Consultations pour cet article :
et y ajouter SVP ceci :
ARTivision.fr, est une page Web strictement personnelle de : Fred.IDYLLE - COPY RIGHT 1997 Pour tout contact avec ARTivision.fr fred.idylle@orange.fr Bonne lecture ! Communiquez nous vos commentaires. Merci d'avance. Adresses du site :
http://artivision.eu http://artivision.pagesperso-orange.fr/
(hélas page
bloquée au 29/11/2019)
Pour entendre le fond musical de cette page, prière de cliquer
ci-dessous : fond musical puis cliquer sur "ouvrir", puis sur le "-" Pour couper le fond musical, faire puis cliquer sur "ouvrir", puis sur le "-" Pour couper le fond musical, faire un clic droit sur le disque du bas Pour connaitre le code des
couleurs, prière d'aller, SVP, à : Avant-propos.html |
En Sibérie, le long de la Léna, on a retrouvé les ossements et les défenses de milliers de mastodontes . L'opinion scientifique, on le sait, est unanime à penser que ce sont des vestiges de l'époque préhistorique. Les mammouths vivaient là, nous l'avons dit, il y a quelque 20 000 ans, mais ils furent anéantis dans une terrible et mystérieuse catastrophe.
Cette catastrophe pourtant, est inconnue dans les annales, en raison
justement de cette soudaineté, qui ne permet même pas à un mammouth de digérer l'herbe qu'il a dans la gueule.
Mais il y a aussi l'éclairage très significatif que nous apportre l'ouvrage d' Immanuel Velikovsky, intitulé : " Mondes en
collision" publié chez Stock
en 1976,(mais paru aux USA chez Mac Milan Company New York dès 1950) :
L'amiral Richard Evelyn BYRD, fut, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du
Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des
Sciences.
Voici donc quelques lignes de cet
article:
D'un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: - 58°! Son adjoint, le capitaine
Fitin, nota sur le journal de marche:" Le 14
Juin 1926 à 74 m d'altitude à 12h 08 ". Les Quatre hommes se mirent à
dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui
s'étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace
au sommet de laquelle ils se trouvaient.
Après une
longue heure de descente, ils avaient changé de monde
: une plaine où régnait une végétation
prolifique et presque paradisiaque s'étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre
indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipement d'explorateurs polaires.
Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et
grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux , Byrd et ses
compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les
herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ,
ils virent une tache brune qui se déplaçait
lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un
animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal
qui ressemblait étrangement à
un mammouth.
Hélas! il fallait borner là, l'exploration de ce
jour. La fatigue de chacun, le manque de vivres, l'épuisement des accumulateurs
de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un
instant le retour au campement de base.
Après avoir
repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons
prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre
eux le "paradis
perdu". Malheureusement, il leur
fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques
kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible
au capitaine Fitin d'en effectuer le relevé des coordonnées
topographiques. Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée
étroite et profonde couverte d'une végétation
luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent, une
véritable oasis de vie au milieu du grand désert
de glace ".
Fin de
citation.
Notons,
qu'avec grand regret, nous
n'avons pas trouvé les sources importantes
relatives à cet extraordinaire récit de Mr Jean Brun, et nous ne pensons pas, qu'il puisse s'agir
du philosophe Jean Brun (1919-1994),
qui fut professeur à l'Université de Dijon de 1961 à 1986. Nous implorons donc,
avec la plus grande
déférence, tout internaute qui
connaîtrait ce Monsieur (s'il est encore
vivant), de lui demander la nature des documents, où, il a puisé, les éléments étranges de ce qui
précède. Il y va de notre plus
grande compréhension de la géographie de notre Terre, et, vous
allez vous en rendre compte plus bas, il y va même aussi, de notre meilleure appréciation du contexte de notre Système Solaire. Merci
d'avance...
En effet, disons aussi ce jour, que le texte du NOSTRA n°425, de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 1980, présenté ci-dessus sous la signature de l'énigmatique Monsieur Jean Brun, (qui pour une raison sans doute ultra secrète, n'a pas cité ses sources), n'était en fin de compte, qu'un court condensé, paru vers le 6 Avril 1972, d'un autre article bizarrement non signé, et paru dans la revue Nostradamus (ancêtre
de Nostra).
Ceci ne nous empêche pas en passant, de redire que le site ARTivision,fr, est un site "Mystico-Rationaliste", (vocable que vous ne trouverez dans aucun dictionnaire), et qui résume le fait que, rien n'arrive par hasard, sur ce site, qui existe tout à fait, bénévolement, depuis 1997, et cela signifie aussi, que cette plate-forme, intégre pleinement des textes dits transcendants,
qui nous viennent d'entités dites ascensionnées, comme par exemple : Sananda, Ramtha, Dratzo, SaLuSa, Mikaël, Dorian, Soria, Saint-Germain ...etc...
Voici donc ce jour, deux méditations cosmiques du Maître de Findhorn, qui devraient subjuguer les va-t-en guerre, qui s'agitent énormément en ce moment, sur cette planète, qui part assurément à vau-l'eau .
Certains bien-pensants, qui se disent cultivés, liront très superficiellement, ces 2 textes en ergotant du fait, que ce langage est philosophiquement connu, depuis des siecles et donc est très élémentaire, mais à gauche, il est écrit clairement ce qu'ils ont lu, trop vite, à savoir que :
" Cela continuera jusqu'à ce que l'humanité, apprenne à faire vivre et vibrer ces paroles merveilleuses dans la vie de tous les jours. "
Mais, cela suignifie (selon nous, bien sûr), que c'est le Verbe, qui agit en douce, dans l'Univers"