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Dans le cas présent, des pressentiments précédèrent le rêve prémonitoire que Mrs. X... eut la veille du naufrage. On ne peut expliquer le fait que le rêve fut l'exacte image de la catastrophe qui se produisit vingt-quatre heures plus tard. Il est difficile de nier que ce rêve l'impressionna et lui dicta des mesures de prudence auxquelles elle dut d'être sauvée avec ses enfants.
"Mr. Middleton avait donc raconté le songe avant la catastrophe. Sa femme, le certifia verbalement et ajouta que c'était la première fois que son mari avait fait un tel rêve. Les quatre certificats furent publiés par le journal de la S.P.R. Sous le pseudonyme de "Connor", Mr. Middleton raconta son aventure dans une lettre datée du 19 avril 1912. Il avait gardé par hasard le billet de retour non utilisé et prouva même la véracité du câblogramme reçu. La véracité de ses déclarations ne faisait donc aucun doute.
On ne peut affirmer que la traversée du Titanic eût été fatale pour Mr. Middleton; toutefois, s'il s'était embarqué sur le steamer en question, il aurait couru de grands risques car peu d'hommes ont pu monter dans les quelques canaux mis à l'eau, lors du naufrage. Il est aussi à noter que la répétition de ce rêve prémonitoire en avait souligné l'importance."
L'ouvrage de Morgan
Robertson est intitulé :"FUTILITY". Ce mot n'a même pas besoin
d'être traduit et il se comprend tout seul et ne peut
que trop évoquer la
joyeuse fête qui ne cessa de régner à bord durant
toute la durée de la traversée,
fête qui est directement responsable de l'accident. (C'est la première coïncidence entre le livre de fiction américain et
l'événement réel).
Dans le livre de Robertson, il est très précisément
question d'un "transatlantique" alors
que l'auteur aurait pu choisir toute autre catégorie de
navire existant, or le Titanic était aussi un transatlantique : (c'est la
2ème coïncidence).
L'auteur
attribue à son navire une longueur énorme pour
l'époque, soit
800 pieds (environ 243m). Le vrai Titanic
était légèrement plus long avec 882 pieds, soit 271 mètres, mais l'idée d'énormité et l'ordre de
grandeur sont respectés (cela nous donne la 3ème coïncidence).
Robertson fait transporter à son paquebot 3000 passagers, alors que le
Titanic n'en transportait que 2207, ce
qui peut permettre aux personnes pointilleuses de ne pas
accepter la coïncidence. En fait, le décalage entre les
deux chiffres s'explique par le fait que le Titanic
n'avait pas fait "le plein", car il s'agissait d'une traversée de grand
luxe,, mais il pouvait en emporter près de 3000 pour ses
traversées ordinaires (c'est
pourquoi nous accepterons cette 4ème coïncidence).
Mieux, l'auteur a baptisé
son navire géant le "Titan", bien sûr, le nom s'imposait du
moins dans notre esprit, car les choses sont toujours
évidentes, après coup. (Mais le Titan et
le Titanic, nous donnent une 5ème coïncidence
presque parfaite).
Enfin, sinistre plaisanterie, les
armateurs du Titan comme plus tard ceux du Titanic
considéraient leur navire comme insubmersible grâce aux
cloisons étanches dont ils
avaient pourvus leurs navires respectifs. (Cette solution inhabituelle
sinon unique sur un paquebot à l'époque nous donne notre 6ème coïncidence).
Bien entendu, cette
première série de "correspondances techniques", n'emportera pas la décision de
nombreux lecteurs, et avec raison, car il faut
reconnaître que ces diverses dispositions pouvaient
assez facilement être imaginées par un écrivain se
tenant au courant "des progrès de la construction navale" de son temps, sans faire intervenir un mystérieux phénomène d'anticipation, intellectuel ou
autre. Il lui suffisait de rechercher les solutions
originales envisagées dans les bureaux d'études et qui ne pouvaient manquer de s'ébruiter, puis
d'extrapoler les ordres de grandeur comme on est passé
de nos jours des pétroliers de 50.000 tonneaux à 100.000 puis
250.000 pour arriver aux
mastodontes actuels, véritables monstres des océans.
(Par exemple, on peut citer que le Titan et le Titanic
avaient tous les deux, 3 hélices, deux mats de transmission
radiophonique, le premier avait 24 canots de sauvetage et second en avait seulement 20). Cela n'avait même rien d'original, c'est donc dans la suite
des coïncidences, celles qui concernent directement les
circonstances du naufrage qu'on peut se poser la question
d'une "prémonition" de l'événement futur, car
tant de précisions, comme on va le voir sont
difficilement explicables du niveau exclusivement humain.
Robertson imagine en effet
que son Titan fait naufrage et s'engloutit dans les flots
dès son premier voyage, ce qui fut exactement le cas du Titanic
14 ans plus tard. (Bien que
l'on puisse encore invoquer le sens dramatique de
l'auteur pour l'expliquer, cette 7ème coïncidence n'en est pas moins, aussi troublante).
Ensuite,
le Titan, coule , comme le Titanic après avoir heurté un iceberg. Sans être un accident impensable sur les lignes de l'Atlantique nord, le cas n'était pas courant au point de
l'imaginer pour un premier voyage. (Cela nous mène
à la 8ème coïncidence).
(Note du
Vebmaster: il semblerait qu'il y ait eu là un défaut de compréhension de Mr Gilbert Cornu, car il est dit dans le texte français du roman : "Lors du voyage inaugural, il (le Titan), avait battu tous les records existant, mais à la troisième traversée retour, il n'avait pas réussi à réduire la durée du voyage entre Sandy Hook et Daunt's Rock à moins de cinq jours ". (Donc il conviendrait à notre avis d'abandonner cette 8e coïncidence )
Poursuivons... Le Titan est
supposé couler
en Avril. On peut
difficilement être plus
exact au rendez-vous du destin,
puisque le naufrage du Titanic eut lieu dans la nuit du 14 au 15 avril, soit à 24 heures près, exactement, le milieu du mois (9ème
coïncidence, donc, et de taille ).
Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises. En
effet, selon son auteur, le Titan devait filer 25 nœuds au moment du naufrage, soit naviguer à sa vitesse maximum . C'est exactement ce que fit le Titanic qui
filait 23 nœuds, soit aussi à sa vitesse maximum pour une première traversée,
" ses machines n'étant pas
encore rodées ". Faut-il chicaner pour deux petits nœuds ? Il semble que
non, au point où nous en sommes! (C'est la 10ème coïncidence entre les deux cas, celui de la fiction et celui de la réalité).
Nous n'en resterons
cependant pas là, puisque le Titan de Robertson est
supposé sombrer parce que ses cloisons étanches se sont
révélées inutilisables, ce
qui semble paradoxal pour du matériel neuf. C'est
pourtant exactement ce qui se passa pour le Titanic, les cloisons étanches ne
fonctionnèrent pas et l'on ne
parvint pas à stopper l'irruption de l'eau. Imaginer des
cloisons étanches pour amener le drame par leur
non-fonctionnement est une idée ""vicieuse"
en plus, que cela se réalise ainsi le jour du vrai
naufrage est une très curieuse coïncidence en effet ! (C'est la 11ème coïncidence).
Sur le Titan, le nombre élevé des victimes
s'expliquait par le fait que les ingénieurs avaient
commis la faute impardonnable de juger les canots de
sauvetage inutiles sur un tel
bâtiment en raison des conditions de sécurité tout à
fait exceptionnelles qui avaient été prévues. C'est
pour cette même raison, nous l'avons déjà dit plus
haut, que le Titanic ne disposait que de 20 canots de sauvetage... une sécurité purement symbolique, ni bouées de sauvetage en grand nombre, ni radeaux d'aucune
sorte... rien que le néant désespérant au moment du
drame, (terrible 12ème coïncidence ).
Faut-il pousser plus loin et voir une 13ème et dernière
coïncidence dans le chiffre des victimes ? Le Titan
était supposé engloutir avec lui dans les flots la
quasi-totalité de ses 3000 passagers, ce qui était la
logique même puisqu'il était dépourvu de tous moyens
de sauvetage. Avec le Titanic, le destin eut l'élégance
de ramener ce chiffre à environ 1500 (le chiffre exact ne put jamais être précisé !), ce qui est honorable, mais encore beaucoup
trop, nous en sommes tous d'accord. La différence étant
dans ce cas du simple au double, elle parait trop
importante pour trancher nettement en faveur de la
coïncidence, et d'autre part, le fait qu'elle serait la
13ème risque d'influencer la décision de certains
lecteurs chacun restera donc libre de sa décision en
l'acceptant ou non.
Comprenne donc et explique
qui pourra cette
véritable cascade de coïncidences qui se trouvent réunies dans un
seul texte, d'un même auteur, et qui concernent un seul et même événement. Plus encore que chacune des coïncidences,
c'estl'ensemble,
aussi homogène et sans faille
qui est le plus troublant. C'est presque incroyable et
plus d'un lecteur ne manquera pas de penser que c'est
presque trop beau pour être vrai. C'est d'oublier que le
vrai peut très bien ne pas être vraisemblable et que
souvent la réalité dépasse la fiction..."
(Fin de l'extrait du
remarquable article de Mr Gilbert Cornu, et veuillez svp, pour savoir
plus, voir la revue en question, dont l'adresse était à l'époque : LDLN - B.P. 3 - 86800 Saint-Julien-l'Ars.
Alors bien chers amis de notre site, c'est le moment, de demander à vos supers robots, de l'Intelligence Artificielle Chatgpt ou Midjourney placés tels que :
de vous sortir un état statistique, stitulant les chances que les coincidences citées ci-dessus pouvaient à l'époque advenir dans le contexte historique précité, où n'existait pas le média Internet, si propice à rassembler actuellement, les humains...
Le succès du film "Titanic" de Cameron, en 1997, a été
sans doute l'occasion pour un éditeur de sortir à nouveau en français cette fois, le livre de Morgan Roberson sous le titre "Le naufrage du TITAN" ouvrage de 120 pages paru en 1999 alors aux Editions Presses de Valmy, 165 rue de Paris, 94220 Charenton-le-Pont .Tel 0148930339 dont voici les images de la couverture avant et arrière :
Autre Éditeur :
Voir donc le site : http://www.corsaire-editions.com
Il serait donc judicieux que chacun puisse se rendre compte par
lui même de l'incroyable parallèle, que le destin a su ériger entre le naufrage fictif du Titan, et celui bien réel, hélas du Titanic . Sans doute aussi, un chercheur pointilleux pourra-t-il trouver encore d'autres petits détails concomitants qui n'auraient pas pu être découverts par l'étude superbe ci-dessus de Mr Gilbert Cornu.
Quant aux phénomènes de prémonition, et le fait qu'ils
prennent leurs racines, sans
doute, dans cette quatrième dimension sus-mentionnée, il ne nous reste plus qu'à les collectionner, à défaut de les expliquer, et finalement aussi il ne nous reste, qu'à
reprendre à notre compte, la célèbre phrase de Shakespeare,
d'Hamlet à
Horatio :
"Il y a plus de choses au Ciel et sur Terre, Horatio, que n'en rêve votre
philosophie.
"
Mais voici aussi un hommage mérité, d'époque à Nostradamus.
Précisons d'emblée, qu'il ne s'agit pas des célèbres prophéties du mage et astrologue Michell de Nostre-Dame, né en 1503 à Saint-Rémy-de-Provence, mais de la revue " Nostradamus", qui paru juqu'au n° 146 du 23 Janvier 1975, et dont le n° 147 devint "Nostra".
C'est en recherchant dans nos vieilles revues heureusement conservées, un article sur un certain Davidovits qui prétendait, il y a plus de 20 ans, comme la
revue "Science & Vie", de Déc. 2001, que les pierres de certaines pyramides auraient été coulées
dans des moules, nous sommes tombés le 15 Déc. 2001, sur un article sur
l'histoire du Titanic, du n° 96 du 7 Février 1974, de la revue en question Nostradamus.
Aussi, pour illustrer au moins une fois, cet article sur le Titanic, et surtout pour rendre un hommage bien mérité à cette revue disparue, qui avait à l'époque l'audace de nous révéler ce que certaines revues qui ont pignon sur rue préféraient taire à l'époque ...
Les pages de cet article, sur le Titanic dépassant de loin, les possibilités de notre petit scanner, nous ne pouvons vous présenter que l'image qui suit :
Avouons pour terminer qu'il falllait vraiment avoir le gout du risque très démesuré et être un vrai casse-cou, pour choisir à la barbe du hasard, de nommer le Titan un mini -submersible contemporain....