de leur aventure, ont abandonné l'idée de s'installer dans la région. On les comprend parfaitement.
" Le village fantôme frappé par la peste semble avoir dans le passé une existence bien réelle.
- Pour autant les Josserand ont-ils véritablement parcouru ses rues désertes et pétrifiées ?
- Et cet incendie des archives de la région ?
- Est-ce un hasard que tous les manuscrits de l'époque aient disparu ou ont-ils été détruits intentionnellement ?
Ces questions resteront sans doute à jamais sans réponse... Et Philippe et Carole devront se contenter de se raconter encore et encore... leur voyage dans une dimension où tout repère est aboli. "
Voilà donc l'histoire
vraiment incroyable, que raconte
Mr Pierre Bellemare, qui nous garantit qu'elle est authentique et nous n'avons aucune raison de mettre sa parole en doute.
Ce qu'il faut aussi savoir, c'est que nous avons résumé plutôt sommairement cette histoire ne pouvant hélas préciser chaque petit détail montrant son caractère
hors normes et qui a mis, très mal à l'aise, on l'a constaté, les protagonistes,
Mr et Mme Josserand, de l'affaire.
Évidemment, nous demandons
avec déférence encore à Pierre Bellemare, sa grande indulgence pour les emprunts de ses textes et de ses d'images, illustrant si souverainement les propos d'
ARTivision, parus il y a des années. Notre action est avant tout désintéressée car aucune publicité n'est faite sur notre site.
Vous avez cependant noté que l'aventure de
Mr et Mme Josserand, se rapproche grandement de celle de
Mr et Mme Neson, vue plus haut
( Note du Webmaster : C'est évidemment, un nom d'emprunt, car nous avons été contacté par un de leurs parents, qui nous a dit toute son émotion et sa surprise de retrouver l'histoire de ses proches sur notre site. Nous serions heureux évidemment qu'il puisse en être de même de Mr et Mme Josserand )
Si actuellement
la Science, ne peut donner aucune explication claire et nette du phénomène en question, il n'en sera pas,
selon nous, toujours ainsi. Le
Temps des Révélations est bien en marche et l'explication pourrait venir justement d'entités qui comme par exemple
Soria, savent évouler dans
la quatrième dimension, où même plus.
Mais ce que nous devons tirer en définitive de tout cela, n'est-ce pas
une irrémédiable leçon de modestie, en face de notre
compréhension de la Vie qui nous entoure, et qui nous lie à un
Cosmos bien plus fantastique qu'on ne saurait jamais le croire ? Nous irons même plus loin, en disant que nos liens avec
nos frères de cette planète, sont donc à la base de notre intégration dans
ce Cosmos et demeurent à la racine de
notre proche devenir... A bon entendeur salut.
Pour en savoir plus sur
les autres mondes qui nous côtoient, il serait aussi utile de se diriger vers le site de
Patrick Delsaut,
spécialiste de la Vie dans les
autres Mondes et Webmaster du site
"Présence d'autres Mondes" :
qui a écrit
un livre exceptionnel sur les Mondes Parallèles et pour vous procurer ce livre, cliquez sur le lien ci-dessous :
VI Un certain plus dans l'affaire le 3/08/07.
Les tentatives d'explication des phénomènes évoqués ci-dessus ont fusé, et en voici quelques unes assez significatives :
----- Original Message -----
From: Jack D.....
To: Fred IDYLLE
Sent: Sunday, July 29, 2007 3:39 PM
Subject: Re: Du nouveau surprenant sur ARTivision.
Cher Fred,
Je suis heureux d’avoir de vos nouvelles et de savoir que vous êtes toujours sur la brèche.
Vous écrivez :"J'espère que votre santé est au beau fixe ..."
Il n’y a pas trop à se plaindre de ce côté. J’espère qu’il en va de même pour vous....
J’ai lu votre additif d’aujourd’hui, dimanche 29 juillet 2007. Comme les précédents que vous citez (notamment celui bien connu de Versailles), il s’inscrirait dans le cadre d’un quatrième état de conscience, pratiquement encore non décrit de nos jours. À ma connaissance, seul le Docteur Bernard Auriol en parle sur le site suivant :
Il s’agirait d’une phase de l’état de veille analogue au sommeil paradoxal, au cours duquel apparaissent les images du rêve. L’hypothèse, vraiment intéressante, mériterait d’être approfondie ; notamment en ce qui concerne le fait de “rêver” la même chose à deux....
Bien cordialement.
Jack
Autre missive :
----- Original Message -----
From: Guy R.........
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, July 31, 2007 11:37 AM
Subject: Le temps
Bonjour,
En préambule je voudrais dire déjà tout le bien que je pense de votre site Artivision, et du travail fantastique (c'est le cas de le dire !!) que cela représente. J'admire votre profonde érudition, votre ouverture d'esprit, vos inlassables et courageuses recherches. Il y aurait beaucoup à dire, et je voudrais avoir plus de temps (le temps... nous y voilà !) pour lire et relire le fruit de vos travaux si passionnants... J'arrête car je risque de froisser votre modestie naturelle !:-)
J'ai lu avec le plus grand intérêt votre article sur les "univers parallèles" en date du 29/07/07 à
Les expériences relatées dans votre article, et plus particulièrement les 3 premières, relatives au "passé" m'ont fait penser à l'invention du Père Pellegrino que vous avez évoqué dans votre article:
Je vais essayer de dire pourquoi, mais d'abord, permettez-moi de re-citer la citation que vous avez vous-même placée dans votre article, et qui est une bonne introduction à ce que je voudrais dire :
" Le temps n'existe pas. Toutes les choses existent simultanément. Tous les événements se produisent en même temps. C'est toi qui te déplaces et non le temps. Dans le temps, il n'y a aucun mouvement. Il n'y a qu'Un Seul Instant... Lorsque tu vis une chose vraiment magnifique, tu dis que c'est comme si "le Temps s'arrêtait". Il s'arrête vraiment. Et quand tu t'arrêtes toi aussi, tu fais souvent l'expérience de l'un de ces instants qui définissent la Vie."
(D'après le C.A.D. nº2 aux Editions ARIANE.Aout 1997).
Pour ma part, je pense aussi que le temps n'existe pas, mais je ne pense pas qu'on se "déplace".
Mon hypothèse, ou plutôt mon idée de recherche d'une hypothèse concernant ces problèmes de temps ou d'espace-temps, va sembler bien naïve et simpliste, mais tant pis, je me risque !
La machine du Père Pellegrino est censée capter tout évènement placée dans une sorte de mémoire universelle, et le restituer.
Les personnes comme celles des expériences que vous rapportez semblent s'être déplacées dans le passé (ou pour d'autres dans le futur).
Et si ces 2 types d'expériences procédaient d'un même fonctionnement de l'espace-temps ?
Mon idée simpliste est de comparer la faculté de perception que nous avons, nous autres humains de la terre, du temps ou de l'espace-temps, à un récepteur radio branché sur une certaine longueur d'onde, la longueur d'onde correspondant au milliardième de seconde près (et même moins !) à l'instant T que nous vivons.
A l'instant T, nous ne percevons plus l'évènement de T- 1 milliardième de seconde, et pas encore celui qui sera en T + 1 milliardième de seconde.
SI le temps n'existe pas, ET SI nous pouvions percevoir tous les évènements du passé (même très récent), du présent et du futur au même "instant à notre sens", nous deviendrions fous. Mais SI le temps n'existe pas ET SI nous avons un dispositif de réglage automatique de notre "récepteur" qui nous "empêche" de recevoir les évènements du passé et ceux du futur, alors la vie devient possible sans devenir fou, du moins pas complètement ! Que deviendrions-nous si au concert, nous entendions toutes les notes d'un morceau en même temps ? (Pourtant c'est ce que semble vouloir faire certains morceaux de rock... !).
Reprenons l'exemple de la radio. Une station radio émettant dans une fréquence trop proche d'une autre, et avec moins de puissance, pourra être mal reçue par un récepteur ou reçue simplement dans certaines conditions. Et dans d'autres conditions, ce sera la station plus puissante qu'on recevra.
Alors reprenons l'hypothèse que le temps n'existe pas, et que c'est nous simplement qui avons un récepteur bien "calé sur la bonne chaîne", c'est-à dire calé pour recevoir *seulement* ce que nous appelons le présent. Et puis supposons qu'un jour, à un certain endroit, dans certaines conditions atmosphériques, électro-magnétiques, etc., une perturbation existe soit dans les "émetteurs d'évènements", soit dans les récepteurs, c'est-à-dire en nous-mêmes. A ce moment-là tout se dérègle et nous ne recevons plus le "présent", mais un évènement du passé ou du futur. Je ne pense pas que nous soyons "transportés" dans le passé ou dans le futur. Je crois plutôt que nous "recevons" le passé ou le futur.
Mais qui se dérègle ? L'émetteur ou le récepteur ? Ou les deux ? Au moment ou se situe l'expérience, il faudrait pouvoir analyser le maximum d'éléments à la fois dans l'environnement immédiat de l'évènement, mais aussi chez les sujets.
Etant donné que ces évènements ne sont jamais reproductibles et sont très rares, je ne vois pas comment on pourrait s'y prendre...
Que fait l'appareil du Père Pellegrino sinon se brancher sur une certaine "longueur d'onde" ? Après tout, tout n'est-il pas "vibrations" dans l'univers, donc longueurs d'onde ?
J'espère que, malgré la rareté de ces expériences, vous pourrez nous en relater d'autres, qui donneront du grain à moudre à ma petite idée. Tout cela est vraiment passionnant. Un grand merci encore pour votre énorme travail !
Bien cordialement
Guy R........
Autre message :
----- Original Message -----
From: Gérard F......
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Wednesday, August 01, 2007 8:09 AM
Subject: RE: Univers //.
Cher Fred.
Ci-joint le témoignage d'un ami en Egypte au temple d'Abydos sur les portes temporelles.
"Alors je rentre juste et découvre ton message du jour, oui il y a des portes temporelles si l'on peut les appeler comme cela, je penserai plutôt pour ma part à des portes menant à des univers parallèles où les temps sont différents du notre, je sais qu'en Brocéliande il y en a, j'y ai été avec des amis, il y a trois ou quatre ans et nous en avons perçu de manière furtive, l'air change de structure et les temps ne semblent pas s'écouler pareil... une impression vibratoire aussi est présente, et presque par endroit une impression de malaise indéfinissable également... en Egypte aussi où nous avons été avec vous et avec N..... C....... et F....... également dans un temple où il y avait des fausses portes de tracés/sculptées sur les murs, devant il y avait une pierre d'offrande avec un poisson et des grains de blés de sculptés, on versait de l'eau qui venait couler sur la reproduction des aliments, ensuite dans une rigole, et chargée ainsi de l'essence des offrandes que l'on versait aux dieux... bref, je suis monté sur cette pierre devant la porte et j'ai fermé les yeux en mettant mes mains sur la pierre les yeux fermés, et mentalement la porte s'est ouverte, je suis entré dans un tunnel d'une trentaine de mètres ensuite il y avait un couloir à angle droit et je suis entré dans une pièce ou l'air était la lumière même... et devant moi est apparut Anubis... j'ai fait demi-tour et je suis revenu très confus et perplexe et , C....... et F........ ont fait la même expérience que moi, et N....... est juste entrés pendant une dizaine de mètres dans le couloir suffisamment pour voir le coude au fond à droite... elle ne s'est pas aventurée plus loin et est revenu de suite... comme tu vois selon moi et mon expérience, les portes existent..."".
Cordialement.
GF
Merci donc à nos amis internautes pour leur si aimable participation aux recherches d'
ARTivision.
VII Deux prolongements fantastiques en date du 03/01/09.
Premier volet.
Le
11/12/08 notre Ami écrivain de longue date
Guy Tarade(voir le site : http://lesarchivesdusavoirperdu.over-blog.com/ ), nous a envoyé une histoire très troublante.
Guy Tarade, alors nous présente
Didier Van Cauvelaert, auteur de nombreux ouvrages fascinants visibles sur le site
http://www4.fnac.com/Didier-Van-Cauwelaert/ia126007 ) et en particulier, il y a l'ouvrage qui annonce déjà la couleur :
Lors d'une récente conférence à Roquebrune Cap Martin
Didier Van Cauvelaert a exposé l'histoire
hors normes suivante :
UNE HISTOIRE TROUBLANTE .
En Juin
1925,
Jean Romier, un étudiant en médecine de 24 ans, rencontre dans les jardins du Luxembourg
M. Berruyer, un sympathique vieillard qui, à la suite d'une conversation sur Mozart, lui propose de venir assister à l'un des concerts qu'il donne chaque vendredi dans son appartement, rue de Vaugirard, en compagnie de sa famille qui partage sa passion pour la musique classique.
Le vendredi suivant, le jeune Romier se présente chez les Berruyer, rue de Vaugirard, et passe une agréable soirée à écouter du Mozart, à discuter avec un jeune séminariste, ainsi qu'avec les deux petits-fils de M. Berruyer, un étudiant en droit et un aspirant de l'Ecole Navale.
A minuit, il prend congé, mais à peine sortie dans la rue, il s'aperçoit qu'il a oublié
son briquet.
Jean Romier remonte et sonne. Personne ne répond. Très intrigué, il sonne longuement et finit par réveiller le voisin, qui appelle le concierge en criant au voleur.
Un commissaire de police du poste le plus proche arrête l'étudiant.
Une enquête est menée. Le voisin et le concierge affirment que l'appartement
est vide depuis des années, à la suite de la mort de M. Berruyer.
Jean Romier, issu d'une honorable famille, parvient à convaincre le commissaire de sa bonne foi.
Le lendemain matin, on fait venir
l'arrière-petit fils de M. Berruyer, propriétaire de l'appartement. En ouvrant la porte, on découvre un appartement à l'abandon, rempli de toile d'araignées. Jean Romier étonne tous les témoins par sa parfaite connaissance de la disposition des pièces, ainsi que ses précisions sur les membres de la famille Berruyer.
Ainsi, le jeune étudiant en droit vu la veille était le grand-père avocat de l'actuel propriétaire, l'élève de l'Ecole Navale son grand-oncle devenu amiral, et le séminariste son grand-oncle devenu missionnaire en Afrique. Quand aux concerts, le jeune Berruyer affirme qu'ils ont bien eu lieu autrefois dans cet appartement. Enfin, sur une table, on découvre
le briquet recouvert de poussière de Jean Romier qu'il avait laissé la veille au soir !
Le
professeur Dutheil explique que ce jeune homme fut victime d'une hallucination étonnante. Toute une famille de fantôme lui est apparue. L'enquête de police à prouvé qu'il ne pouvait s'agir en aucun cas d'une supercherie montée par le jeune Romier. Les détails stupéfiants de précision qu'il fournit à M. Berruyer sur les membres de sa famille et
la découverte du briquet constituent d'ailleurs des indices troublants.
L'aventure est si étonnante qu'on la raconte à Albert Einstein lui-même, qui la prend très au sérieux et déclare que
"ce jeune homme a trébuché dans le temps... comme d'autres ratent une marche d'escalier".
L'hypothèse scientifique :
De nos jours, la science quantique avance clairement la possibilité de la survie de l'âme. Il pourrait exister un autre "état" de l'univers, invisible pour nous. En d'autres termes, un univers immatériel où tout irait vers une organisation croissante, où l'esprit trouverait sa véritable mesure : un univers où des notions telles que la maladie, la vieillesse ou la mort n'existeraient pas.
Une telle hypothèse n'est pas l'oeuvre de fantaisistes, mais de scientifiques de haut niveau.
"Travaillant dans le prolongement des idées d'Albert Einstein, écrit
Jean-Paul Ronecker, le physicien
Jean Charon fut amené par ses recherches à élaborer sa théorie de la Relativité Complexe. Il faut entendre ici le mot "complexe" dans son sens mathématique, c'est à dire constitué d'une partie réelle et d'une partie imaginaire
(comme les nombres complexes). Selon Charon, l'univers, dans sa nature profonde, première, serait complexe, c'est à dire que réel et imaginaire s'y mêleraient intimement. Notre perception de la
"réalité" serait ainsi t
ronquée, incomplète, illusoire, et résulterait, en quelque sorte, d'une erreur d'interprétation.
"En accord avec les données de la physique moderne, Jean Charon a montré que les électrons renfermeraient en eux un "dedans" où l'espace et le temps, tels que nous les connaissons, échangeraient leur rôle
(c'est aussi ce qui se passerait, en théorie, dans les trous noirs). Ainsi, dans les électrons, tout se passerait à l'inverse de notre univers perceptible : au lieu d'être dans un système entropique
(où tout va vers le chaos, la destruction), nous serions dans un système néguentropique
(où tout va vers l'ordre), c'est à dire que les choses ne s'y désorganiseraient plus et, bien au contraire, s'organiseraient de plus en plus - l'ordre et la mémoire des évènements passés s'enrichiraient sans cesse."
Cette approche rejoint en tout point certains aspects de la métaphysique bouddhique.
Quelle est l'hypothèse ?
Il existe un second univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Dans cet univers, notre notion de temps n'existe plus puisqu'on peut se déplacer de manière instantanée dans le passé, le présent ou le futur. Cet univers, que le professeur Régis Dutheil a baptisé
"espace-temps superlumineux", n'est constitué que d'informations et de conscience : toutes les informations
(passé, présent, futur) et la conscience de toute l'humanité.
Une hypothèse qui rejoint
les intuitions de certains philosophes de l'Antiquité et bouleverse les notions même de naissance et de mort.
Deuxième volet.
Le 14/12/08 nous avons reçu d'un internaute nommé
Christophe V-M... la missive suivante :
--- Original Message -----
From: Christophe V-M...
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Sunday, December 14, 2008 3:17 PM
Subject: La ferme évaporée
Bonjour Fred,
Guy Tarade m'a demandé de te faire parvenir notre aventure qui s'est déroulée en 1994 un bon copain et moi même au Bugarach.
Les véritables noms ont été remplacés par des pseudos pour des raisons de tranquillité...
Bonne réception
Fraternellement
Christophe V-M le neveu de Jacques L.
Mystères sur la route du Bugarach
(Témoignage de David)
Lors de notre séjour dans l'Aude au mois avril 1994, Yvan et moi-même, avions projeté de faire la montée du Pech de Bugarach.
De bon matin, nous sommes partis de Rennes-les-Bains, sous un ciel très gris et voilé jusqu'en direction du mont situé à environ. 8Km 500. A l'époque nous n'avions ni l'un ni l'autre de permis de conduire et donc pas de véhicule. Cependant, nous étions emprunts de curiosité, et un équipement parfait "d'explorateur"…
Les médias de l'époque (revues spécialisées et de grandes émissions de télévision) distillaient de fantastiques histoires au sujet de ce lieu mystérieux :
des carcasses d'animaux morts sur ses flancs, des apparitions d'OVNI, interdiction de survols par des aéronefs etc…
Bref, nous avions décidé d'aller constater de plus près ces phénomènes qui nous intriguaient.
Après avoir dépassé depuis un bon moment le grand virage du lieu dit La Vialasse, nous nous engageâmes sur la départementale 14, non loin des ruines de la Falconnière qui longent la succession de virages précédant le petit village de Bugarach.
Là, nous décidâmes de faire une petite pose et de nous arrêter devant
une ancienne ferme…
L'état des lieux nous interpella. Tout sentait
l'archaïque. Un grand désordre régnait dans ce qui nous sembla être une ancienne écurie reconvertie en pièce à débarras. Une vieille charrue et des outils gisaient au milieu de divers objets métalliques…
Intrigué par un panneau qui se trouvait au niveau du portail de la barrière qui fermait la propriété, je m'accoudai sur la palissade en bois pour déchiffrer des inscriptions qui s'y trouvaient. Elles semblaient être des lettres grecques. Nous y vîmes un alpha et un delta…
Sur le moment Yvan me dit :
" Tu devrais prendre une photo de cette vieille ferme."
Je lui répondis qu'il ne me restait qu'une pose et que je ne voulais pas gâcher de la pellicule…
" Si j'avais su, aujourd'hui, je m'en mords encore les doigts ! "
Puis nous repartîmes en direction du Bugarach pour y faire ascension.
Précisions :
Nous nous étions fabriqués un petit détecteur de métaux artisanal qui fonctionnait très bien avant de progresser dans cette forêt dans laquelle jamais aucun oiseau vole ou chante. Lors de notre progression vers le Mont Bugarach, notre capteur cessa bizarrement de fonctionner, ceci sans raisons apparentes, son alimentation électrique étant parfaite.
Soudainement je fus pris d'une peur panique et irréfléchie. Je voulais rebrousser chemin et rentrer à Rennes-les-Bains…
Yvan insista tellement que je me suis résignai à continuer l'aventure.
Nous avons commencé notre petite escalade en nous égarant dans les dédales de cette petite forêt.
Cependant très vite, le chemin nous apparut, et la sensation de peur qui m'habitait avait totalement disparue, lors de notre arrivée au sommet…
Un moment, nous nous sommes assis sur des blocs qui se trouvaient en contre bas de
" La Pique Grosse " pour reprendre notre souffle. C'est alors que nous avons eu la sensation de sentir le sol trembler sous nos pieds.
Où la fameuse ferme s'est évaporée.
…
Sur le chemin du retour, au niveau de la succession de virages qui se trouvent non loin des ruines de la Falconnière, nous n'avons pas retrouvé
" la dite chaumière " à l'endroit où nous nous étions précédemment arrêtés, pour notre petite pause.
Nous n'y avons retrouvé à la place qu'un champ en friche !
J'entends encore les mots d'Yvan résonner dans mes souvenirs !
" Tu devrais prendre une photo de la ferme ? "
Mars 1996.
David et Yvan sont musiciens. Comme ils étaient dans les environs de Bugarach et qu'ils avaient besoin de réaliser un petit film
(une route illuminée par des phares de voitures), destiné à être projeté sur un écran géant, lors d'un concert qu'ils organisaient pour la Fête de la Musique….Ils eurent la surprise, une fois rentrés dans la région parisienne, de voir qu'ils avaient filmé également autre chose avec leur caméra. Lorsque leur voiture avait passé le virage de
" la Vialasse " un
OVNI triangulaire apparaissait pendant plusieurs secondes sur leurs images. Lors du tournage ni l'un ni l'autre ne s'était rendu compte de cette insolite présence!
Fin de citation
http://lesarchivesdusavoirperdu.over-blog.com/
http://symphoniesgraphiques.over-blog.com/
Et voici en substance ce que nous avons répondu à Christophe V-M :
----- Original Message -----
Sent: Monday, December 15, 2008 1:58 PM
Subject: Re: Christophe V-M..
Très cher
Christophe.