Quatre bonnes raisons pour refuser les fouilles


Alexandre von Humbolt : " D’abord, ils nieront la chose. Ensuite, ils la minimiseront.
Enfin, ils diront
que cela se savait depuis longtemps. "

1) Les égyptologues officiels

     Les idées en place sont la garantie de leur situation. Ils la préservent à tout prix en condamnant tous ceux qui osent chambouler les règles établies. Ces derniers sont qualifiés avec un certain mépris de " pseudo-scientifiques ".

     A cette accusation, voici ce que répond John WEST, le trouble-fête des égyptologues : " Aucun géologue, astrophysicien ou biochimiste n'appellerait l'égyptologie une science. Il n'y a que les égyptologues pour oser l'affirmer. Or, si la science étudie ce qui peut être mesuré, reproduit et prédit, l'égyptologie est une discipline purement interprétative et se situe, par définition, largement hors de ces paramètres. Tout ce qu'on peut faire, c'est mesurer les monuments et proposer avec humilité des " lectures ", comme le fait, par exemple, René SCHWALLER DE LUBICZ " ( Source : Facteur X n° 88 ).

John WEST ( photo issue du site : Atlantis Rising )

Question de la revue Facteur X : Pourquoi vos constatations se sont heurtées à l'opposition de la communauté des égyptologues ?

Réponse de John WEST : " Nous parlons ici de thèses scientifiques qui sont fortement enracinées dans les modes de pensée. Ceux qui sont en place vont nous combattre car nous troublons l'ordre des choses, un ordre qui leur permet de bien gagner leur vie.

(Sources : Facteur X n° 1 )

     Il ajoute également ceci : les égyptologues orthodoxes " ont des idées très arrêtées sur l'évolution linéaire de la civilisation. Ils éprouvent de grandes difficultés à concevoir qu'il ait pu exister des hommes, il y a plus de douze mille ans, encore plus évolués que nous... Le Sphinx, les indices géologiques qui prouvent son ancienneté, et le fait que les moyens technologiques mis en oeuvre lors de sa construction soient à bien des égards au-delà de nos propres capacités, contredisent le dogme selon lequel l'évolution de la civilisation et de la technologie serait rectiligne... Parce que même avec la technologie moderne la plus perfectionnée, nous ne pourrions accomplir que le quart de ce que les égyptiens ont réalisé. La construction du Sphinx lui-même, il est vrai, n'a pas dû poser de problèmes insurmontables. 

     Par contre, le creusement de la fosse, la taille et le transport des pierres, et leur réutilisation pour la construction du Temple de la Vallée, représentent bien des exploits technologiques... Oui, il ne fait aucun doute que les blocs de 200 tonnes des murs de ce temple (voir photo ci-dessous) viennent bien de la fosse du Sphinx. Géologiquement, ils proviennent de la même couche rocheuse. Ils ont été taillés sur place, transportés jusqu'au site du temple - Dieu sait comment - puis soulevés et mis en place pour former des murs hauts de 12 mètres - à nouveau Dieu seul sait comment... Si on examine les blocs de calcaire, on constate qu'ils portent exactement les mêmes traces d'érosion par l'eau que celles que l'on peut voir sur le Sphinx. Ainsi, le Sphinx et la maçonnerie initiale du Temple de la Vallée auraient été érigés au même moment, par les mêmes hommes - quelle que soit leur identité "( source : L'Empreinte des Dieux - Graham HANCOCK - Editions PYGMALION ).

     Ci-dessus, l'architecture mégalithique du temple du Sphinx, avec en arrière-plan la silhouette du temple bas. De nombreux blocs utilisés dans la construction de ce dernier pèsent plus de 200 tonnes. Les ingénieurs contemporains sont incapables d'expliquer comment (et pourquoi) on a positionné des pièces aussi volumineuses. Aux Etats-Unis, seules deux grues "à contrepoids et à bras" sont en mesure de supporter des charges proches de 200 tonnes. Elles sont équipées d'un bras long de 60 mètres, à une extrémité duquel est fixé un contrepoids de 160 tonnes qui les empêche de basculer. Encore faut-il disposer d'un espace physique conséquent. Or la configuration du terrain telle qu'elle se présente sur le plateau de Giseh ne permet guère de liberté de manoeuvre. Un redoutable casse-tête qu'on retrouve dans la Grande Pyramide quand il a fallu soulever et placer au mm près des blocs de plus de 70 tonnes ( photo et commentaire tirés du livre suivant : Le Mystère du Grand Sphinx - Graham HANCOCK et Robert BAUVAL - Editions Du Rocher ).

2) Les autorités égyptiennes

     Par pur nationalisme, on veut continuer à faire croire que ce sont leurs ancêtres directs qui ont construit les monuments les plus impressionnants. Révéler au monde entier que les pyramides les plus récentes ne seraient que de pâles copies des premières pour imiter la " science des immigrés " constituerait une grave atteinte à leur fierté nationale. Pour Zahi HAWASS, directeur du site de Giseh , " le Sphinx est l'âme de l'Egypte. " Toute demande de campagne de fouille risquant de perturber la doctrine officielle se voit systématiquement refusée. L'épisode GANTENBRIK est assez symptômatique de cet état d'esprit. Par ailleurs, quand des travaux s'effectuent, soi-disant pour rénover telle pièce comme ce fut justement le cas dans la Grande Pyramide peu de temps après la découverte de GANTENBRIK, on constate qu'ils s'effectuent à huis-clos, sans que des personnes réellement indépendantes puissent vérifier exactement ce qui se passe à l'intérieur. Enfin, Zahi HAWASS, incontournable auprès des média, se charge souvent lui-même de dénigrer avec une certaine hargne tout élément contradictoire à la grande Egypte. Mais nous aurons un peu plus loin l'occasion de le retrouver sur un ton nettement moins vindicatif.

3) Les scientifiques

     A l'instar des égyptologues, on ne voudrait pas accréditer officiellement les fantastiques révélations d'Edgar CAYCE ( ainsi que celles d'autres voyants ou channels ) et remettre en question toutes nos connaissances scientifiques actuelles. Trop d'intérêts religieux, politiques et économiques seraient menacés. Le monde ne serait pas en mesure d'accepter un tel paradigme. Mais nos élites verraient surtout d'un très mauvais oeil le fait d'abandonner un certain confort matériel et intellectuel. 

4) Les services secrets américains

     Afin d'affirmer leur supériorité technologique, ces derniers veulent s'accaparer les fantastiques machines Atlantes comme celle qui permettrait de s'affranchir de la gravitation. D'après Anne GIVAUDAN dans son livre " Alliance " ( Editions SOIS - 2000 ), les derniers travaux de restauration auraient servi de paravent pour explorer le sous-sol à l'abri des regards. On aurait déjà ainsi découvert des statues et des galeries sous le Sphinx et sous la Grande Pyramide. Mais toutes ces informations seraient évidemment classifiées au plus haut niveau de sécurité pour le profit de cette seule nation.


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