ce
bras de mer est le résultat d’une subsidence née de la
distension du Bloc Continental européen : Un bâillement océanique
similaire à celui ayant ouvert le Golfe de Gascogne.
Pour la Manche, un phénomène ‘de
ciseau’ qui, s’ouvrant progressivement, présente actuellement
les deux pointes ouvertes dirigées vers l’Ouest avec, au N. le
Cap Lizard en Cornouailles du Sud et, au S. la pointe N. de la
Bretagne dont l’extrémité Ouest est l’Île de Ouessant.
L’ouverture de ce ‘ciseau’ débute
dés le Primo-Trias, il y aurait 100 millions d’années, pour
progressivement terminer ce lent mouvement de mâchoires
probablement à la fin du Tertiaire ou plus certainement à la fin
du Primo-Quaternaire.
La formation de l’angle
oriental est beaucoup plus récente : Le Détroit du
Pas-de-Calais s’est ouvert en une faille calcaire, dont
les deux falaises, celles de Douvres en Grande-Bretagne au Nord et
celles du Cap-Gris-Nez en France au Sud (celles de Douvres bien
visibles à l’œil nu du Cap-Gris-Nez) n’étant distantes que
d'environ 30 km., après la dernière glaciation , ce sous
la poussée des eaux contenues en amont en un immense lac
proglaciaire occupant actuellement l’emplacement actuel de la
Mer du Nord et de la Mer Baltique et, conjointement, l’afflux
des eaux d’un gigantesque ruissellement venant de l’Europe du
Nord et, également d’une grosse partie de la Calotte Glaciaire
: Enorme flux s’écoulant le long des côtes bordant
l’actuelle Mer de Norvège. D’où la présence de vallées
alluvionnaires, chenaux anastomosés (parallèles) formant le sol
de ce canal marin.
Combien de temps a-t-il fallu pour que
s’ouvre ce ‘couloir’ du Pas de Calais : La réponse reste à
trouver.
Le plus étonnant est la présence
de deux phénomènes géologiques sous-marins:
· Le premier, une faille
sous-marine descendant vers l’Ouest, coupant le Canal suivant un
axe incliné de 25 ° partant en face de Brighton, dans le Sussex,
pour aboutir devant Etaples, à l’embouchure de la Vallée de la
Canche (qui en serait, en toute logique, le prolongement
naturel) dans la Somme.
· Le second est un axe
anticlinal (partie convexe d’un pli géologique simple) parallèle
à quelques kilomètres au Nord de cette ‘Marche’, partant
loin de l’intérieur des terres de la campagne anglaise,
toujours suivant également une inclinaison de 25° pour,
passant par Hastings, traverser le détroit, à cet endroit large
de plus de 60 km., se prolongeant en une ligne droite au-delà
de la côte française, qu’elle coupe au Sud de
Boulogne-sur-Mer.
Conclusions
Il est à remarquer que cet axe
anticlinal géologique se confond avec la Ligne de Force, sur
laquelle se trouve tout le chapelet de Mégalithes et de
Lieux-Dits énumérés dans le texte ‘Le Mystère et le
Secret des Pierres’
Ceci étant une explication de cela..
Pourquoi ne pas ajouter également que dans
le Nord de la France, il existe depuis des millénaires une
‘Voie de Déplacement’ des populations successives, empruntée
aussi par des invasions de peuples et peuplades venant de l’Est
de l’Europe, Voie étonnante aux nombreuses Légendes et dont
certains tronçons, en particulier un partant d’Arras, passant
par le Mont-St-Eloi, sont encore visibles et utilisés comme route
départementale, rigoureusement rectiligne, nommée ‘La Chaussée
Brunehaut’.
Restent encore et toujours quelques
questions sans réponses, parmi lesquelles une très pertinente:
Il serait important de savoir
si les implantations mégalithiques sur toute la longueur continue
de cette Ligne, tant de la Grande-Bretagne que du Nord de la
France, pourraient être antérieures au ‘déverrouillage’
du Détroit du Pas de Calais, dans cette éventualité, il
pourraient logiquement s’en trouver des restes au fond de
la mer entre Etaples et Hastings,, sans doutes maintenant recouvertes
par les couches alluvionnaires.
Sinon, comment et par quels
moyens, en ces temps reculés, nos lointains Ancêtres
auraient-ils pu avoir connaissance de cet axe anticlinal géologique
et que ce dit axe est le support ou le vecteur d’une importante
Ligne de Forces tellurique dont il fallait canaliser et utiliser
les émissions radioactives, magnétiques et ultrasoniques par
l’implantation de mégalithes en les disposant et assemblant sur
les points d’émergence.
Il serait simple de comprendre
que si la ligne passait directement du Cap-Gris-Nez à Douvres,
les ‘planteurs de pierres’ voyaient de part et d’autre du
Canal les côtes respectives.. Mais que d’Etaples à Hastings
cela est impossible aux sens de la vision humaine (même avec de
très fortes jumelles !)..
A moins, peut-être, de s’élever
assez haut dans le ciel ?.
En postulant pour cette
d’hypothèse.. nous rejoignons les Pistes de Nazca au Pérou..(*)

Tout point d’interrogation est
la terminaison classique d’un travail de recherche.. jamais
terminé et à suivre en attendant d’autres futures découvertes
ou révélations de connaissances détenues par d’autre
chercheurs..
************************************************
(*) Avant de
clore la reprise de ce travail, de le mettre en forme aux normes
informatiques, je voudrais ajouter que beaucoup d'énigmes , pour
moi et une équipe de chercheurs complices de mes travaux de
recherches, ont trouvé des réponses cohérentes.
CONCLUSION
en forme de Thèse, Hypothése... ou Synthése
Car il ne m'est plus
possible d'ignorer qu'il y a plusieurs dizaines de millénaires,
des civilisations humaines avaient à leur disposition les moyens
matériels et toute une panoplie de technologies pouvant faire évoluer
des "véhicules" sur terre, sur et sous les eaux des océans..
et dans le ciel. (Lire les autres travaux de recherches: AKALAL,
Eux, Nous et Ailleurs.., l'Article que j'ai mis sur le Web début
Déc.2001 après la disparition d'un de mes Amis, le pére STEVE,
sommité de l'Archéologie dont les révélations qu'ils m'a confiées
en 1985, à l'issue d'un peu plus de de deux années de travail en
commun sont incontestables.. m'ayant permis de continuer avec
obstination, humilité et acharnement un long travail de plusieurs
années de recherches, à l'issue desquelles, je me permet de
dire, que les Ovnis ne m'étonnent plus.
même
ceux observés au cours du XX° siécle et encore maintenant en ce
début du 3° millénaire (dont certains étant de ceux issus de
la génération des armes secrètes du III° Reich par ex. et,
sans doute, s'envolant de Bases aussi secrètes .. et toujours
restées en place .)

pas plus que
pourquoi
il est impossible de trouver dans aucune bibliothèque une
ligne publiée par l'Amiral Byrd sur ses "Étranges découvertes"
aux Pôles,
pas plus que les
pistes de Nazca lesquelles ont, pour moi, trouvé un embryon de réponse
cohérente,
sans oublier
les
fameuses Cartes de Piri-Reis copiées il y a quelques
siècles
d'après des documents cartographiques dressés en leurs temps par
des civilisations dont nous avons perdu la trace

et combien d'autres
choses encore qui ne me reviennent pas à l'esprit au moment où je
termine ce travail
... Mais on ne peut pas parler de tout le
même jour !!
Jean ANNE
ce 07 Janvier 2002
Article mis en page le
23/01/02, et revu le 14/04/05, et revu le 17/06/08.
Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr
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